• Loré à Madrid tome 10

    Chapitre 222 (11h)

    Yves, quelques temps après continue à me raconter ce qui s'était passé quand je dormais ou que j'étais avec José : "En définitive, j'ai dormi comme une masse sur le canapé. Je ne t'ai même pas entendue crier de plaisir. Vers 11 heures, je suis allé pousser doucement la porte de notre chambre, et je t'ai vue, privée de ton attirail de soumise, dormir à poings fermés dans les bras de José ! Touchante image, mais j'en ai conclu qu'il ne fallait tout de même pas que José tombe amoureux de toi !"

    "Je vous ai laissés en paix et suis allé préparer un gros petit déjeuner avec des tonnes de café bien fort, des jus de différents fruits et des tas de choses à manger qui venaient du traiteur ! Quand tout a été prêt, j'ai frappé à la porte de votre chambre en criant : "Allez, il est temps de se réveiller, le petit déjeuner est servi !" et suis allé m'asseoir à la table de la salle à manger ou tout était prêt !"

    "José est arrivé 5 minutes après, il avait eu le temps de passer à la salle de bains pour se rafraîchir un peu, et enfiler un de mes peignoirs, il est arrivé un peu, sous le mode zombie, et nous avons éclaté de rire en nous voyant !:

    "Tu sais que tu as tort d'aller dans la chambre, José ! Moi j'ai divinement dormi dans le canapé !"

    Mais il rigole et me répond : "Ah, oui tu ne te doutes pas de la nuit que j'ai passé avec ta femme ! Eh, bien, je suis arrivé à poil, après ma douche, je me suis écroulé sur le lit, mais avant de m'endormir, je l'ai libérée de tous ses jouets et de ses cordes, et je l'ai prise dans mes bras, en lui souhaitant une bonne nuit trop rapide, qu'elle n'a même pas du entendre ! J'ai cru entendre tes pas vers 11 heu-res, mais j'ai pensé que je rêvais encore, et ce, jusqu'à ce que tu tapes à la porte ! Tu aurais pu entrer dans ta chambre tout de même !" Je lui réponds en riant que "Je n'ai pas osé vous déranger !"

    C'est à ce moment là que tu es arrivée en peignoir et en traînant tes savates de bain sur le sol ! Tu as les yeux tirés et tu ressembles plus à une somnambule qu'à une esclave soumise ! Tu viens m'embrasser longuement sur la bouche et me fais un gros câlin en m'assurant que tu as bien dormi dans mes bras ! Je ne te détrompe pas et fais un clin d’œil à José pour qu'il ne te dise rien !"

    "Et voilà, ce que tu as raté".

    Nous attaquons notre petit déjeuner, et peu à peu, nous avons l'impression de renaître ! Quand nous avons fini, je range tout dans le lave vaisselle, que je mets en marche pour éviter d'être à court de couverts et d'assiettes propres. Alors que je vous entends profiter des deux salles de bains pour vous doucher. Je te rejoins quand j'en ai fini avec la cuisine, et, très tendrement, c'est toi qui me savonne et promène le pommeau de douche sur mon corps.

    Il est midi, quand nous sommes tous douchés et prêts à nous habiller. Quelques pas sur le balcon nous assurent que nous avons un temps superbe mais très chaud.

    José et toi, vous me conseillez, compte tenu de la chaleur, de choisir une robe légère de couleur vive, avec des spartiates à petits talons mais sans aucun sous-vêtements.

    José rajoute : "Si tu en as une qui se boutonne sur le devant, ce serait parfait". J'en ai en effet une bleue nuit que j'aime beaucoup, et c'est donc elle que je choisis.

    Quant à vous, vous choisissez des pantalons de lin et des chemises en coton, avec les manches légèrement retroussées sur les avant-bras, puisque la chemisette est totalement démodée, et je me demande encore bien pourquoi !

    Quand nous sommes prêts, José me dit "Tu vas découvrir un endroit très sympa, pour te remettre dans ton rôle du weekend !"

    Je souris et les suis. Nous montons dans la voiture de José qui conduit assez vite, dans des rues dominicales quasi désertes à cette heure-ci ! S'il y a des embouteillages monstrueux à toutes les entrées de Madrid, ce n'est sûrement pas le dimanche à midi !

    Chapitre 223

    Nous allons dans un quartier que ne connais pas, mais ce n'est pas le seul où je n'ai jamais mis les pieds, car Madrid est vraiment une capitale de près de 7 millions d'habitants construite en plein désert !

    José se gare devant un petit restaurant qui ne paye pas de mine : tout à fait le style gargote où l'on mange très bien pour pas cher, je suis un peu surprise, car ça ne lui ressemble pas.

    Nous descendons, il me prend par la main et ouvre la porte à Yves que nous suivons. Le serveur ou le patron nous accueille avec un grand sourire en nous disant simplement : "A midi, je ne suis pas encore prêt à servir, si vous voulez attendre au bar ou revenir plus tard, c'est comme vous voulez !"

    José lui sourit et se penche sur moi pour me murmurer à l'oreille, "sois gentille, petite salope, lève le devant de ta robe et écarte bien tes jambes !". Je ne dis rien, car je n'ai pas grand chose à dire, mais je m'exécute. L'homme semble apprécier le spectacle de ma chatte épilée, nue et toujours un peu trop ouverte.

    Il sourit et dit à José : "Il me semblait bien te reconnaître, mon ami, mais n'en étant pas sur, je vous ai traités comme des touristes ! Excuse moi !". "Pas de problème, Antonio, ça fait longtemps que je n'étais pas venu, et tu as un peu raison, car ce couple d'amis est Français ! Mais ce n'est pas ce restaurant qui nous intéresse !"

    Antonio, qui semble bien être le patron, sourit en te répondant : "Je m'en doutais un peu, mais je n'ai pas l'habitude de voir une soumise aussi mignonne que la femme de ton ami !"

    José approuve : "Oui, j'ai eu beaucoup de chance de les rencontrer et de devenir leur ami, et comme son mari voulait lui faire connaître une autre domination que la sienne, elle m'obéit depuis ce samedi ! Une question, Antonio : est-ce qu'il y a du monde dans l'autre partie de ton restaurant ?"

    "Oui, comme tous les dimanches, les amateurs réguliers arrivent vers les 11 heures et commandent des bières, des apéritifs ou du champagne avec des tapas délicieuses et très variées. Ils font la fête et ne passent à table que vers 15 heures. Mais, ce que tu vas découvrir, c'est que cette activité a son propre restaurant, avec un très bon chef franco-espagnol sur lequel je n'ai que des compliments !"

    "Je suis content que tout aille bien pour toi, Antonio, tu le mérites et tu as toujours eu de bonnes idées, nous ne pourrons pas rester pour déjeuner, probablement qu'un jour prochain, nous te réserverons une table pour goûter cette bonne cuisine !"

    "C'est entendu, et, ce jour là vous serez mes invités ! Et je suis sur que je ne te ferai plus l'affront de ne pas te reconnaître, José, j'ai un peu honte de ne pas avoir été suffisamment physionomiste ! Bon, si vous le voulez, je vous conduis dans la "partie cachée de l'iceberg" comme je l'appelle !"

    Chapitre 224 (12h30)

    Il ferme à clef la porte de son restaurant et nous conseille de le suivre. Juste après le bar, il soulève un lourd rideau qui cache une porte en bois massif, à priori décorative, car très bien travaillée, mais sans poignée ni serrure.

    Il met sa main droite dans sa poche et, on entend à peine un petit "bip". La porte s'ouvre lentement et presque majestueusement ! Yves ne résiste pas au plaisir d'une blague, en me murmurant à l'oreille : "Sésame, ouvre toi !" Je souris, tout de même inquiète de ce que nous allons découvrir !

    Un couloir, en pente descendante douce, nous conduit vers une porte identique qu'Antonio ouvre de la même manière.

    Cet obstacle est un redoutable "coupe-sons", car dès qu'il s'ouvre, nous entendons de la musique, des rires et des cris.

    Antonio tient à nous préciser que nous sommes quasiment un étage en dessous du restaurant, et que cette cave entièrement creusée par les ouvriers, fait un peu plus de 800 m², bar-tapas et restaurant gastronomique inclus.

    Il nous conduit directement dans la partie "bar" qui est remplie de personnes de tous les âges, disséminées sur un grand espace. Elles sont debout et discutent en groupe, ou assises autour de plusieurs dizaines de petites tables rondes, ou, au bar, assises sur des tabourets hauts, tout au long du très long comptoir.

    Un collaborateur s'approche, salue respectueusement Antonio et enregistre ses ordres : "Ce sont des très bons amis, le couple est Français, la dame superbe est une soumise parfaitement éduquée et mon ami de longue date, José, est son maître pour le weekend. Tu dois t'occuper d'eux, veille à ce qu'ils aient toujours une bouteille de champagne rosé prête à remplir des flûtes et apporte-leur très vite la grande carte des tapas, dont 2 en Français. Tu m'as bien compris, Pablito ? Ton job est en jeu ! Alors applique-toi, je veux qu'ils aient un souvenir mémorable de ces quelques heures passées dans mon établissement"

    "Vous me connaissez, chef, je ferai tout pour les satisfaire, mais vous savez très bien que ce n'est pas la peine de me menacer de me pendre ou de me virer : j'aime ce métier et si vous m'avez appelé, c'est parce que vous avez confiance en moi !"

    "Dis-moi, serveur d'élite, et comment dois-je affirmer mon autorité devant des amis ?"

    "Ca, vous savez parfaitement le faire ! Parole de Pablito !"

    Tout le monde éclate de rire ! Et Antonio s'excuse de nous laisser entre des mains aussi impertinentes !

    Pendant qu'il s'éloigne en serrant bon nombre de mains et en embrassant quelques jolies femmes, Pablito nous demande de le suivre jusqu'à une des tables qu'il garde jalousement pour des amis de son boss, en nous précisant : "Vous savez que vous n'êtes pas les premiers Français à venir prendre du plaisir ici ?"

    Yves rebondit rapidement : "Ne te fais pas de souci, nous aimons le monde du "d.s.", comme vous l'appelez, et si tout est aussi plaisant que la superbe ambiance que nous constatons, le serveur et le patron ! Nous ne manquerons pas de vous faire de la pub, Madrid est adorée par les Français, mais nos compatriotes la connaissent très mal ! Il est temps de bien les renseigner, et si quelqu'un vient "de la part d'Yves et de Loré", souviens-toi bien de nous !"

    En nous désignant notre table, bien placée, sur une petite estrade, avec une dizaine d'autres, pour la plupart occupées. Nous sommes au centre de la salle que nous dominons de quelques centimètres. Au bord de la petite piste de danse, tout à côté du bar, avec une vue panoramique sur toute la salle.

    Pablito s'excuse et nous dit revenir très vite avec un cadeau pour "Madame de Paris" !

    Une fois assis, avec José à ma droite et Yves à ma gauche, nous regardons le spectacle.

    Il est en fait très Espagnol : bruyant, plein de rires, de cris et de scènes originales que nous n'avions pas eu le temps de voir dans notre traversée de la salle, mais que nous pouvons détailler, maintenant que nous sommes installés comme devant un gigantes-que théâtre improvisé !

    Des couples, apparemment habillés, dansent des slows qu'un d.j. enchaîne. Mais en y regardant de plus près, les femmes sont nues sous leur vêtement principal et les mains des hommes ne se gênent pas pour les peloter ou les branler.

    De temps en temps, l'une d'elle atteint l'objectif de l'homme et hurle sa jouissance, applaudie par toute la salle. En plein milieu de la piste, une brunette pompe avec envie et plaisir son danseur qui a une queue splendide !

    Mais le spectacle n'est pas que sur la piste de danse : des talons féminins dépassent du dessous de certaines tables, j'imagine facilement ce qu'elles sont en train de faire !

    Trois des côtés de cette salle sont composés de canapés position-nés en forme de U : celui contre le mur a une assise très large, et il a six places.

    A chacune de ses extrémités, il y a une petite étagère qui propose sur deux niveaux en hauteur, des jouets sexuels variés, que les pratiquants n'hésitent pas à utiliser !

    Les deux retours du U sont perpendiculaires au grand canapé et viennent buter sur ces doubles étagères. Ce sont des canapés traditionnels de trois places.

    Le sol du U est un tapis épais sur le centre duquel est posée une table basse en verre qui, à peu près partout accueille, des verres et des assiettes de tapas, mais dans quelques U, il y a aussi des femmes à poil, couchées sur ces tables, cuisses levées en train de se faire limer par des hommes à demi-nus qui usent sur elles de martinets, de pinces, de bougies allumées ou d'autres accessoires de plaisir sado-maso, ce qui fait crier de plaisir ou de douleur, les femmes niquées et dominées devant tout le monde !

    Chapitre 225

    Pablito revient et dépose devant José une grande boîte.

    Curieux, il l'ouvre, et nous découvrons en même temps que lui : six colliers de chiens, identiques dans leur conception mais de différentes couleurs.

    Pablito nous explique que, comme nous avons pu le remarquer, toutes les soumises portent un de ces colliers pour indiquer leur condition à toute l'assemblée qu'elles sou-mises. La couleur du collier indique leur degré de soumission, que Pablito nous cite :

    "Je commence par le bleu qui indique que c'est la première séance de la soumise !"

    "Le vert signifie que la soumise est débutante et en cours d'éducation !"

    "Le marron identifie une soumise qui a au moins deux ans d'éducation mais n'accepte que l'humiliation et aucune douleur ! Vous me suivez ?"

    Nous rions et José lui répond "Vas-y continue, nous n'avons pas encore la couleur qui ira bien à notre esclave !"

    "J'arrive aux trois dernières couleurs qui ont, bien évidemment le plus de succès : le violet indique une soumise sans aucun tabou sexuel et résistante à la douleur, sans arriver au sang !"

    "Le jaune est réservé aux soumises parfaitement éduquées, acceptant tout dans le sexe, plus cérébrales que sexuelles et acceptant les douleurs excitantes, donc refusant le douleur gratuite !"

    "La dernière couleur est le noir. Elle est assez peu demandée, car, elle est portée par des soumises acceptant tout sexuellement, tout en soumission et humiliation et tout acte sadique. Depuis cinq ans que je suis là, je n'ai vu que trois femmes porter ce collier, cette belle jeune femme française sera-t-elle la quatrième ?"

    C'est Yves qui lui répond : "Désolé, Pablito, mais ma femme se contentera d'un collier jaune, le noir est suicidaire : "acceptant tout acte sadique" est une clause que je n'approuve pas. C'est étrange qu'Antonio la propose dans son catalogue !"

    "Vous avez raison, Monsieur Yves, du reste, il a lancé une enquête auprès des salariés, des cadres et des bons clients, pour modifier les six couleurs et probablement supprimer le noir !"

    José prend le collier jaune, me le pose autour du cou en le serrant assez fort sans toutefois m'étouffer.

    Yves demande à Pablito : "Dis-moi, que nous conseilles-tu de faire à présent que nous avons la catégorie de notre esclave ?"

    "Le mieux, est de dévoiler son corps ou ses sous-vêtements, et d'aller prendre un verre au bar pour que tout le monde la voit, et que certains, ou certaines, car nous avons beaucoup de gouines dominantes, viennent l'aborder ou vous aborder pour lui proposer une séance que vous pouvez accepter ou refuser"

    José le questionne à son tour : "Dis-moi, quand je venais, il y a quelques années, il y avait deux sortes de séances : celles en public qui se déroulaient gratuitement devant tout le monde ou celles dans des petits salons, payantes, avec des voyeurs. Dis-moi quel est le fonctionnement de nos jours ?"

    "Oui, j'en ai entendu parler, mais c'était, avant mon embauche. De nos jours, un employé va vous apporter une boîte en bois précieux avec le numéro de votre table gravé. Laissez la sur votre table, et quand votre soumise aura des demandes acceptées, ses "clients", si j'ose m'exprimer ainsi, lui demanderont le numéro de sa table et viendront la rémunérer anonymement, soit avant, soit après la séance. Rassurez-vous, tout le monde connaît les tarifs pratiqués et elle n'avalera pas de sperme pour une pièce d'1€ !"

    "Bah, pour nous, c'est surtout son humiliation d'être rabaissée au rang de pute soumise que nous aimons !"

    "Ah, je vois ! Je vous porte de suite du champagne et la carte des tapas, je vous conseille de la préparer, d'aller au bar en couple, en laissant l'un de vous deux, pour accueillir la "boîte aux plaisirs" comme nous l'appelons, le champagne et commander les tapas !"

    "Tu as raison, merci pour tes conseils, elle ira avec José et je resterai ici pour veiller à l'intendance !"

    Pendant que Pablito s'esquive, José me demande de me lever et de lui faire face. Il ouvre le haut de ma robe, en défaisant 3 des boutons. Il me regarde attentivement et décide d'en ouvrir un de plus : je me penche et vois parfaitement bien la quasi totalité de mes seins, tétons inclus !

    Quant au bas de ma robe, qui a 4 boutonnières, il en défait 3 et me demande d'avancer la jambe droite. Ce geste dénude ma jambe gauche du genou à la chatte, je ne peux guère cacher que je suis à poil sous ma robe !

    Yves me trouve très bandante et m'assure que je vais faire un excellent chiffre d'affaire ! Je rougis comme une tomate.

    José me prend par la main, et je le suis jusqu'au bar ou deux tabourets viennent de se libérer. En m'asseyant, je suis consciente que mon décolleté plonge largement vers mon nombril et que le bas de ma robe, remonté par le tabouret dévoile ma chatte nue et déjà bien trempée, il est bien évident que tous ces préparatifs ne m'ont pas refroidie, bien au contraire !

    José passe un doigt sur mes grandes lèvres et me le donne à sucer en me murmurant : "Toujours aussi salope malgré ta fatigue ! Ta connasse de pute ressemble déjà à un torrent, j'ai presque honte de toi, et je compte bien accepter pour toi, les scénarios les plus pervers et présentés, si possible par des hommes et des femmes vulgaires qui te traiteront comme une putain de chiottes de gare et non comme une bourgeoise française ou une épouse idéale !"

    Chapitre 225

    Je baisse les yeux sans rien dire, alors qu'il commande une coupe de champagne pour lui et un triple cognac pour moi !

    Nous sommes rapidement servis et quand José fait mine de sortir un billet, le serveur lui dit que Monsieur Antonio leur a interdit de prendre notre argent.

    José rit, pose un billet de 20€ sur la table en disant : "Mais, il n'a pas interdit les pourboires ? N'est ce pas ?"

    Le barman est gêné, mais finit par faire disparaître le billet !

    Un bel hidalgo s'approche de nous et nous propose de nous offrir un verre, José le remercie et refuse gentiment son invitation : "Nous venons de commander, mais si vous voulez quelque chose, je vous l'offre avec plaisir. Je m'appelle José !" "Avec plaisir José, moi c'est Javier, et comment s'appelle ta superbe compagne ?"

    "Elle n'a pas vraiment de nom : Objet ? Pute ? Salope ? Truie ? Chacun peut lui donner un surnom, elle les aime tous !" "Hum, intéressant, je peux te proposer de réaliser avec elle une petite envie un peu perverse ?" "Seulement "un peu perverse" ? Dommage, j'aurais préféré "très perverse" !"

    "Pas de problème, je peux commencer par "un peu" et finir par "très" ! Mais avant, puis-je te demander de la faire se lever, de me donner son tabouret et d'ouvrir complètement sa robe pour moi ?"

    "Pas de souci, tu as entendu connasse ! Alors fais plaisir à ton Maître ! Mais tu peux directement t'adresser à elle, je te la prête avec grand plaisir, amuse-toi bien et jouis bien d'elle, cette pouf-fiasse est là pour ça !"

    Je libère mon tabouret, sur lequel Javier s'assied en sirotant la coupe de champagne que José lui offre. Je défais les quelques boutons qui cachent encore un peu ma nudité et ouvre grand ma robe pour que mon futur Maître se rince l’œil.

    "Quel âge as-tu chienne en chaleur ?" "34 ans depuis hier, Maître" "Tu as eu des cadeaux ?" "Oui Maître, mon mari m'a offert un Maître inconnu qui me domine depuis hier soir, à sa manière, qui très différente de la sienne, et mon cadeau est devant vous !"

    Un peu sidéré par cette réponse, Javier constate : "Hum, bel exemple de réalisation d'un fantasme, et qui, dans ton couple, a eu envie de le concrétiser ?" "Moi, Maître"

    "Je comprends pourquoi tu aimes qu'on t'appelle salope, mais bien que tu sois divinement proportionnée pour une femme de ton âge, je t’appellerai "grosse salope vicieuse" et à présent, tu vas choisir entre deux propositions, forcément perverses !"

    "La 1ère se passe au bar : tu m'enlèves mes chaussures et mon pantalon, je reste sur mon tabouret, tu viens te mettre à califourchon sur une de mes cuisses nue et les mains dans le dos, tu te frottes le con sur ma cuisse comme le ferait un chien en rut ou une chienne en chaleur et je veux que tu t'envoies en l'air en criant comme si tu étais seule : je veux entendre un tonnerre d'applaudis-sements pour ton orgasme !"

    "La 2ème se passe sur la piste de danse, où nous faisons semblant de danser, mais en fait, comme une danseuse de tango ou comme une grosse salope vicieuse, tu frottes ta connasse sur ma cuisse nue, jusqu'à ta jouissance et les applaudissements !"

    "Quel que soit ton choix, je te réserve une surprise qui te fera fantasmer très longtemps durant tes branlettes de cochonne qui doivent être permanentes chez toi !"

    Je ne réponds rien et m'agenouille. Il me regarde en me disant : "Que fais-tu sans mon autorisation ? Salope !" Sans même le regarder, et en soulevant une de ses chaussures, je lui réponds : "Quel que soit mon choix, Maître, il faut que vous débarrasse de vos chaussures et de votre pantalon, donc je commence la séance tout en réfléchissant à quelle solution je vais choisir, en fonction des goûts de mon "Maître-cadeau" que j'ai pu constater !"

    Il rit, en me regardant de toute sa hauteur, et quand il est en chaussettes, il se met debout pour me permettre, juste en me redressant un peu, de dégrafer sa ceinture, de lui déboutonner la braguette et de descendre son pantalon jusqu'aux pieds, qu'il lève l'un après l'autre pour que je puisse l'en débarrasser !

    Je le donne à José qui le tend à un des barmen, visiblement habitués à ranger des vêtements ! Javier me relève, écarte soigneusement ma robe pour que je ne cache rien de mon corps. Quelques personnes se sont déjà rapprochées de notre petit grou-pe. "Alors grosse salope vicieuse, où allons-nous ?".

    "Je pense, Maître, que le bar est un bon endroit. Vous avez du remarquer que nous sommes juste sous une caméra et qu'une bonne dizaine de voyeurs se sont rapprochés pour assister à cette séance, ce serait dommage de priver les caméramen et ces aimables clients, qui sont venus pour ça, de ce spectacle !"

    Il rit en disant assez fort, pour que tout le monde l'entende : "Eh, bien dis moi, les soumises françaises ne savent pas qu'écarter les cuisses ! En plus d'un clito exigeant, elles ont aussi une cervelle qui remplit bien leur tête fort bien faite !"

    Je me rapproche de lui : "Merci pour ce beau compliment, Maître, sur quelle cuisse voulez vous que votre chienne se frotte ?"

    Il réfléchit rapidement et glisse un peu de son tabouret et pose ses pieds par terre. Il pose le gauche sur la barre "repose-pieds" et il avance sa cuisse gauche. Sans hésitation, je me mets à la bonne hauteur, j'écarte totalement ma robe, monte sur sa cuisse, comme si j'enjambais un poney et pose mon sexe bien ouvert sur sa cuisse poilue mais confortable !

    "Vous me vouliez les mains croisées dans mon dos, Maître, mais je serai sûrement plus efficace, si je pouvais m’agripper au tabouret, pour mieux aller et venir sur votre cuisse"

    "Ok, mets ta main gauche sous mes couilles et la droite sous mon cul, ces deux prises devraient t'aider !"

    Dès que mes mains sont en place, je resserre un peu les cuisses et commence à faire des allers et retours sur sa cuisse. Je mouille tellement qu'elle est très vitre trempée, et que, pour la grande joie des voyeurs, mes lèvres font un bruit obscène du style : "flop-flop-flop", qu'ils reprennent en chœur en éclatant d'un rire général.

    Je m'associe à leur joie en leur adressant un sourire un peu crispé, car je suis tellement excitée que je ne vais pas tarder à jouir. Ce sera un "presque tsunami" car, il ne faut pas confondre les préparatifs excitants, et les préliminaires excitants !

    Ma main posée sous ses couilles est presqu'en contact direct avec sa bite. Je sais donc que mon attitude de bête en chaleur plaît à mon Maître ! Il bande comme une âne, et j'espère qu'il aura la bonne idée de s'en servir sur ou dans moi !

    Chapitre 226

    Je vois Yves, qui après avoir terminé ses tâches d'intendant, vient nous rejoindre. Il arrive à fendre la foule des voyeurs et je lui fais un grand sourire qu'il me rend en levant son pouce pour me féliciter ! C'est la paire d'yeux qu'il me manquait pour me laisser aller !

    Je gémis si fort qu'on n'entend plus mes bruits de con trempé, et les voyeurs se rapprochent un peu plus de notre couple. Javier, sans m'interrompre, fait tomber ma robe de mes épaules à mes pieds, et les voyeurs sifflent et applaudissent en me voyant à poil et en action, me branlant de plus en plus vite sur sa cuisse !

    Mes gémissements se transforment en gloussements, puis en petits cris, puis en grognements, avant de s'épanouir en cris de plus en plus forts qui empruntent toutes les tessitures des chanteurs d'opéra et non celle de Madame Sarkozy !

    Les voyeurs, qui ne sont pas des débutants, sentent que l'orgasme va exploser et ils commencent à taper dans leurs mains pour accompagner en rythme mes cris de future jouisseuse alors que d'un seul coup, j'hurle :

    "Oooooooh noooooon c'est troooooop bon, oooooooh ouuuuuuuiiiiiii écrase mon con sur ta cuisse, oooooh je t'en suplliiiiiiiiiie demande à un homme de me pincer et de me tordre les bouts de mes mamelles de puuuuuuuuute. Je veuuuuuuuuuuux jouir plus loooooongtemps comme la salope que je suis. Ouuuuiiiiiii faîtes moi mal à mes bouts de mamelles, je me sens animale, femelle, puuuuuuuutain de bas étage, mais je jouis comme une dingue devant vos yeux !"

    La salle s'enflamme et de l'homme qui vient de gicler sur mon cul, jusqu'au fond de la salle, tout le monde est debout et applaudit à ce qu'ils doivent considérer comme une performance !

    José et Javier semblent très fiers de moi alors que Pablito se fraie un chemin pour dire à Yves : "Monsieur Yves, n'oubliez pas de saluer Monsieur Antonio en partant, il aura une copie de la très belle scène dans laquelle Madame est la vedette ! Vous devez être très heureux d'avoir une épouse aussi libérée et chaude, ah, si je pouvais en rencontrer une comme elle !"

    Yves me regarde, mais ne lui répond rien. Il doit penser qu'une 2ème comme moi existe surement dans le monde ! Mais où ?

    José dit à Javier : "Dis moi Javier, il est vrai que d'une séance "perverse" tu en as fait une séance "très perverse", et je te félicite, mais je suis curieux de vois comment tu vas transformer la "très perverse" en "monstrueusement perverse" !"

    Javier éclate de rire : "Tu sais José c'est l’ambiance collective et ton esclave qui ont fait dévier la séance, je n'y suis pas pour grand chose, mais aidé par les voyeurs, je vais essayer de t'étonner !"

    Chapitre 226

    Peu à peu les voyeurs vont vers d'autres spectacles, mais une petite dizaine reste avec nous. Javier leur demande, gentiment, de me laisser respirer. Il me prend par les cheveux et me fait tourner sur moi même, devant lui, bien sur toujours à poil.

    "J'ai rarement vu un spectacle aussi bandant ! Tu es réellement une salope, et tu aimes tellement baiser, t'offrir à des dominants, exécuter leurs ordres, t'exhiber devant des inconnus et jouir en surjouant ton plaisir que tu termines cette séance à l'état d'épave ! Le haut de tes cuisses dégouline de ton jus de pouffiasse, quasiment jusqu'aux genoux, j'imagine dans quel état doit être ta chatte, mais il me faudrait une pute de ta classe pour lui ordonner de te lécher et de nettoyer en profondeur ton con torrentiel ! Quant à ton cul, une demi-douzaine de clients se sont branlés sur lui et ont vidé leurs couilles pleines sur tes rondeurs, dans ta raie et dans ton trou à merde ! Personne ne te voudrait dans cet état, mais je vais faire exception !"

    Il se lève du tabouret, baisse lentement son caleçon, exhibe devant tout le monde une bite superbe, longue et suffisamment grosse pour remplir n'importe lequel de mes orifices ! Le gland est rouge vif et humide à souhait. Je constate que mon orgasme "surjoué" l'a tout de même beaucoup excité !

    Il écarte un peu le tabouret du bar pour permettre aux voyeurs de faire un cercle autour de nous et m'ordonne d'une voix virile : "Ma salope, tu vas te coucher sur ce tabouret en posant ton ventre sur le siège. Tu vas mettre tes pieds déchaussés au sol et les écarter le plus possible. Si tu sais faire le grand écart, c'est le moment !"

    "Ta tête et ta poitrine seront dans le vide de l'autre côté du tabouret. Pour t'aider un peu, tu as le droit de te tenir des deux mains à la barre repose-pieds. Mais avant : tu vas glisser deux de tes doigts dans ta con trempé, et nous allons tous nous écarter pour bien t'admirer t'humidifier soigneusement l'anus avec tes jus de grosse cochonne. Tu as intérêt à bien le faire, sinon, tu risques de hurler de douleur quand ma pine va exploser ton trou à merde ! Et ne compte surtout pas que je prenne des gants avec toi ma salope !"

    Je m'agenouille pour ôter mes spartiates et me couche comme il me l'a demandé. Il a raison, car d'un côté, mes pieds sont posés par terre, tout au moins sur leur pointe tant ils sont écartés pour bien ouvrir mon bas-ventre, et de l'autre, ma tête et mes seins pendent dans le vide. J'ai très vite mal au cou en essayant de maintenir ma tête à l'horizontal.

    Pendant que j'humidifie mon anus avec mes doigts qui viennent de ma chatte, je le vois dire quelques mots à son voisin qui hoche la tête et fend la foule pour sortir du cercle des voyeurs.

    Javier m'encourage de la voix :

    "Allez, ma grosse salope vicieuse, mouille toi bien le trou à merde, plus il sera trempé, plus vite je serai dans tes intestins, et tu te sentiras un objet très utile, dans lequel les hommes viennent se vider les couilles, en continuant à fumer et à tchatcher avec leurs amis ! Tu seras l'exact contraire d'une femme respectée et fière de son rang ! Si tu as un enfant, pense très fort à lui quand tu sentiras ton oignon défoncé et crie très fort pour qu'il t'entende, il réalisera quel niveau de bassesse a atteint sa mère, sa putain de mère !"

    Ces injures me vont droit au coeur, mais je n'en n'arrête pas le va et vient de mes doigts : mon anus se met à dégouliner, lui aussi.

    L'autre homme revient se mettre à côté de Javier et il lui montre ce qu'il a trouvé, je suppose dans les étagères des salons en U. Mon Maître semble satisfait et il lui demande de s'occuper de moi.

    Il se rapproche de ma tête, s'agenouille, joue un peu avec mes seins, en leur donnant des tapes du plat de sa main pour mieux les voir se balancer. Puis, il me pince durement les tétons pour les faire bander et, quand ils jugent qu'ils sont assez durs et longs, il prend un de mes seins à pleine main, le malaxe et le presse aussi fort qu'il le peut, et, avec son main, il me pose un écraseur de téton en acier, en faisant bien attention de ne pincer que le téton sans toucher le gras du globe.

    Je suis incapable de me retenir, tellement la douleur est brutale et intense, et j'hurle de douleur. Il fait pareil à l'autre, avec la même réaction de ma part.

    Visiblement content du résultat, il finit ma "préparation" en accro-chant un gros lest de plomb à chaque écraseur, ce qui a le double effet de faire brutalement chuter mes nichons vers le sol et de m'obliger à hurler de plus belle, à la grande joie des voyeurs qui apprécient visiblement en applaudissant et en criant !

    Sans se préoccuper ni de mes cris, ni de mes supplications, il se relève, passe derrière moi, me tire un peu les fesses pour que mon sexe soit légèrement dans le vide. En fin connaisseur, il trouve rapidement mon clitoris qu'il caresse et titille sans aucun ménagement, et, quand il le sent dur et bien gorgé de sang, il y met une pince en métal, plus douce qu'un écraseur, mais, elle aussi lestée d'un poids plus léger, qui m'étire tout de même le clito vers le bas; en m'obligeant à hurler et à pleurer de douleur devant la foule déchaînée qui m'insulte !

    Chapitre 227

    Javier éclate de rire et dit à la ronde : "J'ai besoin de volontaires pour m'aider à soumettre cette grosse salope française : pour un billet de 20€, chacun, j'offre à 5 d'entre vous les épaules, le dos et le cul, de cette pouffiasse, telle qu'elle est là : couchée sur le ventre, à poil, avec ses tétons et son clito pincés. Allez vite choisir ce que vous préférez pour la frapper et lui rougir la peau et revenez avec votre billet, il sera déposé dans sa "boîte aux plaisirs" Mais, attention, je ne prendrai que les 5 premiers !"

    Tout se passe très vite : le temps que je pense à ce qui va m'arriver, j'entends déjà Javier compter :

    "La 1ère sera cette belle dame nue avec sa cravache, puis ce bel hidalgo, bite à l'air, avec, lui aussi sa cravache prête à frapper. Ensuite, ce sera le tour de ce beau jeune homme avec un martinet, puis une jolie jeune femme avec une badine et pour finir : une magnifique couguar avec, elle aussi,une cravache !"

    "Bravo, donnez moi vos billets, et dans l'ordre de présentation, allez-y faites moi rougir ce corps de putain, vous avez 5 minutes chacun et n'hésitez surtout pas à vous faire mal au poignet !"

    Ce qui suit est un véritable cauchemar. Chaque coup oblige mon corps à tressaillir des pieds à la tête et, bien évidemment à bouger les 3 pinces qui me donnent l'impression d'être transpercée de lames de couteaux dans mes chairs.

    Hommes et femmes tapent très fort, et certains coups pourraient m’enlever des bouts de peau, si Javier, à la demande de José, ne retenait pas certains poignets qui confondent "jeu" et "sadisme".

    Mon dos, mes épaules et mon cul doivent se strier de marques que je suppose brunâtres et je sens la température de ma peau monter de plus en plus.

    Quand l'avant dernier passe, je sais qu'il ne me reste que 5 minutes à souffrir, mais je n'en peux plus et je laisse la couguar jouer seule, en plongeant dans un évanouissement non désiré, mais libérateur !

    José m'a raconté, à notre sortie de chez Antonio, qu'immédiate-ment, un infirmier est intervenu, il m'a réveillée et soigné longue-ment le dos avec un onguent très efficace, et quand il a été certain que j'étais en bonne forme et pleinement consciente, il m'a fait boire un double cognac et m'a confiée de nouveau à Javier qui m'a dit tout simplement :

    "Hum ! Quel beau spectacle tu vas m'offrir quand tu seras allongée sous moi avec ton trou du cul bien dilaté et luisant d'humidité, qui n'attend qu'une seule chose, que ma pine le défonce ! Que ton corps va être bandant avec tes épaules et ton dos striés de marbrures brunes, et ton cul, si ferme et si rond, rouge vif que je sens aussi bouillant qu'impatient de s'ouvrir pour moi !"

    Il se place derrière moi, appuie son gland sur mon petit trou humide, lui fait faire des cercles autour de mon anus, avant de s'enfoncer avec une extrême lenteur en moi.

    Je sens qu'il pousse sans arrêt, mais en contrôlant totalement sa pénétration. J'ai rarement été enculée avec tant de raffinement, je ne sais pas combien de temps il a mit pour que sa pine vienne heurter l'entrée des mes intestins et que ses couilles frappent ma raie des fesses.

    Mais, arrivé au terme de sa sodomie, il reste collé à moi, sans bouger d'un seul centimètre, et, il attend sans rien me dire !

    Son vice est extrême, car, c'est moi qui, n'en pouvant plus, bouge mon cul la première : je recule un peu pour faire ressortir sa bite et avance de suite pour me la renfoncer toute seule au fond de mon sphincter : je lui fais sentir, sans aune parole, mon envie d'être son enculée. En grognant, il m'assure qu'il a bien comprit le message ! Et il commence à me défoncer en allant et venant dans mon cul humide et tiède en me faisant hurler de douleur quand il rentre et de plaisir quand il ressort sa bite de plus en plus loin, jusqu'à la sortir totalement de mon trou à merde !

    Je ne sais pas combien de temps il m'a limé le cul, accroché à mes hanches, alors que j'essayais de me retenir de mes mains posées sur le repose-pieds, mais la foule nous entourant continuait à applaudir et à hurler.

    Quand, tout d'un coup elle sent qu'il va se passer quelque chose, et cesse brutalement ses applaudissements et ses cris !

    Javier s'arrête de me pistonner et se colle à mon cul, et, sans pratiquement bouger, il se vide dans mes intestins en me traitant de pute, de salope et de truie.

    Il rugit de plaisir et propose, en hurlant, à 5 hommes de profiter de l'élargissement de mon trou à merde pour venir se vidanger les burnes dans mon cul de salope française vicieuse qui adore que des pines inconnues l'enculent à la chaîne sans préservatifs !

    Même pour 100€ il aurait pu en avoir 50, mais il s'est contenté de 5 enculeurs à 50€ et quand ils en ont fini avec moi, je me sens comme une loque humaine, pleine de foutre, avachie sur un tabouret au milieu d'une foule qui, peu à peu se désintéresse de moi et va chercher une autre salope, plus vicieuse que moi à mater et à insulter !

    Chapitre 228

    José se penche vers moi : il me libère des écraseurs et de la pince. Et ramasse ma robe et mes spartiates. Pablito nous récupère, il me recouvre le corps d'un drap léger qu'il a apporté et dit à José :

    "Ne te fais pas de souci, Monsieur José, je l'accompagne à l'infirmerie, ils vont bien la soigner, la nettoyer et faire en sorte qu'elle ressorte "toute neuve" de chez Monsieur Ernesto. L'équipe de soins qu'il a embauché est la meilleure du monde, et on dit même qu'ils savent faire des miracles, ne soit pas inquiet, elle vous retrouvera dans une dizaine de minutes à votre table !"

    José lui fait confiance et raconte tout à Yves. Je les vois s'éloigner de nous pour rejoindre leur table.

    Un quart d'heure plus tard, je m'assieds avec eux, souriante, fraîche et maquillée, la robe repassée et merveilleusement coiffée ! Les hommes n'en reviennent pas et je leur dit !

    "Il fallait vraiment croire Pablito : "L'équipe de soins qu'a embauché Antonio est la meilleure du monde et ils savent faire des miracles et elle va ressortir "toute neuve" de cet endroit !" Mais après avoir grignoté quelques tapas et bu deux ou trois coupes de champagne avec mes deux vrais Maîtres !"

    Nous éclatons de rire, José est ravi que j'aille si bien, Yves pense, en lui même, qu'une bonne dose de drogue euphorisante a du me faire ce bien fou ! Je sais ce qu'il pense, car nous avons souvent le même cerveau ! Mais je m'en fous, je suis en pleine forme et attaque très vite ma 3ème coupe de champagne !

    Antonio nous fait l'honneur de venir à notre table. Il accepte avec plaisir une coupe de "son" champagne et m'embrasse sur les deux joues en m'assurant : "que je suis la soumise la plus excitante que son établissement ait reçu depuis son ouverture !"

    Je rougis de ce beau compliment, il me remet un DVD de mes exploits sexuels tout en m'expliquant que : "ses cameramen n'ont eu aucun mal à me suivre, tellement tout mon corps était photogénique et bandant, et ils m'ont même filmée quand j'étais aux soins et à la toilette, c'est la première fois qu'ils me font cette surprise"

    Je rougis un peu, car, mes Maîtres découvriront une scène assez torride dans la douche, mais ça fait partie du jeu.

    Nous nous levons tous pour nous séparer, mais Antonio nous rappelle que nous n'avons pas soulevé le couvercle de notre "boîte aux plaisirs" ! Yves et José se concertent, et finalement c'est José qui ouvre la boîte, qui est vide !

    "Ah, ton spectacle a plu, Loré, mais tu n'as pas fait recette !"

    "Bah, pas grave vous avez tous bien bandé et c'est çà qui compte !"

    Antonio rit et explique la petite blague :

    "Oh, non, bien au contraire : Javier qui a dirigé toute la longue séance est mon meilleur client, à qui j'avais recommandé de te prendre en main, chère Loré, et il faut reconnaître qu'il l'a fait d'une très belle manière "

    "Quand Yves et José sont revenus à votre table et que Loré est allée aux soins, il a demandé à me voir et m'a remis les récompenses de Loré : soit 160€ pour les coups, car 2 clients ont donné 50€ au lieu de 20, 400€ pour les sodomies, car 3 clients ont donné 100€ à la place des 50€ demandés"

    "Javier, quant à lui, très heureux d'avoir eu le privilège de jouer avec toi t'a laissé un billet de 500€, quant à mon modeste établissement, il te verse 2.000€ qui représentent le plaisir que tu lui a apporté durant 1h30, mais aussi..."

    "Le 5ème de ce qu'il est prêt à te donner, si tu viens quand tu le veux, pour 4 ou 5 heures chez nous, soit 10.000€, avec toutefois, une clause importante : de me prévenir au moins 2 jours à l'avance pour que j'ai le temps de "mailler" à tous mes bons clients que nous allons avoir une Guest-star française exceptionnelle !"

    La liasse est conséquente et enroulée par un élastique, très "mafiosi" ! Il me la tend, mais je lui dit de la donner à Yves ! Et, en le regardant droit dans les yeux je lui dit : "Pour te remercier, Antonio, j'aimerais et j'insisterais auprès de mon Maître, pour qu'il m'ordonne d'être ta pute pendant une heure dans un endroit où ne serions que tous les deux et sans caméra. Pour pouvoir garder ce souvenir, bien au chaud, dans nos deux mémoires !"

    Il me sourit en m'assurant qu'il en frémit d'impatience !

    Nous éclatons tous de rire.
    Il nous guide vers la sortie.

    Javier, qui nous guettait, vient me remercier et me donne un énorme baiser sur la bouche en me murmurant "Hasta luego querida putita de mi corazon" (A très bientôt, chère petite pute de mon coeur).

    Je vois Yves glisser un gros billet dans la main de Pablito qui n'est pas prêt de nous oublier, et après avoir "le boss", nous quittons cet établissement si accueillant où nous avons dorénavant notre place, et, surtout moi : pour gagner en 5 heures presque 3 fois de plus qu'en un mois de travail !

    Et, nous allons continuer notre weekend de plaisirS !

    Suite dans le tome 11

     




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  • "Agnès" Tome 1

    Auteur : Anonyme / Adaptation-Réécriture : Agnès et Loré

     

    "Agnès" est une série de nouvelles qui s'enchaînent logiquement dans le temps"

    "Avec parfois des sauts temporels qui sont clairement indiqués. L'héroïne, Agnès, va progressivement évoluer de la découverte du sexe aux plaisirs du bdsm, donc vers le bonheur total ou vers la perversion la plus sordide selon votre propre opinion.

    Sachez que les puristes voient le bdsm comme une échelle : on peut la monter vers le Nirvana ou la descendre vers l'Enfer !

    Mais je dois me glisser dans le personnage d'Agnès pour vous raconter le début de son histoire :

    "J'ai rencontré Paul, en été, au bar d'un club d'équitation que je fréquentais par amour du cheval. Ce fut un véritable coup de foudre : 25 ans, très beau, grand et musclé. Avec un petit air de bad-boy bcbg qui lui donnait un charme fou !"

    "Personnellement, et de l'avis de mon entourage, je ne m'estime pas trop mal : 19 ans, mince, 1m70, brune aux cheveux mi-longs avec des yeux vairons gris et bleus"

    "En prenant un peu de recul, je m'étonne toujours qu'un homme aussi beau que Paul, qui peut, assurément, avoir toutes les femmes qu'il veut, perde son temps avec la vierge que je suis" "Durant nos rencontres préliminaires, tendres et prudes, nous en avons profité pour faire plus ample connaissance et avec ma sincérité habituelle, teintée de naïveté, comme me répétait sans cesse mon frère, je lui ai avoué que je n'avais jamais fait l'amour avec un homme.

    Il m'a respectée et a même accepté que je lui refuse certaines caresses. Je crois que c'est ce mélange de beauté, de respect et de patience qui a allumé mon amour pour lui"

    "Avant lui, je n'avais connu que des relations éclairs et limitées à quelques baisers furtifs, mais quand Paul m'a récemment proposé de ne plus nous quitter, j'ai eu un peu peur. En fait, je ne me sens sûre de rien et j'ai peur de tout, mais surtout de l'inconnu ! Et pourtant, avec lui je me sentais prête à devenir femme"

    "Hier soir, j'ai osé lui avouer, entre deux caresses, qu'il pouvait me prendre ma virginité"

    "Mais qu'il devait trouver un endroit magique pour cet acte si important pour moi. Ses baisers se sont faits encore plus doux, et sans autre commentaire, il m'a donné rendez-vous à 14h dans la grange, près des grandes écuries"

    "Le lendemain, je m'y rends en tremblant, comme une adolescente fautive, mais je dois reconnaître que l'incorrigible romantique que je suis aime beaucoup cet endroit. Je crois même que je pensais à ces grandes écuries, quand je lui demandais "un endroit magique". Ses parfums inimitables et son calme me semblaient propices aux ébats amoureux même chastes et novices, comme ceux que nous entretenions pour le moment. Mais je me sentais toutefois très nerveuse, assurée que cet après-midi ne serai pas comme les autres !"

    "A 14h, Paul, souriant comme de coutume, entre d'un pas décidé dans l'écurie. Il porte sous son bras, une couverture de belle laine grise, qu'il jette sur la paille en s'approchant de moi. Son autre main est cachée dans son dos. Et, à genoux devant moi, il me tend une très belle rose rouge baccarat, me prend doucement dans ses bras et me serre contre lui comme pour me rassurer"

    "Nos corps, plaqués l'un contre l'autre se cherchent, se serrent en une étreinte de passion. Je reste blottie aux creux de ses bras quand il me déplace sur la couverture, et, mon éternelle pudeur fond comme neige au soleil. Je passe mes bras autour de son cou, et l'embrasse tendrement à pleine bouche, mettant fin à ce monologue épuisant pour moi !"

    A mon : "Je t'aime !", ému, il me répond : "Moi aussi ! Et je ne pense qu'à toi depuis notre rencontre !" Il glisse ses mains sous mon tee-shirt, caresse ma peau comme un papillon volant sur moi, et m'embrasse fougueusement, d'une manière encore plus virile et passionnée, sa langue cherche la mienne et m'oblige à un court duel avec la sienne. Tout mon corps se couvre de chair de poule. Je frissonne : ses gestes et sa bouche autoritaires exhument de mon corps des pensées lubriques et perverses que je ne m'attendais pas à avoir !

    Yeux fermés je murmure : "Noooooon", quand il m'abandonne, mais il revient de suite après avoir verrouillé la porte. Son sourire ensorceleur me rassure. Il remonte mon tee-shirt vers ma tête. Sans pudeur, je lève les bras pour l'aider dans ce geste anodin pour beaucoup de femmes, mais si nouveau pour moi. Tout en m'embrassant légèrement le cou et les épaules, ses doigts agiles dégrafent mon soutien-gorge. Lorsqu'il le retire, ses lèvres s'emparent de ma poitrine nue, mais en faisant attention de ne pas en toucher les pointes.

    Mes tétons me trahissent : trop sensibles, ils se dressent, durs et provocants.

    Du bout des lèvres, il les embrasse enfin. Et je m'électrise ! " "Tes seins, que je découvre, sont d'une rondeur parfaite, fermes et délicats. Tu es très belle et, moi, je suis l'homme le plus heureux du monde !"

    Calmement, il s'assure que je suis bien installée sur la couverture, et même si son corps déborde un peu vers la paille, sa bouche reprend aussitôt son doux chemin sur ma poitrine. Je frissonne un peu plus, quand ses baisers glissent sur mon ventre, agacent mon nombril et viennent courir le long de ma jupe.

    "Une barrière de vêtements bloque mes lèvres, qui brûlent de découvrir ce corps de rêve, m'aideras-tu à la faire tomber ?" "Ooooh, j'ai un peu honte, Paul !"

    "Tu n'as pas à avoir honte d'offrir à celui qui t'aime, et qui veut vivre à tes côtés, ce corps qui est un chef d'œuvre de beauté et qui ne demande qu'à être éveillé à l'amour et au plaisir !"

    Ces simples mots m'émeuvent et je l'aide à retirer ma jupe. Mais quand je m'appuie sur mes pieds pour soulever mes fesses, je réalise l'impudeur de ce geste, ce qui me perturbe énormément, mais sa langue et ses lèvres me couvrent de baisers autour de ma petite culotte et sur le haut des cuisses. J'ai, encore une fois, la confirmation que Paul n'est pas un goujat pressé de me sauter.

    Bien que je n'ai pas de chronomètre dans la tête, ça doit bien faire une demi-heure que nous flirtons. Et ses mains n'ont même pas frôlé mon intimité, mes cuisses ou mes fesses ! Il me semble que, pour le moment, il se contente de se gaver de la très lente découverte de mon corps en couvrant de baisers tout ce qu'il dévoile.

    Tout comme moi, il doit penser qu'un moment comme celui là ne se reproduira jamais dans notre vie !

    Ma peau laiteuse, que j'expose rarement au soleil, par simple pudeur, doit contraster avec la couleur chamarrée de la paille.

    Il se soulève, me parcoure des yeux des pieds à la tête, change de position et remonte un peu avant de s'allonger délicatement sur le coté, tout contre moi. Je frémis quand sa main se pose sur ma cuisse et remonte lentement pour venir se poser en coquille protectrice de mon intimité.

    Il me reprend la bouche pour un très long baiser durant lequel, il me caresse doucement la chatte à travers l'étoffe de ma petite culotte de soie et de dentelles. Son index masse mon clitoris de petits mouvements circulaires. C'est la première fois qu'une main, autre que la mienne, caresse ce haut-lieu, tabou de ma sexualité, que j'ai mis tant de nuits à toucher !

    De temps en temps, il abandonne le haut de mon sexe pour redescendre vers mon vagin que je suis maintenant décidée à lui ouvrir avec plaisir. Il étire un des côtés de ma culotte et y dépose des baisers, avant d'arriver sur mon clitoris hyper tendu et sensibilisé. Ses doigts écartent un peu plus l'élastique du dernier rempart de ma pudeur.

    Les yeux fermés, mais très consciente de ce qui se passe, je n'offre aucune résistance. Et, bien au contraire, j'ai envie de lui contre moi, sur moi, dans moi, tout au fond de moi ! Il se redresse et se dénude, sans me quitter des yeux. Je réalise que je le regarde avec des yeux nouveaux. Je le redécouvre nu, ce qui n'a rien à voir avec le spectacle de son corps à la piscine : il est réellement beau comme un Dieu ! Il me semble que je m'asphyxie d'un coup d'une grande bouffée d'amour ! J'étais une amoureuse totalement conquise mais avec une légère anxiété, et je m'apprête à offrir ma virginité à un Apollon dont la seule vue de sa nudité a fait fondre toute mon anxiété.

    Je suis émue et, honteuse d'être déjà trop humide, quand il s'allonge, nu, contre mon corps qui continue de trembler. "Je ne remercierai jamais assez le ciel pour notre rencontre. Quelle chance j'ai eue d'être choisi comme l'homme à qui tu voulais t'offrir pour la première fois !" "Nooon, la chance est pour moi, tu es si beau, je ne te mérite pas ! Mais j'ai aussi très peur et je suis horriblement gênée ! Tu iras doucement, Paul ? Tu ne me feras pas mal ?"

    "Rassure toi, je vais être très doux. Je ne rêve que de te caresser et de te prodiguer les plus affectueuses et tendres attentions, et aucunement de te faire mal, mais, au contraire, de rechercher uniquement ton plaisir !" "Hum, Paul, tu es si gentil, mais je suis une trouillarde invétérée, une vraie poule mouillée et,

    "Si je résiste au moment crucial, je t'en prie, n'hésite pas à me forcer un peu car je veux devenir une vraie femme, ta femme !"

    "Tu es déjà pour moi la plus belle des femmes et ton envie de sexe te montre à moi sous un jour nouveau et te fait rayonner comme une déesse !" Il reprend ma bouche et en jonglant un peu, il descend lentement ma petite culotte, pour finir de me déshabiller. En amortissant son poids avec ses bras, il s'allonge sur moi, mes bras, et, tout naturellement, mes cuisses l'enlacent.

    Son corps se fait plus lourd : ses mains caressent mon visage, sa bouche embrasse mon front, mes joues et mon nez. Il me mange littéralement ! Je sens son sexe tendu qui bute contre mon ventre. Je suis si bien dans ses bras, mais, la peur d'avoir mal, de ne pas y arriver, d'être ridicule devant lui, me glacent une partie du corps.

    Entre deux baisers, sa main fait jouer son sexe contre mes lèvres trempées. Il les agace et les caresse de son gland. Rapidement, mon humidité se répand sur tout mon orifice vaginal. Et je commence à être très excitée : je lui murmure à l'oreille, ce que je ne pensais pas pouvoir dire un jour à un homme :

    "Prends-moi, je veux être toute à toi !" Il m'embrasse tendrement, tout en enfonçant sa verge, très doucement et progressivement en moi. Tout mon être est concentré sur cette grotte secrète, uniquement parcourue et, seulement en surface, par le bout de mes doigts. Mais, lui, s'y enfonce lentement, son gland dilatant et écartant, au fur et à mesure de sa pénétration, mes chairs intimes.

    D'un seul coup, mon niveau de peur et de pudeur, ces deux ennemies qui m'ont amenées à refuser de baiser avec un homme, augmentent à un niveau tel que je crie et le supplie de me laisser partir.

    Mais, je lui ai dicté sa conduite dans un tel cas, et sa réaction est immédiate : il saisit mes poignets et les immobilise de chaque côté de ma tête et m'embrasse tendrement. Il pèse plus sur moi en me bloquant de tout son poids. Je sens qu'il va me forcer !

    Je crie : "Nooooon ! Nooooon !" malgré le bâillon de sa bouche. J'ai mal, une douleur irradie, comme une étincelle, dans mon vagin distendu ! Il entre en moi et m'investit d'un coup, jusqu'au plus profond de toute sa longueur.

    Je souris intérieurement en pensant que son gland vient de heurter le col de mon utérus et qu'il ne pourra pas aller plus loin !

    Je repense, dans ma tête, à mes cours d'anatomie, qui me reviennent d'un coup, sous forme de travaux pratiques, juste à temps ! Et c'est sous une avalanche de baisers fous et passionnés, qu'il s'immobilise au fond de mon vagin en me disant : "Préviens-moi quand tu ne souffriras plus"

    Je lui murmure : "Je n'ai pratiquement pas eu mal, ne t'occupe pas de moi, je t'en supplie !" Il me sourit tendrement et je le sens aller et venir dans mon ventre. Ca y est, je suis une femme ! Chacun de ses déplacements en arrière ou en avant provoque une onde douce et violente à la fois. Une sensation nouvelle m'envahit.

    Je découvre, enfin, le plaisir d'être prise ! Une très faible douleur est encore présente, mais c'est le plaisir qui domine. Les sensations qu'il provoque en moi, sont si intenses que je ne peux pas me retenir de gémir.

    Prisonnière sous mon homme, mon corps docile se cambre. Les vestiges de ma pudeur s'écroulent. Au début, mon corps s'est révolté sous l'attaque, mais il y a prit goût, et m'oblige à avancer mon bas ventre vers le membre de Paul pour mieux en jouir. La bouche ouverte et les yeux clos, je savoure ces instants d'abandon sensuels, laissant derrière moi les tabous que j'ai enfin osé dépasser.

    Les cuisses écartées, impudique au possible, voire obscène, je gémis sans discontinuer, sans aucune retenue. Ses bras, passent entre mes cuisses, les ouvrent et les remontent. Ses mains bloquent à nouveau mes poignets. Je suis totalement ouverte et offerte sans aucune possibilité de fuite ou de défense tel un pantin désarticulé.

    Son pilonnage s'accélère et devient encore plus puissant. Je crie, j'ahane, je me débats inutilement, complètement déconcertée par ce sexe puissant qui glisse en moi. Me donnant à chaque aller-retour un peu plus de plaisir : je suis prise de soubresauts et de contractions. J'ai l'impression d'être noyée dans un océan d'orgasmes tant mon corps est traversé de spasmes violents. Je pleure de joie, mes larmes de bonheur coulent sur mes joues.

    Déchirée, offerte et docile sous ses coups de boutoir, je l'embrasse comme une folle.

    Et lui crie des : "Je t'aime, oh oui, je t'aime et je suis toute à toi !" Oh, comme c'est agréable de se faire prendre, mais il faut que le plaisir dure toujours et je ne sais pas comment le prolonger ! Pourquoi ai-je attendu si longtemps ? Pourquoi ? Pourquoi ?

    Tout s'arrête. Mon souffle court résonne dans le creux de ses épaules. Paul desserre son étreinte, mes jambes se posent dans la paille. En appui sur ses bras, avec des baisers doux, il boit mes larmes de bonheur sur mon visage.

    Lentement j'ouvre les yeux. Il y a beaucoup d'émotion dans son regard. "Ton visage est si lumineux, ta peau si douce, tes lèvres si délicates, que te regarder me fait fondre. L'instant que nous venons de vivre est le plus beau de ma vie." "Pour ton oie blanche aussi ! Pourquoi ai-je attendu si longtemps ?"

    "Ne dis pas ça, tu as été merveilleuse : tu attendais la bonne personne pour lui offrir ton trésor préservé. Et, ce n'est qu'un début pour nous deux. Je ne quitterai plus l'oie blanche qui est devenue la plus belle des tourterelles. J'ai une envie folle de te refaire l'amour, de te croquer, de te manger et de m'abandonner en toi"

    "Mais, à propos, pardonne-moi pour cette question incongrue ? Prends-tu la pilule ?" "Oui, inutilement depuis plus d'un an, sauf aujourd'hui"

    Pour moi aussi, ce jour est le plus beau de ma vie, l'homme que j'aime et qui vient de prendre ma virginité, a encore envie de moi. Dans ses bras, l'idée que je me faisais de l'amour a pris une toute autre dimension. Au-delà du coté poétique et beau de la chose, il y a l'éveil des sens ! Et j'ai l'impression qu'il y a aussi tout un monde nouveau qu'il me faudra découvrir !"

    Comme si l'on pouvait nous entendre, mes mains le tirent vers moi, et, du bout des lèvres je murmure à son oreille : "J'ai envie d'être à toi, que tu m'apprennes toutes ces choses merveilleuses de l'amour, prends-moi encore, tu n'auras pas besoin de me forcer, et c'est sans honte que mon corps te réclame encore !"

    Il me regarde comme s'il allait me dévorer. Son regard braqué au fond du mien, il s'enfonce en moi d'un mouvement de bassin, et le va et vient qui suit me fait rapidement crier. Je recommence à perdre la tête, des ondes m'irradient le ventre. Mes mains rejoignent les siennes, nos doigts se cherchent puis s'enlacent. "Tiens-moi fermement comme tout à l'heure !" Mes poignets se glissent sous ses mains qui se referment impitoyablement sur eux. Ses bras musclés écartent les miens. Ses jambes ouvrent les miennes qui se laissent faire sans résistance. Ses mouvements en moi reprennent.

    Écartelée et offerte à ses assauts, je suis comme crucifiée et la paille joue le rôle des clous sur la peau de mes mains.

    Au-dessus de moi, en appui sur ses bras aux muscles saillants, le bourreau de mon cœur laboure la vierge effarouchée que j'étais. Je suis heureuse. Je me sens bien. Une douce chaleur monte sur mon visage. Je lui crie que je l'aime. Son visage se crispe et affiche une grimace. Je comprends le sens de cette grimace quand il s'affale dans mes bras avec un petit cri animal. Son corps divinement sculpté me couvre

    Pendant qu'il m'ensemence, toute heureuse, j'embrasse son visage. Mes lèvres le dégustent avec passion. Enlacés l'un dans l'autre, nous savourons la magie de l'instant dans la paille, qui a été le témoin de mes premiers émois de femme.

    "La semaine suivante, la grange, témoin muet de mon changement de statut nous a accueilli de nombreuses fois"

    Si je devais faire un raccourci des événements qui ont bousculé ma vie, je pourrais dire que je suis passée d'un statut de vierge effarouchée et stupidement pudique, à celui d'une amante-aimante, gourmande se sexe !"

    "Paul m'a invitée pour le weekend. Le taxi me dépose avec mon petit sac de voyage à la main, devant le grand et haut portail de la villa du maître de mon cœur. C'est la première fois que je vais dormir chez et avec un homme. J'en suis toute émue, même si depuis l'après-midi de la grange, je ne rêve que de lui et de ses mains sur moi, me sentant comme une adolescente prête à oublier tous les tabous"

    "Les murs de clôture sont si hauts, qu'ils ne dévoilent rien de son coin de paradis. Je sonne en me sentant toute chose. Une caméra automatique se pointe sur moi, et le portail s'ouvre de suite. J'embrasse du regard la végétation luxuriante du jardin, une magnifique maison à étages, devant laquelle s'étale une immense piscine. Je me doutais qu'il était aisé, mais, pas à ce point ! J'avance dans l'allée, alors que le portail se referme derrière moi. Paul descend les quelques marches du perron pour me rejoindre"

    "Durant notre petit mois de flirt, il m'avait expliqué que ses parents étaient morts il y a trois ans, dans un accident d'avion. Tout seul du jour au lendemain, il avait réussi à terminer ses études, à reprendre la direction de l'entreprise de logiciels créée par son père, tout en s'occupant d'un frère, moins âgé que lui, dont il ne m'avait rien dit"

    "Le chemin me semble très long, mais à la moitié du parcours : il est là, beau comme un prince entre les arbres gigantesques de l'allée principale, il attend, en souriant, que son étudiante amoureuse vienne à lui"

    "Je ne peux m'empêcher de lâcher mon sac sur le gravier et de courir me lover dans ses bras, grands ouverts, pour lui offrir et recevoir un baiser fougueux dont j'avais été privée au moins durant quelques heures !

    Et, mon monologue cède enfin la place à un doux dialogue d'amoureux !"

    Gentiment, il va ramasser mon sac et revient vers moi, me prend par la taille, pour bien sentir mon corps contre le sien, il me dit :

    "Nous allons déposer tes affaires dans notre chambre, puis tu iras prendre une douche pour oublier ta journée de fac. Je t'ai préparé le seul dîner que j'arrive à réussir : des pizzas surgelées au bord de la piscine, avec du champagne rosé bien frappé ! Est-ce que ce programme te convient ?" Ma réponse est enrobée de sourire : "Avec toi, tout me convient !"

    La maison semble immense, meublée "moderne-chic", mais sans excentricité. "Lorsque tu auras pris ta douche, si tu veux me faire plaisir, reste nue sous le peignoir que je t'ai préparé." Dans la salle de bains, mes pensées se bousculent : Il m'a envoyée sous la douche, avec cette voix ferme, qui semble n'accepter aucune contradiction. Si, en sa compagnie, je suis heureuse et comblée, cette fermeté me séduit, tout en m’inquiétant un peu.

    Toutefois, je comprends parfaitement que le jour où je suis devenue sienne, je lui ai moi même demandé de me forcer s'il me sentait hésitante, et, surtout, de m'initier à tous les mystères de l'amour qu'il m'avait semblé avoir entre-aperçus entre deux ouvertures de portes ou entre deux rêves de femme qui s'éveille à peine à la sexualité.

    Je pressens que ce weekend, où nous ne devrions être que tous les deux, risque d'être difficile pour ma pudeur.

    Mais qu'importe, il a été mon initiateur, je l'aime et pour lui plaire, je me sens prête à faire des folies. Je me lave le corps très soigneusement pour qu'il le redécouvre au summum de son éclat !

    En redescendant le grand escalier, nue sous un peignoir de soie, mes oreilles sont charmées par les notes délicates d'un piano. Que de premières pour moi ! Mais, avec Paul, il semblerait que je ne doive pas tenir la comptabilité de mes "premières fois" : je n'ai jamais été nue sous un peignoir et, c'est également la première fois que ma peau est directement en contact avec de la soie. La douceur de ce tissu exacerbe mes tétons et quelques mini décharges d'électricité statique les obligent à pointer, un peu plus qu'ils ne le devraient, à travers le peignoir.

    Je m'approche, toute émue de Paul, qui joue sur un piano à queue dans le salon. Il m'a entendue arriver mais ne s'arrête pas. Je me love contre son dos, mes mains courent sur ses épaules musclées puis sur sa poitrine pendant qu'il charme mes oreilles.

    "Dans ta robe d'étudiante sage, tu étais déjà ravissante, mais là, tu es une vraie femme éblouissante et respirant l'amour !" Il se recule légèrement et, d'un geste précis, il m'assied sur ses genoux. Pendant que nos lèvres et nos langues jouent, se cherchent et s'agacent, je sens sa main qui ouvre la ceinture du peignoir.

    "Ooooh, Paul, pas ici, s'il te plait !" "Chut ! Laisse-toi aller ! Il n'y a que nous deux dans cette immense maison, je reste le propriétaire exclusif de l'image que tu offres, et j'ai bien l'intention de contempler sans aucune lassitude ce corps de déesse qui m'émerveille chaque fois que tu me le dévoiles !"

    Ses mains font glisser les deux pans du peignoir et dénudent mes épaules pendant que ses lèvres y déposent une chaîne ininterrompue de baisers. Il me fait tourner sur ses genoux et ses caresses se portent sur ma poitrine. Le peignoir tombe sur mes hanches.

    Mes seins fermes et mes mamelons durcis roulent sous ses lèvres et sa pince digitale qui les titille et les agace.

    Physiquement, j'ai déjà une humidité abondante que n'arrive plus à contenir mon vagin et, je me sens aussi troublée par la montée d'un plaisir que je ne peux pas encore qualifier, mais qui m'envahit comme l'odeur d'un excellent alcool ou d'un parfum extrêmement raffiné. Ne voulant pas rester inactive, j'ouvre sa chemise. Ses mains se reposent sur le clavier, abandonnant momentanément mon corps. Aveuglé par mes cheveux, probablement troublé par mes baisers, il parvient à jouer le début de "Rêve d'amour" de Liszt. Comment fait-il pour y parvenir ainsi ? Pour moi qui ai massacré cette œuvre pendant trois mois, avant de parvenir à mal la jouer, c'est un pur mystère qui s'ajoute à la liste de ce que peut accomplir un Dieu, ou tout au moins un demi-dieu !

    "Je t'aime ! Jouer avec toi sur mes genoux est merveilleux. Mais, si ma princesse offrait à mon intimité grandissante de tendres baisers, pendant que je joue, ce serait le vrai paradis. Tu ne me l'as jamais fait ? Cela serait très poétique pour une première qu'en penses-tu ?" Je rougis et j'ai un doute, mais je lui réponds d'une phrase maladroite que je regrette au moment même où elle sort de ma bouche :

    "Tu veux que je prenne ton sexe dans ma bouche comme une prostituée ?"

    Il sourit sans même se préoccuper de ma maladresse, ma naïveté est si visible qu'elle en devient nulle et sans effet : "Tu sais que je t'adore quand tu joues les effarouchées ! Quand je déguste ta tendre intimité et que tu ronronnes de plaisir sous ma langue, tes propos sont bien différents. Je cherchais simplement à mettre un peu d'érotisme poétique dans la première heure de notre weekend en amoureux !"

    "Une femme aimante, qui rend hommage avec sa bouche au sexe de son amant, n'a rien de vulgaire et n'a surtout pas le rang d'une prostituée : c'est un véritable geste d'amour, et c'est presque le plus intime qu'elle puisse lui accorder avec un autre, mais que tu connaîtras plus tard"

    Je deviens rouge comme une grappe de tomates, et me sens plus cruche qu'une cruche ! Je sais que j'ai tout à apprendre et je viens de gâcher un des instants magiques de notre rendez-vous d'amour.

    "Ooooh, merci de me pardonner, Paul. Je dois apprendre à réfléchir avant de te dire ou de te répondre quelque chose. Je me sens si ignare de toutes ces choses du sexe ! Joue pour moi, s'il te plait. Joue pour moi ! Pendant que je te dévore de baisers !"

    Si j'use souvent de l'humour, pour me sortir d'un mauvais pas, là, je sais que je suis rouge pivoine. Mais j'essaye tout de même de réaliser son désir : je me glisse sous le piano et je m'agenouille entre ses jambes, mais ma position est tellement incongrue que je n'arrive pas à dégrafer sa braguette. Et, pourtant, il me sent pleine de bonne volonté. Il se penche donc vers moi avec un grand sourire et, après m'avoir tranquillisée par un "je t'aime", susurré à mon oreille. Ses mains viennent à ma rescousse.

    Et, c'est silencieusement et à la limite de l'extase religieuse, que nos quatre mains dévoilent une nouvelle fois sa belle et longue verge, que je redécouvre avec un gémissement de plaisir et d'envie, maintenant que je connais ses résultats dans mon corps ! Il m'aide à faire glisser son caleçon et son pantalon à ses chevilles.

    Sa main droite se pose fermement sur ma tête, pour mieux guider son sexe dont il décalotte le gland, en utilisant mes lèvres frémissantes, arrondies au bon diamètre, ce dont il me félicite.

    Et c'est en bougeant un peu son gland dénudé, qu'il m'entrouvre les lèvres et, s'enfonce un peu plus dans ma bouche.

    Il le fait glisser lentement, peut être pour que je puisse sentir et constater l'effet que je lui fais : il est dur comme du bois. Mes lèvres glissent sur sa peau soyeuse, sans ride et avec ma langue que j'ai humectée de salive, j'ose une caresse de plaisir : en lui faisant faire, très délicatement, le tour de ce pieu de chair gonflé de sang et de désir impétueux. Pour ma grande fierté, il apprécie visiblement, en gémissant doucement. Son sexe exhale un parfum de virilité qui m’enivre totalement. J'accentue mon léchage en passant plus près de sa chair ce qui lui arrache une douce plainte lancinante, entrecoupée de soupirs langoureux.

    La manifestation de son plaisir me comble de bonheur et fait que je ne regrette pas le moins du monde de lui accorder cette caresse, si agréable pour lui, car, si c'est, pour moi, encore une première, je sais que c'est un plaisir qu'il pourra me demander où et quand il le voudra ! Et quand il commence à jouer la "Sonate au clair de lune", en lâchant ma tête, je suis tellement fière de diriger moi même la fellation que je le déstabilise en lui faisant faire quelques fausses notes !

    Mais Paul aime que tout soit en harmonie : ma tenue, ma position, ma fellation et sa musique. Il arrête donc de jouer et abandonne totalement son membre à ma bouche, à mes lèvres et à ma langue qui semblent bien lui convenir. Ses mains se contentent d'envelopper ma tête, comme pour me guider à être encore un peu plus qu'une suceuse moyenne, par des petits gestes explicites qui me guident juste assez, pour que sa première éjaculation dans ma gorge soit presque bonne !

    J'essaye de l'avaler chaque fois un peu plus plus, son vit coulisse à présent dans mon palais et dans ma gorge, comme s'il avait trouvé définitivement sa place, et le résultat ne se fait pas attendre : ses mains serrent un peu plus ma tête et la bloquent. Son sexe me semble encore augmenter de diamètre et se met à tressaillir dans ma bouche. Il jouit en déversant de longs jets de sperme tièdes dans ma bouche, sur mon palais et dans ma gorge.

    Il me sourit gentiment en voyant que, sans consigne particulière, je m'emploie à lécher et sucer les quelques gouttes échappées pour les remettre dans ma bouche et les avaler avec autant de gourmandise que de curiosité, car ce goût m'est totalement inconnu ! Faut-il répéter que c'est une nouvelle première fois ? Nooon ! Je l'entends me crier : "Bois-moi, mon amour, bois-moi !" J'avale lentement sa sève onctueuse et généreuse, mes papilles gustatives n'apprécient que modérément son goût.

    Mais, si une femme aimante doit boire le foutre de son mari, je boirai jusque la lie celui de Paul.

    Je continue à l'aspirer et à le lécher jusqu'à la dernière goutte. Accrochée à sa taille, prise dans ma passion amoureuse, je continue de le dévorer. Mais il me murmure un "doucement", qui m'arrête immédiatement.

    Je lève les yeux vers lui, et m'inquiète de lui avoir fait mal, mais il me regarde en souriant. "Tu as été merveilleuse, mais quand un homme jouit, il faut mettre un peu moins d'ardeur à ta caresse. Je t'aime mon bébé : tu as bu ma liqueur pour la première fois. Viens, nous allons fêter cette première au champagne au bord de la piscine" Une dizaine de minutes plus tard, les restes d'une pizza traînent sur un plateau argenté, et le cadavre d'une bouteille de champagne rosé gît à ses côtés.

    Pendant que Paul préparait ce petit en-cas, il m'a indiqué où était la salle de bains la plus proche. J'en ai profité pour me refaire une beauté, me rincer la bouche et enfiler mon peignoir. Allongés sur deux transats accolés, nous nous tenons par la main et profitons du silence de cette fin de journée.

    Paul veille à ce que ma coupe soit toujours remplie ! Aurait-il l'intention de me griser ? Je ne le crois pas ! Je sens qu'il me veut heureuse et qu'il tient à me récompenser pour l'immense plaisir que je lui ai donné devant son piano, ou devrais-je dire "sous son piano" ! J'ai l'impression que l'azur de ses yeux devient plus profond, chaque fois qu'il rafraîchit ma coupe. Nous sommes en totale communion pendant que le soleil décline.

    La pénombre commence à nous envelopper mais le bonheur d'être ensemble continue avec encore plus de plénitude. Soudain, les arbustes s'éclairent et la piscine s'illumine. Non ! Elle ne s'illumine pas, elle se met à rayonner de couleurs ! Des spots colorés et immergés répandent des rayons rouges, jaunes, verts ou oranges. C'est magnifique ! Presque magique ! Émerveillée, je m'approche du bord pour contempler les camaïeux des couleurs diffusées qui évoluent avec les mouvements de l'eau.

    Paul vient dans mon dos. Il me prend amoureusement contre lui, son souffle léger caresse ma nuque et provoque une montée de chair de poule qui le fait rire ! Je frémis quand ses mains se font pressantes sur mes côtes et remontent en frôlant mes seins pour les empaumer en me disant :

    "Tu vois, belle Agnès, tes seins étaient faits pour mes mains : ni trop gros, ni trop petits ! Ils ont juste la bonne taille !"

    Je ne m'appartiens plus, je chavire. Après mes seins, ses doigts entreprennent de parcourir mon corps nu, et tentent d'écarter les pans de mon peignoir. Mais, gênée de faire ça dehors, je bloque ses caresses. "Mon bébé, nous avons presque du nous chamailler pour que tu viennes seulement avec ton peignoir sur la terrasse ! Quand vas-tu comprendre que personne ne peut te voir ! Et que tu ne dois absolument pas avoir honte d'être nue. Ton corps est si beau et si parfait, que, le voiler est presque un pêché. Tu es faite pour vivre nue, veux-tu que nous nous baignons ?"

    Je me retourne et, en me lovant dans ses bras, je murmure à son oreille : "Tu sais bien que je n'ai pas de maillot et que si tu continues tes tendres caresses pour essayer de me dénuder, je risque de te griffer ou même de te mordre !" Il éclate de rire en me répondant : "J'aime tes promesses qui me font très peur ! Mais tu devrais te méfier, car, je ne suis pas toujours l'homme doux et tendre que tu connais ! Il m'arrive aussi d'attacher des femmes pour mieux les faire mourir de plaisir !" Comme chaque fois que je réponds sans penser aux conséquences, je réponds à son défi par un : "Chiche !" retentissant que je regrette immédiatement.

    Ses mains saisissent brusquement le peignoir et le font glisser de mes épaules. Je me retrouve avec les seins nus, ballottant au rythme de ses gestes et les bras bloqués dans le dos par la fine soie. Je me sens "très nue" et surtout trop exposée. Ses mains tiennent solidement mes poignets pendant que sa bouche gourmande dévore ma poitrine. Mais sa bouche en veut plus et elle glisse sur ma peau et descend vers mon intimité en déposant mille baisers sur son passage.

    J'arrête de lui résister, et tente la diplomatie : "Paul, rentrons s'il te plait !" "C'est d'être attachée qui te gêne ou d'être nue dehors ?" "D'être dehors, car d'être attachée par toi, pour mourir de plaisir doit être fort agréable, mais s'il te plait, rentrons !"

    Un petit nuage passe au-dessus de nous,

    Paul doit admettre et comprendre que si j'ai cédé en 2 jours à 80% de mes phobies ou de mes tabous, je ne peux pas devenir tout d'un coup une autre Agnès, totalement différente de celle qu'il a commencé à draguer il y a quelques semaines.

    Mais son sourire revient de suite, il referme mon peignoir et me prend dans ses bras puissants pour me faire pénétrer dans la maison. "Connais-tu la symbolique de l'homme qui porte une femme pour l'emmener jusque dans sa chambre ?" "J'avoue que non, mon amour, serait-ce une simple proposition de câlins ?" "Oh, non, c'est beaucoup plus profond : en faisant ça, j'exprime mon rêve de vivre éternellement avec toi !" Très émue par ses mots qui me comblent et ressemblent, pour moi, à une très belle déclaration d'amour, la maison défile sous mes yeux, mais je n'en retiens rien !

    Paul me dépose sur un immense et magnifique lit à barreaux. Puis, agenouillé à côté de moi, il me dévore de baisers fougueux. Il défait avec soin le nœud de la ceinture de mon peignoir et la fait lentement glisser et sortir des deux passants qui la tiennent originellement au vêtement.

    Puis, il se saisit tendrement de mes poignets, en me regardant avec des yeux brûlants d'envie. Totalement conquise par ses mots d'amour, par ses caresses et par sa douceur : je suis prête à lui offrir mon corps et mon âme. Mais, à ce moment précis, je sais que ce n'est pas ce qu'il veut, et, toute émue, je tends mes poignets vers la ceinture de soie.

    Les nœuds qu'il fait me semblent bien symboliques, mais je comprends que ce premier jeu doit avoir des graduations quasi infinies ! Quand il étire mes bras vers la tête du lit pour lier mes poignets aux barreaux : je m'expose et m'offre bien volontiers en frémissant. Un gémissement de bonheur s'échappe de mes lèvres quand sa bouche couvre mon visage de baisers. J'essaie de l'embrasser mais il se défile adroitement. Sa main écarte un des pans du peignoir qui masque encore mon sein droit, puis il se recule, comme pour me contempler :

    "Quand on embrasse d'un regard, le corps nu, lié et offert d'une femme aussi belle que toi, on atteint le summum de l'érotisme !"

    Ses mains se posent en coupe sur ma poitrine, mes dents pincent mes lèvres pour retenir avec pudeur les gémissements qui grondent en moi. Il masse délicatement mes seins les yeux plongés dans les miens. Son regard amoureux et ses caresses me font chavirer. Je me cambre pour m'offrir plus encore à ses caresses.

    Ses doigts saisissent mes tétons, les agacent et les pincent en les faisant rouler. Lorsqu'il les lâche et laisse glisser ses mains vers mon pubis, mes tétons pointent comme s'ils en demandaient encore, ou plus ? Ses caresses évitent mon intimité et courent sur l'intérieur de mes cuisses que j'ouvre un peu plus.

    Paul se lève et me dit : "Ne bouge pas, je reviens !" "Oh ! Nooooon, pas maintenant ! Où vas-tu ?" "Chut ! C'est une surprise qui te plaira, j'en suis sur !" Pendant sa très courte absence, je tire sur mes liens qui se resserrent sur mes poignets. Finalement ils ne sont pas aussi innocents que je ne le pensais.

    Je suis un peu surprise quand Paul revient avec, il me semble, un bol à la main ! Il tamise la lumière avant de s'asseoir à mon côté. Il plonge la main dans le bol et me dit avec un grand sourire : "L'enfer du plaisir commence !" Il prend un glaçon cubique entre ses doigts et le promène, dans un premier temps à quelques centimètres au-dessus de ma poitrine : le glaçon laisse échapper des gouttes glacées qui me font sursauter à chaque contact avec ma poitrine chaude.

    Paul, continue en me caressant longuement un des tétons qui se tend immédiatement, puis il le retire et y dépose un long et chaud baiser. Le contraste des températures est saisissant et super agréable. Il fait durer le jeu un long moment, et je n'ai aucun mal à comprendre le sens de ses mots : "L'enfer du plaisir "!

    J'ai une folle envie de le caresser et de lui donner de l'amour mais je ne le peux pas. Son habile manière de faire des nœuds, apparemment anodins et ses attouchements savamment calculés mettent tous mes sens en émoi. Paul se déplace beaucoup : il écarte mes jambes et s'allonge entre mes cuisses largement ouvertes. Cette position, impudique au possible, doit dévoiler à son regard, ma chatte inondée de plaisir. Je me sens partagée entre la honte et le dédouanement des liens qui m'interdisent tout refus de coopération.

    "Si j'aime attacher les femmes, pour leur faire l'amour, c'est parce que la contrainte sur multiplie leurs envies et leur plaisir"

    Au croisement de ces jambes magnifiques se trouve la plus belle oasis du monde qui réunit le charme, la détente, la chaleur et l'humidité. Je n'ai qu'une envie : fondre sur ton petit trésor, mais je me dois d'y résister !" "Salaud ! Ne me fais plus attendre ! Fais moi l'amour, j'ai trop envie de toi !" Avec un air de conspirateur, il plonge de nouveau sa main dans le bol pour saisir un autre de ses maudits glaçons. Avec une attention toute particulière, il s'amuse à le faire s'égoutter sur le haut de mes lèvres en visant mon clitoris.

    Mais, il ne fait pas comme sur ma poitrine : il n'alterne pas avec des baisers chauds : me faire languir ainsi est de la pure torture. Les gouttes, qui s'écoulent vers le puits secret de mes reins avant d'aller se perdre dans les draps, me font frémir. Avec le sourire du vainqueur, il repose le glaçon dans le bol et ses doigts agiles mais glacés écartent mes replis intimes. Il se penche et embrasse enfin mon chaton qui pleurait d'attendre cette caresse buccale tant désirée ! Le contact de sa bouche et de sa langue chaudes sur mon intimité exacerbée est si agréable, que je ne peux retenir un gémissement de plaisir, en me tortillant comme une chatte en quête de caresses.

    Paul me déguste avec volupté et gourmandise. Sa langue chaude et habile se joue de moi et de mes lèvres vaginales. Sa bouche joue la ventouse, pour forcer mon clitoris à se dévoiler totalement. Emportée par ces agréables sensations, je relève maintenant sans aucune pudeur mes jambes et m'offre autant que me l'autorisent les liens de mes chevilles. Aussitôt, sentant que je suis prête à tout, ses doigts violent mes espaces intimes. Ils s'enfoncent lentement dans ma chatte inondée et viennent titiller mon petit trou ! J'ai beau lui crier : "Nooooooon pas là", il n'en a que faire. Il continue de masser mon anus, de fouiller mon ventre et de manger mon clitoris.

    Ses caresses font naître en moi des sensations de plus en plus vives et totalement inconnues. Avec conviction il butine ma fleur secrète. Le plaisir m'envahit et des bouffées de chaleur me traversent. Je me laisse totalement emporter par le plaisir de mon ventre. Mes jambes bougent, mon corps cherche ses doigts.

    Je sens monter les spasmes du plaisir, puis ruant dans mes liens, je m'y abandonne dans un grand cri. Je jouis comme une perdue, les sensations de mes contractions sur son doigt enfoncé en moi et de sa bouche mordillant doucement mon clitoris, augmentent encore l'effet du plaisir. Je me meurs ! Je tire, à me blesser, sur mes liens, ma tête roule de droite à gauche tandis que ma bouche grande ouverte laisse échapper mes râles et un peu de bave. Je n'ai jamais connu d'instant aussi fort !

    Quand mon parachute s'ouvre et me dépose comme une fleur sur le matelas moelleux, j'ouvre les yeux.

    Le visage de Paul est toujours entre mes jambes et affiche un merveilleux sourire, probablement le sourire de l'amour. "Oh, Paul, je t'en supplie, détache-moi !" "Pourquoi ma douce ? Qu'est-ce qui ne va pas ?" "Oh, tu oses me le demander ? Mais tu le sais bien ! Je ne peux pas te toucher, te caresser, te masturber ou te sucer : c'est hyper frustrant et trop proche de la torture morale !"

    "Je t'ai dit en préambule que je te ferai mourir d'amour et tu m'as répondu : "Oui !" Mais, tu ne savais pas, qu'immobilisée, tu ne pouvais éprouver le plaisir de partager. Tu t'es donc contrainte, toute seule, aux deux seuls plaisirs de "recevoir" et de "t'offrir". Sous le piano, de ta bouche gourmande et habile et avec tout l'immensité de ton amour, tu m'as donné un plaisir fabuleux, mais je veux t'en donner deux, trois, quatre ou dix fois plus et tes liens vont m'y aider !" Tout en remontant une de mes jambes, du creux du genou au nombril, ses lèvres ne s'arrêtent que pour papillonner sur mon ventre et agacer ma poitrine.

    Elles s'attardent sur mes tétons en manque de plus de câlins, plus de coups de langue et même de morsures, pas forcément très douces !

    J'ai beau me cambrer pour mieux lui offrir mes seins et leurs bouts, il m'évite et dépose ses baisers sous mes aisselles. Un peu chatouilleuse, je gémis de plaisir, mais il abandonne cette zone peu érogène et continue son ascension le long d'un de mes bras tendus. Une cuisse posée de chaque côté de ma poitrine, il embrasse et déguste mes doigts. Je suis très troublée par cette caresse. La signification de ce léchage heurte quelque peu mes préétablis culturels, mais je dois avouer que cette caresse est loin d'être désagréable, et j'imagine qu'elle doit aussi s'appliquer aux orteils !

    Son sexe tendu et humide frôle mon visage. Pour essayer de partager cette dévotion amoureuse, je tends mon visage, pour le saisir de mes lèvres, mais j'en suis encore retenue par ces fichus liens. Je le "déteste amoureusement", de me contraindre ainsi, à subir ses baisers et ses caresses, même les plus osées !

    En grognant comme un sauvage, il évite tout contact avec mon visage et effectue le chemin inverse, en redescendant, tout en baisant passionnément mon corps frémissant d'attente.

    Quand il s'installe, de nouveau confortablement, entre mes jambes beaucoup trop ouvertes, je n'ai plus qu'une envie : qu'il me prenne ! Mais non, Monsieur a décidé de poursuivre son artistique torture en jouant de son gland à l'entrée de ma chatte ! Il en force légèrement la porte et bat en retraite chaque fois que je tends mon bas-ventre vers lui ! "Oooooooh, Paul, prends-moi, je t'en supplie !"

    "Je ne veux pas te prendre, ma douce Agnès, je veux que tu t'offres à moi malgré tes liens"

    "Soulève tes jambes et ramène tes genoux sur ta poitrine si tu me veux en toi !" Totalement en manque de sexe, les dernières barrières de ma pudeur s'envolent.

    Je tire le plus fortement possible sur mes liens pour gagner de quoi replier mes jambes sur ma poitrine. Ma croupe s'ouvre en corolle pour lui. Il la bloque aussitôt de ses mains viriles. Je vois, avec angoisse et envie, son visage plonger de nouveau dans mon intimité largement étalée. Ses lèvres courent sur mes cuisses puis sur mes fesses en se rapprochant de mon anus.

    Encore une fois, j'essaye de dire "........." Mais une de ses mains vient me rendre muette, il sait ce que je voulais lui dire, mais il n'en a que faire.

    Sa langue titille mon anus largement accessible à son désir gourmand. La caresse me gêne profondément, mais je dois avouer qu'elle est loin d'être désagréable. Il s'attarde un peu, le temps de déclencher en moi des rotations de mon cul mouvements pour lui faciliter la succion, avant de remonter vers ma vulve grande ouverte.

    En relevant un peu la tête, je vois ses lèvres me déguster l'abricot et sa langue provoquer encore mon entrée puis y jouer comme un petit pénis le ferait ! Mon sexe béant, sans aucune pudeur, ne cherche même plus à cacher mon fluide jouissif à sa convoitise. Ce plaisir qu'il me donne dans une telle position me remplit de honte tout en augmentant considérablement la densité de l'orgasme qui se prépare en moi !

    Abandonnant sa dégustation, il se redresse et se met à genoux devant mes fesses, toujours relevées avec les jambes collées à mes seins. Il saisit son sexe tendu dans une main et m'ordonne de ne pas bouger mes cuisses et mes chevilles !

    Il se positionne contre la corolle de mon sexe béant pour s'y attarder. Malgré son ordre, je me cambre pour aller au devant de sa verge : je veux qu'il me prenne et il n'est plus question de pudeur. Je veux assouvir ce désir qui brûle en moi. Il frotte sa verge entre mes fesses puis remonte entre mes lèvres trempées, mais sans me pénétrer. Il me rend folle. Si je n'étais pas attachée, je le violerai !

    Il recommence quatre ou cinq fois à conduire sa verge dans ma raie culière, jusqu'à la limite de mon anus,

    j'ai franchement peur qu'il ne décide de me sodomiser alors que je peux rien faire pour m'y opposer ! Mais au retour d'un dernier effleurement de mon anus, il entre le quart de son sexe dans mon vagin et me pénètre lentement mais fermement. Cette pénétration est un délice. Totalement énamourée, mon corps se tord sans contrôle autour de sa verge pour la faire entrer le plus profondément possible. Il se retire puis s'enfonce en moi avec un grognement de satisfaction.

    Paul va et vient en moi très profondément, en plaquant à chaque coup de reins ses couilles contre mes fesses. Cette pénétration profonde et brutale, m'arrache des petits cris de plaisir. Il me laboure le ventre de son pieu pendant de longues minutes.

    Je plane sur un nuage et ma tête valse sur l'oreiller. Un orgasme torrentueux me dévaste, mon corps tout entier tremble et se contracte sous ses assauts ininterrompus. Ma bouche grande ouverte laisse échapper des : "Oh, ouuui, oh, ouiii, oh, ouiiii" sans discontinuer. J'entrouvre les yeux et constate que son visage reproduit sa montée inexorable vers l'extase. Doucement il lâche mes jambes, me laisse déplier les jambes vers le bas du lit et s'allonge délicatement sur moi. Ses lèvres distillent sur mon visage des baisers fous. Ses mains malaxent ma poitrine.

    J'entoure son corps de mes jambes et accompagne de mes reins ses grands mouvements. Il jouit en hurlant son bonheur à gorge déployée puis s'affale sur moi comme pour mieux se répandre dans mon ventre. Ma tête au creux de son épaule, empalée profondément je ressens son plaisir. Repus et épuisés, nous restons un instant sans bouger, goûtant l'instant.

    S'il y a bien deux âmes sur ce lit, nos corps ne font plus qu'un.

    Quand il reprend ses esprits, il dépose de doux baisers sur mon visage et caresse tendrement mes cheveux et mes bras toujours liés et étirés au-dessus de ma tête. Sa main se tend vers la table de nuit et éteint la lumière. A l'aveugle, ses doigts agiles défont les nœuds et me délivrent enfin. Entre deux baisers, il me murmure un : "Je t'aime tant" "Moi, je ne t'aime plus du tout : tu es un monstre, un monstre d'amour mais un monstre tout de même. Et le pire, c'est que je t'aime comme une folle !"

    Lorsqu'il se tend pour se relever, mes bras et mes jambes l'enlacent "Oh non ! Tu m'as privée de câlins, et là, tu ne boooooouges plus !" Mes mains enfin libérées glissent lentement sur son dos et s'attardent sur le haut de ses fesses. Mes bras le serrent comme si j'avais peur de le perdre.

    Morphée nous saisit alors que nous sommes toujours l'un dans l'autre.

    C'est un rayon de soleil qui perce les volets et le gai gazouillis des oiseaux dans le jardin qui me réveillent. La tête posée au creux de son épaule, je me souviens de la merveilleuse nuit d'amour que je viens de vivre malgré sa passion d'attacher les femmes pour leur faire l'amour. Je me souviens également de mon envie inassouvie de partager nos câlins, de mes désirs de lui donner de l'amour et de mes envies sauvages de vengeance sexuelle. Lentement, je me glisse sous les draps et laisse courir mes lèvres sur son sexe endormi. Ma gourmandise de sexe me pousse vers ses bijoux de familles que j'embrasse tendrement.

    Il vient de frémir et, je sens qu'il s'est éveillé, mais ne bouge pas. Ma bouche gourmande remonte lentement le long de son sexe recroquevillé, comme si je savourais un esquimau un peu ramolli. Le parfum de son sperme mélangé à la sève de mon sexe envahit mes narines. Les fragrances de notre nuit exacerbent ma passion.

    Je saisis son membre entre mes lèvres et en titille le gland du bout de la langue.

    Prise par ma passion, je le prends entièrement dans ma bouche et le déguste goulûment. Mes caresses raniment le faux gisant du matin en un rien de temps. Je pense dans ma tête : "A nous deux mon cher violeur !" et, lentement mes lèvres distillent leur passion et leurs pressions, tout en remontant vers son ventre musclé.

    Ma langue agace ses petits tétons, rapidement relayée par mes dents qui les mordillent. Ses mains s'insinuent sous les draps et me caressent amoureusement la tête et la nuque. Mes mains s'en saisissent et, en les sortant de dessous le drap, je lui lance : "On ne touche pas ! Hier soir tu m'as violée et mangée de baisers : ce matin je vais te croquer et tu te laisseras faire !" Dans la pénombre de la chambre, j'ai repéré la ceinture du peignoir qui cette nuit m'a privée de mes envies. Je l'attrape puis lie ses poignets aux barreaux du lit. Il se laisse faire sans aucune résistance et semble s'amuser follement de mon attitude en déposant quelques baisers sur ma poitrine au-dessus de son visage.

    Je serre les nœuds avec conviction en riant dans mon fort intérieur. "A nous deux ! J'ai quelques comptes à régler !" Je rabats le drap et m'assied sur ses hanches et son sexe qui annonce midi pile. Tout en caressant son torse, je l'imite comme la veille, en agaçant ses tétons. Provocatrice de son désir, je m'amuse à me mouvoir en tortillant mes fesses sur son sexe dur et tendu. En même temps que j'agace sa libido, mes mains caressent ma poitrine. Pour la première fois de ma vie, je me sens invincible en amour. A genoux au-dessus de lui, je m'amuse à faire courir mes seins sur son sexe, son ventre, son torse mais en m'arrêtant près de sa tête et de ses lèvres qui essaient de gober mes tétons.

    Ma main guide son sexe entre mes cuisses et se sert de son gland pour caresser mon clitoris puis mon intimité qui s'humidifie. Je suis consciente du pouvoir de l'apparence de l'instant et me sens des prédispositions inconnues jusqu'à ce jour. Je provoque un homme attaché ! Je jubile à l'idée de mâter amoureusement mon petit coq d'amour. Ma main guide son sexe entre mes lèvres intimes. Je m'assied doucement sur son pénis qui me pénètre de suite, tellement je suis chaude !

    Je m'ouvre encore plus des deux mains et joue à remonter et à redescendre à ma convenance. Je finis par m'empaler complètement et commence à lui faire l'amour lentement.

    Mes mains plaquées sur mon pubis écartent mes intimes replis et titillent mon clitoris. En le narguant des yeux, je m'amuse à accélérer ma cadence à ma guise, tout en contrôlant mon plaisir. Empalée et cuisses écartées, mon plaisir commence à se faire jour. Prise par la volupté de l'instant je lui lance :

    "Le bourreau de mon cœur devient la victime. Je vais te mater et te faire voir qu'une femme peut éduquer son homme !" "Es-tu sûre de toi et de ta supériorité dans l'instant ?" "Totalement !" "Sûre ? Sûre ? Sûre ? Vraiment sûre !" "Totalement sûre et dans un moment, soumis à mon bon vouloir, tu me supplieras de te faire jouir !

    En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, ses mains se libèrent, me saisissent me soulèvent comme un simple pantin puis me plaquent sur le lit.

    Sa main plonge dans la table de nuit et saisit des menottes qui se referment sur mes poignets. "Si tu veux que l'homme qui t'aime, et que tu as voulu vexer, sans y arriver, te libère, tu vas devoir te surpasser en vice. Je rajoute que si l'étudiante en comptabilité et gestion estime avoir un passif de caresses, c'est pour toi le moment de te rattraper sur le plan purement comptable. Je ne te libérerai que lorsque tu auras embrassé, léché et câliné chaque parcelle de mon corps que je te désignerai "

    "Tu es un salaud !" "Ah non ! Qui est-ce qui a réveillé mon désir puis tenté de me violer en m'attachant ? J'aime beaucoup quand tu lèches mon sexe de ta langue et que tes cheveux caressent mes cuisses. D'ailleurs, si tu m'offres ton intimité à déguster, je veux bien te rendre la pareille. Cela s'appelle un "69" : je m'allonge sur le dos, tu m'offres ta moule à déguster pendant que tu me tailles ce qu'on appelle une pipe. Allez, ne me fais pas attendre et ne fais pas la moue, tu verras, cela devrait t'être très agréable !"

    Dans la situation où je me suis mise, presque gênée d'avoir failli vexer l'amour de mon cœur, j'abdique. Il me guide : je l'enjambe, mais, sans mes mains qui sont liées dans mon dos, la gymnastique matinale se révèle difficile. Tant bien que mal, j'arrive à caler mes jambes de chaque côté de son corps, el lui offre la vue de mon minou et me penche sur son sexe qui s'est ramolli dans notre querelle d'amoureux ! Ses doigts écartent les lèvres de mon sexe, cette position impudique au possible est encore une fois, une nouveauté pour moi. Timidement j'offre mon postérieur à sa bouche, ses mains m'attirent et je ne peux résister à leur traction.

    Sa langue s'insinue dans mon intimité et son nez entre mes fesses.

    L'émotion qui me traverse me perturbe et finit d'enflammer mes sens. Je m'abandonne et me laisse manger le minou en totale perdition de pensée. Sa main me guide sur son sexe que je prends en bouche. Perdue entre les sensations contradictoires, j'offre mon ventre à sa bouche et déguste son sexe avec passion.

    Au bout de quelques minutes de ce traitement réciproque, je sens une douce chaleur en moi. J'ose vraiment écarter réellement mes cuisses et m'offrir à ses baisers passionnés en dégustant son sexe avec de plus en plus de passion. Soudain, alors que nos jouissances montent en nous, Paul saisit mes cheveux et me tire la tête en arrière, en me disant presqu'en colère : "On se calme, je préfère que tu t'offres à moi autrement. Mets-toi à genoux sur le lit et offre ton cul à l'homme que tu as réveillé et excité !"

    Son ton est si dur que je n'ose ni répondre ni plaisanter : je ne pense qu'à m'exécuter. Les mouvements sont très difficiles mais il m'aide pour que je ne m'écroule pas.

    Dans la position qu'il m'impose, je dois ressembler à une grenouille écartelée.

    Je suis morte de honte mais il ne me laisse pas le temps de méditer sur ma condition. Sa main guide son sexe en moi, je suis soulagée, car son gland se frotte à ma chatte trempée. Mais, après avoir bien humidifié son pieu avec mes jus de plaisir, il se retire d'un seul coup de rein de mon vagin et, les mains posées sur mes hanches, il me pénètre l'anus d'un seul coup avec une violence qui m'arrache un cri de douleur et de surprise !

    Par la position qu'il a su m'imposer, mes fesses lui étaient largement offertes, et il a su en user et, même en abuser ! La tête posée sur le lit et les fesses levées, je ne peux que m'abandonner à ses assauts. Si la position me gêne terriblement, je ressens en même temps un plaisir trouble : j'ai l'impression de me faire saillir au sens propre du terme, tant ses mains agrippées à mes hanches et ses mouvements en moi me font délirer et me rappellent un accouplement animal !

    Il continue ses allers et venues dans mon sphincter sur un rythme effréné qui me fait hurler. Ses mains abandonnent mes hanches et malaxent ma poitrine. Le contact de ses doigts me fait tressaillir quand il me pince les tétons et s'en sert pour me relever et me tirer à lui. Les fesses ouvertes par son envie et sa passion, je me donne complètement à lui sans aucune retenue. Ses mains n'abandonnent ma poitrine que pour me claquer les fesses. Plus il les frappe, plus je m'offre à lui. Ce n'est plus lui qui vient en moi, c'est moi qui offre mon cul à ses grands coups de reins.

    Tout en me labourant le cul, il se lance, avec une science consommée de l'art érotique, dans une masturbation habile et harmonieuse de mon clitoris.

    Même si j'ai les poignets menottés, Paul sent que je m'abandonne à sa violence érotique et que je craque complètement. Cette complicité génère en moi des frissons électriques. Je me sens sa chienne et sa chose, mais le pire c'est que cette impression de contrainte et de viol brutal se rajoute au désir inexplicable que j'éprouve.

    Dans la sauvagerie de l'instant, je m'entends crier : "Oooooooh, oui, encore, plus fort !" Un orgasme monstrueux me dévaste. Je craque totalement, je crois mourir de plaisir. Je crie comme une perdue. Le plaisir de Paul croissant, ses va-et-vient s'accélèrent encore, je délire. La chambre résonne de mes cris. La tête posée sur le lit et les fesses en l'air, je suis défoncée, écartelée. Je suffoque, je mords les draps pour ne pas hurler au sens propre du mot. J'ai l'impression d'être déchirée, mais, en même temps je ressens des sensations très vives, comme une jouissance continue.

    Soudain, ses mouvements s'arrêtent, profondément enfoncé en moi, il jouit dans un grand râle.

    Heureuse et comblée, les fesses tendues vers l'arrière, je le reçois en tortillant mon cul. Oh que j'aime cette façon de faire l'amour : sauvage, brutale et passionnée. Couchée sur moi, il dépose une kyrielle de baisers dans mon dos, ses mains caressent mon visage et ma nuque. Mes poignets menottés me font un peu mal. Je n'ose lui dire pour ne pas interrompre ses caresses enflammées et les mots d'amour qu'il me murmure au creux de l'oreille.

    Il m'aide à m'allonger sur le lit dévasté, puis, à l'aide d'une télécommande, il entre-ouvre les volets. Ses doigts courent sur mes hanches et mes jambes. "Tu es d'une beauté à damner un saint. Que dirais-tu d'un plongeon dans la piscine ?" "Tu sais bien que je n'ai pas de maillot !" "Tu n'en as pas besoin : la maison n'est pas visible de l'extérieur, seuls les oiseaux seront charmés par la beauté de mon ange !"

    "J'aimerais bien me baigner et nager à tes cotés, mais sans maillot je ne le peux pas !"

    "Je suis désolée de briser cet instant poétique, mais j'ai besoin que tu me libères les poignets où il va y avoir des taches sur tes draps !" "Tu vas encore me détester, mais il faut que je poursuive ton éducation de femme accomplie. Assieds-toi s'il te plait"

    Paul se lève et s'agenouille, devant moi, au bord du lit. Je tends mes poignets sur le côté, pour qu'il me retire les menottes, mais il me saisit à bras le corps et me couche sur son épaule comme un baluchon. Je crie de surprise : "Mais tu es fou, que fais-tu ?" "Oui je suis fou, complètement fou de toi. Et je ne fais que t'emmener au bain !" "Nooooon, nooooon, laisse-moi, je ne veux pas !" Mes : "Nooooon, nooooon !" sont sans effet.

    Fermement maintenue sur son épaule, la tête en bas, je vois défiler le carrelage de la maison à travers mes cheveux qui flottent dans tous les sens. J'éprouve un moment de panique dans les escaliers moquettés.

    Arrivés au bord de la piscine, je m'attends à ce qu'il me dépose, mais non, tout de go, il saute dans l'eau. Je me débats et donne des coups de pieds pour nager, mais Paul me tient la tête hors de l'eau et me demande de me calmer.

    "Tu es complètement fou, on pourrait se noyer !" "Oui ma chérie, je te répète que je suis fou de toi, quant à se noyer, cela serait un exploit ! Là où j'ai plongé, il n'y a qu'un mètre cinquante d'eau !" "Je te déteste !" "Et moi, je t'aime encore plus que tu me déteste !" S'amusant de ma peur irraisonnée et de ma colère de pacotille, il m'éclabousse de grosses vagues d'eau. Je crie et me détourne. Il en profite pour venir contre moi, m'embrasse et caresse mes hanches et mes cuisses sous l'eau.

    "Si tu m'avoues m'aimer, je peux faire quelque chose pour toi !" "Tu es complètement fou, mais je t'aime !" Il me lâche et plonge. N'étant plus assurée par ses mains, j'écarte les jambes pour essayer ne pas tomber.

    Sous l'eau, il se glisse contre moi, caresse mon sexe de ses mains et de sa bouche.

    Il ressort et m'embrasse encore à pleine bouche, je sens dans sa salive mon odeur intime ! "Je vais chercher les clés, tiens-toi à l'échelle si tu as trop peur !" Il jaillit d'un bond athlétique de la piscine, traverse la terrasse et entre, ruisselant, dans la maison. J'ai une pensée émue pour sa probable femme de ménage !

    Quelques minutes plus tard, il revient avec des serviettes et les clés. D'un magnifique plongeon et en trois brasses, il me rejoint pour me libérer enfin de ses satanées menottes.

    "Tu sais ma douce Agnès que les oiseaux sont d'accord avec moi : il y a une sirène dans la piscine !"

    "Dis-moi, Paul, ce compliment, est-il sincère ou est-ce juste pour te faire pardonner ?" "Les deux : parce que tu es la plus belle des femmes venues dans cette maison, et parce que je dois bien avoir quelque chose à me faire pardonner !" "Sais-tu que tu es un homme dangereux : tu es fou, tu es parfois d'une sauvagerie sans nom, tu batailles pour que j'arrête de t'envoyer à la figure des "Nooooooooon, je ne veux pas", mais, surtout, le pire de tes défauts est que je t'aime à en crever !"

    Paul sourit et me dit calmement : "Rassure-toi, je gagnerai tous les combats que j'engagerai contre toi, car je sais parfaitement que tous tes : "Nooooooooon, je ne veux pas" sont des futurs "Ouuuuuuuuuui, encoooooooore, je t'en suppliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie !"

    "Cela dit, la machine à café nous prépare des "super-expressos" qui vont nous faire le plus grand bien, nous prendrons le petit déjeuner quand tu le souhaiteras. En attendant faisons quelques brasses !"

    "Mais, tu ne vois pas que je suis nue ?" "C'est ce que me faisaient remarquer les roses du jardin, qui nous observent, elles rêvent d'être cueillies par et pour toi ! Juste une question simple : je te jette à l'eau ou tu plonges juste après moi ?"

    Finalement, il est plus facile de lui dire oui en permanence, que non, et nos deux plongeons se suivent de quelques secondes

     

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  • "Agnès" Tome 2

    Auteur : Anonyme / Adaptation-Réécriture : Agnès et Loré

     

    Cela va faire 8 mois que je vis dans la très belle maison de Paul.

    Beaucoup de choses ont changé pour moi : j'ai du avouer à mes parents que j'étais très amoureuse d'un certain Paul et que je désirais vivre chez lui.

    Nous étions convenus tous les deux de les inviter à passer une soirée avec nous, en toute simplicité, avec maillots de bains, barbecue, bonnes bouteilles et bonnes pâtisseries !

    Si Paul et moi étions bien en tongs et maillots, le reste n'avait rien à voir avec le programme annoncé : nous avions une table pour quatre merveilleusement décorée, un sommelier, un chef cuistot, une serveuse et les merveilleuses illuminations de la maison, du parc et de la piscine.

    Nous avons pris l'apéritif dans la piscine, car une partie de celle-ci disposait d'une table à fleur d'eau sur laquelle nous pouvions déposer nos verres et les plateaux de petits fours que nous passaient la serveuse.

    Jeanine, mon adorable maman n'a pas pu s'empêcher de demander à Paul, pendant cet apéritif :

    "Dîtes, moi, mon cher Paul, vous nous avez invités à une petite soirée amicale, voire familiale. Avec Jacques, mon mari, nous n'attendions pas que vous vous mettiez autant en frais pour nous, nous sommes des gens modestes et avons éduqué Agnès avec nos moyens, et elle ne semble pas en être malheureuse !"

    Paul, tout sourire, lui répond : "Je vais vous répondre sur un seul point, Madame : je connais des gens qui sont nés avec une cuillère d'argent dans la bouche et qui n'ont qu'un claquement de doigt à faire pour que tombe dans leur poche un billet de 100.000 euros ou la dernière Ferrari. J'ai rayé ces gens de mes relations et fait rehausser les murs de ma maison pour qu'ils ne puissent pas les escalader !"

     

    "Quand j'ai rencontré Agnès, deux aimants m'ont attiré en elle : sa beauté et sa simplicité"

     

    "J'ai attendu pendant deux mois une question du style : "Et que fais-tu dans la vie, Paul ?" Sa jolie bouche n'a jamais posé cette question"

    "J'ai attendu qu'elle soit prête pour une relation d'adulte et non pas d'étudiants, puisque je fus un étudiant, mais que j'ai du devenir très vite un adulte"

    "Durant toute notre période que l'ont peut qualifier de fiançailles ou de découverte mutuelle, nous n'avons jamais mangé dans un restaurant étoilé, nous avons beaucoup circulé en taxi pour éviter qu'elle ne voit quelle type de voitures, j'avais été habitué à conduire et quand elle m'a avoué en me regardant droit dans les yeux qu'elle me voulait, moi, pour sa mutation en une "vraie femme", pardon pour cette franchise, mais je ne vois que des adultes autour de cette table"

     

    "Entre une suite dans un palace 5 étoiles et une grange sentant bon la paille, je n'ai pas hésité"

     

    "Depuis, nous ne nous sommes quasiment plus quittés mais quand je l'ai invitée à passer un weekend ici, j'ai bien sur du lui avouer la vérité, qu'elle va vous raconter elle même"

    "Permettez-moi de faire une appartée pour elle : ma chérie, merci de ne pas t'étendre sur ma vie professionnelle et quand à ce qui se passe ce soir dans la maison, explique simplement ce qui s'y passe depuis les quelques mois que tu y habites !"

    "Entendu, Paul, tu peux compter sur moi !"

    "Comme vous l'a dit l'amour de ma vie, nous n'avons jamais parlé de situation, d'argent, ou de projets d'avenir. Paul sait que je suis en dernière année de fac et que je m'achemine vers mes 20 ans alors qu'il en a 25. Quand, en arrivant chez lui, j'ai vu sa maison, j'ai osé lui dire que je pensais qu'il était à l'aise, mais pas à ce point !

    Ce qui l'a beaucoup fait rire"

    "Nous avons posé mon sac sur le perron et sommes allés faire un grand tour dans le parc, où, il y a même des biches et des cerfs apprivoisés !"

     

    "En nous promenant, il m'a résumé les grands moments de sa vie"

     

    "De très bons résultats au Lycée, et à 16 ans, BAC en poche, école préparatoire à des grandes écoles. Il a été reçu dans deux d'entre elles : Centrale et HEC"

    "En travaillant la nuit, il a passé les deux concours et 3 et 4 ans après il s'est retrouvé diplômé des deux Ecoles, à seulement 21 ans. L'année d'après il a passé 4 masters dans 4 domaines différents dont l'informatique"

     

    "Il partait vers un avenir plus que brillant quand, le malheur a frappé sa famille"

     

    "L'avion de la société s'est écrasé avec ses parents et les deux pilotes. Ses parents sont restés un an dans le coma et quand il s'est décidé à les laisser partir, il a juré de consacrer sa vie à son petit frère, et à l'entreprise de son père"

    "Il a passé les 3 dernières années à consolider la puissance de la compagnie de son père qui est le leader mondial des opérations chirurgicales à distance. Il ne veut pas l'introduire en bourse pour lui conserver son caractère familial, à sa mort, son frère en fera ce qu'il voudra, n'étant lié par aucune promesse à un mourant"

    "Je devrais te gronder ma chérie, mais, devant tes parents, je n'oserai pas ! Ton papa est trop bien baraqué ! Mais comme chaque fois que tu parles de moi, tu rajoutes des superlatifs qui me font rougir ! Il faudra que tu apprennes à cacher un peu mieux tes sentiments ! Mais bien, sûr, jamais à ta maman ni à ton papa !"

    La gentille serveuse, qui s'appelle Anne Marie, nous propose un café, des infusions, du thé et des digestifs au bord de la piscine ou dans la piscine, et c'est finalement maman qui donne le "la" en ôtant son peignoir et en plongeant dans l'eau tiède pour rejoindre à la nage la table "Atlantide" comme elle l'a déjà baptisée !

     

    "Allez ! Tous dans l'Atlantide !"

     

    "Crie Paul en plongeant dans l'eau et en faisant semblant de faire la course avec ma maman ! J'ai une petite larme qui coule en voyant que maman qui était déjà au courant de pratiquement tout (mais chut !) avait si vite adopté "mon" Paul.

    Nous émergeons de l'eau et nous nous asseyons autour de la table, tout est déjà en place : les cafetières, les théières, les tasses, le sucrier, l'argenterie, les bouteilles d'alcool, les différentes tisanes, de très beaux verres à liqueurs et même des cigares pour les amateurs.

    Papa en prend un, Anne Marie jette un briquet à Paul qui le lui allume. Il avale sa première bouffée en disant : "Huuuuum, ce n'est pas un Reinitas ça : un pur Cohiba de la Havane, bravo Paul, mais dis-moi, ma chérie, tu devais nous expliquer deux choses : nous avons bien compris que Paul n'est pas de ceux qui tapent dans les mains pour que l'argent se mette à pleuvoir, il le mérite et

     

    "Sa promesse à son papa est une chose qui me touche droit au coeur !"

     

    "Bravo, Paul, vous êtes un type bien ! Mais, Agnès, il nous manque un récit de ta part !" "Oui, papa tu as raison, il se passe des choses étranges dans cette maison tous les soirs, je dois te l'avouer, si Paul n'est pas encore rentré quand je descends du bus de l'université, c'est Rafaël, notre chef cuistot préféré qui vient me chercher avec une véritable charrette, tirée par un pur sang ! C'est une honte et je crois que je vais porter plainte contre eux ! Car, il arrive des jours où quand Paul est là, c'est lui qui vient me chercher avec la même charrette et le même pur-sang !"

    Tout le monde éclate de rire : "Je savais que vous trouverez ça drôle, mais je voulais aussi vous expliquer que

     

    "L'équipe que vous avez devant vos yeux, papa et maman, est l'équipe qui gère la maison de A à Z"

     

    "Anne Marie, aujourd'hui bien habillée, alors qu'avec nous elle se trimbale en short de jean et tongs. Elle s'occupe des commandes sur internet, du service et de l'entretien de la maison avec, trois jours par semaine, deux dames qui viennent l'aider pour le ménage, le repassage et "l'attention aux fleurs fragiles", elle fait partie de la maison et de la famille, et elle va nous faire un joli strip-tease pour nous rejoindre autour de "l'Atlantide" !"

    "Rafaël, lui, en dehors de la cuisine, a un hobby extraordinaire : refaire pousser des plantes oubliées, Paul le sponsorise et ils ont déjà gagné 2 grands concours européens, il est donc heureux comme tout ! Et va fêter ça en plongeant pour nous rejoindre ! "Nooooon Rafaël, pas une bommmmmbe, Oups trop tard !"

    "Et Norbert qui est le préposé aux bons vins, mais entre deux cuites, c'est le magicien du garage de la maison ! Il y a tellement de chevaux dans ce garage que certains cherchent à s'échapper la nuit, mais vous savez ce qu'on dit des Dieux Grecs ?

    Dès qu'il sont adultes, ils cherchent les chars les plus rapides et... bah, je vous laisse finir la phrase, ce serait malvenu que je dise du bien de moi !"

    Paul se glisse vers moi, me donne un gros baiser sur la bouche et finit ma phrase :

     

    "et cherchent leur Déesse de beauté, et comme dirait notre Agnès ! Moi, je l'ai trouvée ! Na !"

     

    Papa et maman éclatent de rire, car ils connaissent bien mon "Na !" que j'utilise souvent, alors que Paul sert lui même nos trois amis qui nous rejoint dans l'eau !

    Papa est convaincu que Paul et moi formons un couple parfait, et il dit à tout le monde : "Mes enfants, j'ai envie d'applaudir, que pensez-vous de cette idée saugrenue ?"

    Nous éclatons de rire, et Paul démarre en claquant très fort ses mains l'une contre l'autre, en rougissant je reconnais ces bruits, mais la dernière fois, ses claques rebondissaient sur mes fesses !

     

    Nous finissons par un "Hip-hip-hip-hourra !"

     

    "Qui est notre calumet d'une paix éternelle et sans aucun ombre. Mais l'avenir nous le confirmera !"

    Mes parents rentrent chez eux à une heure peu coutumière pour eux, mais ils respirent le bonheur et je suis sûre que nous avons apporté une réponse à chacune de leur question.

    Je repense souvent à cette soirée assez magique, mais la vie de tous les jours prend le dessus, avec ses petits soucis et ses grandes joies.

     

    Le temps est venu pour nous de dîner dans la maison devant un immense feu de cheminée

     

    Que nous aimons entretenir tous les deux. Paul est assis dans son grand fauteuil, et je suis assise à ses pieds éblouie par le spectacle de ce feu aussi diabolique que captivant.

    Je bois une tisane et lui un bon alcool, nos amis sont tous allés se coucher ou vaquent à leurs propres activités.

    Je regarde Paul en me tordant un peu le cou et lui demande : "Dis-moi, Paul, puis-je te poser une question sérieuse ?" "Ma chérie, toutes tes interrogations sont sérieuses, pourquoi douter de toi encore une fois ?"

    Je ne réponds rien et lui dis :

     

    "Est-ce que tu penses que l'amour peut faire évoluer un corps ?"

     

    "Question très difficile qu'il faut d'abord analyser : quand tu parles "d'un corps", tu parles du tien ?"

    "Oui, Paul !" "C'est ce que je pensais. Quand tu parles d'évolution, évoques-tu une évolution physique : par exemple des seins plus gros, des tétons plus longs, des fesses plus ouvertes à force d'être utilisées par ton amant ?"

    "J'avoue que tu me fais douter un peu : il est peut être vrai que certains endroits de mon corps se sont modifiés, mais je pense que c'est plus par ta tendre manie de les utiliser, que par un phénomène anatomique, et je pourrais reprendre les deux exemples de mes tétons et de mon anus, ton habitude de les mettre à contribution les ont fait sûrement s'élargir ou grandir, mais aussi ils sont devenus des zones beaucoup plus érogènes qu'elles n'étaient au début de nos ébats !"

     

    "Je mettrai un bémol pour tes tétons, mais, dans l'ensemble, il faut donc chercher ailleurs !"

     

    "Peux-tu tout de même me donner un début de piste de réflexion, j'ai bien une idée, mais je veux m'assurer que je ne vais pas de raconter des bêtises issues de mes propres fantasmes !"

    "Je vais essayer de te résumer ce que je pense : depuis quelques mois, j'ose me maquiller un peu plus et les longueurs de mes robes ou de mes jupes ont diminué. Tu m'offres, beaucoup plus que je ne le voudrais, de très jolis vêtements et des sous-vêtements sexys que j'hésite à porter de suite !"

    "Tout à fait d'accord, Agnès, mais rappelle-toi que récemment, je t'ai dis aimer les femmes qui ressemblaient à des femmes et qu'un rien habillait ton corps de rêve. Mon jugement est probablement faussé par l'amour que j'ai pour toi. Mais, je me rends compte que, petit à petit, tu cèdes quasiment à toutes mes demandes :

     

    "L'amour a parfois ses raisons que la morale ne comprend pas !"

     

    "Ne penses-tu pas que c'est dans ce sens que tu as changé ? Nous continuons le chemin fabuleux de ton éducation amoureuse, petit à petit, sans afficher le thème de notre future soirée sur un écran géant, tout est feutré et discret, mais tu avances très vite dans ce monde qui t'était inconnu il y a encore quelques mois"

    "Ton changement n'est-il pas là ? Il y a 6 mois tu aurais jeté un soutien-gorge qui te dévoilait tes bouts ! Il y a 3 mois, tu aurais hésité une semaine avant de le mettre pour moi, et demain tu vas venir me lécher l'oreille en me susurrant :

    "Mon chéri, je ne ne peux pas avoir un soutien-gorge plus sexy porno que celui que tu m'as offert la semaine dernière ?"

     

    "En fait, Paul, ta réponse est que ce n'est pas mon corps qui change, mais ce que j'en pense et ce que j'aime que tu en fasses ?"

     

    "C'est tout à fait ça mon bébé : quand tu as vu la lingerie que je t'offrais sur des sites en ligne, tu as réalisé qu'elle était donc portée par d'autres femmes que toi !"

    "Quand nous regardons des CD pornos, tu te rends bien compte que mes choix sont très ciblés : il y a souvent du bdsm qui t'émoustille et déclenche en toi des envies d'essais et de découvertes, tu rêves souvent de faire comme les actrices qui semblent tant jouir sur ta télé ! Réalises-tu les progrès que tu as fait en si peu de temps? Il faut reconnaître que si nous comptions les heures que nous passons à baiser, ça ressemblerait à un entraînement intensif, mais, sois gentille, cite-moi toi-même quelques progrès qui te viennent en tête !"

    "Oooh, tu veux encore me faire rougir Paul ?" "Nooon, il n'en est pas question, nous discutons de choses sérieuses, tu n'as pas le droit de rougir, je t'écoute !"

    "Si je compare à quelques mois, j'aime m'offrir totalement à toi, attachée sur le lit ou sur la table du salon. Tu m'as fait découvrir les plaisirs du bondage et

     

    "J'avoue que ces situations perverses me transportent dans un autre monde : le paradis du plaisir"

     

    "Mais, dis moi mon bébé, pourquoi juges-tu ces situations comme "perverses" ? Alors qu'elles te mènent droit au "Paradis du plaisir" ?" "Je ne sais pas Paul, j'imagine que le jugement de "perversité" appartient à l'ancienne Agnès et que le "Paradis" est le terrain de jeu de la nouvelle Agnès !"

    "Bon, assez philosophé, tu veux que nous allions nous coucher ? Ma chérie ?" "Je t'avoue que je n'ai pas sommeil, nous sommes si bien dans ton "grand palais" et surtout devant ce feu qui m'hypnotise littéralement, j'ai envie de rester un peu si ça ne te dérange pas"

     

    "Je sais ce que nous allons faire, je vais aller chercher un CD, et toi, tu vas prendre le temps d'aller notre chambre et d'enfiler le petit cadeau du jour qui t'attend sous ton oreiller"

     

    "Tu verras, tu seras agréablement surprise !"

    Nous nous retrouvons quelques minutes plus tard et Paul m'interroge du regard sur son cadeau du jour ! Je ris en lui disant qu'il ne sert pas à grand chose mais qu'il est très excitant !

    Paul charge le CD en riant et le met en route, il vient s'asseoir dans le canapé et nous mélangeons nos corps pour trouver la meilleure position pour déguster une séance de cul dont nous ne sommes pas les acteurs !

    Je souris et frémis un peu, car sous ma jupe, je porte son cadeau : un tanga de satin noir plus que très coquin : il est fendu sur toute la longueur de ma chatte, ce qui permet de dévoiler toute mon intimité sans le retirer. Il ne sert vraiment pas à grand chose, mais je le trouve très rigolo, et je pense en moi même que les prostituées professionnelles doivent en porter des identiques.

    Dès qu'il s'est assis, il a habilement relevé ma jupe et a ouvert la partie découpée du tanga en ne laissant dépasser que le haut de mes lèvres vaginales et mon clitoris. Tout en écartant les pans de mon chemisier pour libérer mes seins des bonnets du soutien-gorge et inonder ma poitrine de ses baisers chauds et délicieux.

     

    Sa main se glisse sous ma jupe pour jouer de mes chairs tendres et intimes

     

    Tandis que je veux participer en lui caressant du bout des doigts son sexe déjà dur sous son peignoir.

    Brusquement comme s'il était Archimède, il crie, non pas "Eurêka, j'ai trouvé", mais "J'ai une superbe idée que je ne veux pas te dévoiler. Tu dois me dire "oui" ou "non" sans poser de questions !" Dans l'état d'excitation où il m'a mise en très peu de temps, et habituée comme je le suis à ses questions sans réponse.

    Trop amoureuse et inconsciente, en ces moments là, j'accepte de tester son idée sans savoir de quoi il s'agit ! Il m'abandonne devant le film, et je reste seule à regarder la scène en laissant glisser tout naturellement ma main sous ma jupe !

    Quand il revient au salon, un vieux réflexe m'ordonne de retirer ma main et je maudis encore une fois cette réaction imbécile. Mais quand je vois son "panier-garni", comme nous l'appelons entre nous, rempli de cordes et d'une multitude d'accessoires sexuels.

     

    Je sais que je vais être étroitement bondée et livrée à ses turpitudes,

     

    Ce qui m'excite au plus haut point, comme chaque fois que je vois ce panier ! Il met le CD en pause et me demande de m'allonger sur le dos à même la table basse du salon.

    Rapidement, il attache mes poignets sous la table.

    Ses mains s'insinuent sous ma jupe et me retirent le slip ouvert qui cachait tant bien que mal mon intimité.

    Il écarte mes jambes et les positionne de chaque coté de la table avant de lier mes chevilles avec une grosse corde blanche qui passe aussi sous la table.

    Allongée sur le dos, la jupe relevée et les jambes ouvertes, ma chatte est largement exposée. Il m'abandonne avec un sourire coquin. Je m'interroge sur ses intentions avec quelques troubles et inquiétudes.

    Chaque fois qu'il m'a proposé de lui faire confiance, j'ai découvert quelque chose de nouveau. Mais, dans ce cas précis, je n'ai aucune idée de ce qu'il va me faire découvrir, car la séance commence comme beaucoup d'autres que j'ai du supporter avant de le supplier de continuer !

    Que vais-je découvrir. Ce soir ?

     

    Quand il revient avec des ciseaux, sa bombe de mousse à raser et son rasoir, je comprends immédiatement ses intentions

     

    Et que, malgré mes hurlements et mes refus, il est bien décidé à le faire ! "Mon oiseau des îles est pris au piège et va se faire plumer. Ne râle pas, ce n'est pas douloureux et si tu n'aimes pas, dans trois semaines on n'y verra plus rien. Mais comme d'habitude, tu râleras par principe et ensuite tu en redemanderas !"

    Me dit-il en riant franchement de ma gêne stupide ! Avant de démarrer sa tache funeste, il oriente la table basse sur laquelle je suis bondée pour que je puisse suivre la télé sans peine et remet le CD en route.

    A l'aide des ciseaux au contact froid, il coupe ma toison, que j'ai pourtant bien soignée pour pouvoir porter les tangas et les maillots qu'il m'a offerts, et il pulvérise la mousse à raser sur mon bas-ventre. Sa froideur me perturbe, mais j'ai surtout tellement peur d'être entaillée, que j'applique ses conseils à la lettre :

    "Surtout, ma chérie, ne bouge en aucun cas !"

    La tête, posée un peu en contrebas sur la table, et les yeux fermés, je me maudis d'avoir répondu "oui" à sa proposition de lui faire confiance. La prochaine fois je serai plus prudente ! Même si je me dis cela à chaque fois ! Cette fois, je le pense sérieusement.

    Ses doigts écartent et poussent mes lèvres d'un coté puis de l'autre pendant que le rasoir glisse sur ma peau.

    Lorsqu'il a terminé son ouvrage, il enlève le mélange poils et mousse à raser et lave mon sexe en s'aidant d'un gant et en vérifiant qu'il n'oublie pas un seul petit poil sur toute la partie qu'il vient de "faucher" !

     

    Oh ! Vite ! Montrez-moi un trou de souris pour aller m'y cacher !

     

    Quelle honte, mais aussi quelle horreur ! Sans me voir, je me sens plus nue que nue. L'air devient soudain frais sur mon intimité, rapidement réchauffée, par un baume après rasage qu'il insiste à me présenter comme : "sans alcool" ! Heureusement pour lui !

    Il range toutes ses affaires de "Figaro" et sort de son "panier-garni" un collier de cuir que je ne connais pas. Il me le pose délicatement autour du cou, et s'assure que la sangle de cuir qui part du haut de ma nuque, est bien à sa place et que les deux bracelets de cuir, qui sont fixés à elle, balancent bien sur mes omoplates.

    Il libère mes bras, déchire ce qui reste de mon chemisier, ôte mon soutien-gorge et me fait asseoir sur la table pour que je tente de regarder mon entre-jambe, mais il en profite pour passer derrière mon dos, il saisit les deux bracelets de cuir qui pendent à la sangle et m'attache avec les poignets derrière mon dos.

    Il libère mes chevilles et m'embrasse tout en pressant de sa main les replis de l'entrée de mon vagin. Il va et vient sur ma vulve trempée d'envie et de désir. Je le déteste autant que je l'aime !

    Ses baisers sont enflammés, il est jouissif et heureux de me sentir pleine d'envie de folles jouissances !

    "Si tu le désires, mon bébé, tu peux aller voir comment tu es belle dans la glace de la salle de bain !" Normalement, j'ai une sainte horreur de me déplacer nue, mais, dans l'instant, loin de ce type de préjugé, je me précipite dans la maison. Les poignets entravés dans le dos, j'arrive malgré tout à allumer la lumière pour me regarder dans la glace.

     

    Oh ! Quelle horreur ! Avec mon ventre lisse, je ressemble à une adolescente encore pubère.

     

    Paul me rejoint silencieusement et m'enlace en couvrant mon cou de ses baisers tendres et brûlants.

    "Je t'aime ! Tu es encore plus belle avec ta chatte de nubile !"

    "Je te déteste, je ressemble à une gamine, quelle âge me donnes-tu comme ça ? !" "Juste l'âge légal de te faire faire tout ce que je voudrai quand je te soumettrai pour de bon !"

    Malgré mes mains dans le dos, je caresse sa poitrine et agace ses tétons du bout de mes doigts. Emporté par sa fougue, il ne se méfie pas pendant que je les saisis pour les pincer sauvagement.

    Il se recule en criant et saisit mon oreille pour me reconduire au salon malgré mes cris et mes fausses vraies, insultes.

    Il attrape une chaise, s'assied et me couche à plat ventre sur ses genoux. "La petite salope n'a pas été sage et va donc recevoir une fessée !" "Non, salaud ! Lâche-moi ! Ce n'est pas en me fessant que tu feras mon éducation de femme !"

    Couchée sur ses genoux, ma tête pend dans le vide, mes cheveux frôlent le sol et mes fesses sont largement exposées.

    Sa main glisse entre mes cuisses agitées, puis d'un doigt inquisiteur, il agace l'entrée de mon anus.

    Je le déteste vraiment de tellement aimer cet endroit ! "Ma tourterelle adorée est redevenue une petite fille mais son petit chaton est trempé de désir. Il y a une incohérence qui m'échappe, tu peux me l'expliquer je te prie ?"

     

    "Va te faire voir pervers, puisque tu es attiré par les petites jeunettes, je ne te parle plus de la soirée ! Amuse-toi sans moi !"

     

    Il sourit, ma menace "d'absence" doit lui convenir : sa main droite claque mes fesses, mais, quand il la rabat, c'est pour les caresser en les pétrissant. Il me tient fermement de la gauche et continue à claquer et à caresser mes rondeurs de l'autre, m'arrachant des cris de douleurs rapidement mêlés de gémissements de plaisir.

    Il est vrai que l'alternance des coups et des caresses, est un peu douloureux, mais pour la première fois de ma vie, je sens que c'est plus les coups secs et virils qui m'enflamment et provoquent la montée d'une vague dans mon ventre et dans mon cerveau !

    Sa main se pose sur mes chairs chaudes, son doigt glisse lentement sur mes courbes, avant de se perdre dans une étroite vallée pour terminer sa course entre les lèvres de mon sexe.

    La confusion envahit mon esprit. Je suis tiraillée entre le refus de lui dévoiler mes goûts pour la fessée et l'envie qu'il continue, en frappant encore plus durement, avec cette nouvelle excitation que je ressens pour la première fois.

    Mais, probablement que dans des séances, quasiment identiques, il ne m'avait pas fessée de cette manière : en alternant des coups cinglants et des caresses et en appuyant moins ses coups, beaucoup plus forts ce soir ! Comme s'il avait lu en moi, et, sans me laisser plus de temps pour méditer, il reprend sa fessée "d'adulte" : en la rendant plus forte, beaucoup plus dure mais surtout avec une cadence de coups, beaucoup plus rapide !

    Une avalanche de claques s'abat sur mes fesses qui commencent à être endolories.

     

    "Mon cul, que je sens de plus en plus brûlant, me fait mal"

     

    Ma tête me brûle, mais, en toute contradiction, je me sens bien : je nage en plein paradoxe, surtout lorsqu'il alterne maintenant une longue série de coups puissants et douloureux avec une phase de pelotage de mon cul que je sens de plus en plus chaud. Mon épiderme fessier me picote agréablement.

    Vous allez penser que je suis devenue folle. J'ai envie qu'il me fesse encore plus fort, juste pour mieux apprécier sa séquence de caresses, qui est divinement bonne !

    Je me savais cérébrale, mais pas à ce point ! C'est comme si, un jour, je lui demandais de partir trois jours sans me donner de nouvelles, pour mieux apprécier son retour et nos retrouvailles ! Tout mon corps tremble des pieds à la tête, je respire très fort, comme si je cherchais mon air, mais il sait que je lui ai donné depuis longtemps toute ma volonté et que je me suis offerte avec une grande joie et un vrai plaisir à tous ses tourments amoureux et ses exigences de la moins perverse à celle que je pensais inimaginable !

     

    Je me laisse guider, et me retrouve agenouillée à ses pieds, toujours entièrement nue, collier d'esclave au cou et mains liées dans le dos.

     

    Sa verge gorgée de désir dépasse fièrement des pans de son peignoir. Sans aucune gêne malgré ma position, les liens et mes fesses qui doivent être d'un rouge carrément obscène, je m'en approche prise d'une envie folle de déguster son pieu, de sentir la douceur de sa peau entre mes lèvres.

    Comme pour l'agacer, je dépose des petits baisers sur son gland avant de le prendre en bouche dans un gémissement de bonheur. Je l'aspire, le goûte, le titille de la langue en me délectant de cet instant magique.

    Une contraction est aussitôt accompagnée de sa main, qui me repousse tendrement. Paul m'annonce avec un grand sourire radieux posé sur son visage un peu congestionné par le désir :

    "J'ai très envie de toi ! Tu es merveilleuse, tu as appris si vite à me sucer comme une reine ! Mais, j'ai d'autres projets pour toi !"

    "Moi aussi, je n'en peux plus ! Libère-moi et baise-moi, je t'en supplie !"

    Il ne répond pas et m'aide à me relever. Il me guide vers la table de la salle à manger, sans me délier les bras. De la ceinture à la tête, il me couche sur le plateau de la table, et, écarte mes pieds nus posés sur le sol, en les frappant de son pied.

     

    Dans cette position, mes reins sont véritablement offerts à son désir, et, probablement à tous ses projets !

     

    En quelques mois, j'ai appris à aimer les positions obscènes dans lesquelles il éprouvait un plaisir intense à me mettre. Et je commençais à réaliser que plus la position était vulgaire et me faisait monter le rouge aux joues, plus j'éprouvais une impérieuse envie de lui.

    J'en venais à souhaiter intérieurement qu'il fasse ce qu'il voulait avec ses cordes ou ses menottes, qu'il cesse de caresser mon cul bouillant et mon sexe rasé depuis peu, pour passer à la seule action qui pouvait apaiser le feu qui brûlait en moi : me baiser !

    Il laisse passer un très long moment, en me regardant dans cette posture qui ferait bander n'importe quel homme normalement constitué. Il se décide, enfin, à venir se placer entre mes jambes, de frotter ses cuisses nues aux miennes et de poser son gland humide sur l'entrée de mon vagin.

    Je gémis, je sens sa pénétration, c'est vrai, mais j'attends, j'attends, j'attends encore, j'attends toujours, mais en vain ! Il est assez rare que je devienne vulgaire, mais, mes pensées le sont : "Cet "enfoiré" joue de son sexe dur comme une barre de fer, à la porte de mon monde de jouissances, mais sans jamais la franchir.

    J'ai beau tendre mon bas-ventre vers sa queue : il se dérobe immédiatement. Et, chaque fois qu'il recommence, je subis une autre cuisante désillusion".

    Je me rends ! J'arrête de bouger ! Je ne perds plus ma dignité à lui réclamer ce que je veux ! Je garde ma position en le laissant décider de tout : de sa pénétration ou du trou qu'il choisira !

     

    "Alors, qu’enfin, il entre en moi, je constate sans surprise qu'il a choisi mon petit trou"

     

    Mais sa main bloque mes reins, pour m'interdire tout mouvement, qui me permettrait d'aller chercher son sexe moi même pour mieux l'enfoncer dans mon sphincter.

    Sa main qui m'interdit tout mouvement me vexe profondément, et, je tiens à lui en faire part : "Dis-moi, Paul, pourquoi me bloquer les reins avec une de tes mains, tu ne pouvais pas me demander de ne pas bouger ? Je suis probablement juste assez intelligente pour comprendre que tu as envie de me pénétrer par le trou que tu veux et comme tu le veux !"

    Je lui aurais demandé le temps qu'il faisait dehors, j'aurais eu la même réponse : "Tu as sûrement raison, ma chérie, mais j'ai une pensée qui bloque ma réflexion : dis-moi, dans nos exercices d'adaptation de ton vocabulaire à ton actuelle condition, je ne sais plus où nous en sommes ? Cinq "AVAC" ou six ?"

    "Je me demande ce que viens faire cette question à ce moment précis, et dans notre situation actuelle ?" "Ma chérie, sois gentille, et même si tu ne l'es pas encore, fais semblant d'être soumise, alors 5 ou 6 ? Réponds, ce n'est tout de même pas compliqué !" "Soit, mais ce n'est pas la peine de te fâcher pour ça, je pense que nous en sommes à six, car tu m'as dit à la première que tu m'en ferai faire une par mois, et ça doit faire 6 mois de ça !"

    "Il faudra qu'on change de rythme, car tu évolues plus vite dans ton obéissance et tes attitudes que dans ton vocabulaire, on va réviser rapidement et passer à la 7ème séance d'"AVAC" !"

    Son sexe, enfoncé d'un bon tiers dans mes fesses ne bouge pas d'un pouce, j'ai envie de lui demander de prendre du recul, de nous regarder et de me dire sincèrement si cette situation accompagnera bien une séance d'"AVAC" ! Mais je me tais. "Très bien, mais avant, enlève tes mules et mets toi sur la pointe des pieds, je trouve ça très excitant !" Je m'exécute sans un commentaire.

    "Tu peux bouder ma tendre Agnès, mais dans les 10 minutes qui viennent, tu vas parler, beaucoup parler, et crier, beaucoup crier ! Voilà ton emploi du temps !" A ma grande surprise, il se retire de mon anus pour se renfoncer lentement exactement où il était l'instant d'avant ! Il me murmure gentiment : "Ca c'est un coup pour te rendre plus attentive à mes questions. Prête ? Je démarre !" "Décris-moi ta position actuelle, mon bébé ?" "Comment je suis là ? Sur cette table avec ton machin dans les fesses ?" "C'est exactement ça !"

     

    "Eh bien, j'avais encore mes chaussons quand tu m'as couchée sur le plateau de la table de la salle à manger, de la taille à la tête, les mains menottées dans le dos, les pieds posés par terre que tu m'as largement écartés pour bien m'ouvrir et m'offrir, et quand tu m'as demandé d'ôter mes chaussons, je me suis retrouvée toute nue, avec, en plus un bon tiers de ton membre dans les fesses pour que je sois attentive à tes questions !"

     

    Ma phrase se termine par un gémissement d'envie, car Paul a reprit sa pénétration et son arrêt brutal au point de départ. "Bonne base de travail ! Mais, il y a du boulot ! Bon, donc : c'est ta description de notre situation. Comme chaque fois, tu vas choisir ton style de description parmi ces trois possibilités qui dépendent de l'humidité réelle, et non pas virtuelle, de ton sexe : filet, ruisseau ou torrent. Je te rappelle que j'ai eu le temps de me rendre compte de ton état, alors, ne triche pas !" "Paul, je peux te demander une faveur ?" "Bien sur, mon amour, je t'écoute !" "Si je te dis que ma chatte ressemble à un torrent, tu promets de me baiser de suite et de m'envoyer en l'air rapidement ?"

    "Je voudrais bien ma chérie, mais vu l'orifice que j'ai choisi, je ne peux pas te baiser. Tu sais qu'un orgasme par ce trou est plus difficile à obtenir, alors tout dépendra de ton envie cérébrale de t'envoyer en l'air comme ça ! Alors quelle version décides-tu de choisir ?"

    "Je ne peux pas mentir, ce sera "torrent," mais je vais apprendre des mots que je me dépêcherai d'oublier, sale pervers !"

    "Je diminuerai ton calvaire à une seule phrase, rassure-toi, mais quand tu parles de l'oublier, je t'assure que tu ne pourras pas !"

    "Donc ta phrase : "Eh bien, j'avais encore mes chaussons quand... va devenir en langage "torrent" :

     

    "J'ai encore mes chaussures d'esclave aux pieds, je sais que de voir mes orteils peints en rouge vif comme une putain de bordel te fais bander comme un âne, tu prends dans ta main la quasi totalité de mes cheveux pour m'amener à heurter le plateau de la table de la salle à manger avec mon ventre nu. D'un violent coup dans le dos, tu me plies en avant et me regarde tomber lourdement, nichons en avant, sur le bois de la table. Mes pieds restent posés au sol et de tes chaussures, tu les écartes le plus possible en shootant dans mes chevilles. Quand je suis obscènement ouverte et que tu peux voir l'intérieur de mon trou à merde et de ma connasse, tu poses tes mains sur moi, pour resserrer mon collier de chienne et libérer mes deux poignets de leurs liens de cuir. Tu te couches alors un peu plus sur mon cul, je sens ta bite heurter mon bas-ventre alors que tu m'ordonnes de descendre mes deux mains sous mon ventre jusqu'à mon con torrentiel. D'y tremper mes doigts pour bien les mouiller, puis de remonter ma main gauche vers ma bouche pour me sucer les doigts comme si c'était ta pine, et de mon autre main, de me branler le clito pendant que tu m'enculeras comme jamais tu ne l'avais fait ! Mais tu termines en me disant que j'aurai le droit de crier autant que je le voudrais !"

     

    Complètement soumise à son jeu sadique, cruel et rempli de vulgarité qui me révulsent, les dents plantées dans ma lèvre inférieure, je m'abandonne en gémissant jusqu'au moment où, ni tenant plus, je m'entends crier : "Plus fort ! Plus fort ! Plus fort ! Défonce-moi le cul plus fort ! Vas-y éclate-moi ce trou à merde !", sans aucune pudeur, ni aucune retenue, ni honte ! Il est vrai qu'il ne m'avait jamais enculée de cette manière : ses allers et retours sont complets : il sort totalement sa bite de mon cul pour y replonger avec une force incroyable que seule la dureté de sa pine lui permet. Mes : "Ooooooooh ! Ooooooooh ! Ooooooooh !" accompagnent les claquements de nos cuisses pour devenir finalement des : "Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah" sans fin.

    Tout comme moi, il semble perdre son contrôle et devient brutal. Il m'insulte même dans un délire fabuleux, je deviens sa pute, sa salope, sa chienne, son objet, son vide couilles, mais je l'encourage par des ; "Ouuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii" et j'aime ça, et je le lui avoue.

     

    Nous sommes en plein délire, je suis devenue sa chose, son esclave et une proie volontairement soumise à son amour sauvage et ses désirs pervers.

     

    Ma tête chauffe, ou plutôt, entre mes tempes s'installe une barre imaginaire mais chauffante. Mes sensations sont difficiles à décrire, c'est un peu comme si j'étais ivre. Dans cet état second, cambrée pour m'offrir plus encore à ce sublime pilonnage de mon trou à merde de pute de bordel, mes mâchoires tremblantes laissent échapper mes cris offusqués mais aussi mes hurlements d'encouragement, comme si je demandais au taureau de défoncer le matador ! Une onde titanesque traverse mes reins, suivie d'autres plus petites mais m'atteignant en rafales. Sous ses assauts ininterrompus ma jouissance atteint des sommets inimaginables. Comme une épileptique en crise, ma tête s'agite, et bute contre la table.

    D'une poigne ferme, Paul agrippe mes cheveux et la tire brutalement en arrière, est-ce pour me protéger des chocs ou est-ce pour que je comprenne qu'à présent je suis prête à tout faire pour lui ? Je ne le saurai jamais !

    Je crie comme une folle. Je suis sûre que j'ai perdu la raison pendant quelques secondes et suis passée par un état de débilité totale. Brutalement, une chape de plomb s'abat sur la salle à manger : Paul arrête de me pilonner le cul, je cesse mes hurlements de démente, il s'est arrêté d'un coup, profondément enfoncé en moi.

     

    Nos deux corps se fondent en un corps unique, nous sommes tous deux figés dans l'attente de son plaisir, du feu d’artifice de sa jouissance. 

     

    Alors que lentement, je sens sa bite se mouvoir quasiment dans mes intestins, je sais qu'il me donne son foutre et comme si je le remerciais pour ça, j'éclate soudain en larmes, sans aucune raison. Je pleure, oui je pleure, mais je ne sais pas pourquoi ! Paul en est très surpris, il fait mine de se retirer aussitôt, mais je l'en empêche, je veux qu'il reste indéfiniment dans "son cul", puisque je viens de le lui offrir !

    Il m'enlève mon collier, se couche sur tout mon corps pour bien l'épouser, il doit sentir que je bouge mes muscles anaux pour mieux constater qu'il est encore en moi.

    Il se confond en excuses, mais je me contente de lui prendre ses mains, de lever un peu mon buste et de les poser sur mes seins en lui disant : "Tais-toi, ne dis rien, serres mon corps et mes seins".

    Nous restons comme ça de longues minutes, mes larmes se calment et, entre deux reniflements disgracieux, je le rassure en lui souriant et en l'embrassant de mes lèvres mouillées :

     

    "Tu n'as rien à voir avec mes larmes. Elles ne sont que les perles d'un plaisir trop intense.

     

    "A présent je sais que je suis toute à toi, et j'en suis fière !"

    Après le dîner que nous avons préparé seuls, car Paul a donné ce weekend prolongé à toute sa petite équipe,

     

    "Nous nous retrouvons, comme tous les soirs, dans le salon, devant ce fabuleux feu de cheminée" 

     

    Que j'aime tant ! Je suis allongée sur le canapé, la tête posée sur le ventre plat et presque trop dur de l'homme que j'aime et à qui j'appartiens corps et âme.

    Nous finissons de regarder un CD porno très bdsm qui relate la vraie vie d'une femme maso qui aime se laisser attacher, fouetter et abuser par un ou plusieurs hommes devant des voyeurs qui payent pour assister au spectacle.

    Comme chaque fois, les images ont fait largement plus que titiller mes sens qui sont en émoi et je redoute même qu'une insurrection ne soit en cours de préparation, si Paul continue de parler, au lieu de me baiser ! J'ai pourtant réduit ma part de dialogue en revêtant une nuisette minuscule avec, un mini-slip comme seul sous-vêtements !

    A moins de lui crier dans un porte voix : "Je suis prête mon amour, baise moi !" Je ne vois plus ce que je peux inventer !

    Au lieu de ça, Paul, un peu perdu dans ses raisonnements et ses pensées, se laisse caresser gentiment, sans vraiment y faire très attention, tout en m'expliquant qu'il préfère les films amateurs ou les bandes dessinées pornos sur ce sujet, car le doublage des films est bien souvent minable et les "hardeuses" sont plus des exhibitionnistes que des actrices plus ou moins douées.

     

    Alors qu'une amatrice va jouer son propre rôle, et personne ne se moquera si elle apparaît un peu nunuche à l'écran !

     

    Pour étoffer ses explications, il va chercher dans son bureau des livres et des revues qui expliquent sans ambiguïté que sur le petit écran, les scènes "hards" sont aux antipodes des plaisirs et des joies de la réalité. Sur les pages de garde des livres ou sur les couvertures des revues, il y a des photos ou des dessins, de jolies jeunes femmes souriantes, bondées et soumises aux plaisirs de surfeurs californiens !

    Paul ouvre un très beau livre, avec une couverture en cuir travaillé. Il me demande de m'asseoir, le pose sur mes genoux et vient s'asseoir à ma droite, cuisse contre cuisse.

    Il tourne les pages, qu'il semble connaître par coeur, et commente avec passion certaines des gravures. Son index insiste parfois sur des détails que je n'avais pas vu du premier coup d’œil, et, je ne cesse de m'identifier à ces filles qui se laissent frapper, pincer, baiser ou enculer, bondées dans toutes les positions qu'un homme cérébral peut imaginer !

    Je suis un peu perdue dans mes pensées, mais surtout partagée entre le mépris et une sorte de dégoût pour ces filles qui se laissent totalement faire en échange de quelques billets de banque et l'envie terrible mais presque irrésistible de faire comme elles, et d'en garder des traces : surtout quand les CD montrent des femmes visiblement non professionnelles, jouir à grands cris : d'une position obscène ou d'une pénétration forcée ou de tétons trop étirés.

    Paul continue à tourner les pages et à parler, mais son discours ronronne un peu dans ma tête et j'en ai perdu le fil ! Me prenant le visage dans sa main, il m'oblige à le regarder dans les yeux et me demande avec un grand sourire :

     

    "Dis-moi, mon bébé, aimerais-tu essayer, toi aussi, de découvrir les plaisirs de cette femme que nous venons de voir ?"

     

    "Ou de toutes celles dont je te montre des photos depuis tout à l'heure ? Penses-tu, au fond de toi qu'elles souffrent ? Ou qu'elles jouissent d'une manière différente de ce que tu as connu jusqu'à ce jour ?" "Paul, je ne vais pas te répéter à quelle point je suis amoureuse de toi et que de voir un CD d'une heure et demie qui raconte la vie sexuelle plus qu'intime d'une femme aussi normale que moi, qui a choisi le bdsm au lieu de l'amour "simple", m'excite au plus haut point et que, bien sur, j'ai envie de suivre cet exemple tout en sachant que tu es certainement le meilleur guide que la vie pourrait me procurer, mais, si en une dizaine de mois, j'ai réussi à corriger beaucoup de mes défauts, j'ai peur ! Peur de sauter le pas ! Peur de ne pas être celle que tu attends ! Peur que tu fasses de ce saut dans l'inconnu une condition première pour que nous vivions ensemble ! Peur de moi ! Peur de toi ! Et même peur de ton ombre ou de la mienne !

     

    "Dis moi trésor, il nous faudrait un sacré camion de déménagement si nous voulions changer de domicile tout en emportant toutes tes peurs !

     

    "Alors, je te propose un "safari" !" "Nous avons 3 longs jours devant nous, la maison est vide, personne ne nous dérangera, je vais brouiller tous nos téléphones. Nous allons vivre une réelle parenthèse dans notre vie et chasser pendant ce "safari" toutes les peurs que tu as énoncées !"

    "Dans 3 jours, il doit y avoir devant ce feu de cheminée, qui nous servira de phare et d'autel de nos trophées : "la carcasse de Madame "sauter le pas", "le squelette "de celle que j'attendais", "le corps encore chaud de Madame condition première", et bien sur "les scalps de ton ombre et de la mienne" Que penses-tu de cette proposition, et, bien sûr, si ce "safari" t'ennuie, nous l'arrêterons immédiatement !"

    "J'aime beaucoup ta façon de surmonter un obstacle en lui substituant une solution ludique, tu me fais rire, tu es d'un cérébralisme qui devrait me faire peur, mais j'ai tellement confiance en toi que ton côté "force obscure" arrive à être effacé par les jeux ou les événements que tu crées pour me rassurer ! Alors, encore une fois, je me laisse faire mais ai-je ta promesse formelle, que si je te dis "stop safari" tu arrêteras tout de suite ce que tu es en train de faire ?"

    "Je te le jure, ma tendre Agnès, et si je passe outre ta demande d'arrêt, je t'autorise à quitter immédiatement cette maison" Je comprends qu'il ne bluffe pas, et lui demande : "Alors comment commence ce "safari" ? Nous allons choisir nos fusils ? Ou des caméras et des appareils photos ?"

    Il sourit et me dit en se levant : "Je vais chercher quelques bricoles, en attendant, lève-toi et mets-toi debout devant le canapé, fesses tournées vers la cheminée ! Je reviens de suite !" Au ton de sa voix, je sais qu'un nouveau jeu d'amour vient de démarrer, et je m'exécute bien volontiers.

     

    "Je me sens un peu bébête : pieds nus, très peu vêtue,debout devant un canapé vide, les fesses chauffées par le foyer de la cheminée"

     

    Mais Paul revient très vite ! Il s'assied au bord du canapé, me rapproche un peu de lui, relève le bas de ma nuisette, glisse ses mains sur mes cuisses frémissantes et en profite pour peloter fermement mes fesses rebondies.

    Ses doigts saisissent mon mini-slip, et le font glisser lentement le long de mes cuisses et de mes jambes, que je soulève une à une pour l'aider à le retirer. Je m'étonne lorsque je le vois le porter à la son visage pour le humer.

     

    "Les fragrances du joli petit con de ma femme sont des parfums délicieusement érotiques"

     

    "Peux-tu me dévoiler la belle grotte qui exhale un si doux parfum ?" Totalement impudique, je relève totalement le bas de ma nuisette que je bloque à ma taille et en lui désignant du doigt le haut de mes cuisses je lui indique : "Que mon petit chaton implore ses baisers !"

    "Un chaton qui implore des baisers ? Quel curieux vocabulaire ! Aurais-du oublié nos séances d'Avac ? "Oooooh Paul, tu sais bien que ce langage vulgaire ne me convient pas du tout, ne me demande pas ça !" "Mais mon tendre bébé, tu as la solution : il te suffit de dire "stop safari" et ton calvaire s'arrête !"

    Un silence lourd se fait dans la pièce. Paul repose mon slip et prend un des livres qui traînait sur le canapé et semble se désintéresser de moi.

    Je réalise que je dois continuer à faire des compromis et à apprendre à faire ce que je n'aime pas faire, si je veux le garder et être celle qu'il attend que je sois ! Je me racle un peu la gorge et lui dis d'une voix rauque :

    "Ooooh, Paul, mon con trempé a besoin de ta bouche et de ta langue pour boire mes jus de salope excitée, et mon clito attend avec impatience tes doigts et tes dents !"

    Il repose son livre et me répond :

     

    "Pas tout de suite, une esclave doit savoir attendre sans rien demander"

     

    "Peut-être qu'après ou même pendant la surprise que je t'ai préparée, tu auras l'occasion de t'envoyer en l'air, mais ce sera en découvrant une toute nouvelle jouissance pour toi ! Tu es prête ?" "Oui, Paul, mais j'ai peur !"

    "C'est très bien, nous voilà en présence de ta première peur, nous allons pouvoir nous entraîner à la chasser et à la terrasser !"

    "Paul, s'il s'agit de me frapper d'une quelconque manière, et si tu me promets de faire doucement, je veux bien essayer pour te faire plaisir !" "Ma tendre colombe : j'adore ta façon de présenter les choses. Tu ne veux pas essayer pour me faire plaisir, tu as envie d'essayer, tout simplement ! Je vais donc installer le nécessaire pendant que tu pourras continuer ta lecture érotique, mais tout en restant debout et en écartant un peu plus les cuisses, c'est comme ça que je te préfère dans l'attente de la suite de ta séance d'éducation !"

    Il se lève, me fait un clin d'œil et part d'un pas décidé. Il s'arrête un instant pour me lancer avec son air taquin : " Toutefois, ne commence pas sans moi !" Je grogne pour le principe, mais il n'a pas tout à fait tort, car tout en feuilletant les pages de la revue porno qu'il m'a donnée, je laisserais volontiers courir mes doigts sur mon chaton, ou sur ma moule comme il aimerait que je dise ! J'avoue que le film, les livres et les revues m'ont chauffée au rouge vif, je sens que je vais faire encore une folie, mais tant pis, j'en ai trop envie.

    Quand il revient, je suis toujours debout devant le canapé, les cuisses bien ouvertes, ma main gauche enfouie dans la zone de mon bas-ventre et une revue dans la main droite.

     

    Il me regarde dans les yeux, mais j'ai un mal fou à soutenir son regard moqueur.

     

    Il me prend la revue pour la déposer sur le canapé, et ôte lentement mon autre main de la chaleur moite de ma chatte en fusion.

    Il enlève totalement ma nuisette, me croise les mains sur la tête et s’assure que mes bras sont bien parallèles à mes épaules.

     

    Et il finit par me pousser gentiment vers le garage, sans dire un mot.

     

    Je tremble comme une ado qui aurait fait une bêtise. Le garage est immense, puisqu'il fait la même surface que tout le rez de chaussée de la maison. Mais il est divisé en une demi-douzaine de garages fermés et verrouillés, qui contiennent les bolides de Paul, un grand espace qui peut accueillir plus de six voitures, que nous utilisons quotidiennement, dont la carriole du bus scolaire, mais aussi des pièces fermées que je ne connais pas.

    Toutes ces pièces ont une ouverture à code, et Paul ouvre l'une d'elle dans laquelle il me pousse doucement. Elle ressemble à un débarras, avec un vieux lit dans un coin, des fauteuils et des chaises, mais aussi un crochet qui pend d'une des poutres au bout d'une chaîne un peu rouillée, probablement destiné à suspendre un moteur entier.

    Il me sourit et m'embrasse la bouche, jusqu'à ce qu'il sente que mes jambes flageolent entre ses bras. Me laissant reprendre ma respiration, il me dit : "Je ne désire en rien te contraindre. Si tu le désires toujours et que tu m'aimes assez pour me faire une totale confiance, tu vas passer toi même ces menottes à tes poignets et je vais t'aider à monter sur ce tabouret pour que tu accroches tes poignets à ce crochet !"

    J'obéis silencieusement en femme "docile", totalement soumise à ses envies et, de même qu'aux miennes également, je dois l'avouer humblement !

     

    A poil devant Paul qui est encore un peu vêtu, mon excitation monte encore un peu plus.

     

    Il s'approche de moi, m'embrasse tendrement et m'aide à me passer les menottes aux poignets. Le contact du métal froid me fait frémir ! Comme pour m'encourager, il m'embrasse puis me pousse sous la chaîne et m'aide à monter sur le tabouret. Lorsque je passe la chaîne des menottes dans l'anse du crochet, mes pensées se bousculent : je suis incontestablement devenue folle d'accepter toute cette mise en scène !

    Il me maintient délicatement quand mon corps redescend, coincé entre le crochet qui bloque la chaîne de mes menottes, vers le haut et, le tabouret sur lequel je dois me mettre sur la pointe des pieds, vers le bas. Mes bras et mes seins sont étirés, mon corps tendu est offert et mon ventre se creuse.

    Il s'éloigne de quelques pas, me sourit en me regardant des pieds à la tête ! "C'est ta dernière chance de faire marche arrière, si tu repousses le tabouret : tu deviens la proie de tes envies et des miennes sans possibilité d'échapper au plaisir qui t'attend !"

    Est-ce pour le provoquer ou le braver ? Je ne réalise pas bien pourquoi mon pied droit repousse fortement le tabouret et le fait tomber.

     

    Mon corps se tend encore plus, uniquement attaché par la chaîne de mes menottes

     

    Il tournoie dans le vide sans que je ne puisse contrôler ses mouvements ni le sens de ses rotations. Je me sens plus que jamais comme son objet sexuel, son esclave et, je découvre que ma formation avance bien, car je ne suis pas surprise outre mesure que cette situation m'excite de plus en plus fort et inonde mon puits d'amour !

    Complètement inconsciente et provocante, je profite d'un moment où ma croupe lui fait face : "Frappe mon cul, mon amour, s'il te plaît !" "Non pas tout de suite. Te regarder, pendue comme un jambon, attendre ta première flagellation me fait bander et l'attente te la fera désirer plus encore"

    "Salaud !" En m'attrapant fermement d'un bras, il me serre contre lui. Son autre main, saisit ma nuque et plaque ses lèvres contre les miennes pour un baiser fougueux. Cette position, nue, debout et bras liés au-dessus de la tête me trouble au plus haut point. Sa langue gourmande m'explore pendant que d'une main ferme, enroulée sur ma nuque, il maintient ma tête lui interdisant tout mouvement.

    Ce baiser me fait craquer tellement il est enflammé.

    Nos langues se mélangent et tournent ensemble en une folle sarabande.

    Rien n'égale ce baiser : si doux, si pervers et si sauvage a la fois. Sans cesser son baiser, il me fesse à mains nues en me caressant entre deux claques. Ses doigts s'insinuent dans mon sexe que je sens de plus en plus trempé. Les sensations que j'éprouve sont exquises. Et me font aller chercher ses doigts en balançant mon corps pour cela !

    Il joue entre mon plaisir et ma souffrance. Souffrance, car mes poignets me font souffrir et que ses claques sont beaucoup plus fortes, aujourd'hui, et, plaisir, parce que les caresses sur la peau de mon cul qui doit être rouge vif, sont apaisantes et fort agréables.

     

    Oooooh ! Que j'aime être ainsi liée et offerte à ses divins tourments.

     

    Paul passe derrière moi, contemple mes rondeurs et y laisse courir ses mains. Il se plaque contre mon dos, déplace mes cheveux et m'invite à pencher la tête en avant pour laisser courir ses lèvres sur ma nuque.

    Mes yeux peuvent voir ses doigts effleurer à peine sans les toucher vraiment, la pointe de mes seins aux pointes tendues. Je sens la chaleur de ses mains, sensation exquise en espérant plus de caresses, mais il joue comme les magnétiseurs sur ma peau sans réellement la toucher.

    Mes tétons se tendent sous la voluptueuse caresse de mon trop doux tortionnaire. Je commence à avoir vraiment envie de plus de contacts charnels, mais il me les refuse.

    Il m'abandonne à mes émois et, de derrière un carton posé sur l'établi, il sort un martinet jouet avant de venir se placer derrière moi. J'attends les premiers coups en frémissant d'inquiétude et d'excitation érotique.

    Un premier coup s'abat sur mes fesses. Je bondis en avant, même s'il n'est pas très douloureux. Le sifflement des lanières m'annonce le deuxième. Finalement, la douleur arrive, car les coups sont portés toujours aux même endroits ! Je laisse échapper un petit cri de douleur.

    Le claquement du troisième résonne dans la pièce, il m'a fait tressauter et serrer les fesses. Je serre les dents par fierté en me disant que ce n'était finalement pas une bonne idée. La peau de mes fesses chauffe et je sens des picotements là où les lanières se sont abattues.

    Le bois du martinet glisse sur mon cul avant de s'insinuer au creux de mes cuisses. Les lanières sur mes jambes génèrent un frisson, Paul les fait ensuite remonter sur ma poitrine, je ne dis rien mais j'ai une peur bleue. Mais, quand il sent que je me contracte et qu'il sait que je crains ce qui va se passer, il me dit :

     

    "Laisse éclater ta peur ! Tu vas voir comment nous allons la vaincre !"

     

    Et, il me frappe à la volée : il passe d'une fesse à l'autre et n'épargne pas mes cuisses. Je me cambre, me tortille comme un vers ridicule pour essayer de m'échapper, mais les fines lanières de cuir me rattrapent.

    Je lui demande grâce, mais il continue ! Il me semble que la peau de mon cul est arrachée par les terribles lanières.

    "Que tu es douillette ! Que de cinéma pour un martinet d'enfants ! "Paul, je t'en prie, arrête, j'ai trop mal ! Arrête !" "Ah bon ? Tu as trop mal, c'est surement car je ne me suis occupé que de ton cul et de tes cuisses, mais je vais changer, rassure-toi et tu auras plus de plaisir !" Il arrête ses coups sur mon cul et tire le tabouret qu'il redresse et met entre mes cuisses, m'obligeant à les ouvrir un peu plus. Il a tout mon sexe ouvert devant lui et l'une de ses mains vient fouiller mes muqueuses chaudes et trempées.

    Mon esprit se partage entre ses attouchements experts et les coups que j'ai reçus. Mais, ses caresses dénotent d'une telle connaissance de la moindre zone érogène de mon corps que je suis de plus en plus excitée et que tout sentiment de douleur s'efface peu à peu.

     

    Je découvre, à mon corps réellement défendant, que le monde merveilleux de la volupté dans la souffrance existe vraiment,

     

    et que je suis en train de commencer son exploration ! Mais, lorsque le plaisir commence à poindre dans mes entrailles et dans mon cerveau, Paul stoppe net ma jouissance en arrêtant de me battre et de me caresser !

    Comment fait-il pour connaître le juste instant où personne au monde ne pourra plus arrêter mon orgasme ? J'ai les nerfs à vif, abandonnée aux portes de l'orgasme, comme si je ne méritais pas de l'atteindre ! Je frissonne, écrasée de désir, broyée par l'interdiction de l'atteindre !

    Mon éternelle pudeur imbécile m'interdit de lui crier que de m'arrêter, quand je suis à deux doigts de jouir, est une véritable torture et non une marche de plus sur le chemin de mon éducation de femme soumise et esclave ! Mais je modère mon propos en lui disant doucement : "Paul, détache moi s'il te plait et baise moi comme tu le voudras, mais je t'en supplie, ne me refuse plus l'orgasme, je vais devenir folle !"

    "Non, ma toute belle, "il ne me plait pas" de te libérer.

     

    La splendeur irréelle de mon élève esclave au cul rouge, m'impose inéluctablement la sauvagerie d'un viol avec tortures

     

    et absolument pas d'une gentille pénétration avec des câlins de Bisounours !" Paul passe derrière moi, il m'agrippe brutalement par les hanches et tire mon cul douloureux vers lui.

    En manque d'amour, sans me rendre compte de l'impudeur de mon appel, je tends mon cul vers lui en ouvrant autant que je peux mes deux orifices ! Je l'aime à la folie, mais encore plus quand il est pervers et qu'il me pervertit, ou quand il m'initie à des jeux et que je me révèle une salope avisée et une excellente élève !

    J'ai une envie folle de lui et de sentir sa bite au fond de moi ! Sa main guide son pénis dans le fouillis de l'entrée de ma moule dégoulinante sur lequel il glisse en en cherchant l'entrée.

    Mais quand il la trouve, il ne me fait pas de cadeau : il est au summum de sa dureté, entre le bois d'Afrique et l'acier du Luxembourg. Il plonge dans mon con en me prenant brutalement, d'un seul coup de rein. Mon ventre l'attendait et il se dilate avec plaisir. Rien que de me sentir ainsi prise et si rudement clouée par son pieu magique, m'irradie et me fait sauter au moins une dizaine de marches vers la montée de mon orgasme !

    Empalée, tenue à la taille et guidée par ses mains, je suis un pantin qui monte et descend sur sa bite.

     

    Je ne peux rien faire, et la chaîne qui me tient suspendue est là pour me rappeler ma condition d'esclave totale.

     

    Je me suis totalement livrée à son bon vouloir, à ses caprices, aussi pervers soient-ils et je n'attends que sa volonté pour profiter du plaisir qu'il voudra bien me donner !

    Je sais que je n'ai rien à lui réclamer ! Je réalise tout d'un coup que je m'apprête à penser une nouvelle fois : "Toujours, comme si Paul, lisait dans mes pensées !" Mais, je sais que c'est impossible.

    Il est probable que mon disque dur a eu un petit bug, car d'un seul coup, je comprends tout : quand deux personnes qui commencent à très bien se connaître, dont la logique et l'intelligence sont quasiment identiques, bien que je pense que Paul soit plus doué ! Donc, quand ces deux personnes pensent en même temps au même sujet, il est fort probable qu'ils arrivent tous les deux, et quasiment en même temps à la même conclusion ! Et quand j'annonce fièrement un peu plus haut : "Et je n'attends que sa bonne volonté pour profiter du plaisir qu'il voudra bien me donner ! Je sais que je n'ai rien à lui réclamer !"

     

    Cela veut dire que tous les deux nous sommes arrivés au même résultat sans nous consulter !

     

    il sait que je ne vais rien lui réclamer et il tient mon orgasme dans sa main : s'il l'ouvre, je jouirai ! S'il la garde fermée, je serai frustrée ! Paul a du sentir le blanc dans mon attention et dans ma conversation, peut-être s'est-il demandé ce qui m'arrivait, mais, sans évoquer ce silence il continue : "Tu t'offres à moi comme une garce en mal d'amour, tétons gonflés et connasse dégoulinante, telle une femelle en chaleur qui cherche une queue pour la monter ! J'aime quand mon ex-pudique tourterelle tend son cul à mon désir !"

    La bouche grande ouverte, je crie et halète sous les assauts infligés par mon Maître amant. La tête rejetée en arrière, je m'abandonne à son supplice et à ses mots outranciers.

    Placé derrière moi, il n'a aucun mal à empaumer mes nichons à pleines mains, il fait rouler mes tétons puis les pince rudement. Pendue et tendue par la chaîne, je me tords comme une liane à chaque coup de reins et à chacune de ses tortures de mes bouts de mamelles bandés.

    Privée de mes mouvements je ne suis plus qu'un vagin, un corps avide totalement obsédé par ma jouissance que je ne contrôle même pas ! Paul se penche sur moi, une de ses mains abandonne ma poitrine et caresse la face interne de ma cuisse.

    Elle la soulève assez facilement, la disjoignant de l'autre cuisse et, ce mouvement ouvre encore plus obscènement mon con. Ooooooooooooh ! Quel plaisir quand elle se pose sur mon intimité, quand ses doigts écartent sans ménagement mes lèvres, cherchent mon clitoris non pas pour le maltraiter, cette leçon fait partie du passé ! Mais pour l'écraser et le pincer entre son pouce et son index. Il m'oblige à gémir de douleur, et je sens que je recommence à perdre la tête.

     

    Sans aucune retenue, toute honte et pudeur oubliées, je deviens une véritable furie

     

    Qui crie à son "tortionnaire" des : "Oooooooooh, ouuuuuuuuuuuuui, plus foooooooooooooooooooort" Tout en me cambrant plus encore pour m'offrir à ses ruades.

    Entre ses cuisses qui claquent sur mon cul torturé, une de ses mains qui pince mes tétons, ses assauts qui me remplissent de plus en plus la connasse et ses doigts qui écrasent mon clito de garce, je délire maintenant totalement sous le plaisir déferlant. Je n'ai jamais connu de sensation aussi forte.

    Il me semble qu'en quelques mois, j'ai appris à jouir, car chaque orgasme qu'il m'accorde est pour moi une nouveauté en longueur, en puissance et en ondes sonores pour mes éventuelles voisins ! Je crie ma jouissance comme une louve, ravagée, vaincue, un genou à terre, soumise abattue par un orgasme souverain, impérial et libérateur.

    Emporté par son plaisir, Paul ne me laisse pas souffler : il continue de maltraiter mon clito et mes tétons, il accélère ses allers et retours en moi, et, dans une demi-inconscience provoquée par un "tsunami trop fort", je l'entends jouir dans un grand râle de plaisir trop fort.

    Nous restons un long moment comme cela, collés par mon cul et son ventre, jusqu'à ce que je sente un liquide s'échapper de mon con, forcément ouvert par ma position, et je lui murmure à l'oreille : "Huuuuuuuuuummmmmm, mon Maître, tu es en train de couler de ma connasse, quel dommage de perdre tout ce bon foutre ! Comme j'aimerais être acrobate pour pouvoir me pencher et boire ton sperme que j'aime tant !"

    Il éclate de rire, et je le suis avec grand plaisir ! Je manque de m'écrouler quand il me détache : si ses mains ne m'avaient pas rattrapée, je me serais affalée sur le béton.

    Dans ses bras, je vois passer les pièces et le couloir de la maison comme dans un rêve. Il m'allonge délicatement sur notre lit, dans ma mémoire tous les instants que je viens de vivre sont fragmentés tel un puzzle dont on aurait éparpillé les pièces.

    Petit à petit je le reconstitue en fait il ne reste qu'une seule phase relativement très courte : aujourd'hui, Paul m'a bondée, battue et torturée, mais je n'ai jamais autant joui de ma vie et je n'ai plus peur de mes peurs : elles gisent devant la cheminée !

    J'aurai 20 ans dans quelques jours et Paul veut que nous en parlions tous les deux pour que ce soit une belle fête.

     

    "Pour l'occasion, il m'invite dans un très bon restaurant de fruits de mer, car, il sait qu'avec la cuisine asiatique, c'est celle que je préfère"

     

    "Il me prévient que nous irons en taxi et qu'il aimerait que je porte une belle robe bleue ou bleue marine, avec des mi-talons assortis et, que si ça ne me dérange pas, que je ne mette aucun sous-vêtements !

    J'avoue ne jamais être sortie avec seulement une robe sur le corps, mais comme nous devons parler de "mes 20 ans", je ne voudrais pas lui gâcher son plaisir ! Je choisis une robe simple avec un petit décolleté et une longueur raisonnable, sans transparence, je suis rassurée : seul lui sait que je suis nue dessous !

    En ce dimanche de printemps, il fait un temps magnifique, on sent que la nature se prépare à accueillir l'été, ma saison favorite, quand on habite, en plus dans une maison comme celle de Paul ! Dans le taxi, je lui dit : "Tu sais mon trésor que nous allons devoir aussi fêter mon diplôme de fin d'études : vers le 15 juin je serai officiellement "experte comptable et contrôleuse de gestion", et je voudrais parler de mon avenir avec toi !"

    "C'est une très bonne idée mon cerveau si sexy ! Nous allons profiter d'un bon repas et d'une bonne conversation et je suis content que nous sortions un peu de la maison !"

    Ce dimanche matin, il n'y a pas grand monde dans les rues, nous traversons la ville rapidement et un petit quart d'heure le taxi nous dépose devant le restaurant "La Criée" qui est très connu pour ses plateaux de fruits de mer que, même un ogre ne peut pas finir !

    Paul nous commande deux mojitos et nous choisissons deux plateaux de fruits de mer que nous composons nous même : des grosses gambas, du homard, des langoustines, des moules crues, trois catégories différentes d'huîtres, quelques bulots et deux queues de langoustes ! Nous voilà partis pour trois bonnes heures de salissures de doigts et de plaisir total !

     

    Le chef vient nous mettre nos deux tabliers-homards,

     

    Et nous sirotons nos mojitos en attendant que l'écaillère fasse son oeuvre ! "Tu me feras penser à leur acheter deux tabliers spécial homards en partant, car un jour je commanderai des plateaux pour la maison, et tu enfileras ton tablier mais sans rien dessous ! Ce sera plus sexy qu'ici, et tu verras ce que ta moule prendra !"

    "Oh Paul, tu deviens de plus en plus pervers, je me demande parfois si je ne devrais pas te rendre papa pour te calmer un peu !" "Hum, oui dominer une super salope pleine avec des gros nichons et des bouts de mamelles de 5 centimètres ! Quelle fête ce sera ! On annule les plateaux et on va baiser à la maison en vitesse, ok ?"

    Nous éclatons de rire, des voisins de table se tournent vers nous mais ne peuvent que constater que nous sommes un couple d'amoureux content de la vie et d'être dans ce restaurant !

     

    Les plateaux arrivent et nous les applaudissons, car ils sont portés par deux écaillères qui ont en plus planté, là ou elles le pouvaient, des bâtonnets magiques, qui lancent des milliers de joyeuse étincelles

     

    Dans le coin où nous sommes. Il y a même un client qui nous demande s'il peut prendre le plateau en photos et Paul en souriant lui répond en chinois : "Qu'il peut prendre toutes les photos qu'il veut !"

    Très surpris, il nous répond ce que Paul traduit par : "Merci, Madame et Monsieur, vous êtes un très beau couple et je vous souhaite beaucoup de bonheur !"

    Quand il a prit ses photos, notre coin redevient intime et nous commençons à attaquer la montagne de fruits de mer qui vient de s'échouer sur notre table !

     

    "Bon appétit ma chérie, et dis moi par quoi veux-tu commencer : ton travail ou ton anniversaire ?"

     

    "Mon travail, ce serait bien car j'ai déjà beaucoup avancé sur ce dossier contrairement à mes 20 ans !

    Avec toi et ton sexe, je sais que je vais passer une excellente journée au Paradis ! Donc, je ne me fais pas de souci !"

    Je gobe une huître en lui faisant une grimace et il me sourit comme j'adore qu'il le fasse !

    "Ok, alors on va démarrer par ton boulot, je te laisse parler !"

    "Merci Paul, je reconnais ta courtoisie, voilà comment je vois mon avenir professionnel. Pour moi, il est primordial que j'ai un travail, ce qui veut dire, des responsabilités, ce qui ne veut pas forcément dire une carrière, mais surtout, une vie en dehors de toi, un espace de mouvements et de libertés, avec des copines de travail, des sorties distrayantes entre filles pour que j'ai des choses rigolotes à te raconter, une petite voiture d'occasion qui ne vient pas de ton garage mais que j'aurai choisi toute seule et dont je rembourserai tous les mois le crédit, et surtout : trois petits sous à la banque sur pour pouvoir t'offrir un cadeau, sans avoir à te demander de l'argent pour le payer ! Est-ce que tu me comprends, Paul ? Ta réponse est très importante pour moi !"

     

    "Rassure toi mon bébé, non seulement je te comprends parfaitement, mais en plus je t'approuve totalement.

     

    "Tu as besoin d'une vie sans moi, avec d'autres visages, des gens qui ne pensent pas forcément comme moi. Quant à ton autonomie financière, il faut que tu l'aies, c'est primordial, ce sera ton oxygène, je te trouve, comme d'habitude très sage et très sereine dans ton approche d'un problème ou d'un dossier !"

    "Oooooh, Paul, si tu savais comme tu me fais plaisir ! Mais, je pense avoir aussi la solution à te proposer pour bien faire cohabiter notre vie de couple et nos vies professionnelles"

    "Tu n'ignores pas que ce diplôme, que j'ai la chance d'obtenir jeune, me permet de travailler dans un cabinet d'audit, ou de compta : donc en profession libérale. Mais je ne veux pas en créer un, car ce serait beaucoup de soucis pour moi et ça me prendrait trop de mon temps, par contre, j'ai deux amies de fac qui sont, comme moi, dans les trois premières de la classe : Nathalie qui a 23 ans et Brigitte qui en a 22, qui m'ont proposées de m'associer avec elles pour créer et développer ce cabinet"

    "Nous y travaillons depuis plus de quatre mois et nous avons déjà la promesse d'une vingtaine de clients qui sont venus questionner nos profs : "Tiens à propos, simple curiosité, quels sont les meilleurs éléments de la promotion de cette année !" Ils ont été surpris quand les profs ont répondu que c'était trois nanas et en plus pas mal fichues !" "Je n'en connais qu'une sur trois, mais c'est vrai ! Eh bien, dis moi, jolie Agnès, voilà un dossier bien bouclé : et, en plus, ton côté "libérale" peut t'assurer une certaine liberté pour ton côté "libertin", pour ne pas dire plus ! Il te suffit d'un bureau dans notre maison pour rattraper un éventuel retard et traiter à temps tes dossiers urgents, je pense particulièrement aux périodes chargées de déclarations de TVA ou d'impôts ou de bilans !"

    "Tu m'as "volé" mon dernier argument, car c'est de cette liberté que je voulais te parler. Internet me permet de travailler d'où je veux et si je veux t'offrir une semaine dans le Périgord, si tu as une fin de mois difficile ! Je n'ai pas besoin d'un mot d'excuse pour m'absenter !"

    "C'est donc entendu ! Nous appliquerons exactement le plan que tu viens de me décrire, ma douce maîtresse ! Je ne t'aiderai qu'en cas de besoin absolu, mais je suis sure que tu te feras un réel objectif de t'en sortir toute seule, mais n'oublie pas que dans la cinquantaine de sociétés du holding "Albert et fils", plusieurs d'entre elles font appel à des cabinets comme celui que tu vas créer et..." "Nooooooooooooooon ! Paul, je t'en supplie, je ne veux pas ! Je sais qu'en cas de grave problème tu seras avec moi mais je ne veux pas d'aide directe et je te jure que je vérifierai que les contrats signés par mes associées ne le sont pas avec une de tes filiales !"

    "Non, rassure toi, mon amour, tu auras ton indépendance, ta tranquillité et ta vie sans moi : tu sais tout comme moi que, dans une vie de couple, les seuls moments qui sont fabuleux sont les retrouvailles !"

    "Oui, tu as raison, mais tu devrais manger un peu, tu grignotes depuis tout à l'heure et tu te contentes de m'écouter !"

    "Tu as raison et en plus j'ai faim !"

     

    Il plonge vers le plateau et attaque la "décortication" de son homard !

     

    Je fais une pause et le regarde comme j'aime le faire : simplement en train de faire quelque chose avec application, les yeux légèrement fermés avec deux mini-rides au coin de chacun d'eux !

    Il se rend compte que je le regarde et me demande gentiment si je ne veux pas aller me laver les mains et faire un petit pipi pour meubler ma pause ? Je souris en lui disant "C'est en effet une bonne idée, j'y pensais justement !"

    "Eh, bien décidément, nous sommes toujours sur la même fréquence ! Mais si tu vas aux toilettes, laisse moi te donner un petit cadeau que je t'ai préparé pour ce dimanche"

    Et il me tend un petit paquet bien emballé qui pourrait être un livre. Je le prends avant de me lever, un baiser sur la bouche de mon amour, en lui léchant les lèvres pour humidifier les siennes et un ; "A de suite, je vais ouvrir mon paquet surprise !"

    J'enlève mon tablier homard et un serveur m'indique où sont les toilettes !

     

    Suite dans "Agnès" Tome 3 >

     




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  • "Agnès" Tome 3

    Auteur : Anonyme / Adaptation-Réécriture : Agnès et Loré

    Je souris en pensant que même en mangeant son homard, il pense à sa salope !

    Je l'imagine seul à seul avec son homard, mais je suis sure qu'il gagnera le combat ! Je suis les indications et descends quelques marches, à gauche, ce sont les femmes, donc pour moi !

    Je me lave soigneusement les mains et rentre dans le premier wc libre. Je n'ai en fait que le bas de ma robe à relever, et rien à baisser ! En effleurant ma chatte, je réalise que de ne pas avoir mis de culotte lui a fait du bien ! Elle "transpire" comme une bienheureuse !

    Je pose le paquet sur mes genoux joints et pendant que je libère ma vessie, je l'ouvre. Pas de livre, mais deux boîtes superposées. Je décide d'ouvrir la plus lourde, en supposant que c'est un nouveau téléphone !

    Je suis toutefois surprise de découvrir un i-phone 7.

    Il y a un petit mot manuscrit de Paul :

    "Ma chérie, 3 commentaires : quand l'i-phone X ou l'i-phone 8 de Apple sortiront, tu choisiras ton modèle et tu iras simplement échanger ton 7 contre ton choix. L'autre commentaire est très simple : quel dommage de ne pas étrenner ce beau téléphone de suite ! C'est sûrement ce que tu penses ma douce ?"

    "J'ai eu une idée qui te plaira sans nul doute : je suppose que le sol est nickel, mets toi donc à poil, enlève ta chaussure droite, assieds toi par terre, le dos contre le mur et les pieds contre l'autre mur, branche ton téléphone en vidéo, coince le entre ton pied nu et ton pied chaussé et branle toi le con avec ta chaussure, surtout avec ta semelle sale, jusqu'à jouir sans trop crier dans ces chiottes publics ! Car je sais que de te promener sans culotte t'a inondé la chatte depuis que nous avons quitté la maison !"

    "Dernier point : comme tu vas sûrement ouvrir le paquet le plus léger en dernier, tu verras que j'ai un peu changé la pression de tes pinces à tétons, alors fais bien bander tes bouts de nichons en te rhabillant, pinces-toi tes bouts de mamelles comme j'aime : sans toucher le gras de tes nibards ! Referme ta robe et remonte me rejoindre en bougeant bien tes nichons ! A de suite mon amour !"

    Il était aussi logique qu'il profite de ma semi-nudité pour m'imposer quelques tests, pervers mais sans danger !

    Je ne me vois pas remonter en lui avouant que je n'ai pas lu son petit mot, alors, je m'exécute, j'ôte ma robe que j'accroche à l'une des patères de la porte, j'enlève ma chaussure droite, m'assieds par terre, dos et pieds contre les deux murs, je bloque mon téléphone entre mes pieds et, cuisses largement ouvertes, je pose la semelle de ma chaussure sur mon con béant et humide et je me branle après avoir déclenché la caméra !

    Je suis sur que cet appareil ne s'attendait pas à filmer ce genre d'images !

    Pour ne pas décevoir mon Maître, je m'envoie en l'air, mais sans pouvoir hurler ma joie. Pour moi, c'est plus une punition qu'une récompense et pour me punir d'avoir mal joui, je remets ma chaussure, enfile ma robe par la tête, tout en laissant ma poitrine nue, et je fais des selfies de mes doigts en train de faire bander mes bouts, puis de me poser les pinces juste aux bouts des tétons.

    J'enfile ma robe, la boutonne entièrement et sors, je me passe un peu d'eau sur le visage et je monte le demi-étage qui me sépare de notre table. Paul m'attend, souriant, il se lève pour me tendre ma chaise mais en profite, au passage pour toucher les deux pointes de ma poitrine pour bien sentir les pinces qui me font très mal aux nichons.

    Sans autre commentaire que "Merci pour le nouveau téléphone et ces jolies pinces"

    Je déclenche la vidéo des wcs que je pose à côté de lui, et tends mon bras pour prendre deux huîtres que je déguste avec appétit. Entre temps, il a commandé du champagne rosé : il m'en sert une coupe et vient me narguer en faisant "tchin" tout en choquant sa flûte contre mon bout de sein gauche !

    Il est redevenu vicieux et pervers, et je suis rassurée, car j'avais peur qu'il ne se soit lassé de former une ingénue comme moi !

    Il est certain que cette sortie dans ce bon restaurant et sa blague à double détente qu'il vient de me faire a ranimé sa flamme.

    Je ne sais toutefois pas ce qu'il me réserve, mais cela fait plus de quinze jours que nous n'avons pas "joué"

    Bien sur, nous avons baisé tous les jours, voire deux ou trois fois par jour, car Paul est un affamé de sexe, mais dans notre lit ou dans des canapés et dans des positions dites "classiques", mais il n'a pas "usé" de mon masochisme, que je ne peux guère lui cacher, depuis presque trop longtemps.

    Il sait très bien que sa chienne a pris goût à l'os qu'il lui a permit de ronger, et que je suis en manque de cette bonne saveur pleine de vice et de mystère !

    Il continue à manger et me décortique même ma queue de langouste et les pinces de mon homard, et tandis que je n'ai plus qu'à savourer, il me dit :

    "A moins que tu n'aies changé d'avis, nous devions à présent parler d'un autre bel événement : la fête de tes 20 ans !"

    "J'approuve en me suçant, avec un sourire vicieux, les doigts des deux mains !" "Si tu veux redescendre aux chiottes, ma salope, ce ne sont pas tes doigts que tu vas sucer, mais tu vas me faire une pipe et je laisserai même la porte ouverte pour que tout le monde te voit faire ! On y va ?"

    Je rougis et lui demande pardon de l'avoir provoqué !

    "Ok, pas de problème, donc pour tes 20 ans, âge qui est important, et qui doit être bien célébré, nous avons quatre solutions que je t'énumère : soit une fête à la maison avec nos familles et nos amis, soit une fête intime à la maison, soit deux fêtes à la maison : une avec nos familles et nos amis et une autre intime, ou pour finir une dernière avec nos familles et nos amis hors de la maion. Tu as bien suivi ?"

    "Oui, Paul : je n'ai rien pigé !"

    "Ok, comme tu es loin d'être conne, on va admettre que je me suis mal exprimé, je vais donc définir les différentes sortes de fêtes que nous pouvons avoir"

    "En premier et en deuxième : une fête pour tes 20 ans et ton diplôme soit à la maison soit à l'extérieur (à choisir). Où nous inviterons ta famille, la mienne, le trio de la maison, mes deux assistants du holding, le boss du club hippique et tous ceux que tu voudras, mais surtout tes futures associées du cabinet. C'est plus clair ?"

    "Oui, très clair, c'est donc une fête familiale intime ?"

    "Non, pas intime ! Ce sont nos familles, nos relations et nos amis ! Et la troisième est la fête intime de tes 20 ans que je me dois de t'expliquer : étant donnés tes progrès fulgurants, j'ai pris deux décisions, que tu pourras, bien sur, accepter ou refuser ! Je veux t'apprendre à obéir à quelqu'un d'autre qu'à moi, et, pour débuter en douceur, ce sera à une femme, lors de cette soirée intime : nous deux plus elle. Mais, en plus, je dois lever un voile sur notre futur, car,

    Pour tes 21 ans, je t'offrirai un "Donjon",

    Issu de nos idées communes, de leurs réalisations par des artisans ou nos achats communs dans les sex-shops virtuels"

    "Je pense que tu as vu suffisamment de CD sur ce thème ? Et que tu sais ce que c'est ?" "Oui, tu m'as bien conditionnée mon amour ! Je sais parfaitement ce que c'est ! Mais un donjon n'est pas utilisable qu'à deux ? Pourquoi devoir inviter une autre ou d'autres personnes ?"

    "Parce que ce n'est pas son objectif, il sera construit et équipé, bien sur pour de longues séances entre toi et moi, mais aussi pour accueillir d'autres soumises qui seront recrutées sur internet, pour t'apprendre à oublier ta jalousie en me voyant les baiser. Mais, je te ferai aussi dominer par des couples mixtes ou de deux femmes ou de deux hommes et peut être même plus, et, dans certaines situations, je te verrai, toi aussi jouir avec d'autres hommes ou d'autres femmes, ce qui me fera oublier ma propre jalousie !"

    "Tout cela se passera, soit selon mon envie, soit à ta demande : ce qui veut dire que si une situation particulière t'excite, je m'engage à l'accomplir, mais toujours avec notre règle : si tu veux stopper, tu diras "stop" et tout s'arrêtera immédiatement !"

    "Je vois, et tu as pris ta décision ? Je ne peux pas te dire non tout de suite ?"

    "Détruire ce que j'aurais fait construire pour toi, je veux bien, mais ne pas le construire, je refuse. Prenons un exemple > Tu n'aimes pas l'ananas > Tu en as goûté > Oui > Ok, alors on jette les ananas achetés ! MAIS > tu n'aimes pas l'ananas > Tu en as goûté > Non > Alors mange ton ananas et tais-toi ! Tu comprends la différence ma tendre Agnès ?"

    "Mais laisse moi te dire que telle que je vois ton évolution, tu demanderas à dormir dans ce Donjon, qui, n'en sois pas étonnée s'écrit avec un "D" majuscule ! Tu seras tellement excitée par cette pièce, dans laquelle rien ne te sera imposé : nous déciderons de tout ce qui entrera dans cette pièce dont l'ouverture se fera par nos empreintes !

    Nous ferons le plan de cette "salle de plaisirs", nous esquisserons les schémas des machines ou des meubles spéciaux que nous commanderons à des artisans spécialisés et, bien sur nous garnirons des armoires entières d'accessoires sexuels, trouvés ensemble sur des sex-shops en ligne, c'est pour cela que je t'assure que tu tomberas vite amoureuse de cette salle de joies et de jouissances : tout ce qu'il y aura dedans TE conviendra !'

    "Dieu et mes anciennes peurs t'entendent mon amour ! Comme tu m'as dit tout à l'heure, voilà un dossier bien complet ! Il n'y a rien à redire ! Mais puis-je te poser une question qui risque de t'embêter mon amour ?" "Bien sur, mon bébé, je t'écoute !"

    "Réponds franchement : tu avais déjà programmé d'aménager un tel Donjon, et, ce quelle que soit ta future compagne ?"

    Paul sourit, pas du tout gêné, je suis sur qu'il aurait pu poser la question lui même !

    "Si je n'avais senti aucun plaisir pour le bdsm de la part de ma future compagne, ce projet serait resté dans ma tête, et j'ai suffisamment de travail pour faire en sorte de l'enterrer complètement, mais si des indices m'avaient fait comprendre que ma "future" était réceptive, voire très réceptive, ce qui est ton cas, ma douce Agnès, je lui aurais tenu le même dialogue que je viens d'avoir avec toi !"

    "Tout est clair pour toi ma douce ?"

    "Oui, Paul, mais je n'ai pas encore choisi la ou les fêtes !"

    "Je te fais une proposition, très paternaliste et en même temps très amicale ! Célébrons avec deux petits jours de retard tes 20 ans le 15 juin, avec un prétexte simple : car c'est le 15 que tu recevras ton diplôme ! Nous pouvons organiser une grande soirée autour et dans la piscine avec notre petite équipe, nos familles, nos amis et tout ceux qu'il te plaira d'inviter. Ca te va ma chérie ?"

    "Oui, ce sera parfait Paul et nous avons presque deux mois pour tout préparer et prévenir tout le monde. En plus, en Juin, les gens partent rarement en vacances, et il fait déjà très bon ! C'est un très bon choix de date !"

    "Quant à ma "fête intime", qui pourra se faire quinze jours ou trois semaines après, nous avons aussi du temps pour chercher la jeune femme qui te méritera, et là aussi nous déciderons tous les deux de la meilleure candidate ! Tout te convient ma tendre Agnès ?"

    "Hum, oui mon amour, à part que je n'ai plus faim et que j'aimerais que nous rentrions au plus vite à la maison !"

    "Envie d'un petit pipi ? Ma chérie ?"

    "Hum, presque au même endroit, mais je n'ai pas envie de me vider, j'ai plutôt hâte d'être remplie !"

    "Eh bien ! Le futur chantier de notre Donjon t'aurait-il ouvert de nouveaux horizons ma belle vicieuse ?"

    "Je ne sais pas si le Donjon est en cause, disons que le repas, les surprises de ma pause, l'annonce de ce projet, ton acceptation de mon futur travail, et les deux fêtes pour mes 20 ans font de moi une femme plus qu'heureuse, et j'ai beaucoup de peine pour celles qui ne le sont pas !"

    "A 20 ans tu dois apprendre à être égoïste, mon amour, sois heureuse, c'est ce qui compte, Mère Térésa voulait que les pauvres soient heureux, elle en a rendu le plus possible un peu moins malheureux, toi, tu veux vivre et profiter pleinement de ton corps et de notre vice pour jouir le plus possible, alors jouis ! Et moque toi du reste !"

    Je souris de sa philosophie toujours très imagée ! Je n'aurais jamais osé citer Mère Térésa avec des pinces posées aux tétons !

    "Dis moi, ma chérie, je suppose que tu vas aller te laver les mains avant de partir ?" "Oui bien sur, Paul !" "Très bien, prends-ça, ce n'est pas un cadeau c'est un accessoire anti tâches qui te sera bien utile pour préserver l'arrière de ta robe. Remonte avec, tu ne le sentiras presque pas ! Moi je m'occupe de l'addition et du taxi !"

    Je prends dans ma main, un objet dur, plutôt rond, enveloppé dans un de ses mouchoirs et je descends aux toilettes en prenant ma pochette, pour ne pas la laisser seule sur la table.

    Comme la dernière fois, je me lave les mains, les sèche et entre dans le premier wc libre. Je pousse le loquet et dégage l'objet du mouchoir :

    "C'est le premier plug anal que je vois et que je touche"

    Paul m'a donné quelques leçons sur les godes, les plugs et les vibros. Je reconnais un plug anal avec ses trois "donuts" comme il les appelle : trois ronds avec des circonférences croissantes de la plus petite vers la pointe à la plus grande vers le bas, ce qui lui permet de s'enfoncer facilement dans l'anus, tout simplement, en le vissant.

    Bien que je ne sois pas une spécialiste, il me semble, en effet d'une taille raisonnable, et je ne pense pas qu'il me gêne outre mesure ! Décidément Paul a pensé à tout, même à me tenir bien chaude durant le trajet du retour !

    Je décide de ne pas souffrir le moins du monde : je m'agenouille sur le sol, lève ma robe, enfonce le plug dans mon vagin, qui l'engloutit avec un bruit gourmand et horriblement obscène !

    J'y fais quelques allers et retours, et le ressors pour le rentrer en un tour de main dans mon anus qui résiste un peu mais cède, car bien mouillé, en s'ouvrant comme une fleur et en avalant les "donuts" qui me font gémir autant de vice que de plaisir ! Un peu d'eau sur le visage, un coup de peigne à mes cheveux et je remonte vers la caisse où doit m'attendre Paul.

    Contrairement à mes estimations, si, en effet, le triple plug est bien entré facilement, il me gène en fait pas mal pour marcher, m'obligeant à une allure un peu "en crabe", mais nous ne serons que deux à savoir, ce qui me gêne, pour vraiment nous en rendre compte !

    Paul m'attend et me dit que le taxi sera là dans 5 minutes, nous saluons les serveurs et l'écaillère qui a les joues roses !

    Je suppose que Paul a été très généreux avec elle pour nous avoir aussi bien gâtés !

    Nous passons devant l'établissement qui est en fait bâti à l'envers : sa façade et son entrée donnent sur une bretelle d'autoroute très passante, et l'arrière sur son parking !

    Et Paul me prend la main en me disant : "Je me suis arrangé avec eux, quand nous voudrons des plateaux de fruits de mer, ils nous les préparerons et les enverrons par un taxi-colis, nous n'aurons plus qu'à payer le prix de la livraison au taxi, et la commande à réception de leur facture, ce qui nous permettra d'étrenner nos tabliers spéciaux homards que je porte dans ce sac ! J'ai hâte de te voir habillée comme ça, mon amour !"

    Paul m'embrasse alors que le taxi arrive.

    Nous nous installons et il s'approche de mon oreille pour me murmurer :

    "Je te propose un petit jeu pendant que le taxi nous ramène à la maison, tu veux bien ?"

    "Paul ! Tu m'as déjà vue refuser un de tes jeux ?"

    "Tu as raison mon coeur, excuse moi : alors voilà la règle : nous avons environ une demi-heure de route, nous allons faire semblant de dormir tous les deux, enlacés comme deux amoureux"

    "Mais, en réalité, nous n'allons pas dormir : tu vas passer cette demi-heure à te caresser tes bouts de nichons, à frotter discrètement tes cuisses l'une contre l'autre en ayant le droit de t'aider de ta main et de tes doigts, pendant que je m'occuperai de manoeuvrer le plug de ton cul, le but du jeu est que tu jouisses dans le taxi environ 5 minutes avant notre arrivée à la maison et que le chauffeur ne se rende compte de rien, ou qu'il ait de simples doutes !"

    Il me prend gentiment dans ses bras et, nous nous "endormons" rapidement, le chauffeur, baisse même le niveau de son auto-radio pour ne pas nous déranger.

    Comme prévu, Paul a passé son bras droit derrière moi et titille, pour le moment, gentiment mon plug du cul, mais probablement que cette situation va très vite empirer et qu'il faudra que je fasse attention de me retenir de gémir ou de grogner !

    Je ris intérieurement en pensant à la tête du chauffeur s'il savait ce qu'il se passe sur son siège arrière !

    Et je me caresse les nichons et les cuisses en pensant qu'un jour, peut être, nous prendrons un taxi avec un chauffeur sexy et que je boirai tout son foutre sans quitter mon Maître des yeux

    Paul avait bien calculé, environ trente minutes après notre départ du restaurant, nous sommes devant la porte de la maison.

    Il bipe et la lourde porte s'ouvre majestueusement sans un bruit, encore un tour de force de Norbert, notre génial mécano !

    Le chauffeur accepte de nous conduire jusqu'au perron, ce qui lui vaut un bon pourboire.

    Je profite de ce temps mort et du bruit des pneus sur le gravier pour faire semblant de m'étirer comme une chatte, mais d'une seule main ! La deuxième étant rivée sur mon con que je malaxe jusqu'à ce qu'elle me fasse jouir, conjointement avec les coups de boutoir de Paul qui a très envie de me défoncer l'oignon.

    J'ai beaucoup de mal à dissimuler mon orgasme et malencontreusement, je croise le regard du chauffeur dans son rétro, et, en voyant ma tête plus que défaite, il me fait un grand sourire entendu et détourne vite son regard pour ne pas déranger mon intimité visiblement bien bousculée !

    Nous descendons et le remercions, il assure que tout le plaisir fut pour lui ! Ce qui confirme qu'il sait que je me suis envoyée en l'air !

    Il repart, et, comme convenu avec Paul : arrivé à la porte, il klaxonne deux fois et Paul bipe la porte, qui se referme seule derrière le taxi.

    Nous rentrons rapidement car il ne fait pas bien chaud : le début du printemps n'est pas forcément synonyme de chaleur.

    Paul recharge rapidement la cheminée de granulés ce qui relance immédiatement le foyer qui, très rapidement réchauffe le grand salon.

    Il me demande si je veux boire quelque chose de chaud, et je lui réponds que je boirais bien un double expresso avec un grand verre de cognac.

    Il approuve, et me répond qu'il prendra comme moi.

    Entre temps je m'étale dans le canapé et, comme à mon habitude, je laisse voyager mon regard sur les flammes magnifiques du feu.

    Tiens, à ce sujet, je dois dire quelque chose à Paul :

    "Paul ? Tu m'entends ?"

    "Oui, chérie, très bien, qu'y a-t-il ?"

    "Je voulais te dire que j'ai peut être une bonne idée pour la cheminée !" Curieux,il revient de la cuisine, en me disant : "Le café passe, dis moi ton idée ?"

    "Je suppose que tu connais le programme "Cheminée Wifi ?" "Pas trop, mais j'en ai entendu parler" "Eh bien : quand on ne se sert plus de sa cheminée, on appelle cette Société qui la nettoie à fond et y incruste un écran plat de qualité moyenne qui doit être aux dimensions de la cheminée. Il est livré avec un Wifi, connecté sur notre base de réception et, avec une simple télécommande, tu mets le programme en route pour 1.000 heures d'images différentes, selon la publicité : et te revoilà en plein mois d'août avec nos belles flammes de Janvier ! Ca te plait mon chéri ?"

    "Ooooh, oui, ma chérie, c'est une excellente idée ! Dès que tu auras passé tes examens, tu pourras t'en occuper avec Anne Marie, ce serait bien que ce soit en place pour le 15 juin !"

    "Entendu, mon chéri, mais, reviens vite, j'ai encore un peu froid et j'ai mal très mal au cul !"

    "Il faudrait que tu jettes un coup d’œil pour voir si je n'ai pas quelque chose d'anormal !"

    Très sérieux, il me répond : "Pas de souci, ma colombe, je prends ma boîte à outils et Supeeeeeeer Mariooooooo arrive en courant !"

    Il revient très vite de la cuisine avec un plateau bien chargé, il me sert très gentiment une grande tasse de café et une double ration de son cognac favori qu'il m'a apprit à aimer !

    Il lance le débat, mais je pourrais aussi dire le jeu !

    "Tu vois, ma belle Agnès que c'est dans un moment comme celui-là que notre Donjon me fait défaut ! Mais comme pour l'instant, nous n'avons dans notre chambre qu'une grande armoire à moitié pleine de jouets et d'accessoires sexuels, je te prierai, très gentiment d'y monter et de te mettre à poil ! Et, ainsi, non vêtue, tu vas te choisir quelques accessoires pour t'auto-punir en attendant que je vienne voir si la belle petite bourgeoise que tu es a bien fait son choix"

    "En te rejoignant dans notre chambre, je veux te trouver solidement entravée et prête à subir mon bon vouloir. Sois très imaginative, car, si ce que je découvre ne me fait pas bander d'entrée de jeu ! Tu seras uniquement punie, et bien sur, sans une seule petite possibilité de t'envoyer en l'air jusqu'au soir ! Et, il faut que tu saches que cette préparation n'est qu'un enrobage plaisant, pour moi, peut être moins pour toi !"

    "Oui, mon unique amour, on ne peut pas être plus clair que toi !"

    Il sourit et, sans un mot, me regarde me lever et, les yeux baissés, monter l'étage qui nous sépare de notre chambre.

    Les grincements de l'escalier qu'il se refuse à faire réparer accompagnent ma réflexion et mon trouble.

    Il laisse le choix des armes à sa soumise d'amour !

    Cette nouveauté n'est pas pour me déplaire, mais me perturbe en même temps. Certes, je dois lui obéir, ce dont j'ai très envie, mais choisir moi même mes propres postures, mes propres instruments de douleur ou de plaisir et mes propres solutions de bondage, revient à lui indiquer ce que j'aime, sans utiliser ce que j'aime moins et, donc, à lui donner de précieux indices pour le futur, et c'est ce qui me gêne le plus !

    Lorsque j'ouvre la porte de notre chambre où j'ai déjà connu tant de jouissances et de moments pervers, je n'allume pas la lumière.

    Je sais que par souci de discrétion, Paul a acheté et fait livrer une grande armoire qu'il a fait mettre dans un endroit très discret de notre chambre, avec, comme il me l'a dit au restaurant, une ouverture par nos empreintes digitales.

    C'est en fait le premier meuble de notre Donjon qu'il a fait entrer sans mon consentement, mais, je dois reconnaître que tout ce qu'elle contient a été choisi par nos soins, même si, à la base, ces commandes n'étaient pas destinées à notre "Donjon" ! Mais plutôt à notre consommation personnelle, en fait à Ma consommation personnelle !

    Le récapitulatif de nos commandes quasi quotidiennes, dont nous gardions toutes les photos et les modes d'emploi nous excitait presque autant que la réception des dits objets !

    Je sais ce que cette armoire contient, mais, mes sens sont en insurrection à la vue de ce meuble massif et sombre, témoin et contenant, de mon abandon à des délices parfois très cuisants.

    Poser le bout de mes doigts sur la vitre d'identification est presqu'un amusement, mais quand le monstre s'anime et ouvre, très majestueusement ses deux lourdes portes, je suis émue de revoir d'un seul coup tous ces gadgets, que, pour beaucoup d'entre eux, j'ai déjà testé, avec ou sans mon consentement !

    Retirer lentement mon vêtement, et le ranger sur une chaise est une chose facile et à ma portée ! Mais, laisser tomber mon regard sur les étagères déjà bien pleines, les portes où pendent des dizaines d'articles qui semblent me grimacer : "choisis moi, tu vas te régaler salope !", bref, choisir les instruments de mon auto-punition est particulièrement vicieux et pervers !

    Car, les toucher est déjà une source de plaisir. En les touchant je les imagine sur moi ou dans moi et mon imagination érotique gambade telle une jument qui découvre la liberté dans une immense prairie pour la première fois.

    Mais où vais-je me mettre ? A même le sol ? Sur un chevalet improvisé ? Ou les mains attachées par des menottes à une chaîne qui pend d'une poutre du plafond, qui, pour le moment ressemble à un plafonnier rustique ?

    "Tant qu'à choisir ma douleur, je décide de retenir un "fauteuil-crapaud" assez bas"

    Il me revient en mémoire une vidéo assez dure d'une très belle blonde installée dans ce genre de fauteuil qui avait su, devant les yeux de son Maître, s'attacher et se bonder pour lui offrir chaque millimètre carré de son corps.

    Je sélectionne dans l'armoire deux paires de pinces à seins, plus écraseurs de tétons que pinces, un bâillon écarteur de lèvres qui autorise la soumise à pomper son Maître, une grande corde à suspendre avec un nœud coulant, très western !

    Un jeu de chaînes que j'aime beaucoup, car il permet, sans connaître le shibaru de se bonder les seins d'une manière très serrée qui les fait vite ressembler à des ballons de baudruche, tout en faisant un soutien-gorge en chaînes, attaché et relié dans le dos.

    Diverses cordes que je vais surement savoir utiliser pour m'attacher les chevilles et les poignets, en passant sous mon corps ou sous le fauteuil, tout en profitant de ces liens pour m'offrir, les cuisses le plus écartées possibles et les bras et les mains sans aucune utilité.

    Le but de cette situation que j'avais trouvée très excitante, est que seuls, mes seins, ma bouche, mes pieds, mon bas-ventre, mon sexe et bien sur mon cul restent accessibles à Paul, pour en faire ce qu'il en voudra ! Mais je ne doute pas de son imagination !

    Avant de m'installer dans le fauteuil, pour commencer à m'auto-bonder, je pose sur un petit guéridon une cravache courte, car c'est la seule qui me fasse de l'effet, un martinet à 40 brins de cuir, une boîte de bougies de ménage blanches avec un briquet, deux paires de menottes de poignets et deux de poignets et de chevilles.

    Et deux nouveautés que j'ai découvertes dans l'armoire : un Polaroid ! Mon cher amour a donc décidé de garder des traces de nos joutes amoureuses ! Je me demande quand viendra l'heure de la vidéo-cam Wifi ! Mais tout a un début ! Et, quelque chose de plus ancien, mais qui ne figurait pas encore dans notre inventaire des "bonnes petites choses sympas de l'armoire" : un vibro sans fil avec une grosse tête très probablement, chercheuse ! Et surement "trouveuse" !

    Quand tout est réuni sur le guéridon, je me mets au travail avec une application certaine, pour essayer de ne pas déplaire à mon Maître !

    Je m'assieds dans le fauteuil en posant tout mon poids sur ma fesse droite, faisant ainsi un peu de place vers l'autre accoudoir pour y entreposer tout mon petit matériel.

    J'essaye de finir par ce dont j'ai besoin de suite. Je choisis donc le "soutien-gorge en chaîne" qu'il me faut ouvrir sur les genoux pour bien voir où est le "bonnet" droit, le gauche, le passage vers le dos et la fermeture définitive par un clip dans un des anneaux du collier de cou.

    J'ai de la chance, car tout s'étale bien, je me mets le collier, je positionne les chaînes autour de mes seins, je serre assez fort leur base, pour les faire gonfler assez vite, et passe la chaîne dans mon dos, la fait revenir devant et la clipse à mon collier de chienne.

    Tant que je suis vers mon cou, je me passe la "corde western" et tire un peu sur le nœud coulant ! Puis, je pose mon bâillon "ouvre ta bouche sans pouvoir la fermer !" qui évite à un Maître d'avoir à demander l'autorisation de se faire sucer par sa salope !

    Je ne voulais pas le dire, mais je dois avouer que j'ai pris la précaution de poser à trois mètres de mon fauteuil, une psyché qui me renvoie une image parfaite de la scène.

    Je pense que Paul, va sévèrement me gronder pour cette organisation éminemment voyeuriste ! Mais, je verrai bien !

    Le cou et le haut de mon corps étant presque prêts, je m'attelle à préparer quatre longues cordes, d'environ deux métres chacune.

    Tant que j'ai mes mains libres, j'en profite pour faire des nœuds coulants, que j'ai appris à faire en colo de scouts ! Comme quoi le scoutisme mène à tout, y compris au bdsm !

    Je commence par m'emprisonner les chevilles, puis les poignets et je calcule bien mon coup : en fait, il faut que je passe les liens de mes chevilles sous mon corps et les liens de mes poignets sous le fauteuil.

    Comme ça, je vais me retrouver avec la cheville gauche immobilisant ma cuisse gauche, bien sur, à gauche du fauteuil, et ma cuisse droite reposant sur l'accoudoir droit, avec ma cheville droite bloquée sur mon côté droit.

    Quant aux poignets : le gauche ne sera plus visible, car bloqué entre mon corps et le fauteuil, et le droit sera dressé au dessus de ma tête, totalement inutile ! Et, comme prévu au départ, tout sera facilement accessible pour le vice de mon tendre Paul !

    Un peu affolée, j'entends les pas de Paul dans l'escalier, mais il se contente de s'arrêter à la porte de la chambre et de me demander d'une voix douce :

    "Ma chérie, je peux te demander où tu en es ? Non pas pour te presser, mais simplement pour savoir si je peux entreprendre quelque chose !"

    "Mon amour, je te déconseille d'attaquer quoi que ce soit, je suis en train de finir de me préparer pour toi, je te remercie de m'avoir demandé quand je serai prête, disons que dans moins de dix minutes je serai, disons, plus qu'à toi !"

    Alors qu'il redescend sagement l'escalier, mes mains se posent sur les liens de mes chevilles, que je m'apprête à immobiliser pour de bon. Je me sens toute drôle, un peu comme dans un état second, un peu nunuche d'être assise à poil, sur ce fauteuil, occupée à entraver mes chevilles, mes jambes et mes cuisses entre-elles. Mais, je me sens fière de moi, je suis sur qu'il sera étonné de ce que j'ai réussi à faire avec "trois bouts de ficelle", et qu'il aura hâte que notre Donjon ne soit plus un fantasme mais "une réalité bien réelle" !

    En me dénudant tout à l'heure, j'avais réfléchis au fait de me remettre des pinces aux tétons et de garder mon plug de cul.

    J'en avais déduit qu'il me fallait garder les deux tout en changeant les pinces, pour son plaisir mais, ne soyons par hypocrite, tout autant pour mon propre plaisir !

    Car j'aime cette pression sur mes tétons et surtout, j'aime le plaisir que prend Paul à me faire ballotter les bouts, tout en me regardant grimacer de douleur !

    Je laisse donc le "triple-donuts" dans mon cul et me pose soigneusement les deux écraseurs de bouts de mamelles comme il aime qu'ils soient, en prenant bien soin de placer les mâchoires cruelles derrière le téton fièrement dardé pour qu'elles ne tombent pas : c'est si douloureux quand elles se décrochent soudainement ! C'est étrange : elles me font un peu mal alors que c'est si bon quand c'est lui qui me les met. Je le déteste de me soumettre cette auto bondage, face à moi-même et à mon choix de vices intimes !

    Je n'ai plus besoin de mes mains, de mes poignets, de mes avant-bras et de mes bras ! Il est temps de les attacher entre eux pour terminer mon immobilisation.

    Mon bras gauche s'abaisse et mon bras droit monte, les mâchoires des écraseurs tirent sur mes bouts de seins pour se mettre en place et génèrent un pincement désagréable, mais qu'importe, je sais que cela ne durera pas longtemps !

    Je suis prête, il me faudrait à présent décompter les minutes qui s'écoulent trop lentement.

    Je ne sais que trop que Paul aime jouer avec le temps.

    Il m'a affirmé il y a quelques temps que : "L'attente dans le bondage est une alchimie dont le résultat est un immense désir d'abandon à la perversité et au vice", et plus j'avance en expériences, plus je suis sûre qu'il a entièrement raison !

    Je ferme les yeux et mon esprit gambade, mes fantasmes les plus fous se libèrent de leur carcan et de mon mental.

    Deux hommes usent et abusent de mon corps, je sens presque leurs quatre mains sur moi ! Traversée par de troubles émotions, la sensation de captivité volontaire accroît mon désir et une simple caresse me ferait jouir. Plus j'ai envie de me débattre, sans aucun intention de passer à l'acte, plus cette fausse sensation est agréable.

    Je suis prisonnière des liens que j'ai moi même serrés ! Aussi bien pour que mes nichons deviennent ronds, ridicules et trop sensibles ! Ou que pour que mes cuisses et mes chevilles laissent une accessibilité totale à toutes les zones intéressantes de mon corps de bourgeoise vicieuse ! Ou, qu'enfin, pour que mes doigts et mes mains, ne puissent rien pour me soulager ou pour me donner du plaisir !

    A la recherche de sensations je crispe mes cuisses l'une contre l'autre dans cette délicieuse contrainte qui tend tous mes savants cordages et tous mes nœuds sophistiqués !

    Au bout d'un temps beaucoup trop long qui m'oblige à continuer la branlette de mes cuisses qui me tire des gémissements de chaton en manque d'amour maternel, je ferme les yeux et je n'entends même pas Paul entrer dans la chambre !

    Je sursaute d'un coup en "sentant" sa présence, je le sublime tellement que je sais par son odeur virile où il se trouve dans la pièce. Il me murmure juste dans un souffle :

    "Garde tes yeux clos, laisse moi me repaître de ton abandon plus que total, sois un agneau qui sait que le loup le regarde avec envie ! Dis moi ce que tu ressens à cet instant précis ?"

    "Et réponds à une question : tu veux voir ce qui va t'arriver ? Oui ? Non ?"

    "Amour, tu veux savoir ce que je ressens : je suis prise dans un mélange subtil de surexcitation et de peur !"

    "Bien, mais ce soir : tu m'appelles "Maître" et tu me vouvoies, entendu ma pute ?" "Oui Maître, j'ai compris"

    "Tu me dois aussi une réponse : "Non, mon Maître"

    "Bien, pour le moment tu fais un sans faute ma belle salope !"

    Il déplace les halogènes et prend son temps pour les orienter à sa guise. "Avant que je ne t'aveugle, ouvre bien les yeux et remarque dans la psyché, que tu as placée là volontairement, comment les jeux des ombres et des lumières rendent les formes de ton corps encore plus appétissantes et bandantes, aucun doute, ma putain de gare, tu sais faire bander un homme ! Mais ça, ma belle chienne, ce n'est pas moi qui te l'ai appris ! Tu le savais en naissant !"

    Si ce compliment ne me va pas forcément droit au cœur, je peux affirmer que je l'ai bien bloqué entre mes cuisses ! Je suis sure que, dans une rencontre furtive de nos regards, ses yeux allumés d'un désir pervers, m'annonceraient que je vais vivre un long et difficile moment, tout en espérant qu'il m'accordera de nombreuses jouissances et qu'il me remplira de son foutre jusqu'à ne plus avoir une seule goutte à donner à quelle que salope que ce soit !

    Il s'approche, prend mon cou dans sa main et le serre très fort.

    Il penche sa tête vers ma bouche et m'embrasse avec une rage que je ne lui connaissais pas.

    Nos langues se mêlent dans un combat total, durant lequel aucun de nous deux ne veut perdre !

    Pour épuiser ma résistance, il enfonce les cinq doigts de son autre main dans ma moule ruisselante, je pense qu'au dernier moment, il a hésité entre le fist et les doigts, mais qu'il a voulu me ménager !

    "Trempée, comme toujours, depuis que je te connais, je ne t'ai jamais senti sèche ! C'est ta nature, tu es bien une salope née, je ne sais pas encore si tu est née pour donner la vie, mais je suis sur que tu es sur terre pour donner du plaisir aux hommes !"

    Son discours me passe par-dessus la tête, rien n'égale ce baiser, il est si doux et si sauvage à la fois, que je me sens un objet tout retourné : sa chose, entièrement à lui, et même pas digne de tenir dans le creux de sa main !

    "Ma pouffiasse en chaleur, je peux t'assurer que tu te rappelleras très longtemps de cette soirée, tu seras une louve qui hurlera ta jouissance ininterrompue une bonne partie de la nuit !"

    Il s'éloigne un peu de moi pour aller vers l'armoire dont il revient avec un mouchoir, un rouleau de scotch noir et large et une paire de ciseaux.

    Il se place derrière moi, me pose le mouchoir sur le haut du crâne et fais un premier tour autour de mon visage avec le scotch.

    En perfectionniste, il rattrape un petit dérapage et, me bande six fois les yeux : je ne risque pas de voir grand chose !

    Et, ma cervelle ne se mettant jamais en sommeil, je pense, (et, allez savoir pourquoi ?), que le mouchoir est là pour m'empêcher de souffrir trop quand il enlèvera l'adhésif !

    Mon, Dieu, que c'est dur d'être aussi cérébrale !

    Je ne vois donc plus rien, mais comme c'est souvent le cas quand on perd un sens, les autres deviennent plus affûtés.

    Je l'entends fouiller dans son "panier aux plaisirs" qu'il a posé à côté du guéridon.

    Sans un mot, il s'agenouille devant moi et ceint ma taille d'une ceinture de cuir. Puis de ses deux mains, il écarte mes jambes, et avec douceur, il joue à faire pénétrer un gode de latex souple dans mon con inondé par le désir.

    A cet instant, j'aimerais qu'il laisse ses jouets et me prenne sauvagement. Mais, je sais que ce n'est plus à moi de décider.

    Je sens de l'étonnement et du sarcasme dans son rire, et il me poignarde d'un : "tu es une machine à fabriquer de la mouille, du jus de plaisir, du lubrifiant pour toutes les pénétrations !


    Je me sens rougir de honte, mais je sais qu'il a entièrement raison. Comme d'habitude depuis une petite année, le feu que son vice a allumé en moi gronde et a déclenché la fontaine de mon intimité en manque de sa puissante bite.

    Si dans mon ventre le gode est entré facilement, enfoncer son frère jumeau dans mon cul est plus difficile et un peu plus douloureux. Mais, dès qu'il arrive à ses fins, il accroche une sangle sur le devant de ma ceinture, me fait faire un peu de gymnastique pour la passer entre mes cuisses et la fixer par un autre anneau de la ceinture, mais dans mon dos en tirant très fort sur la sangle pour la tendre le plus possible.

    Les fausses bites sont ainsi profondément figées en moi.

    Je me sens comblée, pleine, engrossée et envahie par ces bites qui ne me calment absolument pas, tout au contraire !

    Ce que je ne peux pas deviner c'est que la sangle qui va de mon ventre à mon cul est fendue au niveau de mon clitoris.

    Paul, ajuste sur ce "trou volontaire" une petite plaque qui me semble être en métal avec des fils qui dépassent d'un peu partout, mais je ne peux pas imaginer ce que c'est.

    Il se lève quelques instants, je suppose qu'il a été se réapprovisionner dans l'armoire, et, en effet, entre deux broiements de mes seins, il change mes écraseurs de tétons contre une paire de pinces beaucoup plus dures, reliées entre elles par une chaînette de calibre moyen.

    Il enfile un fil autour de la chaînette qu'il laisse pendre sur mon ventre. Puis, il vient se placer dans mon dos.

    Mes épaules qui dépassent du fauteuil sont heureuses d'entrer en contact avec son corps doux et chaud qui me comble de plaisir.

    Il embrasse mon cou entre le collier de cuir, la corde et les mousquetons qui sortent des anneaux dépassant du collier.

    Il se relève et ajuste d'une main ferme le nœud coulant de la corde, me laissant bien sentir le moment exact où le chanvre entre dans la fine chair de mon cou.

    Il doit surement devoir se pencher pour attacher la "corde de la pendue" à un des nœuds qui passent sous le fauteuil !

    Je frissonne de peur un court instant mais réalise que ce ne peut être qu'un fantasme mortifère et en aucun cas une intention ! Quel serait l'intérêt de Paul de se débarrasser de son jouet obéissant et télécommandé ?

    Ses mains caressent mes bouts de nichons et tiraillent la chaînette. Mes tétons gonflent, mes nichons s'arrondissent un peu plus, je sens que mon con déborde un peu plus de mes jus de femme chaude, mais je sais aussi que ce ne sont que des préliminaires et que les actions les plus douloureuses et humiliantes restent à venir !

    Il revient devant moi et s'assied dans le petit espace que lui laissent mes deux cuisses écartées : il glisse des petits boîtiers dans ma ceinture, vers mon nombril et, sans le vouloir, il manipule d'autres fils qui me griffent un peu la peau.

    Il m'impose un bâillon boule contre mes lèvres.

    J'ai horreur de ce type de bâillon qui me fait abondamment baver.

    Je résiste tant que je peux, mais je suis bien obligée de prendre la boule en bouche, ou tout au moins entre mes dents.

    Pendant qu'il le fixe sur ma nuque, il me lance : "Ce soir il n'y a pas grand chose à la télé, alors c'est toi qui vas assurer le spectacle !"

    "Mais, avant, il faut que tu saches que j'ai fixé sur tes deux godes, sur tes pinces à tétons et sur des électrodes placées un peu partout sur ton corps, des contacts électriques de bas voltage qui sont tous reliés à une seule télécommande que j'ai dans la main !

    Celle-ci a plusieurs programmes : des décharges électriques aléatoires ou programmées, des sous-voltages ou des sur-voltages, chaque petite étincelle électrique étant destinée à te faire bouger une partie du corps !

    Il vérifie tous les branchements et va s'asseoir dans un fauteuil de cuir face au mien.

    Il me dit un peu méchamment : "Dis-moi pouffiasse, avec tes ballons de fête foraine, tes pinces trop voyantes et tous ces fils qui dépassent, tu ressembles à une nature-morte "Pop Art" ! Tu devrais bouger un peu ton cul, ou faire comme tu faisais en m'attendant : frotter tes cuisses l'une contre l'autre pour essayer de t'envoyer en l'air ! Ca, ça te ressemblerait plus ! Belle salope imaginative !"

    Vexée de la comparaison, je ne bouge pas d'un poil.

    Les secondes s'égrainent, et, comme je le dis souvent, un vilain nuage passe au dessus de nous, mais nous ne disons pas un mot. Je suis sure qu'à travers le scotch aveuglant des éclairs de rage fusent vers lui, mais, dans tous les cas, il est hors de question que je fasse le premier geste !

    Je sais que ça l'agace, quand il me dit : "Pauvre connasse, tu sais très bien que tu ne vas pas me résister longtemps !"

    Il est très rare qu'il m'insulte, et de l'entendre me traiter de "connasse" ne m'afflige pas, car je sais que c'est de l'exaspération.

    Je sais bien que je ne peux pas gagner à ce jeu, mais je sais parfaitement que je ne suis pas une "connasse" !

    Sa menace et son insulte injustifiée augmentent encore mes désirs troubles qui viennent se mêler à des désirs fous.

    J'éprouve une réelle appréhension passagère qui, telle une pulsion plus forte que la raison m'incite à résister encore.

    "Bon, assez joué ! Je vais te mettre la musique de fond, ce sera à toi d’improviser tes cris sur cette partition !"

    Il bipe sur un bouton de la télécommande qui enclenche d'un seul coup, toutes les vibrations et les décharges électriques dans mon corps : celles dans mon ventre et dans mon anus sont des vibrations de glands qui m'offrent des sensations hyper agréables.

    L'œuf attaché à la chaînette reliant mes tétons vibre assez fort en affolant mes bouts de mamelles pincés.

    La plaque située sur mon clitoris, est bien en métal, et envoie des décharges électriques à mon petit bouton qui a un peu de mal à résister, ce qui me vrille dans mes liens.

    La douleur est toutefois supportable et même, presque agréable, je me contrôle, et, pour éviter que Paul n'augmente volontairement la douleur, je le supplie de la tête, car le bâillon ne laisse passer que des grognements et je bouge mon corps autant que les liens me le permettent, mais malgré mes suppliques et mes mouvements de tête qui lui font signe que : "Noooooooooon" Il garde la même intensité !

    Il me dit même :

    "D'ici, je peux embrasser d'un seul coup d'œil toute la splendeur de l'anatomie féminine dans le plaisir"

    "Une pure merveille pour les yeux. Reste ainsi je reviens !"

    Quand il m'abandonne, je craque un peu nerveusement, j'ai trop chaud, je transpire, le bâillon me fait baver.

    Au bout d'une éternité, qui ne dure que quelques petites minutes, il revient et m'explique gentiment ce qu'il appelle : "le coup du Polaroid" !

    "Tu as du te rendre compte, ma belle putain servile, que le fait de te demander de choisir toi même les instruments de tes humiliations ou de tes punitions, me révélaient, à moi, ton Maître, certains de tes goûts, et de tes tabous : par exemple quand j'ai vu des bougies avec des allumettes sur le guéridon, j'ai été assez surpris, mais, rassure-toi, je m'en souviendrai ! Idem quand j'ai vu le gros vibro extérieur sans fil, et aussi le Polaroid sorti de l'armoire : si tu acceptes les photos, je ne vois pas pourquoi tu refuserais les films ! Et je suis donc allé chercher ma caméra !"

    "En plus ça tombe très bien, car, dans peu de temps les vibrations, les décharges électriques et bien d'autres surprises que je t'ai préparées vont commencer à exacerber ton envie de jouir comme une hyène déchaînée.

    J'aurai donc tes images de chienne s'envoyant en l'air quasiment sans repos et donc forcément ta voix entrecoupée de tes cris de jouissance, avec, tes images réelles de salope souffrant ou s'envoyant en l'air pour le plaisir de son Maître ! Ce sera le CD Numéro 1 de notre cédé-thèque !"

    "A présent, je vais baisser un peu les intensités des vibrations et des décharges. Puis, je vais te libérer les yeux et tu vas rester comme tu es, offerte obscènement dans ton fauteuil !"

    Il se lève, décale son fauteuil un peu vers la gauche et le remplace par le trépied du caméscope. Il passe derrière moi, défait les 6 tours de scotch de mon visage et enlève facilement mon bâillon avec l'aide du mouchoir prévu à cet effet.

    Quand la vue me revient, je garde les yeux fermés pour fuir son regard et son œil vissé à la caméra qui enregistre ses perversions.

    Je tente de vérifier les mouvements qui me sont autorisés, dès que j'ouvre et ferme mes genoux : les godes et le vibro de mon clitoris bougent, ce qui curieusement me fait du bien et m'apaise un peu. Soudain, il touche mes jambes, mais quand j'ouvre définitivement les yeux je vois qu'il se contente de mieux les écarter, renonçant à les bloquer avec une ceinture qu'il a encore à la main !

    Je me rends vite compte que les vibrations sont un mal lancinant : elles font naître en moi des sensations douces, puis de plus en plus vives et "piquantes" et finissent par ressembler à des milliers de piqûres de plus douloureuses mais de plus en plus excitantes.

    Au bout de quelques minutes, bien que tous les appareils soient au minimum de leur puissance, je me tords d'un bonheur très fort !

    C'est comme si Paul m'avait transformée en une machine qui pouvait jouir sans discontinuer mais, aussi, sans orgasme.

    Je ne sais plus si c'est de la jouissance ou des contractions de révolte de mon corps.

    Le bâillon boule retient bien mes cris. Et ma salive coule abondamment sur mon menton et ma poitrine !

    Je n'en peux plus ! Je ne veux pas jouir comme ça, il faut que je le fasse changer d'idée : je cligne des yeux pour lui faire comprendre que je veux que cela s'arrête.

    Sans que nous ne l'ayons fixé pour cette séance, c'est un des tous premiers code dont nous étions convenus pour tout stopper.

    Il l'enregistre, mais prend son temps pour se lever et me dire d'un air narquois : " Déjà ? Ce n'est pas possible ! Tu n'as pas encore été punie ! On va simplement faire une pause ! "

    Mais respectueux de ses engagements, il appuie sur un des boutons de la télécommande et stoppe les vibrations et les décharges.

    Il essaye de retirer délicatement les pinces de mes tétons, mais la libération est malgré tout très douloureuse !

    Sitôt dénudés, il gobe avidement mes tétons et les titille à tour de rôle de sa langue habile.

    Et, tout en embrassant mes seins gourmands, il malaxe de ses deux mains mon cul rebondi, ému par ses viriles attentions.

    Il se moque gentiment de moi, probablement pour essayer de me décontracter plus vite : "J'aime bien le petit goût salé de tes mamelles quand tu as transpiré, mais tu sens tout de même la petite salope négligée !"
    J'essaye de le traiter de "salaud", mais le bâillon est un fort mauvais conducteur de la pensée et il ne sort de ma bouche qu'un grognement inaudible !

    Il passe derrière moi, et disparaît de mon champ de vision.

    Il se penche sur mon corps toujours avachi et bondé dans le fauteuil-crapaud, il lève brutalement ma cuisse droite et, sans aucun avertissement, il m'envoie un magistral coup de martinet sur les fesses qu'il vient de dégager quasiment intégralement !

    Je pousse un grognement de surprise et de douleur en gigotant comme un ver et en me tordant inutilement dans mes liens.

    Il juge utile la reprise de ma punition et relance les vibrations des deux godes et de la plaque posée sur mon clitoris qui s’affole.

    Il appuie encore plus ses coups de martinet sur mon cul que je ne peux absolument pas préserver et qui doit commencer à porter les traces des lanières de cuir.

    Soudain, ses yeux remplis de vice redécouvrent mes nichons qui ballottent obscènement au rythme de mes ruades.

    Sans changer de position, car, placé derrière moi, il a un accès direct à mes seins : il les pétrit et les malaxe à tour de rôle d'une seule main mais suffisamment ferme pour me faire grogner de douleur alors que l'autre continue à rudoyer et à zébrer mon cul que je sens de plus en plus brûlant !

    Mes gémissements accompagnent une longue série de coups impitoyables qui font danser mes pauvres mamelles affolées ou pelotées comme un sadique le ferait dans le métro avec un rire sardonique et son gros nez rouge de clown effrayant !

    Comme s'il lisait en moi, Paul sait que je vais jouir, mais tout comme moi, il ne sait pas : "Comment ? Combien de fois ? En souffrant ? Sans souffrance ?"

    Son sourire énigmatique ne me plaît pas du tout, je sens qu'il me prépare une humiliation de dernière minute, il veut en fait parachever l'artistique torture de toutes mes zones érogènes avec ses électrodes et ses décharges électriques que je n'avais absolument pas vues venir.

    Il cherche une faille, une émotion, un geste ou une humiliation

    inattendue qui va me faire nerveusement craquer, tout en provoquant le déluge de mes sens, le flot de mes orgasmes enchaînés et la folle sarabande que va danser mon corps de pute entièrement habité par une folie Vaudou.

    C'est en fait moi qui produit l'étincelle qui lui manquait : je tire tellement sur mes liens que j'arrive à cambrer mes reins, et à écarter un peu plus les deux globes de mon cul pour tendre mon bas-ventre, bien plat, bien tendu et surtout bien offert aux lacets de cuir du martinet.

    Paul comprend de suite, et sait que j'ai perdu cette manche, car, placé tel qu'il est, il se contente d’aplanir un peu mon bas-ventre en me giflant de toutes ses forces le sexe de la raie du cul jusqu'à la jonction de mes petites lèvres et de profiter de ma douleur vive et crue pour lâcher ses coups de martinet non plus sur mon cul, mais sur mon sexe béant et trempé de mouille !

    Alors que tous mes muscles se contractent pour protester contre tant de douleur, et que je serre les dents à me les casser pour ne pas hurler, je sens le premier spasme de plaisir monter en moi, me faisant quasiment tout oublier.

    J'ai l'impression que cet orgasme sera si intense que je vais en hurler comme une louve une nuit de pleine lune !

    La sensation qui prend forme dans mes tripes me semble tellement explosive que je dois faire précéder ce feu d'artifice par un délire charnel pour ne pas que mon plaisir s'envole de moi sans avoir été consommé !

    Mais, brutalement, Paul se détache de moi, jette le martinet, coupe toutes les connections et donc les décharges et les vibrations qui entretenaient mon corps sur le chemin du plaisir.

    Un silence de plomb se fait dans cette partie de la chambre, je n'ai même pas la force de grogner mon désarroi et ma totale frustration à travers mon censeur de bâillon.

    Je ne voudrais dire qu'un mot à Paul : "Pourquoi ?" Pourquoi me faire monter au sommet pour me pousser dans le vide ? Pourquoi me faire croire que ? Pourquoi me berner d'illusion ?

    Je crois avoir compris 98% de ses mécanismes cérébraux quand il dirige ce jeu si particulier. Je sais que moins il m'accordera d'orgasmes, plus ils seront forts, mais, est-ce qu'il ne sait pas qu'il y a "une ligne de non retour" qu'il faut savoir respecter : en deçà c'est un immense bonheur, au delà, c'est une horrible torture !

    Je me tasse dans mon fauteuil en attendant que mon corps cesse de gigoter inutilement dans tous les sens.

    Il me regarde étrangement, je ne sens plus son sourire ironique, voire goguenard, il n'affiche pas la fierté d'un homme qui vient de gagner une partie !

    Il se met debout devant moi, enlève ses derniers vêtements et m'apparaît dans sa splendide nudité avec sa bite droite comme un "i" dont le gland remonte au niveau de son nombril.

    Sans dire un mot, il passe derrière moi et démonte tranquillement et habilement les structures de cordes que j'ai mis tant de temps à concevoir.

    Tout mon corps me fait mal, et je suis très contente d'être libérée petit à petit, ce qui me permet de détendre les membres qui étaient bondés et de laisser circuler le sang dans des articulations qui étaient compressées.

    Ma mauvaise humeur, qui, chez moi, ne peut-être que passagère, s'évanouit vite car je sais qu'après m'avoir entièrement détachée, il va choisir soigneusement un de mes orifices et que j'aurai droit à être baisée comme une reine !

    Quand je suis totalement à poil, et que je n'ai rien d'autre que ma peau sur moi, il se positionne devant moi, me pose les deux genoux sur les accoudoirs de mon "crapaud" et me dit très doucement :

    "Je sais que depuis tout à l'heure tu te demandes "pourquoi j'agis comme ça avec toi ?"

    "Bien sur, étant bâillonnée, tu ne pouvais rien dire, mais, quand ton bâillon est tombé, tu n'avais plus envie de poser ta question ! Tu vois mon coeur que je commence à très bien te connaitre !"

    "Il n'y a pas de réponse à ton "pourquoi ?" Sinon, parce que j'avais envie de te frustrer, parce que tu devais jouir beaucoup plus violemment que tu ne l'avais prévu"

    "Quand j'attendais, en bas, que tu finisses de te préparer, j'ai sélectionné 10 photos dont une seule représente la manière dont tu vas jouir aujourd'hui."

    "Je vais te passer mon portable, tu pourras voir deux fois de suite le diaporama, ensuite tu n'auras droit qu'à une seule réponse : si c'est la bonne photo, je te ferai jouir une bonne quinzaine de fois, voire plus si tu m'en demandes encore !"

    "Mais si ce n'est pas la bonne, je te libérerai, tu me branleras dans un coin sombre, tu me feras jouir sur le sol, tu lécheras et avaleras tout et nous irons dormir, toi, enchaînée aux pieds de notre lit. Tu as compris l'enjeu ?"

    "Oui, Maître, je crois avoir compris que je n'avais pas le droit à l'erreur !" "En effet, ma belle salope, bien raisonné !"

    "Pour le moment tu restes à poil et assise dans ton fauteuil, si tu choisis la bonne photo, je te mettrai dans la situation la plus proche de la photo gagnante, et je m'occuperai de t'envoyer en l'air à ma manière, pas à la tienne ! Tu vois, ma douce, ce soir, tu n'auras pas eu grand chose à décider !"

    "Bien voilà les photos, retiens bien leur numéro et ne te trompe ni dans ton choix ni dans ta réponse !"

    Photo 01

    Photo 02

    Photo 03

    Photo 04

    Photo 05

    Photo 06

    Photo 07

    Photo 08

    Photo 09

    Photo 10

    Je regarde le diaporama une première fois, me concentre très fort, ferme les yeux, j'apprends ma réponse par coeur et récite la première partie très rapidement :

    "Ce n'est ni la 1, ni la 2, ni la 5, ni la 6, car nous n'avons pas le matériel"

    Je complète ma réponse toujours par coeur :

    "D'autre part, ce n'est pas la 7 car il manquerait une fille, et ce n'est ni la 4 et ni la 8 car ces filles ne vous plaisent pas, Maître"

    "Il me reste donc la 3, la 9 et la 10, vous pouvez me repasser uniquement ces 3 photos, s'il vous plaît, Maître ?"

    "Bien sur ma salope : voilà, une dernière fois, les 3 photos de ton ultime choix !"

    "Je pense avoir trouvé, mais je vais réfléchir à haute voix, car j'ai trop peur de me tromper"

    "Pour la 3, vous n'aimez pas que je porte un jean donc je vais l'exclure bien que vous puissiez facilement la reproduire !"

    "Pour la 9, étant donné que nous avons démarré la séance dans un coin de la chambre je ne pense pas que la fin puisse se passer sur le lit, à poil, membres attachés en croix"

    "Il ne me reste que la 10, j'ai choisi un certain style de fauteuil et, quand vous êtes monté, Maître, vous êtes venu pour savoir où j'en étais mais aussi pour voir le support que j'avais choisi. Bien que les deux fauteuils se ressemblent, mais ne sont pas identiques, et bien que je suis très loin d'avoir tous ses tatouages, je répondrai donc que la bonne photo est, d'après moi : "la 10", Maître"

    Il se lève devant mon fauteuil et me fait mon premier compliment de la journée : "Je ne sais pas ce qui me fait le plus bander chez toi : Ton trou du cul si accueillant ? Tes nichons qui appellent à grand cri la torture ? Ou ton imparable intelligence qui me laisse pantois d'admiration ?"

    Suite dans "Agnès" Tome 4 >

     




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