• Fabienne 02

    Fantasme à 4 mains de Robert et Loré

    (Début en sept 2017)

    # 13 - La partie cool de la soirée !

    Le début de la soirée arrive très vite, ce long bain m'a régénérée, et sitôt la baignoire vidée, j'y suis revenue pour une douche froide qui m'a remis les idées en place et une furieuse envie de mordre la vie à pleines dents comme me l'a appris Lydia !

    Il est 20h30 quand je passe dans mon salon et que, toujours toute nue, je sors sur la terrasse éteinte, pour que tout mon corps puisse respirer un air moins étouffant .

    J'entends de la musique, qui dans le silence du quartier, semble venir de la maison voisine. J'en déduis que la soirée a du commencer !

    Je vais au bar de la piscine, récupère un cendrier, j'allume une Royale menthol et m'assieds dans le noir sur le rebord de la piscine, les pieds dans l'eau. Quand le mégot est dans le cendrier, je vais dans ma chambre pour prendre dans mon dressing le maillot de bains que j'ai choisi de mettre : un 1 pièce noir, relativement décolleté, avec des perles fantaisies sur les bretelles et un anneau argenté entre mes deux seins.

    Comme chaque fois que je le mets, je me trouve très classe et constate, une fois de plus, devant ma psyché qu'il met bien mon corps en valeur.

    Par dessus, j'ai préparé une petite robe d'été noire, très légère qui m'arrive à mi-cuisses et des escarpins noirs avec des talons fins mais pas très hauts, dans lesquels mes pieds et mes chevilles nus sont retenus par des torsades fines de cuir, exposant largement mes orteils.

    Je vais chercher une bouteille de champagne dans le frigo, la mets dans un petit sac isotherme, je sors par la porte d'entrée, qui, une fois claquée se verrouille seule, et s'ouvre par application de mon empreinte digitale et je m'achemine tranquillement vers la fête.

    Au passage devant les maisons de mes voisins que je connais très peu, je remarque les volets fermés. A priori, ils sont en vacances. Je trouve dommage de ne pas profiter de nos si belles maisons en été, mais il se peut aussi que leurs résidences secondaires soient encore plus belles !

    La musique de la fête se fait de plus en plus forte, et quand j'arrive devant la maison de Lydia, je sonne, le portillon s’ouvre automatiquement et la voix que je reconnais de suite me dit : « Bienvenue à toi, cher invité, fais le tour de la maison, nous t'attendons autour de la piscine ! »

    Je dois parler de ça à Louis ! Notre sonnette, a une caméra intégrée mais, ne permet pas de diffuser de tels messages ! Et je suis jalouse !

    J'entre et entame le tour de la maison. La musique est à présent parfaitement distincte, atténuée de temps en temps par de grands éclats de rires.

    En marchant, je cherche le nom du chanteur de ce titre : Chacun fait ce qu’il lui plait et il me semble que c'est le groupe Chagrin d'amour.

    Le tour de la maison est très long. Je pense qu'elle est beaucoup plus grande que la nôtre, quand j'arrive sur une grande terrasse éclairée de spots et de rayons laser. Je marque un temps d’arrêt, car elle est vraiment magnifique, et dans son prolongement, un escalier permet de descendre vers une piscine qui est superbement éclairée, avec, comme me le disait Louis, une île d'environ 3 mètres de diamètre avec un superbe palmier en son centre et à une dizaine de mètres, un pont japonais qui permet de passer d'un bord à l'autre. La plage de la piscine est partagée en trois : une engazonnée, une autre ensablée et la troisième carrelée.

    Toutefois, je ne vois personne et la piscine est déserte.

    En fait, les invités sont tous réunis sous un grand appentis de bois appuyé à un haut mur d'enceinte et des poteaux de soutien avant qui sont à 2 mètres de la piscine. Visiblement, c'est l'heure de l’apéro, de la musique et des jeux d'apéritif dignes du Club-Med !

    Je m'approche presque timidement, un peu impressionnée par tout ce luxe. Mais, je suis vite rassurée, car Lydia vient à ma rencontre, alors qu'à ma grande surprise, les invités chantent en chœur et crient :

    « Bienvenue à notre charmante voisine Fabienne, et Fa, et Fa et Fa, et Bienne ! Youpie !»

    « Ah ! Je suis rassurée, Fabienne ! J'avais si peur que tu ne viennes pas, et, je te remercie du fond du coeur de l'immense plaisir que tu me fais. En plus nous avons répété ta chanson d'accueil, et tout le monde est impatient de te connaître ! Mais, en attendant : voici ton mojito de bienvenue, la coutume est de le boire cul-sec ! Mais rassure toi, celui-là, je ne l'ai pas trop chargé en rhum, car je ne sais pas si tu tiens bien l'alcool et, je ne veux surtout pas gâcher ta soirée que je veux parfaite ! »

    Je termine mon verre qui, effectivement n'est pas trop alcoolisé, et elle me prend par le bras en souriant : « Viens, je vais te présenter » Je profite d'être seule avec elle pour lui donner mon petit cadeau : « Tiens, je t’ai amené quelques bulles de bienvenue aux voisins, Hihihi ! Tu as invité d’autres voisins ? »

    « Non, uniquement toi ! Si j'étais tricheuse, je te flatterais en te disant que j’ai toujours préféré la qualité à la quantité ! Mais en fait, entre l'emménagement et la préparation de la fête, je ne suis sortie qu'une seule fois et tu es la seule voisine que j'ai abordée ! Dans tous les cas, merci pour le champagne, on l’ouvrira plus tard, quand nous serons plus au calme »

    Elle éclate de rire et me fait un clin d’œil que je trouve très coquin ! Je lui souris en retour. Mais j'ai du mal à me faire à sa grande spontanéité.

    « Je vois, oui, hihihi ! Mais, ne me flatte pas trop, je risquerais de disparaître dans un trou de souris ! »

    Elle sent instinctivement ma gêne, tandis que mes joues se réchauffent.

    « Oups ! J'ai été maladroite, excuse moi Fabienne, mais j'ai du mal à cacher mes sentiments et mon attirance pour quelqu'un, et je suis toujours aussi sincère que directe, mais ça, tu le savais déjà ! Allez, trinquons avec un mojito, ça fera fuir le vilain petit nuage ! »

    Je bois une grande gorgée, surtout pour passer très rapidement le cap de la gêne, occasionnée par une avance trop frontale, et, très rapidement, je sens les premiers effets de ce qui doit être un rhum agricole hors d'âge que Louis adore et qu'il achète directement dans une distillerie de Martinique.

    Elle me dit de la suivre, et je lui emboîte le pas : elle est pieds nus et porte un paréo qui dévoile ses belles épaules et ses mollets bien bronzés.

    Elle dégage beaucoup de charme mais sans en jouer.

    « Le DJ. a préparé un Quizz musical des années 80, ça te dit ? »

    "Je ne suis pas une experte, mais en arrivant j'ai cru reconnaître le groupe Chagrin d'amour« Oh, bien joué, personne n'avais trouvé tu aurais gagné ! »

    Nous arrivons sous l'appentis, les lumières sont plus douces que sur la terrasse, avec un effet boîte de nuit.

    « Mes amis, je vous présente Fabienne, ma voisine à qui votre mauvais chœur a offert une bienvenue musicale, de bon coeur ! »

    Je découvre l'ensemble des invités, tous installés dans de grands fauteuils d’extérieur, très design et modernes.

    Il y a 3 couples et 2 hommes seuls, soit 10 personnes avec nous 2.

    Tous semblent avoir la quarantaine, parfois bien entamée !

    Les femmes sont en robes légères ou en maillot de bains et les hommes en shorts et chemisettes ou en maillots.

    Le plus près de moi se lève et se présente : « Bonsoir Fabienne, je suis Joris, l'ami d'Eva, qui est à mes côtés, je suis enchanté de faire ta connaissance, tu es très en beauté dans cette Petite Robe Noire dont, si mon nez ne me trompe pas, tu portes le parfum ! »

    Je lui réponds en les embrassant sur les joues tout en lui disant :

    « Enchantée de vous connaître, vous formez un très beau couple, mais, je porte du Grand Bal de Dior. Eva me dit en riant :

    « C'est normal, il est dans la pub et comme c'est Guerlain qui cartonne avec son parfum, il ne connaît que celui-là ! » Tout le monde rit aux éclats mais Joris ne semble pas du tout fâché !

    Un autre homme s'approche : « Je suis Paul, l'ami de Tatiana que voici ! »

    Ils ont droit à mes bises et à ma satisfaction de les connaître !

    Puis vient le dernier couple : « Moi, je m'appelle Eric et je suis l'amant de Violette que j'adore, hihihi ! »

    Tout le monde éclate de rire, et je les suis en demandant faussement naïve : « Ah ? Parce que les autres couples ne couchent pas ensemble ? C'est curieux ça ! Soyez moins timides, Messieurs ! »

    Les fous rires redoublent et j'entends une voix inconnue dire doucement :

    « En plus d'être bandante, elle a de l'humour ! »

    Je rajoute : « Et une excellente audition, cher inconnu ! Et merci pour les deux compliments » Certaines personnes ne comprennent pas, mais l'auteur de cette réflexion a bien compris !

    Puis, viennent les célibataires que j'embrasse, félicite et remercie comme tous les autres : « Alban, célibataire endurci, lol ! » « Jean professeur de fitness attitré de Lydia, enchanté »

    Ils se sont tous levés sauf le dernier que Lydia me présente : « Aurélien, mon chéri, il va te servir un verre pour trinquer à ta présentation à une partie de mes amis, car en cette période, beaucoup d'autres sont en vacances ! » Aurélien me remplit un verre comme on sert le punch : à la louche depuis un énorme saladier de cristal .

    « Ouf, doucement Aurélien, ça fait pas mal de temps que je n'ai pas bu, et je ne sais pas si je tiens encore l’alcool, si, non, je risque de faire n’importe quoi, Hihihi ! »

    Les rires fusent et Alban vient me dire à l'oreille, mais assez fort pour que tout le monde d'entende : « Ca tombe bien, car quand nous faisons la fête, nous avons l'habitude de faire n'importe quoi ! Hihihi ! »

    Lydia s'approche et me prend doucement la main en me disant : « Si tu le veux, allons mettre ensemble ta bouteille au frais, comme ça tu pourras visiter un peu ma maison »

    Un peu choquée par le ma maison qui dégrade un peu Aurélien, je m'éloigne en sa compagnie, je sens les regards des invités me déshabiller, ce qui me fait frissonner sans raison !

    Lydia, à qui rien n'échappe, s'en rend compte et me demande si j'ai froid, je lui réponds en souriant que c'est une simple réaction à l'alcool mais que ce n'est rien. Nous entrons directement dans un salon immense?

    Pour le moment, tout semble grand et moderne chez elle. Arrivées dans la cuisine, elle ouvre le frigo et y glisse la bouteille.

    "Je te rapporterai l'étui un autre jour, chez toi".

    « Tu as vraiment une maison plus grande que la nôtre et meublée avec beaucoup de goût, j’adore ! »

    « Merci, Fabienne, tu me permets de t'appeler Fab ? »

    « Bien sur, Lydia , ma meilleure amie et mon mari m'appellent comme ça, et mes enfants me font la guerre, car ils veulent aussi m'appeler Fab, mais je tiens à mon Maman ou à la rigueur à mon Maman chérie !

    # 14 - La partie femme-femme de la soirée !

    « Hum, j'adore ton caractère, tu aimes résister, mais ce n'est que pour mieux t'abandonner, tu sais bien qu'un jour tu céderas et qu'ils t'appelleront Fab, est-ce vraiment si important ? » « Pour moi, oui, ils m'échappent mais je veux les garder auprès de moi, donc je ne veux pas qu'ils m'appellent comme des amies, et je tiens à ce qu'ils soient tous là pour les fêtes de famille ! »

    « Je pense que tu as raison, mais j'ai une idée qui devrait te plaire ! » Elle s'assied dans un très beau canapé de cuir et me fait signe de m'asseoir à sa gauche. Le cuir est très fin et très doux, je suis sure que c'est de l'agneau, et j'adore ce contact très sensuel sur une partie de mes cuisses dénudées par ma robe très courte !

    « Tu veux bien fermer les yeux ? » Je suis un peu surprise, mais je suis venue ici pour jouer le jeu à fond et l’alcool va largement m'y aider ! J'appuie donc ma tête contre le haut du canapé, me détend, et ferme les yeux en toute confiance.

    Elle pose un doigt sur mes lèvres fermées. Surprise, je ne réagis pas, comme si j'attendais un ordre. « Ouvre la bouche ma petite Fab ! » Je m'exécute et je sens un liquide couler dans ma bouche et dans ma gorge : elle me fait boire un mojito. Je lui souris entre deux gorgées !

    « Je vais me répéter : j’adore vraiment ton sourire lumineux, tu sais ! Mais, dis-moi, t’es-tu posée des questions au sujet de mon invitation surprise ? »

    « Oui, beaucoup, mais en pesant le pour et le contre, j'ai pris la décision de venir, de jouer le jeu et de reporter à plus tard la réparation de mes fautes ou de mes égarements ! »

    J'essaye d'ouvrir les yeux, mais elle pose sa main dessus en me disant :

    « Avant tout, je dois me faire pardonner un petit mensonge ! Tu sais que je suis franche et directe, et je ne peux pas te le cacher plus longtemps : cet après-midi, je me promenais effectivement, et quand je t’ai vue sur ta terrasse. Je t’ai regardée à travers la haie, pendant un bon quart d’heure, et c'est là qu'est mon petit mensonge, puisque je t'ai dit, chez toi, que je venais d'arriver, hihihi ! »

    Je sens un frisson convulser mon corps, son mensonge m'importe peu, ce qui est important, c'est qu'elle m’a donc matée en train de me caresser et de m'envoyer en l'air. Je rougis comme une tomate tout en sentant mes muscles se contracter et mes jambes trembler.

    « Ne te mets pas dans cet état, Fab ! J’ai adoré, figure-toi ! En regardant ta nudité totale, tes cuisses ouvertes et ta main si agile, je me suis caressée en me régalant du spectacle frais et naturel que tu offrais, et, ce, jusqu'à ce que je jouisse, tu vois, je ne peux pas être plus franche avec toi, hihihi ! »

    Elle a toujours sa main sur mes yeux. Je sens le bout de ses doigts descendre tout doucement sur mes épaules. Je mordille mes lèvres, pour me retenir de gémir, troublée par cette révélation et déconcertée par les effets de l'alcool qui se fait de plus en plus sentir, à tel point que ma tête tourne et que ma vue se trouble un peu.

    Elle sent que je suis très troublée mais décontractée, et que son petit mensonge est sur le chemin de l'oubli ! Elle se rapproche et vient me susurrer à l'oreille : « Laisse-toi aller, ne résiste pas, car je sais que tu en as envie ! Quant à moi, tes formes m’attirent comme un aimant et tu le sens ! »

    Sans plus me parler, elle plaque sa main sur mon sein gauche. Je me laisse faire sans réagir, sentant en moi une excitation grandissante. Avec une seule main, elle passe d'un sein à l'autre, en les caressant avec tendresse, durant un long moment à travers ma robe légère et mon maillot.

    Elle me prend par la main tout en gardant l'autre sur mes yeux, et nous nous levons toutes les deux. Je la sens, debout, derrière moi faire doucement glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules. D'un coup, ma petite robe noire tombe à mes pieds que je lève un par un pour l'enjamber.

    Je m'offre en maillot et talons au désir évident de mon amie !

    « C’est bien Fab, je te sens plus détendue maintenant, presque autant que sur ta terrasse, non ? »

    J'hésite à lui répondre, n’osant pas lui avouer qu’elle a raison.

    « Ton silence est révélateur, ma chérie, hihihi ! Détends-toi encore plus, ne pense qu'à ce plaisir qui monte en toi et laisses-toi totalement aller !»

    Je la sens qui se rassied dans le canapé tout en me demandant : « Tu veux rouvrir tes yeux ? Rester debout devant moi ? Enjamber mes genoux pour être plus proche de moi ? Ne le fais que si tu en as envie : avec moi, tu ne dois jamais te sentir obligée, mais faire uniquement ce qui te plait et ce qui t'excite »

    Je ne réponds rien et ouvre les yeux. Elle est en effet assise, les genoux pudiquement joints. Je la rassure d'un grand sourire et m'avance vers elle pour me rapprocher d'avantage, écartant mes cuisses pour les installer de chaque côté de ses genoux.

    Je la regarde dans les yeux, en continuant de sourire, pour essayer de lui cacher ma crispation et ma grande honte : ça fait tellement longtemps que je n'ai pas eu d'aventure sexuelle avec une femme ! Mais je sens et je sais que mon corps n'a pas oublié ces douces caresses dont sont incapables les hommes !

    Je sens sa main droite descendre vers mon entrejambe et se plaquer sur mon sexe. Elle exerce aussitôt une pression, comme si elle voulait entrer un doigt dans ma chatte à travers le maillot. Je sens que ma mouille coule abondement et que cette situation m’euphorise autant qu’elle me paralyse.

    Il semble évident que je suis en train d'obéir à une femme, et c'est le moment de me rappeler tout ce qu'Isa m'a appris durant ces 3 derniers mois !

    « Tu m’as l’air très accueillante, comme voisine, ma Fab, j’adore, tu le sais ? Rassure-toi, je suis tout aussi excitée que toi ! »

    Elle glisse deux de ses doigts entre le maillot et l'aine et atteint facilement ma chatte : ce que je redoutais, car j'ai vraiment honte de ne pas pouvoir dissimuler ma terrible envie !

    Et son constat ressemble à un verdict : « Dis-moi, ma chérie, tu ne peux plus le cacher maintenant : tu es une vraie fontaine ! Hum ! Que c'est booooon ! » En remontant un peu ses doigts, elle trouve mon clito qu'elle caresse lentement et doucement, car, sans le connaître, elle le sent gonflé comme un petit ballon et, donc, ultra-sensible.

    Ma respiration s’accélère et je gémis, bouche fermée, pour, qu'elle ne m'entende pas ! Je me sens de suite totalement stupide ! Son rire me blesse, plus qu'une gifle, surtout quand elle rajoute : « Ne te retiens surtout pas, laisse-toi aller, concentres-toi sur ton plaisir, tu en crèves d'envie ! »

    J'ai du mal à supporter son regard, dans lequel j'imagine voir un soupçon d'ironie, et je ferme les yeux tout en lui posant une question : « Je peux te demander une faveur, Lydia ? »

    « Bien évidemment, Fab, elle t'est accordée par avance ! Mais uniquement si tu me regardes dans les yeux ! »

    Je la fixe droit dans les yeux, elle me sourit très franchement, comme pour me remercier et me dit simplement :

    « Je t'écoute, Fab, qu'attends-tu de moi ? »

    « Tu me confirmes ce que j'imaginais de toi : tu es une femme de caractère qui connaît par coeur les réactions des autres femmes, et tu aimes être obéie, car tu ne peux être que la meneuse de jeu. Mais, tu as aussi très bien cerné mon caractère : j'aime me laisser faire, déléguer ma volonté et attendre le moment où tu vas me dire de me lever, sans avoir l'intention de me lever sans ton autorisation »

    « Je te suis parfaitement, Fab, et ton analyse de notre situation est tout à fait exacte, mais continue, je te prie ! »

    « Par goût, et sans doute par vice, je me suis renseignée sur le bdsm. Ma meilleure amie, qui domine des femmes depuis 4 ans, m'a enseigné les grandes lignes de ce jeu entre adultes consentants, mais, je ne veux pas gâcher ton plaisir en étant une obéissante mièvre, hésitante et timorée »

    « Mais Fab, tu n'es pas obligée ! Nous pouvons simplement continuer une parenthèse sexuelle dans nos vies, en nous aimant comme deux femmes savent le faire ! »

    « Je sais bien que nous pouvons nous gouiner et que nous en retirerons du plaisir, mais tu ne seras pas totalement satisfaite, et moi non plus ! Si j'ai tant appris sur le bdsm et que j'ai en mémoire sa théorie, je suis très impatiente d'arriver à la pratique, et tu me sembles la femme idéale pour me prendre la main et me conduire dans ce monde qui m'attire et m'excite, mais qui, en même temps, me terrorise ! Tu me suis ? »

    « Tout à fait,ma chérie, je bois tes paroles »

    Je ris : « Avec mes paroles, tu ne risques pas de t’enivrer contrairement à ton mojito ! Mais j'en viens à la faveur que je dois te demander : si tu veux que je t'obéisse sans rechigner, ce sera ma première séance de ce genre, et, si ça ne te dérange pas, je préfère que tu me bandes les yeux : je ne saurai pas ce qui va m'arriver, ce qui m'excitera d'avantage en attendant que tu m'ordonnes quelque chose que je m'engage à accomplir, tu me comprends, Lydia ? »

    « Je ne peux que te comprendre, et te remercier pour ta décision. C'est en fait, vers ce chemin caillouteux que je désirais te guider, et tu m'offres d'être ton guide d'aveugle. J'accède bien entendu à ta demande, tout en t'assurant que pour ta première séance, tu ne souffriras pas, et tu ne feras que jouir ou me faire jouir ! Nous allons inventer pour cette séance le bdj soit bondage, domination et jouissances. Ca te convient ? »

    « Je vous demande humblement d'aller chercher mon masque Madame Lydia ! »

    # 15 - Isa ! J'ai décidé d'obéir à une femme !

    Elle s'absente deux minutes en me disant de rester debout devant le canapé, mains croisées sur la tête et coudes bien écartés. Je m'exécute, et quand elle revient, elle n'a aucun mal à couvrir mes yeux avec un masque de repos probablement d'une compagnie aérienne.

    Elle reste dans mon dos, se colle à mon corps et fait glisser les bretelles de mon maillot qu'elle descend jusqu'à la taille.

    Je sens un peu d'air sur ma poitrine dénudée.

    « Hum, Fab ! Quelle belle paire de nichons tu as ! Fermes et faits pour remplir mes mains. Il faut que tu saches que c'est important pour moi ! »

    Elle passe devant moi en m'écartant un peu du canapé, j'entends quelques bruits d'étoffe, je regrette la fermeté de ses doigts sur mes seins, mais je sens sa peau nue et douce : elle frotte ses seins contre les miens, ses tétons caressent les miens, bandés, gonflés de sang et presque douloureux !

    Mes jambes vacillent d’excitation, et mon corps tressaille !

    « Hum, j’ai l’impression que le bandeau t'excite réellement ma chaude petite garce et que mes seins sur les tiens t'ont fait de l’effet. Tu es une voisine très coquine, et j'ai rarement vu des bouts de mamelles devenir aussi longs et durs, avec l'excitation ! En d'autres temps, je t'aurais posé des pinces en métal, rien que pour te voir, te tortiller de douleur et remuer tes nichons dans tous les sens, totalement inutilement ! »

    « Allez, nous bougeons : je t'emmène dans une autre pièce »

    J'ai toujours les seins nus aux pointes dressées et mon maillot qui pendouille à ma taille. Elle me pousse, et comme j'ai encore mes escarpins, je ne peux pas savoir si le sol change.

    Quand nous sommes arrivées, elle me demande d’ôter complètement mon maillot, tout en gardant mes chaussures. Je suis debout, sûre d'être devant elle, je baisse mon maillot jusqu'aux pieds, dénudant mes fesses et ma chatte. Comme pour la robe, je lève mes pieds l'un après l'autre pour le dégager de mes escarpins.

    Elle me le prend des mains probablement pour le ranger.

    Puis elle me guide vers une surface métallique et m'aide à m'asseoir dessus.

    Puis elle prend mes seins dans ses mains et me force doucement à me coucher sur le dos.

    Le froid du métal sur mes fesses puis sur mon dos me laisse à penser que je suis dans sa cuisine, couchée sur son très grand plan de travail en inox.

    Mon cul est à la limite du bord et mes pieds chaussés sont à plat sur le sol. Je l'entends approcher une chaise, écarter largement mes jambes, rapprocher sa chaise de moi, chercher quelque chose dans un tiroir de cuisine, avant de s'asseoir entre mes cuisses.

    « Tu dois changer de position, ma belle salope : je vais t'aider à monter tes pieds sur la surface métallique, qui, comme tu ne peux pas le voir, a un petit rebord pour éviter que sauces ou jus ne tombent par terre. Je coincerai tes petits talons avec ce rebord, puis je t'écarterai les cuisses au maximum de la dimension du plan de travail. Tu prendras alors tes chevilles dans tes mains et tu resteras comme ça, ouverte, à attendre ce qui va t'arriver, sans faire un mouvement ni prononcer le moindre son ! »

    Elle m'aide et en 30 secondes, je suis dans la position désirée.

    Elle se lève, j'entends ses pieds nus s'éloigner et un briquet cliqueter.

    Elle revient entourée d'une bonne odeur de fumée, avant de se rasseoir, elle me demande d'ouvrir la bouche et me souffle une bouffée directement de sa bouche.

    Je tousse, car je ne m'y attendais pas.

    « Ma pauvre chérie, je ne voulais pas t'étouffer. Je sais que tu fumes, car j'ai vu ton paquet de Royale menthol sur le bar de ta piscine. Tu auras droit à une cigarette après tes jouissances ! Mois je ne fume pas ! Mais, par contre, je vais me régaler du spectacle obscène que tu m'offres : en bonne salope excitée, le flot continu de ta mouille dégouline de ta moule saturée ! Il y en a tellement que tu salis le plan de travail, cochonne ! »

    Sans parler, je sens qu'elle introduit un objet métallique dans ma chatte, et qu'elle commence à racler mon intimité dans tout mon vagin. Je réalise que ça ressemble à une cuillère à café ! Elle est en train de ramasser mon jus de pute ! Je redoute qu'elle me demande de lécher la cuillère devant elle ! Mais, c'est sans compter sur son vice : elle retire la cuillère, le bruit qu'elle fait me laisse deviner qu'elle la vide, mais je ne sais pas où, avant de la remettre dans mon vagin et de recommencer son nettoyage, jusqu'à ce qu'elle me dise : « Te voilà un peu épongée, tu fais moins salope comme ça ! »

    Elle se lève, se rapproche de ma tête, et après m'avoir demandé d'ouvrir grand la bouche, elle me fait boire la première gorgée de ce qu'elle appelle le MSS soit le Mojito Spécial Salope !

    Par petites gorgées, j'avale tout le verre, et il est sur que le mojito, n'a pas du tout son goût habituel, mais malgré ma honte, cette humiliation m'excite au plus haut point !

    Malgré ma réticence, j'avale tout le verre.

    Il est sur que le mojito, n'a pas son goût habituel, mais malgré ma honte, cette humiliation m'excite au plus haut point !

    Sans une remarque, elle se rassied et je sens de suite l'humidité de sa langue sur mes grandes lèvres brûlantes.

    Je me mords les lèvres un peu plus fort, l'humiliation très forte que je viens de subir, mélangée à la chaleur que sa langue provoque, me fait basculer définitivement vers une liberté totale de mon corps que j'abandonne totalement à ses caprices et à sa volonté.

    Le dernier mojito, au goût si enivrant, ayant totalement annihilé toutes mes craintes et mes retenues morales !

    Je sens sa langue fouiller ma chatte par des rotations rapides, s'arrêter pour venir me butiner le clito et reprendre ses coups de langue en pénétrant le plus possible ma connasse trempée.

    Elle accélère ses coups de langue, comme si elle se déchaînait entre mes cuisses.

    Mes yeux bandés, amplifient mes autres sens au maximum.

    Elle arrête, à mon grand désarroi, de me manger la chatte, se lève et je l'entends fouiller dans un tiroir.

    Elle revient près de ma tête et passe sur mes lèvres ce que j'imagine être un gode en latex dur avec sa base soudée pour éviter une pénétration totale.

    Et elle me propose : « Si tu veux, je te fais mordre un gode pour éviter que tu ne jouisses trop bruyamment, afin de ne pas te mettre mal à l'aise vis ç vis de mes invités : qu'ils pensent que nous nous sommes gouinées ne me gêne pas du tout, mais qu'ils en aient la preuve me contrarierait beaucoup ! »

    Instinctivement, et me sachant au bord d'un orgasme ravageur, elle ouvre ma bouche et glisse le gode entre mes dents pour que j'en profite comme un bâillon pour éviter mes cris et non pour me baiser la bouche !

    « Tu peux t’abandonner comme tu veux maintenant, surtout que j’ai son petit frère dans ma main ! »

    Elle repose sa bouche sur mon con trempé, pour me pomper le clito en l’aspirant et en le mordillant doucement.

    Je ne peux pas m'empêcher de jeter mon bas-ventre vers son visage et, comprenant mon attente, elle m'enfonce d'un seul coup l'autre gode dans mon con détendu, poisseux et dégoulinant à souhait !

    J'entre d'un seul coup dans le monde irréel du plaisir total, tout mes muscles se relâchent et je ne suis plus que désir et volupté de sentir cet énorme tsunami, comme Isa et moi, appelons les trop rares orgasmes surpuissants ! Lydia me pince les tétons de ses ongles, tout en accélérant ses succions du clitoris et les incursions de sa langue dans mon vagin.

    Je me sens propulsée vers des sommets trop rarement atteints : une ascension vertigineuse et comme télécommandée vers la jouissance suprême.

    Je mords profondément le gode, en bavant abondamment mais involontairement, comme une cochonne.

    J'ai un seul instant de lucidité, pour comprendre que je suis entrée en une session dans la réalité du bdsm par la porte la plus facile de l’apprentissage de l'obéissance.

    Mais je réalise qu'en étant témoin et actrice de cette orgasme fabuleux, je vais appartenir définitivement à Lydia, et, ce, sans aucun contrôle possible, ni aucune retenue ou réserve de ma part, avec seul l'énoncé de mes tabous pour me protéger.

    Sans arrêter de me dévorer la moule, elle sort le gode de mon con et l'introduit d'un seul coup dans mon anus, m'obligeant à pousser un gémissement grognement à cause de son grand frère qui obstrue et dilate ma bouche.

    Elle le tourne rapidement dans mon petit trou pour bien le dilater et lui permettre de le faire disparaître quasi entièrement dans mon cul !

    Il me manquait probablement un déclencheur, et ce fut cette sodomisation ! Ma jouissance est immédiate, je crie, en mordant le gode comme si je voulais le couper en deux avec mes dents.

    Lydia continue à se déchaîner sur mon clito et à tordre mes tétons coincés entre ses beaux ongles !

    Il me semble que mon corps se convulse pendant une éternité, durant laquelle je donne des coups de tête à droite et à gauche tout en soulevant et en baissant mon bas ventre, comme si je baisais !

    Je reste allongée quelques minutes sur le plan de travail pour récupérer et me remettre de cet orgasme phénoménal !

    Lydia en profite pour enlever mon masque. Je mets quelques temps pour récupérer ma vue normale. Et quand je vois mieux et que mon corps a cessé de trembler, je m'assieds sur le plan de travail et la voyant devant moi, je lui souris en lui disant :

    « Merci, Madame Lydia, merci beaucoup pour cet orgasme si extraordinaire que mon mari en serait terriblement jaloux ! Je suis prête à essayer de vous rendre la pareille, mais je ne suis pas sure d'en être capable ! »

    Elle éclate de rire et me répond :

    « Rassure-toi, je te réclamerai, un jour, le renvoi de l'ascenseur, mais je sais être altruiste. Malheureusement, la plénitude de ta jouissance ne peut pas effacer totalement le fait que j'ai délaissé trop longtemps mes amis et que nous devons très vite les rejoindre »

    Elle m'aide à me lever et me donne mon maillot et ma robe.

    Elle m'indique où est la salle de bains et me conseille de m'y doucher et de m'y rafraîchir.

    « Dès que tu seras prête, rejoins-moi auprès des autres, moi je file la première »

    Elle m'embrasse longuement à pleine bouche et profitant de ma nudité, ses mains caressent une fois de plus ma chatte et mes seins et elle me quitte, visiblement avec regret !

    # 16 - Lydia et Fabienne décident de débriefer leur séance de plus d'une heure !

    Un peu rafraîchie, mais avec des cernes sous les yeux, je rejoins la communauté de fêtards.

    Lydia vient m'accueillir et me met à l'aise : « Surtout, continue à te laisser aller, comme avec moi, tu es libre de faire ce que tu veux, mais aussi de refuser toute proposition. Tout ce qui se passe ici reste ici. Ca a toujours été notre devise et tout manquement signifie une exclusion immédiate de notre groupe d'amis »

    « Tu ne fréquentes que ce groupe d'amis ? »

    « Oui, tout le monde sait que je suis bi et dominante par caractère. Je connais tous les goûts de mes amis qu'ils soient là ce soir ou en vacances. Nous constituons en effet un groupe soudé que je côtoie régulièrement quand nous sortons en Club ou que nous organisons une fête chez l'un d'entre nous. Nous sommes donc tous habitués à aller vers là où nos envies nous conduisent ! »

    « Je comprends et tu dois être heureuse d'avoir ce cercle d'amis, unis, solidaires et sur lesquels tu peux t'appuyer. Mais, en dehors de tes amis, tout ce que tu m'as fait découvrir en un après midi et une soirée est inimaginable ! »

    « Et, ce n'est peut être pas fini, Fab : encore une fois, je vais être très franche avec toi, si tu penses qu'à ce moment, tu as eu assez de nouveautés, tu peux repartir chez toi, personne ne t'en voudra. Mais, si tu restes, je veux que tu sois totalement en confiance : je t’assure que rien ne transpire de tout ce que nous faisons et je t'en donne ma parole d’honneur »

    Je souris et lui dis : « Même si je suis sure que rien ne transpirera à l'extérieur de ces murs, je peux t'assurer que tout transpirera dans ma tête ! Mais n'en parlons plus : tu m'offres un verre, ma Lydia ? Je crois que la chanson qui passe s'appelle : Etre une femme libérée et qu'elle est chantée par un certain : Cookie Dingler, que je n'aime pas du tout, mais dont j'adore le titre de sa chanson, surtout ce soir »

    « Bravo, c'est gagné ! Je veux bien m'abaisser  m'abaisser à trinquer avec toi : ma délicieuse voisine si vicieuse et obéissante ! »

    Et, ce sera même avec un immense plaisir : j’ai bu ta chatte qui était plus que délicieuse, mais j'ai une question à te poser : je peux ? »

    « Evidemment, ma chérie, demande moi ce que tu veux et tu auras une réponse à ton image : franche ! »

    « Merci pour ce compliment, mais comme tu l'as constaté, je dois déformer gentiment la vérité de temps en temps ! Je brûlais en fait de te demander : comment as-tu trouvé mon MSS ? » « Ma réponse sera très franche : eh bien, c'est le seul mojito qui génère automatiquement l'un de ses composants, à récupérer à la petite cuillère ! »

    Lydia rit en faisant semblant de na pas avoir compris : « Ah ? Est-ce le rhum ou le citron ? Je ne vois pas d'autres ingrédients importants ! »

    Je lui murmure à l'oreille: « Non, aucun des deux : c'est le jus de salope qui se régénère automatiquement tellement l'idée et l'action de boire ce MSS est humiliante et excitante ! »

    Elle rit en me proposant de l'accompagner à la piscine, où tout le monde est dans l'eau. Je la suis. Je me sens euphorique, mon corps a digéré ce fabuleux orgasme, mais ma tête est restée dans ce monde parallèle que j'avais négligé. Comme si une autre personne était née en moi pour réaliser tous ces fantasmes d'obéissance, d'humiliations et de bdsm, qui me trottaient dans la tête depuis de longs mois et que je n'osais pas concrétiser !

    Aurélien lui demande : « Tiens, tu réapparais ? Où étais-tu ? Tu as raté 3 mojitos, ma chérie : tu plonges ? »

    « J'ai papoté avec Fabienne, il fallait bien que nous fassions plus ample connaissance pour devenir de vraies amies ! »

    Il éclate de rire en lui répondant : « Oui, mais alors j'espère que ce fut une connaissance très approfondie ! »

    Sans répondre, Lydia tombe le paréo et plonge en maillot. Elle le rejoint et ils s’enlacent.

    Aurélien me crie : « Plonge aussi, belle voisine, elle sont chaudes, je parle bien sur de l'eau et de Lydia ! ». Je ne me le fais pas dire 2 fois, je quitte ma petite robe à bretelles et mes escarpins et plonge pour les rejoindre.

    Jean, le prof de fitness nous propose : « Si vous en avez envie les filles, je peux vous servir un verre dans la piscine ? » Dans la continuité de mon abandon et de ma décision de ne pas me priver, je lui réponds la première

    « Avec grand plaisir, Jean » tout en lui adressant un grand sourire, terriblement aguicheur !

    Sans attendre, il sort de la piscine. Je le suis du regard. Il est grand, musclé à souhait, avec un slip de bains, bleu ciel, de la couleur de l’eau de la piscine.

    A son retour, il est de face, avec ses tablettes de chocolat bien dessinées et, je remarque, tout à fait accessoirement, une forte protubérance dans son slip qui le moule agréablement.

    Je ne sens pas que Lydia m'observe. Elle nage vers moi pour me dire :

    « Plutôt bien bâti mon prof ? Non ? Je te confirme qu'il est aussi très bien servi pour ce qui est caché, hihihi ! Ca rentre toujours dans mes critères de sélection, tu sais. Je ne peux pas m’en empêcher ! Le seul risque avec lui, c’est qu’ il a tendance à sortir trop rapidement sa queue quand il boit plus de 3 verres, hihihi ! »

    J'éclate de rire et lui répond : « Mince, il ramène 3 verres, il va trinquer avec nous alors, ça augmente le risque ! » « J'ai senti de suite que tu avais beaucoup d'humour, je fais partie des invités qui ont entendu la phrase de l'inconnu : bandante et drôle et j'ai beaucoup apprécié ta réponse qui lui a cloué le bec ! Décidément, j’adore tout chez-toi, il n'y a rien à jeter ! »

    « Attention, je peux être très peste quand je prends quelqu'un en grippe ! Louis me dit souvent qu'il préfère m'avoir avec lui que contre lui, car, comme toutes les cérébrales, mes vengeances peuvent arriver sans prévenir, mais elles sont foudroyantes, bien calculées et très souvent parfaitement justifiées ! »

    « Me voilà prévenue, mais je ne pense pas qu'un jour nous en arrivions là, et j'en suis même sure ! »

    Jean rentre dans l’eau par les escaliers, il récupère un bar flottant gonflable y dépose les 3 verres et nage vers nous.

    « A votre santé Mesdames, ce sera mon 5ème, et je ne réponds plus de mes actes hihihi ! »

    Et il trinque avec moi en me faisant un clin d’œil appuyé ! Je lui souris gentiment en retour, rien de plus !

    Le d.j. passe une nouvelle chanson, je la reconnais de suite et crie comme une ado : « C’est Every body's changing chanté par Keane » Je suis très fan d'elle et je connais cette chanson par coeur ! »

    Lydia me regarde très surprise : « Eh bien, pour quelqu'un qui se dit inapte à jouer à un Quizz musical, tu es redoutable, encore une fois tu n'es vraiment pas très sure de toi ! » « Oui, Lydia, très certainement, en quelques heures tu m'as analysée comme mon mari en quelques années ! Je dois apprendre à me faire plus confiance et à m'affirmer dans tout ce que je fais ou que j'entreprends, et ce, dans tous les domaines ! »

    Elle rajoute en me caressant une épaule : « Même dans ta sexualité ! » Avant de demander à son amant : « Aurélien, Fabienne a bien répondu ? » « Oui, c’est une réponse complète, car le titre anglais n'était pas facile à trouver. Donc, Fabienne, tu as le droit d’appuyer sur un des boutons de la télécommande »

    « Heu, je veux bien, mais qu'est ce que commande cette télécommande ? » Joris, l'amant d'Eva, qui s'étaient rapproché de nous, tient à me prouver, que s'il n'est pas fort en parfum de femmes, il est bon en humour cinématographique : « Télécommande ? Vous avez dit télécommande ? Comme c'est bizarre ! »

    Je l'applaudis et le félicite !

    # 17 - Au secours ! Il y a des gens qui ont envie de moi !

    « Ah, oui, c'est vrai que vous n'étiez pas là quand j'ai expliqué le jeu que j'ai imaginé pour cette soirée, donc je recommence : notre piscine est équipée de spots. La télécommande permet d'en changer les couleurs. Celui qui trouve la bonne réponse au Quizz gagne le droit d’appuyer sur un des boutons au hasard, sans connaître la couleur qui va apparaître, vous suivez ? »

    Lydia et moi répondons quasiment en même temps : « Tout à fait, tu peux continuer ! »

    « Ok ! Tous celles et ceux qui ont un maillot de la même couleur que les spots de la piscine doivent l’enlever et le jeter sur les plages. Tout le monde m'a donné son accord lors de la première présentation, mais je me dois de vous demander à toutes les deux si vous êtes partantes ? »

    Encore une nouvelle surprise pour moi, décidément, ces nouveaux voisins on l'air très joueurs et particulièrement branchés cul !

    Mais, en suivant mes résolutions, et sans plus réfléchir, j'appuie sur un bouton, et en réponse, la couleur de la piscine passe à un superbe bleu !

    Jean est le premier à balancer son maillot sur une plage en criant : « Youpie, je vais me sentir plus à l’aise, hihihi ! »

    Mais Tatiana, la maîtresse de Paul, n'est pas contente : « Ce n’est pas juste, moi aussi, mon maillot est bleu ! »

    Paul lui répond : « C’est le jeu, ma pauvre chérie, vas-y, à poil ! Tu n'as pas d'autre choix »

    Elle sourit et dit à Jean : « Jean, tu peux aller me chercher un verre, s'il te plaît, j'en ai besoin pour me mettre à poil devant tout le monde ! »

    Aurélien la rassure : « Tu dois savoir Tatiana, que tant que tu restes dans l'eau, tu ne te montres pas nue devant nous ! »

    « C'est vrai, Aurélien, mais si je reste toute la soirée dans l'eau, je vais en ressortir toute fripée comme une vieille ! »

    Jean s'exécute en courant, il sort de la piscine et se dirige vers le buffet sous l'appentis. Comme toutes les femmes, je le suis à nouveau du regard. Son dos mouillé le rend encore plus attirant, de même que son petit cul fort bien dessiné et musclé. Je remarque qu'il est bronzé de partout, j'en déduis que c'est un nudiste ou qu'il passe beaucoup de temps dans le solarium de sa maison !

    Les filles le sifflent pour le chauffer, il lève les bras en l’air et entame une danse en se trémoussant des fesses.

    Le d.j. a un excellent réflexe, car il met de suite Vas-y Francky c’est bon de Francky Vincent et Jean danse sur le rythme de cette chanson, mais il reste de dos et met deux verres sur un plateau.

    Puis il se retourne pour revenir au début des escaliers

    Il place son plateau de manière à cacher son sexe.

    Nous le sifflons de plus belle en chantant en chœur de filles : « Vas-y Jeannot c’est bon, bon, bon ! » Et pour nous récompenser, il recommence à danser en rythme, en relevant de temps en temps son plateau pour dévoiler furtivement sa queue.

    Elle nous semble longue et fine, mais nous ne savons pas s'il bande !

    Nous tapons toutes dans nos mains, et je ne suis pas la dernière ni la moins bruyante, je m'amuse en fait comme une gamine, sans pouvoir me souvenir depuis combien de temps je ne me suis pas régalée comme ça !

    De temps en temps, Lydia me salue, lève son pouce en l'air pour me signaler qu'elle est ravie de ma joie et de ma bonne humeur et me fait un clin d’œil plus complice que sexuel !

    Dans cette ambiance électrique, Jean aide Tatiana en lui proposant un deal : « Si tu enlèves ton maillot de suite, je pose le plateau »

    Elle ne répond rien en se contentant d'ôter son maillot une pièce et de le jeter sur la plage ! Elle se met alors à sauter, dévoilant ses seins nus en les faisant ballotter aux yeux de tout le monde.

    Les hommes l’encouragent en tapant aussi dans leurs mains. C'est à ce moment là que je réalise que Tatiana aime s'exhiber et que sa colère de tout à l'heure était une blague !

    Jean respecte son engagement, baisse le plateau et le pose.

    Sa queue est maintenant bien visible : longue, bien proportionnée.

    Il est entièrement épilé. Nous, les filles le dévorons des yeux.

    Tatiana se rapproche de lui et lui saute dessus.

    Tout le monde peut profiter de ses seins rebondissants !

    Elle veut délibérément le chauffer.

    Jean se remet à danser en parcourant tout le corps de Tatiana avec ses mains. Puis il la lâche et prenant sa queue en main il la fait tournoyer comme une des serviettes de Patrick Sébastien sans quitter des yeux, Tatiana qui bondit et danse toujours.

    L’ambiance monte d’un cran. Lydia en profite pour crier en riant : « C'est Francky Vincent ! »

    Je lui tends la télécommande en la gratifiant d'un « Ouh ! La tricheuse ! Tout le monde l'avait ! » Mais en me tirant la langue, elle appuie en criant : « C'est le noir qui va sortir ! »

    Mais elle a droit à la même grimace, car la piscine jaunit !

    Eric et Violette balancent leurs maillots.

    Et se rapprochent de Jean et de Tatiana.

    Eric sort de l'eau et se place à côté de Jean, il est également intégralement bronzé et épilé. Il prend sa queue et imite Jean. Alors que le d.j. passe Tournez les serviettes de Patrick Sébastien. Décidément ce d.j. est opportuniste et intelligent.

    La poitrine de Violette est plus grosse que celle de Tatiana, mais ça ne les empêchent pas de se caresser les nichons à côté des 2 queues exhibées, et devant tout le monde !

    Le jeu continue : une nouvelle chanson, une nouvelle réponse et une nouvelle couleur : le vert puis le rose. Au bout de 10 minutes, je me retrouve toujours en maillot, accompagnée d'Alban le célibataire en maillot noir.

    Alors que sur les plages et dans la piscine : les femmes nues dansent côte à côte et les hommes balancent leurs queues en dansant ce qu'ils ont baptisé : la danse de Jean !

    Paul nous propose alors :

    « Allez, les filles, sortez à poil de l'eau ! Si vous voulez boire du tiède et du visqueux, nous avons des pailles à votre disposition ! ». Il prend un verre et y trempe sa queue. Les filles se regardent, en rigolant, mais Lydia leur dit : « Chiche les filles, on y va ? »

    Elle enlève son une pièce et sort de la piscine, nue. Pliée en deux, elle tourne le dos à la piscine et expose en l'ouvrant de ses deux mains son anus aux baigneurs. En courant, elle prend la première queue disponible qu'elle rencontre et tombe à genoux pour la sucer goulûment devant tout le monde !

    Paul lui claque le cul en lui disant : « Tu as raison Lydia, une paille comme ça, ça ne se refuse pas ! »

    Elle se relève avant la jouissance de celui qu'elle pompe, et passe à son voisin pour le sucer à son tour ! Tatiana sort de l'eau et imite Lydia en suçant la bite qu'elle vient d'abandonner en criant à Lydia : « Vas-y, pompe les bien, moi je me contenterai de les finir et d'avaler leur foutre ! J'adore ça ! »

    Quand je pense qu'elle rechignait à se mettre à poil devant tout le monde ! Bien évidemment, la pression monte d'un coup et de plusieurs degrés !

    Je sens mes tétons me faire mal tellement ils bandent, mon entrejambe mouillée depuis si longtemps commence à me brûler comme chaque fois que mon excitation s'éternise.

    Je n'applaudis plus, car j'ai baissé le haut de mon maillot, et mes mains caressent maintenant mes seins et mes tétons dans l’eau.

    Toutes les filles sucent des queues sur les plages ou attendent qu'une se libère en se touchant la chatte et le clito, sans aucune pudeur. Tatiana continue à suivre Lydia et à finir les hommes en buvant leur sperme, elle semble se régaler et est très applaudit !

    Toutes on des culs rougis par les claques de leur compagnon pas forcément attitré !

    La partouze générale a démarré !

    une petite parenthèse dans le récit pour vous proposer 11 minutes de partouze-piscine à la française : il vous suffit de recopier ce lien pour entrer directement dans la fête ! Régalez-vous bien !

     

    https://fr.pornhub.com/view_video.php?viewkey=570637978

    Alban semble soucieux et prend la télécommande. Il n'est pas loin de moi, sur une des plages, je le regarde curieuse de savoir ce qu'il cherche : il appuie plusieurs fois sur les boutons, les couleurs défilent mais aucune couleur noire n'apparaît ! Avec un air inquiet et mécontent, il va voir Aurélien qui est en train de se finir dans la bouche de Tatiana, mais il ne s'occupe pas d'elle et lui explique le bug du jeu : il n'y a pas de lumière noire sur la palette des couleurs ! Quand il a fini de grogner et de remplir la gorge de Tatiana, il dit à Alban, non sans un certain humour « Pourquoi veux-tu du noir sur une télécommande couleur ? »

    Alban rit d'un rire forcé, et lui répond : « Pour voir Fabienne à poil ! »

    Je comprends pourquoi il a vérifié la télécommande, depuis notre retour de la maison, il n'a pas arrêté de me mâter. Je comprends fort bien qu'il veuille me voir nue à mon tour, et, peut être plus si affinités ! Mais sans l'intervention directe d'Aurélien ou de Lydia, il me semble qu'il a peu de chance d'aboutir ! 

    Aurélien est ferme dans sa réponse : « Désolé, Alban, je vais supprimer ce jeu du catalogue, il est vrai que j'aurais du penser que la lumière noire n'existait que dans les Nights-Clubs, et encore sous forme de lumière blanche ! Fabienne et toi vous pouvez garder vos maillots ! »

    Je souris, et descends ma main droite entre mes jambes ! Et sens fort bien la grosseur de mon clito à travers mon maillot

    Ce qui me fait fermer les yeux pour me retrouver avec Lydia dans sa cuisine, sa bouche suçant et mordillant mon clito ! Je me branle doucement, abritée par l'eau de la piscine tout en mâtant la partouze qui se déroule sur les plages de la piscine.

    Mais, tout d'un coup, je sens des mains emprisonner mes seins par derrière. Je me crispe immédiatement et prends ces mains dans les miennes pour les repousser, mais le propriétaire de ces mains est plus fort que moi, car il résiste, me soulève la poitrine et arrive même à me pincer les tétons.

    Épuisée, je suis obligée de relâcher ma résistance et je sens ces mains prendre mes poignets en tenaille, les basculer dans mon dos et les réunir dans une seule de ses mains.

    Je sens, alors qu'il me tient ainsi d'une poigne ferme, que l'inconnu se tortille pour probablement pour enlever son maillot !

    Car, il ne reste qu'un seul homme en slip de bains, il a un slip noir et il s'appelle Alban : le célibataire endurci et le mauvais perdant de la télécommande ! Mais je prends l'initiative de ne rien dire.

    Je tortille tout mon corps, pour le gêner dans ce qu'il veut réaliser, il se plaque alors dans mon dos et je sens très bien sa bite dure cogner mes fesses !

    Il est décidément très athlétique, car Il place ses pieds entre mes chevilles et me guide dans la piscine, jusqu'à un endroit où j'ai pied de justesse.

    C'est plus pratique pour lui, mais c'est après une longue bataille qu'il arrive à attacher mes poignets dans mon dos avec son slip, libérant ainsi ses deux mains ! 

    Avec son genou, il écarte mes jambes sans que je ne puisse opposer de résistance. Je sens ses doigts sur mes lèvres, et, très rapidement dans ma bouche, alors qu'il me susurre à l’oreille : « Imagine une bonne paille à la place de mes doigts, petite garce qui pensait échapper à nos bites ! »

    Sans lui répondre, je lui suce les doigts avec fougue et entrain, comme si j'avais décidé de lui obéir, mais au fait ? Vais-je vraiment faire semblant ?

    De son autre main, je le sens pincer tour à tour mes tétons avec vice et force. Mais, il a besoin de ses deux mains, et je sais bien pourquoi !

    Il me lâche quelques secondes, le temps de plonger la tête dans l'eau pour tirer mon maillot vers le bas et me l’ôter totalement. Il replonge une autre fois, et glisse mon maillot sous mon pied droit, je comprends qu'il ne veut pas qu'il remonte à la surface, puisque je ne suis pas sensée être nue ! Il reprend sa position stratégique derrière moi et une de ses mains se plaque sur ma chatte bouillante.

    Il m'ouvre encore plus les jambes en s'aidant de sa main et de son genou, pour écarter au maximum mes grandes lèvres et me fourre 3 doigts dans le con, alors que son autre main descend pour pincer mon clito entre son pouce et son index.

    Comme avec Lydia, je bascule dans un état second, mon corps se libère et s'abandonne à ce violeur que je devrais détester !

    Il me murmure à l'oreille d'un ton ferme : « Ouvre bien les yeux et regarde tes nouveaux amis ! »

    Je sens qu'il place sa grosse queue bien dure entre mes mains liées qui sont juste à la bonne hauteur ! Et, tout en le caressant et en tentant de le branler, j'ouvre les yeux pour découvrir que toutes les filles sont tournées vers la piscine. Pliées en deux et toutes ont une queue dans le corps.

    De la piscine je ne peux pas savoir si elles sont baisées ou enculées.

    Par contre, une chose est certaine : elles sont toutes en train de nous mâter et tous les hommes les prennent par l'un de leurs deux orifices ! 

    Voyant que la baise est générale, je ne ressens plus aucune gêne, mon état d'esprit est définitivement perverti pour cette soirée !

    Les hommes font avancer et reculer les femmes en les tenant par leurs poignées d’amours, mais elles trouvent encore le temps et l'envie de s’embrasser entre elles, la partouze est bien en place !

    Alban me glisse à l'oreille : « Rapproche-toi un peu plus, pour que tout le monde te voit de plus près, et branle ma bite aussi fort que ton envie te l'ordonne, belle petite cochonne »

    Au fur et à mesure, la hauteur de l'eau diminue, et je me retrouve rapidement dénudée de la tête à la taille, mes seins nus pointant fièrement devant notre couple.

    Je serre sa bite dans mes mains bondées en arrivant à le branler très maladroitement. Il me redonne 3 de ses doigts à lécher et à sucer, ce qui nous vaut des applaudissements !

    Content que tout le monde regarde notre couple et ma nudité, il finit de me guider jusqu'au pied de l’escalier, à 2 mètres des autres, avec de l'eau jusqu'aux genoux !

    Il me dit en riant : « Tu as déjà senti une anguille entrer dans ta chatte ? Mais, ne t’inquiète, elle a la taille réglementaire, et tu ne vas pas avoir besoin d'un permis pour te la prendre mais je t'assure que ça va te faire tout drôle ! » Nous sommes si près que tout le monde peut entendre ses paroles !

    Je réalise soudain que c'est le seul dont je n'ai pas vu la bite, et j'ai peur que ce ne soit un monstre ! 

    Il me penche en avant, me casse en deux, comme le sont les filles sur les plages de la piscine, et il me fourre sa bite d'un seul coup de rein dans mon con tiède et gluant.

    Je la sens me pénétrer jusqu'à me cogner le col de l'utérus, j'en déduis qu'elle est longue mais pas très grosse.

    Il me lime en me tirant les cheveux, pour amplifier ses mouvements du bassin.

    Les filles me regardent me faire niquer, celles qui sont libres rythment sa pénétration en tapant dans leurs mains, tout en contemplant le balancement de mes nichons, trois choses qui m'excitent incroyablement : fière de niquer devant des voyeurs inconnus, de leur offrir mes balancements de mamelles de salope en chaleur et ma nudité obscène de femme facile !

    Je sens qu'à chaque coup de rein, il me pousse un peu plus vers l'avant, m’obligeant à gravir l'escalier, marche après marche, pour sortir complétement de la piscine et me retrouver nez à nez avec Tatiana.

    Comme elle l'avait fait avec Jean, elle me saute dessus et m’embrasse à pleine bouche en enfonçant sa langue le plus loin possible pour batailler avec la mienne, pour bien mélanger nos salives, nos baves et nos grognements de femelles en chaleur ! 

    En même temps, elle pose ses mains sur mes nichons, qu'elle malaxe jusqu'à m'obliger à gémir de douleur : cette fille a beaucoup de force dans les doigts ! Elle arrête brutalement son baiser, baisse un peu la tête et me mord les tétons l'un après l'autre.

    Entre cette femme sensuelle et sado qui me gouine le côté face, et l'homme bien monté qui me nique le côté pile, je suis en transes et en route pour un autre orgasme monstrueux !

    Alors qu'Alban me baise de plus en plus rapidement, Tatiana reprend mes seins à pleines mains et les étire, sans ménagement, pour s'amuser à les branler, comme deux grosses bites, avec ses mains qui les broient tout en suivant la cadence imposée par la bite qui me baise.

    D'un seul coup, Alban se retire brutalement de moi, et je vois Paul passer derrière moi, me détacher les poignets, rendre son slip à Alban et profiter que mon con ne se soit pas encore refermé pour me niquer à son tour !

    Tatiana se met devant moi et regarde Alban qui lui dit : « ouvre bien ton cul, salope, j’arrive ! »

    Tout en me regardant baisée par son ami, il se place derrière elle et l'encule d'un coup sec sous un tonnerre d'applaudissements !

    Mais, en se plaçant devant moi, Tatiana avait forcément une idée vicieuse en tête, car, comme nous sommes toutes les deux penchées en avant par nos niqueurs de cul et de con, elle peut avancer sa tête et me reprendre la bouche pour un baiser qu'elle compte bien faire durer jusqu'à la jouissance de nos étalons réciproques !

    Jean qui m'avait semblé être plus qu'intéressé par mon physique se positionne devant moi et me redresse la tête en me tirant violemment les cheveux. « Quels beaux nichons, tu as, ma bourgeoise en chaleur ! Hum ! J’adore !» Il met une claque à Tatiana en lui ordonnant d'arrêter de m'embrasser et se contorsionne pour prendre mes seins dans ses deux mains et glisser sa bite longue et dure dans la vallée de mes seins.

    Entre la piscine et la chaleur, cet endroit est trempé et il n'a aucune difficulté à faire aller et venir sa pine entre mes nichons.

    Tandis que Paul me lime sévèrement avec sa bite d'acier, Jean continue sa branlette espagnole en grognant pour que tout le monde l'entende : « Ouah, cette putain va déjà me faire jouir, je n'y crois pas ! »

    Mais à bout de résistance, il se vide les couilles sur mes nichons et mon cou ! Et se retire en le balançant une gifle assassine !

    Lydia se met debout devant moi, elle me regarde tendrement et me sourit avant de ramasser avec ses doigts le foutre de Jean, et de me les donner à lécher et à nettoyer !

    Après tant d'excitation, je n'en peux plus, il y a trop de perversions nouvelles et de sensations aussi incontrôlables que jouissives !

    Je me sens prête à exploser et mon abandon est total.

    Aurélien me claque les fesses, les hommes qui ne baisent pas, le rejoignent et font de même jusqu'à ce que mon cul soit bouillant et rouge cramoisi !

    Lydia fait le tour de mes trois niqueurs du soir et leur dit quelques mots à l'oreille, ils approuvent en souriant.

    J'aurais bien aimé savoir ce qu'elle leur avait dit ! Mais, je vais rapidement en connaître les conséquences !

    Alban est visiblement le premier à exécuter un conseil de Lydia, il arrête d'enculer Tatiana, en se retirant brutalement de son anus, et, la bite dressée et pas vraiment très propre, il se place devant moi, me relève la tête, me pince le nez pour m'empêcher de respirer et m'oblige à ouvrir grand la bouche.

    Quand je n'en peux plus, il rentre d'un seul coup sa bite sale entre mes lèvres et me prend par les cheveux pour faire aller et venir ma bouche le long de sa bite, et bien la nettoyer de tout ce qui venait du cul de Tatiana, ce que je suis contrainte de faire sans me plaindre, tout en réprimant une nausée et en me jurant de mettre ça dans mes tabous !

    Bien que propre, il continue à me baiser la bouche, sans que je ne puisse intervenir, et très rapidement, probablement très excité par la sodomie du cul de Tatiana, et ce que je viens d'avaler, il se vide les couilles au fond de ma gorge, et pendant que j'avale sans pouvoir faire autrement, il ressort sa bite de ma bouche et me félicite vicieusement pour sa propreté !

    Je cherche d'un œil triste Lydia qui sent que j'ai besoin d'elle après tant d'humiliations. Elle me sait malheureuse et m'applaudit en disant : « Bravo, Fabienne, je connais peu de femmes qui aurait osé faire tout ce que tu as fait depuis que tu es parmi nous ! » Et toute la bande la suit en m'applaudissant et en criant mon prénom : « Fa-Bienne ! Fa-Bienne ! Fa-Bienne ! »

    Aurélien, entonne alors le célèbre : « Fabienne est des no-otres, elle s'est fait niquer comme toutes les au-autres ! » et tout le monde reprend en coeur cette chansonnette en applaudissant et en me félicitant !

    Mais, Aurélien a un doute et s'adresse à tout le monde : « Dites moi, les amis, qui a enculé Fabienne ce soir ? » Lydia interroge tout le monde du regard, mais n'obtient aucune réponse.

    Mais en se retournant vers moi, elle sait qu'elle peut avoir la vérité :

    « Dis moi, toi qui dis toujours que la vérité : un de nos amis t'a enculée ce soir ? » « Non, Lydia, personne »

    Aurélien me demande alors : « Tu veux une bite dans le cul voisine ? Je ne te force pas, tu peux refuser si tu veux ! »

    « Demande à Lydia, mon cher Aurélien, elle te dira que je ne suis pas venue ici pour dire non ! »

    « Parfait, je vais m'occuper de toi ! »

    « A une condition, Aurélien, je ne veux pas que tu jouisses dans mes intestins, je veux te sentir jouir, comme je l'ai fait avec Alban ! »

    « Bien je respecterai ta demande ! »

    Paul qui avait arrêté de me baiser, sans jouir, propose à Aurélien de me prendre en sandwich. Aurélien approuve de suite.

    Paul propose d'aller plutôt sur le gazon, qui est plus doux que tout le reste et surtout pas dans le sable qui rentre partout !

    Aurélien est le premier à s'allonger sur le dos, bite dressée, mais il me recommande de la faire durcir un peu plus : je m'agenouille et le branle lentement, quand je le sens bien dur, je le mets dans ma bouche et le pompe avec vigueur !

    Fabienne 02

    Très rapidement, il me dit : "Hum arrête, tu vas me faire gicler, viens t'empaler sur ma pine en me tournant le dos !"

    Je m'accroupis sur lui, en regardant ses pieds. Je prends sa bite dans ma main droite et la dirige vers mon anus, je tourne plusieurs fois le gland humide autour de mon trou à merde et quand je me sens prête, je fléchis les genoux et continue à gérer sa bite jusqu'à ce qu'il soit à moitié dans mon cul, je le lâche alors en poussant un cri, et je me laisse tomber en m'empalant sur lui.

    De suite, je sens son ventre et ses couilles battre mes fesses.

    Je me couche alors sur le dos sur Aurélien et écarte largement les cuisses pour accueillir Paul dans mon con trempé.

    Il s'agenouille devant moi, positionne sa queue à l'entrée de mon vagin, et, constatant que je suis dégoulinante, il me pénètre d'un seul coup de rein en m'arrachant un gémissement de plaisir !

    Fabienne 02

    Fabienne 02

    Le reste n'est que pure technique.

    Fabienne 02

    Gentiment, Paul jouit le premier en se vidant les couilles dans mon ventre, il se retire et me présente sa bite à lécher et à nettoyer, ce que je fais avec plaisir, tandis qu'Aurélien continue à m'enculer doucement en se retenant visiblement de ne pas jouir trop rapidement dans mon fourreau culier étroit et si humide !

    Quand Paul se redresse, Aurélien me supplie de me relever et de m'agenouiller très vite, et, c'est de justesse qu'il arrive dans ma bouche pour y jouir, en me tirant les cheveux pour me baiser la bouche sans que je n'intervienne et éjaculer bien au fond de ma gorge !

    Des applaudissements concluent notre session hot dog dans laquelle je jouais le rôle de la saucisse ! Hihihi !

    Je me repose un peu quand Lydia revient de la maison avec ma bouteille de champagne qu’elle ouvre avec habileté.

    Le bouchon saute au loin, tandis qu'elle me dit : « Ouvres bien la bouche, ma chérie » Je m'exécute en souriant, et elle me verse une bonne rasade de champagne glacé dans la gorge, ce qui me fait du bien et termine de me faire avaler ce que j'avais en bouche après ces nettoyages de bites !

    Puis, Jean, le gland figé contre son nombril, s'assied par terre à côté de moi. Il me tire par les cheveux pour me faire baisser la tête et se faire pomper. Son gland est encore trempé par les sucs des autres salopes ! Mais cette humiliation supplémentaire me convient très bien ! Après tout, j'en suis aussi une et même une grosse salope vicieuse !

    Lydia lui verse du champagne sur la bite, et je le bois tout en le suçant, jusqu'à ce qu'en très peu de temps, il se répande dans ma bouche et me regarde en souriant avaler tout son foutre et lui nettoyer la queue !

    Alban dit en souriant : « Tous tes trous ont été remplis, tu assures plutôt bien Fabienne, et je crois que je peux dire, au nom de tous nos amis, que nous sommes tous très heureux de t'accepter dans notre cercle, aussi bien fermé que vicieux ! »

    Je dois lui répondre, et, pour ce faire, j'utilise le mode humoristique, car, pour le moment, je lui en veux trop de m'avoir forcée à baiser : « Merci à tous et bravo à Alban pour son très beau jeu de mot circulaire, je le préfère humoriste que violeur dans une piscine ! »

    Lydia prend la parole : « Nous avons une coutume quand une femme entre dans notre cercle, tu n'as rien à faire, sinon regarder et te laisser faire : tu es partante, Fabienne ? »

    « Lydia ! Qui suis-je pour bousculer vos traditions ? Je me plierai à ce dernier rituel initiatique »

    Je suis invitée à me coucher sur le dos sur une des plages carrelée.

    Mes 9 nouveaux amis, debout, forment un cercle autour de moi, et leurs mains descendent sur leurs sexes.

    En me regardant droit dans les yeux, les hommes et les femmes se branlent devant moi !

     

    Les hommes sont les premiers à jouir : ils éjaculent sur moi et je me régale de recevoir des jets tièdes et poisseux sur toutes les parties de mon corps !

    Quant aux femmes, quand l'une d'entre elle se sent proche de l'orgasme, elle peut choisir de s'asseoir sur ma bouche, pour jouir en se frottant la chatte sur mes lèvres fermées, ou de s'agenouiller au dessus d'un de mes pieds pour se finir en se branlant avec mes orteils !

    Je profite de la moitié avec ma bouche et l'autre moitié qui se branle avec un de mes orteils, ce qui m'excite énormément ! Quand ils ont tous joui, Lydia me recommande de ne pas bouger.

    Le d.j. met une musique antillaise, et le groupe forme une chenille et danse autour de moi en se tenant par les épaules. A la fin du disque, le d.j. enchaîne sur une valse.

    Je trouve ce choix bizarre, mais 4 hommes viennent me prendre chacun par un membre, ils me soulèvent du sol et me balancent en suivant le rythme de la danse. Brusquement, la musique s'arrête et le d.j. annonce dans son micro : 

    « Un.......... Deux.......... Trois.......... Jetez !!!!!!!!!! » et en lâchant mes 4 membres en même temps, les hommes me balancent dans la piscine, alors que tout le monde crie, chante ou hurle :

    « Bienvenue à toi Fabienne ! »

    Je trouve cette tradition parfaite ! Car dans l'état où je suis, j'avais vraiment besoin de me laver de la tête aux pieds, ce que je peux faire devant tout le monde en étant applaudie.

    La fraîcheur relative de l'eau me réveille un peu, et je peux m'accorder un peu de repos, avant que la piscine ne se remplisse, et que tout le monde, même le d.j., ne plonge à poil dans la piscine !

    Lydia nage vers moi et me propose un verre. Je la remercie, mais refuse, car je suis vraiment pompette !

    « Tu veux peut être rentrer chez toi ? Tu dois être fatiguée ? Tu veux que je te raccompagne ? »

    « Oui, je vais rentrer chez moi, mais merci pour ton offre, je suis capable de marcher seule, même si j'ai un peu trop bu ! Je ne peux pas trouver les mots pour te dire dans quel état je suis, physiquement comme moralement ! Mais je peux t'assurer que tu m'as fait vivre une des plus belles soirées érotiques de ma vie ! Et je te jure que je m’en souviendrai toujours, et, dans ses moindres détails ! »

    « C'est très gentil, et ça te correspond très bien, Fab. De mon côté, je veux simplement que tu comprennes qu'en ce qui concerne ton intégration au groupe : quelles que soient mes maladresses, je n'ai cherché qu'à te faire plaisir. Je suis très heureuse que tu aies autant joui et que tu te sois si bien amusée. Je t'assure que nous referons beaucoup d’autres soirées, et que je te réinviterai, chaque fois. Mais tu auras toujours la liberté de venir ou de ne pas venir. Et, je ferai tous les jours ma balade en forêt, et chaque fois je penserai très fort à toi ! Hihihi ! Tu m'as bien comprise ? »

    « Très bien, Lydia, je trouve que tu es une merveilleuse animatrice de ton groupe et que tu donnes chaque fois l'exemple, même si tu dois payer de ta personne ! »

    « Payer de ma personne est probablement excessif, mais je le prends comme un compliment. Je t'ai dit, qu'à mon âge, et sans mes enfants, je voulais mordre la vie à pleines dents. Eh bien, ce soir c'est ce que tu as vu, rien de plus ! J'ai sucé, j'ai baisé, j'ai été pelotée, je me suis exhibée et branlée, mais tout ça qu'est ce que c'est ? Sinon ! la vie ! »

    "Mais je dois aussi te dire une dernière chose : tu es entrée ce soir, avec moi, dans un monde que tu ne connaissais qu'en théorie : je veux tout simplement te remercier de m'avoir choisie comme guide, j'en suis très fière, et je dois t'avouer que j'ai eu très peur durant toute notre séance : peur de te choquer, peur de te demander quelque chose qui ne te plairais pas, peur de mes caresses ! Enfin, bref, peur de te perdre ! Voilà, j'ai fini, tu peux te sauver maintenant et dormir comme un bébé sans ressasser tout ce que tu as vécu en un après midi et une soirée !"

    Comme ils sont tous dans la piscine, je les quitte en les embrassant toutes et tous à pleine bouche avec une langue que je veux gourmande et agile, tout en les laissant me caresser ma nudité totale !

    Je sors de la piscine, prends mon maillot et leur dit : « A bientôt !  C'est promis ! » Ils hurlent pour me donner leur accord et me féliciter, une dernière fois, ma chanson résonne et des applaudissements retentissent !

    Je mets mon maillot en contournant la maison, le portillon est ouvert.

    Je rentre chez moi pieds nus, trempée, en maillot mais avec des amis en plus et des moments vécus, et non pas rêvés, à me repasser en boucle !

    Suite dans FABIENNE 03 >


    votre commentaire
  • Fabienne 03

    Fantasme à 4 mains de Robert et Loré

    (Suite début janvier 2018)

    # 18 – Deux semaines après !

    Une quinzaine de jours après cette soirée chez Lydia, j'essaye de soulager ma gentille aide ménagère en rangeant et nettoyant un peu la maison, et, ce, dans une tenue que certains puritains qualifieraient d'obscène : short ras-du-cul, visiblement sans culotte, et top XXL baillant de partout et surtout autour de mes seins qui n'arrivent pas à cacher l'absence de soutien gorge et qui ne peuvent pas se planquer derrière le manque de tissu !

    C'est presque ça ! >

    Fabienne 03

    Je chantonne, pieds nus en bossant, la journée est belle !

    Je viens d'accompagner Louis à l'aéroport pour un départ vers Pékin où il va passer plus de 10 jours, ce que je comprends facilement vu le prix de son billet d'avion !

    Il y a 15 jours, à son retour de Berlin, 2 jours après la soirée chez Lydia, nous avons, comme d'habitude, renoué avec une nuit de noces de 2 semaines, durant laquelle je lui ai raconté ce que j'avais fait chez notre nouvelle voisine, sans omettre aucun détail.

    Il a accueilli ces infos avec le sourire, et sa bite s'est plusieurs fois redressée durant mes récits et, bien que vidangée régulièrement de son bon foutre, je ne suis pas arrivée à la calmer pour de bon !

    Bref, tout s'est bien passé pour ma conscience, bien que j'ai un peu dissimulé l'aspect bdsm, que je savais ne pas lui plaire, en insistant sur l'aspect partouze sur lequel il ne trouvait rien à redire, mais aussi pour l'aspect sexuel puisque mes récits détaillés nous ont valu moult orgasmes réciproques et des nuits très agitées.

    Je suis donc malheureuse de son départ, mais satisfaite de pouvoir me reposer et profiter de mes enfants, de ma maison et de la piscine en ce beau mois estival.

    Je pense à mon emploi du temps pour ces 10 jours, deux ou trois cinés et quelques restaurants avec mes enfants,et, surtout, après demain la deuxième session téléphone avec mon ami Hubert.

    Et rien d'autre en vue, sinon des jouissances quotidiennes et ce que voudra bien me confier le hasard !

    Le téléphone sonne, je suis juste à côté : "Bonjour, je suis Fabienne un répondeur à deux pattes, vous pouvez parler quand vous le voulez !"

    Un éclat de rire me répond et je reconnais de suite le cristal de la voix de Lydia !

    "Ah bonjour ma chérie, je languissais d'avoir de tes nouvelles !"

    "Bonjour, Fab ! Oui, moi aussi, mais je ne veux pas te déranger quand Louis est là et je te laissais digérer cette belle soirée !"

    "Merci pour cette double attention, il faut que tu saches que j'ai tout raconté à mon tendre, mais avec un angle d'approche plus partouze que bdsm, car il est farouchement opposé à cette dernière pratique"

    "Je dois te féliciter, Fab, peu de femmes aurait eu ce courage, je reconnais bien là l’honnêteté que tu m'as déjà démontrée !"

    "Bah, je ne sais pas vivre dans le mensonge, comme toi, je trafique un peu la vérité quand ça en vaut la peine !"

    "Bonne philosophie que j'approuve ma chérie, dis moi, je t'appelle pour te demander si je peux venir chez toi : j'ai envie de papoter avec ma chère nouvelle voisine et je dois aussi te rendre le thermos à champagne, tu ne fais rien de spécial ?"

    "Non, pas grand chose d'époustouflant ! Je fais mon ménage ! Alors je serai heureuse de te recevoir : j'échange un grand plaisir contre une grande corvée ! Mais laisse moi 10 minutes pour que je m'habille décemment !"

    "Pourquoi ? Tu fais le ménage à poil ? Si, oui, je regrette de t'avoir appelée ! J'aurais du venir directement chez toi !"

    J'éclate de rire : "Non ! Pire que ça : je suis en mini short et en top ouvert de partout, mais sans aucun sous-vêtements, si je t'ouvre comme ça je suis sure que tu voudras me violer dans le hall !"

    "Et ça te fait si peur ? Reste comme tu es, j'arrive !" Et elle raccroche ! 

    Je repose le combiné en riant et sûre de ne pas avoir à les reprendre, je range mes instruments de torture : seau, aspirateur, balai et autre plumeau à poussière et je décide de ne pas me changer !

    Je file à la cuisine pour faire une cafetière de bon café expresso et, je reviens dans le salon pour m'allumer une cigarette non sans avoir entrebâillé la porte d'entrée.

    # 19 – Papotage entre amies !

    Quelques minutes plus tard, Lydia pousse ma porte en me criant : "Je peux ?" Je lui réponds que c'était fait pour !

    Elle me retrouve dans le salon : après un bisou furtif sur les lèvres, je me lève en lui disant : "Assieds toi, j'ai préparé du café expresso tout frais et des petits fours décongelés que j'adore :  nous allons nous régaler, je reviens de suite !"

    Elle me donne le thermos en me disant d'en profiter pour le remettre en place dans la cuisine.

    Deux minutes plus tard je reviens avec un plateau rempli de café, de tasses, de sucre, de lait et de petits fours sucrés décongelés à la dernière minute au micro onde et que j'aime beaucoup.

    Un peu comme ça ! >

    Fabienne 03

    "Alors, comment s'est passé le séjour de Louis, cette fois il est resté 15 jours à Lyon, vous avez du en profiter !"

    "Oh, oui, 15 jours de folies sexuelles, de restaurants et de bons moments en tête à tête ou en famille. Il a particulièrement apprécié que je lui raconte en détail ce que j'avais fait en son absence : ça l'a beaucoup excité et il a bien compris que quelle que soit ma libido, je reviendrai toujours m'empaler sur sa bite !"

    "C'est beau de ne pas être jaloux, Aurélien l'est un peu trop : tu devrais lui donner quelques leçons et le sermonner !"

    Je souris en buvant mon café après avoir avalé un petit four.

    "Mais dis moi, tu n'avais que la fête chez moi à lui raconter à ta manière ? Ou tu avais plus de vérités à lui annoncer ?"

    "Oui, en effet, il y avait d'autres aveux à lui faire : il y a près de 3 mois, j'ai eu un long entretien avec mon amie et confidente Isabelle, avec laquelle j'ai eu une aventure lesbienne de 2 ans, avant qu'elle ne me fasse rencontrer Louis. Nous avons déjeuné ensemble chez notre Chinois habituel et je lui ai posé une seule question : "Comment occuper mon temps et ma libido durant les absences de Louis, sans le tromper et pour me changer un peu de mes 20 branlettes quotidiennes ?"

    "20 orgasmes jour ? Mais tu es un monstre d'endurance ma chérie ? Comment arrives-tu à ça ? Mon record quotidien doit être de 6 ou 7 !"

    "Oh, j'ai beaucoup de chance, je suis bien sur multi-orgasmique, mais toujours en demande et si je commence une séance d'excitation, il faut qu'elle se termine par un orgasme, mais attention, je parle de simples orgasmes, pas de tsunamis comme tu m'as offert dans ta cuisine et avec tes amis. Il n'est pas question que j'ai 20 tsunamis par jour, ma santé ne suivrait pas ! En fait, 2 tsunamis peuvent remplacer une bonne dizaine de jouissances plus classiques !" 

    "Eh bien, ma chérie, je n'ai jamais rencontré une femme comme toi, tu es sûre que tu ne prends pas de viagra féminin ?"

    Je rougis devant ce que je pense être un compliment et j'éclate de rire en lui assurant que je n'en ai absolument pas besoin !

    "Je te découvre sous un nouveau jour, que j'imaginais, mais sans en être sure, et donc, sauf si tu ne veux pas te confier ! Qu'as tu annoncé à ton tendre ?"

    "Eh bien seulement les résultats de mon repas chinois avec Isa qui m'a proposé 4 solutions pour prendre mon pied et calmer ma libido sans lui être infidèle. En fait, elle m'a suggéré 4 hypothèses, mais je n'en ai retenues que 3 à annoncer à Louis, encore une entorse à mon amour de la vérité vraie !"

    "Tu devrais de suite te débarrasser de cette 4ème non dite à ton mari !"

    "Tu as raison : cette idée va te rappeler quelque chose : c'est de faire glisser peu à peu ma sexualité vers le bdsm, sans en devenir addictive et sans le dire à Louis qui est fermement opposé à ces pratiques qui, pour lui, n'ont rien à voir avec l'amour !"

    "Il a raison, le bdsm reste un jeu de rôle, 100% cul, l'amour est en effet un tout autre concept"

    "Bien sur mais il est aussi évident que, si nous reprenons l'exemple de ta cuisine, ma demande d'avoir les yeux bandés a fait virer la séance au bdsm, alors, de dire à Louis que nous nous sommes gouinées ou que je me suis soumise à toi est pratiquement le même aveu, dans tous les cas, je me sens parfaitement en paix avec ma conscience, je lui ai avoué une relation de cul avec notre nouvelle voisine, que j'apprécie, mais c'est Lui que j'Aime !"

    "Et tu as raison, car c'est vrai, la notion d'obéissance rentre déjà dans l'intimité de la séance, et tu peux parler des 2 godes sans dire que tu ne les avaient pas demandés et moi je peux citer ta jouissance sans révéler que tu avais demandé à avoir les yeux bandés !"

    "Tout à fait, Lydia, tu es toi aussi une excellente psy comme Isa !"

    "Merci, à présent, il te reste 3 hypothèses à m'annoncer !"

    "Oui je lui en ai donc donné 3 en citant même Isa comme source : il la connaît très bien, en me présentant à lui elle savait que ce serait pour la vie ! Bon, je vais te dire ce que tu attends, car je te sens bouillante d'impatience !"

    "Bouillante n'est pas peu dire ma chérie !"

    "La 1ère est simple : il s'agit de reprendre mes relations lesbiennes avec elle, en sachant que depuis que nous avons rompu, elle s'est tournée vers le bdsm et fait partie de ce monde Lyonnais où elle connait beaucoup de gens et où elle semble très appréciée. Mais elle attend de moi ce que je choisirai : une relation lesbienne classique ou bdsm !"

    "Sans être prétentieuse, Isa serait une concurrente pour moi ! Mais je trouve sa proposition très généreuse, si elle reprend des rapports de gouines avec toi, alors qu'elle s'est habituée à des soumises, c'est qu'elle a encore un profond amour pour toi, et tu as pris une décision ?"

    "Aucune Lydia, c'est surtout comme mon guide vers le bdsm que vous êtes concurrentes, mais je n'oublie pas que tu as été la première à me tenir la main et quelle que soit ma décision, ni toi ni elle ne serez lésées !"

    "Tu es toujours aussi gentille ! Fab ! Je te laisse continuer !"

    # 20 – Cherche job de caméra-woman !

    "Les 2ème et 3ème sont quasiment identiques, je vais donc te les détailler ensemble !"

    "Je me ressers du café tu en veux ?" J'accepte avec plaisir.

    J'attends qu'elle me serve, je bois une gorgée, il est encore bien chaud et très fort, et je reprends :

    "La différence entre les deux est simple : pour chacune des idées je dois trouver un ou une ou plusieurs partenaires, mais il y a 2 formes de sessions : la téléphonique et la web-cam ! Je suppose que tu vois déjà de quoi je vais te parler ?"

    "Oui, Fab, l'ancien minitel rose amélioré par les smart-phones et les cessions vidéo d'ordi à ordi ! 2 excellentes idées en fait ! Et je t'avoue que je n'en voyais pas d'autres en 2018 !"

    "Donc Isa a bien travaillé ! Je le lui dirai de ta part ! Et, en fait nous avons mis presque 3 mois à mettre ces 2 idées au point. Ca peut te paraître long, mais il faut prendre en compte que nous arrêtions quand Louis était là et qu'elle travaille. Elle m'a aidé à sélectionner les meilleurs sites, à m'y inscrire, à rédiger mes fiches de présentation, mes fiche de tabous, à sélectionner mes photos et à créer mes adresses mails et une semaine avant que tu n'arrives dans ma vie, nous avons lancé la session téléphone et le jour où tu es venue te présenter à moi, je terminais ma 1ère session avec un très gentil partenaire qui s'appelle Hubert. Celui qui m'a fait jouir, tout en jouissant et en te faisant jouir !" 

    "Oups ! Quel jeu de dominos tombant ! Je n'avais pas imaginé ça !"

    "Oui, tu vois, c'est le hasard de la vie qui a créé notre rencontre dans des circonstances aussi particulières ! J'ai rendez-vous ce samedi avec Hubert pour notre 2ème séance, et j'avoue avoir hâte d'y être !"

    "Je te comprends, combien de fois as-tu joui pendant la 1ère ?"

    "Moi ? Un nombre indécent de fois ! Mais ce dont je suis très fière c'est que lui a joui 3 fois en moins de 3 heures, ce qui, pour un homme..."

    "... est un véritable exploit ! Bravo, tu as du bien le chauffer !"

    "Oui c'est ce que j'ai pensé, et en plus il a été adorable et m'a donné des conseils et aucun ordre, ce qui doit contribuer à faciliter mon entrée dans le monde de l'obéissance"

    "Il est vrai qu'il faut aborder le bdsm en toute sécurité et ensuite, comme tu le fais : doucement. C'est très bien, Isa t'a bien conseillée !"

    "Je sais que je peux compter sur elle, tout comme toi sur tes amis !"

    "Et les sessions vidéo tu les lances quand ?" "Je pense le faire après la séance téléphone de ce samedi, pour en essayer une avant le retour de Louis, si toutefois je trouve quelqu'un !"

    "Tu veux rire je suppose ? Mignonne comme tu l'es tu vas avoir des centaines de demandes à trier ! Et, uniquement l'embarras du choix, car je suis sure qu'Isa t'a mise sur le meilleur site existant sur le web !"

    "C'est aussi ce qu'elle m'a prédit, nous verrons si c'est exact !"

    "Si tu veux, donne moi tes sites, je te ferai de la pub dans mes relations, et si quelqu'un se recommande de moi, fais lui confiance, tu n'auras pas de problème avec elle ou lui !"

    "Ah, oui, je veux bien, Isa va faire pareil et elle aussi va me recommander des gens fiables, si tu veux les noter de suite sur ton i-phone, pour le téléphone c'est > telxxxfree.com et pour la vidéo > visiocamfree.com "

    Elle sort son téléphone et y enregistre mes 2 sites. 

    "C'est curieux comme vos réactions sont identiques toutes les deux !" "C'est normal, nous connaissons bien le web et ses obstacles ainsi que les sites de contact, donc, nous ne pouvons réagir que de la même manière !"

    "Tu as surement raison, je suis très novice dans ces domaines !"

    "Dis-moi, ma chérie, en parlant avec toi, je viens d'avoir une idée, qui pourrait te convenir, je peux te la proposer ?"

    "Lydia, pourquoi demander mon accord avant de me parler ? C'est le monde à l'envers, tu ne crois pas ? !"

    "Oui, en effet, mais je n'ai pas fait attention, donc, je te livre mon idée ! Tu dois être bien équipée en web-cam ?"

    "Oui, en prévision des sessions vidéo j'en ai acheté une, très simple à manier, mais très perfectionnée, j'espère qu'elle vaut le prix qu'elle m'a coûtée, mais à ce jour, je ne l'ai pas encore essayée !"

    "Bien, il est primordial que les images que tu donnes de toi soient techniquement les plus belles possibles, mais mon idée est la suivante : pourquoi ne pourrais-je pas t'aider durant une session vidéo, en te filmant : comme ça tu pourras te consacrer uniquement à ta session.

    Et, je rajoute, en plus, que je filme assez bien et je sais utiliser un zoom, un grand angle et couper un scène sans brutalité, qu'en penses-tu ?"

    Je réfléchis en silence, en réalisant que Lydia va donc me voir me soumettre en vidéo, mais que ça ne fera que répéter une session qu'elle a, elle même, dirigée, et, en plus le clip sera forcément meilleur qu'avec une simple caméra posée sur un support, car je ne me vois pas faire des zooms quand la session deviendra très chaude ! 

    Lydia reprend une tasse de café et me mime le remplissage de la mienne, je lui fais signe que non, elle boit sans interrompre ma réflexion.

    "Je crois, Lydia, que c'est une excellente idée, il faudra simplement veiller à ce que tu n'apparaisses pas sur le film, mais il est sur que tu vas savoir créer des images que je serais incapable de donner à mes voyeurs ! Et, en réfléchissant à ta proposition, j'ai même une autre idée : pourquoi ne pas essayer la caméra ce samedi : tu pourrais me suivre partout en me filmant lors de ma séance téléphonique, et nous pourrions faire 3 copies : 1 pour toi, 1 pour Isa et 1 pour Louis, s'il n'y a pas trop de bdsm !" 

    "Ho ! Bravo, cette idée me séduit tout à fait : je suis d'accord pour samedi, je vais faire en sorte d'être libre, mais, pour tester ta caméra, j'avais une autre suggestion plus rapide. Mais, avant, je dois te demander si elle est synchronisée avec ton téléviseur de salon ?"

    "Oui, Louis s'en est occupé et m'a expliqué le mode d'emploi : je sais que la connexion se fait en wifi se fait automatiquement en appuyant sur le canal dédié à la caméra que j'ai noté. Mais, pardonne-moi, je t'ai coupée la parole : quelle était ton idée un essai plus rapide ?" 

    "De préparer ta caméra, de la connecter sur ton téléviseur, de fumer 1 ou 2 cigarettes en attendant que je revienne de chez moi avec quelques jouets pour ton plaisir et d'essayer de t'amener à un mini tsunami !"

    Je souris et lui dis en la regardant droit dans les yeux : "Et tu penses que je vais accepter ?"

    "Deux passages de notre discussion me font penser que oui : tu m'as dit que tu étais toujours en demande, et que lorsque tu commençais une séance, tu devais atteindre l'orgasme, certes, nous ne sommes pas en séance mais depuis plus d'1 heure que nous parlons cul, je suis trempée et je peux m'imaginer dans quel état tu es ! Voilà mes raisons ma chérie !"

    J'allume une cigarette et me lève en faisant semblant de réfléchir intensément. Je tourne un peu dans le salon : Lydia me regarde avec une grande curiosité, elle m'a connue plus spontanée !

    Je me dirige vers elle, lui prend la main droite et l'invite à se lever.

    Son oreille étant à portée de ma bouche, je lui murmure de ma voix rauque qu'elle commence à connaître, et lui dis : "Et qu'attendais-tu pour me faire cette proposition ? J'en crevais d'envie ! Je t'attendrai en fumant 1 paquet de Royale s'il le faut ! Et en revenant dans mon salon, tu me verras à poil dans mon canapé à la télé, les cuisses ouvertes, les yeux baissés en signe de soumission et, te disant, si j'en ai le courage : "Madame, j'espère que vous avez pensé à mes bouts de mamelles de truie, dans votre cuisine je pensais que vous vous en occuperiez, mais vous n'avez pas du oser, tout comme me défoncer con et cul avec les godes adéquats ! Allez, faites vite Madame, si vous tardez trop, je risque de m'envoyer en l'air en regardant juste la trace de vos belles fesses dans mon canapé !"

    J'éclate de rire, saute dans l'entrée pour lui ouvrir la porte et cours dans le bureau de Louis pour prendre la caméra !

    J'entends sa voix me dire en s'éloignant : "Prépare toi bien ma salope adorée, tu vas savoir ce qu'une vraie Maîtresse exige de toi"

    # 21 – Les essais de la caméra ! 

    Je mets une chaise à 3 mètres de mon canapé et j'y cale la caméra que je mets en route. Après avoir lu mon mémo, je vais jusqu'au téléviseur pour appuyer sur le canal 32, et je reviens m'asseoir dans le canapé pour vérifier que l'image est droite et que je suis bien cadrée.

    Je souris à la caméra et dis à haute voix ; "Je suppose que vous avez envie de me découvrir à poil et bien offerte, Madame !" Je joins le geste à la parole : je dézippe mon short , et en me tortillant un peu je le fais glisser jusqu'à mes escarpins d'été, que j'ai enfilé pour ne plus être pieds nus, il est jeté à 2 mètres de moi et je passe une main amoureuse sur ma chatte dénudée et, bien sûr, déjà trempée !

    Puis c'est le tour de mon top que j'enlève par la tête et qui rejoint mon short par terre, pour leur bienvenue, je me titille les tétons et constate avec grand plaisir qu'ils en avaient envie et bandent de suite ! 

    Assise sur le rebord de mon canapé, j'ouvre très largement mes cuisses et allume une 2ème cigarette.

    A, environ, 6 mètres de moi, j'ai mon image totalement obscène sur l'écran de notre téléviseur et je souris intérieurement en me trouvant tout de même assez photogénique, pas du tout ravagée par les années et, en plus, très bandante. Je comprends mieux les réactions des hommes et des femmes qui veulent m'utiliser !

    Mais, bien sûr, cette opinion n'engage que moi !

    J'entends un bruit de talons hauts sur l'allée empierrée du jardin. Ca ne peut-être que ceux de Lydia qui est de retour !

    Un flot d'excitation me trempe la chatte, qui heureusement n'est pas posée sur le coussin du canapé, et mes bouts de seins se gonflent de sang !

    En arrivant dans le salon, elle pose un sac de sport sur une chaise et vient vers moi. Elle reste debout et me regarde dans les yeux.

    En me souriant elle me dit : "Ma salope est prête ?"

    "Oh, oui Madame, je suis toute à vous !"

    "Tu m'as réclamé plus de douleur, est-ce exact ?"

    "Oui, Madame, j'ai demandé plus de dureté de votre part !"

    "Et, cette fermeté concernait quelles parties de ton corps ? Et sois pute en me répondant !"

    "Bien Maîtresse chérie : j'aimerais que vous me fassiez hurler de douleur en vous occupant de mes bouts de mamelles de truie en chaleur, en me godant avec des défonceurs de mes orifices de pute de rue : ma connasse et mon trou à merde, merci d'avant Maîtresse adorée !"

    "Très bien, je vais essayer de te satisfaire : conduis moi à ton bureau, j'ai besoin d'un ordinateur. Prends le sac et ton téléphone, moi je m'occupe de la caméra"

    Je me lève, prends mon smart-phone, le sac de sport et passe devant.

    Elle prend la caméra et m'emboîte le pas.

    Nous entrons dans mon bureau qui est assez vaste.

    Avec ses stores à moitié ouverts et une lumière du jour encore vive, il semble que son éclairage soit tamisé et intimiste.

    Lydia me demande d'allumer mon ordinateur.

    Je m'exécute et ouvre ma session, car Louis y a aussi la sienne, et je me lève du fauteuil tournant pour lui laisser la place.

    Elle s'assied, entre sur le net, ouvre Google et tape une adresse que je ne connais pas.

    Debout derrière elle, je vois que c'est un sex-shop en ligne. 

    D'un ton sec elle me demande de noter sur une feuille de papier les données de ma carte Visa.

    "Vous m'autorisez à aller au salon, Madame ? Ma Visa est dans mon sac"

    "Tu as 1 minute pour faire l'aller-retour"

    Je cours et, malgré mes escarpins, je reviens dans les temps avec la carte dont je note les identifiants sur une feuille de papier que je lui donne. 

    Après une rotation du fauteuil vers moi, elle m'ordonne de rester debout à sa gauche, de poser le sac sur le bureau devant moi, de l'ouvrir et d'attendre.

    Je m'exécute et reste debout à ses côtés, le sac ouvert à portée.

    Elle me demande très poliment de croiser mes mains sur ma tête et en se reculant un peu, elle me gifle violemment les seins, par des allers et retours dans lesquels elle ne retient pas sa force. 

    Je me mords les lèvres pour ne pas gémir de douleur.

    Elle me voit et me cingle par un :

    "Il vaut mieux que tu te fasses mal aux lèvres connasse, car un gémissement te coûterait plus cher ! Et il faudrait payer ma putain !"

    Quand elle arrête, j'ose jeter un coup d’œil et je vois ses traces de coups sur mes nichons, j'ai brutalement envie de pleurer mais je me retiens.

    Elle me demande de me retourner et de lui présenter mes fesses, bien ouvertes par mes deux mains.

    Je m'exécute sans hésiter.

    Elle les tapote gentiment et me dit doucement :

    "Ma grande voisine si salope, je pense qu'après notre papotage 100% cul, ta préparation à la séance et ton attente, tu dois avoir envie de t'envoyer en l'air, et, en plus comme tu m'as avoué que plus tu jouissais, plus tu avais envie de jouir ! Mais contredis moi si j'ai tort !"

    "Non, Madame, tout ce que vous dites est vrai !"

    "Comme je te veux très demandeuse comme tu l'avoues toi même, tu vas t'avancer jusqu'à l'angle du bureau, poser ta chatte ouverte dessus et te masturber lentement en jouissant quand tu le voudras ! Mois je vais te filmer : le corps entier, un gros plan sur ta chatte élargie par le bois et, surtout, le balancement obscène de tes nichons pendant ta branlette de chienne en chaleur, je suis sure que tu aimes te frotter pour atteindre l'orgasme !"

    Un peu comme ça > 

     

    Fabienne 03

     

    Mais la chatte nue !

    Un peu comme ça >

    Vidéo de 5 minutes : frottement en gros plan d'une chatte nue sur un angle de table lien >

    https://sexe.hormonemale.com/video/2016-masturbation-sur-le-coin-de-la-table

    Ou comme ça >

     

    Vidéo d'1 minute : jeune femme nue se faisant jouir en frottant sa chatte sur le rebord de son lavabo > lien

    https://www.sexe-amateur.com/jeune-frotte-sa-chatte-sur-le-lavabo/

    Pas comme ça ! Mais comment vous cacher ce clip superbe ! >

    Vidéo de 13 minutes : jeune française se faisant jouir avec un enthousiasme extraordinaire de vérité, sur le coin de son canapé >

    https://www.sexe-amateur.com/son-amant-prefere-c-est-le-rebord-du-canape/

    "Et, comme j'ai aussi envie de t'humilier le plus possible, tu vas te glisser l'index de la main droite dans l'anus et te doigter jusqu'à ta jouissance, ton doigt s'agitant dans ton trou à merde fera aussi partie de mes gros plans !"

    Curieusement, quand je suis en place, chatte ouverte par le coin du bureau, nichons pendouillants et doigt dans le cul, je rougis de honte, sans savoir pourquoi !

    Lydia ne pouvait pas rater cette incohérence !

    "Bon, ma jolie salope, au lieu de rougir comme une vierge que tu n'es vraiment plus, je te conseille de te frotter au bureau, les spectateurs de ce clip te jugeront sur ta capacité à prendre une position comme celle là pour te faire jouir !"

    Lydia qui me filmait pour le moment en caméra posée, la prend et me filme en pied en passant de l'autre côté du bureau, qui n'est pas contre un mur. 

    Elle fixe en gros plan mon con cognant de plus en plus fort l'angle du bureau, et commençant à émettre des bruits inconvenants du fait de mon humidité plus que torrentielle.

    Elle s'attarde sur mon doigt qui s'active frénétiquement dans mon anus et se régale véritablement de cadrer mes nichons ballottants dans tous les sens en me demandant, de les faire bouger encore plus pour mieux l'exciter et m'exciter, ce en quoi elle a entièrement raison !

    Entre la caméra qui grave toutes les étapes de ma branlette honteuse, mon doigt dans le cul, mes seins douloureux de ballotter dans tous les sens, mes tétons bandés jusqu'à être douloureux et bien sur le frottement de mon clito gonflé comme un ballon sur le bois du bureau, tout est réuni pour...

    ... que mon corps se torde dans tous les sens, frissonne des pieds à la tête, et m'oblige à hurler mon plaisir qui semble durer de longues minutes, alors qu'en réalité, il faudrait le mesurer en secondes ! Et, c'est épuisée que je tombe à genoux avec la chatte en feu et mon doigt enculeur tendu bêtement vers le haut comme s'il était contaminé !

    Lydia me sourit et me dit :

    "Tourne toi vers moi, j'aime t'avoir à mes genoux, bien soumise et bien trempée ! A présent, le jeu est très simple : j'ai rapporté de chez moi des jouets que j'utilise souvent avec mes soumises, car tu sais bien, putain, que tu n'as pas l'exclusivité de mes seins ! Et pour m'éviter des allers et retours de chez moi à chez toi, je veux que tu aies la même panoplie chez toi. Tu vas sortir ces jouets, 1 par 1 du sac, les identifier et me dire où ils peuvent aller sur ou dans toi. Chaque faute te vaudra une punition ou une humiliation qui peut se dérouler où et quand je le voudrai, redresse toi, penche toi sur le sac et sors le 1er objet que ta main droite a touché"

    Je me redresse et me mets en position en acquiesçant, et je plonge ma main pour attraper le 1er objet : je le pose sur le bureau, entre le sac et le clavier et j'affirme à Lydia que :

    "C'est un rouleau de scotch large qui est destiné à faire tenir un vibromasseur externe sur le haut d'une de mes cuisses pour que sa tête fasse vibrer le haut de mon sexe, l'urètre et le clitoris, Madame"

    J'ai un peu de chance car j'ai vu quelques photos de cette manière de fixer un vibro pour faire jouir en continu une soumise il y a peu de temps !

    Lydia approuve et m'ordonne de sortir un 2ème objet.

    Ma main remonte : "C'est un collier de chien, Madame, il devrait ceinturer mon cou, pour signaler à tous ceux qui me voient que je suis une soumise, il lui manque un médaillon qui pendrait à un de ses anneaux pour annoncer qui est ma propriétaire, Madame"

    "Très bien, je constate que tu n'es pas trop conne en bdsm, et que ton amie Isa a fait du bon travail avec toi, voilà le médaillon de cuir à garnir et à accrocher à ton collier d'esclave : à toi de le préparer au mieux !" 

    Je me mets à sa droite, ouvre 2 tiroirs d'un petit meuble externe dans lequel je range tout mon matériel à dessins. Je prends un morceau de bristol brillant et épais, de couleur jaune-clair et des stylos à encre de chine. Je mesure la dimension du médaillon et je le dessine sur mon carton. Puis j'utilise un crayon à papier pour écrire Esclave de Lydia.

    Je m'y reprends à deux fois car je n'avais pas vu que Esclave et de Lydia prenaient à peu près la même surface. Je repasse mes 3 mots à l'encre de chine avec un stylo assez épais, j'attends un peu, je sèche avec un bout de buvard, j'introduis le cartouche dans le médaillon de cuir et je le clipse sur l'anneau qui sera devant mon collier.

    Lydia semble contente, elle a tout soigneusement filmé et s'est attardée en zoomant sur le médaillon et son message non équivoque !

    Ma main sort 2 petites pinces métalliques attachées ensemble.

    Chacune est prolongée par 1 chaînette lestée de 2 clochettes.

    Je les détache et annonce à Lydia : "Ce sont des pinces à tétons qui vont tinter à chacun de mes mouvements pour que vous sachiez en permanence où je suis et ce que je fais, Madame"

    "C'est exact, mais je veux que tu te fasses bien bander les tétons avant de te les poser, ce ne sera que plus douloureux et excitant pour toi et moi !"

    Ma main sort un objet lourd du sac.

    "C'est un vibromasseur externe sans fil, Madame, je pense que c'est lui qui doit être fixé sur une de mes cuisses pour que sa tête soit en contact avec le haut de mon sexe et, plus particulièrement mon clitoris, Madame"

    Cette énumération me fatique, me gonfle, comme diraient mes enfants, et je ne suis plus très attentive pour les derniers objets.

    Je sais simplement que je fais un sans faute sur leurs destinations.

    Après le vibromasseur dernière génération, je sors une autre nouveauté : un gode électrique qui défonce le vagin, en rapetissant et en grandissant pour défoncer le con de la soumise, à une vitesse d'aller et retour décidée par une télécommande ! Très bel engin, valable pour le con et le cul.

    Puis je pose sur le bureau des semelles intérieures de chaussures avec des picots durs qui permettent de torturer les plantes de pieds et les talons d'une soumise. Je souris en moi-même pour avoir pensé à enfiler des escarpins avec des talons de 8 centimètres.

    C'est ensuite au 2ème défonceur de sortir, je dis la même chose à Lydia et suggère qu'il sera bien dans mon trou à merde, ce qu'elle approuve totalement !

    Je les redoutais mais elles sont bien sur la liste de Lydia.

    Je frissonne de malaise en décrivant : "2 pinces larges en métal à accrocher à chaque grande lèvre, lestée chacune par un plomb, accroché à une chaînette" Ce qui est beaucoup trop dur pour moi.

    Et pour finir, je me retrouve avec les deux poignets menottés devant.

    J'avais devant ou derrière, comme réponse, j'ai choisi devant, je ne sais pas pourquoi et Lydia n'a rien dit, alors que derrière m'aurait valu une punition, peut être suis-je dans un jour de chance !

    # 22 – Je teste les produits !

    "Très bien, mon paillasson humain ! Tu connais à présent les jouets que j'aime le plus, et dans l'ordre où tu les a tirés, tu vas me montrer comment ils te vont"

    Elle se retourne avec le fauteuil, tourne le dos à l'ordinateur et me commande d'aller me mettre 2 mètres devant elle.

    Comme j'ai à ma gauche un petit canapé d'appoint elle me conseille de ranger mes jouets par ordre d'apparition, et me dicte : le scotch, le collier, les pinces à tétons, le vibro, le 1er gode, les semelles, le 2ème gode, les pinces à sexe et les menottes.

    "Passe de suite au collier, nous attendrons le vibro pour le scotch !"

    Je mets le collier autour de mon cou et serre aussi fort que je peux sans m'étrangler, je fais attention que le médaillon soit bien devant au centre et comme Lydia me fait signe, je m'approche d'elle pour qu'elle approuve la tension du collier : je ne pouvais pas faire plus !

    Puis c'est au tour des pinces à tétons.

    Je me rappelle de sa recommandation : je saisis donc chaque téton entre pouces et index et en les pinçant, en les griffant de mes ongles courts et en les tordant dans tous les sens, je les fait bander à exploser : je les montre à Lydia et lui dis : "Madame, je peux mettre mes pinces maintenant ?"

    Elle me répond de continuer à me tripoter en comptant jusqu'à 60, et environ 1 minute après, je prends une pince à clochettes dans une main et mon téton dans l'autre et je la pose !

    La douleur est si forte que j'ai du mal à me retenir de crier, des larmes me montent aux yeux alors que je me courbe en avant, mais je me redresse très vite pour ne pas être punie et en profite pour terminer de pincer l'autre téton, ce qui provoque la même réaction, des larmes coulent sur mes joues, mais je n'ai émis aucun son qu'elle puisse me reprocher !

    Ces pinces sont vraiment des diablesses : si petites et si cruelles !

    Je ne m'y attendais pas du tout !

    En plus les clochettes dédoublées sont très sensibles et à chaque petit mouvement de corps, elles tintent d'un beau son cristallin !

    Quand je prends le vibro externe, Lydia m'ordonne de la rejoindre avec le scotch et le vibro : c'est elle qui va me le fixer. Les clochettes tintinnabulent et l'une de mes jambes cogne sont genou.

    Je sens des étincelles entre nous : électricité statique vous dirait mon fils !

    Elle rajoute : "Je veux être assurée qu'il va bien te tarauder le clito et je t'interdis de changer de vitesse sans mon accord tu me comprends espèce de chienne bâtarde en chaleur ?"

    "Oui Madame, j'ai bien compris"

    Elle m'ordonne d'écarter mes cuisses.

    Quand je suis prête, elle se penche, coupe 50 bons centimètres de scotch qu'elle colle sur le bureau en le laissant pendre au sol. Elle prend le vibro, le positionne sur le haut de ma cuisse gauche et m'ordonne d'appuyer de mes deux mains sur le moteur et sur la tête pour bien le coller sur ma peau sans qu'il ne bouge.

    Elle s'assure que je n'ai pas bougé, et, ceinture ma cuisse et le vibro avec sa bande de 50 centimètres qu'elle use très rapidement.

    Puis elle consolide la fixation par une bande beaucoup plus longue qu'elle répartit sur tout le corps du vibro pour ne pas qu'il bouge.

    Quand elle a terminé, elle me repousse, m'oblige à la regarder droit dans les yeux et appuie sur la télécommande pour le mettre sur sa plus grande vitesse, et, là, je ne peux éviter un gémissement de douleur, car la tête vibrante est juste sur mon clitoris.

    Heureusement, Lydia ne m'en veut pas de cette faiblesse qui lui annonce en fait une excellente nouvelle pour elle : le vibro est très bien placé ! 

    Cette caresse est diabolique.

    Je sais que je ne peux pas échapper à l'orgasme, mon clitoris est la zone la plus érogène de mon corps. Je peux m'envoyer en l'air uniquement en le regardant, alors, quand il vibre au rythme d'un vibro à pleine vitesse !

    Je suis obligée de jouir et certainement d'enchaîner les jouissances.

    Lydia ne doit pas le savoir, mais elle va vite l'apprendre. 

    Elle a abandonné le scotch restant et caméra au point elle me filme sous tous les angles s'attardant sur mon visage qui prouve bien l'effet que ce vibro a sur mon désir.

    Comme j'avais pris le risque d'annoncer que le 1er défonceur était pour mon vagin, je me recule un peu alors que le bruit du vibro emplit la pièce, et, bien droite, je me penche un peu et d'un seul coup de main, je le glisse intégralement dans mon con, jusqu'au col de l'utérus.

    Je serre les cuisses pour ne pas le perdre, mais Lydia me devance en enclenchant la vitesse maximum sur une autre télécommande et il me pilonne le con comme un homme ne sait pas et ne peut pas faire !

    Ce plaisir se rajoute au vibro et me mène droit vers un orgasme que je ne peux absolument pas reporter, je fléchis sur mes jambes tant la jouissance est forte et mon corps frissonnant se retrouve à genoux, j'hurle mon plaisir de dingue en me maintenant le défonceur en moi de ma main gauche et en faisant en sorte que mes clochettes ne bougent pas trop de ma main droite, mais c'est un peu peine perdue !.

    Lydia, grande princesse me laisse respirer 2 minutes entières ! Avant de m'ordonner de m'asseoir par terre cuisses largement ouverte, de récupérer les semelles internes et d'enlever mes escarpins, ce que je fais de suite.

    Elle m'ordonne de nettoyer et de lécher entièrement mes deux chaussures en m'attardant sur le cuir, les brides en cuir et, bien sur, les semelles avec lesquelles j'ai un peu marché dehors.

    Et, quand elle le voudra, je devrai glisser les semelles dans les chaussures, les remettre et marcher dans la pièce et dans le couloir jusqu'à ce qu'elle se lasse !

    Je suis écœurée par le mauvais goût que j'ai dans la bouche et j'ai très mal aux pieds après avoir marché presque 15 minutes dans le bureau et dans le couloir, poursuivie par Lydia qui filmait toutes mes défaillances et le balancement obscène de mes nichons de vache laitière !

    Nous revenons à nos places dans le bureau, mais elle me fait l'honneur de se lever, pèse fortement sur ma tête pour me mettre en levrette debout, elle écarte mes pieds de ses chaussures et se saisit du 2ème défonceur, qu'elle enfonce directement dans mon cul sans une trace de vaseline et d'un seul coup sec et puissant !

    Je ne sais pas comment je me suis retenue pour ne pas crier, mais j'étais vraiment au bord d'un hurlement de bête ! 

    Pistonnée par les 2 défonceurs dans mes orifices très sensibles et le clito taraudé par la tête du vibro, je ne sais plus vraiment où j'habite.

    Lydia s'en rend vite compte et me dit :

    "Repose toi un peu ma belle vicieuse, couche toi sur le canapé et décontracte-toi, je vais réduire toutes les vitesses de tes engins !" Je suis surprise, mais je suis à peine couchée qu'elle utilise les 3 télécommandes pour ralentir le vibro et les 2 godes.

    Je me sens de suite beaucoup mieux.

    "Je t'ai un peu soulagée, mais avant de te reposer, tu devrais finir l'essayage de mes jouets, il ne t'en reste que 2"

    Je l'approuve, ce serait bête d'échouer si près du but.

    Je me relève et vais récupérer les 2 pinces à grandes lèvres.

    Je me mets face à elle, écarte un peu les jambes, penche ma tête vers mon sexe et je prends ma grande lèvre droite dans ma main gauche et de ma main droite, je pose la pince en prenant beaucoup de peau, ça me fait très mal, mais je me retiens de crier comme je l'ai fait jusqu'à présent.

    Je fais pareil de l'autre côté, et Lydia semble heureuse de me voir ainsi appareillée. Elle me demande de marcher dans le bureau et dans le couloir et me suit comme une paparazzi de Gala !

    Peu à peu et malgré la douleur des 4 pinces, je remouille abondamment et redécolle vers le plaisir. Lydia me demande de finir en me menottant les mains sur le ventre, je le fais de suite, en sachant que c'est une punition qui n'est pas douloureuse !

    Puis elle me laisse me reposer couchée sur le canapé quelques longues minutes sans bouger. Hum ! Que ça fait du bien !

    Je l'entends pianoter sur le clavier, je ne sais pas ce qu'elle mijote et je m'en fous un peu, yeux fermés, quasiment prête pour une micro sieste !

    Elle se lève, vient me chercher sur mon canapé, me baise gentiment la bouche. En me tirant doucement par les menottes, elle me ramène au bureau et me dit de m'asseoir dans le fauteuil, je m'assieds, j'ai un peu de mal à mettre mon cul à plat, mais j'arrive à me caler.

    Elle me conseille d'ouvrir la page du site du sex-shop. Je ne vois qu'une icone réduite sur ma barre de tâches et je l'ouvre.

    Lydia est de l'autre côté du bureau et me filme en plan large, quand la fenêtre s'ouvre, je me retrouve avec un couple inconnu d'une quarantaine d'années et dans un coin en bas à droite, mon image : souriante, à poil, avec les pinces à clochettes pendant de mes tétons.

    Voilà ce qu'elle a donc fait pendant mon repos ! Quelle fine mouche !

    Le voix de l'homme résonne dans les hauts parleurs pour nous dire "Hum, sacrée salope, tu nous avais prévenus, mais c'est un beau gâteau que nous allons déguster ma femme et moi ! Salut pouffiasse, tu es bandante et il paraît, qu'en plus, tu obéis ?"

    Lydia me fait signe de dire oui et je réponds un peu connement : "Oui, Monsieur, je suis très obéissante !"

    "Parfait dis à ta copine de faire un gros plan de ton médaillon, pour savoir à qui tu appartiens !" Lydia fait un gros plan et l'homme demande : "Qui est cette Lydia ?" "C'est la femme qui me filme, ma Maîtresse, Monsieur"

    "Ok, on rentre dans ton sex-shop, on va voir tout ce que tu as sur toi ou dans toi, donne moi l'adresse !" Lydia me dit à l'oreille : "Regarde dans icônes cachées, tu as le site du sex shop, tu vas en profiter pour faire tes achats : tu es inscrite sur le site, ton pseudo est Nina, et j'ai rentré ton mode de paiement, en même temps que je recrutais ce couple vicieux qui t'ira très bien. Tu auras tes premiers accessoires de soumise dans 48 heures, il te restera à trouver une planque que Louis ne connait pas !"

    Elle filme le mur pour me faire rentrer dans le site et mettre mon Dell en écrans séparés.

    "Excuse toi pour ce blanc et dis lui de se connecter en écrans séparés"

    # 23 – Et je les achète, devant Lydia !

    Quelques minutes plus tard, j'ai 3 écrans : 1 moitié de mon moniteur pour le couple de voyeurs, l'autre moitié pour le site du sex shop et 1 petite fenêtre où je peux voir l'image filmée que Lydia donne de moi.

    Lydia me murmure d'annoncer le produit qu'ils doivent trouver en photo de catalogue, elle le montrera par la caméra si je l'ai sur moi ou dans moi, et, en plus je dois le commander !

    J'annonce au micro : "Bien, si vous êtes tous les deux prêts, nous cherchons en premier un rouleau de scotch large très adhésif, ma Maîtresse vous le filme et je le cherche sur le site" Je vois sur ma fenêtre de contrôle le rouleau entamé en gros plan.

    Je me sers de la fenêtre recherche et j'ai un choix de 4 produits, je clique de suite sur celui que je reconnais et sur ajouter à mon panier il me confirme que ça coûte 2€ !

    Je prends la décision de leur dire : "Vous verrez le scotch sur moi avec un accessoire, car il sert à le tenir fixé sur mon corps"

    Je donne sa référence et ils me confirment qu'ils l'ont.

    "Bien maintenant je passe au collier de chien que vous pouvez voir sur moi, il est en cuir, avec 2 anneaux, dont un pour le médaillon qui vous a permis de savoir que j'étais l'esclave de Lydia,

    un peu comme ça > 

    Fabienne 03

     

    servez vous du moteur de recherche en haut à gauche pour accéder directement à la famille voulue"

    Je leur donne sa référence et ajoute l'article à mon panier pour 45€.

    "Maintenant nous devons chercher les pinces à tétons avec clochettes, cherchez plutôt dans pinces à seins, les voici sur moi en gros plan"

    un peu comme ça > 

    Fabienne 03

    Lydia me filme en très gros plan et me demande de bouger mes seins pour les faire tinter.

    Mais l'homme demande fermement : "Vous ne pouvez pas aller dans un couloir toutes les deux ? Et toi, la pouff, bouge bien ton corps et fait voltiger tes clochettes : ma femme a sa main sur ma pine !"

    Sans répondre nous nous levons et passons 10 bonnes minutes à circuler dans la maison, Lydia ne filmant que ma poitrine mais en revenant, nous sommes contentes du plaisir du couple ! La femme a joui et lui a une énorme pine qu'il est fier de nous montrer !

    Je les mets dans mon panier pour 25€.

    "Nous passons au vibro externe de dernière génération, 2 fois plus léger que ceux que vous voyez dans des films de cul, sans fil avec 3 vitesses télécommandées, je le porte scotché sur ma cuisse gauche : le voilà !"

    un peu comme ça >

    Fabienne 03

    Lydia fait une série de très gros plans et approche son micro incorporé pour qu'ils entendent bien le bruit de taraudage du vibro.

    "Il est directement posé sur mon clitoris et m'a déjà fait jouir une fois"

    Ils demandent à le revoir en me filmant tout le ventre et en le positionnant bien sur moi, pendant que je valide l'achat pour 80€.

    "Nous avons l'article suivant en deux exemplaires : il s'agit d'un gode défonceur destiné au cul et au con, quand il est introduit, il fait environ 30 centimètre, pour un diamètre raisonnable, puis quand on déclenche son cycle, il diminue de 25 centimètres sans bouger de diamètre, et quand il reprend vie : il remonte à 30 centimètres, c'est pour cela qu'on l'appelle le défonceur ! La durée des repos, la vitesse du réveil et de la diminution et la fréquence du cycle sont entièrement régis par un smart-phone"

    un peu comme ça >

    Fabienne 03

    "Quel engin extraordinaire, nous allons de suite en commander un ! Pouvez-vous nous en montrer un en service en dehors des trous de cette pute ?"

    "Accepte, lève toi, je vais te filmer en train d'enlever celui de ton con et tu lui feras faire plusieurs cycles pour qu'ils voient bien le fonctionnement avant de te niquer de nouveau avec devant la caméra en gros plan, allez fonce !"

    Comme le veut Lydia, je me lève en les prévenant : "Je vais enlever celui que j'ai dans le con, car j'en ai un autre dans le cul, vous verrez comment il se présente, surtout que je vais le retirer quand il sera au maximum de sa dimension, puis je le laisserai effectuer plusieurs cycles à des vitesses différentes et vous verrez comment il fonctionne"

    Lydia s'assied par terre, je monte sur le canapé et attend que le défonceur soit au top de sa taille pour le prendre par la poignée et le retirer lentement de ma connasse, filmée en très gros plan par Lydia qui me dit qu'elle voit même les traces de mon jus de femelle sur le gode.

    Un peu rouge de honte, je descends du canapé et m'assieds pour présenter le gode bien droit devant moi alors que Lydia prend son i-phone et s'occupe des réglages, pour qu'ils varient au maximum en une dizaine de minutes !

    L'homme commente l'image par des : "Oooooh quel engin ! Ma femme le voit la tête de travers car elle est en train de me pomper la pine et elle se régale. Moi je la défonce avec un élargisseur de con ! Elle rugit de plaisir comme une lionne en train de bouffer les couilles de son dompteur ! Je crois que je ne tiendrai pas longtemps, je vais me vider dans sa gorge, elle adore ça comme toutes les putes !"

    "Régalez-vous mes chéris, c'est ma 1ère session vidéo, je suis contente de vous voir jouir comme ça !"

    "Nous sommes contents d'être invités à ton inauguration ! Mais nous ne voulons pas être les seuls à nous envoyer en l'air, il faut que tu nous aides la pouff !"

    "Et que dois-je faire ?"

    "Tout simple ! Tu nous a dit que tu avais 2 défonceurs en toi, tu viens d'en sortir 1 que tu nous montres, et c'est gentil, mais je veux que tu gardes l'autre dans le cul et que ta Maîtresse t'aide à t'enculer avec les deux et qu'elle mette une vitesse assez lente pour qu'ils te pistonnent sans te faire mal et te faire jouir en un feu d'artifice fabuleux ! Si tu es très salope et très vicieuse, tu sais que tu vas jouir à t'exploser la tête contre les murs !"

    "Bonjour, c'est Lydia sa Maîtresse : votre idée est excellente, on la met en pratique dès que vous le dites ! Je vous rassure c'est la plus salope et la plus vicieuse de la ville !"

    "Ah ! Ah ! Ah ! Bravo ! Je termine de remplir la gorge de ma salope de femme et on s'encule ton esclave jusqu'aux intestins !"

    # 24 – 1 gode ça va ! 2 ? Attention les dégâts !

    "La pute ? Continue à montrer ton défonceur en action, c'est inouï comme il me fait bander ! Vous nous voyez bien sur l'écran, vous voyez comme ma femme me pipe comme une professionnelle ?"

    "Oui, sans problème, elle est super excitante avec ta grosse pine dans sa bouche, tu devrais la mettre à poil, elle nous ferait mouiller encore plus nos connasses de pouff !"

    "Hummmm bonne idée, je vais la déshabiller de suite ! Mais de ton côté, Lydia met la moule de ta pute sous un projecteur et fais moi un très gros plan que je vois son jus de salope gicler de son con gorgé de liquide et de sucs de femelle en chaleur !"

    Lydia approuve l'idée, elle me demande de me coucher sur le canapé, d'ouvrir grand mes cuisses, pendant ce temps elle tourne un halogène qu'elle bascule à 40 centimètres de mon con et en m'ordonnant de tremper deux doigts dans ma moule et de me toucher le clito en même temps que le vibro le fait vibrer, elle exige que je fasse du bruit avec mes doigts dans le torrent qu'est devenue ma connasse !

    Très vite mes doigts font des flocs, flocs, flocs dans mon con, et l'image que je ne peux plus voir doit être très explicite, si j'en crois la réaction du voyeur : "Ouuuuuuuuuuuaaaaaaaaaahhhhhhhh !!!!!!!! Elle est trop bonne ta pute, quels bruits, pffffffffffffffffffffffffffffffffffffff je gicle comme un gamin !!!!!!!!

    Ma femme ne peut même pas tout avaler tellement je lui en donne !!!!!!!!!!!!!!!! Allez bois salope ! Avale tout ! N'en perds pas une goutte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"

     

    "Eh bien ! Tu avais des réserves ! Quelle jouissance !!!! J'espère que ma vache laitière va s'exploser comme ça avec les 2 godes dans le cul !"

    "Tu peux y aller, essaye de faire ça devant la cam je ne voudrais rien rater !!!"

    Lydia bloque la caméra sur une chaise, ajuste l'image et me fait prendre une position : de profil, bras croisés et menottés sur le sol, tête posée sur les bras, là genoux, le cul très levé et les cuisses largement ouvertes, elle demande à notre voyeur si la position est bonne !"

    "Oui ça me parait super, mais en fait dès qu'elle aura les 2 godes dans son trou à merde, tu passeras sur les télécommandes et tu récupéreras ta liberté, tu pourras la filmer comme tu veux ! Je ne veux pas rater son orgasme du cul ! Ma femme en a de temps en temps quand elle n'en peut plus, et c'est toujours un grand moment !"

    "Oui c'est rare qu'une femme jouisse du cul, mais ma pute jouit de partout, même des bouts de nichons ! Allez je la mets en position et je prépare l'autre défonceur !"

    Je me mets comme décrit au voyeur, un peu apeurée, car je crains que les 2 godes ne rentrent pas facilement, bien que leurs diamètres soient très raisonnables !

    Elle me demande si j'ai de la vaseline.

    "Oui, Madame, dans l'armoire de pharmacie au dessus du lavabo de ma salle de bains : en sortant du bureau, 2ème porte à droite"

    "Tu me prends pour qui ? Ton coursier ? Quand je le voudrai, pour le temps que je voudrai et où je le voudrai : tu me dois une punition ! Tu te lèves et tu vas chercher ta vaseline de merde et tu reviens. Je veux entendre tes clochettes tinter tout le temps, tu as compris imbécile mongolienne ?"

    "Je vous demande pardon, Madame, j'y vais !"

    Je fais attention de faire tinter mes clochettes sans temps mort et reviens en lui donnant un tube de vaseline tout neuf.

    "Tu es si souvent mouillée que ton homme n'a pas besoin de vaseline ?"

    "Oui, Madame c'est un peu ça !"

    Elle me remet en position, vérifie une fois de plus l'image captée par la caméra, et s'agenouille derrière mon cul.

    J'entends un frôlement de kleenex, je suppose qu'elle a pris ma boîte sur le bureau pour ne pas se salir les mains.

    Sans vérifier la longueur du gode, elle prend la poignée dans sa main droite protégée et le sort lentement de mon cul.

    Je suis soulagée, mais je me demande pourquoi elle m'en a libéré.

    En fait, je vais très vite comprendre !

    "Je vais te commenter ce que je fais au fur et à mesure, je veux bien faire plaisir à un pervers, mais je n'ai pas du tout envie de te blesser, je pense donc qu'en enfonçant côte à côte les 2 godes bien vaselinés en les limitant à 15 centimètres de longueur, ils vont facilement entrer en toi, ensuite, il faudra injecter beaucoup de vaseline dans ton trou à merde et les faire croître centimètre par centimètre. A la moindre douleur interne, tu dois crier un énorme stop pour que j'arrête tout : mais joue le jeu, si tu n'as pas mal laisse toi enculer comme ça, je suis sure que tu vas me sortir un superbe tsunami qui restera toute ta vie dans ta mémoire, et dans la mienne ! Compris ma chérie si vicieuse !"

    "Oui, Madame, comptez sur moi, je ne profiterai pas de la situation, je suis suffisamment chaudasse pour espérer un tsunami qui me fasse m'évanouir !

    Il faut savoir souffrir pour bien jouir est ma nouvelle devise !"

    Elle rit, prévient nos voyeurs qu'elle commence.

    Elle récupère le 2ème gode et les règle tous les 2 sur 15 centimètres, le premier augmente légèrement et le 2ème diminue de moitié.

    Elle les prend un par un par leur poignée et les badigeonne de vaseline du gland à la base, je peux voir ses gestes en tournant un peu la tête, elle ne les enduit pas entièrement mais je comprends parfaitement pourquoi !

    Quand elle est contente de leur lubrification, elle me demande de bien lui offrir mon cul et d'écarter mes fesses de mes 2 mains pour l'aider.

    Elle met les godes gland contre gland et les rapprochent de mon anus, bien élargi par le gode qui m'a enculée un bon moment et par mes mains, la vaseline est presque fraîche quand les glands touchent mon anus, elle le frotte en tournant pour bien le lubrifier, mais je sens qu'en même temps elle force un peu pour les faire pénétrer de quelques centimètres, il y a tellement de lubrifiant que je suis sincère en lui disant :

    "Madame, pour vous dire la vérité, je ne sais pas combien de doubles centimètres vous avez entré, mais je ne sens rien tellement la vaseline est abondante et puissante !"

    "Bravo et merci ma chérie, allez décontracte toi bien, et écarte encore plus tes fesses avec tes mains, il vaut mieux que tu aies mal aux mains qu'aux intestins !"

    "L'homme dit : je les vois très bien entrer petit à petit, c'est une bonne idée de l'enculer avec des godes raccourcis, bien que le diamètre soit important, mais ça a l'air de marcher ! Ma femme est à poil et je lui branle la chatte, elle gémit comme un chaton en réclamant ma pince dans son cul ! Ah les femmes !"

    Nous rions toutes les 2, l’ambiance est décontractée et pour le moment je n'ai absolument pas mal.

    "J'ai une bonne nouvelle à t'annoncer mon paillasson humain ! Tu veux l'entendre ?"

    "C'est vous qui décidez, Madame !"

    "Bien, tu n'as pas oublié qu'avant d'être une enculée tu es une esclave : eh bien je dois te dire que dans quelques secondes, tu auras 2 fois 15 centimètres de défonceurs dans ton trou à merde !"

    "Oups, c'est réussi ! Je n'y croyais pas ! Merci, Madame d'autant me respecter !"

    "Ne pas te blesser, c'est préserver notre avenir : je ne veux casser ni mon jouet, ni notre amitié chère pute de gare ! Voilà, je vais t'abandonner, je t'ai mis dans le cul les deux défonceurs au maximum de ce que je pouvais manuellement, maintenant c'est mon téléphone qui va jouer avec leur longueur et avec ton futur tsunami !"

    # 25 – La préparation d'un feu d'artifice !

    Elle se relève et me filme sous de nouveaux angles qui enchantent nos voyeurs. Elle me dit que notre voyeuse est agréable à voir et qu'elle a de très beaux nichons auxquels il ne manque que des pinces à clochettes !

    Son mari rigole ! "J'en ai commandé une paire ! C'est trop bandant !"

    "Oui j'adore entendre ce bruit quand je suis avec une esclave ! Pour le moment ma pute digère bien les 2 godes, je vais les programmer sur un allongement de 1 centimètre par minute, elle en a 15 dans le cul, il lui manque donc 15 minutes pour une double sodomie super profonde, et après 5 minutes de repos, je mettrai les 2 godes en route on va démarrer à 1 aller retour toutes les 2 minutes pendant 10 minutes, puis on passera à 1 aller retour toutes les minutes pendant 10 minutes, et on le finira avec 2 allers retours par minute jusqu'à ce qu'elle jouisse du cul "

    "Quand tu dis aller retour c'est quoi ?"

    "Un aller retour équivaut à une minimisation et un allongement"

    "Ah ok, merci, Lydia"

    Elle vient parler avec moi : "Tu as entendu ma chérie, ça te va ?"

    "Oui, Madame, je suis d'accord et je pense qu'avec toutes ces précautions je ne vais risque aucune blessure, et aucun obstacle ne me sépare d'un tsunami inoubliable que je vous devrais à 100% chère Maîtresse adorée et bientôt adulée !"

    "Ne me parle pas comme ça pute de forêt ! J'ai toujours l'impression que derrière ces mots ronflants tu me balances de l'ironie !"

    "Oups, désolée de vouloir vous respecter, Madame !"

    Nous rions toutes les 2 en tombant d'accord sur le fait que ce n'est pas le moment de nous mordre le nez, et Lydia m'abandonne pour régler les paramètres de mon final d'enculée !

    "Dis moi ma pute, je viens de régler la pénétration en deux fois 30 centimètres sur 1 centimètre par minute, nous avons donc 15 minutes d'attente, peux tu te lever pour finir nos achats et nos démonstrations avec nos amis connectés ?"

    "Pas de problème, Madame, je peux très bien me lever, mais je ne peux pas m'asseoir, mais en me penchant, je peux accéder au clavier sans problème !"

    Je me lève, rejoins le bureau en marchant un peu comme un canard et regarde où j'en suis.

    Lydia m'aide : "Il te reste les semelles à picots, le 2ème défonceur est fait, ensuite tu as les 2 derniers, les pinces à grandes lèvres et les menottes"

    "Bien, je reprends notre liste chers amis, c'est vrai que Madame à poil est excitante, j'ai très envie de lui bouffer la chatte et de lui sucer les tétons jusqu'à ce qu'elle ait très mal !"

    "Donc, nous allons chercher un article peu connu : une paire de semelles intérieures à picots de latex durs, comme vous allez le voir sur l'image de la caméra, le temps que j’ôte un escarpin, cette semelle recouvre l'intérieur de la semelle de la chaussure de la soumise et comme vous le montre ma Maîtresse, les picots sont très durs et s'enfoncent dans la chair de la plante des pieds et essayent de percer la peau des talons sans pouvoir y parvenir. Garder ces chaussures une journée est une torture, il faut vous assurer que votre soumise est réellement masochiste avant de lui imposer ces semelles"

    Ils trouvent la référence et demandent à Lydia de leur montrer le résultat du travail des picots sur le dessous d'un de mes pieds : en gros plan et bien éclairé, ce n'est pas très joli, mais je sais que ces marques disparaissent en une journée. Je valide mon achat pour 30€

    Je m'assure que j'ai bien commandé un 2ème défonceur, et j'ai bien fait, car il n'est pas dans mon panier. Je valide donc un 2ème pour 150€, le site me répond que pour un 2ème article identique, j'ai 20€ de remise, je vais donc payer le 2ème 130€, c'est une bonne nouvelle !

    "Voilà notre avant dernier article, je vous le montre de suite"

    Je me tourne vers la caméra et Lydia filme les pinces qui descendent de mes grandes lèvres, elle me demande de me pencher et de les agiter pour bien monter l'étirement de mes grandes lèvres, elle me filme surtout de dos, entre mes cuisses, car de face, il y a le vibro qui cache un peu les pinces.

    un peu comme ça > 

    Fabienne 03

     

    Ils ont trouvé les pinces, je valide mon achat pour 28€.

    "Et le tout dernier : les classiques menottes de police, tapez directement ces 3 mots, vous tomberez dessus, Lydia les a voulues aux poignets et devant, c'est ce qu'elle vous montre avec sa caméra"

    un peu comme ça > 

    Fabienne 03

    Je valide mon achat pour 30€.

     "Moi j'ai fini mes achats, je vais valider ma carte Visa excusez mon silence !"

    "Dis moi putain, tu sens quelque chose dans ton cul ?"

    "Oui, Monsieur, je sens que les godes grandissent mais c'est très lent et Lydia m'a tellement vaseliné le cul que je ne sens pas grand chose, j'aurai plus de sensation quand les godes vont rapetisser et grandir de moins vite à très vite ! Je dois vous avouer que j'ai un peu peur de cette phase !"

    "Mais non tout se passera bien, dis moi salope pour combien en as-tu ?"

    "Ma Visa fait 520€, Monsieur"

    "Ok, merci"

    Je fais les formalités pour tout régler, Lydia a bien écrit mon nom, mon adresse, mon téléphone, mon e-mail, et les références de ma Visa ! Elle sait tout de moi ! L'autorisation de paiement tombe, j'ai la confirmation d'une livraison par colis anonyme en 48 heures et d'un débit carte au nom d'une SA très banale et non sexuée ! Voilà donc une bonne chose de faite et le début de ma panoplie de soumise !

    Il me reste donc à trouver une cachette, ce qui me gêne car je n'aime pas trop mentir à Louis, mais pour cette commande, je n'avais guère le choix !

    # 26 – Je ne risque pas de l'oublier !

    Lydia me glisse à l'oreille que le cycle petit-grand des godes commence.

    Elle me conseille, mais Lydia sait-elle donner un conseil ? de me mettre en levrette sur la petite table de salon qu'il y a devant le canapé.

    Curieusement, elle tient à justifier son choix en me disant qu'elle est juste à la bonne taille, et qu'ainsi exposée, elle pourra tourner autour de moi pour me filmer sous tous les angles.

    Et ne pas rater : mon visage qui reflétera mon plaisir grandissant, les mouvements obscènes et musicaux de mes nichons, mes coups de ventre vicieux dans le vide pour chercher à me frotter le con sur quelque chose qui n'existe pas et mes cuisses largement ouvertes comme une pute de bordel qui n'a même pas le temps de les refermer entre deux clients !

    Je m'installe donc comme elle le désire, alors que le premier va et vient me fait frissonner le corps.

    Il est vrai que ma position offerte, ouverte et hyper vicieuse va lui donner de belles images, mais j'attends trop longtemps le 2ème va et vient, ce qui me crispe et me refroidit même un peu.

    Je le dis à Lydia : "Madame, pourriez-vous diminuer le temps d'attente entre deux allers-retours, s'il vous plait ?"

    "Tu veux être pistonnée, défoncée, enculée à fond ? Je reconnais bien là ton caractère de prostituée quasi professionnelle, eh bien, je vais te satisfaire en augmentant par paliers la vitesse du cycle, en sachant qu'au dernier palier tu seras au maximum de la puissance du défonceur !"

    "Oooooooh, ooooouuuuiiiiii, Madame, je vous en remercie !"

    Lydia pense avoir mal entendu et me regarde avec un étrange regard !

    Elle programme les 3 prochains réglages sur son téléphone, et je sens la différence de suite : sans changer de tailles ni de diamètres, les deux défonceurs ma sodomisent avec une puissance incroyable, passant de la petite à la grande taille en un instant avec une puissance et une présence qui me défonce réellement le fion, là ils portent bien leurs noms !

    Ils prennent possession de tout mon trou à merde et plongent dedans avec une force mécanique inégalable par une ou deux pines !

    A partir de ce moment, je perds toute notion d'espace et de temps, je suis simplement un objet qui attend le moment où les godes viendront lui défoncer les intestins et se retirer pour le laisser respirer un peu avant de revenir brutalement l'enculer jusqu'à lui donner le coup de grâce en le cassant !

    Quand il arrive, j'écarte encore un peu plus mes cuisses, au croisement desquelles Lydia peut filmer un flot continu de mon jus de femme chaudasse, je dois être à la limite de la femme fontaine que j'aurais tant aimé être, mais je mouille tellement que les images doivent donner l'illusion de ce phénomène totalement indécent !

    Mon visage se déforme comme si j'étais à un concours de mauvaises grimaces, et je dois être tellement laide que Lydia libère une de ses mains pour me gifler à tour de bras en me criant : "Tu n'es qu'une immonde salope, tu es veule et tu es une affamée de sexe et de vice, tu n'es qu'un paillasson humain sur lequel je frotte mes semelles sales, tu es une sous merde à classer entre la moquette et le sol tellement tu es au bas de l'échelle !"

    "Ooooooooooh, oooooooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiii, Maîtresse, je suis votre paillasson, votre sous merde, votre chienne en chaleur : défoncez moi le fion, faites ce que vous voulez de moi, ooooooooooooh ooooooooouuuuiiiiiiiiiiiiiiiii oooooooooooooooooooh Maîtresse accélérez encoooooooooooooooore plus oooooooooooooh oooooouuuuuuuiiiiiiii, Madame, je jooooooooooouuuuuiiis du cul !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Ooooooooooooh mon Dieu que c'est booooooooooooooooooooooooooooooooon, merci Maîtresse, je suis à vous, je suis votre esclave pour la viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie" 

    Je mets 5 bonnes minutes pour retrouver mes esprits, Lydia en souriant me dit qu'elle a du me donner quelques petites gifles pour me réveiller car ce tsunami dévastateur m'a envoyé dans les vapes.

    Je lui souris béatement, comme une petite fille, et comprenant mon désarroi et mon désir, elle me relève de la table basse où mon corps est tombé et me fait un câlin en posant ma tête sur son épaule et en me caressant doucement les cheveux.

    Pour arrêter mes souffrances, elle détache le vibro de ma cuisse et enlève délicatement les pinces de mes tétons, mais le décollement de l'adhésif et le brusque retour de mon sang dans les tétons est si douloureux qu'elle essuie avec tendresse les larmes de douleur qui coulent sur mon visage dévasté par cet orgasme !

    C'est sur cette image et sous les applaudissements du couple de voyeurs qu'ils coupent la connexion.
    Lydia se penche sur moi et lèche mes larmes alors que je m’apaise, pleine de confiance en elle dans ses bras.

    Ainsi va la vie, forte de moments très différents mais toujours excitants !

    Suite dans FABIENNE 04 >


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique