• Loré à Madrid tome 5

    Chapitre 104

    « Enlève tes boules de geisha, putain et montre nous bien comment tu fais » Je dois tirer assez fort sur le fil qui pend de mon anus pour que la première sorte en faisant un bruit obscène de succion. Les deux autres suivent facilement.

    « Montre à Anita ton anus dilaté : tu vois un vrai trou à merde de putain ! » Je sens en effet mon anus béant, et j’ai encore plus honte quand José s’approche pour en faire un gros plan. Anita m’oblige à bien me pencher en avant et à ouvrir mes fesses de mes deux mains avant de me dire : « Putain, tu vas aller à la cuisine, qui est par là, et revenir avec un tabouret spécial que tu reconnaîtras facilement ! »

    Pendant ce temps elle sert deux verres de vin et en offre un à José. Dans la cuisine, je cherche un tabouret spécial sans le connaître, sous la table, j’en trouve un en bois, surmonté d’un énorme gode sculpté dans le même bois et vissé sur l’assise. Je n’ai jamais vu un gode aussi gros, avec un gland aussi impressionnant. Le tabouret à la main, je reviens rouge comme une tomate au salon où ils m’accueillent en souriant « Regarde au dessus de toi, putain, tu vas y découvrir deux anneaux fixés dans la poutre du plafond, positionne le tabouret juste en dessous d’eux » Je repère les anneaux et pose le tabouret comme elle me l'a demandé.

    « C’est astucieux de ta part, Anita, de mélanger ta décoration et tes installations bdsm ! » « Oui, on dirait un appartement normal, mais il y a plein de choses qui me servent avec mes esclaves ! Et je te parlerai seule à seule d’une maison de campagne que je finis d’équiper »

    Chapitre 105

    « Tu sais que tu commences à beaucoup me plaire, Anita, à te voir dans ton petit uniforme de vendeuse, je ne m’attendais pas à découvrir une dominante si expérimentée : j’ai hâte de te voir jouer avec ton esclave ! » Elle rit et le remercie. « Je peux t’assurer que, malgré mon âge, ta pute n’est pas la première à me passer entre les mains ! Et sûrement pas la dernière ! Il est même possible que j’en fasse mon métier. Quant à ta putain, je la sens bien prête à obéir à toutes mes envies ! » « Son mari l’a parfaitement bien éduquée, je ne sers qu'à lui apprendre à obéir à une personne différente ! » Ils rient tous les deux.

    « A présent, putain, tu vas ôter ton œuf vibrant » Je dois entrer profondément mes doigts dans mon vagin pour le sortir, glissant et gluant de mes sécrétions de femme en chaleur. Anita me tend gentiment un kleenex pour le poser dessus sans tout tâcher.

    Chapitre 106

    « Bien, mets toi à cheval sur le tabouret et tu vas plier doucement les genoux pour faire en sorte que le gode entier entre dans ton con gluant ! »

    Un peu affolée par la taille du monstre, je positionne la tête du gland à l’entrée de mon vagin et je remue un peu mon ventre pour bien l’humidifier avant de plier lentement mes genoux pour le laisser entrer avec précaution en moi. « Très bien, petite pute, je ne suis pas surprise de voir comme il entre bien en toi, on voit que tu es habituée à recevoir des gros calibres ! » En grimaçant devant eux et la caméra, je le fais entrer peu à peu en souffrant terriblement d’être obligée de m'ouvrir autant, et c’est trempée de sueur que je sens, enfin, mes fesses toucher l’assise de bois du tabouret.

    « Cette pute va pouvoir se reposer, maintenant qu’elle est assise ! » « Oh, non, José, je ne compte pas lui accorder de répit : petite salope tu vas prendre appui avec tes mains sur le bord du tabouret te lever et te rasseoir de plus en plus rapidement sur cette bite qui doit devenir pour toi un piston magique. Tu vas voir que, très vite elle va te donner du plaisir ! »

    Chapitre 107

    Alors que je m’exécute, José lui dit : « Anita, ta manière de l’utiliser me fait réellement bander ! » « Merci pour ton compliment, José, en échange, ne te fais pas de souci, je ne suis pas égoïste, tu auras un beau cadeau de ma part, et j'espère qu’il te plaira ! » Elle me laisse faire une vingtaine d’allers et retours sur le gode jusqu’à ce qu’il sorte entièrement de mon vagin en me levant et que je le renfonce d’un seul coup au fond de moi en me rasseyant, ce qui m'oblige à des gémissements, mélange de plaisir et de douleur.

    En constatant qu’il coulisse à présent parfaitement dans mon con trempé, Anita me dit : « Maintenant, José va comprendre pourquoi je t’ai fait enlever tes boules de geisha, lève-toi. Le gode étant dégoulinant de ta mouille de femelle en rut, tu vas faire la même chose que dans ta connasse, mais cette fois dans ton petit cul, en te défonçant ce que José appelle si justement ton trou à merde ! Et tu vas nous raconter comme c’est jouissif d’être enculée par cette pine monstrueuse ! »

    Chapitre 108

    Je me relève, très anxieuse, je doute que cet objet monstrueux puisse entrer dans mon cul si étroit. Et José intervient : « Tu es sure Anita qu’il va entrer sans dommages ? »

    « Elle va bien sur souffrir un peu, c’est pour ça qu’il fallait que le gode soit trempé et glissant, mais je t'assure qu'à voir son anus béant, que tu as du veiller à garder bien dilaté tout au long de la soirée, qu’elle va l’avaler entièrement, même s'il lui faut du temps pour sentir le bois contre ses fesses adorables ! Tu ne te doutes pas de l’élasticité du trou du cul d’une femme et encore moins de celui d'une pute salope ! »

    José sourit et continue à filmer en silence. Je pose le gland sur mon anus dilaté et je commence à m’asseoir avec beaucoup de précaution. Mais, il est tellement trempé par mes jus intimes que le gland entre d’un seul coup, suivi d’un bon quart du gode. « Tu vois, José, comme il entre bien, le gland est déjà dans son cul, et le reste va coulisser sans problème »

    « Oui, tu avais raison Anita, c’est à peine croyable » Il vient me filmer en gros plan alors que peu à peu le monstre disparaît dans mes entrailles, je crois qu’elle va l’avaler entièrement, tu avais raison Anita ! »

    Elle est à présent sure qu’il va entrer totalement et se lève pour prendre deux longues chaînettes en acier dans un tiroir. Elle les fixe dans les anneaux du plafond en montant sur une chaise et les règle pour que les quatre extrémités tombent au sol.

    Chapitre 109

    Descendue de la chaise, elle prend deux pinces plates en acier qu'elle me montre au passage : elles sont très dures et n’ont rien à voir avec celles que je porte. Pour noter qu'elle va mieux me faire jouir, elle m'enlève les BB auxquelles je commençais à bien m'habituer, en disant à José : « Nous allons nous occuper de ses bouts de mamelles ! » Il rit : « C’est très bien car en plus cette pute adore qu’on s'occupe de ses nichons ! »

    Sans attendre que le gode soit entièrement en moi. Elle me pose les pinces-écraseurs, en faisant en sorte de bien écraser mes bouts de seins sur toute leur longueur ainsi qu’un peu de mes aréoles. Ce qui est horriblement douloureux. Avec des gestes précis, elle clipse chaque pince à un des bouts de chacune des chaînettes, et en passant derrière moi, elle tire sur les deux chaînettes qui coulissent avec bruit dans les anneaux jusqu’à ce que mes tétons soient tendus à l’extrême vers le haut. « Si tu veux jouer avec les chaînes, José, ne te gêne pas : tu les relâches et les retends pour qu’elle sente bien les pinces et tu peux même la suspendre par les nichons si tu veux la torturer ! Ça l’obligera à ouvrir la bouche, comme pour te supplier de la lui remplir de ta bite ! »

    Mes fesses reposent enfin sur le bois du tabouret, je suis assise avec le gland du gode qui fouille mes intestins. La douleur occasionnée par le monstre s’est déplacée vers mes bouts de nichons qui me font horriblement mal. « C’est ton jouet, Anita, tu veux que je lui défonce la bouche ? » Elle rit : « Oui j’aimerais que tu te serves de sa bouche de pute-bourgeoise, non pas pour te faire pomper, mais comme d’un con sans qu'elle te suce, sans qu'elle te lèche et sans jouir en elle. Une petite pute aussi vulgaire ne mérite pas ton foutre ! » « Rassure toi, je ne lui donnerai rien à boire, ça lui ferait trop plaisir ! » José se lève, pose la caméra sur un meuble pour pouvoir continuer à filmer toute la scène et se déshabille de la taille aux pieds.

    Chapitre 110

    Je remarque qu’Anita semble apprécier sa grosse bite, car c’est la première fois qu’elle la voit. « Je me chargerai des chaines, et avec ta bite dans sa bouche, nous n’entendrons pas ses cris de salope ! » Elle me tend tellement les tétons que je dois lever un peu mes fesses du tabouret. Ce qui fait bouger le monstre dans mes intestins. José se met debout entre mes cuisses qu’il écarte bien et approche sa bite de moi tout en me tirant par les cheveux.

    Il me gifle longuement avec son gland, puis plie un peu les genoux en me visant les seins et les tétons pincés avant de rapprocher sa pine de ma bouche grande ouverte par la douleur et de l’enfoncer dans ma bouche dans toute sa longueur, tout en m’obligeant à le regarder droit dans les yeux.

    Il doit y lire de la honte, du plaisir et beaucoup de douleur et se rappeler de la remarque d’Yves sur mon regard vicieux de soumise totale. Anita change de position pour mieux le voir faire : « Profites-en, José. Elle est à nos ordres avec ses nichons pincés et enculée par ce gigantesque pieu en bois bien dur ! » Il s’enfonce jusqu’à ce que je sente ses couilles contre mes lèvres : « Hum, Anita, je touche sa gorge avec mon gland ! » Il est entré tellement loin en moi qu’en la ressortant un flot de bave s’échappe de ma bouche. « Cette pute en bave de joie ! Continue à bien lui baiser la bouche, José, moi je vais m’occuper de la chauffer encore plus ! »

    Chapitre 111

    Elle attache les chaînettes à deux crochets fixés dans le mur de telle sorte que mes tétons soient étirés, mais sans que ce ne soit une torture et elle vient derrière moi sans que je ne puisse connaître ses intentions. Elle me pose les mains sur le rebord en bois du tabouret, me prend sous les bras et malgré mon poids, elle m’aide à me lever et à m’asseoir sur le gode en m’enculant brutalement à chaque va et vient. José rit en comprenant son manège et me remet sa bite dans la bouche. J’essaye de bien serrer mes lèvres en m’adaptant au diamètre de sa queue et malgré ce qu'a dit Anita, je lèche ce que je peux en le faisant grogner d'un plaisir non dissimulé.

    Je réalise avec honte que je ne suis qu’un simple objet sexuel : je ne peux pratiquement rien faire, même pas pomper mon Maître, Anita qui contrairement à sa silhouette doit être bien musclée, car elle continue sans faiblir à me faire aller et venir sur le gode en vérifiant qu’il ressorte bien de mon anus à chaque fois. « José, dis-moi quand tu n’arriveras plus à te retenir, n'oublie pas que j’ai un cadeau à te faire ! » « Rassure-toi, je t’ai dit que je ne jouirai pas dans sa bouche. Je me contente de lui niquer la bouche, et j’ai la chance de pouvoir me retenir assez longtemps! »

    Chapitre 112

    Anita rassurée sourit et lui dit : « Très bien, je te laisse quelques secondes, je reviens de suite »

    Une fois seuls, José me gifle violemment les nichons en riant de ma grimace et me dit : « Je vois que tu n'as pas besoin de créer ton personnage, je me demande si ce n'est pas le vrai, et que c'est en jouant à la bourgeoise épouse et mère parfaite que tu joues ton faux rôle ! Tu es une salope née, je pourrais te baiser la gueule pendant des heures jusqu'à la paralysie des muscles de ta bouche, tout en te regardant te défoncer seule la rondelle, contente de t'élargir pour que je puisse mieux t'enculer ! Oh quelle salope, je te répète que tu donnes plus envie de te torturer que de te câliner ! »

    Anita revient, vêtue uniquement d’une petite chemisette transparente qui laisse voir sa jeune poitrine et une fine musculature de sportive. Elle n'a pas de culotte et les pieds nus. José sourit en la voyant aussi jeune, fraîche et bandante, sans arrêter de me baiser la bouche en alternant des mouvements lents et plus rapides.

    Chapitre 113

    Anita éclate de rire : « Je vais voir si tu préfères te vider les couilles dans une merde humaine, ou lui montrer comment tu offres ta semence à une Dame ! » « Tu es très belle Anita et très sensuelle, bien sur que je préfère la Dame. Elle, c’est juste un objet, une chose télécommandée qui lève un bras quand on le lui ordonne, allume une cigarette quand on l'y autorise. Et j'aime ton idée qu’elle voit comment je te donne mon sperme sans qu’elle y ait droit ! » « Moi aussi, mais, la pauvre : elle s’attend à ce que tu te vides les couilles en elle, elle va être frustrée et je ne veux pas avoir de problèmes avec elle ! ». José éclate d'un rire moqueur et très humiliant et m'achève et me lançant : « C’est une pute qui n’a aucune exigence. N’est ce pas la vérité, Madame Dufour ? »

    Je suis tellement horrifiée de ce qu'il vient de dire à cette totale inconnue, et surprise qu’il m’appelle par mon nom, que je tarde à répondre d’une voix rauque : « Je ne suis qu’une esclave-putain, Amo Mio. Mes désirs ou mes envies ne comptent pas »

    Anita constate d’une voix amusée et sarcastique : « Ouf, nous avons son autorisation, je me sens soulagée ! Dis-moi, José, tu devrais lui remettre l’œuf dans le con, le brancher sur sa plus grande vitesse et bien sur, lui interdire de jouir ? » « Excellente idée, je m’en charge » Sans sortir l’œuf du kleenex et même, en s'en servant pour ne pas se salir les mains, il pousse le vibromasseur tout au fond de mon vagin en m'obligeant à décoller mon cul du tabouret et en m’écartant les cuisses à la limite de mes possibilités.

    Chapitre 114

    « A présent, il y a deux femmes dans cette pièce : une qui va s’envoyer en l’air comme une reine et l’autre qui va me jalouser mais devra se contenter de mater en retenant son plaisir sous peine d'une punition sévère que je serai heureuse de lui infliger moi même ! » « Hum, et à quelle punition as-tu pensé ? »

    « L'emmener dans un coin à putes pas chères et de la prostituer deux ou trois heures à 10€ la passe ! » « Waouh, ça s'appelle de l'abattage, je pense que ça devrait calmer ses envies de s'envoyer en l'air ! » « Oui, je le pense aussi ! »

    Anita se rapproche de moi et me regarde dans les yeux. « Tu vas continuer à t’enculer seule, mains posées sur le tabouret, comme je t’ai aidée à le faire. Et fais attention que le gland ressorte complètement de tes fesses avant de te rasseoir brutalement pour bien t’enculer devant nous. Et, tu nous diras comme tu aimes t’enculer seule devant nous et comme ça te fait du bien d'avoir les intestins fouillés par ce monstre, tu m’as comprise, pute de bougnoules ? Petite merde obéissante ? Rebut de l'humanité ? Moins que rien ? » « Oui, Mon Ama Querida, j’ai bien compris » « Alors, exécution : nous te regardons avec dégoût ! »

    Chapitre 115

    José s’assied avec sa caméra dans un fauteuil, face à moi. Anita s’assied sur ses genoux en lui caressant doucement le sexe, alors qu'ils me regardent lever mon cul avant de me rasseoir d'un seul coup sur le tabouret.

    Ils m'observent d'un regard méprisant, en riant de mes grimaces : il lui pelote les seins sans me quitter des yeux, tout en m'encourageant vicieusement : « Lève ton cul plus haut pouffiasse, sors complètement le gode de ton sphincter, et laisse toi retomber dessus de tout ton poids ! » C'est probablement à regret qu'il laisse Anita s'asseoir dans son fauteuil et vient filmer en gros plan les allers et retours du gode-monstre en moi.

    J'ai un moment ironique durant lequel je me dis qu'il a du se rappeler d'Yves et qu'il devait faire de belles images pour son ami voyeur ! Anita nous rejoint et, nue devant moi, elle me gifle violemment le visage : « Tu es en train de mouiller mon tabouret, tu es une cochonne ! Dis nous qui tu es et qu'est-ce-que tu es en train de faire, salope en rut ! »

    Chapitre 116

    José est derrière moi et continue à tout filmer : « Ooooh, Mon Ama Querida, je suis une pute docile, une esclave éduquée, un objet télécommandé, une salope qui ne dit jamais non, et je m’encule seule avec un gode monstrueux pour mon petit cul »

    « Ton petit cul ? Et tu n’aimes pas ça ? Tu préférerais avoir un cul dilaté comme celui d'une pute de trottoir ? » « Ooooh, nooon Mon Ama Querida,  j’aime m'exploser la rondelle de mon petit cul, c’est si bon et humiliant de m’enculer devant vous ! »

    « Tu peux arrêter de te défoncer, putain, assieds toi sur le tabouret, godée jusque dans les intestins et repose toi un peu ! »

    En souriant, fière de sa nudité totale, elle se couche sur le dos sur le tapis, un coussin sous la tête, juste en face de moi en me disant : « Comme ça, tu verras bien le spectacle salope de bourgeoise ! » Avant de se déshabiller, José connecte l’œuf sur sa plus grande vitesse alors qu'Anita le réclame comme une amoureuse en rut :

    « Viens vite, José, cette enculée m’a excitée. J’ai très envie de jouir avec ta grosse bite en moi » « Regarde putain comment Ton Ama Querida est excitée, et c’est de ta faute, sale conne ! »

    En souriant, José s'agenouille entre ses cuisses, il lève ses pieds et ses jambes avant de poser ses genoux sur ses épaules. Sa position obscène montre sa chatte bien ouverte, et je peux voir de gros filets de mouille s'en échapper.

    Chapitre 117

    Anita sait que je suis en train de contempler ce spectacle aussi bien que dans la cabine d'essayage du Corté Inglès, mais sans avoir le droit d'y coller ma bouche et d'y engloutir ma langue !

    Entre les vibrations de l’œuf, le monstre dans mon cul, les seins meurtris et le spectacle que je suis obligée de regarder sans qu'un détail ne puisse m'échapper, je dois me mordre les lèvres pour ne pas jouir.

    Je vois José caresser l’entrée du vagin d’Anita avec son gland gonflé : « Ne perds aucun détail, putain, regarde bien ce que tu manques ! » Elle gémit, très excitée en avançant son ventre vers sa bite. Mais il se recule et il lui caresse le périnée tout en glissant son pouce dans son vagin. Elle remue son bas ventre, silencieuse et lascive, il ressort ses doigts qu’il lui donne à lécher.

    Gourmande elle le nettoie de sa bouche et de sa langue, alors qu’il approche de nouveau sa bite de sa chatte. Mais, ce coup ci, il la lui enfonce lentement et quand il se sent bien au fond d’elle, il ne bouge plus pour que son vagin ait le temps de s’habituer à son calibre. « Hum, quelle bite a ton Maître, ignoble salope ! C'est malheureux qu'il soit obligé de l’utiliser dans ta connasse de putain ! »

    José sourit et lui répond : « Oui, je suis content que ma pine ait enfin trouvé un con digne d'elle, Anita, tu as un vagin, délicieux, bien chaud, humide et qui m'enserre juste comme il le faut ma bite, je me régale en te baisant et regarde et écoute, sale putain de rue comment une grande Dame, une vraie Maîtresse prend son pied avec une bite qui est faite pour elle ! » Il va et vient lentement en la faisant gémir sans interruption de plaisir.

    Chapitre 118

    « Tu as bien fait ton travail d'allumeuse, sale truie en rut : ton Amo a les œufs bien pleins, mais c'est moi qui vait en profiter » « Hum, oui, elle m’a bien rempli les couilles, depuis que nous avons quitté son mari, il s’est passé tellement de choses excitantes ! » « Oui je suis sure que cette salope a bien joué son rôle, mais c'est moi qui vais profiter de ton excitation, je jouirai et elle n’aura droit à rien ! »

    Anita bouge son ventre pour mieux le sentir. Il continue à bien la remplir et à aller et venir en elle. « Je vais te donner mon sperme : tu es une Maîtresse expérimentée et une femme passionnée, je vois que tu sais comment t’occuper d’un homme ! »

    « Putain, écoute-moi bien : tu sais José ce que tu devrais laisser rentrer uniquement dans la connasse de ta pute ? » « Hum, non, dis-moi, Anita. Toi qui connais bien les femelles comme elle ! »

    « Toi, tu te réserves son cul, pour pouvoir te vider les couilles en elle si tu n’as pas mieux sous la main. Quand à son con, tu ne laisses y rentrer que de la pisse et du foutre d’inconnus qui ont payé pour ça ! » « Prostituée totale ? Quelle vicieuse tu es ! J’en parlerai à son mari, cette idée m’excite en effet terriblement »

    « Vicieuse, moi ? Non ! Je connais simplement très bien les esclaves, et je sais que c’est ce dont elles ont envie. Ooooh, José je jouis. Ooooh que c’est bon ! »

    Fier de lui, il se tourne vers moi : « Je suis sur que tu aurais aimé jouir comme ça, pas vrai salope ? » Il continue en lui caressant doucement le clito de sa main droite, sans arrêter de la niquer. « Tu devais avoir très envie Anita ? » « Hum, oui, depuis que ta pute m’a bouffé la chatte et envoyée en l'air au Corté Inglès ! »

    Chapitre 119

    « Je lui ferai te nettoyer la chatte avec sa langue ! Cette salope, aussi a très envie, mais elle n'aura rien ! Tu as très envie putain ? »

    « Oh, Amo Mio, je vous en supplie, arrêtez au moins l’œuf. C’est une torture » Pour toute réponse il me fait constater de visu qu'il est à la vitesse maximum : « Comme ça tu arrêteras de dire des conneries, imbécile, tu m'as habituée à plus d'intelligence » Je me tais et gémis de douleur pour éviter de jouir.

    Les caresses qu'il fait à Anita ont l’air de produire leurs effets : « Je crois que je vais jouir en toi, Anita » Elle lui murmure quelque chose à l’oreille. Il rit et accepte apparemment avec grand plaisir.

    Je ne sais pas ce qui se trame, je le vois se lever alors qu’elle se met en levrette à quatre pattes, et lui offre son cul. « Super idée Anita, j'adore cette position, hum qu'est ce que tu es bandante, ma pute ne t'arrive pas à la cheville ! »

    Il s’agenouille derrière elle : « Tu as un lubrifiant Anita ? » « Ce n’est pas nécessaire, vas-y José »

    Elle ouvre ses fesses de ses deux mains et il entre facilement dans son cul la remplissant rapidement en la faisant gémir de suite de plaisir.

    Il s'accroche à ses hanches alors qu’elle recule son cul vers lui. « Tu vois salope lubrique, comme ton Maître me respecte en me sodomisant lentement. Je suis sure qu’avec toi, il rentre sa bite d’un seul coup, en faisant exprès de te faire mal, parce ce que c'est ça que tu aimes : de la douleur pour avoir du plaisir, tu n'es qu'une esclave masochiste, la catégorie la plus basse de l'humanité, juste avant les cafards ! » José rit : « Il est sur que je sais sodomiser une Dame, enculer une chienne soumise mais pas un cafard ! »

    Chapitre 120

    Elle souriant, elle passe une de ses mains entre ses cuisses pour se caresser le clito. Je vois la bite de José disparaître et réapparaître de son anus, son doigt qui s’agite sur son clitoris alors que ses seins bougent en cadence, ce qui n’est pas fait pour me calmer.

    « Tu vois la différence entre toi et moi, esclave : j’ai un cul et toi tu as un trou à merde pour vider les couilles des hommes et stocker les restes de ta bouffe de truie ! » « C’est vrai pour tous ses orifices, et je me suis déjà souvent vidé en elle ! »

    Ils rient tous les deux de ma gêne d'être autant rabaissée par et devant eux, j'ai eu rarement droit à des humiliations cérébrales aussi fortes, ajoutées à des douleurs excitantes mais difficiles à supporter.

    « Hum, José donne moi ton sperme je t’en prie ! » Je le vois augmenter la rapidité de ses mouvements en elle. En fermant les yeux je peux imaginer mon cul se refermer sur sa gosse pine. Ses couilles buttent de plus en plus fort contre ses grandes lèvres avec un bruit totalement obscène de secrétions remuée. Elle l’aide, tête posée sur sa joue sur le tapis.

    « Oh, maintenant, José, je suis prête, j’aimerais tellement jouir en même temps que toi ! » Il respire de plus en plus fort, en sortant de plus en plus rapidement sa bite de son petit trou : « Oooooooooh, ouiiiiiiiiiiiii, jouissooooons ensemble ! » Je vois le corps d'Anita se tordre dans tous les sens, raidir ses membres, bouger sa tête comme une folle, je pense que la jouissance d'une femme est très belle et tout à fait admirable.

    Je vois José, le ventre collé à ses fesses, en train de lui inonder les intestins, et horriblement frustrée, je l'imagine lui offrant ses longs jets poisseux et tièdes que j’aurais du recevoir dans ma bouche ou dans mon con ou dans mon cul.

    Mais de les voir jouir ensemble m’excite au paroxysme. José semble tétanisé : il reste collé aux fesses d’Anita, probablement, le temps de débander et de profiter un peu plus longtemps de son fourreau bouillant. Il se décolle d’elle, la faisant s’effondrer, totalement épuisée, sur le tapis.

    Chapitre 121

    Quand ils ont un peu récupéré, il demande à Anita : « Comment veux-tu qu’elle te nettoie, ma chérie ? » « Oh, comme tu voudras, José, comme ça t’excitera le plus. Je suis morte d’avoir autant joui » Il s’approche de moi, la bite un peu en berne, m’enlève les pinces et me prend par les cheveux : « Avant de me nettoyer la bite avec ta bouche, rappelle-toi bien d'où elle vient ! Et dis moi ce que tu vas récupérer dans ta bouche de truie ! »

    « En vous nettoyant la pine de ma langue, Amo Mio, je vais retrouver votre foutre, des jus de votre excitation, ceux de Mon Ama Querida, ses jus de femme jouissante, et si elle est allée aux wcs cet après midi, des résidus de sa merde »

    « Oui, c'est bien ça, alors lèche moi, nettoie-la bien mais n’avale rien » Toujours empalée sur mon pieu de bois, et sous le regard d'Anita, je le nettoie soigneusement de ma langue sans rien avaler, quand je semble avoir fini, il me tend un kleenex :

    « Crache tout ce que tu as récupéré, tu resteras avec l’envie de boire mon foutre, salope ! » En appréciant qu'il n'y ait pas eu un seul gramme de la merde d'Anita, je crache tout ce que je viens de recueillir sur le kleenex ouvert devant moi.

    « Lève toi et viens te mettre derrière Anita : tu vas lui lécher le cul et la chatte pour bien la nettoyer, mais, comme pour ma bite, tu recracheras tout dans ces kleenex »

    Je me lève avec difficulté pour que le monstre sorte lentement de mon cul et me dirige vers Anita, entre temps, José a discrètement ramassé les trois boules de geisha et quand je passe devant lui, il en profite pour les engloutir dans mon cul qui est tellement béant, que je ne les sens quasiment pas rentrer.

    Je m’agenouille derrière elle, elle m’aide un peu en levant son cul, et, langue en pointe je lui lèche le cul et la chatte. José m’oblige à coller ma bouche à ses deux orifices pour aspirer de toutes mes forces les jus qu’elle a en elle. Avec résignation, je recrache régulièrement dans un kleenex tout le liquide que je récupère tout en sentant au passage le gout de son jus de femme et du foutre tiède de Mon Amo Mio.

    Chapitre 122

    Je me relève quand je suis sure qu’elle est bien propre. Il se penche vers moi, vérifie avec ses doigts que ma chatte dégouline et, il arrête, enfin, l’œuf vibrant en m’ordonnant de l’enlever. Il est tellement gluant que j’ai du mal à le faire glisser de moi et il me faut deux kleenex de plus pour ce faire.

    Comme il me le demande, j’aide Anita à se relever. Elle sourit, très contente de cette séance. Je dois me mettre à quatre pattes pour qu’Anita, nue, puisse m'utiliser comme un guéridon en s’asseyant confortablement sur mes épaules. Je peux sentir sa chatte humide sur ma peau nue.

    « Hum, José, je dois t'avouer que j’ai beaucoup aimé, j’espère de tout cœur que nous pourrons recommencer bientôt » « J’en parlerai à Yves et nous restons en contact avec nos mobiles »

    « Pardon, mais je dois aller aux toilettes » « Amo Mio, si je peux, j’aimerais bien y aller aussi » « Toi, la pute tu restes ici, tu vas te rhabiller, Anita fait ce qu’elle veut, elle est chez elle ! »

    « Bien, Amo Mio » Anita s’en va et nous laisse seuls. Je remets ma jupe et mon top. J’ai toujours les boules en moi mais José ne me fait pas remettre les pinces en me disant : « Je veux récupérer tes tétons pour moi »

    Et il passe délicatement ses mains dessus pour constater qu'ils sont en très mauvais état, pour essayer de les calmer mais surtout pour en reprendre possession.

    « Tu as été très bien, petite pute ! » « Merci, Amo Mio » « Si tu continues comme ça, ce soir, je te promets une récompense »

    Anita revient en peignoir fin avec un visage frais et reposé. José lui demande un sachet plastique pour envelopper l’œuf gluant. Mais Anita lui conseille de me le faire nettoyer dans la salle de bains. Je reviens quelques minutes plus tard avec l’œuf parfaitement propre et sec. Par précaution, José l’enveloppe et le met dans le sac du Corté Inglès avec ma parure rouge et les pinces inutiles pour le moment.

    Chapitre 123

    Anita voit que nous sommes prêts à partir. Elle se rapproche de José pour lui murmurer quelque chose à l’oreille. Il rit et lui dit :

    « Tu as raison, j’avais oublié ça ! Nous pouvons y aller tous les trois ? » « Oui, bien sur, mais c’est plus excitant de l’y envoyer seule et de la faire revenir avec la preuve que ça s’est bien passé, tu ne trouves pas ? » José réfléchit et finit par dire. « Oui tu as raison et, comme ça, nous pourrons continuer à faire des projets pour elle »

    Sans rien dire de plus, elle sort en peignoir. En son absence, José me dit : « Une dernière formalité et nous-y allons » Elle revient moins de deux minutes plus tard. Elle me dit en souriant :

    « Tu peux descendre au troisième, mon ami Alejandro t’attend. Je t’avertis qu’il est super bien monté, qu’il est prévenu que tu n'es pas autorisée à jouir et que tu détestes les capotes ! »

    Rouge comme une tomate, comme chaque fois que je dois faire quelque chose qui me déplaît, mais qui m'excite, je regarde José pour avoir une confirmation de son accord, il se contente de m'ouvrir la porte et de me dire : « Amuse toi bien et reviens vite, nous devons rentrer, Yves va se demander ce que nous faisons »

    Je n’ai pas d’autre choix que de sortir, descendre les marches qui me séparent du troisième et frapper à la porte d’Alejandro. Il m’attend, car il ouvre de suite la porte complètement à poil. « Fous-toi à poil, et couche-toi, épaules sur le tapis et cuisses écartées » Je me déshabille devant lui, sans dire un mot et me couche sur un tapis épais.

    Il m’enjambe la poitrine, s’assied sur mes seins et me gifle fortement les joues en me disant : « Fais-moi bander entre tes nichons de pouffiasse » Il glisse sa bite entre mes seins. Je les tiens serrés de ma main gauche tout en le caressant et en le branlant comme je le peux de la main droite. Il grossit très vite et son gland ne tarde pas à arriver à frotter me lèvres. « Sors ta langue salope, rends toi utile et fais ton job ».

    Je lèche son gland qui décalotte rapidement, d’une gifle sèche sur ma main, il libère sa bite, monte un peu sur mes seins et enfonce sa bite dans ma bouche pour me la baiser en me tenant les cheveux. Il va et vient quelques minutes dans ma bouche, passe une main par derrière pour s’assurer que je suis bien mouillée. Et il se lève, s’agenouille entre mes cuisses me lève les jambes, les pose sur ses épaules et m’enfile d’un seul coup jusqu’aux couilles. Il me lime en me pétrissant très durement les seins tout en me disant : « Pas un mouvement, pas un gémissement, tu subis, je me vide les couilles sans capote dans ta connasse et tu te casses, je déteste les prostituées »

    Chapitre 124

    Il me baise très rapidement en faisant des allers et retours de plus en plus rapides et sans que je ne m’y attende, il jouit, couilles collées à mes grandes lèvres, au plus profond de mon vagin. Il se relève et me dit : « Je vais me laver en revenant, je veux que tu sois partie sans t’essuyer le con » Il sort de la pièce, je me rhabille, honteuse de moi avec son sperme qui coule du haut de mes cuisses.

    Je remonte au quatrième, Anita et Yves m'attendent sut le palier, porte ouverte, sans un mot elle passe une main sous ma jupe et entre deux doigts dans ma moule, elle renifle les doigts avant de me les donner à nettoyer.

    « Ça c’est bien passé José, elle a eu sa dose de foutre, et je suis sure qu'Alejandro ne l'a pas laissée jouir ! » « Parfait, alors nous pouvons partir »

    Chapitre 125

    « José, je te répète que ton esclave m’a enchantée. Je t’appellerai pour une nouvelle éventuelle rencontre et une visite de ma maison de campagne, je suis sure qu’elle vous plaira à Yves et à toi » « Appelle-moi pour me raconter un peu le projet de la soirée, ça me permettra de mieux en parler à son mari »

    « Entendu, les travaux sont presque finis, nous pourrions faire ça une fin de semaine : je sors le vendredi à 22h30 et je ne travaille pas le weekend » « Entendu comme ça, je pense que puisque tu travailles dans le centre de Madrid, pas loin de nos bureaux, nous pourrions boire un café tous les trois un de ses jours ? Je te tiens au courant, Anita, en te remerciant encore de nous avoir reçus, et bien sur, du bel orgasme que tu m'a offert ! »

    « Tu veux rire ! Merci à toi et à ta pute bien éduquée ! » Elle lui suce longuement la bouche et le regarde avec des yeux d'amoureuse.

    José tourne les yeux vers moi, attendant probablement que je dise quelque chose à Anita : je m’approche d’elle pour la remercier de cette séance et espérer que je lui ai donné tout ce qu’elle attendait de moi.

    Chapitre 126

    Elle rit en me pinçant les tétons de ses ongles à travers mon top en me disant : « Non seulement tu as fait ce que j’attendais de toi, mais sans rechigner. Tu es très bien éduquée et j’espère que je pourrai jouer encore souvent avec toi. Tu es vraiment un objet très utile, et en se rapprochant de mon oreille, surtout ne répète ça à personne, sinon je te découpe les nichons, une femme très jolie et très attachante ! »

    Anita lâche mes tétons et ouvre la porte d'entrée, José s'efface pour me laisser passer et nous descendons les escaliers alors que Mon Amo mio me demande si Alejandro m’a baisée avec une capote ?» « Non, Amo Mio, sans protection » « Tu devrais te bourrer le con de kleenex sinon tu vas en mettre partout » Je sors mon paquet de kleenex de mon sac, me tamponne le sexe et le haut des cuisses avec deux d’entre eux et fait une boule de trois autres que je glisse dans mon vagin. « Voilà, Amo Mio, merci de votre conseil »

    « De rien putain, et qu'est ce que t'a dit Anita à l'oreille ? » « Elle m'a dit qu'elle avait entré son portable sur le mien à l'entrée "Corté", mais je ne comptais pas vous le cacher : ni à Yves, ni à vous, Amo Mio »

    « Bien, malgré la courte distance, nous allons rejoindre Yves qui doit être anxieux en taxi ! »

    Il en hèle un, parlemente un peu et pour un billet de 20 euros le chauffeur accepte de ne pas mettre son compteur et de nous déposer moins de deux kilomètres plus loin.

    Chapitre 127

    Il frappe à la porte et Yves vient nous ouvrir. Je constate qu’il s’est mis en tenue décontractée : bermuda, tee-shirt et sandales. « Bonsoir, les amoureux ! Je ne vous demande pas si votre petite sortie s’est bien passée, j’en ai reçu la preuve sur mon PC ! »

    Nous entrons dans le salon, il me caresse la joue et m’embrasse sur la bouche : « Tu t’es déchaînée ma chérie ! Tu m’as étonnée, et j’ai surtout appris que plus tu étais sevrée d’orgasmes plus tu te lâchais et plus ton vice ressortait par tous les pores de ta peau ! »

    Je rougis en baissant la tête, mais, en moi-même je dois reconnaître qu’il a totalement raison, mais que nous devrions avoir une conversation sérieuse tous les deux, sur mes "tsunamis", il faut que je le mette au courant, sinon, il va opter en permanence pour des interdictions de jouir et des orgasmes monstrueux, il faut qu'il fasse bien la différence, ce qui devrait être facile avec un homme au gros QI et une femme au Q facile !

    Chapitre 128

    Yves me dit : « Vas vite nous chercher de quoi manger, un peu consistant et de quoi boire : je suis rivé devant mon écran depuis votre départ, je n’ai même pas eu le temps de monter les séquences de l’appartement ou de me restaurer un peu ! Je n'ai fait que visionner vos clips et me branler ! »

    Je lui demande quelque chose : « Oh, Yves, je t'en prie, laisse moi me doucher en 5 minutes, je me sens sale de partout ! »

    « Ma chérie, je sais bien que tu es ma femme, mais je te rappelle que ton propriétaire de ce soir s'appelle José, alors change d'interlocuteur, je te prie ! »

    Je suis furieuse de cette erreur et vais m'adresser à José qui me devance en me disant très gentiment :

    « Pas de souci, Loré, file vite à la salle de bains et prends ton temps, je vais m'occuper de nos estomacs, je ne déteste pas faire la cuisine de temps en temps, surtout quand c'est si facile et si bonne ! Reviens nous en pleine forme, avec ta parure sexy rouge, as-tu des porte-jarretelles rouges ? »

    « Oui, Amo Mio, et même des bas résille rouge, et si vous le voulez des escarpins à très hauts talons rouges, mais le rouge sera moins vif que sur mes ongles ! »

    « Oui, comme ça tu te sentiras moins vulgaire ? » « Oooooooooh, Amo Mio, quand allez vous oublier ma grosse faute de la soirée ? » Il sourit sans répondre et m'indique la salle de bains et le feu vert pour mon habillement de retour !

    Chapitre 129

    Les deux hommes regardent un bon moment les images accélérées des clips du début de la nuit, José est inquiet car il n'est pas habitué à filmer avec une caméra aussi sensible et légère.

    « Tu as été content des images, Yves, je ne bouge pas trop ? » « Elles sont parfaites, José, et tu as le sens de la mise en scène, je pense que je n’ai rien raté et j’ai du bon matériel pour faire un excellent film ! »

    « Il y a quelques séquences qui n’ont pas été filmées. Il faudra demander à Loré de te les raconter » « Entendu, nous profiterons du repas pour ça. Tu veux aller te doucher et te changer ? Je peux te prêter une tenue plus décontractée si tu veux, par exemple la mienne si elle te convient, je dois avoir des doubles de tout et à priori nous faisons la même taille ? »

    José accepte de bon cœur, Yves montre la porte de la deuxième salle de bains de l'appartement et Yves lui porte une tenue quasiment identique à la sienne.

    Chapitre 130

    José est déjà dans la douche et Yves le regarde en lui disant : « Mon salaud, c'est vrai que tu as une bite monstrueuse, j'aurais du te demander de me la montrer avant de te proposer ce deal ! »

    « Voilà qui n'est pas conforme à ton désir de gâter ton épouse, et qu'aurais-tu fait si j'avais eu un petit ver de terre, pense à sa déception ! »

    Yves éclate de rire et file à la cuisine pour commencer à préparer un en-cas solide pour nous trois. Je le rejoins peu de temps après, Yves m'explique ce qui se passe, la douche et le changement de José, me dit que je suis très très bandante tout en rouge, et d'une humeur très joyeuse, nous nous mettons au travail.

    Notre invité nous rejoint au salon, en remerciant Yves : « Ah, je me sens mieux comme ça ! » Nous sommes en train de mettre ce que nous avons préparé sur la grande table basse en bois du salon.

    Chapitre 131

    Loré rit en le voyant « Vous êtes mignons comme ça tous les deux ! Vous voulez que je monte une tente de camping sur la terrasse ? Je vous trouve une guitare et nous faisons un feu de bois avec les deux louveteaux et la monitrice vicieuse ! »

    José gronde et me poursuit, je file en courant dans les couloirs pour lui échapper et rejoindre la cuisine, où, avant de me faire gronder je lui jette une bouteille de champagne et j'en prends une autre de vin rosé bien frais, en indiquant le salon, où nous arrivons essoufflés ! « Voilà, comme ça vous aurez le choix de la boisson »

    José approuve en disant qu’un bon vin frais sera le bienvenu. Mais ajoute : « Dites-moi, Madame Dufour, il me semble que vous vous êtes fichue de notre gueule tout à l’heure ? » « Oh, juste un peu, Monsieur José le dominant, l'Amo Mio de pacotille ! »

    « Hum, Yves, tu ne penses pas que cette impertinence mérite une punition sévère ? » « Je suis tout à fait d’accord avec toi. Que penserais-tu de lui brûler les pieds au chalumeau ou de lui découper les seins en tranches pour les poêler et les déguster à sa santé ? »

    J’éclate de rire : « Chiche ? Et quand vous aurez cassé votre beau jouet et massacré cette belle marchandise, vous jouerez avec quoi, Messieurs ? Vous vous branlerez mutuellement ? Vous vous enculerez ? Et vous vous marierez ? Il est vrai q'en Espagne, vous en avez le droit depuis plus longtemps que les pauvres Maricones franceses ! Alors, si vous voulez bien arrêter vos bêtises, nous pourrions manger, personnellement, je crève de faim ! »

    Les deux hommes éclatent de rire et nous nous jetons sur les plats réchauffés et les blocs de foie gras pour lesquels Yves débouche un super Sauternes d'une grande année, puis il débouche le vin rosé tout en me versant le blanc qu'il sait être ma boisson favorite, mais rare, vu son prix !

    Les hommes passent au vin rosé, et José, très en forme, nous propose un toast qui me fait rougir : « Hum, je vais porter un toast très spécial pour Loré : je bois à la santé de ton prochain orgasme que tu obtiendras uniquement avec ton cul sans te toucher aucune partie du corps !  » Sans nier la difficulté de de ce toast, je le lui accorde, tout en revenant d'un seul coup dans le thème de la soirée.

    Chapitre 132

    J’essaye de ne pas trop boire, car, le blanc sucré me donne très vite un gros mal de crâne et je sais que la soirée est loin d’être finie, mais je mange avec appétit ce qui me requinque un peu.

    Le silence n’est rompu que par des compliments sur la nourriture et des « tchin-tchin » à chaque fois que nous remplissons nos verres.

    Je rétablis la vérité en disant : « Il faut féliciter le traiteur, moi je n’y suis pour rien, je n’ai fais que réchauffer ses préparations » José me lance une pique : « En fait à part t’exhiber et faire jouir les autres, tu ne sais rien faire, petite pute ? »

    C’est Yves qui lui répond en riant : « Tu as en partie raison, José, mais Loré est un véritable cordon bleu, nous t’inviterons un jour pour un vrai repas, et tu verras ce qu’elle sait faire, par contre je ne sais pas si ça serait bien de lui faire faire la cuisine et le service nue avec seulement un petit tablier ou habillée normalement, mais bien sur, après le repas. Nous lui rappellerons son statut d’esclave rassure toi ! »

    « Hum, quel beau programme, j’en salive d’avance »

    Fière de la réaction d’Yves, je pars avec le plateau vide et reviens avec un autre rempli de desserts et de douceurs. En annonçant : « Pfft, je suis pleine, moi je ne mangerai pas de dessert. Si vous m’en donnez l’autorisation, j’aimerais quitter la table pour fumer une cigarette, boire un double expresso avec un bon verre de cognac !»

    Yves réagit de suite « Eh bien, Loré, tu sais ce que tu veux ! Vas-y, vautre toi dans un fauteuil et ne bouge plus, je vais t'apporter tes cigerettes, un briquet, un verre à digestif et un cognac XO de ma réserve privée que tu ne connais même pas, acheté en cachette à Dubaï car intouchable en France sauf avec un crédit Sofinco ! Et en plus je m'occupe de ton double expresso qui t'entrera un ressort dans les fesses tellement il sera puissant ! »

    « Hum, comme j'aimerais que ce soit toi mon amour qui mette de temps en temps un de mes bracelets ! Ce que tu vas faire pour moi est fantastique, et c'est bien vu, car après ces heures passées avec lui, j'allais te quitter pour José ! »

    « Ah Loré ! Que ferais-je sans ton humour et ta bonne humeur, des soirées comme ça sont vraiment de vraies auberges espagnoles, chacun y amène ce qu'il a de meilleur : le rire, le sexe, le vice, les bons vins, les blagues, les instants de souffrance, mais aussi les hurlements orgasmiques ! Ah pourquoi le monde n'est pas comme nous trois ? »

    José applaudit nos tirades respectives en rajoutant : « Les enfants, il faudrait arrêter un peu, car je suis en train de tomber amoureux de vous deux ! Alors, de Loré je veux bien, mais d'Yves, ce n'était pas du tout prévu ! »

    Chapitre 133

    Nous attrapons un fou rire qui dure une éternité, je vais embrasser José sur la bouche comme si nous allions nous marier, et je vais serrer la main d'Yves en le remerciant d'être venu ! José court dans tout l'appartement derrière Yves qu'il veut à tout prix embrasser sur la bouche. Bref nous décompressons comme des ados débiles (pléonasme ?), ce qui nous fait un grand bien.

    Et, en l'absence d'Yves qui est allé commencer à tenir ses promesses, José apporte une conclusion réaliste : « Je crois, chère Loré, que tu n'as pas besoin d'un moment de solitude, tu te sens surtout salie dans ta tête, tu ne crois pas ? » « Oui, José, tu as raison, mais ça, ça ne se lave pas dans la salle de bains, c’est surtout la bonne ambiance entre nous trois qui va me faire mettre dix minutes de côté mon attitude parfois dure à vivre ainsi que mes envies vicieuses et incontrôlées, et me faire me relever en super forme pour affronter, avec encore plus d'envie et de gourmandise parfois incompréhensible, tous vos désirs, vos caprices et vos ordres ! »

    Yves arrive à ce moment là et me dit : « Tu sais ma chérie que José est loin d’être sur le départ. Et, je ne veux pas que tu te refroidisses, alors, je vais réaliser ton caprice "F4C" (Fauteuil, Confort, Cigarette, Café, Cognac !), puis tu approcheras une chaise que tu mettras face à nos deux fauteuils, tu t’assiéras et tu seras accessoirisée et vêtue comme José le voudra : tu as encore quelques anecdotes à nous raconter, car toute la soirée n’a pas pu être enregistrée »

    Je souris, approuve et fermant les yeux je savoure une deuxième cigarette, un café fabuleux et un Napoléon XO hors d'âge dont j'ignorais l'existence !

    Chapitre 134

    Quand j'écrase ma cigarette, verres et tasses sont vides, car finalement Yves a offert le même menu à tout le monde.

    Je me lève et pendant que les hommes débarrassent, je ramène une chaise paillée de la cuisine et la pose face aux deux fauteuils que je colle bien ensemble.

    Et je m'assieds sur la chaise, cuisses et pieds bien joints, mains posées à plat sur mes cuisses, attendant visiblement des ordres.

    José me demande de dire à Yves ce que j’ai dans mes orifices : « Rien dans le con et les trois boules de geisha dans le sphincter, Amo Mio » « Les boules de geisha sont où ? Je n'ai pas bien compris ! » « Pardon, Amo Mio, les trois boules de geisha sont dans mon trou à merde, juste le temps de me remettre dans mon rôle, Amo Mio, pardon ! »

    « Ok, tu es pardonnée pour cette fois, mais plus une seule erreur dans la soirée pouffiasse ! » « Oui, Amo Mio, je vous demande encore pardon »

    « Lève toi, va chercher un panier dans la cuisine, nous allons ramener quelques accessoires qui t'hérissent le duvet de tes bras de plaisir et Yves va filmer tout ça calmement »

    Nous nous retrouvons dans la chambre et José commence sa liste de course comme si c'était une liste de supermarché !

    « Prends un de tes gros vibros : en te défonçant le con tu t'occuperas les mains tout en répondant à nos questions, prends aussi une paire de menottes pour t'attacher les mains sur le ventre. Tu prends aussi tes deux lacets de cuir pour bloquer la base de tes nichons, deux écraseurs de tétons, deux lests de 200 grammes et deux clochettes qui tintent facilement avec leurs accroches. Tu vas rajouter ton collier de cuir avec les picots tournés vers le cou, et pour ton nez les deux crochets qui entrent dans tes narines avec un élastique accroché au collier du cou, pour une bonne tension. Tu vas aussi mettre 24 grandes pinces à linge en plastique. Et tu finiras par 2 paires de menottes pour tes chevilles. Voilà, n'oublie rien et quand tu auras tout réuni, rejoins-nous dans le salon »

    Chapitre 135

    Il me faut peu de temps pour tout finir de réunir et je les suis de peu au salon, à la demande de José, je sors tous les accessoires du panier et les mets un à un, bien rangés, sur la table en verre.

    « Bien, c'est parfait, voyons maintenant les séances que nous n'avons pas pu enregistrer pour que tu puisses t'en rappeler pour nous les raconter devant la caméra, à toi petite pute »

    « Oui, je vais essayer de ne rien oublier dans mon résumé : le départ d'ici en tenue très sexy, le trajet à pied jusqu'au Corté Inglès, tous les hommes m'ont prises pour une pute, Amo Mio m'a fait accepter une invitation par un certain Juan à qui Amo Mio m'a ordonné de lui promettre que je viendrai le voir plus tard dans la nuit »

    José me cingle d'un : « Continue de te mettre à poil moralement sale pute, qu'on te confonde avec une pute t'avait trempé la connasse, je te suivais à l'odeur sur ce trottoir ! »

    « Oooooh, oui, Amo Mio, vous avez raison, au Corté Ingles, dans les escalators, Amo Mio m'a exhibée pour deux jeunes hommes »

    « Et ? Ca t'a fait mouiller bien sur ? » « Oui Yves, surtout que Amo Mio m'a murmuré que ça rendrait service à ces deux jeunes gens de se branler en pensant à la salope du Corté Inglès »

    «Au rayon lingerie, nous rencontrons Anita, qui comprend de suite ce que désire Amo Mio : culotte fendue et soutien-gorge seins nus, Yves, tu as eu le film des mes essayages et de ma séance avec l'inconnu qui a joui sur mes nichons dans la cabine » « Oui, très belle séquence, tu étais très pute ! » « Merci, Yves, je faisais ça en pensant à vous satisfaire tous les deux » « C'était réussi, ensuite ? » « Puis je suis allée aux toilettes, et en revenant, il était en pleine conversation avec Anita, mais à part lui montrer mon clip de la cabine, je ne sais pas ce qu’ils se disaient »

    Chapitre 136

    José prend le relais : « Anita m’a apprit qu’elle avait de suite vu que nous étions un couple bdsm et que, malgré ses 25 ans elle dominait des femmes et parfois même des couples depuis l’âge de 18 ans. Elle m’a demandé pourquoi Loré ne portait pas de pinces à seins et m’a donnée une adresse et un modèle de pinces à acheter. Elle m’a aussi avoué que Loré la faisait mouiller et qu’elle aimerait bien passer un moment avec elle dans une cabine d’essayage et que nous pourrions nous voir tous les trois, à la fermeture du magasin, pour une partouze bdsm où elle baiserait avec moi.

    Elle m’a aussi dit qu’elle terminait une petite ferme avec donjon consacrée à la domination et que Loré lui semblait la soumise idéale pour l’étrenner. Sa franchise et tous ses désirs m'ont fait sourire. Je la sentais très enthousiaste, et pas du tout habituée à rencontrer des femmes du calibre de ta pute d'épouse ! » « Entendu, José, ensuite il y a eu cette fameuse séance de gouinage entre les deux femmes, j’avoue que ça m’a fait bander comme un âne ! » « Et, moi donc, qui étais à quelques mètres d'elles en train de filmer ! Puis nous sommes allés acheter ces pinces »

    José les sort de la poche et les montre à Yves qui les apprécie beaucoup : « Avec moi, tu ne sortiras plus sans ces pinces ma Loré ! » « Allez, salope en chaleur : continue ton résumé »

    « Après la brasserie, dont tu as eu le clip, Anita nous a rejoint et conduits chez elle. Depuis notre arrivée dans le hall, jusqu’à notre départ, tu as les images, ce qui te manque, c’est qu’en montant, Anita m'a présentée à son voisin du troisième et qu'après notre partouze à trois chez elle, elle m'a envoyée me faire baiser par lui, et nous sommes rentrés à la maison. Pour continuer la fête !

    José prend la parole : « Bien, ma salope, tu vas commencer en te résumant un peu à nous et en nous disant des choses intimes que tu ne nous a pas encore dites, tu t'assieds sur cette chaise adossée au dossier, nous t'écoutons »

    « Mes deux Maîtres vénérés, bonsoir. Je suis soumise depuis mes 26 ans un peu par hasard, j'en ai 34 mais depuis 4 ans, c'est une Maîtresse dominante française, Cathy, qui gère mon calepin de rendez-vous, et mon mari à qui je demande de me dominer certains soirs : disons que j'aime m'offrir, surtout par vice et que si parfois je suis dégoûtée par un ordre que je viens de réaliser, au bout d'une semaine ça devient un souvenir qui me fait rétrospectivement mouiller comme une salope. Les amateurs de bdsm que vous êtes pourront en conclure que je suis soumise par goût et forcément par une absence de caractère, que j'ai probablement un poste de dirigeante et que de confier mes décisions à d'autres me repose de temps à autre, et que je fonctionne comme une pute, ou comme une call girl de luxe car les profits de mon Q dépassent largement les profits de mon QI ! »

    Chapitre 137

    Amo Mio juge ma confession : « Belle présentation, tu continues à ne pas manquer d'humour, mais comme tout ce qui te touche s'estompe en une semaine, nous n'allons pas te ménager : avant de commencer ton récit, tu vas ôter ton très bel escarpin gauche, le lécher entièrement en gros plan télé, bien évidemment sans oublier la semelle et le sourire épanoui d'une artisane qui aime bien faire son travail ! »

    « José, comme elle ne peut pas commencer son récit en suçant sa chaussure, n'aimerais-tu pas qu'elle nous commente son gage ? » « Super idée, Yves, vas-y connasse dis nous ce que tu penses ! » « J'ai un peu de mal à me voir en gros plan sur cette immense écran plasma en train d'enlever mon escarpin gauche, de le porter à ma bouche pour longuement en lécher le cuir, de mettre le talon et la pointe dans la bouche et de les piper comme des pines, pour finir par salir ma langue sur la semelle qui forcément n'est pas toute nette, en espérant qu'il n'y ait pas de merde de chiens, hum que j'aime faire ça devant vous et la caméra ! »

    Ayant terminé mon gage, je commence mon récit : « Donc ce soir vers 22 heures 30, Amo Mio décide de m'emmener aux nocturnes du Corté Inglès. Pour cette sortie, il m'habille d'une jupe de coton très courte, de spartiates à longs lacets, d'un débardeur très ample avec une vue totale sur mes nichons de face ou de côté, et le collier de trois boules de geisha dans le trou à merde, bref une tenue "pousse-au-viol" car sans aucun sous-vêtements.

    Yves lui confie sa caméra hyper professionnelle, reliée directement à son PC, condition convenue pour que je puisse aller balancer mon cul dans la rue sans lui. Nous avions environ 500 mètres à faire à pied, et comme Amo Mio marche derrière moi, tous les hommes pensent que je suis une pute faisant son job et leurs propositions sont claires et chiffrées »

    « Combien te propose-t-on et pourquoi faire ? » « Ca va de 20 euros la pipe à 200 euros la nuit » « Et tu ressens quoi en étant traitée comme une pute ? » « Amusement, presqu'un jeu, sachant que je ne pense pas que Amo Mio m'obligera à faire une passe »

    « Mais s'il t'avait demandée de piper tu te serais exécutée ? » « Bien sur, quand j'ai décidé de me soumettre, je me soumets complètement dans la limite de mes tabous » « Ok continue, mais avant, enlève ton bas gauche, et pour se faire lève toi, pose ton pied sur la chaise, défais ton bas du porte-jarretelles, roule le lentement et offre nous un très gros plan de ton pied nu et de tes ongles bien peints en rouge vif comme toutes les salopes de cette terre ! » Je souris en regardant Amo Mio qui me fait un clin d’œil très complice !

    Chapitre 138

    « Je m'exécute et je continue mon récit : nous passons devant un bar d'où jaillit un jeune homme très beau et bien habillé, qui m'aborde directement en me disant qu'il se doit « d'offrir un verre à tout mirage passant devant ses yeux ébahis ».

    J'ai un appel d'Amo Mio qui a tout suivi et qui m'ordonne d'accepter ce verre et de lui promettre un rendez-vous pour cette nuit. L'entretien dure peu de temps, il est là jusqu'à l'aube avec ses copains, s'appelle Juan et il bande déjà de me revoir. Un autre appel d'Amo Mio m'oblige à lui mentir : « Je suis désolée mon rendez-vous est arrivé, à tout à l'heure tard dans la nuit, une bise sur sa joue et je pars presqu'en courant »

    Bas enlevé, je me rassieds sur la chaise. « Donc puisque José te l'ordonne tu iras te faire sauter ? » « Oui, sans aucun motif de refuser » « Par amour de la baise ou de l'obéissance ? » « Surement de l'obéissance, je déteste promettre sans tenir »

    « Nous arrivons au Corté Ingles, qui ferme en effet à minuit, en montant le grand escalier extérieur, ma tenue déclenche l'intérêt de deux ados qui nous emboîtent le pas, nous prenons l'escalator, Amo Mio a bien sur vu que nous avions de jeunes voyeurs, il me dit de ne pas monter de marches et de laisser faire l'escalator. Il est à gauche sur la même marche que moi et sans hésitation il m'ordonne de relever ma jupe en dévoilant la quasi totalité de mes fesses. Dès que je l'ai fait, il me pétrit d'une main ferme le cul, me caresse de haut en bas la raie humide et chaude et finit en glissant 2 doigts dans mon cul, m'obligeant à un petit gémissement que les ados n'ont pas pu rater. En quittant l'escalator, il baisse ma jupe, me donne ses deux doigts à nettoyer et me dit à l'oreille : « En voilà deux qui auront une belle image pour se branler, ce soir en pensant à la salope qu'ils ont vu se faire enculer au Corte Ingles ! »

    « Très excitant continue salope ! Mais avant tu vas enlever ta culotte de pouffiasse de bordel, renifle la, humidifie la dans ta bouche et pour finir rentre la dans ton con qui doit être trempé comme d'habitude »

    Je m'exécute en prenant plaisir à les exciter par des gestes très obscènes et lascifs, avec un sourire qui leur prouve combien je suis heureuse de leur obéir.

    Et la chatte remplie de la culotte, je continue :

    « Nous arrivons au rayon lingerie, où nous rencontrons une jeune vendeuse, Anita, qui, a bien compris ce que désirait Amo Mio pour moi » « Ah, oui, la parure, culotte fendue et soutien-gorge seins nus que tu portes ce soir : très bon choix.José ! » « Tu as eu le film des mes essayages et ma séance avec un inconnu appelé Javier ? » « Oui, très belle séquence, très excitante, tu étais quasiment une putain professionnelle ! » « Merci, Yves, je faisais ça en pensant à vous deux, et je voulais vous satisfaire »

    Chapitre 139

    « C’est réussi, ensuite ? » « Après la jouissance de Javier, je suis allée me rafraîchir dans les toilettes, en en ressortant, Amo Mio était en pleine conversation avec Anita, mais à part lui montrer le clip qu'il venait de réaliser avec Javier, je ne sais pas ce qu’ils se disaient »

    C'est José qui continue : je vais raconter la suite, car il est exact que ta pute n'a rien entendu, mais, pendant ce temps et pour ne pas perdre ton temps : tu vas faire quelques gages : comme de rester assise pour t'enlever la chaussure droite et de te lever pour profiter que ton con est quasiment vide pour le pistonner une bonne trentaine de fois avec le bout de ta chaussure. Après avoir nettoyé ta chaussure de ta langue, tu quitteras ton bas droit comme tu l'as fait pour le gauche, et en enlevant ta jupe, tu nous prouveras que tu es bien nue de la taille aux pieds en exceptant ton porte-jarretelles inutile, allez vas-y et ne te trompe surtout pas »

    Ayant bien mémorisé ce que je dois faire, je m'exécute lentement toujours avec des attitudes et des sourires vicieux en écoutant attentivement Amo Mio :

    « Oui, Anita avait du s’absenter et est revenue au moment où Loré partait. Elle m’a avoué qu’elle avait de suite vu quel type de couple nous étions, et, que, malgré ses 25 ans elle dominait des femmes et des couples depuis ses 18 ans. Elle m’a demandé pourquoi Loré ne portait pas de pinces à seins et devant ma réponse, elle m’a donnée une adresse et un modèle de pinces à acheter. Un peu troublée, elle m’a aussi avoué que Loré la faisait mouiller et qu’elle aimerait bien passer un moment avec elle dans une cabine d’essayage et que si j'en avais envie, nous pourrions, à la fermeture du magasin, la partouzer tous les deux pour que je la vois dominer une femme et qu'elle me voit baiser avec moi.

    Elle m’a aussi dit qu’elle terminait de préparer une ferme entièrement consacrée à la domination et qu'elle allait probablement quitter son travail au Corté pour se consacrer totalement à cette activité, et elle pensait que ma pute était la soumise idéale pour l’étrenner. Sa franchise et tous ses désirs m'ont fait sourire. Je la sentais très enthousiaste, et pas du tout habituée à rencontrer des femmes du calibre de ta pute d'épouse ! Je te reparlerai de ce projet de ferme plus tard, Yves »

    « Entendu, José, bon je vois que ma bourgeoise d'épouse a terminé ses petites corvées exhibitionnistes, je te laisse lui infliger d'autres punitions, car, après cette conversation très intéressante, il y a eu cette séance de gouinage bdsm entre mon esclave de femme et Anita : j’avoue que ça m’a fait bander comme un âne ! »

    Chapitre 140

    « Je ne te parle pas de mon état, moi qui était à un mètre d’elles ! Très bien ma pute salope, tu ne t'es pas trompée, à présent, tu vas te mettre debout et ôter tout ce qui te reste, en gros plan devant la caméra : ton porte-jarretelles, ton débardeur et tes boules de geisha, et quand tu auras fini, tu te rassiéras à poil mais en retournant la chaise pour être face à nous avec tes nichons appuyés au dossier de la chaise. Allez, au travail, et c'est toi qui reprend le récit ! »

    Je me suis levée pour finir de me mettre à poil et changer ma chaise de position, tout en continuant de raconter nos aventures.

    « En sortant du Corté Inglès, nous sommes allés acheter ces pinces » José les sort de la poche et les lui montre. Yves les apprécie beaucoup : « Avec moi, tu ne sortiras plus sans ces pinces ma Loré ! » « Ensuite, nous sommes allés en terrasse d’une grande brasserie. Amo Mio m'a expliqué ce qu'il attendait de moi et tu as reçu le résultat directement sur ton PC, et j'ai même remercié Amo Mio de t'avoir envoyé en live ma séance avec Ernesto, alors que lui n'avait que le son » « Oui, c'est en effet très gentil de ta part José, mais toi ma pute, tu t'es déchaînée. Je me suis branlé comme un ado en matant tes poses et tes obscénités. J’avais parfois du mal à te reconnaître ! »

    José rajoute : « Elle m’avait promis de tout faire pour nous deux, je reconnais qu’elle a tenu parole »

    « Allez, Loré, continue »

    « Après la brasserie, Anita nous a rejoint et nous sommes allés chez elle. Depuis notre arrivée dans le hall où elle m'a fait monter les quatre étages à poil, jusqu’à notre départ, tu as les images, ce qui te manque, c’est qu’en montant, Anita m'a présentée à poil à son voisin du troisième et qu'après avoir fini, elle m'a envoyée me faire baiser par lui, sans caméra. Vous n'avez rien manqué, mes Maîtres, imaginez un beau surfeur bien monté, qui m'ouvre à poil, me fait mettre dans le même état, s'assied sur mes nichons, se fait une branlette espagnole avec une pine tellement longue que je peux en pomper le bout. Il s'arrête, écarte mes cuisses et me pénètre d'un coup, il me lime trois ou quatre minutes et jouit dans mon con sans capote. Pour me remercier, il annonce qu'à son retour de la douche, je dois avoir bougé mon cul de son appart, et qu'il hait les putes.

    « Et, tu n’as pas aimé te faire tringler comme un morceau de viande froide ? » « Tu sais bien, Yves que je suis aussi vicieuse que sentimentale : mon corps a aimé mais ma tête pas du tout ! »

    José rit : « Pas grave, pouffiasse, tout s’apprend dans la vie et tu es loin d’avoir fini ton éducation ! »

    Chapitre 141

    « Oui, Amo Mio je suis sure que vous avez raison, et pour terminer nos aventures, Amo Mio m'a offert un taxi pour revenir plus rapidement car nous avions peur que tu ne te fasses du souci »

    « Merci à tous les deux, j'ai eu à domicile des infos, des récits très hards et des photos encore plus hots de ma pute, de quoi monter un super récit de début de soirée qui va profiter à pas mal de monde, je pense surtout à tes amis de New York ma pute ! Mais José a aussi quelques idées dont nous essaierons de parler durant ce weekend-end ! »

    « Il n'y a rien d'urgent mon cher Yves, pour le moment, nous allons accessoiriser ta charmante femme-pute-esclave-à croquer ! 

    « Allons-y, je ne connais pas tes envies, je te suis et dis moi comment je peux t'aider ! »

    « Je vais te dire une bêtise, mais tu peux constater que Miss Vice est face à nous, totalement à poil, torse appuyé sur le dossier de la chaise, assise a califourchon ses deux pieds de chaque côté de l'assise de la chaise : nous avons la même vision d'elle ? »

    « Yves rit de bon coeur : oui José tu ne rêves pas elle est assise exactement comme ça ! »

    Je suis soucieuse car je me méfie des séances qui commencent sur un ton badin, je sais pas expérience elles peuvent se terminer très mal.

    « Yves, tu vas prendre huit pinces à linge et les deux menottes de chevilles, tu vas te placer derrière elle, tu lui feras soulever ses pieds nus vers toi et tu placeras une pince entre chaque orteil, en les enfonçant le plus possible entre les doigts. Elle va forcément couiner quand tu arriveras aux petits doigts, laisse la couiner, elle n'est pas ici pour être dorlotée. Quand tu auras fini avec les pinces, tu lui attacheras chaque cheville avec les menottes spéciales : de telle sorte que les hauts de ses chevilles soient reliés à deux pieds de la chaise, mais en lui tendant un maximum les pieds vers l'arrière pour l'empêcher de bouger trop amplement son ventre, mais pas son cul : attention c'est très important »

    « Ok, j'ai bien compris, je m'en occupe José ! »

    Yves passe derrière moi alors que José s'excuse et disparaît vers la chambre, il en revient très vite, je suppose qu'il avait oublié quelque accessoire pour mieux jouer avec moi !

    « De mon côté, je vais m'occuper de cette jolie tête de salope vicieuse ! Voilà, un collier de cuir, bien à ta taille, avec des super picots tournés vers la chair de ton cou, je ne le serre pas de trop, mais juste ce qu'il faut pour que tu te sentes bien chienne ! Maintenant, regarde, tu dois connaître : c'est un "tire-nez" : un crochet se fixe dans un des anneaux à l'arrière du collier, un élastique passe sur ta tête et se termine par deux crochets plastifiés qui vont rentrer dans tes deux narines : tu vas être obligée de pencher un peu la tête en arrière et tu auras un peu de mal à respirer avec ton nez, mais tu nous offriras de belles images ! Et pour terminer la décoration de ton visage, tu vas recevoir deux beaux pendentifs d'oreilles qui ne sont que de simples écraseurs de tétons agrémentés d'un lest de deux cents grammes ! »

    Et joignant la parole au geste il me pose ses deux écraseurs qui me font de suite un mal de chien, surtout quand il les leste.

    Chapitre 142

    Dans le même temps, Yves a terminé sa tâche, il a vicieusement pris soin de faire en sorte que mes orteils soient immobilisés contre le sol, comme si j'étais sur la pointe des pieds, ce qui me fait sentir encore plus fort le pincement et la pression des huit pinces.

    Les deux hommes se félicitent, José vient constater que je peux tout de même bouger mon cul vers l'avant. Il semble que ça lui convient pour le moment et Yves vient s'amuser à bouger mes boucles d'oreilles d'esclave : je ne savais pas que les lobes d'oreilles étaient si fragiles, là j'ai le temps de m'en rendre compte.

    « Bien, nous allons continuer : tu vas t'occuper de son nichon gauche et moi du droit, ok »

    « Pas de souci, je te suis »

    « Alors, prends comme moi : un des colliers de cuir de serrage de la base de son sein, huit pinces en plastique, un écrase-téton en fer, un lest de deux cents grammes, une petite clochette avec fixation et tu la finiras différemment de moi : donc tu prends le gros vibro prévu, mais nous allons supprimer les menottes simples et tu vas aller chercher un écarteur de poignets en métal avec une attache-collier en son milieu, ce sera plus fun pour elle, et moi je prends des bricoles pour finir le travail »

    « Voilà j'ai tout, je suis bien placé pour m'occuper de sa gauche »

    « Ok, en avant : tu vas commencer par lui mettre les huit pinces en rond autour de son aréole, attention, prends beaucoup de chair, sinon elles risquent de se décrocher »

    Ils me pincent soigneusement le gras des seins, Yves refait même son cercle qui n'était pas parfait, puis Amo Mio ordonne :

    « Maintenant, petite pute tu vas un peu te reculer sur ta chaise et faire en sorte que tes nichons pendouillent comme si tu avais 50 ans ! Voilà, bien, fais les bouger, là ils pendent bien, Yves nous allons en profiter pour glisser nos colliers de serrage à la base de ses nichons bien détendus »

    Ce qu'ils font tous les deux en évitant gentiment de cogner ou de toucher les pinces : « Ne serre pas ton collier pour le moment, il faut lui passer chacun des nichons entre les deux barreaux les plus écartés, et quand tu seras sur que le collier est bien contre le bois, tu serreras en position cinq sur six, tu vas voir que son nichon va gonfler immédiatement »

    Je peux assister moi même au gonflement immédiat de mes seins qui au bout de quelques secondes ne peuvent plus repasser dans l'espace des deux barreaux : ma poitrine est emprisonnée de l'autre côté de la chaise, ce qui, cumulé au blocage de mes pieds et chevilles m'interdit quasiment tout mouvement exception faite de mon bassin.

    « Pour terminer ses nichons, nous allons lui poser un écrase-téton, avec son lest et sa clochette, pour l'ambiance musicale ! »

    Quand je cesse mes hurlements, mes seins sont finis ! Je ne peux pas respirer sans que les lests ne bougent et à chaque mouvement un peu plus fort la fée Clochette indique qu'elle est contente de moi et qu'elle apprécie mes nibards de pute dégueulasse !

    Suite dans le tome 6




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  • Loré à Madrid tome 6

    Chapitre 143

    Ils me laissent gémir de douleur sans plus s'occuper de moi.

    José me termine en reliant avec une cordelette les deux lacets de la base de mes seins et en accrochant cette cordelette bien tendue à un anneau situé devant mon collier de cou, et, ce, je suppose pour diminuer encore ma marge de mouvements.

    J'attends qu'Yves intervienne pour que mon bondage soit vraiment terminé, car pour le moment je ne vois pas ce qu'ils cherchent.

    Ils passent derrière moi et je sens une main me caresser la croupe et José dire : « Tu vois Yves, cette position est peu connue, mais elle est aussi pratique qu'étrange : la tête est tendue et penchée vers l'arrière à cause du tire-nez, le cul est très bas sur l'assise de la chaise, à cause du bondage des seins vers l'avant et des chevilles vers l'arrière, mais le cul et le bas ventre peuvent se mouvoir sans beaucoup de difficulté mais pas sur un gros espace à cause du bondage bas de cette position qui permet une fantaisie qui n'est pratiquement possible que dans cette posture ! »

    « Tu excites ma curiosité, je ne vois pas où tu veux en venir ! »

    « Ne te fais pas de souci, dans deux minutes, tu sauras ce qui va se passer en même temps que ta pute de femme pleine de charme et de vices ! »

    « Allez finissons-en avec elle pour de bon ! Il nous manque à lui poser l'écarteur de poignets que je t'ai demandé de rapatrier de la chambre, puis le vibro »

    « L'écarteur est là, je suppose qu'une fois posé il nous restera à lui attacher les poignets, mais avant, nous avons une petite opération à effectuer, peux-tu m'apporter de la vaseline, Yves, s'il te plait ? »

    Chapitre 144

    « Aucun problème, en boîte ou en tube, José ? »

    « Plutôt en tube s'il te plait »

    Yves revient très rapidement de l'armoire sex-shop de notre chambre avec un gros tube de vaseline à peine entamé.

    « Bien, notre petite pute a encore l'usage de ses mains, je vais prévoir quelques kleenex et toi Yves, tu vas veiller à ce qu'elle enlève le chapelet des 3 boules de geisha qu'elle a dans le cul depuis je ne sais combien de temps ! »

    « Ah, oui j'avais failli les oublier celles-là ! Au moins ma pute de femme doit avoir le trou à merde bien dilaté ! Allez ma salope, tu as compris ce que veux ton Amo Mio, alors pousse fort comme si tu voulais chier et fais nous sortir ces 3 boules, je te donnerai quelques kleenex pour les envelopper »

    Je n'ai aucun autre choix, je me mets en position, cul bien tendu vers l'arrière, et je pousse en ouvrant mon anus de mes deux mains, je suis tellement dilatée que les 2 premières boules sortent seules et qu'en insistant un peu la troisième est dehors, je prends le chapelet dans ma main droite et l'enveloppe vite dans les kleenex que me tend Yves.

    « Parfait, elle a le trou du cul bien vidé et bien dilaté, à présent Yves, je vais aller te chercher le vibro qu'elle va utiliser ! »

    « Ah tu as changé d'idée ? »

    « Oui, tu vas voir ! »

    José prend le vibro qui était prêt, va dans la chambre et l'échange contre un autre. Il revient au salon et me le montre : je frémis car je le connais bien, mais je le redoute et ma grimace n'échappe pas à José, qui me dit :

    « Je ne connais pas ce beau joujou, mais ma pute aux trous bien accueillants, je suis sur que tu vas me faire une belle comparaison des deux »

    Chapitre 145

    « Ooooh, Amo Mio, je redoute celui que vous avez choisi ! »

    « Je l'ai vu dans tes yeux, ton époux sait pourquoi, mais moi non, alors j'attends tes explications, et les couleurs te facilitent leur présentation : l'ancien est noir et le nouveau est couleur chair ! »

    « Bien, Amo Mio : le chair est un peu moins gros que le noir, mais il est couvert de sa base à son gland de picots de latex souple assez longs, alors que le noir est lisse. Les deux sont aussi longs, mais le chair a un gland mobile et a un programme intégré. Il est destiné à être mis en place, bien bloqué au fond du vagin. La première étape du programme le fait vibrer très fort sur toute sa longueur, caressant donc très durement l'intérieur des parois intimes, puis il se rétracte d'environ 50% et exécute une trentaine de pénétrations plus ou moins rapides selon la vitesse choisie, et pour terminer son cycle, il se bloque dans le fond du vagin, et seul son gland vibre en tournant sur lui même pour bien ramoner le fond du con, voilà pourquoi je le redoute tant, Amo Mio ! »

    « Que tu le redoutes, sale connasse de pute, je m'en fous totalement, ce qui m'intéresse c'est de savoir s'il t'a déjà envoyée en l'air avec son cycle de machine à laver ? »

    « Oh, oui, Amo Mio, je ne saurais dire combien de fois, mais c'est un sextoy absolument infaillible ! »

    « En fait tu es contente de mon choix sale perverse ? »

    « Je dois vous répondre que oui, Amo Mio, bien que je sache que je vais jouir dans un mélange de douleur et de plaisir très fort »

    « L'important est que tu jouisses, c'est bien ce que tu attends de ce weekend de soumission, sale obsédée sexuelle ? »

    « Oui, Amo Mio, je n'ai rien à vous refuser, même si pour m'envoyer en l'air comme une truie en rut, je dois beaucoup souffrir »

    Chapitre 146

    « Bien, mais nous allons essayer de te ménager un peu : Yves va te passer le tube de vaseline, avec tes mains encore libres tu vas enduire le vibro du gland à la base, et je te conseille de le lubrifier entièrement et de ne pas te salir les mains, car je ne compte pas te les faire nettoyer, quant à l'insertion du monstre, rassure toi c'est Yves et moi qui nous en occuperons »

    Yves me repositionne un peu plus en avant, il me donne le vibro et la vaseline, et en le tenant par le moteur protégé par une plaque de latex pour qu'il ne disparaisse pas dans le corps de la soumise, gland en bas, je le badigeonne de bas en haut comme si je posais une guirlande de Noël sur un sapin à l'envers !

    Je vérifie mon travail, mais Yves et José me confirment que la couche de vaseline est bien homogène, et Yves récupère précautionneusement le vibro par le bouton du moteur.

    « Comme tu as cet engin dans la main, je vais m'occuper de finir ta pute de femme, maintenant qu'elle sait qu'elle va orgasmer comme une vache saillie par un taureau, il ne faut pas trop la faire attendre ! »

    « Vas-y, commente moi ce que tu fais, je te regarde, José »

    « Avant de terminer, aide moi à mettre en place ta femme : il faut lui écarter le plus possible les nichons du dossier de la chaise et redresser au maximum ses reins pour bien faire saillir son petit cul si attirant ! »

    Ils s'exécutent avec un peu de difficulté car mes liens ne facilitent pas leur tâche.

    « Bien, ça devrait aller, à présent, voyons cet écarteur : je vais le poser sur sa nuque, ce qui lui fera une contrainte de poids en plus, et le clipser directement à un des anneaux à l'arrière du collier de son cou. Puis, il me restera à lui attacher les poignets aux deux extrémités de la barre avec les lacets de cuir prévus, mais contrairement aux bases de ses nichons, je vais serrer ses lacets le plus possible, de façon à lui faire sentir sa forte dépendance, car tu n'ignores sans doute pas qu'un écarteur de poignets est très gênant et très embarrassant, car il oblige la soumise à s'ouvrir totalement des bras et en plus à projeter ses seins très en avant, tout en lui cambrant et en lui levant le cul, ce qui est important ! Tu penses que notre petite pute est prête, à présent ? »

    « Hum, pas sur cher ami, il manque le vibro que j'ai dans la main et vue la manière dont tu lui a attaché les mains, je suppose qu'elle ne va pas top le manipuler ! »

    « Bien observé ! Yves : la fin du suspens arrive de suite »

    Chapitre 147

    « Tu sais comment on va la baiser avec ce vibro futuriste ? »

    « Hum, j'avoue ne pas trop savoir comment tu comptes procéder, José ? »

    « Bien, rejoins moi derrière elle ! »

    Je suis très inquiète, car je commence à avoir des soupçons sur une utilisation réellement honnête de ce vibro.

    Quand les deux mains de José se posent autour de mon anus pour ouvrir le plus largement possible mon petit trou à merde, je sais ce qu'il va m'arriver et j'en ai de suite la confirmation par José qui dit à Yves : « Deux secondes, je dépose une grosse boule de vaseline sur son anus, et sitôt après tu pointeras le gland du vibro au même endroit, et tu vas te charger toi-même d'enculer ta femme, jusqu'à ce le vibro soit bloqué au fond de son cul »

    J'essaye de protester ! : « Oooooh, Amo Mio, pourquoi dans le cul ? »

    Je prends deux allers-retours de la part de José qui me fusille avec un : « Ta gueule connasse, mets toi tes questions et tes revendications dans le trou du cul et fous moi la paix, tu as mal du m'entendre dans la soirée, j'ai promis à ton mari que tu allais jouir uniquement du cul, sans te toucher : eh bien voilà, c'est le moment, prends ton temps, Yves et moi ne sommes pas pressés, et j'aimerais que tu nous offres un vrai tsunami, et que tu en profites pour dire toute la vérité sur ce ras de marée à ton chéri ! »

    « Ah, ne me dis pas que Loré me cache quelque chose ? Je ne te croirai pas »

    « Non, rassure-toi Yves, c'est une découverte récente de Cathy et Loré attendait une occasion très sex pour t'en parler, ce weekend hot lui a semblé être le moment idéal ! »

    « Ah, ok ! Mais tu sais que depuis que je domine Loré, je n'ai réussi à la faire jouir du cul qu'une seule fois, et selon Cathy, elle n'a jamais joui comme ça en sa présence »

    « Possible, mais rien n'est infaisable, alors nous allons tenter cette expérience et je suis sur que brûlante comme elle l'est, non seulement ça ne sera pas long mais que ça va être gigantesque ! »

    Pendant que je me plains et que José me rabroue, Yves continue son travail, le vibro est rapidement enfoncé à moitié dans mon cul. José lui propose de l'aider mais Yves lui répond : « Non merci, José j'ai beaucoup de plaisir à enculer ma salope de femme, ça fait longtemps que je ne lui avais plus godé son petit trou à merde, et j'ai quasiment terminé : penche-toi et regarde, il ne manque qu'un petit cinquième pour que ses fesses cognent la plaque de protection ! »

    « Parfait, quand il est bien au fond, tu le mets sur la vitesse 3 » « José je te coupe, tu sais qu'il y a 5 vitesses ? » « Oui, j'ai vu ça au passage, on se réserve les deux autres au cas où » « Ok »

    « Et tu pourras abandonner ta femme, elle a deux objectifs : jouir du cul devant la caméra que nous allons, pour le moment, poser sur son trépied, et t'expliquer ce qu'est un tsunami dans sa bouche de pute baiseuse ! »

    Chapitre 148

    Yves me quitte car le vibro me remplit le cul et fais vibrer ses picots qui me caressent l'intérieur du sphincter et de l'intestin.

    « Et, nous, Yves, nous avons un objectif différent : écouter ta salope de femelle, la regarder monter à l’ascension de cet orgasme original, et profiter de la vie : en grignotant et en buvant ! »

    « Hum, superbe programme, mais je vais baisser un peu la lumière, Loré aimera surement cette intimité »

    « Bonne idée, vas-y »

    Je vois les hommes s'organiser devant moi, José est à présent comme chez lui, il réchauffe les tapas, sors et débouche les bouteilles, change les verres, Yves lui propose de se mettre un peu à l'aise en se dénudant de la taille aux pieds, et il accepte immédiatement, je vois passer devant moi avec envie deux belles bites que je connais bien, alors que j'apprends le rythme du vibro qui me défonce le cul et que j'essaye de me mettre au diapason.

    Ma position est en fait insupportable, chaque pénétration rapide du vibro dans son cycle et tellement fort que je me blesse les bouts de nichons durement pincés. Pour essayer d'amplifier mes mouvements de cul, de tricher un peu en essayant de poser ma connasse sur la paille de l'assise de ma chaise, je suis obligée de tirer sauvagement sur mes nichons, qui, à présent sont des ballons mauve foncé.

    Mais je dois reconnaître que José est un fin connaisseur des soumises, car, en fait : l'ambiance avec mes deux chéris et leurs pines fièrement dressées, leurs regards continus alors qu'ils discutent, mangent, boivent ou fument, mon bondage qui ne laisse rien au hasard et qui m'autorise juste à accompagner mon vibro dans son cycle, mon envie de jouir depuis que nous sommes allés au Corté Inglès, bref, toute cette accumulation de faits me rapproche après chaque cycle du vibro d'un plaisir inédit que je sens monter en moi, mais pas comme si je me branlais le clito ou que je partageais mon corps avec deux pines, mais plutôt comme une immense vague qui monte en moi, en fait un vrai tsunami !

    Je demande à Amo Mio si je peux parler.

    « Bien sur putain de gare, que veux-tu, à part que je t'enlève le vibro ou que je te libère ? »

    Je souris, malgré mes douleurs et mon excitation : « Non, Amo Mio, il n'en est pas question, je voudrais simplement honorer ma promesse envers Yves, mais, si pendant cette explication, vous aviez la gentillesse de mettre le vibro à une vitesse inférieure, je serais plus décontractée pour parler librement et ne pas dire de bêtise, Amo Mio »

    « Yves, vois-tu un inconvénient à accepter sa demande ? Pour ma part, elle me semble très raisonnable ! »

    « Tu as entièrement raison, José, et comme tu m'as mis l'eau à la bouche, j'ai hâte de savoir ce que ma chérie a à me dire ! »

    Chapitre 149

    José baisse lui même la vitesse à 2 !

    « Merci beaucoup Amo Mio ! »

    « Alors dis à Yves quel est le sujet de cette discussion ! »

    « C'est vous, Amo Mio qui lancez le sujet en me demandant de trancher un dilemme que vous avez actuellement avec moi. Vous m'assurez que sera très simple. Nous allons passer 2 jours de sexe, de baise et d'obéissance ensemble, et vous ne savez pas ce que je préférerais durant ce temps : quatre ou cinq orgasmes que vous qualifiez de "géants" comme celui que j'ai eu tout à l'heure chez nous ? Ou une cinquantaine de jouissances qui me feraient vous supplier d'arrêter de me faire jouir ou d'ordonner à d'autres qu'ils arrêtent de m'envoyer en l'air ? »

    « Super débat, bravo José, je n'avais jamais eu le courage de poser cette question à ma petite femme, probablement par un vieux reste de timidité, ou plus surement par le respect de son intimité de femme, car qu'est ce qui est plus intime qu'un orgasme dans la vie d'une femme ? »

    « Merci mon chéri d'amour ! J'ai alors demandé à Amo Mio si je pouvais oser un trait d'humour ? Il a semblé surpris mais, bon Prince, il ma gentiment répondu que vue ma récente notoriété de Reine des Putes, il ne pouvait pas me le refuser ! ne peux pas te le refuser ! Ayant cette autorisation, je lui souris malicieusement avant de lui asséner un : et vous prétendez me faire croire, Amo Mio, que cette question est, je vous cite : "Tu verras, c'est simple". Je suis peut être la Reine des Putes, mais surement pas la Reine des Connes, mon cher Amo Mio ! Ce à quoi il me répond du tac au tac : hum, ma pouffiasse, il est temps que je te reprenne en main, mais j'accepte ta réflexion pour ne pas frustrer ton mari chéri et j'attends de ta part une confession aussi franche que possible. Je l'ai rassuré sur mes intentions et lui ai juré que je n'abuserai jamais d'une autorisation, et que je connaissais bien mon rôle envers lui » « Très bien ma chérie, continue s'il te plaît, je suis suspendu à tes lèvres ! »

    « Ma réponse est simple : pourquoi pas un mélange des deux solutions ? Il me répond que ce serait bien, mais me demande plus d'explications que je suis heureuse de lui donner dans un long monologue »

    Chapitre 150

    « Bien, Amo Mio, je vais être obligée de vous livrer un secret très intime et très récent, et je sais qu'Yves ne le connaît pas, j'attendais une ambiance très sexe pour lui avouer cette découverte qui est en fait celle de ma Maîtresse française que j'appele Cathy qu'en nous ne sommes pas seules ou Madame quand elle me domine. En qualité de femme connaissant par coeur les autres femmes, elle s'est rapidement rendue compte de mon fonctionnement : en qualité de femme multi-orgasmique, chaque orgasme me donne envie d'en avoir un autre, et en réalité je ne sais pas combien de fois je pourrais jouir d’affilée durant un weekend de soumission : 30, 40 ou 50 fois ? Je n'en ai aucune idée. Malgré tout le respect que j'ai pour lui, mon chéri prétend que mon record serait, pour le moment, de 32 en un weekend de cul, mais je pense que ce nombre ne correspond à rien : je ne le vois pas se régaler de me filmer en train de m'envoyer en l'air et de cocher un petit bâton sur une feuille ! Moi je n'en sais absolument rien et je ne me donne pas à des dominants connus ou inconnus pour battre un record du Guinness Book. Je me donne pour un plaisir réciproque : celui de mon ou de ma partenaire et donc de leurs orgasmes et, accessoirement, des miens, je dirige déjà trois comptables dans la PME qui m'emploie, je n'ai pas envie d'en embaucher un de plus pour compter les fois où je m'envoie en l'air en baisant ou en partouzant ! »

    José et Yves sourient ce récit qu'ils jugent humoristique mais attendent visiblement la suite :

    Chapitre 151

    « J'ai rarement des orgasmes-géants que Cathy et moi appelons "tsunamis". Il y a environ 15 jours, lors d'une visite de weekend en France, j'ai eu l'occasion de passer une nuit avec ma Maîtresse et son mari »

    José m'interrompt « Car tu couches aussi avec le mari de ta Maîtresse ? »

    C'es Yves qui lui répond un peu ironiquement : « Pourquoi l'en empêcher ? Je préfère le savoir et recevoir par mail la vidéo de sa séance ! »

    « Bravo, les enfants quelle liberté entre vous ! Incroyable ! Continue Loré et excuse moi pour l'interruption ! »

    « Je vous en prie Amo Mio, donc c'est ce soir là que Cathy, a découvert sans le vouloir qu'il me fallait environ 4 heures d'excitation et de frustration pour aboutir à un tsunami. Il faut donc des séances très longues et des situations exceptionnelles pour que j'en réussisse un, mais ce qui est super frustrant en plus de la difficulté à les atteindre, c'est que ces tsunamis m'épuisent exactement comme la jouissance d'un homme qui après s'être vidé les couilles n'a envie que de repos, d'une bonne cigarette et d'un bon petit câlin très tendre »

    José me coupe la parole : « Mais dis moi petite pute docile, après ton tsunami de tout à l'heure, tu étais surexcitée, ça ne colle pas à ton hypothèse ? »

    « Mais non, bien au contraire : vous savez que depuis hier soir je suis au courant que je vais vivre une expérience unique, inédite et plus qu'exceptionnelle, ma libido est montée très très haut dans les tours comme dirait une pilote et même si j'ai perdu de l’énergie dans ce tsunami, il m'en restait beaucoup plus que durant une séance que j'oserais qualifier de classique »

    Chapitre 152

    « Je te suis bien, mais alors, quelle solution proposes-tu ? »

    « La solution est simple : quand, au cours d'une très longue séance, vous programmez, une pause dans les 2 ou 3 heures qui viennent, montez ma libido au maximum en m'excitant le plus possible, comme vous avez si bien su le faire en me privant d'orgasmes en début de soirée et vous avez obtenu un tsunami, sans le savoir.

    La pause pendant laquelle j'ai pu me reposer, me remettre en forme et reconstituer mon potentiel libido, a été suivie par toutes nos aventures sans orgasme dans la virée "Corté Inglès". Quand nous avons rejoint Yves, vous avez eu totalement raison d'en profiter en me dominant comme vous l'avez fait, sans savoir que vous alliez obtenir obligatoirement un tsunami et même le plus fort puisqu'un tsunami du cul !

    Alternez la jouissance très forte que je vais avoir, et une pause, et pour une nouvelle tranche de 5 heures, repartez comme vous le voulez sur une phase d'orgasmes répétés durant 3 heures et un tsunami au cap 5 heures, ou un tsunami au cap 3 heures et 2 heures d'orgasmes enchaînes.

    Me suis-je correctement exprimée, mes chers Maîtres ? »

    « Tu es très psychologue ma petite pute adorée ! A quand notre mariage ? ! Tu as su nous simplifier ce qui se passait dans la jolie tête d'une salope comme toi, j'en suis ébahi ! »

    « Tu n'as pas une conclusion à nous donner ma Chérie ? »

    « Bien sur mon amour : quand vous entamez une partie de bdsm qui risque de durer plusieurs heures, abusez de mes orgasmes pendant environ les 3/4 du temps et pour le 1/4 du temps restant, bloquez toutes mes jouissances en abusant des vôtres, pour que je me demande pourquoi vous me torturez mentalement de cette manière horrible (la privation de jouissance est pour moi la torture cérébrale la plus dure), voilà, Amo Mio, et mon tendre époux, j'espère que cette incursion dans ma vie plus que privée vous a prouvé la confiance que j'avais en vous. Je terminerai romantiquement par un simple : femme ou pute, je vous aime ! »

    Clap, clap, clap, mes hommes m'applaudissent et José remonte la vitesse à 4 en me disant à l'oreille : je veux que tout l'immeuble sache que tu es en train de jouir du cul et que tu es une salope offerte à tout le monde ! »

    Chapitre 153

    Le changement brutal de vitesse du cycle du vibro me cause un choc, car brutalement tous mes réflexes de femme en quête de cet orgasme monstrueux et contre nature reviennent d'un coup.

    Et pourtant ma position très en arrière de mes chevilles m'a tétanisé les muscles des cuisses et m'a obligée à rester une éternité écartelée en crapaudine, me contentant d'accompagner de tout mon bas ventre et de mon cul béant le piston ou la fouille du vibro dans ma grotte si fragile.

    Peut être que la décontraction qui s'est opérée durant mon récit a changé légèrement ma position, mais je sens que le haut de mes lèvres vaginales jouent de temps en temps les ventouse avec le paillage de ma chaise, ce qui me fait un peu oublier les douleurs et probablement mes blessures légères et qui m'encourage à empaler de plus en plus fort mon cul de pouffe sur mon vibro.

    J'espère de tout cœur que les hommes ne recommenceront jamais à m'attacher comme ça. Mais en même temps, mon optimisme joue à fond, car je sens que je gravis de plus en plus vite les quelques marches qui me séparent d'un fabuleux orgasme : celui du cul !

    Je murmure à José de venir vers moi.

    Il approche et d'une voix très faible je lui dis : « Amo Mio, je peux vous demander quelque chose d'étrange sans vous fâcher ? »

    « Bien sur belle salope, mais qu'as-tu fait de ta voix ? »

    J'arrive à sourire très difficilement et je lui réponds : « Plus mon cul me réclame : plus ma voix s'en va ! »

    « Oh, sale pute de ras de moquette ne me donne pas de faux espoir, sinon je te ferai souffrir à hurler de douleur ! »

    « Non, Amo Mio, vous n'aurez qu'une bonne surprise, mais je me sens partir vers des nuages magnifiques que je ne mérite surement pas, j'aimerais être punie sévèrement de monter sans permission vers un plaisir que je vais vous voler ! »

    « Tu ne vas rien voler, brave esclave, et tu as ma permission ! Tu ne te rends pas compte de ce que ton corps a enduré depuis que nous t'avons bondée sur cette chaise ! Je vais demander à Yves, nous allons te proposer en commun des punitions raisonnables et humiliantes, ça te va salope totale ? »

    Chapitre 154

    « Oh oui, merci, Amo Mio ! »

    Je le vois rejoindre Yves qui est à la cuisine, c'est bien comme ça, je n'entendrai pas leurs propositions de punitions, il est très rare que je réclame d'être punie, je ne le fais qu'avec Yves qui manque parfois d'un peu de courage pour me punir alors que j'en ai très envie, il est plus gros câlin après bite au cul que sado !.

    Les deux hommes reviennent ensemble avec de grands sourires, les deux pines toujours à l'air, Yves prend la parole : « Hum qu'as tu ma salope, un besoin d'auto punition pour compenser la force de l'orgasme que tu nous prépare ? »

    « Je ne sais pas, je sais juste que j'ai besoin de sentir votre toute puissance et votre autorité totale sur moi, dites-moi vite ce que vous avez imaginé, je jure solennellement à Mon Amo Mio que je jouirai du cul uniquement sur son ordre et à mon mari qu'il pourra me filmer le cul comme il le voudra, mais je vous en prie, je veux pleurer de douleur ou d'humiliation ou des deux ! »

    « Nous te proposons quatre punitions avant ta jouissance, tu es sure de vouloir en accepter autant sale esclave maso ? »

    « Dites les moi vite, je viens encore de franchir une marche vers le bonheur ! »

    José me répond : « Je passe ton vibro à la vitesse 5 qui est la plus forte ? »

    « Oh, oui, Amo Mio, merciiiiiiiiiiiiiiiii »

    « Bien, Yves et moi prenons deux cravaches en cuir et nous t'enlevons chaque pince des nichons uniquement en les frappant avec les bouts de cuir de nos cravaches : réfléchis bien, ça risque d'être très douloureux car tu as les pinces depuis longtemps ! »

    « Ouuuuuuiiiiiiiiiiiiiiii, mais rajoutez 20 coups de cravache sur les écraseurs de tétons quand vous aurez enlevé toutes les pinces »

    « Tu es déchaînée salope, ok on rajoutera les coups sur les écraseurs ! Tu ne penses pas que ça suffit ? »

    Chapitre 155

    « Non, j'en veux plus, voulez-vous vous vider les couilles dans ma bouche ou sur mes nichons meurtris avant que je ne jouisse ? Et s'il vous plait, comme vous aurez tiré votre coup, et que, logiquement, vous débanderez, pourriez vous me pisser sur le corps, juste après qu'Amo Mio m'aura autorisé à jouir du cul, un devant sur les nichons et l'autre derrière pissant au cul d'une salope vicieuse comme moi ? »

    Ils se concertent et José me confirme leur accord, en rajoutant : « Attention, sale pouffiasse vicieuse, nous n'arrêterons aucune de tes punitions, quelles que soient tes demandes de grâce, nous sommes clairs ? »

    « Oh oui mes Maîtres, très clairs, ma connasse n'est plus qu'un torrent de jus de pute vicieuse prête à tout, je crois que je n'ai jamais atteint ce stade de masochisme, je sais que lorsque j'aurai joui, je vais me haïr, pardonnez-moi à l'avance tous les deux »

    « Prêt Yves ? Je la passe à 5, toi va chercher 2 cravaches solides, on va la soulager des ses pinces qui la gênent ! »

    Le passage à la vitesse supérieure est quasiment insoutenable, mais je m'adapte très vite au nouveau cycle alors que je constate que notre discussion n'a pas du tout réduit ma libido qui semble être bloquée au maximum de mes ressources hormonales.

    Yves revient de la chambre avec nos deux cravaches, une noire et l'autre marron. Il n'aime pas les utiliser, mais beaucoup de mes dominants les adorent.

    José me dit : « Pincées sur tes nichons tendus et gonflés comme des ballons, nous allons avoir du mal à décrocher tes pinces, je vais donc couper tes lacets de serrage et enlever ton tire-nez pour que ta peau soit plus souple et ta position plus adéquate »

    « Faites de moi ce que vous voulez Amo Mio, je suis prête à tout »

    Les lacets sont durs à couper tellement ils sont incrustés dans la chair des seins, mais finalement José réussit et mes nichons perdent de suite du volume en semblant se dégonfler tout en rendant leur peau plus souple comme l'avait prévu José : je ferme les yeux pour ne pas regarder les cravaches frapper chacune une pince »

    Chapitre 156

    Alors que je projette mon cul de plus en plus loin et de plus en plus fort pour bien sentir tous les picots sur mes parois anales, surtout quand le gland tourne au fond de mon cul à la limite entre le sphincter et les intestins, endroit hautement érogène qui caressé par le vibro me fait gémir de plaisir.

    Pendant ce temps, les deux hommes sont revenus se rasseoir dans leurs fauteuils, et en comparant leurs performances de ce qu'ils ont appelé : la chasse aux pinces. José me dit : « Tu sais putain sordide qu'il nous faut en moyenne 4 coups pour te faire tomber une pince, et là je viens d'en avoir une au bout de 10 coups, elle était bien accrochée ! »

    Je ne réponds rien, les yeux remplis de larmes, par défi, par fierté, pour leur prouver qu'une pute pouvait avoir des couilles, je ne veux pas qu'ils voient ma douleur, mes larmes doivent leur suffire.

    « Ca va faire tout de même 4 coups par pince, pour 64 coups pour qu'elle tombent toutes, je me demande comment tes nichons de pouffiasse facile vont terminer ! Ma pauvre chérie ! »

    Les minutes passent, j'ai un rythme extraordinaire avec le vibro, je me branle de mieux en mieux, et en plus, sans que personne ne s'en rende compte, le haut de ma chatte frotte quasiment à chaque aller et retour de mon cul la paille de la chaise, me procurant chaque fois un plaisir à hurler que je suis obligée de cacher.

    « Ouf, ça y est elle n'a plus de pinces sur les nichons, allons-y, Yves, 20 coups de cravache sur ses tétons de truie en rut, à mon avis, elle va les compter en criant ces coups là ! »

    Et José a raison, car, ils ne retiennent pas leurs bras et, étant donné qu'ils ont pour cible, soit l'écraseur, soit le lest, soit la clochette, cette raclée des nichons ressemble à une véritable torture et en même temps à un concerto pour clochettes ! Mes larmes coulent à flot de mes yeux, aucun des hommes ne commente ce chagrin, donc cette douleur, José a prévenu que rien n'arrêterait leur punition, donc ils frappent tous les deux en faisant seulement attention de ne pas frapper tous les deux en même temps.

    Chapitre 157

    Je gémis de plus en plus fort et Amo Mio me dit : « Je remarque que tu t'empales de plus en plus vite et de plus en plus fort sur ton vibro, tu penses qu'il est temps que ton mari approche sa caméra ? »

    « Hum, Amo Mio, attendez cinq minutes je vous en supplie, je joue avec mon orgasme, je ne veux pas qu'il m'échappe, il ne me reste que des bonnes choses à recevoir : le contenu de vos couilles et de vos vessies, puis-je savoir Amo Mio, quelle partie de mon corps vous allez arroser de votre foutre tiède et précieux ? »

    « C'est Yves qui va commencer, il va te niquer la bouche, tu ne dois pas le sucer, c'est lui qui entrera et sortira de ta gueule de pute en te tirant les cheveux pour te guider, moi je me branlerai seul avec ma main et je t'inonderai les nichons, et tu ne t'essuieras pas de toute la soirée !»

    « Hum, arrêtez de me faire couler le con en me parlant comme ça, Yves mon amour, si tu veux te mettre en place, il est temps de prêter ta caméra à José ! »

    Il se lève, m'ordonne d'ouvrir grand ma bouche, rapproche ses cuisses nues du dossier de la chaise et après m'avoir prise par les cheveux d'une poigne ferme, il s'enfonce doucement dans ma bouche en me conseillant d'adapter rapidement l'ouverture de mes lèvres à la taille de sa pine, je m'applique même si je la connais par coeur, et lentement Yves commence à me limer la bouche comme il le ferait dans mon con, il grogne de bonheur, probablement content de retrouver l'étui chaud et gourmand de ma bouche qui se régale à l'avance de boire son foutre tout en progressant inexorablement vers un orgasme du cul qui me fait rêver.

    Il est tellement excité qu'il jouit très vite en relevant ma tête pour me regarder droit dans les yeux quand son foutre jaillit dans ma gorge et en suivant tous mes déglutissements pour que son foutre rejoigne l'estomac de sa pute, de son esclave et de son réservoir à sperme !

    Chapitre 158

    Il reprend la caméra, José le remplace devant moi, il m'ordonne de regarder juste le bout de son gland, il prend sa bite dans sa main droite et se branle en fixant mes nichons, mais là aussi, il y a trop de tension, et Amo Mio vide ses couilles largement pleines sur mes nichons, mon visage, mes yeux et ma bouche.

    Je ruisselle un peu mais en même temps, tout ceci n'a pas contribué à me refroidir, et je sens que je dois arrêter de jouer avec mon orgasme : mes muscles anaux commencent à réagir seuls, tout mon bas ventre se contracte, pour déclencher ou retarder ce monstrueux orgasme qui monte en moi, j'ai tout de même le temps de les prévenir : « Amo Mio, vous aviez raison, vous allez voir et entendre votre pute salope jouir du cul, pendant que je vous vole un orgasme que je ne mérite pas, mon corps attend vos pisses, oh, Amo Mio, autorisez-moi à jouir, je commence à ne plus pouvoir résister ! »

    Vicieusement, José m'ordonne de compter à haute voix jusqu'à 120. Je compte lentement « Un, deux, trois, quatre ! »

    Alors qu'Yves vient se positionner devant moi avec sa caméra, c'est donc lui qui va arroser le foutre de Amo Mio en me pissant sur les nichons, les épaules et le visage, alors qu'Amo Mio est celui qui va me pisser au cul, pour me montrer son dédain et son mépris.

    « 112, 113, 114, 115 ! »

    « Pute : à 120 nous te pissons sur le corps, démerde toi pour jouir, et n'oublie pas ce que tu dois dire aux voisins de l'immeuble ! »

    « 120 ! »

    Et c'est une explosion, Yves me pisse sur les nichons, dans la bouche, dans les cheveux en me giflant à tour de bras et en me traitant de salope, de pute facile, de nymphomane, de putain de port, mais je n'entends pas grand chose car j'hurle mon plaisir : « Ooooooh nooooooon, c'est impossible, c'est trooooooooop, oooooooh, Amooooooo Miooooooooo, Yyyyyyyyves, je jouiiiiiiiiiiiiis du cuuuuuuuuuuuuuuul, oooooooooooooh nooooooooooooon c'est insupportable, c'est trop, je vais me sentir maaaaaaaaaaaal oooooh nooooooon, je ne veux pas que ça s'arrête, noooooooooon encoooooooooore j'en veux plus »

    Mon corps semble en transe, sans le vouloir je sors mes seins des bois de la chaise, je ne me rends même pas compte qu'Amo Mio me pisse au cul en m'insultant et en me marquant les fesses de ses mains nues.

    Toujours accrochée à mon écarteur de poignets, ma tête tombe sur le haut du dossier de la chaise, et, yeux fermés, le corps agité de soubresauts, je tombe dans les pommes, en provoquant (je le suppose !) le grand désarroi de mes deux hommes !

    Chapitre 159

    Je me réveille, Yves rassuré me dit que je les ai quitté 5 petites minutes et José, souriant rajoute qu'il suppose que c'est incident vagal, car, à présent ma tension est stabilisée !

    Je regarde mon bras et constate que j'ai notre contrôleur de tension en place, les deux hommes ont vraiment bien veillé sur moi, et je les en remercie en les obligeant à se pencher sur moi pour un gros baiser sur la bouche.

    Je me sens beaucoup mieux et je constate que je suis couchée sur un grand drap de bains sur le sofa, je ne sens plus rien dans mes fesses, mes seins me font mal, mais je n'ai plus d'écraseurs sur les tétons, mon écarteur de poignets a disparu, de même que mon collier et bien sur les menottes de mes chevilles avec les pinces entre les orteils.

    « Oh, Amo Mio, merci de m'avoir libérée complètement ! »

    « N'oublie pas ton chéri qui m'a aidé ! Tu es allée au bout de tes forces pour atteindre ce "tsunami-géant" ! Nous te devions bien ça pute affamée d'orgasmes ! »

    « Ah, non pas de nouvelle catégorie, j'ai atteint le tsunami du cul, je ne veux pas le traiter de "géant" quoi que ! »

    José sourit et me rassure : « Allez, tu peux filer à la salle de bains et te reposer un peu, nous te donnons deux heures pour te remettre te reposer, retrouver toute ta forme et recharger ta libido, comme tu nous l'a si bien enseignée tout à l'heure, mais, je tiens à te dire que les séances suivantes seront beaucoup plus dures à ton retour, ne te relâche pas trop et n'attend pas trop de câlins de notre part ! »

    En souriant et en les remerciant, je file dans la salle de bains et je souffle de soulagement en me passant de l'arnica sur tout le corps tout en remplissant la baignoire pour prendre un bain qui me semble être un mirage dans le désert !

    Chapitre 160

    Yves revient de la cuisine avec quelques assiettes pleines, et José lui indique qu'il m'a donnée deux heures pour me remettre sur pieds, et que je suis allée directement dans la salle de bains. En souriant, Yves sert une flûte de champagne, et part avec deux assiettes vers la salle de bains.

    Il m'offre tout ça en me baisant le front et en me souhaitant de bien me remettre et peu de temps ! Je le rassure, et il me laisse seule ivre d'envie de me reposer en me pensant à rien !

    En revenant dans le salon, José s'adresse à lui : « Yves, je ne sais pas si tu réalises la chance que tu as d’être le mari de Loré ? »

    « Rassure-toi, mon ami, je remercie tous les jours le hasard qui m’a fait la rencontrer et, pour ne surtout pas la perdre, je n’arrête pas de la gâter. Elle a tout ce qu’elle veut. Elle vit dans un grand confort. Nous faisons des voyages magnifiques. Elle a beaucoup d’amies et d’amis et nous recevons beaucoup. Quand elle le souhaite, j’essaye d’être un dominant juste et sensible à ses envies. Je fais très attention à ses fantasmes : tu en es la preuve vivante et j’essaye de ne pas confondre les bêtises qu’elle peut me dire quand elle s’envoie en l’air et les envies profondes qui viennent du fond de son cervelet ! Le cerveau qui ne stocke que les bonnes informations, comme me disait mon prof de sciences naturelles. Nous ne prenons jamais une décision sans nous consulter, surtout en ce qui concerne son fils qui m’aime comme un père, alors qu’il n’est pas de moi. Et, dès le début de notre mariage, je l’ai tannée pendant pour qu’elle arrête de travailler, mais j’ai arrêté car j’ai compris qu’elle avait besoin d’une activité dans laquelle elle s’épanouissait et qui la rendait indépendante, sans aucune intention de faire la course avec moi ! Car, comme toutes les femmes qui n'ont pas de problème financiers, l'argent ne compte pas beaucoup pour elle. En bref, je fais tout pour ne pas me la faire voler ! Car ce serait pour moi une catastrophe à laquelle je ne pourrais probablement pas survivre »

    « Et de vivre trois mois loin de son fils ne la contrarie pas ? »

    « Ah, tu as raté un épisode, car tous les 15 jours, le vendredi en début d'après midi, elle va prendre l'avion de Paris à Barajas et quelques heures plus tard, elle attend Jean, comme toutes les mamans, à la sortie de l’institut et le ramène le lundi matin avant de remonter dans un avion pour me rejoindre »

    « Tu es un bon mari ! »

    « J'essaye surtout d'être un bon mari, José. Je suis quelqu’un qui a trouvé une perle et j’y veille comme sur la prunelle de mes yeux, et j'ai un grand projet qui me tient très à coeur : que nous donnions un frère ou une soeur à Jean ! Loré n'a que 34 ans, elle a encore 3 ou 4 ans pour être mère sans risque, et là mon bonheur sera total ! »

    José aime cette confidence qui lui va droit au coeur et lève son verre pour trinquer à la perle ! Et à l'apparition sur terre de Dufour-Junior ! Ils rient tous les deux.

    « J’espère que deux heures lui suffiront pour se remettre de ses émotions » « Rassure-toi, José, elle est endurante et aime les longues séances de domination. Je crois qu'elle a mal supporté le bondage très contraignant sur la chaise et surtout, bien sur, son tsunami du cul qui l'a mise à plat ! Mais rassure-toi, avec moi, elle peut résister un weekend entier en ne dormant pratiquement pas, et dans deux heures, tu vas la redécouvrir comme elle était dans la cuisine il y a quelques heures »

    « C’est une bonne nouvelle, Yves. Car je ne suis vraiment rassasié d’elle ! »

    « Je te comprends ! Et je ferai pareil si j'étais à ta place, mais, dis-moi, José, puisque nous avons un peu de temps : peux tu me parler de ce projet avec Anita ? Je suis sur qu’elle t’en a dit plus que le résumé que tu m'en as fait ! »

    Chapitre 161

    « C’est exact, car quand Loré a du descendre s’offrir à ce goujat de voisin, nous n’avons parlé que de ça »

    « Alors, que propose cette belle jeune femme que tu as honorée par trois beaux orgasmes ! C’est donc que tu l’as particulièrement appréciée ! »

    « Oui, en effet, elle est très bandante et baise naturellement comme si elle se brossait les dents. Je crois que sa vie et le sexe ne font qu’un chez elle. Mais parlons de sa proposition : comme je te l’ai dit, elle termine des travaux de préparation dans une ferme isolée située dans une belle forêt très connue des madrilènes. à une cinquantaine de kilomètres de la capitale. A priori, elle a un régisseur, qui est probablement un intime, qui s’occupe des cultures, des animaux et des travaux. Toujours est-il qu’à la fin des travaux, dans une quinzaine de jours, elle pense abandonner son travail au Corté Inglès, pour se consacrer totalement à cette ferme et à ses séances de domination avec sa clientèle actuelle. L'espace extérieur est aménagé et, à l'intérieur, elle a investi dans des pièces adaptées au bdsm et surtout dans un véritable donjon qu'elle annonce comme totalement équipé par des accessoires classiques, mais aussi des gadgets qu'elle a elle même dessinée en se concertant avec des amies dominantes qui seraient susceptibles de louer sa ferme pour leurs propres séances »

    « Un donjon équipé ? Ça doit coûter une fortune ? » « Elle m’a dit qu’elle avait fait un héritage, mais je crois plutôt que depuis l’âge de 18 ans, elle monnaye ses séances et elle a du se constituer une cagnotte rondelette. Je ne sais pas si tu es au courant des prix de location d'une soumise ? »

    « Je n’en ai aucune idée ! »

    « Une femme moins bandante que ta femme peut compter sur un minimum de 500 euros de l’heure et ta femme serait plus dans les 1.000 euros de l’heure ! »

    « Eh bien ! J’apprends des choses avec toi ! »

    « Le seul problème est que ce sont plus les sados qui sont tentés par ce genre de séance et les soumises ressortent peut être riches mais aussi un peu abîmées ! »

    « Je m’en doute. De toutes les manières, je ne veux pas de cet avenir pour Loré, mais en étant sur place pour contrôler et tempérer c’est différent, de même que lorsque ses rendez-vous sont pris par Cathy »

    Chapitre 162

    « Anita nous propose donc de passer une fin de semaine dans sa ferme, et, même, si ça nous excite, de faire participer une de ses soumises personnelles, très bien éduquée »

    « Hum idée vicieuse. Cette femme me plait beaucoup. Si nous acceptions : nous serions donc deux dominants, une dominante un peu nymphomane, donc baisable et deux soumises ? »

    « C’est exactement ça, Yves, mais ce n’est pas si « nous » acceptons, c’est si « tu » acceptes ! »

    Yves rit. « Oui tu as raison, mais « nous » et « je » c’est pareil puisque l’idée d'une tierce personne est apportée par toi. Et, Anita est au courant des tabous de Loré ? »

    « Oui, mais à ce sujet, elle a été surprise que la zoophilie ne soit pas dans ses tabous. J’avoue que je n’avais pas pensé à te poser la question »

    « La zoo ? C’est vrai qu’elle n’est pas dans ses tabous, car il y a environ deux ans, nous avions adopté un labrador. Et quand Loré était bien chaude, elle acceptait de le branler et de le faire jouir en se léchant la main après. Je comptais la faire saillir par le chien, mais il s’est fait écraser devant nous et elle n’a plus voulu de chien dans la maison »

    « Tu veux qu’on la rajoute dans ses tabous pour Anita ? »

    « Elle t’a parlé du genre d’animaux qu’elle a ? »

    « Elle ne m’a pas énuméré tout son cheptel, mais Anita appelle bien son lui de luxure une "ferme" et pas un "campo" comme on dirait pour une maison de campagne, donc la notion d'animaux est présente, et la connaissant, je pense qu'elle a des chiens qui lui servent aussi à surveiller son bien, des poneys pour les enfants de ses amies et car c'est facile à élever et des ânes qui sont les animaux les plus utilisés en zoo, en principe sans pénétration, mais qui peuvent être branlés et pompés ou lécher des chattes ! »

    « Il faudra que je vérifie la taille d’une bite de poney sur Google ! Mais à priori, de la voir se faire baiser par un chien ou de jouer avec la pine d’un âne m’exciterait beaucoup, je pense que tu n’as pas besoin de rajouter ce tabou, il faut aussi penser à faire progresser notre petite esclave ! »

    « Bien, en résumé, tu es partant pour ce genre de weekend, avec une soumise en complément et la zoo acceptée. Et quand pourriez vous vous libérer ? »

    « Le weekend prochain, Loré est en France, on peut donner notre accord pour le weekend suivant si tu es libre, bien sur »

    « Rassure-toi, je saurai me libérer, je ne veux pas rater ça. Je me charge de prévenir Anita »

    « Si tu veux et si nos horaires coïncident, invite-la à déjeuner avec nous un jour de la semaine prochaine. Nous ne nous déplaçons pas, donc son jour sera le notre »

    « Bonne idée, je te tiendrai au courant, et en plus Yves, je lui dois le DVD de la séance de Loré chez elle, et nous pourrons prendre un rendez-vous définitif en fonction de la date de fin des travaux »

    Chapitre 163

    « Très bien, voilà un bon weekend en perspective, j’en bande à l’avance. Bon, je suppose que Loré fait un petit somme dans la chambre. Que proposes-tu pour la suite de la séance ? Tu veux qu’on reste ici ou tu veux sortir avec elle ? »

    « Tu l’as prévenue que la séance allait se durcir. Nous avons tout ce qu’il faut ici. Et, en plus, si je durcis le jeu, je préfère que tu sois avec moi »

    « OK, nous avons tout, en effet, sauf un scénario ! »

    « J’y ai un peu pensé, en découvrant tous ses jouet sexuels : je t’en propose un ? »

    « Avec plaisir, José, je t’écoute, mais je vais m’allumer un cigare et nous resservir deux coupes de champagne. Et prendre un petit carnet pour noter tes idées ! Tu vois comme je suis bon élève ! »

    Chapitre 164

    Une demi-heure plus tard, les deux hommes sont contents de la mise en commun de leurs fantasmes, Yves trouve que le scénario est très au point et qu’il devrait régaler Loré.

    José qui a prit la précaution de regarder sa montre quand ils m'ont envoyée me reposer, dit à Yves que ça fait un peu plus de deux heures que je me repose.

    José va voir ce que je deviens pendant qu’Yves va sur la terrasse. Il revient en annonçant que je dors à poings fermés sur le lit, à poil, avec la lampe de chevet allumée.

    « Parfait, comme ça elle sera bien reposée »

    Il aide Yves à terminer les préparatifs sur la terrasse : ils baissent le store pour en faire un lieu clos, bouchent les orifices d’écoulement, font des allers et retours dans la cuisine ou dans la chambre pour récupérer les accessoires nécessaires.

    Yves relit ses notes : « Bien, je crois que nous n’avons rien oublié, nous pouvons aller chercher notre petite pute. Ça me fait un peu mal au cœur de la réveiller. Mais je pense qu’elle ne le regrettera pas ! »

    José rajoute : « J’espère qu’elle a fait de beaux rêves pleins de fantasmes et qu’elle s’est maintenue bien chaude ! » Ils s’apprêtent à aller dans la chambre alors qu’Yves commente : « De toutes les manières, si elle s’est refroidie, ce qu’on lui a préparé va vite la réchauffer de partout, mais dis-moi José, tu ne penses pas qu’on serait plus à l’aise complètement à poil ? »

    « Bonne idée, Yves, ce sera plus pratique et elle nous sentira mieux ! » Et c’est donc, nus, qu’ils entrent dans la chambre où, en effet, je dors profondément, couchée en chien de fusil.

    José s’agenouille sur le lit, derrière moi, et délicatement, il me pose un masque sur les yeux. Je grogne à peine, essayant de chasser l’intrus comme si c’était une mouche. Dans le même temps, Yves pose son gland humide sur ma bouche et le frotte. Ce contact me réveille à moitié, je ne sais pas si je rêve que je suce, mais j’ouvre un peu la bouche pour laisser cette bite entrer dans ma bouche.

    « Loré, c’est l’heure de te réveiller, on t’a préparé la suite de ta belle séance » « Ooooh, non, Yves laisse moi dormir encore mais enfonce plus ta bite dans ma bouche, j’ai trop envie de boire ton foutre ! »

    Ma réaction les rassure : je n’ai pas eu le temps de me refroidir !

    José me prend par les aisselles et m’assied sur le lit. « Ooooh, vous êtes durs avec moi je dormais si bien en rêvant de vous ! »

    Yves rit : « Allez, debout, pourquoi rêver alors que tu peux nous avoir en vrai ? »

    C’est en me levant que je réalise que j'ai les yeux bandés, jusque là, je pensais que j’avais toujours les yeux fermés ! « Vous avez honte que je vois vos bites ? C’est un peu tard ! Je les connais ! »

    « Bien, je vois que tu es réveillée, prends ma main et suis moi » Sous mes pieds nus, je sens la moquette de la chambre, puis après le carrelage du hall, celui du salon et j'en déduis qu’Yves me conduit sur la terrasse où il fait un peu plus frais, mais cette fraîcheur contribue à me réveiller définitivement.

    José me tend un soutien-gorge à enfiler. En sentant la matière et la forme du sous vêtement, je demande à Yves : « Mais, où as-tu trouvé ça ? Je ne le porte plus depuis des années ! »

    Je l'enfile et l’agrafe dans le dos alors qu'Yves me répond : « Tu vois, il ne faut jamais jeter des vêtements qui peuvent toujours servir un jour ! »

    Il est confortable mais me recouvre deux fois plus les seins que mes soutiens-gorges actuels. José me met dans la main la culotte assortie, je la connais bien, elle me gaine jusqu’au ventre alors que je suis habituée aux tangas.

    Les hommes s’activent en m’attachant les poignets avec deux grosses cordes. Je sais que la terrasse est équipée de crochets au plafond et sur les murs mais je ne sais pas ce qu’ils vont me faire. Ils tirent tous les deux sur les cordes et me hissent peu à peu, jusqu’à ce que, seules, mes pointes de pieds reposent sur le carrelage. Bras écartés et à la limite de la suspension totale, je ne suis pas vraiment à l’aise. Ils me soulèvent les pieds quelques instants pour pouvoir glisser sous moi ce que je sens être une cuvette de plastique. Je n’ai aucune idée de mon avenir immédiat, mais je réalise que d’avoir les yeux bandés, en m’empêchant de voir les préparatifs, est vraiment très excitant.

    Chapitre 165

    Sans dire un mot, des mains étirent mon soutien gorge et remplissent les bonnets de glaçons, jusqu’à ce qu’ils soient bourrés. Puis des mains font pareil dans ma culotte sans omettre de remplir l’avant et l’arrière. Je frissonne immédiatement de froid et je sens mes tétons se contracter jusqu’à rentrer dans le gras de mes seins. Ils vident le reste des glaçons dans la cuvette, ce qui me glace les pieds.

    « Voilà qui va te réveiller ma chérie. Nous allons fumer une petite cigarette et te laisser dix minutes comme ça. Le temps que les glaçons fondent et que tu sentes bien tes nichons se congeler, ton clitoris se rétracter et les filets d’eau glacée parcourir ton ventre et glisser sur tes cuisses »

    Je les entends s'affairer sur la terrasse, sans les voir, je ne peux pas savoir qu'ils fixent la caméra sur son trépied pour la laisser enregistrer directement sur le disque dur de notre gros PC. J’entends le bruit d'un briquet, ils doivent allumer leurs cigarettes, une main m'autorise à prendre une bouffée, ça ne peut être qu'Yves, j'apprécie, car en plus les cinq minutes écoulées sont pénibles : les glaçons font frissonner mon corps chaud.

    De temps en temps, une main se pose sur un bonnet pour le pétrir ou sur ma culotte pour bien remuer les glaçons et forcer mes deux trous pour y rentrer des glaçons, ce qui me fait tirer sur mes cordes et me tordre le corps suspendu sans que ça ne m'évite les contacts avec ce froid glacé.

    Le temps s’écoule très lentement, le froid devient une véritable torture au niveau des tétons et des quelques glaçons qui sont entrés dans mon sexe et dans mon anus pour les congeler.

    Les filets de glace fondue qui s’écoulent de ma poitrine ou de ma culotte sont eux beaucoup plus excitants et compensent un peu la douleur. Heureusement, José annonce la fin de la torture et ils m’ôtent le soutien-gorge et la culotte, je les entends faire tomber le reste des glaçons dans la cuvette où l’eau glacée m’arrive à présent au dessus des chevilles.

    Chapitre 166

    L’un des deux m’aide à sortir mes pieds de la cuvette alors que les deux, descendent les cordes et me libèrent les poignets.

    José dit à Yves : « Je vide la cuvette, Yves ? » « Oui, vas-y, mais essaye de faire une flaque allongée » J’entends José vider la cuvette sur le carrelage pas forcément très propre de la terrasse, je me rappelle bêtement que la femme de ménage a du la nettoyer mardi alors que nous sommes samedi.

    Une main me prend le bras, me guide et José me dit : « Tu vas te coucher dans la flaque, sur le ventre, et te frotter sur le carrelage comme si tu le baisais : n’oublie pas que la caméra est fixée sur toi, alors sois bien obscène »

    J’obéis en me couchant bras et jambes en croix, je retrouve le froid sur mon corps. Je vais chercher les glaçons restant en écartant et refermant mes cuisses et je ramène l’eau congelée de mes mains pour bien me mouiller les nichons. Je lève et baisse mon cul comme si je baisais essayant de leur offrir le spectacle le plus excitant possible. Ils me regardent longuement m’humilier de cette manière.

    Yves me dit : « Très bien, tu es une bonne salope, tu as pris plaisir à baiser le carrelage, à présent mets toi sur le dos et arrange toi pour te mouiller tout le corps en insistant sur ton cul. Et en même temps, fais-toi durcir les bouts de mamelles. Je n’ai pas l’habitude de voir ma femme avec des tétons aussi ridicules »

    Je n’ose pas lui répondre que si je lui passais des glaçons sur les tétons, il ressemblerait à un petit garçon et je m’exécute. M’asseyant sur les glaçons pour essayer d’en rentrer un ou deux dans mon anus, puis me couchant en me frottant de droite à gauche pour bien me mouiller, alors que mes doigts et mes ongles caressent et pincent mes tétons qui recommencent à bander très rapidement.

    José enchaîne : « Ah, tu es mieux, excitée comme ça, petite pute : continue et dès que tu le pourras, branle tes tétons comme si c’était des petites bites » Encore une fois, ils n’ont pas l’air de se lasser de me voir me tortiller comme un ver dans cette eau glacée et à présent un peu boueuse.

    Je suis soulagée quand Yves m’ordonne de me relever. Je fais attention à ne pas glisser et me mets debout en constatant que, comme avec mon tsunami du cul, j’ai le droit à une séance avec mes deux Maîtres, ce qui me confirme leur complicité. Puisque les ordres viennent indifféremment de l’un ou de l’autre et je suppose qu’ils ont mis au point un scénario sophistiqué. Ce qui n’est pas pour me rassurer !

    Chapitre 167

    Deux mains me bloquent les bras vers l'arrière, et je comprends de suite pourquoi ils me voulaient tétons bien bandés car deux autres mains viennent me poser un écraseur de téton à chaque bout.

    Je grimace de douleur en me retenant de crier. Mais quand les mêmes mains rajoutent des lests qui tombent pratiquement sur mon nombril, je gémis en criant « Nooooon, c’est trop lourd, je vous en supplie » Une gifle sur les oreilles me rappelle que nous sommes à l’extérieur et qu’il faut que je respecte le sommeil des voisins et qu’en plus je n’ai pas l’autorisation de crier. J’essaye de me calmer, mais des larmes coulent de mon bandeau.

    Yves vient les essuyer gentiment et me tend une coupe de champagne que je bois en sanglotant comme une gamine punie. Alors que la douleur diminue un peu « Voilà qui est mieux, je sais bien que tu supportes ces pinces que tu connais bien. Tu ne vas pas te montrer fragile devant notre invité ? »

    Je fais non de la tête et j’essaye de sourire.

    Ils me prennent par les bras et m’aident à me mettre à quatre pattes sur la table en teck de la terrasse. Dans cette position, les poids frôlent la table, ce qui me soulage un peu. « Tu t’occupes du récipient, José ? » « C’est fait, il est rempli » « Parfait, tu-y-as mis combien d’eau tiède ? » « Huit litres, Yves, les dix litres que tu voulais ne rentrent pas »

    J’ai peur de comprendre, et je me crispe sur la table. Yves s’en rend compte et pendant que José s’active, probablement à suspendre le récipient au dessus de la table.

    Il me dit : « Nous avons innové pour toi, ma chérie, nous avons pris un de tes plugs, celui que tu utilises rarement et nous l’avons percé au centre pour pouvoir y enfoncer une longue canule. Comme ça, quand ton cul gourmand aura fini d’avaler ces huit litres d’eau, nous n’aurons plus qu’à retirer la canule en étant surs que tu ne perdras pas une goutte de liquide, tu vois comme nous sommes attentionnés ! »

    Chapitre 168

    Je baisse la tête. Mes craintes se révèlent exactes. Je vais avoir droit à ce qu’il y a de plus humiliant pour une femme : un énéma devant deux hommes. Ils s’activent derrière moi et le bout du plug tourne autour de mon anus avant qu’une main ferme ne l’enfonce d’un geste continu jusqu’à ce qu’il me remplisse totalement.

    Et je ne sens plus rien, je suppose qu’ils s’emploient à enfoncer la canule dans le latex du plug et dans mon sphincter, ce que je ne peux sentir.

    J’ai confirmation qu’ils ont fini quand je sens l’eau couler dans mes intestins. J’essaye de penser à autre chose, ferme les yeux et me décontracte pour ne pas souffrir, je ne redoute pas trop le lavement, mais surtout ce qui se passe après quand je me tords pour ne pas me vider en suppliant parfois une libération quitte à obéir à n’importe quel ordre.

    José vient devant moi « Tu vas grossir de huit kilos en quelques minutes. Dommage qu’il n’y ait pas de régime pour perdre huit kilos dans ce même laps de temps. Mais, je vois putain que ta bouche est désœuvrée. Tiens suce un peu ma pine ça te fera oublier ce qui coule dans ton cul de salope ! »

    Il remplit ma bouche de sa bite dure et humide et je le suce avec application, il est vrai qu’en essayant de m’appliquer à le satisfaire j’oublie un peu ma position obscène. D’autres mains, que je suppose être celles d’Yves viennent raccourcir un peu la taille des chaînes qui relient les pinces aux poids pour qu’ils ne touchent plus la table, ce qui me fait gémir de douleur, car, d’un seul coup la tension de mes tétons redevient extrême.

    Au bout de quelques minutes et sans arrêter d’aller et venir dans ma bouche, José dit à Yves : « Je crois que le récipient est vide » Yves vérifie et approuve : « Viens m’aider, nous allons enlever la canule »

    Je ne sens rien. Sinon que je suis atrocement ballonnée et que j’ai déjà très envie de me vider. Avec une telle quantité de liquide dans le cul, j’ai très peur de ne pas pouvoir résister bien longtemps. Mais je fais confiance à Yves qui le sait. José me demande de changer de position en me couchant sur la table, sur le dos et en écartant largement les cuisses en tenant mes pieds avec mes mains.

    Mon ventre gonflé me gêne pour prendre cette position, mais j’y arrive tout de même alors qu’Yves me dit en riant : « On te croirait enceinte ma chérie ! Il ne te manque que les nichons gonflés pour le faire croire »

    « Rassure toi, Yves, je suis sur que dans les quatre années qui arrivent, elle te fera ce plaisir. Hum que ce doit être bon de soumettre une femelle grosse de sept ou huit mois ! » « Tu ne l’as jamais fait, José ? » « Non, je n’ai pas eu cette chance. Peut être que Loré me donnera cette occasion, même si je dois passer un weekend en France ! »

    Chapitre 169

    Je ne prends pas part à la conversation, premièrement parce que mon envie de chier et de me vider est trop forte et deuxièmement parce que je sais parfaitement qu'Yves veut un frère ou une soeur pour Jean, mais il ne sait pas que j'ai décidé de lui faire ce cadeau en arrêtant la pilule le jour anniversaire de mes 35 ans, donc dans un an !

    « Allez, arrêtons de rêver. Prends le jouet que nous avons préparé pour elle »

    Je me demande avec effroi ce qu’ils ont encore inventés pour m’humilier ou me faire souffrir. Les deux hommes sont devant moi entre mes cuisses levées et largement ouvertes par ma position, ils me posent deux pinces en acier sur chaque grande lèvre et j’entends un bruit de chaînettes.

    Ils les tendent, les passent derrière moi et en s’assurant d’une bonne tension. Ils les clipsent derrière moi, juste en haut des fesses. Ils obtiennent le résultat désiré : j’ai le con largement ouvert, sans aucune possibilité de le refermer.

    J’imagine sans peine, mais avec honte ce qu’Yves est en train de filmer. Ils m’aident à me relever de la table. Je me tiens le ventre à deux mains et je me tortille dans tous les sens en gémissant. Les hommes rient et José me pique un peu : « Tu as l’air contrariée, quelque chose te gêne petite pute ? »

    « Ooooh, Monsieur. J’ai du mal à me retenir. J’ai l’impression que mon ventre va exploser. » « Te retenir de quoi putain ? » « Ooooh, Monsieur, pourquoi m’humilier d’avantage ? De vider mon cul ou de chier, comme vous le voudrez » « Tu seras humiliée autant que nous le voudrons. Nous allons t’amener si bas que tu seras contente de dormir dans un chenil en compagnie de tes confrères ! »

    Yves interrompt le débat et me prend par le bras, il me positionne contre le balcon de la terrasse, tournée vers eux « En attendant de te vider le cul. Tu vas bien te redresser. Jouer avec tes pinces à seins, bien écarter les cuisses. Et pisser devant nous, tes grandes lèvres ne vont pas te gêner, mais tu n’es pas obligée de nous en remercier ! »

    Je me sens rougir, malgré tout ce que j’ai déjà enduré. Mais je m’appuie bien au balcon, je me redresse, prends en main les deux pinces et me décontracte, cuisses largement ouvertes pour libérer ma vessie.

    J’ai un peu de mal tellement je suis crispée, mais quel que soit le lieu et la manière, la nature est plus forte que tout. Et je sens que j’expulse un jet abondant à quelques dizaines de centimètres de moi. Vue ma position j’entends la pisse tomber sur le carrelage.

    Les hommes applaudissent visiblement enchantés du spectacle que je leur donne « Secoue-toi bien le ventre pour faire tomber les dernières gouttes » Je bouge mon ventre en essayant d’amortir les mouvements au niveau de mes pinces et de mes intestins remplis de liquide. Les hommes s’en rendent compte mais ne disent rien.

    José me félicite « C’est très beau de te voir pisser salope maso, tu devrais prendre l’habitude de ne pisser qu’en public, ça rendrait beaucoup de gens très heureux ! Tu te rappelles ce que m'a conseillé Anita chez elle ? » « Non, Amo Mio, pas vraiment » « Elle m'a conseillé de toujours te faire pisser en public, et de t'utiliser en ne me servant de ton trou à merde quand je n'avais rien d'autre sous la main, et de laisser ton con en libre accès pour des bites qui auraient payé pour se vider en toi, ou se serviraient de ton cul comme d'un réservoir à pisse ! »

    « Tu as raison, José, mais tu sais ma chérie que dans l’uro il y a deux étapes. Se montrer en pissant comme une chienne, comme tu viens de le faire et la douche dorée. Alors, avance de deux pas, agenouille toi, mains croisées sur la tête, ouvre la bouche et ne bouge pas d’un pouce » Quand je suis en position. Ils s’approchent de moi, pressent leurs glands sur mes deux joues, et s’écartent un peu de moi.

    Chapitre 170

    Sans aucun surprise, je reçois le premier jet sur les nichons et tout de suite derrière un autre dans la bouche. Ils ont probablement pris leurs bites en main et dirigent leurs jets sur les points les plus humiliants, n’oubliant pas mes cheveux, mon sexe ouvert et même mon bandeau qui suinte rapidement de pisse.

    Je suis un peu écœurée par l’odeur, je supporte mieux le goût, surtout quand je reconnais la pisse de mon mari que j’avale avec plaisir. Quand ils ont fini, j’ai droit au passage des deux bites dans ma bouche pour boire les dernières gouttes et les nettoyer.

    Je pense que cet épisode répétitif vient de ma demande d'être punie pendant mon tsunami du cul, durant lequel j'avais reçu leurs pisses en jouissant, mais ils devaient avoir prévu cette même séquence dans la séance sur la terrasse.

    Immédiatement, des mains m’obligent à me mettre à quatre pattes, et José me dit : « Ta terrasse est sale, salope, alors au travail avec ta langue ! »

    Malgré mon ventre, j’arrive à m’agenouiller et lèche la pisse sur le sol, un des hommes s’amusant même à balayer la pisse pour la rapprocher le plus possible de ma bouche. Il y a nos trois pisses sur le sol, et je suis au bord de la nausée, alors que dans cette position, la pression sur mon ventre devient une torture. M’obligeant à gémir de douleur alors que boire la pisse ne justifie pas de tels cris. « C’est bien, putain, mets toi à quatre pattes, face au balcon, tu vas être récompensée »

    Je me tourne, j’entends le bruit de la cuvette. Des mains m’ôtent le plug et Yves me dit : « Vas-y ma petite pute, vide ton cul. Je te ferai te branler en regardant la vidéo et je suis sur que tu t’enverras en l’air comme la vicieuse que tu es ! »

    Jamais un ordre ne m'a été aussi agréable. Je n’ai pas besoin de me décontracter. Mon sphincter explose et de longs jets, que j’espère propres sortent de mon cul. J’en entends certains tomber dans la cuvette, mais d’autres arrosent la terrasse. J’espère secrètement que je n’aurais pas à tout nettoyer de ma langue.

    Je suis honteuse que ça dure aussi longtemps et encore plus, car de temps en temps un peu d’air mélangé à l’eau provoque, des petits pets. Peu à peu le flot s’apaise. Oh, comme je me sens bien, je ne sais pas si j’ai relâché les huit litres, mais je suis sure que je me suis bien vidée.

    José applaudit, vient me tapoter les fesses, il m’aide à me relever, m’enlève aussi délicatement que possible les pinces des tétons et celles de la chatte, mais je me mords les lèvres pour ne pas hurler de douleur, Yves me glisse des chaussons aux pieds et me dit : « Tu gardes ton bandeau, et tu vas te doucher, pas te toucher ! Tu as dix minutes pour revenir yeux bandés et à poil bien sur »

    En tâtonnant pour ne pas me cogner aux meubles, je vais de la terrasse à la salle de bains, follement heureuse de faire une pause et de me laver même rapidement, surtout pour m'enlever cette odeur de pisse qui m'infecte.

    Chapitre 171

    Pendant mon absence, les hommes s’activent, ils passent le tuyau d’arrosage sur la terrasse, repoussent l’eau sale dans un coin et remettent un peu d’ordre. « Ça se passe merveilleusement bien, Yves, ta femme continue à obéir au doigt et à la lettre. En plus elle est résistante, c’est vraiment un plaisir de la soumettre »

    « Je t’avouerai, José, que je ne connais même pas ses limites. Je ne sais pas jusqu’où je l’emmènerai, elle semble avoir des ressources infinies ! »

    « Fais-moi voir tes notes, je ne me rappelle pas bien de la suite ! » José parcoure rapidement le bloc « Hum, ce qui vient n’est pas facile. On va un peu vers la torture. Si tu sens qu’on va trop loin n’hésite pas à calmer le jeu » « Je ne pense pas qu’on ait à le faire, mais rassure-toi, on n’abimera pas ma Loré ! »

    Toujours hésitante dans ma démarche et me guidant à tâtons, je reviens de la salle de bains, les traits un peu tirés, le corps encore humide, mais prête à continuer

    « On continue ma chérie ? » « Sauf si tu veux qu’on fasse un tarot, comme tu veux ! » « Elle ne se départit jamais de son humour, c’est vraiment agréable »

    Ils me prennent par la main, et me guident vers la terrasse où je me retrouve couchée sur le dos sur la partie la plus étroite de la table, ce qui fait que ma tête, mes épaules, le bas de mes fesses et mes jambes dépassent de la table.

    Quatre mains m’attachent les poignets avec des grosses cordes trop serrées, ils passent les cordes autour des pieds de la table, ce qui m’oblige à écarter les bras en croix, et relient les cordes à mes chevilles, en passant autour des autres pieds de la table. Me laissant incapable de bouger, les cuisses et les bras écartés.

    Des mains me posent le gode écarteur de bouche en acier que je reconnais de suite. Elles tournent les molettes latérales m’obligeant à ouvrir la bouche, quasiment en me décrochant les mâchoires. A ma grande honte, mais sans pouvoir l’éviter, je bave abondamment.

    D’autres mains, ou les mêmes réunissent mes cheveux, les attachent avec une cordelette et en font une petite queue de cheval à laquelle elles attachent de lourds poids qui m’entrainent la tête vers le bas en me faisant horriblement mal aux racines des cheveux.

    Puis, d’autres mains me posent des pinces en acier aux tétons et les relient à des chaînettes passant dans les anneaux du plafond et tendues à l’extrême sans toutefois me torturer. Mais il me reste le plus dur. Je sens des mains me soulever les fesses pour laisser passer le crochet que je connais bien : le bout en forme de gode entre sans difficulté dans mon cul, mais le crochet est, lui aussi, relié à une chaînette qu’ils font passer dans un des anneaux du plafond et qu’ils tendent de toutes leurs forces. Jusqu’à soulever mes fesses de la table. Tout en faisant bien attention que la chaînette entre bien entre les lèvres de mon sexe et qu’elle frotte à chaque mouvement mon clitoris.

    Chapitre 172

    Je sens une présence entre mes cuisses : une main écarte avec difficulté la chaînette de mon con et je sens un gland ou un gode se présenter entre mes lèvres. Au premier contact, je reconnais immédiatement le gros gode avec des picots.

    Je suis trempée, et le bout du gode sans gland n’a aucune difficulté à me pénétrer, le reste est plus dur, car les picots raclent les chairs fragiles du conduit vaginal. Quand il est bien au fond, les mains reposent la chaînette dessus tout en vérifiant que le clitoris est bien en contact avec le métal.

    Me jugeant bien préparée, les hommes appliquent le plan qu’ils ont du préparer. L’un des deux vient vers mon visage et m’enfonce sa bite jusque dans la gorge alors que l’autre debout entre mes cuisses joue avec la chaînette pour bien frotter mon clitoris. Et, au bout de quelques minutes, ils changent de rôle. Malgré la douleur, le fait d’être ainsi doublement utilisée m’excite au plus haut point. Surtout que les hommes ne font pas semblant. Ils me baisent la bouche aussi violemment et profondément qu’ils le peuvent. Je reconnais, bien sur les bites qui s’enfoncent en moi et je constate qu’au fur et à mesure elles sont de plus en plus gonflées. J’espère de tout cœur qu’ils ne vont pas se retenir et qu’ils vont me donner leur foutre à boire.

    José, qui est en train de me baiser la bouche, me conseille de ne pas jouir sur la chaînette et de bien me retenir.

    Alors qu’Yves fait exprès de me frotter très fortement le clitoris avec l’acier. Avec mon bâillon écarteur, je ne peux rien dire, même pas gémir. Je ne peux que baver abondamment sur mon cou et mes épaules. Yves, qui est à présent dans ma bouche, ramasse la bave de ses doigts et m’en enduit les seins en riant. Il me semble que ça fait des heures que je suis comme ça, mais je suis récompensée, car le premier à jouir est Yves dont je bois le foutre avec plaisir, suivi de très près par José, qui, visiblement n’en pouvait plus.

    Rassasiée et satisfaite d’avoir dans mon estomac le foutre de mes deux Maîtres, je me décontracte, alors que les hommes, satisfaits s’accordent une cigarette avant de m’enlever les pinces, le crochet et le gode qui sortent sans difficulté. Un silence se fait. Alors que j’entends des bruits de verres, je comprends qu’après avoir joui, ils ont envie de s’accorder une pause.

    Chapitre 173

    Après quelques minutes, ils reviennent vers moi. C’est José qui m’annonce le programme de ce qui m’attend :

    « Tu vas être récompensée, belle petite pute. Nous nous sommes bien vidés les couilles dans ton estomac. Alors écoute bien »

    Je tends l’oreille : un premier ronronnement résonne dans la pièce, suivi d’un autre et d’un troisième. Je frémis car j’ai reconnu les bruits de trois de mes vibros. « Tu as du reconnaître petite pute ? » Je fais oui de la tête :

    «Voilà pour tes orifices. Quant à tes nichons, écoute encore : deux bruits de moteurs résonnent, beaucoup plus discrets que ceux des vibros, mais je crois reconnaître le bruit des pompes à seins, je refais oui de la tête : « Tu connais bien ta panoplie, eh bien, tu vas la tester une fois de plus ! » Ils commencent par me glisser les tétons dans les petits étuis prévus pour, puis je sens le bord des cloches qui recouvrent et englobent en entier chacun de mes seins, quand ils ont fini, deux mains m’insèrent un vibro jusqu’au fond de la gorge alors que deux autres s’occupent de me changer celui que j'ai dans le con et de m’enculer avec le troisième.

    Yves me dit : « Te voilà prête, petite vicieuse, nous allons mettre en route les cinq appareils, et tu vas avoir ta récompense, car nous t’autorisons et nous t’obligeons aussi à jouir trois fois d’affilée avant de t'enlever tes engins » Sans attendre, ils branchent les appareils, et, vicieusement ils les mettent tous sur la vitesse maximum. Les tétons et les nichons aspirés, tous les trous ramonés d’un seul coup, mon corps se tend comme un arc, autant que mes cordes me le permettent.

    Mon premier orgasme est quasiment immédiat tellement je suis chaude, ce qui fait rire les hommes. Le deuxième ne me demande pas plus de quelques minutes. Mais l’intensité du plaisir est telle qu’elle devient douleur et je dois les faire attendre un peu pour mon troisième qui est, pour moi, le plus puissant. Mais ils ne le sauront jamais, sauf à lire ces lignes !

    Contents de moi, ils arrêtent tous les moteurs et me débarrassent de tous les accessoires. Quand ils me délient les chevilles et les poignets, je pense bêtement que nous allons faire une pause. Mais c’est sans compter sur l’appétit de domination des deux hommes, car ils me rattachent les mains aux pieds de la table sans me libérer des poids de mes cheveux, ils m'encordent durement les chevilles pour les suspendre juste au-dessus de moi en s’assurant que mes cuisses sont très largement ouvertes et dévoilent mon con ruisselant des trois jouissances.

    Suite dans le tome 7


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  • Loré à Madrid tome 7

    Chapitre 174

    C’est donc eux qui font une pause en se restaurant et en buvant. Ce qui me frustre un peu et signifie surtout qu’ils n’en n’ont pas fini avec moi. Et, vu ce qui s’est passé, j’ai peur que la suite ne soit très pénible.

    Après une dizaine de minutes, Ils me rejoignent, toujours à poil, sur la terrasse et Yves me dit :

    « José a l’habitude des soumises résistantes. Alors, comme je lui ai promis une esclave parfaite. Je vais lui prouver que tu fais partie de cette race de putes. Essaye de ne pas me décevoir. Pour que tu ne saches pas ce qui va t'arriver, je te laisse ton bandeau et pour que tu ne puisses pas cacher tes gémissements et tes cris de douleur, je vais t’enlèver ton bâillon écarteur, mais si tu cries trop, je t’en mettrai un autre. Voilà, José elle est à toi, amuse-toi bien avec elle, moi je vais regarder en me branlant ! »

    Je pense que ce sont donc les mains de José qui me caressent délicatement les pieds, mais cette douceur ne dure pas longtemps. Je sens une horrible piqûre sous l’ongle du gros orteil, je me mords les lèvres pour ne pas hurler alors que la douleur continue et que je réalise qu'il est train de m'enfoncer une aiguille sous l'ongle.

    En sentant une deuxième piqûre sous un autre ongle, je réalise avec effroi qu'il va m'enfoncer une aiguille sous chaque ongle des orteils, et je sanglote en silence tout en essayant de me taire et de ne surtout pas protester : « Bravo, salope, tu es très courageuse et bien endurante : voyons si je peux aller plus loin ? ».

    La douleur se déplace mais se fait moins forte car il enfonce une aiguille entre mes orteils, il n'y a donc que huit emplacements et surtout plus de chair à piquer. Il prend son temps pour faire les deux pieds, quand il a fini, j’ai dix huit aiguilles dans les pieds. Je souffre le martyre mais fait tout pour me contenir en priant le ciel qu'il ne lui vienne pas à l'idée de m'obliger à marcher.

    D’une main, il remonte un peu ma jambe droite et il met mon pied à plat devant lui. Sans y être préparée, je reçois un premier coup sur la plante des pieds, je suppose de suite qu’il utilise un paddle et qu’il sait que cette partie du pied est la plus résistante.

    Il ne se gêne pas pour cingler de toutes ses forces la plante et le talon du pied, tout en diminuant la force de ses coups quand il châtie le dessous des orteils, ce qui fait réagir et bouger les aiguilles.

    Malgré la douleur atroce que je trouve un peu gratuite, il m’arrache des gémissements mais je réussis à me contenir en évitant de crier. Il change plusieurs fois de pied jusqu’à ce que les dessous me brûlent. Il se contente de me dire : « Hum, j’adore tes pieds rouges vifs et quand je pose la main dessus j’ai peur de me brûler, tu vas avoir un peu de mal à marcher pendant quelques heures ! »

    Yves rit et lui dit : « Ne te fais pas de souci, j’ai de quoi la soigner, de temps en temps je me laisse un peu aller et j’ai tout ce qu’il faut dans la salle de bains ! »

    José ne répond pas mais je constate qu’il a arrêté les coups, ce que j’apprécie en aspirant très fort. Quand j’entends un bruit de briquet, je pense que l’un d’eux a allumé une cigarette, mais quelques secondes après, je sens la flamme d’une bougie me lécher le dessous du pied gauche des orteils à la plante, je ne peux pas me retenir et j’hurle : « Nooooon pas ça je vous en supplie, Amo Mio »

    Chapitre 175

    José arrête : « Tu m'agaces, putain ! Tu t'annonces très résistante, mais au premier effort que je te demande, tu chiales comme une ado de 14 ans ! Tant pis pour toi ! »

    Comme promis il demande à Yves d'intervenir : il me met un bâillon boule sur lequel je suis obligée de serrer mes dents. « Je ne fais que tenir ma promesse, ma petite pute, tu aurais-du te taire » Aussitôt après, la flamme vient me lécher le dessous du pied droit. Je tords inutilement mon corps dans tous les sens, pleure à chaudes larmes, bave abondamment sur mon bâillon sans pouvoir échapper à cette punition qui s’assimile bel et bien à une torture. José insiste, change plusieurs fois de pied en prenant toutefois bien soin de ne pas me brûler.

    Il y a tout de même une odeur désagréable de chair chauffée sur la terrasse. Mais je prends sur moi de moins crier et José me félicite par un : « Bravo, putain docile, tu es tout de même assez résistante, et même franchement; je ne te croyais pas aussi forte ! »

    Je sens l’odeur caractéristique d’une bougie qu’on éteint. Je me sens soulagée, d’autant plus que deux mains m’enlèvent les poids des cheveux, me libèrent les pieds et les mains et m’aident à m’asseoir sur la table de salon, sans toutefois m’enlever le bâillon boule.

    Je sens, probablement José, passer derrière-moi, car j'ai l'impression que la suite de la séance est entre ses mains et qu'Yves ne participe que peu, il m’attache les deux mains en serrant très fort la corde avant de faire pareil avec les coudes, ce qui m’oblige à me redresser et à laisser pointer mes seins. Il m’aide alors à me mettre debout devant la table.

    Chapitre 176

    Quand mes pieds pleins d’aiguilles touchent le sol, j’ai peur de m’évanouir, mais il ne s’en préoccupe pas et avec le paddle il me zèbre le cul et me dit : « Allez belle pute, déambule dans le salon pour notre plaisir et apprécie ces aiguilles à leur juste titre en alternant bien des pas pieds à plat et d’autres sur la pointe des pieds : il faut savoir souffrir pour faire bander ton Amo ! »

    Il me laisse de très longues minutes marcher de long en large dans le salon, j’essaye de marcher le plus possible sur les talons, mais de temps en temps je dois me hisser sur la pointe des pieds ce qui me fait baver de douleur comme une forcenée en écrasant de toutes mes forces la boule de mon bâillon.

    José me récupère et me guide vers une chaise de la cuisine qui me rappelle de mauvais moments, pour, me dit-il me reposer un peu ! Ce dont je me méfie au plus haut point.

    Il me guide, me fait asseoir normalement sur la chaise : fesses sur l'assise, dos contre le dossier et pieds posés par terre devant la chaise et m’aide à glisser mes poignets et mes coudes bondés, dans mon dos, de l'autre côté du dossier de la chaise. J'ai le haut du corps immobilisé mais je suis assise et je peux donc soulager mes pieds.

    Je pense qu’il s’est assis face à moi, car il me soulève les pieds à tour de rôle et retire une à une les aiguilles en me soulageant à chaque retrait : « Tu vois, Yves, il n’y a pas eu une goutte de sang comme promis » « Oui, je vois que tu es un habitué. Bravo, José je me resservirai de ta technique ! »

    Quand il m’a enfin libérée de la torture des aiguilles, il me passe une corde à la taille pour que je fasse bien corps avec le dossier et m’encorde les deux chevilles aux pieds arrière de la chaise, ce qui m'ouvre obscènement les cuisses.

    Mais il délaisse ma chatte pourtant bien offerte, pour me caresser doucement les seins en effleurant mes bouts qui réagissent immédiatement en se durcissant.

    J’entends le bruit spécifique d’un spray qu’on agite, avec son bruit de bille d'acier qu'il a en lui, et je pense reconnaître celui dont Yves parlait à propos de mes plantes de pieds surchauffées par les coups. Il s’en sert, en effet, pour calmer les douleurs quand il s’est un peu trop excité sur moi et, un jour, il m’avait expliqué que c’était apaisant et en même temps anesthésique.

    Je suis en train de regretter que José ne l’ait pas utilisé avant de me truffer les pieds d'aiguilles quand je sens un nuage frais recouvrir mes seins de la base aux tétons. Je tremble un peu en ayant peur de son imagination qui a un peu viré au sado, mais, probablement, en attendant que le spray fasse son effet, José me caresse doucement les seins en jouant avec tendresse avec mes tétons, ce que je trouve très agréable et je l'en remercie : « Hum, merci Amo Mio pour vos caresses, elles m'excitent et me font du bien »

    Chapitre 177

    J'entends la caméra très proche de mes seins, et je ne suis pas étonnée, car Yves adore les filmer quand ils sont comme ça : gonflés par le désir avec les tétons bandés, avides de torture.

    José constate : « Tu es aussi bandante avec les nichons en poire qu'en pomme petite putain. Mais si je dois vider mes couilles dessus, je les préfère en poire ! »

    Il me pince fortement un téton et se rend compte que je n’ai pas de réaction, c’est donc que le spray a fait son effet.

    Ne craignant plus mes hurlements, il me retire le bâillon et essuie ma bave avec ses doigts en me les donnant à sucer pour les nettoyer.

    Il récupère alors sa main que je sens se poser sur un sein.

    Mais, il m'affolle en me disant : « Puisque la séance avec les aiguilles dans tes pieds a paru te plaire et t'exciter, je vais faire pareil avec tes nichons de pouffiasse qui aime qu'on lui torture ses mamelles de vaches ! »

    Je panique un peu, mais pour dire la vérité, je ne sens qu’une piqûre de moustique quand il enfonce la première aiguille dans le gras de mon sein gauche. Je me décontracte et constate que je n’ai rien d’autre à faire que de subir et de compter, il dispose huit aiguilles en rond autour de mon aréole gauche avant de faire la même chose au sein droit. Je ne peux pas dire que je souffre, je suis simplement gênée car ça me pique et m’étire un peu la peau, heureusement que j’ai les yeux bandés car je ne le vois pas sortir de leur écrin quatre aiguilles un peu plus grosses.

    Je sens ses doigts se positionner de chaque côté de mon sein gauche, il me pince brutalement le téton, ce qui me fait à peine sursauter, mais, en même temps qu'il le pinçait, il le perce avec une des aiguilles. Il répète trois fois le manège et je me retrouve avec deux aiguilles croisées dans chaque bout de seins.

    « Je parie que tu n’as rien senti, petite pute ? » « Quelques picotements, Amo Mio, rien de plus » « D’habitude, je le fais sans spray, mais comme c’est notre première rencontre, je voulais te ménager. Considère ça comme un entraînement ma salope ! » « Merci, Amo Mio » « Une autre fois tu me supplieras de ne pas utiliser de spray sale petite pute maso ! »

    Il me libère de tous mes liens et me fait mettre debout, en me disant : « Caresse toi doucement les nichons belle putain ! » Je me les touche et découvre petit à petit la forêt d'aiguilles qui y sont plantées, je suis surtout horrifiée par les quatre qui transpercent mes tétons en formant une croix : « Oooooh, vous m’avez perforée de partout, Amo Mio » « Et tu le regrettes ? » « Yves ne m’en avait jamais mis autant, Monsieur » « Eh bien, avec moi, tu sais ce qui t’attend dorénavant ! »

    Il me tend un soutien-gorge que j’enfile à l’aveugle. Avec la pression des bonnets, je commence à mieux sentir les aiguilles.

    Il me prend par la main et me dit : « Allez je vais laisser ton mari te faire oublier cette humiliation, petite pelote d'aiguilles sur pattes ! ».

    Il me guide jusqu’à Yves qui me fait m'asseoir sur ses genoux, me prend la main droite et la pose sur sa bite dure et raide. Je le branle avec grand plaisir alors que lui me pelote doucement les nichons à travers le soutien-gorge en m’arrachant des petits gémissements de plaisir.

    Chapitre 178

    « Hum, doucement avec ta main, putain, je ne veux pas jouir comme un ado ! » José lui avoue aussi qu'il n'en peut plus, lui aussi, et qu'il serait temps de conclure !

    « Oui, allons-y, José, je ne veux pas gicler bêtement dans sa main ! »

    Il me relève et me pousse vers la chambre, là, José m’enlève mon bandeau. Quand je recouvre ma vue normale, je vois les deux hommes nus, avec des bites d’âne, juste devant moi !

    Après avoir posé sa caméra sur son trépied, Yves se couche sur le dos, sur le lit qui a été débarrassé de tous les jouets, et en brandissant sa pine bien droite de sa main, il me dit :

    « Ma putain, viens m’enjamber, tête vers moi. Empale toi sur ma bite et colle bien tes nichons perforés sur ma poitrine » Je m’agenouille, glisse avec un gémissement de plaisir sa bite au fond de mon vagin et m’allonge sur lui en sentant de plus en plus les piqûres des aiguilles.

    José fait du bruit en se positionnant à genoux derrière moi, Yves relève un peu les genoux pour me soulever le ventre et le cul et José positionne son gland à l’entrée de mon anus, je souris en réalisant que les deux hommes veulent s'offrir une double pénétration avec moi, et je viens de gagner le pari qu'ils me baiseraient de cette manière durant la séance !

    José me le confirme « Tu vas rapprocher ton cul de ma pine, salope, je veux que ce soit toi qui pousse ton cul sur ma pine pour t’enculer toute seule, pendant que ton mari va te défoncer la connasse en appuyant bien son torse contre tes nichons pour que tu sentes bien l'impact de chaque aiguille ! »

    Yves m’aide comme il le peut, je pousse mon cul vers l’arrière sentant la bite de José forcer mon anus et glisser en moi, il rit : « Dans le hot dog tu es quoi putain ? » Je souris en lui répondant : « La saucisse ! »

    Nous rions tous les trois. Et ils me niquent en essayant de synchroniser leurs pénétrations. J’ai souvent eu une bite et un gode dans le corps, mais, d'avoir deux pines en moi est beaucoup plus rare et j'en suis surexcitée. J’en oublie même la douleur des aiguilles et aide les deux hommes à me niquer, du mieux que je peux, en bougeant mon cul au diapason.

    Chapitre 179

    Je sens que les hommes se retiennent, mais la situation est tellement excitante que je suis sure qu’ils ne vont pas tarder à jouir, pour faire durer un peu, José me demande d’enlever mon soutien gorge, ce que je fais en me contorsionnant avec beaucoup de difficulté et il dit à Yves :

    « Yves, enlève lui une des seize petites aiguilles qu'elle a autour de ses aréoles, tu es le mieux placé pour le faire »

    Il rapproche ses mains de mes seins, sans arrêter de me baiser, et enlève une aiguille du gras de mon sein gauche. Le spray ayant terminé ses effets, ça me fait très mal, mais je suis tellement bien baisée et enculée que j’en oublie la douleur.

    « Il te reste quinze petites aiguilles dans les nichons ma petite pute, quand ton mari enlèvera la dernière, nous nous viderons dans tes trous, et, exceptionnellement, tu auras le droit de t’envoyer en l’air ! Mais en attendant, tu vas compter à haute voix les aiguilles qu'il te restent dans les nichons, et sans compter les quatre que tu as dans les tétons »

    « Oooooh, oui, Amo Mio, il m'en reste quinze ! »

    « Bien mais n’oublie pas de bien jouer du bas ventre : tu as deux pines à régaler et pas une seule comme d'habitude ! Alors montre-nous que tu es une bonne niqueuse ! »

    Je suis de plus en plus chaude, j’égrène le nombre d’aiguilles qu’il me reste dans les seins et les coups de bites se font de plus en plus forts

    Quand j’en suis à une, je n’en peux plus et je sens que les hommes en sont au même point que moi. La pièce sent très fort la transpiration, vu que nous sommes tous les trois couverts d'une sueur dégoulinant de nos corps.

    Le triple orgasme qui suit l’enlèvement de la dernière aiguille est indescriptible. Je ne sais plus quelle bite aller chercher avec mon bas ventre, je me sens arrosée de partout alors que j’hurle sans contrainte mon plaisir qui me semble durer des heures. Yves, tendrement, ne me quitte pas des yeux pendant toute ma jouissance, il me sourit en me caressant doucement les cheveux et en me murmurant son amour alors qu’il sait parfaitement qu’un autre homme quasi inconnu se vide les couilles dans mes intestins. Quel époux fantastique !

    Chapitre 180

    José est le premier à se relever. Moi, je n'en peux plus, je m’écroule sur le côté, morte de fatigue, et Yves se relève avec difficulté. Mais José a une imagination décidément très fertile, car, à peine debout il me dit : « Petite pute maso, si je compte bien, il te reste les quatre aiguilles de tes bouts de mamelles, alors, je te propose un marché : soit tu les gardes une demi-heure, soit nous te les enlevons rapidement : une aiguille pour un nettoyage de pine et une autre pour boire notre pisse : que choisis-tu » « Hum, Amo Mio, décidément, je vais finir par adorer votre pisse ! Car sans tenir compte de mon épuisement : je vais choisir de nettoyer vos pines et de vous servir de chiottes ! »

    Yves et José rient, en disant quasiment en même temps : « J’en étais sur ! »

    Je commence par nettoyer la bite de José qui n’a pas un goût très agréable. J’hurle, car le spray ne me fait plus du tout d’effet, et les deux aiguilles qu’il m’enlève ont transpercé tout mon téton, il me laisse un peu de temps pour me remettre, et, comme il a débandé, il lui est facile de me pisser dans la bouche, suffisamment lentement pour que j'avale toute son urine en le remerciant d’un : « Hummmmmmm, merciiiiiiiiii, Amo Mio » sincère car je préfère boire sa pisse que nettoyer sa pine.

    A son tour, Yves me présente sa bite, il ne me reste que deux aiguilles dans les tétons : le lécher, le nettoyer et boire sa pisse sont pour moi un plaisir qui me fait presqu’atteindre l’orgasme, et je baise longuement son gland pour le remercier, alors que je n'ai pas pu voir l'échange de regard entre les deux hommes, Yves fait un à José ! Et c'est donc qui se charge d'enlever les deux dernières aiguilles en me faisant cruellement retomber sur terre. Au sens propre du terme car je tombe aux pieds d’Yves, au bord de l’évanouissement.

    Yves se précipite dans le salon, remplit un demi-verre de cognac, me le donne à respirer et à boire, et peu à peu je récupère mes couleurs. Il se contente de m’embrasser sur le front en disant à José : « Il nous faudra trouver un spray efficace plus longtemps si l’on veut continuer à utiliser des aiguilles » « Sois sans crainte, Yves, j’en connais un qui tient presqu’une demi-heure »

    Yves de nouveau très attentionné, me donne de suite l’autorisation d’aller prendre un bain, en me donnant rendez-vous dans une demi-heure au salon vêtue avec ce que José m’apportera dans la salle de bains.

    Chapitre 181 (4 heures du matin)

    Pendant que je me détends dans un bon bain chaud, les hommes reviennent au salon, se rhabillent, vont dans la cuisine et se font un copieux en-cas et reviennent dans le salon pour en profiter.

    « Tu sais, Yves, je trouve que ta commande au traiteur est une fabuleuse idée ! Tu te rends compte que depuis 20 heures nous n'avons pas arrêté de grignoter et de boire, et, ce, sans avoir aucune intendance ! C'est une super-idée, mais je reconnais là ton talent d'organisateur ! »

    « Tu es gentil, je trouve que quand nous sommes occupés sur un thème de soirée aussi pointu et que le moindre défaut peut altérer nous devons ne pas avoir me moindre souci, no dans l'intendance ni dans le matériel ! »

    « Bien raisonné, Yves, dis-moi, sur un sujet très différent : peux-tu me donner un défaut de Loré ? »

    Yves éclate de rire : « Un défaut ? Il va falloir que je me creuse ! Disons que son unique défaut est de ne pas m’avoir rencontré il y a quatorze ans ! » « Hahaha, bien répondu Yves ! Dis-moi, pour en revenir à la conversation la plus intellectuelle de la soirée, à propos de ses tsunamis, il va bientôt être 4 heures du matin et elle ne s’est envoyée que quatre fois en l’air. Je ne pense pas que ce soit intéressant de lui demander si ça lui convient, car nous sommes là pour imposer nos désirs et non l'inverse, mais, toi qui la connait par coeur, est-ce que tu penses que, pour le moment elle est comblée par cette forme de domination ? »

    « Oh quelle question difficile, je vais essayer d'y répondre : sur son attitude, le fait de revenir très vite à une séance dure même après une pause et son humour permanent, je peux te dire qu'elle semble ravie de sa soirée, et de toi en particulier. Quant à ses orgasmes, n'oublions pas que dans les quatre, il y a eu un premier tsunami qui valait combien d'orgasmes "normaux" ? Je ne sais pas ! Et je ne parle pas de son tsunami du cul ! Ni de notre triple orgasme simultané, disons qu'elle a eu la qualité et peut être pas la quantité. Pour la suite, je ne connais pas tes projets, mais je ne peux que te conseiller de lui appliquer par exemple deux heures de libido intense durant lesquelles tu pourrais la faire s'envoyer en l'air par exemple 10 fois, pour juger de ses qualités orgasmiques, de ses envies réelles de rejouir après un orgasme, et de la voir en situation, quasiment inverse au début de notre soirée, je ne sais pas ce que tu en penses ? »

    « Je trouve que c'est le meilleur conseil que tu pouvais me donner, toi qui la connait si bien. Je vais inverser la tendance et l'épuiser dans ces heures qui arrivent, en plus ça correspond très bien à la suite de l'aventure que j'avais prévue, c'est parfait, hum j'ai hâte de reprendre ! »

    « Je vais être franc, José ! Moi aussi j'ai hâte ! Cette soirée m'enchante totalement ! »

    « Moins que moi mon ami ! Moins que moi ! »

    Chapitre 182

    Yves reprend « J'ai envie d'un très bon café bien fort, pour faire passer tout cet alcool et éviter les petis signes d'endormissements normaux à cette heure fatale de la nuit, je vais te laisser mettre au point ton scénario et je vais faire une jarre de très bon café ! »

    José approuve et il accepte la proposition d'Yves de se doucher et de se changer pendant qu'Yves disparaissait dans la cuisine.

    Une dizaine de minutes plus tard, Yves revient dans le salon avec des tasses et une grosse cafetière de café odorant et visiblement, prêt à consommer.

    José est douché et changé, Yves lui dit qu'il a fait une toilette de chat dans la cuisine mais qu'avec notre pute nous n'étions jamais sales ! Et qu'il s'était rhabillé en vitesse.

    « Je suis passé près de la salle de bains, Loré y est toujours, je lui ai préparé une grande tasse que je vais lui porter avec une cigarette pour l'apaiser, je reviens de suite »

    « Tu as bien fait bien, elle le mérite, je nous en sers deux en t'attendant »

    Yves revient après m'avoir donné mon café et une cigarette. Et j'ai compris qu'il me restait 5 petites minutes avant de les rejoindre.

    Quant il a rejoint José il a eu ses félicitations : « Hum, ton café est délicieux ! » « Aucun mérite, c’est la machine et les cartouches qui fonctionnent bien ! Bon, j'ai donné 5 minutes à Loré pour nous rejoindre, qu’est ce que tu proposes pour la suite ? »

    Chapitre 183

    « J’ai une idée qui devrait te plaire, mais j’insiste pour que tu viennes avec nous » « Dis-moi toujours. Je te répondrai »

    « Je suis membre d’un club bdsm, quasiment de luxe et donc très bien fréquenté sur Madrid, j’y vais autant de fois que je veux avec ou sans soumise, et je peux y inviter un couple, dont l'un des deux est soumis, deux fois par mois. Loré et toi peuvent donc y entrer sans problème »

    « Ca peut être intéressant, et qu’y fait-on dans ce club ? »

    « Dans notre cas, il faut y inscrire Loré comme esclave. La confidentialité est garantie, car le club existe depuis 30 ans et parmi ses membres, il y a tous les dirigeants de la politique, de la police, de la gendarmerie et de l'armée ! »

    « Tu m'étonnes qu'elle ne risque rien ! Et il n'y a pas de concurrents ? » « Bien sur, beaucoup essaient, mais dès qu'ils prennent de l'ampleur, ils sont fermés pour proxénétisme hôtelier, même s'ils n'ont pas de chambres ! 10 ans de prison font réfléchir les autres, qui restent petits et discrets ! »

    « Voilà, un gros obstacle levé ! Et ensuite ? » « Une fois dans le club, elle sera présentée sur scène à tous les participants, et une partie de sa fiche d'inscription sera projetée sur des écrans géants et des tablettes à la disposition des clients. L'aspect gratuit du club est que tu peux échanger ta soumise avec une autre ou la prêter sans contrepartie. L’autre partie est payante : en fonction de sa présentation, elle peut avoir des demandes rémunérées pour des séances de trente minutes ou d’une heure dans des "mazmorras à thème" ("donjons à thèmes", avec spectateurs). Voilà, en le voyant, tu comprendras que c’est très chic, super protégé, totalement secret et que Loré ne risque absolument rien ! »

    « Ça a l’air bien, et tu dis que c’est donc très bien fréquenté ? » « L’adhésion annuelle coûte 10.000 euros, donc, je te laisse imaginer la qualité et l’éducation des membres et, même si un milliardaire se conduit mal, le service de sécurité intérieur le jettera dehors car la surveillance par caméras couvre 100% de l'établissement »

    Yves réfléchit un moment avant de lui répondre : « Allez banco, on y va, tu as raison, je verrai mieux sur place. De toutes les manières, si on peut y rentrer on peut aussi en ressortir si ça ne nous convient pas, je suppose ! »

    José répond en riant : « Oui bien sur, en théorie car je suis sur que ça vous plaira à tous les deux ! » « Et il faut s’habiller comment ? » « Je m’occupe de la tenue de Loré, pour nous des tenues sportswear seront parfaites » « OK, va t’occuper de Loré, et fouille dans ma garde-robe si tu as besoin de frinques, moi je vais m'habiller et préparer trois autres doubles expressos et trois coupes de champagne glacé, ça nous fera le plus grand bien ! »

    « Bonne idée. Car la soirée risque d’être longue ! »

    Chapitre 184

    José vient me voir dans la salle de bains, je finis de me sécher, il me dit : « Petite pute, nous allons sortir tous les trois et je dois t'habiller, viens avec moi dans ta chambre »

    Nous y retrouvons Yves qui s'habille après s'être douché rapidement dans l'autre salle de bains. José fouille dans mes armoires : « Et si tu lui faisais étrenner à l'extérieur la parure du Corté Inglès ? » « Oui, c'est ce que j'ai pensé, mais je cherche une robe sexy assortie »

    « José, tu peux très bien me mettre une robe noire, je n'ai pas besoin d'être déguisée en petit chaperon rouge pour être bandante ! »

    « Tu sais que ta femme a oublié d'être con, Yves ! Très bien, alors, pute maligne, propose moi des robes noires de soirées sous laquelle tu seras habillée tout en rouge ! » Je m'approche de l'armoire et lui tend un seule cintre : une robe noire longue, très décolletée avec une épaule nue cachant toute une épaule et en dévoilant une autre en même temps que quasiment tout un sein, et un bas de robe antisymétrique qui dévoile quasiment un genou et cache presque la cheville de l'autre jambe.

    José est ravi, il me dit : « Je vais me rafraîchir et m'habiller dans l'autre salle de bains puisque mes affaires y sont, quant à toi, la putain, habille toi un peu comme il y a quelques heures : parure du Corté Inglès, jambes nues, escarpins noirs orteils très visibles et ta belle robe noire, on se rejoint au salon pour prendre une tasse de café et prends ton temps, la nuit ne fait que commencer ! »

    En revenant, José trouve son café servi et dit à Yves :

    « Ah, j’ai oublié quelque chose d’important : tout ce qui se passe dans le club est enregistré en vidéo et tu repars avec le DVD de ta soumise » « Super ! Loré est prête ? »

    « Elle ne va pas tarder et va être divine ! » « Champagne ou Cognac, pour faire glisser ton café ? »

    « Hum, pas trop de mélange je vais rester au champagne Yves » Quand j'entre dans le salon, les hommes manquent de s’étouffer en me voyant !

    « Quelle beauté ! Tu m’as coupé le souffle, Loré ! » « Merci, José, mais si l’extérieur a peut être changé, l’intérieur est toujours le même, Amo Mio ! »

    Je remercie Yves pour les étoiles qu'il a dans les yeux et pour ce double expresso que je bois avec plaisir avec une coupe de champagne bien glacé.

    Chapitre 185

    José tourne autour de moi et me dit en souriant :

    « Dis moi ma petite pute, quand t'ai-je autorisée à prendre une initiative vestimentaire ? » « J'avoue que je m'en rappelle pas, Amo Mio, je pense pouvoir répondre jamais ! »

    « C'est bien ce que je pensais, et peux-tu m'expliquer salope de putain tricheuse, qu'est ce qui pend à tes oreilles de truie boueuse ? »

    « Ah, ça ? Amo Mio, c'est un cadeau que j'aime bien : deux petites paires de menottes, finement dorées, qui explicitent ma nature un peu plus vite que ma carte d'identité ? »

    « Car, en plus tu es fière de montrer à tout le monde que tu aimes l'esclavage, et puis-je savoir qui est l'auteur de cette plaisanterie exhibitionniste ? » « Hum, Amo Mio, c'est un amant très cher, mais aussi un Maître très doué, mais ça m'ennuie de vous donner son nom ! »

    Il s'approche de moi, me prend « méchamment » les pointes de seins libérées par mon soutien-gorge ouvert et fait semblant de me tordre les pointes, je joue le jeu en gémissant et en tordant mon corps, il me regarde avec des yeux faussement furieux et commence à me questionner :

    « Il te fait jouir toutes les fois qu'il te baise ? » « Oui, Amo Mio, au minimum deux fois par jour, sauf quand il veut me garder excitée ! »

    « Je suis sur que vicieux comme il est il te partage avec une Maîtresse ? » « C'est exact, Amo Mio ! »

    « Qui aimes-tu le plus des deux ? »

    « Si je perds ma Maîtresse, je ne dors pas pendant deux jours, si le perds lui, je meurs de suite ! »

    « Réponds-moi sale pute et ne me ment pas, son prénom commence par Y ! »

    « Ooooh, je suis trahie, ouiiiiii, Monsieur, c'est bien un Y ! »

    José éclate de rire : « C'est le plus beau bijou que je n'ai jamais vu de ma vie, bon, pour être un peu sérieux, j’ai commandé un taxi et il doit nous attendre en bas avec au moins 50 euros au compteur ! On y va les enfants ? »

    En passant devant José, je le gratifie d’un : « Oui, Papa » et cours vers Yves qui me protège des foudres de José et m'enveloppe d'un très beau châle de soirée, en soie noire et différents tons de gris. Je l'adore et il finit très bien de m'habiller, je lui baise la bouche comme une gamine amoureuse pour le remercier d'y avoir pensé, et c'est en riant que nous descendons pour rejoindre le taxi qui, heureusement n'est pas parti entretemps !

    Nous nous installons tous les trois derrière, José lui donne l’adresse du club en Français, mais doit la répêter en Espagnol, car le chauffeur n'a rien compris, et il démarre sans dire un mot.

    Nous rions tous les trois de la blague des boucles d'oreilles et José dit à Yves : « On peut parler tranquille en Français, il ne comprend pas. Mais Yves c'est ce que je pense : ces pendentifs sont magnifiques, je n'en avais jamais vu d'aussi réussis ! »

    Yves rit et lui rétorque « Ne bave pas dessus, j'ai du prendre un crédit, rien que pour payer les mensualités de l'assurance ! Tu sais que vivre avec une call girl, coute très cher, José ! » Nous éclatons de rire et je pose mes dernières conditions de la soirée « Mes hommes, je vous signale que si vous avez oublié votre pognon à l'appart, c'est l'un de vous deux qui paiera en nature, mais surement pas moi ! » Encore un gigantesque éclat de rire qui doit finir d'énerver le chauffeur et nous nous reposons un peu alors qu'il roule en nous annonçant que nous y serons dans 10 minutes.

    Chapitre 186

    Nous arrivons en effet, un petit quart d’heure après, dans un des quartiers les plus chics de Madrid, le taxi nous dépose devant ce qui ne ressemble pas du tout à un night-club !

    Nous descendons, le payons et nous dirigeons par une très belle allée qui descend vers une espèce de petit belvédère, qui nous dévoile en un coup d'oeil "Le Club"

    C'est en fait un très joli bâtiment en rez-de-chaussée, ultra-moderne et super-designé, entièrement construit en aluminium gris et noir, avec d'immenses baies vitrées noir fumée.

    Il est entouré d'un parc somptueux dont nous pouvons admirer les lumières, presque toutes cachées, sans pouvoir se risquer à les compter tellement il y en a.

    L'originalité de ce bâtiment est dans le fait qu'il n'y a aucun mur d'enceinte : il a été remplacé par un réseau de rayons lumineux qui doivent rendre ce faux mur tout à fait infranchissable même par une souris.

    Après un petit escalier qui permet de descendre du belvédère vers l'entrée du Club, le chemin d'accès devient plat, et s'enfonce pendant environ cinq mètres dans le parc paysagé, jusqu'à arriver à une espèce de place de village ultra moderne d'environ 20 mètres de diamètre. Le sol est en marbre blanc, la circonférence est bordée par un "banc" circulaire de 50 centimètres de hauteur en marbre noir. La place de village est sans ambiguité l'entrée du « Club Privé » avec son immense sculpture superbement éclairée représentant une très jolie femme, nue, mais qui, regard baissé, cache l'intégralité de son sexe et de ses seins, et tout à côté : sur une borne toujours en marbre, il y a (comme chez mon gynéco !) à environ 1,40 mètre du sol une plaque gravée : « Club Privé » et un terminal d'ordinateur avec un lecteur de cartes, un clavier numérique et une petite grille protégeant une sortie sonore.

    Cette architecture rarissime nous a scotché, et pas un d'entre nous n'a envie de faire une réflexion, sauf Yves qui, avec sa logique habituelle trouve que ce n'est pas très grand ! Il provoque le rire de José qui lui dit d'attendre un peu avant de juger !

    José glisse sa carte dans le lecteur, compose un simple code à quatre chiffres, une voix, avec une sensualité à vous hérisser le duvet des bras nous susurre : « Bienvenu, cher Monsieur José, vous nous avez manqué ces derniers temps, vos nouveaux amis sont adorables, nous attendions, pour le moment en vain, notre future "Miss Le Club" et nous sommes ravis de la voir enfin à notre porte, entrez »

    La porte du club s'ouvre silencieusement, José commente : « Quel programme informatique ! C'est fabuleux ! »

    Nous entrons dans un immense hall construit avec les mêmes matériaux que le bâtiment : aluminium bi-colore et verre sans tain, mais la différence est au niveau des lumières, qui branchées sur variateurs diffusent des couleurs et des intensités très variées.

    Une dame d’une cinquantaine d’années semble jaillir de l'ombre et nous accueille avec un grand sourire. Elle fait une bise à José : « Bonsoir, José, ça fait trop longtemps que je ne t’ai pas vu. Tu n’as pas de soucis au moins ? » « Aucun, Madame, mon seul problème est que j'ai beaucoup trop de travail ! » « Oh, comme je suis heureuse pour toi ! Il y a tellement de chômage en Espagne ! N'oublie pas que tu peux compter sur moi en cas de problème ! Mais je vois que tu me fais le plaisir de venir accompagné. Tu peux me présenter ? » « Bien sur, Madame : Yves un ami de travail et sa petite femme soumise très bien éduquée qui s'appelle Loréna » « Bienvenue à tous les deux, Loréna va avoir un succès fou ! Nous avons beaucoup de monde, et elle est d'ores et déjà la plus sexy de la soirée ! C’est le premier couple qui t'accompagne ce mois-ci donc ils peuvent entrer sans frais et ont le droit à une bouteille de champagne gratuite, mais tu sais que tu dois enregistrer sa charmante femme ? » « Oui, Madame, rassurez-vous, je connais bien les règles »

    L’accueil est cordial, et la réponse de José nous prouve que nous sommes en présence de la patronne, qu’apparemment il faut appeler « Madame » Je souris en moi-même, car malgré l'architecture fabuleuse, nous ne sommes que dans un bordel avec ses putes et sa maquerelle !

    Chapitre 187

    Elle nous fait signe et nous la suivons vers un des ilôts de 6 ascenseurs situés au milieu du hall.

    Un ascenseur est là nous montons dedans et Madame passe une carte magnétique et nous projette au 5ème sous sol, nous comprenons alors tous que le bâtiment est enterré ! Sacrée surprise !

    « Madame sourit de voir nos visages : je suis là depuis la construction de cet étonnant bâtiment, eh oui, il est entièrement souterrain, le rez-de-chaussée est quasiment toujours vide sauf en se transformant en salle de spectacle ou en immense salon de réception, les -1 et - 2 sont réservés au Club, les -3 et -4 aux donjons à thème. Les bureaux, les machineries et les serveurs d'informatique sont au niveau -5, et les -6, -7 et -8 sont des parkings. Le -6 ayant des doubles emplacements permettant de recevoir les voitures les plus luxueuses, type Ferrari, ou Rolls ou grosses américaines par exemple. Je souris toujours en racontant que nous avons pu caser la "beast big one" : la voiture blindée d'un président des Etats Unis, mais nous sommes persuadés que nous n'avons reçu que le vice-président ! L'ensemble ne produit pas un seul bruit, on n'y voit jamais personne, on n'y reconnaît personne, par contre, nous voyons arriver nos clients 10 minutes avant qu'ils ne valident leur carte !

    Chapitre 188

    José se fait le porte parole de tout de le monde : « Je t'avais dit Yves, que ça ne servait à rien de te décrire l'endroit, et qu'il fallait que tu le vois » « Exact et je suis très impressionné, je n'ai jamais vu ça : je te dis franchement que je préfère avoir les frais de gestion de notre bureau madrilène que ceux de ce monstre ! »

    Eclats de rire général avant d'arriver au bureau de Madame qui est aussi impressionnant que le reste : au moins 300 m², suréquipé en matériel high-tech, avec des murs entiers d'écrans de contrôle, je suis sure que 4 ou 5 personnes travaillent dans ce bureau quand Madame ne reçoit pas. Elle fait asseoir les hommes et me demande de rester debout à côté d’eux.

    Elle allume son ordinateur et ouvre une fiche d’inscription sur un gran écran de télé contrôle :

    « Bon, jeune femme, d'abord puis-je te tutoyer ? »

    « Bien sur, Madame »

    « Je vais te poser quelques questions pour créer ta fiche »

    « Bien, Madame »

    « Commençons par le physique »

    « Age ? » « 34 ans » « Taille ? » «1m65 » « Poids ? » « 54 kilos »

    « Taille de bonnets ? » « 90B » « Couleur des cheveux ? » « Bruns » « Couleur des yeux ? » « Marrons »

    « Puis des renseignements plus intimes »

    « Pseudo sous lequel tu veux être connue au club ? » « Loré » « Tes tabous sexuels ? » « Pas plus de trois hommes en même temps » « Tes tabous en bdsm ? » « Pas de sang et pas de scato » « Donc Uro et zoo acceptés ? » « Oui, Madame »

    « Et un essai de te classer dans une catégorie »

    « Dans quelles catégories penses-tu te situer : soumise cérébrale ou sexuelle ? » « Les deux Madame » « Esclave éduquée ou non ? » « Dernière phase d'éducation » « Esclave maso ou non ? » « Maso mais contre la douleur gratuite non excitante »

    « Dis-moi, José, tu as trouvé une perle ! » « Oui, je pense, Madame, sinon je ne vous l’aurais pas présentée »

    « Deux question faculatives »

    « Type et/ou origine ? » « Andalouse » « Téléphone de contact ? » José lui donne son portable.

    « Bien, pour finir, il y a deux photos obligatoires : la première : ton visage souriant en gros plan, la seconde habillée, en sous vêtements ou nue, mais debout, souriante et de profil »

    Yves lui propose sa collection de photos de moi sur son I'Pad, Madame accepte fait défiler mes photos et en sélectionne trois : 2 pour le fichier et 1 en réserve.

    « Voilà, les formalités sont terminées, ton CV, va très vite circuler sur les grands écrans du club et sur toutes les tablettes mises à disposition des membre.

    « Tu es inscrite. A ta sortie je te donnerai ta carte annuelle, ton enveloppe de gains de la soirée, et ton DVD de séances. Les soumises ne paient pas l'entrée ni la cotisation, mais elles n’ont aucun privilège. Donc, j’en suis désolée, tu ne pourras pas venir avec ton mari, sauf s’il s’inscrit ou est invité comme ce soir »

    « Je comprends, Madame » « José vous donnera toutes les règles du club, si Loréna est choisie pour des séances de mazmorra, vous verez apparaître sur votre tablette un lien pour m'appeler directement, pour que je vous donne quelques conseils avant d'accepter ou de refuser une mazmorra : je tiens à favoriser l'entrée de Loréna dans notre grande famille, et avant de vous faire accompagner, je préviens que Loréna, passera seule devant un bureau d'esthétisme qui jugera si son habillement pour sa présentation à l'agora du club est bien conforme à notre éthique. Et, en vous souhaitant une bonne soirée, je vous fais accompagner au Club »

    Chapitre 189

    Elle sonne et un employé aux épaules bien carrées apparaît : « Edouard, sois gentil d’amener nos amis au Club en passant par la commission des esthètes »

    « Bien, Madame, si vous voulez bien me suivre, Madame et Messieurs » Nous saluons Madame et suivons Edouard.

    Nous comprenons vite pourquoi nous avons besoin d’un accompagnant ! Nous allons d'abord dans l'ascenseur avec lequel nous remontons au -1. Edouard nous explique que lorsque nous reviendrons sans avoir de formalités à accomplir, notre parcours de l'entrée au Club sera fléché, mais que pour venir du Club aux bureaux, il nous faudra demander un guide !

    Dans un long couloir, José nous fait remarquer au passage que toutes les portes sont équipées d’une sécurité automatique. Yves comprend pourquoi ce club n’a jamais eu de problèmes en 30 ans !

    Nous arrivons à une dernière porte codée qui donne sur un petit hall : Edouard m'ouvre la porte de droite et me demande d'entrer seule, en me précisant que je rejoindrai mes amis au bar du Club, j'entre dans cette pière alors qu'Yves et José disparaissent, aspirés probablement par la grande agora du Club !

    Chapitre 190

    Le bureau dans lequel j'entre est très chaud, et sympathique, pas du tout dans l'esprit du bâtiment : murs aux beaux teints pastels, silhouettes de fer forgé en relief avec des éclairages internes, un très beau bureau en bois précieux, une femme et un homme souriants qui me montrent un beau fauteuil dans lequel je m'assieds. C'est la femme qui parle en premier :

    « Bonsoir Loréna et bienvenue au Club, nous sommes là pour juger de ta présentation devant nos membres dans l'agora. Notre Club a des règles qu'on pourrait résumer par l'exclusion totale de la vulgarité : tout le monde sait que les soumises qui viennent se louer ici vont satisfaire toutes sortes de vices dans les mazmorras ou dans les salons, mais, dans leur présentation initiale, nous tenons à ce qu'elle ressemble à ce qu'elles sont : des femmes aux physiques très différents mais qui sont toutes respectables et ne présentent quasiment aucun signe extérieur de leur soumission, vous m'avez compris ma chère Loréna ? »

    Je souris : « Tout à fait, et je sais d'ores et déjà que je dois enlever deux choses ! »

    Rires de mes deux juges : « Etonnant, c'est la première fois que nous obtenons une telle réponse ! »

    « Il y a toujours une première fois, chers censeurs ! Pour ma part c'est la première fois que j'entre dans un Club bdsm ! »

    « Bravo que ce dépucelage soit fait chez nous ! Mon collègue va vous donner un tiroir et vous ouvrir un casier pour que vous y laissiez les affaires qui ne vous conviennent pas ou que nous n'approuvons pas »

    L'homme glisse un tiroir qui ressemble à ceux des coffres de banque, et j'y dépose mes boucles d'oreilles, ce qui fait sourire le couple, puis, je me lève, soulève ma jupe et ôte ma culotte rouge fendue, je la leur montre en la déployant et la met dans le tiroir, puis j'enlève mon châle que je plie soigneusement et que je mets dans mon casier, je me rassied en leur disant :

    « Je pense que le reste vous conviendra ! »

    « Nous allons vite le savoir, otez votre robe, Loréna, s'il vous plait » Je m'exécute et apparait donc en escarpins noirs à très hauts talons, jambes nues, chatte et fesses nues, soutien-gorge balconnets offrant plus qu'il ne soutien mes seins.

    « C'est parfait, voulez vous une culotte ? »

    « Si ce n'est pas inconvenant, j'aime ma nudité à cet endroit »

    « Eh, bien, Loréna, merci pour cet entretien très agréable » Ils se lèvent tous les deux, pendant que j'enfile ma robe, ils referment mon casier et me guident par un petit couloir vers l'agora dans lequel nous entrons, juste derrière le bar où sont accoudés mes deux hommes !

    Chapitre 191

    Ils disparaissent, sans que j'ai eu le temps de les remercier et je vais donc rejoindre mes deux hommes, qui m'offrent de suite une coupe de champagne ! En me demandant comment ça c'était passé : « Très bien, sauf mes belles boucles d'oreille et ma belle culotte fendue que j'ai du laisser dans un casier ! »

    José me prend par le bras et me guide pour une visite panoramique de cet agora : « Voilà, ce qu'ils appelent l'agora du Club, tu sais je suppose ce qu'est un agora ? » « Non, Amo Mio, je le savais mais j'ai oublié (il faut savoir flatter son Maître de temps en temps, maic hut !) » « C'est un mot latin qui signifie : « L'endroit où se réunit le peuple, que ce soit pour faire de la politique ou pour faire la fête » « Merci, Amo Mio » « Au Club, c'est en fait un des deux immenses bars, car tu as exactement le même argora à l'étage en dessous, avec une très belle piste de danse dont le sol et le plafond sont recouverts de miroirs. Elle est entourée par une centaine de petits salons munis de rideaux automatiques opaques » « Comme tu peux le voir, il n'y a pas beaucoup de monde, le soir d'affluence est le vendredi, mais il y a tout de même une bonne trentaine de couples sur la piste, une vingtaine de clients au bar et, la moitié des salons semble occupée. Dans tous les salons, il y a un grand écran de télé qui retransmet les nouvelles : le début d'une séance dans une mazmorra, l'arrivée d'une nouvelle esclave avec sa fiche d'identité, et deux tablettes numériques pour lire les CV, faire son choix de fille pour une mazmorra ou commander à boire »

    Nous nous retournons vers le bar où je m’assieds entre mes hommes sur un tabouret très confortable.

    Le serveur s’approche et s’adresse à José : « Bonsoir Monsieur José, je suis content de vous revoir et je vous souhaite une bonne soirée à vos amis. Je vais offrir la coupe de champagne du Club, à votre charmante compagne, mais je vous rappelle que je vous dois la bouteille de champagne de bienvenue pour vos deux invités ! » Nous remercions le barman et Yves demande à José : « Dis-moi, qu’est ce qu’il faut faire ou ne pas faire dans ce club ? Je suis un peu perdu ! »

    Chapitre 192

    José sourit : « Je vais essayer de tout bien t'expliquer, car, ici, tout impair peut avoir des conséquences graves ! Par exemple, à la fin de cette danse, Loré va être présentée officiellement à tout le club : un présentateur hableur et plein d'humour salace, une petite interview plus ou moins intime, quelques tours sur elle-même pour présenter toutes ses faces et sa fiche passant en boucle sur tous les écrans du Club »

    « Après cette présentation, il peut y avoir quatre réactions de la part des membres. Soit venir à elle pour nous demander l'autorisation de l'inviter à danser : mais attention si nous ne tenons pas Loré par un endroit de son corps (bras, poignet, cou, épaule), le membre lui dira simplement de venir danser avec lui, et, elle doit le suivre et sur la piste, il pourra l'utiliser à sa manière, sans aucune limite, la mettre à poil, se faire sucer, la faire jouir etc... » « Mais c'est ignoble ça, il n'en est pas question » Et Yves m'agrippe le bras sous le regard amusé de José.

    « Deuxième réaction : nous solliciter pour lui offrir un verre, comme pour la danse, si nous ne la touchons pas, elle sera à lui devant le bar sur son tabouret, et nous ne pourrons rien dire, c'est la règle, il faut faire attention : il y a des spécialistes du "lacher de pute" qui te font lacher ta femme sans que tu y prennes garde » « Ok, je vais faire attention » « Et, il y a des moyens pour éviter ça ? » « Bien sur : du bar tu retiens un petit salon de bord de piste, et dès que nous avons le numéro, un barman nous y accompagne, ça coute 100€ l'heure de location, sans boisson et 200€ avec une bouteille de champagne, servie automatiquement toutes les heures : attention de ne pas oublier d'annuler la livraison suivante »

    « Troisième réaction, séduits par le profil de Loré, le membre la réserve pour un temps délimité dans une mazmorra privée : les locations sont très chères ! 600€ la 1/2 heure par dirigeant, 1.000€ l'heure par personne, et les mazmorras peuvent accepter 15 spectateurs à 100€ par tête, seuls toi et moi, dans les spectateurs, ne payons pas ! »

    « Dernière réaction, si nous avons loué un salon, le membre se présente seul, nous devons lui offrir une coupe et il nous fait une proposition pour utiliser Loré dans notre salon, devant nous, soit une somme d'argent (en principe pas de pipe mais 100€ le con ou le cul à poil) soit un échange : utiliser sa soumise en échange de la nôtre, dans ce cas nous allons voir le matos d'échange et nous acceptons ou nous refusons, voilà les règles ! Pas trop compliqué, tu as tout compris ? » « Oui, pas de souci, mais il faut vite louer un salon pour ne pas se faire voler Loré ! »

    « Tu as raison, je m'en occupe de suite »

    Chapitre 193

    « Les propositions pour les mazmorras à thèmes, vous nous parvenir sous forme de messages sur tablette. Je suis sur qu'en fonction de sa nouveauté et de son physique de reine, elle aura beaucoup de propositions. Il faut que toi ou moi gardions une tablette connectée sur la page de Loré »

    « La proposition sera très détaillée : thème, participants, durée et exigences. Cette proposition aura été validée par Madame, qui peut donner un feu vert ou un feu rouge sans avoir à se justifier, et nous pourrons l'appeler directement avec la tablette pour en savoir plus. Dès qu'on donne une réponse négative ou positive, l'expéditeur la reçoit, avec une copie pour Madame» « Dans notre réponse nous devons préciser si nous désirons assister gratuitement à la séance dans le salon voyeurs attenant à la mazmorra qui a une vitre sans tain et un interphone pour intervenir si quelque chose ne nous convient pas »

    « Merci, José, je me sens moins bête ! » José éclate de rire et continue pour en terminer : « Quant aux mœurs : tu peux faire ce que tu veux où tu veux, si tu veux enculer Loré au centre de la piste un cercle se formera et les spectateurs applaudiront à chacun de tes coups de reins ! C’est plus que très libéral ! » « En effet ! »

    Le serveur vient nous dire que nous devons rester au bar car ma présentation va commencer, et le présentateur sait où et qui je suis.

    En effet, la danse s’arrête et après un jingle dynamique qui fait s’ouvrir quelques rideaux de salons, une annonce résonne : « Chers membres, ce soir, nous avons la chance de découvrir une nouvelle soumise que Jean-Louis va vous présenter et, comme d’habitude, dès que la présentation scène sera terminée, vous pourrez consulter sa fiche sur vos écrans ou sur vos tablettes. Merci de faire un triomphe à : « Loré » ! »

    Je suis prise en charge par un projecteur-poursuite alors qu’un homme élégant s’approche de moi et me prend par la main pour m’amener au centre de la piste de danse désertée

    « Bonsoir, Loré, et bienvenue dans notre temple du plaisir »

    « Merci de votre accueil, Monsieur »

    « Je vois que tu es très respectueuse, bravo »

    « J’essaye de l’être dans toutes les situations, Monsieur »

    « Tu t’appelles donc Loré et tu es venue seule ? »

    « Non, Monsieur avec mon Maître et mon mari »

    « Oh ! Tu es bien encadrée et ton mari te domine aussi ? »

    « Oui, Monsieur, c’est lui qui m’a éduquée et continue à le faire » « Monsieur, je vous félicite, vous avez une épouse charmante »

    Yves lève son verre pour le remercier

    « Je ne vais pas te demander de détails intimes puisque ta fiche va être publiée. Mais as-tu l’habitude de fréquenter des clubs bdsm ? » « Non, Monsieur, c’est même la première fois »

    « Eh bien, c’est gentil d’avoir choisi d’offrir ton pucelage à notre club ! »

    Il me prend par la main et mime des passes de rock pour me faire tourner plusieurs fois sur moi-même

    « Voilà : la très belle Loré, à vous de choisir comment lui faire passer une excellente première soirée dans un club bdsm de qualité : Le Club Privé »

    Il me baise la main et me raccompagne au bar sous un tonnerre d’applaudissements.

    Mon manque d’habitude pour ce genre d’exercice se voit sur mon visage et je me jette sur ma coupe de champagne pour oublier ma crispation. José passe sa main sous ma robe et la ressort en annonçant : « Hum, je vois que ta prestation ne t’a pas laissée indifférente ! Elle est déjà trempée, Yves ! »

    « Tu sauras, José que lorsque Loré porte son ou même ses bracelets : elle est toujours mouillée ! » « Je m’en rends compte Yves, je continue à apprendre le Loréna ! »

    Chapitre 194

    Un couple élégant d’une cinquantaine d’années s’approche de nous « Bonsoir, Messieurs, votre esclave est adorable, pouvons nous vous offrir une coupe ? » « C’est gentil à vous, mais nos coupes sont quasiment pleines » « Ce sera donc pour tout à l’heure. Nous sommes tous les deux dominants, accompagnés par deux soumises. Puis-je danser avec Loré ? Vous pourriez en profiter pour faire la connaissance de nos esclaves ? »

    Malgré les appels de José, c’est Yves qui se charge de la réponse : « Je n’ai rien contre. »

    L’homme m’entraîne alors que José lui murmure à l'oreille :

    « Attention, Yves, comme tu as accepté la danse pour Loré, il peut faire n'importe quoi de ta femme sur la piste : la faire souffrir ou l'humilier comme il le veut et tu ne peux t'opposer à rien ! »

    « A, ok, j'ai répondu trop vite, désolé José, mais je suis sur que ça se passera bien, Loré sait argumenter un client ! »

    Mais la compagne de l'homme est toujours avec nous et elle a entendu José réprimander amicalement Yves et elle intervient : « Je m’excuse d'intervenir, mais je tiens à vous rassurer, car mon mari est un vrai gentleman, et votre femme ou votre esclave est entre de bonnes mains, nous devons aller faire connaissance avec nos soumises, mais, puisque je suis accoudée au bar sans une main d'homme posée sur moi, je vous propose je changer de camp, et d'enlever la jupe et ma culotte, pour que vous puissiez me niquer et m'enculer, pendant que mon mari enverra Loré au 7ème siècle ! »

    Sur la piste l'homme m'enlace : il me serre contre lui et je sens de suite qu’il bande. « Tu as une très belle fiche, esclave. Très bandante comme tu peux le constater. Baisse une main et caresse-moi le paquet » Je ne connaissais pas cette expression mais ma main descend vers sa braguette. « Tu as quoi sous ta robe, putain ? »

    « Une parure seins nus » « Hum, prête à enfiler, donc ! » Il soulève un peu ma robe et accède directement à ma chatte dans laquelle il fourre deux doigts fouineurs. « Et en plus pas besoin de te lubrifier, tu l’es déjà » « Oui, Monsieur » « Tu as beaucoup obéi ce soir ? » « Oui, Monsieur depuis 20 heures à mes deux Maîtres et à d’autres personnes » « Et tu as beaucoup joui, salope ? »

    « En qualité, oui, Monsieur, je suis même tombée dans les pommes après un orgasme gigantesque ! Mais en quantité, non, mes Maîtres m’ont beaucoup frustrée » « C’est la meilleure punition pour une pute en chaleur mais je vais t’aider à rattraper ton retard »

    Chapitre 195

    « Il me faut l’autorisation de mes Maîtres, Monsieur »

    « Je constate que tu es vraiment novice, en acceptant de te laisser danser tes Maîtres ont accepté que je fasse tout ce dont j’ai envie Je peux même te demander de te mettre à poil, ils n’ont rien à redire ! »

    « Je ne savais pas, Monsieur, merci de m’excuser »

    « Pas grave, c’est ta première fois, laisse toi aller petite salope, et regarde vers le bar, tu verras ton mari enculer ma femme, non, plutôt lui défoncer le cul ! Alors que ton Maître attend le pantalon aux chevilles pour vider ses couilles dans sa bouche ou dans sa connasse, ils s'amusent bien, je ne vois pas pourquoi, tu ne répondrais pas à leurs deux orgames en t'envoyant deux fois en l'air avec moi ! »

    Il redescend sa main sous ma robe mais, cette fois, il va chercher mon clitoris qu’il trouve facilement. Il le pince entre ses doigts et le branle fortement. Je cache ma tête dans son épaule pour gémir doucement en écartant un peu les cuisses pour l’aider. Il me mord l’oreille un peu trop durement en me glissant :

    « Tu es vraiment en chaleur, tu es faite pour niquer et pour jouir ! » Il accentue sa caresse sur mon petit bouton en sentant que je ne suis pas loin d’exploser : « Je veux que tu me regardes dans les yeux quand tu jouiras et je t’interdis le moindre cri »

    Je me contente de faire oui de la tête, ses caresses sont trop précises, je n’en peux plus. Je sors ma tête de son épaule et le regarde dans les yeux, en jouissant comme une folle et en me mordant les lèvres pour ne pas émettre un seul son.

    Il peut lire mon orgasme dans mes yeux et me sourit, ravi que je lui offre une jouissance aussi rapide que forte.

    Il regarde vers le bar et me dit : « Regarde, ma jolie pute, ton mari a rempli les intestins de ma femme, et c'est à présent ton Maître qui lime ma femme, et regarde bien sa position : il l'a assise sur son tabouret, pieds en l'air, jambes sur ses épaules et à chaque coup de pine il doit l'élargir un peu plus ! Et regarde la foule autour d'eux qui les acclame et encourage ma femme à gueuler comme une truie ! Tu as de la chance d'avoir deux bons baiseurs chez toi ! »

    Chapitre 196

    En dansant, il m'amène au centre de la piste et fait signe aux couples qui dansent à côté de se rapprocher, quand un cercle s'est fait autour de nous, il me murmure à l'oreille : « Tu as 3 minutes pour te mettre entièrement à poil, salope, chaussures incluses »

    Voyant que je n'ai pas le choix et aucun recours du côté de mes hommes, j'ôte mes chaussures, enlève par le cou ma longue robe et termine en jetant mon soutien-gorge dans le cercle de mes voyeurs, de suite, l'ambiance monte, mon danseur me prend dans ses bras, dos appuyé à lui et écarte mes cuisses de ses deux mains en disant : « Allez, profitez de notre arrivage, venez peloter une jeune connasse dégoulinante, n'hésitez pas à escalader son clito, et en remontant un peu, n'oubliez pas de tordre un peu ses bouts de mamelles, cette pute adore ça ! »

    Une bonne dizaine de mains se posent sur moi, des hommes et des femmes me doigtent le con, miment la pénétration d'une pine, une femme au poignet très fin me fiste le vagin, des doigts d'hommes me pétrissent les nichons et tordent mes bouts jusqu'à me faire hurler, mais un des membres me flingue d'une phrase très dure : « Quand on est capable de se mettre à poil dans un club, et d'être trempée à cette idée, on ne crie pas sale pute, on ne crie que lorsque tes partenaires de vice te font l'honneur de te faire jouir de ta soumission insupportable pour la fierté de ton sexe, tu mérites des coups et pas des orgames sale pouffiasse ! »

    Je jouis une première fois en mordant le poing de mon danseur pour essayer de minorer mon plaisir, il sourit et me retourne, nichons plaqués sur sa poitrine, il glisse une de ses cuisses entre les miennes, appuie sur mon bassin pour que mon sexe soit bien en ventouse sur sa cuisse, et m'ordonne de me frotter à lui comme une chienne le fait quand elle a envie de se faire saillir.

    Et il donne mon cul aux voyeurs qui se jettent sur mes fesses en les frappant le plus fort possible, alors que des doigts, deux, trois quatre entrent dans mon cul qu'ils dilatent, jusqu'à ce qu'un poing me fiste, m'arrachant un hurlement de douleur, mais mon fisteur ne tient pas compte de ma douleur et va et vient dans mon cul de toutes ses forces, m'arrachant un nouvel orgasme très bruyant et plus douloureux que réellement jouissif.

    Seul le poing m'interdit de tomber à terre, mais mon danseur veut que je termine de me frotter sur sa cuisse, à sa demande, tout le monde s'écarte de nous pour accueillir plus de voyeurs qui me regardent me frotter sur la cuisse de mon danseur, en bavant de plaisir et d'envie, et, en parcourant les voyeurs réunis autour de nous, je vois mes deux hommes qui se régalent de me voir ainsi abaissée en public, abaissée à l'état d'une chienne en manque et de les voir me donne tellement honte qu'un autre orgasme assomoir vient terminer cette série, quasiment incroyable.

    Heureusement, mon danseur me retient, il me met à genoux devant lui et m'ouvre la bouche avec sa pine et encouragé par le public qui crie à chaque pénétration : il me nique la bouche et me donne son foutre à avaler en me giflant ce qu'il appelle crûment ma gueule de putain vicieuse !

    Chapitre 197

    Mon danseur m'ordonne de ramasser mes affaires et sous les applaudissements des voyeurs, il m’entraîne vers son salon. En entrant je vois Yves et José en train de boire du champagne et, à côté d’eux, deux femmes nues, menottées par devant et tétons pincés. Elles ont l’âge du couple et vraiment aucune ne m’attire.

    L’homme les remercie pour la danse avec moi, sans parler de mes orgasmes. Mais, en bonne esclave, et même si je dois être punie, je ne tiens pas à leur mentir :

    « Monsieur est un très bon danseur, et il m’a même fait jouir quatre fois sur la piste de danse » « Bravo, Monsieur, l'absence de culotte a du vous aider ! » « Oui en effet, l’accès à son clitoris était très facile, j’ai peu de mérite, car, en plus elle était et est toujours réellement en chaleur, et les voyeurs m'ont donné un bon coup de main pour l'envoyer au 7ème ciel ! Mais je tiens à vous dire que vous avez une esclave exceptionnelle, et en particulier une pipeuse quasi professionnelle, elle pompe mieux que toutes les putes que je connais et avale comme si elle ne buvait que ça ! »

    Yves se charge de lui répondre : « Merci pour vos compliments, Monsieur, et de notre côté, nous pouvons vous assurer que votre épouse est un merveilleux trou à bites, que ce soit par son con, humide, chaud et bien serré, que par son trou à merde, très chaud, un peu trop dilaté, mais gourmand de pine à l'image de la femme qu'elle est ! »

    Blottie nue dans un coin du salon, je ne suis pas sur que le commentaire d'Yves ne soit pas une critique de quelqu'un qui n'a pas du tout apprécié de se faire voler sa pute, mais l'homme, probablement très diplomate, ne s'en offense pas.

    Chapitre 198

    Il demande si nous restons un peu, et José lui répond que « Nous avons promis à Madame que dès son retour, notre soumise lui rendrait un petit service auprès de ces dames »

    « Ah, c’est très bien »

    La femme prend la parole « Encore merci, Messieurs, nos trois esclaves sont à poil. Elle enlève les menottes des deux femmes, explique qu’elle a prêté « Une » pour se faire enculer sans protection par un membre et que « Deux » n’a pas enculé une femme depuis longtemps »

    Je comprends qu’elle appelle ses soumise par des numéros et je suis tout d’un coup ravie de m’appeler Loré !

    Elle organise la scène suivante en faisant mettre « Une » à genoux sur le sofa, le dos tourné aux membres du salon et elle lui fait écarter ses fesses de ses deux mains alors que « Deux » s’équipe d’un gros gode ceinture.

    Je n’ai pas besoin d’explication pour coller ma bouche au trou du cul de « Une », la vieille esclave, tout en cachant mon dégoût : j’aspire et lèche ce qu’elle a dans le cul. Elle a reçu une bonne dose et c’est tout frais, le gout du sperme me plait, ce qui atténue la punition.

    Pendant ce temps, l’autre : « Deux », sans se préoccuper de savoir si je suis sèche ou mouillée pose le gland de son gode sur mon anus et m’encule d’un grand coup de reins sec et ravageur. Il s’en faut de peu que je ne morde le cul de l’autre tellement elle m’a surprise. Et, en plus, dès qu’elle touche le fond de mon cul, elle se retire pour rentrer encore plus rapidement et en force.

    La scène dure longtemps, celle qui m’encule devait être bien chaude car elle jouit très rapidement, ce qui me laisse à penser qu’elle était en manque. Mais ma surprise est encore plus vive quand je sens un orgasme monter en moi : je suis encore dans la lignée des orgasmes faciles, mais une jouissance du cul est franchement inattendue, et alors que Madame estime que l’anus et le cul de « Une » sont bien propres, je lui demande d'une petite voix d'attendre un peu et devant les yeux sidérés de mes hommes, j'hurle et je me tords en jouissant du cul comme une salope que je suis, mais je ne savais pas à quel point je l'étais !

    Ravie de m'avoir vu jouir, elle m’invite à me relever et à me rhabiller en remerciant mes Maîtres.

    Nous les saluons et retournons au bar. Yves s'est calmé et a promis que la prochaine fois c'est José qui répondra pour moi !

    José commande une autre bouteille de champagne alors qu’Yves reçoit un message sur sa tablette connectée sur mon site, ce qui annonce une demande de mazmorra !

    Suite dans le tome 8


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  • Loré à Madrid tome 8

    Chapitre 199

    D'un seul coup, la tablette résonne deux fois de plus. Yves regarde et nous dit :

    « Tu avais raison, José, Loré a déjà 3 demandes de mazmorras ! »

    José se méfie de l'abondance de demandes : « Nous devrions les lire attentivement et profiter de notre privilège de pouvoir appeler Madame pour avoir son avis, il ne faut pas que Loré soit piégée »

    « Tu as raison, nous allons les filtrer soigneusement tous les trois et nous appellerons Madame avant de confirmer nos accords » Mais José dit à Yves, « Hum, tous les trois ? Tu es sur que notre pute doit être au courant de ce qui va lui arriver ? Si nous jugeons que c'est faisable avec l'aval de Madame, ça devrait suffire, non ? » « Entièrement d'accord, José, mais dans ce cas il nous faut louer un salon pour être surs de ne pas nous faire voler Loré pendant que nous étudions les propositions ! »

    « Je m'en occupe de suite ! »

    José récupère sa tablette et après quelques contacts tactiles, un barman nous rejoint en nous disant qu'il nous accompagne au salon 86 que nous venons de réserver, il demande s'il doit porter notre bouteille de champagne avec les trois coupes et en prévoir une autre dans la demi-heure qui vient, nous acceptons, et deux minutes plus tard, nous sommes tranquillement dans notre salon, je suis toujours à poil et Yves me conseille de dormir un peu pendant que nous travaillons, ce que je fais avec joie !

    La première demande émane d'une femme de 35 ans qui est infirmière et qui propose que nous lui prêtions notre esclave pendant une demi-heure pour la mazmorra : « L'infirmerie » où elle aimerait lui faire subir tout ce qu'elle ne peut pas faire à ses patientes dans l'hôpital où elle travaille, sans sadisme, sans blessures, sans sang et en lui procurant un maximum d'orgasmes » Yves et José trouvent que la proposition est sympathique, et passent à la deuxième.

    Elle vient d'un dominant de 30 ans qui adore le bondage sur une jolie femme et, nous avoue que notre esclave a le physique pour être bondée, assise, couchée ou suspendue. Il nous assure que dans la mazmorra     « Bondage », pendant une heure, il n'utilisera quasiment aucun accessoire en dehors des cordes, de ses mains et sa pine, pour que notre esclave puisse crier de jouissances et non de douleur.

    « Eh bien, encore une belle demande, notre pute va adorer se faire bonder et s'envoyer en l'air pendant une heure décidémment, José, tu avais raison, les membres de ce Club, sont triés sur le volet, et celui qui voudra découper Loré en rondelles, n'est pas encore membre ! »

    Yves rit et rajoute : « Oui et il n'est pas prêt de passer le barrage de Madame ! »

    La troisième émane d'un dominant de 40 ans qui demande de lui prêter notre esclave pour la voir utiliser le « Pompage machinal ! » qui existe dans la mazmorra du même nom, et ce pendant une demi-heure, ce qui, précise-t-il avec humour, devrait-être suffisant pour la mâchoire de notre gentille et adorable esclave.

    « Une machine à pomper des pines ! Je ne savais même pas que ça existait, c'est incroyable ce que le vice humain peut inventer ! »

    José rit et dit, « Je pense qu'on devrait appeler Madame, pour ne pas faire attendre les prétendants de notre esclave, comme ils l'appellent ! »

    José s'assure que je dors à poings fermés et appelle. Il amplifie la conversation pour qu'Yves entende tout.

    Chapitre 200

    En résumé, Madame les rassure sur les trois candidats : l'infirmière est très connue, elle vient une fois par semaine et fait son show avec au moins deux esclaves femelles, le bondeur est adorable, il est ingénieur atomiste et a appris le « Shibari » (Art du bondage) au Japon, il est très fort et aussi très doué pour faire jouir ses esclaves, quand à l'amateur du « Pompage machinal », c'est aussi un habitué, il demande à toutes les nouvelles esclaves de passer ce test qui est impressionnant, car l'esclave ne peut que sucer et lécher sa bite alors qu'elle est assise sur un vibro externe qui lui branle la chatte et le clito, ce qui, même en une demi-heure donne des résultats ahurissants.

    En conclusion, Madame les assure que je ne risque rien, sinon de m'évanouir de plaisirs répétés ! A ce moment là, la tablette d'Yves semble entrer en transes : quatre demandes de mazmorras viennent de tomber, un peu désemparés les hommes demandent à Madame ce qu'ils doivent faire ! Elle leur répond amusée :

    « Et les enfants, vous n'avez plus 18 ans ! Si je continue je vais faire payer mes services en nature ! » Ils éclatent de rire, cette femme a de l'humour. Yves la taquine : « Pour moi, Madame c'est quand vous voulez ! »

    « Allons Yves, avec la femme que vous avez, je ne vous vois pas fantasmer sur moi, quant au nombre de demandes, c'est entièrement de votre faute : vous amenez une Miss Madrid dans un Club bdsm : eh bien il vous faut en assumer les conséquences ! »

    « Mais rassurez-vous j'ai de bons collaborateurs : dans trois minutes, vos trois prétendants seront prévenus que vous acceptez et que vous venez en spectateurs, selon un timing précis : dans 10 minutes pour l'infirmière, dans 90 minutes pour le bondeur et dans 130 minutes pour l'amateur de machine. Et je vais faire demander aux autres de réitérer leurs demandes dans 140 minutes en leur précisant leur classement d'accès, je vous envoie de suite un guide au salon, allez amusez vous bien les enfants ! »

    José constate : « Décidément cette femme est incroyable ! »

    Yves approuve mais rajoute un : « Toutefois, je préfère l'avoir comme amie que comme adversaire ! » José ne dit rien mais éclate de rire en hochant la tête.

    Un jeune guide arrive, les hommes me réveillent, et m'aident à enfiler ma robe sur mon corps et mes pieds nus. Ils demandent au guide si je vais passer chez un habilleur. Il nous répond : « Oui, Messieurs, elle va être douchée et habillée selon les envies de sa cliente : c'est la règle avant chaque mazmorra ! »

    Quoi de plus normal dans un Club de ce type !

    Nous le suivons et sortons du Club, pour prendre l'ascenseur vers le -3 : José réfléchit tout haut : « Ascenseurs au rez-de-Chaussée, -1 et -2 : les deux agoras, donc -3 est le premier niveau des mazmorras » Le jeune guide le félicite « Bravo, Monsieur, j'ai mis 3 mois à me repérer ! »

    Au -3, notre guide nous sépare, il envoie les deux hommes à la mazmorra « Infirmerie », quinzième sur la droite où un autre guide les attend et il me demande de le suivre : nous entrons dans un grand espace débutant pas des cabines de douche sans rideau, le guide m'abandonne en me souhaitant bon courage et en me disant que je suis très belle.

    Une jeune femme entièrement nue prend le relais, m'enlève ma robe qu'une camériste vient récupérer et me demande d'entrer dans une douche déjà à bonne température. Elle appuie sur un bouton et une porte transparente étanche vient refermer la cabine.

    Je suis savonnée par des jets automatiques, en souriant, je me dis que je dois ressembler à une voiture dans un car-wash, des jets multiples enlèvent mon savon alors qu'une grosse éponge, animale bien sur, tombe d'une trappe, je la ramasse et je me lave avec soin les pieds. Une dernière série jets de rinçage et la douche se transforme en un sauna à air pulsé qui me sèche en trois minutes !

    Je ressors, dépasse toutes les douches et suis accueillie par une habilleuse qui me tend un tablier bleu ciel, boutonné sur le devant et des chaussons assortis.

    Je ressors, mon premier guide m'attend avec un grand sourire, je monte à côté de lui dans une petite voiture électrique et il me conduit devant la porte de la mazmorra « Infirmerie » qu'il ouvre avec son passe magnétique, et la referme derrière moi en me souhaitant gentiment « Une bonne séance »

    Chapitre 201

    Je suis la première. La mazmorra n'est pas très grande, un véritable salon d'infirmière ! Deux fauteuils, une armoire, un wc à la turque, une douche et en plein milieu, une superbe table d'examen flambant neuve.

    Je me tourne vers l'immense vitre et, à tout hasard je fais un petit signe de la main, sidérée de recevoir en échange un : « Salut petite salope, n'oublie pas de nous rendre fière de toi ! »

    Je souris alors que la porte s'ouvre, et une jeune femme blonde très mignonne entre. Elle doit avoir un peu plus que mon âge, elle me fait un grand sourire que je lui rends avec plaisir. Ses cheveux mi-longs sont lâchés. Elle est un peu plus grande que moi, bien maquillée et porte une blouse d'infirmière avec des sabots de clinique.

    Elle me demande de me coucher, toute habillée, sur la table d'examen. J'ai un peu de mal à monter dessus, car elle est plus haute qu'un lit. Mais, une fois assise, je fais comme chez mon gynéco ! en mettant mes jambes dans les gouttières qui leurs sont destinées, genoux relevés et pieds en contre-bas dans des étriers qu'elle règle à ma hauteur avant de les refermer.

    Elle revient vers moi et passe mes bras au-dessus de ma tête en m'attachant les poignets à un anneau en inox fixé à la tubulure du lit. Elle se penche sur mon visage et me pose délicatement un bâillon écarteur de bouche en inox. Elle ne serre pas à fond les deux vis que j'ai aux commissures de mes lèvres, ce qui m'oblige à garder la bouche grande ouverte, mais en pouvant émettre clairement des gémissements ou des cris et en pouvant me faire comprendre si je dois parler, mais avec une voix très déformée.

    Elle se redresse, prend une paire de ciseaux sur la tablette des instruments et commence à découper ma blouse de patiente, pour me dénuder peu à peu totalement, en caressant avec tendresse et visiblement envie, tout ce que ses ciseaux dévoile. Son dernier geste est de jeter au loin mes chaussons.

    Elle se recule d'un pas, comme pour admirer son travail et me dit avec un grand sourire : « Bien que mon compagnon soit une compagne, elle dirait que tu est très bandante, jolie esclave ! »

    Et sans attendre, elle prend trois longues sangles en plastique transparent qui pendent de chaque côté du lit et en fixe une au dessus de mes nichons, l'autre en dessous et la dernère sur mon nombril.

    Elle attache ensuite chacun de mes membres inférieurs à la structure du lit pour bien m'immobiliser. Elle disparaît de mon regard, mais je la sens accrocher quelque chose aux sangles de mes genoux : ce sont des petites cordelettes qui vont tendre le plus possible les deux clamps en inox qu'elle vient de pincer à chacune de mes grandes lèvres, en écartelant obscènement mon sexe.

    Elle se recule pour me contempler et semble contente d'elle : « Tu te sens bien belle salope ? » « Oui Madame, pour le moment, je supporte tout et j'aime votre manière de profiter de moi »

    « Merci pour le compliment, mais on va rentrer dans le vif du sujet » Elle revient de l'armoire avec deux nouveaux objets cylindriques qu'elle pose entre mes seins. Elle gratte doucement un de mes deux tétons avec ses ongles longs, juste pour le faire bander, et quand elle le sent prêt, elle pose dessus ce qui est en fait un piston sophistiqué destiné à extraire mon téton et à le tendre le plus possible vers le haut.

    C'est la première fois que j'ai droit à ce genre de torture des tétons : elle appuie très fort sur mon sein, le téton durci est fortement comprimé et obligé d'entrer dans la chair tendre de mon sein, mais quand elle relâche brutalement le piston, le téton se retrouve enfermé d'au moins 4 à 5 centimètres dans le piston et un simple coup d’œil me permet de constater qu'il est totalement étiré et déformé, ce que je savais déjà par ma douleur !

    Elle recommence le cycle pour l'autre, et quand elle a terminé elle tire fortement sur les deux trayeurs mais ils résistent à sa tension et ne se détachent pas !

    Elle repart vers l'armoire et m'ordonne de redresser un peu la tête pour me demander quelque chose que je ne comprends pas de suite : « Dis moi, pouffiasse maso, tu es à présent prête, tu veux assister à ce que je vais te faire ou non ? »

    « Pardonnez-moi, Madame, mais je ne comprends pas ce que vous voulez me dire ? » « C'est tout simple, connasse inculte, je peux te glisser un coussin sous la tête pour que tu ne rates rien de ce que je vais te faire, où je te laisse la tête posée, ce qui t'obligera à souffrir du cou si tu veux te voir ! »

    « Ah, pardon Madame, je pense que ça serait plus excitant pour toutes les deux si je vous regardais faire sans pouvoir influer sur ce que vous allez me faire » « Tu as raison » Et elle sort de l'armoire un coussin qu'elle glisse sous ma nuque, ce qui me permet, en effet de me voir quasiment en entier, sauf le sexe et les pieds.

    Chapitre 202

    « J'ai une crainte, tes suceurs de tétons sont super bien fixés mais je pense que les mouvements de ta poitrine ne vont pas être suffisants pour qu'ils bougent et te tiraillent tes bouts de mamelles de vache »

    Elle réfléchit et a soudain une illumination, elle prend sa tablette et appelle un numéro « Bonjour, pouvez-vous me procurer un ventilateur sur pied très puissant, merci »

    Contente d'elle, elle se déshabille devant moi, elle est très sexy, avec des gros seins bien fermes que j'ai de suite envie de lécher et de téter, des cuisses et des jambes quasiment parfaites ainsi que des pieds adorables.

    « Madame, le ventilateur est devant votre porte, nous ne pouvons pas vous déranger » « Merci, je m'en occupe »

    Elle entrouvre la porte, prend le ventilateur, le pose sur mon côté droit, à cinquante centimètres de mes seins et le met en route : l'effet est immédiat, comme il fait des rotations de 90°, quand il ventile mes tétons, l'air est si puissant que ça couche presque les trayeurs sur ma peau, en étirant très fort mes tétons, mais je peux me reposer un peu quand ils disparaissent du champ de ventilation !

    « Qu'est-ce-que tu en penses putain ? » « Ooooh, cruelle idée, Madame, j'ai l'impression que l'air veut m'arracher les trayeurs ! » « C'est très bien comme ça ! »

    « Dis moi, tu mouilles de me voir à poil ? »

    « Oui Madame, vous êtes très belle et très excitante »

    « Parfait, tu regardes et tu ne touches pas ! »

    Elle repart vers l'armoire dont elle revient avec un gode en inox avec un gland à peine marqué. Il n'est pas très large, mais se rattrape en mesurant au moins 40 centimètres de long, avec une poignée du même métal de près de 20 centimètres.

    Elle se positionne entre mes cuisses relevées et largement écartées par ma position et par les clamps, et appuie le gland sur mon entrée vaginale.

    Elle n'a aucun problème à le rentrer quasiment totalement, en faisant très attention car il est trop long pour moi, donc, dès qu'il rencontre un obstacle elle ne doit pas aller plus loin, c'est une pénétration dangereuse à laquelle je ne me risquerais pas, mais elle semble sure d'elle.

    Je ne comprends pas comment elle fait, ayant pris ses marques elle commence à aller et venir dans mon con, en allant de plus en plus vite mais en s'arrêtant toujours au bon endroit. Quand je réalise que le cercle qui délimite la poignée du gode se déplace, ma peur d'être déchirée s'estompe et elle me gode tellement fort que je crie et je gémis sans arrêt.

    Elle m'encourage : « Vas-y, belle putain, je sens que tu aimes les orgasmes, alors, laisse toi aller, j'ai une manière de te défoncer qui va exciter ta vessie, tu risques de pisser, mais si tu es une femme fontaine, ce n'est pas de la pisse que tu m'enverras, c'est bien ton jus de salope, de putain trop baisée, de bourgeoise devenue pute de rue ! »

    Brutalement j'ai mon premier orgasme, mais avec un peu de déception, c'est surtout de la pisse que j'expulse.

    Mais elle ne se contente pas d'un premier orgasme, et continue de me vider la vessie en me défonçant complètement le con avec des allers et retours d'une force inouie. Je reviens très vite sur mon plateau orgasmique, et je la sens se déchaîner, jusqu'à ce que je torde mon corps en tirant sur tous les liens, membres tétanisés annonçant un orgasme fulgurant.

    Je suis heureuse de pouvoir avoir une période d'orgasmes successifs que je n'avais pas eu depuis le début de la soirée, bien sur ils n'ont pas l'intensité de mes tsunamis, mais cette femme sait dominer une esclave, j'ai beaucoup de tendresse et d'envie pour elle.

    Chapitre 203

    Elle me laisse à peine me reposer, m'enlève en deux gestes brusques les trayeurs de tétons, en me faisant hurler de douleur tandis que mes tétons reprennent leurs dimensions initiales. Pour faire passer ma douleur, elle me gifle plusieurs fois les nichons en visant mes tétons en riant et s'arrête pour enlever mon bâillon-écarteur.

    Elle revient de l'armoire en me montrant fièrement un instrument qui me fait froid dans le dos : un gode de plastique dur bleu, monté sur le mandrin d'une perceuse. « Je suis très fière de ce que m'a fabriqué un ami ingénieur : tu remarqueras que le gode n'est pas d'une taille impressionnante ! On peut même dire que c'est une bite très moyenne ! » « En effet, Madame, j'en ai connue des beaucoup plus impressionnantes »

    Elle rit et continue : « Je ne vais pas te gaver de statistiques, mais disons qu'avec ce gode, je peux niquer des femelles 10 fois plus vite qu'avec le gode en inox que j'ai utilisé tout à l'heure dans ton con, compte 30 allers-retours avec l'inox et donc 300 fois avec le gode bleu ! Il faut donc savoir le manipuler, car 300 coups à la minute c'est redoutable » « Oh, oui, c'est énorme ! Mais je fais confiance à votre expérience, Madame ! »

    « Tu peux ! Nous arrivons à la fin de cette séance, il nous reste 6 minutes, je vais te défoncer la connasse quasiment au plus vite de cet engin, tu me dois 2 orgasmes mais si tu veux être une reine, offres-en moi 3, et la prochaine fois que tu viens faire la pute ici, je te reprends »

    6 minutes après, elle me quitte en me laissant quasi inanimée sur la table, elle ne me libère pas et se contente de me donner une bise sur le front en me disant à l'oreille :

    « Bravo, tu es une Reine, à très bientôt ! »

    Et, elle sort de la pièce alors que des assistantes me libèrent, me donnent un peignoir et m'entraînent dans une petite voiture électrique vers la douche-costume à laquelle il faudra que je m'habitue le plus vite possible !

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    « Le petit + de Loré »

    Si vous désirez regarder la vidéo (5mn20sec) qui m'a inspirée cette première séance, recopiez ce lien >

    http://www.roadsexe.com/video/une-petite-bimbo-attachee-hurle-de-douleur-3793.html

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    Chapitre 204

    Je ne vois aucun de mes hommes durant ce changement de vêtements et de mazmorra, mais je sais qu'ils m'attendent pour une séance d'une heure. Je porte une sage robe bleue, courte, avec une ceinture en cuir marron et des espadrilles à talons compensés qui mettent bien en valeur mes ongles vernis : Amo Mio va être fier de moi !

    Nous arrivons à la mazmorra : « Bondage » et j'entre. Mon client est déjà là, je le salue d'un respectueux « Bonjour, Monsieur »

    Il me regarde très attentivement des pieds à la tête en me souriant et finit par me répondre : « Bonjour Madame, je n'ai pas envie de te dire salut putain, car tu n'en es pas une. Tu es en fait une hédoniste qui aime tous les plaisirs de la chair : la bonne bouffe, les bons vins, et, allons-y pour ton humour que je sens poindre derrière ton sourire, les beaux hommes ou les beaux zobs (ouaf !) »

    Je le coupe : « Désolée je l'avais sentie arriver ! » « Normal, un peu trop facile, mais rassure toi, ce que je vais te faire pendant une heure, tu ne peux pas le sentir arriver ! »

    « J'ai tendance à croire tout le monde, mais en particulier ceux qui me payent une petite fortune pour être leur chienne, leur pute, leur réservoir à foutre ou à pisse, donc je vous crois et ne demande qu'à être surprise ! »

    « Tu as même la zénitude des hédonistes, je ne me suis pas trompé ! Tu vois ce fauteuil crapaud bleu au milieu de la pièce ? »

    « Difficile à manquer ! » « Très bien, tu vas rester habillée telle que tu es et tu vas t'asseoir en suivant toutes mes consignes, compris » « Oui Monsieur »

    « On y va : assieds toi les fesses au bord de l'assise du fauteuil, la chatte dans le vide, très bien ! A présent tu vas positionner verticalement ta jambe droite et serrer ton genou avec ta main pour que tout reste bien droit. Bravo, parfait ! Pour terminer tu écartes le plus possible les cuisses et tu poses ton genou gauche sur l'accoudoir du fauteuil et tu vas agripper ce genou avec ta main. Allez force un peu, voilà, tu y es ! Superbe ! »

    « Rassure toi, pour le moment ta posture est dure à tenir, mais dans peu de temps tu vas être aidée par des cordes ! »

    « Je vais faire une Polaroid de ta pose, pas pour mon site internet ! Mais pour que tu puisses répondre, tu pourras la jeter après »

    Je le trouve étrange mais très amusant et je pense qu'il est supérieurement intelligent ! Je pense que je vais adorer cette séance !

    « Je paierais cher pour savoir ce qui vient de te traverser l'esprit à l'instant ! »

    Je rougis curieusement car je n'aime pas les médiums ! : « Je me demandais si j'avais éteint la lumière de ma cuisine avant de venir ici ! » « 1 partout, elle est nulle ! » Et en plus il a raison !

    Il me tend sa Polaroid et me dit : « Regarde la bien, et dis moi : en fonction de cette photo habillée, tout ce que tu vas m'offrir en étant dans la même position, mais nue et bondée sans que tu ne puisses bouger, sauf ce que j'ai envie de te voir bouger ! »

    Je me concentre et essaye de ne pas répondre de bêtises :

    « Toute la partie avant de mon visage ? » « Oui » « Ma poitrine et mes épaules ? » « Oui » « Mon ventre et mon bas ventre ? » « Oui » « L'intérieur de mes cuisses ? » « Oui » « Mon sexe et mon anus » « Oui » « Et je ne vois rien de plus ! »

    « Petite erreur il te manque les pieds, mais ce n'est pas grave, deuxième question : je viens de te dire : « sans que tu ne puisses bouger, sauf ce que j'ai envie de te voir bouger » Tu t'en rappelles ma chérie ? » « Bien sur Monsieur ! » « Alors, regarde bien la photo et dis moi, ce qu'à ton avis, j'ai envie que tu bouges pour moi ? »

    « Toute la partie avant de mon visage ? » « Oui » « Ma poitrine et mes épaules ? » « Oui » « Mon ventre et mon bas ventre ? » « Oui » « L'intérieur de mes cuisses ? » « Oui » « Mon sexe et mon anus » « Oui » « Et je ne vois rien de plus ! »

    Chapitre 205

    « Vous êtes un redoutable Dominant très cérébral, Monsieur ! En m'obligeant à anticiper toute seule la séance que vous m'avez préparée ! » « Tu es assez proche de la vérité, mais je pense que ça ne déplaît pas, et je n'ai pas à te doigter pour savoir que j'ai raison ! Bien à présent je veux ta réponse »

    « Les mouvements de ma tête et les expressions de mon visage : sourires, grimaces de douleur ou de peur ? » « J'accepte ! » « Le balancement de mes seins et de ma poitrine, qui, je le suppose, va être étroitement bondée ? » « Oui ! » « Mon ventre, mais surtout mon bas ventre, en modifiant l'écartement de mes cuisses, la position de mon cul ou la position de l'intérieur de mes cuisses ? »

    « Partiellement oui, car tu ne pourras pas modifier la position de tes cuisses ! » « Ma chatte et mon anus que je peux dévoiler en utilisant uniquement mes muscles intimes » « Très juste ! » « Et le ne vais pas oublier mes pieds cette fois ! » « C'est bien ! »

    « Bon, en fonction de ce que tu vas me révéler dans le futur et de ce que ta soumission va t'obliger à me dévoiler sans pudeur, réfléchis bien à la réponse que je vais te demander »

    « Je suis prête, Monsieur »

    « Es-tu impatiente de me dévoiler tout ça ? »

    « Si je réponds oui, je vous donne la preuve que je suis une garce et une salope facile, mais ce oui peut aussi vous prouver que je suis une soumise qui va au bout de ses défis, qui respecte ses dominants et veut rendre fiers son ou ses Maîtres et Maîtresses »

    « Bien raisonné ! Et donc quelle est ta réponse et ta conclusion ? » « D'autre part, si je dis, non, je suis une menteuse ! »

    Il éclate de rire ! « Quelle belle façon de me faire connaître ta réponse, tu es loin d'être bête, Loré ! »

    « Comment connaissez-vous mon prénom ? »

    « Bécassine ! Tu ne sais pas que ton CV de pute-esclave est passé sur tous les écrans de ce Club ? »

    « Ah, oui, exact, je n'ai pas l'habitude, pardonnez-moi, Monsieur ! »

    « Pas grave, même les génies font ou disent des conneries ! »

    Il va vers l'armoire et s'y affaire. J'en profite pour regarder la mazmorra : très simple, le fameux fauteuil au centre, une armoire, une petite table avec un téléphone, une chaise et c'est tout.

    Il revient avec un paquet de cordes de différentes longueurs mais, apparemment, toutes du même diamètre. « Bon, je vais te préparer, lève toi et mets toi à poil, ne garde rien »

    Je me lève, vais vers la chaise, j'y dépose ma ceinture et ma robe que je viens de faire glisser par-dessus ma tête, dégrafe et jette mon soutien-gorge, baisse ma culotte que j'enlève en même temps que mes chaussures et reste nue à deux pas du fauteuil.

    « Pour moi une pute bandante est une pute bondée, donc pour l'instant tu ne me fais aucun effet ! »

    Je me rends compte en le voyant agir que c'est vraiment un expert du bondage : il est habitué à son jeu de cordes. Il en prend une longue, la dédouble, avant de la passer derrière mon cou, de revenir devant et de créer une dérivation juste au dessus de la naissance de mes seins. Il tourne une seule fois autour de la base de mon sein droit, tout en le serrant très fort, et en maintenant son serrage, il revient vers la dérivation dans laquelle il passe sa corde pour terminer le bondage de mes seins par le sein gauche qui se retrouve aussi fortement attaché à la base que l'autre.

    Il m'installe dans le fauteuil, les fesses au bord du siège et, avec une autre corde il m'attache le genou et la jambe gauche pour les rendre solidaires. Du lien au genou, il fait partir une autre corde dédoublée vers l'arrière du fauteuil, il la fait passer derrière l'accoudoir et revenir en passant dessous pour immobiliser mon pied gauche. Il termine ce côté en passant mon bras gauche sous ma fesse pour attacher ensemble mon bras et ma cuisse.

    Puis il passe de l'autre côté, me lève la jambe droite, et la cuisse, il accroche mon genou dressé avec une corde qui passe de nouveau sous le fauteuil et qui revient vers le haut pour encorder solidement mon pied droit.

    Quant à mon bras droit, qui ne sert à rien, il le glisse sous le côté droit de mon corps, mon poids l'immobilisant totalement.

    « Je crois que tu me montres, tout ce que tu devais me montrer et que nous n'avons rien oublié, peux-tu me gratifier de mouvements de vers de terre pour que je vois comment tu essayes de t'échapper de mes cordes ? »

    Chapitre 206

    Je me contorsionne comme je peux, mais plus je bouge, plus je me sens obscène, réclameuse plus que donneuse.

    Bien sur, il arrive ce qui devait arriver : il me donne ce que je lui réclamais silencieusement en me tortillant comme une grue excitée !

    Il me chatouille la plante du pied droit, me faisant couiner et bouger, car je suis très sensible aux chatouilles, puis il semble se déchaîner en m'envoyant une pluie de baffes, sans jamais frapper deux fois au même endroit : il privilégie mes nichons, mes joues, ma chatte et mes pieds, et comme il cogne assez fort, il m'arrache un gémissement de surprise et de douleur à chaque impact de sa main droite ouverte avec laquelle il me cogne.

    Il me laisse me reposer un peu et m'ouvre la bouche avec deux de ses doigts. Il m'oblige à les lécher et à les sucer très longtemps, alternant deux, trois ou quatre doigts, à peine entrés dans ma bouche ou enfoncés méchamment jusque dans ma gorge, pour me provoquer des nausées déplaisantes. Il m'ouvre largement la bouche comme pour juger ma dentition et m'oblige à lui piper l'index en fermant les yeux et en gémissant comme si je lui pompais la bite.

    Il s'essuie les doigts sur mes seins et va vers l'armoire.

    Il revient avec un objet que je ne connais pas : « Monsieur, je ne sais pas ce que c'est, pouvez-vous me le dire, s'il vous plaît ? » « Bien sur chère esclave intellectuelle : c'est une « baguette magique » qui ressemble à un allume-gaz, en appuyant sur ce bouton, je provoque dans la pointe métallique une décharge électrique de 20 volts qui va te faire sursauter et joliment couiner ! »

    Il consacre un très long temps pour me faire réagir, jusque dans des endroits incroyables : mon périnée qu'il adore électrifier, mes tétons, tous mes pieds pour lesquels il doit avoir un peu de fétichisme, mes joues, le bout de ma langue, l'intérieur de mes cuisses, les bords de mon anus, mon cou, mes lèvres fermées, bref il se régale de parcourir mon corps en testant ma résistance à cette baguette : je suis très excitée par ce jeu épuisant et quand il arrête, je lui dis sans pudeur : « Je ne pense pas que vous ayez trouvé de l'eau avec votre baquette de sourcier, mais je peux vous assurer que vous avez trouvé du jus de femelle chaude, votre fauteuil va être tâché : je dégouline dessus ! »

    Il me regarde en souriant, considérant sans doute, lui aussi, que je suis une fille étrange mais pas si bête que ça !

    « Dommage pour toi, j'aime les filles super propres ! » Il va vers la chaise, jette mes affaires sur la petite table et reviens la poser face à moi. Il s'assied et lève son pied droit chaussé de mocassins en cuir. Il pose sa semelle sur le rebord du fauteuil et en me regardant dans les yeux, il lève un peu plus son pied et entre d'un seul coup le tiers de son mocassin dans ma moule trempée et toute baveuse : « Comme depuis tout à l'heure tu me soûles un peu avec tes couinements et tes petits cris : je ne veux pas t'entendre jouir, je veux voir ton orgasme dans tes yeux de vicieuse, qui se sent forte d'avouer une faute pour se faire punir ! » « Ce n'était pas mon intention, Monsieur »

    Il se dresse vers moi et me gifle le plus fort qu'il le peut les joues et es seins, me faisant hurler de douleur, car, en plus le mocassin est entré d'un seul coup beaucoup trop loin dans mon vagin.

    « Je me fous de tes intentions, mon intention à moi est que tu t'envoies en l'air le plus fort possible mais en fermant ta gueule, ce qui te changera ! Connasse de bavarde ! »

    Il rectifie la position de son pied, accroche mon regard qu'il ne quitte plus et envoie sa chaussure me branler le con. Je suis si chaude que j'envoie ma chatte vers sa chaussure, pas du tout dégoutée par le fait que c'est un soulier sale qui me branle. Il le ressort de temps en temps pour que le crêpe de la semelle fasse se dresser mon clito comme une petite pine, mais le jeu ne dure pas longtemps, car je ne veux pas faire durer cet orgasme en ayant peur qu'il devienne plus intense et que je ne puisse le taire, en le regardant fixement dans les yeux, je m'envoie donc en l'air, sans un bruit, bouche grande ouverte, mais sans aucun son alors que quelques gouttes de mes jus ou de ma pisse sortent de ma connasse qui ressemble plus à une piscine qu'à un sexe de femme !

    Il a semblé apprécier, et sans rien dire, il se met debout à côté de moi et commence à dé-zipper son pantalon et sort une très belle pine de son caleçon et, comme pour répondre à mes yeux suppliants, il fait semblant de me la faire sucer tout en prolongeant longuement le jeu en lui faisant frôler mes lèvres, mais en me la retirant vicieusement, il sourit de me voir la chercher avec ma langue et ma bouche. Mais, pendant ce jeu, il me doigte le con avec force et rapidité et finit par m'arracher un très bel orgasme qu'il termine en se nettoyant les doigts trempés de ma mouille sur mes nichons.

    Chapitre 207

    Il me remplit enfin la bouche avec sa pine qui est trempée, du pré-sperme dégoulinant de ma bouche, j'ai du mal à tout avaler, il a une grosse bite et insiste pour la rentrer entièrement dans ma bouche. Il remet ses mains sur ma chatte béante, se régalant de mes gémissements, de mes hontes et mes envies, je suis si chaude qu'il sait que je jouirai quand il le voudra, je sais que je suis totalement à sa merci et j'adore ça, je me complais de lui donner tout pouvoir sur moi, il le mérite et je ne suis qu'une pute qui n'a rien à réclamer !

    En souriant il prend un gode et sa baguette électrique et s'amuse à me goder tout en électrisant mes bouts de mamelles de vache avec sa baguette, jusqu'à ce que je le supplie de changer d'endroit car la souffrance est insupportable. Il sourit vicieusement, me fait savoir que j'ai raté une bonne occasion de fermer ma gueule, et dirige le bout de sa baguette vers le haut de mon sexe, il trouve le clito et appuie sa baguette sur lui.

    Il déclenche les décharges en m'obligeant à compter de 1 à 5 : chaque fois que je dis 5, mon clito explose d'une décharge. Et malgré mes cris et mes pleurs, il ne compte pas s'arrêter et je vis une expérience unique dans ma vie sexuelle pourtant riche, la douleur à l'état pur sans aucune excitation, ce qui représente très probablement ma pire expérience sexuelle.

    Il va jusqu'à l'armoire et revient avec un tube de pommade. Il s'agenouille devant moi et me pommade le clito très délicatement jusqu'à ce que ma douleur ait quasiment entièrement disparue

    Il s’essuie les doigts sur un kleenex et se penche sur moi la bite en main, écartelée comme je le suis, il n'a pas de difficulté à me pénétrer et me niquer bien à fond ! Je crois qu'il s'apprêtait à se vider les couilles dans mon vagin, quand il a senti à mes mouvements que je revenais au galop vers l'orgasme, et il s'est mit à me limer de plus en plus rapidement pour le déclencher, et je lui ai pardonné son excès de zèle sur mon clito, car il a jouit en même temps que moi, et j'ai eu, enfin, l'autorisation de crier mon plaisir alors qu'il grognait le sien !

    J'avais commencé à compter mes jouissances, mais je ne savais plus du tout où j'en étais !

    Quand il me montre ce qu'il rapporte de l'armoire, j'ai un peu peur, mais je suis rassurée, car il s'agit d'un vibro externe classique. Je crains quand il le positionne sur mon clitoris, mais cette pommade est vraiment extraordinaire, car je ne ressens absolument plus rien !

    Il le met en route et me doigte avec son autre main, mais chaque fois qu'il fait semblant de partir je le rappelle comme si ma vie en dépendait. Il remonte se faire sucer encore un peu la pine et mélange sur deux de ses doigts son jus avec ma salive et enduit ma chatte fermée de ce liquide appétissant.

    Il prolonge le plaisir en s'accroupissant derrière moi et en me prenant les nichons à pleines mains pour les broyer, les secouer dans tous les sens et se saisir de mes bouts et de les pincer en les secouant comme s'ils voulaient qu'ils tombent !

    Il revient devant moi avec le vibro, me fiste la moule avec son poignet très fin, tout en laissant le vibro faire son travail sur le haut de ma connasse, et je ne peux que m'envoyer en l'air une nouvelle fois, l'enchaînement de mes orgasmes est diabolique car jouir me donne envie de jouir !

    Il pose le vibro bien à sa place et se positionne dans un coin où je ne peux pas le voir, il me regarde probablement en souriant, me contorsionner pour que le vibro pèse le plus possible sur mon clito, mais sans y arriver. Après un long moment, il s'approche du fauteuil, enlève le vibro et m'enlève toutes les cordes, en un temps que je juge record !

    Il passe un coup de fil avec son téléphone et 2 minutes plus tard un très jeune homme qu'il me présente comme son stagiaire de bondage vient le rejoindre.

    Chapitre 208

    Les deux hommes m'entreprennent, et très rapidement, je retrouve mes seins encadrés de partout par quatre épaisseurs de cordes, un croisement en haut de ma poitrine, un en bas et un nœud coulant autour de mon cou.

    Au niveau de mes fesses, je sens qu'une corde passe sous elles en respectant mon anus et ma moule, et que chaque genou et jambe sont fortement liés ensemble.

    Je suis couchée sur le sol, sur le côté gauche, les deux hommes terminent en m'attachant les poignets au dessus de ma tête, et l'instant crucial arrive : le jeune apprenti récupère toutes les cordes que lui indique son professeur et les suspend à un gros esse de boucher.

    Les deux hommes s'aident pour lever la ferraille supportant à présent mon poids, et la passer dans un anneau qui pend d'une chaîne venant d'une poulie fixée au plafond.

    Quand ils ont terminé, je suis assise le cul nu sur le sol, l'apprenti déclenche la poulie : mon corps se lève peu à peu et je monte, jusqu'à ne plus toucher le sol, et à environ 60 centimètres de hauteur, mon Maître lui fait signe d'arrêter. L'apprenti remercie son Maître, et sans un regard vers moi, il s'en va.

    Il me regarde me balancer doucement dans le vide, en étant totalement incapable de faire quoi que ce soit, sinon, atténuer mon balancement.

    Il doit découvrir que dans cette position mes nichons sont plus accessibles que dans l'autre, car il se mobilise sur eux : il les gifle violemment, les prend à pleines mains, les pétris, pour ne pas dire les broie, pince mes tétons en les tordant, et se couche même devant moi et pose ses chaussures sur mes seins, en faisant mine de marcher dessus, de se nettoyer les semelles comme sur un tapis brosse et de profiter de la puissance de ses pieds pour projeter mes nichons l'un contre l'autre.

    Puis, il disparaît derrière moi, et avant qu'il ne pose sont gland sur mon anus, je ne savais pas ce qu'il faisait, je m'attends donc à ce qu'il m'encule, mais, bien au contraire, il choisit la moiteur de ma connasse pour s'enfoncer sans difficulté, et commencer ses allers-retours alors que je suis obligée de me balancer en épousant ses mouvements.

    Quand je commence à gémir de plaisir et à gigoter pour essayer de me détacher, il continue de plus belle à me limer, tout en venant fréquemment me gifler les nichons avec force, ce qui me fait hurler encore plus fort !

    Je le supplie de se vider les couilles dans mon ventre en me pinçant les nichons, mais il continue son rythme en me limant, ses mains posées autour de ma taille.

    Il sort de mon con, et je sens son gland trempé par ma chatte dégoulinante, s'affairer autour de mon anus, il prend son temps pour occuper tout mon cul, mais plus il s'enfonce, plus je le supplie d'appuyer sa bite, et pour donner le dernier coup de rein qui lui fera toucher mes intestins, il me tire les cheveux avec force.

    Puis il se retire, et je le sens fléchir sur ses genoux et regarder mon anus comme un enfant découvre un jouet, il m'enfonce un doigt et le fait aller et venir, en jouissant probablement de mes gémissements.

    Puis il me donne une fessée qui me réchauffe furieusement les fesses et me laisse suspendue.

    Il revient quelques minutes plus tard avec son vibro externe, il le fixe au bon endroit sur ma chatte en utilisant de l'adhésif, le met en route, revient derrière moi, s'agrippe à mes nichons et m'encule d'un seul coup de reins. Il me murmure à l'oreille : « Il ne nous reste que 10 minutes, je ne vais ni débander, ni jouir dans ton cul, c'est à toi de terminer en beauté ce feu d'artifices d'orgasmes, montre moi que tu es, non seulement très cérébrale, mais aussi la Reine des Putains du Club, et jouis, sans te retenir, en hurlant tout ton saoul : je veux que tu m'en donnes pour mon pognon ! »

    Je ferme les yeux et me lâche complètement, me concentrant sur une seule chose : rester en contact en permanence avec le vibro et murmurer à l'oreille de mon Maître : « Ta salope te demande de lui défoncer la rondelle, plus fort, je suis sur qu'en m'enculant plus fort tu vas atteindre ma merde » « Tu me sais maso, pourquoi ne me tortures-tu pas plus les nichons ? Prends mes bouts de mamelles de truie en chaleur et dévisse les de mes nichons, si tu savais comme j'aime çaaaaaaaaaaaaaaaa ! »

    Le temps passe trop vite, quand je finis de jouir je ne sais pour la combientième fois, il est parti et ce sont deux assistantes et son élève qui me regardent finir de jouir avant de me décrocher, de laisser l'assistant défaire mes cordes, de me revêtir d'un peignoir et de m'emmener en petite voiture, mais ça vous connaissez !

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    « Le petit + de Loré »

    Si vous désirez regarder la vidéo (56mn10sec) qui m'a inspirée cette deuxième séance, recopiez ce lien >

    http://www.roadsexe.com/video/une-blonde-attachee-maltraitee-et-enculee-pendant-une-heure-par-une-grosse-queue-777.html

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    Chapitre 209

    Eh bien ! Non, vous ne connaissez pas si bien le principe, car, sitôt montée dans l'auto, mon guide conducteur me passe une tablette en m'annonçant que j'ai Madame en ligne.

    Un peu surprise, je lui réponds : elle me téléphone pour me dire que ma troisième mazmorra a 20 minutes de retard à cause d'un problème technique, elle me propose donc de rejoindre notre salon où mes hommes m'attendent, de boire une coupette, de me reposer un peu et de me renvoyer la navette 15 minutes après pour la douche-costume que je dois commencer à connaître ! Je lui réponds que j'en serais très heureuse car mes hommes commencent à me manquer. Madame rit et me dit ok avant de raccrocher.

    C'est donc pour cela que quelques minutes plus tard, la navette me dépose à l'entrée de l'agora et c'est pieds nus et en peignoir que je rejoins mes hommes. Pas de suspens, ils étaient prévenus par Madame et ma coupe de champagne est prête et glacée ! Hum, quel régal de boire ce nectar après tant d'aventures ! Je suis contente, car en fait durant cette petite récréation, Yves et José sont très gentils et beaucoup plus « câlins » que « sexe ».

    Après avoir fermé le rideau externe, ils me déshabillent et pendant ce temps libre, ils me partouzent en m'embrassant tout le corps, des pieds aux cheveux, l'un s'occupant du devant et l'autre du derrière ! Bien entendu, ils me montrent qu'ils sont bien durs en me niquant et m'enculant mais en douceur et pas ensemble ! Je ronronne de plaisir, et ils sourient de me voir comblée et gâtée.

    Mais le temps passe toujours trop vite : je mets une dernière fois leurs glands en bouche et les quitte, en ré-enfilant mon peignoir et en suivant mon guide !

    Nous partons vers la douche-costume, où j'en profite pour effacer toutes les traces physiques de mes multiples orgasmes. La costumière me dit que mon client me veut nue, et elle me tend un autre peignoir en me disant de le donner à mon guide avant de rentrer dans la mazmorra.

    J'approuve et nous partons : nous devons récupérer un ascenseur qui nous mène au -4 et à la mazmorra : « Pompage machinal ».

    Je descends de l'auto, enlève mon peignoir que je donne à mon chauffeur qui ne se prive pas de me mater avec envie ! Je lui souris et lui dit : « En revenant me chercher, essaye de tomber en panne dans un endroit sans caméra, tu me verras mieux, mais tu ne verras pas ta bite car elle sera entièrement dans ma bouche ! »

    Il rougit comme un ado, et en soupirant m'assure que c'est impossible de faire ça dans le Club ! Mais je lui donne une idée : « Comment t'appelles-tu ? » « Pédro, Señora» « Eh bien Pédro, vient dans notre salon quand j'y retournerai et je préviendrai mes amis que je t'ai fait une promesse ! Ca te va » « Ooooooooh que oui, Madame, c'est un vrai rêve pour moi ! »

    Souriante, je rentre nue dans la mazmorra. Mon client m'attend et me dit : « Je suis heureux de te voir entrer avec un grand sourire ! » « Oh cher Monsieur, tout d'abord j'ai une nature joyeuse, quelles que soient les circonstances, et en plus, si ce que venais faire avec vous était une corvée : donnez-moi une seule raison d'être là ! »

    « Bravo, je te félicite pour ton raisonnement ! Je vais te faire faire le tour du propriétaire de cette mazmorra qui a la particularité d'être la plus petite du club ! »

    « Je vois en effet qu'elle est minuscule ! »

    « Mais rassure toi, elle a tout ce qu'il faut : regarde bien, je commence en bas : environ 9 m² de moquette, c'est en fait ça la mazmorra ! »

    Chapitre 210

    « Donc, tout se passe sur ce carré ?»

    « Oui, il y a 2 meubles : une table d'environ et, devant-elle, une selle de chameau. Elle a un étrier de chaque côté pour recevoir tes pieds. Il y a deux fixations pour tes poignets sur les pieds avant de la table. Sur elle il y a un simple caisson qui surélève la machine qui donne tout son intérêt à cette mazmorra. Nous avons plusieurs caissons de dimensions variées, car, la position de la nuque est primordiale pour un fonctionnement parfait...»

    Je lui coupe gentiment la parole : Je lui coupe gentiment la parole : « La machine est en fait un simple moteur à courroie qui pistonne vers l'avant un tube en inox qui est relié à un double bandeau élastique situé sur la nuque et sous la mâchoire de la soumise de façon à ce que le piston l'oblige à faire un seul geste : avancer et reculer sa tête et donc sa bouche, et ce, avec une vitesse de piston contrôlée ainsi que la vitesse des vibrations du gode externe ! C'est très ingénieux, et je vous avoue que je ne savais même pas qu'une telle machine existait ! »

    « Tu es étonnante et très intelligente, je suis jaloux de ton Maître et de ton mari ! Ils doivent se régaler avec toi ! »

    Je souris sans rien dire, il me fait enfiler des chaussures rouille à talons, et me guide vers la machine : il commence par m'asseoir sur la selle, en me faisant me frotter le sexe plusieurs fois de gauche à droite, pour bien ouvrir ma chatte sur le vibro que je sens à peine affleurer du cuir. Il se penche deux fois de chaque côté de moi pour verrouiller mes chevilles aux fixations latérales.

    Il me pousse pour me redresser le dos, et, debout à mes côtés : il attache solidement les deux courroies élastiques, sur mon front et sous ma mâchoire inférieure.

    Je ne sais pas comment-il fait, car je ne peux pas le voir, il sort le piston en le tirant à la main, ça fait un bruit de crin-crin mais je sens qu'il s'active sur ma nuque, probablement en rattachant le piston à mes courroies élastiques, pour finir mon installation !

    « Prête pour la montée au paradis, ma belle putain intello ? » Je souris sans rien dire et essaye de me décontracter. Il se recule un peu et se dénude du ventre au nombril en me dévoilant une bite plus que correcte. Il s'approche face à moi et met en route le vibro sous ma moule, ainsi que le piston à une vitesse très lente pour vérifier que tout est bien en place.

    Sans pouvoir dévier d'un centimètre, ma bouche le pompe au rythme qu'il choisit, il augmente la vitesse, m'obligeant a cracher et à refouler des nausées.

    Il pousse le vibro à fond, on entend très bien son moteur dans la mazmorra, je bave de plus en plus sur sa bite avec laquelle il continue de baiser ma bouche sans que je ne puisse échapper.

    Il passe à la vitesse maximum, se retire et me regarde avec ma tête qui va et vient dans le vide, je dois être ridicule, mais ce que je ne vois pas c'est que l'accumulation de mes sécrétions et de mes orgasmes dépose un petit tas de liquide blanc mousseux de ma chatte jusqu'à la moitié de la selle.

    Il règle le piston plus doucement et profite pleinement de ma bouche en connaisseur !

    Sans un mot, il prend la bave qui coule de ma bouche et j'étale sur mes nichons, pour bien me salir, il s'en va sans jouir mais j'hurle en lui demandant de ne pas me priver de sa pine, et il revient après avoir remis la vitesse maximum !

    Il s'écarte et se régale de me voir jouir seule, la chatte quasiment mangée par le vibro à pleine vitesse.

    Il revient et coupe le piston de ma bouche, il s'enfonce au fond de ma gorge et me dit : « Vas-y salope intello, vide moi les couilles avec ta bouche de pute, tu es probablement plus maligne qu'une putain, mais tu te conduis comme la plus salop et la plus rompue de tes consœurs ! Et, dis moi, paillasson humain, combien de fois as-tu joui avec cette machine ? » « Je ne sais pas, Monsieur, peut être 5 ou 6 fois »

    Il s'approche de moi, agrippe mes cheveux en souriant et me plie en m'obligeant à approcher ma tête de la selle : « Ouvre bien les yeux et regarde ce qui est sorti de ta connasse de merde ! Je pense que tu as joui beaucoup plus que ça, rien qu'en constatant ce que tu as déposé comme « fromage blanc » entre tes lèvres vaginales et le cuir de la selle, regarde bien tes dégâts salope immonde ! »

    Je suis très surprise, car ça m'arrive rarement, mais il est vrai que lorsque je jouis plusieurs fois et d'une manière si rapprochée, je ressens parfois ce phénomène irrationnel.

    Il pose un pied chaussé sur mon dos et fait signe par un petit finestron aux assistants de venir, pour leur dire : « Regardez-bien qui vous choyez, regardez cette bourgeoise, lécher, manger et boire ses jus de pute, si on la laissait une journée sur cette machine, elle produirait surement un bon kilo de son fromage blanc de jouissance, pfft je suis écœuré, débarrassez moi de cette merde ! »

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    « Le petit + de Loré »

    Si vous désirez regarder la vidéo (10mn13sec) qui m'a inspirée cette troisième séance, recopiez ce lien >

    http://www.roadsexe.com/video/une-machine-qui-oblige-a-sucer-3530.html

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    Chapitre 211

    Les assistants en ont vu d'autre, ils font leur boulot, et quelques instants plus tard, je suis dans l'auto avec un goût horrible dans la bouche, et après la douche-costume, mon guide qui est toujours Pédro me reconduit aux portes de l'agora, habillée de ma robe et de mes chaussures initiales.

    Je suis épuisée mais très heureuse, Yves m'offre une coupe de champagne et me dit de piquer dans les en-cas que leur a fait livrer Madame pour le retard de séance !

    Et ça tombe bien, car je suis affamée, ah, mais il ne faut pas oublier ma promesse : « Amo Mio, j'ai pris une initiative, que vous pouvez me refuser, je peux vous la dire ? » Surpris par cette demande, José me dit : « Mais bien sur pute adorée, tu peux tout me dire ! » « Merci, Amo Mio : pour mes 3 mazmorras j'ai eu le même chauffeur-guide, un tout jeune homme qui est adorable, le hasard fait qu'il a du me voir à poil, et il tirait tellement la langue, comme dans les films de Tex Avery, que je lui ai dit de passer dans notre salon, et que je verrai ce que vous m'autoriserez à lui faire pour le remercier, il s'appelle Pédro, mais peut-être n'aura-t-il pas le courage de venir ! »

    « Nous aviserons s'il vient, mais petite pute, mais ça ne me plait pas beaucoup, et en plus c'est interdit par le règlement du Club, donc c'est prendre beaucoup de risques pour pas grand chose ! Une petite pipe ? Une branlette ? Un matage de ta connasse ? » « Je le sais, et je vous demande pardon Amo Mio, mais il m'a fait un peu pitié ! »

    Yves prend la parole : « Loré, José et moi avons décidé que la soirée Club était fini, nous ne te voyons pas continuer à assumer tes mazmorras qui ont été très difficiles, et même si tous les dominants s'étaient donnés le mot pour des orgasmes enchaînés, José a envie de varier tes plaisirs, nous connaissons, grâce à lui, un super établissement dans lequel nous pouvons revenir avec lui, et où tu seras sure d'être très demandée ! Donc nous partons, nous allons prévenir Madame et promettre de revenir la voir et la remercier pour son hospitalité plus que parfaite » et José rajoute : « Sans oublier de passer dans son bureau pour récupérer la carte magnétique et le code de Loré et le CD de ses aventures »

    José l'appelle et lui dit : « Chère Madame, nous vous remercions infiniment pour cette soirée parfaite, pleine de vos prévenances, de vos gentilles attention et surtout pour l'aide que vous avez apportée à notre protégée ! » « C'est gentil, José, merci à toi et à tes amis : j'espère vous revoir très bientôt, car j'ai une demi-douzaine de demandes de mazmorra pour elle ! Comme prévu, elle a fait une très forte impression sur les membres du Club ! » « Loré vous dit merci en rougissant, Madame ! » « Je l'ai vu gentiment rougir dans d'autres situations plus... compliquées ! Mais elle est adorable dans tous les cas, à son sujet, vous avez la copie d'un mail envoyé à un de mes collaborateurs, j'aimerais qu'elle en prenne connaissance et qu'elle se méfie de ses bons sentiments ! Je vais réunir ce que je dois vous donner, le petit Pédro, viendra vous chercher au salon, où il vous donnera les documents et vous accompagnera à votre location avec chauffeur, véhicule que vous n'avez pas à payer de même que la dernière bouteille de champagne de ce soir, car une fois un compte de soirée clôturé, c'est l'enfer de le rouvrir ! »

    Chapitre 212

    « Nous en sommes tous les trois convaincus ! Encore merci pour tout et Bravo pour votre humour « So-British »»

    « Bonsoir mes amis, bon retour et à bientôt, gardez une tablette et appelez moi avant de revenir, merci ! »

    Elle coupe et Yves me donne la tablette, alors qu'un serveur vient nous porter une dernière bouteille de champagne, je rentre dans notre boîte, en effet nous avons un message que je lis : « Message à l'attention de P., copie à L. > P. Je ne peux que vous conseiller de relire le règlement du Club au chapitre « relations du personnel avec les call-girls » L. > Je vous envoie à votre adresse madrilène un exemplaire de notre règlement en Français, en vous réitérant mon conseil « De ne pas écouter votre bon coeur » A tous les deux > Ce non incident n'est pas archivé - Madame »

    Je n'ai rien à rajouter, mais j'aurais du m'en douter : dans une maison de verre tout est vraiment transparent !

    Nous finissons la bouteille et nos en-cas avec une bonne humeur totale et des tas de fous-rires, quand le petit Pédro vient nous chercher, il ne fait aucun commentaire sur le « non-incident » mais a du sentir de boulet de Madame près de ses fesses, au lieu de mater les miennes, il donne à José l'enveloppe qui lui est destinée et nous demande si nous pouvons y aller »

    Nous le suivons et sortons de l'agora, une auto électrique un peu plus grande que celles que j'ai connues nous attend, nous descendons au premier niveau du parking, le -5 qui accueille facilement les grosses voitures.

    Une Mercedes 6 portes avec chauffeur nous attend, Yves donne un gros billet à Pédro en lui souriant, le chauffeur nous ouvre les portes et nous quittons le parking dont la porte probablement blindée se ferme derrière nous.

    José ouvre l'enveloppe, il me tend ma carte de membre avec un mot manuscrit : « le code secret à 4 chiffres est sur le répondeur de votre domicile d'Issoire » Nous restons sidérés de ces précautions et de constater qu'en une journée Madame sait tout de nous, ce qui peut être à double tranchant, et José dit « Comme me disait Yves avant d'entrer dans l'agora, mieux vaut avoir Madame avec soi que contre soi ! » Yves rien et rétorque en prenant un accent que José ne peut pas connaître : « Ah ! C'est ben-vrai ça ! »

    Je ris car la Mère Denis est sûrement une ex d'Yves et il a beaucoup d'affection pour elle !

    Une enveloppe gonflée m'est adressée, encore un petit mot manuscrit :  « N'archivez rien »

    Je n'ai pas envie de réfléchir, je donne l'enveloppe à Yves qui dénoue l'énigme en une minute, beau Q mon chéri mais aussi beau QI ! Il faudra que je l'encule au gode ceinture un jour rien que pour rire ! J'éclate de rire toute seule et m'en excuse : « ce n'est rien je pensais à une bêtise, trop dure à expliquer ! »

    « En fait tout est codé d'une manière simple : « 1/m = salaire Loré sur 1ère mazmorra » « Suivi de 2/m et de 3/m » « 1/v = % de Loré sur les voyeurs de la 1ère mazmorra » « Par contre, dans les frais il n'y a rien, ni salon, ni champagne, c'est donc facturé sur le compte de José, tu aurais pu mettre ça sur le compte de Loré, chorizo ! » « Est-ce si important Yves, on s'en fout ! Dis-moi par curiosité il y a combien en billets ? »

    Yves compte les billets et annonce « 4.800€ » Et en riant, il se tourne vers moi : « Dis moi, Loré quel est ton salaire net mensuel ? » « 4.400€, j'ai été augmenté avant de prendre des congés sans solde ! »

    La voiture explose de rire, alors qu'Yves fait des minuscules confettis avec la première fiche de paye du Club !

    Le chauffeur nous annonce par micro que nous sommes arrivés, il nous ouvre les portières, refuse courtoisement un gros pourboire : « Non, Monsieur, cette pratique n'est pas dans nos habitudes, mais merci pour le geste ! »

    Suite dans le tome 9


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  • Loré à Madrid tome 9

    Chapitre 213 (7h) Rewrité le 13 nov 2018

    Le retour à l'appartement est très joyeux, et nous nous effondrons tous les trois dans les sièges du salon.

    Yves regarde sa montre : « Dites-moi les amis ! Savez-vous quelle heure il-est ? » Je lui réponds de suite : « Si j'en crois mon envie de dormir, il est au moins 9h du matin ! ». José, qui s'est déchaussé et a posé les pieds sur la table basse, yeux fermés se contente de dire qu'il n'en a aucune idée !

    Yves nous répond ! « 7h du mat ! Il serait temps que nous nous organisions pour la suite du weekend ! » José répond : « Entièrement d'accord, et, à ce sujet, puis-je vous glisser une suggestion ? »

    Nous approuvons, ce qui semble normal puisque c'est le Maître de cette nuit !

    « Notre pute étant douchée, je suggère qu'elle aille se coucher de suite, à poil. Nous la réveillerons officiellement à midi. Pendant son repos, Yves et moi pourront préparer la suite de la fête, en buvant et en fumant nos cigares. Avant de nous coucher, et, là Yves aura le choix entre trois formules : je rejoins Loré dans votre chambre et lui va dans la chambre d'ami, ou nous dormons tous les trois dans votre chambre ou enfin, vous deux dans votre chambre et moi dans la chambre d'ami ! »

    Yves rit : « Tous les trois dans le même lit ! Et il n'y a même pas à discuter ! » Je ris aussi et pose une question assez naïve : « Et si de mon coucher à mon réveil, l'un de vous deux a une petite envie ? » Yves me répond : « Eh bien tu feras ton boulot, comme tu l'as fait avec beaucoup de passion au Club, mais avec nous, tu ne seras qu'une putain gratuite ! »

    José rajoute : « Tu n'as pas bien suivi ce que j'ai dit : nous te réveillerons officiellement à midi ! Mais officieusement tu peux être sollicitée bien avant et même plusieurs fois ! »

    Je comprends que la trêve est finie et que mes deux hommes ne tiennent pas à ce que nous restions dans le registre amis-copains, je me lève donc, toujours à poil, je les embrasse longuement à pleine bouche en leur murmurant à chacun : « Je vais au lit, à bientôt ! Je vais rêver de vous deux ! »

    Je ferme la porte de la chambre pour les laisser discuter tranquillement, et 5 mn après je dormais profondément : bien sur, leur discussion m'a été rapportée par la plus tard par Yves !

    « Tu as une idée pour la suite ? On ne va pas être opérationnels avant 13h, pas facile de trouver des endroits chauds et ouverts à cette heure là ! » « Oui et non, Yves, car je connais un resto bdsm sympa et très bien fréquenté où Loré sera en sécurité. N'importe qui, homme, femme ou couple, pourra la demander par l'intermédiaire de la patronne qui est une amie, pour jouer avec elle, soit gratuitement sur une petite scène devant tout le resto, soit contre rémunération, pour une passe de 15, 30 ou 45 mn dans une des chambres »

    « Hum, excellente idée qui pourrait nous amener à 15h, bravo José ! »

    Chapitre 214 Rewrité le 13 nov 2018

    « Au Club, j'ai eu le temps de réfléchir et je pense avoir une solution à te proposer pour l'après resto bdsm : je connais une site majoritairement madrilène, peu connu, car assez cher, et donc forcément très bien fréquenté. Tu y proposes ton esclave pour des jeux sexuels bdsm bien réels, et très simplement : après avoir rédigé la fiche de ta soumise, tu choisis 20 scénarii de séances sur une liste d'une centaine suggérée par le site »

    « Tu peux me donner un exemple, José ? » Il rit : « Rassure-toi, nous sommes tous les deux fatigués, nous allons rentrer sur ce site, non pas pour y inscrire Loré, ce qui serait un peu long, mais pour te donner des exemples, et avec ton Q.I., tu vas de suite tout comprendre ! »

    José s'active sur le clavier, tout en continuant : « Je vais choisir une vingtaine de séances que je suis certain que vous approuverez tous les deux, en fonction de ce que je commence à savoir de votre couple ! » « Oui, tu as raison ! »

    Il parcoure un menu déroulant : « Bien évidemment on va retrouver les super-classiques : Femme de ménage sans tabou pour domina gouine et sado ou esclave bien éduquée (débutante refusée) pour domino ou domina dans salon, cave ou donjon ou encore esclave fétichiste des pieds pour adorer ceux de sa Maîtresse et le super classique de baise ! Salope sans tabou pour grosse baise avec mec endurant et bien monté ! Tu comprends mieux ? »

    Yves rit : « Oui, je crois avoir tout pigé ! »

    « Pour laisser un peu de marge de manœuvre à Loré, il faudrait lui en proposer 25 ou 30 et lui demander de n'en garder que 20, elle sera contente d'avoir son mot à dire ! »« Excellente idée ! » Yves continue : « Je suppose qu'on laisse aux amateurs le temps de lire sa fiche, de voir quelques photos explicites d'elle, de choisir parmi les fantasmes qu'elle propose et qu'ensuite, on passe au téléphone pour les tabous, la durée, l'heure et le lieu ? »

    José éclate de rire : « Voilà, tu as tout compris ! Pour nous il y aura en plus la contrainte de filmer la séance en caméra fixe ou avec un adjoint, même si les clients désirent rester masqués, et puisqu'on parle de client il ne faut pas oublier l'argent qui est très important dans ce jeu vicieux ! »

    « En t'écoutant, j'ai continué à lire, à la fin du déroulant il y a les thèmes les plus choisis depuis le début du mois ! » « Je parie que c'est de voir une femme soumettre l'autre ! Ou deux femmes obéir à un homme ! Hummmmm, deux nanas et un mec ! C'est le nirvana ! »

    « Pour ce début de mois le fantasme le plus réalisé est : l'esclave se fait passer pour votre épouse et se donne à un parfait inconnu que vous avez dragué pour elle, en votre présence et avec ou sans son consentement ! Et le célébrissime vous rêvez de voir votre femme s'ébattre ou obéir à une autre femme ne vient qu'en seconde position ! »

    « Si tu veux, je m'occuperai de la mise en ligne du CV, pendant que tu iras te reposer ou profiter de Loré. En vous levant,vous découvrirez sa fiche que vous pourrez rectifier à votre guise, et nous n'aurons plus qu'à reporter le choix des scénarii proposés par Loré et la mettre en ligne. Pour plus d'anonymat, je donnerai mon N° de portable prépayé » Yves rit : « Tu penses à tout ! C'est bien, tu as carte blanche, vends la bien ! Tu peux annoncer des rencontres entre 13 et 20h » « Oui, ça me semble raisonnable, et, à 20h je vous laisserai tous les deux ! » 

    « Ah ! Non ! José ! Tu dois prolonger un peu en empiétant sur le lundi, pour lequel je t'ai donné congé, j'ai moi-même posé ce jour de repos et je sais que Loré est partante pour que tu restes un peu plus. Tu as beaucoup participé en qualité de voyeur, mais tu n'as pas passé beaucoup de temps avec elle, donc, dimanche soir, il faut que tu profites d'elle, que nous dormions au moins 6h dans la nuit de dimanche à lundi, que tu joues encore un peu avec elle le lundi matin et qu'on termine, par exemple, le lundi midi dans le resto dont tu m'as parlé ou terminer par une super séance qui nous mènerait jusqu'au lundi soir »

    « C'est gentil Yves, mais je crois que tout contrat doit être respecté ! En plus, je ne tiens pas à ce que ce weekend soit le dernier passé avec vous ! J'ai déjà pris trop de plaisir et la suite m'excite terriblement, mais il faut savoir s'effacer quand l'heure est venue ! »

    « Justement, l'heure ne sonnera pas le dimanche à 20h, si tu calcules bien, du samedi 20h au dimanche 20h, ça ne fait qu'un jour et pas un weekend ! Donc, puisque Loré t'a promis un weekend, que lundi tu es en congé, tout est dit ! Ok ? »

    « Je crois que je n'ai pas trop le choix, Yves, je ne sais pas si tu as vraiment raison, j'ai peut être mal apprécié la durée du cadeau ! J'accepte ta suggestion, mais je veux que Loré me la confirme de vive voix »

    « Bravo pour ton honnêteté vis à vis de Loré, elle te confirmera avec joie son accord, et, ce sans aucune intervention de ma part ! Bon, cela-dit, je file prendre une douche et je vais me coucher, ne t'attarde pas trop sur sa fiche, il suffira de mettre quelques photos hards et elle aura plein de demandes ! Il faut que, toi aussi tu te reposes un peu et que tu saches accorder un peu de répit à ton sexe ! »

    José rit et je lui souhaite une bonne et courte nuit !

    Chapitre 215 Rewrité le 17 nov 2018

    Je suis dans le lit, sur les draps, essayant de trouver le sommeil, sans vraiment y arriver quand Yves entre dans la chambre, nu, à peine séché et je frémis en sentant son odeur corporelle.

    Comme le jour se lève paresseusement, je constate, comme dans un rêve éveillé que son sexe, lui, est tout à fait en forme !

    Je le provoque un peu : « Alors, mon amour, vous avez trouvé à quelle sauce me manger cet après midi ? Je suppose qu'elle sera blanche, un peu tiède, un peu visqueuse sur la langue et qu'elle séchera très vite sur mes nichons, c'est ça ? »

    Yves sourit, et me gronde gentiment : « Dis-donc, ma petite femme adorée, tu es bien salope de bon matin ! A me provoquer comme ça, tu vas gagner le bingo ! Aurais-tu envie de dureté ? De souffrir un peu pour t'envoyer en l'air ? Ou, au contraire d'une excitation en règle avec comme récompense l'interdiction formelle de jouir ? »

    « Je sais que ce weekend, c'est ton ami José qui est mon Maître, et ça m'excite terriblement de lui obéir devant toi, et, justement à ce sujet, je voulais te dire quelque chose : pour José, le weekend doit se terminer le lundi à 20h, ce qui lui fera 48h passées avec nous : il faut être honnête avec lui ! Tu ne crois pas ? »

    « Je serai toujours d'accord avec toi, sauf si tu venais à lui demander de rester toute la semaine ! Tu es vraiment une salope pleine de vice, et je pense que je vais te faire bénéficier dans la semaine d'une petite séance sado dont je rêve depuis pas mal de temps, car quand tu es excitée comme une truie, je t'assure que j'ai envie de te voir souffrir et pleurer, plus que de te faire des câlins ! »

    « Mais, mon chéri adoré, qui t'empêche d'être celui dont tu as envie ? Tu sais, Cathy, m'a donné autant d'orgasmes que de raisons de pleurer et j'ai crié de plaisir autant de fois que de douleur. Je peux même te garantir qu'avec le torrent qu'elle fait couler régulièrement de ma moule en feu, tu ne vas pas tarder à avoir une femme-fontaine-esclave-maso ! »

    « Eh bien, à ce point là ? Hum, tu me tentes, mais vue l'heure, je dois choisir une séance intense mais pas trop longue, il faut que tu te reposes un peu tout de même ! »

    « Bah, nous aurons tout mardi pour nous reposer ! Et, je te promets que, ce jour là, je m'habillerai en nonne et que tu ne me toucheras même pas avec les yeux ! »

    « Hum, enculer une nonne sur un autel en la bourrant de ma bite et en la couvrant d’hosties fraîches ! Quel pied ! »

    « Pfff, tu es un vieux cochon vicieux, tu ne penses qu'à entrer ta queue dans tous les trous que tu vois ou que tu devines ! »

    « Comme toi, qui, au lieu de dévisager un inconnu, regardes fixement la forme de sa braguette et sais de suite si tu vas lui offrir ton cul ou non ! »

    « Ah tes fantasmes ! Je crois que même si je quittais mon métier pour faire la pute à plein temps, ça t'exciterait tellement que tu ne passerais pas une heure dans la maison sans me limer ou jouir dans mon trou à merde comme tu l’appelles si poétiquement ! »

    « Tu as surement raison, mais tout ça m'a donné des idées cochonnes, et te jure que tu vas morfler ! »

    « Carte blanche, oui à tout, je suis toute à toi ! »

    Chapitre 216

    Il se dirige vers l'armoire sex-shop, fouille un peu tout en me demandant de me mettre au milieu du lit, sur le dos, les cuisses au bord du grand écart.

    Il pose le fruit de ses recherches derrière ma tête, pour m'empêcher de voir ce qui va m'arriver, curieuse, j'essaye de tourner la tête mais une solide baffe sur les joues me dissuade d'aller au bout de mon idée !

    « Je te croyais plus obéissante et éduquée espèce de salope, alors, si tu es toute à moi, arrête de me contrarier »

    Je ne réponds rien car la gifle m'a vraiment vexée, et je réalise qu'Yves a prit mon offre très au sérieux et qu'il compte bien en profiter.

    Il approche une chaise au bord du lit et s'assied. Je constate au passage qu'il bande encore plus fort que tout à l'heure, et qu'il a un sourire vicieux qui ne lui est pas habituel et qui me fait un peu peur.

    « Bien, tu vas te détendre en t'allongeant de tout ton long, bras et cuisses écartés comme si je voulais t'attacher en croix »

    Je m'exécute, et il approuve : « A présent, tu fais glisser ton corps vers le bas du lit, de manière à avoir le cul au ras du matelas et les pieds par terre, allez, fais vite ! »

    Je glisse en me tortillant, ce qui n'est pas pour lui déplaire et j'atteins la position demandée :

    « Très bien, ne bouge plus, je vais te préparer ! »

    Un peu anxieuse, je le vois se lever, mais il me gifle encore plus fort que la première fois, en me disant : « Je ne veux pas que tu me regardes faire, et comme tu es curieuse comme une chatte en chaleur, je vais donc te bander les yeux pendant que je t'équipe comme il me plait ! »

    Il se relève pour prendre un masque de repos dans notre armoire, se penche sur moi et n'a aucun mal à me le poser sur les yeux et conclue : « Voilà, comme ça je serai tranquille ! »

    Il détourne une seconde son regard et ne me voit pas écraser une larme sur ma joue.

    Il m'ouvre grand la bouche d'une main et me pose un bâillon écarteur avec une armature en plastique de l'autre, m'obligeant à garder la bouche grande ouverte mais accessible par un gros espace libéré dans la structure de plastique qui permet d'accéder à mon palais.

    C'est le bâillon préféré des dominants qui veulent niquer une bouche de soumise sans se faire sucer, ou lui pisser dans la bouche sans avoir besoin de son autorisation !

    Je suis surprise car Yves n'est pas un habitué de ce genre de bâillon.

    Il me soulève la tête pour bien l'attacher derrière ma nuque, et il vérifie de suite que je ne peux pas refuser une intrusion dans ma bouche, ni parler, ni crier, mais seulement émettre des grognements baveux.

    Il m'enfonce sans précaution trois doigts dans la bouche et joue à me caresser l'intérieur des joues et à attraper ma langue pour la tirer durement vers l'extérieur, c qui me fait très mal et m'oblige à me tortiller comme un vers en grognant !

    Puis, il me relève une nouvelle fois la tête et me passe autour du cou un large collier de cuir, que je connais bien, à mi-chemin entre le collier et le neck-collier, avec quatre anneaux fixés dans le cuir pour permettre au dominant d'y attacher ce qu'il désire.

    Il le serre exagérément fort en me disant : « Tu devras le supporter le temps que nous le voudrons, alors, ne commence pas à gémir, sinon, je le serre un peu plus, et pense que j'aurais pu te mettre un collier avec des picots dirigés vers ton cou, alors, ta gueule ! »

    Yves me parle rarement aussi brutalement et crument, mais je mets ça sur le compte de sa fatigue et de son excitation.

    Quand il prend un autre objet, il le fait passer sur mes seins, je ne sais pas si c'est intentionnel, mais je sens que c'est une corde de gros calibre en chanvre.

    Je n'en vois qu'une seule dans notre équipement bdsm : c'est une corde à nœud coulant, je ne comprends pas trop ce qu'il compte en faire, mais j'ai très vite la réponse.

    Il me soulève en effet une autre fois la tête, glisse le nœud coulant autour de mon cou, juste en haut du collier, et me serre raisonnablement. Puis je le sens aller vers le haut du lit où après avoir tendu la corde au maximum, il l'attache au cadre en fer du sommier lattes.

    Je suis en quelque sorte "pendue" sur mon lit !

    Il ajoute : « Je te conseille de ne pas trop gigoter, car tu vas réduire le nœud coulant, et à chaque fois que devrai le défaire pour que tu puisses respirer, je comptabiliserai une punition, et c'est José qui les appliquera comme bon lui semblera, sans que je ne lève le petit doigt pour te défendre ! »

    Je ne réponds rien, mais suis de plus en plus excitée par l'espèce de rage sado qu'Yves a pour moi, il est si rare qu'il agisse comme ça, que j'en suis sidérée et en même temps, je mouille abondamment le drap avec mon jus de pute excitée, ce qui, bien sur ne peut pas lui échapper !

    Chapitre 217

    J'entends clairement des bruits métalliques, je suppose que ce sont des chaînes ou des menottes. Ma deuxième idée est la bonne, car Yves passe un bracelet d'une menotte dans un anneau à gauche de mon collier, et le verrouille sèchement, avant de faire de même à droite.

    A tour de rôle, il me prend sans ménagement les deux mains et y attache mes poignets dans les bracelets de métal correspondants, m'immobili-sant ainsi d'une manière un peu grotesque, car mes mains sont à moins de 20 centimètres de chaque côté de mon visage.

    Puis, il me met deux fins bracelets de cuir autour de chaque base de seins et, il les serre au maximum.

    Je sais qu'il adore cette transformation de mes nichons en ballons ronds mais, il me surprend en reliant les deux pôles de ces ballons entre eux, ce qui les rapproche et réduit le sillon de ma vallée de seins en la transformant en un « cañon » qui doit être assez sexy à contempler !

    Il rit de me voir ainsi attachée et me dit : « Rassure-toi, je ne ferai pas de mal à tes bouts de mamelles ! » Je grogne un « Merci » qu'il n'a pas du comprendre ! Mais j'ai été polie, c'est le principal !

    Il descend vers le bas du lit, repasse sur mes seins une corde un peu moins grosse que celle du cou, me soulève la cuisse gauche qu'il rabat sur mon sein gauche, et, des deux mains, il replie ma jambe et mon pied gauche vers le haut de ma cuisse.

    Il entreprend d'attacher solidement cuisse et jambe ensemble.

    Quand il a fini, en ayant fait de nombreux tours de corde autour de mes deux membres, il la tire vers la gauche du lit et l'attache au cadre métal-lique en s'arrangeant, vicieusement, pour que le bloc cuisse-jambe soit tendu vers le haut, pour, bien sur, m'écarteler et m'offrir au maximum !

    Il fait de même à droite, ce qui revient à m'ouvrir sans rien cacher de mon intimité, chatte et anus béants et offerts comme dans une vitrine de boucherie, d'une manière tellement obscène que j'ai terriblement honte, rien que d'y penser.

    Je suis totalement impuissante, sans pouvoir bouger ni mes cuisses, ni mes jambes, ni mes mains. Les seules parties de mon corps que je peux bouger sont mes doigts, mon bas-ventre et mes pieds.

    Le silence se fait, mais, peu de temps après, j'entends deux souffles : je suis morte de honte en réalisant que, très fier de lui, il est allé demander à José de venir me contempler !

    « Alors, elle te plaît comme ça, notre pute vicieuse ? Con et trou à merde bien ouverts ! Nichons gonflés comme des ballons ! Prêts à accueillir entre eux des pines ne demandant qu'à décharger ! Bouche prête à être niquée ! Tu ne peux pas me trouver un négro super membré pour lui demander de venir lui défoncer ses trous de bourgeoise dégénérée ? »

    « Pfff ! Je n'ai jamais vu une esclave dans une posture aussi bandante ! Je constate que quand tu es super-excité, tu fais les choses en grand ! Pour le nègre, je vais voir ce que je peux faire ! »

    « Très bien, je vais poser la caméra sur son trépied, mais je te laisse la terminer : je lui ai promis de ne pas lui pincer les bouts de mamelles, donc, tu serais gentil de choisir les pinces et de la décorer avant de lui enlever son bandeau. Je vais m'en occuper comme jamais je ne l'ai fait avec elle ! Et, elle est prévenue qu'elle restera comme ça, jusqu'à midi, mais que, bien sur nous pourrons l'utiliser quand nous le voudrons »

    Je suppose que José choisit les pinces dans notre armoire, car sa voix change : « Dis-moi Yves ! On risque de ne pas beaucoup dormir ! Il faudrait peut-être lui interdire de jouir, si on veut la garder dans un état d'extrême excitation ? Regarde comment elle tâche le drap en coulant comme une chienne en chaleur ! »

    « Oui, tu as raison, j'avais pensé à la même chose ! Mais si tu lui trouves un négro, je veux qu'elle jouisse, le cul défoncé par une énorme pine ! »

    José s'assied sur le lit au niveau de ma poitrine. Il caresse doucement un téton, qui, compressé par le manque de sang, bande très vite, et, il y pose le premier écraseur en riant de mon grognement et des soubresauts de mon corps, il fait pareil à l'autre alors que j'entends le bruit de la caméra qui filme.

    Il me plonge gentiment sa langue dans la bouche et enlève mon bandeau.Il me regarde dans les yeux en me souriant, et me les embrasse en me murmurant : « Je crois que tu vas vivre une séance inédite avec ton mari ! Régale-toi bien ma pute ! » 

    Comme pour ne pas que j'oublie que je suis totalement à lui, il plonge deux de ses doigts dans mon con largement ouvert, les mouille longuement et mes les enfonce dans la bouche pour que je sente bien mon jus de putain excitée en les lui nettoyant.

    Pendant que je m'exécute il dit à Yves : « Pour la suite, j'ai une excellente nouvelle, tu peux jouer tranquillement avec elle ! Amuse-toi bien, et régale la ! »

    Il retire sa main et quitte notre chambre en refermant doucement la porte.

    Chapitre 218 (8h45)

    Yves, toujours à poil, et bite collée à son ventre repose sa caméra sur son trépied et va, de nouveau, dans notre armoire.

    Il en revient avec une cravache courte, de la taille d'un paddle,mais avec une surface de cuir égale à une grande cravache.

    Il s'assied sur le lit à ma droite, pose le cuir de la cravache sur ma joue gauche et me fait tourner la tête vers lui : « Ne me quitte pas des yeux, je veux y voir en permanence ta douleur et ton plaisir ! »

    J'essaye de lui faire un sourire que le bâillon ne m'autorise pas !

    Il se penche, allume l'auto-radio, cherche une station de musique rythmée, et me demande de retenir l'heure, il est 8h45.

    Comme s'il battait la mesure, il commence à me frapper plus ou moins fort où il le veut, selon ses envies. Le bâillon m'autorise à grogner sourdement, la corde à nœud à me débattre avec modération, seuls, comme il le voulait, mes yeux peuvent lui indiquer ce que je ressens dans mon cerveau et dans mon con trempé !

    Tétons, nichons gonflés, con ouvert, intérieur des cuisses, orteils, plantes des pieds, joues, épaules, anus : il tape partout en gardant le rythme et se délecte de voir mes yeux pleins de larmes.

    Je suis sure que petit à petit mon corps se couvre de traces, José sera surpris par cette brutalité en venant me dominer, peut être même sans intention de se vider en moi, s'il suit le chemin humiliant qu'est en train de lui ouvrir Yves !

    Il regarde le radio-réveil et me dit : « Il est 8h55, ça fait 10 minutes que je te cravache sans interruption, mais pour les 5 minutes qui nous séparent de 9 heures, tu vas avoir un traitement spécial qui va te régaler ! » Je me méfie beaucoup de ses petites spécialités, la douleur de mes tétons en est un bon témoignage !

    Et, encore une fois, j'ai bien raison.

    Il sort du lit, rapproche une chaise sur mon côté gauche et s'assied. Il jauge la distance qui sépare le cuir de sa cravache de mon bas ventre et en oubliant les rythmes des chansons, il me frappe entre les cuisses.

    J'aurais tendance à dire de toutes ses forces, mais je crois qu'il n'oserait tout de même pas !

    Sa cadence frise le sadisme : 3 coups sur le sexe béant, 5 sur l'anus ouvert, 2 sur l'intérieur d'une cuisse, puis 2 sur l'autre cuisse, et il recommence, en comptant 3... 5... 2... 2..., jusqu'à ce que le radio-réveil marque 9 heures pile !

    Je suis au bord de l'évanouissement et je pleure à chaudes larmes, mais lui se lève pour ranger sa cravache et rit en se moquant totalement de ma douleur.

    Je crois que c'est la seule fois depuis que nous nous connaissons que j'ai envie de le mordre jusqu'au sang ! Mais c'est aussi une grande découverte de savoir que mon cher et tendre peut être dur et sado, car, il est vrai que, certains jours, je le mérite vraiment.

    « Je suis sur que tu as entendu notre conversation tout à l'heure : quel que soit ce qu'il va t'arriver, tu n'as aucun droit de t'envoyer en l'air, je pense que nous avons été clairs tous les deux, si tu as bien compris fais moi oui de la tête »

    Je hoche la tête péniblement pour approuver cette règle.

    Satisfait, il retourne fouiller dans l'armoire et revient avec trois godes de tailles différentes. Bien sur je les connais tous les trois, car il les utilise souvent : il y a un petit d'une quinzaine de centimètres avec un gros diamètre qui est parfait pour ma bouche, un moyen d'une vingtaine de centimètres avec un diamètre qui me remplit parfaitement la chatte et un dernier de plus de trente centimètres à gros diamètre qui entre très péniblement dans mon cul, mais qui ne risque pas de ressortir quand il est enfoncé jusque dans mes intestins !

    Il s'approche entre mes jambes et commence par me goder le con avec le plus petit gode, qui entre, bien sur, sans aucune difficulté et en quelques secondes, ses allers-retours sont récompensés par le clapotis des mouvements du gode dans mon con dégoulinant.

    Quand il le sort, quelques gouttes de ma mouille tombent sur mon ventre et j'ai droit à un : « Ce que tu peux être veule et pouffiasse : tu as vu comme tu mouilles ? On dirait que tu as pissé sur toi ! Tu me fais honte ! Tiens ça me donne une idée, commence à nettoyer le gode avec ta bouche en essayant de ne pas l'avaler, je reviens »

    Il le glisse dans ma bouche grande ouverte et je me concentre pour éviter qu'il ne plonge dans ma gorge, tout en le léchant et en le suçant pour bien le nettoyer.

    Je ne reconnais pas mon goût. Je suppose que, comme ça fait longtemps que je mouille, mon jus de femelle est devenu amer et plus salé que d'habitude et je retrouve même des filets blancs ressemblant à ce « fromage » qui apparaît sur le gland d'un homme branlé trop longtemps, et qui n'a rien à voir avec un manque d'hygiène. Mais je continue à sucer et à avaler sans me plaindre,

    « Ce que tu peux être veule et pouffiasse : tu as vu comme tu mouilles ? On dirait que tu as pissé sur toi ! Tu me fais honte ! Tiens ça me donne une idée, commence à nettoyer le gode avec ta bouche en essayant de ne pas l'avaler, je reviens »

    Il reviens vite, avec une simple cuillère à café dans la main. Je comprends de suite son idée et j'essaye de bouger mon bas ventre pour lui dire que j'ai trop honte de faire ça.

    Nous nous connaissons si bien qu'il comprend parfaitement ce que j'essaye de lui dire, mais il passe outre, se met à genoux à mes côtés et enfonce sa cuillère au fond de mon vagin et écope mon intimité avec l'objectif de la remplir de mon jus de femelle.

    Quand il la ressort, elle est aux trois quarts pleine et comme j'ai fini de nettoyer le gode, il le transfère de ma bouche à mon con et il m'oblige à prendre la cuillère de ma main droite.

    La chaîne de menotte ne m'empêche pas d'entrer la cuillère dans ma bouche, il se lève, prend sa caméra et m'ordonne de boire mes sécrétions très lentement en souriant vicieusement à la caméra.

    C'est ce que je fais, avec pour la première fois un peu de dégoût, car cette saveur ne me convient pas, mais je lui souris tout de même et, il est tout content d'alterner des gros plans et des plans larges alors que j'avale peu à peu le fruit de mon excitation.

    Je suis au summum de la honte mais aussi au bord d'un orgasme que j'essaye de contrôler alors que je ne me suis jamais sentie aussi salope, contente de l'être et fière de penser que bon nombre de mecs vont se branler en regardant cette séquence digne d'un film porno de bas étage. La bourgeoise que je suis est en train de toucher le fond et ça me sur-excite !

    Chapitre 219

    Yves se relève et me regarde en souriant, il sait, bien sur que je lutte pour ne pas jouir, et le flux permanent de ma production de mouille qui tombe sur le drap en est une preuve supplémentaire.

    Il s'assure que le petit gode est bien en place dans ma bouche, et glisse le gode monstrueux destiné à mon cul dans mon vagin, fait quelques allers et retours, le tourne et le retourne dans mon con, pour bien l'humidifier.

    Je sens qu'une de ses mains écarte largement mon anus et il le sort d'un coup sec de mon vagin pour l'enfoncer tout aussi brutalement dans mon trou à merde, jusque dans mes intestins, m'arrachant un grognement de douleur qui me vaut une autre gifle, mais sur mes nichons, donc, encore plus douloureuse !

    Le dernier gode entre sans aucun problème dans ma moule trempée, et il me lime un peu avant de me dire : « Je vais rejoindre José au salon pour me restaurer un peu, fumer un cigarillo et boire une coupette, mais, attention, ma caméra te filmera pendant toute mon absence et, en plus, je vais brancher, à côté de ta tête, un petit « écouteur de bébé » qui va te rappeler la petite enfance de Jean, mais qui, surtout nous indiquera ce que tu fabriques, car, en plus je vais t'enlever ton bâillon de bouche, mais tu sais très bien que je connais tous les sons que tu émets quand tu t'envoies en l'air, et comme ton con est un vrai torrent, tu ne pourras pas me cacher un de tes tsunamis ! Donc sois très prudente ! »

    Il me débarrasse de mon bâillon, ce qui me fait pousser un immense soupir de soulagement, car je peux, de nouveau, bouger mes mâchoi-res qui étaient à la limite de la paralysie.

    Il sort de l'armoire l'appareil espion annoncé. Je ne le connais pas, il a du acheter spécialement pour ce weekend, il le branche, dépose un baiser sonore sur un de mes pieds et quitte la chambre sans refermer la porte.

    Cette accalmie me convient parfaitement, et je remercie le ciel d'avoir trois godes en moi et non pas trois vibros !

    J'essaye d'oublier mon excitation en pensant à mon fils adoré et à ma prochaine déclaration d'impôt !

    C'est une quinzaine de jours après ce week-end que j'ai su ce qui s'était passé durant son absence, et c'est même lui qui me l'a raconté en détail :

    « Quand je t'ai quittée, je suis allé mettre un slip dans la salle de bains et, j'ai rejoins José, à ma grande surprise, il dormait sur le canapé ! En souriant j'ai rapporté de la cuisine deux assiettes de tapas, une bouteille de champagne glacée et en revenant j'ai allumé un petit cigarillo et me suis servi une coupe, avant de m'avachir dans un fauteuil »

    « Je suppose que c'est l'odeur de tabac qui a réveillé José qui s'est de suite excusé, mais j'ai rit en lui précisant qu'il était un homme fatigué et qu'il ne me devait aucune excuse ! Rassuré, il a trinqué avec moi, et a allumé une cigarette en mangeant quelques tapas tout en me disant qu'il était très content de sa recherche sur le site dont il m'avait parlé car tout s'était super bien passé »

    « Et il m'a raconté cette bonne surprise : « Quand tu es allé t'occuper de Loré, je suis donc entré sur le site sur lequel je me suis abonné car il est idéal pour trouver des soumises de grande classe. J'ai soigneusement rempli la fiche de Loré, choisi une trentaine de « réal-fantasmes » comme le site les appellent, et comme j'avais le droit de publier 5 photos d'elle, j'ai validé la fiche en « brouillon » et je me suis plongé dans tes albums d'elle pour trouver une photo en extérieur habillée, une autre en top-less, une autre poitrine couverte mais chatte nue, une autre à poil dans un fauteuil, cuisses écartées et la dernière à poil et à plat ventre sur un lit, cul relevé et main coincée entre ses cuisses, c'était mon objectif »

    « Beau travail, mais tu as du mettre du temps pour trouver ces 5 photos dans des albums que tu ne connais pas ! »

    « Exact, mais j'ai trouvé très rapidement la 1ère car tu as un album intitulé « Ma Loré de tous les jours », et je t'ai piqué une très belle photo d'elle en tailleur-jupe très élégant, te souriant, tout au moins, je suppose que c'était à toi qu'elle souriait, alors qu'elle s'apprêtait à monter dans une voiture qu'on reconnait facilement comme une grosse Audi, sans toutefois un seul indice d'identification, ni du lieu ni de la prise de vue, en fait : la photo parfaite pour prouver la beauté de ta femme et sa classe naturelle et sociale »

    « Bien joué, une seule photo pour éviter une page de discours ! »

    José rit et m'assure que je vais vite voir jusqu'à quel point je suis dans le vrai ! Je lui réponds que j'ai hâte de connaître le dénouement de cette aventure qui me semble peu ordinaire.

    « En effet, je commençais à chercher la 2ème photo quand j'ai reçu un message du site. Un peu étonné, car je n'avais pas cliqué sur « publier », mais simplement sur « enregistrer comme brouillon »

    « J'ai ouvert le message qui disait :

    « Bonjour, nous sommes une mazmorra privée, financée par une cinquantaine de membres des deux sexes fidèles depuis plus de 10 ans, dont quelques informaticiens que l'on pourrait qualifier de « Hackers » mais dans le bon sens du terme : ainsi, dans votre cas, nous avons eu accès à votre « brouillon » et ce que nous avons lu nous a énormément plu »

    « Nous nous permettons d'intervenir avant que vous ne trouviez les 5 photos, que vous devez être en train de chercher ! Rassurez-vous, nous n'avons de web-cam chez vous, c'est un simple raisonnement de pure logique ! »

    « Si vous le désirez, nous vous proposons de reprendre votre brouillon, d'y rajouter une seule photo de votre chère Loréna, relativement récente et sans référence ni au sexe ni à une nudité même partielle »

    « Quand vous l'aurez insérée sur sa fiche, il vous suffira de remettre le dossier dans « brouillon » et vous aurez une réaction honnête de notre part dans les 30 secondes suivantes »

    « En espérant que cet arrangement vous agréera, tout en sachant que, si la photo nous convient, comme nous en sommes quasi surs, vous saurez ce que nous avons à vous proposer pour vous et votre « esclave éduquée » comme vous la désignez sur sa fiche. A de suite ? »

    « Ouah ! Quelle aventure ! Et quelle belle manière de recruter des soumises pour une mazmorra sans avoir de site ! Ces gens me semblent très sympas et terriblement malins ! »

    « C'est aussi ce que j'ai pensé après avoir lu et relu leur message de gauche à droite et de droite à gauche ! J'avoue ne pas avoir senti une seule petit embrouille dans tout ce texte et c'est en toute confiance que j'ai repris la fiche de Loré, j'ai rajouté sa photo en tailleur et j'ai remis le tout dans le dossier « brouillon » en continuant toutefois à chercher la 2ème photo, mais... »

    « ...mais en étant sur que ta recherche ne servait à rien ! »

    « Merci, Yves, de finir mes phrases ! J'apprends à connaître ta femme, mais je vois que tu as bien progressé quant à la connaissance de son Maître d'un weekend ! »

    « Avant que tu ne me racontes la fin de ta fabuleuse histoire, je tiens à te dire que si c'était un autre qui me parlait, je ne croirais pas un seul mot ! Je te propose donc, qu'après être allés jeter un coup d’œil dans notre chambre, pour savoir comment va Loré, car, tu as du remarquer, comme moi, que depuis presqu'une demi-heure, nous n'avons entendu aucun bruit et après avoir été rassurés sur son sort, nous nous resservirons du champagne pour finir ce récit tranquillement, ok ? »

    « Tout à fait d'accord Yves, allons-y ! »

    « José se déchausse, moi je suis toujours pieds nus, nous entrons discrètement dans la chambre et constatons avec plaisir que tu dors à poings fermés malgré ta position peu confortable, tes godes qui doivent te gêner et tes pinces qui doivent te faire très mal. Je passe la caméra sur la position « sans lumière », José éteint la lampe de la table de nuit, moi les trois lumières indirectes, et nous ressortons silencieusement en refermant la porte derrière nous en te laissant à ton repos sinon à ton sommeil profond »

    Chapitre 220

    « Revenus au salon, nous nous restaurons un peu, rallumons cigarillo et cigarette et je nous sers deux coupes. Quand nous sommes bien installés, je propose à José de continuer son récit »

    Il sourit et continue : « Je n'ai pas mis de chronomètre, mais je suis sur que la réponse est arrivée avant les 30 secondes promises, et, cette mazmorra privée me répondait par le message suivant :

    « Nous en étions surs, nous vous l'avions dit, Loréna est une très belle femme, et nous pouvons vous assurer que dans notre recherche quasi constante de soumise, si possible éduquée, car plus excitantes que les débutantes qui rêvent de tout, mais ne réalisent pas grand chose ! Une femme de cette classe est un bijou très rare que nous vous proposons de traiter avec tact et courtoisie, tout en respectant ses demandes écrites et sa fiche descriptive »

    « Nous n'avons pas choisi ce site de « réalisation de fantasmes » par hasard, l'idée nous a semblé excellente pour plusieurs raisons : quand un Maître édite la fiche de sa soumise-esclave nous supposons que la liste des fantasmes qu'elle accepte de réaliser a été choisie par les deux : en effet, à quoi lui servirait d'obliger sa soumise à réaliser un fantasme qu'elle n'approuve pas, et le Maître se posant à 99% en qualité de voyeur, voire en opérateur de photos ou de clips, tirera plus de plaisir en voyant sa « chose » tenir brillamment son rôle d'héroïne et d'en jouir ! »

    « Donc nous avons équipé notre mazmorra d'une dizaine de « salons » qui permettent la réalisation dans un décor raisonnable de 80% des fantasmes les plus recensés chez les soumises-esclaves, et ce qui leur plait beaucoup et qui les rassure, c'est qu'elles vont rencontrer pour la réalisation d'un scénario, des hommes ou des femmes qui sont intéressés par la même histoire, comme une soumise est généralement très cérébrale, et la fiche de Loréna est très explicite sur ce point important, en 10 ans, nous n'avons jamais eu un seul problème de mise en scène ou de dialogues, car il suffit aux acteurs de jouer leur propre rôle ! »

    « Cela dit, nous devons entrer dans une phase de dialogue, et notre informaticien me souffle à l'oreille que pour répondre à une de nos questions vous devez faire : « ctrl + alt + 156 » et une fois cette opération effectuée, vous n'aurez plus qu'à faire : « F2 » pour nous répondre. Ne me demandez pas comment il fait ! Etant propriétaire d'une banque privée, il serait capable de me demander, en échange, le code de mon coffre ! »

    « Je vous laisse remplir cette petite formalité, et je vous recontacte dans 2 minutes. A de suite ? »

    « José me dit avoir pensé à ce moment précis que ce sont vraiment des génies du clavier ! Et que son interlocuteur-rédacteur est un véritable érudit. Je l'approuve entièrement, et il me précise que la connexion entre ordinateurs s'est faite sans souci, il a tapé « l'addition : ctrl+alt+156 » et 3 secondes après un message apparaissait en haut à droite du bureau en l'informant que : « vous êtes connectés en réseau 100% sécurisé à « mazmorra privée » qui vous souhaite la bienvenue dans son monde bdsm et vous remercie de taper « F2 » sur votre clavier pour lui répondre en direct »

    « Quelle classe ! Je n'imagine pas ces gens comme des bandits ! » « Oui, Yves j'en étais aussi sur, mais j'attendais de lire ce qu'ils avaient à proposer concrètement, car, pour l'instant, j'avais lu une certaine philosophie du bdsm et beaucoup de commentaires, fort intéressants qui indiquaient que ces gens savaient réellement ce qu'était une soumise-esclave »

    « J'en étais là dans mes pensées quand un message de la mazmorra apparaît : « Bien, je vous vois connectés, je m'appelle Javier, et, comme tous les dimanches matin nous sommes une dizaine d'amis de la mazmorra à « bruncher », ce dimanche chez moi, un autre dimanche peut être chez vous ? Le tout dans une excellente ambiance. Pouvons-nous savoir qui est en face de nous ? »

    « José me dit avoir hésité à venir me déranger dans la chambre pour me faire participer à la conversation, mais il m'avait vu tellement excité et en mode sado, alors que visiblement Loré ne m'avait jamais vu comme ça, qu'il avait décidé de ne pas m'interrompre, et avait fait « F2 » pour répondre :

    Chapitre 221

    « Bonjour à vous Javier et à tous vos ami(e)s, nous sommes 3 : Yves le mari de Loréna et moi, José, qui suis au clavier. Je dois vous dire qu'Yves m'a sélectionné pour être « Le cadeau d'anniversaire de Loréna pour ses 34 ans. Mon rôle ? La dominer totalement en ou hors sa présence, en utilisant une petite caméra très technique, et, ce, à partir du samedi 20 heures et pour ce weekend, donc jusqu'à lundi, heure à décider tous les trois »

    « J'ai fait envoi à tout hasard et ils ont bien reçu mon message en me répondant très rapidement » : « Voilà un beau fantasme, je vous félicite de tout coeur, être un cadeau pour une esclave quasiment sans tabou à part le sang et le caca si nous avons bien tout compris, doit être super bandant, et puis-je vous demander où ils sont tous les deux ? »

    « Dans leur chambre, elle a émoustillé et tellement excité son mari qu'elle est en train de subir une séance sado de sa part, pour la première fois depuis leur mariage, et quand nous aurons trouvé un accord, j'irai les rejoindre pour dormir un peu et la besogner de temps en temps, puisqu' elle dormira avec nous, nue et bondée à notre entière disposition ! »

    « Super programme, je vais essayer d'être rapide pour ne pas vous priver de la partouzer ! Donc, notre proposition dépendra du jour et des heures que vous pourrez consacrer à notre mazmorra, il faut que vous sachiez qu'une séance dure en moyenne une demi-heure, nous devons savoir si, en dehors de Loréna, vous viendrez aussi, ce qui ne pose aucun problème, sachez que toutes les séances sont filmées et que vous repartirez avec un DVD HD, que nous fournissons bien sur les partenaires hommes ou femmes de Loréna et ses vêtements pour chaque séance, notre mazmorra est au centre de Madrid, et, bien sur, nous vous ferons une proposition financière tarifée à la séance, je crois que vous savez tout, en fonction des heures que vous pourrez nous consacrer, il faudra que Loréna, son mari, et vous, son Maître, choisissiez autant de scénarios que de tranches d'une demie-heure ! »

    « Tout est très clair : le jour pourrait-être ce dimanche entre 14 heures et 20 heures, si vous n'êtes pas libres, je dois demander à Yves un autre jour et d'autres horaires »

    « Un dimanche c'est parfait, 6 heures c'est un très bon timing, la seule chose c'est que nous n'aurons pas beaucoup de temps pour étudier vos propositions de scénarii, mais nous ferons avec ! »

    « Entendu, donc je vais vous proposer 12 scénarii et peut être même 14, car nous en avions prévus 2 qui ne duraient que 15 minutes, je vais retrouver la liste complète sur mon « brouillon » et en extraire 14, si vous le voulez bien »

    « Ok, compte tenu de la classe de Loréna, de sa beauté, de la parfaite éducation que vous mettez en avant, de son défi d'obéir totalement aux souhaits d'un parfait inconnu devant son Maître-mari durant 2 jours, nous vous proposons une rémunération de 1.000€ la demi-heure, soit 12.000€ l'après midi, qu'en pensez-vous ? »

    « José m'assure qu'il a été estomaqué par la hauteur de la proposition, il s'attendait à 3 ou 4.000€ mais jamais à cette fortune qui représentait 2 fois son salaire mensuel brut ! J'ai souris en lui disant qu'il pouvait quitter la société s'il voulait gagner autant d'argent avec son cul ! »

    « J'ai répondu que pour ma part, ça me semblait raisonnable, mais que cet avis n'engageait que moi, et que seul Yves pourrait donner son feu vert pour cette rémunération. Dès qu'il aura fini avec sa femme, je lui exposerai cette clause et les 14 scénarii, et j'ai demandé comment les recontacter, la réponse a été instantanée »

    « Aucun souci, il a une heure pour nous répondre, sinon nous ne pourrons pas étudier tous les scénarii, et pour sa réponse il doit refaire   « ctrl + alt + 156 », « F2 », rédiger son message et faire envoi, il aura immédiatement notre réponse et notre adresse, nous attendons votre proposition de fantasmes à réaliser, et nous couperons de suite après vous avoir donné notre accord sur les thèmes, mais il n'y aura pas de problèmes, je crois qu'en 10 ans, nous avons réalisé TOUS les fantasmes de la terre ! »

    « José rit et leur répond : « J'en suis certain ! Voici mes 14 propositions :

    01 « Femme de ménage chez une bourge sado, gouine et friquée »

    02 « Dominée par les pieds d'une gouine vicieuse et fétichiste (1/4 d'heure) »

    02 « Bondée à une machine à sucer une bite sur un cone avec vibro extérieur (1/4 d'heure mais si vous avez la machine) »

    03 « Cocufié par black sous ses yeux »

    04 « Humiliée par domino très sado »

    05 « Torturée par couple dans donjon 1 »

    06 « Torturée par couple dans donjon 2 »

    07 « Suspendue et attachée sur lit par domino »

    08 « Robe rouge et domina avec gros nichons »

    09 « Dominée seule en robe à fleurs »

    10 « Domina dans donjon »

    11 « Grosse baise avec mec super membré »

    12 « Dominée dans un fauteuil »

    HORS CHOIX

    « Brune avec domina gros nichons »

    « Strip et orgasme dans salle de bains »

    « Strip et orgasme de cul dans salon »

    « Strip et orgasme dans super canapé »

    « Ok, nous pouvons tout réaliser, si nous en avons le temps, nous rajouterons les 4 hors choix, nous avons bien une machine à pomper avec le vibro pour la pute, nous vous confirmons 12.000€ et le DVD de toutes les séances, quand vous nous quitterez. Amitiés à Yves, tétons à pincer pour Loréna, à tout à l'heure pour accord final d'Yves et notre adresse, bonne continuation et super partouze à vous cher Maître ! Nous coupons » 

    « Et ils ont coupé ! »

    « Ok, rentre le code et dis que je suis ok pour tout : scénarii et prix, qu'ils te donnent l'adresse ! Je vais essayer de dormir sur le canapé, je te laisse Loré, fais-en ce que tu veux, mais bâillonne-la, j'ai vraiment besoin de dormir quelques heures ! Allez, on se revoit à midi »

    « Bon repos, Yves à tout à l'heure, n'oublie pas que si tu as la trique, il te suffit de venir dans ta chambre ! »

    Je souris sans rien répondre, lui demande d'éteindre le salon après avoir noté l'adresse de la mazmorra et d'aller dans notre chambre !

    Je m'écroule dans le canapé, la lumière s'éteint, je ne me souviens de rien d'autre !

    Suite dans le tome 10


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