• Javier, Amo mio 1

    Avant propos...

    Javier est pharmacien à Valencia en Espagne. Il y a 4 ans, nous nous sommes connus sur le net et en quelques semaines, après avoir échangé quelques photos banales, nous avons parlé librement de nos fantasmes sexuels. En résumé : pour lui être obéi et pour moi, me laisser faire et obéir. En Espagnol, Amo signifie Mâitre d'où le titre de cette nouvelle !

    Mon mari, Yves, suivait nos échanges. Avec d'infinies précautions Javier a suggéré que nous pouvions, peut-être passer à une session-vidéo. Même débutante dans l'école de Cathy, je savais ce que c'était, mais avant tout, il me fallait le feu vert de mon Tendre !

    Il m'a donné son accord, non sans exiger une conversation avec Javier. Je les ai laissé longuement dialoguer sur WhatsApp sans chercher à savoir ce qu'ils s'écrivaient.

    Le mardi suivant, alors que nous faisions un câlin après 4 beaux orgasmes dont 3 pour moi :

    • "Si tu es prête pour une session, Javier nous propose samedi soir à 22h. Réfléchis et fixes tes conditions, mais il faut que tu saches qu'après notre échange, Javier en sait beaucoup sur toi, y compris sur ta scolarité chez Cathy !"

    • "Ca ne me dérange pas, mais si je dis oui, il faudra tout de même être seuls ?"

    • "Tu sais bien que notre voisine adore Jean et qu'il est copain avec ses enfants, je suis sure qu'elle sera heureuse de l'accueillir pour une nuit "

    Le samedi, nous avons bien joué nos rôles : Yves, le caméra-man, Javier, l'Amo délicat mais exigeant et un peu pervers, et, moi, la soumise de plus en plus excitée.

    Pour moi cette 1ère session a été plus qu'un rôle, je n'ai pas fait semblant, ni d'obéir, ni de jouir ! Et elle a été suivie par une dizaine d'autres, toutes aussi jouissives pour nous 3.

    Nota > Beaucoup de photos de ces sessions sont publiées dans l'album intime de Loré # 14 Romans photos. Ce qui suit est donc fantasmé.

    Le Congrès imprévu d'Août 2017 !

    Entre mon job, Cathy, ma vie de famille et Javier, qui a reconnu élégamment qu'il manquait d'idées pour me proposer d'autres sessions, nous y avons mis un terme. Il y a 2 ans, le lundi 2 juillet 2017, il a téléphoné à Yves pour lui annoncer :

    • "J'ai un Congrès en août à Clermont, je peux m'y inscrire sans participer. J'ai une idée un peu folle : passer 2 jours avec vous pour dominer Loré ? Je suppose qu'elle sera partante, vue son apprentissage de la soumission, mais, il faut que vous soyez d'accord tous les deux !"

    Après un long silence :

    • "Ca me semble être, en effet, une bonne idée, vous êtes assez intimes pour vous rencontrer en vrai ! Je vais lui en parler de suite et y réfléchir, tu auras notre réponse dans la semaine"

    • "Merci, Yves, j'espère que vous serez d'accord, à plus"

    Dès son retour du bureau, Yves me fait part de cette proposition.

    • "Amour, la balle est plutôt dans ton camp, Cathy me fait rencontrer des tas d'hommes qui deviennent mes amants d'un jour. Mais, là, il s'agit de passer 2 jours avec une connaissance. C'est un peu différent. Ca m'excite évidemment beaucoup, mais tu es le seul homme que j'aime, tout le reste n'est qu'un jeu entre adultes consentants !"

    • "Merci pour ta réponse franche. Nous en reparlerons, il attend ma réponse fin de cette semaine"

    En fait, nous n'en avons reparlé une seule fois :

    • "Si nous acceptons, quels seraient tes tabous ?"

    • "On peut très bien utiliser ceux que Cathy impose à tous mes clients. Mais tu peux rajouter ce que tu n'as pas envie de me voir faire !"

    • "Bonne réponse, merci Amour"

    Le vendredi il m'annonce :

    • "Amour, je vais accepter, tu as rencontré des invités inconnus en ma présence et ça s'est toujours bien passé ! Alors, pourquoi pas Javier ? Nous n'avons que des photos de lui, et tu connais sa manière de dominer ! Je n'imposerai pas mes limites. As-tu changé d'avis ?"

    • "Non, je serai heureuse de m'offrir à lui en ta présence ! Tu pourras aussi le modérer si tu estimes qu'il va trop loin !"

    Il éclate de rire :

    • "Je ne pensais pas que tu connaissais les mots aller trop loin !"

    • "Avec Cathy, vous êtes les deux seuls au monde à me connaître par coeur ! Je suis contente de te surprendre !"

    Il m'embrasse très fort et tendrement :

    • "Je l'appelle pour lui donner notre accord et avoir le détail de son séjour !"

    Quatre jours avant la rencontre...

    Nous nous organisons pour être seuls du 3 au 6 août : un weekend pour Jean dans la propriété de son meilleur ami et un congé pour le vendredi 4 pour nous deux. Javier doit atterrir à l'aéroport d'Aulnat le vendredi 4 à 9h et et en redécoller le dimanche 6 à 9h.

    Le mardi soir, Yves modifie notre câlin : il me conduit plusieurs fois à l'orgasme sans me laisser conclure et lui se fait sucer et jouit en me conseillant de ne pas me laver !

    Je reste sur ma faim et lui demande :

    • "Tu as eu Javier au téléphone ?"

    • "Non, pas depuis ma confirmation."

    • "Pourquoi me laisses-tu en manque ?"

    • "Simplement pour que tu sois affamée durant ces 2 jours, tu trouves ça injuste ?"

    • "Un peu, mais, si tu fais ça jusqu'à vendredi, je serai une véritable furie !"

    • "Eh bien, c'est le but ! Bonne nuit Amour !"

    Et il me prend dans ses bras pour s'endormir ! Je le traite mentalement de salaud mais je m'endors rapidement. Le reste de la semaine, chacun respecte son deal, il prend son plaisir tous les soirs tout en augmentant le nombre de mes montées vers l'orgasme et me laisse en plan, pleine ou barbouillée de son foutre et toujours sans pouvoir me laver !

    • "Tu es bien conscient que, vendredi, je serai une vraie salope ?"

    • "Je ne pense pas que ton Amo souhaite rencontrer une soumise débutante ! Son attente de 2 ans mérite mieux de toi !"

    Mon appel du jeudi à Javier...

    Je suis grognon et le jeudi vers 16h, j'appelle Javier :

    • "Bonjour Javier, c'est Loré !"

    • "Loré ? Quelle surprise ! Tu vas bien ? C'est demain matin que nous faisons connaissance !"

    • "Oui ! Je suis impatiente d'être plus vieille d'un jour ! Je t'appelle car j'ai 2 points à éclaircir, tu as un peu de temps ?"

    • "Oui, je n'ai pas de clients, ils font la sieste, il fait très chaud à Valencia ! Que veux-tu savoir ?"

    • "Depuis mardi, quand nous baisons, Yves m'excite comme d'habitude, mais dès que je vais jouir, il arrête tout. Je l'ai prévenu qu'en me traitant de cette manière, il allait t'offrir une soumise salope en furie. Il se contente de rire et de me répondre que tu n'attends que ça, et je crois qu'il a raison !"

    • "Il te connaît par coeur et j'aurais fait pareil !"

    • "Vous les mecs, vous êtes tous des salauds !"

    • "Tout à fait exact ! Je t'approuve ! Mais en quoi ça te gêne ?"

    • "Ca m'oblige à exiger de vous deux qu'il n'y ait aucun préambule, dès que tu mets un pied chez nous, je m'offre totalement à toi : mon Amo arrive et sa soumise l'attend prête à être son objet obéissant. Rassure toi, grâce à Yves je serai très réceptive ! Es-tu d'accord ?"

    • "C'est super ! Et ?"

    • "Comment veux-tu me découvrir en me voyant pour la 1ère fois ?"

    • "Je suis ravi de ta demande, elle m'évite un mail ! Pour les vêtements : un large tee-shirt sans manches, nombril apparent, décolleté et échancré sur les côtés. Une mini-jupe légère en coton au ras de la chatte. Pour les chaussures : ongles natures, talons, lanières de cuir qui dénudent tes pieds. Et pas de culotte : ça te va ?"

    • "Oui, j'ai ça en stock, ensuite ?"

    • "Pour ta poitrine, un vieux soutien-gorge dont tu découpes le tissu, en gardant l'armature des bonnets, les bretelles et l'agrafe du dos. Ca te va toujours ?"

    • "Bref, à poil sans le montrer tout de suite ?"

    • "Bingo ! Pour les accessoires : je te porte un collier de cou, tu mets des bracelets de cuir avec anneaux et clips aux poignets et aux chevilles. Tu rajoutes une ceinture bien serrée au dessus du nombril, avec anneaux et clips. Pour tes tétons : des pinces douces qui se posent verticalement et que tu peux garder longtemps"

    • "J'en ai une paire"

    • "Bien, tu les poses à 10h. Mais à 9h30 tu t'encules avec un légume bien vaseliné et tu t'invagines 3 grosses boules de geisha, mais sans lubrifiant. Voilà, tu as tout ça ?"

    • "Pour le cul ce sera une aubergine, pour me permettre de m'asseoir, et mes boules me remplissent totalement, tout en pouvant bouger comme il le faut dans mon ventre !"

    • "Un détail : Yves va te quitter vers 8h30, je veux qu'il te découvre préparée en même temps que moi, ok ?"

    • "Entendu Amo mio, j'ai noté. Je te laisse, à demain et cette nuit ne jouit pas ! Je serai prête à te vider les couilles !"

    • "A demain, ma petite salope en furie !"

    Et je raccroche.

    Vendredi 8h30, les préparatifs !

    Yves vient m'embrasser dans mon bain.

    • "J'y vais, si son avion n'est pas en retard, nous serons là vers 10h, sinon, je t'appelle, ne t'engourdis pas dans ton bain !"

    • "Rassure toi, j'essaye de me détendre plus que je ne me lave et j'évite que ma main n'aille saluer ma chatte ! De toutes les manières, à 9h le traiteur vient me livrer, donc je ne vais pas tarder à sortir !"

    Il m'embrasse, me caresse les seins qu'il trouvent bandants et s'en va !

    20 mn après, je sors du bain, me sèche, et puis zut pour le traiteur, je le recevrai en peignoir de bains et en chaussons. Je vais dans la chambre pour mettre sur le lit ce que j'ai préparé la veille et je fais chercher les accessoires dans notre armoire secrète.

    J'ai tout préparé quand le traiteur sonne.

    Tout est dans 6 conteneurs : le salé et le sucré à réchauffer, le salé et le sucré prêts à consommer et 2 autres pour les vins et le champagne.

    A 9h15, tout est rangé. Le téléphone sonne, c'est Yves :

    • "Loré, son avion vient de se poser, nous serons vers 10h15 à la maison, bises !"

    • "Merci Amour, ici tout est livré et rangé, je vais me préparer !"

    • "Je peux savoir ce que tu vas mettre ?"

    • "Oui, dès que vous entrerez dans la maison ! Bise, amour !"

    Dans le frigo, je prends l'aubergine très phallique, je la prépare pour qu'elle soit bien lisse et file à la salle de bains où je prends le tube de vaseline, je lui en mets un bon paquet sur la tête et nue, je m'accroupis et lubrifie mon anus qui accepte de suite tout le légume. Il est gros et long, mais bien calé dans mon cul, je suis sur qu'il ne tombera pas !

    Les boules m'attendent sur le lit. Je suis bien lubrifiée par mes fantasmes du bain, et elles entrent facilement !

    Retour à la cuisine pour mettre en route 1 litre de bon expresso.

    J'en profite pour remettre mon peignoir et aller fumer une cigarette vers la piscine : le thermomètre annonce 28° et l'eau est déjà à 24°, elle sera à 28° dans peu de temps, une température idéale pour se baigner !

    En marchant, je me sens très pleine et les boules de geisha font bien leur job !

    L'aubergine me gêne, mais la honte d'être enculée me fait mouiller comme la salope que je m'apprête à être ! Je suis sure que personne ne sera déçu !

    Tout est prêt !

    Je reviens sur mon lit ou je découpe soigneusement un vieux soutien-gorge. C'est plus un offre-nichons qu'un cache-nichons ! Je vérifie que ma jupe et mon tee-shirt ne sont pas froissés et je mets les escarpins pour habituer un peu mes pieds.

    Je fais quelques pas qui m'amènent dans le bureau, je constate avec amusement qu'Yves a préparé ses petits affaires : notre super web-cam dernier cri et 2 appareils photos, je suppose qu'en se levant avant moi, il a connecté tous les écrans au Wifi ! Yves n'aime pas le travail bâclé même pour filmer sa pute de femme !

    Le café est passé je m'en sers une grande tasse que je vais boire quasiment nue dans l'abri cuisine extérieure en fumant une autre cigarette. Notre jardin est idéal : grâce à des constructions éloignées et des hautes haies, personne ne peut voir ce qui s'y passe !

    En constatant qu'il fait si bon dans ce nid protégé du soleil, je décide de dresser 3 couverts pour leur proposer le petit déjeuner ici.

    Les hommes pourront mettre leurs maillots, et moi, Javier me dira comment me mettre !

    Le temps de joindre la pensée au geste, il est déjà 10h.

    Ma tenue...

    Je retourne dans la chambre pour me poser les pinces verticales que j'apprécie et qui m'excitent beaucoup sans me faire mal, je pose mes bracelets en cuir aux chevilles et aux poignets et je mets ma ceinture avec ses 8 anneaux et ses clips. Je termine par le tee-shirt et la mini jupe. Un coup d'oeil dans le miroir de ma psyché : si je sors comme ça, je suis sure d'être violée !

    Un détail me choque et je raccourcis de 3 cm le bas du tee-shirt : il ne dégage pas assez mon nombril ! La découpe n'est pas très pro, mais c'est le nombril que j'offre ! Pas le tee-shirt !

    Et je me pose une question importante : où les attendre ? Je choisis finalement le nid de la cuisine extérieure. Je vais au bureau et rédige un post-it Cuisine extérieure que je pose sur la porte d'entrée, je me ressers un café avec un jus d'orange et j'allume une autre cigarette, contente de moi ! Je suis prête !

    Amo mio ! Ton esclave t'attend !

    J'écrase ma cigarette quand j'entends le moteur de la voiture d'Yves.

    Je me lève, vide et nettoie mon cendrier, je mets tasse et verre dans l'évier et je me mets debout derrière la table dressée. Je n'ai pas une grosse boule dans le ventre, puisque j'en ai déjà 3 dans le vagin, mais je suis très nerveuse avec ces 4 boules et anxieuse comme à chaque découverte, ce qui est un peu faux, car voir Javier ne sera pas une vraie découverte !

    Je suis simplement anxieuse de le découvrir en vrai, mais surtout de voir les réactions de mon homme quand mon Amo me prendra en main !

    J'entends Yves dire à Javier :

    • "Laisse tes affaires dans le hall, Loré nous attend près de la piscine"

    Des pas sur le gravier et les deux hommes sont là ! J'aurais reconnu Javier même dans un métro bondé !

    Je souris et baisse la tête en murmurant un :

    • "Bienvenu, Amo mio !"

    Il sourit en me regardant de la tête aux pieds :

    • "Je reconnais que ça méritait bien 2 ans d'attente, pour découvrir la vraie salope que tu es. Mais, penses-tu que tu vas décider pour nous ? Je vois que tu as préparé une table ! Mais, en ma présence : tu dois respecter 2 règles ! Baisser les yeux en permanence et attendre un ordre avant de faire quoi que ce soit !"

    • "Bien, Amo mio, mais vue la température, je pensais vous faire plaisir"

    • "Et tu ne dois jamais te justifier ! Vas dans le hall et porte mes affaires dans la chambre prévue, j'aimerais qu'elle ait un lit à trois places. Tu ouvres le sac marron : sur le dessus, il y a deux pochettes à me rapporter"

    Je me hâte autant que mon ventre me le permet et je reviens très vite.

    A mon grand plaisir mes hommes sont assis : Yves a servi le café, le jus d'orange et a même trouvé dans le bar un plateau plein de viennoiseries.

    Je dépose les pochons devant Javier en baissant les yeux.

    Et je m'écarte d'un mètre de la table, debout, mains croisées dans le dos.

    • "Dans un sac, il y a mes affaires de bain et dans l'autre un cadeau pour Loré !"

    • "C'est gentil d'avoir pensé à elle, elle adore les surprises !"

    • "En lui dictant sa tenue, je l'ai prévenue que je lui apportais un cadeau, putain, tu dis ce que c'est à ton mari ?"

    • "C'est un collier d'esclave personnalisé, que m'offre mon Amo "

    • "Lis à haute voix ce qu'il y a gravé"

    Je sors un collier de cuir avec une plaque gravée que je lis :

    • "Merci, Yves, de me prêter ta pute de femme, j'en rêvais !"

    • "Tu n'as pas à me remercier, c'est grâce aux organisateurs du Congrès et à ton idée !"

    • "Exact, mais votre accord est un vrai cadeau, et ta femme ne quittera pas ce collier pendant ces 2 jours ! Et elle le gardera en souvenir ! Excuse moi de changer de sujet, je dois pisser, c'est où ?"

    Le wc de la pool-house...

    • "Loré va t'accompagner, il y a des wcs dans la pool-house"

    Il se lève et je le précède, nous contournons la cuisine extérieure et arrivons dans les vestiaires. Je lui ouvre la porte des wcs.

    • "Reste avec moi, tu vas sortir ma bite et me la tenir. Les dernières gouttes seront pour ta bouche de pipeuse !"

    En notant au passage qu'il a une bite assez imposante, quand il finit, je fais mine d'égoutter sa bite de ma main en la secouant un peu, mais il me rappelle à l'ordre :

    • "Je ne pense pas t'avoir dit ça, tu vas être punie, tu vas lécher les dernières gouttes et tout remettre en ordre de marche !"

    Je suis furieuse contre moi, une punition stupide, voilà ce que me rapporte ma tentative de ne pas lui nettoyer la bite : je m'agenouille devant lui, et lèche son gland où il reste quelques gouttes, puis je le prends en bouche et le nettoie.

    • "C'est bien, tu es une bonne nettoyeuse de pine, pour ta punition tu remontes ta jupe à la taille et tu enlèves tes boules de geisha. Tu enjambes la cuvette et tu pisses debout en me faisant face, et en me regardant droit dans les yeux, et tu inventes quelque chose de très vicieux à me dire !"

    Quand c'est fini, il me pince le nez en souriant, m'ordonne de remettre mes boules qui s'enfoncent en moi avec un bruit obscène, qui me fait honte, et nous rejoignons Yves.

    • "Cette pute a déjà des tas de choses à te raconter, mais pendant que nous prenons ce bon petit déjeuner, elle va commencer par te dire ce qu'elle porte sur elle, tu vas voir, c'est intéressant !"

    • "Merci, Amo mio, de me donner la parole, voulez-vous que je montre en même temps que je décris ?"

    Il se lève, se met face à moi et m'envoie une paire de gifles qui me fait couiner de douleur.

    • "Je ne te pensais pas aussi conne que vicieuse : je t'ai demandé de dire tout ce que tu as sur toi, et pas de montrer, essaye de mieux comprendre mes ordres connasse !"

    Encore une erreur, et une punition douloureuse alors que l'autre était humiliante. Je me rappelle qu'il ne faut pas que je me justifie, j'évite donc de m'excuser et commence ma description :

    • "Merci, Amo mio pour cette gifle méritée : je porte un tee-shirt que j'ai amputé de 3 cm, car Amo mio désirait que mon nombril soit bien visible, dessous j'ai une armature de soutien-gorge sans tissu pour bien offrir mes nichons, mes tétons sont pincés par 2 pinces verticales. J'ai une ceinture à anneaux. Sous la mini jupe, depuis 9h30 j'ai une grosse aubergine dans le cul et 3 boules de geisha dans le con . Je ne porte pas de culotte. J'ai des bracelets d'esclave. Mes chaussures dévoilent mes pieds nus aux ongles non vernis, et, au cou, je vais porter avec fierté le collier d'esclave pour lequel je remercie Amo mio"

    • "C'est comme ça que je te veux, à présent, raconte à ton mari notre petit voyage aux wcs, et n'en perds pas une goutte !"

    • "J'ai conduit Amo mio aux wcs, je lui ai sorti la bite et je l'ai prise en main pour diriger ses jets. Quand il a fini, j'ai essayé d'égoutter sa bite à la main, ce qui m'a valu une punition. Je me suis donc agenouillée et j'ai léché les gouttes restantes puis mis son gland dans ma bouche pour bien le nettoyer. Comme punition, j'ai relevé ma jupe, enlevé mes boules et pissé debout en lui disant : merci, Amo mio de regarder votre salope d'esclave pisser debout devant vous, vous me flattez. Il s'est rhabillé, j'ai remis les boules en place et nous sommes revenus à cette table"

    • "Très bien raconté, à présent tu m'ennuies, mets ce collier, serre le correctement et vas te coller le ventre contre cet arbre, relève ta jupe pour nous montrer ton cul de putain ! Croise tes mains sur la tête, écarte les cuisses et fais semblant de baiser l'arbre, pousse des petits cris de temps en temps pour faire plus réel, mais interdiction de te branler"

    Le vieux chêne : mon vieil amant !

    • "Yves j'ai vu où étaient les vestiaires, avec ta permission, je vais me mettre en maillot de bains pendant que ta femme se régale !"

    • "J'allais te le proposer, mes maillots y sont, je vais faire comme toi, laissons la pour le moment baiser cet arbre, que penses-tu de ce début de séance ? !"

    • "Très content, elle est parfaite, et je sens l'influence de son école de soumise, grâce à toi, je vais passer un weekend de rêve ! Tu dois te douter que j'ai accumulé un bon nombre de scénarii depuis que j'ai eu votre accord ?"

    J'entends qu'ils se dirigent vers l'arrière de la pool-house.

    • "Je n'en doute pas, je crois que c'est pour ça que Loré t'apprécie, tu es très cérébral et elle l'est aussi !"

    • "Oui, elle est excitante et très tentante !"

    • "La piscine ou Loré ?"

    • "Bel humour, les 2 mon cher Yves !"

    Je n'entends plus rien, mais tout d'un coup : 2 ploufs simultanés. Ils piquent une tête et je les envie. J'aimerais être avec eux ! Je pense qu'ils vont parler de moi, mais je n'entendrai rien ! Je continue à faire semblant de baiser cet arbre et pousse des petits cris de femelle excitée de temps en temps !

    Après un très long moment, je les entends sortir de la piscine, des bruits d'étoffe me font penser qu'ils se sèchent, et des bruits de chaises qu'ils se rasseyent à la table.Yves propose du café, du vin ou du champagne mais Javier se contente d'un café.

    Amo mio entre en scène !

    J'entends des sandales de plage se rapprocher de moi. Mes hommes sont en maillot de bains. Ma position, au début facile, m'a engourdie de partout, j'aimerais bien que Javier me fasse bouger !

    • "Tu sais que la piscine est à bonne température, ma petite pute ? Mais bien sur il aurait fallu t'arracher à ton arbre, tes gémissements de femelle en rut nous ont amusés ! Tu vas baisser ta jupe et te détendre les bras et les jambes. Yves m'a proposé de découvrir votre sex-shop personnel, nous revenons de suite, en attendant ne bouge pas !"

    Jupe baissée, et libre de mes mouvements, je peux détendre tous mes muscles noués. Très vite je récupère toutes mes facultés. Je les suis par la pensée, Yves a du ouvrir notre armoire secrète, et Javier a du être étonné par notre assortiment ! Quelques minutes après, ils reviennent, j'entends des cliquetis de métal, Javier a du faire son choix.

    • "Vous êtes super bien équipés ! Je suppose que ça te sert pour les travaux pratiques de ton école de call-girl esclave sexuelle ! Tu peux nous dire d'où viennent tous ces accessoires tout en  enlevant ta jupe et ton tee-shirt !"

    Je m'exécute et toujours tournée vers l'arbre, j'essaie de résumer l’historique de notre collection.

    • "Amo mio, le début de cette collection vient de mon ex-mari, qui m'a initiée au bdsm avant que je ne rencontre Yves. J'ai gardé une grande curiosité pour ces accessoires et même si Yves est plus voyeur que dominant, j'ai continué à acheter en ligne en période de soldes. Il y a 2 ans, j'ai rencontré Cathy qui est devenue ma Maîtresse et m'a intégrée à son Ecole de Bdsm. Un an après, j'ai commencé les travaux pratiques ce qui a augmenté notre collection : des cadeaux de clients, des recommandations d'achats de Cathy, et Yves me gâtait beaucoup avec de très beaux cadeaux, toujours accompagnés de nouveautés de sex-shop. Voilà l'origine de notre armoire secrète, Amo mio"

    • "Tu es une super conteuse, précise et claire, j'aime beaucoup cette qualité, il est vrai que tu mérites plus le qualificatif de call-girl que celui de pute ! Mais pour ces 2 jours, tu resteras une pute-salope à un tarif plus qu'abordable ! Nous allons te changer de position et avons porté ce qu'il fallait !"

    Ils jettent tout sur la pelouse et, leur choix, large et varié me fait frissonner !

    • "Yves va m'aider, toi tu vas t'adosser à ton arbre chéri, en te collant bien à son écorce de chêne, si je ne me trompe pas !"

    • "Oui c'est en effet un très vieux chêne"

    • "Donc cette pute le connaît bien, tu t'es déjà branlée sur lui ?"

    • "Oui, Amo mio, quand je suis seule et trop excitée et que je n'ai pas envie de me caresser dans le lit, j'aime la rudesse de son écorce !"

    • "Je m'en doutais ! Tu as le dos, la nuque et le cul bien collés sur lui, serre tes cuisses et joins tes pieds. Yves, prends une des longues chaînes, nous allons commencer par le collier : tu récupères un clip à l'arrière de sa ceinture, et nous allons l'empêcher de bouger la tête. Voilà, la chaîne est bien tendue. Tends tes bras vers l'arrière de l'arbre, on va faire pareil avec tes anneaux de poignets"

    La chaîne plus courte me fait mal, car l'écorce rentre dans les chairs de mes bras. Ils se servent de 2 autres anneaux de ma ceinture pour m'enchaîner le ventre et le haut des cuisses : quelques tours autour de mes cuisses, en les plaquant bien l'une contre l'autre. Pour finir ils les attachent derrière l'arbre avec un seul clip.

    Ils font exactement pareil pour les genoux. Je ne peux plus me décoller de l'arbre dont l'écorce me rentre dans les chairs.

    • "Pour les chevilles, un seul clip suffira. Voilà elle est parfaitement bondée comme ça. Plus que deux finitions ! Tu fais de bonnes images Yves ?"

    Comme depuis leur arrivée, Yves filme tout, caméra au poing ou posée sur un support et, de temps en temps, des clichés avec un de ses appareils !

    • "Rassure-toi, depuis notre arrivée, tout est sur les cartes-mémoires des appareils et passe sur tous les écrans de la maison !"

    • "C'est parfait, ça nous fera de bons souvenirs et alimentera son site live de pute française en Amérique !"

    Décidément, Yves a tout raconté à son nouvel ami sans aucune pudeur pour moi !

    • "Donne moi le gode de bouche et les écrase-tétons, on va la finir ! Ces pinces verticales sont trop douces ! On va donc les remplacer ! Mais avant, une précaution pour que cette salope n'alerte pas tous les voisins du quartier !"

    De plus en plus inquiète, Javier m'enfonce un gros gode de bouche jusqu'au fond de la gorge et il l'attache sur ma nuque, malgré le peu d'ampleur qu'il a.

    Il peut s'assurer de suite qu'à part des grognements quasiment inaudibles et de la bave, rien d'autre ne peut sortir de ma bouche.

    Il termine en enlevant mes pinces verticales et les remplace par 2 gros écraseurs de tétons qu'il leste avec beaucoup de vice de poids trop lourds qui font tomber mes nichons vers le bas malgré l'offre-nichons. La douleur est atroce mais je ne peux que baver un peu plus.

    Yves, s'en amuse et ramasse ma salive avec un doigt et me frotte le clito avec. Mes yeux le supplie de continuer, mais il arrête en me pinçant le clito !

    Javier me dit avant de me laisser :

    • "Tu peux essayer de te frotter les cuisses, mais pas d'orgasme, la caméra sur pied sera notre témoin, et si je vois un orgasme, ta punition sera très lourde : aucun orgasme avant mon départ, entendu salope ?"

    Je ne peux même pas approuver de la tête et ils s'éloignent en riant après qu'Yves ait fait un shooting complet de tout mon corps !

    Chic je passe à la télé !

    Mes hommes rentrent dans la maison, j'ai appris par la suite qu'ils ne l'ont pas visitée, mais qu'ils ont préparé soigneusement la séquence suivante.

    Ils ont recouvert de bulgomme notre table de salle à manger qui était en petit format pour 4 personnes. Ils ont passé des chaînes sous la largeur de la table, rajouté un oreiller sur un des grands côtés et après avoir sorti quelques accessoires, il sont revenus me voir : je n'arrête pas de gigoter ce qui fait le bonheur des écraseurs de tétons et de leurs lests en augmentant, à chaque mouvement, la douleur de mes nichons.

    Ce n'est pas la peine de me doigter le con : mes secrétions vaginales coulent en abondance du haut de mes cuisses !

    • "On va se préparer un petit casse-croûte en fouillant dans ta cuisine, ne bouge surtout pas !"

    Bouger ? J'aurais bien voulu, mais saucissonnée comme je le suis, il ne risque rien. Je ne sais pas combien de temps je suis restée attachée au chêne, que je commençais à détester.

    Mes hommes ont trouvé ce qu'ils voulaient dans la cuisine, je sens l'odeur de tapas chaudes, ils se sont donc servis du four !

    Ils rajoutent à l'équipement du nid une télé portable et regardent des clips de mon site américain, surement en zappant pour trouver les plus obscènes !

    Je suis effondrée de honte de savoir qu'ils bandent devant mes images mais que je n'aie droit à rien ! J'aurais du prier pour rester bondée à l'arbre, car ce qui m'attend est bien pire, et plus excitant !

    Je dois quitter mon chêne...

    Yves joue l'émissaire :

    • "Nous allons te changer de lieu, mais je dois te bander les yeux. Rassure-toi, tu vas être libérée de cet arbre !"

    Le bandeau sur les yeux ne me gêne pas du tout, et la nouvelle de ma libération me soulage. Dès que je suis plongée dans le noir, il s'approchent tous les deux :

    • "Je suppose que tu veux savoir pourquoi nous te bandons les yeux : tes clips nous ont tellement fait bander que nous sommes tous les deux à poil avec des pines d'âne ! Comme t'a-dit Yves, ton nouveau lieu de dominée sera plus confortable, moins marquant pour ton dos et, en prime, tu vas avoir droit à ce que tu attends le plus ! Dans un tout autre domaine, bravo pour tes choix culinaires, nous nous sommes régalés, et un repas au champagne ne se refuse jamais !" 

    Serait-une promesse de jouissance ?

    Je l’espère de tout mon coeur et de tout mon corps ; je n'en peux plus.

    Malgré les souffrances que je me suis infligées ligotée à l'arbre, je n'ai pas pu contrôler en permanence mes cuisses qui ont réussi à se frotter l'une contre l'autre et je suis au bord d'un orgasme que je contrôle difficilement.

    Ils me libèrent de mes chaînes, de mes entraves, mais pas de mon bâillon. Je titube en recouvrant ma mobilité, ils m'ôtent les écraseurs, heureusement que je ne peux pas hurler, le retour du sang est atroce !

    Une main douce, que je reconnais, me passe sur les tétons une pommade à laquelle je suis habituée qui atténue rapidement ma douleur. Une autre main m'ôte mon bâillon-gode.

    • "Marche un peu, détends tous tes muscles, fais bien circuler ton sang, dans 5mn tu seras en pleine forme et prête pour la suite qui va te plaire !"

    Ouf ! Une pause...

    Ils me conduisent vers le nid et m'asseyent :

    • "Connaissant bien tes goûts, tu as devant toi une assiette composée et une coupe de champagne, régale toi Amour et prends des forces, nous continuons à regarder tes meilleurs clips sur ton site US. Javier dit de toi que tu es super salope, super bandante et probablement la meilleure pute du Monde, bon appétit !"

    Je pioche au hasard dans l'assiette, et, en effet c'est délicieux !

    Surtout arrosé de l'excellent Champagne Laurent Perrier Rosé que j'ai commandé sur les conseils d'Yves ! Ca fait du bien, bien que mon repas soit sonorisé par des dialogues obscènes et le vacarme de mes jouissances !

    Ce n'est pas ça qui va m’assécher le con !

    Je reconstitue de mémoire ce qu'ils regardent ! Yves a bon goût ! Je suis vraiment une super salope française sur ce clip à plusieurs bites et un seul con !

    Quand j'ai fini, Yves me propose :

    • "A présent que tu es rassasiée, Amour, un bon double expresso tout frais que je viens de te faire, une Royale Menthol et un demi verre de super cognac pour te requinquer ! Ca te convient ?"

    • "Je ne sais pas si je mérite tout ça, mais si Amo mio est d'accord, j'accepte !"

    Je n'ai que le rire de Javier comme réponse et Yves dépose mon café et mon alcool, me glisse une cigarette entre les lèvres et me l'allume !

    Je n'aurais pas le ventre aussi rempli que je me croirais au Paradis !

    Direction la salle à "manger"...

    C'est Javier qui me fait redescendre sur terre !

    • "Yves, je t'attends au salon, viens quand elle sera prête, offre lui une 2ème cigarette, si elle en envie, j'ai des bricoles à préparer !"

    J'accepte avec plaisir la cigarette qui me remet totalement d’aplomb.

    De ne rien voir me fait du bien, je ne suis pas inquiète de la suite, qui, de toutes les manières est écrite ! Donc, je ne peux rien y changer !

    Yves profite de ce que nous sommes seuls pour me demander :

    • "Tout va bien mon Cœur ? Il est à la hauteur ? Pas trop dur ? Tu supportes bien ?"

    • "Oui, en fonction de tout ce que lui a dit sur moi, il est un excellent Maître, il sait alterner les humiliations et la douleur, tout en me privant de jouissances ! Je suis dans un état second tellement j'ai envie de jouir, j'espère de tout coeur que ça va arriver !"

    • "Je ne peux pas te répondre, Amour, je ne sais pas en détail ce qu'a prévu Javier pour toi, mais je vais insister pour qu'il te laisse jouir en arguant que plus tu jouis, plus tu as envie de jouir !"

    • "Oh, je crois que ça il le sait depuis nos sessions !"

    • "J'en suis persuadé, mais le tout c'est de te laisser t'envoyer en l'air une fois, avec un de tes tsunamis redoutables, et ensuite, ça viendra tout seul ! Tu sais bien que le moment où tu excites le plus un homme c'est quand tu jouis comme une furie-furieuse !"

    • "Tu es trop romantique pour faire un bon Maître, mais je t'ai dans la peau et j'ai très envie de ta grosse bite et de boire ton foutre, Amour !"

    • "Patience Amour, ça viendra! Bon, si tu es prête, on le rejoint ?"

    Je me lève sans lui répondre et il me prend par la main pour me conduire au salon où je ne sais pas du tout ce qui m'attend !

    Aïe ! Une préparation minutieuse !

    • "Vous voilà, je finis à l'instant de tout préparer ! Alors petite salope, tu te sens mieux ? Tes bouts de nichons ne te font plus mal "

    • "Oui, Amo mio, je ne sens presque plus de douleur, et cette pause était bénéfique, merci de me l'avoir accordée, Amo mio !"

    • "Tu sais Loré-Putain, quand on regarde tes clips, on a plus envie de te soumettre durement que de te faire des câlins, j'ai rarement vu une femme comme toi, quand tu te soumets, tu ne fais pas semblant ! Et j'ai été très heureux de voir Loré la call-girl de luxe dans ses travaux pratiques ! Ca m'a donné des tas d'idées ! Allez, on reprend ! Yves va t'expliquer ce que tu dois faire"

    • "Nous sommes devant la table de la salle à manger, je vais t'aider à monter dessus dans le sens de la largeur. Ta tête et ton cul ne seront donc pas sur le bulgom qui est là pour que tu ne tâches pas la table et pour que tu sois allongée confortablement, tu as compris ?"

    Je fais oui de la tête et me rapproche de sa voix, il m'aide et quand je suis couchée sur la table, je dois tenir ma tête pour la redresser, mon cul n'est pas sur la table et mes talons touchent le sol.

    • "Cette salope a juste les bonnes mesures, très bien, ça va nous faciliter le travail !"

    Mes hommes se taisent et Javier se contente de dire un mot pour qu'un effet suive. Pour débuter il dit coussin et une main me relève la tête et glisse un coussin sous mes épaules. Puis c'est mains. J'entends un bruit de chaînes et ils me clipsent les poignets en tendant bien la chaîne. Puis c'est ventre et ils m'attachent bien serrée à une chaîne qui comme l'autre doit passer sous la table. Un genou droit les fait passer sur mon côté droit, ils font plusieurs tours de chaîne autour de mon genou et la clipse à une autre chaîne au sol. Le genou gauche succède au droit et ils m'attachent pareil. Une main vérifie que mes genoux ne peuvent pas être plus écartés, mais Javier constate :

    • "Ses genoux sont mal équilibrés, il faut du mou au droit et tendre plus le gauche"

    C'est fait très rapidement et je me retrouve les genoux écartés au maximum, mon intimité offerte sans aucune pudeur !

    • "Je pense qu'il vaut mieux lui enlever ses escarpins"

    Mes souliers défaits me sont ôtés et jetés au sol.

    • "C'est le moment le plus délicat : il faut lui passer chaque pied sous la cuisse correspondante et lui clipser le bracelet de cheville à la chaîne de la cuisse"

    • "Elle est souple, il suffit de trouver le bon maillon pour la clipser"

    Ils commencent par le pied gauche, l'un des deux me lève la cuisse et l'autre plie ma jambe, jusqu'à ce que la cheville touche la chaîne et j'entends le bruit du clip qui se referme.

    • "Tu avais raison Yves, il n'y a plus qu'à faire pareil avec le droit"

    Quand ils ont fini leur préparation, je me fais un résumé : épaules et bassin couchés sur la table, je ne peux pas bouger les bras ni décoller mon ventre.

    Mon cul est en l'air et je ne peux pas fermer mes cuisses, donc mon con et mon anus vont avoir droit à des gros plans obscènes !

    Je comprends que ce bondage compliqué avait besoin d'une bonne préparation.

    A part les articulations des genoux qui supportent mal les pliures, je suis, en effet mieux installée que collée à l'arbre !

    • "Ah zut, j'ai oublié de lui faire retirer son aubergine du cul ! Tu as des gants jetables ?"

    • "Oui dans notre armoire tu as une boîte neuve"

    Peu après je sens une main entrer dans mon trou du cul, se saisir du légume gluant. Mais elle doit s'y reprendre à 3 fois avant d'avoir la bonne prise et, lentement elle me sort l'aubergine du cul.

    • "Tu veux que je t'en débarrasse ?"

    • "Pourquoi ? Elle a un orifice libre qui n'attend que ça !"

    En entendant Javier dire ça, je tremble de tout mon corps, mais il ne s'en préoccupe pas, et l'instant d'après il enfonce ce qu'il peut de l'aubergine dégoûtante dans ma bouche et tapote même dessus pour qu'elle rentre bien !

    • "Quand la nettoyeuse aura fait son job, on pourra la jeter !"

    • "La nettoyeuse ou l'aubergine ?"

    Javier éclate de rire :

    • "Si tu veux jeter la nettoyeuse, fais gaffe je la ramène dans mes bagages ! Allez, on continue ! Je vais enlever ses boules, avec la ficelle qui pend de son con, ce sera facile ! Tu devrais en profiter pour mettre un gant et faire tourner l'aubergine dans sa bouche, il faut qu'elle soit bien propre, et assure toi qu'elle avale bien tout. Elle n'est pas sale, elle a du se faire des lavements du cul pour éviter la merde qu'elle déteste ! A moins de penser qu'elle ne serait pas enculée ! Ce qui m'étonnerait beaucoup !"

    Je sais donc que c'est Yves qui me fait nettoyer le légume en le tournant dans ma bouche. Mais, je l'aurais deviné, il va lentement et est très précautionneux !

    • "Yves, tu es sur qu'elle accepte ce calibre dans son con ?"

    • "Quand tu l'as vu, je t'ai dit que dans l'état où elle est, elle l'accepterait sans problème !"

    Je pense de suite à notre plus gros vibro, un des derniers cadeaux d'Yves : il est télécommandé, a un très gros gland et un corps avec des picots de latex.

    Il offre 3 fonctions avec différentes vitesses : il pistonne le con en changeant de longueur, il racle les parois du vagin en tournant et en grossissant et il vibre en tournant quand il est au fond du con. C'est un outil sans pitié, l'orgasme est inévitable quand il est en route.

    Et, sans être branché, aucune bite humaine ne m'a jamais remplie aussi bien le con, mais Yves sait que je l'accepte volontiers quand je suis très excitée !

    Ce qui semble être le cas !

    Écartée telle que je suis, Javier n'a aucun mal à le lubrifier avec ma mouille, je ne peux éviter un petit cri quand il rentre le gland, je sais qu'après ça ira tout seul et, en effet, il glisse dans ma connasse torrentielle comme une bougie de ménage !

    • "Wouah ! Quelle capacité vaginale, je lui ai tout mis sans aucun problème, cette salope est vraiment un vrai phénomène"

    Ils rient tous les deux de bon coeur, pendant que je joue avec mes muscles vaginaux pour mettre ce monstre dans la bonne position !

    • "Dis-moi, Yves, au passage tu as vu la taille de son trou du cul, l'as-tu déjà vu aussi dilaté ?"

    • "Parfois, quand Cathy l'oblige à porter des godes de différentes tailles au bureau, quand elle rentre à la maison et qu'elle l'enlève c'est un grand plaisir de coulisser dans con cul !"

    • "N'en abusez pas, il faut qu'elle reste étroite du cul, c'est ce qui fait une partie de son charme !"

    La salle à manger change de fonction !

    • "Bon, il nous reste à installer les suceurs de tétons et de clito et à les brancher, et nous pourrons passer à l'étape suivante"

    Ils prennent chacun un téton dans une main et le font bander très vite, le suceur de gauche est posé le 1er et je sens l'air se retirer, sans douleur, je sais qu'il va me maintenir le téton à cette taille, avant de brancher l'aspiration. Celui de droite le rejoint.

    Quand ils arrivent au clito, je ne sais pas qui va s'en occuper, c'est Yves qui le connait le mieux, mais il laisse faire Javier. Il est très adroit, sait ou il est et le fait grossir très rapidement en tapotant dessus et en le pinçant, il le pose sans problème, je suis tellement à point que j'ai failli jouir pendant qu'il me tripotait le clitoris !

    • "Je fais un break, il faut que j'aille aux toilettes, je vais me boire un café et m'en griller une ! Je te laisse faire tes photos, elle est prête !"

    • "Je te rejoins quand je l'aurai bien mitraillée !"

    Yves ne dit pas un mot, mais doit faire une bonne centaine de photos, à part mes orteils coincés sous mes cuisses, je crois qu'il a tout photographié !

    Il rejoint Javier vers le nid et me laisse seule avec mes angoisses, j'ai l'impression qu'il ne vont pas tout brancher d'un coup, mais c'est une simple supposition ! Mais comme je l'ai écrit plus haut, pas la peine d'imaginer mon futur, il est déjà écrit !

    Table à manger ou table à baiser ?

    Quand ils reviennent, je n'ai, bien sur pas bougé

    • "Pas la peine de lui expliquer ce qui va lui arriver, je suppose qu'elle le sait, elle est rusée ! Pour le moment, il faut lui libérer la bouche et jeter cette cochonnerie qui nous a bien servi en lui dilatant le cul !"

    • "Je m'en occupe Javier, ce sera vite fait"

    Une de ses mains gantée retire le légume de ma bouche et il fait remarquer à Javier qu'il est luisant de propreté, tout au moins dans la partie que j'ai pu nettoyer !

    • "Oui, je vois ça, mais je savais déjà que cette pute était une bonne nettoyeuse de pine, alors pourquoi pas d'aubergine !"

    • "Je vais l'emballer dans un sachet et la mettre à la poubelle, je ne tiens pas à ce que quelqu'un tombe là-dessus !"

    Quand ils sont de nouveau tous les deux avec moi, leur attitude m'interpelle :

    • "Pile toi, face moi ? Ca te va ?"

    • "Très bien !"

    C'est apparemment Javier qui lance la pièce en l'air, un claquement de main et :

    • "Ah c'est toi qui commence, Yves, de toutes les manières même avec le bandeau elle t'aurait reconnu !"

    Yves rit :

    • "Oui tu as raison ! Mais dis-moi, Javier, j'ai une idée qui pourrait tout changer : c'est dommage de laisser un trou du cul aussi dilaté, vide, tu ne pourrais pas l'enculer pendant qu'elle me pompe ?"

    • "Exact je n'y avais pas pensé ! Serais-tu devenu cérébral tout d'un coup, cher Yves ? C'est une excellente idée que nous allons mettre en pratique de suite, n'oublie pas de t'occuper du chrono ! 15mn dans chaque trou de cette putain qui nous ouvre si gentiment ses cuisses et sa bouche de pipeuse !

    • "Yves, le nouveau cérébral a même une autre idée ! Je vais aller chercher le minuteur de cuisine, comme ça nous serons surs de nous !" 

    • "Tu devrais arrêter d'avoir des idées, sinon je ne vais plus servir à rien !"

    J'entend Yves rire et revenir en remontant et en réglant ma tomate-minuteur !

    Voilà donc mon avenir pour la demi-heure qui vient ! J'en pompe un pendant que l'autre m'encule, mais aucun des deux n'a parlé de brancher les automates, je suis contente car j'avais vu juste !

    • "Désolé, Amour, mais tu vas pomper la tête à l'envers, je t'enlève le coussin"

    Ma tête tombe de suite en arrière alors qu'Yves qui bande en effet comme un âne me remplit la bouche de son chibre, il me soulage un peu la tête en me la tenant et en m'aidant à faire mes allers et retours avec ma bouche.

    Javier s'installe entre mes cuisses :

    • "C'est génial, Yves, pour le con elle aurait été trop haute, mais pour lui défoncer le cul elle est juste à la bonne hauteur !"

    Le silence se fait, rapidement rempli par mes bruits de succion de la bite d'Yves que je n'ai quasiment jamais eu dans la bouche aussi grosse et aussi dure.

    Peu à peu, le temps que je mouille un peu du cul, pour compléter la vaseline restante, la bite de Javier commence elle aussi à faire des bruits obscènes alors qu'il sort sa queue entièrement de mon trou du cul pour la replanter d'un coup sec jusque dans mes intestins.

    • "Putain pipeuse et enculée, ne jouis pas, ton tour viendra !"

    Je ne sais pas si je tiendrai 1/2h avec ces 2 grosses bites en moi, je constate que celle de Javier est un peu plus grosse que celle de mon Chéri ! Mais, pour le moment elles me régalent toutes les 2 !

    Je sens avec plaisir qu'Yves se retient de jouir en sortant sa pine de ma bouche pour se calmer ! Et, je souris intérieurement, car Javier met de plus en plus de temps à replonger dans mon fion !

    La sonnerie du minuteur me sauve !

    Ils se retirent de mon corps et, disparaissent quelques minutes, visiblement, pour se rafraîchir les queues, car ils doivent être au bord de la jouissance !

    Quant à moi, je me suis calmée et je suis prête pour la 2ème manche !

    Ils reviennent et c'est Yves qui s'enfonce dans mon cul avec un grognement de plaisir que je connais bien, alors que Javier rentre tout ce qu'il peut dans ma bouche et j'ai le plaisir de constater qu'il suit l'exemple d'Yves en me soulageant la tête et en m'aidant à le pomper !

    Je fais la garce et joue de mes muscles du sphincter et du serrage de mes lèvres pour leur compliquer la tâche, mais ils résistent avec des pauses de plus en plus longues.

    Mais, est-ce la fierté de ne pas jouir le 1er ou pour prouver qui est le plus endurant ?

    Ils arrivent à se retenir d'éjaculer et le minuteur les libère !

    • "Pffff pas facile ! J'ai eu du mal à me retenir !"

    • "A qui le dis-tu ! J'ai mal aux couilles, et en plus cette salope a joué de ses muscles intimes !"

    • "On en grille une en prenant l'air ? Ca nous calmera !"

    Yves approuve et ils vont faire un tour pour fumer et s'apaiser !

    Je suis très fière, car c'est moi qui les tiens pas les couilles, les Maîtres ne sont pas ceux auxquels on pense toujours dans le bdsm !

    La recette du tsunami auvergnat !

    Javier revient le 1er et m'annonce la bonne nouvelle :

    • "Nous allons jouir tous les 3 ensembles, et je dis bien jouir et non essayer de jouir ! Mais, Yves a une petite question très intime à te poser, je compte sur toi pour ne pas mentir !"

    • "Putain-Loré, durant tes expériences, as-tu déjà été enculée par 2 bites ?"

    • "Non, Amour, un seul essai, ça n'est pas rentré car j'étais trop étroite et la position n'était pas la bonne !"

    • "Sans parler de la position dont nous sommes surs, à cet instant : après des heures de dilatation, penses-tu être suffisamment dilatée ?"

    • "Je n'en ai aucune idée, vous avez 2 grosses bites, il faudra probablement me vaseliner avant !"

    • "Bien vaselinée, ça va entrer, crois moi ! Et tu seras enculée et ton trou à merde sera pilonné par nos 2 grosses pines. Ce que mérite une salope aussi vicieuse que toi. Mais en échange de ce plaisir que nous t'offrons, nous attendons de toi que tu jouisses très clairement du cul et c'est à ce moment là, que nous viderons nos couilles dans tes intestins !"

    • "En fait notre défi de mâles était de te niquer la bouche et le cul 30mn sans jouir, nous l'avons réussi malgré ton vice et tes muscles secrets, mais, à présent 2 défis t'attendent, tu connais le premier, quand tu auras notre foutre dans le cul, nous te révélerons le 2ème !"

    • "Je sais que ça va me valoir une punition, mais je l'accepterai de bon coeur, tout en la redoutant ! Vous avez préparé très soigneusement mes tétons, mon clito et mon con, mais vous n'avez mis en route aucun appareil, je suis peut être aussi conne que vicieuse, mais je connais déjà mon 2ème défi. Rassurez-vous, nous gagnerons le 1er haut la main, j'en ai trop envie, mais attention aux voisins !"

    • "J'avoue Yves que je n'ai pas le courage de lui infliger une punition pour ce discours ! Ta femme est vraiment très intelligente, nous verrons après, ma décision te convient ?"

    • "Elle est parfaite, mais avec les minutes qui passent sa dilatation anale va s'atténuer, on devrait commencer !"

    • "Amo mio, je n'ai jamais pensé, même dans mes fantasmes inracontables que je jouirai du cul avec vos grosses pines en moi, c'est un défi infaisable, mais je suis tellement excitée que je vais vous aider à le réussir, car, je sais, Amo mio que vous imaginez des défis impossibles, mais que vous les réussissez toujours !"

    • "Bon assez de bla-bla-bla ! Yves, peux-tu aller chercher de la vaseline s'il te plait ?"

    Il revient de la salle de bains avec un gros tube neuf.

    Mon cul étant ouvert à tout vents, il en injecte une grosse quantité dans mon sphincter et revient de l'armoire avec un martinet dont il me rentre le manche dans le cul.

    Il remue longuement pour bien enfoncer la vaseline et en badigeonner les parois, quand il a fini, il en met giclée sur mon anus et avec une main gantée, il lubrifie avec soin mon anneau.

    Javier le regarde faire sans rien dire.

    • "Voilà elle est pleine de vaseline, on peut y aller, mais par précaution, Javier mets lui un bâillon boule, pas trop serré, si elle y arrive, elle va hurler comme une démente !"

    Il revient avec le bâillon qu'il fixe sur ma nuque sans trop le serrer.

    Yves remet le coussin sous mes épaules, pour me soulager, mais aussi pour mieux voir, et avec l'accord de Javier, il m'enlève mon bandeau. Je vois mes hommes à poil bites au nombril se glisser dans le compas de mes cuisses, ils prennent leurs bites en main et s'enduisent le gland de la vaseline de mon anus.

    Ils collent leurs bites l'une contre l'autre et poussent ensembles.

    Mais, ils sont obligés de ressortir, car mon anus les refuse.

    Je dilate au maximum mes muscles pour les aider et je force comme si je voulais chier, c'est tout ce que je peux faire pour eux.

    A la 2ème tentative, le gland de Javier entre mais Yves est obligé de maltraiter sa bite pour réussir, enfin, à entrer le sien.

    J'ai eu très mal, j'espère qu'avec les glands dans mon cul, le reste va entrer tout seul !

    Mais malgré la 1/2 tonne de vaseline que j'ai dans le cul, ils doivent forcer et c'est cm après cm que leurs bites s'enfoncent en moi, je n'ai jamais eu le cul dilaté comme ça, j'ai l'impression désagréable d'accoucher de Jean par l'anus !

    Mon tsunami, mieux que Vulcania !

    C'est avec un soupir de soulagement que je sens les bites dures glisser dans mon fourreau tiède, humide et bourré de vaseline.

    Quand je sens leurs couilles battre mon cul, je soupire aussi de soulagement :

    • "Je vous en prie restez un peu au fond de moi sans bouger !"

    Ils s'exécutent, ce qui me permet d'évacuer la douleur et de reprendre mon souffle.
    J'espère qu'avec autant de vaseline 
    je n'ai pas été déchirée.

    Mais, maintenant une question grave se pose : est-ce que mes hommes vont pouvoir me limer le cul ?

    Et visiblement Javier a du se poser la même question !

    • "Je pense qu'au début, il faut que chacun fasse l'inverse de l'autre, je m'explique : tu sors la moitié de ta queue, pendant que je reste au fond, tu t'enfonces lentement et je retire la moitié de mon sexe, et ainsi de suite, petit à petit ça devrait coulisser comme il faut ! Je pense qu'elle ne pourra jouir du cul que si nous la pilonnons réellement avec nos 2 bites, comme s'il y n'a en avait qu'une seule énorme !"

    • "On fait comme ça, mais c'est une 1ère pour moi !"

    • "Et tu penses, que je fais ça tous les soirs ? Gros malin, moi aussi c'est une 1ère !"

    Nous rions tous les 3, ce qui détend un peu l'ambiance !

    Ils mettent leur plan en application, je sens une bite calée dans mes intestins et l'autre remonter doucement !

    Je suis incapable de dire qui est au fond et qui remonte !

    En se chargeant de la vaseline des parois de mon sphincter, les bites glissent mieux et coulissent plus rapidement en moi.

    Je relâche totalement mes muscles vaginaux et fessiers et d'un seul coup tout devient irréel, je sens deux bites au fond de moi qui se retirent de plus en plus et reviennent comme des têtes de bélier me faisant gémir de plaisir.

    Je sais à partir de ce moment précis que je vais jouir du cul !

    Des mains j'explique que je ne veux plus du bâillon boule. Javier est le premier à comprendre et me l'ôte sans arrêter de me limer.

    D'une voix à peine audible je murmure :

    • "Si je crie trop fort, utilisez l'oreiller !"

    Ils approuvent, eux aussi savent que c'est gagné, et le vrai enculage à deux têtes commence

    Je suis de plus en plus chaude, surexcitée et je sens même pour la 1ère fois mon anus se lubrifier et s'ajouter à la vaseline.
    Mais j'ai aussi un monstre qui se crée à l'intérieur de tout mon corps :

    • "Attention, préparez-vous je ne veux pas jouir seule !"

    C'est la dernière phrase que je peux susurrer !

    Quelques secondes plus tard, le monstre explose dans mon corps et je jouis comme un animal-fou, ils me plaquent le coussin sur ma bouche, sans arrêter de me pilonner le cul.

    Mon orgasme est tellement long qu'ils éjaculent tous les deux à la suite, et, que, pour la 1ère fois de ma vie, je sens leurs jets de foutre dans mon cul qui est tellement bouillant que le foutre tiède, me semble glacé ! Tout mon corps tremble comme si j'avais une crise d'épilepsie.

    Yves sort de mon anus et remet le coussin sous mes épaules, ma tête tombe lourdement dessus et je ne me sens pas partir, ma tête tombe sur le côté et visiblement je n'ai plus de souffle. Et semble ne plus pouvoir respirer !

    Quand j'émerge, ils sont près de moi, un avec un verre d'eau et l'autre avec un gant mouillé, je ne sais pas si je me suis réellement évanouie, mais il est sur que durant quelques secondes, je volais, je ne sais où mais plus du tout sur terre !

    • "Oh, Amour c'est la 1ère fois que je jouis comme ça"

    • "Ne dis rien, repose toi, tu t'es évanouie quelques secondes, inspire et respire profondément, fais ce que je fais !"

    Je l'imite comme un animal docile, pendant que Javier revient de la cuisine avec de l'eau plus fraîche dont il me badigeonne la figure avec tendresse !

    Peu à peu je recouvre tous mes esprits, mon coeur n'a pas du accepter une telle montée d'adrénaline ! 

    Javier s'est installé devant l'ordinateur du salon et nous dit :

    • "Ecoutez ça mes amis : Wikipédia vous répond : l'orgasme détend grâce au cocktail d'hormones produites par le cerveau : la dopamine qui contribue à avoir de nouveau envie de jouir, l'endorphine, la sérotonine, l'ocytocine, c'est un véritable shoot de bien être qui a envahi Loré et l'a fait planer ! J'ai beau avoir 8 ans d'études de pharmacien, mais personne ne m'avait expliqué ça aussi clairement !"

    Nous rions tous les 3, la fausse plaisanterie est en effet très drôle !

    • "Moi je n'ai pas eu besoin de tout ça, 2 belles bites dans mon cul me suffisent ! Mais je dois être pleine de dopamine, car je ne suis pas rassasiée ! Ou, je suis encore plus salope que nous ne le pensions tous !"

    • "Café, cigarette et on continue ?"

    • "Oh que oui, je sais ce qui m'attends, et j'ai hâte d'y être ! En plus je ne peux pas laisser un défi de mon Amo inachevé !"

    Oh qu'on est bien au Paradis !

    • "Loré, tu es vraiment exceptionnelle, je ne sais pas comment le Bon Dieu a pu créer une femme comme toi !"

    • "Amo mio, probablement le lundi après son jour de repos, il n'a eu que vous deux et moi à créer, il a eu le temps de fignoler un grand Maître, un Mari adoré et une salope comme moi !"

    Yves revient avec du café frais qu'il m'aide à boire, car, je suis toujours attachée sur ma table à jouir !

    Il m'aide à fumer et quand il est sur que je suis en pleine forme :

    • "Je pense qu'on peut reprendre !"

    • "Oui je me sens très bien et mon jus va finir par traverser le bulgom !"

    • "Tu vas t'envoyer en l'air comme jamais, ma grande salope !"

    • "Je suis prête, Amo mio, et je crève d'envie de jouir, mais réglez le minuteur sur 5mn, je veux m'envoyer en l'air et enchaîner mes orgasmes pour jouir toute la semaine qui vient sans m'arrêter !"

    • "Allez en route pour le Paradis belle salope assoiffée de jouissances ! Mais après tu nous pomperas tous les deux en même temps !"

    • "Je ferai tout ce que vous voudrez, après, Amo mio, mais amenez moi vite après !"

    Il s'approche d'un guéridon où il a rangé ses télécommandes. Il enclenche un appareil et je sens de suite mon clitoris gonfler.

    • "Oh oui, Amo mio, c'est super ! Mon clito n'en pouvait plus d'attendre !"

    On dirait qu'il suit la progression de mon plaisir sur mon visage, car il augmente la vitesse par petits crans, et à chaque fois je lui réponds avec un petit cri de plaisir. La tête rehaussée, je vois très bien mon clitoris se gonfler de sang et remplir tout le récipient de la pompe qui le suce et le branle.

    Je tortille du cul, mords mon oreiller, et quand il règle la vitesse sur son maximum, je ne peux plus me retenir, et en quelques minutes de ce régime insupportable, je jouis.

    Mais Yves a tout prévu et il me bâillonne la bouche avec sa main pour ne pas effrayer les voisins.

    Il me semble que cet orgasme est aussi long que celui du cul !

    Alors que j'entends Yves conseiller à Javier

    • "Enchaîne sur un autre, elle est en ébullition ! C'est la salope-furie que je t'avais promis !"

    Alors que Javier diminue prudemment les succions du clito, je sens mes tétons sollicités,

    Javier démarre les 2 pompes d'un coup, et vicieusement, comme il sait que je suis très sensible des bouts de mamelles, il augmente la vitesse de succion plus rapidement que celle du clito, je peux voir mes bouts de nichons doubler et tripler de volume.

    Ils me font mal, mais quand il branche les suceuses au maximum, j'oublie ma douleur et ne me consacre qu'à l'orgasme qui monte en moi. Mes bouts me font tellement mal que je jouis en hurlant, dans un mélange de douleur et de plaisir incroyable !

    Du côté des tétons, Javier calme le jeu, mais je sens le vibro se mettre en route, il est dans un con idéalement préparé, je ruisselle sur mes cuisses et sur le bulgom !

    Il commence son cycle sagement mais se déchaîne peu à peu, pour me pilonner de plus en plus vite le con jusqu'au col de l'utérus,

    Javier joue avec moi comme avec une play-station, et varie sans cesse les modes et les vitesses jusqu'à ce qu'il sente que je n'en peux plus.

    Il pousse le pilonnage à sa vitesse maximale et cette bite automatique me tamponne le con tellement fort que je jouis dans la douleur avec un plaisir extrême, tout en ayant la force de le supplier :

    • "Amo mio, je vous en supplie, ne le coupez pas, je vais jouir une deuxième fois avec cette fabuleuse bite mécanique que seule une salope comme moi peut redemander !"

    Il sourit et recommence mais en laissant une vitesse moyenne constante et en variant les modes, mon corps réagit à chaque changement et je ne mets que quelques minutes pour m'envoyer en l'air une fois de plus, mais ce coup ci je fais attention de ne pas trop crier pour éviter à Yves de me bâillonner de sa main ou avec le coussin !

    Je récupère rapidement en soufflant comme un bœuf de trait !

    • "Amo mio, puis-je vous parler ?"

    • J-"Vas-y nous t'écoutons !"

    • "Amo mio, je veux vous remercier pour ces fabuleux orgasmes, et je désirerais que vous mettiez tous les programmes sur une vitesse moyenne et que vous veniez tous les 2 vers ma tête, pour profiter de ma bouche de pute grand ouverte prête à recevoir et à avaler vos foutres que j'aime tant ! Amo mio, laissez une pute vous faire plaisir en remerciement du plaisir que vous lui avez donné !"

    Sa réponse est de tout brancher sur la vitesse moyenne et de venir vers ma tête pendante, accompagnée par Yves. Qui est le premier à me prendre par les cheveux avant que Javier ne l'imite.

    Pendant que mon corps vibre de partout, que mes bouts de nichons, mon clito et mon vagin sont triturés, pompés, branlés et ravagés, je les suce séparément puis les 2 bites à la fois en me faisant mal aux commissures des lèvres.

    Javier me prend les cheveux et use de ma bouche comme d'un vagin, Yves l'imite dès que Javier lui rend les cheveux, je me sens une chose, mais une chose utile qui donne du plaisir à ses hommes :

    • "Oooooh, si nous pouvions jouir les 3 ensembles ce serait fantastique"

    • "On peut y arriver, donne nous simplement le feu vert !"

    Et peu de temps après, je leur annonce :

    • "Je n'en peux plus !"

    Et juste, avant que je ne jouisse, les 1ers jets d'Yves frappent le fond de ma gorge et, sans que je n'ai le temps de tout avaler, Javier le suit.

    Ma bouche, trop pleine de foutre, laisse échapper un petit flot qui coule sur mon menton et sur mes nichons. Je jouis la bouche pleine de sperme, sans pouvoir crier mais en déglutissant avec un immense plaisir, comme la salope que je suis avide de son jus préféré : le foutre de mes hommes !

    Une nouvelle pause "s'impause"...

    • "Ma cochonne, tu as 30mn de repos : tu en as bien besoin après ce festival de jouissances ! Tu peux te mettre totalement à poil, boire, te restaurer, fumer, prendre un bain et faire une micro-sieste ! Retrouve nous à la piscine, toute nue, à 18h"

    • "Merci, Amo mio, je vais bien en profiter, à plus tard !"

    Mes hommes s'installent dans le nid.

    Je ne saurai que plus tard ce qu'ils ont fait et dit !

    • "Je suis tout de même étonné par Loré, Yves, c'est une femme vraiment à part ! Elle ne donne jamais l'impression de jouer un rôle, elle prend les événements au fur et à mesure et s'y adapte comme un vrai caméléon, c'est assez fabuleux, tu as beaucoup de chance !" 

    • "Je me le répète tous les jours et j'ai conscience du bonheur qu'elle m'offre, mais je suis surtout très fier qu'elle gère sans aucun problème toutes ses vies, de la maman la plus attentionnée à la plus salope des soumises avec nous ou des inconnus !"

    • "Tu fais bien de parler d'inconnus, j'ai cherché des sites de speed-dating outdoor et j'en ai trouvé un près d'Issoire où les rencontres libertines rapides sont courantes"

    • "Oui, je dois avoir le même qui me semble correspondre parfaitement à ta recherche C'est à 5mn d'ici. Dans la forêt d'Auzon et en fouillant plus, je l'ai retrouvé sur un site de sexe : Auzon la forêt chaude : forêt dense, très accessible, peu fréquentée, idéale pour des rencontres coquines, repérage par coordonnées GPS, excellente fréquentation !"

    • "On peut l'essayer, ça me semble parfait, tu es toujours d'accord pour la prêter à des inconnus ?"

    • "Oui elle est addict de ce genre de rencontres, Cathy ne lui présente que des clients inconnus qu'elle ne revoit jamais !"

    • "Robe du soir courte et très Je suis décolletée, talons hauts, pieds nus et aucun sous-vêtements, ça te semble correct?"

    • "Oui, très bien, et pour le timing ?"

    • "Pendant qu'elle se refait toute neuve, nous rédigeons son annonce de propositions et la mettons en ligne. Puisque c'est à côté, on peut y être à 18h15 et consacrer 2h à ces jeux. Donc retour ici vers 20h20. On se change et je vous invite au resto, j'ai réservé pour 21h à La Criée à Aubière, vous connaissez ?"

    • "Oui, c'est le meilleur restaurant de fruits de mer d'Auvergne. Nous y allons au moins une fois par mois et nous y sommes très connus !"

    • "Quelle incroyable coïncidence !"

    • "Pas autant que ça : nous utilisons tous le Web et, souvent les mêmes moteurs de recherche ! Tu devrais les rappeler pour mettre ta résa au nom de Loré, Yves et Javier ! Tu auras une belle table ronde et une coupe de champagne offerte par la maison ! Prends aussi une petite marge et rectifie ta résa pour 21h15. Il faut une vingtaine de minutes pour y aller ! Je vais faire du café frais, le numéro de La Criée est dans notre répertoire à l'entrée Restos La"

    Yves va dans la cuisine pendant que Javier appelle de la piscine. Il revient avec 2 doubles expressos tout frais en disant à Javier que le mien m'attend !

    Nous faisons plusieurs brouillons de notre annonce en suivant les indications du site.
    Mais 
    les durées et le nombre de prestations leur posent des problèmes, et c'est finalement, avec un calculette qu'ils finalisent l'annonce !

    Bourgeoise de 34 ans, dévergondée et non professionnelle vous propose gratuitement pour ce soir. Pour 4 d'entre vous : de vous pomper nue dans l'herbe, en avalant. Pour 2 fétichistes, de lécher et de sucer ses pieds et/ou ses chaussures et de vous branler sur eux. Pour 3 couples (hommes ou mixtes) de vous branler et de vous sucer tous les deux, nue, en avalant. Et pour seulement 2 hommes bien membrés de vous offrir son cul nu, le reste du corps dans l'auto, pour l'enculer et jouir dans son cul ou sur sa raie. Et pour 4 non sélectionnés qu'elle choisira : une branlette complète, nue, dehors, avec le droit de la peloter. Les prestations sont minutées et les coordonnées GPS seront mises en ligne en arrivant dans la Forêt d'Auzon.

    • "Ca me semble excellent, mais tu es sur que ça tient dans les 2h"

    • "En principe oui, mais nous allons vérifier, car il faudra prévenir Loré de la durée de chaque passe : pour les pipes-solo, on peut compter 8mn, donc 32, pour les pieds, 10mn, donc 20, pour les double-pipes, 10mn donc 30 et pour l'enculage, 15mn soit 30, ce qui nous donne 112mn, donc en dessous des 2h , ça colle, même avec 8mn de marge !"

    • "Oui, pour un lent à jouir ! Je prépare un mémo pour Loré, et tu mets en ligne,ok ?"

    • "Je m'envoie le texte sur mon mail et tu as du papier dans notre bureau, 3ème porte à gauche après le salon"

    Quelques minutes avant 18h, ils se retrouvent :

    • "Je lui ai rajouté : 2 klaxons à -30' et 1 à la fin du temps"

    • "Tu es bien le cerveau ici ! Je n'y avais pas pensé, je prendrai mon chrono, avant qu'elle n'arrive, je vais mettre sur la plage arrière de l'Audi, 2 Vichy fraîches dans des sacs isothermes, des Kleenex, du Sopalin, des lingettes rafraîchissantes, des lingettes intimes et une grande serviette pour le retour, sinon elle va en mettre partout sur la banquette !"

    • "Tu nous ramènes 3 coupettes de champagne, s'il te plaît ? Je t'attends ici, je vais m'en griller une ! Dans 5mn, elle sera là"

    Je les rejoins à 18h, nue comme un ver, avec un grand sourire et fraîche comme une rose du matin !

    • "Tu peux t'asseoir, nous partons dans 10mn. Yves va te porter un double expresso frais, une coupe de champagne et tu as tes Royale Menthol devant toi ! Tu es toute belle et toute reposée, c'est super Putain-Loré ! Pour la suite, tu vas enfiler une robe du soir foncée, légère, très décolletée et qui t'arrive juste au dessus des genoux, tu compléteras par des beaux escarpins de cuir, pieds nus avec, si possible des petits bracelets qui les retiennent à tes chevilles, et aucun sous-vêtements, et bien sur ton collier d'esclave. A part les sous-vêtements, tu as tout ? "

    Je souris de l'humour de mon Amo !

    • "Oui, Amo mio, j'ai une robe du soir courte, bleue marine, très sexy avec des escarpins assortis"

    Yves arrive avec un plateau : 3 coupes de champagne et mon expresso, je l'embrasse en me levant :

    • "Tu es un Amour, je reviens de suite, je veux montrer ma robe du soir marine à mon Amo pour savoir si elle lui convient, je suis là dans 2mn !"

    • "On ne part que dans 10mn, ne te presse pas !"

    Peu de temps après, je reviens vers le nid, ils se contentent de siffler comme des ados en voyant la belle bourgeoise sexy que je suis devenue !

    • "J'ai ma réponse, merci Amo mio"

    J'allume une dernière cigarette, et déguste mon café, juste bon à boire et l'arrose de champagne bien frappé !

    J'écrase ma cigarette et Yves nous dit :

    • "Je ne sais pas où c'est, et je me méfie du GPS, il vaut mieux y aller !'

    En route, mais pour où ?

    Yves m'ouvre la portière arrière et nous démarrons.

    La voix du GPS nous guide.

    Nous prenons la direction d'Auzat puis une petite départementale.

    Des flèches touristiques indiquent Forêt sectionale d'Auzon.

    Je réfléchis, moi j'aurais mis 2 "n" à sectionale !

    • "Pendant qu'Yves conduit, je vais te donner quelques indications : nous allons dans Auzon la forêt chaude. Yves m'a expliqué qu'il y a beaucoup de sites en Auvergne où les couples bourgeois viennent pimenter leur libido par de l'échangisme ou de l'exhibitionnisme. Celui d'Auzon a été mis en ligne en mai 2017, donc il est tout récent. Sa particularité est que les propositions sont mises en ligne, les tiennes le sont depuis 17h30 et elles sont confirmées par les coordonnées GPS où l'ont peut nous retrouver. Nous les mettrons en ligne quand Yves aura trouvé le meilleur endroit, et il nous suffira d'attendre le chaland !"

    • "C'est comme le bois noir à côté de Vichy où Cathy m'emmène de temps à autre, Amo mio, vous me parlez de propositions que j'ai faites, puis-je en savoir plus ?"

    Pour toute réponse, Yves me passe par dessus sa tête un mémo, en me disant :

    • "C'est Javier qui l'a rédigé, tu l'apprends par coeur Pour le timing : 30' avant la fin 2 coups de klaxon et quand le temps de ta passe sera écoulé : 1 seul"

    Je vais donc faire la pute dans une forêt libertine ! Il y a pire !

    Je m'enfonce dans le coussin moelleux de la banquette et lis le mémo.

    • "Yves et moi sélectionnons les candidats. Ton offre contient 4 propositions. La simple-pipe, nue, dehors, à genoux, mains autorisées > 8mn. Les pieds chaussés, nue, couchée dans l'auto, jambes sorties par la fenêtre, pour fétichistes > 8mn. La double-pipe, identique à la simple-pipe, mais les femmes sont acceptées > 10mn. L'enculage, nue, moitié du corps sorti par la fenêtre > 15mn. Et une consolation pour les non sélectionnés, que tu choisiras toi même : nue, dehors, debout, tu les branles et tu les fais jouir, ils sont autorisés à te peloter > 5mn. Amuse toi bien !"

    Je connais les durées, mais j'ignore combien de prestations je vais offrir, car je suppose que tout ça est gratuit ! Mais on verra bien !

    • "Un commentaire Putain-Loré ?"

    • "Aucun, Amo mio, je vais faire en sorte que vous soyez fier de moi"

    Auzon, la Forêt "Chaude" !

    Le GPS nous conduit jusqu'à l'entrée du chemin qui mène dans la Forêt sectionale d'Auzon.

    Yves s'engage sur un petit chemin forestier, et très vite nous voyons des toits de voitures dépasser des fourrés.

    Il s'enfonce au coeur de la forêt qui n'est en fait pas très grande et repère un bon emplacement, abrité par des grands arbres, relativement discret, avec un petit chemin d'accès à une mini clairière.

    Des branches frottent la carrosserie pour accéder à cet espace dégagé qu'il s'arrange pour avoir devant l'auto en se garant en marche arrière.

    • "Bon choix Yves, je pense que les chalands n'oseront pas prendre ce petit chemin d'accès, j'irai donc les chercher et je les ramènerai à pied, c'est parfait, comme ça Putain-Loré pourra bosser tranquillement !"

    • "A moins qu'ils n'aient une peinture métallisée signée Audi ! Merci Javier, je te dicte les coordonnées et tu les rentres sur le site. Si j'en crois ce que tu viens de dire, tu viens de distribuer les rôles ! Tu te charges de sélectionner les candidats et de leur demander quelle prestation ils désirent ou plus tard, quelles prestations il leur reste, et tu viens avec eux en te fiant à mes coups de klaxon ?"

    • "C'est agréable de parler avec des gens intelligents ! Je n'ai rien à rajouter, il nous reste à guetter les voitures et à aller au devant d'elles, Putain-Loré, dès que tu vois un toit de voiture, tu peux te mettre à poil, mais garde tes escarpins"

    • "Tu as sur la plage arrière 2 bouteilles de Vichy frais dans 2 sacs isothermes, 2 boîtes de Kleenex, 1 rouleau de Sopalin, 2 boîtes de lingette pour bébé,1 boîte de lingettes intimes et une grande serviette pour t'envelopper au retour. Si quelque chose cloche, crie papillon et nous interviendrons. Nous interdirons les photos et les films mais, ma caméra filmera toutes tes passes en plan large"

    Une 1ère voiture approche et se gare, à l'intersection du chemin, Javier va au devant d'elle, j'en profite pour enlever ma robe et la range soigneusement sur la plage arrière.

    On le voit discuter et revenir avec un homme d'âge mur.

    Yves m'a ouvert la fenêtre arrière droite et Javier me dit :

    • "Monsieur a envie de ton cul, vous avez 15mn, régalez vous bien !"

    Je souris en moi même, j'en étais sure !

    Je m'agenouille dos contre la portière et après quelques mouvements de gym, je sors la moitié de mon corps, et j'ouvre le plus largement possible mes cuisses.

    J'entends l'homme demander si je suis bien propre et s'il peut sucer mon anus pour m'humidifier,

    Javier lui répond oui alors qu'une 2ème voiture arrive.

    L'homme s'agenouille devant mon cul et me fait un annilingus très salivé et très honorable, quand il pense que je suis prête, il se relève et sort sa bite, il m'encule avec respect, son gland passe bien et le reste de sa pine entre en moi.

    Il me prend par les hanches et commence à me pistonner le cul, je lui réponds en avançant mon cul vers sa bite pour mieux m'enfoncer sa bite dans le cul et lui faire sentir que j'aime ce qu'il me fait !

    Il est surpris mais semble apprécier, et il augmente la vitesse de ses allers et retours et, d'un seul coup, il se bloque au fond de mon fion en grognant ! Je suppose qu'il se vide les couilles, mais je n'ai rien senti !

    Il sort de mon cul, après un peu de gym, je lui tends des kleenex, il me remercie, se rhabille et s'en va !

    Je suis en train de me laver le cul avec des lingettes quand Yves me dit :

    • "Eh bien, Loré si tous tes clients font comme lui, nous serons en avance au resto !"

    • Ah nous avons droit au resto, et où as-tu réservé ?"

    • "C'est Javier qui a réservé depuis Valencia, je te laisse deviner où, mais tu seras enchantée !"

    • "Ne me dis pas que de Valencia il a réservé à La Criée ? Tu triches tu l'as aidé !"

    • "Je te jure sur notre amour que non, je lui ai même dit de rectifier sa résa et de la mettre à nos 3 noms ! Allez, le 2ème arrive ! Bosse bien petite pute adorée !"

    Javier revient avec un autre homme :

    • "Sors de l'auto, salope, Monsieur veut voir tes pieds !"

    Je sors, nue et m'appuie à la carrosserie je lui montre mes pieds sous toutes les coutures. Il semble les apprécier !

    Il fait oui à Javier et je sais ce qu'il me reste à faire, je remonte dans l'auto, pose mes fesses à l’intérieur et sors mes jambes et mes pieds.

    L'homme se régale tout en étant très méthodique, langue sur mes semellespetites pipes à mes talons, léchage des lanières de mes escarpins, puis il m'enlève délicatement mes escarpins tout en sortant sa bite et attaque le léchage de chacun de mes orteils, de mon talon et de mes plantes de pieds.

    Il s'agenouille pour prendre dans sa bouche tous les orteils qu'il peut, il les mâchouille doucement, les suce et les couvre de sa salive.

    Il est de plus en plus excité, et finit par se relever, il joint mes 2 pieds dans sa main gauche et de la droite il se masturbe à quelques centimètres d'eux, très vite je sens ses jets sur mes pieds bien propres et tout chauds !

    Il se relève, lui aussi a droit à ses Kleenex, il me remercie, je suppose que c'est pour tout !

    Et je rentre doucement mes pieds en ayant préparé un triple Sopalin pour les nettoyer avec soin !

    Je suis en fait très contente d'avoir rendu cet homme heureux !

    Forêt, clients et moi ! Très chauds !

    • "Il y a 4 voitures qui viennent de se garer, mais Javier est très efficace, il demandent aux gens d'attendre qu'il revienne et, au fur et à mesure, il leur donne les fantasmes qui sont encore disponibles, et toi tu peux faire ton travail en toute tranquillité !"

    Javier revient avec 2 clients, ils croisent mon suceur de pieds.

    Je sais donc que je dois remettre mes escarpins qui sont aussi propres que mes pieds, car une double-pipe est en vue !

    Sans attendre l'ordre de Javier, je descends de la voiture, m'approche des 2 jeunes hommes qui matent avec envie ma nudité !

    Quand ils sont au niveau de la voiture, je m'agenouille dans l'herbe et j'ouvre leurs braguettes. Ils ont de très belles bites, pas trop grosses,

    J'imagine vicieusement que je pourrai les faire juter avec les 2 en bouche et ça me fait mouiller et bander les tétons !

    Quand je suce les couilles du 1er, je branle férocement le 2ème, et j'échange couilles-branlette pour que chacun en profite.

    Puis j'attaque une pipe tout en branlant l'autre, j'ai plus de grognements du côté du pompé et je leur propose d'une petite voix de rentrer leurs 2 pines dans ma bouche et de les sucer pour qu'ils se vident les couilles en même temps dans ma bouche de salope !

    L'un des 2 semble septique, mais je me mets à l'oeuvre.

    Les glands entrent avec difficulté puis je n'ai aucun problème pour rentrer la moitié de leurs pines dans ma bouche !

    Ca me rappelle le double enculage et la double-pipe de l'après midi et je mouille comme la Putain-Loré que je suis, puisque Javier ne m'appelle que comme ça !

    Je les suce doucement mais arrive à les faire entrer et sortir de ma bouche sans oser sortir les glands et finalement, le 1er n'en peut plus et se vide sur mon palais, et je me dépêche d'avaler pour faire de la place au 2ème.

    Bon copain, il se retire pour que son partenaire profite de toute ma bouche, et il jouit en me tenant la tête au plus profond de ma gorge jusqu'à me provoquer une nausée que je cache !

    Il se retire aussi, mais je tiens à les reprendre 1 par 1 en bouche pour bien les nettoyer, pas de Kleenex pour eux ! Il n'y a pas de petites économies !

    Ils croisent aussi Javier qui revient avec un client, et ce manège semble se poursuivre sans fin ! Un nouvel enculage, sans savoir que c'est le dernier autorisé ! 2 double-pipes mais de 2 garçons, dommage il n'y a pas eu de filles volontaires ! J'aurais bien aimé sucer un bel abricot dans cette forêt magique ! Je termine en pomper des hommes seuls qui ont tous bien grogné en se vidant les couilles dans mon estomac qui commence à s'arrondir !

    Et, le temps passant, nous arrivons à consoler les non sélectionnés, Javier me demande de l'accompagner, à poil sur mes escarpins totalement déplacés dans ce paysage !

    Comme convenu, les 10 recalés sont tous debout, bites sorties ! Je choisis les 4 plus beaux !

    Ce ne sont pas forcément les plus belles pines, mais tant qu'à me faire peloter, j'ai plus regardé leurs visages et leurs mains !

    Pendant que je branle le 3ème, il me pelote tellement les nichons et les bouts, que lorsqu'il me doigte : 2 doigts dans le con et 1 sur le clito, je presse ses doigts de ma main libre et je le supplie de ne pas arrêter. Il éjaculé dans l'herbe alors que collée à lui je dissimule un orgasme que je n'ose pas extérioriser, et je ne sais toujours pas pourquoi !

    Mais, Yves ne l'a surement pas raté !

    Toutes les voitures repartent sagement à la demande de Javier, pendant que je remonte dans la voiture enveloppée dans l'immense serviette que m'a préparée mon Tendre.

    Je m'enfonce dans les coussins épais et confortables et 1mn plus tard, je m'endors !

    A bientôt Auzon !

    Javier remonte dans la voiture et nous dit :

    • "Tu vois, salope, grâce à ton éducation et à ton professionnalisme, nous sommes en avance ! Et pourtant, tu viens de te taper 15 mecs !"

    Yves lui répond en souriant !

    • "Je t'allume une cigarette, il vaut mieux fumer, car Loré s'est endormie, et que ce soit 10 ou 15 ou 30 bites, elle s'en fout royalement !"

    Javier n'ose pas éclater de rire et prend la cigarette qu'Yves lui tend !

    10mn plus tard nous sommes à la maison, Yves me réveille en douceur. Je rentre avec ma grande serviette et je file vers la salle de bains où une bonne douche libératrice m'attend !

    Javier me rejoint :

    • "Enfile la même robe, elle te met très en valeur et toujours sans sous-vêtements, fais tout de même attention, car, quand tes tétons bandent, ça se voit comme le nez au milieu de la figure ! Prends ton temps, nous partons dans 30mn"

    Une punition méritée et fort agréable !

    Nous partons pour le resto.

    Je demande à Javier si je peux lui poser une question.

    C'est Yves qui me répond :

    • "Tu savais bien que tu allais être punie ! Mais ce coup-ci par moi, car tu ne m'as pas fait confiance. Cherche bien, tu trouveras. Tu vas donc remonter ta jupe à la taille sans la froisser. Sur la plage arrière tu trouveras une serviette que tu glisseras sous ton cul de pute, nous avons environ 20mn de route, tu as un con toujours prêt et des doigts habiles : ta punition est de jouir 2 fois avant d'arriver, et contrairement à ton 3ème peloteur que tu branlais si bien et qui te branlais si bien ! Je ne veux pas que tu essayes de dissimuler tes jouissances, allez salope ça t'apprendra à essayer de nous cacher un orgasme qui crevait les yeux. Je pense que dans l'ambiance un peu libérale dans la Forêt d'Auzon, tu as oublié ce que tu étais !"

    Un peu vexée, car je ne comprends pas moi même cette dissimulation, je m'installe sans rien dire, je relève ma robe et soulève mon cul pour glisser la serviette sur le cuir.

    Je m'enfonce dans le coussin et cuisses largement écartées, je pose ma main droite sur ma moule et je laisse faire la nature.

    La 1ère jouissance arrive très vite, mais la seconde tarde un peu.

    Nous sommes encore à 5mn du resto quand je déchire une 2ème fois les tympans de mes hommes qui éclatent de rire de concert !

    Yves me tend la boîte de lingettes intimes, et, entre elles et la serviette un peu humide, j'arrive à pouvoir me rasseoir sans risque, robe baissée sur le cuir de la banquette !

    • "Tu peux laisser ton collier dans la voiture, mais remets le de suite en revenant"

    21h10 Nous arrivons à La Criée...

    David, le chef de salle se déplace pour nous recevoir :

    • "Bonsoir Loréna, vous êtes délicieusement ravissante, bonsoir Yves et bienvenu à Monsieur Javier : vous auriez du nous prévenir que vous veniez avec notre couple préféré !"

    • "Vous pouvez supprimer le Monsieur ! Il faut remercier Google, qui, en répondant à ma recherche du meilleur restaurant de fruits de mer d'Auvergne m'a donné votre mail depuis Valencia où j'habite !"

    • "Valencia ! Il faut que nous soyons à la hauteur, car vous vivez dans une des villes où les fruits de la mer sont choyés comme des trésors !"

    • "Oui, mais les plateaux de fruits de mer ne sont pas encore arrivés à Valencia, j'ai donc décidé de prendre un avion pour les goûter et je savais mes amis très friands de ces mets. D'ailleurs je peux vous passer de suite notre commande : vous prenez le plateau le mieux garni de votre carte et vous nous en servez 3 ! Mais, comme je suppose qu'ils sont très copieux et, sans vous commander, vous nous servez dans cet ordre : le 1er comme apéritif-tapas, suivi de 3 cognacs millésimés que nous dégusterons dans votre salon fumeurs et les 2 autres pour le vrai repas, est-ce faisable ?"

    • "La cuisine sera fermée, il faudra commander vos desserts avant, mais personnellement, je n'ai rien de prévu avant de me lever demain matin à 7h !"

    Javier sort un papier de sa poche :

    • "Excusez-moi, mais pour arroser ce fabuleux dîner : nous boirons du Champagne Laurent Perrier Rosé"

    • "Je veillerai personnellement à la bonne température de ce très bon Champagne ! Mais je m'appelle David et pas Monsieur ! Je vous conduis à votre table, et comme le Champagne fait partie de notre accueil VIP, vous l'aurez dans vos flûtes apéritives, offertes par la maison"

    21h10 à La Criée !

    Une grande table ronde, un joli centre de table en fleurs fraîches et un seau sur pied rempli de glace. Nous étions en effet attendus !

    • "je ne mettrai pas trop de tapas avec vos flûtes de bienvenue, mais je ferai en sorte que vous ayez votre plateau-tapas très vite ! Je crois que vous préférez des plateaux individuels ?"

    • "Oui, comme ça, si notre ami Javier n'aime pas ou adore un coquillage ou un crustacé, il saura de suite où piocher dans les autres !"

    • "Entendu, Yves, n'hésitez pas à me demander, en attendant, Madame et Messieurs, je vous souhaite une excellente soirée !"

    Nous nous asseyons, je suis, bien sur entre mes hommes :

    • " Chaleureux accueil et la meilleure table ! Nous voyons toute la salle, mais nous sommes un peu en retrait, vous êtes des VIP ici !"

    • "5 ans, 12 fois par an, ce sera environ notre 61ème repas ici, et ce n'est pas prêt de s'arrêter ! Je peux lui raconter une anecdote intime, Amour ?"

    • "Depuis quand demandes-tu son avis à une putain ?"

    Il rit et raconte :

    • "Au retour d'un des mes voyages, Loré était en ébullition, pendant la nuit, elle m'a lancé un défi : si je jouissais 2 fois dans son cul en moins d'une heure, elle m'offrait La Criée !"

    • "Et ?"

    • "Et rien ! Le lendemain j'ai vidé ma Visa ! Et je ne pouvais poser qu'une fesse sur ma chaise !"

    Nous rions de bon coeur !

    Les coupes sont servies avec juste d'excellentes olives, nous trinquons et buvons.

    Javier regarde beaucoup la salle, il semble intéressé par la diversité des clients.

    Le premier plateau arrive et nous y faisons honneur !

    L'ambiance est là, après un bel accueil, nous sommes heureux de dîner tous les trois.

    Putain-Loré fait une pause gastronomique, oubliant presque l'absence de ses sous-vêtements, mais, non sans jeter un coup d'oeil de temps en temps, sur ses tétons.

    Javier qui ne rate rien m'affirme en souriant !

    • "Pas de souci, pour le moment ils se reposent !"

    Il me fait rougir : c'est difficile d'oublier ma condition, assise à côté d'un Amo qui vérifie de temps en temps la fluidité de mon con en mesurant la taille de mes bouts de nichons !

    Javier se régale de tout, il adore toutes les variétés d'huîtres, les bulots, les praires et quand il ne sait pas ouvrir un coquillage ou un crustacé, il demande sans fausse honte à Yves, qui le prend, l'ouvre ou le broie avec son casse-noix, et celui d'après c'est Javier qui l'ouvre !

    • "J'ai juste une remarque à faire, mais je comprends que ce ne soit pas sur une table française : ça manque d'aïoli !"

    Nous attaquons avec envie le dernier tiers du plateau quand David vient pour savoir si tout va bien et si Javier aime :

    • "Oui, il se régale de tout, surtout avec ce qu'il connaît le moins, mais il trouve que ça manque d'aïoli ! Tout en trouvant ça normal puisqu'il est en France !"

    • "Vous entrez dans un débat d'actualité avec notre Franchiseur, avec la mondialisation, nous avons de plus en plus de demandes. Mais, il hésite, car, le véritable aïoli sans œuf, est très fort. Mais, à partir de septembre, un aïoli avec œuf, qui semble mieux convenir à notre clientèle sera en accompagnement de tous nos plateaux de fruits de mer"

    • "C'est une très bonne nouvelle, cette mayonnaise à l'ail sera un ersatz très correct"

    Il s'éloigne et nous terminons le plateau en ne laissant que la glace pilée.

    Alors que nous nous apprêtons à aller dans le salon fumeur, les serveur remettent notre table à neuf et une jeune serveuse porte un plateau chargé de 3 belles coupes de glaces.

    David l'accompagne et dit pour Javier :

    • "En France, nous appelons ça un trou normand c'est une glace maison au citron arrosée d'une vodka glacée. Elle favorise la digestion et, quand vous aurez terminé, votre table au salon fumeur est dressée, vous avez en libre-service des cigares, des cigarillos et des cigarettes variées et au bar vous trouverez différents alcools qu'Yves, fin connaisseur, vous aidera à choisir"

    La surprise est totale, et, en effet cette glace fraîche et savoureuse aide notre 1er plateau à passer, et dès qu'elle est terminée, nous nous dirigeons vers le salon fumeur.

    Mais Javier dit à Yves :

    • "Installe-toi, nous te rejoignons"

    Yves entre dans le salon sans poser de question, il doit supposer que Javier a envie d'aller aux wcs, mais nous restons sur place et il me dit :

    • "Putain-Loré, tu vois, face à toi, une table de 3 jeunes hommes ?"

    • "Oui, je la vois, Amo mio"

    • " Celui du milieu super bien habillé est un vrai canon, tu ne trouves pas ?"

    • " Oui, Amo mio, c'est en effet un très beau jeune homme"

    • "Comment ferais-tu pour le draguer, petite salope ?"

    Je rougis de honte :

    • "Dans ce restaurant où nous sommes très connus, Amo mio, ça me semble impossible"

    • "Tu fais ta mijaurée-oie blanche, alors que dans l'après midi tu t'es tapée 15 inconnus ! Allez fais jouer ton vice et ton imagination !"

    Coincée, je réfléchis quelques secondes et lui réponds :

    • "Je pense à une solution simple : Amo mio, lui faire porter un petit mot de votre part par la serveuse, qui me semble novice, en lui glissant un billet pour son silence"

    • "Pas mal et qu'est ce que j'écris sur le billet ?"

    • "Il y a le choix, mais je pense qu'une proposition directe et non équivoque sera plus simple pour écourter les échanges. J'en ai une en tête, qui dit tout en 3 lignes, me permettez vous de vous la suggérer, Amo mio ?"

    • "Vas y putain, mais choisis aussi des mots sans équivoque !"

    • "Bien Amo mio : je vous suggère de lui écrire :

    • "Vous matez la femme qui est entre nous. C'est une bourgeoise-salope-partouzeuse. Si vous voulez la voir de plus près, appelez moi au 07... Je vous répondrai en Espagnol pour m'isoler et je vous dirai où et quand vous pourrez passer un très bon moment"

    • "Tu vois, quand tu veux tu sais être très vicieuse et intelligente, mais comment sais-tu que j'ai un N° de portable Français qui commence par 07 ?"

    • "En allant vous mettre en maillot, vous avez perdu un papier sur lequel vous aviez votre 07 et le nom du Champagne, je l'ai remis dans votre poche, Amo mio !"

    • "Très bien, quand il appellera nous conviendrons du lieu, de l'heure. Vas rejoindre Yves je vais rédiger le message, négocier avec la petite serveuse et visiter un peu le restaurant. Merci pour le papier ! Putain-Loré !"

    Suite dans Javier, Amo mio 2


    votre commentaire
  • Javier, Amo mio 2

    22h à La Criée !

    5 minutes après, Javier nous rejoint. Yves lui a servi un excellent cognac et fume un Cohiba.

    • "Tu devrais en fumer un, Javier, tu sais sans doute que c'est la marque préférée de cigarillos de feu Fidel Castro, Loré m'en achète de temps en temps quand elle veut que je dise oui à une demande plus ou moins vicieuse, et je te garantis que le cognac que tu as dans ton verre est un des meilleurs du marché !"

    Moi, j'ai trouvé ma marque de cigarettes et le Cognac est, en effet, délicieux !

    Je sursaute car le téléphone de Javier vibre dans sa poche, il s'excuse, en se levant et :

    • "Hola, que tal, dos segundos voy en un lugar quieto (Bonsoir, comment vas-tu, 2 secondes, je vais dans un endroit tranquille) excusez moi, c'est ma famille qui veut avoir de mes nouvelles. Je reviens de suite, je sors pour ne pas vous déranger"

    • "Pas de souci Javier, nous t'attendons ici et ils ne serviront pas tant que nous ne serons pas à table, prends ton temps !"

    Tout le dialogue a du être entendu par le jeune homme car Javier n'a pas caché le micro !

    Il va dans le jardin et nous nous retrouvons tous les Yves et moi.

    • "Contente de ta soirée, Amour ?"

    • "Enchantée mon Chéri, tout se passe très bien, je suis au Paradis !"

    • "Je suis un peu étonné que Javier n'ait pas concocté une séance vicieuse, mais peut être qu'il est gavé de cul et qu'il se repose un peu !"

    • "Sans doute, Amour, mais s'il a préparé quelque chose, tu seras le 1er informé et moi la dernière !"

    • "Oui, tu as raison, comme souvent Amour de ma vie !"

    Javier revient et s'excuse encore, Yves lui ressert un verre et lui rallume son cigarillo éteint.

    Je me lève en leur disant :

    • "Je suis navrée, mais j'ai une petite vessie, je vais aux toilettes pour me soulager !"

    • "Et tu prends cette décision toute seule ? Assieds toi salope, tu iras pisser quand je te j'ordonnerai ! Allume-toi une autre clope, une putain de trottoir fume beaucoup, remonte le bas de ta robe pour que je vois ton con et ferme ta gueule, tu aura une punition à vouloir faire la femme libérée alors que tu n'es qu'une simple esclave !"

    Je me rassieds furieuse et profondément vexée, mais je relève ma robe pour qu'ils voient tous les deux ma chatte luisante et je ne peux pas cacher mes warnings de clignoter, c'est à dire mes tétons qui bandent trop !

    22h20 à La Criée !

    • "Je constate que cette situation t'excite, Putain-Loré, tu pensais qu'ici tu étais hors de mon contrôle, mais comme tu as choisi toi même ton futur partenaire, il te faut aller au bout ! Yves, je t'explique : avant de rentrer dans le salon, j'ai demandé à cette pute quel mec elle voulait se faire ! Je la soupçonne de l'avoir déjà repéré, et c'était réciproque car il a passé son temps à la mater ! Je lui ai fais transmettre un message lui disant que s'il voulait jouer avec elle, ce n'était qu'une bourgeoise-salope et partouzeuse et je lui ai donné mon portable français. Avant de vous rejoindre, j'ai fait un tour aux toilettes pour repérer. C'est lui qui vient de m'appeler. Il est 22h20, leur rendez-vous est à 23h pour la pute et 23h05 pour le beau minet, ils vont se rencontrer dans le chiotte pour homme réservé aux handicapés ! Elle nous dira qu'une huître est mal passée, et elle l'attendra dans le wc. Je lui ai donné 20mn de carte blanche, mais elle doit remonter avec la bouche pleine de foutre, pour prouver qu'ils se sont bien régalés. J'avais prévu cette séquence mais sans connaître les lieux et comment elle pouvait draguer, se faire sauter et remonter la bouche pleine dans un resto où vous étiez très connus, j'ai du attendre d'avoir tous les éléments, tu as des questions Yves ?"

    Il sourit et tire sur son cigarillo :

    • "Aucune concernant la passe de Loré, je venais de lui dire pendant ton appel, que j'étais étonné qui tu n'ais pas prévu un séance de cul ! Mais Javier, je suis curieux de savoir où tu vas chercher des scénarii aussi compliqués tout en faisant tout pour protéger notre réputation ?"

    • "Probablement ma cérébralité qui me fait inventer des trucs pas possibles et mettre au point des défis difficiles ! Mais je crois qu'il serait raisonnable de retourner à notre table !"

    22h30 à La Criée !

    Nous nous rasseyons, visiblement contents de cette pause dans le repas.

    Un serveur vient remplir nos flûtes et rapporte, après un geste de Javier, une 4ème bouteille de champagne.

    Alors que 2 autres nous portent les plateaux avec des homards, des langoustes et des belles pinces de crabe.

    • "Une précision, Javier j'ai appelé et demandé à David, que, quelle que soit ta commande, il ne nous mette pas de crabe mais uniquement des pinces de crabe !"

    • "Bien joué Yves, en effet, on en mange beaucoup à Valencia et c'est un calvaire pour leur extirper 10 grammes de chair !"

    Yves boit un peu de champagne et dit à Javier

    • "Dis moi Javier, je crois que nous allons devoir rentrer en taxi, si la gendarmerie nous chope pour un alcootest, mon permis saute, je reviendrai lundi avec Loré pour récupérer l'Audi !"

    • "Et tu vas laisser une voiture de 100.000€ sur un parking désert, à proximité du plus gros Night Club de Clermont ? Pas de souci Yves, je conduirai, tu me guideras pour éviter les nids à gendarmerie, mais si on se fait coincer, avec mon permis espagnol, le pire c'est une amende de 700€ !".

    • "Entendu, Javier, mais à propos, puis-je te poser une question personnelle ?"

    • "Bien sur Yves, personnelle ? Oui ! Mais intime ? Non !"

    • "Si tu ne veux pas répondre, pas grave elle n'est pas essentielle, c'est une simple curiosité de Loré et moi par rapport à toi : que fais-tu réellement à Valencia ?"

    Il éclate de rire et répond spontanément !

    • "J'ai honte, j'aurais du vous dire la vérité depuis longtemps, mais je préfère être apprécié pour ce que je suis et non pour ce que je représente, et en arrivant chez vous, j'ai constaté que vous n'aviez aucun problème de fin de mois, je vais vous répondre : je suis en effet salarié dans 2 pharmacies de Valencia, mais, les 2 sont à moi !"

    • "Tu vois ma Loré, le mystère de Javier est levé ! Je n'ai pas osé m'acheter l'Armani à 3.000€ que tu portes, juste pour que Loré ne me gronde pas ! Car c'est elle qui tient nos comptes. J'espère, Javier que ma question n'était pas trop indiscrète et même si tu nous avait dit que tu vivais à crédit ! Nous t'aurions gardé comme ami et même aidé pour tes fins de mois !"

    • "C'est très gentil, Yves, disons que pour un Espagnol, je suis dans les tout à fait à l'aise. Et, si un jour j'ai l'honneur de vous recevoir dans une de mes cabanes de pêcheur de Valencia, vous constaterez qu'elle sont plus que confortables ! Mais, je pourrai aussi vous emmener pêcher, si vous aimez !"

    Nous rions tous les 3 ! Et attaquons avec envie et faim les plateaux, mais David n'a pas dit son dernier mot !

    Il s'approche tout sourire de notre table et dépose à la droite de Javier un pot impressionnant d'aïoli, tellement blanc et ferme qu'il donne envie de le manger à la cuillère !

    Javier se lève et serre David dans ses bras, ce dernier est un peu embarrassé mais Yves lève vite le doute :

    • "Cher David, vous venez de découvrir un vrai abrazo espagnol : serrer sur son coeur un ami très cher, même pour un pot d'aïoli !"

    Un serveur nous porte de larges tranches de pain de campagne et nous nous préparons de succulentes et gigantesque tartines !

    David s'éclipse et nous mangeons, décortiquons facilement nos homards, nos langoustes et nos pinces de crabe, en piochant dans le pot d'aïoli avec gourmandise !

    Et, je ne suis pas la dernière à me régaler et à me lécher les doigts !

    22h45 à La Criée !

    • "Putain-Loré, il me semble que plus l'heure tourne plus tes tétons bandent ! Tu veux bien te lever un peu et dénuder ton con, je voudrais vérifier quelque chose"

    Je rougis comme un régime de tomates, mais que puis-je faire d'autre ?

    Je lève un peu mes fesses, remonte ma robe jusqu'à la taille, le tout étant, heureusement dissimulé par une nappe tombante et j'écarte les cuisses.

    • "Yves, tu veux me dire dans quel état est sa connasse ? Ou tu préfères que je le fasse ?"

    • "Vas-y, Javier, c'est ton esclave !"

    Javier ne s'embarrasse pas, il glisse sa main gauche sous la nappe, constate l'écartement de mes cuisses et me dit sèchement :

    • "Ouvre plus tes cuisses salope"

    Je m'exécute jusqu'à ne pas pouvoir les ouvrir plus.

    Sans obstacle, il glisse 3 doigts dans ma moule et les tourne rapidement quand il est bien dedans, je ferme les yeux et pousse un petit cri.

    Il retire ses doigts, les regarde et les renifle et me dit :

    • "Si tu oses prétendre que tu n'es pas prête à te faire sauter par un inconnu dans les chiottes, tu rentres en stop à la maison, et je souhaite que tu tombes sur une voiture de 4 ou 5 mecs avinés avec des grosses bites, ma question est simple : tu es prête à jouir, uniquement en pensant à ce que tu vas devoir faire dans moins de 15mn ?"

    Je baisse les yeux, toujours honteuse, mais je dois une réponse franche à mon Amo, et je n'ai pas envie de lui mentir !

    • "Oui, Amo mio, je suis surexcitée par cette baise avec un inconnu"

    • "C'est très bien de répondre la vérité, reste comme tu es et branle toi tu n'iras rejoindre ton étalon qu'après avoir joui devant nous !"

    Je suis un peu affolée ! Si quelqu'un me voyait ou imaginait ce que j'étais en train de me faire ? Notre réputation dans ce restaurant serait détruite ! Pauvre Yves, il ne mérite pas ça !

    Je le regarde, mime un baiser avec ma bouche et ma main droite passe sous la table et trouve de suite sa position sur ma moule liquéfiée !

    La jeune serveuse vient rafraîchir notre table, enlever les coquilles vides, renouveler nos pains et servir nos verres.

    Elle constate que j'ai les yeux fermés et que je suis très pâle.

    • "Madame ne se sent pas bien ?"

    Javier lui répondant en riant :

    • "Sans doute un peu trop d'alcool, elle va aller se rafraîchir aux toilettes et ça ira mieux, rassurez-vous, rien de grave, merci de votre attention, Mademoiselle"

    Et, Il lui serre la main, mais nous supposons qu'il y a un billet dans sa main.

    Elle comprend qu'il lui faut partir et se taire.

    Je continue à me branler yeux ouverts, je vais avoir un orgasme gênant : jouir dans une situation difficile. C'est à dire pas prévue pour ça !

    Et, quand je le sens monter en moi, mes yeux regardent Javier.

    Il comprend de suite mon appel au secours, et me penche sur son épaule, me pose sa serviette sur la bouche, en faisant semblant de m'essuyer gentiment la bouche.

    Et je peux m'envoyer en l'air sans bruit mais sans pouvoir empêcher les tremblements de mon corps.

    • "Allez, Putain-Loré, c'est l'heure, ne lui refuse rien, mais n'oublie pas de remonter avec tout son foutre dans la bouche !"

    Ils se lèvent tous les deux quand je me lève.

    J'ai du mal à me mettre debout alors que les derniers tremblements de ma jouissance s'effacent. Mais mes muscles se dé-tétanisent vite et je m'éloigne en souriant pour traverser la salle où les clients sont déjà beaucoup moins nombreux, tout en devant passer devant la table des 3 garçons, mon élu ne peux pas ne pas me voir !

    Et il sait qu'il doit être 23h à quelques secondes près !

    22h58 à La Criée !

    Je me dirige vers les toilettes.

    Je dévale les escaliers, à gauche les hommes, j'espère qu'il n'y a personne, j'entre, je fais le tour des wcs, ils sont tous vides et je vais dans celui des handicapés dont je referme le verrou.

    Ne sachant que faire, je baisse la lunette et m'assieds sur la cuvette.

    Je n'ai pas de montre, alors je compte lentement les secondes, 60... il est 22h59... 180... Il doit être 23h51... 240... plus que 3mn... 300... il est temps que je déverrouille la porte.

    Je me lève de mon siège, ouvre le loquet, et comme la pièce est plus grande qu'un wc normal, je m'adosse au mur le plus éloigné de la porte et j'attends en continuant à compter.

    J'arrête en entendant des pas dans l'escalier, mais ils passent devant ma porte et j'entends de l'eau couler dans le lavabo.

    Juste un client qui voulait se rincer les doigts avec du savon, les pas repartent, mais ils s'arrêtent devant ma porte qui s'ouvre doucement et mon Apollon entre dans les chiottes.

    Il est beau comme le Dieu grec et a un sourire ravageur !

    23h05 à La Criée !

    • " Je n'ai rien compris à ton histoire, mais je n'ai pas envie de me prendre la tête ! Tu as partouzé avec 2 mecs qui pour te remercier t'ont invitée au resto, mais tu aimes trop la bite et cet après midi ne te suffit pas. Alors, puisque tu aimes le cul, je vais t'en donner salope, tu ferais bander le Pape lui-même !"

    • "Bon résumé, entièrement faux, mais ce n'est pas grave, on t'a accordé 20mn ce serait dommage de les perdre en parlottes ! Je n'ai pas de montre, tu seras gentil de surveiller l'heure ! Et je n'ai rien sous ma robe, tu veux découvrir quel côté en 1er ?"

    • "Pile, j'adore déjà ton cul !"

    Je me retourne et écarte mes bretelles, la robe tombe à mes pieds lui dévoilant mon cul, mon dos et mes épaules. J'accroche ma robe à une patère.

    Il s'approche dans mon dos, me prend par les hanches et me pousse vers le lavabo.

    • "Pose tes mains sur les robinets, lève ton cul et écarte bien tes cuisses de salope, tu aimes baiser dans des chiottes ?"

    • "Hum, c'est parfois plus excitant que dans un lit, surtout avec un inconnu que je ne reverrai jamais !"

    • "Beau fantasme, et tu le concrétises souvent ?"

    • "Non, je n'aime pas abuser des bonnes choses l"

    • "Beau principe de vie, voyons si ton petit cul est aussi accueillant que toi !"

    Il m'enfonce 3 doigts dans le cul et les fait de suite tourner jusqu'à ce que je gémisse, mais pour l'instant, c'est de douleur car mon sphincter est sec.

    Il le constate, sort sa main, la passe entre mes jambes et me plonge les 3 mêmes doigts dans le con !

    • " Dis moi putain, je n'ai pas pied dans ton con, tu es un torrent ! Tu n'es pas en chaleur ! Tu es en ébullition !"

    J'entends des bruits d'étoffe, je pense qu'il se met à poil.

    Il s'installe sur la cuvette fermée redresse sa bite et me dit de m'empaler la connasse sur sa bite en lui tournant le dos.

    Je constate en la positionnant au bon endroit avec ma main, qu'elle est très grosse et bien dure, et je m'empale comme une furie en criant un :

    • "Ooooh qu'elle est bonne ! J'étais sure que tu en avais une grosse !"

    • "Alors tu n'es pas surprise, c'est le calibre que tu cherchais parmi les clients ?'

    • "Ne me force pas à te dire que tu est le plus beau mec de la soirée !"

    • "Merci pour le compliment, toi, en tout cas, tu ne passes pas inaperçue, surtout déshabillée comme tu es venue au resto ! Allez tu poses tes mains sur tes cuisses et c'est toi qui fait le boulot, nique toi toute seule sur ma pine et ne fais pas semblant"

    Je me lève et me rassieds en me ramonant le con toute seule.

    Placée comme je le suis, il peut empaumer mes nichons mais après les avoir broyés comme s'il voulait en extraire du jus, il trouve mes tétons, ces salauds grandissent de suite sous ses caresses, mais quand il commence à les pincer de plus en plus fort, ils gonflent encore plus et j'ai aussi mal de leur durcissement que de ses doigts, il s'amuse à les faire ballotter de droite à gauche et de bas en haut alors que je continue à me tringler avec sa bite.

    Je ne résiste pas longtemps et j'ai mon premier orgasme, j'essaye de miauler plutôt que de crier et il est surpris.

    • " Je pensais qu'une pute comme toi jouissait en hurlant, tu vois j'ai encore des choses à découvrir sur la planète femme ! Allez, à présent tu te redresses devant moi, toujours de dos et tu te penches. Tu vas m'humidifier cet anus en te montrant en gros plan, mets-y tous tes doigts et finis en te mettant un poing entier, j'adore voir une salope se fister le con ou le cul!"

    Je prends tout ce que je peux de mon jus dans mon con et le transfère par des allers et retours rapides vers mon anus, quand je pense être suffisamment lubrifiée, j'essaye de me fister le cul, mais je n'y arrive pas, une poigne de fer entoure mon poignet et je me retrouve très vite avec l'avant bras coincé par mon anus !

    • "Voilà, tu vois comme c'est simple, bouge tes doigts dans ton sphincter, tu vas voir qu'en t'excitant comme ça tu vas lubrifier du cul, ce qui t'aidera à re-jouir !"

    Il prend mon coude et s'en sert pour me pilonner le cul avec mon poing et mes doigts qui caressent pour la 1ère fois cet endroit de mon corps !

    23h15 à La Criée !

    Il retire d'un seul geste mon bras de mon cul, rit de mon cri de petite chienne en chaleur et m'ordonne de me retourner vers lui et de m'empaler le cul sur sa pine en le regardant droit dans les yeux !

    Quand je sens ses couilles battre mon cul, je sais qu'il est au fond, mais, dans cette position, c'est lui qui travaille : il me lève jusqu'à sortir sa bite de mon anus et la replonge en entier d'un seul coup, il s'amuse de voir mes nichons bouger dans tous les sens :

    • "Pouffiasse, tes mains ne servent à rien, fais toi les bouts de mamelles et je veux t'entendre crier de douleur, là encore ne fais pas semblant"

    J'y vais avec envie et je pince mes bouts le plus fort possible, j'y plante même mes ongles. Mais ses coups de bite dans mon cul sont tellement forts que je ne peux pas déterminer si je jouis du cul ou des tétons, je cache ma bouche en collant mon visage sur son épaule qui sent la transpiration et le parfum.

    Je grogne comme une chiennasse en chaleur, tout en jouissant comme une dingue.

    Il est obligé de s'arrêter avec la bite collée au fond de mon cul probablement pour ne pas jouir et me relève la tête en me tirant par les cheveux, il la penche vers l'arrière et me dit de ne pas bouger, et, là, avec un sourire vicieux, il me gifle les nichons en les faisant valdinguer dans tous les sens sous la force de ses coups.

    Je le supplie de ne pas me marquer le décolleté, et il en tient compte en me giflant de plus en plus fort, mais le bas et les côtés des seins.

    Quand je commence à gémir de douleur, il me jette à terre.

    Sa bite sort brutalement de mon cul et il m'ordonne de me mettre à genoux.

    Il se lève de la cuvette, met sa bite dans ma bouche, prend dans chaque main une grosse poignée de cheveux et comme si c'était un vagin, il me baise la bouche avec sa pine qui sent le mélange de mon con et de mon cul !

    Je ne peux pas bouger, c'est lui qui se branle avec ma bouche, je n'ai pu qu'arrondir mes lèvres au format généreux de sa bite et je le laisse faire mais s'il se vide les couilles comme ça, une grande partie va tomber dans ma gorge et je n'ai aucun moyen de la faire remonter dans ma bouche.

    • "N'oublie pas la promesse que tu as faite !"

    • "Pas de souci, je ne jouis jamais dans une pute quel que soit son trou, tu auras ta dose de foutre à montrer, mais je profite de ta bouche-vagin et je me régale !"

    Je le sens grossir un peu plus et il atténue ses mouvements dans mon vagin-bouche !

    Il sort son chibre de ma bouche, m'oblige à le lécher sur toute sa longueur, se fait nettoyer le gland par ma langue et mes lèvres sans lâcher mes cheveux qu'il tire quand il n'est pas content de ce que je lui fais, et pourtant j'essaye de m'appliquer !

    Quand il semble content de ma langue et de mon léchage, il me frappe plusieurs fois les joues avec sa bite en donnant des coups secs qui me font cligner des yeux, mais, finalement, il colle son gland sur mes lèvres entrouvertes, m'oblige à ouvrir grand les yeux et se branle en gémissant de plaisir, il finit par jouir longuement dans ma bouche suffisamment entrouverte pour ne perdre aucun goutte de son foutre super abondant.

    Assurément, il s'est bien vidé les couilles !

    J'essaye de ne rien avaler, mais il y en a tellement que j'ai du mal.

    Heureusement il sort son gland et je peux fermer ma bouche en gardant quasiment la totalité de son éjaculation.

    Il va se laver la bite dans le lavabo, se rhabille et après une dernière gifle colossale sur le bas de mes nichons, il ouvre la porte.

    • "Tu es un super coup, mais juste dans des chiottes, jamais je ne te niquerai dans un lit, tu ne le mérites pas, je penses que tu es une vraie putain et que si nous nous revoyons, tu tapineras sur un bout de trottoir, nichons à l'air, salut salope en chaleur, et dis à je ne sais qui, qu'en effet, j'ai passé un très bon moment ! Il est 23h25, tu as peu de temps pour remonter !"

    23h25 à La Criée !

    Tout a été si rapide et si violent que j'ai besoin de récupérer, mes seins me font mal et comme je ne peux ni déglutir ni ouvrir la bouche, je suis vraiment très mal à l'aise.

    J'arrive à enfiler ma robe et je vais devant le lavabo et son miroir.

    J'essaye de remettre de l'ordre dans mes cheveux, et constate avec plaisir que mon décolleté ne laisse voir aucune trace de coups.

    Je me longuement la moule et me rince le visage avec du papier-toilettes !

    J'essuie mes lèvres serrées, il n'y a pas de traces de sperme, et je décide de remonter comme ça.

    23h28 à La Criée !

    Je retraverse la salle qui est quasiment déserte, il reste la table des 3 garçons qui vont payer leur addition et une dizaine de clients répartis dans toute la salle.

    Mes hommes se lèvent à mon arrivée, et je fais mine de m'asseoir :

    • "Tu as une serviette propre sur ta chaise, pose ton cul nu dessus, tu ne risques pas de tâcher la chaise"

    Je relève discrètement ma robe et m'assieds.

    Je sens mon intimité se poser sur la serviette, bonne idée, car je suis encore trempée !

    • "Nous avons bien travaillé pendant que tu t'amusais, pour le dessert, nous avons commandé les 3 mêmes trous normands mais avec un sorbet à la mangue à la place du citron et un peu plus de vodka pour nous achever ! Nous avons fini les plateaux, mais préservé le tien ! En te gâtant : tout est décortiqué et prêt à manger, même les huîtres et les praires sont décollées de leurs coquilles ! Tu vas commencer par les 6 huîtres et les 6 praires qui sont au bord du plateau, mais dans chacune, tu craches un peu du foutre que tu as dans la bouche, ces 12 coquillages devraient libérer ta bouche de pipeuse-de chiottes, sais-tu que ce petit-métier existe réellement ?"

    Je fais non de la tête.

    • "Eh oui, dans les chiottes des grandes villes, tu as la dame-pipi et à côté des putespour 10€ elles entrent avec le client dans le chiotte et elles le boivent ! Je te conseille de remplir ton assiette avec les 12 coquillages et de les garnir de foutre pour arriver à la recette de Putain-Loré : coquillages au foutre frais ! Mais avant, en bougeant les morceaux de crustacés prêts à déguster, tu vas répondre à quelques questions que nous voulons te poser : 1 morceau égal 1, 2 morceaux égal 2, etc !"

    23h35 à La Criée !

    • "Question, combien de fois as-tu joui ?"

    J'aurais voulu tricher en en déplaçant 8, mais je joue le jeu et je n'en déplace que 2.

    • "Du cul ?"

    Je n'en déplace aucun.

    • "Du con ?"

    J'en déplace 1

    • "Des tétons"

    J'en déplace 1

    • "2 en 20mn, pas mal ! Combien de tes trous de pute t'a t'il remplit ?"

    Je reprends les 2 premiers et j'en rajoute 1.

    • "Et la dernière question combien de fois veux-tu renouveler cette expérience ?"

    Je souris et fais une pile avec tous les morceaux !

    Mes hommes rient de bon coeur !

    • "Nous te décernons le titre de meilleure salope d'Auvergne. A la maison nous te ferons un beau diplôme qu'Yves te fera encadrer et il te dira où le suspendre chez vous ! Allez, mange tes coquillages !"

    23h40 à La Criée !

    Je mets les coquillages dans mon assiette et en jetant un coup d'oeil pour m'assurer que personne ne me regarde, je déglutis dans chacun d'eux une dose de foutre, les huîtres deviennent laiteuses, et les praires blanchissent !

    Je m'essuie la bouche et arrive à prononcer ma 1ère phrase :

    • "Voilà, Amo mio, ma bouche est vide !"

    Yves me sert un peu de champagne en me conseillant de me nettoyer la bouche avec !

    C'est ce que je fais et ce que je renouvelle tous les 3 coquillages pour aider mes déglutitions. Ils sont très bons et chacun d'eux me rappelle le bon foutre de mon Apollon !

    J'ai fini mon assiette et c'est Javier qui m'explique la suite :

    • "Pour les morceaux, tu vas les tremper dans ton con et les manger en les savourant, sauf la grosse pince de crabe que tu mettras en dernier dans ton con et que tu mangeras à la maison !"

    Les crustacés à la sauce Loré, sont très bons, pas besoin d'aïoli, ils ont un goût que je connais bien !

    Et je finis en glissant la pince de crabe dans mon con qui l'avale avec gourmandise et facilité !

    23h50 à La Criée !

    Alors que notre serveur nous porte nos 3 sorbets mangue-vodka !

    Nous nous régalons, et il contribue à me rendre une bouche de jeune fille ! J'en suis ravie !

    Avec l'autorisation de Javier, je baisse ma robe alors que Daniel nous rejoint, il est heureux de savoir que nous nous sommes régalés, il nous propose de nous offrir une dernière et 6ème bouteille de champagne que nous refusons poliment, Javier lui répondant :

    • "Je crois que nous avons plus d'alcool dans le sang que de sang dans l'alcool, c'est gentil, mais ce serait suicidaire pour faire les 40km qui nous séparent de la maison en évitant, si possible, les contrôles de gendarmerie si courants le vendredi soir !"

    David lui répond :

    • "C'est en effet plus prudent ! Elle attendra donc la prochaine visite de Loré et d'Yves, en espérant que Javier sera aussi avec vous !"

    • "Il y a peu de chance, mais je reviendrai, soyez en sur ! Et encore merci pour votre succulent aïoli, dîtes à votre Chef qu'il est presqu'aussi bon qu'à Valencia ! Non, allez, dîtes lui qu'il est meilleur ! Ca lui fera plaisir !"

    Nous nous levons, Javier nous dit de l'attendre dans la voiture et rappelle à Yves que c'est lui qui conduit !

    Nous saluons David, je lui fais un smack retentissant sur la joue, il rougit comme un ado, ce qui me fait sourire intérieurement !

    Et nous rejoignons l'Audi.

    Quelques minutes plus tard, Javier se met au volant et démarre.

    Je dors déjà, allongée de tout mon log sur la banquette arrière !

    Sur le chemin de la maison...

    Yves le fait passer par des petites routes sans danger et en partant, il a réglé le limiteur de vitesse à 80km/h. Et, moi je me suis endormie !

    Sur les portions de l'A75, ceux qui nous doublent doivent être très fiers de se taper une Audi A8 !

    Cette petite sieste m'a fait du bien, mais je suis surtout contente que l'orgie de fruits de mers, de crustacés, d'aïoli, d'alcool et de sperme ne m'ait pas affecté l'estomac.

    Après m'être étirée comme une chatte heureuse de vivre, j'ai de suite remis mon collier pour ne pas me faire grogner par Javier !

    • "Amo mio, je suis de retour, puis-je fumer une cigarette ?"

    C'est Yves qui me répond :

    • "Tu sais bien, Amour, que je n'aime pas qu'on fume dans cette voiture, qui, en plus, n'a aucun cendrier, mais si Javier a envie de s'arrêter, nous pourrons en griller une !"

    • "C'est une bonne idée ! J'en ai peu assez d'être doublé ! Et une pause pipi s'impose, il faut bien que tout cet alcool ressorte !"

    Dès qu'il trouve un parking accueillant, il gare la voiture, laisse les codes allumés et nous descendons pour alimenter nos futurs cancers des poumons ! Cigarette à la main je lui demande si je peux, moi aussi aller faire un petit pipi ?

    • "Bien sur Putain-Loré, mais tu vas faire ça dans la lumière des codes, en relevant ta robe jusqu'aux nichons, et bien sur, debout devant nous !"

    J'aurais du me taire ! Voilà un arrêt que Javier le cérébral va utiliser pour m'humilier !

    Je confie ma cigarette à Yves, me mets devant l'auto, remonte le plus possible ma robe et écarte les cuisses, mais comme mon con est toujours aussi trempé, la pince de crabe, que j'avais oubliée, tombe sur le sol, et je ne sais plus quoi en faire ! Javier est bien sur là pour m'apporter la solution à mon problème !

    • "Pas grave, ma pute, laisse là où elle est, pisse dessus, penche toi pour la reprendre en main, utilise tes derniers jets pour la nettoyer soigneusement et mange la, elle aura un bon goût de crabe à la sauce pisse, tu vas te régaler ! Ne me remercie pas !"

    Honteuse, je fais ce qu'il m'ordonne et mange la pince de crabe, son goût est gâché par mon urine et je l'avale en refrénant une envie de vomir !

    • "Dis-moi, Yves, tu as toujours la serviette qu'elle a utilisée à la sortie de la Forêt d'Auzon ?"

    • "Oui, je l'ai rangée dans le coffre, aux cas où !"

    • "Parfait, elle va en avoir besoin ! Putain-Loré, tu vas te mettre à poil dans la voiture, escarpins compris, et tu reviens là où tu es"

    J'ai honte d'imaginer ce qui va se passer : ma nudité, la serviette sur cette route départementale déserte ! Mais je reviens à ma place totalement nue, non sans remarquer que la caméra d'Yves est posée sur le toit de l'Audi ! Ils ne vont rien rater du spectacle !

    • "Très bien, Putain-Loré, à présent tu te couches sur le sol, yeux, cuisses et bouche grand ouverts, et tu attends !"

    Yves comprend, il écrase soigneusement nos deux cigarettes, sort sa bite bien gonflée après mon exhibition de salope-pisseuse. Javier fait de même et ils se rapprochent de moi, "crucifiée" sur le sol caillouteux.

    • "Tu nous a fait bander avec ta pisse et ta pince de crabe à l'urine, totalement obscènes, il faut que nous nous vidions les couilles avant de pouvoir utiliser nos vessies !"

    Tout est dit, mon imagination ne m'a pas trahie !

    Une pluie non prévue par la météo !

    Javier se place à ma gauche à hauteur de mes nichons, et Yves, à ma droite, vers mes genoux.

    Ils prennent leurs grosses bites en mains et commencent à se masturber à leurs rythmes !

    • "Regarde sale pute exhibitionniste, et constate les dégâts que tu as fait !"

    Je quitte mes belles étoiles et mes yeux vont de l'un à l'autre. Je suis terriblement excitée de voir mes hommes se branler au dessus de moi ! Yves jouit le premier en m'arrosant du nombril à la moule, en faisant bien attention de diriger le maximum de ses jets sur ma chatte offerte. Un jet frappe mon clitoris qui se réveille ! J'ai une envie folle d'y poser mes doigts, mais je ne le fais pas !

    Javier n'attend pas qu'Yves ait fini et lui se consacre à mon visage, en visant bien ma bouche et mes nichons, sans oublier mes tétons qui ont triplé de volume !

    • "Tu baisses les bras, tu poses la main droite sur ta chatte et, avec la gauche, tu fais des allers-retours sur tes nichons en ne t'occupant que du plaisir de tes bouts de mamelles de truie en chaleur ! Nous te regardons et te filmons ! Si, par bonheur pour toi, une voiture passe et s'arrête, tu n'auras rien de sec à proposer, sinon un enculage en levrette à même le sol, et ne ferme pas les yeux durant ta branlette de Pute des Champs !"

    Sans me quitter des yeux, ils allument leurs cigarettes en regardant leur foutre s'écouler et sécher très rapidement sur mon corps, en y laissant des traces obscènes.

    Je gémis, de plus en plus surexcitée, par la situation, ma position, mon corps souillé de traces de sperme et, surtout par ce que je vais recevoir sur tout le corps, bien plus abondamment que leurs foutres !

    Ils terminent leurs cigarettes, les écrasent soigneusement sur le sol du parking et se rapprochent de moi, ils échangent leurs positions, et ils pissent tous les deux en même temps, en tenant leurs bites mi-molles à pleines mains pour bien diriger leurs jets !

    Bouche ouverte, nichons, tétons, yeux ouverts, cheveux, ventre, con largement ouvert, rien ne leur échappe !

    • "Au milieu de la miction, envoie-toi en l'air sous la douche et tu peux hurler, en espérant que ça attirera des voyeurs !

    Quand ils n'ont plus rien à me donner, Javier vient au dessus de ma tête et s'agenouille, et c'est tête à l'envers que je bois ses dernières gouttes avant de savourer son gros gland pour bien le nettoyer.

    La bite d'Yves lui succède, et ils se rhabillent tous les deux.

    Yves ouvre la serviette sur un coin d'herbe et me dit :

    • "Lève-toi et couche toi sur la serviette, je vais t'envelopper le corps et te porter sur la banquette arrière !"

    Il me roule dans la serviette, s'assure que rien ne dépasse, et comme si j'étais une enfant de dix ans, il me couche sur la banquette arrière. Et nous repartons.

    Home Sweet Home !

    Moins de cinq minutes plus tard, Javier se gare face au portail de la maison, Yves actionne la télécommande et Javier range le véhicule sous son abri de bois.

    • "Tu nous attends quelques instants, nous revenons"

    Je me demande ce que Javier a encore bien pu imaginer pour moi !

    Yves revient seul, il me sort enveloppée de la voiture, récupère la serviette, la jette dans un panier de linge sale, sans penser à ce que va imaginer Lydia, notre femme de ménage, en voyant une serviette aussi crasseuse !

    Il me prend par la main et me conduit à la piscine. Je comprends alors qu'ils vont me jeter dans la piscine pour laver mon corps dégueulasse !

    • "Je vais te laver soigneusement, mais si nous te plongeons dans la piscine, elle sera polluée pour quinze jours ! Tu vas te mettre devant ton ami le chêne, et nous offrir ce que tu veux qu'on te nettoie en premier, je vais utiliser ce Karcher que tu connais ! Pile ou face, à toi de choisir !"

    Je sais que nous en avons deux : un gros pour la façade et les grands nettoyages, principalement de la piscine et un autre moins puissant pour la plage de la piscine, les allées et parfois arroser ! J'espère que j'aurai droit au plus petit ! Le gros serait capable de m'arracher la peau !

    Tout est branché et Javier s'avance avec le tuyau du plus petit, ouf !

    Je présente mon dos en premier et Javier déclenche le jet, puissant mais raisonnable, dommage qu'il soit branché sur un robinet : l'eau est très fraîche mais me stimule et me fouette le sang.

    Il arrose mon dos, ma nuque, mes cheveux que je coiffe vers l'arrière pour mieux les rincer, puis descend sur mes pieds que je lève pour laver mes plantes de pieds, et il s'attarde sur mes fesses :

    • "Ouvre ton cul avec tes mains salope, que je puisse bien nettoyer ton trou à merde"

    Je m'exécute et me penche même pour l'aider, il augmente un peu la pression et je me régale d'un tel nettoyage inédit du cul, mais qui va donner des idées à mon Tendre ! Décidément, il apprend beaucoup sur la domination avec Javier !

    • "Bon, je crois que tu es bien propre ! Tu peux te retourner !

    Je me mets face à eux, il commence par mon visage et mes cheveux avec une pression très faible, je l'aide avec mes mains pour bien me nettoyer cette partie. Puis, en augmentant un peu la pression, il passe sur mon ventre, du dessous des seins jusqu'à mon mont de Vénus. Visiblement, il laisse de côté le reste pour plus tard !

    Il descend vers mes cuisses, mes jambes et finit par mes pieds, que je nettoie soigneusement, surtout entre les orteils, en profitant d'une pression un peu plus forte.

    Je me sens revivre !

    Il revient sur mes nichons aux bouts tendus par la fraîcheur de l'eau et l'humidité de mon vagin ! Il commence par un jet doux et, sans qu'il me le demande, je les prends dans mes mains pour bien les nettoyer, il augmente brutalement la pression et dirige le jet sur chaque globe en dessinant des cercles d'eau sur eux pour se rapprocher, à chaque rotation, de mes aréoles.

    J'enlève mes mains et me laisse faire. Quand il arrive sur mes aréoles, il met la puissance au maximum et vise délibérément mes tétons en me faisant très vite gémir de plaisir et, sans pouvoir éviter que mon corps ne gigote comme un ver heureux ! Il me sent plus que chaude et va chercher mon sexe, sans baisser la puissance :

    • "Ouvre bien tes cuisses, plie tes genoux, comme si tu voulais t'agenouiller. Pose tes deux mains sur ta moule et ouvre la en grand, de toute la force de tes doigts !"

    Il se rapproche de quelques pas, ce qui rend le jet plus douloureux, et arrose ma moule largement offerte du haut vers le bas. Pendant ses allers et retours, il ne rate pas mon clitoris, mais, vicieusement, il me demande :

    • "Mets ton index sur ton clito pour m'indiquer la cible, je ne la vois pas d'où je suis !"

    Mes doigts affrontent un jet surpuissant, mais j'arrive à poser mon index sur mon clitoris, et ses allers et retours changent, il va du clito vers le haut et du clito vers le bas.

    Mon corps tremble de plus en plus et je ne le contrôle plus du tout :

    • "Oh, Amo mio, pitié, si vous continuez je vais encore jouir !"

    • "Tu penses, salope, que ce n'est pas mon objectif, mais fais gaffe aux voisins !'  

    Après cette autorisation, je me décontracte et je jouis sans hurler et sans me toucher le corps, uniquement caressée par le jet puissant !

    Javier arrête le Karcher et Yves vient me donner une serviette et dépose devant moi mes sandales de piscine.

    Je quitte le cloaque dans lequel mes pieds pataugent et vient jusqu'au nid où je m'assieds dans un fauteuil de plage où je me sèche soigneusement le corps et les pieds.

    Fin de soirée (presque) romantique !

    • "Je t'ai préparé la table roulante dans la cuisine, si tu es sèche et en forme, pousse la jusqu'ici"

    Toute nue et en sandales, je la ramène, je souris en voyant qu'il n'y a que du café et de la Vichy Saint Yorre à boire ! Deux assiettes de petits fours frais trônent sur le plateau, au cas où quelqu'un aurait encore une petite faim !

    Je sers mes hommes et les imite : un grand verre d'eau et un petit four ! Et, bien sur une cigarette ! Je n'ai pas bien profité de celle du parking !

    • "Bien que ce ne soit plus l'heure, nous allons prendre un bon bain de minuit, à poil, et nous irons nous coucher !"

    Occupée à chercher le bon gâteau et à boire mon verre, je vois "mes hommes" se lever, mais je ne pige pas assez vite leurs intentions !

    Dans la minute qui suit, ils me prennent pas les pieds et les épaules, et me balancent dans l'eau, avec mes sandales, mon petit four et mon verre à la main !

    Ils éclatent de rire comme des ados !

    J'émerge un peu plus loin en les grondant :

    • "Finies les baises avec moi, en sortant je vais mettre ma ceinture de chasteté et jeter la clé ! Il ne vous restera que ma bouche, petits voyous !"

    Ils plongent me rejoindre dans la piscine et dès que leurs têtes réapparaissent, ils se mettent à crier : "la ceinture ! On veut la ceinture ! La ceinture ! La ceinture, on veut la ceinture !"

    J'abdique et après avoir reposé sur la plage, mon verre, ce qui reste de mon gâteau et mes sandales :

    • "Comme ça a l'air de vous plaire, et que je déteste cette ceinture, pour vous punir, je vais rester à poil, na !"

    Nous rions tous. Yves sort de la piscine et improvise un buffet sur le bord. J'y récupère mon gâteau gâché et un verre d'eau fraîche.

    Nous faisons les gamins dans la piscine en essayant de ne pas réveiller les voisins, je m'amuse à plonger et à ressortir en ayant pincé une des bites à ma portée, et eux font pareil avec mes tétons !

    Mais, le temps passant, je pense qu'il vaut mieux que j'arrête, car, pour leur toucher la queue, il me faut à présent toute ma main !

    Yves et moi plaisantons appuyés au bord de la piscine, et je ne sens pas arriver Javier derrière moi ! Trop tard, Yves m'immobilise et l'instant d'après, Javier rentre sa bite dans mon cul !

    Il me prend dans ses bras pour limiter mes mouvements.

    Yves s'approche par devant et m'enfile avec une grande facilité : son pieu est dur et mon con, bien lubrifié, est, en plus, plein de flotte !

    Ils m'amènent vers un endroit où nous avons pied et se régalent dans mes deux trous, jusqu'à se vider une nouvelle fois, quasiment en même temps, je ne sens que le foutre d'Yves, mais cette prise sandwiche dans laquelle je joue la saucisse de Strasbourg me fait gémir et jouir !

    Épuisée, je sors de la piscine et m'enveloppe dans la serviette en les prévenant :  

    • "Si vous avez des envies cette nuit, allez-y, mais vous n'arriverez pas à me réveiller, je suis une zombie épuisée !"

    En riant, Javier demande à Yves :

    • "Tu as déjà baisé une belle zombie, Yves ?"

    • "Non, mais je crois que cette nuit ce sera ma première fois !"

    Nous chargeons la table roulante, Javier tient à la pousser jusqu'à la cuisine et à m'aider à tout ranger, mettre au lave-vaisselle, fermer les conteneurs qui sont garantis pour 3 jours de frais et caser le reste dans nos 2 frigos ! Quand nous avons fini, je l'embrasse sur la bouche !

    • "Merci, Amo mio, j'apprécie votre aide !"

    • "Oui mais tu vas encore être punie, jejeje ! Dis moi, Loré, vous craignez une guerre ? Vous avez au moins trois mois de réserves dans vos frigos et vos congélateurs ?"

    • "Si je peux vous confier un secret, Amo mio, je suis tellement maso avec vous que chaque punition me fait jouir ! Et, quant à nos réserves, nous n'aimons pas faire les courses, et nous avons beaucoup d'amis qui savent que, même à l'improviste, ils sont les bienvenus chez nous !"

    • "C'est pareil pour moi, probablement à cause de ma petite réussite, j'ai des tas de pique-assiettes que j'adore recevoir !"

    • "Eh oui, c'est ce qu'on appelle en France : le revers de la médaille ! Au premier vous avez deux douches, Yves a déjà du se doucher et il doit dormir ! Et rassurez-vous, Amo mio, j'ai préparé un lit pour trois têtes ! Je vais me doucher en bas, je vous rejoins rapidement, laissez moi la place du centre, j'aurai accès à vos belles bites en cas de cauchemar. Un détail, avant de vous coucher, Amo mio, demandez à Yves de mettre un réveil si vous voulez vous lever à une heure précise !"

    3h>8h, la Maisonnée se repose !

    Le réveil, très mal élevé et péremptoire, sonne sur une commode où Yves l'a planqué pour obliger l'un de nous à se lever ! C'est lui qui s'en charge. Il l'arrête, ouvre les rideaux et nous réveille gentiment en nous murmurant :

    • "Il est temps de vous lever ! Je descends préparer le petit déjeuner, rejoignez moi dans le nid !"

    Et il nous laisse. Je m'étire comme une chatte, j'aurais bien voulu dormir dix heures de plus, mais il semble que ce soit impossible.

    A moins de ne pas avoir réalisé ce qui se passait, je suis très surprise, car mes hommes n'ont pas profité de moi cette nuit, il faut dire que gavés d'alcool et de sexe, nous nous somme endormis comme de vieilles souches dès que nous nous sommes couchés.

    Je me rappelle deux de leurs bras l'enlaçant, une main posée sur un de mes nichons et deux cuisses posées sur les miennes !

    A ma gauche la place encore chaude d'Yves et à ma droite Javier qui se réveille lentement, couché sur le ventre.

    Il se tourne vers moi et je sens contre ma cuisse quelque chose de dur me frôler. Tout en l'embrassant longuement sur la bouche en lui disant :

    • "Bonjour Amo mio, je vous souhaite un bon samedi !"

    Je m'assieds, lève un bout de drap et reste ébahie : il bande comme un cerf, pour lui l'érection du matin n'est pas une légende !

    Je n'ai pas l'intention de laisser passer une telle chance !

    Comme il est sur le dos, je monte sur lui et lui murmure à l'oreille :

    • "Vous pouvez vous rendormir un peu, Yves prépare le petit déjeuner"

    Je tourne sur moi même en laissant ma chatte à portée de ses yeux et j'escalade sa longue pine dont je commence à léchouiller le gland, lentement, en essayant de ne pas le chatouiller.

    Mais, très vite, la gourmande que je suis avale tout son gland que je cajole dans ma bouche humide de salive et de bonnes intentions.

    • "Putain-Loré, si tu ne t'arrêtes pas de suite, tu vas être sévèrement punie !

    • "Oui, je le sais, Amo mio, mais je vous en prie laissez moi profiter de cette si belle queue et vous vider les couilles dans mon ventre, vous me punirez après !"

    Et, je reprends ma pipe en l'enfonçant un peu plus dans ma bouche !

    • "Je t'aurai prévenue salope insatiable !"

    Et, pendant que je le suce avec gourmandise, il approche sa main de mon con et y glisse trois doigts.

    Sa bite s'échappe une seconde de ma bouche, le temps de pousser un petit cri, mais je la reprends alors qu'il farfouille dans mon con !

    Et la punition promise arrive alors que je ne m'y attends pas du tout !

    Il n'attend pas plus de jus de ma part, et me fiste le con en me faisant atrocement mal !

    Je suis obligée de lâcher son sexe et de me coucher sur le dos tellement j'ai mal, son poing est énorme, et, en plus dès qu'il me l'a enfoncé, jusqu'à ce que la moitié de son avant-bras disparaisse en moi, il bouge ses doigts dans tous les sens en me caressant les chairs intimes du vagin.

    • "Amooo mio, votre poing est trop gros pour moi, je vous en supplie, enlevez le doucement, j'ai trop mal !"

    • "Il fallait y penser avant Putain-Loré, c'est trop tard !"

    Il me pistonne le con avec son poing, sans toutefois le ressortir entièrement, ce qui me défoncerait une nouvelle fois l'entrée du vagin !

    • 'Tu voulais profiter de ma bite, entendu ! Mais il va falloir faire un peu de gymnastique : tu vas t'asseoir en mettant tes mains derrière toi, puis, te lever lentement, rassure-toi, je suivrai tous tes mouvements. Et tu finiras debout à cheval sur ma tête, et là, tu vas sentir ce que c'est que d'être fistée par un poing de mec et non par ceux des gouinasses qui doivent se régaler avec toi !"

    Je pleure de douleur et couine comme une gamine avant d'être exactement au-dessus de sa tête pour lui permettre de me défoncer le con de toutes ses forces avec son bras tendu et ses doigts fouineurs.

    • "Rassure-toi, tes glandes fonctionnent très bien, j'ai l'avant bras de plus en plus trempé et mon poing nage dans ton jus, dans cinq minutes, tu réclameras le même dans ton trou à merde ! Maintenant, tu t'agenouilles de chaque côté de mon torse et tu poses tes mains devant toi : tu constateras que tu es juste à la bonne place pour prendre ma pine en bouche !"

    J'essaye de ne plus sangloter comme une gamine, et en effet, quand je suis en levrette sur lui, sa grosse bite est juste à hauteur de ma bouche.

    • "Mais comme c'est une vraie punition, tu te tiendras sur ta seule main gauche, avec la droite tu iras chercher ton clitoris dont tu t'occuperas ! Et, bien sur tu me pomperas uniquement avec ta bouche et sans que ta tête ne repose nulle part. Tu vas vite constater que c'est une posture de punie pour une esclave comme toi et non une position de baise pour une amante !"

    Il ne se trompe pas, il continue à me ramoner le con et à caresser l'intérieur de mon vagin, alors que je martyrise mon clitoris, et quand je jouis, sans pouvoir crier à cause de ma bouche pleine de lui,  j'ai horriblement mal à la nuque et je n'arrive presque plus à le pomper !

    • "Arrête toi et couche toi sur le dos, suis bien mes mouvements et une fois que ma pine sera au dessus de ta bouche, tu me videras les couilles sans rien avaler, allez dépêche-toi Yves nous attend !"

    Cette journée commence très mal !

    Quand nous descendons l'escalier, il rit de ma démarche de canard !

    Quand il a sorti son poing gluant de mon con, j'ai cru qu'il me déchirait ! Mais la bouche pleine de son foutre, je n'ai même pas pu grogner. Il a vu, par mes larmes, que je souffrais terriblement, d'où ma démarche !

    Il a enfilé son maillot de bains, mais m'a laissée nue.

    Devant la porte de la cuisine, il m'ordonne de m'arrêter et de l'attendre. Yves n'est pas dans la cuisine, il fait un saut jusqu'au nid et, quand il revient, il me pousse juste devant notre armoire.

    • "Comme tu t'es comportée comme une esclave, certes très vicieuse, mais qui pense pouvoir diriger le monde et son Amo, je vais t'équiper comme tu le mérites pour ce début de matinée !"

    Il commence par clipser un écarteur de chevilles qui m'interdit de serrer les cuisses. Puis, ce sont deux bracelets de cuir aux coudes auxquels il relie un écarteur qui passe dans mon dos, m'obligeant à rester bien droite avec les deux mains, inutiles, qui pendouillent dans le vide.

    Il me remet, juste sous le nombril, ma ceinture de cuir. Mais il rajoute une nouveauté en me posant sur la tête, une cagoule de cuir qui laisse mes yeux et ma bouche apparents, mais condamne mon nez.

    Et, il arrive au pire : il serres de toutes ses forces deux lacets de cuir que des mécanismes l'aident à refermer autour de chaque base de mes seins. Deux minutes plus tard, ils se tranforment en ballons !

    Il me pose aux tétons des pinces crantées, auxquelles il accroche des clochettes. Il les essaye : elles teintent bien au moindre mouvement !

    Il m'enfonce le manche d'un martinet dans le cul et laisse les lanières pendre, comme si j'avais une queue, et pour finir de me remplir le corps, il glisse facilement dans mon con trois boules de geisha que je connais.

    Moins grosses que celles de la veille mais elles sont télécommandées, et chaque fois qu'une boule en cogne une autre, elle file à toute vitesse et frappe n'importe quoi : un coin du vagin, ou une autre boule !

    Puis il clipse à mon collier une longue chaîne qu'il fait descendre dans la raie de mes fesses, il en profite pour lui faire faire un tour autour du manche du martinet, remonte par l'avant en séparant mon sexe en deux et la fixe en la tendant bien à un des anneaux de ma ceinture.

    Il termine pas des spartiates qui laissent mes orteils très découverts, et me les enfilent. Pour une fois Amo mio est à mes genoux ! Mais il a préparé huit petites pinces en plastique et les glisse une à une entre mes orteils, en prenant soin de les glisser le plus loin possible entre les orteils, pour pincer le plus de chair possible, avant de lacer les spartiates jusqu'au dessus de mes genoux !

    Il se relève, me fait tourner sur moi même et semble satisfait :

    • "Tu es grotesque avec tes mains qui pendouillent dans le vide, et ta queue de cheval ! Tu ne pourras pas faire un pas sans que les clochettes nous préviennent ! Mais, chaque pas va te coûter cher, car les pinces entre tes orteils sont très douloureuses ! Tes nibards vont vite virer au violet ! Mais, tu es la véritable esclave-sexuelle-maso-musicale, que je voulais ! Rejoignons vite Yves !"

    Il met en route les boules et nous marchons jusqu'au nid où nous attend Yves, qui est très surpris de me voir arriver, accessoirisée comme ça !

    • "Bonjour, Yves, je te présente notre nouvelle pute-maso, elle a mal démarré la journée en voulant n'en faire qu'à sa tête, mais, avant qu'elle ne te raconte tout en détail ! Sers lui une grande tasse de café, elle a le lait dans la bouche pour se faire un super-expresso- au-foutre-tiède !"

    Yves comprend que j'ai pompé Javier sans avaler son sperme ! Il me sert une tasse de café tout frais. Debout devant la table, je ne peux pas m'asseoir.

    Javier me pousse la tête jusqu'à ce que mes lèvres touchent la tasse et sans attendre son ordre : je vide ma bouche dans le café, pendant qu'ils se moquent crûement de moi !

    Yves remue ma mixture, et, Javier me met la tasse dans la main droite et m'aide à la porter à mes lèvres en me conseillant :

    • "Bois à petites gorgées, le foutre matinal de ton Amo !"

    Je mets un temps fou à tout avaler. Malgré mon envie de vomir, j'essaye d'être le plus souriante possible ! Après tout, je voulais son foutre et je suis en train de le boire, donc mon objectif pervers est atteint !

    • "Elle a eu ce qu'elle voulait ! Dis-moi, Yves, j'ai besoin d'un cubi de cinq litres vide, tu as ça ?"

    • "Oui, dans le garage, tu veux que j'aille t'en chercher un ?"

    • "Pas de souci, j'y vais, je préfère le choisir moi-même et j'ai besoin d'autres accessoires !"

    Et il nous quitte pour aller dans le garage, qu'Yves veille à toujours tenir bien ordonné !

    • "Eh bien, Amour, quelle punition ! Humiliée avec tes mains de pantin, ta queue de cheval jaillissant de ton cul et tes clochettes détectrices de mouvements ! Javier t'a gâtée ! Tes pinces dentelées doivent te cisailler les tétons, tes nichons trop serrés vont changer de couleur et te faire de plus en plus mal. La chaîne qui te cisaille la moule doit être aussi gênante que les pinces encastrées entre tes orteils ! Quelle grosse bêtise as-tu faite pour que ton Amo te punisse aussi durement ?"

    Je suis très mal à l'aise en lui répondant :

    • "Quand tu nous as réveillés et que tu es descendu à la cuisine, il s'est retourné sur le dos avec une érection phénoménale, j'ai tenté de lui léchouiller et de lui sucer le gland, autant pour lui faire plaisir que d'envie de m'empaler dessus pour profiter de l'occasion l Mais je n'ai pas pu et pas su attendre ses ordres ! Il était très colère, et m'a fisté le con, m'a obligée à me mouvoir avec son avant bras dans mon ventre, jusqu'à ce que je sois debout sur lui. Il m'a longuement pilonné le con en me faisant crier de douleur. Sans m'enlever son poing, j'ai du me mettre en levrette, en lui montrant mon cul, m'appuyer sur une seule main et profiter de l'autre pour me tripoter le clito jusqu'à ce que je jouisse dans la douleur. Quand j'ai pu récupérer ma main, je l'ai sucé et branlé jusqu'à ce qu'il se vide les couilles dans ma bouche, sans avoir le droit d'avaler son foutre !"

    Humiliations + douleur = honte + cauchemar !

    Yves me donne gentiment une viennoiserie à manger et me sert un grand verre d'eau fraîche qui me permet d'oublier ce que je viens d'avaler. Il m'allume une cigarette que j'arrive à fumer malgré mon bras ballottant ridiculement.

    Javier revient avec un tas de matériel, visiblement, il a trouvé tout ce qu'il cherchait !

    Et, il nous en fait un inventaire détaillé :

    • "Ton garage est une véritable Caverne d'Ali Baba, Yves, et comme tout est minutieusement rangé ou étiqueté dans des cartons, j'ai tout trouvé : un cubi de 5 litres vide, du vinaigre blanc, un long tuyau, une canule avec son robinet, et une raquette de ping-pong, avec de beaux picots extérieurs en latex !"

    • "Je ne vois pas immédiatement à quoi va te servir tout ça, particulièrement le vinaigre blanc, mais je fais confiance à ton expérience !"

    • "Rassure-toi, ta salope de femme le sait déjà, demande-lui de nous prédire son futur immédiat !"

    • "Alors, Loré, que me réponds-tu ?"

    Je baisse les yeux et regarde mes orteils écartelés pas les pinces.

    • "Amo mio va remplir le cubi d'eau tout en y incorporant un peu de vinaigre nettoyant. Il le posera probablement sur le bar, le reliera au tuyau auquel il fixera une canule qu'il m'enfoncera le plus loin possible dans mon cul. Puis, il ouvrira plus ou moins le robinet pour me faire un lavement rapide ou lent, selon son envie. Quand mon cul et mes intestins seront pleins, il m'emmènera dans un endroit tranquille et utilisera la raquette de ping-pong comme paddle pour me rougir le cul. Il me laissera seule, pendant le temps qu'il voudra, jusqu'à ce que je n'en puisse plus et que je le supplie de m'autoriser à expulser le contenu de mon cul, n'importe où, mais surement devant vous et la caméra !"

    • "Vous avez tous les deux autant d'imagination ! Tout est exact, Javier ?

    • "Je n'aurais pas pu ni voulu répondre aussi clairement, mais je suppose que pour Putain-Loré, cette humiliation n'est pas une première ! Yves, si tu veux te choisir un autre paddle, tu peux aller t'en chercher un dans votre armoire. A deux paddles son petit cul va vite devenir bouillant et rouge vif, bien que je sache parfaitement qu'elle déteste les fessées !"

    Yves rit et file vers l'armoire, pendant que Javier prépare son matériel.

    Il pose le cubi sur le bar et ouvre le frigo. Il en sort quatre bouteilles de Contrexeville, d'un litre et demi chacune. Il fouille dans les placards et trouve l'entonnoir qu'il voulait !

    Il transvase rapidement trois des bouteilles. Il sort un verre et le remplit de vinaigre blanc qui, à son tour rejoint l'eau du cubi, qu'il complète avec ce qu'il faut avec la quatrième bouteille pour qu'il soit rempli.

    Il range la bouteille entamée dans le frigo et me demande :

    • "Dis moi, Putain-Loré où puis je trouver un tabouret ?"

    • "Dans la cuisine ou dans la salle de bains, Amo mio"

    En allant le chercher, il croise Yves qui revient avec son paddle, j'entends Javier le féliciter pour son choix et Yves lui dire :

    • "Vas terminer tes préparatifs, je vais te chercher un tabouret"

    Javier revient avec le paddle choisi par Yves :

    • 'Ton Tendre a fait un bon choix : cuir souple et manche pratique !"

    Il fixe une extrémité du tuyau au cubi et prépare la canule à l'autre bout. Quand Yves revient, il prend le tabouret, le pose sur le bar et met le cubi dessus. La hauteur lui convient et le tuyau a la bonne longueur !

    Il me demande de me pencher sur la table.

    Il s'approche de mon cul et entre sans aucune difficulté, le bout de plastique fin dans mes fesses, le robinet reste accessible à l'extérieur.

    • "Redresse toi et mets-toi comme ça !"

    Il m'indique la pause en la prenant lui même : de trois-quart, dos tourné au bar et face à eux.

    Cette position ne cache pas le tuyau qui sort de mon cul, ni mon visage un peu grimaçant de honte  !

    • "Je ne connais pas le débit de ce robinet, mais si me fie à ceux que j'utilise, en rapide, il faut dix minutes, à mi-débit, vingt et à débit lent, environ trente minutes, on choisit quoi Yves ?"

    • "Personnellement, j'essaierai de la remplir en quinze minutes maxi, le temps de prendre tranquillement notre petit déjeuner ! Mais tu ne lui enlèves pas le martinet ?"

    • "Oui, quinze minutes c'est bien, suivront quinze autres de fessée, et on essaiera de la faire patienter trente autres minutes avant de la laisser se vider. Ca me semble être un bon timing ! Quant au manche de martinet, je ne l'ai même pas senti en l'enculant avec la canule, on le retirera pour la fesser ! C'est un bon timing car nous ne pouvons pas exagérer la durée de ce qui la blesse ou lui fait mal, ça fera environ mois de deux heures à rester accessoirisée, ça devrait aller, elle est résistante !"

    Un long calvaire dure combien de temps ?

    Javier ouvre et règle le robinet, et je sens de suite l'eau glacée s'écouler dans mon cul. Ils me laissent à mon remplissage et s'asseyent. Yves va chercher des compléments pour le petit déjeuner, sans quasiment s'occuper de moi sauf à la mi-temps d'un :

    • "Ca va, Putain-Loré, tu sens ton cul et tes intestins se glacer, grossir en toi et te faire du bien, toi qui aime tant être enculée ?"

    Je ne trouve rien à répondre, ils rient et continuent leur petit déjeuner, mais le cubi se vide plus tôt que prévu, alors qu'ils n'ont pas fini !

    • "Pas de souci, Yves, je vais rajouter ce qu'il me reste de la quatrième bouteille et nous pourrons finir tranquillement, cinq ou six litres ça ne change rien !"

    Aidé par Yves, c'est en effet très rapide, mais le reste de la bouteille qui vient directement du frigo me congèle presque les intestins !

    Ils ont le temps de finir leur petit-déjeuner et allument leurs cigarettes, alors que le cubi vide ses dernières gouttes ! Javier se lève, m'ôte la canule et me dit en me souriant vicieusement !

    • "Putain, tu va chercher toi-même, en restant dans cette partie du jardin, l'endroit où tu veux que tes fesses deviennent cramoisies, car, après tu y resteras au moins trente minutes en te convulsant pour ne pas perdre ton précieux liquide, et nous voulons te voir et te filmer d'ici !"

    Je regarde partout, et un emplacement me saute aux yeux : face à une dizaine de Rosiers qu'Yves m'a offerts et plantés, car ces Roses sont une variété créée par un ami horticulteur de Riom : Les Roses Loré !

    • "Devant le parterre des Roses Loré, Amo mio ! Yves sait très bien où il est !"

    Yves sourit et raconte en quelques mots l'histoire de ces Roses uniques au monde !

    • "Superbe cadeau, très romantique, au moins ta femme aura un beau paysage devant elle pendant que deux sadiques la feront souffrir, nous sommes vraiment à la frontière entre le sado-masochisme et le romantisme !"

    Parfois seulement quarante-cinq minutes !

    Nous nous dirigeons vers le parterre de Roses, qui sont, en effet magnifiques, Javier me positionne à sa manière, un peu penchée vers l'avant, et m'ôte délicatement le manche du martinet du cul.

    Je sens mon ventre ballonner comme si j'avais bu une pleine citerne de flotte ! Je sais que j'en ai pour quinze minutes à souffrir, il faut donc que je compte jusqu'à 900 ! Mais je serre déjà les dents.

    Ils auront mes cris de douleur, mais pas tout de suite, et, en plus je déteste la fessée qui est la seule chose à m'assécher le con, tellement je la hais ! Mais si mon Amo ne me faisait que ce que j'aime ? Serait-ce encore mon Amo?

    Je reconnais bien les coups du paddle lisse d'Yves et celui qui enfonce ses picots dans mes chairs de Javier, je continue à compter les coups sans quitter mes Roses du regard !

    Je suis en larmes, mais je suis à peine à 820 quand les coups cessent ! J'ai du me tromper quelque part, mais tant mieux !

    Gentiment, Yves m'a apporte une serviette et de l'eau fraîche, il m'enlève ma cagoule, me mouille tout le visage tendrement et avec soin, il enlève au passage toutes les traces de mes larmes.

    Un bisou sur la bouche et il remet ma cagoule en place. Sans que je ne change ni de position ni d'endroit.

    C'est dur de ne pas pouvoir se soulager !

    Ils retournent s'asseoir, je suis trop éloignée pour les entendre.

    Je l'apprendrai plus tard par Yves !

    Il s'asseyent, sans me quitter des yeux, et Javier demande à Yves :

    • "Tu te rappelles que je t'ai parlé d'une femme : Anita ?"

    • "Oui, bien sur, très bien. Tu devais faire le nécessaire pour qu'elle nous rejoigne le deuxième jour, mais je n'en sais pas plus !"

    • "J'attendais sa réponse avant de t'en dire plus, ça me semble inutile d'annoncer des rencontres qui ne peuvent pas se faire ! Tu vas en savoir beaucoup plus, et, en premier, avec son accord, je vais te la montrer sur deux photos récentes !"

    • "Wouah ! Elle est superbe !"

    Javier, Amo mio 2 1 Javier, Amo mio 2 2

    • "Oui, en effet ! C'est un canon ! Pour te la présenter rapidement : nous étions tous les deux étudiants, et nous avons sympathisé. Mais sans devenir intimes, car elle m'a vite déclaré qu'elle n'aimait que les femmes, et encore certaines femmes, en bref, c'était une Domina, fière de l'être. Elle faisait comme Loré pour payer ses études avec des passes de call-girl-Domina. Elle a eu la chance de ne jamais se fait prendre par la police des mœurs"

    • "C'est ce que je souhaite pour Loré, ce serait une catastrophe, mais avec les relations de Cathy, elle est intouchable !"

    • "C'est à cette période que j'ai découvert mes pulsions sado-maso. Je lui en ai parlé, comme à une bonne copine. Mais quelques jours plus tard elle m'a proposé de faire nos passes en binôme, quand nous tombions, elle ou moi, sur un couple de femmes soumises ou sur une femme soumise avec un mari passif et voyeur. Même en partageant les gains, ça nous ferait un revenu pour payer nos études, et ma présence la rassurerait. Elle a même rajouté, un peu vicieusement, que je pourrai baiser ses soumises qui prendraient cette épreuve comme une punition ! Ce qui me consolerait de ne pas pouvoir la baiser, elle !"

    • "Belle offre ! Et ça a fonctionné ? Je vois que Loré bouge de plus dans tous les sens, elle doit avoir très envie de se soulager !"

    • "Oui, j'ai vu, laissons là jusqu'à ce qu'elle nous supplie de se vider, si elle le demande, il faudra vite lui donner la permission !"

    • "Ok, j'ai compris ton fonctionnement, mais si elle nous crie "papillon" il faudra agir de suite ! Je te laisse continuer !"

    • "Ah ! Papillon est votre "safeword", c'est bon à savoir ! Je remonte dans le temps, Anita est intervenue dans ma vie à mes vingt-deux ans, et nous avons fonctionné en binôme pendant cinq ans. En partie grâce à elle, j'ai pu auto-financer mes études ! Je dois te dire que nos rendez-vous étaient autour de Valencia mais jamais en ville. A la fin de nos études, elle est allée faire un stage en France, à Nevers que tu dois connaître"

    • "Oui c'est à environ 160 km au nord de Clermont-Ferrand"

    • "Elle a rencontré la Patronne d'un gros laboratoire de pharmacie, de son âge, de sa beauté et avec les mêmes penchants sexuels. J'ai continué seul en utilisant largement son carnet de soumises, et nous sommes restés annuellement en contact ! Et, ces dernières années, elle m'a annoncé qu'elle s'était mariée avec sa compagne qui s'appelle Océane et qu'elles avaient adopté deux petites asiatiques. Elle a à présent, 38 ans et continue pour le fun à rencontrer des lesbiennes soumises"

    • "Belle carrière, et tu lui as donc fait part de ta présence à Clermont et de la raison réelle pour laquelle tu étais venu ?"

    • "Oui, dès que j'ai eu votre réponse, j'ai pensé à elle ! C'était une moyen de me faire plaisir en la revoyant. Vous connaissant tous les deux, et sachant ce qu'aimait Loré, j'étais sur que nous pourrions passer quelques heures excitantes tous les quatre. J'ai longuement dialogué avec elle depuis mon bureau, car, elle est en congé en Août alors qu'Océane est clouée à son Entreprise. Mais tout comme vous, elles n'ont aucun secret entre elles. Océane facilement accepté ce rendez-vous, car Anita lui avait longuement parlé de moi, et elle a même dit qu'elle regrettait de ne pas pouvoir se joindre à nous !"

    • "C'est curieux, mais, elle n'a rien d'une Domina sur ses photos !"

    • "Très juste, mais ça cache bien son secret ! En fait, elle adore soumettre des femmes plutôt que des jeunes filles ! Loré entre tout à fait dans la catégorie de ce qu'elle cherche pour s'éclater, car, elle aussi est multi-orgasmique, à une grosse différence près : c'est une femme-fontaine qui a donc des orgasmes féminins qui sont parfois des torrents de sperme ! Mais tu dois connaître ça ?"

    • "Pas trop, j'en ai rencontré deux dans toute ma vie sexuelle, et la première fois, j'ai été dégoûté car je pensais qu'elle me pissait dessus, mais, avec l'autre, je me suis régalé, car entre temps je m'étais renseigné sur ce fameux sperme sans spermatozoïdes qu'éjaculent certaines femmes-fontaines !"

    Javier éclate de rire, et répond :

    • "C'est vrai, la première fois c'est étrange quand tu n'es pas prévenu. Pour moi et sans me vanter, j'ai fait jouir la première, une soumise, en lui refusant l'orgasme tellement de temps, qu'elle a joui en m'inondant d'au moins un demi litre ! J'ai du lui expliquer ce qui venait de lui arriver ! Nous sommes devenus très copains et elle m'appelle de temps en temps pour me demander si je veux que la fontaine coule ! Je ne le lui refuse jamais !"

    • "Oups, à propos de fontaine, il faudrait s'occuper de Loré, je crois qu'elle n'en peut plus !"

    • "Oui, elle a dépassé vaillamment les trente minutes, et, sans nous supplier ! Il faut-y aller, prépare ta caméra !"

    • "Une question de Candide : ce qui va sortir de ses fesses sera sale ou propre ?"

    • "Ta femme a toujours le cul très propre, et nous lui avons injecté de l'eau avec un léger nettoyant, ce qui va sortir de son cul sera de l'eau de source, connaissant son dégoût pour la merde, jamais je ne lui aurais imposé ça s'il y en avait eu !"

    • "Ca te dérangerait qu'on lui enlève tous ses accessoires avant de la laisser se vider. Tu pourrais même exiger d'elle qu'elle se branle et jouisse en faisant cette chose obscène, elle ne peut pas le faire accessoirisée comme elle l'est et ça rajouterait de la honte si elle prend du plaisir en se montrant totalement vicieuse et indécente ?"

    • "Tu as raison, nous allons la libérer, la laisserons se vider le cul, debout en se branlant d'une main et en se touchant l'anus de l'autre ! Mais où comptes-tu la filmer ?"

    • "Puisque ce sera propre, elle arrosera ses Roses Loré !"

    • "Wouah, super idée, ce ne sera pas très romantique mais super hot ! Allez, on y va !"

    Pauvres Roses je leur donne ce que je peux !

    Je dois être livide de douleur à force de me tortiller et de me retenir pour ne pas libérer mon sphincter.

    Mais, têtue comme une mule, je n'ai pas voulu crier ou supplier pour que Javier me donne son autorisation.

    Mais quand je vois mes hommes venir vers moi, je sais que j'ai gagné et que j'ai résisté à la honte, à la douleur, à une envie si naturelle, quotidienne et logique, surtout dans mon cas !

    En fait, je me sens moralement plus forte qu'avant le début de cette épreuve ! Mais que ce chemin de croix a été long !

    Ils arrivent avec un grand sac, Yves s'agenouille à mes pieds, et une par une, en frottant très fort l'endroit libéré avec la pommade, il m'enlève les pinces que j'ai entre les orteils et les jette dans la corbeille.

    Javier m'enlève la cagoule qui me colle au visage.

    Il déclipse ma longue chaîne, défait le tour de chaîne du manche de martinet, fait très attention en les sortant tous les deux de la raie de mon cul, et, encore plus en la détachant de mon con asséché par la fessée, il la déclipse de la ceinture et elle rejoint le reste.

    En même temps, ils me libèrent des écarteurs de coudes et de chevilles. Je peux, enfin bouger mes bras et mes jambes !

    Javier défait facilement les lacets de mes seins qui tombent et se dégonflent d'un seul coup, je baisse les yeux, ils sont violets !

    Il s'apprête à ôter les pinces crantées et leurs clochettes, mais appelle Yves à son secours pour qu'il vienne de suite me passer la pommade pour essayer de me calmer, mais je ne peux m'empêcher de hurler tout en atténuant mes cris en me mordant les lèvres !

    Puis, tous les deux me libèrent de mes bracelets de cuir. Yves se charge des boules de geisha qui n'ont pas réussi à me faire jouir, simplement parce que Javier les a maintenues à leur plus petite vitesse.

    Il me reste mon collier d'esclave, mais Javier me dit :

    • "Celui là tu le gardes, Putain-Loré !"

    Yves m'ôte mes spartiates, et je me retrouve entièrement nue et libérée.

    Mais mon ventre gronde comme un volcan préparant une éruption !

    Ils l'entendent tous les deux, et Yves me dit :

    • "Quand tu le voudras, tu pourras te vider sur tes amies les Roses, elles vont être heureuses, et ce qui va sortir de ton cul, leur fera du bien et ne leur causera aucun préjudice !"

    Je crois mon Tendre sur parole, et je demande timidement :

    • "Amo mio, quelle position dois-je adopter ?"

    Sa réponse est très franche :

    • "Celle que tu voudras ma petite salope, tu as gagné par ta volonté le droit de vider ton cul comme tu l'entends, reste, si possible debout, penchée en avant, et si tu t'en sens le courage, branle toi le con de ta main droite et caresse ton trou du cul de la gauche, ce sera très excitant pour tes futurs spectateurs, mais tu fais ce que tu peux, je ne t'en voudrais pas si tout n'est pas réussi !"

    De telles paroles dans la bouche de mon Amo me surprennent, et m'obligent positivement à me fixer l'objectif de tout faire, malgré la sécheresse de mon vagin et la répulsion de mouiller ma main avec ce qui va sortir de mon cul !

    Ouf ! Le calme après la tempête !

    Quand je reviens au nid, je bois deux grands verres d'eau d'affilée.

    Et Javier m'annonce une bonne nouvelle !

    • "Tu vas pouvoir te reposer trente minutes, belle salope, profites-en comme tu le veux ! Mais reviens nous nue et en pleine forme !"

    Dès que je m'éloigne, Yves me dira plus tard qu'il a calé sa caméra sur la dernière partie des Rosiers : et qu'en prenant un café et en fumant une cigarette, ils m'ont longuement regardée me vider le cul.

    Ma position était parfaite : mon corps, penché en avant, faisait se balancer mes nichons au rythme de mes mouvements. Et, j'avais de suite posé ma main droite entre mes cuisses, pour faire en sorte de lubrifier très vite, et pouvoir me branler jusqu'à l'orgasme, ma main droite avait les doigts posés sur mon anus !

    Mais, curieusement, le flot n'est pas venu de suite, mon expulsion a commencé par des petits jets qui ont eu de la peine à atteindre mes Rosiers, mais ce n'était que l'avant garde, car très vite, sans même que j'aide en poussant ! Des jets puissants, en effet très propres, ont jailli tout de suite après, par saccades, de mon anus.

    Mes doigts sentent la tiédeur du liquide qui n'a aucune odeur, et ça dure longtemps ! Yves me dira qu'en tout ça avait duré cinq minutes, un litre à la minute ! Un débit de fontaine !

    Yves a eu du travail, il passait de mon vidage du cul à mon visage qui changeait d'aspect au fur et à mesure de la montée de mon excitation ; de ma branlette mais aussi de la situation et de la scène tout à fait obscène que je leur offrais, à eux et à la caméra !

    Mais heureusement que l'eau était bien propre, je n'aurais jamais pu supporter de m'exhiber à mes fans en train de me vider de ma merde !

    • "Super clip ! Mais, c'est amusant : il faut titiller ta femme pour qu'elle fasse tout ce que tu veux, en lui disant qu'elle a le droit de ne pas tout faire ! Que c'est compliqué une femme !"

    • "A qui le dis-tu, cher Javier ! Avec Loré il faut tenir compte principalement de son caractère frondeur et de son amour des défis impossibles, c'est une battante dans la vie et elle le reste un dans la soumission en essayant de tout faire parfaitement !"

    • "Super matinée, Yves ! On s'est régalés de mater ta femme, de la fesser et de la voir se vider en jouissant ! Mais aussi, nous avons eu le temps de parler tous les deux, et c'était important !"

    • "Ah ce sujet, à quelle heure arrive Anita ? Et que lui as-tu dit exactement sur Loré ?"

    • "Elle devrait être là vers 13h, elle m’appellera quand son GPS lui dira qu'il reste dix minutes avant d'arriver à destination. Pour le reste, ne te fais pas de souci, elle m'a envoyé un long mail auquel j'ai répondu, elle connaît les tabous de Loré, ses envies les plus fortes, son attachement pour l'humiliation, le respect de la douleur si elle est excitante et des tas d'autres choses très intimes. Rappelle toi qu'elle domine des femmes depuis maintenant plus d'une décennie. Ce n'est pas Cathy, mais elles me semblent toutes les deux aussi intelligentes et surtout très psychologues. Ce n'est pas une Ama qui débarque sans avoir plusieurs scénarii en tête !"

    • "C'est parfait ! Je vais chercher champagne et tapas, nous allons prendre un petit apéro, c'est l'heure, tout au moins en France. Deux petits points, quand tu lui parleras, demande lui comment Loré doit l'accueillir, lieu, tenue et pause ? Et, il me semble très important que Loré apprenne le plus tard possible que c'est une femme ! Mais que, comme avec toi, la session démarre de suite !"

    • "Ok, Yves, ce sera fait et elle aura dix minutes pour se mettre en tenue et en place, et nous, nous  avons le temps de préparer et de boire notre apéro, mais je vais avec toi pour t'aider !"

    Ils se dirigent vers la cuisine, en passant devant la salle de bains, ils m'entendent chantonner ! Ils sourient et sont rassurés sur mon moral !

    Wouah ! Un apéro au champagne !

    Quand j'arrive dans le nid, nue et rajeunie d'au moins un mois ! Yves me sert une flûte de champagne et il avance vers moi les tapas froides et tièdes qu'ils sont en train de déguster. Je m’allume de suite une cigarette ! Ils sont toujours en maillots de bains, et semblent avoir une super forme !

    Javier m'informe :

    • "Putain-Loré, il est juste midi. J'attends un appel qui va décider de ce tu vas avoir à faire pendant quelques heures, il est donc important ! Je vous quitterai quelques minutes pour répondre, mais, en attendant, tu devrais récupérer le panier et ranger les accessoires en vérifiant qu'ils sont bien propres, tu peux t'interrompre pour venir manger, boire ou fumer une cigarette !"

    • "Bien, Amo mio, je vais tout ranger soigneusement !"

    Je remarque en prenant le panier, alourdi par les chaînes, qu'ils ont fait disparaître le cubi et ses accessoires et je vais dans le salon.

    J'extrais ce qui est un peu sale, comme les boules, le martinet et la cagoule et vais dans la cuisine pour les nettoyer et les sécher.

    Tout me posant des questions sur ce coup de fil ! Un rendez vous à l'extérieur ou quelqu'un qui nous rejoint ?

    Je reviens boire une gorgée, un bisou à Yves et je repars pour terminer, il me faut défaire les nœuds faits pas les chaînes et plier les écarteurs, mais quand je reviens, le panier est vide !

    Le téléphone de Javier vibre, et il décroche :

    • "Bonjour cher Monsieur, excusez-moi, mais je suis pas seul, Yves et son épouse Loré sont avec moi, je vais les laisser, je vous reprends de suite"

    Que de mystère ! Ils ont invité un autre homme qui connait nos prénoms ? J'en aurai donc trois sur les reins ou dans les reins ?

    Mais je ne dis rien et avale quelques tapas pendant que Javier s'isole.

    • "Nous n'avons pas le temps de te montrer les images de tes fesses rougies et ton vidage, pardon, tu les verras une autre fois."

    • "Pas grave Amour, nous les visionnerons dans le canapé, en te faisant une belle pipe sans quitter la télé des yeux, ce sera bien pus excitant !"

    • "Exact ! Tu as toujours d'excellentes idées coquines !"

    • "Bah, il faut bien que je me serve de ma petite cervelle, mon Chéri, tu sais avec qui Javier est en train de parler ?"

    • "Oui, mais c'est top-secret !"

    Je ne réponds rien et lui demande une autre flûte de champagne !

    Javier revient avec son téléphone coupé :

    • "Me revoilà, pardonnez-moi ces cachotteries, mais j'avais quelques points à régler, comme le dit, si diplomatiquement, Loré au téléphone !"

    Cette allusion à mon appel du jeudi me fait sourire !

    • "Et maintenant tu as toutes tes réponses ?"

    • "Oui, toutes et bien détaillées, comme tu l'as compris, Putain-Loré, nous allons recevoir une quatrième personne ! Son arrivée est prévue pour 12h30. Comme quand je t'ai découverte en chair et en os, tu as des instructions détaillées, mais, pour le moment, Yves, il faut que nous sortions la voiture de Loré du garage, et nous avons quelques préparatifs à y faire. Putain-Loré, tu peux faire ce qui te plaît, mais ne viens pas au garage merci !"

    • "J'ai donc le temps de fumer, de boire et de manger ?"

    • "Un bon quart d'heure ! Nous filons au garage ! A tout de suite !"

    Je les laisse faire leurs petites affaires, m'allume une cigarette, choisis soigneusement mes prochaines tapas et profite à fond de mes quinze dernières minutes de tranquillité !

    J'entends la porte électrique du garage s'ouvrir, ma voiture démarrer et quelques secondes après, la porte se referme.

    Voilà donc un quatrième qui aime les garages ! Quelle idée, on est si bien dans un lit, sur une table ou devant un beau parterre de Roses ! Bah, tous les goûts sont dans la nature !

    Je n'entends plus rien et vais finir ma cigarette en me mouillant un pied dans la piscine. Pffff quel délice ! Je vérifie le thermomètre immergé : elle est à 30° ! Une vraie baignoire ! Je reviens pour écraser ma cigarette, engloutir deux tapas et boire une gorgée de champagne.

    Quand ils reviennent, je suis allongée à poil sur un transat bain de soleil Je suis toute humide, visiblement je viens de me baigner !

    Avec un grand sourire, je leur communique la température de l'eau !

    • "Tu as bien fait d'en profiter, Chérie, mais rassure toi, Chérie, nous aurons surement le temps de tous nous y baigner. Il est vrai que 30°, c'est presqu'un record pour notre région !"

    • "Bien, il est temps de te dire comment ce quatrième veut faire ta connaissance : pour ta tenue, elle est simple : à poil, des escarpins de soirée à talons très hauts, ton collier d'esclave et les yeux bandés, c'est clair ?"

    • "A part mettre mes escarpins et un bandeau sur les yeux, le reste est prêt !"

    • " Et pour l'attendre : debout dans un coin du garage, tête tournée vers le mur, cuisses un peu ouvertes et mains croisées sur la tête en faisant attention que tes bras soient bien parallèles à tes épaules, rien de bien difficile ?"

    • "En effet, position d'une soumise s'offerte, je la connais !"

    • "Vas choisir tes chaussures dans ta chambre, nous te rejoignons avec un bandeau et nous t'amenons au garage !"

    Suite dans Javier, Amo mio 3


    votre commentaire
  • Javier, Amo mio 3

    Me voilà bien rangée dans le garage !

    Ils ont choisi un coin du garage, où il n'y a rien et où je peux faire face au mur sans être gênée. Perchée sur mes hauts talons, je m'installe dans le coin choisi, et comme il me le demande, bien droite. J'écarte un peu mes cuisses, sans être provocante, et je croise mes mains sur la tête en les alignant avec mes épaules.

    Javier semble satisfait. Yves m'enlève deux secondes les mains pour me mettre mon bandeau, et il les repose au même endroit.

    • "A tout à l'heure, Putain-Loré, et sois bien sage !"

    A quelques minutes d'une séance de quelques heures, je ne risque pas de faire des bêtises et de sauter à cloche-pieds avec mes talons trop hauts et mes seins nus !

    Ils quittent le garage par la porte d'accès intérieure, juste au moment où j'entends un bruit de moteur stopper devant la maison.

    J'ai appris la suite par Yves quelques jours plus tard :

    Anita est descendue, a pris un gros sac dans la malle sans la refermer, est entrée par le petit portail où ils l'attendaient. Ils se sont salués, et en posant son sac, elle leur a annoncé qu'elle n'avait pas pu laisser ses deux jeunes labradors à Nevers, et qu'elle les avait donc pris avec elle. Mais, qu'il leur fallait juste un espace ombragé et qu'ils étaient très bien éduqués et très obéissants.

    Yves l'a rassurée, et elle est allée les chercher en laisse pour les emmener dans le jardin : deux magnifiques jeunes labradors joueurs qui ont de suite faits des fêtes à mes hommes ! Elle leur a confié les laisses et est allée finir de décharger sa voiture avant de la fermer.

    Elle portait deux grosses gamelles à remplir d'eau et deux autres pour les croquettes qu'elle avait aussi apportées. Yves a proposé de les laisser sur notre terrasse extérieure d'entrée. Elle a trouvé ça très bien. Et il est allé chercher deux couvertures dans la buanderie, qu'il a étendues sur le carrelage. Les deux adorables chiens se sont de suite couchés dessus alors que Javier revenait avec les gamelles pleines d'eau fraîche.

    Elle les a libéré de leurs laisses, en leur assurant qu'ils ne bougeraient pas de cet espace tant qu'ils ne la reverraient pas. Yves a laissé le sac à leur garde. Et a dit qu'ils allaient vers la piscine, mais en passant sur le gazon, car j'avais l'oreille fine, et si j'entendais un bruit de talons aiguilles, la surprise serait éventée !

    Ils ont bu du champagne, mangé des tapas et fumé, mais le principal de la conversation s'est concentré entre elle et Javier, très heureux de se revoir après tant d'années.

    Au bout d'une dizaine de minutes, Javier lui a rappelé qu'elle avait un rendez- vous, et que je l'attendais, tout en l'assurant qu'ils trouveraient des plages de pause pour continuer à papoter.

    Anita lui a confié qu'Océane, l'invitait officiellement chez elles pour passer le temps qu'il voudrait, pour changer d'air ou passer des vacances. Et que cette invitation nous concernait aussi, à mes risques, car si Océane n'était pas active en bdsm, elle adorait mater et filmer ! Elle a rajouté que c'était un Yves au féminin !

    Javier était enchanté de cette invitation et l'a assurée qu'elles pouvaient compter sur lui, et qu'il ferait tout pour que nous les rejoignons, ne serait-ce qu'une journée si Océane pouvait se libérer !

    Heureuse de cette réponse, elle s'est vite remise dans son rôle et a demandé où était son sac et où elle pouvait se changer ?

    • "Je vais chercher ton sac, Javier va t'indiquer la chambre d'amis où tu seras tranquille et tu pourras y laisser tes affaires"

    • "Merci, Yves, mais une fois changée, il faut que le sac me suive partout, j'ai quelques accessoires qui plaisent aux dames, et je suis habituée à eux !"

    • "Aucun problème, Yves et moi ferons suivre ton sac !"

    • "A propos du garage, vous avez pu l'équiper comme je vous l'ai demandé ? Si oui, la séance du garage va durer très longtemps !"

    • "Tout est exactement comme tu me l'as décrit au téléphone, il faut reconnaître que pour transformer le garage d'Yves en "mazmorra", il ne faudrait pas grand chose !"

    • "Hum, "mazmorra", je n'ai pas entendu ce mot depuis mon départ de Valencia, c'est vrai qu'il y en avait de belles là-bas !"

    • "Nous avons fait au mieux mais je crois que tu seras à ton aise. Yves, tu as peut être une question à poser à Anita ?"

    • "Oui, est-ce que tu penses être capable de cacher ton sexe un maximum de temps à Loré ?"

    • "Tu me demandes de changer de string ?"

    Nous éclatons de rire, elle est superbe et a, en plus, beaucoup humour !

    • "Rassure toi Yves, elle mettra plus d'une heure, avant de réaliser que je suis une femme ! Je me suis gravé un petit scénario dans la cervelle pour ça ! J'entrerai pieds nus dans le garage. Je vais même te confier un secret entre Jav et moi ! Quand j'ai appris qu'elle adorait être surprise, je me suis mis de l'eau de toilettes pour homme. Mais quand je suis allée embrasser Océane dans son bureau, elle m'a reniflée et m'a engueulée en me disant que je sentais le chien ! J'ai du tout lui expliquer ! Et on a terminé en riant toutes les deux ! Et je lui ai promis que ce soir je l'attendrai au lit, à poil, chaude à point et seulement arrosée de mon Guerlain !"

    Nous éclatons de rire et la laissons se changer.

    Elle était arrivée en jean déchiré de partout, avec un tee-shirt informe qui montrait tout de même l’opulence de sa belle poitrine et des talons très hauts auxquels elle semblait très habituée !

    • "Javier, si quelqu'un d'autre que toi me dit qu'elle a 38 ans, je le traite de connard !"

    • "Tu as raison, on peut facilement lui en donner dix de moins, mais tu sais, Yves, c'est comme ta femme, elle ne fait pas son âge, vêtue ou à poil !"

    • "Alors Océane et moi sommes les plus heureux du monde !"

    Elle revient métamorphosée avec un top mauve, seins-croisés qui lui cache à peine les seins tout en les mettant en valeur, et un petit short de toile assorti, ultra moulant qui nous semble, sur le moment, avoir des défauts à l'entrejambe !

    Elle porte ses escarpins à la main, et Javier s'empresse de l'en débarrasser alors que je me charge du sac et que nous nous dirigeons vers le garage où j'ai peur que nous ayons très chaud !

    • "Une pause dans la cuisine pour boire de l'eau fraîche et prendre deux bouteilles glacées ? Nous risquons de souffrir dans le garage qui est la pièce la plus chaude de la maison !"

    Tout le monde est d'accord, je leur sers un verre d'eau et même deux pour Javier, qui commence à apprécier la Vichy Saint Yorre ! Je mets les bouteilles dans des sacs isothermes et nous entrons dans le garage !

    Je réalise que nous avons deux gros chiens dans la maison que nous n'avons jamais entendus ! Quelle belle éducation !

    Je suis entre des mains anonymes très perverses !

    En entrant, Anita enfile des gants de cuir fin et me souffle à l'oreille :

    • "C'est pour que n'elle sente pas mes ongles !"

    • "Alors Putain-Loré, tout va bien ? Pas trop chaud ? Tu veux un peu d'eau ? Pendant qu'Yves nous installe deux fauteuils de jardin. Il m'a dit que tu nous invitais à un spectacle hard, interdit au moins de trente-cinq ans ?"

    • "L'âge limite va dépendre du quatrième qui va nous rejoindre ! En attendant Amo mio, j'accepte volontiers un grand verre d'eau, je suis déshydratée !"

    J'entends le pssschiiittt d'ouverture de la Vichy et l'instant d'après je bois au goulot un bon quart de la bouteille !

    • "Oh quel régal, merci Amo mio et Yves !"

    J'entends mes deux hommes s'asseoir dans leurs fauteuils. J'ai l'impression qu'ils ne sont pas seuls.

    Le bruit d'une longue fermeture éclair qu'on fait glisser, et quelques sons que je n'arrive pas à identifier me conforte dans cette idée : le quatrième est dans le garage !

    Sans un mot, une main gantée décroise mes mains, tend au maximum la droite et sans bruit, elle fait de même avec la gauche.

    Quelques instants plus tard, de lourds fers d'esclave emprisonnent mes deux poignets. Quelques bruits de ferraille, un de mes hommes se lève et aide à me bloquer les poignets avec un long écarteur, probablement réglable en longueur que la main me pose sur les épaules et le bas de la nuque.

    J'ai l'impression stupide d'avoir des ailes et que je vais voler !

    Mais la vérité est toute autre ! Des pieds nus s'insèrent entre mes cuisses et les écartent jusqu'à la limite de mon équilibre.

    De suite après, la main gantée se pose délicatement sur ma tête et appuie fortement dessus, je ne peux qu'obéir et la baisser, jusqu'à ce que mon corps soit plié en deux vers le mur.

    Mes muscles tremblent un peu mais je récupère mon équilibre précaire et adopte cette position humiliante.

    Quelques chuchotements derrière moi et Javier me dit :

    • "Putain-Loré, reste comme ça, tu es superbe, tes nichons, qui pendouillent sous toi, sont un vrai régal des yeux, mais recule d'environ deux mètres pour ne plus être coincée par ce mur !"

    J'obéis et fais quelques petits pas vers l'arrière en prenant soin de conserver cette position.

    • "Voilà, tu es parfaite, ne bouge plus !"

    Je suppose que le quatrième fait des gestes explicites pour que mes hommes me guident efficacement.

    La main revient sur moi et je sens une rondelle de métal se poser sur mon anus, et une grosse quantité de vaseline noyer mon anus et s'enfoncer dans mon sphincter.

    Quand je suis bien pleine, elle retire ce que j'ai identifié comme un gros tube de vaseline.

    J'en conclu que le tube de vaseline, tout comme les fers et l'écarteur télescopique viennent d'un même endroit, probablement d'un sac dans lequel le quatrième a stocké ses accessoires. J'ai donc affaire à des mains habituées à dominer.

    Quelques secondes plus tard, la main pose sur mon anus une ogive de sex-toy et la fait tourner plusieurs fois sur mon anneau, avant de l'enfoncer lentement dans mon cul, il me paraît sans fin ! Mais quand mes intestins le sentent, la main s'arrête.

    Le gode m'encule profondément, mais quand un moteur se met à doucement ronronner, je sais que c'est un vibromasseur interne télécommandé de la nouvelle génération, dont je ne connais pas les programmes !

    Ce qui me fait peur et Javier ne me rassure pas du tout !

    • "Putain-Loré, tu as dans le cul une merveille de la technologie, et Yves et moi avons la télécommande et le mode d'emploi : c'est incroyable ce qu'il peut faire en appuyant sur de simples boutons, mais je ne te dis rien ! Tu vas vite savoir de ce que peut faire ce vibro de trente centimètres !"

    Ils commencent par une vibration rapide, agréable, mais gênante dans ma position, et je réalise que je ne peux pas empêcher mes fesses de gigoter, ce qui doit donner de belles images à Yves !

    Yves prend la parole :

    • "Nous avons donné quelques informations sur toi à notre nouveau partenaire de jeu qui sait qu'à part tes zones érogènes classiques, tes bouts de mamelles sont hyper sensibles !"

    Pendant cette indication, très gênante pour moi, Javier pose un fauteuil de plage devant moi, et j'entends un corps s'y asseoir.

    Mes seins pendent et mes tétons bandent déjà, fiers et durs. Juste à portée des deux mains qui s'en emparent et les caressent doucement.

    Le vibro change de partition, il diminue de la moitié de sa longueur, s'arrête un peu, mais redevient très vite énorme, juste avant de se ré-enfoncer en un quart de secondes au fond de moi, ce qui me fait pousser un cri de douleur, mélangé à un plaisir certain !

    Et, il y reste en vibrant encore plus vite, ce qui couvre mon corps de chair de poule !

    Pendant ce temps, les mains jouent avec mes aréoles, en les caressant et en les pinçant légèrement, je les sens se hérisser de minuscules petits boutons, mais j'apprécie cette caresse assez inédite et je ferme mes yeux sous mon bandeau !

    Au bout d'un long moment, les deux mains se rejoignent sur un seul sein, elles pincent un peu plus l'aréole et, habilement , elles remplacent les doigts par une pince en plastique large qui, sur le moment, me donne plus de plaisir que de douleur.

    Elles se réunissent sur mon autre sein et y font exactement pareil.

    Très vite, je me rends compte que ces deux pinces ont la particularité de dissocier mes tétons de leurs aréoles, et je me doute avec effroi de ce qui va m'arriver !

    Et ce n'est qu'un début !

    Yves nous propose de boire un peu d'eau, j'accepte, mais Javier émet une réserve :

    • "Tu peux te relever pour boire à la bouteille, mais aussitôt après, tu reprends exactement la même pose !"

    J’acquiesce de la tête et me redresse, ce qui fait du bien à tous mes muscles endoloris, je bois de longues gorgées, puis, bien obéissante, je reprends ma pause.

    J'entends le quatrième boire aussi, mais dès que cette mini pause est terminée, les mains reviennent chacune vers un sein et donnent quelques pichenettes sur les tétons bandés comme des petites bites, et comme je l'avais prévu, bien détachés de la chair de mes seins !

    Mais elles deviennent de plus en plus sadiques et mes bouts de mamelles vont avoir droit à un traitement que je n'ai jamais vécu dans ma courte vie de pute-soumise !

    Les mains me pincent les tétons, me faisant hurler de douleur alors que les hommes ont mit le programme complet du vibro sur une vitesse quasiment insupportable.

    Comme chaque fois que je suis obligée de subir sans pouvoir faire autre chose que crier et tortiller mon corps, je me mets à compter un cycle complet du vibro.

    Un de mes hommes se lève et me pose sur la bouche un bâillon-boule avec une boule énorme dans laquelle je ne peux que planter mes dents, la bouche grande ouverte et, de suite une salive abondante et infamante coule sur mon menton.

    Pendant que mes bouts subissent l'enfer : pincés le plus fort possible par les doigts, puis balancés dans tous les sens, et, le pire, tournés sur eux-mêmes pour leur faire faire un tour, puis deux.

    Je manque de m'évanouir quand les mains arrivent à les tordre deux fois sur eux-mêmes !

    La machine à enculer fait son job sans se préoccuper de ce qui se passe au niveau de mes nichons. La réduction à la moitié de sa longueur avant de me pilonner. Le blocage au fond de moi avec de larges rotations du gland qui tourne en vibrant. La quasi sortie de mon cul en diminuant et grossissant petit à petit tout en faisant des rotations rapides pendant toute la durée de ses changements. Et enfin, la pire : le pilonnage de mon cul avec une intensité inouïe : il se fait tout petit et grossit d'un seul coup pour m'enculer à fond, mais reprend de suite sa petite longueur pour recommencer.

    J'ai arrêté de compter car j'étais à 300, son cycle total doit durer au moins cinq minutes, voire plus !

    Plus haut, la torture de mes tétons continuent, ayant réussi à leur faire faire deux tours, juste en les pinçant avec force, les mains varient les plaisirs en en posant un sur une main et en le frappant avec une petite règle de fer en variant la force des coups, avant de passer à l'autre.

    Je pleure depuis quelques minutes et la bave immonde qui tombe sur mon menton est de plus en plus abondante.

    Certainement, proportionnelle à la puissance des cris que je ne peux pas pousser !

    Javier reprend la parole :

    • "Tu résistes bien Putain-Loré, mais nous allons te faire un petit plaisir : mettre le vibro au fond de ton cul, et le couper, donc il va juste de gêner sans te faire de misères, mais, en échange, tes bouts de salope continueront de souffrir, dans un seul but : que tu jouisses deux fois des tétons : quand tu sentiras que tu vas jouir, déplie les doigts de ta main droite, et nous t'enlèverons ton bâillon, pour que tu puisses hurler ton plaisir de jouir de tes bouts de mamelles et nous le raconter en langage bien crû ! Les mains se feront plus douces pour t'amener au deuxième, et Yves te passeras de ta pommade !"

    Je suis presque heureuse, mais j'aurais préféré que les mains cessent de me torturer et que le vibro m'amène à la jouissance du cul !

    Il se colle au fond de mon cul et s'arrête, je me consacre uniquement à la douleur de mes bouts, mais, heureusement les mains se font plus tendres et se contentent de branler mes bouts comme des petites bites, sans trop les serrer, ce qui me va très bien et m'amène à lever mes doigts quand je suis prête à exploser, un de mes hommes vient me délivrer du bâillon, juste à temps et je m'envoie à l'air en hurlant :

    • "Ooooooooh mes bouts de salope me font tellement mal, mais je suis si maso que j'aime ça, ooooooh je jouis des nichons devant vous, je suis vraiment une bourgeoise-salope-exhibitionniste, j'ai tellement honte, mais vos yeux et la caméra contribuent à me faire jouir aussi fort.... Oooooh ! Je jouiiiis !"

    Pauvres petits tétons !

    En partant d'un orgasme aussi fort, le deuxième n'est qu'une formalité, je suppose que mes hommes n'ont pas caché au quatrième que j'étais multi-orgasmique et qu'un orgasme me rapprochait d'un autre au lieu de m'en éloigner !

    Les mains semblent le savoir, et se font aussi douces que possible sur des tétons largement meurtris et maltraités durant de longues minutes.

    Yves revient me donner à boire et me dit :

    • "Tu a le droit de te relever pour boire, et je vais même lever un peu ton bandeau pour qu'en baissant la tête, tu vois tes bouts de nichons. J'ai fait beaucoup de gros plans d'eux, mais il me semble logique que tu constates jusqu'où tu peux aller avec eux !"

    Je me redresse et bois longuement, j'en avais vraiment besoin. Yves m'empêche de me repencher et passe devant moi :

    • "N'oublie pas de rouvrir tes yeux lentement !'

    Je connais ce conseil, mais je fais comme Yves me dicte. Je revois en premier son visage, que je me précipite d'embrasser, et je penche la tête pour voir mes tétons, je suis affolée par ce que je découvre : ils sont mauve-foncé et portent les traces des tortures, alors qu'ils sont toujours maintenus par ces pinces que j'avais oubliées.

    Comment Yves va pouvoir faire pour me redonner mes tétons adorables que j'aime tant ?

    Yves a compris ce qui se passe dans ma tête :

    • "Rassure toi ! Les mains et les doigts qui t'ont mise dans cet état sont habitués, ne te fais pas de souci, dès que le sang aura bien circulé, je frictionnerai tes tétons avec du beurre congelé et après dix minutes de repos et de pommade, tu retrouvera les tétons de tes vingt ans !"

    • "Merci de me rassurer, Yves, ils ont vraiment mauvaise allure !"

    • "Oui, mais ils t'ont fait jouir deux fois ! Ne l'oublie pas !"

    Je souris sans lui répondre, je me rappelle surtout du premier orgasme où j'ai été très bavarde et j'ai honte de ce j'ai pu dire, bien que je m'en souvienne plus ! J'ai un cerveau sélectif comme Yves le dit souvent !

    J'entends derrière nous des chuchotements, Javier doit parler au quatrième, mais ils sont dans le couloir et je ne distingue aucune voix !

    Pendant qu'Yves me remet le bandeau en place, Javier revient vers nous :

    • "Yves, il faut la préparer pour la suite, elle aura sa pause-nichons après ! S'il te plaît, aide-moi à lui enlever l'écarteur et ses fers, quand elle aura les mains libres, je lui donnerai trois feuilles de Sopalin pour qu'elle se sorte le vibro du cul et qu'elle l'y dépose en l'enveloppant bien, sans se vaseliner les mains !"

    Tout est fait rapidement, et mes muscles des bras et des épaules sont soulagés !

    Je sens Javier venir devant moi, je reconnais à présent les odeurs de chacun : Yves et Javier avec leurs eaux de toilettes différentes, et le quatrième a son odeur que je trouve trop musquée et trop macho !

    Javier me demande de joindre mes poignets devant moi et les attache avec plusieurs tours d'une corde et un nœud compliqué !

    Puis, il me pousse dans mon coin :

    • "Tu vas coller ton front contre le mur, reculer d'un petit mètre ton corps et écarter tes pieds pour être bien en équilibre, tu peux faire ce que tu veux avec tes mains, sauf te branler ! Il était plus simple de tes attacher que de te les couper, ma petite pute !"

    • "Oui, Amo mio, je préfère aussi cette solution, bien qu'un bras de Loré grillé au barbecue, ce ne doit pas être mauvais !"

    Nous rions tous les trois pendant que je me mets en position, je constate que le quatrième ne se joint pas à notre rire détendeur !

    Javier, content de ma position revient s'asseoir dans son fauteuil et se prenant pour Freddie Mercury, il essaye de chanter un beau :

    • "The show must go-on !"

    Pan-Pan, Cul-Cul ?

    Dans cette position, j'ai peur que la séance de ce matin ne se renouvelle, mais je pense que mes hommes savent que je déteste la fessée et j'imagine qu'ils auront défendu mon tabou jusqu'à la mort !

    J'entends des bruits que je ne peux pas identifier, il est certain que quelque chose se prépare, mais je ne sais pas ce que ça peut-être !

    Ma cérébralité est tellement forte que cette attente et cette ignorance me mouillent le con, plus qu'elles ne m'inquiètent !

    Les mains se posent sur mes épaules, sans qu'un corps ne se colle à mon cul, elles me font un long massage relaxant et très professionnel qui me fait gémir de plaisir, elles descendent pour me cajoler les nichons qu'elles font tressauter comme des petits ballons en prenant soin de ne même pas effleurer mes bouts.

    Je les sens descendre des aisselles à mes hanches, sans me toucher, comme si elles dessinaient le contour de mon corps et de mes courbes.

    Ma peau se recouvre de chair de poule ! Elles remontent mais en se posant sur ma peau et refont le même parcours tout en malaxant un peu les chairs qu'elles rencontrent.

    Je suis très sensible à ces douces caresses, je sens mes tétons revivre, et j'ai peur que ma moule laisse échapper quelques gouttes vers le sol !

    Les mains disparaissent et je les retrouvent plaquées au milieu de mon dos pour me pousser fermement vers le mur et me redresser totalement, seins et ventre plaqués contre le mur tiède, j'ai vraiment l'impression d'être un objet, et j'adore ça !

    Elles me tournent la tête vers la droite, et c'est ma joue gauche qui se retrouve plaquée contre le mur. Je sens son souffle et sa respiration tout près de mon visage.

    J'entrouvre ma bouche pour recevoir la sienne, mais la main gantée me la referme. Je sens des lèvres fermées se poser tout au bout de mon épaule gauche et me parcourir jusqu'à la base du cou, sans s'ouvrir.

    Le retour vers l'épaule se fait avec une langue douce et à peine mouillée, qui me fait frémir et trembler des genoux, je suis très excitée et ravie de cette séquence tendresse, moi qui redoutait la fessée !

    Le même parcours se fait avec des dents qui pressent mes chairs sans me faire mal, et quand elles arrivent à la base du cou, elles en profitent et deviennent plus dures et insistantes jusqu'à ce que je gémisse comme une petite chienne.

    Pour le retour vers l'épaule, elles me mordillent, je les sens bien, mais sans avoir mal, bien au contraire !

    Arrivées au bout du parcours, je ne sais plus où elles sont mais d'un seul coup, une langue fine et humide entre dans mon oreille gauche et me lèche avidement l'intérieur en essayant d'aller au plus profond de la cavité, je gémis de plus en plus fort.

    Les mains changent ma tête de place, c'est la joue droite qui est appuyée contre le mur. Mais ce côté a droit à moins d'égards que l'autre, la langue intervient mais elle se fait insistante de l'épaule au cou, les dents mordillent plus fort et quand la langue vient me lécher l'oreille, je suis au bord de l'orgasme et tremble de tout mon corps.

    Les mains me reprennent par les hanches, me remettent comme j'étais avant ces caresses extraordinaires, des pieds nus écartent plus mes cuisses, et l'instant d'après, alors que je tremble de partout, un gland se présente à l'entrée de mon anus, et, comme je n'ai rien perdu ni de la lubrification de mon anus, ni la vaseline initiale, il s'enfonce en moi sans aucune difficulté et il reste arc-bouté dans mon cul alors que je sens battre des couilles sur mon cul.

    Les mains se crispent sur mes hanches, et la bite commence à me pistonner de tout son long, chaque retour la fait ressortir complètement de mon cul et chaque aller me défonce l'anneau jusqu'à ce que je ressente les couilles. Le quatrième est puissant et a une bite raide et très dure qui lui permet de m'enculer comme ça au tout début.

    Mes gémissements deviennent des couinements de plaisir pendant que je suis magistralement enculée, comme rarement je l'ai été !

    Pendant l'enculage, j'entends des chuchotements, Yves et Javier se parlent, mais je n'entends rien, je le saurai comme d'habitude plus tard !

    • "Anita m'a expliqué que c'était un gode-double qui lui avait coûté une fortune. Elle l'a fait faire par un ami, artisan-couturier à Valencia. Et, depuis, elle n'a jamais arrêté de s'en servir ! Elle a exigé une texture ressemblant à la peau de nos sexes, des dimensions précises, un gland bien marqué, et surtout des couilles mobiles pour remplacer la traditionnelle plaque de cuir qui sépare les deux côtés d'un gode-double. En fait, si elle se le met dans le con, ou si elle baise ou encule une femme, quand elle arrive aux fausses couilles, elle s'arrête !"

    • "C'est assez incroyable, je suis sur que Loré pense être enculée par un homme ! Et tu as vu comment elle se l'ait posé ?"

    • "Non, elle l'a fait dans le salon, mais elle m'a expliqué : quand nous pensions que son short ajusté avait un défaut à l'entrejambe, c'est simplement un bout de tissu qui dissimule la large découpe qui lui laisse la chatte à l'air, et je suppose que pour son cul c'est pareil ! Mais, ce n'est pas tout, tu vas voir son sens du détail : dans le gland, il y a une partie réservoir, et comme elle n'a aucune difficulté à baiser en ressortant tout le gode et en le re-rentrant d'un seul coup, contrairement à nous, qui devons attendre que la femme soit super bien lubrifiée ! Quand elle veut éjaculer : elle presse une petite cavité cachée sur le gland ce qui déclenche l'ouverture d'un faux méat, et elle n'a plus qu'à compter jusqu'à dix et le faux sperme jaillit ! Elle éjacule dans le con ou dans le cul, mais si elle veut abuser sa soumise, elle peut éjaculer dans la raie de son cul, ce qui lève les éventuels doutes sur son sexe !"

    • "Quelle femme étonnante ! Elle fait vraiment partie de votre club de cérébraux, Javier ! Tu en as profité pour imaginer avec elle comment elle va révéler à Loré qu'elle est une femme ?"

    • "Comme je te l'ai dit, ce n'est pas une Domina qui vient sans scénarii, elle en a un, mais elle n'a pas voulu me le dire. Je pense plutôt qu'elle finit de le peaufiner en fonction des événements !"

    • "Javier j'ai l'impression qu'elle te réclame, elle doit avoir quelque chose à te demander !"

    Alors que je gémis et couine, elle lui glisse quelques mots à l'oreille.

    Javier s'adresse directement à moi :

    • "Putain-Loré, le quatrième a très envie de se vider dans ton trou à merde ou sur ton cul, mais il ne le fera pas avant que tu ne jouisses du cul en l'annonçant bien clairement, comme quand tu as joui des bouts de mamelles. Si tu n'es pas prête, son conseil est de te mettre des écraseurs de tétons aux bouts des nichons pour accélérer ton orgasme !"

    • "Ooooh, Amo mio, non surtout pas les écraseurs, vous avez vu dans... Ooooooh que c'est bon d'être enculée comme ça !... quel état ils sont ! Rassurez le quatrième, je fais durer, tellement je me régale, mais je vais laisser faire la nature, je vous le jure ! Mais pas les écraseurs, je vous en supplie, Amo mio, faites moi confiance !"

    • "D'accord Putain-Loré, je te crois, mais ne tarde pas !"

    • "Tu es gonflé, Javier ! Elle t'a dit qu'elle allait lui arroser le cul ?"

    • "Oui, c'est pour ça que je préviens ta femme !

    Ils sourient, Yves prend sa caméra et ils se rapprochent, en les entendant je leur fais un maigre sourire alors que le pilonnage se déchaîne en rapidité et en violence, et je jouis ! C'est un autre tsunami qui me fait hurler et je rajoute à ma honte des paroles que je sais très bien que je vais regretter !

    • "Oooh, ouuuuuui je jouiiiiiis du cul comme une putain, comme la salope immorale que je suis... Ouuuuui... Défoncez moi encore avec votre pine au fond de mon cul ! Ouiiiiiii, plus fooooort ! Je le mérite, faîtes moi jouiiiiiir dans la douleur, adoucie par mon immense plaisir, je ferai tout ce que vous me demanderez, ooooh c'est la première fois que je suis si bien enculéééée !"

    Yves a filmé tout mon orgasme.

    Il guette maintenant l'éjaculation : le double-gode sort de mon cul et se pose entre mes fesses et de longs jets blanc et laiteux inondent ma raie du cul, le quatrième en profite pour étaler et répandre tout ce bon jus, sur tout mon cul, et j'ai un dernier tremblement de tout le corps car, cet orgasme fabuleux a prolongé d'une manière incroyable ma jouissance !

    Avec Javier, nous nous posons une seule question : Anita a-t-elle pris son pied ?

    Pin-pon, pin-pon ! Docteur-téton !

    Yves m'entraîne à quelques pas de mon coin de punie, il me libère les poignets et me dit :

    • "Comme promis, je vais m'occuper de tes tétons, j'ai un beurrier qui sort du congélateur et un large bandeau pour te protéger les seins et laisser agir le beurre, tu vas un peu souffrir pendant le massage, j'en suis désolé, mais ça ne durera pas longtemps !"

    Ca fait en effet très mal, mais quand il passe au sein gauche, le droit est moins douloureux, alors je reste confiante et j'essaye de lui éviter mes cris de douleur, le pauvre ne les méritent pas !

    Il termine en me bandant les seins, juste assez fort pour que le bandeau ne tombe pas et me conduit au salon où il m'enlève le bandeau des yeux et me couche sur le canapé en me disant gentiment :

    • "Reste tranquillement allongée, et surtout ne touche pas tes seins, laisse ce corps gras régénérer toutes tes cellules, je reviens dans quelques minutes"

    Je l'attire vers moi et lui donne un long baiser sur la bouche.

    Il doit retourner dans le garage où les deux autres l'attendent. Ils sont assis dans les deux fauteuils, et Anita porte toujours son double-gode !

    • "Bravo, Anita pour ton remède au beurre, elle se sent déjà mieux"

    • "Qui punit bien doit savoir bien guérir ! C'est la règle du bdsm, malheureusement pas pour les sados qui se branlent devant les blessures de leurs proies !"

    Javier me dit en me faisant un clin d'oeil :

    • "Alors, Yves, qui va poser LA question à Anita ?

    Yves hésite à répondre sans oser regarder la fausse bite d'Anita !

    • "Si vous me permettez de répondre à la question que vous n'osez pas me poser, j'ai eu trois orgasmes en enculant Putain-Loré, comme le dit si bien Javier, et je compte bien en avoir d'autres !"

    • "Yves et moi sommes habitués à côtoyer des femmes qui s'envoient en l'air, sans parler de Loré qui en avise tout le quartier ! Mais, là, tu nous épates totalement, tu as un secret ?"

    • "Je ne vais pas prétendre vous donner un cours sur les manifestations extérieures de l'orgasme, mais il y en a trois : le silence, les couinements et les hurlements. Aucun des trois n'augmente ou ne diminue la puissance d'une jouissance. Si Loré hurle, c'est une manière de se délivrer de la crispation intense qui précède la jouissance. Mais aussi, elle rassure, elle valorise et elle remercie son partenaire. Océane, qui est la femme qui me connait le mieux, sait exactement quand et combien de temps je jouis. Comment ? Il faut le lui demander car, je ne le sais pas ! Et elle n'a jamais répondu à mes questions sur ce phénomène !"

    • "Mais en dehors de la voix, il y a d'autres manifestations extérieures : le changement de visage, les mouvements convulsifs, les tremblements des muscles et, ça, la femme qui s'envoie en l'air ne le contrôle pas ?"

    • "Tu as tout à fait raison, Yves, mais avec de la volonté et de l'entraînement on peut apprendre à son cerveau à diminuer, et même supprimer ces réactions classiques. J'ai mis beaucoup de temps à y arriver pour obtenir deux résultats que je recherchais car je n'aime pas que mes soumises me voient jouir, ça ne les regardent pas et parfois, comme avec Loré, un orgasme mal contrôlé peut me démasquer !"

    • "Javier m'avait parlé de toi comme d'une femme exceptionnelle, mais j'avoue franchement qu'il n'exagérait pas ! Je peux te poser une dernière question très intime ou tu en as assez ?"

    • "Celui ou celle à qui je demanderais d'arrêter de parler de cul avec moi, mon cher Yves, n'est pas né, j'adore le sexe et la domination et je ne le cache pas !"

    Ils rient de cette belle réponse et Yves lui demande :

    • "Tu es une femme-fontaine, et pourtant nous ne nous sommes rendus compte de rien quand tu jouissais en enculant Loré ?"

    • "Ca se contrôle aussi, et je vais d'ailleurs devoir libérer ma vessie pleine de sperme féminin, mais dès que Putain-Loré saura qui je suis, vous verrez que l'info de Javier est bien exacte, car contrairement à des soumises que je jugerais banales, Loré m'excite énormément !"

    Ils rient tous les trois et laissent Anita aller aux toilettes.

    Yves vient prendre de mes nouvelles, je somnole, mais je l'assure que je vais mieux et que j'ai hâte qu'il me passe la pommade ! Il sort le tube et me dit :

    • "Voilà qui finira te te guérir !"

    Il enlève mon bandeau protecteur, m'embrasse tendrement les deux bouts de seins, qui, à notre grand plaisir, se dressent de suite.

    Il me pommade avec beaucoup de soin les bouts, mais ne peux pas s'empêcher de descendre un peu plus bas et d'empaumer mes nichons comme il aime le faire !

    • "Hum, Amour, tu es toujours en maillot de bains ? Tu peux me la montrer ? Un petit coup rapide ne gênera pas les autres !"

    Il rit, caresse ma chatte qui lui mouille les doigts, et m'affirme que c'est prévu dans le programme, mais qu'en attendant, je dois attendre dix minutes, sans me recouvrir les seins pour que ma guérison soit totale ! Il m'embrasse et rejoint les autres !

    Mon futur proche se décide, sans moi !

    Comme je ne les entends pas, je suppose qu'ils sont dans le nid.

    La douleur s'estompant, je m'endors !

    Yves les rejoint avec de quoi boire et se restaurer. Anita a enlevé son gode-double et bien que l’entrejambe de son short soit trempé, elle semble en pleine forme. Javier me dit :

    • "Entre deux souvenirs de jeunesse, Anita a mis au point la suite du programme, comme Putain-Loré va bien, elle estime que c'est le moment de se dévoiler, mais je vais lui laisser la parole, elle est majeure et n'a pas besoin d'un porte-parole !"

    • "On se croirait dans un Congrès de Pharmaciens ! Merci mon cher collègue de me donner la parole !

    Ce rappel au Congrès, où Javier est sensé être, nous faire rire, Anita est de bonne compagnie et, on ne s’ennuie pas avec elle !

    • "Je vous donne mon idée, mais si vous avez des suggestions, je suis preneuse ! Je pense qu'en me sentant jouir sur son cul, Loré, est bien tombée dans le piège, il faut donc que la découverte de ma chatte soit inédite, très chaude, voire vicieuse !"

    Les deux hommes approuvent.

    • "Il faudra de nouveau lui bander les yeux. Nous la ramenons dans le garage, toujours nue et nous lui demandons de finir son travail : nettoyer la bite qui lui a ravagé le cul, à genoux devant moi et mains liées dans le dos. Quand elle reluit de propreté, nous utilisons vos équipements : elle se couche en croix sur la couverture sous les anneaux. Nous lui mettons des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles et une ceinture de cuir pour lui soutenir le ventre. Grâce aux cordes, nous la décollons du sol jusqu'à ce que son con, son cul et sa bouche soient à la bonne hauteur pour nous trois. Pour la faire gigoter et l'affoler un peu, nous allumons deux bougies chacun pour arroser son corps de cire chaude. Il faut que les bougies soient au moins à cinquante centimètres d'elle, pour ne pas la brûler. Nous gâtons ses endroits stratégiques : l'entrée et l'intérieur du vagin, le clito, les orteils, le ventre, le nombril, et bien sur les nichons. Il faut se rapprocher des tétons en faisant des cercles jusqu'à arriver à ses bouts pour former deux petits tas blancs sur ses seins. Ca vous convient pour le moment ?"

    Les hommes approuvent et trouvent ses idées parfaites et très excitantes !

    • "Merci de votre confiance ! Ensuite, mais c'est facultatif, tous les deux vous dégagez ses tétons en grattant la cire fondue, et je prends le relais en lui faisant sentir la chaleur d'une flamme de bougie léchant ses tétons et vous faites de même sous ses orteils facilement accessibles, bien évidemment, il faut faire très attention, car le jeu de la bougie allumée est dangereux !"

    Yves lui répond de suite :

    • "Je crois me souvenir que dans ses clips américains, il y en a un ou deux où elle subit ce traitement, donc, en restant très prudents, je n'ai rien contre !"

    • "Super Yves, donc je continue mon scénario ! Puis, nous passons à un jeu qui s'appelle la "balançoire" dans le bdsm ! Il est simple : quand je porte mon gode-double, nous avons trois bites à lui offrir ! Je suggère des rôles à titre d'exemples ! Yves commence à la baiser, et Javier à se faire pomper, tout en sachant qu'elle aura la tête à l'envers ! Puis, Yves la laisse, je prends sa place dans son vagin, et Yves la place de Javier dans sa bouche, et nous tournons comme ça jusqu'à ce que vous vous vidiez les couilles. Je suis sure qu'elle jouira plusieurs fois !"

    • "Quel scénario ! Je n'arrive même pas à en imaginer la fin ! Et toi Yves ?"

    • "Moi ? Je ne cherche même pas, Anita est trop forte pour moi !

    • "Vous êtes rassasiés ! Je me fais sucer et je jouis dans sa bouche pour qu'elle sente bien le goût de mon faux foutre, pendant qu'elle l'avale, j'enlève mon double-gode et lui enfonce la partie qu'elle ne connait pas dans la bouche. Le goût et l'odeur qu'elle ne reconnaît pas va la surprendre, mais je lui pilonne la bouche pendant que vous lui branlez la chatte et le clito. Je peux vous garantir qu'elle va jouir sans savoir où elle habite ni qui elle est !"

    • "Oui, elle devrait être totalement déboussolée et ne plus savoir ce qui se passe ! Elle va penser que son Maître a disparu !"

    • "Oui, c'est probable, mais elle va vite comprendre la vérité, car, quand elle aura joui grâce à vos vingt doigts ! Je lui enlèverai le demi-gode de la bouche et je poserai ma chatte sur sa bouche. Je vous précise, sales cochons de voyeurs, que pour cette séquence je ne porterai pas de short !"

    • "Wouah, je vais te revoir presqu'à poil ! Quelle chance !"

    • "Moi, je vais suggérer mieux, vue ta photo, j'ai aussi hâte de te voir à poil en vrai, bien que je sache que tu ne baiseras pas avec nous ! Pourquoi garder ton top et ne pas te mettre nue, perchée sur tes escarpins sexys ? Je peux te garantir sur l'Amour que je porte à Loré que nous ne te violerons pas !"

    • "Je vais y réfléchir, Yves, tu auras ma réponse dans le garage où j'entrerai la dernière ! J'aimerais vous faire plaisir à tous les deux, mais depuis que j'habite Nevers, je n'ai fait l'amour qu'avec Océane à qui je raconte en détail toutes mes séances de Domina !"

    • "Quand tu réfléchiras, Anita, considère qu'entre te mettre à poil dans une séance hard, et te laisser baiser, il y a un gouffre !"

    • "Nous verrons ça, mais je termine : comme c'est très rare que je domine une soumise qui me fait vraiment mouiller, je sais que Loré n'est gouine que soumise et que sa langue est forcément habituée et super agréable, ma vessie se remplira d'hormones et de substances que mon cerveau commande ! Et, c'est à elle que j'offrirai un "orgasme-fontaine", et je compte sur vous pour vous positionner de chaque côté de sa tête pour qu'elle en avale le plus possible, et s'il en reste ! Badigeonnez-en soigneusement son corps des pieds à la tête, j'aimerais qu'elle sente l'odeur de femelle en chaleur que je vais devenir !"

    Un silence achève son récit. Javier est le premier à applaudir et Yves le suit avec enthousiasme et se lève pour embrasser Anita sur la joue en lui disant :

    • "C'est pour récompenser ta fantastique imagination, et aussi, un peu-beaucoup, pour honorer chastement ta beauté !"

    Curieusement Anita, la femme forte, rosit et ne répond rien !

    Yves sert du champagne et ils trinquent à ce beau scénario !

    Une magnifique fête s'organise !

    Anita se prépare dans la chambre d'amis, Javier termine le garage : il étend la couverture sur le sol, met deux fauteuils pour eux, face à celui d'Anita, ils me verront bien nettoyer la bite enculeuse !

    Il vérifie que les six cordes fixées aux anneaux des poutres tombent sur le sol aux bons endroits. Il approche un vieux guéridon et y dépose les quatre bracelets et la ceinture de cuir qu'il sort du sac d'Anita.

    Yves lui a dit qu'il trouverait des bougies de ménage et des allumettes dans la buanderie. Il va les chercher et les pose sur le guéridon.

    Il a fini et rejoint Yves dans le salon.

    • "Alors, Putain-Loré est en forme ?"

    Yves lui répond :

    • "Oui, elle va beaucoup mieux, et ses tétons ont un bel aspect, je vais encore les masser avec de la pommade, les rincer et elle sera toute neuve !"

    • "Parfait Yves, tu es un vrai Docteur ! J'ai terminé ce que j'avais à faire, je vous attends à la piscine. Un bon expresso, que je vais préparer, et du champagne finiront de te remettre sur pied !"

    Il nous quitte. En passant devant la chambre d'amis, il frappe à la porte. Anita l’entrebâille et il lui dit :

    • "Dans dix minutes, nous passerons tous les trois devant ta chambre, je dirai "le garage nous attend" et tu nous rejoindras quand tu le voudras, je te laisserai une flûte de champagne pleine sur la table du nid, si ça te tente !"

    • "Bravo, Javier, à tout de suite, un détail, je préfère que ce soit toi qui parle à Loré de ma part, ne la chouchoute pas et sois très cru avec elle, pour garder l'ambiance très hard !"

    • "Pas de problème, Anita, à tout de suite !"

    Comme promis, Yves me masse les seins avec délicatesse, remet un peu de pommade sur mes aréoles et mes tétons et s'attardent sur eux. Je me laisse faire avec plaisir, yeux fermés, plus il me masse, plus je me sens en forme, et je constate que mes bouts de nichons et mon con apprécient aussi !

    Malgré mon envie, je ne lui fais pas d'avances coquines, et il me demande si je suis prête à me lever : 

    • "Tout à fait, Amour, prête à te suivre au bout du monde !"

    Il rit en me répondant :

    • "Pour l'instant, notre voyage s'arrêtera au nid où le café de Javier et le champagne t'attendent pour ta convalescence !"

    Je me lève et m'approche de lui pour l'enlacer et l'embrasser sur la bouche, ma langue fougueuse cherchant et trouvant sa langue !

    • "Hum ! J'ai vraiment très envie de toi, mais je suppose que Javier a tout minuté, alors allons-y, est ce que le quatrième sera présent ? Et, peux-tu me dire quand je vais, enfin, le découvrir ?"

    • "Disons que dans, environ, une petite demi-heure tu feras sa connaissance !"

    • "Vite, je veux vieillir d'une demi-heure ! Pressons-nous !"

    Et, toujours à poil et perchée sur mes escarpins trop hauts, je le suis jusqu'au nid où Javier nous attend !

    • "Welcome, Putain-Loré, ton café et ton champagne t'attendent, et je suis très heureux de te revoir en pleine forme !

    • "Merci, Javier, même si je me doute que c'est un peu le calme avant la tempête, je te remercie, ainsi que mon Tendre de toutes vos attentions !"

    J'accepte une cigarette, dont la première bouffée est un vrai plaisir, et je bois mon café et mon champagne à petites gorgées.

    • "Javier, bravo pour ton café ! Celui de mon Chéri est bien meilleur, mais tu apprends vite !"

    • "Espèce de salope ! C'est la première fois que je me sers d'un engin pareil, et tu me critiques ! Tu es une sale pétasse !"

    Yves et moi éclatons de rire !

    • "Eh bien il t'a fallu du temps pour constater que j'étais une pétasse mais, tu m'aurais fait plaisir en me traitant de "guarra" !

    • "Oups, et c'est quoi une "guarra" ?"

    • "Ah oui pardon Yves, "una guarra" en Espagnol, c'est un peu comme Mon Chéri ou Mon Amour, à part que ça ve dire : salope, traînée ou cochonne ! Tout moi, quoi !"

    • "Si quieres que empiece a ponerte apodos en mi lengua, ¡Ten cuidado, soy más fuerte que tú!

    • "Arrêtez sales marmots, je ne comprends rien ! Qu'est ce que Javier vient de te dire ?"

    • "Oh, rien une simple gentille menace : "Si tu veux que je commence à t'insulter dans ma langue, fais attention, je suis plus fort que toi !" Et il a raison, si j'avais un langage très fleuri quand j'étais jeune, je ne m'en souviens plus beaucoup, en plus il doit y avoir des nouveautés ! Alors il vaut mieux que je me considère comme battue !"

    • "Non seulement, tu dois t'avouer battue, mais j'attends tes excuses à genoux devant moi Putain-Loré !"

    • "Oh Oh Oh ! Amo mio est très colère ! Excuse moi Yves, mais je dois m'excuser du fond du coeur, un Valencien est très susceptible !"

    • "Et moi je t'ordonne de le faire de suite !"

    • "Vous avez du lire "Les Malheurs de Loréna" du Marquis de Sade, soit, je vais m'excuser à genoux !"

    A poil, je m'agenouille devant Javier et lui dit :

    • "Je vous demande humblement pardon, Amo mio, j'ai été étonnée que vous sachiez faire un aussi bon café, bien meilleur que celui de mon Tendre, mais puisque je suis dans les comparaisons, permettez moi de rajouter, que, certes vous avez une plus grosse bite que lui, mais lui sait beaucoup mieux s'en servir !"

    Un silence se fait dans le nid, et le premier à le rompre est Javier ! Je me lève, m'assieds sur ses genoux, lui caresse la bite sans aucun honte et lui dit !

    • "Alors, tu as compris mon humour de sale gosse ! Amo mio ?"

    Nous éclatons de rire tous les trois ! Heureux de vivre ces deux jours ensemble ! Et Javier nous dit :

    • "Je pense que ce n'est pas la peine de te punir, ça te ferait encore jouir, ma "guarra" adorée ! Mais avec ce qui t'attend, j'espère de tout mon coeur que tu ne perdras pas ton sens de l'humour ! Il est trop drôle et surtout très inattendu ! Mais après ce super interlude, revenons sur terre : il vaudrait mieux que tu laisses tes escarpins ici, tu seras plus confortable pieds nus !"

    • "En effet, Javier, merci pour cette remarque !"

    Je n'ai rien à faire : Yves s'agenouille devant moi pour délacer mes escarpins et il m'embrasse tendrement chaque pied avant de les reposer sur le carrelage du nid !

    Quand nous sommes prêts, je prends mes deux hommes par le bras et nous allons vers le garage, Javier sourit et nous dit dans le couloir :

    • "En route pour le garage !"

    Je souris en constatant :

    • "Notre quatrième aime décidément beaucoup notre garage ! Il faudrait que nous transformions une partie de notre cave en donjon, tu ne crois pas Yves ? Et on y mettrait la clim ! Ca serait plus agréable !"

    Ils rient tous les deux et Yves me répond :

    • "C'est une excellente idée, Amour, et comme avec mon excellent prof, Javier, je fais des progrès rapides en domination ! Ca pourrait nous servir !"

    Et c'est en riant tous les trois que nous entrons dans le garage où Javier m'attache soigneusement les poignets dans le dos et me place, en me demandant de ne pas bouger.

    Yves me remet mon bandeau sur les yeux, je sais que la récréation est terminée ! Mais elle m'a fait du bien !

    Et, je suis très contente, car ça fait très longtemps que j'ai envie d'un donjon personnel, pour qu'Yves puisse mieux s'amuser avec moi ou pour qu'il me mate et me filme en séance avec des inconnu(e)s, et même, pourquoi pas le prêter à des ami(e)s pour qu'ils s'amusent, ce doit être agréable et jouissif de mater de temps en temps !

    Que la "fiesta" commence !

    Sans entendre ses pas, je sens que le quatrième s'apprête à entrer dans le garage. Mais ils ferment la porte d'accès et je ne peux rien entendre !

    • "Vous en avez mis du temps pour passer devant ma porte !"

    • "Oui, pardon, Anita, mais Loré était d'humeur joyeuse et elle nous a joué un sketch à sa manière ! Nous étions morts de rire !"

    • "Pas plus mal qu'elle soit super relaxée, elle appréciera plus ce qui l'attend ! Si elle savait !"

    La porte s'ouvre et un silence pesant et curieusement électrique tombe sur le garage. Un seul corps s'assied dans un fauteuil.

    Ces fauteuils bas-de-gamme nous servent quand nous avons beaucoup d'invités, mais ils couinent chaque fois que quelqu'un s'assied !

    J'entends mes hommes chuchoter et c'est Javier qui s'adresse à moi :

    • "Petite salope, tu as beaucoup apprécié la pine qui t'a défoncée le cul et t'a envoyée en l'air, mais tu n'as pas fini, il te faut à présent la nettoyer !"

    Je sens qu'il a durcit la manière de s'adresser à moi, Javier, mon Amo est de retour, il vient vers moi me guide et m'oblige à me mettre à genoux.

    Tout de suite après, des mains me saisissent les cheveux et rapprochent la bite de mon visage, sans résister, j'ouvre largement la bouche et elles tirent sur mes cheveux pour que j'engloutisse le plus possible de ce monstre dans ma bouche.

    Je lèche et suce tout ce que je peux, alors qu'elles lui font faire des allers retours dans mon étui de pipeuse de pine !

    Après quelques minutes de ce traitement j'ai très mal aux commissures des lèvres et la bite ressort de ma bouche alors que Javier me dit :

    • "Tu es vraiment une pipeuse professionnelle, je vais te faire une promesse : je vous ai invités tous les deux à passer du bon temps chez moi à Valencia, je suis très ami avec une équipe de basket-ball, je te promets que tu passeras le temps qu'il faudra dans leur vestiaire après une victoire, et que tu les pomperas tous ! A présent, lève toi, tu changes de position !"

    Je me redresse, et je reconnais la main d'Yves. Il me délie les poignets et me fait faire quelques pas. Mes pieds nus sentent que je suis sur une couverture, en plein garage, ça me semble étrange ! Javier me dit sèchement :

    • "Truie-vicieuse, nous allons te fixer aux poignets et aux chevilles tes bracelets de cuir de pute-esclave que tu adores, et tu vas retrouver avec plaisir ta ceinture de nombril qu'on va serrer bien fort ! Ne nous remercie pas, sale putain en chaleur, tu mérites cet équipement !"

    Les accessoires sont vite posés par les deux hommes, mais ils serrent plus que d'habitude, sans toutefois me faire mal. Javier me positionne sur la couverture :

    • "Putain, tu n'a plus qu'à poser ton cul d'enculée sur cette serviette, tu t'allonges sur le dos, tu t'étires comme une soumise qui veut s'offrir, en fait comme Putain-Loré sait le faire ! Et tu écartes tes pieds et tes mains, comme si tu allais être crucifiée ! Je vais chercher un marteau et des clous pour achever de mettre ma "guarra" dans la bonne posture, bien obscène !"

    Ces traits d'humour d'Amo mio me fait sourire et calment un peu mon angoisse ! J'essaie de prendre la pause exacte qu'il m'a ordonnée.

    Je sens que les trois personnes s'agitent autour moi : des mains attachent mes anneaux de chevilles et de poignets en faisant des nœuds solides : ce sont donc des cordes qu'ils nouent.

    Deux d'entre eux font pareil aux anneaux latéraux de ma ceinture.

    Je me rends très vite compte que ces nœuds et ces cordes vont servir à me décoller du sol !

    Et, en effet : les premières cordes soulèvent mon ventre alors que deux mains me soutiennent la tête, tout en laissant mes pieds posés au sol. Ils doivent les arrimer à des supports solides.

    Le reste est plus facile à réaliser, et quelques minutes plus tard je suis suspendue par six cordes, mais je ne sais du tout à quelle hauteur !

    Je ne souffre pas, car c'est mon dos et mes reins qui supportent mon poids et les autres attaches l'aident un peu mais sans être essentielles.

    Allumez le feu !!!!!

    Ils doivent m'entourer tous les trois, car ils s'amusent à me balancer de droite à gauche et de haut en bas. Il est vrai que je forme une véritable balançoire vivante, que j'avais vue sur des sites bdsm, sans savoir ce que cette posture grotesque permettait !

    Mais je vais vite mettre à jour mes connaissances sexuelles !

    Je sens un regroupement humain à gauche de ma tête, des bruits d'ouverture de quelque chose en déchirant le plastique de protection, mais les bruits bien caractéristiques qui suivent m'affolent : car ce sont des allumettes qu'ils allument !

    Après un peu d'attente, je sais de suite ce qui va m'arriver : une première goutte de cire brûlante, tombe sur un de mes orteils, suivie d'une autre sur mon mont de Vénus et d'une autre sur mon front.

    La disparité des points de chute me prouvent que les trois sont armés d'une bougie, mais quand les gouttes redoublent quasiment aux mêmes endroits de ma chair, je sais de suite que chacun d'eux a deux bougies !

    Je ne sais pas combien de temps ce déluge de gouttes dure, mais c'est un véritable enfer, mes orteils sont soigneusement visés un par un, et le dédoublement des bougies permet de s'occuper des deux pieds en même temps. Mon nombril est vite rempli. Mon ventre et mon mont de Vénus sont rapidement recouverts d'une épaisse couche de cire !

    Les bougies du haut continuent à s'intéresser à mon front, mes joues, mon cou et mes épaules tout en évitant soigneusement le visage, les yeux et la bouche.

    J'ai déjà subi cette punition, mais je me rappelle de gouttes beaucoup plus douloureuses, je suppose que les bougies sont assez éloignées de leurs cibles pour ne pas risquer de brûlures graves.

    Toutefois, chaque fois qu'une partie de mon corps est attaquée, je ne peux pas m'empêcher de gigoter et de gémir, ce qui fait rire mes hommes ! Mais quand les gouttes se multiplient, je ne sens plus rien, les premières gouttes me protègent de la chute des autres.

    En réfléchissant, je réalise que, pour le moment, elles s'arrêtent à mon mont de Vénus. Ma bouche n'a pas été visée et aucune n'a touché ni mes seins, ni mon sexe !

    Je redoute le pire pour la fin de la séance !

    Et elle arrive trop vite pour moi, une bougie perle en bas d'un sein et commence un cercle en faisant en sorte de ne pas recouvrir la goutte précédente. Le même processus est appliqué sur l'autre sein ! D'autres gouttes ont commencé l'ascension de mes nichons en continuant à dessiner des cercles de plus en plus petits sur mes globes.

    Dans le même temps, deux bougies noient mes lèvres serrées, puis une main ferme m'oblige à ouvrir la bouche et les deux bougies jointes se régalent de me faire hurler en tombant sur ma langue et sur mon palais.

    Je gigote comme une diablesse, en essayant, vainement de me libérer les mains de leurs attaches, mais je suis obligée de subir sans pouvoir ni me défendre ni me protéger !

    Le pire reste à venir, les bougies qui s'occupaient de ma bouche descendent vers mon sexe, et elles reproduisent le travail fait sur les lèvres de ma bouche, mais sur mes lèvres vaginales, beaucoup plus sensibles que celles de ma bouche.

    Quand elles ont bien constellé mes lèvres de cire, une main m'ouvre le vagin de toute la puissance de ses doigts et douche sans pitié l'intérieur de mon con, heureusement, sans trop insister car j'hurle de douleur comme une furie !

    Les deux alpinistes ont terminé leurs ascensions, et sont arrivés à mes aréoles qui sont rapidement recouvertes, avant de tomber précisément sur mes tétons, me faisant hurler jusqu'à ce qu'ils ressemblent à des petits tas blancs, en supposant que les bougies sont blanches !

    Je me décontracte quand j'entends trois souffles : il n'y a plus que trois bougies en fonction, mais...

    La peur augmente-t'elle l'excitation ?

    Des ongles se posent sur mes aréoles et commencent à enlever la cire qu'il y a sur elles. C'est relativement facile : la cire est encore moelleuse et doit s'enlever par plaques.

    Mais le nettoyage des tétons est plus sensible, bien sur les cônes de cire séchées s'enlèvent bien, mais le nettoyage des quatre ou cinq premiers impacts me fait hurler de douleur.

    Mais quand les ongles ont fini d’œuvrer, je me sens mieux et avec ces doigts qui me triturent, je sens que mes tétons re-bandent durement !

    Je me demande où sont passées les trois bougies allumées, quand je sens la première flamme lécher un très court instant mon petit orteil droit, j'hurle :

    • "Nooooon pas de brûlures, je vous en supplie, c'est dans mes tabous, si vous ne les respectez pas, Yves devra intervenir !"

    Il me rassure de suite :

    • "Tu ne seras pas brûlée, Amour, je te le garantis"

    Je veux bien le croire, mais en même temps, un de mes tétons sent une flamme le lécher rapidement en passant sur lui, puis c'est l'autre, j'hurle de douleur, tout en m'efforçant de lui faire confiance !

    Il est vrai que chaque flamme me lèche juste un court instant et que ce ne sont que les dessous des orteils et mes bouts de nichons qui sont pris pour cibles.

    J'attends la prochaine destination avec peur et angoisse. Un téton ? Un orteil ? Suivi d'un orteil de l'autre pied ?

    Mais deux doigts s'enfoncent et tournent dans mon con, et Javier dit :

    • "Encore trois minutes et nous pourrons arrêter, pour le moment son con est un torrent, et regardez la taille de ses bouts de mamelles, visiblement, cette pute-maso a peur, mais elle mouille comme une chienne en chaleur !"

    Machinalement, je commence à compter, sans arrêter de bouger et de hurler, mais quand je suis à 170, le calvaire s'achève ! Et les trois dernières bougies sont de suite soufflées et éteintes !

    J'ai hâte de me débarrasser de toutes ces saloperies qui polluent mon corps, mais très vite, je sais que je devrai attendre un peu !

    Tournante consentante = orgasmes !

    Je sens qu'ils changent de positions.

    Quelqu'un se place dans le compas de mes cuisses, frotte son gland sur ma moule cirée et juteuse, et l'enfonce dans mon con avec un grognement de plaisir.

    Je reconnais le grognement et la bite d'Yves, et je pousse mon ventre vers lui pour l'aider à me baiser à fond !

    Dans le même temps, une bite me frotte la bouche, des mains éparpillent la cire, et une pine entre son gland, se fait un peu sucer, et rentre un peu plus. J'ai la tête à l'envers, mais j'essaye de bien le pomper, j'ai reconnu Javier à son odeur corporelle et à la taille de son mandrin, lui aussi je me dois de bien le sucer !

    Après de longs et vigoureux allers retours dans mon vagin, le premier à s'arrêter est Yves, qui est immédiatement remplacé par la bite du quatrième que je viens de nettoyer !

    Je me dis que ce n'était pas vraiment la peine, mais qu'il est vrai que cette pine venait de mon cul et que là elle me baise !

    Ses coups de reins sont forts et puissants, cette bite est bien plus grosse que celle d'Yves et elle me remplit totalement le con et me faisant couiner de plaisir !

    Je retrouve très vite ma bite préférée, mais dans la bouche, Javier s'arrache de ma bouche et Yves prend sa place, je sais que je suis dans une tournante !

    Ils vont me baiser et se faire sucer en tournant tous les trois, jusqu'à ce qu'ils n'en puissent plus et qu'ils se vident dans le trou qu'il sont en train de limer !

    Cette tournante dure très longtemps, mais je sens qu'ils arrivent au bout de leur résistance, quand le hasard du timing fait que c'est Yves qui me nique, je mets tous mes muscles en mouvement et fais en sorte de balancer mon bassin vers lui, il comprend ce que je cherche, et se doute de ce que je cache :

    • "Oooooh, Amour, ta bite est la meilleure, tu vas m'envoyer au ciel, vas-y, défonce moi bien, enfonce toi le plus possible dans la connasse de ta pute de femme-maso, et jouiiiis, s'il te plaît, je veux qu'on jouisse ensemble, vas-y Amour, donne moi ton foutre, je t'en supplie, et prends ton pied en même temps, ooooooh, je n'en peux plus, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, gicle en moi, vide bien tes couilles, je suis ton réservoir préféré ! Vas-y mon Tendre lâche tout"!

    Et, miracle de l'amour, nous jouissons ensemble, j'ai essayé de ne pas trop crier pour profiter de ses grognements de plaisir et de sa longue éjaculation qui me remplit le ventre et accroît mon orgasme en le prolongeant en tsunami !

    Il se retire de mon ventre, fait comme il en a l'habitude en se nettoyant la pine gluante sur mes cuisses et laisse sa place à Javier, qui, je le pense, lui aussi ne tiendra pas longtemps !

    Mais il n'a pas la faveur de mes muscles, je me contente de me balancer très fort pour l'aider à me niquer et à jouir. Et son excitation et ma technique portent leurs fruits, lui aussi jouit longuement en moi, j'ai dans l'estomac les deux foutres : ceux de mon mari et de mon Amo !

    Si je compte bien, il me reste le quatrième à satisfaire !

    Je fais connaissance avec son foutre !

    Dès qu'il a vu que Javier se vidait les couilles dans mon vagin, le quatrième a glissé sa grosse pine dans ma bouche !

    Le ventre gavé de foutre, j'ai été contente de son choix.

    Sa manière de me donner son pieu à sucer est étrange, en fait il profite de la position de ma tête pour me faire une "gorge profonde" en enfonçant la quasi totalité de son chibre dans ma gorge, alors que jusqu'alors, je n'ai jamais pu le pomper qu'en l'avalant à moitié.

    Mais cette position m'empêche de bien le sucer, et c'est en fait lui qui va devoir me niquer la bouche, et, il le sait bien, car des deux mains il agrippe tout ce qu'il peut de mes cheveux et commence à faire des allers et retours dans ma bouche, en la sortant de ma bouche et en la renfonçant brutalement d'un seul coup de reins.

    Je fais très attention à la position de ma tête pour qu'aucun obstacle ne gêne ses pénétrations quasi verticales.

    Je me sens un peu lésée de ne pas pouvoir lui faire une vraie pipe pour laquelle j'étais prête à donner le meilleur de moi-même.

    Javier s'en rend compte et je l'entends échanger avec Yves, sans les comprendre. Ils semblent d'accord, car je les sens se rapprocher, et je me retrouve avec quatre mains sur ma chatte obscènement ouverte, ils vont me branler et ça va faire des ravages, tellement je suis excitée d'avoir la bouche occupée par une aussi bonne queue !

    Ils se régalent de caresser mes lèvres, l'intérieur de mon con, mon trou du cul, ma raie et mon clitoris. Avec leurs vingt doigts, je me crois dans une partouze et mon premier orgasme ne tarde pas à venir.

    J'essaye d'être un peu discrète, mais sans vraiment y arriver.

    La pine d'acier continue de me défoncer la gorge, ce qui m'empêche de refréner des spasmes d'étranglement, car l'air a du mal à passer dans ma gorge obstruée.

    J'arrive toutefois à étouffer des débuts de vomissements mais pas les gargouillis de salives indécents qui sortent de ma bouche malgré moi !

    Javier m'informe :

    • "Le quatrième, t'accorde gentiment un autre orgasme, il va essayer de se retenir pour toi, mais après tu boiras son foutre dont la plus grosse partie ira directement dans ton œsophage de salope ! Mais il mérite bien que tu lui fasses le cadeau d'une "gorge profonde" qui n'a pas de secret pour la putain-pipeuse-professionnelle que tu es !"

    Je suis contente que la position de ma gorge lui convienne, et je me concentre sur mon orgasme. Mes hommes ne m'ont pas lâché la chatte, et je jouis, en couinant comme une brebis à sa naissance !

    Juste à temps, car il n'en pouvait plus et je sens ses jets tièdes et gluants frapper le fond de ma gorge, il sort un peu son pieu pour que ses jaillissements de foutre arrosent aussi mon palais et ma langue.

    Le dernier jet s'écrase sur mes lèvres entrouvertes !

    C'est une éjaculation d'une rare puissance, hors du commun !

    Javier se dépêche de me dire, pendant sa jouissance :

    • "Gardes-en un maximum, tu le dégusteras plus tard !"

    Et c'est ce que je fais en refermant mes lèvres quand il se retire.

    • "Très bien, avale lentement son foutre à petites gorgées, montre lui ton réel plaisir de déguster son foutre que tu découvres !"

    Je me léche les lèvres pour ne pas en perdre une goutte, j'ai déjà dégusté quelques litres de sperme, mais celui là à un goût unique qui me séduit immédiatement et je le déguste jusqu'à la dernière goutte.

    Je me promets de ne pas boire dans l'heure qui vient pour continuer à avoir ce goût savoureux dans la bouche !

    Je reste bouche bée, mais pas que pour sucer !

    Je sens des mouvements derrière ma tête, mais, sans savoir ce qui m'arrive, je me retrouve avec un gros gode gluant, trempé et odorant qui s'enfonce lentement dans ma bouche.

    Une ou des mains doivent l'aider à me pénétrer, mais, au fur et à mesure qu'il progresse, je suis tellement excitée que je le lèche avec avidité. Il suinte d'un jus intime que je ne connais pas, mais j'ai si souvent léché et avalé des sécrétions de femmes excitées, que je suis sure qu'elles viennent d'un con de femme, aussi, et même voire plus, excitée et trempée que le mien !

    Je me demande d'où ce gode peut bien provenir ?

    Mais comme les vingt doigts de mes hommes se sont remis au travail, je suis tellement sollicitée par ma chatte que je le suce avec fougue et ardeur sans me poser d'autres questions !

    Je jouis une nouvelle fois bruyamment, sans pouvoir contrôler ni les tremblements de mon corps, ni mes cris !

    Le sucre d'orge magique qui faisait le plaisir de ma langue et de mes lèvres de pipeuse se retire d'un seul coup de ma bouche, et l'instant d'après, quelqu'un s'agite au-dessus de moi, et une chatte gluante, largement ouverte par des doigts, se pose sur ma bouche !

    Je vais bouffer une chatte ! Mais d'où vient-elle ? Je croyais être la seule femme de ce quatuor !

    En principe, même les yeux bandés, j'arrive à reconnaître la situation, même si je ne la contrôle plus ! Mais là, je ne sais plus ce qui se passe ! Mais la chatte a un parfum si agréable, elle est tellement trempée et appétissante que je vais jusqu'à me faire mal aux muscles de la mâchoire pour la lécher, la sucer et boire tout ce que je peux avec la frénésie d'une gouine réellement en chaleur, ce que je suis !

    Je crois entendre des gémissements de femme, mais dans le délire où je flotte, je dois me tromper ! Mais ils sont de plus en plus forts, et la chatte inconnue se frotte à présent sur ma bouche de toutes ses forces pour mieux sentir les raclements de ma langue sur tout ce qu'elle peut attraper, y compris un clitoris proéminent et spectaculaire, je reste longtemps sur lui et je sais que ce traitement doit être fatal, pour elle !

    Du côté de mon sexe dégoulinant, mes hommes sont tellement actifs que je recommence à crier en jouissant :

    • "Oooooh, continuez à me branler c'est si booooooon, je vais jouir une fois de plus, et j'espère que le clitoris que j'ai dans la bouche va faire s'envoyer en l'air sa propriétaire ! Il est temps qu'on s'éclatent toutes les deux ! Oooooh je n'en peux plus ! Oh que c'est boooon, je n'ai jamais vécu un tel moment, et je jouiiiiiiiiiiis"

    Comme l'avait annoncé Anita, sans que je ne le sache, ma suspension, mon corps couvert de cire fondue, ma peur d'être brûlée par les flammes et cette tournante vicieuse dans laquelle je ne savais pas qui allait juter et dans lequel de mes trous de pute, ont rendu cette séance extraordinairement excitante.

    Personnellement, je suis arrivée à des niveaux d'excitations rarement atteints, et si un vagin participait à cette séance, je ne comprendrais pas qu'il ne soit pas dans le même état que le mien !

    A présent, elle ne cache plus du tout le plaisir qu'elle prend avec ma bouche ! Elle se frotte la chatte sur ma bouche, en devenant de plus en plus demandeuse, et en appuyant de tout son corps pour que je la lèche, que je la suce avec soin, et que je déglutisse le plus rapidement possible tout ce que je peux avaler de son jus intime, car, elle sait, elle, qu'elle en a un autre, bien plus copieux, à me donner !

    Javier, Amo mio 3

    Quand elle jouit, ça commence comme un con rempli de foutre qui se vide dans ma bouche, et que je bois goulûment. Et je sais à présent que je suis en train de boire la chatte d'une femme-fontaine, et que ce sont les premiers jets de son sperme féminin que j'avale avec délice :

    Javier, Amo mio 3

    Mais, très vite, son éjaculation épaisse qui coule de son con en feu se transforme en un geyser impressionnant de ce type :

    Javier, Amo mio 3

    C'est bien une femme-fontaine qui est en train de me jouir dessus ! Je n'en ai pas rencontrée beaucoup, mais je suis ravie de boire du sperme féminin !

    Je ne peux me remplir la bouche qu'avec quelques-uns de ses longs jets puissants, mais pendant son très long orgasme, mes hommes se rapprochent, et, mains nues, ils récupèrent ce que je ne peux pas happer au passage et ils l'étalent sur mon corps, des pieds à la tête en insistant, bien sur, sur mon sexe et mes nichons !

    Mon corps en est rapidement recouvert, et je sens l'odeur de femme surexcitée qui a du remplir une vessie entière de sperme féminin, au fur et à mesure de ma domination !

    C'est assurément une Domina qui se régale de dominer son esclave !

    Dommage que mes hommes aient arrêté de me masturber, mais, puisque je ne peux plus compter sur eux, je m'empresse de descendre mes deux mains sur ma chatte brûlante, et c'est finalement mes dix doigts qui me donnent un orgasme fabuleux, alors que les derniers jets de cette femme-fontaine tombent sur mon corps bouillant et tétanisé par ma jouissance, probablement, pour compenser mes cris que je ne peux pas pousser à cause d'une bouche beaucoup trop remplie de foutre !

    Jouir quand une Domina éjacule son sperme sur mon corps de putain vicieuse, même en fantasme, je n'avais jamais imaginé que ça puisse m'arriver un jour !

    Elle se dégage de ma bouche, apparemment en étant aidée, je fais un signe pour appeler quelqu'un, c'est Yves qui se précipite, je lui montre ma bouche lèvres serrées et lui fais signe que je suis muette et de ma main je dessine dans l'air le geste de quelqu'un qui écrit.

    Il comprend de suite et dans la minute qui suit, il me met un stylo dans la main et un bloc et j'écris, à l'aveugle et probablement très mal :

    Bonjour, Maîtresse, je suis Putain-Loré !

    Yves a vite compris qu'il fallait montrer ce mot griffonné à Anita.

    Et, pour la première fois, j'entends sa voix, douce et adorable :

    • "Je suis enchantée, Putain-Loré, tu peux m'appeler par mon prénom : Anita, et me vouvoyer, à part ton obéissance totale qui implique de ne me dire que la vérité, je n'ai pas d'autres règles à t'imposer ! Attends moi la bouche pleine, je reviens de suite dans cinq minutes !"

    Elle demande à Yves de la suivre. Après une courte conversation dans le couloir, Yves revient. Javier l'interroge, il ne semble pas connaître la suite !

    • "Rien de grave ? Que faisons nous de Loré ?"

    • "Elle m'a demandé si nous avions un bidet, je lui ai dit que non, mais que la baignoire du bas était équipée d'une douchette que Loré utilisait souvent pour se laver intimement. Dans sa chambre, elle m'a montré la photo d'une parure de cuir qui est dans son sac : nous devons libérer Loré, lui enfiler cette parure, la menotter dans le dos et lui remettre ses escarpins qui sont dans le nid, en veillant à ce qu'elle n'avale pas le sperme qu'elle a dans sa bouche ! Je vais chercher ses chaussures !"

    • "Non, comme, tu as vu la photo, occupes-toi de la parure, j'y vais."

    • "D'accord, nous avons tout juste le temps de préparer Loré !"

    Javier va jusqu'au nid et revient avec mes escarpins, alors qu'Yves trouve la parure que veut Anita.

    Tous les deux s’attellent à me détacher et à me remettre sur pied, Yves m'enlève mon bandeau des yeux, en me disant :

    • "Maintenant que tu la connais, tu n'as plus besoin de ça !"

    Je regarde la parure, elle est super sexy, et je les rassure :

    • "Je pense que je pourrai l'enfiler toute seule, ce n'est pas bien compliqué, mais vous aurez des réglages à faire !"

    • "Il est 16h, comme l'avait prévu Anita, la séquence garage a duré très longtemps, mais nous nous en souviendrons longtemps !"

    Anita prend la session en main !

    J'ai terminé de mettre mon harnais de corps, et, en effet mes hommes ont des réglages à faire.

    Javier, Amo mio 3

    Javier constate que le neck corset peut se poser au dessus de son collier, et ils rattachent donc le haut de la parure aux anneaux de mon collier, et ils me serrent le qui-qui avec le neck-corset : j'ai la tête bien droite, mais il m'est quasiment impossible de tourner la tête !

    Puis ils ajustent la fixation entre le bas et le haut de la parure. Tendue, mais pas trop, pour me laisser bien droite et ne pas me pencher trop en avant.

    Ils ajustent la hauteur des offre-nichons pour les mettre bien en valeur, et serrent la ceinture qui tient le string qui dégage obscènement mes deux orifices.

    Dommage que je n'ai pas de miroir pour me voir, mais mes hommes m'assurent que je suis encore plus sexy qu'à poil !

    Je renfile mes escarpins et Javier me menotte les poignets dans le dos, juste au moment où Anita entre dans le garage enveloppée d'un de mes peignoirs et avec mes chaussons de bains !

    • "Ah, ma petite pute est prête ! Merci Messieurs ! Wouah, cette parure a été faite pour toi ! Tu es superbe, et cent fois plus sexy qu'à poil ! Ma petite pute, tu vas être contente, car nous allons nous installer au salon, qui sera plus confortable que ce garage, qui nous laissera tout de même, d'excellents souvenirs !"

    Yves prend son sac, et nous partons tous les quatre vers le salon. Anita s'assied dans un fauteuil et me dit doucement :

    • "Tu dois être gênée par tout ce que tu gardes au chaud dans la bouche, j'espère que tu as aimé le goût de mon sperme, tu vas donc t'agenouiller devant moi, et je vais te tendre mes pieds nus, sur lesquels tu vas vider le contenu de ta bouche, en évitant de salir le tapis !"

    Je me rapproche, mains liées dans le dos, dans ma tenue de salope soumise, et je m'agenouille devant elle. Elle pose ses adorables pieds nus aux ongles discrètement vernis et je sens une main me courber la tête, jusqu'à ce que mes lèvres touchent ses beaux pieds qui sentent le savon de sa toilette rapide.

    Je fais faire au sperme un dernier tour dans mon palais : il est resté à la bonne température et est très liquide.

    J'entrouvre mes lèvres comme si je voulais siffler, et lentement j'en recouvre soigneusement les pieds de ma Maîtresse, qui serre bien ses orteils entre eux, pour éviter que le liquide ne coule sur le tapis.

    Elle se penche vers moi pour regarder mon travail :

    • "Tu es très soigneuse ma petite pute, et dans la réalisation d'un ordre, tu es une esclave parfaite, je l'ai remarqué dès que je t'ai prise en main ! Et ça me plait et m'excite beaucoup !"

    Je me racle un peu la gorge, pour ramener sur mon palais les dernières gouttes, mais je n'ai vraiment plus rien à lui donner !

    • "C'est parfait, à présent tu vas me lécher les pieds et avaler au fur et à mesure ce que ta langue ramasse de mon sperme, prends ton temps ! Nous ne sommes pas pressés !"

    Je regrette de ne pas pouvoir lui caresser les pieds, et je m'installe au mieux pour que ma langue recueille le liquide que je bois de suite avec un plaisir intense !

    Ce moment idyllique doit durer au moins dix minutes, mais, quand je relève la tête, elle contrôle mon travail, m'indique du doigt deux endroits où il reste des traces, je les efface, et peu de temps après elle me dit :

    • "Voilà un travail parfait, mes pieds sont frais de ta salive et tu as pu savourer lentement mon jus, avant qu'il ne rejoigne ceux de ton Mâitre et de ton Mari dans ton estomac ! Nous voilà tous les trois dans ton ventre de petite pute ! Maintenant que tu as la bouche libre, as-tu des questions petite pute ?'

    • "J'aurais tellement de questions, Anita, que je préfère ne vous en poser aucune : j'adore votre domination cérébrale, Javier vous a bien renseignée : merci Amo mio ! Vous êtes très belle, et je me retrouve avec une Ama, un Amo et mon cher Mari voyeur que j'adore ! J'espère être à la hauteur de toutes vos attentes !"

    • "Pour cela, petite pute, rien de plus simple : il te suffit de bien écouter ce que chacun de nous va te demander, et de l'exécuter aussi bien que ce tu viens de faire avec mes pieds !"

    Elle se lève, remet ses chaussons et nous dit :

    • "Je vais me changer, on se retrouve dans ce que vous appelez le nid. Mais j'ai besoin d'un ordinateur connecté Wifi, Yves le suréquipé en accessoires bdsm et en informatique, je suis sure que tu as ça !"

    Yves se contente de lui sourire et m'aide à me relever.
    Javier m'enlève mes menottes pendant qu'Anita s’éclipse.

    Suite dans Javier, Amo mio 4

     


    votre commentaire
  • Javier, Amo mio 4

    Mauvaise nouvelle pour Amo mio !

    Nous fumons et buvons du café et du champagne en grignotant des tapas fraîches qu'Yves a rapportées de la cuisine.

    Je suis debout, et mes hommes sont assis.

    Je crois que, tout comme moi, ils n'ont pas envie de parler de ce qui s'est déroulé !

    Evidemment pas du léchage des pieds d'Anita, ni de ma tenue, mais de ce qui tout s'est passé depuis sont arrivée !

    Elle nous rejoint, elle a enfilé une ravissante robe vert foncé, légère, lui arrivant au dessus des genoux et très décolleté, ne cachant pas grand chose de ses seins ! Et des escarpins magnifiques assortis à sa robe.

    Elle a rapporté son sac avec elle.

    C'est à ce moment précis que le portable de Javier sonne !

    (Il répond en Espagnol, mais je traduis !)

    • "Bonjour, c'est Javier... Ah, Lola bonjour, le Congrès se déroule bien ?... Ah bon, il est déjà fini !... Oui je t'écoute !... A quelle heure dis-tu ?... 20h00 ! Mais il était prévu pour demain ?... Ah, le charter, est payé à l'heure, et l'hôtel accepte de ne pas encaisser les nuits annulées... Les 40 passagers du vol préfèrent rentrer chez eux !... C'est humain ! Eh bien, je n'ai pas le choix... Car il n'y a pas de vols réguliers Clermont-Valencia !... Entendu on se retrouve à l'enregistrement... Merci de m'avoir prévenu Lola, je t'embrasse !"

    Et, il raccroche visiblement attristé.

    • "Vous avez tout compris grâce à Loré, l'avion nous rapatrie dans trois heures, et je ne peux pas en prendre un autre, à moins que..."

    Il entre dans l'ordi, et trouve le premier Clermont-Valencia avec un stop, mais uniquement pour ce mardi avec, en plus, un changement d'aéroport à Paris !

    • "Je dois me rendre à l'évidence. Yves peux-tu me commander un taxi pour que je sois à l'aéroport vers 18h ?"

    •  "Un taxi ? Tu plaisantes Javier, je t'accompagnerai !"

    • "Mais tu ne vas pas laisser Anita et Loré sans compagnie ? Il n'en n'est pas question, commande moi ce taxi, s'il te plaît !"

    • "Attendez les hommes, je vais appeler Océane et lui demander si je peux rentrer plus tard que prévu. J'avais envisagé de vous quitter vers 18h, mais, je vais essayer de retarder !

    Elle prend son téléphone, s'isole et revient quelques minutes plus tard :

    • "Mon départ est reporté à 21h, Océane est obligée de mettre en route l'équipe de nuit et je serai avant elle à la maison, bien sur ça n'arrange pas notre pauvre Javier, mais le week-end ne sera pas entièrement gâché !"

    • "Oui, ça ne change pas mon futur, mais probablement celui de Putain-Loré !

    • "Ne te fais pas de souci, Javier, nous t'enverrons les clips de la suite de ses aventures, tu les auras pendant le vol !"

    • "Merci, mon ami Yves, ce sera une maigre consolation, mais il faudra bien que je m'en contente !"

    Yves nous ressert du champagne, et nous entamons notre dernière heure tous les quatre.

    Un petit coup vite fait, bien fait !

    • "Vous nous excusez quelques minutes, j'ai des petits secrets à révéler à mon ami Javier !"

    Il s'éloignent avec leurs flûtes vers la piscine, et là, contrairement aux autres fois, je n'ai jamais su ce qu'ils s'étaient dit !

    • "Ca ne te fais pas peur de rester seule une heure avec Anita ?"

    • "Pas du tout, Yves, d'abord, je n'aurais pas supporté que tu abandonnes Javier dans un taxi et Anita est une femme tellement extraordinaire et une Domina qui me comprend si bien qu'à part jouir, je ne risque rien !"

    • "Tu es vraiment bandante dans cette tenue, il faut que tu me trouves la même sur tes sites cochons, et peu importe son prix ! Même si elle n'est pas en solde, achète-la !"

    J’acquiesce de la tête, et me rapproche de lui, m'assieds sur ses genoux et lui offre mon corps qu'il pelote de suite avec avidité !

    Pendant que ses mains sont occupées, je sors sa bite de son maillot et je commence une masturbation qui est vite, très efficace !

    Je me relève, débarrasse rapidement la table et je lui demande :

    • "Pile ou face, qu'elle trou de ta pute préfères-tu défoncer ?"

    • "Hum, j'ai plus envie de ton con bien ruisselant !"

    Je me couche sur le dos et écarte les cuisses en les relevant très haut et en les maintenant levées et ouvertes de mes deux mains !

    L'entrée de mon con est un peu rétrécie par le cuir du string, mais ça ne gêne guère mon Tendre pour m'enfiler toute sa bite dans le con, d'un seul et unique coup de reins ! Il est bien plein de mouille, à moins que ce ne soit du sperme féminin, mais je sais que je n'ai pas la chance d'Anita !

    Il me nique avec des coups de reins durs et puissants, jusqu'à ce que je commence à couiner et à gémir :

    • "Hummmm, Amour de ma vie, comme j'adore ta grosse pine, et comme elle me ramone bien. Depuis le temps que j'attendais un petit coup vite fait, tu vas m'envoyer dans les nuages, continue mon Chéri, ne t'arrête pas, je veux sentir ton foutre gicler dans mon réservoir de putain-maso, gave-moi de ton jus, Amour !"

    Les deux conspirateurs reviennent, ils ont soif, ils s'asseyent, et allument des cigarettes pour admirer la fin de ce beau "live porno" !

    Il grogne et jouit longuement avec sa bite bien calée au fond de mon ventre et je jouis presqu'en même temps que lui, en manifestant bruyamment mon plaisir et mon aller et retour trop bref, au Paradis !

    Il applaudissent tous les deux, alors qu'Yves fait le tour de la table pour se faire lécher et sucer le pieu qui est très vite nettoyé avec ma gourmandise habituelle !

    Je me remets debout sans juger utile de me nettoyer la chatte, même si quelques gouttes de foutre tombent sur le carrelage du nid, Lydia sera là lundi pour effacer mes tâches bizarres !

    Le petit complot d'Anita et Javier !

    • "Dis-moi, Yves, tu sais, je suppose, entrer sur le site US de ta femme ?"

    • "Oui, bien sur, Anita, je te l'ouvre !"

    Elle remplace Yves dans le fauteuil.

    • "Je le découvre, mais ta femme va m'aider : petite pute, peux-tu me rechercher le clip le plus chaud que tu aies réalisé sur le thème de l'amour avec un animal, puisque, de mémoire, la zoophilie ne fait pas partie de tes tabous ?"

    Je rougis comme une pucelle effarouchée, mais je me mets debout derrière elle et la guide dans les dizaines de mes exhibitions filmées.

    • "Vous êtes sur "accueil-menu", cliquez sur "chercher un thème" et vous tapez "zoo". Vous arrivez dans un sous-dossier qui contient cinq fichiers. Vous sélectionnez le trois. Pendant le générique, vous avez un menu dans lequel vous choisissez la vitesse de lecture : lente, rapide ou très rapide."

    • "Merci petite pute, Yves cet ordi est relié à cette télévision ?"

    • "Oui, Anita, appuyez juste sur le bouton Wifi du clavier"

    Le clip démarre, mais comme il est annoncé pour une durée de quarante-cinq minutes, elle passe directement à la vitesse très rapide. Les images se succèdent, mais, seul le son est inaudible, et quand un chien entre en scène, elle passe sur vitesse rapide et regarde attentivement, jusqu'à conclure :

    • "Je sais tout ce que je voulais savoir, petit pute, tu n'as vraiment aucun tabou avec un animal, et surtout un gros chien ! Tu as beaucoup joui pendant ce tournage ma grosse cochonne ?"

    Je rougis encore plus d'avoir à avouer devant le trio :

    • "Oui, Anita, j'étais surprise, j'avais du public, le chien était très bien dressé et j'étais à la fin d'une séance super-excitante !"

    • "Je vois, donc plus chienne en chaleur que petite pute ?"

    • "Oui, Anita, je dois reconnaître que j'avais été conditionnée pour faire tout ce qu'on me demandait, sans même penser à ça !"

    • "Précise bien ton "penser à ça" petite salope !"

    D'une petite voix un peu rauque, je murmure :

    • "Flirter et baiser avec un chien, Anita !"

    • "Eh, bien, il nous reste une grosse demi-heure pour réaliser un des fantasmes de Javier, qui était le seul à savoir que je venais avec mes adorables labradors si bien dressés ! Je reviens !"

    • "Ooooh, Amo mio, tu étais au courant ? Tu sais que je suis très réservée sur la zoo, ça t'excite tellement que ça ?

    • "Eh, oui, Putain-Loré, c'est un très ancien fantasme que je suis très heureux de voir se réaliser, surtout avec toi !"

    Les talons d'Anita claquent et les deux labradors apparaissent, suivant avec docilité leur maîtresse. Ils sont très beaux, visiblement jeunes et semblent très joueurs.

    Anita fait les présentations :

    • "Je me suis inspirée des dessins animés de Walt Disney ! Le plus foncé c'est "Doug", comme dans "La-Haut" et l'autre "Pongo" pour "Les 101 Dalmatiens". Je les ai achetés, à six mois, et je les ai confiés à une école de dressage près de Nevers. Six mois après : ils obéissaient à ma voix et sont spécialisés dans "Le bonheur des Dames", pour rester dans les citations. Mes petits trésors, je vous présente Loréna, la chienne-salope avec laquelle vous allez vous amuser comme des petits fous, saluez-la s'il vous plaît !"

    Ca semble incroyable, mais les deux chiens aboient un seul coup chacun, en me regardant !

    Anita me veut très chaude pour la suite !

    • "Pendant que je me prépare, petite pute, peux-tu aller me chercher un pot de confiture de fraise et/ou de mûre, avec une longue cuillère à café ?"

    J’acquiesce et, un peu déboussolée par ce que je vais devoir affronter, je vais dans le garage prendre les confitures et en repassant par la cuisine une cuillère à mazagran qui devrait convenir à Anita.

    En revenant, je suis très surprise de la découvrir nue, en escarpins, assise à l'ombre d'un parasol sur un transat en position de fauteuil bas : dos bien calé et jambes étirées. Je pose mes trouvailles à ses côtés.

    • "Merci, ma petite pute, tu vas te mettre pieds nus, enlever le bas de ta parure : il te suffit de défaire la boucle de ton ventre, la ceinture qui tient ton string et tout le bas tombera, tu vas la ranger dans mon sac et tu reviens vers moi !"

    Je suis ses instructions et après avoir enlevé mes chaussures, je défais les deux boucles et je la ramasse à mes pieds pour la ranger.

    Au retour, elle m'indique de venir sur sa droite.

    • "Très bien, tu t'allonges sur moi, la bouche au niveau de mes seins, tu enjambes mon genou droit, en pressant bien fort ton entrejambe sur lui, je vais avoir le genou mouillé, mais c'est plus excitant que grave !"

    Je me mets exactement comme elle me le demande et pose avec soin ma chatte ouverte sur son genou, ce qui me fait gémir de plaisir !

    • "Tu gémis déjà, petite chienne en chaleur ? Et nous n'avons même pas commencé ! Ca promet ! Tu as trois parties du corps qui m'intéressent : ta bouche, car j'adore qu'une soumise s'occupe de mes tétons avec sa langue, ses lèvres et même ses dents sans exagérer ! Ta main droite qui ne te sert à rien mais qui fera plaisir à ma chatte bien coulante et à mon clito déjà très en forme ! Et, pour terminer, ta moule trempée et ravagée d'envies que tu vas frotter très fort sur mon genou qui est prêt à t'accueillir !"

    Je suis fascinée d'avoir les seins d'Anita à quelques centimètres de ma bouche, mais je surmonte mon manque de confiance et commence par de longs baisers sur ses aréoles et ses tétons que je sens frémir et grossir.

    Ma main droite trouve facilement sa chatte, bien ouverte et déjà très humide, je me contente pour le moment de caresser ses grandes lèvres de haut en bas, alors que je donne des coups de reins pour me frotter énergiquement à son genou, doux et très agréable.

    Elle ferme les yeux, visiblement prête à me laisser l'honorer de mes baisers et de mes caresses intimes, ce que n'ont pas du pouvoir faire toutes ses soumises !

    Je me frotte de plus en plus fort sur son genou, mais il faut que je garde son rythme, sans chercher à imposer le mien, et je diminue la pression de ma chatte.

    Une voix que j'ai du mal à reconnaître me dit :

    • "Pourquoi ralentir, salope, tu aimes te frotter pour jouir ? Alors, ne te gêne pas ! Rajoute un doigt, mon clito a faim de tes doigts, et mordille mes bouts avec tendresse, sois la putain-gouine très salope que je sais que tu es !"

    Je ne me préoccupe pas un seul instant de mes hommes qui doivent bander comme des ânes ! Yves doit se régaler d'avoir autant de gros plans à faire, et Javier doit fumer une cigarette en se bastonnant la bite, super excité par le spectacle que nous leur offrons toutes les deux !

    • "Guarra, frotte-toi le plus fort possible, je veux que tu jouisses !"

    Je suis au bord de l'orgasme, mais tout d'un coup, ma main droite est inondée par des jets puissants de sperme de femme, alors que je n'ai absolument ni senti ni vu arriver son orgasme !

    • "Oh, Anita, dommage de jeter tout ce bon foutre, oooooh j'aurais aimé le boire jusqu'à la dernière goutte, je l'aime tant, mais oooooh, je jouis, je jouiiiiiis, je pars au Paradis, oooooh merci Anita ! Apprenez moi à éjaculer et à jouir comme vous, je vous en supplie ! Ooooooooh je jouiiiis encore ! Merciiiiiii à vous, je vous aime tant !"

    Anita m'ordonne de me relever et me dit comme s'il ne s'était rien passé :

    • "Je suis contente de ton tsunami, je ne pensais pas que tu pouvais en avoir un avec seulement mon genou, mais nous allons vite profiter de ton excitation pour faire plaisir à Javier !"

    Anita prépare le fantasme de Javier...

    Elle émet un son et les deux chiens viennent laper et avaler tout ce bon sperme, qui aurait du être dans ma bouche ou dans ma gorge, elle me demande de m'asseoir dos tourné, appuyée à ses cuisses et me dit :

    • "Commence par la fraise, telle que tu es, tu peux tout atteindre : sans faire de pâtés, mets des demi-cuillères entre chaque orteil, et recouvre les d'une petite couche... Voilà, très bien... Remonte aux genoux et dessine des traînées sur l'intérieur de tes cuisses, sans toucher ton con... C'est parfait, c'est un régal de te voir obéir, ma petite pute !... Monte à ton visage : une demi-cuillère sur chaque joue, une traînée des épaules au cou que tu badigeonnes bien... Tu glisses un doigt dans le pot et tu te l'enfonces dans une oreille et u fais pareil avec l'autre... Et tu déposes dans ta bouche, une cuillère entière que tu n'avales pas, et avec deux doigts, tu te maquilles les lèvres !... Alors les hommes ça vous excite, vous bandez dur ?"

    • "Je ne sais plus vers où diriger ma caméra ! Et je suis parfois obligée de la mettre sur pied pour me branler !"

    • "Moi je dois m'arrêter pour me réserver pour le bouquet final, mais il risque de ne pas durer longtemps !"

    Anita éclate de rire :

    • "Bah, tu te régaleras encore plus sur les clips d'Yves ! Mais c'est vraiment dommage que vous ne soyez pas des "females" ! Vous mettez une heure à vous recharger, et nous, pendant cette heure on s'envoie en l'air quatre ou cinq fois ! Pauvres hommes je vous plains sincèrement !"

    Elle me caresse gentiment les cheveux et me dit :

    • "Allez, on continue ta préparation, mes toutous savent que quelque chose se prépare, ils doivent aussi être excités ! Mais on passe à la mûre, c'est leur fruit rouge ou noir préféré !"

    Je change de pot, nettoie un peu mes doigts sur mon ventre alors qu'Anita repend ses ordres :

    • "Comme tu t'en es rendue compte, il te reste deux parties du corps à tartiner, tu n'as plus besoin de la cuillère. Je commence par le bas... T u plonges tes doigts dans le pot, tu te lèves un peu, et tu en glisses un bon paquet dans ton trou du cul, sans trop salir les bords... Bien !... Tu te rassieds et tu fais pareil dans ton con, mais sitôt après l'avoir bien rempli, tu te maquilles les lèvres comme tu l'as fait à ta bouche !... N'oublie pas de bien oindre toutes tes lèvres et le clito ! Il faut qu'ils soient bien "mûre" ! Bravo !... Tu es parfaite !... Nous allons terminer par tes superbes nichons où ce sera très simple !... Tu trempes à tour de rôle tes deux mains dans le pot et tu badigeonnes d'une bonne couche chacun de tes nichons, et pour finir, tu fais deux petits monticules sur tes deux bouts de mamelles de chienne en chaleur !... Voilà, tu es parfaite !... Yves tu peux faire des photos ! Et toi putain, lève les cuisses pour qu'il puisse aussi prendre ton trou du cul plein de confiture !"

    Yves me mitraille de photos alors que Javier a pris sa caméra et ne sait plus où il doit filmer ! Mais, Yves le conseille !

    • "Allez, finie la séance photos ! Petite pute, tu vas te lever doucement sans faire tomber de confiture et t'installer, assise sur le ciment bien chaud de la plage, Javier va venir te menotter dans le dos et Yves va glisser un coussin de piscine, là où doit tomber ta tête en te couchant, et tu seras fin prête !"

    Le fantasme de Javier !

    • "Yves, j'ai peur d'avoir pris un peu de retard, c'est ennuyeux ?"

    • "Pas de souci, j'ai le 06 du chef d'escale : nous nous rencontrons si souvent que nous sommes devenus amis, je l'appellerai en partant pour lui dire que j'ai un des "chartérisé" en retard par ma faute !"

    Anita vient s'asseoir avec eux, Yves remplit les flûtes et, je ne peux pas boire, la bouche remplie de bonne gelée !

    Et pourtant, j'en ai très envie, car je ne sais pas du tout ce qu'Anita va demander à ses chiens, toujours assis sans bouger.

    Mais elle leur grogne un ordre, et, ils se lèvent lentement tous les deux, viennent vers moi et me tournent autour, en me reniflant.

    J'essaye de mémoriser leurs noms : Doug pour le plus foncé et Pongo pour l'autre. Pongo semble le plus joueur, et probablement sans le vouloir, il me donne un coup avec son museau qui me fait tomber sur le dos, ma tête est bien amortie par le coussin gonflable, mais mes mains menottées m'obligent à choisir un côté pour rester étendue !

    Doug semble s'intéresser à mes pieds et après un ordre, il me léche avec douceur, de sa langue rapeuse, les pieds et les orteils, alors que Pongo s'intéresse plus à mon visage. Un autre ordre et il me léche les épaules et arrive jusqu'à mon cou, où il se régale de mon badigeonnage !

    Leurs langues sont de véritables nettoyeuses ! Il ne reste aucune trace de confiture après leurs passages !

    Peu à peu, elles parcourent tout mon corps qui est recouvert autant de confiture que de chair de poule ! Doug en a fini avec mes pieds et remonte lentement par l'intérieur de mes cuisses, mais alors que je pensais qu'il allait s'intéresser à mon sexe, il remonte vers mon ventre où il y a quelques traces à récupérer.

    Je gémis de plus en plus fort et je sens mon con dégouliner sur le ciment chaud. Pongo a terminé mes joues et semblent renifler un endroit bizarre, mais il remplace sa truffe par sa langue et je la sens pénétrer profondément dans mon oreille : je couine de plaisir et ma chair de poule redouble ! Il doit savoir que j'en ai deux, car sitôt finie celle là, il passe à l'autre avec le même plaisir pour moi !

    Yves me dit souvent en plaisantant qu'un jour, il me fera jouir des oreilles ! Eh bien, ce jour a failli arriver !

    Je tourne un peu la tête pour voir ce que font les trois autres, Yves a mis sa caméra sur pied et, à poil, il se branle sans rater une miette du spectacle, Javier fait pareil avec sa grosse queue, et étrangement, Anita qui a remis sa belle robe verte, l'a roulée sur son ventre et se masturbe lentement avec trois doigts, comme moi !

    Le spectacle les excite visiblement, tout comme il me met en feu et je constate de visu que les chiens bandent avec leurs bouts roses bien sortis !

    Je décide de jouer "Miss Peggy" et je ramène les cuisses vers moi, soulève mon cul et leur offre mon anus rempli ! Mais il n'y a pas de place pour deux ! C'est le plus rapide qui me léchera le cul, et peut-être qu'il provoquera mon premier orgasme ! C'est Doug qui gagne car il était dans le coin. Un autre ordre, le fait se précipiter pour lécher longuement mon anneau avant d'y glisser profondément la langue pour récupérer la réserve de bonne confiture entreposée ! J'essaye de me retenir, mais je n'en peux plus et je jouis en essayant de ne pas effrayer les chiens !

    Mentalement je me traite de tous les noms que je connais : un chien vient de me faire jouir du cul ! J'ai l'impression d'être sur la dernière marche d'une échelle qui descend directement vers les Enfers de l'humiliation ! Jusqu'où vais-je arriver ?

    Mais, les chiens ne se sont rendu compte de rien ! Pongo descend de mon visage vers mes seins, et il les attaque en spécialiste ! Il commence par mes globes qu'il nettoie à fond, avant de s'attaquer à mes aréoles et à mes bouts, quand sa langue les râpe, je gémis de plaisir et je les sens se gonfler, il s'attarde tellement que j'ai peur de jouir une autre fois, en passant vraiment pour une salope totale !

    Mais, heureusement, des nichons il descend vers mon sexe où les deux truffes se retrouvent. Je crains le moment ou une langue va atteindre mon clito, je suis dans une telle chaleur animale, que je ne pourrai pas retenir un autre orgasme !

    Mais Pongo ne m'a pas entendue, probablement curieux de voir ce petit machin dur et plein de bonne confiture de mûre, il le lèche exactement où il ne fallait pas, je tiens vraiment à mériter ma qualité de salope cinq étoiles, car je jouis une deuxième fois, toujours sans crier, mais sans pouvoir éviter de me tortiller comme une hystérique épileptique !

    Le bouquet final !

    Anita arrête le jeu, les chiens vont se coucher à un mètre de moi et elle me dit :

    • "Putain-Loré, Yves va te libérer de tes menottes et Javier va étendre une grande couverture sur la plage, tu vas t'y mettre en levrette, avec la tête reposant sur le coussin de plastique. Tu vas lever ton cul, pour bien l'offrir ! Tu nous as bien excités tous les cinq, le moment est venu d'en remercier deux sur cinq !"

    Yves m'enlève les menottes, alors qu'à côté je vois Javier étaler soigneusement la grande couverture du garage.

    Yves m'aide à me relever. Si j'ai encore de la confiture sur moi, ce sont des micros-traces ! Javier déplace le coussin vers l'autre couverture, et Yves me guide, je me mets à genoux, puis en levrette. Mains appuyées de chaque côté du coussin, je pose ma tête sur lui sans changer le reste de mon corps de position, mon cul est bien en l'air, et je le monte encore un peu plus pour mieux l'offrir, je suppose que c'est un des chiens qui va en profiter !

    Anita se lève, appelle Bongo et le fait se coucher sur le côté droit, juste devant ma tête, j'ai sa pine, pas grosse mais très longue, à cinq centimètres de ma tête !

    Elle se penche sur mon oreille libre et me susurre :

    • "Petite pute, tu vas réaliser un fantasme très ancien pour ton Amo, mais toi qui es si imaginative, j'aimerais, avant de le réaliser que tu me dévoiles ce qui va se passer, selon toi !"

    • "Oh, Anita, est-ce nécessaire ? Je vais faire quelque chose que même une putain professionnelle refuserait de faire !"

    • "C'est exact, mais tu n'es pas une pro ! Tu es une call-girl-esclave-maso, alors, toi tu vas le faire. Allez je veux t'entendre salope !"

    • "Oh, je n'ai jamais eu aussi honte, alors rien qu'à vous, dans l'oreille, je vous en prie, si mes hommes savent que j'ai deviné ce qui allait m'arriver, j'aurais trop honte ! Je vous en supplie, Anita !"

    • "Non, à haute voix, pour tout le monde, et arrête de marchander ou je te rajoute des écraseurs aux tétons !"

    • "Oh, non pas les écraseurs, je vais leur dire, Anita !"

    • "Mes amis, rapprochez vous de la tête de cette putain, c'est elle même qui va vous raconter la fin et le fantasme de Javier !"

    • "Je n'ai aucune idée de ce qui va lui arriver, et toi Javier ?"

    • "J'ai une petite idée, mais je la laisse s'exprimer, je déteste couper la parole à une jolie femme, même dans une position aussi obscène et dégradante !"

    Ils s'approchent et, bites à l'air, ils se penchent pour m'écouter !

    Je suis obligée de me racler la gorge pour éclaircir ma voix :

    • "Anita est une Maîtresse tellement excitante que je n'ai pas envie de la contrarier, et je vais vous dire ce je pense avoir deviné pour la suite. Elle a dit tout à l'heure : "tu nous as excités tous les cinq, c'est le moment d'en remercier deux sur cinq !" Comme Anita pèse tous ses mots, quand elle a mis Pongo en position devant ma tête et, comme, personne ne m'a mis une protection pour éviter les griffes d'un chien sur mon dos, je sais que c'est Javier qui va m'enculer et que je dois pomper Pongo, jusqu'au bout ! Ooooh, je vous jure que je n'ai jamais eu aussi honte de ma vie !"

    • "C'est la vérité, Anita ?"

    • "Oui Yves, c'est un vieux fantasme de Javier que ta pute de femme va réaliser avec et devant lui ! Comme ça son départ sera moins douloureux !"

    • "Alors, si c'est un fantasme de Javier ! J'espère qu'il appréciera le cadeau !"

    • "Allez, en route, sinon vous allez rater l'avion !"

    Pongo est toujours aussi dur, Anita lui prend la bite et la rapproche de ma bouche qu'elle me fait ouvrir, elle y glisse elle même la pine du chien qui comprend de suite que ce truc chaud et humide va lui faire plaisir, mais il ne bouge pas.

    Quand je referme mes lèvres sur ce que je peux avaler de sa bite, un ordre, et il s'agite en bougeant ses reins et en s'enfonçant plus profondément dans ma bouche, ce qui doit lui tordre un peu le sexe.

    Mais il semble content et je continue en sentant le gland de Javier s’humidifier dans ma connasse trempée dont il fait plusieurs fois le tour avant de poser son gland sur mon anneau et commencer à m'enculer, lentement !

    Mais les vitesses changent : j'ai affaire à un chien très excité et Javier se retient depuis longtemps pour offrir un beau final et une belle réalisation de son fantasme !

    Pongo devient de plus en plus exigeant sur la longueur que je peux avaler et Javier augmente les fréquences de ses coups de boutoir au fond de mon cul, je suis tellement lubrifiée qu'il peut sortir entièrement sa bite et me la re-rentrer d'un seul coup jusque dans les intestins !

    A ce rythme, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps, et je vais jouir du cul en ayant une pine de chien dans la bouche, quoi de plus normal pour la pute de rue que je suis devenue en quelques heures, la salope complète qui fait tout, même ce que les putains refusent, et qui, en plus en tire du plaisir et des orgasmes à répétition !

    Je m'insulte tellement et avec un vocabulaire, qui sort de je ne sais où, que je jouis, mais seuls les trémoussements de mon cul d'enculée le prouvent, car la pine du chien m'empêche d'émettre autre chose que des grognements de bête !

    Mais, n'en suis-je pas devenue une ?

    Heureusement, mes trémoussements de mousmé plaisent à Javier qui s'enfonce en moi et se vide les couilles dans mon cul de salope ouverte à qui le veut !

    Pongo a la gentillesse d'éjaculer dans ma bouche, je pensais que les chiens étaient des éjaculateurs précoces et qu'en deux minutes ils remplissaient leur femelle en la saillant, mais Pongo doit être un peu humain, car j'ai attendu sa jouissance très longtemps ! Son foutre ne me plaît pas : il est acide, salé et nauséabond.

    Je suis heureuse pour les chiennes qui n'ont pas à le goûter, et je l'avale rapidement pour en finir, mais Anita insiste pour que je le nettoie bien en le léchant !

    Dès que Javier est sorti de mon cul, elle lui fait jeter la serviette sur moi : de mes épaules jusqu'en haut de mon cul et appelle Doug, l'ordre est différent, et il met immédiatement ses deux pattes avant sur mon dos protégé, il trouve, comme un grand, l'entrée de mon vagin et me pénètre d'un coup, et là j'ai bien la preuve que ce sont des éjaculateurs précoces, car en une dizaine d'allers et retours dans mon con, il éjacule ! Me revoilà pleine de foutre, mais un seul vient d'un humain, les autres ont vidé des couilles de chiens et je ne suis pas vraiment fière de mon exploit !

    Hélas, Javier doit nous quitter !

    Je file à la salle de bains en disant à Javier :

    • "Si je ne suis pas ressortie de ma crasse et de mon foutre, viens me faire un gros baiser dans la salle de bains, excuse moi si j'y suis à poil, tu pourras mieux me peloter, vicieux !"

    Yves est tout de même inquiet, car il est presque 19h. Il appelle de suite son ami :

    • "Germain ? Bonjour c'est Yves !... Non ce n'est pas moi qui suis en retard, c'est un ami qui rentre avec le charter de Valencia... Tu sais où il en sont ?... Ah, une petite réparation avant de pouvoir décoller... Décollage à 21h... Ouf... Mais non imbécile heureux, ce n'est pas moi qui ait saboté l'avion !... Bon merci et désolé pour la panne ! On part de chez moi... Comment il s'appelle ? Deux secondes, je ne sais pas comment ça s'écrit ! Ah, voilà Javier comme prénom et Loggrano ! Avec deux G ! Merci Germain, on se voit mardi sur le premier Orly, je retourne à Moscou ! Je viendrai en avance... Comment ça t'étonnerait ? Je viens deux heures avant le décollage et je t'offre le petit déjeuner buffet gastro au Panoramique !... Oui ça t'en bouche un coin ?... Quoi ? Que je sois en avance ou que je t'invite au Buffet ?... Les deux ?... Voyou, je te porterai un croissant non décongelé de la part de Loré ! Allez à mardi ! Et dit au pilote du charter de piloter doucement !"

    • "Wouah, c'est vraiment un bon copain, on est sauvé, la petite panne nous dépanne !

    Je sors de la salle de bain enveloppée dans mon peignoir et en chaussons, ça me fait tout drôle de ne pas être à poil !

    Javier a préparé ses affaires, tout vérifié et nous sortons toutes les deux pour les accompagner, personne dans la rue, nous pouvons longuement nous embrasser, et Javier, comme promis en profite pour me peloter et me dire :

    • "Et surtout ne soit pas sage ni avec Anita, ni avec Yves ! J'aurai tes clips pour me prouver que tu as été très salope !"

    • "Plus salope que de me faire enculer en pompant un chien ? Tu crois que ça existe ?"

    • "Bien sur avec une vraie bite d'âne, je vais en chercher un sur Valencia et je te l'achèterai !"

    • "Tu es un salaud, je n'irai jamais à Valencia, sauf si tu m'en donnes l'ordre !"

    Rires, bisous, étreintes, saluts de la main et les deux hommes démarrent. Anita et moi nous nous retrouvons toutes les deux pour une bonne heure !

    En tête à tête avec Anita !

    • "Ah, Javier, quel homme sympa ! Si je n'avais pas été gouine, je me serais surement mariée avec lui ! Dommage !"

    • "Oui, il est super cool et en plus c'est un dominant et un amant extraordinaire, dommage qu'il habite si loin !"

    • "Hum, ma chérie, moi j'habite à moins de deux heures de chez toi et tu n'as pas besoin de demander d'autorisation pour prendre rendez-vous avec moi ou même avec Océane et moi !"

    • "Exact, Anita, mais n'oublie pas que depuis un peu plus de deux ans, j'ai une organisatrice de mon planning intime qui s'appelle Cathy !"

    • "La Reine du bdsm auvergnat ! Tu as beaucoup de chance d'être formée par elle. Ta parfaite obéissance est déjà une très belle preuve de sa réussite ! Je ne la connais que de réputation, mais j'aimerais bien la rencontrer un jour !"

    • "Oh, ça c'est un fantasme que je réaliserai facilement et sans chien ! Je lui en parlerai dès demain, elle m'a donnée ma liberté pour ce weekend avec Javier, elle ne savait pas que tu étais invitée, mais je vais lui dire tant de belles choses sur toi, qu'elle t'appréciera et acceptera de te rencontrer !"

    • "Là, tu vois, ma petite pute, on est en train de faire ce qu'il ne faut jamais faire quand on est en séance : on papote entre copines et on oublie pourquoi on s'est rencontrées !"

    • "Je crois que c'est la toute première leçon de Cathy, mais on arrête et je redeviens ton esclave-sexuelle-maso-enculée-suceuse-de-chien. Ca te va ?"

    • "Tout à fait, il est 19h, Yves revient vers 20h10, et je dois vous quitter vers 21h à dix minutes près, donc nous avons une heure dix toutes les deux et une heure trente et un peu plus avec ton mari !"

    • "Exact, mais allons boire une coupe de champagne et fumer une cigarettes pendant que tes neurones sortent un super scénario d'une heure. Au passage je vais prendre du café, j'en ai besoin !"

    Elle éclate de rire :

    • "Rassure toi petite salope, il est déjà prêt ! Et il m'excite tellement que j'ai hâte de te mettre au défi, en revenant, ramène le reste de ta parure !"

    Le premier défi d'Anita !

    Nous buvons une coupe de champagne et du café. Je range la parure dans le sac d'Anita et nous allumons une cigarette :

    • "Il me faut dix minutes seule devant cet ordinateur, tu vas en profiter pour enfiler, sur ton corps nu, ton tailleur de travail le plus classieux, en gardant ton collier. Tu t'arranges pour te faire une coiffure type cadre sup. Tu rajoutes tes escarpins sexys et tu me rejoins dans l'entrée à 19h10 tapantes ! Je t'emmène faire un petit tour, tant qu'il fait encore jour, compris ?"

    • "Oui, Anita, j'ai tout noté et je serai à l'heure !"

    • "Allez magne ton beau cul appétissant et accueillant, salope !"

    Je réalise que j'ai peu de temps pour tout faire, et je me presse, le tailleur et les escarpins sont sortis, je file à la salle de bains pour revoir ma coiffure, comme mes cheveux sont très souples, je n'en ai pas pour longtemps à me faire un chignon de femme autoritaire.

    Et je retourne dans ma chambre pour terminer de m'habiller.

    Il me reste trois minutes, j'en profite pour aller chercher une cigarette au salon, l'allumer et aller à la cuisine pour boire un grand verre de Vichy et je finis ma cigarette à la cuisine. Je sors en entendant ses bruits de talons dans le couloir !

    Une petite balade XXX !

    Elle me dit qu'avec les chiens ce n'est pas la peine de fermer la maison. Elle prend le volant, je m'assieds sur le siège passager et elle se tourne vers moi :

    • "Déboutonne ta veste de tailleur que tu garderas ouverte tout le temps de notre périple, et comme bijoux tu te mets ces deux pinces aux nichons, elles ne sont pas trop lestées, car il te faudra les garder au moins une heure !"

    Je souris, et pose les pinces sur mes tétons, en grimaçant un peu de douleur.

    • "Je ne veux pas entendre un seul mot ! Et tu ne fais aucun mouvement ! Je veux un bout de bois à mes côtés !"

    N'ayant rien à répondre, elle démarre et règle son GPS. J'essaye de garder mon sang froid alors que les pinces me font souffrir.

    En arrivant dans la petite ville programmée, elle prend une route qui contourne le centre avec des feux limiteurs de vitesse. Elle semble chercher quelque chose.

    Elle double un scooter et dévisage le conducteur, elle accélère et s'arrête un peu plus loin. Elle redémarre et double le scooter. Au loin un feu vert, elle ralentit, et quand il est rouge, elle s'arrête à gauche de la chaussée en me disant :

    • "Baisse ta vitre, montre bien tes nichons pincés sortant de ta veste de bourgeoise et fais un geste amical au conducteur qui a l'air sympa, et envoies lui un baiser avec tes lèvres"

    L'ado s'arrête de mon côté. Il est en effet sympa, mais il ne doit pas avoir plus de 14 ou 15 ans, je réalise qu'elle est en train de me faire draguer cet ado !

    Elle s'adresse à lui :

    • "Salut bel ado, tu as vu la marchandise ? Ca te dit de jouer avec elle ? Si tu la veux, trouve nous un parking tranquille pour ton engin et ma voiture !"

    Il démarre et prend un petit chemin qui nous conduit dans un coin isolé. Il enlève son casque, il est, en effet, très mignon et, il demande en bredouillant :

    • "C'est gratuit, Madame ?"

    Anita lui répond en riant :

    • "Bien sur, que c'est gratuit, c'est une bourgeoise très salope, vicieuse et maso qui veut jouer à la pute, tu peux lui faire ce que tu veux sur la banquette arrière, mais à une condition ! Tu appelles quatre ou cinq potes de ton âge pour les faire profiter de cette salope !" 

    Le garçon réfléchis un peu et finis par dire à Anita :

    • "D'accord, je m'appelle Mic, je vous donne mon portable, je vous dis qui appeler et pendant que je me régale avec la pute, vous les appelez, dites leur que nous sommes dans le pré de Mme Martin. Mais je n'ai pas de capotes ?"

    • "Je m'appelle Anita et la salope s'appelle "la salope", ne te fais pas de souci j'ai des capotes !"

    Pendant que je passe sur la gauche de la banquette arrière, très confortable, dans cette voiture de luxe, Mic donne à Anita cinq prénoms qui sont dans la mémoire de son téléphone :

    • "Ce sont mes meilleurs amis, nous sommes toujours ensemble, dites bien que vous appelez de ma part !"

    • "Ok, je les appelle. Le mode d'emploi cette salope, est simple, tu lui demandes ce que tu veux et elle l'exécute de suite, elle n'a rien à te refuser ! Tu peux la baiser, l'enculer, te faire pomper : c'est ton jouet pour un quart d'heure. Tu la tutoies et elle te vouvoie, et tu seras gentil de répéter tout ça à tes copains au fur et à mesure de leur arrivée ! A toi de jouer"

    Il s'assied à mes côtés, et me demande de suite de me mettre à poil, ce que je fais en souriant en enlevant ma jupe par le bas. Je m'apprête à me mettre pieds nus, mais il me retient :

    • "Non pas tes souliers, ils sont très sexys, garde les, hum, à bien réfléchir, tu en enlèves un et je vais me branler en te regardant nettoyer ta semelle avec ta langue, puisque tu dis oui à tout !"

    J'enlève mon soulier droit, m'adosse à ma portière, j'écarte bien mes cuisses pour qu'il puisse me mâter la chatte, je pose la semelle de mon escarpin sur ma bouche et sors ma langue.

    Il semble fasciné, il enlève son short en se tortillant un peu, son caleçon et dégage une bite bien faite et bien dure pour son âge ! Il semble hypnotisé de voir courir ma langue sur ma semelle pas très propre, il a du voir ça sur des sites pornos, mais là, il voit une vraie femme, même si c'est une salope, le faire devant lui !

    • "Tu vas changer de position ! J'ai très envie de voir ton joli cul ouvert devant moi, mais n'arrête pas de lécher ta semelle !"

    Je vois ce qu'il veut et change de position en me mettant à genoux, cul tourné vers lui, et vicieusement, ma main libre écarte ma raie du cul ! Il s'adresse à Anita :

    • "Madame, je n'ai jamais enculé une femme, vous pouvez me dire si c'est possible et peut être m'aider un peu ?"

    Anita rit, et se retourne :

    • "Avec la bite que tu as, tu n'auras pas de problème, tu devrais lui lécher un peu l'anus pour la lubrifier, rassure toi elle s'est lavée le cul avant de partir, puis je te donnerai un tube de vaseline et tu lui en mettras sur l'anus et dans le trou du cul, voilà un Sopalin pour te nettoyer les doigts, et quand elle sera prête, je te donnerai une capote, tu sais te l'enfiler tout seul ?"

    • "Merci, Madame, oui je sais comment mettre une capote !"

    Il s'approche de mon cul et commence à le lécher en salivant dessus et il glisse sa langue dans mon anus qu'il lèche avec frénésie, je me laisse faire car, même novice, il le fait très bien !

    • "Mic, deux de tes copains arrivent, et le troisième a mon autorisation pour venir avec sa soeur de 18 ans qui aime les nanas, et semble très excitée ! Les autres sont sur répondeur !"

    Il ne répond rien, occupé à déguster mon trou du cul. Anita lui passe le tube de vaseline, il se relève et enduit soigneusement l'anneau de mon anus et en injecte dans mon trou. Puis il met la capote qu'Anita lui a passée, mais le petit vicieux m'enlève l'autre chaussure et me dit !

    • "Baisse la tête et lève ton cul très haut, tu vas sucer bruyamment tes semelles sales pendant que je vais m'assurer qu'on est bien dans le cul d'une bourge-salope qui veut jouer à la putain !"

    Apparemment, il a hâte de s'enfoncer dans mon cul, mais après quelques tentatives infructueuses, il n'arrive pas à entrer.

    Je passe une main sous moi pour l'aider à trouver mon anus, il y pose son gland, et d'un brusque coup de reins, avec un petit cri de triomphe, il rentre toute sa bite en moi, m'arrachant un couinement de plaisir !

    Anita le félicite, mais, je saurai plus tard, que cette coquine nous a caché que sa voiture est équipée de quatre caméras soigneusement camouflées en sortie d'air, et, elles ne ratent aucun mouvement de ce qui se passe dans la voiture !

    Je déteste les jeunes baiseurs, car ils ont tout à apprendre, mais ce n'est pas mon rôle ! Je repense à la saillie de mon amant chien, et, là, c'est la même chose, surexcité d'enculer une femme pour la première fois, il me lime comme un fou, et ce qui devait arriver arrive !

    Il m'encule profondément en remplissant sa capote et en gémissant de plaisir !

    Je suis tout de même heureuse de son plaisir, je resterai toute sa vie, la première femme qu'il a sodomisée !

    Anita le félicite :

    • "Alors ça t'a plu ? Tu vas pouvoir te vanter d'avoir enculé une femme auprès de tes potes ! Passe moi la capote, fais attention de ne pas tâcher le cuir de la banquette, je vais la mettre dans une grosse épaisseur de Sopalin et je la jetterai chez moi !"

    Il est tout essoufflé et enlève avec précaution sa capote pour la tendre à Anita :

    • "Oh, Madame, comme c'était bon ! Je me suis régalé, je voulais tenir plus, mais je n'ai pas pu !"

    • "C'est normal fiston avec le temps et la pratique tu apprendras à te retenir parfois même pour que ton enculée jouisse du cul !"

    Les potes de Mic le scooter-man !

    Deux scooters nous rejoignent, sur l'un d'eux, il y a le frère et la soeur, je ne suis pas mécontente de la venue d'une jeune femme !

    Anita me demande :

    • "Puisqu'ils sont tous là, petite pute, rhabille toi vite, remets tes chaussures, nous allons les accueillir dehors, n'oublie pas de laisser ta veste ouverte !"

    Je fais le plus vite possible, mais, même dans une voiture de luxe, se rhabiller, remettre ses escarpins et se laver le cul avec des lingettes intimes ne sont pas très faciles à faire.

    Je rejoins un peu plus tard, Anita, qui est déjà en grande conversation avec eux. Comme convenu, c'est Mic qui se charge de transmettre "le mode d'emploi du jouet" à ses potes, mais il ne peut pas cacher sa fierté d'enculeur, et il le dit à tout le monde !

    Il est acclamé par tous ses potes, l'un d'eux le traite de bluffeur ! Mais Anita intervient fermement !

    • "Je vous assure que Mic dit la vérité, j'étais sur le siège avant et j'ai tout vu dans le rétro, il a bien jouit dans son cul !"

    Mais, comme, apparemment ils ne sont plus puceaux, ils s’empressent de demander à Anita s'ils peuvent eux aussi me faire la même chose ! Je le redoutais !

    • "Pourquoi elle offrirait son cul à Mic, et pas aux autres ? Mais nous allons modifier la situation pour que vous profitiez encore mieux d'elle ! La salope va s'agenouiller sur la banquette arrière de la voiture. Elle sortira sa tête et ses nichons. Le premier à l'enculer lui donnera sa queue de l'extérieur. Il se fera sucer suffisamment de temps pour être bien dur, mais sans jouir ! La salope sait, par habitude, quand un mec est prêt à l'enculer. Il montera sur la banquette arrière, pour s'agenouiller derrière elle. Elle ouvrira ses fesses avec ses deux mains, pour bien lui offrir son anus : il commencera par lui lécher le cul, comme a fait Mic pour bien la lubrifier de sa salive, puis je lui passerai le tube de vaseline, et quand elle sera prête, il mettra sa capote et l'enculera, tout le monde a compris ?"

    • "Juste une question, Madame, quand celui qui va l'enculer, quitte sa bite de la bouche de la salope, le deuxième à l'enculer peut en profiter pour venir de suite se faire pomper ?"

    • "Bonne remarque, pas besoin d'attendre qu'il l'encule, il se fera de suite pomper, et quand le premier aura éjaculé, le deuxième sera prêt à prendre sa place ! Bravo ! Bonne idée !"

    • "Super plan, Madame, vous êtes une excellente organisatrice, si nous organisons une partouze, vous nous donnerez un coup de main ou des idées ?"

    • "Pourquoi pas ? Mais il faudra attendre quelques années, vous n'avez pas encore l'âge et la maturité pour partouzer !"

    Ils rient, et tout se met en place. La jeune femme s'approche d'Anita et lui demande si elle peut lui parler en tête à tête. Anita l'entraîne un peu plus loin et lui dit :

    • "Tu veux surement savoir comment ça se passera pour toi ?"

    • "Oui, aucun de mes amis ne m'a vue nue et ne me sens pas capable de jouer avec une lesbienne sous leurs yeux, j'ai déjà eu pas mal d'expériences, mais jamais en présence d'hommes !"

    • "C'est tout simple, tu me diras comment tu veux qu'elle t'accueille ? Nue, habillée, et dans quelle position, avec les garçons, nous irons nous balader, et une vingtaine de minutes plus tard, je reviendrai. Ils ne te rejoindrons que quand tu seras prête. Ca te convient ?"

    • "Oh, oui, Madame, c'est parfait comme ça ! Merci beaucoup !"

    Quand elles reviennent, je suis à genoux et à poil sur la banquette, la tête et les nichons sortis, le premier à mettre en forme a sorti sa bite et se branle pour se chauffer un peu, le deuxième a sorti la sienne qui pendouille un peu !

    Anita donne le top départ, et l'ado s'approche de moi et me dit :

    • "Je vous trouve très belle et très excitante, Madame, et très courageuse de vous livrer à ce genre de services !"

    Je ne réponds bien, je commence par le branler un peu et petit à petit sa pine durcit et je peux la rentrer dans ma bouche. Je suis à la bonne hauteur pour le sucer, sans oublier de lui caresser et de lui léchouiller ses belles couilles juvéniles.

    Il durcit encore rapidement, mais je le garde un peu plus en bouche par vice ou par gourmandise et finis par lui dire :

    • "Je ne pense pas que tu puisses bander plus, viens derrière moi !"

    Il fait le tour de la voiture et s'agenouille derrière moi, la première chose qu'il fait est de se mettre à poil, et j'apprécie ! Puis il suit "la règle de trois" édictée par Anita, il lèche et suce longuement mon anus en salivant un maximum dessus.

    Pendant qu'il se régale et me régale le cul, le prochain enculeur se présente bite à l'air devant ma bouche, et je dois me concentrer sur les deux pour leur donner un maximum de plaisir !

    A l'intérieur, Anita a passé le tube de vaseline à l'ado qui me prépare bien et avec beaucoup de soin, je n'ai pas le courage de lui dire qu'avec la vaseline du premier, je pouvais prendre cinq pines à la suite dans le cul !

    J'en profite pour sucer les couilles du jeune comme si c'étaient des gros bonbons ! Il en grogne de plaisir, ce qui me récompense !

    Je suis bien vaselinée, et le jeune enfile sa capote comme un expert, il s'agenouille à la bonne hauteur et rentre du premier coup son gland qui écarte bien l'anneau de mon cul.

    Rentrer le reste est simple, mais il doit être un peu plus mature que l'autre, car il ne me lime pas comme un fou et profite de chaque aller et retour dans mon cul, comme s'il les savourait tous !

    Dehors c'est un peu la panique, le jeune est obligé de se retirer de ma bouche pour ne pas jouir, le pauvre me fait de la peine, car à peine entré dans mon cul chaud et serré, il va tout lâcher !

    Dedans, le rythme du pilonnage de mon cul s'accélère et je sens que le jeune est à point, et après deux allers et retours, il éjacule dans sa capote en grognant de plaisir, j'ai cru entendre Yves, tellement leurs grognements se ressemblent !

    Il récupère en restant dans mon cul et bien accroché à mes hanches, mais, comme le premier, il donne sa capote pleine à Anita qui lui tend un Sopalin en échange.

    Heureux de le voir sortir de la voiture, mon jeune pompé me remercie mille fois et prend sa place, et j'essaye de l'aider :

    • "Ne me lèche pas le cul, et ne me met pas plus de vaseline, tu en a assez pour m'enculer jusqu'à ce que je sente tes couilles !"

    Il se capote la queue et lui aussi entre entièrement dans mon cul sans avoir eu à chercher l'entrée ! Mais, il est obligé de ressortir pour ne pas éjaculer !

    • "Tu es trop excité, tu ne peux rien faire, reste dehors et compte jusqu'à vingt, rentre la moi dans le cul et reste un peu au fond, ça te calmera peut être !"

    Il fait ce que je lui dis, mais en ressortant et en re-rentrant une fois de plus, il se vide dans sa capote avec un cri tellement adorable, qu'il me comble de plaisir. Un autre qui se rappellera de mon cul toute sa vie !

    Il me remercie encore un millier de fois et me quitte en me disant :

    • "J'espère que je ne t'ai pas fait mal !"

    Je lui réponds en souriant :

    • "Tu es un très gentil garçon, rassure-toi, tu ne m'as pas fait mal, mais au contraire, tu m'as donné beaucoup de plaisir !"

    Anita s'adresse à tout le monde :

    • "Mes nouveaux amis, et amants de cette enculée, nous allons laisser Lili et la salope entre filles ! Nous allons visiter les environs, un bon quart d'heure avant de les rejoindre. Mais, là, j'aurai un dernier cadeau à vous faire, et nous vous laisserons !"

    Je me demande quelle est la nature du cadeau préparé par Anita, je suppose que ce sera vicieux et probablement très humiliant !

    Les garçons approuvent et Anita rajoute pour moi :

    • "Petite salope, Lili te veut habillée et assise sur la banquette, amusez vous bien les filles !"

    Lili passe devant elle et elle lui murmure à l'oreille :

    • "Tu as la pommade sur mon siège, comme convenu !"

    Et elle s'éloigne avec les ados, super contents de leur première fois !

    La jeune Lili, gouine-scooter-woman...

    Je finis de m'habiller, me nettoie rapidement le cul et ouvre la portière à Lili qui s'assied à ma droite, rouge comme un champ de pivoine !

    • "N'ai ni honte, ni peur, j'aime ce que je fais, car j'ai une libido hors du commun ! Tu es donc une femme qui aime les femmes ?"

    • "Oui, Madame, mais j'ai du mal à entrer dans le monde du bdsm, je connais quelques filles qui sont sado-maso, mais je les évite ! Je pense que les pinces que tu as aux seins te font très mal, et Madame Anita m'a donné l'autorisation de te les enlever."

    • "Ca me fera un immense plaisir, veux-tu me les enlever ou préfères-tu que je le fasse ?"

    • "Comme tu vas beaucoup souffrir, car ça doit faire longtemps que tu les portes, je préfère que ce soit toi qui le fasse !"

    Je souris, déboutonne ma veste et enlève avec précaution la première, en poussant un hurlement de douleur que tout le monde doit entendre !

    Lili détourne les yeux et se penche vers le siège du conducteur, pendant que je fais pareil avec l'autre, avec le même résultat sonore !

    Je les jette sur le siège passager. Lili a dans la main ma pommade calmante. J'enlève ma veste pour qu'elle puisse bien pommader mes aréoles et mes tétons, ce qu'elle fait avec envie et beaucoup de douceur, très vite la forte douleur se transforme en gêne supportable !

    • "Merci, Lili, cette torture me paralysait ! J'aimerais te remercier, te sens-tu le courage de te mettre nue devant moi ? Je sais être une excellente gouine, et tu ne le regretteras pas !"

    Sans répondre, elle déboutonne son chemisier, enlève et dégrafe son soutien-gorge. Pendant que j'enlève ma jupe et mes chaussures, sans la quitter des yeux.

    Quant elle délace ses chaussures et enlève sa petite culotte en coton, nous sommes nues toutes les deux !

    Le reste est une simple séance entre deux gouines, à part que je m'occupe d'elle, en ne lui demandant rien en échange !

    Je lèche longuement ses pieds, et une autre position me permet de m'occuper soigneusement de ses petits seins très réceptifs.

    Quand ses tétons bandent bien, je remonte un peu et l'embrasse longuement sur la bouche, elle me donne sa langue et nous nous fouillons fébrilement les bouches.

    Sans arrêter de lui gouiner la bouche, je descends une main vers sa chatte, qui est déjà bien humide. Je l'appuie à sa portière, lui ouvre largement les cuisses, lui relève un peu le cul pour lui faire plaisir en lui léchant l'anus.

    Quand ma langue en pointe la pénètre doucement, elle remue son joli petit cul. Elle sent très bon et je me régale de ses petits cris de plaisir !

    Mais mon objectif est son con, que j'ouvre de mes deux mains, et ma tête disparaît entre ses cuisses. J'essaye de la gâter en lui offrant toute mon expérience de gouine mangeuse de chatte !

    • "Oooooh, c'est trop bon, Madame, laisse moi te rendre la pareille, je t'en supplie, ce n'est pas juste !"

    Je fais non de la tête et continue à lui manger l'entre-cuisses, je remonte mes mains sur ses tétons, je les pelote un peu, et je suis récompensée par un orgasme, discret et à peine visible, mais trahi par les contractions de son vagin, que je ressens bien dans ma bouche !

    Elle tente de me relever la tête, mais je l'en empêche et continue à la lécher, à la sucer et à boire son jus intime de jeune femelle chaude. Je n'oublie pas de remonter de temps en temps mes mains pour que ses tétons soient aussi conviés à la fête !

    Dehors Anita nous dit :

    • "Vous avez fini les filles, je peux ramener les garçons ?"

    Je lève une main et indique "cinq" avec mes doigts !

    Je suis de plus entreprenante avec Lili, je pose un doigt sur son clitoris à peine visible, mais ses gémissements me font penser que je ne me suis pas trompée, et en quelques minutes, elle a son deuxième orgasme dont je me sens très fière !

    Nous émergeons toutes les deux, je mouille comme la grosse cochonne que je suis ! Je tends des lingettes intimes à Lili qui s'essuie la chatte et commence à se rhabiller, les joues colorées de plaisir !

    Je me rhabille plus rapidement qu'elle, car je n'ai pas grand chose à enfiler, je l'embrasse une dernière fois sur la bouche :

    • "Ne dis rien, rejoins les autres, Anita a un cadeau à vous faire, et je ne sais pas ce que c'est, je serai aussi surprise que tes amis et toi !"

    Elle descend de l'auto en me disant simplement :

    • "Merci, Madame, je n'avais jamais aussi bien joui !"

    Le cadeau humiliant d'Anita !

    Quand je sors à mon tour, Anita me glisse à l’oreille :

    • "J'ai eu Yves, il n'est pas encore à la maison, je lui ai dis que nous serions à la maison vers 20h10, il m'a dit que ça ne posait pas de problème !"

    Nous sommes regroupés devant elle et elle annonce l'organisation :

    • "Je dois vous distribuer vos places pour que vous appréciez bien votre cadeau : Lili sur le siège du conducteur, Mic sur celui du passager, tous les deux tournés vers l'arrière. Pendant ce temps, la salope s'assied au milieu de la banquette arrière, à poil et encadrée pas nos deux autres beaux gosses. Messieurs, vous pouvez sortir vos bites ! Allez tout le monde à sa place !"

    Je me déshabille entièrement et me mets au milieu de la banquette arrière, les deux jeunes s'asseyent de chaque côté de moi, leurs bites déjà bien dressées ! Mic fait pareil et s'installe à genoux pour bien mater derrière.

    Pendant ce temps, Anita confie un petit paquet à Lili et lui explique ce qu'elle doit en faire, Lili approuve de la tête et s'assied, elle aussi tournée vers moi !

    Quand tout le monde est en place elle nous dit !

    • "Excusez moi de ne pas être avec vous, mais la voiture ne le permet pas ! Vous êtes tous bien placés et vous n'allez rien rater. Petite salope, tu vas glisser ton cul vers l'avant, lever tes genoux pour qu'ils s'appuient fortement sur les deux dossiers avant. Tu ouvres ton con avec tes deux mains et tu commences de suite à te masturber, pour montrer à tout le monde comment une bourgeoise-salope s'envoie en l'air toute seule ! Je suppose que ton quart d'heure récréatif avec Lili a fait dégouliner ton con ! Pour la suite, c'est Lili qui a les cartes en mains ! Moi je materai de l'extérieur : baissez toutes les vitres, le bouton est dans la poignée de votre portière, merci !"

    Pendant le ronron des vitres qui s'abaissent, je pose ma tête sur le coussin moelleux, mets mes genoux en position, j'en profite pour les écarter au maximum et bien les caler contre les dossiers des sièges avant. Je finis d'ouvrir ma moule avec mes doigts et ma main droite reste sur place. Je me branle, comme si j'étais seule, sans fausse honte ni pudeur, devant une gouine ravie et trois enculeurs qui sont encore sur leur petit nuage !

    Lili n'arrive pas à dire tout haut ce qu'elle doit annoncer ! Comprenant sa gêne, Anita vient à son secours !

    • "Pas de souci, je vais te remplacer : Lili a les trois capotes pleines du foutre de ses amis enculeurs ! Elle va les donner une par une à cette pute, ce qui lui fera trois chewing-gums appétissants à mâchouiller, avec au coeur de chacun d'eux la boisson qu'elle préfère ! Je suis désolée de ne pas avoir attribué un prénom à chaque capote ! Si elle les a salies avec son cul, ce n'est pas grave, car elle devra l'avaler avant que Lili ne lui donne une autre ! La connaissant elle devrait s'envoyer, au moins deux fois en l'air ! Mais si vous vous branlez essayez de ne pas jouir : vous pourrez éjaculer dans sa bouche d'affamée du foutre !"

    Pour l'humiliation et l'obscénité, je sais que je peux compter sur Anita !

    Mais je suis tellement excitée, que sans arrêter de me branler de la main droite, je prends la première capote que me tend Lili et la met dans la bouche, l'image du chewing-gum est très réussie, tout au moins au début ! Je ne sens qu'un arrière goût fadasse, mais quand mes dents percent le caoutchouc, je retrouve le goût du foutre un peu solidifié. Je continue toutefois à déglutir, jusqu'à le vider entièrement et à avaler ce qui reste du préservatif !

    De chaque côté de moi, les pines sont dures et dressées, je préférerais les sucer, mais Lili me tend la deuxième capote avec laquelle je fais pareil, mon machouillage est agrémenté par un très bel orgasme que je ne camoufle pas, mais j'essaye tout de même de respecter les oreilles de mes voyeurs en ne criant pas trop fort !

    La dernière ressemble au début aux autres, mais, ce doit être la plus récente, car le foutre est un peu plus liquide et en le buvant avec lenteur, je m'envoie en l'air, pour faire plaisir à Anita, mais, aussi et surtout ! Pour me faire plaisir !

    • "Bravo salope, tu as rempli ton engagement, à présent, les garçons vont sortir de la voiture, tu vas t'allonger de tout ton long sur le bord de la banquette, la tête hors de la voiture et les garçons qui auront envie de se finir en se branlant dans ta bouche s'agenouilleront à hauteur de tes nichons, et à tour de rôle, ils vont éjaculer en se branlant dans ta bouche, mais tu te contentes d'avaler, interdiction de les sucer ! Je sais que pour toi ça sera une punition, mais tu ne seras qu'un réceptacle à foutre, ce que tu es dans ta vie de tous les jours !"

    Tous les garçons ont suivi à la lettre les instructions d'Anita et n'ont pas joui ! Ils passent tous les trois sur mes nichons, et j'avale leurs foutres, à la troisième éjaculation, je suis au bord de la nausée, mais j'essaye de rester souriante !

    • "Tu as trois minutes pour te rafraîchir la chatte, tiens, bois de la Vichy ça t'aidera à rincer ta bouche de salope ! Nous partons ! Merci les jeunes, et bravo, vous êtes des Champions ! Peut être à bientôt !"

    Je rejoins mon tendre, mais Anita nous quitte !

    Il est 20h10, quand nous revenons à la maison, Yves nous accueille en nous confirmant qu'il vient à peine d'arriver, car il s'est attardé avec Javier !

    Anita nous dit :

    • "Je suis désolée mes amis, mais Océane me manque trop, j'ai hâte de la rejoindre, le défi suivant peut se passer de moi : c'est une session-vidéo pour une soumise obéissante et maso que j'ai montée pour elle ! Loré, tu devrais aller prendre un bon bain et te remettre sur pied, pendant que j'expliquerai à Yves comment cette session va se dérouler, car nous ne pouvons plus l'arrêter !"

    Moyennement contente, je les laisse mais sans oublier de dire à Anita :

    • "Anita, ne pars pas sans venir me dire au revoir, je t'en prie !"

    • "Rassure toi Putain-Loré, faire jouir une pute des nichons qui prend son bain, sera pour moi un plaisir extrême, bien qu'il te faudra me rendre la pareille, je ne peux pas partir pour Nevers dans l'état ou tes potes m'ont mise, ou je devrais m'envoyer en l'air, toute seule comme une conne, au moins deux fois avant d'arriver !"

    Je ris, l'embrasse rapidement sur la bouche et je disparais ! Il est 20h20 !

    Fin... mais...

    "La session-vidéo inédite de Loré" (prévue pour 21h) sera une Nouvelle à part entière. Probablement moins longue que les quatre tomes de "Javier, Amo mio".

    Je vais essayer de l'écrire pour dimanche prochain, avec, entre temps quelques mises en ligne que vous serez heureux de découvrir !

    Loré, ce mardi 20 Août – 01h59


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique