• "Agnès" Tome 4

    Auteur : Anonyme / Adaptation-Réécriture : Agnès et Loré

     

    Je n'ai pas envie de parler, et donc de lui répondre, mais je me force

    en lui rappelant simplement : "Vous avez mis sur le tapis, mon cher Maître vénéré, un Everest de jouissances. Vue ma totale frustration depuis la petite jouissance de collégienne que vous m'avez royalement offerte dans le taxi, ma question sera simple : est-ce une récompense à vous réclamer quand le déluge sera annoncé ? Ou, est-ce que je suis à quelques minutes de découvrir pourquoi vous m'avez tant fait souffert ?"

    "Ta deuxième hypothèse est la bonne, puisque telle était ma promesse : tu vas jouir jusqu'à me supplier d'arrêter de t'envoyer en l'air, mais avant, il faut que je te mette dans la situation de la salope de la photo, et tu vas m'y aider ! Je prends des cordes, puisqu'à priori je n'aurai besoin que de te bonder, mais c'est toi qui va me dire, avec précision et déférence, comment je dois m'en servir !"

    Comment puis-je en vouloir à Paul ? Avec lui, tout devient ludique ! Il ne prend rien au sérieux, même quand mes larmes coulent par un trop plein de douleur, il rit, non pas pour se moquer de moi ! Ooooh Noooon ! Mais pour me dire : "Ne sois pas triste dans cinq minutes, cette scène deviendra un simple fait de vie qui te fera fantasmer et jouir quand tu ne trouveras pas de suite le sommeil !"

    Je commence donc la description de ce qu'il doit me faire pour que je ressemble le plus possible à la fille de la photo, je crois qu'on peut aller chercher très loin pour trouver plus pervers que cette démarche débile !

    "Mon Maître, il me semblerait logique que vous démarriez votre bondage par me poser un soutien-gorge de corde en enserrant très fortement les bases de mes seins pour les arrondir de suite comme de simples ballons"

    "En effet, c'est ce que je pensais, mais je ne vais pas joindre tes bras et tes poignets avec ces cordes, je ne vais m'occuper que de tes seins, avec deux beaux arrondis serrés devant et une fixation sur tes jolies épaules et ton dos, comme tu l'as dit toi même : un vrai soutien-gorge !"

    Il faudra que je lui pose la question un jour, mais je suis sur que Paul a suivi des cours de bondage soit avec des Chinois soit en Chine, car il est d'une dextérité extraordinaire ! Et moins de 10 minutes après avoir commencé, la corde me rentre dans les épaules, me broie un peu les côtes et mes seins commencent déjà à gonfler en changeant de couleur !

    "Pour le reste, c'est à dire les chevilles et les jambes, je ne peux pas vous guider beaucoup, car, vous avez peut être l'intention de me lier ensemble la cheville et la cuisse du même côté, contrairement à la photo, ou bien d'attacher les poignets et les chevilles en quatre points séparés"

    "C'est exact, tu vas donc t'asseoir très confortablement dans ton fauteuil, le dos contre le dossier, mais le cul un peu avancé vers le bas du fauteuil. Je vais en profiter pour te glisser sous les fesses et les cuisses une sorte d'alèse qui protégera un peu ce fauteuil que j'aime beaucoup, puis, je te guiderai pour le bondage final"

    Je m'exécute, je dois me relever pour qu'il passe le tissu protecteur sous moi, il guide lui même la descente de mes fesses, il constate que ma nuque et mes épaules sont bien appuyées sur le dossier et qu'à partir de mon mont de vénus, mon ventre est à plat contre l'assise du fauteuil.

    Il se relève, satisfait et commence à me lier le côté gauche : il pose mon pied sur le bord extérieur du fauteuil, il fixe solidement un nœud à ma cheville et fait 5 tours de corde, sans me bouger, il fait pareil sur le haut de ma cuisse : un nœud très serré et 5 tours de corde et il va chercher mon poignet gauche qu'il pose entre ma cheville et ma cuisse pour lui faire subir le même sort : un nœud et 5 tours de corde. La seule variante est qu'il lui reste un bon mètre de corde avec lequel il va chercher mon pied nu, entoure très fortement mes orteils et termine par un nœud diabolique.

    Il se redresse, s'assure que toutes les tensions de cordes sont bonnes et se dirige vers mon côté droit où il s'applique à refaire exactement le même schéma de serrage.

    Contrairement au modèle de la photo, je me sens assez libre, bien sur, je ne peux pas déplier mes jambes, mais mes mains et mes doigts peuvent accéder à mon ventre, je peux bouger mes orteils, de même que ma tête et mes épaules. Je peux même cacher mes seins sous mes aisselles et même décoller complètement mon cul du fauteuil en le montant très haut.

    Le terme "liberté surveillée" me vient immédiatement à l'esprit et j'en fais pas à mon Maître qui sourit en me répondant ; "C'est un peu ça en quelque sorte, tu t'étais toi même auto-bondée beaucoup plus durement avant que je n'intervienne !"

    "A présent, voyons ce qu'il reste sur le guéridon comme objets ou gadgets que tu m'avais préconisés : un appareil photo que je vais échanger contre un "reflex" plus sophistiqué, surtout pour les gros plans, un vibromasseur sans fil, noir ébène et très impressionnant, une boite complète de bougies blanches avec un briquet, une cravache courte et un martinet assez dense ! Voici donc des objets que tu m'avoues aimer dans ton subconscient et que tu aimerais que j'utilise sur toi !"

    Note des auteurs :

    Nous avons beaucoup hésité avant d'écrire la séquence qui suit et d'un commun accord, nous avons choisi un compromis qui vous permettra de savoir tout ce qu'Agnès a enduré par amour pour Paul sans trop entrer dans les détails.

    Ne pas parler de ces quelques heures qui ont probablement marquées leur vie de couple aurait été "oublier une page trop importante de cette vie", que nous essayons de décrire mais aussi d'analyser

    Je regardais Paul s'agiter autour d'une grosse boîte noire, déplacer minutieusement une espèce de guéridon très haut, semblable aux "échelles" sur les anciennes plate-formes desquelles on posait un appareil de projection de films "super 8" amateur.

    Qui s'était transformé, avec le progrès, en un superbe "réflex" entièrement automatisé, fixé sur un socle par un pivot qu'il s'amusait à faire bouger avec un petit joy stick qui faisait bouger l'objectif de l'appareil photo selon les ordres du joy stick.

    De temps à autre, je pouvais entendre un Zzzzzzzzzzz étrange que Paul m'a expliqué : "Cet appareil a un zoom très puissant, mais un peu bruyant, qui, comme les autres mouvements de l'appareil se commande avec ce petit boîtier, et tu verras, il fait des photos extraordinaires dont nous allons tapisser notre futur Donjon !

    Il était désormais certain que si quelqu'un ne me connaissait pas intimement avant d'entrer dans cette pièce, il connaîtrait tout de moi en en sortant !

    "Bien, voilà les yeux qui te materont et ceux qui te graveront, occupons nous à présent du spectacle que tu vas leur offrir : tu as choisi un vibromasseur, des bougies éteintes ou allumées, une cravache courte et un martinet assez dense !"

    "Pour éviter de t'imposer quelque chose qui ne te plairait pas, nous allons rester dans la limite de cette liste et essayer d'en tirer le plus de plaisir pour toi, et d'excellentes photos pour ta future exposition de nus !"

    "Mais, je vais voir si ton intelligence est toujours aussi vive même quand tu es offerte comme une poissonnière de Marseille sur ton banc de morues avariées ! Dis moi, ma douce pute du Vieux Port : combien de bougies blanches penses-tu que je vais pouvoir insérer dans tes 3 orifices de pouffiasse ?"

    "Pour être très honnête avec toi, je tiens à te préciser que je m'autoriserai de belles doses de vaseline !"

    Je m'attendais à 10.000 questions pornos, mais vraiment pas à celle-là ! Et je ne peux m'empêcher de rire en le regardant droit dans les yeux, ce qui a le double effet de faire disparaître le petit nuage qui traînait au dessus de nos têtes et de rétablir le dialogue.

    "Au moins, ma question totalement stupide t'aura déridée, c'est déjà ça, mais, cela dit, ça ne t'épargnera pas une réponse précise et si possible savamment calculée !"

    "Calculée ? Oui ! Mais savamment ? Je ne sais pas et j'en doute fort, vous seul pourrez répondre après votre observation clinique et les travaux pratiques de cette question théorique. Bien, mais puisqu'il vous faut une réponse, et je suppose que chaque erreur me coûtera cher, je vais donc vous suggérer : quatre dans la bouche, quatre dans l'anus et cinq dans le con, soit treize si je compte bien !"

    Il se lève, sort treize bougies de leurs boîtes, les pose dans l'espace formé par mes cuisses grandes ouvertes et revient de l'armoire avec un gros pot de vaseline, visiblement acheté pour la circonstance.

    Il s'assied, me doigte distraitement la bouche et la chatte avant de me soulever le cul pour pouvoir me doigter l'anus tout en me disant : "Tu as le choix des pénétrations, ma chérie : je t'écoute !"

    Je réfléchis et place la bouche en dernier, car je ne sais pas si la cire vaselinée et mon palais feront bon ménage, et je lui réponds donc : "Dans l'ordre : con, cul et bouche"

    "Oh, la gourmande, tu gardes la bouche pour la fin, tu comptes donc te régaler ! Allez, au travail !"

    "Donc tu prétends que je vais pouvoir te remplir ta connasse de pute avec cinq bougies ! Eh bien, nous allons très vite le savoir !"

    "Pour te tranquilliser, mon doux amour, je vais t'assurer que tu ne risques rien, je ne vais pas te défoncer le cul ou le con pour essayer de ne pas perdre, si je vois que ça n'entre pas, je te jure que je n'insisterai pas"

    Il répond gentiment à mon sourire et ouvre le pot de vaseline.

    Il prend la première bougie par sa base plate, et l'enfonce dans le pot par la mèche et le bout pointu, en prenant soin de ne pas se vaseliner les deux doigts qui la tiennent en la pinçant.

    Il la fait tourner pour bien l'enduire, et la ressort à quelques centimètres de l'entrée de mon vagin.

    Il l'enfonce sans aucune difficulté dans ma chatte grande ouverte par ma position qui frôle le grand-écart, car en étant assis entre mes cuisses, il m'interdit quasiment toute fermeture de mes cuisses.

    La deuxième entre tellement facilement que je ne la sens même pas, la suivante a un peu plus de mal mais finit par trouver sa place entre les deux premières.

    Je sens que Paul réfléchit, non pas pour savoir comment enfoncer les deux suivantes, mais comment le faire tout en préservant une sorte "d'espace central préservé" pour la dernière, pour qu'il n'y ait aucun risque qu'elle ne puisse pas avoir sa place.

    Il glisse donc la quatrième en maintenant de sa main libre une sorte de demi-cercle formé par les bouts aplatis des trois premières

    et, sans hésiter, ni bouger cette même main, il enfonce la cinquième en se contentant de la faire glisser sur les bords bien vaselinés des quatre autres.

    J'avoue que je commence à sentir la peau de l'entrée de mon vagin terriblement distendue, je ne sais pas ce que ça fait quand on accouche, mais je suppose que ce doit être pire, et ça me rassure un peu, mais je ne peux pas m'empêcher d'hurler :

    "Noooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooon !"

    Quand Paul prend une sixième bougie.

    Il la vaseline longuement dans le pot et la positionne verticalement et dégoulinante de vaseline, juste au dessus de ma moule.

    De sa main libre, il cherche où est le centre des cinq bougies déjà en place, s'assure en faisant bouger chacune d'elles qu'il y a un peu de jeu, et, donc de la place pour la sixième, et sur de lui, il l'enfonce prudemment dans mon con, en la tournant sur elle même, comme s'il la vissait, pour bien écarter les autres.

    Mais elles sont tellement serrées que certaines refusent l'entrée de cette intruse.

    Il s'énerve un peu, et c'est en tapant sur le bout plat de la bougie avec sa main qu'il semble trouver la solution : il prend la cravache courte, qui a un manche en cuir épais et lourd, pose un mouchoir sur le bout de la bougie et commence à la frapper par des petits coups secs avec le manche de la cravache.

    J'hurle de douleur, mais rien n'y fait, il frappe, s'énerve, frappe plus fort, me hurle de faire jouer tous mes muscles vaginaux qui sont au maximum de leurs actions et je craque en éclatant en sanglots alors, qu'enfin, il obtient ce qu'il voulait :

    une mini plantation de six bougies blanches enfoncées par leur mèche et leur bout pointu dans mon réservoir à foutre !

    Je suis sidérée qu'il y soit arrivé, mais je pense que ma douleur ne valait pas la réussite de son pari.

    "Tu connais mal ton corps salope, je savais que ton con pouvait accepter six bougies, alors, tu vas me payer cette erreur en t'envoyant en l'air, j'ose à peine dire seule, car je vais te dévorer du regard sans intervenir et manipuler mon appareil photos pour réussir toutes les photos de toi en train de juter sur ton fauteuil d'esclave !"

    Il se penche, me met dans la main le vibromasseur sans fil, il se lève, prend sa télécommande et me dit simplement : "Tu as le droit à deux actions : frotter tes cuisses l'une contre l'autre dans toutes les positions que tu souhaites, et passer le vibromasseur dans sa vitesse maximum sur tes bouts de mamelles de pouffiasse obscène et indécente !"

    Paul n'avait pas prévu une chose : c'est que je suis tellement excitée qu'à peine le vibro posé sur un de mes tétons, j'éclate d'un orgasme qui couvait depuis quelques longues minutes !

    Il rit en s'avouant surpris mais ne se départit pas pour autant et me dit : "Eh, bien, puisque tu es en forme, tu vas m'en faire deux autres comme ça, le deuxième pour ta punition et le troisième pour mon plaisir de voyeur !"

    J'en ai tellement envie que je ne dis rien, et même si le premier n'a pas été "gigantesque", je décide de changer de position, et pose ma tête sur l'accoudoir de gauche et mes chevilles sur celui de droite, Paul ne m'ayant pas interdit de changer de position, il se contente de tourner un peu mon fauteuil pour avoir ma moule en face de son objectif et j'entends le Zzzzzzzzzzz du zoom.

    Il ne perd pas une miette de mes gestes et de mes attitudes, allant jusqu'à zoomer les contractions et décontractions de mes orteils crispés par le désir de jouir viiiiiiiiiiiiiite et une fois de plus.

    Le second est plus une vague déferlante, je sens qu'il vient de plus loin et met en jeu beaucoup plus d'organes de mon corps : mes tétons sont bandés à fond et me font très mal quand je passe le vibro sur eux, ma moule est bouillonnante.

    Je sens les bougies s'entrechoquer, bien que très serrées les unes contre les autres.

    Il profite d'un petit temps mort dans mes coups de reins pour repositionner l'alèse sur l'accoudoir du fauteuil.

    Je profite de ma bouche libre pour gémir et hurler ma jouissance sans me préoccuper de rien sinon de mon plaisir, et forcément du sien, puisque je jouis pour lui et par lui !

    Le troisième est, comme je m'en doutais, le plus fort et le plus long, chaque fois que j'ai un orgasme aussi long qui secoue mon corps pendant des minutes interminables ou, tout au moins, de très longues secondes, je me rends compte de ce que, nous, femmes multi-orgasmiques, avons comme chance par rapport aux autres femmes beaucoup moins réceptives et bien sur par rapport à nos pauvres amants qui nous envoient tout leur immense amour par l'intermédiaire de quelques minuscules jets de foutre pourtant si agréable et si doux quand on a le plaisir et le loisir de se masser les nichons alors qu'il est encore bien liquide et tiède !

    Paul reprend le jeu en main ! Il me dit : "Ah ! Ma douce chérie, j'ai oublié de te dire que lorsque j'attaquais un autre de tes trous de pute à la bougie, je ne vidais pas celui ou ceux qui étaient pleins ! Désolé pour cet oubli ma chérie !"

    "Tu es une ordure et un salaud, profite bien de cette séance, car c'est la dernière que je t'accorde !"

    Il éclate de rire : "La dernière ???????? Pauvre conne, quand nous aurons fini celle là, je te donne moins de douze heures pour venir me supplier à poil, la moule pleine de ton jus et un martinet à la main, de te faire jouir uniquement avec les lanières du martinet en ne te filmant que le con et ton visage de pute en manque absolu !"

    Il remet le fauteuil à sa place initiale. Il m'agenouille devant le dossier, donc, les seins bondés frottant sur l'étoffe brodée et écarte soigneusement mes cuisses pour bien dégager ma chatte toujours débordante de ses six bougies et ouvre largement mon anus en vaselinant la première et la deuxième bougie qui entrent très facilement.

    La troisième et la quatrième sont un peu peu plus dures, mais, en utilisant le même stratagème que pour le con, Paul "range" les quatre premières en formant une sorte de puits et enfonce la cinquième, encore plus chargée en vaseline, juste au milieu et devant mon étonnant silence, il se contente de m'humilier par un :

    "Même pas un gémissement de plaisir ou de douleur quand la cinquième s'enfonce dans tes intestins ! Tu es une véritable symphonie du cul. Je ne vais pas te torturer pour rien, mais je suis sur que ton cul affamé est capable, tout comme ta connasse, d'en avaler six, espèce de salope insatiable !"

    "Crois-moi quand je t'offrirai à un Maître bien monté ! Je n'oublierai pas de spécifier que tu as un trou du cul sans fond et qu'il te faut parfois deux grosses pines pour être bien pleine !"

    Il me regarde avec un mélange d'ironie et de mépris et se met debout devant mon visage et pose sur le guéridon quatre bougies propres et le pot de vaseline.

    Je redoutais ce moment car je ne savais pas quel goût avait la vaseline, mais Paul, ne s'embête pas avec ce genre de préjugé : il met un gant de chirurgien, passe quatre doigts dans le pot et ramasse un gros tas de vaseline.

    Il me pince les narines de sa main propre, ce qui m'oblige à ouvrir la bouche et me la remplit d'un seul coup avec cette substance au goût atroce qui me fait venir la nausée au bord des lèvres.

    "Je suis sur que tu aimes ça ma chérie, les putes sans tabou disent que ça ressemble à de la merde. Ah ! C'est vrai que tu n'as jamais goûte ton caca, rassure toi ça va vite t'arriver ! Ca fait partie de ton éducation de trou du cul "all inclusive" !"

    "Allez, courage ma douce amie, nous attaquons l'avant dernière ligne droite"

    Il se penche sur mon visage et calmement, comme s'il exécutait une tâche administrative, il m'enfonce les quatre bougies au fond de ma bouche, bien rangées : deux de chaque côté incrustées dans mes joues, laissant ainsi ma bouche à peu près accessible, tout en m'empêchant totalement de parler.

    Puis il me défait avec patience les nœuds qui relient mes poignets à mes chevilles.

    Hum, s'il savait comme je suis heureuse de pouvoir bouger librement mes bras, mes poignets et mes mains !

    Je suis sure qu'il aurait renoncé à son idée !

    Mais, ce qu'il cherche, ce n'est pas de me libérer des fourmis qui courent dans le sang de mes membres restés immobilisés trop longtemps, mais que je puisse récupérer ma "fonction debout" !

    Pour ce faire il continue à me "débonder" et quand il m'a enlevé toutes les cordes, exception faite de mon soutien-gorge de chanvre, il me demande de me lever.

    Mais je suis trop faible et il doit m'aider, car la tête me tourne un peu, mais je finis par pouvoir rester debout sans son aide.

    Il me dirige alors vers la salle de bains et me place devant la double vasque de nos lavabos, il laisse couler l'eau chaude, jusqu'à ce que les deux vasques fument, et les remplit d'eau bouillante.

    Je ne comprends pas ce qu'il veut faire ! M'ébouillanter ? Pourquoi chaque fois que je pense à une humiliation ou à une punition de sa part, je le vois comme un monstre avide de sang et de souffrance ? Il faudra que je règle ce problème un jour ou l'autre !

    Il pose une petite pile de torchon à côté des vasques de même qu'un briquet qui me semble totalement incongru dans ce paysage ! Mais il consent enfin à m'expliquer ce qui va se passer : "Ma chérie si obéissante, tu as à l'heure actuelle six bougies dans le con, cinq dans le cul et quatre dans la bouche, ce qui donne ?"

    Je fais trois fois cinq avec les doigts de ma main droite !

    "Bravo"

    "Je vais te compliquer un peu la tâche, car je ne veux pas que tu touches à celles de ta bouche, et je vais donc prendre cette précaution que tu vas, je suis sur, approuver et adorer !"

    Il se colle à mon dos en me faisant profiter de sa bite toujours aussi dure, m'obligeant même à bouger mon cul pour que je la sente bien chatouiller mes deux globes !

    Il passe un bout de corde entre les lèvres de ma bouche et le tend de toutes ses forces jusqu'à faire un nœud qui me scie le sourire en deux.

    Et me fait très mal aux commissures des lèvres : là où les bougies sont compressées par la corde.

    "Voilà, à présent, tu vas t'enlever une à une les bougies que tu as dans ton ventre : mais, attention : tu choisis ta bougie, tu glisses tes doigts qui vont tout de suite être pleins de vaseline, tu la sors lentement, tu la mets dans la vasque de droite, tu la nettoies bien soigneusement avec l'eau bouillante et quand tu es sure d'avoir enlevé toute la vaseline, tu la jettes dans l'autre vasque dont la température est moindre pour ne pas qu'elle fonde"

    "Quand tu jetteras ta deuxième bougie dans la vasque tiède, tu sortiras la première, tu l'essuieras avec soin, et tu pourras la ranger dans le pot, mèche vers le haut, mais quand tu auras réussi à l'allumer avec le briquet, tu as tout compris salope ?"

    Je fais oui de la tête et approche mon ventre de la vasque la plus chaude : "Tu peux commencer par ton orifice de pute que tu veux, tu as onze bougies à sortir, attaque, je vais mettre l'appareil photo en marche !"

    A part des difficultés pour sortir certaines bougies, trop enfoncées et trop vaselinées et l'eau brûlante de la vasque de "nettoyage", je m'en sors correctement et les bougies s'allument relativement facilement, jusqu'à ce que la onzième trouve sa place dans le gros pot à crayons à côté de ses sœurs et tourne fièrement sa pointe et sa mèche vers le haut comme pour me dire : "Salope, nous sommes prêtes à resservir !"

    "Bravo, tu t'es un peu brûlé les doigts, mais ça n'a pas été trop difficile ! A présent file t'asseoir sur ton fauteuil bien protégé par l'alèse, le con juste au bord du siège, les cuisses posées sur les accoudoirs si possible proches du grand écart, et attends moi tranquillement les mains croisées sur ta tête et les yeux grands ouverts !"

    J'entends le bruit caractéristique d'un homme en train de pisser, je me dis en souriant que c'est la première fois que ça lui arrive pendant une séance ! Celle-ci doit être plus longue que prévue !

    ll revient, toujours nu et bandant comme un cerf ! Mon Dieu comme j'ai envie qu'il me défonce, là, tout de suite, sans un mot, sans me prévenir ! Juste qu'il s'agenouille devant moi et qu'il me défonce la moule avec son pieu en me faisant hurler comme une salope que je suis devenue !

    Le début de mon fantasme se réalise, car il s'agenouille devant moi. Je crois rêver quand il ajuste sa pine au niveau de ma moule dégoulinante, mais, il ne me montre qu'une main : je suis sure qu'il cache quelque chose dans son dos !

    Il me sourit et ouvre sa main cachée devant moi : elle est vide !

    Il éclate de rire et me prévient d'un air qu'il voudrait menaçant :

    "A partir de maintenant, je ne veux pas un seul cri ou un seul mouvement de ta part, je veux - et je ne dis pas je voudrais - que tu gardes en toi tout ce que tu as envie d'exprimer, que ce soit du plaisir, de la jouissance, des jus de femme fontaine, de la douleur, des larmes, des frissons, en bref, tout ce qu'une femme chaudasse comme toi peut ressentir en étant niquée par un Maître qui ne s'occupe que d'une chose : ses jouissances !"

    "Tu as compris, ce que ça veut dire, esclave femelle ? Tu es l'objet de mes jouissances, le réceptacle des jus que je veux bien te donner, mais en cette fin d'après midi, même si tu imploses je ne veux pas sentir que tu t'envoies en l'air, ton tour viendra après et sera beaucoup plus fort !"

    J'ai du mal à me retenir, car, à peine sa phrase terminée, il plonge sa pine dans mon vagin béant et je passe d'un vide sidéral à un remplissage total et profond.

    Ses couilles viennent claquer contre mon cul et mon entrée de vagin, avant qu'il ne se recule pour sortir son pieu et le re-re-re-re-re-re-rentrer encore plus fort, comme s'il voulait me traverser de part en part !

    Dans un délire interne, je rêve d'un pal moyenâgeux qui me traverserait pour ressortir par ma bouche ou par mon trou du cul sous les applaudissements d'une foule compacte qui sait qu'elle va savoir ce que c'est de mourir de plaisir sous les coups de pine de son amant qui veut tout de sa maîtresse et surtout son plaisir total et son dernier souffle de vie !

    Paul est en transes. Lui, qui ne transpire jamais, semble sortir de sa douche. Il me baise sur un rythme quasi insoutenable, il ne me pénètre que lorsqu'il sent que son gland frotte les bords trempés de mon anus, et chaque fois, je ressens son coup de pine comme une épée dans mon ventre alors que de mes deux mains, je tire mes cuisses par en dessous pour encore plus les écarter, essayant d'inventer le "plus que grand écart" pour qu'il ait plus de place, pour que sa chienne soit plus confortable pour que sa pute soit plus vendable !

    Privée de mes sentiments et de leurs manifestations, ma cérébralité va se réfugier dans ma matière grise, et je ne trouve que des insultes, des mots écœurants et des grossièretés pour qualifier ce que je suis en ce moment : une chienne à l'agonie ou un gigantesque clitoris public !

    Il me semble rêver quand Paul cesse ses mouvements, ses couilles baignant dans le jus que ne peut plus contenir ma connasse dégueulante.

    Il passe d'un rythme de marathonien à celui d'un escargot !

    Je le sens bouger en moi comme s'il trempait sa bite dans un verre de cristal délicat et son cri, son hurlement, devrais-je dire, car si proche d'un loup, explose dans notre chambre, s'envole par toutes les imperfections de la construction, s'évapore dans le crépuscule de cet après midi "extra-ordinaire" qui ne peut que "pauser" pour le laisser passer sans lui ôter un "micro-décibel" de sa force !

    Je ne peux, bien sur, pas affirmer, que je ne pouvais pas imaginer qu'un homme pouvait jouir avec cette intensité : ma faible expérience, basée sur une seule relation et quelques dizaines de CD pornos, n'étant pas une base de jugement fiable, mais ce dont je suis sure c'est que je n'oublierai jamais ce hurlement de bête suivi d'une promesse d'amour éternel hurlé par un humain :

    Un grand voile lumineux envahit mes yeux pourtant fermés alors que mon corps se contracte comme si je me congelais en un seul bloc compact d'eau, de chair et de sang.

    Alors qu'il continue à m'ensemencer le ventre, je me pâme sous la jouissance trop profonde qui perdure en moi, perdue au milieu des vibrations jouissives qui cherchent désespérément, comme un coeur de volcan, une issue pour exploser hors de moi et m'éviter l'implosion qui ne pourrait que m'être fatale !

    Et quand je jouis, mon corps ne veut pas que je puisse témoigner de la violence et de la longueur de ces orgasmes qui agrippent férocement les uns aux autres pour former une farandole tellement folle et démente, qu'il préfère me fermer les yeux et m'oblige à m'évanouir pour que d'autres puissent essayer de raconter ce qu'il venait de m'arriver, sans que je ne puisse le raconter moi même, car mon corps qui sait tout, ne peux pas ignorer que personne ne me croirait ! Une chaîne d'orgasmes ??????? Quelle conne !

    Lorsque je reprends connaissance, nous sommes sur notre lit où il m'a étendue entièrement nue

    propre comme un objet de culte et vêtue d'un "déshabillé de nuage" tellement léger qu'il me semble que je flotte au dessus des draps !

    Alors que, petit à petit, le puzzle de mes idées et de mes souvenirs se remet lentement en place, je me rappelle que mon bourreau m'avait offert son orgasme gigantesque ainsi que sa promesse d'amour éternelle, et qu'en échange, je n'ai qu'un seul souvenir : celui d'être morte de plaisir !

    Or, mon bourreau chasse quelques morceaux de nuage et s'installe, comme il aime le faire, la tête entre mes cuisses, pour déposer de doux baisers et d'agiles coups de langue sur mon intimité malmenée.

    Est-ce ce bourreau qui m'a envoyé si haut dans le ciel ? Est-ce cet homme si doux qui m'a déposé ses milliards de spermatozoïdes dans mon ventre de femme pondeuse ? Est-ce cette image d’Apollon qui se délecte des effluves de ma chatte ? Qui cherche de sa langue fouisseuse le mélange de ma liqueur d'amour, de mes jus de femelle vicieuse et de son propre foutre qui ronronne dans mon ventre possessif !

    Et je lui murmure à l'oreille : "Oooooh ! Ouuuuui ! Paul, c'est toi mon seul amour, c'est toi seul qui peut faire ce que tu veux de moi, je suis à toi, car je le veux, car je sais que je suis venue sur terre pour toi, pour te servir, te rendre heureux, désapprendre à te dire non et apprendre à te satisfaire avant que tu n'aies eu le temps de me donner ton envie !"

    Il éclate de rire et change un peu sa caresse en me disant :

    "Ah ! Là tu es dans la mauvaise direction, car, apprendre à satisfaire un homme avant qu'il ne t'ai demandé quoique ce soit, est en effet très dur à apprendre et je ne pense pas avoir ce chapitre dans "Comment transformer mon femme adorable en une vraie salope sans tabou !"

    Je ne peux pas lui répondre, car, en grimaçant, je dois écarter sa main qui repartait à la chasse de mon clitoris devenu trop sensible car toujours bandé et gavé de sang.

    Il comprend de suite et s'excuse en souriant !

    Il sourit toujours quand, lentement, il remonte en rampant vers moi en écartant le plus possible mon déshabillé pour me dénuder au fur et à mesure de sa progression !

    Je ne vois son pieu d'amour qu'au dernier moment, quand il s'agenouille au dessus de moi : il est tendu comme rarement !

    J'en suis même surprise, car après joui et déchargé comme il vient de le faire, il devrait être un peu au repos, mais ce n'est pas le cas, et je n'ai pas l'intention de m'en plaindre !

    Sa lente pénétration au fond de mon ventre est un pur délice.

    J'ai envie de lui au plus profond de moi, je pousse mon ventre pour mieux le sentir me perforer.

    Je remue tout mon corps pour le supplier de me mettre à poil, de m'arracher ce voilage qui m'empêche de sentir quelques millimètres carrés de sa peau !

    Je soulève mes jambes et les passe derrière son dos pour ouvrir encore plus ma moule juteuse à ses assauts virils.

    Chacun de ses mouvements est un immense plaisir, il est doux, il est calmé, il n'a plus sa frénésie infernale qui le guidait tout à l'heure : l'homme a triomphé de ma bête, mais je n'ose pas lui dire qu'à ce moment précis, entre les deux je ne saurai lequel choisir !

    La fatigue, la tension nerveuse extrême de ce moment inoubliable que nous venons de vivre, mes peurs qui se sont mélangées à mes joies de petite fille ou de femme trop mure, la puissance de nos jouissances qui, en fait, se résument à une seule et unique pour les deux, avec des durées et des intensités que nous ne connaissions pas, et que nous ne cherchions même pas !

    Tout ce fatras de dons divins, de vices sado et maso, d'exagérations et d'exaspérations de nos ressentis me font craquer.

    Je laisse Paul me baiser à la vitesse qui lui convient, à la profondeur qu'il veut atteindre et déclencher, s'il le désire mon orgasme : quand il le voudra dans cinq, dis minutes ou jamais !

    De mes yeux ne coulent que des larmes de bonheur d'une femme comblée qui sait très bien qu'avoir la bite de son homme qui coulisse dans son con trempé est déjà une grande jouissance !

    Mes bras autour de son cou, ma joue collée contre sa poitrine, si fort que je donne l'impression de vouloir faire corps avec elle.

    Je m'abandonne à mon "Docteur Paul Jekyll" que j'aime de toute mon âme, et qui est en train de faire monter en moi un orgasme pur et presque romantique à force de me pilonner la chatte avec son pieu de bois dur !

    Et, ce, sans redouter un seul instant, et même, en attendant avec impatience que son double, le mystérieux "Mister Paul Hyde" que je suis la seule à connaître, plus qu'intimement, ne vienne pour transformer nos fantasmes, nos rêves et nos envies les plus secrètes, de celles qu'on "ne dit pas", en des faits réels qui nous transportent dans des mondes extra-galactiques ou tout est faisable et tout est admis entre des adultes consentants !

    Je sens son corps tout entier se bander comme un arc, il sort de moins en moins son sexe de mon vagin, il fonctionne au ralenti, il attend, et je sais ce qu'il veut de moi !

    J'en suis très fière, je manque fauter en le lui disant, mais j'ai le bon réflexe et je me tais en fermant mes yeux et en le serrant encore plus fort entre mes bras et mes jambes pour lui offrir ce qu'il attend de moi : le partage dans une osmose totale des sursauts de notre bonheur et de notre jouissance commune et simultanée !

    Lorsqu'il s'abandonne en moi, comme un petit garçon, pour chercher mon étreinte ferme et sentir la moindre parcelle de ma peau contre la sienne : nous sommes unis l'un à l'autre en un seul sexe, en une seule âme, et avec l'aide de Dieu en un seul amour !

    Respectueusement, comme à son habitude, il souhaite se retirer pour ne pas m'imposer le poids de son corps sur le mien, mais il est hors de question qu'il s'en aille, même pour s'étendre à côté de moi.

    Je le veux en moi, sur moi, car je ne suis pas encore, et je ne serai jamais rassasiée de son corps ni de son sexe !

    Fier d'être le prisonnier consentant de mes jambes et de mes bras unis, il n'allume aucune lumière alors que le crépuscule a terminé d'achever ce si beau jour d'amour. La lumière d'une magnifique pleine lune envahit notre lit d'amour et de passions, sur lequel, toujours enlacés, nous sombrons dans une douce somnolence, sans aucunement nous soucier de l'heure

    Nous nous réveillons alors que la grosse horloge comtoise du salon sonne dix coups. 
    Je ne sais même pas combien de temps nous avons dormi, mais je sais que j'en avais besoin et je me sens si bien.

    Je suis allongée à côté de Paul qui grogne comme un gamin car il veut encore dormir !

    Je me penche sur lui, l'abreuve de baisers humides qu'il essaye de chasser comme des moustiques sans ouvrir les yeux,et lui propose un deal qu'il ne va pas pouvoir refuser :

    "Je vais te laisser dormir un peu plus, je vais préparer un plateau télé, choisir, pour une fois un CD qui me fera envie, et quand tout sera préparé, je viendrai te chercher pour que tu te traînes jusqu'au canapé où tu pourras, si tu en as encore envie, continuer à dormir, MAIS, je vais te préciser que je vais faire tout ça ENTIÈREMENT A POIL ! Alors si tu continues à dormir, ce n'est pas grave, j'irai me chercher un compagnon de film dans l'armoire magique !"

    Une main lasse sort des draps et me fait "ok" avec son pouce, et il se rendort de suite !

    Je lui claque gentiment le cul nu, me lève, et, comme promis, je ne mets rien et me dirige vers la cuisine. Un petit quart d'heure plus tard, j'ai préparé un plateau conséquent avec une bonne bouteille de son vin préféré, et je vais poser tout ça sur la table du salon entre le canapé et la télé.

    La cédé-thèque est dans son bureau à l'étage, pas très loin de la salle de bains, je me dis que ce serait une bonne chose de me laver un peu, et je prends rapidement une douche qui me revigore et, je ne sais absolument pas pourquoi m'excite ! Comme dit Paul, ça fait partie de mon caractère de mouiller pour un rien !

    Chic ! Puisque c'est dans mes gênes, je n'y suis pour rien !

    En sifflotant je rentre dans le bureau de Paul en laissant des empreintes de pieds nus sur le parquet, mais il commence à faire chaud et ça va vite sécher !

    Je m'assieds sur un pouf face à la cédé-thèque qui a un système de recherche informatisé, je vais donc chercher un film français, pffff plus de 1.000, pour adulte ou interdit aux moins de 18 ou de 16 ans, oups, je tombe à 150 ! Je ne sais pas que chercher comme thème et je demande le menu parmi lequel je vois "prostitution occasionnelle".

    Je réfléchis et je pense que nous n'avons jamais vu un film de ce genre, je clique donc et trouve deux solutions, une de bdsm que j'écarte et l'autre qui s'appelle "La Dérobade" avec Miou Miou. Je ne savais même pas que cette actrice avait tourné un film sur ce thème ! Mais, à vrai dire, il y a longtemps : en 1979 !

    Je découvre qu'elle joue avec Maria Schneider, la célèbre actrice du "Dernier tango à Paris" avec cette scène assez hallucinante où cette superbe jeune femme se fait enculer grâce à une bonne ration de beurre ! Comme quoi, il n'y a pas que moi qui aime avoir la bite de Paul dans le cul !

    Le scénario est simple : Marie (Miou Miou) est une jeune femme issue d'une famille d'ouvriers qui tombe amoureuse d'un certain Gérard, avant de découvrir qu'il est un dangereux et sadique mac. Il la bat et la viole régulièrement, mais elle tente de s'enfuir pour retrouver pour retrouver le contrôle de son corps et de sa vie. Il y a même deux photos disponibles comme illustrations que je publie dans ce journal :

    La Dérobade 1 "Miou Miou nue"

    "Agnès" Tome 04

    La Dérobade 2 "Miou Miou seins nus"

    "Agnès" Tome 04

    Je pense que ce film, interdit aux moins de 16 ans sera parfait et comportera un nombre correct de scènes de cul justifiées par le scénario, ce qui n'est vraiment pas le cas de tous les films dits "pornos" !

    Je ne demande pas son envoi sur la télé du salon, mais je fais comme Paul m'a enseigné : je grave un CD que je descends avec moi. Je retourne au salon, vérifie que tout est bien ordonné et je vais réveiller mon homme en m'agenouillant au dessus de lui et en laissant pendre mes seins devant ses yeux en lui murmurant : "La soirée est prête à commencer, mon amour, réveille toi !"

    J'ai beaucoup de mal à lui arracher mes seins de ses mains et c'est en courant que je vais me cacher dans le salon ou il me suit avec sa bite déjà au garde à vous !

    Quand il voit ce que j'ai préparé et le titre du film sélectionné qu'il a déjà vu il y a très longtemps et qu'il avait trouvé très bien, il se calme un peu, et je prétexte qu'il ne fait pas chaud pour m'envelopper dans un très grand châle espagnol coloré, et cacher un peu ma nudité ce que Paul ne peut pas comprendre : il me dit très souvent : "Je pourrais dessiner de mémoire ton clitoris au repos et en érection, mais tu te refuses à ce que je te vois nue si ce n'est pas pour baiser ! Il doit y avoir un de tes neurones qui buggue, il va falloir aller consulter !"

    Mais il reconnait que chaque fois qu'il redécouvre mon corps pour l'utiliser, il est enchanté de le dénuder et de savourer chaque morceau de peau qu'il découvre ou re-découvre !

    Donc ! Qui a raison ? On ne le saura jamais !

    Le vin était délicieux, les amuse-gueules pas très réussis, mais j'ai des progrès à faire en cuisine et je le sais.

    Mais Paul me dit souvent : "Ne t'occupe pas de la cuisine, je peux embaucher un chef, mais si un jour je dois embaucher ta remplaçante pour baiser, tu risques de me faire la gueule ! Alors laisse tomber la cuisine !"

    Mais, ce que Paul ne sait pas c'est que Rafaël me donne en secret des cours de cuisine et que dans deux ou trois mois, je ferai la cuisine pour toute la bande, Paul en tête, en faisant croire que ça vient d'un traiteur ! Et j'attends, que, ce jour là, Paul me demande l'adresse du traiteur car il s'était régalé !

    Et le film était très bien, un vrai film de "vie" avec une vraie histoire et pas un enchaînement d'images de cul.
    Bien sur, en étant collés l'un contre l'autre dans le canapé, lui à poil et moi à moitié nue, nous avons fait quelques gros câlins pendant le film, et je me rappelle même avec amusement que j'avais proposé à Paul de lui faire une pipe le cul tourné au film, alors qu'il me racontait une scène d'amour entre Miou Miou et un de ses clients, lavage de bite inclus !

    Quand Paul me demande ; "Alors, trésor, comment as-tu trouvé le film ?" Je ne lui réponds pas directement mais je prends sa main droite et guide 3 de ses doigts vers ma chatte, trempée !

    Il éclate de rire et me cingle avec un :

    "Ca ne veut rien dire du tout ! Même un navet te ferait mouiller, non pas comme un légume, mais comme une chose consistante que tu pourrais t'enfiler dans le cul ou dans le con"

    et donc un navet te ferait mouiller comme une cochonne, mais, après tout c'est ce que tu es ! Pourquoi chercher plus loin ?"

    "La cochonne et le salaud ! Tu as ça dans ta cédé-thèque ?"

    "Bon, allez, ça va, je disais ça pour plaisanter, je vois que le film t'a plu, c'est le principal"

    "Puis-je te demander si tu as utilisé la prostitution dans tes fantasmes avant de me connaître ou même maintenant que tu deviens peu à peu "une femme complète" ?"

    Voyant qu'il était revenu sur un tempo plus badin, je lui avoue sans mentir que ce fantasme de louer son corps contre de l'argent revient souvent dans mes rares plaisirs solitaires ou dans des idées de jeux érotiques envisageables.

    Et pour bien le lui prouver, je l'aguiche en usant les mêmes mots que les filles dans les scènes de racolage.

    Il se dégage doucement et me lance :

    "J'ai bien envie de satisfaire tes idées ou tes envies de prostitution, de te voir porter des tenues sexy et de te regarder agir en faisant semblant de faire ce métier !"

    "Eh, Paul, arrête ! Tu me fais un peu peur là !"
    "Ne t'inquiètes pas et fais-moi confiance, comme tu le fais si souvent !"

    "Oui, mais, du calme, dis-moi d'abord ce que tu penses !"
    "Non ! Tu ne vas pas recommencer tes simagrées : si tu me fais confiance, on fonce et le jeu commence tout de suite, sinon tant pis pour toi et pour la réalisation de ce fantasme, on verra ça un autre jour !"
    "Mais, mon amour, je fantasme, certes, mais je ne veux pas faire l'amour avec d'autres hommes que toi, pour m'obliger à faire ça, il ne faudrait pas m'attacher ! Il faudrait me crucifier !"

    "Tu as mal entendu le début de notre conversation : je te jure et je t'assure que personne d'autre que moi ne te touchera. Tu as ma parole formelle, par contre, je te promets, encore une fois, de nouvelles sensations et beaucoup de plaisir si tu acceptes de faire ce que je te demande sans discuter. Nous jouons ? Ou pas ?"

    Je dois reconnaître que le film ne m'a pas laissée indifférente et que les scènes des caresses vicieuses et intimes de clients qui tâtent la marchandise humaine, avant de la louer, déclenchent en moi un désir fou.

    Je sais que Paul ne m'en dira pas plus.

    Mais je sais aussi qu'il n'a jamais trahi une promesse faite.

    Après tout, comme d'habitude, pourquoi ne pas aller vers l'attrait d'un monde inconnu ? Puisque sa seule évocation et quelques images ou scènes ont provoqué chez moi des pensées des plus perverses. Et ont mis mes sens en effervescence.

    Surtout que le contact déloyal de la main de Paul sur mes muqueuses brûlantes et largement plus qu'humides, déclenche à cet instant précis, ma petite fontaine, salisseuse invétérée de petites culottes, nichée au confluent de mes cuisses.
    Paul se moque gentiment de moi : "Enfin, Agnès, regarde-toi, tu es toute émoustillée comme à chaque fois que tu sais qu'on va jouer ! Je sais que tu as décidé de dire oui ! Tu sais que tu vas dire oui ! Ton corps te réclame de dire oui !"

    Et il rajoute un peu plus sévère : "Je te mets en garde, mon trésor, à la longue ce jeu de minauderie peut être lassant pour moi : tu es couverte par une promesse formelle de ma part : douterais-tu de MA promesse ? Cite moi UNE fois où je n'ai pas tenu ma promesse, si, bien sur tu en trouves une ! Comme d'habitude, je vais répondre pour nous deux à la fois : nous allons jouer ! Lève-toi et suis moi !"

    Il se lève, me redit une dernière fois : "Réfléchis bien, à ce que je viens de te dire, tu sais très bien à présent que rien ne t'effraye dans le monde du bdsm car tu as un guide qui te connait, qui t'aime plus que tout et qui ne te trahira jamais"

    "Mais, attention, toute corde trop tendue finit par lâcher : lassitude d'un crin crin trop entendu, réactions identiques à la centième action identique proposée, insuffisance du poids d'une promesse. Oh non, bien sur ça ne tuera pas l'amour, mais ça peut peut être le blesser, autant que cette blessure ne s'ouvre jamais dans le nôtre !"

    Je le suis dans les escaliers grinçants, ses paroles résonnent dans ma tête. Je ne dis plus rien, me contentant simplement de me laisser guider. Tout en réalisant qu'il a entièrement raison et qu'il a usé de beaucoup de patience avec moi depuis que nous nous connaissons et qu'il serait temps que j'oublie ce qu'il appelle mes minauderies de dernières minutes qui ne servent à rien !

    Il redevient guilleret en ouvrant mes placards : "Allez, ma chérie, souris moi, nous allons à la fête, et nous allons choisir ton costume !"

    Il fouille dans mes sous-vêtements qu'il connait mieux que mes vêtements, car ce sont quasiment tous des cadeaux de sa part !

    Comme si nous étions aux Galeries Lafayette, il m'annonce d'une voix robotisée :

    "1er étage, tout ce qu'il faut cacher un peu le corps bandant de Madame" et il commence à fouiller et à choisir : un très beau soutien-gorge "La Perla", sans bretelles, en soie et dentelle laissant visible la totalité du haut des seins, comme offerts sur un plateau ! Puis il passe à un superbe porte jarrettelle en cuir noir qu'il assortit avec des bas gris foncés, presque noirs et légèrement scintillants, avec deux coutures noires brodées au centre de l'arrière de chaque cuisse. Je ne suis pas outre mesure surprise qu'il ne choisisse aucune culotte, ne serait-ce qu'un string, je sais pas expérience qu'il aime me savoir nue et totalement accessible plutôt que déguisée avec une espèce de fil dans la raie des fesses !

    Non, il n'y aura pas de culotte petite ou grande, tanga ou string dans ma tenue car : "A présent, nous montons au 2ème étage pour découvrir les nouveautés en cuir qui finiront de rendre votre femme Reine de la soirée !"

    Au rayon des jupes, je préfèrerais dire "jupettes", il en déniche une bien trop courte, qui, au moindre mouvement que je ferai pour me baisser prouvera à tout l'entourage que je suis réellement "cul-nu".

    En la positionnant sur moi, il constate lui même qu'elle m'arrive tout juste à mi-cuisses et ne pourra en aucun cas cacher les fins liserés de dentelle noire des bas assortis aux coutures.

    Ses choix enflammeraient les sens d'un régiment entier, ainsi que, soyons honnête : les miens !

    Plaqué contre mon dos, il me dévore le cou de baisers voraces et gourmands, tout en faisant glisser lentement avec ses lèvres, mon beau châle espagnol, qui ne va pas tarder à choir au sol pour dévoiler ma nudité complète !

    Peu à peu, au fil de ses coups d’œil entre la pièce d'habillement choisie et la partie dénudée de mon corps qu'elle se doit de recouvrir, j'ai l'impression d'entrer dans mon rôle et j'en éprouve de troublants émois et des réactions classiques au niveau de mon bas-ventre ! Par exemple quand il m'aide à agrafer mon mini soutien-gorge et qu'il positionne lui même mes seins et mes tétons comme sur un étal de marché !

    Pendant que j'enfile les bas noirs et les clipse aux portes-jarretelles, Paul m'avoue qu'il lui manque deux pièces pour terminer de me préparer. Mais il ne juge pas utile de me demander conseil, donc, je le laisse se débrouiller tout en enfilant ma mini-jupe et en constatant dans la psyché l'étendue des dégâts et de l'obscénité de ma tenue.

    Toutefois : me mettre en tenue, presqu'en uniforme, pour un jeu porno fait partie intégrante de mon plaisir. Et la totalité de mes pensées va directement dans la direction des obscénités, de l'indécence et de la perversité, voilà tout au moins comment je vois le fantasme de la prostitution, pour le moment !

    L'habit ne fait pas le moine ? C'est faux, ultra faux ! Quand je m'habille pour être une cochonne ? Je deviens une cochonne ! Si je devais m'habiller en moine, je DEVIENDRAI moine ! Na !

    En fouillant dans une autre armoire, Paul, découvre les deux pièces qui manquent à son puzzle "artistique" : il semble revenir d'une caverne d'Ali-Baba mal rangée avec LA perle rare à la main : un génial petit boléro court en agneau, qui a deux particularités intéressantes : il est TOTALEMENT démodé et il n'a aucun système de fermeture, ce qui veut dire que tout ce qu'il est censé cacher est totalement visible ! Qui a osé appeler ce "machin" un vêtement ?

    Je l'enfile, il est aux anges, c'est exactement ce qu'il me fallait ! Pour mes chaussures, il préfère me demander conseil, et voudrais que je lui trouve des escarpins fermés, en cuir rouge, avec deux petits lacets assortis pour ceinturer mes chevilles et des talons d'environ huit centimètres de hauteur, donc raisonnables.

    Bien sur, je lui trouve ça de suite, et lui demande si il veut choisir un manteau ?

    "Il me répond, que c'est déjà fait, et qu'il m'attend en bas !"

    De son côté, il s'habille légèrement en sportswear avec un très beau blouson de cuir marron que je ne lui connaissais pas.

    En sortant de la chambre il me dit : "Je vais sortir la voiture, tu as cinq petites minutes pour te mettre un peu de rouge sur les lèvres, te rafraîchir et te donner un coup de peigne : tu es magnifique ! Je te retrouve sur le perron"

    En arrivant dans le hall, il m'attend, et j'entends le bruit du moteur.

    Il me contemple : les escarpins rouges allongent considérablement mes jambes, mon boléro, qui ne cache pas grand chose, donnerait envie à tout un chacun d'en écarter les bords pour étaler ma poitrine et mes bouts de nichons tendus et bandés !

    La jupette et les bas font un écrin idéal pour ma chatte qui est visible comme la pleine lune de ce soir, à chacun de mes pas, tandis que je suppose que mes nichons proposés comme pour une vente de produits bien juteux à sucer, sont prêts à réveiller les envies d'une armée d'impuissants quand ils les verront trembler dans leurs écrins de dentelle et de soie.

    Paul me tend une simple veste, alors que j'attendais un vêtement plus ample, style manteau. Je me sens devenir cramoisie et j'arrive à balbutier d'une voix quasiment inaudible : "Mais, Paul, je ne peux pas sortir habillée comme ça !"

    Il semble se mettre en colère mais se retient de me crier dessus et me dit simplement : "Il est plus d'une heure du matin, personne ne risque de te voir ! Tu serais gentille de ne plus discuter inutilement ! Allez enfile cette veste, nous partons !"

    Dans ma tête tout se bouscule. Même si j'aime la volupté des jeux de domination et de soumission, et que je sais parfaitement que je vais adorer ce qu'il m'a préparé, à cet instant précis, mon disque dur a buggué et je me sens clouée sur place.

    Paul est obligé de me poser la veste sur les épaules et de me pousser vers la voiture dans laquelle il m'aide à monter.

    Malgré tous ses discours, toutes ses promesses et toutes ces fois où ses jeux se sont super bien déroulés, je ressens que je suis en train de faire une connerie, ma gorge est serrée et je suis très mal dans ma peau, ainsi que dans mon costume, tout au moins si on peut appeler ce que je porte un costume !

    Dans la voiture, Paul cherche à me rassurer et me dit regretter d'avoir été trop dur avec moi. Il me supplie de me laisser le guider et surtout de ne pas avoir peur et me propose même de tout arrêter et de rentrer à la maison.

    Je me penche vers lui, l'embrasse tendrement sur la joue et le rassure en lui murmurant à l'oreille : "Tu sais bien mon coeur, que parfois, il faut me forcer un peu, roule, ne t'occupe pas de ta pleurnicharde, il paraît que ça me passera à la ménopause !"

    Enfin, nous sommes à l'unisson pour ce nouveau jeu

    Comme nous habitons dans la grande banlieue lyonnaise, nous sommes rapidement dans la campagne, mais je ne sais pas du tout où nous sommes.

    Je me sens dans le "presque noir" d'une salle de cinéma, je vois défiler des arbres, des panneaux de signalisation, des croisements et des glissières juste éclairés par les phares puissants de la voiture et par le satellite de notre planète bleue.
    Ce semi-noir me va bien, car il est le bienvenu pour cacher ma tenue indécente et j'y suis, sous la protection totale de Paul.

    Alors que mes pensées gambadent sur mon éventuel futur immédiat que je suis dans l'incapacité d'imaginer,

    Paul pose sa main droite sur ma jambe, au ras de ma mini-jupe, me faisant presque sursauter. Sans dire un mot, il me caresse une cuisse nue, au dessus des bas et force ma jupe à remonter pour que je puisse écarter un peu les cuisses.

    Un long et délicieux frisson me parcourt, et comme dans un réflexe pavlovien mes jambes s'écartent d'elles même, mais sa main s'arrête juste à l'orée de la zone humide de mon oasis.

    Oooooh, comme j'aime jouer dans ses pièces de théâtre qu'il sait magnifiquement mettre en scène d'une manière à la fois sensuelle et réelle, mais aussi cérébrale et tellement imaginative.

    Je réalise qu'en fait, ma peur est ré-apparue quand nous avons quitté la maison, mais comme Paul me l'a répété ce soir, je crois que je devrai vite m'habituer pour ne pas le lasser ou le contrarier !

    L'idée de me rebeller ne m'est pas venue un seul instant, car je l'aime trop pour prendre le risque de le décevoir ou de lui déplaire. Nous savons tous les deux qu'au niveau de complicité auquel nous sommes arrivés, je le suivrais en enfer s'il le fallait et que je lui dirai toujours oui, car ma confiance en lui est totale, de même que mon besoin irrationnel de me laisser conduire vers des situations bdsm qu'il connaît bien, contrairement à moi qui en ignore tout.

    Il sent que je suis plus détendue, sa main sur le haut de mes cuisses n'a rien de sexuel, elle se veut simplement apaisante. Je fonds littéralement sous cette douceur qui dans la situation présente me rassure mais exacerbe d'une manière totalement inconvenante mon masochisme.

    Le noir me permet de rougir incognito de l'obscénité de la demande que j'ai failli lui faire, je me tasse de honte dans le moelleux de mon siège de cuir. Une voiture nous suit un instant, ses phares éclairent

    l'habitacle et mes cuisses ouvertes, qu'heureusement le conducteur ne peut pas voir.

    Paul quitte une route qui semblait nationale pour en prendre une plus petite fléchée "La forêt des étangs" que je ne connais toujours pas ! Un léger brouillard annonce en fait que nous entrons dans une zone humide. La voiture franchit une petite colline et

    "Devant nous apparaît une zone étrange, presque irréelle, surtout avec l'éclairage majestueux de cette pleine lune radieuse. C'est en fait une immense forêt dans laquelle sont restés nichés des étangs de différentes surfaces, mais chacun d'entre eux tient à refléter sa lune ! Ce qui procure cette vision féerique"

    Je dis à Paul : "Quel beau spectacle, c'est splendide ! J'ai honte de ne pas connaître cet endroit alors que je vis depuis 20 ans à moins de 50 kilomètres !"

    Paul rit : "Mon trésor, tu n'as pas à te fustiger, je l'ai découvert aussi il y a un peu plus de 4 ans, mais pour une toute autre raison que ce beau spectacle de reflets d'eau et de sombreur de forêt !" "Ah ! Tu y es venu pêcher avec ton papa ?"

    Paul sourit : "Pêcher, tu te rapproches ! Laisse moi te raconter, tu n'as aucune chance de trouver : j'étais dans mes hautes études et j'avais des amis qui une fois par mois aimaient se détendre, moi je préférais réviser et lire, mais, une fois, j'ai accepté de venir avec eux. Nos parents étaient tous d'un haut niveau financier, donc nous n'étions pas gênés de ce côté là et ils m'ont conduit ici et se sont arrêtés à peu près où nous sommes pour m'expliquer ce que je vais t'expliquer !"

    "Hummmm, passionnant, parle vite mon amour, je suis suspendue à tes lèvres !" "Donc dans ce site appelé "La forêt des étangs", toutes les nuits de pleine lune, des couples lyonnais relativement bourgeois de tous âges ont pris l'habitude de venir à partir de minuit"

    "Au départ, il n'était pas question d'argent, ils venaient pour du libertinage : ce qui veut dire ma chérie ?"

    "Échanger leur compagne contre celle d'un autre !"

    "Bravo ! Ou du mélangisme, qui est ?"

    "Des plans à 3 ou 4 ou à plus ce qui devient des partouzes !"

    "Tu es une championne ! Tu sais ce que nous allons faire : je vais rejoindre la forêt, tu peux voir qu'il y a beaucoup de voitures aux balayages des lueurs de leurs phares, donc c'est la bonne heure pour "pêcher", c'est ce qui m'a fait rire tout à l'heure dans ta suggestion ! Nous y serons dans 5 minutes, pendant ce temps là,

    "Je te suggère d’ôter ta veste, et de continuer à m'écouter en te frottant les cuisses pour te faire du bien et en faisant bander tes bouts de mamelles, je veux être fier de toi quand nous serons sur place !"

    Il démarre sans rien dire de plus, je fais ce qu'il me demande, et dès que je sens la chaleur de mes cuisses qui se caressent doucement et mes tétons réagir comme de bons petits soldats aux exigences de mes doigts et de mes ongles, je me sens en parfait harmonie pour écouter la suite de ce récit magnifique dans lequel forcément, je vais avoir droit à mon rôle écrit sur mesure : car personne ne me baisera ! Mais mon amour pourra me remplir tous les trous autant de fois qu'il le voudra ! Na !

    "Tout s'est toujours bien passé, pour plusieurs raisons, car les étudiants ont créé ce qu'on appelle "une milice de modérateurs" sur le web pour essayer de régler tous les litiges à l'amiable, d'empêcher des professionnelles d'entrer dans certains zones, puisque, bien sur, ils ne pouvaient pas contrôler toute la forêt, et en plus, la police ne vient jamais ici, sauf si elle est appelée en cas de problème grave, et tu sais pourquoi, mon puits de science ?"

    "Oooooooh, tu es un monstre, tu me demandes de réfléchir alors que je me retiens de gémir de plaisir sous mes caresses de salope excitée comme une sale cochonne !"

    "Réponds salope ou tu descends et je repasse dans une heure !" "Tu es un tel salaud que tu serais capable de le faire et même de me piquer les sous que j'aurais gagné !" "Tu es sure que quelqu'un accepterait de te payer ? Moi j'en doute !" "Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr, je vais t'arracher un œil !"

    "La police ne vient pas de peur de trouver le préfet, le pantalon aux chevilles en train d'enculer Madame le Maire sur le capot de sa voiture de fonction ! Sur que pour un mongolien ce n'était pas facile à trouver ! Ignare ! Âne bâté ! Mais si bien monté ! Que j'aime tant !"

    "Bravo, mon puits de savoir ! En plus les milices estudiantines qui se sont développées au fil des ans ont réussi à créer 5 zones distinctes : l'échangisme et le libertinage très surveillés et bien fréquentés, le bdsm lui aussi très surveillé, la prostitution occasionnelle très contrôlée pour éviter les impostures et la prostitution professionnelle libre d'accès" "Et, à ta demande, ils ont créé un 6ème quartier : pour Agnès, pute occasionnelle extrêmement surveillée par son unique client !" "En effet, mais ils ont exigé que l'on bande les yeux de tous les hommes ce soir, mais je ne sais pas si l'e-mail collectif est bien arrivé !"

    "Salaud, tu veux m'exhiber ? Eh bien qu'attends-tu nous sommes arrivés !"

    "Tu ne peux pas parler plus juste, nous sommes au coeur du quartier des prostituées occasionnelles, donc tu n'auras pas d'ennui avec des pros et tu seras bien accueillies par des étudiantes, parfois même des collégiennes, des apprenties, des secrétaires, des coiffeuses ou même de simple chômeuses bardées ou non de diplômes. Tu vois l'embranchement où nous arrivons ?"

    "Oui à 200 mètres devant nous !" "Ce carrefour a été appelé "La place de l'Etoile", car six chemins s'y croisent, c'est le coeur de ce quartier de non pro, j'ai une superbe place de suite à gauche qu'il ne faut pas que je rate, comme ça j'aurai une vue panoramique sur tout le carrefour où tu vois cinq jeunes femmes qui draguent"

    "Dès que je serai garé, tu vas te joindre à elles, te présenter, mieux vaut sous un faux prénom, j'ai pensé à un que j'aime beaucoup et qui n'est pas fréquent : Yvelines ? Il te convient ?" "Oui, pourquoi pas, c'est sympa" "Ok, va pour Yvelines, dis leur que tu viens ici pour réaliser le fantasme de la pute mais sans baiser, donc, elles n'ont pas de souci à se faire pour leurs clients et tu verras bien comment ça se passe. Moi je reste dans la voiture, veilleuses allumées, mais au moindre souci, tu jettes tes escarpins et tu cours me rejoindre, on y va ?"

     

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  • "Agnès" Tome 5

     

    Auteur : Anonyme / Adaptation-Réécriture : Agnès et Loré

     

    "Hum, Paul, je ne vais pas te surprendre en te disant que je suis morte de trouille, tu ne voudrais pas passer en auto devant le groupe ?

     

    "Pour que je puisse voir comment elles sont habillées ou déshabillées et, si possible engager un dialogue avec elles pour que tu cautionnes bien ce fantasme de prostitution sans baiser qui me paraît assez confus, surtout dans ma bouche de novice !"

    "Ok, je ne considère pas que ce soit du minaudage, et, si ça doit te rassurer, allons-y"

    Il continue de rouler et arrive au carrefour où il s'arrête devant le groupe et descend nos deux vitres.

    Les cinq jeunes femmes s'approchent de nous, en se scindant en deux : l'une d'entre elle rit et lui dit :

    "Eh jeune homme ! Pour échanger ta beauté tu te trompes de quartier, la prochaine fois vient avec une vraie pute du centre de Lyon !" Paul rit pendant que je regarde les filles : mini-jupes ou shorts cuir de rigueur, au moins trois n'ont pas de culottes, toutes sont nichons nus et les exposent sans complexe ni gêne, elles sont fraîches, rieuses et enjouées, il est vrai qu'on se croirait plus à un entre cours à la fac qu'en présence de prostituées !

    Paul me glisse à l'oreille : "Tu as vu, mon coeur, tu ne choqueras personne avec ta tenue, ces filles en montrent plus que toi et n'en sont pas honteuses"

    "Je vais essayer de leur expliquer ce que nous voulons et peut être de leur proposer de nous aider !"

    Un peu affolée, je rétorque :

    "De nous aider, mais que comptes-tu leur dire ?"

    "Ne te fais pas de souci, ces filles sont sympas, tout va bien se passer, je vais leur parler directement, je descends, reste dans l'auto et ne réagis pas s'il te plaît !" "Ok !"

    "Il faut que je vous explique pourquoi nous sommes là : je ne cherche aucun échange, ma jeune femme, qui est libérée et très curieuse est en pleine exploration des différentes formes de l'amour. Après un CD que vous connaissez peut être : "La Dérobade" avec Miou Miou, elle a découvert ce monde inconnu pour elle et m'a simplement demandé si je pouvais lui organiser un scénario de prostitution. Connaissant "La forêt", j'ai pensé que c'était ici et dans ce quartier qu'elle serait le mieux accueillie !"

    Les filles éclatent de rire : "Ah, vous êtes choux tous les deux ! Et vous vous imaginiez que vous étiez les seuls à monter ce genre de plan ? Nous venons ici depuis trois, voire quatre ans pour certaines d'entre nous, et chaque pleine lune, nous faisons des paris pour savoir combien de couples de votre espèce nous allons rencontrer ! Le seul problème est que si la nana est super canon, comme ta femme ! Elle nous pique quelques clients !"

    Paul la rassure de suite : "Rassurez vous, avec Yvelines, vous ne risquez rien"

    "Elle veut frissonner d'être considérée comme une marchandise à louer, mais je serai le seul à la baiser même devant des voyeurs qui auront le droit de mater"

    "Je suppose que vous avez un coin pour faire ça au calme ?"

    "Ah, ok ! Fantasme de prostituée, donc pelotage, caresses et doigts indiscrets, pinçons un peu douloureux et dialogue très hard avec le client potentiel et confidences intimes qui les font bander dur !"

    "Et, en plus une exhibition de couple entre ta femme et toi ! Nous avons bien sur le lieu, mais il faut aussi nous promettre que vous jouerez tous les deux le jeu : elle en jouissant sans faire semblant, attention : vous êtes ici chez des spécialistes de la simulation, n'est ce pas les filles ?"

    Elles hurlent toutes en éclatant de rire, et la contagion nous gagne tous les deux ce qui détend encore plus l’atmosphère !

    "Et je finis : pas d'orifices épargnés, et bien sur elle doit être à poil, ma chérie tu veux avoir les yeux bandés pour qu'on ne te reconnaisse pas ?"

    Très troublée, je réponds en balbutiant : "Je serai comme il le voudra" "Très bien, tu es une jeune femme très sage, il faut toujours obéir à un mari mais jamais à un mac ! Retiens bien cette leçon pour ne pas foutre ta vie en l'air, ma chérie !"

    Paul doit intervenir : "Hum, j'ai repéré une belle place pour l'auto, proche de vous, avec une vue sur toute "l'étoile", je préfère aller m'y garer et vous laisser Yvelines qui viendra me dire ce que vous avez décidé, et surtout à quelle heure je dois intervenir, ok ?"

    "Ca roule, tu viens ma chérie ? Yvelines ? C'est vraiment un prénom superbe et peu courant !"

    Je me tourne vers Paul, tout mon corps tremble, une énorme émotion étreint ma gorge. Je veux lui poser une question mais il y répond avant : "Pour la veste ? C'est non ! Tu as vu comme elles sont dénudées ?"Je n'ose pas ouvrir la portière.

    La honte me paralyse, et pourtant, il ne s'agit que de me montrer offerte à des femmes ! Que va-t-il se passer quand des hommes vont m'accoster ?

    Paul m'embrasse tendrement dans le cou, il tire la poignée de la portière qui s'entrouvre. Et m'encourage une dernière fois :

    "Tu es si belle et tellement désirable que j'ai une envie folle de te croquer. Je sais que tu rêves de t'offrir à moi comme une catin, et cette catin, je l'aime à la folie. Ne nous fait pas attendre, ces filles ont besoin de travailler et tu meurs d'envie de les rejoindre autant que moi je crève d'envie de te faire jouir devant TES spectateurs : allez descends, mon oiseau des îles !"

    Ces propos forcés et l'urgence de prendre ma décision viennent à bout de ma résistance négative. Je me retrouve une nouvelle fois dans mon dilemme permanent : je ne comprends pas pourquoi je lui cède toujours aussi facilement. Je suis vraiment folle, oui, folle de lui mais quelle douce folie si excitante.

    Je me jure en moi même que ce sera mon dernier minaudage comme Paul l'a appelé ! Dorénavant, je m'assumerai comme une vraie femme avec ses vrais fantasmes et sa vraie envie de les réaliser ! Je descends de la voiture, les jeunes femmes qui étaient de mon côté ne peuvent plus ignorer que je ne porte pas de culotte ! Et nous repartons vers le groupe de filles du carrefour où deux de plus sont arrivées entre temps, ce qui fait que nous sommes huit avec moi.

    Ma tête bourdonne un peu. Mes escarpins à talons hauts ne sont pas les chaussures de marche idéales pour la forêt ! L'air frais s'engouffre sous ma mini-jupe et caresse mes fesses frémissantes et ma chatte un peu trop humide.

    Je me retourne pour voir ce que fait Paul : il s'est garé là où il me l'avait promis et a allumé ses veilleuses et curieusement de le savoir si proche me rend plus forte.

    Deux hommes nous croisent, ils me dénudent du regard et me sifflent ! Je suis gênée par cet "hommage", mais encore plus par l'émotion secrète qui me traverse.

    Nous rejoignons les autres jeunes femmes, à part une qui est un peu grassouillette, toutes sont mignonnettes et sans être gouine ni avoir essayé de l'être, certaines m'attirent réellement, et des regards appuyés sur le bas de ma jupe ou sur mon exposition de nichons me laissent à penser que c'est parfois réciproque !

    La fille qui me présente comme Yvelines me précise qu'ici, tout le monde s'appelle "ma chérie", car ce serait trop fastidieux d'apprendre tous les prénoms des lyonnaises qui défilent aussi bien dans ce quartier que sur ce carrefour "de l'étoile" assez réputé pour la bonne ambiance et la "qualité du bétail" !

    Ce qui les fait toutes rire !

    Mais celle qui semble être la leader dit à tout le monde : "Nous avons un plan à monter : notre nouvelle chérie qui est à croquer ne va pas nous piquer de clients, car elle joue le fantasme de "la pute" avec son mari qui, par contre la baisera pour de vrai dans notre coin "avec public" habituel.

    "Il n'est pas contre un bon public de voyeurs, et sa nana à poil mérite assurément le déplacement. Comment pourrions nous augmenter nos recettes pour profiter de ce double événement ?"

    "Réaliser son fantasme, à elle, est simple : elle veut jouer la pute qui se fait aborder et humilier par des clients, vous pouvez lui envoyer des amis à vous pour "faire connaissance" avec elle, en sachant que l'une d'entre nous devra lui expliquer ce que ça signifie. Mais, prévenez bien ces amis qu'elle ne fera rien de sexuel avec eux ! Et profitez-en pour les inviter à son exhibition à se faire niquer à fond par un client exigeant ! Qu'en pensez-vous ? Avez vous d'autres idées ?"

    "Dis moi, ma chérie, nous ne sommes pas obligées de dire que son client est son mari ?" "Très vrai, bravo ! Si nous gardons bien le secret, ils la prendront pour une vraie pute qui se fait réellement baiser par un client soit pour réaliser un fantasme soit pour un pari ! Ils le verront la payer et ils la verront se mettre à poil !"

    "Ca devrait les démonter, et si on proposait des prix spéciaux de branlettes ou de pipes rapides, nous pourrions les aider à s'envoyer en l'air pour pas grand chose devant un spectacle qui serait très cher s'il était payant !"

    Une autre voix résonne : "Dites moi, si nous annoncions à tous nos clients qu'à trois heures du mat, donc dans environ une heure et demie, nous savons que cette ravissante occasionnelle a fait le pari de se faire sauter par un client exigeant et vicieux dans une longue séance où tous les voyeurs seront les bienvenus gratuitement, nous risquons d'avoir pas mal de monde."

    "Vous savez, tout comme moi, à quelle vitesse se propagent les nouvelles dans cette forêt. Et comme tu le disais, ma chérie, nous pourrions annoncer des coups rapides à petits prix ? Pendant que notre canon du jour s'exhibe et se fait défoncer tous les trous par son satyre de service. J'ai tout bien résumé ?"

    La réponse ressemble à une manifestation de contentement ! Des "Extra !" Des "Super !" Des "Quelle bonne idée !" fusent de partout. Mais aussi des : "Qu'est ce qu'on peut leur proposer comme prix attractifs ?"

    "Les mecs vont bander comme des ânes, il faut en profiter ! Moi je ferai la branlette à vingt et la pipe à trente-cinq !"

    "Nooon ce sont quasiment nos tarifs, il ne faut pas taper si cher : moi je suis plus pour dix ou quinze la branlette et vingt ou vingt-cinq la pipe, mais attention de ne pas les décevoir, il faut leur préciser que ce seront des "passes rapides"

    "Moi je suis d'accord, mais je rajouterai 5€ pour que l'on branle ou qu'on suce nichons à l'air, ça plait aux mecs et ça peut en faire bander d'autres, et ce soir la température le permet et je n'aurai pas grand chose à enlever !"

    Toutes les filles rient. "Alors on résume avant de voter ?" Toutes crient "Ouuuuuuuuuuuuuuuuuuui !" "Bon allez on va voter point par point, à propos du fantasme d'Yvelines, si vous devez prendre un petit billet à un copain pour qu'il profite d'elle, disons entre cinq et dix minutes, ne soyez pas trop exigeantes, et c'est chacune qui fera comme elle le voudra avec l'accord d'Yvelines, c'est clair ?" "Ouuuuuuuuuuuui"

    "En ce qui concerne le show, on peut le programmer à trois heures du mat et faire payer les prix suivants : dix pour une branlette rapide et vingt pour une pipe express, avec cinq de plus pour faire ça seins nus et pelotables"

    Bien résumé ? Si on enlève Yvelines nous sommes 7 à voter, allez-y votez mes chéries !" Six mains se lèvent, les prix et l'heure du rendez-vous sont donc acceptés. Celle qui a voté non, décide finalement de faire comme les autres.

    Les jeunes femmes rejoignent dans un joyeux concert de rires leur petit coin de forêt pour pouvoir négocier tranquillement avec leurs futurs clients.

    Une seule se rapproche de moi :

    "Je m'appelle Anne, tu es très jolie et tu as un prénom ravissant, je me rappelle ma première fois avec des copines, il y a déjà deux ans, j'étais paralysée par la peur, et je suppose que tu dois être dans le même état, même si ton chéri n'est pas loin. C'est bien lui qui est dans la grosse allemande qui a ses lanternes allumées ?"

    "Oui, Anne, tu as raison pour tout : je suis morte de honte, morte de trouille et c'est bien mon mari qui est dans l'auto prêt à bondir au moindre problème, tu es très gentille de venir me rassurer, mais je dois aller lui dire ce que vous venez de décider de faire et surtout l'heure à laquelle il doit venir m'aborder, à moins..."

    "... à moins que je ne vienne avec toi, mais bien sur Yvelines ! Je te suis et je resterai avec toi en attendant ton rendez-vous si excitant, tu peux arrêter de trembler entre nous deux tu ne risques rien !"

    Nous allons côté conducteur, Paul descend sa vitre et allume le plafonnier : "Paul, voici Anne, elle restera avec moi, car elle aussi a mal vécu sa première fois"

    "Merci, Anne, c'est très gentil à vous ! Vous devez savoir combien il est parfois dur de réaliser un fantasme !"

    "Oh, oui, Monsieur, mais quand il se réalise parfaitement bien, c'est si bon ! Qu'il ne faut surtout pas s'en priver !"

    Je raconte à Paul ce qu'ont décidé les filles et il éclate de rire en assurant que s'il a besoin de conseils de marketing, il saura où s'adresser ! "Merci encore Anne, mais vous devriez retourner vers les autres, chacune d'entre vous a un travail à faire !"

    "Hélas, oui, à une autre fois peut être, Monsieur"

    J'embrasse mon chéri et passe devant, je ne réalise pas qu'il l'a retenue par le bras pour lui dire quelque chose que je n'entends pas. Elle me rejoint en marchant rapidement et me dit :

    "Ton mari est beau comme un Dieu ! Oh je suis jalouse de toi, Yvelines ! En plus il a deviné que je faisais des études supérieures, car il m'a demandé discrètement où j'en étais et je lui ai répondu la vérité : dans un an j'aurai mon Diplôme d'Ingénieur de l'Ecole Centrale de Lyon"

    "Donc, dans un an, j'aurai ce prestigieux diplôme et je coucherai avec qui je voudrai, quand je le voudrai et comment je le voudrai !" "Tu me fais rire, Anne, j'adore ton caractère, mais je me demande comment tu fais pour avoir un moral aussi joyeux en étant obligée de faire l'amour avec des hommes que tu ne connais pas"

    Nous arrivons dans son coin habituel, où elle me répond :

    "Ne sois pas affligée pour moi, je considère que faire la pute est un CDI qui me permet d'avoir un super diplôme et donc un superbe avenir sans souci. Ouvrir les cuisses par obligation pendant 4 ans pour se réserver le droit de les ouvrir à qui je veux pendant 70 ans est un choix facile à faire, en plus mon statut de non professionnelle me préserve des vicieux et des pervers et m'autorise à dire non à quelqu'un qui ne me plait pas"

    "Et pour finir, je dois t'avouer que j'ai parfois du mal à encaisser le prix d'une passe de la part de certains clients qui sont devenus au fil des ans et des mois de vrais amis avec qui je peux très bien aller dîner et me coucher seule, nous sommes loin d'un roman de Zola ma douce Yvelines !"

    "Oui, tu as sans doute raison, mais l'homme que tu viens de voir est mon premier, il m'a dépucelée, et depuis plus d'un an nous vivons ensemble. Peut être imprudemment, je lui ai demandé de tout m'apprendre sur l'amour quel qu'il soit, normal donc le sexe pur, ou autre en pensant à la prostitution, au bdsm, à la pornographie ou au lesbianisme et, depuis je suis une étudiante très assidue et j'apprends, je découvre, je réalise des rêves et des fantasmes et j'ai l'impression que chaque mois je mue dans l'enveloppe charnelle d'un nouveau personnage !"

    "C'est un beau rêve que tu me racontes, dans un an, je ne te jalouserai plus et peut être pourrons-nous devenir amies"

    "Car pour le moment me présenter en disant "Je vous présente Anne, une amie très chère qui fait le tapin dans "La forêt des étangs" ! Me semblerait étrange !"

    Je la laisse car un de ses habitués vient la saluer.

    Je saurai quelques heures plus tard que Paul a en fait demandé à Anne de s'arranger pour que je sois draguée par des hommes aux mains baladeuses et à la curiosité très mal placée, et qu'elle lui avait répondu : "Ok, qu'elle se sente une marchandise, pigé, vous pouvez compter sur moi !"

    Je suis un peu surprise car elle vient vers moi avec son client et lui dit : "Voilà une nouvelle amie et c'est sa première fois. Ma chérie, je te présente un client fidèle qui ne manque jamais une pleine lune, il s'appelle Christian et il est adorable, je suis sure que si tu reviens tu sauras lui donner tous les plaisirs qu'il aime ! Mais pour que vous fassiez plus ample connaissance, je vous laisse !"

    Et elle repart dans son coin. J'ai les yeux braqués sur mes escarpins et j'ai peur d'être rouge comme un "tomatier complet" !

    Il ouvre légèrement mon boléro : "Hum, ma chérie, je ne sais pas si je préfère tes beaux nibards ou tes bouts de mamelles bien bandés ! Tu as de la chance d'avoir des tétons comme ça, ça ne te dérange pas si je les teste un peu ?"

    Et, sans attendre ma réponse, il pose ses deux mains sur mes nichons et les pétrit avant de s'intéresser uniquement aux tétons qu'il pince et étire jusqu'à m'arracher un petit gémissement.

    "Hum je vois que je viens de trouver une belle zone érogène ! Dis moi ma chérie, tu peux t'envoyer en l'air rien qu'en te faisant branler les bouts ?"

    "Oooh Monsieur, vous me gênez !"

    "Je gêne une pute ? Tu veux rire je suppose ! Est ce que tu peux oui ou non t'envoyer en l'air si on te branle tes putains de bouts de mamelles de pute ?"

    "Oooooh, pitié, Monsieur, oui, je peux jouir comme ça mais c'est assez long, en général"

    "Et en particulier, c'est quand ta connasse ruisselle et là tu jouis des nichons comme une fusée ! C'est ça salope ?"

    "Oooh oui Monsieur, vous avez raison !"

    "Dis moi la sainte nitouche ! Depuis que tu es installée sur l'espace d'Anne, comment va ta petite fontaine de jouvence ?"

    Je comprends son allusion et recule brutalement les fesses qui cognent contre une branche basse !

    Il rit et passe sa main sous ma jupette, trouvant avec surprise un accès direct à ma chatte trempée. A ma grande honte, il a passé en premier sa main sur le haut de mes cuisses et c'est là qu'il s'est mouillé la main : mon jus coule donc à flot sur le haut de mes cuisses ! L'homme sourit, mais son rictus ne me plait pas, il enfonce brutalement son pouce dans mon con et ouvre grand sa main pour pouvoir me doigter le cul de deux phalanges en se penchant sur moi pour me dire à l'oreille :

    "Ne cries pas, ne gémis pas, laisses toi faire et surtout n'appelles pas Anne ! Je reviendrai plus tard, mais ce sera pour t'enculer à poil et te remplir ton trou à merde de foutre, sans capote et avec l'obligation de me nettoyer la pine sale de tes intestins de truie !"

    "A plus tard et prépare toi bien l'anus, il va vite être défoncé, tu peux demander à Anne elle sait que je suis monté comme un âne !"

    Et il ressort sa main d'entre mes cuisses, l'essuie sur mes seins, va embrasser Anne et s'en va sans un regard vers moi.

    Anne me rejoint, mais ne me pose aucune question sur Christian. Un client drague Anne qui accepte, en passant près de moi, elle me dit : "Je ne suis pas loin et je n'en n'ai pas pour longtemps, n'ait pas peur" et ils partent tous les deux dans un coin, en effet peu éloigné de l'endroit où je me trouve. J'ai un peu peur d'être seule, mais heureusement le carrefour semble être devenu désert depuis quelques minutes.

    Une des filles, désœuvrée, vient me demander si tout va bien. "Oui, Anne m'a prise sous son aile, et je me sens bien protégée : elle est avec un ami mais elle revient de suite" "Anne est adorable, ça ne m'étonne pas qu'elle te cocoone un peu, elle a un assez mauvais souvenir de sa première fois dans cette forêt !"

    "Alors, dis-moi, jolie Yvelines, tu as eu droit à ton pervers, qui repassera plus tard, après t'avoir peloté tout le corps et doigté tout ce qu'il pouvait te doigter ?"

    "Oooooh, oui, il est passé, et j'ai eu droit à une fouille complète et en règle !" "Alors, adorable petite fantasmeuse, comment as-tu réagi en te laissant peloter obscènement par un vicieux qui t'insultait en te palpant, en te branlant les bouts de nichons et le clito qu'il n'arrivait pas à trouver ? A deux doigts de vomir ? Ou à deux doigts de t'envoyer en l'air ?"

    Je ne m'attendais vraiment pas à cette question, et je me suis sentie horriblement honteuse, mais je crois que ma rougeur de coquelicot a répondu pour moi !

    "Ne sois pas cruelle avec toi, ma chérie, et épargne moi ta réponse, je la connais ! Tu es venue réaliser un fantasme, et tu vas au bout de ton idée, si l'humiliation que tu viens de subir t'a amenée au bord de l'orgasme, c'est une très bonne nouvelle, mais tu devrais dire à ton homme que tu es mure pour la soumission ! Crois-en ma courte mais intéressante carrière de catin ! Tiens demande à Anne elle te répondra la même chose !"

    "Ah, ça bouge dans mon coin, à tout à l'heure pour ton show que toute la forêt attend !" Anne revient et me dit : "Pas de frayeur en mon absence ? Je vois qu'Annabelle est venue papoter avec toi, elle est adorable et nous nous aimons beaucoup ! Qu'est-ce qu'elle t'a donné comme bon conseil ? Si je ne suis pas indiscrète !"

    "Bien sur que non, Anne, elle m'a demandé si j'avais eu droit au pervers qui testait toutes les nouvelles en les pelotant, en mettant ses mains et ses doigts partout tout en nous insultant, et quand je lui ai répondu que oui, avec Christian, elle m'a demandé si j'avais été à deux doigts de vomir ou de jouir ?"

    "Ca ne m'étonne pas d'elle ! Elle n'a pas sa langue dans sa poche ! Alors Christian t'a fait le coup ? Quel salaud, je vais lui montrer ce que c'est que de se moquer d'une amie ! Je suis désolée, ma chérie, je voulais juste que tu apprennes un peu à parler à un client.

    "Pas grave, Anne, mais je peux te demander quelque chose ?" "Bien sur, ma chérie dis moi !"

    "Annabelle m'a dit que si l'humiliation subie de la part de ce pervers m'avait presque fait jouir, je devrais dire à mon homme que je ferai une excellente soumise. J'avoue ne pas avoir tout compris, et elle m'a même conseillé de te demander ton avis !"

    "C'est simple et compliqué, mais je vais faire bref, car tu as l'air de piger très vite ! Tu es ici pour concrétiser un de tes fantasmes : la prostitution, or ce fantasme est double !"

    "Le premier qui pourra te troubler est de louer ton corps contre de l'argent à une ou plusieurs personnes qui vont faire ce qui est convenu avec toi, c'est le classique "j'aimerais faire la putain""

    "Le deuxième aspect de ce fantasme est plus pervers : en réalisant ce rêve de pute, surtout chez les non professionnelles, tu devras te présenter comme une femme objet : donc te laisser mater, peloter, branler et parfois même dénuder partiellement, pour que l'homme juge ton corps baisable ou enculable selon son envie !"

    "Voilà pour l'aspect physique de la femme objet mais après vient l'intellect, car, si ton corps a été approuvé, tu dois convaincre ton futur client que tu n'es pas qu'un réservoir à foutre et que tu sais faire bander un mec avec des mots : donc répondre à toutes ses questions sans hésiter, livrer tes pensées intimes même si elles sont fausses uniquement pour qu'il soit excité et qu'il ait envie de te tirer !"

    "Voilà, ma chérie ce que je peux te répondre et il est vrai que dans les fantasmes de pute : louer son corps n'a rien de bdsm, à moins que ce ne soit pour une cession de soumission, mais là nous changeons de sujet"

    "Par contre, jouer la femme objet pour être l'heureuse élue à recevoir le foutre et les billets de banque du client flirte beaucoup avec la soumission, et dans notre milieu, les filles qui mouillent en se vendant, en se laissant faire ou en entendant : "Tu prends combien" sont cataloguées comme des soumises ou des futures soumises."

    "Car, contrairement à ce qu'une majorité de personnes pense, ce caractère très intime n'est pas inné, il doit être révélé par un homme ou une femme très proche de toi, et vu ce que tu m'as rapidement raconté de ta vie sexuelle, tu es pile dans ce cas de figure : tu es en train de t'éveiller au masochisme, et ton homme sera ton mari mais aussi ton Maître"

    "Et comme tu m'as dit avoir envie de concrétiser tous les fantasmes du bdsm avec lui, il te faudra simplement construire tes remparts avec ce qu'on appelle les tabous, ou les "murs infranchissables du bdsm" !"

    "Ouah ! Pourquoi n'as-tu pas fait des études de psycho ? Tu aurais été la reine incontestée des diagnostics sexuels !"

    "Je construirai des barrages en Afrique et des ports en Chine ! J'espère que l'un de mes ouvrages portera mon nom !"

    "Ah, on dirait un client, mais je ne le connais pas, séparons nous d'un mètre pour lui laisser le temps de choisir"

    Nous nous écartons discrètement.

    L'homme, jeune, à la silhouette avenante s'arrête au milieu du carrefour pour observer "l'offre humaine" qui attend sa décision et son argent.

    Il semble avoir un déclic en nous voyant et se dirige vers nous.

    Il s'adresse à moi : "Bonjour, jeune femme, vous êtes très belle et très excitante, êtes-vous nouvelle ici ?" "Oui, Monsieur, c'est mon premier jour" "Ah, dans ce cas, je suppose que votre amie s'appelle Anne ?"

    Très surprise, je lui réponds en bégayant un peu : "Je ne connais pas son prénom, Monsieur, je suis désolée" Il sourit et aborde Anne "Bonsoir, Anne, le jeune homme qui est dans la voiture garée à deux cents mètres a besoin de vous voir, je tiens compagnie à votre amie, Yvelines, rassurez-vous, et il ne vous retiendra pas longtemps"

    "Ma chérie, je dois aller à l'auto, Monsieur va rester avec toi, ne te fais pas de souci, je vais voir ce qu'il veut et reviens de suite"

    Elle prend la direction de l'auto de Paul pendant que l'homme décidément très mystérieux revient vers moi :

    "Ooooh pauvre demoiselle, c'est donc votre premier soir, et, si par pur hasard nous passions un accord, aurais-je la joie d'être votre premier client ?"

    "Oui en effet, Monsieur, bien que je sois déjà engagée dans un rendez vous un peu plus officiel"

    "Nous pourrions faire vite, ce qui serait dommage, et profiter de cette inauguration, pour vous permettre de concilier les deux engagements, qu'en pensez-vous jeune dame ?"

    "Je pense que la réponse à cette proposition va nous être donnée par ma collègue qui revient vers nous"

    "Et vous ne saviez pas qu'elle s'appelait Anne ?"

    "Non, Monsieur, ici, toutes les filles s'appellent "ma chérie" pour simplifier les contacts"

    "Ah, je vois, c'est un monde que je connais peu"

    Anne revient et s'excuse auprès de l'homme en lui disant : "Je suis désolée, je dois parler à ma collègue". Elle me prend par le bras et me conduit hors d'écoute de l'homme.

    "Puisque Paul m'a donné vos prénoms, je suis enchantée de te rencontrer ma chère Agnès ! Mais j'aimais beaucoup Yvelines, et Paul te conseille même de garder ce pseudo pour cette forêt !"

    "A part ça, il m'a demandé de te rapporter ta veste en cuir et m'a fait promettre de te faire deux gros bisous sur les joues en étant bien vues de l'auto pour qu'il puisse nous répondre avec ses clignotants : tu veux qu'on le fasse de suite ?"

    "Oui, ce n'est pas bien compliqué, mais il ne va pas en rester là !" "Allez calme toi, pour l'instant c'est mignon : deux copines qui se bisent les joues, c'est presque romantique !"

    Je ris, nous changeons de position pour être bien en face de l'auto, et elle me smacke les deux joues ! Nous regardons l'auto et Paul déclenche une seule fois son warning, ce qui donne un gauche droite ! Bien joué !

    Je suis un peu remuée par ces deux bises pourtant bien chastes, mais depuis que nous sommes arrivés dans cette forêt, il s'est passé tellement d’événements que ma moule n'a pas eu trop le temps ni de sécher ni de se refermer un peu !

    "Alors, où en étions nous ?" "Ma veste, les deux bisous, nous en sommes aux services à lui rendre"

    "Exact, mais je dois aussi te dire, puisque maintenant je connais vos prénoms, que je m'appelle Jocelyne, mais tous mes intimes m'appellent Jok ! Je te laisse deviner pourquoi ?"

    "Si tu veux : sans trop réfléchir, je dirais que c'est peut être le début de Joker ou de Joke. Mais comme je pense que tu aimes t'amuser et plaisanter, je mise sur le jeu de mot avec la joke anglaise !" "Bravo, bien raisonné, décidément tu as un beau Q mais aussi un beau QI !"

    "Bon, revenons à nos moutons, dis moi ce que Paul te voulait ? Et surtout pourquoi il t'a demandé de venir et pas à moi ?"

    "Vous êtes un couple pas très simple ! Mais vous me plaisez tous les deux ! Je vais tout te dire, ok ?" "Entendu, je t'écoute !"

    "Tu es ici car Paul t'a juré qu'aucun autre homme ne te toucherait, je ne me trompe pas ?" "Non, c'est exact"

    "Tout en respectant sa promesse, il te demande de faire quelques petites choses inhabituelles qui devraient beaucoup t'exciter :"

    "Il sera trois heures dans moins de quarante minutes, il veut qu'à son arrivée tu sois surexcitée ! Tu comprends ?"

    "Oui, très bien, il veut que je sois dans mon monde irréel quand il va venir me baiser et m'exhiber très intimement devant des tas d'inconnus. Mais il sait que pour arriver à ce degré d'excitation j'ai besoin d'émotions très fortes, inattendues et qu'en seulement quarante minutes, je n'ai aucune chance d'y arriver !"

    "Il a peut être trouvé des solutions qui semblent tenir sur quelques feuille de calepin !"

    Elle me tend le premier message et me précise que je n'aurai le deuxième qu'après l'acceptation du premier et idem pour le troisième après acceptation du deuxième.

    Je m'isole et lis ce qu'il m'écrit :

    "Dans un peu plus d'une demi-heure, je veux que tu sois surexcitée, et voilà ce que je te demande de faire : vous allez, Jok et toi être de nouveau draguées par Henri, l'inconnu qui vous connait bien, je veux que Jok accepte l'enveloppe qu'il lui donnera et qu'elle le conduise dans le coin où elle fait ses passes"

    "Sur place, éclaire ce coin avec les deux lampes puissantes qui sont dans les poches de ta veste, pour que la "scène" soit bien visible"

    "Jok et toi, mettez vous mutuellement à poil en vous pelotant et en vous léchant toutes les parties de corps que vous vous dénuderez devant Henri"

    "Demande à Jok le deuxième message"

    "Quand vous serez toutes les deux à poil, tu t'accroupiras dans l'herbe bien éclairée, et tu pisseras devant Henri pendant que Jok le branlera pour le mettre en forme, puis tu te coucheras dans l'herbe et pointeras le petit vibro, que tu trouveras dans ta veste, sur ton clito en le mettant sur sa vitesse maximum, tu t'enverras en l'air le plus vite et le plus bruyamment possible : je veux t'entendre depuis l'auto"

    "Demande à Jok le troisième message"

    "Quand tu auras joui, il devrait te rester une vingtaine de minutes, rhabille toi : bas, p.j., soutif, jupe et talons. La veste viendra après. Henri sera en train de tringler ou d'enculer ta copine à poil. Dès que tu seras rhabillée, joins toi au couple et embrasse, caresse, pelote, lèche et suce tout ce que tu peux du corps de Jok : je veux que tu goûtes à ses orteils, à son trou du cul, à son urine, à sa salive, à ses aisselles et que tu lui gouines le clito pour la faire crier"

    "Demande à Jok le quatrième message" "Quand Henri jouira en elle, tu te chargeras de lécher ce qu'Henri lui aura défoncé, aspire très fort et avale tout soigneusement, et cinq minutes avant mon arrivée, fais jurer à Jok qu'elle accepte de t'initier à obéir à une Maîtresse sado, pour "tes 20 ans intimes""

    "MAIS, uniquement si cette suggestion te semble être une bonne idée : si tu refuses, ne te fait aucun souci, Jok ne sera pas lésée et nous la remplacerons facilement"

    "Pour ne pas qu'il y ait de quiproquos entre nous trois, quand tu auras fini de lire ce dernier message, donne lui les quatre pour qu'elle sache ce que je t'ai demandé. Et qu'elle accepte ou non la dernière proposition, rejoins ton coin où je viendrai te louer !"

    "Tu peux donner tous les messages à Jok, à tout de suite ma catin adorée !"

    Je savais que Paul me préparait quelque chose de très pervers, mais c'était si excitant que j'en perdais tous mes moyens rien que d'y penser et d'imaginer leurs réalisations !

    "Et, bien sur, en homme prudent, il respectait à la lettre les limites de sa promesse : "Aucun autre homme ne me touchera ou ne me pénétrera", mais un dénommé Henri me verra accroupie à poil en train de pisser comme une salope sans pudeur et quand il baisera ou enculera mon amie Jok, il sera aux premières loges pour me voir gouiner celle qu'il est en train troncher à côté de moi !"

    "Quant à la suite, je me fais plus un plaisir qu'une punition de gouiner Jok, car j'en ai envie depuis que je l'ai vue ! Et quant à savoir si elle sera ma Maîtresse enseignante, j'ai une parade contre laquelle Paul ne pourra rien !

    Etant déjà habillée, je suis la première à revenir dans le coin de Jok. Paul a presque gagné son pari car entre le voyeurisme d'Henri, la saveur de la peau et des jus de femme de Jok, l'orgasme fabuleux que m'a procuré le petit vibro haute technologie que toute la forêt a du entendre, je suis dans un état lamentable, et, chose assez rare, je sens ma mouille couler le long de l'intérieur de mes cuisses pour disparaître dans les bas !

    Jok me rejoint, elle aussi a le visage fatigué mais un sourire radieux éclaire son beau visage, elle appuie ses lèvres sur ma bouche et me murmure :

    "Oooooh, Agnès, quels bons moments tu m'as offerts, je ne sais même pas comment m'a baisé l'autre connard, je ne me souviens que de ta bouche, de tes doigts et de ta langue partout sur mon corps ! Hummmm vite, il nous faut recommencer le plus tôt possible !"

    Je n'ai pas le temps de répondre, car des pas résonnent dans les fourrés environnants, il sera trois heures dans cinq minutes.

    Des filles de notre groupe accompagnées d'hommes inconnus sortent des buissons, le tout dans une ambiance très festive !

    Anne s'adresse à tout le monde :

    "Merci d'avoir accepté l'invitation de notre nouvelle amie ici présente, nous attendons l'homme qui va l'aider à accomplir son pari, mes amies ont du vous prévenir que pour des prix dérisoires nous pouvons vous aider, avec nos mains ou nos bouches à mieux jouir du spectacle qui vous sera offert gratuitement. Si vos avez des questions, je vous écoute !"

    D'autres groupes arrivent. Ils doivent être une trentaine pour le moment. Je suis paralysée de peur en voyant cette foule !

    Paul arrive juste à l'heure, il contourne le groupe et revient vers nous, il me sourit et dit à Anne :

    "Tu devrais conduire ces gens là où vous avez décidé de faire le show, nous vous suivrons"

    Elle reprend la parole et dit à tout le monde : "Il va bientôt être l'heure, nous allons sur la "La Clairière de l'Etoile" que vous devez connaître, si, non, suivez moi ! En route mes amis !"

    Quelques retardataires grossissent encore le groupe et Anne me dit avant de me quitter : "Il y a même des filles qui ne sont pas de notre groupe qui nous on rejoint, c'est un succès complet !"

    La procession s'ébranle et Paul me rejoint, il m'embrasse tendrement et me demande : "Alors mon coeur, es-tu en forme ? Bien décontractée et super-excitée ?"

    "Plutôt vexée de m'être fait avoir comme une gamine, sans que tu ne trahisses ta parole, j'ai tout de même du pisser à poil devant un parfait inconnu et gouiner une femme qui aurait pu être une excellente amie ! Mais, tu me voulais super-excitée, eh bien tu vas être heureux, je vais me déchaîner et me conduire comme la pire des salopes ! Si tu veux je te propose même d'organiser une tombola, et d'offrir au gagnant de m'enculer gratuitement devant tout le monde, à une condition : que tu te branles seul et que tu t'envoies en l'air quand l'autre porc se videra les couilles dans mon cul, tu me voulais salope, tu vas être obligé de me calmer !"

    Paul éclate de rire, me met la main au cul et me pousse vers les autres alors que nous arrivons dans cette clairière :

    "C'est parfait, comme ça tu vas t'exécuter sans rechigner et je pourrai te faire faire des pas de géant dans ton éducation de femelle !"

    Les voyeurs ont formé un demi-cercle dans cet espace dégagé et nous n'avons aucun mal à nous placer devant eux.

    Paul leur dit : "Je ne suis pour rien dans cette improvisation et ce spectacle gratuit, il faut que vous remerciez ma courageuse amie qui a parié qu'elle pouvait faire la pute et se faire baiser sans tabous devant tous les voyeurs de la terre !"

    "La voilà donc, prête à s'exécuter, et je la sens motivée pour aller jusqu'au bout, pour répondre à vos questions, Mademoiselle ne portera pas de masque, elle sera très vite totalement à poil et vous pouvez faire toutes les photos dont vous avez envie. Alors ! Très bon spectacle !"

    Il me prend dans ses bras par derrière, me tourne vers les spectateurs, je lui murmure à l'oreille

    "Paul, tu es fou tu vas être sur toutes les photos ?" Il éclate de rire en commençant à ouvrir ma veste de cuir et me répond : "Pas de souci, mon amour, j'ai fait envoyer un drone, tous les portables sont neutralisés pendant deux heures !"

    Je suis abasourdie et ne réalise même pas que je suis face à cette quarantaine de personnes et que Paul finit de m'enlever ma veste, sous les sifflets et les applaudissements !

    Sa main s'insinue sous ma jupe et remonte pour venir flatter mon intimité ! Il se colle contre mon dos et m'embrasse le cou et le bas d'une oreille, zone très sensible chez moi. Je frémis, ferme les yeux et me laisse aller.

    Profitant de ma passivité, il écarte les deux pans de mon boléro et caresse mes seins à pleine main au dessus du soutien-gorge.

    Il s'adresse à un jeune au premier rang :

    "Toi, mon jeune ami qui a sorti ta belle bite pour te branler en matant cette pute, tu veux venir constater et répondre à tous ceux qui se demandent si cette salope a une culotte ? Ou si elle est cul-nu ?"

    Le jeune n'en revient pas, il regarde partout mais les autres en riant lui disent que c'est bien à lui que mon baiseur s'adresse !

    La bite dressée, il se précipite vers nous et passe sa main droite un peu tremblante sous ma jupe, il fouille longuement en profitant de sa gloire éphémère et s'écrie à l'attention de tous :

    "Non seulement elle n'a pas de culotte mais en plus elle a le con dégoulinant de jus, je n'en ai jamais senti autant dans un vagin de femelle !" Paul lui conseille de me donner sa main à lécher pour la nettoyer, et il remonte ma jupe, je tente bien de résister, mais son genou puissant m'oblige à écarter mes cuisses de force.

    Il baisse sa main, et pendant que je nettoie un à un les doigts du jeune, il masse sauvagement ma moule, largement ouverte et obscènement baveuse !

    Mon intimité réagit et mon organisme produit encore plus de cyprine, le haut de mes cuisses est inondé et les lampes dirigées vers nous par l'équipe d'Anne prouvent à tout le monde que ce n'est pas de la simulation !

    Tout mon corps est parcouru de frissons de plaisir qui viennent s'ajouter à ceux occasionnés par la fraîcheur de la nuit à cette heure tardive.

    Un groupe de jeunes débarque dans la clairière, aussitôt briefés par l'équipe d'Anne, qui est vraiment très efficace, malgré mes yeux embués par l'envie et le plaisir"

    "Je suis heureuse de voir que la quasi totalité des jeunes femmes présentes a une bite en main ou dans la bouche, le plan marketing fonctionne donc merveilleusement bien !"

    Contrairement à mes habitudes, au lieu de me sentir honteuse, je me sens presque fière d'être utile à quelque chose !

    Paul dégrafe ma jupe et la fait glisser jusqu'au sol.

    Il la ramasse et dégage mes épaules du boléro qu'il jette avec la jupe sur ma veste déjà au sol.

    Les flashes crépitent, tout le monde a sorti son portable, pourvu que personne ne réalise qu'aucun ne fonctionne !

    Chatte nue encadrée par le porte-jarretelles en cuir et le haut de mes bas, perchée sur mes escarpins rouges de pute, nichons à moitié sortis de mon soutif, je fais en effet une belle image souvenir parfaite pour se branler !

    Les mains de Paul deviennent possessives et autoritaires et mon rythme cardiaque s'accélère.

    Sa main droite s'acharne presque méchamment entre mes jambes et, au moins, quatre de ses doigts fouillent mon ventre.

    Le groupe des jeunes nouvellement arrivés s'approche un peu plus de nous : il y a trois jeunes arabes dont une jolie jeune fille et un noir couleur ébène, à eux quatre, ils ne doivent pas dépasser les quatre vingts ans.

    Comme les autres, ils applaudissent le rythme de branlette effrénée de Paul. Mais ils sifflent très fort et se rapprochent de plus en plus de mon con défoncé !

    Je suis tétanisée par leurs regards mais Paul continue de les ignorer, tout en me fouillant le con et en me mordillant le lobe des oreilles, le haut des épaules et le cou !

    Les jeunes se rincent l'œil pendant qu'il malmène mon entrejambe.

    Etre exposée ainsi, sans possibilité de fuite, presque violée devant eux, est un supplice délicieux et une humiliation assez cruellement excitante pour produire en moi une drogue euphorisante qui doit stimuler ma libido.

    Comme je lui ai promis avant d'entrer dans cette clairière, je jette ma pudeur et mon éducation aux orties, et je plaque sa pine raide contre mon cul en me cambrant outrageusement et vicieusement.

    Il sent que j'ai besoin de plus de vice et s'adresse au noir qui me bouffe des yeux : "Dis-moi, mon ami quel est ton prénom ?" "Moi ? Monsieur ?" "Oui ! Toi !" Tout le monde rit !

    "Je m'appelle Omar, Monsieur !", "Et tu es né à Lyon ?" "Oui, Monsieur ! Depuis 19 ans et j'aime les tabliers de sapeur, la nuit des lumières, le Rhône et la Saône et les femmes blanches comme celle que tu es en train de défoncer !" Tout le monde éclate de rire !

    "Bravo, Omar, tu as bon goût ! Peux-tu m'aider, je n'ai pas envie de libérer ma main droite qui est bien au chaud dans sa connasse ! Tu peux lui enlever son soutien-gorge et vérifier que ses bouts de nichons bandent bien fort ?"

    "Oooooooooooooooh, avec plaisir Monsieur ! Avec un immmmmmennnnnnsssssse plaisir !"

    Tout me monde applaudit Omar qui pose délicatement ses mains dans mon dos, dégrafe le soutien-gorge sans bretelles et prend les bonnets dans ses deux mains en veillant à ce que mes seins ne tombent pas d'un seul coup, comme un garçon bien soigneux !

    Il est de nouveau sifflé et applaudit par tout le monde ! Il obéit à l'ordre de sa vie et me pelote avec délicatesse les nichons qui sont bien adaptés à ses mains avant de les abandonner pour s'occuper de faire durcir mes bouts jusqu'à ce qu'ils triplent de taille et de volume en bandant, gorgés de sang et d'envie, en m'obligeant à gémir très fort de plaisir.

    Il pince gentiment la base de mes tétons et les montrent à la foule qui en les voyant bandés comme des petites bites hurle sa joie et scande son nom : "O ! Mar ! O ! Mar ! O ! Mar ! O ! Mar ! O ! Mar !"

    Avant que la foule ne le porte en triomphe, Omar rejoint les spectateurs, je n'ose dire "rouge" de sa gloire ! Paul semble content de ses choix et de ses interventions et se penche vers mon oreille : "Tu vois, ma cochonne, tout se passe bien, mais on va arriver aux choses sérieuses !"

    Et il me dit à voix haute en baissant son pantalon et son caleçon : "Allez, salope, mets toi à genoux dans l'herbe, ça va te rafraîchir la moule !" Et il exhibe son gros pieu bandé à la vue de tout le monde !

    Les filles sifflent et applaudissent : "Et, beau gosse, nous aussi on en veut ! Ne sois pas salaud !" Je comprends ce qu'il veut. Et je me rappelle de ma promesse à moi même en m'agenouillant donc de suite et en ouvrant grand ma bouche.

    Il s'y engouffre d'un grand coup de rein. Je lèche son gland et sa belle hampe, tout en caressant ses testicules velus qui frappent mon menton à chaque mouvement de balancier.

    Je suis horriblement humiliée de devoir faire une pipe en public, mais je dois reconnaître que je suis surexcitée et que depuis plus d'une demi-heure, je flirte avec mon premier orgasme dans la clairière !

    Tout d'un coup, Paul prend dans sa main droite plus de la moitié de mes cheveux mi-longs, il sort son pieu dégoulinant de bave de ma bouche, me relève brutalement et me traîne à deux mètres de là, hurlant de douleur contre un gros chêne rugueux.

    La foule hurle, applaudit et siffle et les quatre jeunes suivent, quitte à bousculer d'autres spectateurs pour ne rien rater de la suite de ce spectacle qu'aucun théâtre ne voudrait produire !

    Anne et son équipe sont obligées de changer les lampes de place, mais, en attendant, dans cette pénombre provisoire, je vois la foule venir assister à ma déchéance ce qui, contrairement à toute logique, m'érotise, me bouleverse les sens et me pousse vers une jouissance qui tôt ou tard devra forcément éclater !

    Paul est métamorphosé, j'ai du mal à le reconnaître ! Il me plaque de ses genoux contre l'arbre alors que ses deux mains descendent vers mon sexe pour le dilater violemment : je n'ai plus aucun doute : il va me prendre comme une bête, et me violer devant tous ces inconnus.

    Je suis bouleversée ! Je me sens à la fois la victime et la provocatrice de ce viol. Privées de protection, les lèvres de mon sexe nu s'émeuvent de l'air frais générant des ondes de désirs sauvages et naturels dans cette forêt.

    Complètement prise par mes émotions plus instinctives que réfléchies, je sais que je ne peux plus arrêter l'engrenage infernal et que je dois aller là où Paul désire m'emmener, quels que soient mes sentiments ou mes idées personnelles.

    Prise d'une irrésistible envie de contacts charnels, je le serre contre mon ventre nu et mord le lobe de son oreille pour le provoquer.

    Il passe sa main droite sous ma jambe, la lève et fouille ma vulve à la recherche de l'entrée avant d'enfoncer brutalement son gland dans ma grotte humide et chaude.

    Il est très rare qu'il me nique debout : cet assaut est donc si rapide, si puissant et si inhabituel, qu'il fait trembler les barrières de ma pudeur. Je m'entends crier un long : "Ouuuuuuuuuuuuuuuuuui" de plaisir.

    Et son va et vient sauvage, dans cette position où la pine peut très facilement pénétrer totalement dans le con de la femelle, me fait perdre la tête. Je ne sais plus où je suis !

    Ma bouche s'ouvre et se ferme comme pour happer un supplément d'air. Je plane et m'abandonne au plaisir sans aucune retenue.
    Les trois jeunes arabes se sont rapprochés de nous.

    Anne a fait éclairer la nouvelle scène, je vois bien leurs sexes bandés : l'un des deux se branle et l'autre se fait branler par la fille.

    Un camaïeu de sentiments à la fois contradictoires et convergents me traversent : j'ai honte de m'être mise dans une telle situation, mais, en même temps, je me sens réellement très pute et je les regarde avec une sorte de fierté, la pénombre relative cachant mon regard qu'ils pourraient juger provocateur !

    Il soulève encore un peu plus ma jambe droite, écarte plus mes fesses pour mieux s'enfoncer dans ma connasse : plus loin, encore plus loin, plus loin, encore plus loin !

    Je ne réalise même pas que mon dos va être écorché par l'écorce de l'arbre !

    Perchée sur la pointe de mon seul escarpin qui repose au sol, je me laisse envahir peu à peu par la chaleur qui monte dans mon ventre.

    Emportée par le plaisir, j'en arrive à aimer ces voyeurs au-delà de ma peur, surtout ce petit groupe de jeunes qui n'a aucun tabou et a franchi toutes les barrières sans se poser de questions !

    Serais-je en train de devenir une chienne lubrique ou une femelle juste bonne à se faire prendre ?

    Peu importe, comme si mon corps ne m'appartenait plus, je suis terrassée par le plaisir. J'arrête de me retenir et laisse courir ma folie dans mon orgasme trop fort pour moi.

    J'aimerais que Paul ne s'arrête jamais de me pistonner le con : je me délecte de cette brutalité chaque fois qu'il entre et sort de mon ventre, comme si à chaque coup de reins, il gonflait mon orgasme pour le rendre encore plus fort !

    Je mange son visage de baisers fous pendant qu'il m'ensemence le ventre ! Oh, comme j'aime mon homme qui m'entraîne toujours plus loin dans ma recherche des plaisirs.

    Il me dépose gentiment à terre, sur mes deux escarpins, et je réalise que j'ai du beaucoup crier, car le "groupe de voyeurs" que ma conscience qualifie à présent de "groupe d'amis", applaudit à tout rompre et la jeune femme qui m'avait mise en garde contre la simulation se jette sur moi et embrasse mes joues comme du pain béni en me disant : "Yvelines, si tu as simulé, tu mérites un Oscar !"

    Tout le monde rit, mais Paul demande la parole : "Attendez, avant de vous disperser, j'ai besoin d'un renseignement qui me permettra, peut être de vous annoncer, la surprise finale de cette soirée !"

    Accompagné par des sifflets et des applaudissements, Paul va voir Anne et discute en appartée avec elle.

    Il lui fait une bise, ce qui m'étonne assez peu, puisque depuis notre séance intime je suis persuadée qu'ils se connaissaient tous les deux avant ce soir et il revient à mes côtés : "Voilà, la nouvelle étant bonne, je vais donc pouvoir laisser notre amie Anne vous annoncer le beau final de cette belle soirée !"

    Anne se place à côté de nous :

    "Mes amis, en premier point, vous avez vraiment joué le jeu ce soir. Nous avions décidé de vous faire des prix sur nos tarifs habituels pour vous aider à ne pas jouir seuls. Vous êtes venus en masse et vous avez été très nombreux à solliciter nos services : merci, et bravo pour vos pourboires !"

    "En deuxième point : sans votre venue, le pari d'Yvelines aurait eu moins de succès,"

    "Mais comme elle ne peut vous remercier un par un, elle vient de confirmer à son compagnon que, son cul n'ayant pas été utilisé ce soir, elle acceptait de le mettre aux enchères"

    "Pour cinq euros, vous aurez un ticket et donc une chance de gagner. La totalité des gains des enchères sera partagée entre les neuf filles encore présentes, et le tiré au sort aura le droit d'enculer Yvelines, dans la position qu'il voudra, à poil, devant tout le monde et pendant trente minutes, préliminaires inclus !"

    Tonnerre d'applaudissements !

    Je tombe des nues en entendant Anne et attaque Paul :

    "Noooooon Paul, tu n'as pas le droit, c'était un fantasme pas un conseil ! Nooooooon, je refuse de faire ça !"

    "Mon trésor, quand on est une adulte on fait attention à ce qu'on dit : en arrivant ici, tu m'a promis d'être tellement salope que je pourrai mettre ton cul en loterie, et je ne fais qu'accéder à ton désir : as-tu été enculée ce soir, ma chérie ?" "Non"

    "Alors en route : soit tu laisses Anne continuer, soit tu lui coupes la parole et tu déments en disant que ton cul n'est pas à louer, soit tu vas toi même proposer un autre deal à tes amis voyeurs : débrouille-toi ! Moi je n'interviendrai pas"

    Je ne trouve plus rien à répondre, encore une fois, j'ai trop parlé, encore une fois j'ai été trop faible, mais encore une fois, j'ai rêvé toute la soirée de me faire défoncer le cul en public et devant Paul et par Omar ! Pourvu qu'il gagne !

    Anne termine ses remarques : "Et dernier point, nous allons passer parmi vous pour vous proposer des tickets à cinq euros pensez qu'avec cinquante euros, vous aurez dix fois plus de chances de gagner, mais pour récompenser les perdants, nous vous offrons pendant les trente minutes du show final : une pipe nichons nus à dix euros ! Tout le monde devrait être satisfait, merci et envoyez vous en l'air, dans le cul d'Yvelines, dans une de nos bouches ou dans votre main, peu importe ! Laissez votre foutre dans la Forêt des Étangs !"

    Des "Anne Présidente !" fusent ainsi que des "On est des champions !" ou des "Qui ne lâche pas son foutre est un radin" et ainsi de suite ! Une vraie bande de gamins !

    Anne vient m'apporter mon boléro et me dit de le mettre en restant cul nu, en bas et en escarpins pour l'aider à vendre des tickets pour que les mecs puissent savourer ce qu'ils vont peut être pouvoir défoncer !

    J'en profite pour lui demander :

    "Jok, tu ne peux pas faire en sorte que ce soit Omar qui gagne ?"

    Elle me regarde avec des yeux brillants de vice : "Je ne me suis pas trompée sur toi, tu es une véritable salope ! Je crois bien que je vais accepter de m'amuser avec toi sans te faire de cadeaux ! Quant à organiser une réunion enculage entre Omar et toi, ce sera très simple, je vais lui demander son portable ! Mais je veux que ce soit filmé ! Car je veux te voir jouir avec une bite de nègre dans le cul, et même peut être deux, nous allons y réfléchir !"

     

    Laissant ma mauvaise humeur de côté, je la suis, toute contente de sa promesse et rentre dans le monde de la joie, de l'amour, du cul et de la folie collective !

    Il est vrai que quand je montre mon cul en l'ouvrant bien, les pines se redressent et les billets de cinquante euros pleuvent !

    Je n'ai pas fait une seule vente de ticket à un mec qui avait sa bite dans son pantalon ! Je peux dire que j'ai vu en peu de temps celle qui allait me faire ma fête !

    Jok me glisse à l'oreille : "Je te jure que tu auras ton "Homard noir à la lyonnaise", car je dois te dire, que, grâce à toi, nous allons faire une recette incroyable ce soir ! C'est super gentil d'avoir offert ton cul en plus ! Même si tu es une super-salope, tu sais être une fille super-généreuse, et tu peux revenir à "La Forêt" même sans penser au cul : tu n'y as que des amies !"

    Très troublée et un peu gênée, je marmonne quelque chose d'inaudible et continue la vente de mon cul en ayant hâte que cette soirée s'achève.

    Mais quelque part dans un coin de la zone "vices et perversions" de mon cerveau, j'ai aussi très hâte que mes nichons se balancent devant tous ces voyeurs au rythme des coups de bite que mon enculeur donnera dans mon cul pour bien me défoncer !

    La collecte terminée, Anne et une amie comptent rapidement la recette et annoncent à tout le monde que les 18 hommes présents ont acheté 360 tickets pour une recette totale de 1.800€ soit 200€ par fille encore présente !

    Ce très beau geste est acclamé par des cris et des applaudissements de la part de toutes les filles qui se précipitent sur leurs réguliers pour les embrasser à pleine bouche !

    Anne propose que ce soit mon client qui tire le ticket gagnant, et Paul accepte de bon coeur, je reste un peu à l'écart pendant que les joueurs forment un cercle dans la clairière, ils posent une cape de fille au sol, y jette tous les tickets, la referme par ses quatre coins et la lève, laissant à Paul un tout petit accès pour glisser sa main, prendre un ticket, l'extraire et le donner à Anne.

    Elle l'ouvre et annonce que c'est "Jean-Louis-Le-Bûcheron" qui a gagné ! Les filles ont bien fait attention de demander un surnom à chaque participant pour ne pas se retrouver avec plusieurs Jean-Louis gagnants !

    Le gagnant sort du rang et se dirige vers "la scène" que l'équipe d'Anne a éclairé avec deux autres lampes et quatre brûlots improvisés. Il s'approche de moi et me fait un baise-main très conventionnel applaudit par tout le monde !

    "Une heure plus tard, Paul roule lentement sur le chemin du retour. Le silence est total, le moteur hybride ne fait aucun bruit et comme le choc des neurones ne provoque, pour le moment, aucun décibel, le silence de notre couple est impressionnant"

    Alors que le ciel commence à s'éclaircir, bien que le soleil profite encore de quelques dizaines de minutes de grasse matinée pour flemmarder, je me demande ce qui peut bien se passer dans la tête de mon amour ? A quoi peut-il bien penser ? Quelles conclusions tire-t-il d'une soirée comme celle là ?

    Et pendant que mon cerveau gamberge, je sens que du sperme continue de sortir de mon anus. Je suis contente d'avoir protégé mon fauteuil en posant mon cul nu sur ma jupe en cuir !

    Le vent frais de la nuit filtré par la ventilation de la voiture vient souffler gentiment sur mon intimité comme pour profiter de ma nudité pour la sécher plus vite !

    De repenser à la fantastique richesse de cette soirée, de tout ce que nous avons fait, des pas de géant que m'a obligé à faire Paul dans mon éducation de "l'autre Agnès", celle dont il est déjà le Pygmalion absolu !

    Tout se bouscule dans ma tête qui ressemble à un flipper dans lequel mes idées rencontrent des "bumpers" qui illuminent ma réflexion mais aussi des pièges dans lesquelles elles tombent pour me faire régresser ou même changer d'avis !

    Mais tout ce concert de casseroles cérébrales me saoule et j'ai plaisir à laisser mes envies reprendre le dessus : très lentement, pour ne pas provoquer de geste brusque, je me couche sur le côté gauche et pose ma tête sur les cuisses de Paul.

    Je dégrafe rapidement son pantalon en me souvenant en souriant dans le noir de ma "première fois" sous le piano, et j'en extrais son sexe mou que je câline de ma main avant de le glisser dans ma bouche. Je déguste avec gourmandise et délice les parfums de son plaisir mêlé au mien : un vrai parfum de couple que pourrait nous créer une entreprise de Provence !

    Sous mes lèvres gourmandes, le petit "zizi" tout mou, revit peu à peu. Je presse le petit gland entre mes lèvres avant de les glisser sur la hampe, tout en caressant à travers le pantalon, ses couilles à présent emprisonnées dans la cage formée par mes doigts.

    Sans les lâcher, je laisse longuement errer ma langue tout le long de ce qui est devenu une grosse pine, bien fonctionnelle qui me livre son petit goût marin et iodé que j'aime tant.

    Je ne bouge pas quand Paul met son clignotant, je ne pense pas que nous soyons arrivés, et rassurée, je continue de le pomper avec envie et avec attention.

    Il me caresse les cheveux et me dit : "Je suis content de ton initiative, je suis sur que du as des tonnes de questions à me poser, mais, vue ta parfaite éducation, je sais que jamais tu n'oseras parler la bouche pleine, alors, suce moi bien, régale toi, et régale moi, je vais répondre à tes questions, sans en oublier une seule !"

    Je fais oui de la tête en pressant un peu plus ses couilles !

    "Est-ce que ce soir tu es devenue une chienne lubrique ou une femelle juste bonne à se faire baiser ou enculer ?"

    "En apparence, oui, mais quand tu te transformes en chienne seules tes hormones te contrôlent, et c'est l'autre Agnès qui se donne ou qui s'exhibe. Un exemple ? Tu es une grande joueuse de foot, mais quand la partie est finie, tu redeviens la femme incapable de donner des coups vicieux à tes adversaires et très triste d'avoir mis un but à ta copine gardienne du but adverse !"

    "Pourquoi t'avoir imposé ces exhibitions devant Henri et ces gouinages avec Jok ?"

    "Pendant que tu finissais de te préparer, j'ai téléphoné à Henri pour lui demander de venir ce soir vers la "place de l'Etoile", pour me donner un coup de main, quant à Anne-Jok, je la connais depuis deux ans, je suis son ami tout ce qu'il y a de plus pur et je surveille sa carrière car cette fille est un vrai diamant pour mon équipe de direction."

    "Je connais ses goûts sexuels intimes : les gouines et leur domination, le reste ne l'intéresse pas ! Ce soir elle m'a été très utile, pour ton éducation-plaisir, la passe-corvée avec Henri et l’organisation-plaisir de ton show, à l'arrivée à la maison je te laisserai écouter le répondeur, tu entendras sa voix"

    "Et, dernier point, si tu es d'accord, elle sera une très bonne initiatrice pour t'apprendre à obéir à une "Domina Sado", car, tu as remarqué qu'elle est TRÈS intelligente. Notes que connaissant le Directeur de son Ecole, puisque je suis sorti Major de la même !

    J'ai eu les résultats de ses deux tests de Q.I. en main : elle dépasse chaque fois les 140, qui est la limite maximum dont sont dotés les génies ! Tu vois pourquoi je tiens à cette perle !"

    Je refais oui de la tête sans cesser de le pomper, j'ai un peu mal aux mâchoires mais je suis de plus en plus excitée ! Je sors ma main droite que je lui montre en laissant mon majeur recroquevillé caresser le vide et sors mon pouce en le levant et en le baissant !

    Il éclate de rire et me répond !

    "Mais, bien sur, régale toi ma chérie, branle toi mais essayons de jouir ensemble !"

    Je remontre mon pouce levé et ma main disparaît entre mes cuisses. Je lâche sa queue une seconde pour pousser un gémissement de contentement ! Avant de reprendre goulûment ma pipe !

    "Tu veux sans doute savoir quels ont été pour moi les temps les plus excitants de cette soirée ?"

    Je refais oui de la tête, mais plusieurs fois ! Visiblement très intéressée !

    "Je m'en doutais, il y en a eu beaucoup, je vais essayer de ne pas en oublier : le premier n'était pas trop perceptible, mais j'ai senti qu'en te grondant un peu après l'épisode de la veste que tu ne voulais pas enfiler, tu avais pris la décision d'être moins "non-non" avec mes idées et plus vite "oui-oui", ce qui m'a excité et conforté dans ma stratégie d'éducation ! Est-ce que je me trompe ma chérie !"

    Je fais plusieurs fois nooooon de la tête.

    "Merci, mon trésor, hum suce doucement, attarde toi sur mon gland, il va commencer à juter des filets "d'avant-foutre", qui, il paraît, car je n'ai pas pensé à y goûter, n'a pas le goût du vrai foutre !"

    Je fais plusieurs fois ouuuuuui de la tête !

    "Le deuxième est dans la forêt, quand nous sommes arrivés au carrefour et que tu as découvert tes futures collègues, tu avais une tête surréaliste à la Picasso ! Un œil à côté de la bouche l'autre dans une oreille, en bref tu étais toute de travers !

    Et, quand j'ai retenu Anne pour lui parler, c'était pour lui demander de te faire faire le coup du pervers par son ami Christian, et si elle pouvait, de m'appeler sur mon portable et de le donner en mains libres à son ami pour que je puisse suivre, non pas les images que je suivais à la jumelle, mais au moins votre dialogue ! J'avoue que ta voix plus qu'émue m'a beaucoup fait bander !"

    Je lâche sa bite et lui mordille doucement le gland en le traitant de salaud !

    "Aie ! Tu as raison, mais quel pied ! Je ne vais pas te dire combien de fois j'ai joui ce soir, ça te rendrait jalouse !"

    "La troisième est la séquence d'argent sur le podium des meilleures. Quand Anne, Henri et toi avez disparu dans les bois, j'ai quitté l'auto et je me suis installé vers les lampes allumées par Anne, j'ai donc assisté et tout photographié, puisque j'avais demandé le brouillage pour trois heures du matin"

    "Tu verras ces photos qui te laisseront sans voix ! Votre déshabillage lesbien, lascif et super sexy, le léchage de toutes les parties de vos corps dénudées, des cheveux aux talons de pieds" "Puis ton solo de pisseuse, nichons gigotant et cuisses bien ouvertes avant qu'Henri ne nique Anne en levrette, pendant que tu t'envoies en l'air à cinq centimètres d'eux avec ton super vibro, dernier gadget d'une société de notre groupe !"

    "Puis toi qui te rhabille après avoir réveillé toute la forêt par tes cris de jouissance et qui revient vers le couple pour peloter, embrasser, lécher et sucer Anne, avec, je pense, un immense plaisir réciproque, et enfin le nettoyage de son con avec ta bouche aspirante et ta langue finisseuse, avant le départ d'Henri et ton retour avec ta veste dans le coin d'Anne qui, elle finissait de se préparer !"

    Je décontracte mes mâchoires en le lâchant et lui disant : "Tu as acheté une usine de sex-toys pour payer moins cher notre Donjon ? Tu ne manques pas d'air !"

    Il rit : "Ce n'est pas tout à fait comme ça que ça s'est passé, rappelle moi un jour de te raconter l'histoire, elle est rigolote !"

    "Et enfin, on va arriver à la médaille d'or de cette soirée, tu la connais, car, probablement sans le vouloir ou en ayant une telle pression en toi et sur toi, tu as offert un spectacle rare : ta jouissance du cul devant plus de trente personnes avec une orgasme qui, quelqu'un t'a chronométrée, a duré plus de 34 secondes ! Et a crevé une trentaine de tympans ! Sauvage !"

    "Ouahhhhhhhh, amour, je viens de revivre ton orgasme du cul, mais, attention je n'en peux plus, bloque bien ma pine au fond de la gorge et essaye de t'envoyer en l'air ! Je ne peux plus me retenir ! Oooooooooh fais vite je t'en supplie je ne veux pas rater cet instant !"

    Éperdue, je bouge comme une folle mes doigts dans mon con tout en griffant mon clito assez méchamment, focalisée par le seul objectif de jouir vite en suçant une bite dans une bagnole comme une putain-amazone qui fait ça cent fois par jour, je laisse courir les secousses animales qui déferlent dans tout mon corps par des vagues régulières d'ondes de plaisir, alors que Paul vidange enfin ses burnes de Maître dans ma bouche de catin !

    Courtois comme à son habitude, Paul m'aide à me rafraîchir, allant même dans le coffre pour récupérer une bouteille d'eau fraîche dans le réfrigérateur électrique.

    En chemin je médite tout ce qu'il vient de me dire, sans aucune honte, car très fière d'avoir été à la hauteur, que ce soit moi, la peureuse et couarde Agnès qui n'osait jamais rien faire, ou l'Agnès, fière de son vice, qui loue son anus aux enchères pour remercier un groupe de pervers dont elle pourrait surement prendre la tête !

    Il est à présent clair et limpide que ces situations chaque fois plus pornographiques et humiliantes et ces idées nouvelles qui ne sont en fait que le feuilletage du grand livre du bdsm, chapitre par chapitre, activité par activité, nous excitent tous les deux au plus au point, je le sais mais même si je ne pense plus avoir peur, ça m'inquiète un peu en m'obligeant à poser cette grave question : jusqu'où irons-nous dans cette folie ?

    Quand nous entrons dans le hall de la maison, Paul me signale le téléphone ?

    Ah ! Oui, je n'y pensais plus ! J'appuie sur les messages, il n'y en a qu'un :

    "Paul, c'est Jocelyne, je vous en veux, c'est beaucoup trop, mes "amis" de "La Forêt" ne sont pas prêts de revoir ma lune ! Un petit PS > Oui pour Agnès, mais ! Je ne VEUX pas que ce soit un acte rémunéré, c'est non négociable et je sais que vous me comprenez : vous n'êtes pas homme à payer un service rendu à quelqu'un à qui je dois tant ! Un respectueux bonsoir et un "smack de carrefour" à ma très charmante nouvelle amie !"

    Suite dans "Agnès" Tome 6 >


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    Ma voisine

     

    « L'improbable complémentarité de deux femmes »

     

    Tome 01

    Utilisation libre de droits pour les lecteurs de ce blog

    Auteure : Loréna Dufour

    Rewrité deux fois en 2018

    Nombre de pages : 555

    A suivre dans le Tome 2

    --------------------------------------- 

    Chapitre 1

    Rewrité très gentiment par "P" / Début décembre 2018 / Merci !

    Samedi 7 janvier 2017 - 9h45

    Après avoir tout préparé pour le trek de mes deux hommes : mon fils, Jean, et mon mari, Yves, et les avoir accompagnés jusqu'à la voiture, je rentre bien décidée à attaquer le ménage de la maison !

    Du peignoir, je passe à un vieux jean, des mules nus-pieds et un gros pull élimé à même la peau. Après un double expresso bien fort, je suis prête attaquer tous les moutons de la terre, armée de mon aspirateur et de mon plumeau.

    Cinq minutes plus tard, le téléphone sonne. Yves a oublié de me dire quelque chose !

    "Alors étourdi qu’as-tu oublié, cette fois ?"

    Je suis surprise d’entendre un petit rire féminin :

    "Non, aucun oubli, je suis désolée de te déranger Loréna, je suis Annie ta voisine !"

    "Ah excuse moi, j’ai pensé que mon mari avait oublié quelque chose pour son trek avec notre fils !"

    "En effet, je les ai vu partir avec leurs gros sacs de randonnée, et comme Marc, mon mari, s'est aussi absenté pour la journée, j’ai eu l’idée de t’appeler pour que nous fassions plus ample connaissance … sauf, bien sûr si tu avais d'autres projets !"

    "Excellente idée : j’étais partie pour une journée de ménage, mais au diable les corvées ! Je préfère largement papoter avec toi ! Tu viens chez moi ? Je nous prépare un super expresso-petits fours !"

    "Entendu, je suis là dans cinq minutes !"

    En raccrochant et en rangeant aspirateur et plumeau, je m’étonne un peu de cet appel et essaye de me remémorer Annie qui s'est installée il y a peu de temps à deux maisons de la nôtre : environ 25 ans, soit dix ans de moins que moi, aussi brune que moi avec des cheveux longs alors que les miens sont mi-courts, un petit peu plus grande que moi, et, adorable avec de très beaux yeux verts et une silhouette apparemment parfaite.

    Samedi 7 Janvier - 10h

    Le café finit juste de passer quand elle frappe à la porte que je n'ai pas verrouillée. Je lui crie d’entrer et de me rejoindre dans la cuisine. Nous nous faisons la bise.

    Je ne peux pas m’empêcher de la détailler : elle est très sportswear chic en jupe longue noire, légèrement fendue sur le côté, des bas ou des collants gris, des escarpins à talons mi-hauts et un petit pull en cachemire col en V porté sur un chemisier blanc.

    Je remarque qu’elle a un grand sac. Je suppose qu’elle est comme moi : incapable de me séparer de la moitié de la maison quand je sors !

    Nous nous installons au salon, je sers le café et nous commençons à parler de tout et de rien en dégustant des petits fours surgelés Picard. Nous constatons, qu'en 15 jours de voisinage nous ne nous connaissons pas du tout et qu'il était temps que ça change !

    Je lui fais visiter la maison. Elle la trouve plus grande que la sienne et décorée avec beaucoup de goût.

    A notre retour au salon elle me demande un verre d'eau fraîche.

    Quand je reviens de la cuisine, elle est en train de sortir un paquet de son sac et, en m’asseyant, je reconnais avec surprise l'emballage anonyme de notre sex-shop en ligne préféré dont j'attendais une livraison.

    Je me rappelle que j'avais profité des soldes pour choisir 4 paires de pinces à seins avec leur panoplie de lests, 1 collier de cuir avec ses 4 bracelets assortis pour les chevilles et les poignets et 2 paires de boules de geisha.

    J'espère de tout cœur qu'elle ne l'a pas ouvert !

    Samedi 7 janvier - 10h15

    J'essaye de ne pas réagir mais elle se rend vite compte que je suis moins causante et décontractée qu'avant ! Elle me dit en souriant :

    "Je suis navrée de l’avoir ouvert, le facteur me l’a donné et je n’ai même pas eu l'idée de vérifier qu'il était bien pour moi ! Je te le rends avec toutes mes excuses ! "

    Vu qu'elle vient de me dire qu'elle l'a ouvert, je décide de prendre cette gaffe du facteur avec humour en lui disant :

    "Je suppose que depuis que tu as identifié le contenu, tu te demandes si ces objets étranges sont pour moi, pour mon mari ou pour d'éventuelles relations ?"

    "Non, pas du tout, le plus important pour moi était de te le rendre au plus vite et de te prier de m'excuser ! "

    J'essaye d'être la plus naturelle et détachée possible en lui disant :

    "Bah, puisque nous sommes entre filles, je te confirme que cet envoi m'est bien destiné. Avec Yves nous aimons jouer de temps à autre à des jeux d’adultes"

    Malgré mon détachement qui sonne faux, je vois ses beaux yeux verts briller un peu plus. Ce qui me donne à penser que cette situation ne lui déplaît pas du tout.

    Un ange passe et pour le chasser elle me demande si j’ai profité des soldes sur le web. Je le confirme en expliquant que ces jouets valent cher et qu’il vaut mieux les acheter quand ils sont à moitié prix !

    "J’en conclu donc que c'est pour compléter une collection existante ?"

    Pour bien réfléchir à ma réponse, j'allume une cigarette et lui en propose une, elle l'accepte en me disant : "Hum, des Royale longues mentholées, ça fait très longtemps que je voulais les goûter !"

    Et elle m'avoue dans une volute de fumée :

    "Je vois que je suis dans le vrai ! Rassure-toi, j'ai une libido assez forte. Je suis très curieuse et assez bien renseignée sur toutes les formes de sexualités. il m’en faut beaucoup pour me désarçonner ou me faire rougir ! Alors, avec tes 7 ou 8 ans de plus que moi, je ne peux qu'apprendre de toi !"

    Je souris en constatant qu'elle vient de me tutoyer et lui réponds :

    "Hum, disons plutôt 10 ans ! Et le bdsm est un monde où l’on rougit assez vite, soit de honte soit par la couleur de certaines parties de nos corps !"

    Bon public, elle éclate de rire, mais poursuit son idée :

    "Tu ne veux pas satisfaire ma curiosité en me montrant votre collection ? Comme tu m'as avoué la vérité sans hésiter, je t’assure que tout restera entre nous !"

    J’hésite et essaye, de nouveau, de gagner du temps en resservant du café et en allumant une autre cigarette, tout en poussant mon paquet vers elle. Elle accepte, en m'assurant qu'elle va les adopter et nous buvons et fumons en silence.

    Toutefois, en réfléchissant très vite j'aboutis à une quintuple conclusion. De un : je commence à être très excitée par cette situation. De deux et de trois : Annie est une jeune femme superbe et je ne dédaigne pas les partenaires féminines. De quatre,  Yves est très voyeur, il aime m'observer en action avec une jolie femme.

    Mais, de cinq : il me reste à savoir dans quel camp se trouve Annie ? Domina ou soumise ?Quelle dominée n'a rêvé d'avoir sa domina comme voisine ?

    En Espagne, on parle de "D.S." (dominación-sumisión), elle doit être idéalement "D" et dans le bdsm français (bondage-domination-sadisme ou soumission-masochisme) ce serait le paradis si elle était "Domina" avec quelques nuances* de cérébralité !

    * Petit coucou à un film qui devait être une vraie bombe et qui est devenu un navet après la censure volontaire de la production de toutes les scènes intéressantes pour obtenir un visa d'exploitation de moins de 12 ans et non de moins 18 ans !

    Samedi 7 janvier - 10h30

    Alors pourquoi ne pas accepter ? Je dois juste m'assurer qu’elle n’en parlera à personne. Munie de sa promesse formelle, qui, je le sais bien, ne me sers strictement à rien, je l’invite à me suivre jusqu’au meuble du living.

    J'ouvre un battant qui donne accès à une armoire double porte fermée par un digicode. Je justifie cette précaution en évoquant la curiosité normale de Jean, mon fils de 12 ans, né d'une précédente union, en l'ouvrant.

    Curieuse, Annie, se penche par-dessus mon épaule et s’exclame :

    "Eh bien, quelle collection ! Vous dévalisez des sex-shops ?"

    Je ris de sa réaction : elle a tout d'une gamine le matin de Noël ! Sans me demander aucune permission, elle sort un à un les accessoires, les examine plus ou moins longuement et les pose sur la table qui jouxte le meuble.

    Elle commente à haute voix : "Des cordes de différentes tailles et de différentes grosseurs, je vois à quoi elles peuvent servir, mais la corde à nœuds n'est-elle pas un peu trop dure pour toi ?"

    Je constate qu'elle a de bonnes notions, car la corde à nœuds n'est pas le jouet le plus fréquent.

    Et je lui réponds : "Oui, j'ai eu du mal à m'y faire, mais maintenant c'est un de mes jouets préférés !"

    "Tiens, pourquoi des menottes avec des chaînettes de différentes longueurs ?"

    "Les plus courtes aux poignets et les autres aux chevilles"

    "Ah, bien sûr, quelle sotte ! J'aurais dû y penser toute seule !"

    Dans un bruit de quincaillerie, elle sort une douzaine de chaînes de différentes longueurs, dont certaines sont encore équipées de mousquetons.

    "Celle-là est très longue, elle doit pouvoir t'enchaîner tout le corps !"

    "Oui, du cou aux pieds en passant par les seins, les mains et le sexe. Les mousquetons servent à la fixer là où on le désire"

    Elle sort 1 plug noir, 2 godes et 2 vibromasseurs externes en riant : "Ah, ça je connais bien ! "

    Mais elle est surprise par une culotte de cuir épais qui propose 2 godes dont les bases sont cousues à l'intérieur :

    "Bravo à l'inventeur, j'en avais vue en photo, mais jamais en vrai. Ce doit être très excitant à porter !"

    Je me détends un peu en riant :

    "Oui, c’est exact, et comme ce ne sont que des mouvements corporels qui animent les godes, on peut la garder très longtemps et bien en profiter !"

    La table se remplit peu à peu. Elle sort 2 barrettes de 8 grosses pinces à linge en plastique sans faire de commentaires et s’attarde sur une armature de soutien-gorge en cuir sans bonnets.

    Pensant stupidement qu'elle veut une explication, je lui confirme qu’il se pose sur des seins nus qu’on peut serrer à leurs bases pour les faire gonfler et les rendre plus sensibles.

    Elle me remercie et rajoute en souriant : "Et, d'autre part, pour des soumises formées et endurantes, le cuir est assez résistant pour supporter une attache de suspension par les seins !"

    Son observation, très juste et pointue, finit de me prouver qu'elle côtoie de près la famille bdsm, je suis un peu vexée et quand elle sort deux bâillons, je me contente d'approuver d'un mouvement de tête à ses :

    "2 grands classiques qui ont fait leur preuve : l'écarteur de bouche et le bâillon boule !"

    "Oui, mais je l'appelle le bâillon baveur et je le déteste sincèrement !"

    Elle rit de ma franchise en me félicitant : "Eh bien ! Quelle belle leçon ! Sais-tu que je ne regrette vraiment pas d’être venue ! Je découvre un monde que je connais assez bien grâce à ma curiosité. Je ne sais comment te remercier !"

    En lui souriant je lui réplique que ma réponse sera double :

    "D'une part garde mon secret mais la seconde risque de moins te plaire !"

    Elle me sourit à son tour et me dit :

    "Je t'ai dit que peu de choses pouvaient m'ébranler, alors, parle librement ! C'est, il me semble, un moment important pour nos futures relations, amicales ou même intimes !"

    "Si tu veux que notre relation perdure, ce qui, entre proches voisines, me semble être un objectif louable et logique, n'oublie jamais que j'ai eu la chance de ne pas naître Bécassine ! Or, ta manière de prendre en main certains jouets, quelques-unes de tes réflexions totalement justifiées et ton attirance vers certains types d'accessoires me prouvent que tu connaissais bien le bdsm avant d'entrer chez moi ! Rassure-toi, cette expérience ne m’effraie pas du tout, elle aurait même tendance à me faire plaisir et à m'exciter. Mais, Annie, devant moi, n'essaye pas de te faire passer pour une débutante !"

    "Excuse-moi de te couper Loré, tu peux me donner quelques exemples pour que je vois où je me suis trahie ?"

    "Quand tu demandes à quoi peuvent servir des menottes avec des longueurs de chaînes différentes ? J'ai failli exploser de rire ! Et quand tu rajoutes au simple mode d'emploi du soutien-seins sa réelle utilisation de suspension par les seins ! Mais je ne t'en veux pas du tout, tu es une excellente comédienne et je t'adore déjà et il faut que tu saches que pour Yves et moi le bdsm est avant tout un jeu qui demande des acteurs !"

    Annie prend le parti d'en rire et de ne rien nier. Elle m'avoue très franchement que depuis ses 20 ans elle navigue dans le monde du bdsm en dominant des femmes ou des couples, uniquement par internet en sessions-vidéos visages masqués, car elle n'a jamais osé sauter le pas du virtuel au réel.

    Dans la foulée je lui demande si elle travaille.

    "Oui, mais de chez moi et sans être déclarée. Je t'expliquerai ce que je fais un autre jour si tu le veux bien ?"

    "Avec plaisir, Annie, et maintenant que je sais qui j'ai réellement devant moi, tu peux terminer de vider mon armoire. Je vais nous refaire du café et des petits fours.  Je reviens de suite !" 

    Samedi 7 Janvier - 10h50

    Je sais que dans l'armoire, il ne reste que quelques bricoles dont 1 loup et 2 masques de repos, 2 ceinturons de cuir à ma taille et un DVD qui n'est pas identifié mais, en souriant, je suppose qu'il va intriguer Annie !

     

    Quand je reviens avec le café, elle me fait part de sa curiosité de ne pas retrouver dans nos jouets une cravache, un fouet, un paddle ou un simple martinet.

     

    "C'est volontaire, Annie, ça ne fait pas partie de nos plaisirs bdsm. Quand nous jouons, nous ne sommes pas dans Histoire d'Ô. Les instruments que tu viens de citer font mal et marquent la peau; alors qu'un ceinturon de cuir bien manié ou une simple serviette mouillée ne laissent quasiment aucune trace. Mon masochisme a des limites et je n'ai aucune envie d'aller bosser un lundi matin avec la peau du dos lacérée car - même si personne ne le verra - moi je le saurais !".

     

    "Oui, je te comprends parfaitement bien Loréna ! Je suppose qu'avec cette livraison tu complètes ta panoplie avec des pinces à seins lestables et des boules de geisha télécommandées qui vont régaler Yves dans la maison ou dans un restaurant ! Et il te manquait, en effet, une parure en cuir pour mettre en valeur ton cou, tes poignets et tes chevilles. Grâce à tous ces indices, j'imagine bien ta progression dans le bdsm et je suppose que tu as eu beaucoup de plaisir à choisir ces articles, nue, devant ton écran avec Yves à tes côtés pour t'encourager et te câliner !".

     

    "Tu as tout compris, Annie. Je vois que toi aussi, tu n'as pas oublié ton Q.I. dans le ventre de ta Maman !".

     

    Nous rions toutes les deux comme des ados !

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 10h50

     

    C’est à mon tour de voir le visage d'Annie rosir tout doucement. Ses yeux sont de plus en plus brillants, je ne pensais pas que des yeux pouvaient aussi bien trahir l’excitation d’une femme.

     

    Nous laissons passer un ange et elle me demande si elle peut être franche avec moi. Je lui réponds simplement que pour ma part, ma franchise ressemble à une confession à un prêtre !

     

    Elle sourit et son visage s'apaise :

     

    "Sais-tu ce dont j’ai envie, là, tout de suite ?"

     

    Je suis un peu inquiète et ne réponds pas, en attendant je ne sais quelle révélation. Elle poursuit:

     

     "De boire un verre d’alcool bien glacé ! Ça ne te fait pas envie ?"

     

    Soulagée, j'éclate de rire en approuvant !

     

    En allant vers la cuisine, je souris en pensant que j'aurais dû lui suggérer que ça nous donnera un bon coup de fouet car je réalise en marchant que je suis trempée et que mes tétons tentent vainement de traverser mon pull.

     

    En posant le plateau avec 2 petits verres et 2 grands, de la vodka et du jus d'orange, je souris en pensant qu’Annie doit être probablement dans le même état que moi; et je me demande si je résisterais longtemps, si elle avait la bonne idée de faire le premier pas !

     

    Annie remplit les 2 petits verres et je lui dis en riant :

     

    "Hum tu as l’intention de me saouler ?".

     

    D’un air mutin, que je ne lui connaissais pas, elle m’assure que non. Et le silence retombe pendant que nous buvons et fumons. Cette situation est très amusante car je pense que nous en avons autant envie l’une que l’autre, mais que, ni elle ni moi n’osons nous lancer !

     

    "Dis-moi Loréna, je peux te demander deux choses ?"

     

    J'écrase ma cigarette : "Mais, bien sûr !"

     

    Sera-ce elle qui craquera la première ? Il semblerait que oui, car je la sens prendre son courage à deux mains, comme quelqu’un qui s’apprête à plonger d'une falaise de vingt mètres de haut dans une mer pleine de rochers !

     

    "La première est de savoir si je peux t'appeler Loré, ça me semble plus sympa que Loréna ?"

     

    "Bien évidemment, tout le monde m'appelle Loré … et toi, tu as un petit raccourci ?"

     

    "Non, pas vraiment, peut être auras-tu envie de m'en proposer un au fil de nos rencontres ? Mais merci Loré. Le deuxième point est un peu plus intime : aurais-tu des photos ou des clips de séances que tu aurais faites avec ton mari ou avec d’autres personnes ?"

     

    En cachant du mieux que je peux ma surprise et ma joie, je lui réponds que c’est la passion de mon époux qui est plus voyeur-photographe-cameraman qu’acteur.

     

    En souriant elle se lève et prend le DVD qui est resté dans l'armoire :

     

    "Donc je suppose que sur ce disque, il n’y a pas que tes dernières photos de vacances ? Ça te dérange si je te demande de le visionner avec toi ?"

     

    La fine mouche m’a bien piégée mais peut être qu’inconsciemment je suis enchantée de l’être. J'aurais dû avoir l'envie de retirer ce DVD de l'armoire, mais j'ai oublié ! C'est bêta, non???

     

    "Annie, je dois t'avouer trois choses : premièrement le DVD dont tu parles, ne contient que la première année de nos jeux de couple et quelques sessions avec des internautes, donc ce ne sont que nos débuts et ils ne sont pas forcément tous satisfaisants".

     

    "Ça n'a aucune importance Loré. J'ai vu des tas de photos et de clips sur le Web mais jamais  une production maison avec son actrice à côté de moi !"

     

    "Entendu, mais, j'ai très peur que si tu visionnes ce DVD, nos relations ne passent de voisines bonnes copines à voisines très intimes ! Alors avant de glisser ce DVD dans le lecteur, réfléchissons bien aux conséquences. Nous ne sommes plus des enfants, mais ne risquons-nous pas de nous diriger vers des jeux un peu trop dangereux ?"

     

    Elle s’approche du lecteur en me souriant :

     

    "Tu as raison, nous ne sommes plus des ados, mais après notre petit inventaire coquin je sais que tu as envie que je regarde tes exhibitions pornos. Il t'était si facile d'ôter discrètement cet objet de ton armoire avant de m'y accueillir ! Et n’essaye pas de me convaincre que c’est faux, je ne te croirais pas !"

     

    Je ne réponds rien et baisse simplement la tête.

     

    "En plus tu définis toi-même cette forme de sexualité comme un jeu d'adultes, alors jouons ! C’est dangereux ? Mais quels sont les risques ? Nous brûler ? La science et nos intelligences sont suffisamment fortes pour nous guérir facilement !"

     

    Je ris en lui disant :

     

    "Décidément ta personnalité de leader prend de plus en plus le pas sur ton allure de générosité, de douceur, voire de romantisme ! Mais le dernier point est le plus important : je n’ai aucun gros secret pour Yves, autrement dit, s’il se passe un instant inévitable de cul entre nous, il n'en saura rien, mais si une relation suivie s'établit, je l'en informerai. Il connaît mes tendances de soumis, il n'en sera pas choqué et tel que le connais, il nous demandera même de filmer nos sessions !"

     

    "Hum, j'adorerais lui faire ce plaisir ! Mais ça ne sera pas aussi facile avec mon mari Marc qui est horriblement jaloux !"

     

    "En conclusion, ma douce Annie, si tu as fait un peu semblant de découvrir beaucoup de nouveautés aujourd’hui, moi, j’ai appris à mieux te connaître et je ne trouve rien de désagréable à te reprocher !"

     

    Elle éclate de rire en m’affirmant que je ne suis qu’au début de mes surprises et conclut en me disant :

     

    "Alors tu me branches ce lecteur ? Ou je dois aller chercher le mode d’emploi sur Google ?"

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 11h15

     

    Je capitule, allume la télé et glisse le DVD dans le lecteur. Le canapé est face à la télé, un menu propose des dossiers numérotés de 1 à 95.

     

    "Je vois que vous savez prendre vos précautions, je te laisse décider de l’ordre de lecture !" me déclare Annie.

     

    Souriante, j’ouvre le premier dossier qui propose un diaporama d’une quinzaine de photos que je déclenche manuellement. Annie me découvre en maillot de bains, en petit short, en chemisier transparent, pieds nus ou en talons, dans des poses plus ou moins suggestives.

     

    "Ton mari est un bon photographe et toi une belle top-modèle !" commente-t-elle.

     

    Le deuxième est dédié à mes seins : un strip-tease en petite robe noire couchée sur un lit, un autre debout. Suivent une série de clichés en veste ouverte, seins nus, quelques photos sur lesquelles je me caresse les tétons visiblement sans déplaisir.

     

    Annie ne dit rien, elle semble fascinée par les photos. Elle me murmure à l'oreille :

     

    "J'ai une suggestion à te faire : laissons faire le hasard. Je te donne un N° entre 3 et 95, tu l’ouvres et je le coche comme vu sur une liste que je vais vite préparer pendant que tu nous sers un café. Je suppose que je trouverai ce qu'il faut dans ton bureau ? Ca te va, Loré ?"

     

    "C'est parfait, ne bouge pas. Je te rapporte de suite de quoi faire ta liste et j'irai refaire du café frais !"

     

    Je lui rapporte un bloc note et un stylo. Je l'informe que j'en profite pour aller faire un petit pipi et quand je reviens avec le café sa liste est prête.

     

    Elle coche régulièrement les vus, mais je me rends vite compte qu'elle fait bien attention de ne pas dépasser les 60 ! Elle a vite compris que les dossiers les plus chauds devaient être vers la fin !

     

    Un autre diaporama est consacré à mes fesses serrées puis un peu plus ouvertes et enfin largement écartées avec mon anus offert de manière obscène.

     

    Le suivant est très fourni, comme ma chatte l'est parfois, mais le diaporama la montre aussi totalement épilée, plus ou moins mouillée, parfois cachée par ma main ou par un ou deux doigts enfoncés en elle.

     

    Nous tombons sur une des premières séances avec Yves, à l'époque jeune Maître débutant ! Il avait décidé de m'enchaîner tout le corps : plusieurs tours autour du cou, descente aux pieds, en passant par un soutif en maillons. Il n'oublie pas mes mains et en utilisant ses mousquetons, il serre à sa guise la chaîne et finit en passant entre mes jambes pour me dessiner un string en maillons qui entrent profondément dans ma chatte béante !

     

    Une fois enchaînée et immobilisée, il passe à la phase pinces en utilisant celles en plastique. Quand il a terminé, les pinces qui pendent de ma langue, des lobes de mes oreilles, de mes tétons, de mes seins, des grandes lèvres de mon sexe, de la partie interne de mes cuisses, si fragile et même de mon clitoris, toutes ces pinces me plongent dans une hystérie composée de gémissements de plaisir et de hurlements de douleur qui se lisent aussi sur mon visage expressif !

     

    Bref la douleur ne fait qu’augmenter mon excitation jusqu’à m'entraîner vers le final sur lequel je jouis visage déformé par le plaisir, avec toutes mes pinces et en me frottant seule, comme une vraie chienne en chaleur, sur l'angle d'un bureau en bois noir !

     

    De revoir ces anciennes photos me fait frissonner et rougir de honte. Mes seins bandent à me faire mal et je redoute de mouiller mon jean tellement je sens mon con dégoulinant de jus.

     

    Je regarde discrètement Annie, il me semble bien qu'elle a une main posée sur son sexe. Eelle me donne un N° et cette fois c'est avec un dominant invité chez nous par mon mari.

     

    Le diaporama offre peu de photos mais elles sont toutes très explicites : on m'y voit nue, mains menottées dans le dos ou léchant et suçant les orteils de l’inconnu; puis lui faisant une pipe avec une photo qui montre que j'avale tout son foutre, jusqu'à la dernière goutte, que ma langue va chercher sur ma lèvre !

     

    Et pour le final, il m'empale sur son sexe, en lui tournant le dos. Tandis que ses mains me broient les nichons et me donnent le rythme de la baise, je dois faire tout le travail en me levant et en me rasseyant sur sa pine jusqu'à ce qu'il se vide les couilles dans mon ventre, et bien sûr sans aucune protection !

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 11h40

     

    Annie se rapproche de mon oreille, mais c'est seulement pour la mordiller et y entrer sa langue, me faisant frissonner. Yeux fermés je me laisse faire. Elle sent que je viens de dépasser le point de rupture.

     

    A présent je ne peux qu’aller en avant en disant oui à ses envies :

     

    "Je suis sure que je vais découvrir des séances avec des femmes, n’est-ce pas, Loré ?".

     

    Je gémis, mes oreilles sont terriblement sensibles et elle vient de le découvrir. Je ne peux qu’approuver de la tête incapable de parler. Elle insiste et me remplit l’oreille de sa langue la léchant soigneusement dans ses moindres recoins. Elle semble apprécier ma passivité et mes petits gémissements qui ne sont visiblement pas de douleur !

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    2
    gars_elle
    Lundi 3 Décembre à 20:38   Supprimer le commentaire
     

    la suite:

     

    Sa voix douce remplace sa langue :

     

    "Tu vas étrenner un de tes achats et filer aux toilettes avec tes boules de geisha. Une paire pour devant et une autre pour derrière et tu reviens habillée exactement comme tu es là. Moi je vais continuer à mater ton album de jouissances qui commence à m’exciter terriblement !".

     

    Je n’ai aucune envie de lui dire non. Et je n’ai qu’un désir : me laisser faire et diriger pour ne plus avoir de décisions à prendre.

     

    Je vais aux WC avec les boules, je baisse mon jean et ma culotte et glisse la première paire dans ma chatte trempée. Sans pouvoir retenir un soupir de plaisir, je tourne bien les boules en moi, en les faisant rouler avec un doigt. Je tire sur la ficelle pour les ressortir, trempées de la mouille dont j’avais besoin pour les glisser dans mes fesses qui sont nettement moins humides.

     

    Elles entrent en forçant un peu car mon anus s’adapte et les accepte. Je penche la tête : la petite ficelle pend entre mes cuisses, seule preuve que mes fesses sont pleines. Glisser l’autre paire dans ma chatte n’est pas un réel problème.

     

    Je me rhabille rapidement pour rejoindre Annie.

     

    Je n’ose même pas regarder l’écran plasma. Je ne veux pas savoir ce qu’elle regarde, je sais que je vais avoir honte et que ça va m’exciter.

     

    "Hum te revoilà ! Tu sais, je me demande si je ne vais pas prendre des notes. Je savais qu'on pouvait faire des centaines de choses à une femme obéissante mais c'est la première fois que je les vois mise en œuvre et si je ne les liste pas j’ai peur d’en oublier !".

     

    Je ressens un mélange de fierté d'avoir une si bonne élève, d’excitation pour ce qui bouge en moi et d’humiliation pour le jugement sévère avec lequel elle vient de me cingler moralement !

     

    Je fais mine de m'asseoir à côté d’elle, mais, elle m'interrompt en me disant :

     

    "Non, reste debout! Dans un premier temps je vais me servir de ces deux télécommandes pour mettre en route tes boules magiques ! Voyons, on va démarrer par une vitesse moyenne, ça te va Loré ?"

     

    "Hum, oui Annie, elles caressent mes chairs intimes … c'est excitant et agréable !"

     

    "Bien, je rectifierai la vitesse à ton retour. Pour le moment tu vas faire une course chez moi : ouvre mon sac et prends mon trousseau de clés. Au fond du couloir il y a mon bureau. Tu mets l’ordi en route et à droite de l’écran tu as un petit boîtier avec un bouton que tu mets sur on. Sur une des étagères tu prends la caméra vidéo numérique. En revenant par le même couloir tu pousses la troisième porte à droite, c’est la salle de bain,  tu ouvres la petite armoire murale au-dessus du lavabo et tu prends le flacon de vernis à ongles rouge vif. Je t'attends, bien que j'ai de quoi ne pas m'ennuyer !"

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 11h50

     

    J'ai une assez bonne mémoire mais dès qu'elle a énoncé mes tâches, j'ai essayé de tout retenir : clés, couloir, bureau, ordinateur, boîtier à droite, bouton sur on, caméra, couloir troisième droite, armoire, vernis rouge !

     

    Environ dix petites minutes après je suis de retour, visage crispé, car même si sa maison est proche, marcher avec ces boules vibrantes en moi a décuplé mon excitation à laquelle s'est ajoutée la peur d'oublier quelque chose et de lui déplaire ! Je dépose la caméra et le vernis sur la table de salon.

     

    "Merci Loré, tu es très serviable et très efficace ! J'ai encore quelques dossiers à visionner. En attendant je crois avoir vu un haut tabouret dans ta cuisine, apporte le et pose la caméra dessus. Règle là vers le coin gauche du salon où tu vas aller te mettre debout, face au mur, mains croisées sur la tête, bras bien parallèles à tes épaules et tu vas onduler du bassin sans bouger tes épaules, avec les jambes bien écartées. Allez, je te laisse faire. Mets la caméra en route et applique toi à mimer une bonne baise avec le mur, ce dont tu as sûrement très envie !"

     

    Quelques minutes plus tard, la caméra tourne et je suis au coin, ondulant du bassin en sentant bien la présence des boules dans mon corps, Annie a augmenté leur vitesse et c'est tellement bon que, de temps à autre, je ne peux m’empêcher de gémir doucement.

     

    Elle me prévient :

     

    "Attention ne jouis pas, je serais obligée de te faire aussi mal que ce que j’ai pu voir dans certains de tes diaporamas. A propos, et pour dissiper tout malentendu, ce que tu as mis en route dans mon bureau est un transpondeur wifi, ce qui signifie que tout ce que filme  la caméra est copié sur le disque dur de mon ordinateur … je pense que ça ne te dérange pas ?"

     

    Voyant qu’elle attend une réponse et sans arrêter d’onduler du bassin, je lui réponds :

     

    "Non Annie, ça ne me dérange pas du tout !"

     

    "C’est bien, mais à partir de maintenant et quand nous serons seules, tu seras gentille de m’appeler Madame et de me vouvoyer. Et puisque tu n’as rien d’autre à faire que de rester dans ton coin à faire semblant de baiser, tu vas réfléchir à un surnom qui correspondra mieux à ta condition de soumise. Loré me semble un peu trop respectueux pour ce que tu es en réalité. Compris ma chère voisine ?"

     

    "Oui, Madame, j’ai compris"

     

    "Bien, maintenant lâche moi les baskets ! Réfléchis à ton futur surnom, branle toi bien sans jouir et ferme-la, tes couinements m’agacent ! Compris ?"

     

    "Oui, Madame, vous pouvez compter sur moi"

     

    Dès que je ralentis mes ondulations pour diminuer mon excitation, elle me reprend m’obligeant à accélérer mes mouvements. Je suis tellement excitée que je peux sentir les boules vibrantes aller et venir dans mon vagin trempé contrairement à celles plantées dans mon cul auxquelles mon sphincter serré ne laisse pas autant de liberté.

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 12h10

     

    D‘un seul coup, je l‘entends éclater de rire et me déclarer goguenarde:

     

    "Eh bien, ton mari aurait pu t’offrir une dominatrice plus sexy et moins grasse. Je ne sais pas comment tu as fait pour lui sucer ses grosses mamelles de vache et comment tu as pu lui bouffer le cul sans vomir ! Je suppose qu’il l’avait choisie volontairement aussi vulgaire pour t’avilir encore plus !".

     

    Je vois de suite de qui elle parle. A l’époque j’avais eu du mal à supporter la séance avec cette grosse putain qu’Yves avait payée pour me faire toucher le fond de l’humiliation.

     

    Elle m’assure que si elle avait son téléphone, elle l’appellerait pour qu’elle me domine devant elle ! Surtout pour me voir lui bouffer le trou du cul et la chatte et lui lécher ses pieds bouffis de graisse !

     

    Ses progrès me font presque peur. J’en déduis que je ne lui ai pas appris le vice mais qu’elle le portait en elle, bien avant de franchir ma porte. Mais dans ma recherche de soumission que je voulais-je réellement sinon une domination vicieuse et avilissante.

     

    Et Annie me semble être le condensé idéal de mes envies avec, en plus, une large disponibilité de temps libre et une proximité rêvée car, à part la mettre dans mon lit, je ne vois pas comment avoir ma Maîtresse aussi près de moi !

     

    "Voisine tu me dois une réponse, alors quels surnoms as-tu à me proposer ?", me lance-t-elle;

     

    "J’en ai quatre, Madame : chienne, salope, traînée, ou esclave".

     

    Elle réfléchit quelques secondes avant de me donner son verdict :

     

    "Aucun des quatre ne me convient, ils sont trop courants et c’est dommage pour toi. Tu vas continuer à réfléchir et pour m‘avoir déçue et fais perdre mon temps tu vas venir vers moi les mains sur la tête".

     

    Pas très rassurée, je m’approche d’elle. Elle prend sur la table les quatre nouvelles pinces en acier avec leurs lests les plus lourds et les pince deux par deux à chaque poche de mon jean. Puis, elle m’ordonne de retourner dans mon coin avec les quatre pinces lestées qui ballottent devant mon pantalon à chacun de mes pas.

     

    Je comprends de suite son idée car en reprenant mes ondulations les poids battent mon bassin et se choquent entre eux en faisant du bruit à chacun de mes mouvements.

     

    Et, bien sûr, ça l'énerve :

     

    "Tu m’agaces avec tes bruits! Enlève ton pull et jette le par terre, sans te retourner".

     

    Je m’exécute et lui offre mon dos nu dépourvu de toute trace de bretelle de soutien-gorge.

     

    "Ton dos et tes épaules sont bien plus beaux que sur tes photos. Fais-toi bander les bouts pour qu’ils soient bien longs et gorgés de sang. Quand tu banderas jusqu'à avoir mal, tu me le diras et tu me proposeras une autre série de sobriquets".

     

    Je pose mes mains sur mes seins et je titille mes tétons qui sont déjà bien durs. Comme si j'avais le pouvoir de m'échapper de mon corps, je flotte dans la pièce et ce que je vois me fait honte : je suis au coin, punie, les seins nus et je me branle les tétons face au mur, alors que ma voisine regarde des photos obscènes et plus qu'intimes de moi.

     

    Et je suppose que je ne suis qu’au début de mes épreuves car, visiblement, Annie maîtrise bien rôle de dominatrice et semble prendre beaucoup de plaisir à le pratiquer avec moi !

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 12h30

     

    "Hum, quelle belle douche d’urine ! Tu es vraiment perverse Loré, car, en plus, tu avales la pisse de cette pouff ! J'ai du mal à croire ce que je vois ! Applique toi pour les surnoms et évite de me proposer : bonne mère de famille ou épouse parfaite. Tu me ferais hurler de rire ! Bouge bien tes boules, remue bien ton cul de vicieuse, branle tes mamelles, n’oublie pas tes sobriquets pornos et ferme ta gueule en évitant de t’envoyer en l’air !".

     

    Son ton a bien changé. Je la sens de plus en plus excitée, probablement partagée entre sa surprise de découvrir cette facette sordide de ma personnalité et le plaisir qu’elle doit sentir monter en elle d'avoir une future vraie salope à son entière disposition !

     

    "Dis-moi cette photo avec le mot fleur écrit sur un papier, c'est un safeword ?".

     

    "Oui, Madame", sort de ma bouche dans un souffle timide;

     

    "Et, tu avais besoin d'un mot d'urgence en présence de ton mari ? Je ne comprends pas!".

     

    "Bien sûr que non, Madame, mais avec un inconnu il valait mieux que le signalement d’un dépassement de limite vienne de moi plutôt que de lui".

     

    "Ah ! Je comprends, mais en ce qui me concerne, il n’y aura aucun safeword entre nous! Les seuls paroles que je t’autorise à prononcer sont : "Oui, Madame", "Entendu, Madame", "De suite, Madame" ou "Merci, Madame" !

     

    "Entendu, Madame, mais si je peux m'en permettre un de plus : mes tétons ne peuvent pas bander plus, Madame !".

     

    "Et, en plus tu fais de l'humour, en te branlant les tétons et en ayant quatre boules qui te massacrent l'intérieur de tes trous de pute ! Tu es sure que tu ne peux pas les faire bander encore un peu plus ?".

     

    "Oh non, Madame, ils n’ont jamais été aussi gros et douloureux".

     

    "Gros, ça m’intéresse ! Douloureux je m’en fous totalement ! Vas-y je t’écoute : propose moi des surnoms en faisant des phrases qui incluent l’état de tes mamelles".

     

    Je réfléchis un peu avant de me lancer mais l'esprit un peu embué par mon envie de m'envoyer en l'air, je réponds un peu n'importe quoi :

     

    "Mes gros bouts de mamelles de pute sont bandés à exploser, Madame".

     

    "Pute ? Ça sonne bien, ensuite ?".

     

    "Mes tétons de pouffiasse vont exploser, Madame".

     

    "Pouffiasse ? Tu t’améliores ! Une autre proposition ?".

     

    "Je vais jouir si je continue à traire mes nichons de truie, Madame".

     

    "Bien ! Les nichons d’une truie, ça sonne bien, une autre idée, ma salope ?".

     

    "Votre chose a les bouts de mamelles en feu, Madame".

     

    "Chose, c’est une bonne idée. Cest vrai que tu es une chose mais ça ne me semble pas assez fort, as-tu d’autres propositions ?".

     

    "Non, Madame, je n’ai pas d’autres idées pour le moment".

     

    "Pour une cérébrale, je t’aurais cru plus imaginative : pourquoi pas souillure, roulure, déchet humain, sac à foutre, outre à sperme ou vide couilles ? Ce ne sont pas les propositions qui manquent !".

     

    "Oui, Madame, vous avez raison, mais je n'ai pas pensé à chercher dans ces directions".

     

    "Il est vrai que je n’ai ni foutre, ni sperme à te donner et que je ne peux pas me vider les couilles en toi ! On va résumer tout ça ensemble mais avant tu vas pincer tes bouts avec les pinces en fer et les lester. Tu fais attention de ne pas pincer la chair de tes nichons, tu vises juste les bouts et je ne veux pas entendre un seul cri".

     

    Je m’exécute et prends deux des pinces accrochées à mon jean et les étrenne sur mes bouts de seins déjà douloureux avant d‘y accrocher les poids en plomb trop lourds pour moi. Je dois me mordre les lèvres pour ne pas crier.

     

    "Quand tu seras prête, remets ton pull, pour le moment je ne veux pas te voir à poil. Tu te mets les autres pinces en fer en pendentifs aux oreilles et tu viens me rejoindre".

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 12h50

     

    Les plombs tirent mes seins vers mon nombril.

     

    Je ramasse et remets mon pull. Le contact de la laine me fait mal. Comme Madame me l'a ordonné, je pose les autres pinces lestées à côté de mes boucles d’oreilles et je reste debout, face à elle, attendant les bras ballants ses consignes.

     

    "Je vais rester assise dans le canapé et tu vas t’agenouiller devant moi. Nous ne changerons pas de pose pendant pas mal de temps. Tu dois régler la caméra en conséquence pour que je ne perde aucun détail de la séance".

     

    Je cadre la caméra en imaginant ma position et la déclenche avant de m’agenouiller devant elle.

     

    "Tu vas croiser les mains dans ton dos, bien te redresser et te cambrer, les nichons bien pointés sous ton pull".

     

    Je prends la pose, mes tétons me font horriblement mal.

     

    "Ne fais pas cette tronche, souris à la caméra, on va finir par croire que je t’oblige à faire des choses alors que c'est toi qui m'en réclame toujours plus !"

     

    Tant de mauvaise foi me fait sourire malgré la douleur. Elle ajoute:

     

    "Je vais commencer par tes cheveux".

     

    J’ai tout d’un coup peur qu’elle décide de me raser la tête, mais elle me tend deux élastiques en me disant :

     

    "J’ai l’impression de dominer ma grand-mère, fais toi deux nattes, tu paraîtras un peu plus jeune et tu feras moins pouff vicieuse sur le retour !".

     

    Je prends l’insulte en pleine figure mais je me contente de partager mes cheveux en deux et de me faire deux nattes simples et improvisées.

     

    Je pense que ça doit faire 20 ans que je n’ai pas porté de nattes ! Pendant que je me coiffe, Annie enlève les deux bagues qu’elle a à la main droite et les dépose dans un cendrier :

     

    "Tu te demandes pourquoi j’enlève mes bagues ?".

     

    "Non, Madame, je ne me pose aucune question sur vous".

     

    "Très bien répondu, toute autre réponse t'aurait valu une punition! Eh bien, exceptionnellement, tu vas avoir la réponse à une question que tu ne t'es pas posée !"

     

    Vicieusement, elle glisse un doigt dans ma bouche :

     

    "Mais pour le moment tu suces ce que je te donne à sucer et applique-toi, j’aimerais voir mon doigt bander de plaisir dans ta bouche !".

     

    Elle ne bouge pas sa main, c’est moi qui dois faire aller et venir ma bouche sur son doigt comme si c’était une petite bite, tout en salivant abondamment.

     

    "Tu vois ça marche tu es une bonne pipeuse, mon doigt bande !", me dit-elle moqueuse.

     

    Elle en glisse un deuxième dans ma bouche et attend qu'il soit bien mouillé avant d’en glisser un troisième, vite rejoint par un quatrième.

     

    Je continue à faire coulisser ma bouche sur sa main quasiment entière dans ma gueule, Avec tous ces doigts dans ma cavité buccale, elle essaye de me saisir la langue en riant comme une ado !

     

     "Suce bien ma pouff ! Avec moi tu auras l’occasion de sucer et de boire des tas de saloperies ! Je te le promets ! Applique-toi et fais du bruit : j’aime entendre les bruits obscènes qui sortent de ta bouche de pipeuse professionnelle !".

     

    J'essaye de sucer ses doigts en faisant le plus de bruit possible quand elle rajoute :

     

    "Mais ce n’est pas pour ça que j’ai enlevé mes bagues. Je l’ai fait pour ne pas te faire souffrir, tu vois comme je suis gentille ! Je ne sais pas si tu le mérites !".

     

    Sans arrêter de sucer, obéissante et parfaitement soumise, je fais oui de la tête.

     

    Elle éclate de rire :

     

    "Bon je vais résumer tes propositions et je vais en choisir une … mais pour chaque surnom refusé, tu recevras une paire de gifles et je t’assure que je ne retiendrai pas ma main. J’ai vu sur tes photos ce que tu étais capable d’endurer, et bien que ce ne soit pas dans mon caractère, je ne compte pas me priver !".

     

    Et elle rajoute:

     

    "Je vais essayer de bien viser mais, si par malheur, je me fais mal à la main avec tes boucles d’oreilles ridicules, tu devras immédiatement te mettre à quatre pattes devant moi en m'offrant tes mamelles avachies de vieille truie pendantes sous toi. Tu as bien compris ?".

     

    Je fais oui de la tête, mais elle insiste :

     

    "Je veux en être bien sûr, fais-moi un résumé !".

     

    Elle sort ses doigts de ma bouche, s’essuie sans délicatesse sur mes joues alors que je résume :

     

    "Sur les propositions de surnoms que je vous ai faites, Madame, vous allez en choisir une. Pour chaque proposition non retenue, je recevrai une paire de gifles et si votre main heurte les pinces qui pendent de mes oreilles, je devrai vous offrir mes seins pendouillant à quatre pattes".

     

    "Tu n’es vraiment pas conne, c’est bien résumé! allons-y rappelle moi toutes tes propositions, je t’écoute".

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 13h10

     

    J’essaye de tout me remémorer, me méfiant des conséquences d’une faute. Quand je pense que la liste est complète, je la lui annonce :

     

    "Madame, je vous ai proposé : chienne, salope, traînée, esclave, pute, pouffiasse, truie et chose".

     

    "Je ne veux pas de chienne, de salope, de traînée ou d’esclave. Tu pourrais les prendre comme un compliment".

     

    La première série de quatre allers-retours claque bruyamment sur mes joues, les marquant des traces de ses doigts. Elle conclut cette première salve en m'assenant:

     

    "Tu peux me remercier d’avoir ôté mes bagues sinon je t’aurais marquée beaucoup plus que tu ne l’es ! Je ne veux pas non plus de pouffiasse ou de chose".

     

    Je reprends deux paires de gifles. Elle semble se prendre au jeu: ses coups sont de plus en plus forts mais, heureusement, elle claque juste mes joues sans toucher aux pinces de mes oreilles.

     

    "De tes autres propositions, je garde pute ou truie mais je vais les raffiner un peu. Que préfères-tu? Sale pute en chaleur ou sale truie en chaleur ?".

     

    C'est d'une toute petite voix que je lui réponds :

     

    "Je ne sais pas, Madame, je mérite aussi bien l'un que l'autre".

     

    "Tu as raison mais je ne garde qu’une proposition … finalement j’aime moins le sale truie en chaleur".

     

    Elle me regarde vicieusement dans les yeux et me gifle très fort. Cette fois sa main me touche l’oreille et elle crie :

     

    "Connasse, je me suis fait mal, tu connais la punition!?".

     

    Je sais parfaitement qu’elle l’a fait exprès mais je ne proteste pas sachant que je ne ferais qu’aggraver ma punition. Sans rien dire je me mets à quatre pattes à environ un mètre d’elle tout en veillant à rester dans le champ de la caméra :

     

    "Tu es vraiment une grosse pute en chaleur, balance toi de droite à gauche, je veux voir onduler tes mamelles de putain. Tu vas prendre mon pied dans les nichons et je vais te cogner de toutes mes forces en essayant d’atteindre tes deux pis à la fois !".

     

    Elle hésite un peu et finit par continuer d'une voix sournoise:

     

    "Je crois toutefois que te punir ne représente pas pour toi une réel châtiment ! Je suis quasiment sure que rien que de penser à ce que je vais te faire tu mouilles comme une fontaine, comme la Reine des masochistes que tu n'es probablement pas encore mais que tu deviendras sûrement !".

     

    Je me contente de répondre :

     

    "Mes nichons de pute en chaleur sont à vous, Madame, vous pouvez donc en faire ce que vous voulez".

     

    "Tu es veule et vicieuse, tu donnes envie qu’on te fasse mal et qu’on te salisse. Approche ta bouche de la mienne!".

     

    Je m’approche d’elle a quatre pattes, et j’ouvre grand ma bouche alors qu’elle se racle la gorge pour ramasser un maximum de sécrétions et de salive. Elle prend mon menton entre ses mains et fait glisser lentement son mollard dans ma bouche :

     

    "Tu le gardes bien au chaud pendant toute ta punition, sans me quitter des yeux. Tu as bien compris sale pute cochonne!?".

     

    "Oui, Madame".

     

    Je referme la bouche, retiens ma respiration et la regarde dans les yeux tandis qu'elle prend deux bons mètres d'élan.

     

    D’un seul coup je me retrouve le souffle coupé, hurlant de douleur, écroulée sur le sol. Elle a tenu parole et a frappé aussi fort qu’elle le pouvait, en atteignant mes deux seins en même temps. Sur le moment je pense en m’écroulant qu’un de mes seins a explosé.

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 13h20

     

    Quelques minutes plus tard j’ai l’impression de sortir d’un mauvais cauchemar. Ma poitrine me fait horriblement mal, je respire avec difficulté et, sans même y penser, j’avale le crachat d’Annie, ce qui me permet de respirer plus profondément.

     

    Je récupère peu à peu, elle sourit et me dit :

     

    "Allez lève-toi et bois ce verre de vodka, tu verras que ça ira mieux après. Tu sais je n’y peux rien si tu es maso à ce point. Tu attires plus les coups que les câlins ma pauvre chérie !".

     

    Je me lève en titubant et avale d’un seul coup le verre qu’elle me tend. L’alcool me donne un coup de fouet mais je suis obligée de m’asseoir. J’ai l’impression qu’une pelote d’épingles est restée enfoncée dans mes seins. Annie peut constater que suis loin d’être en pleine forme et, curieusement, j’ai l‘impression qu’elle a soudainement un peu pitié de moi en m’annonçant :

     

    "Bon, je vais te laisser récupérer, il est presque 13h30 et j’ai une petite faim. Que dirais-tu si nous allions manger une pizza chez Mario ? C’est sympa et à côté".

     

    "Oh, c'est une bonne idée, Madame, et je vous en remercie. Moi aussi j’ai un peu faim et nous allons souvent chez Mario car tous les trois nous adorons ses pizzas ".

     

    "Oui, je vous y ai vu une ou deux fois en famille mais il faut d'abord te préparer !".

     

    Elle me regarde en détail :

     

    "Ton pull a beau être épais, je ne veux pas commettre d'impair. Tu vas te mettre devant un miroir, ôter tes pinces lestées, détacher les lests et repincer tes bouts mais verticalement au lieu d'horizontalement pour que les protubérances se voient moins. Puis, tu vas enfiler un soutien-gorge balconnet, déjà porté, en dégageant tes bouts de mamelles pincés des bonnets vers le haut. Nous serons deux à savoir ce qui se passe réellement sous ton pull ! Pour ton sexe, je suis sure qu'une petite promenade fera du bien à tes boules dont je vais diminuer la vitesse d'un cran, pas pour te faire plaisir, mais à cause du ronronnement ! Par contre, tu peux enlever tes boucles d‘oreilles ridicules et il vaut mieux que tu enfiles des bottines plutôt que de sortir en mules !".

     

    Elle sort en riant :

     

    "Allez, fais-vite, je t’attends dans la voiture !".

     

    Je soulage mes pinces de leurs lests, je les change d'orientation, je sors de la corbeille à linge un soutien-gorge sans bretelles que j'ai porté deux jours, et, je le mets, en veillant à ce que mes bouts pincés sortent bien par-dessus les bonnets, j'enfile mon pull, des bottines noires, prends mon sac, ferme la maison et monte dans sa petite Fiesta.

     

    Elle démarre de suite :

     

    "Dis-moi, ma petite salope, j’ai vu un diaporama sur lequel tu jouissais juste en te branlant les bouts de seins. Tu faisais semblant ou c’était pour de vrai ?".

     

    "Je simulais, Madame, j'ai essayé plusieurs fois, mais je n'y suis jamais arrivée".

     

    "Bien, il faudra persévérer, je ne vois pas pourquoi tu n'aboutirais pas … par contre je n’ai vu aucune photo sur laquelle tu étais fessée, tu n’aimes pas ?".

     

    En plus d'apprendre vite, Annie est très observatrice !

     

    "C'est exact, Madame, la fessée me déstabilise et me fait éclater de rire, elle figure dans mes tabous. Tout le monde est surpris par ce choix que je dois souvent justifier !".

     

    Elle rit franchement :

     

    "Je vois ! Donc pas de fessée pour ma pouff! Mais dis-moi, de quelles parties de ton corps aimes-tu le plus souffrir, à part tes tétons, bien sûr !".

     

    Je tarde un peu à répondre, ce qui me vaut une réprimande :

     

    "Ma petite pute, m’obéir n’est pas seulement faire ce que je te demande, c’est aussi répondre à toutes mes questions même si tu les juges trop intimes … tu me réponds ou je te punis de suite ?".

     

    Je dois m’éclaircir la voix avant de répondre doucement :

     

    "Pardonnez-moi, Madame, j'ai eu une petite absence involontaire. Je suis très sensible du dos et surtout des épaules, de la base du cou et des oreilles … des cuisses aussi, surtout à l'intérieur, là où la peau est très fragile … tous les pieds en général : orteils, plantes et talons, et le visage sous forme de gifles, vous m'avez donc gâtée tout à l'heure, Madame".

     

    Elle sourit, sans répondre.

     

    Nous arrivons et elle se gare devant la pizzeria. Mario nous accueille, il nous connaît bien séparément toutes les deux. Mario et moi avons le même humour, et quand il me félicite pour l'originalité de ma nouvelle coiffure, qui, me dit-il, me va à ravir, je sais qu'il se moque gentiment de moi! Et il nous place en souriant.

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    3
    gars_elle
    Lundi 3 Décembre à 20:41   Supprimer le commentaire
     

    la suite encore:

     

    Annie se contente de lui dire :

     

    "Comme d'habitude pour chacune de nous ! Merci, Mario".

     

    L’heure est tardive et il ne reste que quelques clients finissant leurs cafés mais Mario ne dit jamais non à une arrivée tardive, surtout à de bonnes clientes !

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 13h40

     

    Annie est souriante et détendue :

     

    "Sais-tu Loré qu’il y a trois réalités qui m’excitent au plus haut point dans notre nouvelle situation ! Veux-tu les connaître ?".

     

    Je ris de bon cœur :

     

    "Je crois que je ne vous connais pas encore assez pour pouvoir les deviner seule, Madame !".

     

    "Oui, tu as raison, mais n’oublie pas qu’ici tu peux m’appeler Annie et me tutoyer".

     

    "Ah oui, j'avais oublié Annie, excuse-moi !".

     

    "Aucune importance! Tout d'abord, j’ai retardé le plus possible le moment où j’allais te découvrir nue pour de vrai et non plus en photos! Je sais qu'après ce repas, je vais te voir à poil et que tu m'exciteras mille fois plus qu'en photos! Et, ce qui me fait mouiller quasiment autant, c’est que toi tu devras attendre ma décision avant de me voir à poil. Ce sera une petite frustration-punition très cérébrale que j'affectionne particulièrement! La deuxième chose découle un peu de la première : tu ne jouiras et tu ne me feras jouir que quand et comment je te le dirai. Ca c’est un excitant fabuleux ! Pour toi aussi ma douce voisine? ».

     

    Je me contente de baisser les yeux sans répondre, tout en réalisant à quel point Annie est intelligente : en très peu de temps elle a compris quelle forme de domination je recherchais ! Je me permets de répondre:

     

    "Je crois Annie, que tu sais qu'avant de donner son corps, une soumise offre la totalité de sa volonté à l'autre. Dépendre entièrement de toi, de tes envies, de tes caprices et de tes décisions est un très puissant aphrodisiaque !"

     

    "Tu as entièrement raison, ma chérie. C’est en effet très excitant, à double sens et valable pour nous deux. J'aimerais que tu fasses n'importe quoi dans ta vie, uniquement sur mon ordre … que ce soit allumer une cigarette, changer de culotte ou demander à Yves de te sodomiser et ce, sans que tu ne sentes arriver l'ordre! Mais rassure-toi, ma douce voisine, ça ne fonctionnera que lorsque nous serons réunies! Je ne compte pas intervenir dans ta vie de tous les jours ».

     

    "Oui, 24h/24, ce serait un véritable enfer! Mais je comprends ton envie utopique et je la partage, bien évidement dans le rôle de l'objet! Je crois t'avoir déjà avoué que je passe beaucoup de temps sur des sites bdsm mais même si Google m'offre la théorie et les images, je ne pensais pas que ma voisine me conduirait aussi vite et aussi bien vers des travaux pratiques quatre étoiles!".

     

    Mario nous apporte nos deux pizzas et nos deux pichets de rosé. En riant, nous constatons que nous prenons toutes les deux la même chose : une pizza quatre fromages et un quart de rosé. Quelle coïncidence!

     

    Nous continuons à bavarder en mangeant et Annie continue ces révélations qui bouleversent mon bas-ventre :

     

    "Quant à la troisième source d’excitation - qui est sans doute la plus puissante - c’est de savoir que si je te demande quoique ce soit, tu l'exécuteras de suite. Ça me donne un sentiment de pouvoir extrêmement jouissif, comme si j'avais un jouet télécommandé!".

     

    J'abonde dans son sens, de manière peut-être inattendue mais franche:

     

    "Je vais te faire rire, mais il y a pas mal de temps et avant que je ne commence à obéir à mon ex-mari, j'ai vu ce film Le Jouet avec Pierre Richard et il m'a laissé un arrière-goût de luxure … j'avais en quelque sorte transposé ce cadeau d'un homme offert à un enfant à ce même homme offert à une femme !"

     

    Annie éclate de rire :

     

    "Oui, je l'ai vu, mais je n'avais rien extrapolé de la sorte! Il faut croire que tu étais déjà prédisposée pour ce genre de relations!

     

    "Probablement, mais je ne t'ai pas proposé "objet" par hasard dans mes listes de nom de soumise. Quand j'ai décidé d'obéir, c'est ce que je deviens! C'est, pour moi aussi, une source d'excitation permanente de ne pas savoir ce que tu vas exiger de moi, ni devant qui ni à quel moment. Combien de fois depuis que tu es entrée dans ma vie ce matin tu m’as fait comprendre que mon avis n’avait aucune importance pour toi. Et ce n'est sûrement qu'un début!".

     

    "Tu es clairvoyante Loré, ce sera en effet une de mes lignes de conduite envers toi : me moquer de tes envies ou de tes désirs. Si nous prenons l'exemple de cette pizzeria, il me suffisait de demander à Mario quelle pizza tu détestais, de te la commander et de t'obliger à la manger en me disant à chaque bouchée :

     

    "Je me régale, merci, Annie !".

     

    Annie rajoute, rassurante:

     

    "Mais je n'ai pas voulu trop rapidement transposer notre jeu ici et j'ai laissé Mario faire. Finalement je vois que nous aimons la même chose toutes les deux!".

     

    Nous mangeons. Entre deux phrases elle me regarde en souriant énigmatiquement et en se contentant de picorer des petits bouts dans son assiette. J'ai l'impression qu'elle attend quelque chose … elle se décide enfin :

     

    "Tu as un bout de pizza sur la lèvre gauche, tu devrais aller aux toilettes te passer un peu d’eau sur le visage … et en profiter pour ôter ta culotte et ton soutien-gorge que tu me donneras en remontant!".

     

    Je sais très bien que je n’ai rien sur la lèvre mais, sans discuter, je me lève et descends aux toilettes.

     

    Je dois enlever mes bottines pour ôter mon jean et faire glisser ma culotte trempée avant de me rhabiller. C'est plus facile pour le haut. Une fois mon pull enlevé, je dégrafe mon soutien-gorge et remets mon pull. Avant de remonter j’en profite pour me rafraîchir le visage et rejoins ma place en tendant à Annie mes sous-vêtements roulés en boule.

     

    Sans s’occuper d'éventuels regards, elle renifle mon soutien-gorge et me susurre insidieusement:

     

    "Mmmm, j’aime l'odeur de ta peau et la chaleur de tes bonnets. Quel est ton tour de poitrine ma chérie ?".

     

    "95b".

     

    "C’est ce que je pensais" me rétorque-t-elle en le rangeant dans son sac

     

    Elle fait de même avec la culotte qu’elle hume longuement avant de lui faire rejoindre le soutien-gorge.

     

    D’une voix douce elle me demande si j'ai pissé dessus pour qu’elle soit aussi trempée. Je fais non de la tête, horriblement gênée. Et sa question malicieuse fuse:

     

    "Alors c’est juste ta mouille de femelle en chaleur qui l’a mouillée à ce point?".

     

     Je dois acquiescer de la tête, cramoisie. Et elle en rajoute pour mon humiliation:

     

    "Eh bien je ne pensais pas que tu en étais à ce point. Je vois que ton obéissance, les boules et les pinces t’ont bien réussies! Avance un peu ton ventre jusqu'au bord de la chaise et dégrafe ton jean en cachant bien ton bas-ventre sous la nappe. Il est temps que cette moule saturée de mouille respire un peu le bon air de la pizzeria!".

     

    Pendant que je m‘exécute en essayant de ne pas attirer l’attention, je la vois se pencher vers le sol comme pour ramasser quelque chose. Mais elle est simplement en train de vérifier que je lui obéis bien.

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 14h10

     

    Le bassin bien avancé, le jean ouvert et un peu baissé, le tout caché par la nappe et mon pull, je reprends mes couverts pour continuer à manger quand je sens un pied gainé de bas se poser sur mon entrejambe. Je comprends immédiatement qu’elle n’a pas fait que me regarder. En se penchant, elle en a profité pour délacer une de ses chaussures avec l'intention de me caresser la chatte.

     

    Elle continue de sourire et demande à Mario :

     

    "Tu peux nous apporter un petit bloc et un stylo s’il te plaît ?".

     

    Il lui porte un ancien carnet de commandes en francs et un stylo bille.

     

    Elle sourit de voir sur quoi elle écrit. Elle rédige quelque chose, détache le papier et me le tend. Je lis la note:

     

    "Continue de manger, coupe des petits morceaux et mange avec les doigts. Après chaque morceau, suce-toi sensuellement les doigts en me regardant droit dans les yeux!".

     

    Je coupe un petit bout de pizza que je prends entre mes doigts que je suce longuement sans chercher ni à éviter, ni à défier, son regard ironique et vicieux.

     

    Un autre petit mot rédigé de sa main m'arrive me demandant de positionner son pied à l’entrée de ma moule.

     

    Il me faut changer un peu de position pour mettre son pied entre mes grandes lèvres. Je la sens s'impatienter et pousser. Son pied gainé de soie entre de quelques millimètres dans mon intimité mais l’étroitesse du jean est un obstacle.

     

    Une autre brève missive de son écriture délicate m'arrive :

     

    "Débrouille toi pour t'ouvrir plus!".

     

    Je tends un peu plus mon bassin dans le vide, baisse mon jean de quelques centimètres, ce qui me permet d’ouvrir un peu plus les cuisses. Elle le sent de suite en poussant plus fort son pied qui entre facilement et plus loin dans mon con.

    Encore un mot de rédigé de sa main :

     

    "Continue de manger lentement et de te sucer les doigts. Ne bouge pas tes reins laisse faire mon pied et mes orteils!".

     

    Son pied est bloqué dans mon vagin, elle le sent et agite ses orteils aussi fort que le lui permettent ses bas, m’obligeant à me mordre les lèvres pour ne pas gémir trop fort.

     

    Elle n’en tient absolument pas compte et les agite au contraire le plus fort qu'elle le peut, tout en s’amusant à cogner la boule la plus proche de son pied avec son gros orteil.

     

    Moqueuse, les yeux pétillants, elle m'ordonne gentiment:

     

    "Sers moi un verre de vin et commande un autre pichet à Mario".

     

    Ma main tremble en la servant et j’ai du mal à commander le pichet à voix haute à Mario.

     

    Quand il revient il me demande :

     

    "Vous êtes toute pâle Madame Loréna, tout va bien ?".

     

    Annie comprend que je suis trop troublée pour parler et lui répond :

     

    "Oh, un verre de vin et ça ira mieux, elle a une légère douleur dans la poitrine".

     

    Il s’en va, rassuré.

     

    Pendant qu'elle dialoguait avec Mario, elle n’a pas arrêté de me branler, son pied faisant de grands mouvements circulaires dans mon vagin, l’élargissant de plus en plus. J’ai du mal à ne pas répondre en l'aidant par des coups de reins mais j'obéis sans broncher.

     

    Encore une note qui m'enjoint :

     

    "Doigte-toi le clito avec deux doigts en comptant jusqu’à dix à haute voix, puis suces tes doigts en comptant aussi jusqu’à dix … et ainsi de suite, jusqu'à ce que je te dise d'arrêter !".

     

    Elle ne me quitte pas des yeux, me regardant obéir durant de longues minutes sans arrêter de bouger son pied dans mon vagin trempé. Je suis au bord de l’orgasme et je dois me caresser à côté du clitoris pour ne pas jouir.

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 14h40

     

    Je ne mange plus. De temps en temps je bois une gorgée de vin sans quitter Annie des yeux. Elle lit en moi la montée du plaisir, un nouvel ordre m'arrive :

     

    "Positionne mon gros orteil sur ton clitoris".

     

    Elle retire son pied de mon vagin gluant et, les doigts souillés de ma mouille, je le pose sur le haut de mon sexe, bien en contact avec mon petit bouton. Elle appuie de suite assez fort pour m'arracher un petit cri involontaire.

     

    Son sourire prouve qu’elle sait qu’elle est au bon endroit, un autre mot rejoint le petit tas des déjà lus :

     

    "Main gauche sous ton pull, pelote toi les nichons et leurs bouts".

     

    Mes seins sont si sensibles que j’ai peur de jouir. Annie le devine dans mon regard et me tend, en urgence, un autre mot :

     

    "Prends ton portable, de ta main droite et appelle Yves. Coince le téléphone entre ton cou et ton épaule, pour avoir les mains libres".

     

    Horrifiée, je lui obéis et j'appuie longuement sur le un … après quelques sonneries, il répond :

     

    "Yves Dufour, bonjour".

     

    "Bonjour toi, c’est moi !".

     

    "Quelle agréable surprise, que fais-tu? Ici nous sommes avec tout le staff dans un restaurant très sympa. Nous finissons".

     

    "Moi aussi, je finis une pizza avec Annie notre voisine".

     

    "Je suis content que tu te sois fait une amie, elle et son mari m'avait paru très sympas mais je ne les ai vus que deux fois !".

     

    "Elle l’est et nous nous entendons déjà très bien".

     

    Annie m'ordonne sur un autre mot ce que je redoutais le plus :

     

    "Pelote tes mamelles de truie et jouis avec ton mari en ligne".

     

    La salle est quasiment vide. Elle accentue les caresses sur le haut de mon sexe en s’amusant à jouer avec mon clitoris gonflé, alors qu'à sa demande, je continue à me pétrir les nichons et les tétons de ma main gauche.

     

    Trop excitée, je me tais tandis qu'Yves continue:

     

    "Tiens, je peux te donner la raison de notre repas-réunion d'aujourd'hui: la grande direction de Berlin a décidé de nous implanter en Russie et ils ont choisi le bureau Europe pour ce faire. Mon patron m'a confié la responsabilité totale de ce projet ".

     

    "Ooooh tu vas donc devoir voyager et t’absenter beaucoup plus?".

     

    Il parle et je l'écoute sans l'entendre, je joooouis comme une folle sans émettre un seul son, ce qui chez moi est un véritable miracle! Ne m'entendant plus, Yves me demande si je suis toujours en ligne !

     

    J'essaye de récupérer très vite une voix normale et lui réponds :

     

    "Oui, bien sûr, je suis là, je t’écoutais".

     

    Yves poursuit:

     

    "Je ne vais pas pouvoir te parler plus longtemps, nous aurons des tas de choses à nous dire ce soir. De mon côté, pour la Russie, il y a plusieurs possibilités. Jje compte sur toi pour me raconter toute ta journée avec ta nouvelle amie".

     

    "Bien sûr mon chéri, je te raconterai tout. Puis-je déjà lancer une invitation à dîner chez nous un de ces samedis, de notre part à tous les deux?".

     

    "Bien évidemment! Ttu n'as pas besoin de mon feu vert pour inviter des amis ou des futurs amis chez nous, grande sotte!"

     

    Pendant ce temps, une question indécente m'arrive par note interposée. Annie me demande

     

    "Qui es-tu ?".

     

    En demandant deux minutes à Yves, je réponds d’une main tremblante :

     

    "Une esclave en chaleur en train d'obéir à sa Maîtresse, Madame".

     

    Annie sourit et commande deux cafés à Mario. Elle se penche pour remettre sa chaussure, alors que j’embrasse mon mari avant de couper, totalement épuisée et rouge comme une écrevisse.

     

    Annie rit comme une ado qui vient de faire une bonne blague avant de déclarer à mon attention:

     

    "Allez files aux toilettes pour essayer de ressembler à un être humain! Tu peux enlever tes pinces mais garde tes boules. Dépêche-toi, Mario est en train de préparer nos cafés!".

     

    Je me rajuste un peu et m’esquive discrètement. Je me rhabille dans les toilettes et je dois retenir des hurlements de douleur quand j’ôte les pinces. Je me frotte les bouts avec un peu d’eau chaude mais j’ai l’impression qu’ils sont en feu. Néanmoins soulagée de la torture de mes tétons et un peu rafraîchie, je remonte juste à temps pour boire le café bien chaud.

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 15h10

     

    Annie m’offre une cigarette et va régler la note mais j’avais déjà dit à Mario de mettre ce repas sur notre compte. Elle me remercie et assure Mario que tout s’est bien passé.

     

    Elle revient enfiler son manteau et prendre son sac. Dans le même temps elle me dit:

     

    "Allez on y va, dépêche-toi!".

     

    J’ai juste le temps de finir mon café, d’écraser ma cigarette et je la suis après avoir salué Mario.

     

    Nous remontons dans sa voiture en constatant qu‘il ne fait pas bien chaud. Elle démarre et se dirige vers le centre-ville. Je n’ose pas lui demander où nous allons et me laisse guider. Rompant le blanc qui règne dans le véhicule, elle me déclare:

     

    "Dommage que tu n‘aies pas pu hurler ton plaisir au téléphone avec ton mari, n’est-ce pas ma pute? Je suis sure que ça t’a manqué?".

     

    Je rougis violemment en repensant à la scène et ne peut m'empêcher de répondre spontanément:

     

    "Oui Madame, comme vous avez pu le constater, je suis très bruyante mais là je n'avais vraiment pas le choix!".

     

    Elle rit de bon cœur :

     

    "Je n’avais pas le son sur ton DVD mais à voir ton visage déformé par la jouissance, j’étais sure que tu étais une fille très expressive … si l’on peut appeler ça comme ça!".

     

    "Vous ne vous êtes pas trompée, Madame. Tiens, pour changer de sujet, Yves trouverait sympa que vous veniez un samedi soir prochain dîner tous les deux chez nous. Qu'en penses-tu ?".

     

    "Je dois en parler à Marc mais ça me semble une superbe idée. On pourrait même l'organiser toutes les deux pour ne pas commander ou cuisiner des plats que certains n'aiment pas et même inventer un thème pour la soirée en décorant ton vivoir en conséquence ?"

     

    "Tout à fait partante, Annie, à part que je ne sais pas ce qu'est un vivoir ?"

     

    "Ah, excuse-moi, c'est un canadianisme qui veut dire la salle dans laquelle on vit. Donc l'équivalent de notre salon-salle à manger mais en plus court et donc en plus pratique."

     

    "C'est entendu, on en reparle!"

     

    Nous roulons en silence et elle se gare dans un quartier près de la Gare centrale. Elle m'annonce:

     

     "Suis moi, nous allons faire du shopping".

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 15h20

     

    Je la suis sans rien dire et 50 mètres plus loin, elle s'arrête. Elle augmente la vitesse de mes boules, presque au maximum et m’entraîne dans un sex-shop. Je suis très surprise car je ne savais même pas qu’il y avait ce genre de magasin dans notre petite ville.

     

    En entrant, Annie me déclare:

     

    "Nous n'avons pas de temps à perdre: tu vas aller directement demander au vendeur de te montrer ses godes-doubles. Tu en choisiras deux ou trois et tu viendras me les montrer. Moi je vais jeter un coup d’œil sur d'autres rayons".

     

    Je m’approche timidement du caissier qui doit être un vendeur, sympa et très décontracté. Avec un large sourire il me demande : "Que puis-je faire pour vous jolie Madame ?".

     

    "Euh … je suis un peu gênée de ce que j’ai à vous demander, Monsieur ".

     

    "Oh vous savez, Madame, ici il n’y a aucun tabou. Je suis habitué à toutes les demandes, même les plus incroyables alors vous pouvez parler tranquillement!".

     

    Sa bonne humeur me rassure, et je lui demande, sans trop bégayer s’il a des godes doubles. Il me répond d'un ton enjoué:

     

    "Mais bien sûr, j’en ai un grand choix, de toutes les formes, de tous les calibres et de toutes les couleurs. Suivez-moi, chère Madame !".

     

    Je l'accompagne jusqu'à une grande vitrine, en effet bien achalandée, qu'il ouvre avec une de ses clefs :

     

    "Ils sont tous à peu près identiques pour le principe : deux godes séparés par une plaque de latex, l‘un des deux est toujours plus gros que l‘autre pour tenir compte des différents gabarits des dames. Ils sont parfaits pour le sexe ou les fesses, avec un plaisir garanti!".

     

    Il en sort une dizaine de leur boite en me disant :

     

    "Le reste dépend des tailles, de leur matière, de leur aspect, du fait qu'ils bougent ou pas, qu'ils vibrent ou qu'ils pilonnent, qu'ils fonctionnent avec des piles ou une batterie rechargeable et sont commandés soit par deux moteurs à cinq vitesses soit par une télécommande double à huit vitesses. Les prix vont de 29€ à 150€ selon votre choix !"

     

    "Je ne pensais pas que c'était aussi compliqué de se faire plaisir!".

     

    Mon vendeur rit :

     

    "Vous savez, Madame, de nos jours tout est compliqué: je reçois la semaine prochaine une collection entière de godemichés, de vibromasseurs, d'objets vibrants fonctionnant avec le wifi! Si une femme se trémousse sur sa chaise dans un restaurant, on se saura jamais si un moustique l'a piquée ou si son mari est en train de la faire jouir !"

     

    "Même nos vagins ne sont plus à l'abri du progrès, c'est scandaleux!"

     

    Nous éclatons de rire tous les deux, mais je redeviens sérieuse :

     

    "Bon, il me faut faire un choix de deux ou trois modèles, et les montrer à ...".

     

    "Désolé de vous interrompre: à votre amie, ce sera plus simple?!".

     

    "Oui, c'est le mot que je cherchais. Aidez-moi à choisir, je vous en prie. Je suis incapable de le faire seule!"

     

    "Je vais jouer l'honnêteté avec vous, chère Madame, en vous proposant les trois modèles les plus vendus, les plus accessibles et sur lesquels, depuis un an, je n'ai jamais eu de problème de mauvais fonctionnement ou une plainte quelconque. Je pourrais vous dire que sans celui à 150€ vous ne pourrez pas jouir mais je serais un sacré filou!"

     

    "Vous me sauvez, Monsieur, quel est celui que nous devrons privilégier d'après vous?".

     

    "C'est malheureusement le plus cher des trois. Il est à 79€ mais a tous les avantages des autres: chaque gode est réglable de vingt à trente centimètres, ils sont télécommandés par la même télécommande, leur aspect et la couleur sont proches de la peau masculine, et, en plus, ils ont la double fonction vibrations ou pilonnage".

     

    Je rougis comme une langouste cuite en lui demandant :

     

    "Je suppose que le pilonnage imite ce que peut nous faire un homme en allant et venant dans nos intimités ?".

     

    "Parfait Madame, je vous engage comme vendeuse !"

     

    Nous blaguons en rejoignant Annie. Je lui dis que je m'appelle Loréna et lui m'informe qu'il est le patron et qu'il s'appelle André. Il ajoute:

     

    "Votre amie est au rayon des jouets bdsm, allons-y !".

     

    Annie me regarde venir vers elle, un peu goguenarde, avec mes trois doubles-godes en main.

     

    "Alors ma chérie tu as choisi ?".

     

    Sans rien dire, je pose les godes sur un comptoir. Elle les jauge :

     

    "Pour ma part, je préférerais le plus perfectionné qui se trouve être le plus gros … mais est-ce que tu vas le supporter aussi bien devant que derrière ?".

     

    André sourit. J’ai envie de disparaître sous la moquette tellement je suis gênée. De son côté, Annie reste totalement naturelle en rajoutant:

     

    "Bah nous verrons bien. C'est entendu, nous prenons le plus perfectionné … mais dites-moi, Monsieur, j'ai vu quelque chose d'étrange dans une vitrine, pourriez-vous m’expliquer ce que c'est ?".

     

    Elle nous conduit devant une autre vitrine qui présente, en effet, un curieux appareil. André semble directement comprendre de quoi il s'agit:

     

    "Ah oui, c’est un nouveau gadget qui fait fureur. Il n’est pas cher et très efficace. En quelques mots, c'est une pompe à vide qui se fixe sur les tétons et son fonctionnement est très simple: quand le vide se fait, les tétons sont aspirés, ils grossissent et s'allongent. Quand l’air revient, ils redeviennent normaux. Un petit moteur à piles engendre une succion mécanique plus agréable qu’une bouche humaine et en augmentant la vitesse de succion on obtient un tire-lait. A noter que, sans vouloir vous pousser à la consommation, pour 30€ de plus vous avez le même avec une batterie rechargeable et une télécommande. Avous de voir ce que vous consommerez annuellement en piles !".

     

    Annie décide vite :

     

    "Hum, je vois, ce doit être très excitant. Nous en prenons un avec sa télécommande ainsi que le gode-double".

     

    A la caisse, André met nos achats dans un sac anonyme. J’insiste pour faire une Visa et  Annie, pour une fois, se laisse convaincre. André me sourit en lisant ma Visa :

     

    "Il est vrai que Loréna est un très joli prénom, assez peu courant. J’espère que j’aurai le plaisir de vous revoir bientôt, mes belles dames. Comme je l'ai dit à votre amie Loréna, je m’appelle André".

     

    "Pourquoi pas, André, seules les montagnes ne se rencontrent jamais, dit le vieux dicton".

     

    Je m'appelle Annie, au revoir !".

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 16h00

     

    Nous sortons. Quelques mètres plus loin, Annie me pousse dans un café. Nous nous asseyons sur des tabourets au comptoir et, sans me consulter, elle commande deux doubles-cognacs. Après avoir demandé au patron si nous pouvions tout de même fumer une petite cigarette dans son bar et qu'il nous ait répondu en riant :

     

    "Je me vois mal refuser quelque chose à deux belles nanas comme vous mais si un client entre essayez de cacher vos cigarettes s'il vous plaît!".

     

    Nous le remercions et buvons nos verres en alimentant nos futurs cancers des poumons :

     

     "Es-tu satisfaite de tes achats, ma jolie allumeuse de patron de sex-shop?", me lance Annie;

     

    "Je pense qu'un double-gode aussi excitant et perfectionné manquait dans notre panoplie et que vous saurez en faire un excellent usage, Madame. Si je peux me permettre de vous parler franchement, la suceuse de poitrine me fait un peu peur mais vous savez, Madame que je suis toujours inquiète face à une chose ou une situati

     
    4
    gars_elle
    Lundi 3 Décembre à 20:44   Supprimer le commentaire
     

    la suite toujours:

     

    Annie se contente de lui dire :

     

    "Comme d'habitude pour chacune de nous ! Merci, Mario".

     

    L’heure est tardive et il ne reste que quelques clients finissant leurs cafés mais Mario ne dit jamais non à une arrivée tardive, surtout à de bonnes clientes !

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 13h40

     

    Annie est souriante et détendue :

     

    "Sais-tu Loré qu’il y a trois réalités qui m’excitent au plus haut point dans notre nouvelle situation ! Veux-tu les connaître ?".

     

    Je ris de bon cœur :

     

    "Je crois que je ne vous connais pas encore assez pour pouvoir les deviner seule, Madame !".

     

    "Oui, tu as raison, mais n’oublie pas qu’ici tu peux m’appeler Annie et me tutoyer".

     

    "Ah oui, j'avais oublié Annie, excuse-moi !".

     

    "Aucune importance! Tout d'abord, j’ai retardé le plus possible le moment où j’allais te découvrir nue pour de vrai et non plus en photos! Je sais qu'après ce repas, je vais te voir à poil et que tu m'exciteras mille fois plus qu'en photos! Et, ce qui me fait mouiller quasiment autant, c’est que toi tu devras attendre ma décision avant de me voir à poil. Ce sera une petite frustration-punition très cérébrale que j'affectionne particulièrement! La deuxième chose découle un peu de la première : tu ne jouiras et tu ne me feras jouir que quand et comment je te le dirai. Ca c’est un excitant fabuleux ! Pour toi aussi ma douce voisine? ».

     

    Je me contente de baisser les yeux sans répondre, tout en réalisant à quel point Annie est intelligente : en très peu de temps elle a compris quelle forme de domination je recherchais ! Je me permets de répondre:

     

    "Je crois Annie, que tu sais qu'avant de donner son corps, une soumise offre la totalité de sa volonté à l'autre. Dépendre entièrement de toi, de tes envies, de tes caprices et de tes décisions est un très puissant aphrodisiaque !"

     

    "Tu as entièrement raison, ma chérie. C’est en effet très excitant, à double sens et valable pour nous deux. J'aimerais que tu fasses n'importe quoi dans ta vie, uniquement sur mon ordre … que ce soit allumer une cigarette, changer de culotte ou demander à Yves de te sodomiser et ce, sans que tu ne sentes arriver l'ordre! Mais rassure-toi, ma douce voisine, ça ne fonctionnera que lorsque nous serons réunies! Je ne compte pas intervenir dans ta vie de tous les jours ».

     

    "Oui, 24h/24, ce serait un véritable enfer! Mais je comprends ton envie utopique et je la partage, bien évidement dans le rôle de l'objet! Je crois t'avoir déjà avoué que je passe beaucoup de temps sur des sites bdsm mais même si Google m'offre la théorie et les images, je ne pensais pas que ma voisine me conduirait aussi vite et aussi bien vers des travaux pratiques quatre étoiles!".

     

    Mario nous apporte nos deux pizzas et nos deux pichets de rosé. En riant, nous constatons que nous prenons toutes les deux la même chose : une pizza quatre fromages et un quart de rosé. Quelle coïncidence!

     

    Nous continuons à bavarder en mangeant et Annie continue ces révélations qui bouleversent mon bas-ventre :

     

    "Quant à la troisième source d’excitation - qui est sans doute la plus puissante - c’est de savoir que si je te demande quoique ce soit, tu l'exécuteras de suite. Ça me donne un sentiment de pouvoir extrêmement jouissif, comme si j'avais un jouet télécommandé!".

     

    J'abonde dans son sens, de manière peut-être inattendue mais franche:

     

    "Je vais te faire rire, mais il y a pas mal de temps et avant que je ne commence à obéir à mon ex-mari, j'ai vu ce film Le Jouet avec Pierre Richard et il m'a laissé un arrière-goût de luxure … j'avais en quelque sorte transposé ce cadeau d'un homme offert à un enfant à ce même homme offert à une femme !"

     

    Annie éclate de rire :

     

    "Oui, je l'ai vu, mais je n'avais rien extrapolé de la sorte! Il faut croire que tu étais déjà prédisposée pour ce genre de relations!

     

    "Probablement, mais je ne t'ai pas proposé "objet" par hasard dans mes listes de nom de soumise. Quand j'ai décidé d'obéir, c'est ce que je deviens! C'est, pour moi aussi, une source d'excitation permanente de ne pas savoir ce que tu vas exiger de moi, ni devant qui ni à quel moment. Combien de fois depuis que tu es entrée dans ma vie ce matin tu m’as fait comprendre que mon avis n’avait aucune importance pour toi. Et ce n'est sûrement qu'un début!".

     

    "Tu es clairvoyante Loré, ce sera en effet une de mes lignes de conduite envers toi : me moquer de tes envies ou de tes désirs. Si nous prenons l'exemple de cette pizzeria, il me suffisait de demander à Mario quelle pizza tu détestais, de te la commander et de t'obliger à la manger en me disant à chaque bouchée :

     

    "Je me régale, merci, Annie !".

     

    Annie rajoute, rassurante:

     

    "Mais je n'ai pas voulu trop rapidement transposer notre jeu ici et j'ai laissé Mario faire. Finalement je vois que nous aimons la même chose toutes les deux!".

     

    Nous mangeons. Entre deux phrases elle me regarde en souriant énigmatiquement et en se contentant de picorer des petits bouts dans son assiette. J'ai l'impression qu'elle attend quelque chose … elle se décide enfin :

     

    "Tu as un bout de pizza sur la lèvre gauche, tu devrais aller aux toilettes te passer un peu d’eau sur le visage … et en profiter pour ôter ta culotte et ton soutien-gorge que tu me donneras en remontant!".

     

    Je sais très bien que je n’ai rien sur la lèvre mais, sans discuter, je me lève et descends aux toilettes.

     

    Je dois enlever mes bottines pour ôter mon jean et faire glisser ma culotte trempée avant de me rhabiller. C'est plus facile pour le haut. Une fois mon pull enlevé, je dégrafe mon soutien-gorge et remets mon pull. Avant de remonter j’en profite pour me rafraîchir le visage et rejoins ma place en tendant à Annie mes sous-vêtements roulés en boule.

     

    Sans s’occuper d'éventuels regards, elle renifle mon soutien-gorge et me susurre insidieusement:

     

    "Mmmm, j’aime l'odeur de ta peau et la chaleur de tes bonnets. Quel est ton tour de poitrine ma chérie ?".

     

    "95b".

     

    "C’est ce que je pensais" me rétorque-t-elle en le rangeant dans son sac

     

    Elle fait de même avec la culotte qu’elle hume longuement avant de lui faire rejoindre le soutien-gorge.

     

    D’une voix douce elle me demande si j'ai pissé dessus pour qu’elle soit aussi trempée. Je fais non de la tête, horriblement gênée. Et sa question malicieuse fuse:

     

    "Alors c’est juste ta mouille de femelle en chaleur qui l’a mouillée à ce point?".

     

     Je dois acquiescer de la tête, cramoisie. Et elle en rajoute pour mon humiliation:

     

    "Eh bien je ne pensais pas que tu en étais à ce point. Je vois que ton obéissance, les boules et les pinces t’ont bien réussies! Avance un peu ton ventre jusqu'au bord de la chaise et dégrafe ton jean en cachant bien ton bas-ventre sous la nappe. Il est temps que cette moule saturée de mouille respire un peu le bon air de la pizzeria!".

     

    Pendant que je m‘exécute en essayant de ne pas attirer l’attention, je la vois se pencher vers le sol comme pour ramasser quelque chose. Mais elle est simplement en train de vérifier que je lui obéis bien.

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 14h10

     

    Le bassin bien avancé, le jean ouvert et un peu baissé, le tout caché par la nappe et mon pull, je reprends mes couverts pour continuer à manger quand je sens un pied gainé de bas se poser sur mon entrejambe. Je comprends immédiatement qu’elle n’a pas fait que me regarder. En se penchant, elle en a profité pour délacer une de ses chaussures avec l'intention de me caresser la chatte.

     

    Elle continue de sourire et demande à Mario :

     

    "Tu peux nous apporter un petit bloc et un stylo s’il te plaît ?".

     

    Il lui porte un ancien carnet de commandes en francs et un stylo bille.

     

    Elle sourit de voir sur quoi elle écrit. Elle rédige quelque chose, détache le papier et me le tend. Je lis la note:

     

    "Continue de manger, coupe des petits morceaux et mange avec les doigts. Après chaque morceau, suce-toi sensuellement les doigts en me regardant droit dans les yeux!".

     

    Je coupe un petit bout de pizza que je prends entre mes doigts que je suce longuement sans chercher ni à éviter, ni à défier, son regard ironique et vicieux.

     

    Un autre petit mot rédigé de sa main m'arrive me demandant de positionner son pied à l’entrée de ma moule.

     

    Il me faut changer un peu de position pour mettre son pied entre mes grandes lèvres. Je la sens s'impatienter et pousser. Son pied gainé de soie entre de quelques millimètres dans mon intimité mais l’étroitesse du jean est un obstacle.

     

    Une autre brève missive de son écriture délicate m'arrive :

     

    "Débrouille toi pour t'ouvrir plus!".

     

    Je tends un peu plus mon bassin dans le vide, baisse mon jean de quelques centimètres, ce qui me permet d’ouvrir un peu plus les cuisses. Elle le sent de suite en poussant plus fort son pied qui entre facilement et plus loin dans mon con.

    Encore un mot de rédigé de sa main :

     

    "Continue de manger lentement et de te sucer les doigts. Ne bouge pas tes reins laisse faire mon pied et mes orteils!".

     

    Son pied est bloqué dans mon vagin, elle le sent et agite ses orteils aussi fort que le lui permettent ses bas, m’obligeant à me mordre les lèvres pour ne pas gémir trop fort.

     

    Elle n’en tient absolument pas compte et les agite au contraire le plus fort qu'elle le peut, tout en s’amusant à cogner la boule la plus proche de son pied avec son gros orteil.

     

    Moqueuse, les yeux pétillants, elle m'ordonne gentiment:

     

    "Sers moi un verre de vin et commande un autre pichet à Mario".

     

    Ma main tremble en la servant et j’ai du mal à commander le pichet à voix haute à Mario.

     

    Quand il revient il me demande :

     

    "Vous êtes toute pâle Madame Loréna, tout va bien ?".

     

    Annie comprend que je suis trop troublée pour parler et lui répond :

     

    "Oh, un verre de vin et ça ira mieux, elle a une légère douleur dans la poitrine".

     

    Il s’en va, rassuré.

     

    Pendant qu'elle dialoguait avec Mario, elle n’a pas arrêté de me branler, son pied faisant de grands mouvements circulaires dans mon vagin, l’élargissant de plus en plus. J’ai du mal à ne pas répondre en l'aidant par des coups de reins mais j'obéis sans broncher.

     

    Encore une note qui m'enjoint :

     

    "Doigte-toi le clito avec deux doigts en comptant jusqu’à dix à haute voix, puis suces tes doigts en comptant aussi jusqu’à dix … et ainsi de suite, jusqu'à ce que je te dise d'arrêter !".

     

    Elle ne me quitte pas des yeux, me regardant obéir durant de longues minutes sans arrêter de bouger son pied dans mon vagin trempé. Je suis au bord de l’orgasme et je dois me caresser à côté du clitoris pour ne pas jouir.

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 14h40

     

    Je ne mange plus. De temps en temps je bois une gorgée de vin sans quitter Annie des yeux. Elle lit en moi la montée du plaisir, un nouvel ordre m'arrive :

     

    "Positionne mon gros orteil sur ton clitoris".

     

    Elle retire son pied de mon vagin gluant et, les doigts souillés de ma mouille, je le pose sur le haut de mon sexe, bien en contact avec mon petit bouton. Elle appuie de suite assez fort pour m'arracher un petit cri involontaire.

     

    Son sourire prouve qu’elle sait qu’elle est au bon endroit, un autre mot rejoint le petit tas des déjà lus :

     

    "Main gauche sous ton pull, pelote toi les nichons et leurs bouts".

     

    Mes seins sont si sensibles que j’ai peur de jouir. Annie le devine dans mon regard et me tend, en urgence, un autre mot :

     

    "Prends ton portable, de ta main droite et appelle Yves. Coince le téléphone entre ton cou et ton épaule, pour avoir les mains libres".

     

    Horrifiée, je lui obéis et j'appuie longuement sur le un … après quelques sonneries, il répond :

     

    "Yves Dufour, bonjour".

     

    "Bonjour toi, c’est moi !".

     

    "Quelle agréable surprise, que fais-tu? Ici nous sommes avec tout le staff dans un restaurant très sympa. Nous finissons".

     

    "Moi aussi, je finis une pizza avec Annie notre voisine".

     

    "Je suis content que tu te sois fait une amie, elle et son mari m'avait paru très sympas mais je ne les ai vus que deux fois !".

     

    "Elle l’est et nous nous entendons déjà très bien".

     

    Annie m'ordonne sur un autre mot ce que je redoutais le plus :

     

    "Pelote tes mamelles de truie et jouis avec ton mari en ligne".

     

    La salle est quasiment vide. Elle accentue les caresses sur le haut de mon sexe en s’amusant à jouer avec mon clitoris gonflé, alors qu'à sa demande, je continue à me pétrir les nichons et les tétons de ma main gauche.

     

    Trop excitée, je me tais tandis qu'Yves continue:

     

    "Tiens, je peux te donner la raison de notre repas-réunion d'aujourd'hui: la grande direction de Berlin a décidé de nous implanter en Russie et ils ont choisi le bureau Europe pour ce faire. Mon patron m'a confié la responsabilité totale de ce projet ".

     

    "Ooooh tu vas donc devoir voyager et t’absenter beaucoup plus?".

     

    Il parle et je l'écoute sans l'entendre, je joooouis comme une folle sans émettre un seul son, ce qui chez moi est un véritable miracle! Ne m'entendant plus, Yves me demande si je suis toujours en ligne !

     

    J'essaye de récupérer très vite une voix normale et lui réponds :

     

    "Oui, bien sûr, je suis là, je t’écoutais".

     

    Yves poursuit:

     

    "Je ne vais pas pouvoir te parler plus longtemps, nous aurons des tas de choses à nous dire ce soir. De mon côté, pour la Russie, il y a plusieurs possibilités. Jje compte sur toi pour me raconter toute ta journée avec ta nouvelle amie".

     

    "Bien sûr mon chéri, je te raconterai tout. Puis-je déjà lancer une invitation à dîner chez nous un de ces samedis, de notre part à tous les deux?".

     

    "Bien évidemment! Ttu n'as pas besoin de mon feu vert pour inviter des amis ou des futurs amis chez nous, grande sotte!"

     

    Pendant ce temps, une question indécente m'arrive par note interposée. Annie me demande

     

    "Qui es-tu ?".

     

    En demandant deux minutes à Yves, je réponds d’une main tremblante :

     

    "Une esclave en chaleur en train d'obéir à sa Maîtresse, Madame".

     

    Annie sourit et commande deux cafés à Mario. Elle se penche pour remettre sa chaussure, alors que j’embrasse mon mari avant de couper, totalement épuisée et rouge comme une écrevisse.

     

    Annie rit comme une ado qui vient de faire une bonne blague avant de déclarer à mon attention:

     

    "Allez files aux toilettes pour essayer de ressembler à un être humain! Tu peux enlever tes pinces mais garde tes boules. Dépêche-toi, Mario est en train de préparer nos cafés!".

     

    Je me rajuste un peu et m’esquive discrètement. Je me rhabille dans les toilettes et je dois retenir des hurlements de douleur quand j’ôte les pinces. Je me frotte les bouts avec un peu d’eau chaude mais j’ai l’impression qu’ils sont en feu. Néanmoins soulagée de la torture de mes tétons et un peu rafraîchie, je remonte juste à temps pour boire le café bien chaud.

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 15h10

     

    Annie m’offre une cigarette et va régler la note mais j’avais déjà dit à Mario de mettre ce repas sur notre compte. Elle me remercie et assure Mario que tout s’est bien passé.

     

    Elle revient enfiler son manteau et prendre son sac. Dans le même temps elle me dit:

     

    "Allez on y va, dépêche-toi!".

     

    J’ai juste le temps de finir mon café, d’écraser ma cigarette et je la suis après avoir salué Mario.

     

    Nous remontons dans sa voiture en constatant qu‘il ne fait pas bien chaud. Elle démarre et se dirige vers le centre-ville. Je n’ose pas lui demander où nous allons et me laisse guider. Rompant le blanc qui règne dans le véhicule, elle me déclare:

     

    "Dommage que tu n‘aies pas pu hurler ton plaisir au téléphone avec ton mari, n’est-ce pas ma pute? Je suis sure que ça t’a manqué?".

     

    Je rougis violemment en repensant à la scène et ne peut m'empêcher de répondre spontanément:

     

    "Oui Madame, comme vous avez pu le constater, je suis très bruyante mais là je n'avais vraiment pas le choix!".

     

    Elle rit de bon cœur :

     

    "Je n’avais pas le son sur ton DVD mais à voir ton visage déformé par la jouissance, j’étais sure que tu étais une fille très expressive … si l’on peut appeler ça comme ça!".

     

    "Vous ne vous êtes pas trompée, Madame. Tiens, pour changer de sujet, Yves trouverait sympa que vous veniez un samedi soir prochain dîner tous les deux chez nous. Qu'en penses-tu ?".

     

    "Je dois en parler à Marc mais ça me semble une superbe idée. On pourrait même l'organiser toutes les deux pour ne pas commander ou cuisiner des plats que certains n'aiment pas et même inventer un thème pour la soirée en décorant ton vivoir en conséquence ?"

     

    "Tout à fait partante, Annie, à part que je ne sais pas ce qu'est un vivoir ?"

     

    "Ah, excuse-moi, c'est un canadianisme qui veut dire la salle dans laquelle on vit. Donc l'équivalent de notre salon-salle à manger mais en plus court et donc en plus pratique."

     

    "C'est entendu, on en reparle!"

     

    Nous roulons en silence et elle se gare dans un quartier près de la Gare centrale. Elle m'annonce:

     

     "Suis moi, nous allons faire du shopping".

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 15h20

     

    Je la suis sans rien dire et 50 mètres plus loin, elle s'arrête. Elle augmente la vitesse de mes boules, presque au maximum et m’entraîne dans un sex-shop. Je suis très surprise car je ne savais même pas qu’il y avait ce genre de magasin dans notre petite ville.

     

    En entrant, Annie me déclare:

     

    "Nous n'avons pas de temps à perdre: tu vas aller directement demander au vendeur de te montrer ses godes-doubles. Tu en choisiras deux ou trois et tu viendras me les montrer. Moi je vais jeter un coup d’œil sur d'autres rayons".

     

    Je m’approche timidement du caissier qui doit être un vendeur, sympa et très décontracté. Avec un large sourire il me demande : "Que puis-je faire pour vous jolie Madame ?".

     

    "Euh … je suis un peu gênée de ce que j’ai à vous demander, Monsieur ".

     

    "Oh vous savez, Madame, ici il n’y a aucun tabou. Je suis habitué à toutes les demandes, même les plus incroyables alors vous pouvez parler tranquillement!".

     

    Sa bonne humeur me rassure, et je lui demande, sans trop bégayer s’il a des godes doubles. Il me répond d'un ton enjoué:

     

    "Mais bien sûr, j’en ai un grand choix, de toutes les formes, de tous les calibres et de toutes les couleurs. Suivez-moi, chère Madame !".

     

    Je l'accompagne jusqu'à une grande vitrine, en effet bien achalandée, qu'il ouvre avec une de ses clefs :

     

    "Ils sont tous à peu près identiques pour le principe : deux godes séparés par une plaque de latex, l‘un des deux est toujours plus gros que l‘autre pour tenir compte des différents gabarits des dames. Ils sont parfaits pour le sexe ou les fesses, avec un plaisir garanti!".

     

    Il en sort une dizaine de leur boite en me disant :

     

    "Le reste dépend des tailles, de leur matière, de leur aspect, du fait qu'ils bougent ou pas, qu'ils vibrent ou qu'ils pilonnent, qu'ils fonctionnent avec des piles ou une batterie rechargeable et sont commandés soit par deux moteurs à cinq vitesses soit par une télécommande double à huit vitesses. Les prix vont de 29€ à 150€ selon votre choix !"

     

    "Je ne pensais pas que c'était aussi compliqué de se faire plaisir!".

     

    Mon vendeur rit :

     

    "Vous savez, Madame, de nos jours tout est compliqué: je reçois la semaine prochaine une collection entière de godemichés, de vibromasseurs, d'objets vibrants fonctionnant avec le wifi! Si une femme se trémousse sur sa chaise dans un restaurant, on se saura jamais si un moustique l'a piquée ou si son mari est en train de la faire jouir !"

     

    "Même nos vagins ne sont plus à l'abri du progrès, c'est scandaleux!"

     

    Nous éclatons de rire tous les deux, mais je redeviens sérieuse :

     

    "Bon, il me faut faire un choix de deux ou trois modèles, et les montrer à ...".

     

    "Désolé de vous interrompre: à votre amie, ce sera plus simple?!".

     

    "Oui, c'est le mot que je cherchais. Aidez-moi à choisir, je vous en prie. Je suis incapable de le faire seule!"

     

    "Je vais jouer l'honnêteté avec vous, chère Madame, en vous proposant les trois modèles les plus vendus, les plus accessibles et sur lesquels, depuis un an, je n'ai jamais eu de problème de mauvais fonctionnement ou une plainte quelconque. Je pourrais vous dire que sans celui à 150€ vous ne pourrez pas jouir mais je serais un sacré filou!"

     

    "Vous me sauvez, Monsieur, quel est celui que nous devrons privilégier d'après vous?".

     

    "C'est malheureusement le plus cher des trois. Il est à 79€ mais a tous les avantages des autres: chaque gode est réglable de vingt à trente centimètres, ils sont télécommandés par la même télécommande, leur aspect et la couleur sont proches de la peau masculine, et, en plus, ils ont la double fonction vibrations ou pilonnage".

     

    Je rougis comme une langouste cuite en lui demandant :

     

    "Je suppose que le pilonnage imite ce que peut nous faire un homme en allant et venant dans nos intimités ?".

     

    "Parfait Madame, je vous engage comme vendeuse !"

     

    Nous blaguons en rejoignant Annie. Je lui dis que je m'appelle Loréna et lui m'informe qu'il est le patron et qu'il s'appelle André. Il ajoute:

     

    "Votre amie est au rayon des jouets bdsm, allons-y !".

     

    Annie me regarde venir vers elle, un peu goguenarde, avec mes trois doubles-godes en main.

     

    "Alors ma chérie tu as choisi ?".

     

    Sans rien dire, je pose les godes sur un comptoir. Elle les jauge :

     

    "Pour ma part, je préférerais le plus perfectionné qui se trouve être le plus gros … mais est-ce que tu vas le supporter aussi bien devant que derrière ?".

     

    André sourit. J’ai envie de disparaître sous la moquette tellement je suis gênée. De son côté, Annie reste totalement naturelle en rajoutant:

     

    "Bah nous verrons bien. C'est entendu, nous prenons le plus perfectionné … mais dites-moi, Monsieur, j'ai vu quelque chose d'étrange dans une vitrine, pourriez-vous m’expliquer ce que c'est ?".

     

    Elle nous conduit devant une autre vitrine qui présente, en effet, un curieux appareil. André semble directement comprendre de quoi il s'agit:

     

    "Ah oui, c’est un nouveau gadget qui fait fureur. Il n’est pas cher et très efficace. En quelques mots, c'est une pompe à vide qui se fixe sur les tétons et son fonctionnement est très simple: quand le vide se fait, les tétons sont aspirés, ils grossissent et s'allongent. Quand l’air revient, ils redeviennent normaux. Un petit moteur à piles engendre une succion mécanique plus agréable qu’une bouche humaine et en augmentant la vitesse de succion on obtient un tire-lait. A noter que, sans vouloir vous pousser à la consommation, pour 30€ de plus vous avez le même avec une batterie rechargeable et une télécommande. Avous de voir ce que vous consommerez annuellement en piles !".

     

    Annie décide vite :

     

    "Hum, je vois, ce doit être très excitant. Nous en prenons un avec sa télécommande ainsi que le gode-double".

     

    A la caisse, André met nos achats dans un sac anonyme. J’insiste pour faire une Visa et  Annie, pour une fois, se laisse convaincre. André me sourit en lisant ma Visa :

     

    "Il est vrai que Loréna est un très joli prénom, assez peu courant. J’espère que j’aurai le plaisir de vous revoir bientôt, mes belles dames. Comme je l'ai dit à votre amie Loréna, je m’appelle André".

     

    "Pourquoi pas, André, seules les montagnes ne se rencontrent jamais, dit le vieux dicton".

     

    Je m'appelle Annie, au revoir !".

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 16h00

     

    Nous sortons. Quelques mètres plus loin, Annie me pousse dans un café. Nous nous asseyons sur des tabourets au comptoir et, sans me consulter, elle commande deux doubles-cognacs. Après avoir demandé au patron si nous pouvions tout de même fumer une petite cigarette dans son bar et qu'il nous ait répondu en riant :

     

    "Je me vois mal refuser quelque chose à deux belles nanas comme vous mais si un client entre essayez de cacher vos cigarettes s'il vous plaît!".

     

    Nous le remercions et buvons nos verres en alimentant nos futurs cancers des poumons :

     

     "Es-tu satisfaite de tes achats, ma jolie allumeuse de patron de sex-shop?", me lance Annie;

     

    "Je pense qu'un double-gode aussi excitant et perfectionné manquait dans notre panoplie et que vous saurez en faire un excellent usage, Madame. Si je peux me permettre de vous parler franchement, la suceuse de poitrine me fait un peu peur mais vous savez, Madame que je suis toujours inquiète face à une chose ou une situa

     

    Samedi 7 Janvier 2017 - 09h45

    Après avoir tout préparé pour le trek de mes deux hommes : mon fils, Jean, et mon mari, Yves, et les avoir accompagnés jusqu'à la voiture, je rentre bien décidée à attaquer le ménage de la maison !

    Du peignoir de douche, je passé à un vieux jean, des mules nus pieds et un gros pull presque troué à même la peau.

    Après un bon expresso bien fort, je suis prête attaquer tous les moutons de la terre, armée de mon aspirateur et de mon plumeau.

    Cinq minutes après, le téléphone sonne : Yves a encore oublié de me dire quelque chose ! "Alors étourdi qu’as tu oublié, cette fois ?"

    Je suis surprise d’entendre un petit rire féminin : "Non je n’ai rien oublié, je suis désolée de te déranger, Loréna, je suis Annie ta voisine !"

    "Ah excuse moi, j’ai pensé que mon mari avait oublié quelque chose pour son trek avec notre fils !"

    "Je les ai vu partir avec leurs gros sacs de randonnée, et comme Marc, mon mari, s'est aussi absenté pour la journée, j’ai eu l’idée de t’appeler pour que nous fassions plus ample connaissance, sauf, bien sûr si tu avais d'autres projets !"

    "Excellente idée : j’étais partie pour une journée de ménage, mais au diable les corvées ! Je préfère largement papoter avec toi ! Tu viens chez moi ? Je nous prépare un super expresso-petits fours !"

    "Entendu, je suis là dans cinq minutes !" En raccrochant et en rangeant aspirateur et plumeau, je m’étonne un peu de cet appel et essaye de me remémorer Annie qui s'est installée il y a peu de temps à deux maisons de la nôtre : environ 25 ans, soit dix ans de moins que moi, aussi brune que moi avec des cheveux longs alors que les miens sont mi-courts, un petit peu plus grande que moi, et, adorable avec de très beaux yeux verts et un corps apparemment parfait.

    Samedi 7 Janvier 2017 - 10h00

    Le café finit juste de passer quand elle frappe à la porte que je n'ai pas verrouillée : je lui crie d’entrer et de me rejoindre dans la cuisine. Nous nous faisons la bise.

    Je ne peux pas m’empêcher de la détailler : elle est très chic-sportswear en jupe longue noire, légèrement fendue sur le côté, des bas ou des collants gris, des escarpins à talons mi hauts et un petit pull en cachemire col en V porté sur un chemisier blanc.

    Je remarque qu’elle a un grand sac. Je suppose qu’elle est comme moi : incapable de me séparer de la moitié de la maison quand je sors !

    Nous nous installons au salon, je sers le café et nous commençons à parler de tout et de rien, en dégustant des petits fours de Picard surgelés et constatons en riant, qu'en 15 jours de bon voisinage nous ne nous connaissons pas du tout ! Et qu'il était temps que ça change !

    Je lui fais visiter la maison. Elle la trouve plus grande que la sienne et décorée avec beaucoup de goût. A notre retour au salon, elle me demande un verre d'eau fraîche.

    Quand je reviens de la cuisine, elle est en train de sortir un paquet de son sac et, en m’asseyant, je reconnais avec surprise l'emballage anonyme de notre sex-shop en ligne préféré dont j'attendais une livraison.

    Je me rappelle que j'avais profité des soldes pour choisir 4 paires de pinces à seins avec des lests variés, 1 collier de cuir avec ses 4 bracelets assortis pour les chevilles et les poignets et 2 paires de boules de geisha.

    J'espère de tout cœur qu'elle ne l'a pas ouvert !

    Samedi 7 Janvier 2017 - 10h15

    J'essaye de ne pas réagir, mais elle se rend vite compte que je suis moins causante et décontractée qu'avant ! Elle me dit en souriant : "Je suis navrée de l’avoir ouvert : le facteur me l’a donné en main propre et je n’ai même pas eu l'idée de vérifier qu'il était bien pour moi ! Je te le rends avec toutes mes excuses !".

    Vu qu'elle vient de me dire qu'elle l'a ouvert, je décide de prendre cette gaffe du facteur avec humour en lui disant :

    "Je suppose que depuis que tu as vu le contenu, tu te demandes si ces objets étranges sont pour moi, pour mon mari ou pour d'éventuelles relations ?".

    "Non, pas du tout : le plus important, pour moi, était de te le rendre au plus vite et de te prier de m'excuser !"

    J'essaye d'être la plus naturelle et détachée possible en lui disant :

    "Bah, puisque nous sommes entre filles, je te confirme que cet envoi m'est bien destiné. Avec Yves, nous aimons jouer de temps à autre à des jeux d’adultes"

    Malgré mon détachement qui sonne faux, je vois ses beaux yeux verts briller un peu plus. Ce qui me donne à penser que cette situation ne lui déplaît pas du tout.

    Un ange passe, et pour le chasser, elle me demande si j’ai profité des soldes sur le web. Je le lui confirme, en lui expliquant que ces jouets valent cher, et qu’il vaut mieux les acheter quand ils sont à moitié prix !

    "J’en conclu donc que c'est pour compléter une collection existante ?"

    Pour bien réfléchir à ma réponse, j'allume une cigarette et lui en propose une : elle l'accepte en me disant : "Hum, des Royale longues mentholées, ça fait très longtemps que je voulais les goûter !"

    Et elle m'avoue dans une volute de fumée : "Je vois que je suis dans le vrai ! Mais, rassure-toi, j'ai une libido très forte, je suis très curieuse et assez bien renseignée sur toutes les formes de sexualités et il m’en faut beaucoup pour me désarçonner ou me faire rougir ! Alors, avec tes 7 ou 8 ans de plus que moi, je ne peux qu'apprendre de toi !".

    Je souris en constatant qu'elle vient de me tutoyer et lui répond : "Hum, disons plutôt 10 ans ! Et le bdsm est un monde où l’on rougit assez vite, soit de honte soit par la couleur de certaines parties de nos corps !".

    Bon public, elle éclate de rire, mais suit son idée : "Tu ne veux pas satisfaire ma curiosité en me montrant votre collection ? Comme tu m'as avoué la vérité sans hésiter, je t’assure que tout restera entre nous !"

    J’hésite et essaye, de nouveau, de gagner du temps : en resservant du café et en allumant une autre cigarette, tout en poussant mon paquet vers elle. Elle accepte, en m'assurant qu'elle va adopter ma marque de cigarettes ! Et nous buvons et fumons en silence.

    Toutefois, en réfléchissant très vite j'aboutis à une quintuple conclusion. Je commence à être très excitée par cette situation, Annie est une jeune femme superbe, je ne dédaigne pas les partenaires féminines et Yves, très voyeur, aime m'observer en action avec une jolie femme. Mais il me reste à savoir dans quel camp du bdsm se trouve Annie ? Quelle soumise n'a jamais rêvé d'avoir sa domina comme voisine ?

    En Espagne, qui parle de ds (dominación-sumisión), elle devrait être idéalement d et dans le bdsm français (bondage-domination-sadisme ou soumission-masochisme) ce serait le paradis si elle était bd avec quelques nuances* du premier sens du s !

    * Petit coucou à un film qui devait être une vraie bombe et qui est devenu un navet après la censure volontaire de la production de toutes les scènes intéressantes !

    Samedi 7 Janvier 2017 - 10h30

    Alors pourquoi ne pas accepter ? Je dois juste m'assurer qu’elle n’en parlera à personne. Munie de sa promesse formelle, qui, je le sais bien, ne me sers strictement à rien, je l’invite à me suivre jusqu’au meuble du living.

    J'ouvre un battant qui donne accès à une armoire double porte fermée par un digi-code. Je justifie cette précaution en évoquant la curiosité normale de Jean, mon fils de 12 ans, né d'une précédente union. Curieuse, Annie, se penche par dessus mon épaule et s’exclame : "Eh bien, quelle collection ! Vous dévalisez des sex-shops ?"

    Je ris de sa réaction : elle a tout d'une gamine le matin de Noël ! Sans me demander aucun permission, elle sort un à un les accessoires, les examine plus ou moins longuement et les pose sur la table à côté.

    "Des cordes de différentes tailles et de différentes grosseurs, je vois à quoi elles peuvent servir, mais la corde à nœuds n'est-elle pas un peu trop dure pour toi ?"

    Je constate qu'elle a de bonnes notions, car la corde à nœuds n'est pas le jouet le plus fréquent. Je réponds : "Oui, j'ai eu du mal à m'y faire, mais Yves a été très patient, et maintenant c'est un de mes jouets préférés !"

    "Tiens, pourquoi des menottes avec des chaînettes de différentes longueurs ?" "Les plus courtes aux poignets et les autres aux chevilles" "Ah, bien sur, quelle sotte ! J'aurais du y penser toute seule !"

    Dans un bruit de quincaillerie, elle sort une douzaine de chaînes de différentes longueurs, dont certaines sont encore équipées de mousquetons. "Celle là est très longue : elle doit pouvoir t'enchaîner tout le corps !" "Oui, du cou aux pieds en passant par les seins, les mains et le sexe : les mousquetons servent à la fixer là où on le désire"

    Elle sort 1 plug noir, 2 godes et 2 vibromasseurs externes en riant : "Ah, ça je connais bien ! " Mais elle est surprise par une culotte de cuir épais qui propose 2 godes dont les bases sont cousues à l'intérieur : "Bravo à l'inventeur, j'en avais entendu parler, je l'avais vue en photo, mais jamais en vrai : ce doit être très excitant à porter !"

    Je me détends un peu en riant : "Oui c’est exact, et, comme ce ne sont que des mouvements corporels qui animent les godes, on peut la garder très longtemps, et bien en profiter !".

    La table se remplit peu à peu. Elle sort 2 barrettes de 8 grosses pinces à linge en plastique, sans faire de commentaire ! Et s’attarde sur une armature de soutien-gorge en cuir sans bonnets.

    Pensant stupidement qu'elle veut une explication, je lui confirme qu’il se pose sur des seins nus qu’on peut serrer à leurs bases pour les faire gonfler et les rendre plus sensibles.

    Elle me remercie et rajoute en souriant : "Et, d'autre part, pour des soumises formées et endurantes, le cuir est assez résistant pour supporter une attache de suspension par les seins !"

    Bien que son observation, très juste et pointue, finit de me prouver qu'elle est bien dans la famille dominante, je suis un peu vexée, et quand elle sort deux bâillons, je me contente d'approuver d'un mouvement de tête à ses : "2 grands classiques qui ont fait leur preuve : l'écarteur de bouche et le célèbre bâillon boule !" "Oui, mais je l'appelle le bâillon baveur et je le déteste sincèrement !"

    Elle rit de ma franchise en me félicitant : "Eh bien ! Quelle belle leçon ! Sais-tu que je ne regrette vraiment pas d’être venue ! Je découvre les dessous d'un monde que je connais assez bien grâce à ma curiosité : je ne sais comment te remercier !"

    En souriant je lui réponds, ma réponse sera double : "La première partie sera très simple : garde mon secret, ce sera une excellente manière de me remercier, mais la seconde risque de moins te plaire !"

    Elle me sourit et me dit : "Je t'ai dit que j'étais dure à ébranler par quoique ce soit, alors, parle librement ! C'est, il me semble, un moment important pour nos futures relations, amicales ou même intimes !"

    "Si tu veux que notre relation dure longtemps, ce qui, entre proches voisines me semble être un objectif logique et raisonnable, n'oublie jamais que j'ai eu la chance de ne pas naître Bécassine ! Or, ta manière de prendre en main certains jouets, quelques unes de tes réflexions totalement justifiées et ton attirance vers certaines gammes d'ustensiles me donnent à penser que tu connaissais très bien le bdsm avant d'entrer chez moi ! Rassure-toi, ces connaissances ne me m'effraient pas du tout, et auraient même tendance à me faire plaisir et à m'exciter. Mais, Annie, devant moi, n'essaye pas de te faire passer pour une débutante !"

    "Excuse moi de te couper, Loré, tu peux me donner quelques exemples pour que je vois où je me suis trahie ?"

    "Ton : curieux des menottes avec des longueurs de chaînes différentes ? Mon Dieu à quoi ça peut donc pouvoir servir ? J'ai failli exploser de rire ! Et quand tu m'as remerciée pour une explication du soutien-seins que tu ne m'avais pas demandée, en rajoutant une technique sado très connue de suspension par les seins ! Mais je ne t'en veux pas du tout, tu es une excellente comédienne et je t'adore déjà, et il faut que tu saches que pour Yves et moi, le bdsm est avant tout un jeu qui demande des acteurs !"

    Annie prend le parti d'en rire et de ne rien nier, et m'avoue très franchement que depuis ses 20 ans, elle navigue dans le monde du bdsm en dominant des femmes ou des couples, uniquement par relations.

    "Et tu travailles aussi ?" "Oui, mais de chez moi et sans être déclarée, je t'expliquerai ce que je fais, un autre jour, si tu le veux bien ?"

    "Avec plaisir, Annie, et maintenant que je sais qui j'ai réellement devant moi, tu peux terminer de vider mon armoire ! Je vais nous refaire du café et des petits fours ! Je reviens de suite !"

    Samedi 7 Janvier 2017 - 10h50

    Je sais que dans l'armoire, il ne reste que quelques bricoles dont 1 loup et 2 masques de repos, 2 ceinturons de cuir à ma taille et un DVD qui n'est pas identifié, mais, en souriant, je suppose qu'il va intriguer Annie !

    Quand je reviens avec le café, elle me fait part de sa curiosité de ne pas retrouver dans nos jouets une cravache, un fouet, un paddle ou un simple martinet.

    "C'est volontaire, Annie, ça ne fait pas partie de notre ambiance bdsm, quand nous jouons, nous ne sommes pas dans Histoire d'Ô. Les instruments que tu viens de citer font mal et marquent la peau, alors qu'un ceinturon de cuir bien manié ou une simple serviette mouillée ne laissent quasiment aucune trace. Mon masochisme a des limites et je n'ai aucune envie d'aller bosser un lundi matin, avec la peau du dos lacérée, car même si personne ne le verra, moi je le saurais !".

    "Oui, et je te comprends parfaitement bien, Loréna ! Je suppose qu'avec cette livraison, tu complètes ta panoplie avec des pinces à seins lestables, des boules de geisha télécommandées qui vont régaler Yves dans la maison ou dans un restaurant ! Et il te manquait, en effet, une parure en cuir pour mettre en valeur ton cou, tes poignets et tes chevilles. Grâce à tous ces indices, j'imagine bien ta progression dans le bdsm et je suppose que tu as eu beaucoup de plaisir à choisir ces articles, nue, devant ton écran avec Yves à tes côtés pour t'encourager et te câliner !".

    "Tu as tout compris, Annie, je vois que toi aussi, tu n'as pas oublié ton Q.I. dans le ventre de ta Maman !".

    Nous rions toutes les deux comme des ados !

    Samedi 7 Janvier 2017 - 10h50

    C’est au tour d’Annie de rosir très discrètement du visage. Ses yeux sont de plus en plus brillants, je ne pensais pas que des yeux pouvaient aussi bien trahir l’excitation d’une femme.

    Nous laissons passer un ange et elle me demande si elle peut être franche avec moi. Je lui réponds simplement que pour ma part, ma franchise ressemble à une confession à un prêtre !

    Elle sourit et son visage s'apaise : "Sais-tu ce dont j’ai envie, là, tout de suite ?" Je suis un peu inquiète et ne réponds pas, en attendant je ne sais quelle révélation : "De boire un verre d’alcool bien glacé ! Ça ne te fait pas envie ?" Soulagée, j'éclate de rire en approuvant !

    En allant vers la cuisine, je souris en pensant, que j'aurais du lui suggérer que ça nous donnera un bon coup de fouet ! Car je réalise en marchant que je suis trempée et que mes tétons tentent vainement de traverser mon pull.

    En posant le plateau avec 2 petits verres et 2 grands, de la vodka et du jus d'orange, je souris en pensant qu’Annie doit être probablement dans le même état que moi, et je me demande si je résisterais longtemps, si elle avait la bonne idée de faire le premier pas !

    Annie remplit les 2 petits verres et je lui dis en riant : "Hum tu as l’intention de me saouler ?".

    D’un air mutin, que je ne lui connaissais pas, elle m’assure que non. Et le silence retombe pendant que nous buvons et fumons. Cette situation est très amusante car je pense que nous en avons autant envie l’une que l’autre, mais que, ni elle ni moi n’osons nous lancer !

    "Dis moi Loréna, je peux te demander deux choses ?"

    J'écrase ma cigarette : "Mais, bien sur !"

    Serait-ce elle qui craquerait la première ? Il semblerait que oui, car je la sens prendre son courage à deux mains, comme quelqu’un qui s’apprête à plonger d'une falaise de vingt mètres de haut, dans une mer pleine de rochers !

    "La première est de savoir si je peux t'appeler Loré, ça me semble plus sympa que Loréna ?" "Bien évidemment, tout le monde m'appelle Loré, et, toi, tu as un petit raccourci ?"

    "Non, pas vraiment, peut être auras-tu envie de m'en proposer un au fil de nos rencontres ? Mais, merci, Loré, le deuxième point est un peu plus intime : aurais-tu des photos ou des clips de séances que tu aurais faites avec ton mari ou avec d’autres personnes ?" En cachant du mieux que je peux ma surprise et ma joie, je lui réponds que c’est la passion de mon époux qui est plus, voyeur-photographe-cameraman, qu’acteur.

    En souriant elle se lève et prend le DVD qui est resté dans l'armoire : "Donc je suppose que sur ce disque, il n’y a pas que tes dernières photos de vacances ? Ça te dérange si je te demande de le visionner avec toi ?"

    La fine mouche m’a bien piégée, mais peut être qu’inconsciemment je suis enchantée de l’être, j'aurais du avoir l'envie de retirer ce DVD de l'armoire, mais j'ai oublié ! C'est bêta !!!

    "Annie, je dois t'avouer trois choses : premièrement le DVD dont tu parles, ne contient que la première année de nos jeux de couple et quelques sessions avec des internautes : donc, ce ne sont que nos débuts, et ils ne sont pas forcément tous satisfaisants".

    "Ça n'a aucune importance, Loré, j'ai vu des tas de photos et de clips sur le Web, mais jamais  une production maison avec son actrice à côté de moi !"

    "Entendu, mais, j'ai très peur que, si tu visionnes ce DVD, nos relations ne passent de voisines bonnes copines à voisines très intimes ! Alors avant de glisser ce DVD dans le lecteur, réfléchissons bien aux conséquences : nous ne sommes plus des enfants, mais ne risquons nous pas de nous diriger vers des jeux un peu trop dangereux ?"

    Elle s’approche du lecteur en me souriant : "Tu as raison, nous ne sommes plus des ados, mais après notre petit inventaire coquin, je sais que tu as envie que je regarde tes exhibitions pornos : il t'était si facile d'ôter discrètement cet objet de ton armoire avant de m'y accueillir ! Et n’essaye pas de me convaincre que c’est faux, je ne te croirai pas !"

    Je ne réponds rien et baisse simplement la tête.

    "En plus tu définis toi même cette forme de sexualité comme un jeu d'adultes, alors jouons ! C’est dangereux ? Mais quels sont les risques ? Nous brûler ? La science et nos intelligences sont suffisamment fortes pour nous guérir facilement !"

    Je ris en lui disant : "Décidément ta personnalité de leader prend de plus en plus le pas sur ton allure de générosité, de douceur, voire de romantisme ! Mais le dernier point est le plus important : je n’ai aucun gros secret pour Yves, autrement dit, s’il se passe un instant inévitable de cul entre nous, il n'en saura rien, mais si une relation suivie s'établit, je l'en informerai. Il connaît mes tendances de soumise et n'en sera pas choqué, et tel que le le connais, il nous demandera de filmer nos sessions !"

    "Hum, j'adorerais lui faire ce plaisir ! Mais ça ne sera pas aussi facile avec mon mari Marc qui est horriblement jaloux !" "En conclusion, ma douce Annie, si tu as fais un peu semblant de découvrir beaucoup de nouveautés aujourd’hui, moi, j’ai appris à mieux te connaître et je ne trouve rien de désagréable à te reprocher !"

    Elle éclate de rire en m’affirmant que je ne suis qu’au début de mes surprises et conclut en me disant : "Alors tu me branches ce lecteur ? Ou je dois aller chercher le mode d’emploi sur Google ?"

    Samedi 7 Janvier 2017 - 11h15

    Je capitule, allume la télé et glisse le DVD dans le lecteur. Le canapé est face à la télé, un menu propose des dossiers numérotés de 1 à 95. "Je vois que vous savez prendre vos précautions, je te laisse décider de l’ordre de lecture !"

    Souriante, j’ouvre le premier dossier qui propose un diaporama d’une quinzaine de photos que je déclenche manuellement. Annie me découvre en maillot de bains, en petit short, en chemisier transparent, pieds nus ou en talons, dans des poses plus ou moins suggestives.

    "Ton mari est un bon photographe et toi une belle top-modèle !" Le deuxième est dédié à mes seins : un strip-tease en petite robe noire couchée sur un lit, un autre debout, puis une série de clichés en veste ouverte, seins nus, quelques photos sur lesquelles je me caresse les tétons visiblement sans déplaisir.

    Annie ne dit rien, elle semble fascinée par les photos. Elle me murmure à l'oreille : "J'ai une suggestion à te faire : laissons faire le hasard. Je te donne un N° entre 3 et 95, tu l’ouvres et je le coche comme vu sur une liste que je vais vite préparer, pendant que tu nous sers un café, je suppose que j'aurai ce qu'il faut dans ton bureau ? Ca te va, Loré ?"

    "C'est parfait, ne bouge pas, je te rapporte de suite de quoi faire ta liste et j'irai refaire du café frais !"

    Je lui rapporte un bloc note et un stylo, je l'informe que j'en profite pour aller faire un petit pipi, et quand je reviens avec le café : sa liste est prête

    Elle coche régulièrement les vus, mais je me rends vite compte qu'elle fait bien attention de ne pas dépasser les 60 ! Elle a vite compris que les dossiers les plus chauds devaient être vers la fin !

    Un autre diaporama est consacré à mes fesses, serrées, puis, un peu plus ouvertes, et enfin dévoilées avec mon anus obscènement offert.

    Le suivant est très fourni, comme ma chatte l'est parfois, mais le diaporama la montre aussi totalement épilée, plus ou moins mouillée, parfois cachée par ma main ou par un ou deux doigts enfoncés en elle.

    Nous tombons sur une des premières séances avec Yves, à l'époque jeune Maître débutant ! Qui a décidé de m'enchaîner tout le corps : plusieurs tours autour du cou, descente aux pieds, en passant par un soutif en maillons. Il n'oublie pas mes mains et en utilisant ses mousquetons, il serre à sa guise la chaîne et finit en passant entre mes jambes pour me dessiner un string en maillons qui entrent profondément dans ma chatte béante !

    Une fois enchaînée et sans pouvoir bouger, il passe à la phase pinces en utilisant des pinces en plastique. Quand il a terminé, les pinces qui pendent de ma langue, des lobes de mes oreilles, de mes tétons, de mes seins, des grandes lèvres de mon sexe, de la partie interne de mes cuisses, si fragile et même de mon clitoris, toutes ces pinces me plongent dans une hystérie composée de gémissements de plaisir et de hurlements de douleur qui se lisent aussi sur mon visage expressif !

    Bref la douleur ne fait qu’augmenter mon excitation, jusqu’à m'entraîner vers le final sur lequel je jouis : le visage déformé par le plaisir, avec toutes mes pinces, en me frottant seule, comme une vraie chienne en chaleur, sur l'angle d'un bureau en bois noir !

    De revoir ces anciennes photos me fait frissonner et rougir de honte : mes seins bandent à me faire mal et je redoute de mouiller mon jean tellement je sens mon con dégoulinant de jus.

    Je regarde discrètement Annie, il me semble bien qu'elle a une main posée sur son sexe, elle me donne un N° et cette fois c'est avec un dominant invité chez nous par mon mari.

    Le diaporama offre peu de photos, mais elles sont toutes très explicites : on m'y voit, nue, mains menottées dans le dos, ou léchant et suçant les orteils de l’inconnu, puis lui faisant une pipe avec une photo qui montre que j'avale tout son foutre, jusqu'à la dernière goutte, que ma langue va chercher sur ma lèvre !

    Et pour le final, il m'empale sur son sexe, en lui tournant le dos. Tandis que ses mains me broient les nichons et me donnent le rythme de la baise, je dois faire tout le travail en me levant et en me rasseyant sur sa pine, jusqu'à ce qu'il se vide les couilles dans mon ventre, et bien sur sans aucune protection !

    Samedi 7 Janvier 2017 - 11h40

    Annie se rapproche de mon oreille, mais c'est seulement pour la mordiller et y entrer sa langue, me faisant frissonner. Yeux fermés je me laisse faire. Elle sent que je viens de dépasser le point de rupture.

    A présent je ne peux qu’aller en avant en disant oui à ses envies :

    "Je suis sure que je vais découvrir des séances avec des femmes, n’est ce pas, Loré ?".

    Je gémis, mes oreilles sont terriblement sensibles, et elle vient de le découvrir, je ne peux qu’approuver de la tête incapable de parler. Elle insiste et me remplit l’oreille de sa langue la léchant soigneusement dans ses moindres recoins, elle semble apprécier ma passivité et mes petits gémissements qui ne sont visiblement pas de douleur !

    Sa voix douce remplace sa langue :

    "Tu vas étrenner un de tes achats et filer aux toilettes avec tes boules de geisha. Une paire pour devant et une autre pour derrière, et, tu reviens habillée exactement comme tu es là. Moi je vais continuer à mater ton album de jouissances qui commence à m’exciter terriblement !".

    Je n’ai aucune envie de lui dire non. Et je n’ai qu’un désir : me laisser faire et diriger pour ne plus avoir de décisions à prendre.

    Je vais aux wcs avec les boules, je baisse mon jean et ma culotte et glisse la première paire dans ma chatte trempée, sans pouvoir retenir un soupir de plaisir. Je tourne bien les boules en moi, en les faisant rouler avec un doigt, et je tire sur la ficelle pour les ressortir, trempées de la mouille dont j’avais besoin, pour les glisser dans mes fesses qui sont nettement moins humides.

    Elles entrent en forçant un peu, car mon anus s’adapte et les accepte. Je penche la tête : la petite ficelle pend entre mes cuisses, seule preuve que mes fesses sont pleines. Glisser l’autre paire dans ma chatte n’est pas un réel problème.

    Je me rhabille rapidement pour rejoindre Annie.

    Je n’ose même pas regarder l’écran plasma, je ne veux pas savoir ce qu’elle regarde, je sais que je vais avoir honte et que ça va m’exciter.

    "Hum te revoilà ! Tu sais, je me demande si je ne vais pas prendre des notes, je savais qu'on pouvait faire des centaines de choses à une femme obéissante, mais c'est la première fois que je les vois en exécution, et si je ne les liste pas j’ai peur d’en oublier !".

    Je ressens un mélange de fierté d'avoir une si bonne élève, d’excitation pour ce qui bouge en moi et d’humiliation pour le jugement sévère avec lequel elle vient de me cingler moralement !

    Je fais mine de m'asseoir à côté d’elle, mais, elle m'interrompt en me disant : "Non, reste debout, dans un premier temps je vais me servir des ces deux télécommandes pour mettre en route tes boules magiques ! Voyons, on va démarrer par une vitesse moyenne, ça te va Loré ?"

    "Hum, oui, Annie, elles caressent mes chairs intimes, c'est excitant et agréable !"

    "Bien, je rectifierai la vitesse à ton retour, pour le moment tu vas faire une course chez moi : ouvre mon sac et prends mon trousseau de clés, au fond du couloir il y a mon bureau, tu mets l’ordi en route, et, à droite de l’écran, tu as un petit boîtier avec un bouton que tu mets sur on, sur une des étagères, tu prends la caméra vidéo numérique. En revenant par le même couloir, tu pousses la troisième porte à droite, c’est la salle de bains : tu ouvres la petite armoire murale au-dessus du lavabo, et tu prends le flacon de vernis à ongles rouge vif. Je t'attends, bien que j'ai de quoi ne pas m'ennuyer !"

    Samedi 7 Janvier 2017 - 11h50

    J'ai une assez bonne mémoire, mais dès qu'elle a énoncé mes tâches, j'ai essayé de tout retenir : clés, couloir, bureau, ordinateur, boîtier à droite, bouton sur on, caméra, couloir troisième droite, armoire, vernis rouge !

    Environ dix petites minutes après, je suis de retour, visage crispé, car, même si sa maison est proche, marcher avec ces boules vibrantes en moi a décuplé mon excitation à laquelle s'est ajoutée la peur d'oublier quelque chose et de lui déplaire ! Je dépose la caméra et le vernis sur la table de salon.

    "Merci Loré, tu es très serviable et très efficace ! J'ai encore quelques dossiers à visionner, en attendant : j’ai crois avoir vu un tabouret haut dans ta cuisine, apporte le et pose la caméra dessus. Règle là vers le coin gauche du salon où tu vas aller te mettre debout, face au mur, mains croisées sur la tête, bras bien parallèles à tes épaules et tu vas onduler du bassin sans bouger tes épaules, avec les jambes bien écartées. Allez je te laisse faire, mets la caméra en route et applique toi à mimer une bonne baise avec le mur, ce dont tu as sûrement très envie !"

    Quelques minutes plus tard, la caméra tourne et je suis au coin, ondulant du bassin en sentant bien la présence des boules dans mon corps, Annie a augmenté leur vitesse et c'est tellement bon que, temps à autre, je ne peux m’empêcher de gémir doucement.

    Elle me prévient : "Attention ne jouis pas, je serais obligée de te faire aussi mal que ce que j’ai pu voir dans certains de tes diaporamas. A propos, et pour dissiper tout malentendu, ce que tu as mis en route dans mon bureau est un transpondeur wifi, ce qui signifie que tout ce que filme  la caméra est copié sur le disque dur de mon ordinateur : je pense que ça ne te dérange pas ?"

    Voyant qu’elle attend une réponse et sans arrêter d’onduler du bassin, je lui réponds : "Non, Annie, ça ne me dérange pas du tout !"

    "C’est bien, mais à partir de maintenant, et quand nous serons seules, tu seras gentille de m’appeler Madame et de me vouvoyer. Et puisque tu n’as rien d’autre à faire que de rester dans ton coin à faire semblant de baiser, tu vas réfléchir à un surnom qui correspondra mieux à ta condition de soumise. Car, Loré me semble un peu trop respectueux pour ce que tu es en réalité. Compris ma chère voisine ?"

    "Oui, Madame, j’ai compris" "Bien, maintenant lâche moi les baskets ! Réfléchis à ton futur surnom, branle toi bien sans jouir et ferme-la, tes couinements m’agacent ! Compris ?" "Oui, Madame, vous pouvez compter sur moi"

    Dès que je ralentis mes ondulations, pour diminuer mon excitation, elle me reprend, m’obligeant à accélérer mes mouvements. Je suis tellement excitée que je peux sentir les boules vibrantes aller et venir dans mon vagin trempé, contrairement à celles de mon cul où mon sphincter serré ne leur laisse pas autant de liberté.

    Samedi 7 Janvier 2017 - 12h10

    D‘un seul coup, je l‘entends éclater de rire.

    "Eh bien, ton mari aurait pu t’offrir une dominatrice plus sexy et moins grasse, je ne sais pas comment tu as fait pour lui sucer ses grosses mamelles de vache et comment tu as pu lui bouffer le cul sans vomir ! Je suppose qu’il l’avait choisie volontairement aussi vulgaire pour t’avilir encore plus !".

    Je vois de suite de qui elle parle. A l’époque j’avais eu du mal à supporter la séance avec cette grosse putain qu’Yves avait payée pour me faire toucher le fond de l’humiliation.

    Elle m’assure que si elle avait son téléphone, elle l’appellerait pour qu’elle me domine devant elle ! Surtout pour me voir lui bouffer le trou du cul et la chatte et lécher ses pieds bouffis de graisse !

    Ses progrès me font presque peur, j’en déduis que je ne lui ai pas appris le vice, mais qu’elle le portait en elle, bien avant de franchir ma porte. Mais dans ma recherche de soumission, qu’est ce que je voulais réellement ? Sinon une domination vicieuse et avilissante.

    Et Annie me semble être le condensé idéal de mes envies, avec, en plus une large disponibilité de temps libre et une proximité rêvée, car, à part la mettre dans mon lit, je ne vois pas comment avoir ma Maîtresse aussi près de moi !

    "Voisine tu me dois une réponse, alors quels surnoms as-tu à me proposer ?".

    "J’en ai quatre, Madame : chienne, salope, traînée, ou esclave".

    Elle réfléchit quelques secondes avant de me donner son verdict :

    "Aucun des quatre ne me convient, ils sont trop courants et c’est dommage pour toi, tu vas continuer à réfléchir et pour m‘avoir déçue et fais perdre mon temps : viens vers moi les mains sur la tête".

    Pas très rassurée, je m’approche d’elle. Elle prend sur la table les quatre nouvelles pinces en acier avec leurs lests les plus lourds et les pince deux par deux à chaque poche de mon jean. Puis, elle m’ordonne de retourner dans mon coin avec les quatre pinces lestées qui ballottent devant mon pantalon, à chacun de mes pas.

    Je comprends de suite son idée, car, en reprenant mes ondulations, les poids battent mon bassin et se choquent entre eux en faisant du bruit à chacun de mes mouvements.

    Et, bien sur, ça l'énerve : "Tu m’agaces avec tes bruits, enlève ton pull et jette le par terre, sans te retourner". Je m’exécute et lui offre mon dos nu dépourvu de toute trace de bretelle de soutien-gorge.

    "Ton dos et tes épaules sont bien plus beaux que sur tes photos. Fais toi bander les bouts pour qu’ils soient bien longs et gorgés de sang. Quand tu banderas jusqu'à avoir mal, tu me le diras et tu me proposeras une autre série de sobriquets".

    Je pose mes mains sur mes seins et je titille mes tétons qui sont déjà bien durs. Comme si j'avais le pouvoir de m'échapper de mon corps, je flotte dans la pièce et ce que je vois me fait honte : je suis au coin, punie, les seins nus et je me branle les tétons face au mur, alors que ma voisine regarde des photos obscènes et plus qu'intimes de moi.

    Et je suppose que je ne suis qu’au début de mes épreuves car, visiblement, Annie connaît bien son métier de dominatrice et semble prendre beaucoup de plaisir à le pratiquer avec moi !

    Samedi 7 Janvier 2017 - 12h30

    "Hum, quelle belle douche d’urine ! Tu es vraiment perverse, Loré, car, en plus, tu avales la pisse de cette pouff ! J'ai du mal à croire ce que je vois ! Applique toi pour les surnoms et évite de me proposer : bonne mère de famille ou épouse parfaite. Tu me ferais hurler de rire ! Bouge bien tes boules, remue bien ton cul de vicieuse, branle tes mamelles, n’oublie pas tes sobriquets pornos et ferme ta gueule en évitant de t’envoyer en l’air !".

    Son ton a bien changé, je la sens de plus en plus excitée, probablement partagée entre sa surprise de découvrir cette facette sordide de ma personnalité et le plaisir qu’elle doit sentir monter en elle d'avoir une future vraie salope à son entière disposition !

    "Dis moi cette photo avec le mot fleur écrit sur un papier, c'est un safeword ?".

    "Oui, Madame". "Et, tu avais besoin d'un mot d'urgence en présence de ton mari ? Je ne comprends pas !". "Bien sur que non, Madame, mais avec un inconnu : il valait mieux que le signalement d’un dépassement de limite vienne de moi plutôt que de lui".

    "Ah ! Je comprends, mais en ce qui me concerne, il n’y aura aucun safeword entre nous ! Les seuls sons que je t’autorise à prononcer sont : "Oui, Madame", "Entendu, Madame", "De suite, Madame" ou "Merci, Madame" !

    "Entendu, Madame, mais si je peux m'en permettre un de plus : mes tétons ne peuvent pas bander plus !".

    "Et, en plus tu fais de l'humour, en te branlant les tétons et en ayant quatre boules qui te massacrent l'intérieur de tes trous de pute ! Tu es sure que tu ne peux pas les faire bander encore un peu plus ?". "Oh non, Madame, ils n’ont jamais été aussi gros et douloureux". "Gros, ça m’intéresse ! Douloureux je m’en fous totalement ! Vas-y je t’écoute : propose moi des surnoms en faisant des phrases qui incluent l’état de tes mamelles".

    Je réfléchis un peu avant de me lancer, mais l'esprit un peu embué par mon envie de m'envoyer en l'air, je réponds un peu n'importe quoi : "Mes gros bouts de mamelles de pute sont bandés à exploser, Madame". "Pute ? Ca sonne bien, ensuite ?". "Mes tétons de pouffiasse vont exploser, Madame". "Pouffiasse ? Tu t’améliores ! Une autre proposition ?". "Je vais jouir si je continue à traire mes nichons de truie, Madame". "Bien ! Les nichons d’une truie, ça sonne bien, une autre idée, ma salope ?". "Votre chose a les bouts de mamelles en feu, Madame".

    "Chose, c’est une bonne idée, c’est vrai que tu es une chose mais ça ne me semble pas assez fort, as tu d’autres propositions ?". "Non, Madame, je n’ai pas d’autres idées pour le moment". "Pour une cérébrale, je t’aurais cru plus imaginative : pourquoi pas souillure, roulure, déchet humain, sac à foutre, outre à sperme ou vide couilles ? Ce ne sont pas les propositions qui manquent !".

    "Oui, Madame, vous avez raison, mais je n'ai pas pensé à chercher dans ces directions".

    "Il est vrai que je n’ai ni foutre, ni sperme à te donner et que je ne peux pas me vider les couilles en toi ! On va résumer tout ça ensemble. Mais avant tu vas pincer tes bouts avec les pinces en fer et les lester, mais fais attention de ne pas pincer de chair de tes nichons, tu vises juste les bouts et je ne veux pas entendre un seul cri".

    Je m’exécute et prends deux des pinces accrochées à mon jean et les étrenne sur mes bouts de seins déjà douloureux avant d‘y accrocher les lests en plomb trop lourds pour moi : je dois me mordre les lèvres pour ne pas crier.

    "Quand tu seras prête, remets ton pull, pour le moment je ne veux pas te voir à poil : tu mets les autres pinces en fer en pendentifs aux oreilles et tu viens me rejoindre".

    Samedi 7 Janvier 2017 - 12h50

    Les plombs tirent mes seins vers mon nombril.

    Je ramasse et remets mon pull, le contact de la laine me fait mal, puis je pose les autres pinces lestées à côté de mes boucles d’oreilles et je reste debout, face à Annie, attendant, bras ballants, ses consignes.

    "Je vais rester assise dans le canapé et tu vas t’agenouiller devant moi, nous ne changerons pas de pose pendant pas mal de temps, tu dois régler la caméra en conséquence pour que je ne perde aucun détail de la séance".

    Je cadre la caméra, en imaginant ma position, et la déclenche avant de m’agenouiller devant elle.

    "Tu vas croiser les mains dans ton dos, bien te redresser et te cambrer : les nichons bien pointés sous ton pull". Je prends la pose, mes tétons me font horriblement mal. "Ne fais pas cette tronche, souris à la caméra, on va finir par croire que je t’oblige à faire des choses, alors que c'est toi qui m'en réclame toujours plus !"

    Tant de mauvaise foi me fait sourire malgré la douleur. "Je vais commencer par tes cheveux". J’ai tout d’un coup peur qu’elle décide de me raser la tête, mais elle me tend deux élastiques en me disant : "J’ai l’impression de dominer ma grand mère, fais toi deux nattes, tu paraîtras un peu plus jeune et tu feras moins pouff vicieuse sur le retour !".

    Je prends l’insulte en pleine figure mais je me contente de partager mes cheveux en deux et de me faire deux nattes simples et improvisées.

    Je pense que ça doit faire 20 ans que je n’ai pas porté de nattes ! Pendant que je me coiffe, Annie enlève les deux bagues qu’elle a à la main droite et les dépose dans un cendrier : "Tu te demandes pourquoi j’enlève mes bagues ?". "Non, Madame, je ne me pose aucune question sur vous". "Très bien répondu, toute autre réponse t'aurait valu une punition ! Eh, bien, exceptionnellement, tu vas avoir la réponse à une question que tu ne t'es pas posée !"

    Vicieusement, elle glisse un doigt dans ma bouche : "Mais, pour le moment, tu suces ce que je te donne à sucer, et, applique toi, j’aimerais voir mon doigt bander de plaisir dans ta bouche !".

    Elle ne bouge pas sa main : c’est moi qui doit faire aller et venir ma bouche sur son doigt, comme si c’était une petite bite, tout en salivant abondamment.

    "Tu vois ça marche tu es une bonne pipeuse, mon doigt bande !".

    Elle en glisse un deuxième dans ma bouche, et attend qu'il soit bien mouillé, avant d’en glisser un troisième, vite rejoint par un quatrième.

    Je continue à faire coulisser ma bouche sur sa main quasiment entière, mais, avec tous ces doigts dans ma bouche, elle essaye de me saisir la langue, en riant comme une ado ! "Suce bien ma pouff ! Avec moi tu auras l’occasion de sucer et de boire des tas de saloperies ! Je te le promets ! Applique-toi et fais du bruit : j’aime entendre les bruits obscènes qui sortent de ta bouche de pipeuse professionnelle !".

    J'essaye de sucer ses doigts en faisant le plus de bruit possible, quand elle rajoute : "Mais, ce n’est pas pour ça que j’ai enlevé mes bagues, je l’ai fait pour ne pas te faire souffrir, tu vois comme je suis gentille ! Je ne sais pas si tu le mérites !". Sans arrêter de sucer, obéissante et parfaitement soumise, je fais oui de la tête.

    Elle éclate de rire : "Bon je vais résumer tes propositions et je vais en choisir une, mais pour chaque surnom refusé, tu recevras une paire de gifles et je t’assure que je ne retiendrai pas ma main. J’ai vu sur tes photos ce que tu étais capable d’endurer, et bien que ce ne soit pas dans mon caractère, je ne compte pas me priver !".

    "Je vais essayer de bien viser, mais, si par malheur je me fais mal à la main avec tes boucles d’oreilles ridicules, tu devras immédiatement te mettre à quatre pattes devant moi, en m'offrant tes mamelles avachies de vieille truie pendant sous toi. Tu as bien compris ?".

    Je fais oui de la tête, mais elle insiste : "Je veux en être bien sure, fais moi un résumé !". Elle sort ses doigts de ma bouche, s’essuie sans délicatesse sur mes joues, alors que je résume :

    "Sur les propositions de surnoms que je vous ai faites, Madame, vous allez en choisir une. Pour chaque non retenue, je recevrai une paire de gifles et si votre main heurte les pinces qui pendent de mes oreilles, je devrai vous offrir mes seins pendouillants à quatre pattes".

    "Tu n’es vraiment pas conne, c’est bien résumé : allons-y rappelle moi toutes tes propositions, je t’écoute".

    Samedi 7 Janvier 2017 - 13h10

    J’essaye de tout me remémorer, me méfiant des conséquences d’une faute. Quand je pense que la liste est complète, je la lui annonce :

    "Madame, je vous ai proposé : chienne, salope, traînée, esclave, pute, pouffiasse, truie et chose".

    "Je ne veux pas de chienne, de salope, de traînée ou d’esclave".

    La première série de quatre allers et retours claque bruyamment sur mes joues, les marquant des traces de ses doigts :

    "Tu peux me remercier d’avoir ôté mes bagues sinon je t’aurais
    marquée beaucoup plus que tu ne l’es ! Je ne veux pas non plus de pouffiasse ou de chose".

    Je reprends deux paires de gifles. Elle semble se prendre au jeu : ses coups sont de plus en plus forts mais, heureusement, elle claque juste mes joues, sans toucher aux pinces de mes oreilles.

    "Sur tes autres propositions, je garde pute ou truie mais je vais leur rajouter quelque chose : "Que préfères-tu : sale pute en chaleur ou sale truie en chaleur ?".

    C'est d'une toute petite voix que je lui réponds : "Je ne sais pas, Madame, je mérite aussi bien l'un que l'autre".

    "Tu as raison mais je n’en garde qu’une, finalement j’aime moins le sale truie en chaleur". Elle me regarde vicieusement dans les yeux et me gifle très fort, mais sa main me touche l’oreille et elle crie : "Connasse, je me suis fait mal, tu connais la punition ?".

    Je sais parfaitement qu’elle l’a fait exprès, mais je ne proteste pas sachant, que je ne ferais qu’aggraver ma punition. Sans rien dire je me mets à quatre pattes à environ un mètre d’elle tout en veillant à rester dans le champ de la caméra :

    "Tu es vraiment une grosse pute en chaleur, balance toi de droite à gauche, je veux voir onduler tes mamelles de putain : tu vas prendre mon pied dans les nichons et je vais te cogner de toutes mes forces en essayant d’atteindre tes deux mamelles à la fois !".

    Elle hésite un peu et finit par continuer : "Je crois toutefois que te punir ne représente pas pour toi une réel châtiment ! Je suis quasiment sure que rien que de penser à ce que je vais te faire, tu mouilles comme une fontaine, comme la Reine des masochistes que tu n'es probablement pas encore mais que tu deviendras sûrement !".

    Je me contente de répondre : "Mes nichons de pute en chaleur sont à vous, Madame, vous pouvez donc en faire ce que vous voulez".

    "Tu es veule et vicieuse, tu donnes envie qu’on te fasse mal et qu’on te salisse : approche ta bouche de la mienne".

    Je m’approche d’elle a quatre pattes, et j’ouvre grand ma bouche alors qu’elle se racle la gorge pour ramasser un maximum de sécrétions et de salive. Elle prend mon menton entre ses mains et fait glisser lentement son mollard dans ma bouche : "Tu le gardes bien au chaud pendant toute ta punition, sans me quitter des yeux, tu as bien compris sale pute cochonne ?". "Oui, Madame".

    Je referme la bouche, retiens ma respiration et la regarde dans les yeux tandis qu'elle prend deux bons mètres d'élan.

    D’un seul coup, je me retrouve le souffle coupé, hurlant de douleur, écroulée sur le sol : elle a tenu parole et a frappé aussi fort qu’elle le pouvait, en atteignant mes deux seins en même temps. Sur le moment, je pense en m’écroulant qu’un de mes seins a explosé.

    Samedi 7 Janvier 2017 - 13h20

    Quelques minutes plus tard, j’ai l’impression de sortir d’un mauvais cauchemar, ma poitrine me fait horriblement mal, je respire avec difficulté et, sans même y penser, j’avale le crachat d’Annie, ce qui me permet de respirer plus profondément.

    Je récupère peu à peu, elle sourit et me dit : "Allez lève toi et bois ce verre de vodka, tu verras que ça ira mieux après, tu sais je n’y peux rien si tu es maso à ce point, tu attires plus les coups que les câlins, ma pauvre chérie !".

    Je me lève en titubant et avale d’un seul coup le verre qu’elle me tend. L’alcool me donne un coup de fouet, mais je suis obligée de m’asseoir. J’ai l’impression qu’une pelote d’épingles est restée enfoncée dans mes seins. Annie peut constater que suis loin d’être en pleine forme et, curieusement, j’ai l‘impression qu’elle a soudainement un peu pitié de moi en m’annonçant : "Bon, je vais te laisser récupérer, il est presque 13h30 et j’ai une petite faim, que dirais tu si nous allions manger une pizza chez Mario ? C’est sympa et à côté".

    "Oh, c'est une bonne idée, Madame, et je vous en remercie, moi aussi j’ai un peu faim et nous allons souvent chez Mario car tous les trois, nous adorons ses pizzas ".

    "Oui, je vous y ai vu une ou deux fois en famille, mais il faut d'abord te préparer !". Elle me regarde en détail :

    "Ton pull a beau être épais, je ne veux pas commettre d'impair : tu vas te mettre devant un miroir : ôter tes pinces lestées, détacher les lests et repincer tes bouts mais verticalement au lieu d'horizontalement, pour que les protubérances se voient moins. Puis, tu vas enfiler un soutien-gorge balconnet, déjà porté, en dégageant bien vers le haut des bonnets tes bouts de mamelles pincés des bonnets. Nous serons deux à savoir ce qui se passe réellement sous ton pull ! Pour ton sexe, je suis sure qu'une petite promenade fera du bien à tes boules dont je vais diminuer la vitesse d'un cran, pas pour te faire plaisir, mais à cause du ronronnement ! Par contre, tu peux enlever tes boucles d‘oreilles ridicules, et, il vaut mieux que tu enfiles des bottines plutôt que de sortir en mules !".

    Elle sort en riant : "Allez, fais-vite, je t’attends dans la voiture !".

    Je soulage mes pinces de leurs lests, je les change d'orientation, je sors de la corbeille à linge un soutien-gorge sans bretelles que j'ai porté deux jours, et, je le mets, en veillant à ce que mes bouts pincés sortent bien par dessus les bonnets, j'enfile mon pull, des bottines noires, prends mon sac, ferme la maison et monte dans sa petite Fiesta.

    Elle démarre de suite : "Dis-moi, ma petite salope, j’ai vu un diaporama sur lequel tu jouissais juste en te branlant les bouts de seins. Tu faisais semblant ou c’était pour de vrai ?". "Je simulais, Madame, j'ai essayé plusieurs fois, mais je n'y suis jamais arrivée". "Bien, il faudra persévérer, je ne vois pas pourquoi tu n'aboutirais pas, par contre je n’ai vu aucune photo sur laquelle tu étais fessée : tu n’aimes pas ?".

    En plus d'apprendre vite, Annie est très observatrice ! "C'est exact, Madame, la fessée me déstabilise et me fait éclater de rire, elle figure dans mes tabous. Tout le monde est surpris par ce choix que je dois souvent justifier !".

    Elle rit franchement : "Je vois ! Donc pas de fessée pour ma pouff, mais, dis moi, de quelles parties de ton corps aimes tu le plus souffrir, à part tes tétons, bien sur !".

    Je tarde un peu à répondre, ce qui me vaut une réprimande : "Ma petite pute, m’obéir n’est pas seulement faire ce que je te demande, c’est aussi répondre à toutes mes questions même si tu les juges trop intimes : tu me réponds ou je te punis de suite ?".

    Je dois m’éclaircir la voix avant de répondre doucement : "Pardonnez-moi, Madame, j'ai eu une petite absence involontaire : je suis très sensible du dos et surtout des épaules, de la base du cou et des oreilles, des cuisses, surtout à l'intérieur, là où la peau est très fragile, tous les pieds en général : orteils, plantes et talons, et le visage sous forme de gifles, vous m'avez donc gâtée tout à l'heure, Madame".

    Elle sourit, sans répondre, nous arrivons, elle se gare devant la pizzeria. Mario nous accueille, il nous connaît bien séparément toutes les deux. Nous avons le même humour, et en me félicitant pour l'originalité de ma nouvelle coiffure, qui, me dit-il, me va à ravir, je sais qu'il se moque gentiment de moi ! Et, il nous place en souriant.

    Annie se contente de lui dire : "Comme d'habitude pour chacune de nous ! Merci, Mario".

    L’heure est tardive et il ne reste que quelques clients finissant leurs cafés, mais Mario ne dit jamais non à une arrivée tardive, surtout à des bonnes clientes !

    Samedi 7 Janvier 2017 - 13h40

    Annie est souriante et détendue : "Sais tu Loré qu’il y a trois réalités qui m’excitent au plus haut point dans notre nouvelle situation ! Veux-tu les connaître ?".

    Je ris de bon cœur : "Je crois que je ne vous connais pas encore assez, pour pouvoir les deviner seule, Madame !". "Oui tu as raison, mais n’oublie pas qu’ici tu peux m’appeler Annie et me tutoyer".

    "Ah, oui, j'avais oublié, Annie, excuse-moi !".

    "Aucune importance ! En premier point, j’ai retardé le plus possible le moment où j’allais te découvrir nue pour de vrai et non plus en photos ! Je sais qu'après ce repas, je vais te voir à poil et que tu m'exciteras mille fois qu'en photos ! Et, ce qui me fait mouiller quasiment autant, c’est que toi, tu devras attendre ma décision, avant de me voir à poil, et, ce sera une petite frustration-punition très cérébrale que j'affectionne particulièrement ! Le deuxième découle un peu du premier : tu jouiras et tu me feras jouir quand et comment je te le dirai, et, ça c’est un excitant fabuleux ! Pour toi aussi ma douce voisine ? ».

    Je me contente de baisser les yeux sans répondre, tout en réalisant à quel point Annie est intelligente : en très peu de temps, elle a compris quelle forme de domination je recherchais !

    "Je crois, Annie, que tu as appris qu'avant de donner son corps, une soumise offrait la totalité de sa volonté à l'autre. Dépendre entièrement de toi, des tes envies, de tes caprices et de tes décisions est un très puissant aphrodisiaque !"

    "Tu as entièrement raison, ma chérie, c’est en effet excitant à double sens, valable pour nous deux : j'aimerais que tu fasses n'importe quoi dans ta vie, uniquement sur mon ordre, que ce soit allumer une cigarette, changer de culotte ou demander à Yves de te sodomiser ! Et, ce, sans que tu ne sentes arriver l'ordre ! Mais rassure-toi, ma douce voisine, ça ne fonctionnera que lorsque nous serons réunies ! Je ne compte pas intervenir dans ta vie de tous les jours ! ».

    "Oui, 24h/24, ce serait un véritable enfer ! Mais je comprends ton envie utopique, et je la partage, bien sur, dans le rôle de l'objet ! Je crois t'avoir déjà avoué que je passe beaucoup de temps sur des sites bdsm, mais, si Google m'offre la théorie et les images, je ne pensais pas que ma voisine me conduirait aussi vite et aussi bien vers des travaux pratiques quatre étoiles !".

    Mario nous porte nos deux pizzas et nos deux pichets de rosé. En riant, nous constatons que nous prenons toutes les deux la même chose : une pizza quatre fromages et un quart de pichet rosé ! Quelle coïncidence !

    Nous continuons à bavarder en mangeant :

    "Quant à la troisième source d’excitation, qui est sans doute la plus puissante : c’est de savoir que, si je te demande quoique ce soit, tu l'exécuteras de suite : ça me donne un sentiment de pouvoir extrêmement jouissif, comme si j'avais un jouet télécommandé !".

    "Je vais te faire rire, mais il y a pas mal de temps et, avant que je ne commence à obéir à mon ex mari, j'ai vu un film avec Pierre Richard qui s'appelle le jouet, et, il m'a laissé un arrière goût de luxure, car j'avais transposé ce cadeau d'un homme offert a un enfant à ce même homme offert à une femme !"

    Annie éclate de rire : "Oui, je l'ai vu, mais je n'ai rien extrapolé du tout ! Il faut croire que tu étais déjà prédisposée pour ce genre de relations !

    "Probablement, mais je ne t'ai pas proposé objet par hasard dans mes listes. Quand j'ai décidé d'obéir, c'est ce que je deviens ! C'est, pour moi aussi, une excitation permanente de ne pas savoir ce que tu vas exiger de moi ? Ni devant qui ? Ni à quel moment ? Combien de fois depuis que tu es entrée dans ma vie, ce matin, tu m’as fait comprendre que mon avis n’avait aucune importance pour toi ? Et, ce n'est sûrement qu'un début !".

    "Tu es clairvoyante, ce sera en effet une de mes lignes de conduite envers toi : me moquer de tes envies ou de tes désirs. Si nous prenons l'exemple de cette pizzeria, il me suffisait de demander à Mario quelle pizza tu détestais, te la commander et t'obliger à la manger, en me disant à chaque bouchée : "Je me régale, merci, Annie !".

    "Mais, je n'ai pas voulu, trop rapidement, transposer notre jeu ici, et j'ai laissé Mario faire. Finalement je vois que nous aimons la même chose toutes les deux !".

    Nous mangeons entre deux phrases : elle me regarde en souriant énigmatiquement en se contentant de picorer des petits bouts dans son assiette, j'ai l'impression qu'elle attend quelque chose !

    Elle se décide enfin : "Tu as un bout de pizza sur la lèvre gauche, tu devrais aller aux toilettes, te passer un peu d’eau sur le visage, et, en profiter pour ôter ta culotte et ton soutien-gorge que tu me donneras en remontant !". Je sais très bien que je n’ai rien sur la lèvre, mais, sans discuter, je me lève et descends aux toilettes.

    Je dois enlever mes bottines pour ôter mon jean et faire glisser ma culotte trempée avant de remettre jean et chaussures. C'est plus facile pour le haut : une fois mon pull enlevé, je dégrafe mon soutien-gorge et remets mon pull. Avant de remonter, j’en profite pour me rafraîchir le visage et rejoins ma place en tendant à Annie mes sous-vêtements roulés en boule.

    Sans s’occuper d'éventuels regards, elle renifle mon soutien-gorge : "Hum, j’aime l'odeur de ta peau et la chaleur de tes bonnets, quel est ton tour de poitrine ma chérie ?". "95b". "C’est ce que je pensais" dit-elle en le rangeant dans son sac avant de faire pareil avec la culotte qu’elle renifle longuement avant de lui faire rejoindre le soutien gorge.

    D’une voix douce elle me demande si j'ai pissé dessus pour qu’elle soit aussi trempée ? Je fais non de la tête, horriblement gênée. "Alors c’est juste ta mouille de femelle en chaleur qui l’a mouillée à ce point ?". Je dois acquiescer de la tête, cramoisie !

    "Eh bien je ne pensais pas que tu en étais à ce point, je vois que ton obéissance, les boules et les pinces t’ont bien réussies ! Avance un peu ton ventre jusqu'au bord de la chaise, et dégrafe ton jean, en cachant bien ton bas-ventre sous la nappe, il est temps que cette moule saturée de mouille respire un peu le bon air de la pizzeria !".

    Pendant que je m‘exécute en essayant de ne pas attirer l’attention, je la vois se pencher vers le sol comme pour ramasser quelque chose. Mais elle est simplement en train de vérifier que je lui obéis bien !

    Samedi 7 Janvier 2017 - 14h10

    Le bassin bien avancé, le jean ouvert et un peu baissé, le tout caché par la nappe et mon pull, je reprends mes couverts pour continuer à manger quand je sens un pied gainé de bas se poser sur mon entrejambe, je comprends immédiatement qu’elle n’a pas fait que me regarder, en se penchant, et qu’elle en a profité pour délacer une de ses chaussures pour pouvoir me caresser la chatte.

    Elle continue de sourire et demande à Mario : "Tu peux nous apporter un petit bloc et un stylo s’il te plaît ?". Il lui porte un ancien carnet de commandes en francs et un stylo bille.

    Elle sourit de voir sur quoi elle écrit, mais elle rédige quelque chose, détache le papier et me le tend : "Continue de manger, coupe des petits morceaux et mange avec les doigts. Après chaque morceau, suce toi sensuellement les doigts en me regardant droit dans les yeux !".

    Je coupe un petit bout de pizza que je prends entre mes doigts que je suce longuement sans chercher ni à éviter, ni à défier, son regard ironique et vicieux.

    Un autre m'arrive me demandant de positionner son pied à l’entrée de ma moule.

    Il me faut changer un peu de position pour mettre son pied entre mes grandes lèvres. Je la sens s'impatienter et pousser. Son pied gaîné de soie entre de quelques millimètres dans mon intimité, mais l’étroitesse du jean est un obstacle.

    Un autre arrive : "Débrouille toi pour t'ouvrir plus !". Je tends un peu plus mon bassin dans le vide, baisse mon jean de quelques centimètres, ce qui me permet d’ouvrir un peu plus les cuisses. Elle le sent de suite, en poussant plus fort son pied qui entre facilement et plus loin dans mon con !.

    Un autre lui succède : "Continue de manger lentement et à sucer tes doigts et ne bouge pas tes reins laisse faire mon pied et mes orteils !". Son pied est bloqué dans mon vagin, elle le sent et agite ses orteils, aussi fort que le lui permettent ses bas, m’obligeant à me mordre les lèvres pour ne pas gémir trop fort.

    Elle n’en tient absolument pas compte et les agite au contraire le plus fort qu'elle le peut, tout en s’amusant à cogner la boule la plus proche de son pied avec son gros orteil. "Sers moi un verre de vin, et, commande un autre pichet à Mario".

    Ma main tremble en la servant et j’ai du mal à lui commander le pichet à voix haute. Quand il revient il me demande : "Vous êtes toute pâle, Madame Loréna, tout va bien ?".

    Annie comprend que je suis trop troublée pour parler et lui répond : "Oh, un verre de vin et ça ira mieux, elle a une légère douleur dans la poitrine". Il s’en va rassuré.

    Pendant qu'elle dialoguait, elle n’a pas arrêté de me branler : son pied fait de grands mouvements circulaires dans mon vagin, l’élargissant de plus en plus. J’ai du mal à ne pas répondre en l'aidant par des coups de reins, mais j'obéis sans bouger.

    Un autre mot me dit : "Doigte-toi le clito avec deux doigts, en comptant jusqu’à dix à haute voix, puis suces ces doigts en comptant aussi jusqu’à dix, et, ainsi de suite, jusqu'à ce que je te dise d'arrêter !".

    Elle ne me quitte pas des yeux, me regardant obéir durant de longues minutes sans arrêter de bouger son pied dans mon vagin trempé. Je suis au bord de l’orgasme et je dois me caresser à côté du clitoris pour ne pas jouir.

    Samedi 7 Janvier 2017 - 14h40

    Je ne mange plus, de temps en temps, je bois une gorgée de vin sans quitter Annie des yeux, elle lit en moi la montée du plaisir, un nouvel ordre m'arrive : "Positionne mon gros orteil sur ton clitoris".

    Elle retire son pied de mon vagin gluant, et, les doigts souillés de ma mouille, je le pose sur le haut de mon sexe, bien en contact avec mon petit bouton. Elle appuie de suite assez fort pour m'arracher un petit cri involontaire.

    Son sourire prouve qu’elle sait qu’elle est au bon endroit, un autre mot rejoint le petit tas des lus : "Main gauche sous ton pull, pelote toi les nichons et leurs bouts".

    Mes seins sont si sensibles que j’ai peur de jouir, Annie le devine dans mon regard et me tend, en urgence, un autre mot : "Prends ton portable, de ta main droite et appelle Yves. Coince le téléphone entre ton cou et ton épaule, pour avoir les mains libres".

    Horrifiée, je lui obéis et j'appuie longuement sur le un, après quelques sonneries, il répond : "Yves Dufour, bonjour". "Bonjour toi, c’est moi !".

    "Quelle agréable surprise, que fais tu ? Nous sommes avec tout le staff dans un restaurant très sympa, nous finissons". "Moi aussi je finis une pizza avec Annie notre voisine". "Je suis content que tu te sois fait une amie, elle et son mari m'avait paru très sympas, mais je ne les ai vus que deux fois !". "Elle l’est, et nous nous entendons déjà très bien".

    Annie m'ordonne sur un autre mot, ce que je redoutais le plus : "Pelote tes mamelles de truie et jouis avec ton mari en ligne". La salle est quasiment vide, elle accentue les caresses sur le haut de mon sexe, en s’amusant à jouer avec mon clitoris gonflé, alors qu'à sa demande, je continue me pétrir les nichons et les tétons de ma main gauche.

    Trop excitée, je me tais. "Tiens, je peux te donner la raison de notre repas-réunion d'aujourd'hui : la grande direction de Berlin a décidé de nous implanter en Russie, ils ont choisi le bureau Europe pour ce faire et mon patron m'a confié la responsabilité totale de ce projet ". "Ooooh tu vas donc devoir voyager et t’absenter beaucoup plus ?".

    Il parle et je l'écoute sans l'entendre, je joooouis comme une folle sans émettre un seul son, ce qui, chez moi est un véritable miracle ! Ne m'entendant plus, Yves me demande si je suis toujours en ligne !

    J'essaye de récupérer très vite une voix normale et lui réponds : "Oui, bien sur, je suis là, je t’écoutais". "Je ne vais pas pouvoir te parler plus longtemps, nous aurons des tas de choses à nous dire ce soir, de mon côté : pour la Russie, il y a plusieurs possibilités, et de ton côté, je compte sur toi pour me raconter toute ta journée avec ta nouvelle amie".

    "Bien sur, mon chéri, je te raconterai tout, puis-je déjà lancer une invitation à dîner chez nous un de ces samedis, de notre part à tous les deux ?". "Bien évidemment, et tu n'as pas besoin de mon feu vert pour inviter des amis ou des futurs amis chez nous ! Grande sotte !"

    Pendant ce temps, une question indécente m'arrive : Annie me demande "Qui es tu ?". En demandant deux minutes à Yves, je réponds d’une main tremblante : "Une esclave en chaleur en train d'obéir à sa Maîtresse, Madame".

    Annie sourit et commande deux cafés à Mario, elle se penche pour remettre sa chaussure, alors que j’embrasse mon mari avant de couper, totalement épuisée et rouge comme une écrevisse !

    Annie rit comme une ado qui vient de faire une bonne blague ! "Allez file aux toilettes pour essayer de ressembler à un être humain ! Tu peux enlever tes pinces mais garde tes boules. Dépêche toi, Mario est en train de préparer nos cafés !".

    Je me rajuste un peu et m’esquive discrètement. Je me rhabille dans les toilettes et je dois retenir des hurlements de douleur quand j’ôte les pinces, je me frotte les bouts avec un peu d’eau chaude mais j’ai l’impression qu’ils sont en feu. Néanmoins soulagée de la torture de mes tétons et, un peu rafraîchie, je remonte, juste à temps pour boire le café bien chaud.

    Samedi 7 Janvier 2017 - 15h10

    Elle m’offre une cigarette et va régler la note, mais j’avais déjà dit à Mario de mettre ce repas sur notre compte. Elle me remercie et assure Mario que tout s’est bien passé.

    Elle revient enfiler son manteau et prendre son sac : "Allez on y va, dépêche toi". J’ai juste le temps de finir mon café, d’écraser ma cigarette et je la suis, après avoir salué Mario.

    Nous remontons dans sa voiture en constatant qu‘il ne fait pas bien chaud. Elle démarre et se dirige vers le centre ville. Je n’ose pas lui demander où nous allons et me laisse guider.

    "Dommage que tu n‘aies pas pu hurler ton plaisir au téléphone avec ton mari, n’est ce pas ma pute ? Je suis sure que ça t’a manqué !". Je rougis violemment en repensant à la scène ! "Oui, Madame, comme vous avez pu le constater, je suis très bruyante, mais là, je n'avais vraiment pas le choix !".

    Elle rit de bon cœur : "Je n’avais pas le son sur ton DVD, mais à voir ton visage déformé par la jouissance, j’étais sure que tu étais une fille très expressive, si l’on peut appeler ça comme ça !".

    "Vous ne vous êtes pas trompée, Madame, tiens, pour changer de sujet, Annie, Yves trouverait sympa que vous veniez un samedi soir prochain, dîner tous les deux chez nous, qu'en penses-tu ?".

    "Je dois en parler à Marc, mais ça me semble une superbe idée, on pourrait même l'organiser toutes les deux, pour ne pas commander ou cuisiner des plats que certains n'aiment pas et même inventer un thème pour la soirée en décorant ton vivoir en conséquence ?"

    "Tout à fait partante, Annie, à part que je sais pas ce qu'est un vivoir ?"

    "Ah, excuse moi, c'est un canadianisme qui veut dire la salle dans laquelle on vit ! Donc l'équivalent de notre salon-salle à manger mais en plus court et donc en plus pratique !"

    "C'est entendu, on en reparle !" Nous roulons en silence et elle se gare dans un quartier près de la Gare centrale. "Suis moi, nous allons faire du shopping".

    Samedi 7 Janvier 2017 - 15h20

    Je la suis sans rien dire, et, 50 mètres après, elle s'arrête, augmente la vitesse de mes boules, presque au maximum et m’entraîne dans un sex-shop. Je suis très surprise car je ne savais même pas qu’il y avait ce genre de magasin dans notre petite ville.

    "Nous n'avons pas de temps à perdre : tu vas aller directement demander au vendeur de te montrer ses godes-doubles : tu en choisiras deux ou trois et tu viendras me les montrer, moi je vais jeter un coup d’œil sur d'autres rayons".

    Je m’approche timidement du caissier qui doit être un vendeur, sympa et très décontracté. Avec un large sourire il me demande : "Que puis je faire pour vous jolie Madame ?". "Euh, je suis un peu gênée de ce que j’ai à vous demander, Monsieur ".

    "Oh vous savez, Madame, ici il n’y a aucun tabou, je suis habitué à toutes les demandes, mêmes les plus incroyables, alors vous pouvez parler tranquillement !". Sa bonne humeur me rassure, et je lui demande, sans trop bégayer s’il a des godes doubles. "Mais bien sur, j’en ai un grand choix, de toutes les formes, de tous les calibres et de toutes les couleurs, suivez moi, chère Madame !".

    Je l'accompagne jusqu'à une grande vitrine, en effet bien achalandée, qu'il ouvre avec une de ses clefs : "Ils sont tous à peu près identiques pour le principe : deux godes séparés par une plaque de latex, l‘un des deux est toujours plus gros que l‘autre pour tenir compte des différents gabarits des dames. Ils sont parfaits pour le sexe ou les fesses, avec un plaisir garanti !".

    Il en sort une dizaine de leur boite en me disant : "Le reste dépend des tailles, de leur matière, de leur aspect, du fait qu'ils bougent ou pas, qu'ils vibrent ou qu'ils pilonnent, qu'ils fonctionnent avec des piles ou une batterie rechargeable et sont commandés soit par deux moteurs à cinq vitesses soit par une télécommande double à huit vitesses, et les prix vont de 29€ à 150€ selon votre choix !"

    "Je ne pensais pas que c'était aussi compliqué de se faire plaisir !". Mon vendeur rit : "Vous savez, Madame, de nos jours tout est compliqué : je reçois la semaine prochaine une collection entière de godemichés, de vibromasseurs, d'objets vibrants fonctionnant avec le wifi ! Si une femme se trémousse sur sa chaise dans un restaurant, on se saura jamais si un moustique l'a piquée ou si son mari est en train de la faire jouir !"

    "Même nos vagins ne sont plus à l'abri du progrès, c'est scandaleux !" Nous éclatons de rire tous les deux, mais je redeviens sérieuse : "Bon, il me faut faire un choix de deux ou trois modèles, et les montrer à...". "Désolé de vous interrompre : à votre amie, ce sera plus simple !". "Oui, c'est le mot que je cherchais, aidez-moi à choisir je vous en prie ! Je suis incapable de le faire seule !"

    "Je vais jouer l'honnêteté avec vous, chère Madame, en vous proposant les trois modèles les plus vendus, les plus accessibles et sur lesquels, depuis un an, je n'ai jamais eu de problème de mauvais fonctionnement ou une plainte quelconque, je pourrais vous dire que, sans celui à 150€, vous ne pourrez pas jouir, mais je serais un sacré filou !"

    "Vous me sauvez, Monsieur, quel est celui que nous devrons privilégier d'après vous ?". "C'est malheureusement le plus cher des trois, il est à 79€ mais a tous les avantages des autres : chaque gode est réglable de vingt à trente centimètres, ils sont télécommandés par la même télécommande, leur aspect et la couleur sont proches de la peau masculine, et, en plus ils ont la double fonction : les vibrations ou le pilonnage".

    Je rougis comme une langouste cuite en lui demandant : "Je suppose que le pilonnage imite ce que peut nous faire un homme en allant et venant dans nos intimités ?". "Parfait, Madame, je vous engage comme vendeuse !"

    En rejoignant Annie, nous blaguons, je lui dis que je m'appelle Loréna et lui qu'il est le patron et qu'il s'appelle André. "Votre amie est au rayon des jouets bdsm, allons y !". Annie me regarde venir vers elle, un peu goguenarde, avec mes trois doubles-godes en main !

    "Alors ma chérie tu as choisi ?". Sans rien dire, je pose les godes sur un comptoir. Elle les jauge : "Pour ma part, je préférerais le plus perfectionné, qui se trouve être le plus gros, mais est-ce que tu vas le supporter aussi bien devant que derrière ?".

    André sourit, j’ai envie de disparaître sous la moquette tellement je suis gênée. De son côté, Annie reste totalement naturelle : "Bah nous verrons bien, entendu nous prenons le plus perfectionné. Mais dites moi, Monsieur, j'ai vu quelque chose d'étrange dans une vitrine, pouvez vous m’expliquer qu'est ce que c'est ?".

    Elle nous conduit devant une autre vitrine qui présente, en effet, un curieux appareil. "Ah, oui c’est un nouveau gadget qui fait fureur, il n’est pas cher et très efficace : en quelques mots : c'est une pompe à vide qui se fixe sur les tétons, et son fonctionnement est très simple : quand le vide se fait, les tétons sont aspirés : ils grossissent et s'allongent, et, quand l’air revient, ils redeviennent normaux. Un petit moteur à piles engendre une succion mécanique plus agréable qu’une bouche humaine, et en augmentant la vitesse de succion, on obtient un tire-lait, à noter que, sans vouloir vous pousser à la consommation, pour 30€ de plus vous avez le même avec une batterie rechargeable et une télécommande, à vous de voir ce que vous consommerez annuellement en piles !".

    Annie décide vite : "Hum, je vois, ce doit être très excitant : nous en prenons un avec sa télécommande ainsi que le gode-double".

    A la caisse, André met nos achats dans un sac anonyme. J’insiste pour faire une Visa et, Annie, pour une fois se laisse convaincre. André me sourit en lisant ma Visa : "Il est vrai que Loréna, est un très joli prénom, assez peu courant, j’espère que j’aurai le plaisir de vous revoir bientôt, mes belles dames, comme je l'ai dit à votre amie Loréna, je m’appelle André !".

    "Pourquoi pas, André, seules les montagnes ne se rencontrent jamais, dit le vieux dicton ! Je m'appelle Annie, au revoir !".

    Samedi 7 Janvier 2017 - 16h00

    Nous sortons. Quelques mètres plus loin, Annie me pousse dans un café. Nous nous asseyons sur des tabourets, au comptoir, et, sans me consulter elle commande deux doubles-cognacs. Après avoir demandé au patron si nous pouvions tout de même fumer une petite cigarette dans son bar et qu'il nous ait répondu en riant : "Je me vois mal refuser quelque chose à deux belles nanas comme vous, mais si un client entre, essayez de cacher vos cigarettes, s'il vous plaît !".

    Nous le remercions et buvons nos verres en alimentant nos futurs cancers des poumons : "Es-tu satisfaite de tes achats, ma jolie allumeuse de patron de sex-shop ?". "Je pense qu'un double-gode aussi excitant et perfectionné manquait dans notre panoplie, et que vous saurez en faire un excellent usage, Madame, si je peux me permettre de vous parler franchement, la suceuse de poitrine me fait un peu peur, mais vous savez, Madame que je suis toujours inquiète face à une chose ou une situation nouvelle !". "Tu veux parler du suce-tétons ? J'ai hâte de le voir à l'oeuvre sur tes bouts de mamelles de truie ! Tu as peur que je le mette au maximum ? Dis moi pourquoi je détruirais d'aussi beaux tétons, au lieu d’en jouir et de les exploiter au moins pendant un demi-siècle ?".

    "Tu sais bien que tu t’habitueras vite à tout avec moi et que je déteste que tu ne me fasses pas immédiatement confiance : "Patron, redonnez donc un double-cognac à Madame, elle semble en avoir bien besoin !". En souriant, car il a compris que nous étions un couple de gouines, il pose le verre devant moi et rajoute même une bonne larme aux deux doses légales : "Petit cadeau de la maison pour votre gentillesse et pour vous remercier d'être entrées dans mon bar minable !".

    Annie le remercie et m'ordonne à l'oreille : "Cul sec, sans broncher, et, je veux tes excuses avant". Je me rends compte qu’elle ne plaisante pas du tout : "Je suis désolée d’avoir douté de vous, Madame", et, je bois d’un seul coup l’alcool, beaucoup trop fort pour moi !

    Quelques minutes plus tard nous repartons après qu'Annie ait laissé un pourboire rondelet au patron ! Pour ma part, heureusement que la pizza m’a calée un peu, car entre le demi-pichet de rosé et les quatre cognacs et un peu plus ! Je me sens un peu pompette.

    Annie se moque gentiment de moi : "Eh bien, deux petits verres et tu es guillerette ! Il faudra que je t'habitue à sortir et à boire un peu ! Montre moi le gode-double s’il te plaît". Nous sommes en pleine rue, et un passant manque de rentrer dans un parc-mètre, quand je sors cet engin de son sachet. Il a l’air vraiment monstrueux.

    "Tu es sure qu’il n’est pas trop gros pour toi ?". "J’avoue que je ne sais pas, Madame, mais André m'a assuré qu'il était réglable entre vingt et trente centimètres". "Là, tu joues à la conne, et tu y réussis bien ! Je te parle de sa grosseur et tu me réponds sur sa longueur ! Est-il plus gros que le sexe de ton mari ?". "Oh oui, Madame, nettement plus gros !".

    "On verra bien, tu as de la crème chez toi ?". "Oui, nous avons ce qu'il faut : de la crème Nivea, de la vaseline et Yves m'a même rapporté récemment de la crème anesthésiante !". "Parfait, je suis sur que ça entrera bien au fond, de toutes les manières, je ne te laisserai pas le con et le cul vides, tu peux en être sure ! Allez rentrons vite j'ai trop envie de jouer avec ma petite pute !".

    Samedi 7 Janvier 2017 - 16h20

    Annie se gare devant chez elle, je l’attends et elle me pousse gentiment vers chez moi.

    Nous entrons, un beau soleil inonde la maison par les nombreuses baies vitrées, Annie s’assied dans un fauteuil, allume une cigarette, et me dit d'aller préparer du café.

    Quelques minutes plus tard, je porte les tasses, le sucre et le lait en lui signalant que le café passe. "Très bien, en attendant : récupère tes sous-vêtements dans mon sac, cas dans la salle de bains, retire tes boules, tu te rhabilles exactement comme tu es à l'instant, et tu me rejoins au salon avec le café !"

    Dans la salle de bains, j’enlève mes chaussures et mon jean et commence par le plus facile, en ôtant les boules de mon vagin. Elles glissent toutes seules et sortent trempées. C’est un peu plus difficile au niveau de celles de mon anus qui restent un peu collées à mon intestin et je dois forcer pour les sortir.

    Je profite de l’absence de consignes d’Annie pour les nettoyer, les sécher, bien les essuyer et les ranger dans un des tiroirs de la commode.

    Je jette un coup d’œil dans le miroir du lavabo : mon visage est à peine rosi par les traces de doigts d’Annie, qui, pourtant, m'a frappée de bon cœur et sans retenir ses coups !

    En ôtant mon pull, je suis vite rassurée en constatant que mes seins ne présentent aucun hématome, ni aucune déchirure, malgré le port de pinces-écraseurs pendant une longue période, inhabituelle pour moi !

    J'en profite pour me rafraîchir le visage, me repeigner en défaisant mes couettes et me passer un peu d’arnica sur les tétons.

    Je me rhabille soigneusement et, sors pour la rejoindre, mais, je réfléchis, et reviens devant le lavabo pour me refaire deux nattes, ayant trop peur qu'Annie ne considère ce changement de coiffure comme une initiative personnelle, donc interdite à l'esclave que je suis !

    Je fais un détour par la cuisine où je prends la cafetière. Je reviens au salon, juste à temps pour allumer une cigarette à Annie et lui servir son café.

    J'attends, debout près d'elle, qu'elle m'ordonne quelque chose à faire.

    Contente de ma réaction, elle m'accorde une cigarette et une tasse de café, mais tout en restant debout face à elle !

    Connaissant, bien sur, très bien mon salon, je constate qu'elle a déplacé le tabouret sur lequel j'avais du poser la caméra pour me filmer au coin. Mais, sans aucun réflexion, je fume et bois mon café !

    "Je suppose que tu as remarqué que le tabouret avait changé de place et qu'il est face à moi ! Tu vas t’y asseoir et nous allons nous détendre toutes les deux avec un petit jeu très intime durant lequel je te veux souriante et fière d'être filmée par moi !".

    Le tabouret est à environ deux mètres d’elle. Je m’y assieds, tout en me demandant ce qu’elle va exiger de moi.

    "Tu vas te déshabiller de bas en haut en montrant bien à la caméra ce que tu dévoiles. Compris ma pouff ?".

    "Oui, Madame, j'ai bien compris !". Je me penche et ôte une à une mes chaussures que je jette dans un coin, dévoilant mes pieds nus. Puis je me lève et dégrafe mon jean que je baisse et enjambe, il rejoint mes chaussures. Je vois qu'Annie fait un gros plan de mes pieds nus en me demandant de bien écarter les orteils.

    Quand elle est rassasiée de ce plan, elle s’attarde sur mes jambes et mes cuisses avant de me demander de continuer : je baisse ma culotte qui, des genoux, chute à mes pieds.

    "Garde ta culotte autour d'un pied et assieds toi sur le tabouret, cuisses ouvertes le plus que tu peux et ouvre ta chatte avec tes deux mains, je veux filmer ton réservoir à pines en gros plan".

    Elle s’attarde longuement, j’entends le zoom électronique s’activer :

    "Je ne vois pas bien ton clitoris, fais le saillir et exhibe le ! Prouve moi que tu en es très fière !". Je le titille un peu et il ne tarde pas à réagir en pointant très vite entre le haut des grandes lèvres de mon sexe.

    "Très bien je le vois parfaitement, branle le un peu pour mieux le montrer à tes admirateurs. Sais tu qu’on voit un filet de mouille couler à l’intérieur de tes cuisses ?". Excitée, je continue de me toucher.

    "Bien, tu peux passer au haut à présent".

    Quittant mon sexe je fais passer mon pull par dessus ma tête restant en soutien-gorge balconnet bleu marine.

    "Avant de me montrer tes mamelles, tourne toi pour que je vois bien ton cul et ouvre le de tes deux mains, pour bien m'offrir ton trou à merde !". Je m’exécute, ventre appuyé sur le tabouret et fesses ouvertes des deux mains, je sens que l'objectif s’attarde sur mon anus dilaté obscènement.

    "Parfait, à présent à poil ma pute, et, prête à servir !"

    Une main derrière mon dos, je dégrafe mon soutien-gorge qui rejoint la petite pile de vêtements sur le tapis, et je me retrouve nue, pour la première fois devant elle, sans faire le moindre mouvement pour cacher quelque partie de mon corps.

    "C’est vrai que tu as des gros bouts de mamelles, ils sont obscènes, je me demande si je n’aurais pas mieux fait de t’appeler « truie » plutôt que pute ! Vas y, bouge tes nichons devant la caméra, exhibe toi, comme la salope que tu es, adore le faire".

    Elle me laisse remuer mes seins durant de longues minutes avant de me dire : "Approche-toi et ouvre la bouche devant la caméra, sors ta langue et montre bien tes dents, c’est bien comme ça que l’on fait pour juger une bonne bête, non ?".

    Vexée mais excitée par cette humiliation et surtout par son explication, je me prête au jeu et elle filme longuement ma bouche, mes dents, et ma langue glissant sur mes lèvres.

    Elle m’ordonne ensuite de retourner sur le tabouret et de prendre plusieurs poses de la plus sage à la plus obscène.

    "Je suis satisfaite de ton obéissance, mais je te veux encore plus nue que nue !". Je ne comprends pas ce qu’elle désire mais elle me tend un cendrier, en me disant : "Enlève tes bijoux et mets les là dedans".

    Docilement j’enlève mon collier, mes boucles d’oreilles, une bague souvenir de ma première séance de soumission et ma bague de fiançailles. Au moment d‘enlever mon alliance, elle m’arrête en me disant de la garder. Je suis contente car elle est très symbolique de mon attachement pour Yves et je ne la quitte jamais !

    Samedi 7 Janvier 2017 - 17h00

    Elle se lève, me prend par la main et me guide vers la salle de bains en m’ordonnant de rester dehors, accroupie, appuyée au mur, mains sur la tête et cuisses largement ouvertes : "Je vais me rafraîchir ne bouge pas d’un pouce".

    Je l’entends s’affairer et quelques minutes plus tard, elle ressort portant mon peignoir blanc et mes chaussons, j’ose penser qu’elle est nue dessous. "Nous retournons au salon où tu vas t'agenouiller devant mon fauteuil, il est temps que tu travailles un peu, feignasse !".

    Je me mets à genoux devant le fauteuil qu'elle choisit, elle croise ses jambes en faisant bien attention de ne rien dévoiler de son corps et enlève un de ses chaussons :

    "Prends le flacon sur la table et vernis moi les ongles des orteils en t’appliquant bien". Surprise, je débouche le flacon et commence à lui vernir les ongles des orteils gauches en lui tenant le pied dans ma main. Elle filme en gros plan le pinceau qui lui rougit les ongles. "Dis moi si ça te fait mouiller d’être ma bonniche sale putain de gare ?". "Vos décisions m‘excitent et me surprennent Madame".

    Elle semble tout d'un coup furieuse et crie presque :

    "Ce n’est pas la réponse à ma question, arrête ton travail, mets toi à quatre pattes sur le tapis, en me tournant le dos, cuisses largement ouvertes et tête baissée : il faut que je t’apprenne une fois pour toute à bien répondre à mes questions !".

    La tête basse, je pose le flacon sur la table, me mets à genoux sur le tapis, fesses tournées vers elle, cuisses ouvertes et sexe largement offert. Son coup de pied, heureusement nu, m’atteint en plein sexe et me fait horriblement mal : "Alors ta réponse, imbécile de conne ignare ?". Je fais un effort pour récupérer ma respiration avant de lui avouer : "Oui, Madame, d'être votre bonniche me fait mouiller !".

    "Bien continue ton travail nous perdons du temps".

    Quelques minutes plus tard les ongles de ses deux pieds sont uniformément vernis. Elle semble contente de mon travail et les filme longuement en gros plan : "Tu es une bonniche correcte. Va chercher une cuvette en plastique dans la cuisine".

    Je reviens avec une cuvette ronde qu’elle me fait poser par terre devant elle : "Accroupis-toi sur la cuvette, le dos bien droit, cambrée pour que tes nichons pointent fièrement, croise tes mains sur la tête et pisse devant la caméra : il te faut savoir qu’en ma présence, tu n’auras aucun moment de liberté et si tu as envie de faire caca, je t’accompagnerai aux toilettes et tu chieras devant moi. Tu as bien compris : avec moi tu as perdu toute intimité, même les jours de tes règles de femelle !".

    Je fais oui de la tête et urine devant elle horriblement gênée par le bruit de ma pisse qui tombe dans la cuvette.

    Elle filme tout en gros plan, et suis bien deux de mes doigts qui entrent dans ma moule pour récupérer les dernières gouttes, avant que je ne les porte à ma bouche pour les lécher et les nettoyer !

    Samedi 7 Janvier 2017 - 17h30

    "Tu es vraiment une bonne pute bien obéissante : il me faut finir ton éducation, mais tu commences à m’exciter terriblement. Vas dans la chambre de ton fils et attends moi".

    Sans répondre, je vais dans la chambre de Jean.

    Je sens plus que je n’entends sa présence dans le couloir, mais elle me parle sans rentrer dans la chambre : "Dis-moi, salope, il y a un miroir dans cette chambre ?". "Oui, Madame, un miroir en pied". "Très bien, regarde toi à poil dans la glace, que vois-tu ?". J’ai du mal à répondre : "Une femme excitée, aux tétons durs et aux lèvres du sexe gonflées". "Dis-moi quel qualificatif te semblerait le plus justifié pour toi à ce moment précis ?". Ma voix se fait très basse et rauque pour avouer : "Une vraie pute en chaleur, Madame !".

    "Très bien, mais, pute est un métier, et, excitée comme tu l'es et même en chaleur comme tu le dis toi même, que serais-tu prête à faire maintenant, par exemple avec un client ?". "Hum, Madame, lui sortir la bite du pantalon, m'assurer qu'il est propre, le pomper pour le mettre en forme et lui proposer de se vider les couilles dans un de mes orifices de putain payée pour ça !".

    "Bien, et avec une cliente très sado ?". "Si elle n'a pas son matériel, je lui proposerais de me mettre des écraseurs aux tétons et aux grandes lèvres avec des lests. De me suspendre par des pinces de nichons au plafond, sans que mes pieds ne touchent le sol. De me frapper, ainsi suspendue avec un martinet sur tout le corps : sexe, anus, clito, nichons, pinces, épaules, visage et pieds. Puis de me libérer pour que je lui bouffe la chatte en la faisant hurler de plaisir et, enfin, de m'autoriser à m'envoyer en l'air toute seule dans la chambre, à poil dans un coin, et de l'appeler sur son portable pour lui dire : "Merci, Maîtresse pour cette jouissance !" sans attendre aucune réponse d'elle.

    Après ces confessions sur deux de mes fantasmes réels, elle se décide, enfin, à entrer dans la chambre de Jean et s’approche de moi en me poussant vers le miroir.

    Elle me mordille l’oreille en m'ordonnant : "Colle toi bien contre le miroir, sors ta langue, lèche ton image, embrasse toi et frotte ta chatte et tes nichons contre la glace comme si tu te baisais".

    Surexcitée je lèche le miroir en me frottant comme une femelle en rut. J’entends le bruit de la caméra, j’en déduis qu’Annie ne rate rien de cette scène qui me donne envie de vomir de honte.

    "Tu es vraiment une putain obscène, mets toi deux doigts dans le con et deux autres dans le cul et nous irons chercher une photo particulière !".

    Je me doigte comme demandé, et, en me tirant par les couettes, réunies dans une même main, elle m’oblige à la suivre dans ma chambre.

    Elle me dit : "Je veux voir l'album photos de ton mariage avec Yves, donne-le moi, salope mal baisée !".

    Je ne sais pas comment elle a deviné que cet album était dans notre chambre ! "Il est dans l'armoire de notre chambre, soit je vous guide de la voix pour que vous le trouviez, soit vous m'autorisez à me libérer une main pour que je vous le donne, Madame".

    "Ta voix me suffira enculée !".

    A poil devant elle, cul et con doigtés, je lui indique qu'il est dans notre armoire, porte de droite, sur l'étagère du haut, entre plusieurs classeurs de comptes. Il est en cuir rouge avec une tranche d'environ cinq centimètres de hauteur.

    Elle le trouve immédiatement et le feuillette rapidement. Elle semble hésiter entre deux ou trois photos et, finalement, se décide. Elle soulève le film transparent qui couvre la page et sort la photo de son choix qu'elle ne me montre pas !

    Elle range soigneusement l'album là où elle l'a trouvé et, nous regagnons la chambre de Jean !

    Elle m’autorise à enlever mes doigts de mes orifices, mais de bien les sucer pour qu'ils soient irréprochables.

    Elle me regarde faire et semble toujours aussi surprise de voir une femme obéir au moindre de ses désirs !

    En me regardant droit dans les yeux, elle me demande d'ôter mon alliance, ce que je fais, tout en ayant du mal à cacher ma surprise ! "Tu  croyais que tu allais la garder ? Mais, quand tu es avec moi, tu es totalement à moi ! Tiens regarde la photo de ton mari que j'ai choisie".

    "Excellent choix, Madame, c'est l'une de mes préférées, je l'ai prise quinze jours avant notre mariage, sur l'Île Maurice. Yves est sur une plage déserte avec une mer de carte postale, il est bronzé et beau comme un Dieu, son slip de bains cache assez peu de chose ! Et son anatomie et ses abdos donnent envie de tout faire avec lui sauf de le prendre en photo. Je ne peux pas vous dire combien de fois je me suis envoyée en l'air en matant cette photo !".

    "Même pour ton mariage tu suintes le vice pur ! Le jour de ton mariage, tu n'es pas passée sous la table pour lui faire une pipe?".

    "Non, Madame, mais je l'ai pompé dans les wcs, en robe de mariée, à genoux, nous en avions trop envie !".

    "Des putes aussi salopes que toi doivent être dures à trouver ! Pour le moment, tu vas te rapprocher du miroir, poser la photo de ton mari sur la glace et la tenir avec ta main gauche bien à plat sans cacher ton époux. Avec la droite, tu vas mettre ton alliance dans ton cul, en me disant à haute voix que tu es ma pute et non celle de ton mari et me jurer de m'appeler une fois par semaine, le lundi matin, pour me dire combien de fois il t'a enculée durant la semaine écoulée, si le nombre de fois dépasse le chiffre que j'ai en tête, tu me devras une punition ! Compris catin ?".

    Ma main droite se dirige vers mon anus et y glisse l'alliance en espérant qu'elle réapparaîtra le lendemain ! "Oui, Madame, je suis votre pute, je vous jure obéissance et je vous téléphonerai tous les lundis pour vous dire combien de fois Yves m'a enculée dans la semaine, vous avez ma parole, Madame !".

    Quand je suis sure que mon alliance est bien rentrée, je reviens vers la photo d'Yves et obéis à Annie en lui léchant avec ardeur et amour le slip que je suis déçue de ne pas voir se gonfler ! Alors qu‘elle se régale de me filmer et d‘enregistrer que je suis sa pute et que je devrai lui dire semaine après semaine combien de fois mon mari m'encule !

    Cette exigence est à classer dans les humiliations très cérébrales, surtout si elle s'autorise à communiquer cette information à des tiers, mais même si elle ne le fait pas, elle me prouve, si j'en avais encore besoin qu'à l'entrée Annie du Larousse on devrait trouver un renvoi : voir domina cérébrale !".

    Quand elle décide que je me suis suffisamment excitée, à poil, devant le miroir en léchant la photo de mon mari, elle me demande de lui montrer quelle était la peluche préférée de Jean quand il était petit ! Je souris en moi-même de cette question en me demandant ce qu'elle vient faire dans notre jeu vicieux ! Mais, même si je la connais peu, je sais qu'avec Annie, rien n'est gratuit !

    Je me vois obligée de répondre en regardant la vingtaine de peluches posées sur deux étagères au dessus de son lit.

    Je me souviens de suite de son adorable petit chien, baptisé Max, et usé par des nuits et des nuits dans ses bras de bébé et d'ado !

    Je l'indique en souriant à Annie qui le prend en constatant : "Il est, en effet adorable, et, je l'aurais aussi pris comme doudou !".

    Elle poursuit son scénario, sans probablement avoir compris que ne n'arrive plus à la suivre, mais, n'est ce pas les surprises et la cérébralité que je cherche en me livrant à une Maîtresse, visiblement chevronnée !

    Sans lâcher Max des mains, elle me demande de me coucher sur le ventre, sur le lit de mon fils, et de me mettre en levrette, le cul bien relevé en pointe et la tête posée entre mes mains sur le lit.

    Je me mets en position, en pensant que Max va sûrement apporter la touche finale, évidemment vicieuse et humiliante, deux paramètres qu'elle a décidé d'apporter dans notre relation !

    Dans la posture où elle m'a mise, je ne vois pas grand chose. Je la sens toutefois se placer derrière moi, s'attarder là où mon cul culmine et me frapper sans douceur, avec une main, l'intérieur des cuisses, pour les écarter au maximum.

    Je ne sais pas ce qui va m'arriver, mais je sens que ça approche ! Et c'est donc avec une surprise non simulée que je la sens loger la peluche entre mes cuisses largement ouvertes et trempées.

    Elle me conseille de les serrer pour ne pas perdre Max ! Et m'avertit gentiment pour la suite : "Je te conseille de bien humecter ton trou à merde avec du jus bien épais de ta chatte. Comme, je n’ai aucune raison particulière de te faire plaisir, tout au moins dans notre jeu, tu devras te contenter de ce moyen artisanal pour lubrifier notre achat récent !".

    Je comprends qu'elle parle du double-gode et je n'ai qu'une seule assurance : celle d'accueillir dans mes fesses un aussi gros qu'elle, mais beaucoup plus long ! Je ne perds donc pas trop de temps, et les fesses toujours en pointe, je libère une de mes mains, et, sans m'occuper ni d'Annie ni de sa caméra, je mime une baise effrénée en balançant mon sexe de haut en bas, tout en faisant bouger la peluche contre et dans ma chatte, je mouille de suite très vite, et, en écartant un peu Max, j'arrive à lubrifier mon anus avec le jus de mon vagin.

    J'essaye de faire vite, car j'ai l'impression qu'Annie est pressée d'essayer notre nouveau joujou !

    Le lit étant dans un coin de la chambre, elle tourne avec sa caméra autour des deux côtés accessibles en multipliant les plans et les zooms, visiblement elle cherche à faire un bon clip, peut être pas professionnel, mais disons, amateur de bon niveau.

    Une claque, que je n'ai pas sentie arriver, résonne sur mon cul suivi d'un "Ça suffit, tu es assez lubrifiée !". Je me décontracte et tourne la tête vers la chambre : la caméra est installée sur une chaise, prête à filmer tout ce qui se passera sur le lit !

    Comme elle m'en avait avertie, Annie ne me fait aucun cadeau : je sens un objet caoutchouteux, au diamètre impressionnant tourner doucement sur et autour de mon anus, et, le pénétrer petit à petit.

    Elle doit le tenir dans une de ses mains et le pousser de toutes ses forces : le gland, un peu plus large, finit par franchir l'obstacle de mon anus et la partie du double-gode qui m'est réservée rentre relativement facilement, centimètre après centimètre, en élargissant tout sur son passage.

    Ma lubrification est largement insuffisante, mais elle pousse de toutes ses forces, et, tout d'un coup, je sens la plaque de séparation en latex s’écraser sur mes fesses dont elle épouse grossièrement les formes.

    Je l'entends soupirer profondément, je sens l'odeur de sa transpiration : c'est un gros effort pour des filles peu musclées comme elle ou moi ! Mais elle récupère vite : "Tu vois, ma pute, le double-gode n’est pas assez gros pour ton cul de salope : il est entré trop facilement ! Il nous faudra en acheter un plus gros ! Ma pauvre ! Si tu te voyais avec cette pine qui sort de ton cul de pouff ! Tu es parfaitement ridicule et obscène ! Finalement, tu mérites plus le titre de lécheuse de semelles que celui de vernisseuse d'ongles !".

    "Bon, tu vas enfouir ta tête entre tes mains, face contre le matelas, je ne veux pas que tu vois un bout de ma peau nue. Comme tu es juste à la bonne hauteur : je vais m'agenouiller derrière toi, glisser l'autre partie du gode dans ma chatte et je vais me faire jouir autant de fois que j’en aurais envie, pour ton information et pour que tu saches que ta Maîtresse sait lire un mode d'emploi : tu as dans le cul le même diamètre que moi, mais un gode de trente centimètres de longueur et c'est un vibro qui va donc te faire jouir du cul ! Quant au mien, il n'est que de vingt centimètres, et il est sur la fonction pilonnage : et, si tu jouis en plus, en te frottant le con à la peluche de ton fils, tant mieux pour toi ! Je m’en fous totalement".

    Ce qu'ignore Annie, c'est que le gode qui m'envahit ne peut pratiquement pas bouger sans lubrification !

    Par contre, dès qu'Annie s'est empalée sur le sien, je sens et entends ses bruits de va et vient dans son vagin, qui, lui doit être plus que trempé. Accrochée à mes hanches, elle se pilonne doublement le vagin de plus en plus frénétiquement, en grognant et en gémissant de plus en plus fort !

    Le peu de jus que j'ai fait passer de ma chatte à mon anus était un concentré, auquel s'est ajoutée une abondante transpiration, ce qui fait que mon propre gode commence à aller et venir dans mon sphincter, au rythme des pilonnages d'Annie.

    En plus, en me frottant le con et surtout le clito sur Max, tout mon entrejambe est sensibilisé, et chaque frottement de mes grandes lèvres ou chaque poussée dans mon cul me fait gémir de plaisir !

    Annie ne gémit plus, elle crie de plus en plus fort, comme jamais je ne l'avais entendue !

    Elle a son premier orgasme en répétant plusieurs fois un mouvement que je connais bien : elle retire complètement son gode de son vagin et d'un brutal coup de rein, elle s'empale jusqu'à ce que le gland cogne le col de l'utérus. Je sais, que cette technique est imparable et qu'en une dizaine de minutes, une femme avec une libido moyenne doit jouir, mais qu'elle ressort de cet exercice complètement épuisée !

    A ma grande surprise, après un orgasme très bruyant, Annie ne s’arrête pas et continue à se défoncer, en me murmurant à l’oreille :

    "Eh bien ma grande salope vicieuse, tu es une peine à jouir du cul ? Allez, concentre toi un peu, je suis sûre que ton trou à merde est prêt à gicler ton jus et ta merde ! Et ! La maman aimante, ça te fait quoi de te faire enculer sur le lit de ton petit chéri ? Avec ton alliance dans le cul ? Que vas-tu penser demain en faisant son lit ? A sa promenade avec son beau-père ? Ou à ce que je t’ai mis dans ton cul de dépravée ?".

    Cette réflexion me fait mal et me vexe, mais elle ne fait qu’accroître mon excitation et sans que n'en sois vraiment consciente, un mini-tsunami me terrasse le corps et je jouis bruyamment en serrant le plus fort que je peux mon inoffensive peluche entre mes cuisses.

    Sans se préoccuper de mes cris, Annie continue à aller et venir sur son gode. Je sens qu'elle a adopté une technique intelligente en profitant d'un répit du gode et d'y adapter sa propre technique très violente !

    De son côté, le silence est seulement interrompu par le bruit obscène du gode entrant et sortant de son vagin trempé et de ses gémissements de plaisir, et du mien, pas mes petits cris et le ronronnement régulier du vibro qui me taraude le sphincter.

    Jouissance et sudation ont à présent correctement humidifié mon anus. De son côté, Annie contracte, ses muscles vaginaux, et, peu à peu, la conjugaison des deux, fait qu'elle me sodomise, entrant et sortant le gode de mon cul au même rythme quelle se défonce avec le sien !

    Sa deuxième jouissance est accompagnée d’un cri rauque et d’une brutale poussée dans mon cul, elle colle son ventre à mes fesses et je peux ressentir toutes ses contractions transmises par les godes.

    Elle respire fort, ne bouge plus, reste longuement collée à moi avant de se dégager lentement et de me laisser ainsi couchée en levrette avec cette espèce de bite trempée et gluante qui sort de mes fesses de putain enculée, ce que je ne peux vraiment pas nier !

    Samedi 7 Janvier 2017 - 18h30

    "Reste comme ça, tu peux continuer à te branler si tu en as envie, je vais me rafraîchir et je reviens". Elle règle la caméra uniquement sur moi, et me laisse seule dans la chambre.

    Je suis encore très excitée et je continue à me frotter sur la peluche. J’entends le bruit de la douche et une dizaine de minutes après ma deuxième jouissance, elle revient dans la chambre :

    "J’espère, pour toi, que tu t’es envoyée en l’air, une ou deux autres fois, il faut que tu saches que je ne serai pas toujours aussi généreuse avec tes jouissances, j'ai appris sur un blog de recueil de réflexions de soumises que la frustration d'orgasmes est l'une des pires punitions !".

    Elle m'ordonne de me lever, d'enlever la partie du gode-double qui est toujours en moi, de bien le laver avant de le ranger et aussi de mettre la peluche de mon fils au lave-linge !

    Elle rit en me souhaitant une bonne récupération de mon alliance, tout en rajoutant qu'avec un peu de chance elle ne sera pas allée trop loin ! Je suis sure qu'elle ne croit pas un mot de ce qu'elle me dit, elle souhaiterait plutôt me voir plonger les mains dans ma merde pour la retrouver sans vomir !

    "Bon courage ! Rejoins moi très vite au salon, je suis loin d'être rassasiée de toi !". Elle quitte la chambre, et c'est seulement à ce moment là que je remarque qu'elle s'est rhabillée !

    Je commence par nettoyer et récurer soigneusement le double gode sans trop oser le regarder. Propre et séché, je le range dans le tiroir de la commode à côté des boules de geisha.

    Je m'assieds sur les wcs et bien que n'ayant pas envie, je pousse un peu, c'est mon deuxième coup de chance de la journée, car mon alliance sort sans aucune difficulté, à peine un peu souillée !

    Je la lave soigneusement, la remets avec fierté et rejoins Annie au salon tout en passant par la lingerie où je jette le pauvre Max dans la machine à laver !

    Elle est assise sur le canapé : elle boit un verre de vodka et m’indique de la tête que je suis servie. Elle me tend une de mes cigarettes que j’allume avec grand plaisir et m’assieds, comme elle me l’indique, dans le fauteuil qui est face à elle.

    Visiblement nous avons toutes les deux besoin d’une pause !

    Annie me regarde dans les yeux et me demande : "A quelle heure tes hommes doivent-ils rentrer ?". "Je ne sais pas exactement, mais comme il fait nuit assez tôt, je pense qu’ils seront là vers 20h, tout dépend du lieu choisi pour leur treck par Yves.

    "Je dois t'avouer que ça ne me dérangerait pas outre mesure que ton mari te trouve nue en train de sucer mes chaussures sales, mais il nous faut penser à ton fils qui risquerait de ne pas comprendre !". Ayant imaginé un court instant cette scène apocalyptique : je ne réponds rien, en me contentant de baisser les yeux.

    "J'aime bien te voir à poil, mais pour des transitions réussies, j'aimerais que tu t'habilles un peu ! Je te suggère, de bas en haut : des escarpins noirs, fermés, avec des talons de douze centimètres, des bas gris avec, si possible des coutures, bien sur des porte-jarretelles assortis pour bien encadrer ta connasse nue et gluante. Pour le fun, tu vas ajouter un large ceinturon de cuir bien serré sur ton nombril, et pour le haut : ton soutien-gorge seins nus avec les lacets de tes nichons bien serrés pour m'offrir deux beaux ballons de baudruche : excitants pour moi et douloureux pour toi ! Allez file te préparer ma pouff, j'ai des coups de fil à passer !".

    Je la laisse tranquille et la préviens même, quand je dois entrer dans le salon, pour ne pas entendre ce qu'elle dit. Je commence pas mettre le double gode et les boules de geisha dans l'armoire que je ne verrouille pas. Puis je vais dans ma chambre et me remémore comme d'habitude sa liste : escarpins, bas, pj, ceinturon, sg et lacets.

    Je prépare tout, et, étant nue, il m'est facile de m'habiller de haut en bas. J'essaye de ne pas trop serrer la base de mes seins et le ceinturon de ma taille, pour le reste, tout est simple, sauf de positionner les coutures des bas bien droites ! Un coup d’œil dans ma psyché me confirme que je ressemble plus à une putain au travail qu'à une nonne !

    Je frappe deux petits coups à la porte du salon pour demander à Annie si je peux entrer, elle me répond d'attendre deux minutes.

    J'attends patiemment, je l'entends raccrocher et me dire d'entrer.

    Elle me félicite pour ma tenue : "Très bien tu as vraiment les habits de ta vraie personnalité ! A propos sais-tu combien demande une putain pour ses diverses prestations ?".

    "Je n'en ai pas la moindre idée, Madame !". "Tu dois bien avoir une tablette dans ton bureau ? Va la chercher de suite, on va combler tes lacunes professionnelles !".

    J'essaye de ne pas la faire attendre, mais j'ai vraiment du mal à marcher avec des talons trop hauts ! Je tarde un peu, mais elle n'a pas envie de m'en vouloir et sourit même de ma maladresse évidente !

    Et, elle me dit, est-ce une prémonition ou une boutade ? "Il faudra que tu t'entraînes à marcher sur ces échasses, si un jour je décide de te mettre sur le trottoir !".

    Pour consulter la tablette, elle me fait signe de m'asseoir sur le canapé, à côté d'elle. Je la lui tends, mais elle me dit d'effectuer moi même la recherche. Une fois sur Google, je lui propose : Tarifs des différentes prestations des prostituées en province. Elle approuve.

    Je clique sur le site qui me paraît le mieux présenté avec : "Toutes les fourchettes des tarifs des prestations dans la prostitution en fonction des régions".

    Elle me demande de lui lire les résultats ! : « Madame, ils commencent par les fellations : une pipe sans rien montrer ni boire coûte entre 15 et 25€, avec les seins nus entre 20 et 30€ et pour avaler elles demandent 15€ de plus !".

    "Ce n'est pas avec ça que je vais arrêter de travailler quand tu feras le trottoir pour moi, continue de t'instruire salope !".

    Je ne réponds rien et continue : "La suite concerne la baise, Madame, ils précisent que pour baiser avec protection, la fille demande 40 à 50€ pour baisser sa culotte et se coucher sur le dos. Seins nus, c'est 20€ de plus et à poil c'est entre 80 et 100€".

    "Ça commence à devenir sérieux, je me demande combien de passes tu pourrais faire en un après midi ou en une nuit ?".

    "Je n'en sais absolument rien, Madame, mais si je pouvais ne jamais l'apprendre, ce serait une très bonne nouvelle !".

    "Bravo, connasse de Loré, tu as exprimé ton opinion, et tu me dois donc une punition ! Je te signale que c'est la deuxième de la journée. Je te garantis que ce genre de punition : méritée mais pas exécutée de suite, te restera longtemps en mémoire, et tu sais pourquoi salope ?".

    "Je pense le deviner, Madame : car vous aurez le temps d'y penser et comme vous êtes très cérébrale, de peaufiner les détails de la punition pour que je m'en souvienne longtemps !".

    "Bien raisonné, mais, logiquement, tu devrais me parler de cul maintenant, n'est-ce pas ma rebelle ?".

    "Vous avez raison, Madame, il n'y a aucun prix en dessous de 100€, le plus cher étant entre 200 et 250€, si la fille est nue et que le client jouit dans son cul sans protection".

    "Incroyable ! Il faut seulement cinq sodomies par jour pour gagner 30.000€ par mois ! Soit un salaire de PDG ! Tu ne trouves pas que ça mérite d'y réfléchir sérieusement ?".

    "Probablement, Madame, mais il faut tenir compte de deux faits primordiaux : cette manière de vivre oblige à tout quitter, pour vivre uniquement de son cul, et, surtout : même le cul vieillit, et dans 4 ou 5 ans, comment trouver encore cinq clients par jour, qui en voudront et pour ce prix là ?".

    "Bonne réflexion qui t'évite une troisième punition, car tu as raison, mais, ma chérie, je fantasmais à haute voix devant toi : comment peux-tu imaginer qu'un jour je te demande de faire le trottoir pour moi en abandonnant tout ce que tu as ? Allez, réveille-toi, le fantasme est fini, revenons sur terre ma douce !".

    Samedi 7 Janvier 2017 – 19h30

    Tout en jouant avec sa caméra sur le canapé, elle replie ses pieds sous elle, allume une cigarette et me donne une liste de jouets à sortir de mon armoire : une barrette de huit pinces à linge en plastique, un vibro interne télécommandé, deux paires de menottes pour les poignets, une cordelette d’environ trente centimètres de long et le trayeur de tétons acheté tout à l’heure.

    Pas très rassurée, je pose les articles sur la table basse devant elle et attends un ordre debout.

    "Comme je l’ai vu sur une de tes photos, tu vas commencer par enlever tes escarpins, sans quitter tes bas, tu vas te poser une pince entre chacun de tes orteils. Je t’ai vu grimacer sur les photos : je suppose que c’est très douloureux".

    "Oh oui Madame, même avec des bas, mais c'est la pince du petit doigt qui fait le plus mal".

    "Ça, je m'en fous totalement : lève toi, jette tes pompes, mets tes pieds à tour de rôle sur la table et pose ces pinces, tes gros nichons gonflés, qui pendouillent en second plan, vont être suffisamment obscènes pour faire bander tous tes voyeurs !".

    J'obéis, pied droit posé sur la table du salon, j'enfonce une pince bien droite entre deux orteils et je passe aux autres. Je finis ce pied et fais pareil avec l’autre.

    Elle me regarde poser les pieds par terre avec précaution, mais elle a bien l'intention de ne pas me laisser en paix : "Mets toi sur la pointe des pieds : je suis sure que tu sentiras beaucoup mieux la pression des pinces entre tes orteils !".

    Je me hisse sur la pointe des pieds, en grimaçant en effet de douleur, et, en me rattrapant de justesse pour ne pas tomber !

    "Hum, je ne me suis pas trompée, je me demande à quoi servent des gadgets hors de prix alors qu'une douzaine de pinces à 1€ fait autant souffrir ! Allez, marche un peu, que je filme ce joli visage contrarié par la douleur !".

    Chaque pas est une torture : les pinces rentrent la soie des bas dans mes chairs. Annie se délecte de ce spectacle et je la vois frotter ses cuisses l’une contre l’autre sous sa longue jupe.

    "Bon, la récréation est terminée !". Elle se lève et m'agenouille au milieu du salon, assise sur mes cuisses.

    "Écarte bien les cuisses et enfile toi ça dans le con". Je m'ouvre le plus possible pour que le vibro qu'elle me tend et, que je connais bien, s'enfonce sans peine au fond de mon vagin plus que lubrifié.

    Quand la poignée de récupération est la seule à dépasser de mon sexe, elle le branche sur une vitesse moyenne, et son ronronnement régulier remplit de suite la pièce.

    Elle semble contente de ma position et la complète en me demandant de mettre les bras et les mains dans mon dos et de bien redresser ma poitrine en me cambrant autant que possible.

    La voyant passer derrière moi, avec les deux paires de menottes, je tends au maximum mes bras et mes mains pour lui permettre de me menotter les poignets et les bras, juste au dessus des coudes, ce qui m'oblige à me cambrer encore plus.

    Elle reste derrière moi pour transformer mes couettes ridicules en une petite queue de cheval qu’elle noue avec la cordelette. Elle passe la cordelette sur la chaîne des coudes et la tire de toutes ses forces en m’obligeant à me casser le cou vers l’arrière.

    Quand elle sent qu’elle ne peut pas la tendre plus, elle la noue à la chaîne des poignets en m'ordonnant de garder la bouche ouverte, la langue sortie et de ne pas fermer les yeux quoi qu’il arrive !

    Elle repasse devant moi : "Hum, te voilà prête pour essayer ton nouveau gadget high-tech !".

    Elle lit le mode d'emploi à haute voix : "Il faut humidifier la base des deux ventouses en caoutchouc pour qu’elles adhèrent bien autour des aréoles, puis chasser rapidement un peu d’air pour les fixer sur la peau et mettre la pompe en route en la positionnant sur la vitesse désirée, tout en s'assurant que chaque palier est bien supporté par l'autre".

    Annie est allée chercher une éponge humide dans la cuisine, et les ventouses entourent agréablement mes tétons, je gémis un peu quand elle en chasse l'air un peu trop brutalement, alors que simultanément, elle augmente la vitesse du vibro, ce qui m'oblige à me tordre comme un vers sans pouvoir échapper au taraudage de mon vagin, ce qui la fait exploser d'un rire horriblement vicieux.

    J'ai peur que son plaisir de me voir souffrir n'augmente au fil des sévices car, je sens qu'elle prend de plus en plus son pied !

    Puis vient le moment tant redouté : elle télécommande, la mise en route du moteur de la pompe : les ventouses sont transparentes et c’est donc elle qui décide de l'allongement de mes tétons sans tenir compte de mes gémissements de douleur.

    M'intimant le silence, elle continue de lire le mode d’emploi : "Quand vous estimez que les tétons sont suffisamment étirés, branchez la pompe automatique : elle agira seule en pompant les tétons comme un être humain ne peut pas le faire et cette action aboutira pour 98% des sujets à un orgasme".

    Samedi 7 Janvier 2017 - 20h00

    La tête penchée en arrière, je ne peux pas voir mes seins, mais je sens que mes tétons, privés d'air se tendent à l'extrême et qu'une ou deux secondes après, le retour de l'air les fait revenir à la normale et ainsi de suite : en fait ils sont pompés par cette machine qui n'est jamais fatiguée, contrairement, comme le dit justement le mode d'emploi, à la bouche d'une femme ou d'un homme !

    Annie, caméra en route, est debout au dessus de moi, filmant chaque réaction de mon visage et chaque variation de la longueur ou de la taille de mes tétons. Elle est aussi détendue que je suis crispée. Je la regarde dans les yeux, totalement ridicule avec ma bouche béante et ma langue sortie.

    Le vibro, infatigable, me taraude le ventre mais jamais personne ne m’a sucé les bouts de mamelles comme cette machine le fait. Annie se penche vers moi pour me mordiller et me lécher l’oreille : "Si tu jouis, tu auras droit à une récompense ma pute en chaleur !".

    Je l'écoute à peine, tout mon corps tremble, on croirait qu'il est devenu entièrement érogène. Je n'en peux plus et je jouis dans un festival de torsions de corps et de cris frôlant les bruits des grands fauves !

    Elle me laisse me calmer un peu et se penche sur ma bouche en me disant : "Voilà ta récompense ma belle jouisseuse". Et après s'être grattée la gorge et avoir longuement salivé, elle pose ses lèvres sur les miennes et glisse doucement dans ma bouche un énorme crachat en me disant : "Avale ce mollard, sale pute, et remercie moi pour ce beau cadeau !". J’ai du mal à déglutir avant de lui dire : "Merci pour votre mollard, Madame".

    Annie se penche de nouveau sur ma bouche, mais ce coup ci, c'est pour m’embrasser, cherchant ma langue pour un baiser passionné qui me semble durer une éternité. J'en suis toute retournée et quasiment émue !

    Elle finit par retirer sa langue de ma bouche. Elle m’enlève, la cordelette, les menottes et la machine à pomper, en me disant : "Allez, ma chérie, nous sommes un peu en retard, tu as peu de temps pour tout remettre en ordre, prendre une douche et te rhabiller ! N’oublie pas ta cuvette de pipi et remet tous tes bijoux !".

    Encore troublée par ma jouissance et par ce long baiser, je me débarrasse des pinces, ôte le vibro que je vais laver dans le lavabo de la cuisine tout en y vidant et en y nettoyant la cuvette. Je range tous les jouets dans notre armoire que je referme soigneusement et je file me doucher en invitant Annie à me rejoindre !

    Elle me regarde en souriant et allume une cigarette, tout en m'en offrant une bouffée et en me disant : "Tu ne peux pas savoir comme je suis heureuse de ce moment passé avec toi mais j’ai besoin d’une réponse franche : est ce que ça a été réciproque ?".

    Séchée, je me rhabille devant elle. Je lui vole sa cigarette et lui réponds avec un grand sourire : "Oooooh, oui ! Plus que réciproque ! Tu es une élève fantastique et je ne pensais pas qu’un plaisir aussi fort pouvait exister si près de chez moi !".

    "Oui ça aurait été dommage de draguer sur le net et de te rendre compte que celle qui te plaît habite en Alaska ! Puis-je en conclure que nous sommes appelées à nous revoir toutes les deux ?".

    "Oui, Madame Annie ! Sauf si tu fais trop de progrès pour moi, ou que je ne te fais plus bander les tétons ou tremper ta moule !".

    Elle rit d'un vrai rire, enjoué, cristallin, véridique : celui que j'aime entendre tout en me disant : "J'arrête de compter tes punitions ! Il y en a trop dans une seule phase !"

    Bras dessus, bras dessous, nous passons au salon, j'allume deux cigarettes, lui propose un apéritif, mais elle préfère, comme moi, un Coca, nous échangeons nos numéros de portables, nos mails et c'est à ce moment là que mes hommes rentrent !

    Je fais les présentations, malgré l'insistance d'Yves, Annie refuse de rester, prétextant qu’elle s’apprêtait à partir car son homme allait lui aussi rentrer, elle me remercie pour ce bon moment et mon excellent café, me fait une bise sur la joue et rentre chez elle.

    Nous sommes le :

    Samedi 7 Janvier 2017

    et il est un peu moins de :

    20h30

    Suite > Chapitre 2


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  • Chapitre 2

    Mercredi 11 Janvier 2017 - 15h00

    J’ai passé trois jours à repenser à ce samedi, par moment je voulais prendre mon téléphone pour lui dire que j’étais allée trop loin et qu’il ne fallait pas recommencer, d’autres fois j’avais envie de l’appeler pour lui avouer que je mourais d’envie de la revoir.

    Mais finalement, j'ai laissé passer les jours et je ne l’ai pas rappelée.

    De son côté, le silence est resté total, et le hasard n’a même pas fait que nous nous rencontrions devant une de nos maisons.

    Ce mercredi après midi, je suis en RTT et mon fils chez Mac Do pour l’anniversaire d’un de ses copains. Je tourne en rond dans la maison sans aucune envie de ménage, fumant cigarette sur cigarette.

    En regardant par la fenêtre, je peux voir sa voiture.

    Elle est donc chez elle, puisqu'elle a un travail à domicile.

    Mercredi 11 Janvier 2017 - 15h10

    En écrasant rageusement ma énième cigarette, je me décide enfin et appelle son portable.

    Quelle déception d’entendre sa boîte vocale ! « Bonjour, c’est moi, je ne suis pas disponible, laissez votre numéro je vous rappellerai ».

    Je coupe sans laisser de message, frustrée. Mais dix secondes plus tard mon propre mobile sonne, je décroche et reconnais de suite sa voix :

    « Alors, ma chérie, non seulement, tu me boudes depuis trois jours, mais en plus tu ne me laisses même pas un bisou sur ma boîte vocale ? ».

    Je ris : « Ah, si tu savais, Annie, depuis samedi, j’ai décroché cent fois mon téléphone pour t'appeler, mais je l’ai raccroché quatre vingt dix neuf fois sans même composer ton numéro ! ».

    Elle éclate de rire : « Eh bien je suis ravie que le centième appel soit passé et que nous puissions nous parler ! As-tu bien dormi samedi soir ? Tu as du passer un bon dimanche familial, je suppose ? Et ce début de semaine au boulot ? Il est 15h passé, donc je suppose que tu ne travailles pas cet après-midi ? ».

    « Je vais essayer de te répondre dans l'ordre : nuit de samedi agitée, sans trouver le sommeil malgré ma fatigue extrême, oui un bon dimanche en famille avec un déjeuner chez mes beaux-parents et le dernier Star-Wars au cinéma pour honorer ma promesse à Jean, sans Yves qui n'aime pas du tout cette saga ! Beaucoup de mal à remettre ma tête au travail alors que mon corps était bien présent ! Et, cet après-midi, je suis en RTT ».

    « Bon, je vois que ce n'est pas la grande forme ! Veux-tu venir à la maison boire un café ou un coca avec Jean ? ». « Il n’est pas là, il a un anniversaire chez Mac Do, et après il va chez le héros de la fête ! ».

    « Ah ! C’est de son âge, alors viens je vais nous préparer un bon café ».

    J’hésite un peu. Elle s’en rend compte : « Viens comme tu es et prends juste tes cigarettes, ça te rassure ? ». Je ris : « Je n’ai pas besoin d’être rassurée, j’arrive ! ».

    Mercredi 11 Janvier 2017 - 15h20

    Elle m’ouvre, nous nous regardons en riant car nous sommes habillées de la même manière, jean, gros pull et bottines : « Tu ne m'avais pas dit qu'il y avait un uniforme RTT du quartier ? ».

    Je souris : « Je ne sais pas pour les autres, mais, moi, quand je ne travaille pas je ne m’habille que comme ça ! ». Elle me fait entrer au salon où la cafetière avec deux tasses est déjà prête.

    Elle nous sert : « Je ne t’ai pas appelée depuis samedi car j’attendais que tu te manifestes. J’ai pensé honnêtement que de nous deux, c’est toi qui avait le plus de matière à réfléchir, et je n’ai pas voulu ni te déranger, ni t’influencer, tu me comprends ma douce Loré ? ».

    « Oui je te comprends. Il est vrai que j’ai beaucoup pensé à ce samedi ». « Et, bien sur, si tu as envie que nous en parlions : quelles conclusions ou impressions en as tu tirées ? ».

    « Oh c’est bien compliqué ! Ça mérite le divan d'un psy ! Pour lui expliquer que j'ai créé un cocktail contenant de la honte, de l'envie de ne pas te revoir, de la peine à regarder mon mari et mon fils, mais aussi de l'envie de t'appeler pour te supplier de ne pas m'abandonner, d'envie de me masturber ou de baiser avec Yves, en me remémorant nos moments forts, gravés en moi comme par un fer rouge ! Pour être très franche, je t'avouerai que j’ai très mal dormi depuis samedi et qu'Yves se pose beaucoup de questions sur l'augmentation brutale de ma libido ! ».

    Elle sourit en posant sa main sur la mienne tout en me tendant un paquet de ma marque de cigarettes. Surprise, je ne pose pas de question et j'en allume deux en écoutant sa propre analyse :

    « C’est vrai que, nous, les nanas, sommes des animaux compliqués, nous voulons tout, mais sans risque, nous rêvons que nous allons au bout de nos fantasmes, mais quand nous y arrivons, nous culpabilisons car ce n'était pas avec la bonne personne, ou que nous nous sommes envoyées en l'air, mais pas avec notre bite légale. Et, à ce niveau, nous voulons descendre au premier arrêt du bus par honnêteté morale ou pour effacer la honte trop forte que nous avons éprouvée à ressentir autant de plaisir dans ce qu'on appelle la trahison ou l'infidélité. Puis, nous passons notre temps à nous reprocher d’être descendues du bus du plaisir, alors que c'était si agréable de vivre à fond, et, surtout sans remord ! Et à rechercher le moyen de remonter dans ce bus, qui risque de ne jamais repasser ! Je te comprends parfaitement ma petite Loré, bien que moins expérimentée que toi, je suis passée par cette phase, mais je l'ai laissée derrière moi, je suis dans le bus du plaisir et j'en suis fière. Je n'en n'ai jamais eu honte un seul instant, et je rêve même d'en être la chef ! ».

    Je reste un peu, étourdie et très très, muette quelques secondes, devant sa rhétorique, avant de lui demander : « Dis moi, Annie, tu es sure que tu n'as pas fait d'études de psychologie ? ».

    « Plus que sure, ma chérie, tu vas être surprise de ce que je vais t'avouer, mais avant, je dois savoir combien d'années d'études tu as du faire après ton bac pour devenir ingénieur aéronautique ? ».

    « Je suis, ce qu'on appelle : une bac+5 ».

    « Eh bien moi, je suis entrée dans la vie professionnelle à 13 ans, en m'enfuyant de France. Jusqu'à mes 21 ans, j'ai visité des tas de pays, eu des dizaines de petits boulots et rencontré des gens très différents qui m'ont tout appris sur la vie, le sexe, les entreprises, leur gestion, la politique, l'économie, la psychologie et surtout, de retomber sur mes pattes comme les chats et d'analyser soigneusement toute les nouveautés pour essayer d'éviter les écueils ! ».

    « Quelle vie fantastique ! Je comprends que cette fabuleuse école de la vie ait fait de toi cette femme mure et à l'aise dans toutes les situations, contrairement à moi qui réfléchis toujours trop avant de me décider ! ».

    « Ah, oui, c'est sur ! Mais en me fréquentant, tu verras que tu deviendras de plus en plus sure de toi, de tes atouts et de ta facilité à t'adapter ! »

    Mercredi 11 Janvier 2017 - 15h40

    Nous sirotons notre café en silence tout en allumant une autre cigarette.

    « Dis moi Loré, je te l'ai déjà proposé, mais veux-tu que je te dise ce que je fais dans la vie ? ». « Avec plaisir, car pendant un moment, Yves et moi pensions que tu ne travaillais pas ! ». Elle rit : « Comme c’est un travail non déclaré, je préfère dire que je suis sans emploi, mais, je suis quadrilingue et web-master ! Tu sais sûrement ce que c’est ? ». « Oui : que tu parles couramment l’Anglais, le Français et deux autres langues et que tu crées et assures la maintenance de sites web et tout ça depuis chez toi, en toute tranquillité et, en toute discrétion ! ».

    « Tu es décidément très forte dans ce qu'on appelait au collège les résumés de textes ! Je vais rectifier une erreur qui vient de moi, je n'ai compté ni le Français ni l'Anglais dans les langues que je parle et écris couramment. Il y en a en fait six, car il faut rajouter l'Espagnol, le Russe, l'Allemand et l'Arabe ! Quant à l’activité Web, les sites que je crée sont des .com domiciliés dans des pays et enregistrés dans d'autres, ce qui les rend introuvables. Et, chaque mois je reçois un simple avis de virements, d'une banque qui est très loin de la France, alors que mes clients français ont simplement viré ma rémunération de leur Crédit Agricole vers ma banque française !. Tu vois comme la vie est simple, et tout ce qu'on peut apprendre à l'école de la vie quand on est un peu curieuse ! ».

    « Je vois que tu es très astucieuse et débrouillarde, ça ne m’étonne pas de toi et de ton Q.I.! Et ces sites sont de quelles natures ? ».

    « Tous les thèmes : vente de vins, commerces ou cours en ligne, en fait tout ce qui nous tombe sous la main en France ». Je ris : « Je croyais que c’était le porno qui payait le plus ? ». « Oui tu as raison, mais ça c'est mon associé américain qui s’en occupe ». « Ah, donc tu ne participes qu'indirectement à ce genre de site ? ».

    Elle éclate de rire : « Y-aurait-il du regret dans ton affirmation ! Suis-moi, je vais tout te montrer ! ».

    Mercredi 11 Janvier 2017 - 15h55

    Elle m’entraîne dans le bureau que j’avais rapidement découvert samedi, place deux chaises devant son ordinateur et l’allume. Elle entre son mot de passe, en me précisant qu’elle est en ordinateur partagé avec Marc.

    « Ah ton mari n’est pas au courant de ton travail ? ». « Il est au courant de l’essentiel, mais comme toutes les nanas j'ai mon petit jardin secret dont, pour le moment, tu fais partie ! ».

    Elle clique sur un favori et une page en Anglais s’ouvre. Elle entre un nick et son mot de passe et se retrouve dans un long menu déroulant.

    « Je t’explique : ce site est payant par carte bancaire. Des amateurs, mais surtout des amatrices, nous envoient gratuitement des vidéos pornos, nous les trions, les montons pour en tirer des clips d'environ vingt minutes, car des études américaines prouvent qu'au delà de cette durée, l'internaute a besoin de nouveauté. Pour celles retenues, nous gardons le son dans sa langue originelle, mais nous les sous-titrons en trois langues : l'Anglais, l'Espagnol et le Français ».

    « Et je peux avoir une idée du nombre de vidéos brutes que vous recevez tous les jours? » « Bien sur : le site existe depuis cinq ans et il a pris son rythme de croisière après trois ans de lourdes pertes. En 2015, il a explosé avec trente vidéos reçues par jour et en 2016 nous sommes passés à quarante ! Depuis juin 2015, nous faisons des bénéfices et nous auto-finançons tout, ce qui signifie... »

    « ...que vous avez une provision pour dettes très raisonnable et un imposant cash-flow ! ». Elle rit ! « J'adore quand tu finis mes phrases, ma petit chérie ! ». « Dans mon job actuel, je ne m'occupe que de commandes et de production, mais de temps en temps le Directeur financier aime bien m'avoir dans son bureau ! ».

    « Pour te consulter ou te peloter ? ».

    « Ma pauvre Annie, si tu le connaissais, il est de la même génération que mon boss et s'il a été sexy à 20 ans, à 70 il ne l'est plus, mais c'est un financier hors pair ! Cela dit, c'est une histoire fabuleuse que tu me racontes là ! ».

    Elle rit ! « Oui, tu as bien raison de le dire ! Et je vais même rajouter qu'elle ne fait que commencer ! ». « Continue, s'il te plaît, je bois tes paroles ! »

    Elle se rapproche de moi et me baise doucement et chastement la joue en me disant : « Maintenant, nous allons pénétrer dans le cœur de la machine à sous ! Quand un client regarde une vidéo, il paye environ 1$ la minute, car le tarif n'est pas identique dans tous les pays : plus aux USA et moins en Espagne. Nos factures sont les plus honnêtes du marché : une minute non consommée n'est pas facturée. Et, si je te cite ce petit geste, qui peut te sembler totalement anodin, c'est que certains de nos concurrents facturent un forfait de dix minutes même si le client n'en a consommé que deux ou trois ! »

    « Bien joué ! Ce sont les détails de ce type qui font les différences, et j'ai en tête un vieux slogan publicitaire d'Europcar qui affirmait : « Quand on est le deuxième il faut être le meilleur ! ». Alors, dis moi, si j'ai regardé cent dix minutes de clips, mais que ma consommation réelle n'est que de cent, ma Visa va être débitée de 100$ qui vont où ? »

    « En fait, à part être obéissante quand tu en ressens la furieuse envie, tu es aussi une sacrée femme d'affaires ! C'est, bien sur, la question qu'il fallait me poser ! 48h après le crédit de tes 100$ sur notre compte, les propriétaires certifiés de la vidéo reçoivent un virement de 40$. Les 60$ restants sont pour la Société. Regarde donc l'écran, tu comprendras mieux le poids de cette Société ! »

    Elle charge un tableau qu'elle me commente :

    « Il y a actuellement 450 clients connectés mais nous passons souvent la barre des 3.000 connections simultanées. La vidéothèque est limitée à 30.000 clips. Chaque dimanche soir : nous enlevons les 1.000 qui ont eu le moins de succès dans la semaine, et, en mettons 1.000 inédits en ligne ».

    « Nous devons donc produire hebdomadairement 1.000 clips, soit environ 170 par jour. Pour ce faire, nous recevons toutes les vidéos sur une seule adresse .com où un ordinateur les visionne et les trie en quelques minutes. Les refusées sont envoyées vers un autre .com qui est un site humain, chargé de confirmer ou d'infirmer son choix : ce qu'on doit appeler chez toi un contrôle qualité. Si le refus est confirmé, chaque expéditeur en est avisé par mail, avec le renvoi de son œuvre, certifiée comme original sans copie, et d'un gentil mot personnalisé expliquant notre refus. Dans le cas, très rare où nos visionneurs dénigrent le jugement de la machine, elle est renvoyée sur le premier .com et reprend sa progression normale ! »

    « Heureusement que vous êtes aidés par des machines, humainement, ce serait impossible ! »

    « Tout à fait exact, mais fin 2017, nous allons supprimer cette section de vérification qui nous coûte douze gros salaires. Nous venons de commander un algorithme qui nous garantit la fiabilité de la décision du nouveau programme à 1 mauvais choix sur 1.000 clips visionnés en moins de dix minutes ! Il vaut une fortune mais sera amorti en moins d'un an ! Et, en plus, nous sommes quasiment certains que l'heureux mauvais choix unique qui aurait échappé à la guillotine, sera éliminé par son mauvais classement en moins de deux semaines ! »

    Je souris et continue à m'intéresser en lui disant : « Les reçues sont triées, les refusées repartent vers leurs expéditeurs, mais quel est le cheminement des retenues ? »

    « L'avantage avec toi, Loré, c'est que tu t'intéresses réellement à une conversation, tu la suis et tu poses chaque fois les bonnes questions : c'est très agréable de parler avec toi, Loré ! Pres-qu’autant que de lire le plaisir que tu éprouves sur ton visage à certains moments ! ».

    Je rosis sans rien dire et elle continue après nous avoir allumé deux cigarettes et resservi du café : « Les sélectionnées sont envoyées par connexions sécurisées vers deux centres de montage ! Chaque centre reçoit donc ? Combien de vidéos à monter par semaine ? »

    « Ne me prends pas pour une niaise ma chérie ! 500 bien sur ! »

    « Bravo, si un centre en reçoit 500 durant la semaine 12 de l'année, ce seront les nouveautés de la semaine 14 : nous travaillons toujours avec une semaine de carence car le travail de sélection des scènes, de découpage des vidéos, qui font parfois quatre heures et, le montage final, avec l'insertion des fondus-enchaînés et même parfois l'incrustation de textes style une semaine après prends énormément de temps ».

    « Quand une vidéo est complètement montée, elle est dupliquée en trois copies HD, l'original, compressé, va vers un centre de stockage hébergé dans une banque de stockage, et chacune des trois copies est envoyée dans un centre de sous-titrage dans trois pays correspondant aux langues des sous titres. L'ultime étape est le retour des trois copies devenues trois originaux sous titrés qui partent chacun vers un stockage indépendant dans un des trois pays après avoir été publiés selon un ordre de publication automatique ! Voilà ce qui se passe, chaque jour, dans notre Société et qui rapporte des millions de dollars par an ! ».

    « Ah, j'allais oublier : nous pouvons assurer la promotion de n’importe quelle vidéo, en la faisant figurer plus ou moins honnêtement dans le top-ten ! Mais si nous n'avons pas de poulain à booster, nous prenons simplement les dix meilleures recettes de la semaine ! ».

    « Quelle belle affaire ! Tu n'as pas du penser que tu allais toucher le jack-pot quand tu as participé à la création de ce site ? ».

    Elle rit : « Je n’ai pas participé à sa création, je l’ai créé avec deux associés américains, dont, l'un d'eux, nous a vendu ses parts pour une bouchée de hamburger, quand nous étions au fond du gouffre. Mais, je crois qu'il est temps que tu saches pourquoi je t'ai montré tout ça ! ».

    « Bien deviné, je suis assez curieuse, en effet, de savoir pourquoi tu me livres autant de secrets d'un coup ! J'ai même pensé que c'était, pour me remercier de t'avoir tout dit sur ma sexualité en un après midi ! ».

    Mercredi 11 Janvier 2017 - 17h00

    Elle sourit sans répondre et revient sur la page d’accueil du site et me donne la souris . « Bien, tu vas cliquer sur bdsm, puis sur serial, et, enfin sur french girl in pain. Tu aboutiras dans une bibliothèque contenant soixante dix dossiers. Chacun porte le nom d'un prénom féminin, suivi d'un N° 1, 2 ou 3 si certains prénoms se répètent ».

    Annie me demande si je sais ce que veut dire french girl in pain et après une réponse positive, elle m’explique que dans chaque dossier il y a des vidéos montrant des femmes françaises en train d’obéir.

    Elle me conseille d’ouvrir le dossier : Laurence. Je clique et je découvre un choix de sept vidéos numérotées. J'ouvre la N°1, et, à ma grande surprise je découvre des images qu'elle a fait de moi, samedi ! J’ai les yeux assez floutés pour ne pas être reconnaissable et les dialogues sont les originaux.

    Époustouflée, je clique sur les autres, c’est toujours moi, mais sans le floutage des yeux !

    « Et tu as fait tout ça depuis samedi ? ». Annie rit : « Non ! J’ai envoyé le film brut à Tom, mon associé. L'équipe en a extrait sept clips, en ne gardant que les séquences les plus excitantes. A ma demande, ils en ont préparé un sur laquelle ils t’ont floutée et sous-titrée en Anglais, car, je ne voulais pas les mettre tous en ligne sans t'avoir vue avant ».

    « Quand j'ai reçu les six clips, et la confirmation de la mise en ligne du N°1, je les ai stockés dans un dossier que j'ai appelé Laurence car c’est le prénom qui se rapprochait le plus de Loréna : ça te plaît ? ».

    Je reste silencieuse avant de lui avouer : « J’avoue que je ne sais que vous répondre, je ne m’attendais vraiment pas à ça ».

    Annie n'a, bien évidemment pas ignoré mon passage du tutoiement au vouvoiement, et elle se fait de suite très rassurante : « Je te précise de suite ma douce Loré, que si ces vidéos te gênent, elles seront effacées sur un simple mail de ma part, mais avant de prendre une telle décision, veux tu avoir un aperçu des réactions des internautes ? ».

    Je me contente d’un : « Oui ça m’aidera peut être à raisonner et à redescendre sur terre ».

    Elle me reprend la souris et entre dans une fiche technique qu’elle me commente :

    « Tu es en ligne depuis lundi après midi, 1.450 clients ont déjà vu ton clip, dont 80% entièrement. Ton code informatique a réalisé 2.900$ de chiffre d’affaires, sur lesquels tu vas toucher 70%, soit tes 40% de droit d’auteur et mes 30% d'actionnaire, puisque je ne compte pas gagner d’argent sur ton dos ! Soit 2.030$ qui font environ 1.930€ ! Les $ seront, pour le moment virés sur mon compte aux USA, et dans 48 heures, je te donnerai l'équivalent en € au taux de change du jour ! Comme je te disais tout à l'heure ! La vie est simple ! ».

    « Quant aux réactions, elles sont claires : 1% t'insultent, 15% t’invitent tous frais payés aux USA, 98% disent qu’ils continueront à suivre tes aventures s'ils voient ton visage, 45% réclament un tchat avec toi, et enfin, 30% te demandent en mariage ! ».

    Je vais décidément de surprise en surprise :

    « Eh bien ! Si je m’attendais à ça ! ».

    Annie, m'avoue : « Pour être franche avec toi, je dois te dire qu’on a un peu boosté ton clip en le classant cinquième du top-ten. Ça m'a semblé être de bonne guerre et Tom m'a simplement dit en Français avec son immonde accent américain : « Ouah ! C'est beau l'amour ! ». Par contre c’est à toi de prendre position sur deux sujets : le tchat avec eux et le non floutage de tes yeux ».

    « Le tchat ? Pourquoi pas, ça ne m’engage guère, mais le non floutage c’est prendre le risque qu’on me reconnaisse ».

    « Bien sur, mais, avant de te décider, tu dois prendre connaissance d'un document. Pour te garantir son authenticité, je te rappelle que tout ce que je te montre vient de la Direction, composée de Tom, de moi, du Directeur Général et d'une secrétaire de direction qui parle huit langues, traduit tous nos documents internes, et s'occupe des relations avec tous nos labos, comme nous appelons nos bureaux décentralisés ».

    Elle ouvre une fiche technique intitulée : mondialisation de la clientèle sur laquelle je peux lire : « 50% USA, 20% Royaume Uni, 18% Europe de l’Est, 10% Asie, et 2% Europe ». Stats effectuées d'après les I.P. : fiabilité 99,99%.

    « Voilà une première réponse : à la louche, ça doit te laisser une chance sur trois cent millions qu’un Européen te reconnaisse et une chance sur sept milliards que ce soit ton mari ! ».

    « Et pour t'éviter la question que tu allais me poser : bien évidemment les 2% d'Européens nous font flipper, car nous dépensons des fortunes pour sous-titrer en Français et en Espagnol. Mais dès que nous aurons les reins assez solides, nous attaquerons à grand renfort de publicité tous les sites bdsm en annonçant que le leader anglophone de la domination féminine en live arrive au Mexique, en Espagne ou en Argentine avec des clips sous-titrés en Espagnol, et la même démarche pour les pays francophones comme le Québec, la France et l'Afrique francophone avec probablement des prix low-coast car nos coûts de production seront quasiment nuls, puisque notre matière première est prête et stockée dans des bibliothèques de données sécurisées ! ».

    « Ce qui fera passer ta malchance d'être vue par ton mari à une sur six milliards ! Par contre, et c'est ton deuxième sujet de réflexion, ton dé-floutage représente 300% de chances de doubler ou de tripler tes gains ! Et, ça, les statistiques te le garantissent à coup sur ! ».

    Mercredi 11 Janvier 2017 - 17h40

    Épuisée par l'énergie qu'elle a utilisée pour argumenter, Annie s'assied, allume une cigarette, me tend le paquet et me dit :

    « J'ai envie de boire un cognac, tu m'accompagnes ? ».

    J'accepte le cognac et la cigarette et remarque que, de mémoire, dans son bureau samedi dernier, il y avait des Marlboro light, elle a donc acheté des Royale Menthol longues pour me faire plaisir ! J'avoue que j'apprécie ce petit geste plein de discrétion !

    Après un long silence, je lui demande doucement :

    « Je peux réfléchir un peu Madame ? ».

    « Mais bien sur Loréna, tu peux tout faire : prendre ton temps sans aucune limite, détruire tes vidéos, refuser ou accepter toutes mes offres ou seulement certaines : tu as une liberté totale sur ton avenir. Mais n’oublie pas l’histoire allégorique de la fille qui descend du bus au premier arrêt, et, qui le regrette toute sa vie. Tu aimes te montrer, t’exhiber, être vue humiliée et servile, tu peux bien sur te réformer, mais en auras-tu vraiment envie ? Je n'en suis pas sure : tu aimes trop ça ! ».

    « Le Web est l’outil le plus puissant pour réaliser tes fantasmes. Tu as été vue d’une manière très intime par 1.450 personnes en deux jours où faudrait-il que tu ailles pour obtenir le même résultat ? Dans 1.450 soirées privées ? En louant une salle de spectacle ? Dans une semaine tu seras à 10.000 vues et, ce, sans bouger de ta maison, sans t’exposer et sans prendre aucun risque. Et pour l’argent gagné, eh bien, quand tu auras envie ou besoin de le dépenser, tu auras des coups de chance à la loterie avec des preuves à l'appui, ou bien une ONG très coûteuse, avec des tonnes de factures. Ne te fais aucun souci, nous avons des supers conseillers, qui ne figurent sur aucun site de pages jaunes, dans tous les pays concernés par notre trilinguisme. Tu es suffisamment intelligente pour savoir qu'un petit empire aussi border line que le nôtre ne se construit pas sans des conseillers qui valent leur pesant d'or ! Et, Yves sera au courant uniquement si tu désires qu’il le soit ».

    « Je vois, vous êtes très convaincante, mais ça me tombe dessus comme le ciel sur la tête, j’ai besoin de recul pour peser le pour et le contre. Je vais juste vous poser une question qui me titille : puisque c’est si lucratif et sans risque, pourquoi ne téléchargez-vous pas des films de vous sur ce site ? ».

    Elle éclate de rire : « Quand tu m’auras vue nue, je te donnerai un pass qui te permettra d’accéder à tout le site gratuitement, et en particulier aux dix huit vidéos que j’ai en ligne. Elles ne sont pas dans ta catégorie, mais je peux t'assurer qu'elles sont assez croustillantes, et, que depuis plus de 3 ans, je les renouvelle régulièrement et qu'aucune d'elle n'est passée dans les 1.000 éliminées de la semaine ! ».

    Je ris à mon tour : « C’est probablement le meilleur argument que vous pouviez me donner, et pourquoi ne pas en informer Marc ? ».

    Je sais bien que tu as besoin d'être rassurée, mais, je vais de nouveau répondre à ta question en essayant de la compléter : premièrement Marc est très jaloux, et je ne suis pas seule sur les clips que tu verras bientôt. Deuxièmement : nous ne sommes pas dans la même catégorie sexuelle, et, quand tu connaîtras la mienne, tu comprendras vite pourquoi je ne prends pas une page de pub dans le journal pour l'annoncer à tout le monde. Et, pour terminer je t'ai parlé des jardins secrets des nanas ! ».

    Je ris de bon cœur : « Vous êtes décidément très coquine et supérieurement intelligente ! ».

    « Si tu veux faire un concours pour déterminer qui de nous deux est la plus coquine et/ou la plus intelligente, pourquoi pas ? Mais j’ai peur d’un beau match nul ! ». Je rougis : « Oui vous avez raison, mieux vaut ne pas nous engager sur ce terrain ! ».

    Elle déconnecte son ordi et va préparer du café.

    Je la suis dans la cuisine, en voyant la pendule je m'exclame : « Oh, moi qui n'ai jamais de montre : j’ai promis à Jean de le reprendre vers 18h chez son ami après le Mac Do, je vais donc devoir y aller ».

    « Pas de problème, file vite, ne fais pas attendre ton fils ».

    Nous sortons sur le pas de la porte, il tombe quelques flocons de neige : « Les enfants vont être contents ! ». « Oui mais moi je serai heureuse de rester chez moi ! ». « Oh moi aussi, je déteste la neige, mais s’il y en a assez, samedi mes hommes iront faire du ski, ton mari sera là ? ».

    Annie sourit de cette invitation presque mendiée : « Ne te fais pas de souci, si tes hommes vont skier, je m‘arrangerais pour être seule, nous en avons trop envie toutes les deux ! Je me trompe pour toi ? ».

    Je rougis violemment : « Pourvu qu’il neige des tonnes de neige sur les pistes ! ». Annie s’approche de moi, m’embrasse tendrement sur la bouche, me caresse doucement un sein en me disant : « A samedi ma petite pute adorée, et reste bien chaude et mouillée pour moi ! ».

    Jeudi 12 Janvier 2017 - 19h00

    Il neige tellement, que les petites routes départementales sont coupées.

    Je téléphone à Annie : « Les anciens du village n’ont jamais vu autant de neige depuis 20 ans ! ». « Oui, on ne peut pas sortir, mais de ma fenêtre je vois le bonhomme de neige qu’a fait Jean, il est très beau, dis le lui, à demain au téléphone, ma Chérie ».

    Vendredi 13 Janvier 2017 - 19h00

    Annie m’appelle : « Je vais bientôt être coincée chez moi, la neige s’accumule ! ». « Moi aussi, mais ce n’est pas grave, je vais pouvoir me préparer à recevoir une gentille voisine qui a promis que nous nous verrions, même s'il fallait faire fondre la neige avec des bouteilles d'eau chaude ! ».

    « Hum, c'est bien de pouvoir compter sur sa voisine, mais tu es sure qu'elle est aussi gentille que tu l'annonces ? ». « Elle est d'humeur changeante, mais j'aime beaucoup ça, car j'adore les surprises, tiens à propos de visite et de surprise ! Yves et Jean vont skier demain toute la journée : ils partiront vers 8h30 et la météo annonce un beau soleil donc blocage des routes ou des pistes ! ».

    Elle éclate de rire : « Quelle coïncidence ! Marc va skier aussi avec des amis, je crois donc que je vais rester sous ma couette ! ».

    « Ma pauvre Annie, et toute seule en plus ? ». « Je ne sais pas encore si j’aurai de la compagnie, je te le dirai demain : je t’appelle vers 9 heures, ça te va ? ». « Entendu, Madame ».

    Et nous raccrochons en même temps.

    Très contente, mais un peu perdue et émue, je refais son N°, elle me répond : « Tu as oublié quelque chose ma chérie ? ». « Oui, Madame, juste de vous dire : « Vivement demain »».

    Et je raccroche rouge de plaisir et d'envie d'elle !

    Cette nuit là, et je suis presque sure que c'est la première fois depuis que nous nous connaissons, que je me refuse à Yves en inventant un malaise digestif. Comme je ne suis pas coutumière du fait, il ne m'en veut pas le moins du monde, se colle à moi, me prend dans ses bras, et s'endort alors que je fantasme sur mon samedi avec ma nouvelle Maîtresse, déjà vénérée !

    Et, ce, sans aucun remord, car je sais bien que dans toutes les histoires d'amour ou de cul, la période de passion n'est pas éternelle et que c'est toujours le grand amour qui triomphe, donc, mon tendre Yves que j'aime et que je désire plus que tout au monde ! Mais... Ce soir c'est différent !

    Samedi 14 Janvier 2017 - 9h00

    Annie m’appelle : « Bonjour ma douce Loré, j’ai vu le 4x4 de ton mari partir, les copains de Marc sont passés un peu avant ». Mal réveillée d'une nuit où j'ai beaucoup fantasmé, je suis un peu émue et j’ai du mal à répondre.

    « Je te sens mal réveillée : tu sais ce que tu vas faire ? Tu vas prendre une bonne douche, faire tes deux petites nattes que j'adore. Puis tu iras dans ta chambre pour enfiler des bas sexys, une jupette très très courte, sans culotte, un chemisier très très transparent, sans soutien-gorge et des mules à talons. En allant vers la cuisine, tu passeras dans le salon pour ouvrir ton armoire aux trésors et tu fileras nous préparer un super bon café comme tu sais le faire ! Ah ! Une question : as-tu un presse-agrumes ? J'ai acheté cinq kilos d'oranges à jus, pleines de vitamines, ça nous ferait du bien ! ». « Oui, j'ai ça dans mes appareils, c'est une excellente idée, Madame ! ».

    « Bien, je serai chez toi dans une demi-heure. Ça te convient ? ».

    Je ne réfléchis pas : c’est moi qui ai demandé cette journée, autant lui confirmer de suite ma soumission : « Bien sur, Madame, tout sera prêt et la porte déverrouillée ». Elle rit : « Bien à tout de suite, je te sens très impatiente, ma chère petite esclave ! ».

    Samedi 14 Janvier 2017 - 09h30

    J'entends deux petits coups à la porte, qu'elle ouvre et verrouille derrière elle : nous voilà toutes les deux, seules, pour une journée qui s'annonce chaude et forcément trop courte !

    Le café est passé et je suis habillée comme elle me l'a demandé.

    Elle est enfin devant moi, dans le hall, je n'ose pas la dévisager ou l'embrasser, mais, je la déshabille des yeux : elle porte un gros manteau de fausse fourrure, une longue jupe de laine et des bottes à talons hauts.

    Un petit sac de cuir à la main, elle soulève ma tête en me prenant par le menton et me regarde droit dans les yeux, puis elle me les baisse : je constate que mon chemisier ne cache pratiquement rien de mes seins.

    Elle m’embrasse tendrement sur la bouche en me disant : « Tu bandes déjà des tétons ! ». Je ne réponds rien et, je l’aide à ôter son manteau sous lequel elle porte un chemisier noir opaque.

    « Venez au salon, Madame, la cheminée va vous réchauffer ». « J’ai du marcher dans la neige pour venir chez toi, tu peux aller me chercher un torchon s’il te plaît ? Sinon je vais en mettre partout ».

    « Bien sur Madame, de suite ». Je reviens de la cuisine avec un torchon propre, Annie est restée debout dans l’entrée, à côté du porte manteaux. Elle s’appuie au mur et lève un pied pour me permettre d’accéder à sa semelle, en effet très humide. Je me mets à genoux devant elle et fais mine d’avancer le torchon vers sa semelle.

    Elle rit : « Non ! Le torchon c'est pour essuyer tes coups de langue ! Quand tu auras bien léché mes semelles, mes talons et le cuir de mes bottes tu pourras passer un coup de torchon, mais pas avant ! ».

    Je rougis et, sans la regarder, je change légèrement de position, pour mieux baisser la tête et poser ma langue sur le cuir de sa botte. Elle me l'enlève brutalement, en m'ordonnant de commencer par la semelle, car c’est elle qui est la plus sale et la plus mouillée. Elle prend une position de flamand rose en croisant la botte que je dois nettoyer sur sa cuisse, ce qui me permet d'accéder à sa semelle. J’entends un bruit de fermeture éclair et j’en déduis qu’elle sort quelque chose de son sac.

    Sans la regarder, je m‘exécute, et ma langue parcoure sa semelle.

    Elle est, heureusement, en cuir lisse, et je la lèche sans difficulté. Elle est rapidement très propre. Je dois encore changer de position pour faire pareil au talon qui finit dans ma bouche, sucé et pompé comme une petite bite.

    « Tu sais pertinemment que j’aime que tu fasses du bruit quand tu pompes quelque chose, alors applique toi putain ». J’entends le bruit caractéristique de la caméra vidéo. Je salive et fais entrer et sortir le talon de ma bouche, en accentuant mes bruits de succion.

    Je sens son regard et son objectif ne rien perdre de ce que ma bouche et ma langue font : « Ça a l’air propre, occupe toi du dessus à présent ». Ma langue passe sur sa botte et je lèche le cuir sur toute sa hauteur :

    « Bravo, elle brille bien » me dit-elle quelques minutes plus tard : « Mets le torchon par terre, je vais y poser ma botte propre pour que tu puisses t’occuper de l’autre ».

    Comme pour l'autre, je lèche sa semelle, je pipe méticuleusement son talon avant de finir en lustrant le cuir de sa botte avec ma langue et ma salive. « Tu es une bonne nettoyeuse de bottes. Allez, un coup de torchon pour les sécher et bien les faire briller ! ». Imitant un cireur de chaussures, je m‘applique à les frotter comme je les ai vu faire, ce qui les sèche et les fait briller très rapidement.

    « C’est bien : alors tu m’offres ce café ? »

    Samedi 14 Janvier 2017 - 10h00

    Elle entre au salon et s’assied confortablement dans le canapé, je lui sers une tasse et la pose à sa portée. Je vois sa caméra qui ne perd aucun de mes mouvements.

    « Avant de te servir, je veux que tu enlèves tous tes bijoux, tu n’as qu’à les mettre dans cette sous-tasse ». Je m’exécute et ôte mon collier, mon bracelet, mes boucles d’oreille, ma bague de fiançailles et mon alliance. Elle sourit et sort de son sac une chaîne à laquelle est accrochée une alliance : « Mets ça autour du cou ».

    La longueur de la chaîne fait que l’alliance se coince juste dans le sillon de mes seins : « C’est exactement là où je la voulais. Je l’ai faite graver à ton attention, tu veux lire à haute voix ce qu’il y a d’écrit ? ».

    Curieuse, je lève la chaîne et lis la gravure. Je rougis une fois de plus en lisant : « J’appartiens à Annie ». « Tu as tort de rougir, j’ai refusé la proposition du graveur qui me suggérait : « Je suis la pute d’Annie ! ». Tu aurais rougi encore plus fort tu ne crois pas ? ». Je me calme, laisse glisser l’alliance entre mes seins et lui réponds : « Merci pour ce beau cadeau qui m'attache encore un peu plus à vous, Madame ».

    « Quand tu devras rencontrer Madame Annie et quelque soit le lieu de ta séance d'obéissance, tu devras venir au rendez-vous en ne portant que ce bijou et jamais aucun sous-vêtements. C’est entendu ? ». « Oui, Madame, je n’oublierai pas ». Annie me regarde boire mon café en souriant :

    « Alors, tu as pensé à moi depuis la semaine dernière ? ». « Oh oui, Madame, très souvent, sans oser vous appeler avant ce mercredi, et encore plus, après l'après midi que nous avons passé chez vous, et surtout, depuis deux jours, en attendant de vous rencontrer ». « C’est bien, j’aime beaucoup qu’on pense à moi tu sais. Mais, moi aussi j’ai pensé à toi toute la semaine, bien sur en visionnant tes films, mais aussi en faisant l'amour avec Marc ! ».

    « Vous avez pensé à moi avec votre mari, Madame ? ».

    « Oui et je ne te mets même pas au défi de me dire quand, comment, et pourquoi je pensais à toi ! Car tu n'as aucune chance de trouver la bonne réponse ! » Elle me regarde en coin, sentant que j'ai hâte de savoir pourquoi j'ai eu cet honneur ! Mais je ne réclame rien !

    « Je vois : par fierté, tu ne veux pas mendier ma réponse, eh bien, je ne vais même pas te punir, car elle va sûrement t'humilier pour le restant du weekend ! Tous les soirs, pour terminer nos séances de baise, je demandais à Marc de m’enculer en levrette, le cul en pointe et, pendant qu’il jouissait en moi, je pensais à toi : à poil, enculée en levrette sur le lit de ton petit chéri, le gode double défonçant ton trou à merde jusque dans tes intestins, alors que tu te travaillais la connasse avec sa peluche préférée ! Tu ne peux pas imaginer la puissance des orgasmes que j’ai eus en pensant à toi ! J’ai presque envie de te remercier ! ».

    Je ne sais trop quoi répondre et je baisse les yeux sans qu’aucun son ne sorte de ma bouche. Elle rit de ma gêne et de mon absence de réaction, ce qui, est, réellement une vraie punition !

    Samedi 14 Janvier 2017 - 10h15

    « Dis moi, ma petite bonniche préférée. J’ai pensé à quelque chose cette semaine, comme tu travailles toute la semaine, et que je n’ai pas vu de femme de ménage chez toi, il ne te reste que le samedi et le dimanche pour faire ton repassage et entretenir ta maison. Je me trompe ? ».

    « C’est vrai, Madame et c’est en principe le samedi que je fais ça ». « Mais si nous nous voyons régulièrement le samedi, ça va changer ta vie et ton linge à repasser va s’entasser ? ». « La semaine dernière je me suis levée très tôt le dimanche pour me mettre à jour ».

    « C’est louable, mais cette semaine, nous allons faire différemment. Et je vais même t’aider pour le repassage. Alors va vite chercher ta table à repasser, ton fer et la pile de vêtements à repasser. Et installe tout ça dans le salon, tu verras comme ça va aller vite ».

    Je suis un peu surprise par cette réaction et cette aide, mais je m’exécute, n’ayant pas très envie de me lever à 5h le lendemain, dimanche. Quelques minutes après, tout est installé, la corbeille pleine de linge est sur une chaise et le fer est branché. Annie me regarde faire en souriant. La planche à repasser est installée perpendiculairement au meuble du salon dans lequel les deux portes de mon armoire secrète sont ouvertes.

    Annie se lève et fouille dans l'armoire, sans me regarder, tout en me conseillant de me mettre à l'aise en enlevant mon chemisier.

    Je déboutonne les 4 boutons de ma blouse que j’ôte et que je pose sur le dossier d'un fauteuil. Annie se rapproche, tapote mes seins nus pour les faire tressauter et, en passant derrière moi, elle me met un collier de cuir autour du cou en le serrant un peu trop fort. Puis, toujours par derrière, elle me glisse dans la bouche la boule de latex d’un bâillon, et, serre très fort l’attache derrière ma nuque.

    Je ne peux que mordre la boule en grognant, un aller et retour sur mes joues me calme un peu.

    Elle repart vers l'armoire et en revient avec un ceinturon de cuir, elle m'oblige à lever mes bras et elle me ceinture juste sous les seins, en comprimant fortement ma respiration. Toujours collée à mon dos, elle prend un nichon dans une main, et de l'autre, elle me pose une pince de métal lourdement lestée sur le téton, et fait de même à l'autre sein, sans un commentaire pour mes grognements de douleur !.

    « Voilà pour le haut. Enlève ta jupette à présent ». Je me penche un peu, les pinces lestées suivent malheureusement mon geste et me font grimacer de douleur. J'arrive toutefois à dé-zipper ma jupe et à la faire glisser à mes pieds. Agenouillée, je la récupère et elle rejoint mon chemisier sur le dossier du fauteuil, mais j'ai beaucoup de mal à me relever.

    Elle revient de nouveau de l'armoire avec deux vibros internes et leurs télécommandes : « Tu vas en glisser un dans ton vagin. Sans le lâcher, tu vas multiplier les allers retours dans ton con, pour bien le lubrifier, avant de le retirer pour t'enculer avec. Une fois le cul bien rempli, tu te défonceras le con avec l'autre. Mais, attention, tu n'auras rien pour les empêcher de glisser : alors serre bien les cuisses, et ne m'oblige pas à te punir pour en avoir perdu un en route ! » .

    Je me penche et écarte largement les cuisses en pliant un peu les genoux, je pousse lentement le premier vibro en moi. Étant déjà trempée, il entre sans aucune difficulté. Je le tourne en moi et me pilonne un peu pour bien le lubrifier, et, devant l'objectif de la caméra, je le retire pour le poser sur mon anus encore fermé. Je pousse, en essayant de me décontracter au maximum, mon anus résiste, mais l’anneau finit par céder et le vibro entre dans mes fesses jusqu’à ce que seul le bouton-poignée dépasse de mon petit trou. Je suis de suite rassurée, car mon anus s'est refermé tout seul sur un rétrécissement du vibro et je sens qu'il ne pourra pas glisser de mes fesses.

    Je mets l’autre bien au fond de mon vagin : « Parfait, serre bien les cuisses, je les mets tous les deux en route ». Elle les enclenche d'un seul mouvement, sur une vitesse rapide.

    Les puissantes vibrations m’obligent à onduler du ventre, comme si j'exécutais une danse du ventre, Annie me filme en gros plan, sans omettre un seul petit détail ou une seule petite réaction !

    Elle semble contente de ma préparation au repassage, mais visiblement elle n'en n'a pas fini avec moi !

    Elle pose sa caméra sur la télé en veillant à ce que je sois bien cadrée : « Tu es si maso que j’ai peur que tu n’aies pas assez mal aux nichons ma pauvre salope ! ». Elle repart vers l'armoire pour revenir avec trois barrettes de huit grosses pinces à linge en plastique.

    Debout, devant moi, elle s’applique pour en poser huit en étoile autour de mes écraseurs de tétons, tout en s’assurant vicieusement qu’elles ne peuvent pas glisser, en les tirant, une par une, sans les ouvrir !

    Je n'ai même pas la liberté de crier pour extérioriser ma douleur, je peux juste grogner comme un animal et essayer d'esquiver la future pose d'une pince pour éviter, totalement en vain, la douleur du pincement sur le sein.

    Tout en bavant abondamment sur la boule qui remplit ma bouche grande ouverte, ce qui l'empêche de retenir ma salive qui coule, quasiment en flot continu, sur mes nichons martyrisés.

    « Bonne nouvelle, ma pétasse ! Te voilà enfin prête : tu peux commencer à repasser en prenant bien ton temps, et si tu dois faire des pauses pour t'envoyer en l'air, ne te gêne pas, mais préviens moi à l'avance pour que je prépare ma caméra ! ».

    Elle se rassied dans le canapé, la caméra me filme en pied, à poil des cheveux à la limite des bas, cambrée sur les talons relativement hauts des mules d'intérieur et les seins déformés, douloureux et souillés.

    Côté sexe, je dois serrer les cuisses pour ne pas perdre le vibro de mon con, mais, comme prévu, je n'ai pas de problème avec mon cul, qui retient parfaitement bien le deuxième sex-toy.

    J'essaye de me calmer et de faire la différence entre les douleurs excitantes et les insupportables, pour repasser efficacement chaque pièce que je sors de la corbeille à linge.

    Annie me frôle pour aller se resservir une tasse de café dans la cuisine. Elle revient en la buvant, pose sa tasse sur la table à repasser, allume une cigarette en me soufflant sa première bouffée sur le visage, et, sans me quitter des yeux, elle me tapote le cul en me soufflant : « Tu es vraiment une très bonne esclave, je vais voir avec ton mari s'il accepte de te vendre ! ». Elle repart vers le canapé en riant !

    Samedi 14 Janvier 2017 - 10h50

    Je résiste aussi longtemps que je le peux, mais chaque mouvement m’oblige à balancer mes seins et me tend les bouts de plus en plus sensibles et douloureux.

    Plus bas, les deux vibros me taraudent le ventre et les fesses, et, plus haut, je bave comme une chienne enragée, ce qui, je ne sais absolument pas pourquoi, me surexcite quand la salive tombe sur mes seins.

    Pitoyable je regarde Annie dans les yeux, elle sent que je ne vais pas tenir très longtemps. Elle se lève et s’approche de moi, je pense naïvement que c'est pour mieux filmer mon orgasme, mais, elle reste derrière mois et me murmure à l’oreille : « Tu as envie de t’envoyer en l’air, n’est ce pas ma pute en chaleur ? ». Je fais oui de la tête, en me tortillant, comme si je me retenais de faire pipi. Elle m’enlève le bâillon-boule : je ne peux m’empêcher de gémir malgré le flot de salive qui s'échappe de ma bouche libérée.

    Elle me gifle violemment en me criant : « Retiens toi encore un peu, sale dévergondée ! ». Je prends l’insulte en plein visage, presque plus fortement que la gifle. Elle est énervée et, revient de l'armoire avec deux autres barrettes de pinces qu’elle me pose sur les seins, entre celles qui sont déjà posées.

    Chaque pose est une torture, mais, en souriant vicieusement, avec sa moue de mépris que je commence à bien connaître, elle se régale de mes cris de douleur et de mes tentatives ridicules pour échapper à chaque pose.

    Elle prend sa caméra dans une main, et m'ordonne d'une voix que je ne lui connaissais pas encore : « Enlèves tes vibros de tes garages à bites, je te veux vide devant ta table à repasser, cuisses largement ouvertes ».

    Contente d'apprendre que je vais être un peu soulagée, je me penche en écartant les cuisses : le vibro du vagin glisse tout seul, mais je dois forcer pour expulser celui de l’anus, alors que cette position augmente un peu plus la douleur de mes tétons.

    « Très bien, à présent, le dos tourné à ta table de repassage, tu vas sourire gentiment à la caméra et branler tes bouts de mamelles pincés jusqu’à la jouissance. Je te voulais les orifices vides et je tiens à ce que tu gardes les cuisses bien écartées, pour ne pas pouvoir te les frotter l’une contre l’autre : la caméra va prouver que tu peux t'envoyer en l’air seulement en te branlant et en te triturant tes bouts de nichons de bourge vicieuse et dépravée ! ».

    Je suis tellement excitée, que je prends les écraseurs dans mes deux mains, et je me branle les deux tétons, les yeux fermés, le corps tétanisé par la quête du plaisir, en gémissant comme la femelle excitée sans pudeur que je vais montrer aux voyeurs de ce clip, tout en sachant que j'ai déjà essayé une bonne demi-douzaine de fois de jouir de cette manière, mais, sans y arriver.

    Annie insiste pour que je souris en gros plan à la caméra tout en me faisant du bien: « Allez prouve moi qu'une truie aussi vicieuse que toi, peut jouir de ses bouts de mamelles, comme de son cul ! ».

    « Oh non Madame, si j'y arrive, ce sera la première fois ».

    « Hum, j’ai du mal à te croire. Mais on verra les réactions de ceux qui te verront jouir comme ça, si ce que tu dis est vrai, cette orgasme sera un tsunami financier, car tu deviendras : la salope française qui jouit en se branlant les seins. Tiens à ce propos : sans que tu n'arrêtes de te masturber, on va parler un peu affaires ! ».

    « Je suis sure que ça ne te dérange pas, mon paillasson accueillant ? Il va falloir que tu me disent si je peux publier tes clips sur notre site ? Et si oui, comme je le présume, avec le visage flouté ou découvert ? Tu sais qu’en ne cachant rien, tu vas faire fortune ! Tu te souviens de ce que je t’ai dit ? ».

    Surprise par cette interrogation que je n'attendais absolument pas au moment où mes bouts de seins commençaient à m'envoyer dans un monde inconnu, je lui réponds d’une voix presque chevrotante : « Oui, Madame, je n'ai pas oublié un mot de notre conversation mais... ».

    Elle me coupe brutalement : « ... il n’y a pas de mais, ma putain, les réponses auxquelles tu as droit sont : oui ou non pour le site et flouté ou découvert pour la mise en ligne ».

    Sans tenir compte une seule seconde que je suis au bord d'une jouissance phénoménale, elle continue d'une voix monocorde comme si nous parlions business ! : « Je t’ai apporté deux contrats : en signant celui dont le titre est surligné en jaune, tu acceptes d’être mise en ligne avec le visage flouté et si tu signes celui qui est surligné en vert pâle, tu seras mise en ligne visage découvert. Et si tu déchires les deux, j'envoie de suite un mail à Tom pour lui demander de détruire tes vidéos. Je continuerai à te filmer, mais ce sera pour nos collections personnelles et notre dernière rencontre ».

    D'un revers de main, elle fait tomber tout ce qu'il y a sur la planche à repasser et y pose les deux contrats, côte à côte avec un stylo.

    « Continue de te faire du bien, je vais cadrer la caméra pour fixer cet instant inédit. J'entendrai ton plaisir depuis les toilettes. Dès que tu auras joui, prends le temps de récupérer, enlèves toutes tes pinces, allumer une cigarette et sers-toi un double-cognac. Lis attentivement les deux contrats qui ne font que trois pages chacun. Je reviendrai dans vingt minutes ! C'est le temps que tu as, pour suivre tous mes conseils, et pour signer l’un des deux contrats ou les détruire ».

    Elle m'embrasse l'oreille, me tape gentiment le cul du plat de sa main et quitte la pièce en me disant simplement : « Fais le bon choix ma chérie, ta main qui tient le stylo détient tout ton avenir ! ».

    Samedi 14 Janvier 2017 - 11h10

    Restée seule, je tends l'oreille, attentive à tous les bruits qu'elle peut faire : j’entends la chasse d’eau, la porte des toilettes se fermer. Des bruits d'eau dans la salle de bains et la porte s'ouvrir et se refermer plusieurs fois.

    Je n'ai pas de montre, seule une pendule décorative du salon me donne une idée du temps écoulé. Les vingt minutes doivent être écoulées, car, elle revient dans le salon, vêtue d'un de mes peignoirs de bains et de chaussons assortis. Elle m'observe en souriant : totalement nue, mais sans aucun sex-toy sur ou dans moi.

    Elle se dirige vers le canapé, d'où je me suis levée immédiatement en la voyant entrer, en passant elle frôle la table se salon, et, je suis sure qu'elle voit parfaitement qu’un des contrats est signé et que l’autre est déchiré. Elle ne semble pas perturbée, ni pressée de savoir lequel j'ai accepté, il faut dire que la couleur du surlignage se voit d'assez loin, et celui qui reste est surligné en vert !

    Elle assied confortablement et me dit : « Hum je vois que tu as choisi de prendre le bus du plaisir à visage découvert, c’est bien ma pute tu vas être très riche, mais pas forcément célèbre ! Et, je te jure que tu pourras compter sur toute mon aide pour y arriver ! ».

    « Je vous ai simplement fait confiance, Madame ».

    Elle me sourit étrangement. « Tu me fais confiance ? Approche toi ». Je m’avance vers elle, et j'encaisse une formidable paire de gifles. Tellement forte que je me tiens les joues à deux mains pour atténuer les brûlures des marques de doigts.

    « Tu n’es pas là pour me faire confiance, tu es simplement là ... », d’un mouvement brusque, elle ôte ses deux chaussons dévoilant ses beaux pieds nus : « … pour me lécher et vénérer mes pieds ».

    Elle empoigne mes nattes pour me forcer à me mettre à genoux devant elle et présente un de ses pieds à ma bouche qu'elle force pour y entrer quatre de ses orteils que je lèche et suce avec un grand respect. « Suce bien ma pute et n’oublie pas de pomper chaque orteil en faisant du bruit. Ta bouche de pipeuse a dix petites pines à pomper, alors applique toi bien ! ».

    J’ai mal aux commissures des lèvres à force de lui sucer les orteils et les pieds, mais quand je pense qu’elle va me dire d’arrêter, elle insiste pour sentir ma langue entre ses orteils.

    Elle ronronne, j’ai l’impression que ma langue sur ses pieds l’excite au plus au point, et ce doit être vrai car elle me fait une confession inattendue : « Il faut tout de même que tu saches, mon concentré de salope vicieuse, qu'en suivant l'intensité de tes cris, quand j'étais assise sur la cuvette des chiottes, je me masturbais, culotte baissée sur les pieds, jusqu'à ton fantastique orgasme qui m'a envoyée au Paradis en même temps que toi ! ».

    Je ne peux rien répondre, car elle ne retire pas son pied de ma bouche. Je l'entends fouiller dans son sac qui doit être près d'elle, elle cale la caméra et compose un N° abrégé sur son portable.

    « Bonjour Tom, c’est Annie ». « Je suis désolée de te déranger mais c’est très urgent ». « Le contrat avec Loréna est signé, tu peux demander à l'équipe d'enlever le floutage : ses fans seront contents ! ». « Oui, c'est une excellente nouvelle pour elle et nous ! Si elle est avec moi ? Oui nous sommes ensemble ! Bien je te la passe ».

    « Tom, mon associé : il veut te parler ». Elle retire ses orteils de ma bouche et met le téléphone en main libre. « Bonjour, Monsieur Tom, je suis Loré ». « Hi !Loré, j’ai beaucoup aimé ta longue vidéo et mon équipe a eu beaucoup de mal à la monter, car toutes les scènes étaient excitantes ! Je sais qu'Annie est excellente avec une web-cam, mais je découvre que tu es une actrice très naturelle, super fraîche, pas du tout star du porno et que, visiblement, tu adores ce que tu fais, et non pas ce qu'on t'ordonne de faire ! ».

    « Merci, Monsieur Tom, j'aime le sexe et le bdsm, je ne l'ai pas caché à Annie et, même si tout est allé un peu trop vite pour moi, je suis heureuse d'entrer dans votre bibliothèque parrainée par une amie aussi chère qu'Annie ! »

    « Shit for Mister Tom ! My name is Tom, and Tommy for you, my dear ! ». « Oh, thank's, Tommy ! ».

    « Cela dit, tu as bien fait de choisir le visage découvert. Non seulement, tu vas multiplier ton audience, mais surtout fidéliser de suite des tas de clients qui auront hâte de découvrir tes prochaines aventures, et, là je compte sur Annie et toi pour les imaginer, les tourner, bien évidemment sans que ça ne prenne tout ton temps ! Annie m'a raconté à peu près tout ce que je devais savoir sur toi : une belle famille avec un super fils, un mari adorable, deux excellents jobs dans la famille, beaucoup de relations et une vie très cosy dans une super maison ! Alors, il ne faut rien changer, mais juste te créer quelques plages de temps libre pour tourner, non pas des heures de bdsm, mais des clips denses, super mouillants, car nous avons presque 45% de nanas comme clients ! ».

    Annie reprend la parole en disant à Tom : « Rassure-toi, tout cela est prévu et si tu veux connaître la définition de Loré pour moi et pour notre compagnie : elle sera notre statuette extraordinairement chère et fragile dont il faudra faire très attention, sauf pour ceux ou celles qui auraient envie de me déplaire ! ». Tom, qui doit très bien connaître le caractère, parfois peu commode d'Annie, se contente d'éclater de rire et ne répond rien, mais Annie a envie de jouer un peu à trois et elle me dit à haute voix :

    « Loré, dis à Tom comment tu es en ce moment, et ce que tu fais. Il aura un avant goût du film qu’il recevra dans la nuit ! ». Annie me voit hésiter : je ne m'attendais pas à une telle demande ! : « Vas y ma petite pute : Tom sait qui tu es, il a eu droit à l’intégralité de ton film, alors vas y nous t’écoutons ! ».

    Je dois m’éclaircir la gorge avant de lui dire à haute voix : « Tommy, je suis nue et à genoux devant Annie, je porte juste des mules à talons hauts, des bas, l’alliance qu’elle m’a offerte qui indique que je suis sa possession et un ceinturon sous les seins pour mieux les offrir, et, c’est comme ça, que je suis en train de sucer et lécher ses pieds et ses orteils nus ».

    Tom rit : « Je vois que vous ne vous ennuyez pas toutes les deux ! Tu lui lèches les orteils que tu as vernis toi même la semaine dernière : tu dois te régaler ! ».

    Annie rit. « Oui c’est bien ça ! Désolée, elle ne peut pas te répondre, elle a plein d'orteils dans sa bouche de salope et elle fait son travail comme si on le lui avait enseigné à l'école maternelle ! Mais tu le verras sur le film que je t’enverrai tout à l’heure. Allez on te laisse. Je t’appelle demain. Bises de nous deux, Tom ». Et elle raccroche en reprenant sa web-cam, pour se rattraper en gros plans de ma langue, lui léchant les intervalles entre ses orteils !

    Samedi 14 Janvier 2017 - 11h40

    Elle retire son pied nu de ma bouche, et me repousse en le posant sur mon visage tout en me disant : « Lève toi et va prendre un un bandeau pour les yeux dans ton armoire et mets-toi-le ».

    Après être restée aussi longtemps à genoux, je me relève un peu péniblement et me pose un masque de repos sur les yeux.

    A partir de ce moment là, c'est la voix d'Annie qui me guide, et ses bruits sont les seuls que je peux traduire : des froissements d’étoffe me font pense qu'elle est en train de se déshabiller.

    Elle me remet à genoux devant elle. Elle me tire par ses nattes qu'elle aime tant et me relève la tête pour ma frotter sur ses genoux et ses cuisses nues, jusqu’à ce que ma bouche bute sur sa chatte ouverte et très humide.

    Sa voix devient plus dure quand elle m'ordonne, très crûment, de lui bouffer la chatte et de bien faire mon boulot de salope en lui prouvant que je ne suis pas seulement la Reine des pipeuses !.

    Je suis surprise qu'elle n'ait rien ajouté à ma ceinture, mon pendentif, mes bas et mes mules. Telle que je suis placée, ma langue peut lécher sa chatte qui est déjà trempée.

    Elle a ouvert très largement ses cuisses, et posé ses pieds probablement nus sur le rebord du coussin du canapé !

    Elle est très confortablement installée, et je me demande, même, si elle ne s’est pas mise totalement nue. Je me sens frustrée de ne pas avoir le droit de la contempler nue, mais elle veut cette humiliation cérébrale pour moi, surtout que c'est elle seule qui décidera quand je pourrai la découvrir nue !

    Ma langue va et vient entre son anus et le haut de sa chatte, s’attardant dans tous les replis de son sexe largement offert.

    Je suis très fière de lui arracher ses premiers gémissements qui ne sont visiblement pas de douleur. Je trouve un peu par hasard son clitoris, minuscule et en forme de pois. Je m’attarde sur lui en le léchant et en le suçotant. Il réagit très bien et double rapidement de volume en gardant sa rondeur et sa douceur.

    Je glisse mes mains vers son sexe mais sa voix me réprimande : « Mains dans le dos, connasse : je ne veux sentir que ta bouche et ta langue ! ». Pour ne plus être tentée, je croise mes mains dans le dos et continue à m’appliquer à la lécher et à la sucer, buvant et avalant au passage, avec un plaisir non dissimulé, ses abondantes sécrétions.

    Ses mains tirent toujours fermement mes deux couettes et guident, de temps en temps, mon visage et ma bouche. Elle aime que j'insiste longuement sur la partie arrière de son intimité, j’essaye donc d’entrer au maximum ma langue dans son anus en la vrillant. Quand j'arrive loin dans son intimité, je sens qu’elle décontracte ses muscles fessiers pour m'aider et mieux me sentir, mais l’instant d’après, elle me remonte brutalement la tête pour que je m’occupe de son petit bouton que je saisis entre mes lèvres pour le sucer et le faire durcir.

    J’ai presque du mal à reconnaître sa voix :

    « Hum, quel bon coup tu es ! Tu suces comme une véritable gouine ! Je pense que toutes les filles que tu as broutées sont certaines que tu es une lesbienne de naissance ! Hum, ma salope adorée, si tu pouvais me voir : je suis entièrement nue et quand je ne te tire pas les cheveux, je me fais bander les tétons en gémissant sous tes longs coups de langue. Continue comme ça, ne t’arrête surtout pas ! ».

    Cet aveu m’aiguillonne et je la lèche de plus en rapidement, en essayant de ne pas trop saliver pour conserver ma langue un peu râpeuse pour qu’elle la sente bien parcourir son intimité.

    Quelques minutes plus tard, mes efforts portent leurs fruits, elle plaque brutalement ma bouche contre sa chatte et je la sens jouir sur ma bouche, l’entendant à peine gémir de plaisir dans un grognement sourd et pudique.

    Je sens un à un les spasmes de son bas ventre sur mes lèvres et, longtemps après, alors que son corps est détendu, elle continue à me plaquer la bouche sur sa chatte, m’obligeant à la lécher, à la nettoyer et à l’embrasser.

    Je suis bouleversée, et à la limite d'un bel orgasme, que je ne veux pas lui réclamer, pour ne pas lui gâcher cette séance de jouissance qu'elle s'est, pour une fois réservée !

    Samedi 14 Janvier 2017 - 12h10

    Elle finit par me repousser doucement la tête, en ronronnant encore de plaisir. Les yeux toujours bandés, elle me positionne, debout devant-elle, et me pose dans une main deux pinces en fer, sans lest, qu'elle me demande de me poser seule au bout de chaque téton, comme d'habitude sans pincer un peu de chair de mes seins.

    De ne rien voir ne me facilite pas la tâche ! Je dois repérer la longueur d'un téton avec une main et me pincer avec l'autre, soigneusement guidée par les mesures de la première. Bien sur, je ne vois pas Annie, mais je sens qu’elle et son objectif ne ratent aucun de mes gestes, de mes tâtonnements ou de mes grimaces.

    Je la sens se lever et farfouiller dans l'armoire, elle se positionne derrière moi et pose sur mon sexe une plaque de cuir qu’elle noue rapidement à ma taille et entre mes cuisses. Elle serre le tout bien fort, pour que la plaque ne puisse pas bouger. J'ai beau réfléchir, mais, à priori, je ne vois rien qui pourrait ressembler à cette plaque dans l'armoire !

    Le bruit d'un plastique déchiré, ne m'aide pas, mais Annie me libère de mon énigme non résolue en me disant : « Baisse ta main à hauteur de ta moule et mets la capote en place ».

    Très surprise, je constate que mon sexe, caché par la plaque, est agrémenté par un gros gode-ceinture sur le haut duquel est posé un préservatif recouvrant à peine le gland de celui que j'appelle immédiatement le monstre. Ce doit être un XXL, et, je n’ai plus qu’à le faire rouler à la main pour le couvrir entièrement.

    Annie se rassied dans le canapé et me guide. Tâtonnant doucement avec mes mains, je sens qu'elle a avancé son bas-ventre jusqu'au bord du coussin et qu’elle a les cuisses largement ouvertes.

    Ayant compris ce qui allait se passer, je me place le mieux possible pour que le gland du gode soit à la bonne hauteur. Sans toucher la capote, mais en posant ses doigts sur la plaque de mon bas-ventre, elle dirige le gland vers l'entrée de son vagin, le fait pénétrer légèrement entre ses lèvres intimes, en m'obligeant à avancer un peu mon ventre et quand nous sentons toutes les deux qu'il est bien positionné, elle me murmure d'une voix très douce :

    « Vas y, ma putain adorée : baise moi ! J’ai adoré ta langue de gouine sur ma moule et dans mon trou du cul, mais j’ai envie d’une grosse bite au fond de moi, je veux être défoncée et jouir sans aucun complexe, en sachant que tu ne comptes pas : dans les minutes qui viennent, tu vas être ma machine à baiser, pour un, deux ou trois orgasmes ? Je ne sais pas quand j'aurai envie de m'arrêter, alors, applique toi, ce serait tellement facile de te remplacer par une vraie machine à baiser, mais aussi tellement vexant pour toi ! ».

    Prête à relever le défi, je pèse de tout mon poids vers l'avant et le gode s’enfonce en elle d’un seul coup en la faisant gémir de plaisir. Elle croise de suite ses pieds derrière mon dos et remue son bassin au rythme de mes allers et retours dans son ventre.

    Je suis surexcitée par la situation, je sais que je nique ma Maîtresse entièrement nue en pilonnant son ventre sans répit, lui arrachant des gémissements de plaisir de plus en plus sourds.

    Elle est tellement mouillée que le gode chuinte en elle, mes mains sont posées sur ses cuisses, je ne sais pas ce qu’elle fait des siennes, je l’imagine se caressant les tétons en me regardant m’acharner dans son intimité, mes seins ballottant obscènement au rythme de mes coups de reins !

    D’un coup, elle resserre ses pieds et ses jambes comme une judokate, elle colle son sexe contre la plaque et jouit dans un long gémissement, beaucoup plus bruyant que son premier orgasme, mais, me rappelant ce qu'elle m'a dit, je n'arrête pas mes allers et retours, et elle s'agrippe encore un peu plus fort à moi en me serrant très fort avec ses jambes.

    J'ai mal dans tout le corps à force de la baiser, en y mettant toutes mes forces et en faisant jouer quasiment tous les muscles de mon corps !

    Deux fois de suite, après ce premier orgasme, je l'entends jouir en me régalant de ses grognements sourds et presque pudiques.

    Si elle savait combien je suis fière de ses jouissances, je me passerais volontiers de jouir un mois entier pour lui offrir quotidiennement trois ou quatre orgasmes avec un gode ceinture, ou mes doigts ou ma langue !

    Longtemps après cette troisième explosion, qu'elle a su pudiquement étouffer, contrairement à moi ! Alors que son corps s'est, enfin, un peu détendu, elle me repousse de ses deux mains, mais non pas pour m'indiquer qu'elle en a fini avec sa machine à baiser, mais simplement pour me plaquer de toutes ses forces la bouche sur son sexe.

    Je sais, bien sur, ce qu'elle attend, et je mets toute l'énergie qu'il me reste à la lécher de la chatte aux fesses et à l'embrasser dans toute cette zone si sensible. Au fur et à mesure que mes caresses et mes baisers se font plus précis, je sens un à un les premiers spasmes de son bas ventre sur mes lèvres, et quand son corps se déforme et qu'un cri, venu de je ne sais où remplit le salon, ses contractions anales et vaginales cognent mes lèvres comme d'énormes veines battant tout contre moi.

    Nous restons très longtemps collées l’une à l’autre avant qu’elle ne se détache de moi et se relève. Elle me caresse les cheveux presque tendrement et me confie : « Hum, tu es vraiment plus qu'un bon coup ma Loré, que ce soit avec un gode, avec ta langue ou avec ton obéissance et tes douleurs ou tes plaisirs, tous ceux et celles que tu vas rencontrer, vont se régaler avec toi ! ».

    Elle éclate de rire, tout en me libérant du gode ceinture et me conseille d'enlever les pinces de mes tétons, qui, selon elle, doivent être à point !

    Je ne sais pas si Annie sait ce qu'est de remettre des écraseurs sur des tétons déjà meurtris par près d'une heure de pinces en métal lestées, mais je ne peux m'empêcher de hurler de douleur en les enlevant !

    Ce qui me vaut un : « Tu es décidément trop douillette ! Il faudra apprendre à te calmer, mais comme j’ai bien joui, je te pardonne ! Enlève ton ceinturon, tes bas et tes mules ».

    Quand je suis vraiment à poil, elle me prend par la main et je la suis, Je sens sous mes pieds le carrelage froid de la salle de bains. Je l'entends caler sa caméra sur ce que je suppose être la commode, je ne peux pas savoir vers où elle la dirige, mais elle me l'indique très vite !

    « Tu vas t'asseoir face à moi, sur le bidet, bien droite et les cuisses largement écartées. Je vais me doucher et me préparer en prenant mon temps, et toi tu vas renouveler ton exploit de tout à l'heure, et, pour la deuxième fois de ta vie, tu vas te branler tes bouts de nichons jusqu’à la jouissance, mais, cette fois, devant moi, et, je te conseille de t’envoyer en l’air avant que je n’ai fini de me préparer ! ».

    Samedi 14 Janvier 2017 - 12h50

    Je recule en mémorisant l'emplacement du bidet.

    Je suis obligée de m’asseoir très droite dessus, pour que le robinet ne me rentre pas dans les reins, et j’écarte largement les cuisses, avant de prendre mes tétons entre deux doigts de chaque main.

    Ils sont extrêmement douloureux, mais peu à peu j’arrive à les humidifier avec ma transpiration ce qui rend mes mouvements moins pénibles.

    Je repense à mes tentatives inutiles faites pour jouir de cette manière et de l'excitation extrême dans laquelle je baignais, littéralement parlant, mais, ce soir, je sens que je peux y arriver, car j'ai eu un vrai tsunami quand Annie m'a laissée seule devant ma table à repasser.

    A présent, je sens que je vais pouvoir m'envoyer en l'air une autre fois de cette manière, uniquement en me remémorant les quatre super jouissances de ma Maîtresse adorée !

    Très vite, la douleur et le plaisir se mêlent m’arrachant des gémissements qui font rire Annie qui me regarde depuis sa douche :

    « Tu es tellement bouillante que tu pourrais jouir en te branlant un orteil ! Tu es décidément une vraie louve en chaleur ! ». Excitée mais vexée par cette affirmation, je continue à me caresser en les branlant de plus en plus fort.

    J’entends Annie couper l’eau, des bruits d’étoffe et de frottements de peau me font penser qu’elle se sèche. Je sens qu'elle est devant moi mais se contente de me regarder et probablement de me filmer, sans un mot.

    Malgré ma surexcitation évidente, mon plaisir tarde à venir, j’en ai sans doute trop envie et il me fuit. Je me concentre en regrettant de ne pas pouvoir frotter mes cuisses l’une contre l’autre : « Attention ma salope : je suis en train de m’habiller. Tu vas rater notre rendez-vous. Je te croyais plus en chaleur que ça ! Je suis très déçue ! ». Elle doit sourire en me voyant me branler les tétons avec mes ongles ce qui me fait grimacer de douleur.

    Brutalement, elle m'arrache le masque. Aveuglée depuis trop longtemps, je récupère peu à peu ma vision. Annie profite de ce court délai pour ramener de notre chambre et poser devant moi, le miroir sur roulettes dans lequel je peux me voir totalement : « Regarde toi bien, sale pute vicieuse, regarde dans quel état tu es, regarde l'image que tu donnes de toi à tes clients et, surtout, qu'ils ne perdent rien de ta jouissance ! Rassure-toi, ma caméra, n'en perdra rien, non plus ! Vas y pouffiasse servile en chaleur ! Envoie toi en l’air, tu peux gueuler comme une truie, personne ne t'entendra ! ».

    De me voir dans ce miroir, dans le regard d'Annie qui me crucifie de honte, et devant sa caméra qui va être le témoin impartial de ma déchéance de femme, addicte absolue au cul, me transcende et je jouis dans un long cri de plaisir. Mon corps se convulse encore de plaisir quand elle rajoute, comme si elle parlait à un animal de compagnie : « Puisque tu es sur le bidet, profites-en pour faire ta toilette intime, et n’oublie pas ton trou du cul ».

    Je me nettoie devant elle sans aucune pudeur, me savonnant la chatte et la raie, yeux baissés, honteuse de moi. « Bien, file dans ta chambre : enfile ta jupette, une blouse opaque et tes bottes les plus sexys, sans aucun bas ni sous vêtements et rejoins moi dans le salon ».

    Samedi 14 Janvier 2017 - 13h10

    De ma chambre j’entends Annie téléphoner, mais je suis trop loin pour comprendre sa conversation. De retour au salon, Annie approuve ma tenue et me regarde enfiler avec difficulté une paire de bottes-genouillères, sur mes pieds nus, elle me tend un de mes manteaux choisi sur les patères :

    « Enfile ça et nous allons déjeuner : je viens de réserver dans un restaurant de fruits de mer, tu aimes ça, ma petite putain gourmande ? ». « Oh, oui, Madame, j’adore : quelle bonne idée ! ».

    Elle rit en se levant : « Sache, ma connasse qui a tout à apprendre, que ta Maîtresse n'a que des bonnes idées ! Allez, bouge ton joli cul ! ».

    Je la sens joyeuse et apaisée, j'ai l'impression que son enchaînement d'orgasmes l'a rendue gaie et optimiste !

    Elle met la web-cam dans son sac et me demande un calepin et un stylo que je vais chercher dans mon bureau. Elle les met dans son sac et me conseille de prendre mon téléphone et mes cigarettes. Je remplis mon propre sac et nous rejoignons sa voiture.

    La route est bien déneigée, et nous ne rencontrons aucune difficulté. Je ne suis pas mécontente de reprendre des forces. Elle me demande de lui allumer une cigarette et m'en autorise une. Nous roulons en fumant sans parler. Moins d'une dizaine de minutes plus tard elle se gare sur le parking d'un des seuls restaurant de poissons de la région : La criée, très réputé pour ses plateaux de fruits de mer dans toute l'Auvergne.

    Le restaurant annonce que, le samedi, il sert de 11h30 à 23h00 ! Ce qui est très pratique pour les lève-tard du samedi et très rare dans la région, si l'on excepte les Mac-Do qui ne plaisent toutefois pas à tout le monde !

    A cette heure, le restaurant est donc encore bondé. Annie annonce sa réservation au nom de Dufour et un serveur nous conduit vers une petite table ronde décorée d’une très belle composition florale avec deux couverts dressés l’un en face de l’autre et une grande nappe tombante.

    Il nous souhaite un bon appétit et nous laisse deux cartes. Je donne la mienne à Annie, la laissant décider de tout. Le serveur vient prendre la commande d’un énorme plateau de fruits de mer et d’une très bonne bouteille de vin blanc. Sans le montrer, je suis ravie de son choix.

    Pendant qu'il s'active pour rajouter une petite table de service destinée à accueillir le plateau et, sur laquelle il pose les fleurs, Annie me dit être contente de cette table, bien ensoleillée par la fenêtre qui nous offre un paysage joliment enneigé, alors que dans le restaurant, il règne une température presque trop chaude ! Curieux contraste de s'apprêter à manger des fruits de mer dans un paysage de fondue savoyarde !

    De plus, chacune de nous peut voir quasiment toute la salle en tournant un tout petit peu la tête !

    Samedi 14 Janvier 2017 - 13h20

    Elle sort son carnet et son crayon de son sac. Je la regarde faire en souriant et, compte tenu de sa décontraction relativement rare, je tente une petite remarque en priant pour qu'elle ne me rapporte pas une troisième punition, puisque, selon ses comptes, je lui en dois déjà deux !

    « Décidément vous aimez beaucoup écrire, Madame ! ». Elle acquiesce de la tête en souriant et me tend mon premier mot : « Sais-tu que tes tétons pointent et qu’on voit parfaitement que tu n’as pas de soutien-gorge ? ».

    Je rougis en baissant les yeux, elle a en effet raison, je me sens de suite indécente ! Mais un autre mot arrive : « Remonte ta jupette le plus haut possible sans la dé-zipper, dissimule bien tes jambes sous la nappe et ouvre largement tes cuisses ».

    Je m’agite un peu et essaye de tout faire discrètement, en remontant la nappe et en m’ouvrant obscènement sous la table.

    Un autre ordre m'arrive : « En te levant rapidement, arrange toi pour dégager tes fesses de ta jupe, je préfère que tu tâches la chaise plutôt que ton vêtement ! ».

    Je suis cramoisie, mais je m’applique à faire ce qu’elle me dit, l’évasement de ma jupe est suffisant pour que je puisse poser mes fesses nues à même la chaise. Anne continue ce jeu sournois et me dit à voix basse : « Quand tu te lèveras, j'espère qu'il y aura une grosse tâche sous toi ! ».

    Je n’ai pas le temps de répondre, car le serveur apporte le vin, le débouche et le fait goûter à Annie qui l’approuve. Il nous sert et, très troublée, je constate qu’en me servant il regarde plus ma gorge que mon verre, j’en suis un peu gênée, mais j’essaye de me calmer pour retrouver une couleur normale ! Annie boit une gorgée pendant qu'il s'éloigne, avec un certain regret, que j'imagine peut être !

    « Hum très bon ! Tu as vu que je n'étais pas la seule à remarquer que tes bouts de mamelles sont indécemment provocants ? ». Heureusement, je n’ai pas à répondre, car un autre serveur vient poser un énorme plateau de fruits de mer à cheval sur nos deux tables.

    C’est déjà un réel plaisir des yeux, j’espère que ça va être un plaisir tout court. Annie pousse vers moi un autre papier : « Je te veux gaie et de très bonne humeur, bois donc deux verres coup sur coup, ça te mettra en joie, comme ça nous serons au diapason ! Je me régale d'être avec toi ! ».

    En me caressant doucement la main, elle me regarde boire mes deux verres de vin. Étant à jeun, la tête me tourne vite et mes joues rosissent. Elle me sourit et mime un baiser en me disant :

    « Parfait tu es adorable comme ça. Je dois t'avouer un gros défaut : j’adore les fruits de mer mais je déteste les toucher ! Tu vas donc être obligée de travailler pour deux ! Décortiquer mes crevettes pour que je n'ai plus qu'à les piquer tremper dans la mayo. Détacher la chair des huîtres, et mettre deux gouttes de citron dans la coquille pour que je n'ai plus qu'à les gober ».

    « Sortir avec précaution les chairs de homard ou de tourteau pour que je puisse avoir de belles bouchées ! Et, en règle plus générale, finir de me préparer tous les coquillages pour que je n'ai qu'à les déguster, sans avoir à me salir les doigts ! Et, bien sur je ne te parle pas de mes tartines de beurre, ou de mayo ou d'aïoli à me préparer ! Tu m'as bien compris ma petite bonniche ? Pour être très honnête avec toi, c'est à cause de ça que j'ai réservé dans ce restaurant ! ».

    En riant aux éclats, je fais oui de la tête et attaque le décorticage des crevettes de mes doigts. Concentrée sur mon travail, je sursaute, car, comme à la pizzeria, mais sans ôter sa chaussure, Annie a posé son pied botté sur le bord de ma chaise et je sens le bout pointu écarter mes grandes lèvres pour se frayer un chemin dans l'entrée de mon vagin.

    Un petit mot complète le geste : « Aide la à bien trouver sa place, je veux pouvoir étendre ma jambe complètement ». Je passe ma main droite sous la nappe, je prends la botte et la frotte sur mes lèvres entrouvertes avant de la pousser un peu en moi. Annie comprend qu’elle est en place et c’est en me regardant droit dans les yeux qu’elle la pousse lentement en moi en faisant entrer tout ce qu’elle peut. J’essaye de ne pas trop penser à la semelle forcément un peu sale qui frotte mes chairs intimes.

    La pointe de la botte entre facilement en moi, mais le renfort du pied a un peu de mal à passer, je me tords un peu sur ma chaise pour l’accepter jusqu’à ce qu’Annie me dise : « Ça ira j’ai la jambe tendue, alors ces crevettes, elles arrivent ? ».

    Je m’efforce de me concentrer sur les crevettes alors que son pied chaussé coulisse doucement dans mon vagin. Ayant vite appris la force des mots, Annie me passe un petit papier en forme gifle : « Je suis sure que ma semelle est plus propre que ta chatte ouverte à tous ! ».

    Contente de me voir rougir, elle me regarde avec des yeux vicieux que je ne lui avais pas vu jusqu’à maintenant. Je lui fais passer une assiette avec douze crevettes décortiquées qu’elle déguste lentement à la fourchette, après les avoir trempées de mayo: « Merci ma petite pute en chaleur, tu es une bonne travailleuse ! ».

    Plus elle fait coulisser son pied en moi, plus je mouille et plus elle peut entrer loin. Je ne peux éviter un petit gémissement qui attire notre garçon qui était juste à côté de notre table : « Tout va bien Madame ? ». « Oui, merci, je me suis fait mal avec un coquillage ce n’est rien ».

    Je choisis les huîtres, que je lui prépare une à une avec ma petite fourchette, et quand j'en ai six de prêtes, je lui tends mon assiette et elle les gobe avec plaisir en les accompagnant d'une tranche de pain de seigle que je lui ai préalablement beurrée !

    La dernière de l'assiette ne semble pas lui convenir : tout en la gardant dans la bouche, elle salive abondamment et, discrètement elle la recrache dans sa coquille qu'elle me rend : « Mange là celle-là ! ».

    Sans broncher, je gobe l'huître pleine de sa bave, un écœurée, mais peu disposée à lui dire non. « Bien ma pute, j’aime de plus en plus ton obéissance, continue à me préparer des crevettes, je les adore, et en même temps regarde vers ta gauche, tu vois la table où il y a deux hommes d’environ cinquante ans, en costumes ? ».

    Je tourne un peu la tête : « Oui, Madame, je les vois, on dirait des hommes d'affaires ! ». « Oui, très probablement, tu n'as pas eu le temps de constater que celui qui nous fait face n’arrête pas de te dévorer des yeux ! ». « En effet, Madame, j'étais trop occupée ».

    « Normal salope : chacun de nous à son rôle : moi je regarde les clients et toi tu décortiques ce que je mange ! ». Sans rien dire, je prends un casse-noix pour ouvrir une pince de homard et en dégager les chairs, Annie demande un autre rince-doigts au serveur et plaisante avec lui quand il l’apporte :

    « Ce n'est pas pour moi ! C'est pour ma petite amie, elle adore me faire plaisir et me prépare tout ce que je mange, elle se salit beaucoup plus les doigts que moi ! ». Le garçon répond avec humour et bonne humeur : « Vous avez bien de la chance, Madame, moi je ne trouverai jamais une femme comme ça ! ».

    Samedi 14 Janvier 2017 - 13h40

    Il s’éloigne, et, Annie, qui n’a rien d’autre à faire que de manger et de regarder la salle me dit : « L’homme te regarde, vas-y souris lui ». Je me tourne, en effet, l’inconnu me fixe semblant se désintéresser totalement de la conversation de son compagnon de table, et un peu crispée, je lui réponds par un joli sourire.

    Il hoche la tête et je reprends la pince de homard. Je donne toute la chair à Annie et lui demande de me prêter deux secondes son bloc et, après m'être rincée le bouts des doigts dans le seau du vin, ce qui ne doit pas être très correct, je m'essuie et lui écris : « Attention, Madame, je suis au bord de l’orgasme ».

    Annie rit en me répondant au dos du même mot : « C’est bien, ma pute, je vais retirer ma botte mais essuie la bien avec ta serviette ». Elle la retire, je respire profondément pour essayer d'oublier mon envie de jouir, et je me penche, glisse mes deux mains sous la nappe et j’essuie soigneusement sa botte avec ma serviette.

    Je me calme enfin quand elle repose son pied par terre. Elle savoure sa pince de homard tandis que je lui prépare l’autre, mais ne semble pas satisfaite de mon travail : « Fais attention, espèce de conne !Tu as mal nettoyé la chair du homard : il reste des filaments et des morceaux de coquille ! ».

    Elle semble très en colère et je sens une de ses bottes se poser à plat sur ma chatte ouverte. Elle appuie sa semelle sur le haut de mon sexe et pousse son talon fin et pointu dans ma chatte, écorchant au passage un peu de chair intime en m’arrachant un autre petit gémissement.

    Elle rit : « Encore un coquillage qui t’a fait mal, ma pauvre chérie, tu n’as pas de chance aujourd’hui ! ». Ses yeux pétillent de malice.

    Elle sent que j’ai de plus en plus de mal à me concentrer sur les coquillages, mais je sais qu’elle n’a pas l'intention d'arrêter, bien au contraire, elle insiste tellement avec sa botte que je finis par renoncer à lutter, et pars dans un orgasme silencieux dont je n’ai pas l’habitude, me mordant les lèvres jusqu'au au sang pour éviter de gémir ou de hurler, mais sans pouvoir empêcher mon corps de frissonner et de se convulser.

    Annie me conseille d’une voix douce de ne surtout pas fermer les yeux pour lui permette de lire mon plaisir dans mon regard. Comme ordonné, je ne la quitte pas du regard, le vagin contracté sur le talon, le clitoris écrasé par sa semelle. Mon orgasme s’éloigne et je me calme peu à peu, réalisant que je viens de vivre des secondes infernales mais délicieuses.

    Je ne me rappelle pas avoir joui, assise à une table de restaurant, au cours de ma vie sexuelle tumultueuse. Annie me fait passer un mot, qui, une fois de plus me fait rougir comme une tomate : « Là, je suis sûre que ta chaise est toute tachée de tes jus, le serveur qui va sûrement se rappeler de toi va se demander quelle sorte de salope tu es, quand il découvrira ta tâche ! »

    Elle a vraiment l'art consommé de me faire rougir de confusion, de honte ou d'humiliation et en rajoute un peu plus sur un autre papier : « Tu n'as pas du t'en rendre compte, mais notre homme d'affaires sexy n’a pas perdu une seule miette du spectacle que tu viens de nous offrir, je ne sais pas s’il a tout compris, mais il ne t’a pas quittée des yeux, comme le loup de Tex Avery ! ».

    « Il te regarde, vas y souris lui de nouveau ! ». Je tourne la tête, en effet il me fixe des yeux et mime même un baiser de sa bouche. Sans en être tout à fait sure, j’imagine qu’il sait exactement ce qui vient de se passer et je suis horriblement gênée qu’un inconnu ait pu me voir jouir de cette manière.

    Je me force à lui répondre par un grand sourire, le fixant longuement comme l’exige Annie. Je suis trop troublée, je me sens complètement perdue, je ne sais plus où j’en suis, je ne sais plus quoi faire ni quel coquillage préparer !

    Annie se rend compte de mon désarroi et décolle délicatement sa botte de ma chatte, non sans m'ordonner : « Essuie la bien, je dois aller aux wcs ». Les deux bottes bien propres, elle se lève, me caresse les cheveux et descend les escaliers qui mènent aux toilettes.

    Je reste seule et en profite pour refermer les cuisses et manger un peu car entre le vin et la jouissance, ma tête tourne terriblement. J’hésite à demander une autre serviette pour essuyer ma chaise, car je sens mon sexe saturé dégouliner sur l'assise. Je n’ose imaginer la tête de celui ou de celle qui la découvrira et, surtout, la sentira, mais je renonce à prendre toute initiative qui risquerait de déplaire à Annie.

    Samedi 14 Janvier 2017 - 14h00

    Quelques minutes plus tard, elle revient, très possessive et, se moquant visiblement des regards des autres, elle me caresse les cheveux avec tendresse avant de reprendre sa place : « Tu peux refermer tes cuisses mais reste cul nu sur ta chaise et prépare moi quelques coquillages, j’ai encore faim ».

    Sans dire un mot, elle me regarde faire et mange délicatement tout ce que je lui prépare tout en écrivant quelques lignes sur un papier qu’elle plie soigneusement. « Hum c’est vraiment délicieux ! J'aime ce restaurant, car tout est d'une fraîcheur extrême ». Elle prend une cigarette dans son paquet et se lève en me disant : « Excuse moi un instant, je reviens ».

    Elle se dirige d’un pas décidé vers la table des deux inconnus, et je la vois parler à celui que j’intéresse. Elle lui murmure quelques mots et revient à notre table. Je ne sais pas ce qu’elle lui a dit, mais je suis nerveuse et un peu soucieuse en remarquant qu’elle n’a plus de papier à la main.

    Elle reste debout à côté de moi et me dit : « Tu ne sais peut-être pas que ce restaurant offre la particularité d'une pause cigarette dans un fumoir isolé, les plats servis étant froids pour la plupart, on a le temps de faire des pauses. Et comme je n'avais pas de feu, je suis allée en demander à notre inconnu sexy qui m'a prêté son briquet. Je vais donc aller fumer et te laisser manger un peu car depuis que nous sommes arrivées tu n'as pratiquement rien avalé ! A de suite ma salope ! ».

    Cette pause me convient parfaitement, je suis sous-pression depuis notre arrivée, et, en plus, il est vrai que je meurs de faim ! Je mange presque sans les mâcher une demi-douzaines d’huîtres avec deux grosses tartines de pain beurrées, puis une douzaine de bulots, qu'Annie n'aime pas, avec du pain tartiné d'aïoli, dont je raffole. J'entame les douze moules crues, qu'elle ne veut même pas goûter, et j'en suis à la moitié, quand elle revient à table.

    Elle me sourit, me ressert un verre de vin. La bouteille étant vide, elle lève le bras pour alerter le serveur et lui en commander une autre.

    Et, elle me regarde profiter des coquillages en m'encourageant à tout finir, car elle me dit avoir trop mangé ! Un bruit de vibrations vient rompre le silence de notre table. Elle ouvre son sac, sort son portable et décroche :

    « Bonjour, à qui ai je l’honneur ? ».

    « Robert ? Enchantée Robert, moi je m’appelle Annie et mon amie Loréna ». « Est ce que nous formons un couple ? C’est amusant comme question, on peut dire que oui, et vous avec votre ami ? ».

    « Non ? Mais ce serait votre droit vous savez tous les goûts sont dans la nature ! Ah ! Vous préférez les belles brunes en chemisier et en mini jupe ! Je vois et je suis d'accord avec vous, tout en vous faisant remarquer que vous venez de me vexer, car je ne me sens pas visée par vos préférences ! ».

    « Mais non je plaisantais rassurez vous, et, je ne suis pas libre ! ».

    « Ah vous non plus mais vous n’avez rien contre une petite aventure de temps en temps ! Je vois, comme tous les hommes en fait ! ».

    « Si je peux vous passer mon amie Loréna ? Non ce n’est pas la peine, je parle pour elle ! Mais non elle n’est pas muette, elle a simplement des problèmes pour prendre des décisions, alors j’ai coutume de l’aider ! ».

    « C’est pour ça qu’elle se salit les doigts pour me préparer mes coquillages ? On peut en effet dire ça ! Vous êtes jaloux ? ».

    « Vous savez, mon cher Robert, c’est une simple question d’éducation et je suis très contente d’elle ! ».

    « Que je vous la prête pour votre plateau ? Hum non il n’en est pas question j’en ai trop besoin pour le mien ! ».

    « Ah, pardonnez-moi, j’ai mal compris ! Que je vous la prête sur un plateau ? Hum, vous ne manquez pas d’humour mon cher Robert ! Mais je serai moins formelle pour sur un plateau que pour mon plateau ! ».

    « Ah, vous avez flashé sur elle ? Et vous pensez naïvement que nous ne nous en sommes pas rendues compte ? ».

    « Vous insistez sur votre expression, prêtée sur un plateau. Vous êtes têtu ! Et si elle n’était pas libre ? ».

    « Mais oui il est vrai qu’elle est avec moi ! Mais, c’est une adulte, qui est libre d’aller avec qui elle veut et là où elle le veut ! ».

    « Où par exemple ? Comment voulez vous que je le sache ? Je vais en discuter avec elle, et je vous l'enverrai vous rendre votre briquet et vous donner sa réponse. Vous préférez que nous nous rencontrions dans le fumoir pour en discuter tous ensemble, je pense, et elle vient de me le confirmer, que cette réponse ne doit pas jaillir d'un débat public, vous ne trouvez pas, mon cher Robert ? ».

    « Nous irons toutes les deux dans le fumoir dans une dizaine de minutes, quand Loré aura fini de se restaurer, et, nous discuterons de votre sur un plateau, et je vous répète qu'elle viendra vous donner sa réponse et votre briquet à votre table ! »

    Elle raccroche : « Adorable ce Robert, tu ne trouves pas, ma chérie ? ».

    Les yeux rivés sur mon assiette, je ne réponds rien essayant de dissimuler ma gêne, j’ai compris son petit jeu, le mot à cet inconnu pour lui donner son portable, ce flirt au téléphone avec ces allusions même pas voilées. Et, Annie me confirme elle même ma crainte quand, juste avant d'aller au fumoir, elle rédige un petit mot bref, sur lequel je peux lire avec effroi : « Cinquième wcs des hommes, elle est soumise et fera tout ce que vous lui demanderez ! ».

    Elle me reprend le mot en me disant d'un ton cassant : « C’est compris ? Ma pute ». « Oh Madame, je ne pensais pas que notre relation m’amènerait à être infidèle à mon mari, je ne sais pas quoi faire ».

    « Tu ne sais pas quoi faire ? Je suppose que tu plaisantes, tu es trempée, tu as inondé ta chaise, tu n’en peux plus d'être chaude ! Dans le monde du bdsm, une soumise baise avec celui ou celle qu'on lui désigne, c'est une règle élémentaire de la soumission et pas un caprice de ma part ! Si ,chaque fois que je veux te faire avancer dans le monde que tu veux découvrir, je me retrouve confrontée à tes éternelles tergiversations. Alors, une fois pour toute : est-ce que les difficultés que je t'impose te semblent trop dures ? »

    « Madame, c'est une question sans réponse, car je ne sais jamais quel est le prochain palier que j'aurai à franchir. Pour le moment je sais que c'est une rencontre-obéissante avec un inconnu. S'il veut me baiser, je devrais tromper mon mari ».

    « Tu m'obliges à tout te répéter : n'oublie jamais, qu'avec moi, Loréna joue un rôle, et que la vraie Loré n'est pas responsable ! D'autre part, moi non plus je ne connais pas d'avance ton ou tes prochains défis à réaliser, tout dépendra de ton excitation, de mes envies, des circonstances et de la situation : j'ai réservé ici pour que tu jouisses en mangeant, que tu sois ma bonniche et exhibée devant le serveur, mais c'est en voyant cet homme qui te dévorait des yeux que j'ai pensé à ce défi ! ».

    « Même si je peux comprendre tes craintes, je ne peux pas les admettre, alors, pour la dernière fois : si tel est ton désir, je vais régler l’addition et nous partons. Une fois chez nous notre relation s'arrêtera. Alors à toi de voir si tu veux que cette aventure continue : je vais fumer une cigarette, à mon retour tu me diras si nous continuons ou non ».

    Elle se lève et se dirige vers le fumoir, me laissant seule avec mes doutes, Est elle en colère ? Déçue ? Elle a raison en décrivant la situation comme excitante et imprévue. Mon orgasme, quasiment public, qui était prévu dans son scénario, m’a surexcitée. Mais dans ma relation avec elle, il ne s’agit que de sexe, j’ai l’amour à la maison et je suis loin d'être une oie blanche.

    Je finis mon verre, et et d'un pas décidé, je vais vers le fumoir.

    En me voyant arriver, Annie allume deux cigarettes et m'en tend une.

    Elle me regarde avec un sourire amical et rassurant. Elle replonge sa main dans son sac et en sort un préservatif emballé.

    Et, elle me dit doucement : « Si tout continue, mets le dans ton sac, sinon, redonne le moi ! La vie est toute simple ma chérie ! ».

    D'un geste affirmé, je le mets dans mon sac, et lui réponds : « Comme vous le dites si bien, Madame, la vie est simple : je vais rayer le non de mon vocabulaire, et, ce, pour deux raisons ; je tiens trop à vous et je sais que je suis faite pour le bdsm à la seule condition que vous restiez mon guide ! ».

    « Bien, ma petite pute, je te fais confiance ». Elle écrase sa cigarette, se lève, et je fais comme elle. Nous revenons dans la salle de restaurant, en passant nous sourions à Robert, qui boit un digestif avec son compagnon de table.

    Dès que nous sommes assises, Annie rédige un petit mot qu'elle me fait lire : « Dans dix minutes, cinquième wc hommes. C'est une soumise, appelez moi en remontant ».

    Samedi 14 Janvier 2017 - 14h30

    Quelques minutes après, Robert s’approche de notre table et nous baise les mains : « Vous êtes toutes les deux le soleil intérieur de ce très beau restaurant ! ». « Flatteur ! Vous venez nous déclarer votre flamme ou récupérer votre beau briquet ? ». « Disons les deux ! Et aussi vous proposer de vous offrir un bon digestif ! ».

    Annie lui rend son briquet et en profite pour lui glisser le papier plié dans la main. « C'est avec grand plaisir que nous acceptons votre offre, nous prendrons deux doubles cognacs de votre choix, mais un peu plus tard, car mon amie Loréna a un engagement inattendu et nous n'avons pas dégusté de desserts, or vous savez comme les femmes sont gourmandes ! Nous nous verrons donc plus tard, si ça ne vous dérange pas ! ».

    Un peu décontenancé, Robert reste gentleman : « Eh bien, à très vite Mesdames ». Et, il retourne tranquillement à sa table, où je suppose qu'ayant lu le mot d'Annie, il comprend quel genre d'engagement j'ai !

    Annie regarde sa montre et me dit : « Bien, il est 14h35, dans dix minutes, tu vas descendre. Je t’appellerai sur ton portable, que tu laisseras branché dans ton sac, pendant toute la séance. Tu l’attendras habillée, debout, le dos tourné à la porte déverrouillée, les mains appuyées au mur au dessus de la cuvette. Tu te laisseras faire et tu lui obéiras totalement : tu as lu que je lui ai demandé de m'appeler, alors attention à sa réaction : je veux qu’il soit élogieux sur toi ! En attendant redonne moi quelques coquillages et mange un peu, tu me sembles un peu pâlotte ! ».

    Elle éclate de rire alors que je m’active à la satisfaire. Mes doigts tremblent, j’ai du mal à m’occuper de ses coquillages et à manger les miens, toujours sans montre, je sens l’heure tourner.

    « Pardon, Madame, mais s’il y a du monde ? ». « Eh bien tu te mordras les lèvres comme tout à l’heure ! Et s’il jouit dans ta bouche, tu remonteras avec la bouche pleine, je trouverais bien une vieille huître à te faire manger à la sauce blanche ! ».

    Annie arrive presque à me dérider et pourtant ce n’est pas bien le moment, j'ai le ventre noué ! « 14h41 ! Plus que quatre minutes ».

    Je m'agite nerveusement sur ma chaise.

    Annie essaye de me rassurer : « Calme toi, petite pouff, tu vas te régaler pour ta première avec un inconnu et, en plus ce Monsieur est très convenable, mais si j’entends quoi que ce soit de suspect au téléphone, je descends immédiatement, alors pourquoi te faire autant de souci ? ».

    J’esquisse un léger sourire en essayant de m'excuser : « Dans tout fantasme, Madame, le passage à l’acte est toujours très délicat, même si je sais que je ne cours aucun risque ».

    « Quand tu verras mes clips tu constateras que, moi aussi, je suis souvent passée à l’acte et, ce, sans avoir de guide, mais ça ne m'empêche nullement d'aimer et de respecter Marc. Quant au lieu ! Ne prétends pas que tu n’as jamais baisé dans des toilettes d'une gare, d'un restaurant ou d'un cinéma ! Je ne te croirais pas ! ».

    Je souris : « Oui, de nombreuses fois avec mon ex ou avec Yves mais jamais avec des inconnus, Madame ! ». « Eh bien ferme les yeux quand il te sautera et tu verras que, la différence n’est pas si grande, ou qu’elle se compte en centimètres de bite en plus ou en moins ! ».

    Elle jette un coup d’œil à sa montre : « C’est l’heure, régale toi bien et à tout de suite ! ». Rouge pivoine, je me lève doucement en faisant bien attention de rabattre ma jupe sur mes fesses, je la lisse un peu pour la défroisser et dis à Annie d’une voix rauque et étranglée : « Je vais aux toilettes, Madame, il faut que je me lave les mains ». « Entendu, ma chérie, à tout de suite ! ».

    Samedi 14 Janvier 2017 - 14h45

    Je descends l’escalier de marbre et je suis les icônes des toilettes pour hommes sans entendre de bruit, ce qui est rassurant.

    J'entre chez les hommes : trois lavabos à l'entrée, six urinoirs alignés sur la gauche et cinq wcs fermés par des portes sur la droite.

    Je me savonne soigneusement les mains avant de me diriger vers le cinquième wc, c’est celui réservé aux handicapés, il doit donc être plus vaste que les autres et c’est sûrement pour le repérer, qu’Annie est descendue aux toilettes tout à l’heure.

    J’entre, le cœur battant à tout rompre, l’estomac noué et je referme la porte sans la verrouiller.

    Mon téléphone vibre, je le sors du sac et décroche : « Oui, Madame, je suis dans le wc, je mets mon portable branché dans mon sac que je vais accrocher à une patère ».

    Puis, je me place, en appréciant mon statut d'obéissante : je n'ai qu'à exécuter ce qu'elle m'a ordonné ! Donc : dos tourné à la porte, non verrouillée, un pied de chaque côté de la cuvette, les mains posées à plat de chaque côté du tuyau de descente des eaux, les pieds écartés un peu en arrière, bien cambrée et j’attends, les yeux fermés.

    Très anxieuse pour la suite des événements, mais en même temps, surexcitée par la situation qui correspond à un fantasme récurent qui m’aide souvent à atteindre le plaisir, dans mes masturbations solitaires au creux de ma couette.

    J'entends des chaussures masculines, un bruit d'eau pour un lavage de mains, un long ronronnement du séchoir pour le séchage qui m'empêche de suivre son cheminement, mais quand le séchoir termine son cycle, je sursaute en entendant deux petits coups à ma porte.

    Je ne réponds pas, mais je sens d'un seul coup mon visage me brûler et tout mon corps se couvrir de chair de poule. Je referme les yeux, en appuyant sur mes paupières pour le faire encore plus hermétiquement.

    Je le sens, plus que je ne l'entends, entrer, refermer la porte, la verrouiller et se retourner pour me découvrir de dos, pieds écartés et mains posées à plat sur le mur carrelé.

    Sans un mot, il s’approche de moi, soulève ma jupe courte, probablement ravi de découvrir mes fesses nues, il roule ma jupe à la taille et ses mains remontent vers mes seins pour s’assurer qu’il peut les peloter en l’absence de tout soutien gorge.

    Il les malaxe sans douceur, plus pour affirmer sa possession que me les caresser et se penche pour me demander : « Quel est ton prix ? ». Un peu vexée je lui réponds fraîchement : « Mais je ne fais pas ça pour de l’argent, j’obéis à ma Maîtresse Annie ». « Je ne voulais pas te froisser. C’est parfait, met toi à poil ! ».

    Sans me retourner, je déboutonne mon chemisier et l’enlève pour le suspendre à la patère, puis je dézippe ma jupette que je fais glisser au sol avant de lui faire rejoindre mon chemisier. Nue et de dos je me penche pour baisser la fermeture de ma botte de droite, il approuve : « Oui je ne suis pas fétichiste, enlève tes bottes, tu seras encore plus nue et offerte ! ».

    Je dois longuement me tortiller pour ôter mes bottes qui collent à mes pieds nus légèrement transpirants. Ce spectacle ne doit pas lui déplaire, mais il ne me touche toujours pas.

    « Tu es donc une soumise obéissante ! C’est un statut assez rare mais très intéressant ! ». Sa voix est grave et autoritaire, je trouve qu’elle correspond bien à son physique. Il s’approche de moi par derrière et me tire une couette : « Tu sais que ta coiffure ne te va pas ? Elle ne correspond pas du tout à ton personnage mais elle m’excite, et en plus elle est pratique pour te diriger ! ».

    Il me rapproche le visage de la cuvette : « A genoux et lèche bien la lunette, je vois de grosses traces de pisse ! ».

    Je m’agenouille et m‘exécute léchant soigneusement le contour de la lunette qui, contrairement à son fantasme, est relativement propre. Quand il estime qu’elle est bien brillante, il me fait pivoter sur mes genoux en me tirant toujours par la couette pour m’agenouiller face à lui, dos tourné à la cuvette :

    « Hum le côté face vaut le côté pile, tu as de beaux nichons avec des bouts appétissants, mais comme tu les as exhibés à tous les mâles du restaurant, ce n’est pas une surprise ! Je m’en occuperai tout à l’heure, pour le moment j’ai une petite envie, mais c’est toi qui va choisir : je pisse sur toi ou dans ta bouche ? ».

    Je deviens cramoisie et j’ai bien envie de lui répondre : dans la cuvette, mais je sais que cette réponse me vaudrait une punition d'Annie et après avoir réfléchi que je n’avais aucun moyen de me laver le corps, je dois me résoudre à lui répondre d’une petite voix :

    « Dans ma bouche, Monsieur ». Il sourit et dégage son sexe, à moitié bandé, de son pantalon et de son caleçon. Il l’enfonce dans ma bouche en me tenant par les couettes, et pisse bien au fond de ma gorge.

    Je me contracte, mais, heureusement, il n’a pas une grosse envie et ses jets sont fluides. J’arrive à tout avaler au fur et à mesure malgré mon écœurement, il s’égoutte dans ma bouche ouverte et me tend son gland à lécher pour profiter des dernières gouttes. Visiblement excité par ce préambule, des plus humiliants, il se redresse le sexe bien droit, et dit, presque en criant :

    « Il y a quelqu’un dans les wcs ? ». N’ayant obtenu aucune réponse, il me relève et me positionne dans un coin de la pièce, dos au mur en me faisant lever les mains bien au dessus de la tête.

    Il enlève son pantalon, remet sa queue dans son caleçon et fait coulisser sa ceinture de cuir pour la prendre en main en la pliant en deux :

    « Tu vas avoir droit à vingt coups de ceinture : dix devant et dix derrière, mais c’est toi qui va me dire où tu veux être frappée, en sachant que tu ne peux pas me demander deux fois le même endroit. On va commencer par cinq coups sur ton côté face puisque tu es dos au mur, puis on en fera cinq sur ton côté pile et ainsi de suite ! Allons y je t’écoute ! ».

    Je n’arrive pas à parler tellement je me sens humiliée d'être à poil devant cet inconnu, qui vient de vider la vessie dans ma bouche et qui exige que je lui demande, moi même, où j'ai envie d'être frappée, par une ceinture de cuir avec lequel il ne compte sûrement pas me chatouiller !

    « Dis moi putain, je sais bien que ton temps n'est pas compté, mais j'attends, alors décide toi, si tu préfères je te frappe de toutes mes forces dix fois sur les nichons et dix fois entre tes cuisses écartées ? Ça t'éviterait d'avoir à réfléchir aussi longtemps ! ».

    « Non, Monsieur, je vous en prie, je vais vous répondre : le premier, en haut de ma cuisse droite, s'il vous plaît ! »

    « Ah, belle éducation ma belle, eh bien le voilà ! ». Le coup me plie en deux, tellement il est fort et, m'oblige à pousser un cri de douleur.

    « Essaye de fermer ta gueule de pipeuse, connasse, je n'aime pas tes bruits de fausse maso, soit tu es une bourge qui fait semblant d'être vicieuse, soit tu es une vraie maso et les branlées te trempent la connasse ! Il faut savoir dans quel camp tu es sale call-girl de luxe ! ».

    «Le deuxième, sur le pied gauche s'il vous plaît, Monsieur », et, je lève mon pied, qu'il n'a aucun mal à atteindre avec sa ceinture.

    « Le troisième sur mon bas ventre, s'il vous plaît, Monsieur ». Il me frappe tellement puissamment que je me plie de nouveau en deux, tout en arrivant à me retenir de dire quelque chose.

    « Le quatrième, en haut de la cuisse gauche, s'il vous plaît, Monsieur ». Encore une fois, j'arrive à ne pas crier.

    « Le cinquième, sur mon pied droit, s'il vous plaît, Monsieur ». Ce coup-ci, il me demande de lui présenter mon pied à l'envers, et il me frappe la plante des pieds tellement fort, qu'il y laisse une marque rougeâtre et je me mords les lèvres au sang pour ne pas hurler de douleur !

    La suite est une vraie torture que je dois diriger toute seule, sans, bien sur pouvoir contrôler la force des coups.

    Côté pile, les s'il vous plaît, Monsieur se succèdent pour diriger le cuir de sa ceinture sur mes mollets, ma cuisse droite, ma fesse gauche, ma cuisse gauche et ma fesse gauche. Quand il en a fini avec ce côté, je cache comme je peux les larmes qui s'échappent de mes yeux, avant de me retourner pour lui présenter de nouveau mon côté face.

    Je fais face de nouveau à s'il vous plaît, Monsieur et lui demande toujours aussi poliment de me fracasser sa lanière de cuir sur mon nombril, mon sein droit, mes bras levés, mes mains et mon sein gauche.

    Sans attendre, je me retourne pour lui montrer mon cul et lui cacher mes larmes, et je continue à être bien éduquée, en réclamant ses coups sur mes mollets, mes cuisses, mes fesses, et en lui offrant en prime, mes deux fesses d'un seul sixième coup, puisque je lui demande de me frapper le cul de toutes ses forces, pour lui prouver, au passage, que je suis bien celle que je semble être : l'esclave-maso d'Annie !

    Sans s'occuper de mes larmes, il me fait tourner sur moi-même en commentant son résultat : « Hum, j’aime les traces de coups sur ton corps, j’espère qu’elles plairont aussi à ta Maîtresse ! ».

    Il allume une cigarette et caresse doucement de ses doigts les marques de ceinture. « Tu as une capote ? ». « Oui Monsieur, dans mon sac ».

    Je l’entends le fouiller, il ne peut pas voir que mon portable est connecté et il ouvre le sachet du préservatif avant de me dire :

    « Allez à genoux devant la cuvette, enfonce bien ta tête vers l’eau et lève très haut tes fesses ». Je me mets en levrette, je le sens m’écarter les cuisses pour bien se positionner derrière moi et après avoir tourné quelques secondes son gland lubrifié par le préservatif autour de mon anus, il entre d’un seul coup de rein dans mon cul, le ramonant immédiatement en me tenant par les hanches alors que j’ai toujours la tête dans la cuvette :

    « Hum, tu me régales belle salope, ton cul est bien serré et bien chaud, un vrai cul de putain professionnelle ! On sent de suite que tu te fais souvent enculer, bourge vicieuse en chaleur ! ».

    Il coulisse de plus en plus vite et de plus en plus facilement dans mes fesses m’arrachant des gémissements qu’il devine ne pas être de douleur et qui me font rougir de honte.

    J’imagine qu’il va jouir comme ça, au fond de mes fesses, mais alors que je me décontracte pour recevoir son foutre, il sort de mon anus, me redresse, ferme l’abattant et s’assied sur les wcs.

    Il m'ordonne de venir m’empaler sur sa bite face à lui. Yeux baissés, sans oser le regarder, je l’enjambe et m’assieds. Ma main droite guide son sexe vers ma chatte et quand je le sens en bonne position, je m’empale sur lui, lui arrachant un grognement sourd.

    De ses cuisses puissantes, il commence à me faire sauter en l’air en coulissant dans mon vagin trempé et en jouissant du spectacle de mes seins ballottés dans tous les sens.

    Il me tire par les nattes et oblige nos regards à se croiser.

    Il ne peut pas ne pas remarquer mes yeux luisants et voilés : « Regarde moi sans fermer les yeux je veux te voir jouir avec cette bite d’inconnu dans ton corps de pute de gare ! ». Sans arrêter de me faire sauter sur son sexe, il pétrit mes seins en s’attardant de temps en temps sur mes tétons qu’il tord dans tous les sens.

    Je n’en peux plus et j’assume mon rôle de putain de bas étage, en partant dans un orgasme à moitié silencieux, qui me ravage tout le corps, me faisant chavirer le regard. Il ne m’a pas quittée des yeux pendant mon orgasme et sourit en me voyant me calmer.

    Il semble lui aussi sur le point de jouir, mais il m’arrache à lui en me soulevant et se relève tout en me faisant mettre à genoux devant lui. Il retire la capote de son sexe, la pince au niveau de l'ouverture et m'oblige à ouvrir grand la bouche : je me demande ce qu'il compte faire, mais, vicieusement, il enfonce le latex trempé de nos jus dans ma bouche et, se reculant d'un pas, il prend sa bite dans sa main droite et se masturbe sans me quitter des yeux en m'ordonnant de mâchouiller la capote comme si c'était un chewing-gum !

    Ça me semble difficile de faire plus vicieux, mais ce niveau de perversion ne me fait pas peur, et, bien au contraire, tout en mâchant consciencieusement mon chewing-gum au goût étrange venu d'ailleurs,je lui souris en descendant ma main droite vers mon entrecuisse pour rentrer deux doigts dans mon con et poser un troisième sur mon clito qui est en train d'exploser !

    Il éclate de rire et me félicite ! « Je suis content d'avoir pu rencontrer une pute plus vraie que vraie ! La Miss monde des salopes ! Le paillasson idéal pour nettoyer ses semelles avant d'entrer dans son trou à merde ! Un réservoir à foutre sur deux jambes ! Allez, bourgeoise dégénérée, tu vas me faire la pipe de ta vie et fais moi bien durer ! Je vais vider mes couilles bien pleines dans ta bouche comme tu dois aimer, et j'espère que tu auras le cran de ne pas avaler de suite mon foutre pour prouver à ta Maîtresse que tu as bien bossé avec ton client ! ».

    Surexcitée par sa grossièreté, je le pompe, mais il est tellement excité que j'ai du mal à l'empêcher d'éjaculer, et je le mets en garde :

    « Monsieur, il faudrait que vous pensiez à autre chose, car je ne peux pas vous toucher la pine sans vous faire gicler ! ». « Tu as raison, je vais me branler pour rester dur sans jouir, mais toi, continue de te doigter, je dois trouver quelque chose pour te faire exploser ! ».

    Je lui demande si je peux changer de position. Et cette question éclaire brusquement son visage qui affiche un grand sourire !

    « Mais, bien sur, la voilà ma solution petite salope : tu vas te branler en te mettant dans ta position préférée, comme si tu étais toute seule et t'envoyer en l'air deux fois devant moi et, après je me viderai les couilles dans ta bouche de vide ordures ! ».

    Je m'en sors bien, il aurait pu me faire souffrir ou m'humilier d'avantage, et, c'est donc avec plaisir que j'adopte ma position préférée pour me branler à fond et accumuler les jouissances : je commence par me mettre à quatre pattes, puis je mets mon bras gauche par terre et j'y pose mon front. Je lève mon cul aussi haut que je le peux et ma main droite vient se fixer comme une arapède sur ma moule, pour me doigter et me triturer le clito !

    Je commence mon exhibition-masturbatoire, mais, comme je lui ai conseillé de penser à autre chose qu'au cul, il s'inquiète pour l'heure ! Je le rassure entre deux gloussements de plaisir : Annie ne m'a donné aucune consigne.

    Dans cette position, et devant ce bel homme qui branle avec passion sa pine que je sais, pleine d'un bon jus qui va bientôt remplir ma bouche de videuse de couilles, j'active furieusement mes trois doigts jusqu'à la limite de la douleur et, je lui offre deux beaux orgasmes consécutifs, en n'étouffant pas du tout mon plaisir et en me moquant totalement de savoir si des hommes sont présents dans ces toilettes !

    Mon corps tétanisé par ces deux jouissances si proches se tord comme un vers de terre et, privée d'énergie, je m'écroule à plat ventre sur le carrelage froid des wcs ! Il m'aide à me relever, son visage reflète la jalousie, probablement de ne pas pouvoir connaître ce genre d'orgasmes, l'envie, car il aimerait sûrement être à ma place, et le dégoût, car, il a du mal à juger une pute non professionnelle qui offre un tel spectacle à un total inconnu !

    Samedi 14 Janvier 2017 -15h45

    Sans arrêter de contrôler son érection qui est toujours aussi spectaculaire, il m'ordonne de m'agenouiller devant lui en écartant largement les cuisses et en baissant ma chatte le plus possible, pour qu'il puisse la voir dégorger le trop plein de mon jus de salope sur le haut de mes cuisses et sur le sol !

    Il tire violemment mes deux nattes en enfonçant son énorme chibre au fond de ma gorge étroite. J'ai à peine le temps d'éviter une nausée que j'entends ses grognements de plaisir. En jouant avec mes cheveux, il fait aller et venir ma tête, et donc ma bouche, le long de sa tige longue et dure qui devient de plus en plus poisseuse et consistante, au fil de ses longs jets tièdes et fournis qui me remplissent rapidement toute la bouche.

    En repensant à Annie, je referme soigneusement mes lèvres pour ne rien perdre de son sperme. Il s’essuie la bite sur mon visage, se rhabille, soulève une botte pour voir s'il n'a rien oublié dessous, ce qui me fait sourire car je ne peux pas rire aux éclats, et, il quitte les wcs en souriant, après m'avoir remerciée et tendrement embrassée sur le front : oui, ce Monsieur a de la classe ! Et, pour ma part, ce sera quand et où il le voudra !

    Les genoux flageolants, je récupère peu à peu mes esprits. Cette première séance avec un inconnu a été si rapide mais si intense que je suis surprise de me retrouver d'un coup toute seule !

    Je me rhabille et vais me rafraîchir comme je le peux devant le lavabo. Je rectifie mes nattes qui ont un peu souffert et je remonte dans la salle de restaurant sans desserrer les lèvres.

    Samedi 14 Janvier 2017 - 16h00

    En rentrant dans la salle où il ne reste que quelques clients, j’ai la vague impression d'entrer dans un autre monde et je marche comme une zombie jusqu’à la table d’Annie qui me reçoit en souriant :

    « Alors ma petite salope, j'ai entendu dire que tout s’était bien passé ? ». Ne pouvant pas lui répondre, je reprends ma place face à elle en rougissant.

    Elle rit : « Je suis contente que, Robert, ton client, comme il s'est lui même appelé devant toi, ait eu la gentillesse de penser à moi, en te demandant de ne pas avaler son sperme dans les wcs, et pour fêter ce beau geste, j'ai préparé une mise en scène qui devrait te combler ! »

    Je ne suis pas bien rassurée quand Annie m'annonce ses mises en scène, mais, que puis-faire d'autre que les accepter ?

    « Ma vicieuse adorée, Robert m'a de suite appelée et il nous entend, de même qu'Henri avec qui j'ai eu le temps de faire connaissance pendant votre absence ! Je vais donc leur dire de venir nous rejoindre, tu as du remarquer que le serveur a élargit notre table à quatre personnes et qu'il y a quatre desserts et quatre doubles cognacs, nous allons donc finir cet excellent repas tous les quatre à la même table, en es-tu heureuse ? »

    J'hoche la tête pour signifier un oui et souris pour mimer mon plaisir !

    Elle coupe son portable et propose aux deux hommes : « Je n'aime pas trop qu'un convive de cette table ne puisse pas parler, que penseriez-vous de redonner la parole à notre chère Loré, chers amis ? »

    Les deux hommes acceptent de suite en souriant et Robert rajoute même : « Elle a une si jolie voix que ce serait une vraie punition de ne plus pouvoir l'entendre ! ».

    Annie ne peut pas s'empêcher de prendre la perche tendue pour m'humilier publiquement : « Exact, Robert, surtout dans certains moments de sa vie très intime ! N'est-ce-pas ? ».

    Robert éclate de rire sans répondre alors qu'Annie lève sa main droite pour appeler le serveur. Elle a vraiment tout bien organisé, car il arrive de suite avec une petite assiette remplie de glace pilée sur laquelle trônent 2 grosses huîtres, probablement des N°1, qui doivent provenir de notre plateau.

    Mon assiette à dessert étant à côté de moi, il pose l'assiette devant moi en me souhaitant une bonne dégustation !

    Je ne saurai jamais si c'était une vanne ou une phrase professionnelle !

    « Ma sale truie en chaleur, comme j'ai failli t'appeler ! Dans un premier temps, tu vas prendre une huître, la sentir, de ne pas aimer son odeur, recracher la moitié de ce que Robert t'a gentiment offert pour te remercier de ton spectacle plus que porno et la reposer dans ton assiette en faisant attention de ne pas perdre de liquide ! Puis, bien sur, tu feras pareil avec la deuxième et tu me donneras cette assiette pour que je la contrôle ! ».

    Les deux hommes ne disent rien mais ne me quittent pas des yeux, je fais ce qu’elle me demande, le foutre encore tiède est réparti à peu près équitablement dans les deux huîtres et j’ai la bouche vide. Sans rien demander, Robert me sert un verre de vin blanc que je m’empresse de boire pour me rincer discrètement la bouche.

    Annie semble contente du remplissage des deux huîtres : « Hum, notre ami Robert était en effet très excité, la ration de foutre qu'il t'offre me semble plus que correcte ! ». Et elle me la rend en me disant : « Eh bien je crois qu’il est temps de te restaurer, vas-y lentement, ne les gobe pas d'un seul coup, elles sont assez grosses pour tu fasses trois bouchées de chacune ! ».

    Essayant de ne pas trop penser à ce que je vais faire, je détache chaque huître de son pied, je les découpe en trois avec ma petite fourchette prévue à cet effet et je gobe lentement chacun des six morceaux.

    J'avale, à chaque fois, un peu du mélange iodé et du foutre de Robert qui doit bander comme un âne sous la nappe ! Malgré leur goût et leur odeur peu ragoutante, je me force devant tous ces yeux qui m'épient à n'esquisser aucune grimace mais je termine la sixième bouchée au bord de l’écœurement.

    « Te revoilà parmi nous ma chérie, nous sommes tous contents de pouvoir réentendre ta joli voix, surtout Robert, à son sujet, es-tu curieuse de connaître son opinion sur ta prestation, ma douce esclave ? »

    « Oui, Madame, comme c'était une première fois pour moi, j'aimerais avoir l'opinion d'un homme quasiment inconnu sur ce que j'ai pu lui offrir en y mettant tout mon cœur et mon envie de bien faire ! ». « Veux-tu que ce soit Robert qui te dise ce qu'il a pensé de toi, ou moi ? ». « Hum, Madame, je serais probablement moins honteuse que ce soit vous ! ».

    « Je me demande parfois pourquoi je te pose des questions dont je connais déjà les réponses ! Eh bien notre ami est ravi, il affirme que le fait de lui avoir permis de prendre son temps a été un argument très important, de même que d'apprendre de ta bouche que tu ne faisais pas ça pour de l'argent, mais simplement pour ton obéissance envers moi, mais il s'est permis de rajouter que c'était aussi pour ton plaisir personnel ! Bref, il veut te revoir, mais ça, c'est mon problème, pas le tien ! Tiens à propos de choses personnelles, le téléphone ne m’a pas tout révélé : as tu joui ? ».

    Yeux baissés et très honteuse de moi, je fais oui de la tête. Elle éclate de rire me cinglant d’un : « Ça m’aurait étonné qu’en jouant à la pute tu ne t’envoies pas en l’air ! ».

    D’un signe de la main, Henri appelle le serveur qui vient avec 4 coupes de cristal et une bouteille de champagne dans un seau rempli de glaçons ! Il répartit les coupes, annonce le millésime, auquel je ne comprends rien, mais qui fait briller les yeux d'Annie ! Le débouche sans un bruit ni une goutte de perdue et le fait goûter à Annie qui semble jouir en en buvant une gorgée !

    « Il est divin, c'est un nectar ! » Henri lui lance une gentille petite pique qu'elle accepte en souriant, car, avant d'être une Maîtresse pour moi, Annie est aussi une femme que je sens sous le charme d'Henri :

    « J'adore déguster un bon dessert avec le champagne qui lui convient le mieux, et je me devais d'essayer, pour l'égalité des sexes, de rivaliser avec vos redoutables talents d'organisatrice, chère Annie ! ».

    Le silence se fait et nous dégustons un des meilleurs Paris-Brest de ma vie, fait par le chef pâtissier, qui vient nous serrer la main quand nous avons fini nos assiettes et nous propose un petit supplément par simple gourmandise !

    Nous acceptons tous les 4 et il est totalement ravi de cette belle unanimité ! Repus et tous enchantés par ce repas, Annie nous propose d'accompagner nos doubles cognacs avec des doubles expressos. Très vite, tout disparaît de notre table et nos cafés sont servis.

    Le cognac est au diapason du repas. Robert rompt le silence en s'adressant à moi : « Dis, moi, chère Loréna, ne te serais tu pas blessée au pied gauche, je t'ai vu remonter en boitillant légèrement ? ». « Vous êtes très observateur, Monsieur, j'ai en effet quelque chose qui me gêne dans ma botte, je ne sais pas ce que c'est, mais ce qui est sur, c'est que ça peut attendre ! Merci pour votre attention, cher Monsieur ! ».

    Henri et Annie ne partagent pas cet avis et Annie est même cinglante avec moi : « Ce que tu peux être conne de temps ma pute ! Tu montres tout à un parfait inconnu et tu refuses d'enlever une botte sous prétexte que je t'ai interdit tous bas ou chaussettes, je sais bien que chausser des bottes sur des pieds nus n'est pas la chose la plus aisée du monde, sinon pourquoi t'aurais-je obligée à le faire ? ».

    « Bien, Madame, avec votre permission, je vais redescendre aux toilettes ». « Il n'en est pas question, tu fais ça devant nous et si ta jupe remonte c'est ton problème ! ».

    Je ne dis plus rien, et me recule un peu sur ma chaise. Je dézippe sur toute sa longueur la fermeture de ma botte gauche et en tortillant mon pied, je le dégage péniblement. Rien n'adhère à ma plante de pied. Je glisse mon bras dans la botte et ma main trouve quelque chose qui ressemble, au toucher, à un papier plié.

    Très surprise je le sors et le pose sur la table. Avec un Oh ! d'étonnement vraiment sorti du cœur en constatant que c'est une liasse de billets. En la dépliant je compte six billets de 50€.

    Je regarde Annie, médusée, et me rappelle d'un seul coup l'étrange manège de Robert avec cette botte : vexée, je lui murmure, suffisamment fort pour que tous entendent : « L'argent vient de vous, Monsieur, pour je ne sais quelle raison, vous avez tenu à payer ma prestation malgré mon refus ! ». Je rougis de cet vexation et pose la liasse devant lui.

    Annie rit de ma naïveté : « Ma salope, tu viens de passer ton examen de putain, et avec une mention Très Bien. Rien n'était convenu entre Robert et moi, mais tu sais, à présent, combien tu coûtes à un client de sa classe pour une heure de cul, d'obéissance et de masochisme soft : 300€, c'est un bon salaire ! Je te signale que j'ai démarré à moins ! Mais, que, depuis je me suis rattrapée, et qu'à présent je peux baiser sans parler d'argent avec qui j'en ai envie ! ».

    « Ce que tu as fait était en fait une vraie passe de putain, et ne pas te donner une récompense signifiait ne pas aller au bout de cette expérience et n'aurait pas été juste. Je n'ai pas voulu t'imposer d'être payée d'entrée de jeu, mais je me suis arrangée pour que Robert apprenne que c'était la première fois que tu obéissais à un inconnu uniquement pour m'obéir, et, il a parfaitement compris et suivi mon raisonnement, ce dont je le remercie ! ».

    « Tu as fait une passe de call-girl de luxe, car, pour moi, tu ne seras jamais une putain de rue, avec un homme qui te méritait, tu lui a donné tout ce que tu pouvais, car tu voulais me faire plaisir, mais au fil de la séance, tu as viré à la vraie salope car tu en avais envie et que ça t'excitait follement de faire ta première passe avec un vrai client, et donc, il te fallait ton petit cadeau, ce qui te prouve l'intelligence de Robert et des gens que tu risques de rencontrer grâce à Henri et lui ! »

    Robert intervient : « Excuse-moi de te couper, Annie, mais je veux te féliciter pour ta manière d'enseigner le bdsm à ta nouvelle recrue ! Tout ce que tu viens de dire est totalement vrai et n'a rien de machiavélique comme on pourrait le croire ! Comme, je te le répète, devant Loréna, je veux la revoir, non pas, parce que je l'aime, mais parce que c'est une escort fantastique, en plus avec des tendances d'esclave-obéissante qui me font bander comme un fou ! Et, il me semble normal que nos rencontres soient tarifées, c'est pour ça que j'ai fixé moi même son prix de l'heure, car ce n'est pas la première escort que je fréquente, mais par contre c'est la première qui jouit autant en une heure !».

    Malgré moi, Robert me fait sourire, et il semble content de ce résultat positif !

    C'est Henri qui continue : « Comme je l'ai dit à Annie, Robert et moi sommes amis depuis l'enfance, et nous avons énormément de relations dans le monde des affaires, de la finance ou de la bourse. Je vais vous sembler prétentieux, mais nous aurions du mal à créer à Loréna une clientèle de petits commerçants, de chauffeurs de taxi, de routiers ou de V.R.P. ! Mais pour le haut du panier, nous sommes prêts à te mettre le pied à l'étrier en donnant le 06 de ton choix et en parlant de toi comme d'une call-girl extraordinaire, à l'esprit très ouvert même au bdsm et avec peu de tabous, ce qui, selon Robert, qui est l'auteur de cette définition, te colle bien, à la peau : tu ne trouves pas ma chère Loréna ? ».

    Je souris en constatant le consensus que cette première séance a provoqué : « Je vois que dans le monde du bdsm, le bal des débutantes est assez étrange, mais je comprends que je viens d'entrer chez les grands, pour ce faire, il m'a fallu être infidèle à mon amour, mais j'ai tellement pris de plaisir à jouer ce rôle que je suis prête à le répéter autant de fois qu'il le faudra, pas pour m'enrichir, mais pour rendre mes amis-clients heureux et en tirer autant de jouissances que j'en ai tirées aujourd'hui ! »

    Le serveur, très professionnel, car attendant toujours un moment de silence pour venir nous voir, nous demande si tout s’est bien passé et si nous désirons d'autres cognacs offerts par le Chef Pâtissier ! Annie lui répond que ce fut un repas parfait et lui annonce qu'il n'y aura que deux cognacs simples à nous servir.

    Les deux hommes ont profité de son intervention et sont déjà debout, et s'excusent de devoir partir à cause de l'heure, ils nous saluent en nous souhaitant une excellente fin d'après midi et souhaitent nous revoir toutes les deux. Ils récupèrent leurs manteaux et partent.

    Le serveur nous propose de nous porter nos deux cognacs dans le fumoir pour finir cet excellent moment. Elle approuve et nous nous installons dans des fauteuils de cuir très cosy en allumant nos cigarettes, car Annie a pris une pochette d'allumettes qui traînait sur une table ! Avant que le serveur ne reparte, elle lui demande l'addition, il approuve d'un « Bien Madame » respectueux et sort du fumoir.

    Je supplie Annie de me laisser payer, elle se fâche gentiment et me griffe une nouvelle fois de ses ongles de panthère : « Ce n'est pas parce que tu as gagné 300€ en faisant une passe qu'il faut les dépenser de suite, tu vas les mettre à la Caisse d’Épargne au nom de Jean ! Et, ce, dès ce lundi ! Je vérifierai salope ! ».

    Je fais semblant de bouder dans mon coin, elle en rit ! Le serveur revient avec un plateau en plaqué argent recouvert d'une serviette : « Voilà, Madame ! ». Elle déplie la serviette et découvre les deux cartes de visite d'Henri et de Robert avec toutes leurs coordonnées professionnelles au recto et, au verso, leurs 06 et leurs mails écrits à la main !

    « Votre note a été réglée par Monsieur Henri, Madame ! ». Sans la consulter, je lui donne un billet de 50€, en le remerciant pour son professionnalisme et sa prévenance. Il a l'air de trouver ça énorme, mais finit par accepter en me remerciant et en nous disant : « Si vous revenez, Mesdames, demandez d'être dans le service de Christophe et dites que vous êtes la dame qui décortique le homard ! ». Nous éclatons de rire en lui assurant que ce sera comme ça que nous réserverons dorénavant !

    Un peu rêveuse, je regarde les volutes de ma fumée de cigarette se dissoudre dans l'air de ce très beau fumoir, je prends mon verre et finit mon cognac sans un mot. De son côté, Annie fait de même et décide qu’il est temps de partir : nous récupérons nos manteaux et nous partons dans un paysage aussi blanc qu'à l'aller !

    Samedi 14 Janvier 2017 - 16h50

    Je ne suis pas très bavarde dans la voiture.

    Annie me sent encore gênée : « Tu sais très bien que tu viens de réaliser un vieux fantasme féminin. Bien sur, tu te demandes comment tu vas pouvoir regarder ton mari et ton fils dans les yeux ce soir et demain, mais projette toi dans une semaine ou dans quinze jours, et tu verras que tu te rappelleras de ce moment comme l'un des plus jouissifs de ta vie sexuelle ! ».

    Elle rajoute même, en riant : « Tu vois, sur ta feuille d’impôt, cette addition devrait figurer comme : un paiement en nature ! Tu démarres très fort ton métier d’occasionnelle : il y en avait pour au moins 150€ plus une petite fortune pour le champagne millésimé ! ».

    « Nous retournons chez toi et, comme, tu as superbement surmonté la difficulté de ton défi, je vais te donner ton accès gratuit à notre site, et donc à mes clips. Tu verras comment, en dissociant bien les deux personnes que nous avons toutes en nous, on peut s’éclater sexuellement, sans mettre en danger ni sa vie de famille, ni sa vie de couple ».

    Un peu absente, je ne réponds rien, les yeux perdus dans le paysage qui défile sans que je ne le regarde.

    La neige ayant sérieusement fondu, elle peut garer sa voiture juste devant chez elle, et nous rentrons chez moi.

    Je referme la porte d’entrée et elle me dit : « Mets-toi nue, j’aime te voir évoluer à poil devant moi ». Je fais mine d’aller au salon mais elle m’arrête d'un geste : « Non déshabille toi dans l’entrée ». Elle allume une cigarette et s’appuie à un mur pour me regarder ôter mon manteau, mon chemisier, ma jupe et mes bottes.

    « Très bien, vas nous faire du café, pendant que j'allume l’ordinateur ». Elle va dans mon bureau, alors que je me dirige vers la cuisine où le carrelage est presque froid sous mes pieds nus. J’entends la musique de Windows et pendant que le café passe, je la rejoins au bureau.

    « Tiens, Tom, a eu le temps de retoucher tes clips, tu es en ligne, visage apparent, regarde ». Elle me fait signe d’approcher une chaise et de m’asseoir à côté d’elle. Elle clique sur mes vidéos et, en effet, il ne fait aucun doute que je suis l’héroïne de ces films plus qu’osés. De me voir ainsi ne me laisse pas indifférente, je sens mon bas ventre se contracter et mes tétons se tendre.

    Annie ne fait aucun commentaire, mais je suis sure qu’elle s’en est rendue compte. « Je mets le nom du site dans tes favoris, sous quel nom veux-tu que je l'enregistre ? ». « Je n'en ai aucune idée, vous me conseilleriez quoi, Madame ? ». Elle sourit et fait semblant de me fustiger : « Eh bien ! Quand tu me dis que tu m'obéis, pour ne pas avoir à prendre de décisions, tu ne me mens pas ! Quelle feignasse tu fais ! Bon, je suis trop cool avec toi, mais on va dire que comme je t'ai appelée Laurence, on va appeler ça Lauriers ! Est-ce que ça te va et sais-tu pourquoi ? ». « Je suppose que c'est un jeu de mot avec Lore y est ? ». « Bravo tu es fainéante mais pas conne ! »

    « Donc quand tu entreras sur Lauriers, tu seras en fait directement sur : « www.liveviciouswomen.com », ton mot de passe est annie, sans majuscule, la seule chose que je ne peux pas te donner c’est l’accès aux statistiques car, nous ne sommes que trois à pouvoir les lire, mais je t’informerai de tes scores très régulièrement ».

    « Maintenant je vais te montrer un de mes clips, tu vas voir que tu n’es pas la seule vicieuse de ce site, et tu auras tout le temps de regarder les autres, je suppose qu'un menu en Anglais ne t'effraie pas ? ».

    « En effet, Madame ». Elle me prête la souris et, après avoir lu les options offertes, je clique sur French vicious young woman et, en me rappelant des dix huit clips annoncés par Annie, sur le sous-dossier appelé Anne-Marie qui est en fait le seul à proposer ce nombre de clips !

    « Belle mémoire et bon esprit de déduction, bravo, ma chérie ! Mon préféré est le 17, tourné il y a deux mois, devant un ami cameraman. J'ai dragué deux jeunes hommes très séduisants sur le Web, pour une rencontre filmée, visages cachés pour tout le monde, dans une chambre d’hôtel, et voilà ce que ça donne ».

    Le résultat est en effet plus que hard, les trois protagonistes, dont Annie, portent des loups noirs, elle les attend quasiment nue dans la chambre et rien de ce que peuvent faire deux hommes à une femme n’est épargné que ce soit sur le lit, ou dans la baignoire ou sur le sol.

    Les doubles pénétrations sont crûment filmées en très gros plan et les orgasmes de l’héroïne ne passent pas inaperçues :

    « J’ai un peu forcé mon talent pour les jouissances, mais tu sais comme les hommes sont excités de nous faire crier ! Tu vois que nous ne sommes pas dans le même registre, il n’y a que de la baise et du sexe pur, contrairement à tes clips ».

    « Le film dure douze minutes, c’est réellement du concentré de film porno, et à la fin, les hommes, visiblement repus, s’en vont après un dernier baiser à leur amante, qui seule dans la chambre, enlève son masque et nue, fait un grand sourire à la caméra, pour que mes fidèles voyeurs me reconnaissent ».

    Malgré les yeux cernés par le plaisir procurée par cette séance qu'elle a visiblement vécue à fond, j'identifie sans problème son joli visage, et lui pose tout de même une question qui me tarabuste ! ». J’éclate de rire : « Puis-je vous demander, Madame, la différence en une séance avec les visages floutés et une avec les yeux cachés par des loups ? ».

    Elle éclate de rire : « Je suis un peu surprise que tu ne l'ais pas faite toi même : après je ne sais combien de clips mis en ligne, je suis très connue sur ce site, donc mon visage aussi, mais le clip s'appelle : baise avec deux parfait inconnus, et il traite donc du fantasme féminin de s'offrir à un inconnu en gardant un anonymat total, non pas pour les voyeurs mais pour les baiseurs ! Tu comprends ma petite chatte ? ».

    « En effet, Madame ! Ma question était nulle ! ».

    Samedi 14 Janvier 2017 - 17h10

    « Alors ma pute : tu veux toujours concourir pour savoir qu'elle est la plus vicieuse de nous deux ? ».

    J’éclate de rire : « J’avoue être très surprise par votre cran, Madame, mais je suis sure que vous gagneriez un tel match, or, si je ne me trompe pas, je dois, de toutes les manières, vous laisser gagner pour ne pas être punie donc, le résultat étant connu à l'avance, ce concours ne sert à rien ! ».

    Elle rit à son tour : « Tu as bien raison, car, si un jour, nous sommes en compétition, et que tu me gagnes, ça chauffera pour toi ! ». « Oui, Madame, je crois avoir compris votre manière de fonctionner ! ».

    « Je pense que ma manière de fonctionner, comme tu le dis si bien, dépend de la tienne, si je n’avais pas été très proche de ton idéal dans un rapport de domination-soumission, tu aurais quitté la table du restaurant tout à l’heure quand je t’ai demandé de te prostituer, mais tu as voulu rester pour ne pas me perdre. Je me trompe ma petite pute ? ».

    « Non, Madame, vous êtes trop intelligente pour vous tromper, mais je crois que vous m’avez demandé de m’offrir à cet inconnu, pas de me prostituer ».

    Annie éclate de rire : « Ah la belle affaire et la belle manière de ne pas affronter directement un mot qui fait peur, voyons un peu, tu t’offres, tu te mets à poil, tu bois sa pisse, il te baise, il t'encule et tu gardes son foutre en bouche pour le déguster devant trois témoins, sans compter le serveur qui est loin d'être con ! Le tout en échange d’un repas d'environ 150€, d'une bouteille de champagne hors de prix et de 300€ de pourboire ! Alors ma pute : tu appelles ça comment ? ».

    Je baisse la tête en rougissant : « Oui Madame, vous avez raison, j’ai joué à la pute mais j'ignorais que c'était contre des billets de banque, le paiement d'une addition et une bouteille de champagne hors de prix ! Et ceci, Madame, sans vous contredire, et en me contentant de relater des faits ! »

    « Oui, et c'est pour ça que je ne te punis pas ! Mais, quand tu fais le bilan de ton après midi et que tu appliques le célèbre diction seul le résultat compte, tu en déduis quoi ? ».

    « J'ai franchement honte de moi, Madame ». « Honte de quoi, dis le moi les yeux dans les yeux ! ». « Honte de m’être prostituée, Madame, mais surtout d'y avoir pris autant de plaisir ».

    « C’est bien, mais tu verras que ce sentiment passera vite et que bientôt tu réclameras toi même des hommes nouveaux, tu sais aussi que chaque homme que nous rencontrons veut absolument te revoir plus longuement et surtout plus intimement : qu'ils soient dans les affaires comme Henri et Robert ou propriétaire d'un sex-shop comme André ! ».

    Je ne réponds rien, yeux rivés au sol. « J’ai soif, vas me chercher un Coca, mais avant, enfile toi le gros vibro rose dans la chatte et mets le sur deux, il faut que je bricole un peu ton ordinateur ».

    Quand je reviens avec le Coca, les cuisses serrées sur le vibro qui me remplit le ventre, elle me fait asseoir à côté d’elle et vérifie qu'il vibre bien sur sa deuxième vitesse. Elle boit à la bouteille en me disant :

    « Je viens de te créer un petit jardin secret informatique ! J'ai scindé ton ordinateur en deux : pour entrer dans le système commun, ton mari, ton fils et toi, il vous suffit, comme vous le faites à présent, de taper sur entrée, mais pour aller dans ton système à toi, tu dois composer, avec ton clavier : annie, qui ne s'inscrit nulle part sur ton écran, et faire entrée et une page en Chinois s'ouvrira : c'est la traduction de bienvenue Loré ! Cela te permettra, en cas d'urgence, d'assurer que tu as choppé un virus et de tout couper ! Ton espace fonctionne sur les programmes de l'espace commun,mais en mode caché, tu peux donc y archiver nos mails, tes renseignements divers, ton agenda téléphonique de cul, tes rendez-vous, et, bien sur tes clips et tes photos, sans aucun risque, tous les mois, un ordinateur viendra te pomper tout ton contenu pour l'archiver en toute sécurité, te voilà prête pour ta nouvelle vie ma petite pute ! ».

    Tout en me disant tout ce qu'elle a fait sur mon ordi, elle m'ouvre de plus en plus les cuisses et me pilonne durement le vagin, en me mordant, presque sauvagement le lobe de l’oreille qui est à sa portée :

    « On va fêter cette nouveauté en mettant en ligne ton premier clip ! »

    Elle sort son portable, le manipule rapidement, il bipe, elle recule un peu mon fauteuil du bureau et me demande d'y poser les mains croisées, en tendant bien les bras.

    Puis, elle me met le téléphone entre les mains et me dit d'appuyer sur un bouton facile d'accès, ce qui fait apparaître immédiatement le bas de mes seins, mon ventre et ma chatte grande ouverte en plein écran sur mon ordi !

    « Très bien, à présent, entraînes-toi à bien te cadrer toute seule avec une seule main, car tu auras besoin de l'autre ! Et surtout, pose ton smart-phone sur le bureau pour éviter que tes images bougent en permanence. Je trouve que tu fais très tapin de Noël sur ton écran, je vais aller te chercher quelques boules décoratives ! ».

    Elle sort du bureau en riant et revient quelques minutes plus tard avec un de mes plateaux-repas qu'elle a trouvé dans la cuisine.

    Elle le pose sur le bureau et s'assied à côté de moi. Je vois tout ce qu'elle a sélectionné pour ma décoration, comme elle le dit de son air méprisant !

    Elle me prend le vibro des mains, en faisant attention de ne pas se salir, le pose sur le plateau, tout en me disant : « Nous allons commencer par ta position ! ».

    Elle me prend le téléphone. Mon image disparaît du moniteur de l'ordi. Elle me fait plier les jambes et poser mes pieds nus, plante contre plante au bord de la chaise, comme dans la célèbre position zen de yoga et, en se levant, elle m'aide à rapprocher et soulever mes fesses pour les poser sur mes pieds et bien les immobiliser. Elle s'assure que je peux de nouveau me cadrer d'une main avec mon smart-phone et se lève pour me filmer sous tous les angles avec sa web-cam.

    Elle la pose branchée, un peu sur ma droite et commence, ce qu'elle appelle vicieusement, la décoration du tapin ! Elle prend mes deux nattes, qu'elle rabat sur le devant de mon visage et leur pose deux pinces lestées par deux chaînettes assez longues, ce qui fait que les lests viennent lécher le haut de ma poitrine. Puis, sans se déplacer beaucoup, elle me pose deux pinces lourdement lestées aux oreilles, auxquelles elle rajoute deux petites clochettes très sensibles.

    Elle les essaie de suite en me tirant les nattes pour bouger ma tête et donc faire tintinnabuler ces jolis clochettes, superbement humiliantes ! Puis c'est au tour de mes tétons d'être pincés et lestés trop lourdement, avec, eux aussi le rajout de deux clochettes. « Je suis très contente de la déco du haut de mon tapin ! »

    J'en conclus, malheureusement, pour moi, qu'elle va s'occuper du bas ! Elle prend une paire des nouvelles boules de geisha, que j'ai déjà eu l'occasion d'étrenner, et profite de ma position pour les enfoncer à demi dans mon anus : une boule entièrement en moi et l'autre, coincée par mon anus qui s'est refermé sur elle. Elle s'empare de la télécommande, et les met en route. Elle règle ma main filmeuse et constate, sur l'ordi, qu'on voit parfaitement la boule à moitié entrée, vibrer et me travailler l'anus, pendant que j'essaye vainement de bouger mon cul pour lui échapper !

    Avant de terminer par ce qui devrait être l'étoile filante du tapin, si je suis son raisonnement, elle me demande de m'astiquer le clito de ma main libre, car elle ne le voit pas bien. J'ai un peu peur de la vraie raison pour laquelle elle me demande de le faire bander, et quand elle arrête ma main et approche la sienne avec une grosse pince en plastique d'un très beau rouge vif, je comprends son idée, et, sans aucun moyen de m'y opposer, elle pince mon trop petit bouton avec cette trop grosse pince, me faisant hurler de douleur. C'est la première fois qu'elle me torture aussi douloureusement, et j'en pleure de douleur mais aussi de colère contre elle.

    Elle termine son œuvre d'art en m'enfilant dans la chatte, la partie la plus longue du gode-double, presque neuf, et, dès qu'elle le sent bien au fond de moi, elle règle les deux godes-vibros, en commençant par celui qui est hors de mon ventre : réglé au plus court donc, vingt centimètres, mais jaillissant parfaitement visible et obscène de mon sexe, et, branché sur le pilonnage, et pour celui que j'ai dans le con, le pilonnage aussi, mais avec la plus grande longueur, donc trente centimètres, et, la vitesse d'allers et de retours, la plus accélérée du programme.

    Et pour m'indiquer qu'elle a fini, elle me frappe lourdement les seins et la pince du clito en me disant : « Jouis autant de fois que tu veux, mais n'oublie surtout pas de te balayer de haut en bas avec ta petite caméra et de t'attarder sur ton visage pour ne rien perdre de chacune de tes jouissances ! ».

    Elle cadre différemment sa propre web-cam, et tout en vérifiant la qualité de mes prises de vue sur l'écran de l'ordinateur, elle ouvre un quart de fenêtre sur le moniteur et je l'entends pianoter sans pouvoir lire ce qu'elle écrit, et surtout sans aucune envie, car tout mon corps, du lobe de mes oreilles au fond de mon vagin, se tend, et travaille pour que j'atteigne un orgasme qui sera plus fort que celui que je viens d'avoir, mais moins fort que celui qui va lui succéder !

    Je gémis de plus en plus fort, et comme d'habitude, j'hurle, à chaque orgasme, mais comme ils sont de plus en plus rapprochés, je suis horriblement bruyante, ce qui déclenche sa colère !

    « Ta gueule, je n’arrive pas à me concentrer, si tu continues je te pose un bâillon ! ». Je me mords les lèvres pour ne plus faire de bruit alors qu’elle continue à tapoter sur son clavier.

    Je n’en peux plus, j’essaye de retarder un énième orgasme, mais, comme chaque fois le plaisir revient plus fort et plus pressant. Annie voir sur ce que je filme que je ne peux vraiment plus me retenir, ni de jouir, ni de crier, et elle m’interpelle sèchement :

    « Arrête tout et mets-toi debout ! ». Engourdie par la position en tailleur dans laquelle je suis restée longtemps, je me lève avec grande difficulté. Finalement, toujours harnachée et frissonnante de jouissances, je m’approche d’elle alors qu'elle se lève de son siège, enlève très rapidement sa jupe et sa culotte, me laissant la voir pour la première fois quasiment nue et me dit sèchement :

    « Tu vas inverser tes défonceurs : les boules bien enfoncées dans ta connasse de pouff, et le double-gode dans ton trou à merde. Tu vas garder toutes tes pinces et tes carillons et tu fileras sans grogner sous le bureau, on va laisser ton vibro anal faire son travail ! Et, toi, tu vas me bouffer la chatte : j’ai envie de m'envoyer en l'air pendant que tu hurleras que tu es en train de jouir du cul, comme une sale truie en chaleur ! ».

    Je libère mon cul des boules et les remplace, sans trop de difficulté, par le vibro, j'enfonce les boules dans ma chatte dégoulinante et je sens Annie rectifier, à la hausse, les vitesses des deux sex-toys.

    Seins pendouillants, douloureux et bruyants, je m‘accroupis et je glisse, avec difficulté sous le bureau, alors qu’Annie s’assied juste au bord du fauteuil que je viens de libérer, pour pouvoir ouvrir largement ses cuisses et me laisser accéder facilement à son sexe.

    « Hum : c’est bien vas y applique toi j’aime la douceur de ta langue un peu rapeuse ! Je vais t’expliquer ce que je viens de faire, je t'ai ouvert un mail sur « bdsmissoire@ hotmail.fr » dont je contrôle ton mot de passe, et je t’ai inscrite en ligne sur le site « www.jouezaveclefantasme.com » mais il me manque : ta taille ? Ton poids ? Et tes tabous dans la soumission ? ».

    J'arrête de la lécher pour lui répondre : « 1m65, 53 kilos, pas de sang ni de blessure ni de marques et pas de jeux avec du caca ou avec des mineurs ».

    « Bien ton profil est le suivant : « Jeune femme, non pro, mariée, mère de famille, 34 ans, brune aux cheveux mi longs, 1m65, 53 kilos. Soumise éduquée et obéissante, tendance maso, pas de blessures, de sang ou de marques, pas de jeux avec des mineurs et pas de scatologie. Cherche dominant ou dominante ou couple pour rencontre réelle région Sud Auvergne, voir photos. Mail : « bdsmissoire@hotmail.fr » 

    « Vas-y applique toi, lèche moi bien le clito. Tu m’excites juste quand je dois choisir quelques photos de toi, pour accompagner ton profil, hummm, salope, sûrement que je ne vais pas choisir les plus sages ! ».

    Je la lèche de l’anus au clitoris, sans m’arrêter, sans m’occuper de la douleur musculaire de ma langue, heureuse de ses mouvements de reins et de ses gémissements. Je l'entends cliquer au dessus de moi et murmurer : « Hum, très bien celle là, non pas celle là elle est trop prude. Hum celle là va faire bander tout le monde ».

    Elle bouge de plus en plus rapidement son bas ventre, gémit de plus en plus fort, ses mains se posent sur ma tête pour la plaquer encore plus contre sa chatte, brutalement, ses cuisses se resserrent sur ma tête et elle jouit bruyamment, je sens toutes les contractions de son corps passer dans ma tête par l’intermédiaire de ses cuisses. Elle m’étouffe presque et j’ai du mal à avaler tous ses flux qui s’échappent de sa chatte trempée.

    Samedi 14 Janvier 2017 - 18h30

    Elle me repousse la tête et détend ses jambes en ronronnant :

    « Tricheuse ! Tu n'as pas joui du cul comme je te le l'avais ordonné ! Tu as de la chance car, j'hésite encore sur le choix de certaines de tes photos, en attendant : tu vas enlever toutes tes pinces : nattes, oreilles, tétons et clito. Tes boules vibrantes et tu vas sortir le double-gode de ton cul, j'ai vu sur le mode d'emploi qu'il pouvait se détacher en deux : c'est ce que tu vas faire, tu remettras, la partie qui te revient, dans ton trou à merde et tu t'allongeras par terre, sur le ventre, les jambes bien écartées sous ma chaise ».

    Je fais tout ce qu'elle vient de m'ordonner et me couche sur le parquet. Je glisse sur le ventre et passe mes jambes sous son fauteuil. Telle que je suis, elle n’a plus qu’à lever l'une de ses bottes, qu'elle avait gardées pour se faire manger la chatte, pour la poser sur la plaque vibro.

    Voyant que je suis prête, elle appuie violemment sur la protection du vibro qui entre jusqu'au fond de mes fesses et quand elle relève le pied, il ressort. Elle le renfonce brutalement comme si elle jouait avec une pédale d’accélérateur. « Si tu n’arrives pas à jouir uniquement du cul, je t’autorise à te toucher tes bouts de mamelles. Mais je ne veux pas que tu te branles la chatte ».

    Ayant compris, je glisse mes mains sous mes seins et prends mes tétons, encore meurtris par les pinces à clochettes, entre mes doigts, alors que le vibro entre et sort très rapidement de mon anus dilaté. Surexcitée par le long léchage de sa chatte, je sens que je ne vais pas tenir très longtemps, et je ne peux m’empêcher de gémir chaque fois que le vibro m’ouvre un peu plus l’anus et les intestins.

    Mes tétons sont durs comme de la pierre et je dois les titiller avec les ongles pour les faire réagir encore plus : « Oh, Madame, je n’en peux plus. Je vais jouir du cul ! ». Annie ne dit rien mais écrase encore plus son pied sur la base du vibro et le laisse profondément enfoncé dans mes intestins le faisant vibrer au plus profond de mon ventre, et j’hurle ma jouissance en me tortillant sur le sol.

    Dès que je suis un peu calmée, elle enlève son pied et me dit d'une voix douce : « Vas enlever ce gode et douche toi, tu as le cul sale et tu es pleine de poussière à force de te tortiller à poil sur le parquet, emporte aussi le plateau avec tous tes jouets que tu nettoieras avant de les ranger ! Et, rejoins-moi dans le salon ! ».

    Je sors à quatre pattes de sous la table et me dirige vers la salle de bains sans la regarder.

    Samedi 14 Janvier 2017 - 18h50

    Quelques minutes plus tard, je reviens en peignoir et en chaussons, Annie s’est rhabillée, elle est assise dans un fauteuil et fume une cigarette :

    « Il faut se méfier, je crois qu’après une bonne journée de ski, nos hommes vont rentrer fatigués et de bonne heure ».

    « Oui je crois que vous avez raison ».

    « Je t'ai mis dans ton aide mémoire mon mail perso et privé, tu seras gentille de m'y donner, si possible une semaine à l’avance tes jours ou heures de liberté pour que je puisse t'organiser un emploi du temps cohérent, compris petite esclave sauvageonne ? ».

    « Oui Madame, j’ai parfaitement compris ».

    « Bien, en rentrant j’enverrai à Tom le film du jour. Tu seras en ligne dès demain après-midi : j’espère que tu auras le temps et la possibilité de voir tes clips, je ne sais pas combien l'équipe va en monter, tout dépend de la qualité des images, des situations et des dialogues. Nos collaborateurs essayent toujours de mettre en ligne des images de qualité, bien scénarisées avec des actrices bandantes ».

    « Vous désirez que je vous appelle quand je les aurai vus ? ». « Je me moque de tes réactions et ne m'appelle jamais pour me parler de cul : cette partie de notre vie doit être uniquement évoquée par mails, nos maris doivent ignorer nos rapports. Cela dit, comme vous nous l'avez proposé, nous ferons une soirée tous les quatre, pour nous rapprocher officiellement ». « Oui, Madame, en dehors du côté amical, ça me semble une excellente idée car, après : personne ne sera étonné que nous nous parlions ou que nous nous voyions régulièrement ».

    « C’est tout à fait ça : allez habille toi, mets tes bijoux, enlève mon alliance, je fume une dernière cigarette et je me sauve ! ».

    Je vais me rhabiller dans la salle de bains après avoir ramassé mes affaires dans l’entrée, je cache l’alliance dans un petit coffre de ma chambre et je reviens au salon pour remettre mes bijoux.

    Annie sourit, me regarde faire et se relève pour m’embrasser longuement sur la bouche : « Je me suis régalée de ton obéissance aujourd’hui, j’espère que ce fut pareil pour toi ».

    « Oh, oui, Madame, je vous assure que j’aurai du mal à oublier cette journée ! ». Je la raccompagne jusqu’à la porte et c’est avec regret que je la vois s’éloigner.

    Samedi 14 Janvier 2017 - 19h00

    (Chapitre revu et corrigé par le nouveau correcteur du blog que je remercie)

    Je me suis remise en jean, gros pull et mules sans chaussettes. Yves ne sera pas surpris de me trouver habillée comme ça ! Je prépare le dîner, tout de même étonnée que mes hommes ne soient pas encore rentrés. Mon portable sonne. Je décroche, persuadée que c’est mon mari : « Allô, Chéri ? ».

    C'est la voix d'Annie qui me répond : « Hum, nous devenons très intime d'un seul coup ! Tu m’appelles Chérie maintenant ma pute ? ».

    Je ris :

    « Oh, pardon Annie, comme je m'inquiétais un peu de son retard, je pensais que c’était lui qui appelait ! ».

    « Oui je m’en suis rendue compte, je voulais juste te taquiner ! Je vais en profiter pour te donner de bonnes nouvelles. Je viens d’avoir Marc, il a fait une journée quasi printanière et la station a éclairé quatre de ses pistes pour les laisser skier plus longtemps en leur offrant la gratuité des remontées ! Tout le monde est resté et Marc m'a assuré que personne ne comptait quitter la station avant l'extinction des projecteurs annoncée pour 19h30. Donc, ils ne devraient pas être ici avant 20h30 au plus tôt ! ».

    « Ah, merci de me prévenir Annie, je commençais réellement à me faire du souci ! ».

    « Non, ma chérie, tout va bien. Je t'ai peut-être dérangée ? Que faisais-tu ? ».

    « Je préparais le dîner. S'ils n'ont mangé que des sandwiches à midi, ils vont être crevés mais affamés ! ».

    Annie rit : « Tu es plus courageuse que moi. J'ai préparé une énorme omelette et un plateau de fromages ! Dis-moi ma petite salope vicieuse, si ta voisine te dit qu'elle a une petite envie, serais-tu prête à lui faire plaisir ? ».

    « Si je le peux, Madame, ce sera avec grand plaisir »

    « Bien sûr que tu le pourras, je n’ai pas coutume de te demander de décrocher la lune ! Voyons, je n'ai pas ma montre, quelle heure est-il s'il-te-plaît ? ».

    Je me penche un peu pour regarder la pendule murale de la cuisine et lui réponds : « 19h15, Madame ».

    « Bien, ça nous laisse une quarantaine de minutes, c'est parfait. Tu restes en ligne et tu vas dans ta salle de bains ».

    Obéissante, j’y vais : « Voilà, Madame je suis dans la salle de bains ».

    « Bien, j’ai vu que ton téléphone fait aussi des clips, c'est exact ? »

    « Oui Madame, c’est un Samsung de la dernière génération ».

    « Parfait! Tu vas te filmer rapidement des pieds à la tête pour que je vois comment tu es habillée et, au passage, si on ne voit pas un vêtement, tu le décris à haute voix. Essaye de faire comme si tu avais des voyeurs inconnus derrière ta webcam, ça fera plus jeu vicieux ! ».

    Je déclenche la webcam et commente pour mes "voyeurs" : « Bonsoir, Messieurs et Mesdames, comme vous pouvez le voir  je porte des mules d'intérieur, sans bas ni chaussettes, un jean délavé qui cache un tanga bleu marine en soie et dentelle, un soutien-gorge assorti et un gros pull sans forme qui devait être marron quand il était neuf ! ».

    « Très bien, arrête la webcam et cale ton portable sur la commode qui est en face des WC de telle sorte que je puisse te voir en entier. S'il est bien calé, passe en main libre et fais une photo en repérant bien ta position ».

    Je m’exécute, j’arrive finalement à le coincer dans ce que je crois être la bonne position et je fais une photo que je lui envoie de suite.

    Dès réception, elle me dit : « Bon cadrage, bravo ma petite pute. Prépare ta webcam à filmer et quand tu seras prête, tu la déclenches.Tu vas t'asseoir sur la cuvette fermée, bien sage et souriante : mains sur tes genoux bien serrés et tu me préviens quand ça tourne ! ».

    « Voilà, Madame, le téléphone est calé et la webcam tourne ».

    « Bien, nous allons continuer le petit jeu des sessions-vidéos. Tu vas répéter à "tes voyeurs " ta carte de visite du site de rencontre où je t'ai inscrite ! ».

    « Messieurs et Mesdames, je me présente en détail : je m'appelle Loréna, j'ai 34 ans et je suis brune aux cheveux mi-longs. Je mesure 1m65 pour 53 kilos, je suis mariée et mère de famille. Je suis ingénieur-cadre dans une société d'aéronautique et non professionnelle du sexe. Je suis une soumise éduquée, obéissante, à tendance esclave-maso. En soumission, je n'apprécie pas les blessures, le sang, les marques et les jeux avec des excréments ou des mineurs »

    « Belle carte de visite Putain-Loré, mais je pense que nos invités veulent que tu leur montres de belles images de toi ! Puis-je te conseiller de te dévêtir de bas en haut et de finir par tes sous-vêtements ? ».

    Je me déshabille lentement, sans mise en scène, tout en me levant à chaque pièce enlevée pour la ranger correctement sur un fauteuil en rotin. Tout en exécutant mon strip-tease, je réalise que, lorsqu'elle m'a quittée, j'ai pensé que la pression d’Annie était finie pour la journée mais je constate qu’elle sait utiliser le moindre temps mort pour maintenir le lien bdsm de plus en plus solide entre nous.

    « J'avoue que je préfère te voir évoluer à poil devant moi, mais tu es aussi très excitante quand tu te mets à poil pour t'offrir ! Tu vas me faire un immense plaisir : tu dois deviner ce que tu vas devoir accomplir, avec les seuls indices de ta nudité, de l'endroit où tu te trouves et, du seul siège qui t'attend dans cette pièce »

    Je rougis de la pointe des cheveux au bout des orteils !

    « Ta rougeur et ta honte me font penser que tu as déjà trouvé, peux-tu simplement m'assurer que c'est la première fois de ta courte vie de salope que tu vas t'exhiber ainsi ? »

    « Oh, oui, Madame, si nous pensons toutes les deux à la même séance, ce sera la première de ma vie, et je m'étais pourtant promis de ne jamais me présenter ainsi devant des regards directs ou filmés ! »

    « C'est parfait, voilà donc ce que tu vas exécuter à la lettre : quand tu seras entièrement à poil, tu considéreras que la cuvette est un cabinet à la turque, tu monteras sur la cuvette, face à ta web-cam, tu poseras tes pieds nus sur la faïence du rebord de la cuvette et tu t'accroupiras en glissant tes deux mains dans ton dos, pour t'accrocher à la chasse d'eau, ce qui te stabiliseras et t'empêcheras de tomber ou de glisser ».

    « Ainsi accroupie de face, tu nous offriras la vidange de ta vessie en regardant bien ta cam, et tu ajouteras trois symboles supplémentaires de ta soumission : en balançant doucement tes mamelles pendouillantes, en entrouvrant la bouche pour te lécher les lèvres de plaisir et en ouvrant ta moule de pute avec une de tes mains ».

    « Quand tu auras bien pissé et récupéré les dernières gouttes de ton urine avec tes doigts, tu les nettoieras, puis, en faisant très attention de ne pas glisser, tu te retourneras en montrant tes fesses à la caméra, largement ouvertes par tes deux mains et tu péteras et chieras devant ta webcam. Exécution salope bourgeoise en chaleur et régale nous bien de ton vice en exécutant tout sans tricher, sinon je viens chez toi pour que tu fasses tes besoins sous mes yeux et devant le zoom en gros plan de ma caméra pro ! ». 

    Toujours rouge de honte comme un  plan de tomates trop mures, je monte et m'accroupis sur la cuvette. Je trouve rapidement mon équilibre, et je peux donc ouvrir obscènement ma chatte de mes deux mains, sans oublier de faire briller de salive mes lèvres buccales et de balancer vigoureusement mes nichons.

    Je n'ai pas très envie de pisser, mais j'urine très rapidement, un jet abondant mais bref, qui fait un bruit obscène en tombant dans la cuvette. Je caresse un peu ma moule humide pour faire tomber mes dernières gouttes de pisse sur deux doigts que je m'empresse de porter à ma bouche pour les nettoyer. Je n'ai pas de problème, car, curieusement j'aime le goût et l'odeur de ma propre pisse.

    Puis, en suivant les consignes d'Annie, je pivote pour m'offrir de dos à l'objectif. Mon équilibre retrouvé, je les ouvre de mes deux mains pour que mon anus béant soit offert d'une manière indécente.

    Je commence à pousser et bien malgré moi, un petit pet s'échappe de mon cul, me faisant tourner au rouge vermillon, mais il est suivi d’une crotte qui me fait grimacer en franchissant mon anus martyrisé par le vibro de tout à l’heure. Une deuxième petite crotte suit la première. Je me secoue un peu et me lève alors que la voix d’Annie résonne .

    « Hum, pas mal ton pet, il était bien réaliste, tu m'as prouvé que tu forçais, bravo ! Tu dois être trempée de t'être exhibée en train de chier et de péter devant une caméra, putain-salope ? ».

    « Oh, oui, j’en ai même honte Madame, mais j’avais très envie et j'étais à deux doigts de m'envoyer en l'air  ».

    « Très bien, à présent, récupère ton téléphone et filme en gros plan l'essuyage de ta connasse trempée, avec des kleenex et le papier-cul bien sale après que tu te sois torchée le cul ! ».

    « Très bien, ça c’est du film réaliste ! Maintenant tu vas enfourcher le bidet et je veux tout voir en gros plan ».

    Je l'enjambe et filme de ma main gauche, ce que fait la droite, en multipliant, comme elle me le demande, les gros plans explicites et obscènes. Ma main soulève des vaguelettes et fait du bruit, j’arrête quand je pense être parfaitement propre et m'essuie l'entre-jambe avec une serviette, qui, en effet reste immaculée !

    « C’est bien, mon envie est satisfaite. Encore une fois je suis contente de ton obéissance. Je te laisse, bonne soirée ma putain. Tu peux te rhabiller ou rester à poil pour terminer ton repas ! ».

    Et elle raccroche. Je me rhabille lentement, trempée et excitée, mais je pense en moi même que c’est mon mari qui va profiter de cet émoi. Sans doute une manière de me faire pardonner cette journée difficile pour notre couple mais pas pour ma sexualité débauchée !

    Nous sommes le :

    Samedi 14 Janvier 2017

    et il est environ :

    20h15

    Suite > Chapitre 3


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