• Chapitre 3

    Dimanche 15 Janvier 2017 – 11h30

    « Loré, je pars devant avec Jean, tu nous rejoins quand tu le peux ? Ne tarde pas trop, le gigot serait trop cuit ! ». « Je finis de ranger la cuisine et le temps de m'habiller, je vous rejoins, à de suite les hommes ! ».

    La porte claque, j’ai fini de ranger, mais, avant de m'habiller, je voulais me garder un peu de temps pour entrer sur le site, curieuse et excitée de découvrir le résultat du montage du film d’hier.

    Le haut débit est une belle invention, car, en quelques clics, je suis sur le site et je découvre que j'ai huit nouveautés et trois clips placés dans le top-ten !

    Annie continue de me favoriser ! J’ouvre au hasard l’avant dernier et je me retrouve plongée dans l’ambiance d’hier. Dommage que je sois pressée, j’aurais aimé pouvoir me caresser en visionnant tous ces films, alors que je ne peux qu'en regarder des extraits à la sauvette.

    Très excitée je clique sur le dernier, et je constate avec surprise que c’est celui filmé avec la web-cam de mon portable dans la salle de bains. Une grosse bouffée d'adrénaline me monte au visage et je rougis de honte : la qualité est relativement bonne et l'on voit parfaitement ce que je fais.

    Décidément, en un seul clip, je vais devenir très intime avec tous les voyeurs qui me suivent sur le site de Tom.

    Avant de partir, j'envoie un Messenger à Annie :

    « Madame, ce mardi, je suis libre de 14h à 19h. Jeudi et vendredi, je peux me libérer de 12h à 14h, et samedi, Yves et moi comptons vous avoir pour un petit dîner amical chez nous. Par contre, la semaine prochaine sera plus cool : Yves part cinq jours pour son travail, du lundi matin au vendredi soir, je peux donc me libérer quasiment tous les midis, dont un où nous pourrions manger toutes les deux avec Jean. Je compte prendre deux jours de RTT : le mardi et le jeudi. A noter que, cette semaine là, je serai donc seule la nuit avec Jean, mais qu'il adore passer quelques nuits chez mes beaux-parents qui le gâtent beaucoup ! J'ai hâte d'être à la semaine prochaine ! Vous me manquez : votre petite pute en chaleur ! ».

    Je déconnecte, enfile les vêtements que j'avais préparé, ferme la maison et je me dirige, pensant à la semaine que je vais vivre, vers la maison de mes beaux-parents à peine distante d'un petit kilomètre de la nôtre.

    Lundi 16 Janvier 2017 - 13h30

    Après un repas rapide en tête à tête, car Jean est resté à la cantine, Yves repart au travail, comme je ne veux pas me connecter sur un site perso de mon travail, j’ai un quart d’heure pour lire une éventuelle réponse d’Annie, avant de prendre moi aussi le chemin de mon travail.

    Je tremble un peu en lisant dans mon dossier sécurisé que j’ai un message, qui ne peut venir que d'Annie :

    « Ma pute : pour information et pour te prouver que tu as pris la bonne décision, tu as dépassé cette nuit les 5.000 visiteurs, les commentaires sont très élogieux et très vulgaires, à ton image ! ».

    « Mardi, je t’attends chez moi à 14h, vêtue de ton manteau, d'escarpins à talons hauts, de bas dim-up et de ton soutien-seins en cuir. Tu mettras aussi tes bracelets de cuir aux chevilles et aux poignets et ton collier assorti autour du cou. Aucun autre bijou que mon alliance ».

    « Dès 13h, tu glisseras les boules dans ton vagin et tu prépareras quatre pinces en fer lestées, le gros vibro rose et sa télécommande, quatre clips et un loup. Enfin, avant de quitter la maison, tu te mettras le gros vibro dans le cul. Si possible, ce soir, fais gicler Yves, mais retiens toi de jouir, je te veux chaudasse pour moi ! Entendu pour la soirée de samedi soir tous les quatre chez vous ».

    Mardi 17 Janvier 2017 - 13h05

    Nous mangeons tous les trois, car, malencontreusement, la cantine est en grève et Jean mange avec nous. Je me lève pour aller chercher le gratin de pâtes au four, plat que tout le monde apprécie !

    Je reviens m’asseoir en faisant une petite grimace qui n'échappe pas à Yves qui me dit : « La même douleur que cette nuit ? Tu devrais aller voir le Docteur Lopez, elle t'a gâché ta soirée, ce serait dommage de continuer à souffrir ! ».

    Je sais bien à quoi Yves fait allusion, hier soir, j'ai prétexté une douleur vaginale pour ne pas baiser et jouir, mais en échange, il a été content, car je l'ai fait jouir dans ma bouche et quelques minutes plus tard, il a vidangé le trop plein dans mes intestins, mais je sais qu'il n'aime pas jouir seul et qu'il se régale de mes orgasmes surtout quand ils sont spectaculaires.

    « Oui, tu as raison, si, ce soir je souffre toujours, je prendrai rendez-vous avec Lopez, mais je suis sure que ça va passer ». En fait, je suis vraiment très mal à l’aise avec ces boules de geisha qui se choquent en moi à chaque mouvement. J’essaye de rester naturelle, tout en appréciant que la vibration télécommandée, plus forte que la naturelle ne soit pas enclenchée !

    Nous parlons de choses et d’autres, Jean nous fait rire en nous racontant qu’un enfant de sa classe s’est endormi ce matin sur son bureau, Yves me demande ce que je vais faire dans l’après midi, je lui réponds que j’ai rapporté du travail à faire pour m’avancer un peu et que si je suis lasse de travailler j’irai faire du lèche vitrine.

    Yves approuve : « Pourquoi n’irais tu pas faire du shopping avec Annie, si elle est libre, je crois savoir qu’elle ne travaille pas ? Ils sont gentils d'avoir de suite accepté notre invitation pour samedi. Ils ont l’air bien tous les deux, ça fait plaisir d’avoir des voisins sympas ! Tu pourrais en profiter pour connaître leurs goûts pour bien orienter le traiteur ! ».

    J’ai beaucoup de mal à lui répondre: « Oui, c'est une excellente idée : nous avons échangé nos numéros de portables, je l’appellerai quand vous serez partis tous les deux ». Yves me sourit, se lève, me fait une grosse bise sur le front et me conseille : « Tu as vraiment une petite mine, va faire la sieste et essaye de sortir avec Annie, au lieu de rester à bosser toute seule, les 35h ne sont pas faites pour les chiens tu sais ! ».

    Mardi 17 Janvier 2017 - 13h45

    Jean se prépare, nous buvons notre café en fumant une cigarette dans le salon, j’ai rangé toute la cuisine ce qui a fait bouger encore plus les boules en moi. Yves regarde sa montre : « Bon il est moins le quart, j’y vais, je dépose Jean au passage ».

    Une bise à tous les deux. Yves me murmure à l’oreille : « J’espère que tu seras en forme ce soir, hier je me suis endormi un frustré tu sais ! ».

    « Oui, moi aussi, mais je t’assure que je n’étais pas bien du tout ». « Je sais, pas la peine de t’excuser, je ne t’en veux pas du tout, allez bon après midi ma chérie ». Le 4x4 démarre, un petit salut et je me retrouve seule.

    Mardi 17 Janvier 2017 - 13h50

    Dès la porte fermée, je vais vers l’armoire cachée du salon et j’en extrais tout ce que m’a demandé Annie : les quatre bracelets, le collier de cuir, le vibro, les quatre clips, le soutien-seins, les quatre pinces lestées et le masque. Je pose tout ça sur le lit de ma chambre et je prends l’alliance dans le coffret, j’enlève tous mes bijoux et je pends la chaîne à mon cou. De sentir l’or froid entre mes seins me donne la chair de poule.

    Je me mets entièrement nue, et, assise, j’enfile les bas. Je dois me mettre devant le miroir pour bien fixer le soutien-seins sans trop serrer les courroies remplaçant les bonnets, puis je fixe les bracelets à mes poignets et à mes chevilles et je termine par le collier correctement serré autour du cou.

    J’enfile mes escarpins, je me sens gauche, car je n’ai pas trop l’habitude d’être en talons hauts, et je vais dans la salle de bains. Je mets un peu de crème sur le plug et, accroupie, je le fais glisser dans mon anus.

    Je n’ai pas besoin de relire le mail d’Annie, j’y ai pensé et repensé toute la nuit, je sais que je n'oublie rien !

    De retour dans ma chambre, je complète mon sac à main avec mes cigarettes, mon briquet et mon portable. Je prends un autre sac en cuir dans lequel je fourre les sex-toys que je ne porte pas.

    Il ne me reste que quelques minutes pour enfiler mon manteau, vérifier ma coiffure dans le miroir et refermer ma porte pour me diriger lentement vers la maison d’Annie.

    Mardi 17 Janvier 2017 - 14h00

    C’est curieux comme le temps a changé en trois jours, il fait presque chaud aujourd’hui. Je tape trois petits coups à la porte. Annie vient m’ouvrir, elle est ravissante dans une robe noire très sage, évasée vers les genoux et à peine décolletée. Elle porte des bas gris perle et des escarpins à bouts carrés aussi hauts que les miens. Elle est très peu maquillée et souriante :

    « J’aime ta ponctualité, entre ». Elle referme la porte derrière nous et m’invite à passer au salon. « Alors pour samedi ? ». « Yves a été enchanté de savoir que vous acceptiez notre invitation, Jean qui avait prévu d’aller dormir chez ses grands-parents ne sera pas avec nous ».

    « Bien nous l'emmènerons un jour chez Mac Do, ça lui fera plaisir et je pourrai faire sa connaissance ». « Oui ce sera sympa, Yves qui est très content que nous devenions amies m'a conseillé de profiter de mon après-midi de liberté pour connaître un peu plus vos goûts pour affiner la commande du traiteur ».

    « On verra ça vendredi, quelle heure pour samedi ? ». « On peut dire 19h30, si ça vous convient ? ». « Entendu ma chérie ! ».

    « Samedi, n’oublie surtout pas de m’appeler Annie et de me tutoyer ! ».

    « Je ne l’oublierai pas, Madame, rassurez vous ! ». Annie me montre le café et les cigarettes : « Assieds toi, bois ton café et allume toi une cigarette. Tu as baisé hier soir ? ».

    Annie a vraiment l’art de passer d’un sujet à l’autre sans prévenir. Ma main tremble un peu quand je porte la tasse à mes lèvres : « Oui, Madame, mais comme je lui ai annoncé une méchante douleur vaginale, je l'ai bu et il a joui dans mes fesses sans que je ne jouisse, donc je suis restée chaude, comme vous me l'aviez demandé, Madame ! ».

    « Peu importe la manière dont une pute ment à son mari, ce qui m’intéresse c’est que tu sois en manque ! Lève toi et ôte ton manteau ». Je repose ma tasse, mets la cigarette dans le cendrier et je me lève en déboutonnant mon manteau que j’ôte.

    « La caméra est sur la télé, fais attention de bien rester dans le champ ».

    Elle me scrute en détail : « Bien, l’alliance, les bracelets, le collier, je vois le fil qui pend de ta chatte, par contre le soutien-seins ne me va pas, il y a combien d’encoches dans les courroies de serrage ? ». Ne le sachant pas, je les compte en glissant mon doigt sur l'une des courroies. « J’en compte six, Madame ». « Je suppose que tu les a mises sur la deuxième encoche ? ». « Oui, Madame, en effet ».

    « Rectifie de suite et met chaque ardillon dans le quatrième trou : je te veux avec des seins en pomme aujourd’hui : deux belles pommes bien offertes. Penche toi vers moi, je veux vérifier que tu les mets bien dans les bons trous ! ».

    Je me penche pour serrer la première courroie : « Voilà tu y es ». Je la coince dans la position demandée, la courroie me serre assez fort la base du sein et je le sens de suite gonfler, je fais pareil pour l’autre et quand je me relève, je sens en effet que mes seins sont haut perchés et tendus comme des peaux de tambour.

    « Voilà tu es bien mieux comme ça. Retourne toi et montre moi ton cul ».

    Je lui tourne le dos et je me penche. « Tu as le cul plein de crème. Tu aurais pu t’enculer à sec sale pute, vas dans la salle de bain, lave toi le cul sur le bidet ! ».

    Un peu vexée de réapprendre que je dois faire attention au moindre détail avec Annie, je vais dans la salle de bains, je m’apprête à m’accroupir pour enlever le vibro, mais Annie m’a suivi avec la caméra et me donne ses instructions en direct :

    « Remplis d’abord le bidet d’eau chaude ». Je m’exécute, en prenant de temps en temps, la température de l’eau. Annie en profite pour me filmer sous tous les angles. Quand le bidet est plein elle me demande de lui tourner le dos, de m'appuyer au lavabo et d'enlever le sex-toy.

    Je m’appuie d’une main, et de l’autre je le fais glisser lentement hors de mes fesses. La crème agissant, il sort quasiment tout seul, elle exige que je le montre bien à la caméra en souriant. Je me retourne pour lui faire face, et le place devant mes seins avec un grand sourire, Annie le filme en gros plan et me conseille de bien le regarder : je redoute ce que je vais voir, il est en effet plein de crème mais, heureusement pour ma pudeur, vierge de toute saleté.

    Annie sourit : « Heureusement que je t’ai prévenue que tu devrais t’enculer ce matin, tu t’es bien lavé l’anus en profondeur ! Bravo ma putain très professionnelle ! ». Je rougis en repensant au lavage méticuleux que je m’étais, en effet, fait le matin même !

    « J’aurais aimé qu’il soit un peu plus sale, mais ce n’est pas grave, tous tes admirateurs savent ce qu'il y a dans ton petit cul de salope serrée depuis hier soir, mais j’espère que tu vas aimer le goût du mélange de ta crème lubrifiante et des sécrétions de ton cul car tu vas le lécher soigneusement en t'appliquant bien ! ».

    Comme à mon habitude, je deviens rouge pivoine, et sans m’être touchée je suis au bord de l’orgasme.

    Je le lèche, langue sortie au maximum, Annie me filme en gros plan, ne ratant aucun détail : « Parfait, enfonce le bien dans ta bouche et mets toi sur le bidet, cul tourné vers moi et un peu levé. Je veux voir ton doigt te travailler l’anus et te nettoyer bien à fond ».

    J’enfourche le bidet comme elle le veut et, les fesses un peu levées, je me nettoie devant l'objectif : « Savonne toi bien le cul et doigte-toi l'anus. Vas-y enfonce le bien ». Je savonne mes doigts et mes fesses. Très vite, je peux enfoncer deux doigts et me laver en profondeur. J’alterne le savon et l’eau pour bien me nettoyer : « Enlève le vibro de ta bouche et coince le entre tes seins ! ». Il est couvert de salive et je le glisse entre mes globes gonflés : « Mets toi trois doigts dans le cul et bouge les en toi. J’ai envie que tu jouisses du cul pour moi ».

    Je gémis en enfonçant sans trop de difficulté un troisième doigt dans mes fesses et je fais aller et venir mes doigts La fine cloison me fait sentir les boules vibrantes de mon vagin, je gémis, de plus en plus excitée.

    Annie alterne les prises de vues de mon visage et de mes fesses. Je n’en peux plus, ma situation est trop humiliante et excitante et je bouge mes doigts de plus en plus fort sans pouvoir échapper à l'orgasme et crier mon plaisir : « Oooooooooooooh, Madame, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis du cuuuuuul, oooooooooooooooh que c’est booooooooon, Madame ! ».

    Elle me laisse aller au bout de ma jouissance, mais dès qu'elle me sent calmée et repue, elle me tire brutalement la main vers l'arrière pour m’enlever les doigts de mes fesses : « Ça suffit comme ça, pouffiasse : rince toi, sèche toi et remets ton vibro, sans crème, dans ton cul de pute. Tu as pris un acompte sur ton plaisir, il te faudra attendre le suivant, et outre l'enculage sans crème, tu vas serrer tes lanières de nichons sur le cinquième trou, pour te prouver que tu ne pourras jamais te foutre de ta Maîtresse, sans avoir une addition à payer ! ».

    Les yeux fixés sur le carrelage, je m'appuie au lavabo pour introduire en moi le vibro qui entre en forçant un peu : « C’est plus dur sans la crème ? Tu vois, sale tricheuse ! Mais c’est surtout quand tu l’enlèveras ce soir que ça te fera mal ! Il aura bien séché dans ton petit cul ! ».

    Il me reste à me mettre devant le miroir pour resserrer d’un cran les lanières du soutien-seins, j’ai du mal à atteindre la position cinq, mais dès qu’un sein est ainsi emprisonné, il se gonfle comme un ballon de baudruche obscène et douloureux.

    Annie coupe la caméra et me dit : « Très bien, allons au salon, nous devons partir ». Sans me poser de questions, je la suis seins et anus douloureux.

    Mardi 17 Janvier 2017 - 14h45

    Quelques minutes après nous sommes dans son auto, mon excitation n’est pas retombée et est même entretenue par le vibro et les boules, dont les moteurs sont heureusement coupés.

    Il fait un temps splendide, en passant devant un commerce, j’ai même vu un 20° affiché. « A quelle pharmacie as tu l’habitude d’aller ? ».

    Sans lui laisser remarquer mon étonnement, je réponds : « A celle de notre village, Madame ». « Bien nous irons dans une autre, il faut tout de même veiller sur ta réputation ! ». Peu de temps après, elle arrête l’auto devant la pharmacie d'un village, dont j'ignorais l'existence si près du nôtre : « Vas acheter des préservatifs, tu demandes quel parfum il y a, tu choisis des XL et tu prends le modèle avec picots. Tu as de l'argent au moins ? ». « Non, je suis désolée, Madame, je n’ai pas pris d’argent ! ».

    Elle me donne un billet de 20€ et me regarde entrer dans la pharmacie.

    Le pharmacien semble intrigué par mes bracelets et mon collier de cuir. Je dois m’éclaircir la voix pour lui demander s'il a des préservatifs parfumés, il sourit en me répondant : « Bien, sur Madame, j'ai fraise, banane, ananas, vanille ou nature ». Je réfléchis rapidement : autant me faire plaisir, s'il sont pour moi ! « A l'ananas, auriez vous des XL à picots, Monsieur ? ».

    Il se retourne, pioche dans un tiroir et étale trois boîtes sur son comptoir en me disant : « Voilà Madame : ananas, XL et picots, par dix, vingt ou cinquante ». Je lui tends mon billet de 20€, en lui disant que je ne veux pas faire une Visa pour si peu. Il comprend et me donne une boîte de vingt en me précisant qu'il n'aura pas de monnaie à me rendre !

    Je le remercie et je sors de la pharmacie avec ma boîte de capotes, comme si je flottais sur la planète Mars ! Je m'assieds, complètement dans les nuages, entendant Annie terminer une conversation téléphonique, en disant : « Entendu, à de suite ».

    Elle roule quelques minutes, ralentit à l’entrée d’un petit village, cherche visiblement quelque chose, avant de prendre son mobile et d'appuyer sur la touche dernier appel : « Je suis à l’entrée du village, où dois-je aller ? ». Elle écoute en disant des : « J’y suis » ou « Oui, je vois ».

    Peu à peu la voiture s’enfonce dans une forêt dense que traverse l'Allier. Nous prenons un chemin forestier et sommes brinquebalées par les ornières. Annie dit un laconique: « Bien je coupe ». Elle range son téléphone et me dit : « C’est le moment de mettre ton masque, je te dirai quand l’enlever ».

    Je prends le masque de repos dans mon sac et en recouvre mes yeux. L’auto s’arrête. Elle descend en claquant sa portière, puis vient ouvrir la mienne et m'aide à descendre, en me conseillant de ne pas oublier mon gros sac. Nous marchons un peu dans ce que je pense être de l’herbe.

    Elle s’arrête : « Bonjour Pierre, je te présente ma petite Loréna, elle te plaît ? ». « Oui elle est très mignonne, mais la seule chose que je ne comprends pas c’est que toi aussi tu es bandante. Tu es sure qu’en rajoutant quelques billets, je ne peux pas m’amuser avec vous deux ? ». Elle éclate de rire : « Cher Monsieur, contrairement à mon amie, je ne suis pas à louer et je n’ai aucun penchant pour le bdsm, tu serais donc très déçu ! ».

    L’homme rit : « C’est dommage mais peut être qu’un jour j’arriverais à te décider : j’adore les parties à trois ! Bon en attendant comme le temps m’est compté, voilà ». J’entends un bruit de billets froissés : « Six billets de 50€, ça nous fait bien 300€ comme convenu pour deux heures de jeu avec ton amie. A qui dois-je les donner ? ». Je suppose qu'Annie doit sourire en répondant : « Pas à moi, je ne suis pas une mère maquerelle et, en plus, je lui ai choisi un manteau avec des poches ! ».

    Je sens une main glisser quelque chose dans ma poche. Sur le marché des putes masos en plein air, ma côte est donc de 300€ les deux heures, ce qui fait 50% de moins qu'une heure avec Robert dans des wcs !

    Annie complète : « Comme convenu je vais tout filmer, si tu ne veux pas apparaître sur le film, il est temps de te masquer le visage, mais comme promis, tu auras une copie du film par envoi électronique sur ton mail ».

    « Oh ça m’est égal d’être reconnu, je suis majeur et célibataire ! Mais je te rappelle ta promesse de pouvoir voir ton amie, les yeux dans les yeux, au moins cinq minutes, de toutes les manières, son visage est en ligne, donc je la connais déjà un peu ! ». « Tu peux compter sur moi ».

    Annie s’éloigne, je suppose qu’elle va chercher sa caméra.

    Mardi 17 Janvier 2017 - 15h10

    Quand elle revient, c'est au tour de l'homme d'aller chercher des accessoires dans son auto. Annie en profite pour se rapprocher de moi et me dire : « Tu entres, de plain pied, dans le métier : 300€ pour deux heures, Pierre n’a pas même imaginé un seul instant que tu n’étais pas une professionnelle. Il m’a dit être dominant, cérébral et sado, mais rassure toi je suis là pour veiller sur toi. Alors sois sage et bien obéissante, c’est tout ce que j’attends de toi ».

    Je ne dis rien, tête baissée, j’ai l’impression de toucher le fond du dessous ! Jusqu'où Annie va-t-elle me conduire ? Je vis un mélange de rêve et de cauchemar à deux minutes d’être ainsi livrée à un parfait inconnu qui va jouer avec moi pendant deux heures contre six gros billets de banque.

    Mon ruminement de mauvaises idées est interrompu par des bruits variés d’ustensiles qu'on pose sur un support. La voix rocailleuse de Pierre nous assure : « Vous savez, l'été, c’est très sympa, ici, à deux pas du fleuve et sous les arbres, cette table s’arrache le dimanche, mais en hiver, je n'y ai jamais vu personne ! ».

    Annie lui répond poliment : « Oui j’en suis sure, mais aujourd'hui, nous avons un temps exceptionnel, tiens voilà ce que je lui ai fait te rapporter en plus de ce qu'elle porte : quatre pinces dures avec des poids, des clips pour ses bracelets, des préservatifs parfumés, et comme je voulais te la livrer chaude et excitée, elle a un vibro dans le cul, des boules vibrantes dans la chatte et je te confie leurs télécommandes ».

    « Elle porte aussi les bracelets de cuir et le collier de cou et, comme tu me l’as demandé, un soutien-seins en cuir très résistant, ça te va, Pierre ? ». « Hum, oui, ce n'est pas mal du tout, Annie, j'ai de quoi bien jouer avec ton esclave ! ».

    Je le sens se rapprocher de moi alors qu'Annie allume une cigarette. Il me dit d’une voix sourde : « Tu as de la chance, car il fait beau, mais s’il avait fait 2°, tu aurais subi le même sort ! ».

    Il pose ses mains sur moi et entreprend de déboutonner mon manteau. Il en écarte les pans et je sens qu’il prend du recul pour admirer ce que les pans ont dévoilé : il se rapproche, effleure mes tétons, qui me trahissent lâchement en bandant de suite.

    Après une caresse du ventre, il baisse sa main et la glisse entre mes cuisses pour me doigter sournoisement le con, en me murmurant à l'oreille : « Hum, salope de bourge, tu es trempée comme une truie qui attend sa saillie ! Je ne savais pas qu'Annie me louait une super chaudasse ! Tu es bien tombée avec moi, tu vas te régaler pouffiasse de luxe, tu es chère mais tu vas aussi prendre cher ! Et te rappeler longtemps de ces deux heures en bord d'Allier !».

    Il arrache presque les deux derniers boutons de mon manteau qu'il fait tomber à terre et m'ordonne en criant : « Tourne sur toi même pour que je vois bien la marchandise ».

    Consciente de m’offrir comme un vulgaire animal je pivote, ce en quoi mes hauts talons et l'herbe ne m'aident pas vraiment : « Continue en croisant les mains sur ta tête, accélère, mais ne t’arrête surtout pas ». Je pose mes mains croisées sur la tête et tourne de plus en plus vite.

    A chaque passage devant ses mains, il me pelote les seins et les fesses en me disant : « Tu es vraiment une pute de luxe, ma belle Loréna et tu me fais déjà bander comme un cerf ! ». Il joue encore un bon moment à me voir tourner, avant de m’arrêter, en m'annonçant qu'il allait me préparer, mais pour un autre petit jeu ».

    J’ai très peur de son imagination, cérébrale, comme annoncé à Annie ! Mais je ne veux pas le lui montrer, et je me laisse docilement faire : d'une main, il plaque les miennes dans le dos et clipse les bracelets de mes poignets entre eux. Et pour bien finir de m’attacher, il passe une corde autour de mes coudes en serrant très fort, ce qui m’oblige à me cambrer et à tendre mes seins en avant.

    Puis, en me levant une jambe après l’autre, il m’enlève les chaussures et les bas, je sens l’herbe humide sous mes pieds nus.

    Il me pelote durement les seins en les commentant vulgairement : « Tu aurais du refuser de venir avec des nibards de catin aussi offerts et gonflés : leur obscénité appelle des pinces dures et, tu le savais bien ! Mais tu mouillais d'avance de cette torture, tellement tu l'aimes et tu attends cette douleur ! ».

    Je me contracte, mais ne peux éviter qu’il pose les pinces aux bouts de mes mamelles gonflées, ce qui m'oblige à me plier en deux, en hurlant de douleur. Puis, sans que je ne le sente s’approcher, il fait de même à chacune de mes grandes lèvres vaginales, m’arrachant deux autres cris de douleur, vraiment pas simulée !

    Il rit en me prenant par les épaules et en me secouant comme un pommier, ce qui fait bouger toutes les pinces et m'oblige à le supplier d'arrêter cette torture : « Arrête de crier ! Maintenant que je te sens prête : tu vas aller te promener toute seule, mais je serai ton G.P.S. et c’est donc moi qui te dirait où aller. Tu vois c’est tout simple comme jeu, mais rassure toi je ne t’enverrai ni dans des ronces, ni dans un ravin : j’ai promis à ta propriétaire de te rendre à elle, entière et pas trop marquée ! ».

    Il allume à son tour une cigarette et j'entends qu'il offre du feu à Annie. Sa voix s'éloigne, ils ont du s'asseoir sur le banc de la table de pic-nic. « Fais un pas en avant pour me montrer comment tu marches ».

    Je fais un pas normal. « Bien je vois que tu fais des petits pas, c'est logique, avec tout ce que tu as dans les entrailles ! Je vais en tenir compte : allez dix pas en avant ! ». Je marche, le sol change, des branchages craquent sous mes pieds nus et des petits cailloux s’enfoncent dans mes plantes de pieds nus.

    « Tourne toi vers la gauche et fais six pas ». Je me tourne et avance. Rapidement je sens que je suis dans un bosquet de jeunes pins : les aiguilles et les branches me griffent le corps sans réellement me faire mal, au bout des six pas, je sors de ce bosquet.

    « Maintenant tu vas tourner à droite et courir pendant dix pas ». Pendant ma course, la douleur des pinces est insupportable : je sens les poids ballotter dans tous les sens et peser sur mes tétons et sur mes lèvres. Je m’arrête épuisée.

    « Avance un peu : à un pas devant toi il y a un petit chêne liège : cherche le avec tes jambes et tes pieds ». J’avance en tâtonnant, je ne le trouve pas de suite, Pierre doit me guider plus précisément, et mon pied le trouve. « Bien, tu y es, tu vas te coller contre son tronc, que tu vas enlacer de tes cuisses, et, appuyer ta chatte bien ouverte sur l’écorce ».

    J’ai du mal à écarter suffisamment les cuisses pour que les pinces ne soient pas en contact avec le tronc, mais j’y arrive.

    C'est à ce moment précis, qu'il enclenche la vitesse maximale du vibro qui est destiné à me tarauder l'anus, et, c'est sans y faire allusion qu'il continue : « Hum, très bien, tu sais que ton amie et sa caméra, ne ratent rien du spectacle porno que tu nous offres ! Vas-y frotte toi au tronc, fais toi plaisir comme une fille en chaleur qui se frotte sur n’importe quoi : l’écorce va faire du bien à ta petite connasse ! ».

    Bien collée à l’arbre, qui a heureusement un petit diamètre mais malheureusement une écorce très rugueuse, je bouge mes genoux pour frotter mon bas ventre de haut en bas. La large ouverture de mes cuisses, que je recherchais, évite, en effet, le contact des pinces sur le tronc, mais c’est la chair intime et fragile de l'entrée de mon vagin qui est en contact direct avec l’écorce, ce qui me procure un mélange de plaisir et de douleur qui me fait gémir de plaisir devant eux, un relâchement que je voulais éviter à tout prix !

    Malgré la confusion de mes sens, je sens des événements se produire : le bruit des pas lourds de Pierre qui se rapproche de moi, et, côté intimité, le déclenchement, à une vitesse interdite par la loi, des vibrations de mes boules dans mon vagin dégoulinant sur l'écorce du jeune chêne !

    Pierre se colle à mon dos, je le sens nu et la dureté de sa bite atteste de son excitation. Il prend mes seins dans ses mains, et les broie sans se préoccuper de mes cris de douleur et de mes protestation en me glissant à l’oreille : « Une pute comme toi ça s'encule d’abord debout : ça ne mérite ni un lit, ni une bite dans la chatte ! ».

    Il baisse sa main, arrache le vibro de mon anus et le jette au loin, il fléchit ses genoux pour prendre la bonne position et profite que mon anus ne s’est pas encore rétracté pour poser son gland sur mon petit trou, peser de toutes ses forces et s’enfoncer d’un seul coup dans mon boyau chaud et humide: « Hum quel cul tu as salope ! Oh que je suis bien dedans ! ».

    Et sans arrêter de me peloter les seins il m’encule de toute la puissance de ses reins comme s’il avait envie de me transpercer de part en part.

    Mardi 17 Janvier 2017 - 15h50

    Il gémit et grogne en s’acharnant dans mes fesses me faisant hurler de douleur autant par ses mains qui jouent avec les pinces de mes tétons que par ma chatte qu’il plaque brutalement sur l’écorce sans se soucier des boules qui me défoncent l'intérieur du vagin !

    On dirait que chacun de mes cris multiplie sa force et la taille de son sexe qui entre et sort à présent en toute liberté dans mon anus, de plus en plus lubrifié : « Oh je n’ai jamais défoncé un cul aussi bon que le tien, chaud et serré, il me branle comme jamais je ne l’ai été ».

    Je le sens grossir encore plus en moi et dans un long grognement, il explose dans mon cul, ventre collé à mes fesses pour jouir le plus profond possible en moi. Je réalise à peine qu’il m’a enculée sans préservatif, mais je suis tellement excitée que je n’y fais pas vraiment attention.

    Il lâche mes seins mais reste profondément enfoncé dans mes fesses, semblant récupérer après cet effort intense.

    Il me glisse à l’oreille : « Tu sais comment on honore une putain de ton calibre ma belle Loréna ? ». Je ne réponds rien, car je ne connais pas la réponse ! Mais il me la donne très vite : je sens un liquide tiède inonder très rapidement mes fesses et mes intestins : il est en train de me pisser dans le cul !

    « C’est ça honorer une pute aussi salope que toi : lui pisser dans le cul, après avoir soigneusement vidé ses couilles pleines dans son réservoir à merde ! Dis moi que ça te plaît pouffiasse de luxe ! ». J’ai vraiment du mal à lui murmurer : « Oui j’aime ça et je mérite vos humiliations, Monsieur ».

    En riant il finit de pisser et s’essuie la bite sur mes fesses avant de me libérer : « Lâche cet arbre : tu vas continuer ta promenade ». En me reculant, je sens l’urine s’échapper abondamment de mon anus béant, et souiller mes cuisses et mes jambes.

    Pierre joue avec moi comme avec un jouet télécommandé, assuré de ma totale obéissance. Après m’avoir fait traverser des bosquets, me frotter à des arbres plus gros que le précédent, m’asseoir pour me branler sur une souche morte, il me fait revenir vers lui pour me détacher les mains et les coudes.

    Mais le jeu ne s’arrête pas pour autant, et il continue en me faisant étreindre, lécher, embrasser et mimer une baise avec un arbre. Son dernier ordre me fait faire dix pas en avant : au cinquième je sens que j'entre dans l'Allier, je suis obligée d’avancer, malgré le froid glacial de l’eau, jusqu’à ce qu’elle m’arrive aux genoux.

    Pierre me dit alors : « Accroupis toi et fais ta toilette intime, je n’aime pas les salopes qui sentent la pisse quand je les baise ! ». Je n’ai guère le choix et, malgré le froid de l'eau et l'humiliation extrême de cette situation, je ne suis pas trop mécontente, car je me sens vraiment très sale ! Je me lave le con et le cul en essayant d'enlever toute trace d’urine et de ma propre mouille, qui a coulé sur le haut de mes cuisses.

    Il a la courtoisie de ne pas me laisser trop longtemps dans l’eau et c’est en frémissant de froid que je fais le chemin inverse. Je suis accueillie par une serviette et Annie, qui me donne une bouffée de sa cigarette en me disant à l’oreille : « Hum tu sais j’ai de belles images de toi ma pute, ton audimat va monter en flèche ! ».

    Pierre, qui semblait s’être éloigné, revient. Il enlève en quelques gestes rapides les boules de mon vagin, les pinces de mes lèvres et de mes tétons, en me faisant hurler de douleur. Il en rit : « C’est meilleur quand on les pose pas vrai ? ». Je fais humblement oui de la tête. « Rassure toi je te les remettrai plus tard, mais je ne veux pas te mutiler ! ».

    Mardi 17 Janvier 2017 - 16h20

    Il se rapproche de moi, relie par deux clips mes bracelets de poignets au collier de mon cou et me laisse debout avant d'attacher les bracelets de mes chevilles entre eux.

    Je suis incapable de bouger les bras et de faire un seul pas et, inquiète, je me demande ce qu'il compte me faire, mais Pierre est un bavard fier de ses idées, et, très vite, il me dévoile son projet !

    « N’aie pas peur, tout va bien se passer : tu as deux anneaux cousus dans le cuir de ton soutien-seins, je vais les clipser sur deux chaînes d'environ deux mètres et les réunir en une seule, grâce à un anneau. Je nouerai une longue corde à cet anneau et je ferai passer la corde, au dessus d'une solide branche d'arbre, juste au dessus de toi ».

    « Et, ce, avant de la relier au treuil de mon 4x4 ! Je vais te demander, comme à toutes les salopes que j'ai envoyées en l'air de cette manière, si tu as envie de me raconter la suite ? ». Pendant qu’il me parlait, il exécutait tout ce qu’il disait et c’est remplie de terreur que je le supplie : « Oh non, Monsieur, vous ne pouvez pas me faire ça ! Je vais avoir horriblement mal et vous risquez de me mutiler les seins ».

    Je prends un aller retour puissant qui me fait très mal : « Tu crois que tu es la première salope que je pends par les nibards ? Pauvre conne, je ne saurais même pas les compter, tellement j’en ai vu jouir, accrochées à ma corde, en me suppliant de les punir encore plus fort ! ».

    Et sans plus s’occuper de moi, il s’éloigne. Je l’entends s’affairer, probablement pour choisir une branche solide, me conduire dessous et jeter une corde au dessus de la branche avant d'allumer son moteur.

    « Décontracte-toi, pétasse ! Tu vas monter très lentement, mais sûrement au septième ciel ! ». Par des petits bruits, de maillons ou de frottements, je sens la corde se tendre.

    Au début tout va bien, j’ai simplement l’impression que mes seins sont pétris par des mains gigantesques, mais peu à peu, mes pieds se soulèvent, je passe sur leurs pointes, la pression sur mes seins augmente, et d’un seul coup mes pieds quittent le sol, me faisant hurler de douleur et gigoter comme un poisson accroché à un hameçon !

    Il lève encore la corde d’une vingtaine de centimètres, je suis bel et bien suspendue dans le vide, uniquement retenue par les anneaux de mon soutien-seins, la poitrine broyée par le poids de mon corps qui compresse mes seins dans cette armature de cuir rigide assez solide pour me supporter.

    Les larmes étouffent mes cris de douleur. Je pleure à présent à chaudes larmes en pensant que je suis en train de vivre le plus mauvais moment de ma jeune vie ! Il coupe son moteur. Un lourd silence tombe sur la clairière, uniquement déchiré par mes sanglots de souffrance.

    Je l'entends marcher, il ne doit pas être loin de moi, et, en effet, sa voix me parvient d'en dessous : « Tu es très belle avec tes mamelles superbement bien déformées. J’aurais du te laisser tes écraseurs de bouts, tu aurais beaucoup plus souffert. J'adore lire la souffrance sur le visage d’une belle salope bien éduquée et très chaudasse ! Mais, à ce sujet, je dois aussi penser à toi !».

    Il revient peu de temps après et m’écarte sans ménagement les cuisses pour y glisser sans difficulté ce que je comprends être le vibro qu'il avait jeté dans les broussailles avant de m'enculer debout comme une catin ! Lorsqu’il sent qu'il est bien au fond de moi, il télécommande sa vitesse maximale !

    Un peu sevrée de jouissance par Annie et surexcitée par le rôle qu’elle me fait jouer avec cet inconnu, je ne tarde pas à me balancer et me tordre au bout de ma corde alors que le vibro fait des ravages en moi.

    Mes pieds, liés ensemble, me garantissent que je ne peux pas le perdre, car mes cuisses restent très serrées. Pierre s’adresse à Annie : « Tu m’as dit qu’elle était mariée et que je ne pouvais pas la marquer, c’est bien exact ? ». « Oui ça fait partie de nos conventions ».

    Pierre rit : « Sauf si je la frappe sans la marquer ! ». Annie est bien obligée d’approuver : « Ah dans ce cas : mais je ne connais qu'une seule manière pour ne pas marquer ! ». « Eh bien, soit tu vas la reconnaître, soit tu vas en apprendre une autre ! Si je te dis serviette mouillée que me réponds-tu ? ».

    « Oui, c'est aussi ma solution ! ». « Bien, mais avant de tremper cette serviette dans le fleuve et de la faire jouir avec mes coups soigneusement dosés, je vais m‘amuser autrement avec elle ».

    Je le sens se rapprocher de moi, nouer une corde autour du clip qui unit mes pieds et, probablement en la faisant passer par dessus la même branche et en la tirant à la main, il lève mes pieds vers l’arrière, en arrêtant juste avant qu’ils ne touchent mes fesses.

    Dans cette position, je dois contracter un peu plus mes cuisses, pour ne pas perdre le vibro. Après l'avoir entendu arrimer la corde à sa voiture, je l'entends s'éloigner de moi : des bruits de feuillage et de branches brisées m’inquiètent un peu.

    Quand il revient, je comprends de suite ce qu'il fabriquait en recevant le premier coup sur la plante des pieds. Coup donné par une branche souple et fine que je connais aussi sous le nom de badine : ses coups sont secs et rapprochés. Il fait bien attention de ne jamais frapper deux fois au même endroit, la douleur est donc intense et j'ai l’impression qu’on m’enfonce des aiguilles.

    Délaissant mes plantes de pied brûlantes, il attaque mes orteils en les visant très précisément, pour faire très mal sans me marquer, tout en m'humiliant oralement comme je constate qu'il adore faire : « Tu vois, ma pouffiasse, ce soir, tu auras du mal à aller te coucher mais tu pourras écarter les cuisses sans problèmes pour te faire enfiler et servir de récipient de foutre à qui voudra de toi ! ».

    La force de ses coups et la vulgarité de son propos me prouvent qu’il est très excité, mais en m’imaginant, ce soir, recevoir le sexe de mon mari en moi après avoir joué à la pute maso tout l’après midi, je n’en peux plus et je ne peux contrôler un orgasme puissant qui me ravage et me tord le corps en me faisant hurler sans aucune retenue.

    « Tu as vraiment déniché la Reine des salopes, Annie, regarde comme elle se tord de plaisir et de douleur : j’ai rarement vu ça ! ». Estimant sans doute que mes pieds et mes orteils ne peuvent en supporter plus, Pierre fait retomber mes pieds liés et je me retrouve pendue verticalement, le vibro toujours profondément enfoncé en moi.

    Je ne l'entends plus, ce qui n'est pas bon signe !

    Mardi 17 Janvier 2017 - 16h40

    Le premier coup de serviette mouillée claque sur mon ventre, comme je ne suis suspendue que par un anneau, mon corps ballotte et se balance longuement comme un sac de patates après chaque coup. Il choisit soigneusement la partie de mon corps qu’il veut atteindre, mes seins, mes fesses, mon visage, mes cuisses, il n’épargne rien, faisant comme sur mes pieds, en ne frappant jamais deux fois au même endroit.

    J’ai horriblement mal, je n’arrête pas de le supplier d’arrêter, je pleure, je sanglote, mais rien n’y fait, plus je mendie sa pitié plus il tape fort.

    Du fin fond de ma détresse j’entends Annie dire : « Je constate, encore une fois, qu'il n’y a aucune marque sur son corps ! ». Pierre rit : « Oui, elle n'est pas du tout marquée, et, pourtant tu as vu que je ne retenais vraiment pas mes coups ! Je t'avoue que je n'ai jamais compris pourquoi ce tissu mouillé ne laissait pas de traces ! Mais je t’assure qu’elle sent bien les coups et que ses larmes ne sont pas feintes ! ».

    Les coups sont de plus en plus rapprochés, mais ils cessent de temps en temps, probablement pour que Pierre puisse remouiller la serviette, qui sèche peu à peu au contact de mon corps.

    « Si je peux me permettre un conseil, Annie, filme bien son visage à chaque coup : ce sera la partie la plus jouissive de ton film, car très peu de soumises acceptent d'être frappées, beaucoup de clips pornos sont tournés avec des filles qui font semblant de souffrir, mais ce n'est pas le cas de ton esclave, à qui j'ai murmuré à l'oreille au début de notre rencontre, qu'elle était chère mais qu'elle prendrait cher de ma part ! ».

    Je suppose qu’Annie ne s’en prive pas. Je suis pratiquement évanouie, suspendue comme un jambon à ma corde, quand, d’un seul coup, le silence se fait et les coups cessent.

    J’entends le moteur du 4x4 se mettre en route et la corde descendre peu à peu. Quand mes pieds nus touchent le sol, j’ai envie de hurler tellement ils sont sensibles, mais l’absence de pression sur mes seins me fait tellement de bien, qu'elle minimise toute autre douleur.

    Pierre enlève les clips de mes poignets et de mes chevilles, puis il dégrafe les courroies de mes seins et m’enlève l’armature du soutien-seins : « Hum, ce soir, tu devras garder un tee shirt pour te faire niquer : tes beaux nibards sont bien marqués ! ».

    Annie me rassure en lui disant : « Je n'aime pas que mes amies soient marquées, c'est pour ça que je fais fabriquer un onguent, à l'étranger, qui m'assure qu'en moins de trois heures, toute trace de coup aura disparu ! Loré sait qu'avec moi elle n'a pas de souci à se faire ! C'est aussi à ça que je sers Pierre ! ».

    En l'écoutant, je sens l’odeur spécifique de l’arnica : c’est Annie qui me fait découvrir pour la première fois son baume secret, il est vrai que, pour le moment, je n'en avais pas eu besoin !

    Pierre s'impatiente un peu : « Annie, le temps m'est compté, tu pourras la bichonner dans ta voiture : enlève lui le vibro et son masque, je veux qu’elle me voit en train de la tringler ».

    Annie en a fini avec mes seins, comme je m'y attendais, elle m'ordonne de faire glisser le vibro de mon sexe, et m’enlève le masque en me conseillant de garder les yeux fermés et de les rouvrir doucement.

    C’est ce que je fais, le flou se fait réalité, je vois la clairière dans laquelle nous sommes, le sourire d’Annie, le fleuve qui coule à deux pas de nous et Pierre, un grand homme bien charpenté, nu, avec un sexe très développé, comme mon cul a déjà eu l'occasion de le constater !

    « Couche toi par terre dans l'herbe, lève bien tes cuisses et écarte les, tu vas savoir ce que c’est que d’être remplie par une grosse pine ».

    Je me couche dans l’herbe humide, ouvre mes cuisses, les lève en tenant mes chevilles de mes mains. Il s’agenouille devant moi, frotte son gland humide sur ma chatte trempée, et entre tout son gland facilement avant de se laisser tomber sur moi m’empalant d’un seul coup, il est en effet tellement bien membré qu'il me remplit totalement le vagin, ce que je ressens assez rarement !

    Il est tellement excité qu’il me pilonne de suite par des allers et retours rapides, sans se préoccuper de mon plaisir, ce que je comprends parfaitement : je suis là pour son plaisir et non pas l'inverse ! Je constate qu’encore une fois, il n’a pas mis de préservatif, j’espère au moins qu’il est sain. Il s’agrippe à mes pieds et semble vouloir me défoncer le ventre en me niquant violemment jusqu’à jouir en grognant, tout en lâchant au plus profond de moi de longs jets de sperme tièdes et visqueux que je sens, malheureusement à peine !

    Il reste longuement collé et enfoncé en moi avant de ressortir, d’essuyer sa bite sur mon bas ventre et de se relever, me laissant sur le sol, épuisée, haletante, essayant de récupérer de mes émotions et de mes souffrances.

    Mardi 17 Janvier 2017 - 17h10

    « Bravo Pierre, bon timing, ça fait exactement deux heures que tu es avec Loréna : j’espère que tu t’es bien amusé ». « Hum beaucoup plus que ça et je vais même lui donner un pourboire ! ». Il sort quatre billets de 50€ de sa poche et me les jette sur le corps : « Tiens, tu les mérites bien, des filles aussi salopes que toi doivent s’entretenir. Je ne tiens pas à te perdre et je veux te revoir souvent ! ».

    Annie dit évasivement : « Nous verrons bien, merci pour elle, allez nous te laissons partir, je vais laisser mon amie se remettre et nous partirons aussi ».

    Je suis encore couchée quand le 4x4 démarre et s’en va. Annie m’aide à me relever, me tend la serviette. Je m’essuie un peu tout le corps pendant qu’elle rassemble nos affaires. J’ai tellement mal aux pieds que je ne peux pas remettre mes talons, et c’est finalement, juste vêtue de mon manteau que je rejoins l’auto.

    Elle me dit : « Assieds toi sur la serviette, tu es pleine de sperme, je ne veux pas que tu tâches mes coussins ! ». Elle démarre. Je constate qu’elle prend le chemin le plus court pour aller chez nous et moins de dix minutes après, nous nous garons devant sa maison et elle m’invite à entrer chez elle.

    Mardi 17 Janvier 2017 - 17h30

    Je marche en claudiquant, tout en me disant que si le baume ne fonctionne pas bien, comment vais-je pouvoir expliquer l’état de mes pieds à Yves ?

    Sitôt entrées dans la maison, Annie me dit : « Vas te laver, soigneusement, tu trouveras l'onguent à base d'arnica dans l’armoire à pharmacie, fais moi penser à t'en donner un flacon pour chez toi, tu risques d'en avoir besoin. Tu peux en mettre sur tes seins et surtout sur tes pieds, insiste surtout sur le dessus, sauf fétichisme particulier, Yves ne te regardera pas la plante des pieds ! Et prends un de mes peignoirs quand tu auras fini ».

    Je profite longuement de la douche, me lavant surtout du sperme de cet inconnu qui m'a louée. J’en ai tellement honte, mais en me lavant la chatte, je me rends compte que toute l’humidité ne vient pas de la douche et que je suis encore très excitée. Je dois admettre que j'aime être salope ! Je réalise qu’Annie et Pierre ne m’ont autorisé qu’un orgasme chacun, préférant m’utiliser à leur guise.

    Dix minutes après, je sors de la salle de bains, en peignoir et mules de bains, la pommade m’a fait du bien, mes douleurs aux seins appartiennent au passé et je peux marcher sans boiter.

    M’entendant sortir de la salle de bains, Annie me crie de la rejoindre dans son bureau : « Assieds toi à côté de moi, je suis en train d’envoyer le film de cet après midi à Tom. Je suis sure que tu vas faire un carton et en plus tu as gagné plein d’argent : regarde tout ça est à toi ! ».

    Sur le bureau il y a 500€. « C’est à te dégoûter de rester honnête ! Tu ne crois pas ma pute ? 500€ en deux heures. Combien gagnes tu par mois, ma chérie ? ». « 3.000€ nets, Madame ».

    « Eh bien tu vois, en 8h, tu peux gagner ton salaire mensuel net d'impôts et en plus, toucher des royalties confortables sur tes films ! Ça vaut le coup de faire quelques petits sacrifices et en plus il m’a semblé que tu n’avais pas détesté la bite de Pierre ? ».

    J'essaye de ne pas trop réagir en lui avouant que c'est le genre de sexe qui m'excite le plus ! « Et, iras-tu jusqu'à me dire pourquoi ma petite putain vicieuse ? ». « Oui, Madame, car je sais que si je vous dis, que j'en ai honte, vous allez me punir, alors, je vous avoue, sans oser vous regarder que j'aime les sexes... « … Non, putain, les pines ! Pas les sexes ! ». « Pardon, Madame, les pines de la taille de celle de Pierre, car elles ne sont pas trop longues et ne blessent ni l'utérus, ni les intestins, mais que, par contre, comme elles sont grosses et larges, elles me remplissent parfaitement mes orifices et rendent mon vagin ou mon sphincter... « … Non, sale pouffiasse : mon con et mon trou à merde ! ». « Pardon Madame... et me remplissent mon con et mon trou à merde si bien qu'ils deviennent des zones érogènes fantastiques ! »

    « Yves en a une plus grosse ? ». Je baisse les yeux et dis d'une petite voix : « Non, Madame, elle est un peu plus petite mais il sait très bien s’en servir ». « Oui, mais Pierre était là pour te baiser et t’enculer et pas pour t’envoyer en l’air, contrairement à ton mari, tu comprends ? ». « Oui, Madame, j'ai bien su faire la différence ».

    « Bon le film est envoyé, je suppose que tu dois rentrer chez toi. Mais, avant, nous devons essayer de planifier un premier jet de notre emploi du temps pour ces deux semaines à venir. Si je résume ton long mail pour cette semaine : tu es libre jeudi et vendredi de 12 à 14h, et samedi nous festoyons tous les quatre chez vous à partir de 19h30. Et nous avons un travail à faire : l'organisation de la soirée de samedi, c'est bien résumé, ma Chérie ? »

    « Oui, Madame, c'est tout à fait ça ». « Tu as beau être à poil et sûrement trempée sous ton peignoir, tu peux m'appeler Annie et me tutoyer, ma chérie, je pense que tu as eu, en deux heures, assez d'émotions pour la semaine ! ».

    « Oui, tu pourrais même dire pour des mois ! ». « Tu as tort de penser ça, ma chérie, dans quelques jours, ces deux heures deviendront ton fantasme préféré pour te masturber, et, es-tu sure de ne jamais me demander avez vous des nouvelles de Pierre, Madame ? ! ». « Je suis trop novice dans ce monde pour te contredire, mais il est vrai que j'ai déjà des réactions qui m'étonnent moi même ! Donc, je ne peux jurer de rien ! ».

    « Bah, nous verrons bien, je te propose le programme suivant : jeudi nous nous retrouvons toutes les deux vers 12h pour une pizza chez Mario, avec des blocs notes et nous mettons ta soirée de samedi au point, à une condition ? Tu veux deviner laquelle ? ». « Je pense que, puisque Madame s'est retirée, ce n'est pas une condition de cul ! Ça ne peut pas être une condition de choix de pizza, c'est donc que tu veux payer l'addition à ton tour ? ». « Bravo, la dernière fois, tu as été la plus rapide, mais à partir de maintenant, on paye chacune notre tour, ok ? ». J'éclate de rire : « Bien sur que c'est ok ! ».

    « Quant à vendredi, on peut avancer sur l'emploi du temps de la semaine prochaine, pendant laquelle tu auras beaucoup de temps libre, et se faire un petit chinois à domicile chez moi, si tu aimes cette cuisine et manger avec des baguettes ! ». « Très bonne idée, et j'adore la cuisine chinoise ! ».

    Encore une fois les mêmes goûts, je constate que nous avons beaucoup de points communs, mais heureusement qu'en bdsm nous sommes complémentaires et non identiques !

    Mardi 17 Janvier 2017 - 18h30

    « Parfait, il est 18h30, Jean ne va pas tarder à rentrer de chez tes beaux-parents, il voudra retrouver sa douce Maman ! ».

    A cette pensée qui me ramène sur terre d'un seul coup, je rougis, me méprisant pour mes instincts si vils et si bas : « Ramasse tes jouets, ton argent, remets ton manteau et file chez toi te préparer à accueillir ta petite famille, même si on se revoit jeudi, ça ne nous empêche pas de nous téléphoner pour se faire une bise ou se donner des nouvelles ! Et si empêchement, c'est un mail ».

    Elle m’embrasse longuement sur la bouche tout en glissant une main dans mon peignoir pour me caresser mes seins tièdes et la descend vers ma chatte nue : « Tu es encore trempée avec des nichons bien durs ! Yves va se régaler ce soir ! N’oublie pas de lui raconter pourquoi tu es si excitée ! ».

    Elle rit et me laisse aller. Je ramasse mes affaires, me change et après un dernier baiser, je la quitte et rentre pieds nus chez moi.

    Je m’habille correctement, enfile des chaussons moelleux et finis juste de ranger mes jouets quand Jean ouvre la porte, en me faisant basculer dans une toute autre vie.

    Mercredi 18 Janvier 2017 - 23h00

    Tout le monde est couché, je finis un dossier pour mon travail et j'en profite pour envoyer un message à Annie et non à Madame ! Je ne sais pas si ça va me rapporter un baiser ou une punition, mais il faut savoir vivre dangereusement :

    « Bonsoir, Annie, je te confirme que je sortirai du bureau vers moins cinq et que je serai chez Mario à 12h à epsilon près, mais avec l'obligation de te quitter vers 14h30 maxi. Bonne nuit, je vais rêver de toi en baisant avec Yves, toute à toi, Loré ! ».

    Et je vais me coucher.

    Jeudi 19 Janvier 2017 - 11h45

    La matinée au bureau me semble bien longue, depuis 10h, je ne suis quasiment plus opérationnelle, attendant l'heure de sauter dans ma voiture pour rejoindre Annie chez Mario.

    Dans l'entreprise, nous avons un petit refuge qui est la loge d'Edmond, notre concierge. Avec l'autorisation bienveillante du patron, nous nous sommes adjugés le droit d'y griller quelques cigarettes, et il a toujours un café, un thé ou une autre boisson, que nous lui achetons à tour de rôle ! A nous offrir !

    C'est notre deuxième bureau comme il s'est lui même baptisé ! Et, j'y entre pour la cinquième fois de la matinée, ce qui est rarissime !

    Jeudi 19 Janvier 2017 - 11h55

    Après avoir papoté un peu avec Edmond, tout en vérifiant l'heure, je récupère mes affaires au bureau et je m'esquive en saluant tout le monde.

    Je ne suis pas loin de la pizzeria et j'y suis, comme prévu à 12h.

    Annie n'est pas arrivée, mais comme il fait beau, je l'attends dehors, au soleil en fumant une cigarette. Sa voiture entre sur le parking et se gare à côté de la mienne. Elle est ravissante, et très souriante. Elle me gronde de ne pas avoir choisi notre table et m'embrasse sans aucune gêne à pleine bouche.

    Nous entrons, Mario nous donne une bonne table et je propose : « Un apéritif, Annie ? Mais c'est moi qui l'offre ! ».

    Elle approuve en souriant, nous commandons deux mojitos sans alcool, Mario nous les porte avec une petite assiette d'antipasti, en nous glissant que c'est un cadeau de la maison pour ses plus belles clientes !

    Annie le regarde et me dit : « Il faudra que tu le pompes un jour prochain, il est trop mignon de bander sans arrêt pour toi ! ». « Ooooh, Annie, je pensais que Madame était en congé cette semaine ! ».

    « Oui, en principe, mais tu es bien placée pour savoir que les doubles personnalités sont assez difficiles à séparer ! Qui est-on ? Qui avons-nous en face de nous ? Questions toujours difficiles ! Mais rassure-toi, nous allons régler le problème de notre soirée amicale ! ».

    Jeudi 19 Janvier 2017 - 12h10

    Nous sommes très studieuses pendant tout le repas, malgré quelques piques à double sens, dont nous rions de bon cœur et, surtout de bonne humeur.

    Les pizzas sont délicieuses, Mario nous a même fait préparer deux six fromages, par son pizzaïolo et nous en sommes flattées.

    Jeudi 19 Janvier 2017 - 14h00

    Nous avons fini notre travail et Mario nous propose de nous servir nos cafés et deux cognacs offerts, en terrasse, tellement le temps est printanier. Il sait que ça nous permettra de prendre notre temps et surtout de fumer une cigarette avant de partir.

    Nous nous installons en plein soleil, et c'est vraiment très agréable, Annie regrette même de ne pas avoir pensé à demander à manger dehors !

    Les cafés-cognacs n'étant pas servis, je m'excuse auprès d'Annie en lui disant que je vais faire un petit pipi.

    Elle sourit : « Madame aurait tant à exiger de toi ! Mais Annie n'a rien à te dire, sinon de ne pas glisser en montant sur la cuvette ! ».

    Comprenant de suite l'allusion, j'éclate de rire et descends aux toilettes, en faisant un grand sourire à Mario, qui est en train de préparer notre petit plateau. Quand je reviens, nous sommes servies, Annie me donne la cigarette qu'elle vient d'allumer pour moi, et nous dégustons nos cafés-cognacs.

    Nous sommes si bien que nous lui redemandons deux cafés, refusons les deux cognacs qu'il nous propose, et allumons deux autres cigarettes.

    Nous les écrasons pour aller le payer à sa caisse, à moi les apéritifs et à Annie le repas !

    Nous sommes ses dernières clientes, et il nous dit : « A propos, ça fait des mois que je voulais le faire, mais j'oublie toujours : tenez ! ».

    Il prend deux cartes commerciales de son restaurant, et note au verso son 06 avant de nous les tendre. « Voilà, comme ça, vous m'aurez directement quelle que soit l'heure ! ».

    Nous le remercions et Annie me dit : « Ça mérite bien deux gros bisous n'est-ce pas ma Loré ? ». Sans attendre ma réponse, elle s'approche de lui, pour un gros smack sur la joue gauche ! A notre grande de surprise, il rougit comme un ado ! Et il devient carrément écarlate, quand c'est moi qui lui embrasse la joue droite !

    Annie rit franchement, moi un peu moins, car j'ai fait une liaison dangereuse, entre sa phrase de tout à l'heure, suggérant un pompier pour Mario, et cette transmission de N° de portable ! Bah, la vie est ainsi faite ! Mieux vaut que je la prenne au jour le jour !

    Nous regagnons le parking, et, sans aucune honte, tout en se doutant que Mario nous regarde, elle m'appuie le dos contre mon auto et m'embrasse profondément et longuement à pleine bouche et à pleines langues ! S'il avait le moindre doute, il sait à présent que nous sommes gouines ou tout au moins bisexuelles !

    Nous nous séparons avec un regret réciproque, en attendant de nous retrouver le lendemain vendredi, mais Annie m'a promis un mail dans la nuit pour m'en dire plus.

    Sur la route du bureau, je récapitule mentalement ce que j'ai à faire pour la soirée de samedi, en fait, pas grand chose : un ou deux mails et un ou deux coups de fil ! C'est bon de vivre au 21ème siècle !

    Jeudi 19 Janvier 2017 - 14h20

    J'arrive au bureau, vais prévenir le boss que je suis là, il me demande si mon repas en amoureux s'est bien passé, sans mentir, je lui dis que oui !

    Je salue ma nouvelle secrétaire, Sophie qui est un vrai bonbon comme nous disons en Espagne ! Elle remplace ma fidèle Arlette, qui a pris sa retraite bien méritée. Mais, malgré mon attachement et mes dix ans de collaboration avec elle, je reconnais que je bosse super bien avec Sophie, qui est un peu plus jeune que moi, très agréable à regarder, super diplômée, avec un QI aussi appétissant que son Q !

    Comme chaque fois, en m'asseyant dans mon fauteuil, je sors mon portable perso, je l'allume et fais pareil, avec mon portable d'entreprise qui, lui, reste en permanence dans mon tiroir de bureau, sauf quand je ne suis pas là et que je le confie à Sophie.

    J'ai deux messages privés et dix pour le travail mais aucun appel en absence sur les deux.

    Pour pouvoir le ranger de suite, je lis mes deux messages persos : avec surprise, j'en découvre un d'Annie, et un autre de mon tendre qui me souhaite un bon appétit et espère que j'aurai la forme ce soir pour un petit marathon de cul ! Je lui réponds de suite : « Un semi-marathon, oui, je n'ai pratiquement plus mal ! Un gros coup de langue pleine de salive, sur ton gland poisseux de sale pervers que j'adore ! ».

    J'ouvre avec curiosité celui d'Annie, et en le découvrant, j'ai le réflexe de regarder si Sophie peut me voir, mais je me rappelle qu'au départ d'Arlette, j'ai bougé nos bureaux pour que chacune ait un espace intime plus important, et heureusement !

    Rassurée, je le lis : « Ma chérie, je me suis régalée, plus du temps passé avec toi, que des pizzas 'rop bonnes de Mario comme doivent dire nos garçons ! Tu viens de descendre aux toilettes, sans ton téléphone, je ne peux pas m'empêcher de t'imaginer jupe remontée, culotte sur tes chaussures, con et cul nu ! Tu fais tes besoins comme si tu étais devant ma caméra ! ».

    « Je me suis déjà envoyée en l'air trois fois sur ce clip, et je ne compte pas m'arrêter : je t'y sens si salope, que même la scato qui n'est pas mon best du bdsm, m'excite comme une dingue. A demain, ma chérie, je vais essayer de te surprendre, en attendant je t'envoie trois liens de clips du Web, en te conseillant d'aller les regarder aux toilettes, car tu risques d'avoir besoin d'être seule ! Ne m'appelle pas à chaud, je préfère que tu me racontes tes réactions demain, de vive voix. Bon cinéma ma belle vicieuse de rêve ! ».

    Première vidéo : 5mn35. Blonde correctement faite, nue, solidement bondée sur une chaise, face à une télé qui diffuse un film porno hard, obligée de s'envoyer en l'air avec un vibro externe scotché sur son clito.

    https://fr.pornhub.com/view_video.php?viewkey=ph577d36fcdb56d

    Deuxième vidéo : 5mn35. Brune, star du porno, yeux bandés, bouche bâillonnée, superbement bondée, comme j'aimerais te voir un jour : couchée sur le dos, nichons gonflés et pincés, corps bien étiré, avec, elle aussi, un gode externe bien placé sur son clito, ses orgasmes ne sont pas feints !

    https://fr.pornhub.com/view_video.php?viewkey=ph5679929cb0bcb

    Troisième vidéo : 8mn35. J'ai quelques doutes sur l'authenticité de ce clip, mais, même, si la fille est complice, elle joue superbement bien. C'est probablement le futur de ta soumission ! Dès que cet accessoire et ce programme seront en vente, j'ai hâte de l'essayer sur toi !

    http://www.roadsexe.com/video/il-controle-lorgasme-dune-blonde-avec-son-smartphone-6437.html

    Jeudi 19 Janvier 2017 - 23h30

    Je sens le foutre, la mouille et la transpiration. Je demande à Yves s'il m'autorise à ne pas me laver avant de dormir. Il rit : « Tu as été tellement salope ce soir, que ce serait un crime de te laver, toute la chambre sent ton odeur de femme en chaleur ! Et tu sais bien que j'adore ça ! Je pense même que je te réveillerai pour une pipe dans la nuit ! Couche toi sans rentrer dans les draps, la tête posée sur mon ventre et ma bite ramollie dans ta bouche de pipeuse, tu dormiras bien mieux comme ça ma petite putain d'épouse ! ».

    Pour en arriver là, je n'ai rien laissé au hasard : au bureau, j'ai visionné deux fois chaque clip, une fois, sagement assise dans mon bureau, mais en me titillant le clito avec une règle de bois, et, une autre fois, nichons sortis de mon soutien-gorge, jupe relevée et culotte jetée dans un coin, en me branlant le clito cuisses largement ouvertes, debout ou sur la cuvette, mais chaque fois en m'arrêtant juste avant l'orgasme !

    Rentrée à la maison, j'étais chaude comme la braise. Yves m'avait prévenue qu'il serait là vers 20h, j'ai donc mangé avec Jean de bonne heure, gardé un plateau repas pour Yves, aidé Jean à faire ses devoirs, je l'ai bordé en lui autorisant une heure de télé et embrassé pour la nuit.

    Puis, j'ai attendu Yves, habillée en pute : talons hauts, bas avec porte- jarretelles, chatte et cul nu, soutien-gorge balconnets avec les tétons sortis et décorés de deux petits bijoux imitant les anneaux des femmes annelées, mais sans avoir à percer les tétons. A 20h, j'ai déclenché une vidéo porno louée sur Orange, et j'ai commencé à la regarder en me branlant cuisses largement ouvertes sur le lit, à côté du plateau-repas d'Yves !

    Et c'est comme ça qu'il m'a trouvée !

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 08h00

    Avant de partir au bureau, je rentre dans ma messagerie et y trouve un court message : « Rendez vous chez moi à midi ».

    Aucune instruction, rien d’autre, je passe une partie de la matinée à penser à ce rendez vous sans pouvoir percer les intentions d’Annie, qui, en fait, n'a pas signé son message : est-il d'Annie qui s'affirme de plus en plus comme une femme, dont je suis en train de tomber très amoureuse, ou de, Madame, qui se révèle être une dominante redoutable, expérimentée et très imaginative ?

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 10h00

    Ma ligne intérieure sonne. Je décroche en étant sure que c’est mon patron : « Oui, Loréna, bonjour ». Je suis très surprise d’entendre Annie : « Bonjour Loréna, tu peux me passer ma pute, s’il te plaît ». Pensive, je me demande comment elle a pu avoir ce N° ?

    Elle semble deviner ma pensée et me dit en riant : « Eh oui c’est fou tous les N° de téléphone qu’on peut trouver dans la mémoire d’un portable, tu sais ma pute ! ». Je ne réponds rien : elle est décidément trop vicieuse et trop intelligente pour moi, mais sa voix me fait vibrer des pieds à la tête : « Que puis je faire pour vous, Madame ? ».

    « Juste une question : dis moi simplement comment es-tu habillée ? ». Je n'ai pas besoin de me regarder pour lui répondre : « Une jupe grise en laine qui m'arrive au dessus des genoux, un chemisier blanc opaque, un soutien-gorge bleu marine, un tanga assorti, des bas dim-up et des talons plats ». « Tu as pensé à prendre mon alliance ? »« Non, Madame, mais avant d’aller chez vous j’ai le temps de passer chez moi, je quitterai mon bureau à 11h45, au plus tard ». « Entendu, j'ai promis de te surprendre, et tu vas l'être ! Je t’attends à midi avec ton unique bijou et aucun sous-vêtements ! J'ai reporté notre déjeuner chinois à une date ultérieure ».

    Comme d'habitude, elle raccroche sans un mot de plus.

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 11h50

    J’arrive chez moi, je n’ai pas fait grand chose entre 10h et 11h30, trop troublée par cet appel. Dans ma chambre, j'ôte tous mes bijoux, mets la chaîne avec l’alliance d'Annie. Je retire mes sous-vêtements que je mets dans mon sac, avec mes bijoux, prévoyant que, peut être, je devrais partir directement de chez Annie pour aller au bureau.

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 12h00

    Deux minutes avant midi, je me retrouve devant la porte d’Annie, un post-it y est affiché : « Je suis dans mon bureau ». Je pousse la porte en annonçant assez fort : « Bonjour, Madame, c’est moi ». 

    Je vais directement au bureau, Annie est devant son ordinateur.

    « Bonjour ma pute, je suis justement sur ta fiche, tu as trois clips dans le top-ten. Tu as dépassé les 10.000 visites et 20.000$ de chiffre d’affaires et déjà gagné 14.000$. Es-tu contente ? ».

    Annie sait très bien que ma motivation n’est pas l’argent, mais après un rapide change en €, je réalise que c’est une grosse somme : « Qui ne le serait pas, Madame, mais j’aimerais que vous preniez en compte que, sans vous, je n’aurais jamais pu gagner une telle somme et j'insiste pour que nous partagions toutes les deux, ainsi que toute somme à venir ! ».

    « Gentille idée, ma pute, mais il n’en est pas question, c’est ton travail, ton cul et ton obéissance, donc c’est ton argent. Ma récompense c’est ta docilité et le plaisir que tu donnes autour de toi, et le site de Tom que tu fais fructifier à grande vitesse ! ».

    Je ne réponds rien, je ne peux en tout cas pas accuser Annie de vénalité, elle vient de refuser une assez belle somme et je prends la décision de lui être encore plus soumise.

    « Dès la fin de ta séance avec Pierre, je suis entrée sur ton site perso dans bdsmissoire@ pour corriger une grossière erreur que Tom et moi avons faite : sur les photos postées pour imager ta fiche signalétique, j'avais demandé à Tom de flouter ton visage, mais il n'a probablement pas eu le temps de le faire, ou il l'a simplement oublié ».

    « Donc, pendant quelques heures, tu as été parfaitement reconnaissable sur ce site, en plus régional. C'est, en fait Pierrot la grosse bite qui m'a mis la puce à l'oreille en me disant : de toutes les manières, son visage est en ligne, donc je la connais déjà un peu, j'ai donc appelé de suite Tom au téléphone, pour passer mes nerfs sur lui, car j'étais furieuse ! Et, tu as eu beaucoup de chance jusqu'à maintenant, car tu ne m'as jamais vue furieuse ! ».

    « Bref, Tom s'en rappellera, et trente minutes plus tard, toutes tes photos étaient remplacées, grâce à notre studio de retouches, par ta sosie : cheveux longs châtain clair et vieillie de deux ans. Sans aucun problème vis à vis de ceux qui diront ne pas te reconnaître : tu es plus jeune que sur tes photos et tu as changé de longueur et de couleur de cheveux ! ».

    « Tu as un mail de Tom, et ses excuses dans ta boîte, maintenant, j’ai deux bonnes nouvelles à t'annoncer : sur les dizaines de propositions que tu as eues, je n'en ai retenu que deux, qui me semblent intéressantes ! ».

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 12h20

    Elle tourne les yeux vers moi : « Mais tu es encore habillée ? Mets toi à poil, tu sais que j’aime t'avoir nue à mes côtés ». Je me déshabille rapidement. L’absence totale de sous vêtements me rend la tâche plus facile : « Ôte aussi tes talons, je te veux complètement à poil ».

    Je m’exécute pendant qu’elle se lève et se rassied au bord du fauteuil, les cuisses ouvertes et elle soulève sa robe sous laquelle elle ne porte pas de culotte. « Agenouille-toi sous le bureau, et bouffe moi la chatte, je vais te lire les messages et tu me donneras les réponses que tu aurais faites, je rédigerai ce que je voudrai ».

    Je commence à la lécher, elle est juste un peu humide, mais ma langue va vite changer les choses : « Hum très bien applique toi, voilà la première réponse intéressante ».

    « Bonsoir, jolie Loré, je m’appelle Agnès, j’ai 45 ans, je te joins une photo en pied, habillée. Je suis très dominante, et depuis 20 ans j'ai eu de très nombreuses soumises. J’ai bien lu ta fiche et tu m’intéresses, j’ai les mêmes tabous que toi et j’habite à 80 kilomètres de chez toi. Je peux me libérer quand tu le voudras, la semaine ou le weekend-end, réponds moi vite, Agnès ».

    « Alors qu’en penses tu ? Cesse de me lécher et caresse moi avec tes doigts pour me répondre ». La bouche, gluante de ses premières sécrétions, je lui caresse la chatte et les lèvres de mes doigts : d’une petite voix, je lui demande si je peux voir sa photo. « Non, elle te conviendra, c’est moi qui en décide ».

    « Entendu, Madame, il faudrait peut être lui dire que je suis à sa disposition pour un après midi de la semaine prochaine, mais que je ne me déplace qu’avec vous, et, si cette condition lui convient, lui demander si elle préfère me rencontrer chez elle ou chez moi ? ». « Ça me semble être une bonne réponse mais il faut aussi lui parler de tes tarifs ? ».

    « Oh, Madame, je ne pense pas qu’il soit nécessaire d’aborder ce sujet avec elle ! ». « Je ne vois pas pourquoi, mais je vais simplement lui signaler que d’habitude, tu demandes de l’argent, on verra bien sa réponse ». « Bien Madame, comme vous le voudrez ».

    Elle rédige ma réponse et me la lit à haute voix : « Bonjour, Madame Agnès, ou Maîtresse Agnès, j’ai été très touchée par votre intérêt pour moi, et je suis prête à vous rencontrer un après midi de la semaine prochaine, par exemple mardi ou jeudi. Je dois simplement vous préciser que je ne me déplace jamais sans Madame Annie, à qui j'appartiens, qui regarde et filme, et que ma soumission est, en principe tarifée, qu’en pensez vous ? Je vous remercie de votre réponse, et si elle est positive, de me dire si vous préférez que nous nous voyions chez vous ou chez moi. Merci. Toute à vous : Loréna ».

    Elle relit sa réponse pour éviter toute faute de frappe et l’envoie.

    « Montre moi ta tête et suce tes doigts : tu aimes mes sécrétions vaginales ? Mon goût ? Et mon odeur ? ». « Oh oui, Madame, je les aime de plus en plus ». « Alors nettoie bien tes doigts et recommence à me lécher, je préfère ta langue de pute à tes doigts ! Je vais te lire la deuxième proposition, très différente » :

    « Bonjour Loréna, je m’appelle Lise et je suis une soumise comme toi, j’ai beaucoup aimé ta description, tes goûts et tes photos. Je suis bi, j’ai 30 ans et je t’envoie à mon tour quelques photos habillée et demi-nue. J’habite très près de chez toi, mais tu dois te demander pourquoi une soumise prend contact avec toi ! Je désire simplement savoir si ton Maître ou ta Maîtresse aimerait me soumettre en ta compagnie. Je sais bien que c’est une demande étrange, mais j’aimerais beaucoup obéir à tes côtés. S'ils ne veulent pas, je n’ai malheureusement personne à te proposer, ces temps ci, je vais de déception en déception avec des dominants ou des dominantes rencontrés sut le Web. J’espère que mon rêve ou mon fantasme pourra se réaliser, car ta demande m'a parue très sincère et vraie. Je t’embrasse tendrement, si tu veux me joindre, je te donne mon portable : 06 79 92 50 02. Je t’aime déjà, Lise ».

    « Tu vois c’est une demande diamétralement opposée, cette fille est décidée, elle a très envie de se donner et d’obéir avec une autre soumise, et elle est pressée puisqu’elle te donne même son portable, tu vas donc l’appeler et lui proposer l'après-midi de mardi ou de jeudi prochain ». « Sors de la table et montre moi ta chatte ».

    Je me redresse et me mets debout à ses côtés, jambes légèrement ouvertes, elle se penche et me regarde de près : « Hum je vois que ces dialogues et cette minette ne t’ont pas laissée indifférente, tu as un beau filet de mouille sur l’intérieur de ta cuisse. Tu es une vraie salope ! ».

    Elle prend son téléphone, compose le numéro de Lise et me passe l’appareil. La jeune femme répond après deux sonneries :

    « Oui bonjour ».

    « Bonjour Lise, tu as répondu à une annonce sur le Web ».

    « Oui je m’en souviens, attends je ne suis pas seule, je vais sur la terrasse ». Annie a mit le téléphone en mains libres, elle entend donc tout. « Voilà je suis tranquille ».

    « Je m'appelle Loréna, Madame Annie, à qui j'appartiens, est d’accord pour nous dominer toutes les deux ».

    « Oh, quelle bonne nouvelle ! Remercie la très fort pour moi, et quand pouvons-nous nous rencontrer ? ».

    « Elle te propose ce mardi ou ce vendredi après-midi, et, pour la durée de ton choix, nous sommes libres de 13h à 19h ».

    « Je travaille, mais ça ne fait rien, je prendrai une journée de congé. Je préfère le mardi et profiter de vous deux le plus de temps possible ! Si ça lui convient, où veut-elle que nous nous rencontrions ? ».

    J’interroge Annie du regard qui me répond : « Chez toi ». « Elle préfère chez moi, je t’enverrai mon adresse et un plan d’accès par mail, ça te convient Lise ? ».

    « C’est parfait, votre réponse me conduit directement au Paradis, dis à Madame Annie que j’ai hâte d’être à mardi ! ».

    « Attends, elle m’écrit un petit mot, je te le lis : « N’attends aucune tendresse de ma part ! »».

    « Hum, tu peux lui répondre que je n’en attendais pas. Je pense être bien éduquée et comme je serai en compétition amicale avec toi, je saurai me surpasser en obéissance ».

    « Elle a entendu ta réponse et t’écrit un autre mot : elle te demande de ne pas jouir jusqu’à mardi ».

    Lise rit un peu nerveusement : « Entendu je resterai sage, pour arriver bien excitée chez toi et faire sa connaissance. Je t’embrasse, à mardi ma chérie, et je m'offre à l'avance à ta Maîtresse pour qu'elle fasse ce qu'elle veut de moi ! ».

    « Moi aussi je t’embrasse Lise, au plaisir de te connaître ce mardi ».

    Et je raccroche.

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 13h00

    « Voilà un mardi après midi qui risque d'être excitant, dis moi, ma pouffiasse préférée, je voulais te poser une question : as-tu aimé te prostituer pour moi ? ».

    Yeux baissés, je réponds doucement : « Vous ne pouvez pas l'ignorer, Madame, puisque j'ai joui les deux fois, dans les wcs ou au bord d'Allier ». « Oui je m’en doutais, mais je préfère t’entendre me le dire avec tes mots de pute de gare : vas y je t’écoute ! ».

    « Oui Madame, j’ai aimé faire la putain devant vous et pour vous. J'ai loué mon corps, mon obéissance et mon masochisme contre des billets de banque ! ». « Tu es une vraie salope née, j’ai bien peur que, si Yves te largue, tu ne finisses dans un bordel ! Tiens on a un message, il faut t'occuper : agenouille toi à côté de moi et ramasse tes souliers, tu vas lécher les talons et les semelles pendant que j'ouvre le message ».

    Je m’agenouille, pose mes chaussures devant moi et je lèche un talon devant la caméra d'Annie. Elle ouvre le message : « C'est une réponse d'Agnès :

    « Loréna, entendu pour jeudi après midi chez moi, si accord je t’enverrai mon adresse, ta Propriétaire est la bienvenue, mais seulement pour mater et filmer, sans participer, sauf demande de ma part. Pas question d’argent entre nous, mais j’ai noté que tu obéissais aussi vénalement, si tu es celle que tu dis être, tu auras de nombreux clients, car les jolies putes masos sont rares et très demandées dans notre région. Si ta Maîtresse est d’accord, envoie moi un message par retour : Agnès ».

    Sans même attendre une réponse de ma part, Annie envoie son accord que je signe à distance en léchant une semelle sale, de plus en plus excitée qu'elle joue à sa guise avec moi et mes rendez-vous de putain !

    « Bien samedi soir notre dîner amical à quatre, mardi un après midi avec mes deux soumises Lise et Loré et jeudi, un après midi avec ta Maîtresse, Agnès : tu commences à avoir un emploi du temps de ministre ! Il te reste dimanche pour satisfaire ton petit mari par un feu d'artifice de vices et de perversions ! ».

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 13h15

    Elle rit, coupe l’ordinateur et m'ordonne de la suivre. Elle prend sa caméra et passe devant moi, je la suis nue et obéissante : « Tu sais où est la cuisine, trouve toi un tablier et prépare moi un bon café, tu n’as qu’à fouiller pour trouver tout ce qu’il te faut ».

    Je me dirige vers la cuisine alors qu’elle va au salon, j’ouvre quelques placards et trouve tout ce qu’il me faut. J’enfile un tablier qui ne cache pas grand chose de ma nudité et, peu de temps après, j’entre au salon avec la cafetière, une tasse, du sucre et une petite cuillère.

    Annie est en ligne avec son associé Tom :

    « Je sais bien qu’on te réclame des nouvelles vidéos d’elle, mais elle travaille, elle est mariée et a un enfant, je ne peux pas la filmer 24h sur 24. Je t’enverrai dans l’après midi un film, mais c’est tout ce que je peux faire. Mais oui elle n’est pas conne, et sait bien que plus elle est filmée, plus elle est demandée et plus elle gagne d’argent. Je t’assure que la semaine prochaine, comme son mari s'absente, tu auras beaucoup plus de matière. Oui elle est avec moi, elle est en train de me servir un café, à poil, avec juste un petit tablier qui ne cache rien. Allez je te laisse je t’enverrai le film dans l’après midi, j’ai à faire avec elle. Bise Tom ».

    Elle raccroche : « Sais tu, écarteuse de cuisses, que je n’ai jamais couché avec Tom et pourtant, chaque fois que je vais le voir, je suis seule et je reste plusieurs jours, mais nous sommes d’accord, tous les deux, pour ne pas mélanger le travail et le plaisir. Le café doit prêt, vas le chercher ».

    Je retourne à la cuisine, sentant son regard sur les mouvements de mon petit cul mis en valeur par des bouts de tablier, et je reviens avec la cafetière. Je la sers, remue son café et lui propose sa tasse.

    « Hum très bon ton café. Va te mettre au coin, face au mur, lève ton tablier et commence à te branler, je veux vite entendre tes bruits de mouille ». Au coin, je pose ma main droite sur ma chatte et je me caresse, avec d’autant plus d'envie que je suis réellement trempée.

    Elle déguste son café. Très vite les premiers chuintements de mes doigts trempés de cyprine résonnent dans le silence de la pièce. Elle s’approche silencieusement de moi par derrière et me mordille vicieusement le lobe de l’oreille m’obligeant à pousser des petits gémissements avant de me glisser au creux de l’oreille : « Je te sens très chaude, je me trompe ? ».

    « Ooooh non, Madame, vous ne vous trompez pas ». « Je me demande si un jour je te verrai obligée de te lubrifier ? J’ai vraiment l’impression que tu es constamment en chaleur. Allez, enlève ce tablier et retourne toi. Tu vas continuer à te toucher, à poil et me raconter à haute voix ton vice et ton goût pour la soumission et pour l’exhibition. Allez vite, j’attends ! ».

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 13h25

    Le tablier tombe par terre et je me retourne, deux doigts dans la chatte et un autre sur le haut de mes lèvres, pelotant mon clitoris gonflé et rouge. Je dois m’éclaircir la gorge pour lui dire : « Oh oui, Madame, j’aime me caresser, à poil, devant vous ».

    Elle sourit, allume une cigarette et me dit : « Je veux que tu t’humilies verbalement, que tu sois plus qu'une putain et très vulgaire ». Je prends tout de même le temps de réfléchir, avant de dire à haute voix : « Oh, Madame, j’aime me branler à poil devant la caméra, me toucher le clitoris en bougeant mes nichons pour montrer que je suis une vraie salope en chaleur ».

    « Tu peux faire mieux ! Passe tes doigts pleins de mouille sur tes tétons de pute, je les veux luisants sur le film ». Je m’exécute et enduis mes tétons enflés, du jus de ma connasse. Elle filme en gros plan, ne ratant rien du durcissement de mes bouts de seins : « Fais les bien bander, pour que tous tes clients voient et entendent bien ce que tu fais ». « Oh oui, Madame, je fais bander mes bouts de mamelles de pute en chaleur, mon con déborde tellement je suis excitée, je suis fière que vous le montriez à mes clients ».

    « Très bien, continue de te branler ». Elle approche sa caméra de mon sexe pour ne rien rater du travail de mes doigts dans ma chatte et sur mon clitoris : « Dis moi ce que tu es train de te faire ? ». « Je me touche comme une vulgaire putain en chaleur Madame ». « Et, bien sur, tu as envie de t’envoyer en l’air ? ». « Oh oui, Madame je suis surexcitée, mon clitoris me fait mal, tellement j’ai envie de jouir ».

    « Tu ne préférerais pas une grosse bite qui exploserait ton réservoir à foutre ? ». « Oh oui, Madame je préférerais jouir avec une grosse pine en moi ». « Mais, nous n'avons pas le temps d’appeler un de tes clients, c’est dommage, tu perds de l’argent, n’est ce pas salope ? ». « Oui, Madame : cet orgasme ne me rapportera rien ». « Car d’habitude tes jouissances te rapportent ? Tu es donc une prostituée ? ». « Oui Madame, je suis une prostituée vicieuse qui aime autant l’argent que le foutre ou la cyprine ou les grosses pines dans mon cul de salope paillasson de rien du tout, Madame ! ».  

    Annie sourit, contente de m’avoir poussée dans mes derniers retranchements. « Mais pour moi ce sera gratuit, allez arrête de te branler et à genoux, lèche moi et fais moi jouir comme la bonne esclave que tu es en train de devenir en si peu de temps ! ».

    Assise sur le canapé, elle retrousse sa jupe à la taille, écarte ses cuisses et m’offre sa chatte trempée. J’ai à peine le temps de m’agenouiller qu’elle plaque sa chatte sur ma bouche en me tirant par les cheveux. Elle filme le travail de ma langue sur son sexe tout en me demandant de croiser les mains dans le dos. Elle est tellement excitée qu’en quelques coups de langue elle jouit, comme d’habitude, en silence et avec pudeur.

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 14h00

    Elle se fait longuement lécher et nettoyer la chatte avant de regarder sa montre : « Tu vas être en retard, vas vite te doucher, t’habiller et file au bureau, ton mari sera heureux de te faire hurler cette nuit ! Pense à moi dans l’après midi ça te maintiendra en forme ! ».

    Horriblement frustrée de ne pas avoir pu jouir, je vais vite me doucher, me rhabille et remets mes bijoux. Je suis en retard. Annie me crie de son bureau : « File ma pute et à samedi soir, bonne baise ce soir avec ton mari, pense à moi ! ». Il est 14h quand je quitte sa maison un peu désorientée.

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 17h00

    Je suis seule au bureau depuis mon retour de chez Annie. J'ai réglé les affaires courantes, répondu à quelques appels, vérifié un montage de pièce détachée délicat sur un Falcon en révision et vers 17h, comme il me l'avait demandé, j'ai appelé mon boss qui faisait sa partie hebdomadaire de golf avec ses amis industriels, pour lui résumer un après midi comme les autres, il m'a souhaité un bon weekend, après m'avoir donné l'autorisation de m'occuper de mon dîner depuis mon bureau !

    Pour ma soirée espagnole, puis qu’après tout, j'ai les deux nationalités ! J'ai tout commandé et confirmé chez José mon traiteur habituel, content de préparer pour Yves et moi une belle soirée espagnole, sans que ses prix ne soient contestés !  Des tapas variées, chaudes ou froides, des portions plus élaborées pour les entrées et une belle paella faite chez nous, de même que la sangria au Cava, équivalent de notre blanquette française et un plateau d'excellents fromages manchegos, soit en provenance de la région appelée La Mancha !

    Vincent, le cuisinier que José nous attribue, me rappelle au bureau pour me signaler qu'il viendra une première fois de 14h à 15h pour préparer la sangria, et à partir de 18h comme Chef et serveur, sans limite d'heure, tout en me rappelant que le traiteur facturera chaque heure de présence 50€, comme convenu sur le devis que j'ai reçu par mail et que j'ai renvoyé signé et approuvé. J'approuve et lui dis que je l'attendrai demain à 14h et que j'espère que nous nous entendrons bien et, que la soirée sera une belle fête !

    Samedi 21 Janvier 2017 – 11h00

    Quand je me réveille, ce samedi matin, j'ai l'impression d'avoir dormi une semaine ! En fait, Yves et moi avons festoyé jusqu'à 2h du matin, et j'ai tellement joui que je me suis endormie comme une masse sans m'en rendre compte !

    En ouvrant les yeux, je découvre un mot sur ma table de chevet, je le lis de suite : « Ma chérie, tu es si belle quand tu dors la chatte ouverte, j'ai failli te baiser pour te réveiller, mais finalement je suis allé au bureau, je reviendrai vers 17h, si tu as besoin de moi, appelle, je lèche ta chatte si sucrée ! Ton violeur inconnu ! Il est 8h dors bien ! ».

    Je petit-déjeune, prends un long bain pour me laver le moindre recoin de peau, j'enfile une mini parure en soie et un tee shirt XXL, des espadrilles trouées et je m'installe au salon, devant la télé avec mes cigarettes et une cafetière de café bien fort !

    Je fais un petit point de ma situation.

    Je n'ai pas grand chose à faire pour notre soirée à quatre, il me reste à attendre le cuisinier à 14h, et, préparer la maison, après son départ.

    Je n'ai aucune nouvelle d’Annie depuis hier, pas d’appel, pas de messages. Je n’ai même pas eu le temps d’entrer sur le site pour y découvrir mes derniers clips, ma vie normale m’a précipitée dans son train train habituel, dont je n'ai pas pu sortir.

    Yves a croisé Marc dehors, ils ont papoté quelques instants et il a eu le temps de lui dire que la tenue de samedi était décontractée : une vraie soirée entre copains et, aucunement une réception !

    Je téléphone à mes beaux-parents pour m'assurer que tout va bien pour Jean, il est en train de faire un Scrabble avec le beau-père, je ne les dérange pas et, appelle Yves, pour lui dire que j'attends le cuisinier pour la sangria. Ensuite je préparerai la maison, qu'il peut venir quand il le veut, et, que, s'il a le temps, en passant devant un fleuriste, qu'il achète un beau bouquet rouge et jaune pour décorer notre table des couleurs de l'Espagne. Il me promet un sans faute et raccroche après m'avoir baisée partout partout !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 14h00

    Je suis tellement relax que je m'endors devant la télé et, c'est la sonnette qui me réveille en sursaut. J'ai un peu de mal à émerger et me dirige en zombie vers la porte.

    J'ouvre et un jeune homme souriant me salue : « Bonjour, Madame Dufour, je suis Vincent, le Chef du Traiteur José et je viens pour préparer la sangria pour votre soirée ! ». Il me semble charmant, bien habillé avec son tablier-blouse blanc immaculé, et sa toque de chef qui m'a toujours fait rigoler.

    Je le fais rentrer. Mais, avant de démarrer, je lui propose un café, qu'il accepte et que nous prenons au salon, bien que non fumeur, la fumée ne le dérangeant pas, j'allume une cigarette et nous papotons un peu.

    Il a 30 ans, marié depuis deux ans à une adorable Geneviève de 26 ans, pour le moment sans enfant, et il est chez José depuis six ans, soit, à peu près comme nous en qualité de clients ! Il est très content de son job d'extra, car, pratiquement tous les vendredis ou samedis soirs, José l'envoie chez des clients, qui, souvent le rappellent pour une autre soirée chez eux : il s'est donc fait sa petite clientèle ce qui lui permet de travailler sans souci, et seulement deux jours par semaine au plus !

    « Je suis heureuse de rencontrer quelqu'un qui aime son travail, comme c'est mon cas, j'adore que les gens soient heureux et bien traités dans leur job ! ». « Oh, oui, Madame Dufour, vous avez raison, c'est si agréable d'aller faire sa journée en sifflotant ! ». « Et, sûrement plus agréable si vous m'appelez Loréna et moi Vincent, non ? ». Il rit : « Ah, ça c'est la cerise sur le gâteau ! ». « Ce que je trouve normal pour un cuisinier, on va bosser ? ».

    « Oh, non, Madame, oh, pardon, Loréna, je ne veux pas que vous travailliez, c'est mon job ! ». « Mais je peux tout de même vous regarder élaborer votre sangria, bien qu'Espagnole d'origine, je vous assure que je ne vous ferai aucune réflexion ni aucune recommandation ! ».

    « Il rougit un peu, et me dit, non, ce n'est pas pour ça ! ». « Voyons, si ma présence vous gêne à ce point, Vincent, je saurais m'effacer et même disparaître si vous insistez ! ». « Nooon, je me suis mal exprimé, bien au contraire Loréna, j'ai très envie que vous restiez avec moi, considérez que je n'ai rien dit, montrez moi la cuisine, je vais chercher mes ustensiles et mes produits dans ma camionnette ! ».

    Il y a des choses qui se disent et d'autres qui se sentent, mes tétons ont senti que ce garçon avait un problème dans sa braguette, et qu'il était un peu... gêné et qu'un aller-retour dans sa camionnette était vraiment nécessaire !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 15h00

    Vincent s'en va, la sangria est prête, elle embaume toute la cuisine : une bonne odeur de beaux fruits à jus fraîchement coupés : citrons, oranges, bananes et pommes, de très bons vins rouges de la Loire, livrés à la bonne température et bien sur les épices secrètes de Joséqu'il n'a pas voulu me dévoiler ! Avant d'arroser le tout par huit bouteilles de Cava Carta Negra au lieu de la traditionnelle limonade ! Saupoudrés de zestes d'agrumes et de dés de fruits, ces douze litres sont allés dans deux conteneurs à température et aération contrôlées pour que les fruits et les épices aient le temps de donner tout leur arôme !

    Je l'ai surpris, en le prenant en photo, quand il versait la dernière bouteille de Cava, il a un air sérieux qui le fait rire, mais, on sent tout son professionnalisme et on peut voir que c'est un jeune homme qui n'a, physiquement, pas beaucoup de défauts !

    Dès que la porte est refermée, je me jette sur mon canapé et j'envoie cette photo à Annie et Yves sur leurs mails normaux, en accompagnant d'un : « Ci-joint un avant goût de la sangria de ce soir, et de Vincent notre Chef cuistot, très agréable, Annie, merci de transmettre à Marc et bises à tous les trois !».

    J'envoie aussi un double de mon ordinateur : « Madame, je vous présente Vincent ! Votre salope ! ». Je ne sais pas ce qui va m'arriver, mais je sais que je l'aurai bien cherché, à vouloir jouer la pute on gagne souvent !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 16h45

    J'ai terminé ma préparation, la table est mise, il me manque le bouquet central pour la terminer, j'ai préparé les tables d'apéritif et des bouteilles de Cava sont au frais, si nos amis le préfèrent à la sangria.

    Vincent sera là dans une heure avec les boîtes de tapas froides qu'il faudra dresser sur des plats qui sont prêts et les plaques de tapas chaudes qu'il suffira de glisser dans le four. Quant à la paella, José m'avait demandé si notre cheminée était en marche, et vue ma réponse négative, Vincent m'a prévenue qu'il venait avec un réchaud à rampe de gaz ronde pour la préparer dans le grand plat qui porte son nom dans la cheminée, comme ça, pendant l'apéritif, tout le monde pourra apprendre comment on fait une paella !

    Un peu désœuvrée, et aussi excitée par cette heure passée avec un homme qui, visiblement, évitait de me regarder pour ne pas afficher ou accentuer son désir, je vais me réfugier dans la chambre d'amis, je me mets à poil, je cale mon téléphone sur la commode, juste au dessus du petit lit et je mets en route la web-cam, manœuvre que j'ai l'habitude de faire, dans cette chambre, pour garder des traces de mes branlettes sauvages et solitaires !

    Et, couchée confortablement sur le dos, je pose ma main droite sur ma chatte bien épanouie pour me masturber avec la volonté affichée de m'envoyer en l'air au moins une fois.

    Un peu comme ça > Vidéo de 5mn01 très réaliste !

    http://www.roadsexe.com/video/belle-femme-atteint-vraiment-lorgasme-en-se-masturbant-5379.html

    Après un orgasme très réussi, je reste de longues minutes sur le lit en me caressant distraitement les seins et la chatte, mais, renonçant à flemmarder plus longtemps, je me lève nue, vais dans mon bureau et transfère mon petit clip de cinq minutes sur le disque protégé qu'a créé Yves pour notre vidéothèque intime. Puis, en changeant de partition du disque dur, je l'envoie à Annie avec un commentaire très court : « En pensant à vous, Madame, à tout à l'heure, votre putain chaude et vicieuse, plus excitée de vous revoir que calmée par cet orgasme ! ».

    Puis je vais me doucher. Et j'enfile une tenue intermédiaire pour recevoir Yves, probablement dans peu de temps, et Vincent à 18h, en décidant que je m'habillerai pour la soirée vers 19h.

    Samedi 21 Janvier 2017 - 17h10

    Je sors de la salle de bains, en peignoir, pour aller me changer dans la chambre quand j'entends la porte s'ouvrir, Yves est à l'heure, j'en suis très heureuse et cours pour l'accueillir et l'embrasser sur la bouche, comme une arapède heureuse de retrouver son rocher !

    Il est ravi de cet accueil et constate rapidement que je suis nue sous le peignoir : « Dis-moi, petite salope ! Que fais-tu à poil sous ton peignoir à cette heure ci ? Tu t'es tapée le beau cuistot ? Tu l'as caché où ? Je veux lui demander ce qu'il pense du vice de ma salope d'épouse ! ».

    « Ah, non, Yves, c'est vrai qu'il est à croquer et que je ne l'ai pas laissé indifférente, mais j'avais pensé me faire baiser devant toi ce soir quand tout le monde serait parti ! Mais ça va te coûter 50€ de l'heure car c'est son salaire horaire que José va nous facturer ! ». « S'il prétend avoir bossé alors qu'il te baisait, je vais lui faire la tête au carré à ce connard de Chef ! » 

    J'éclate de rire : « Hum, Yves, puisque tu sembles avoir une petite envie, je te propose un jeu coquin, ça te dit ? ». « Tu m'as déjà vu refuser une proposition de cul de ta part ? ».

    « Euh, non pas vraiment, Yves ! Donc, voilà mon jeu : je viens de me filmer, en train de me branler, à poil, dans la chambre d'amis, sans sex-toy : un bel orgasme très chaud, bien que filmé avec la web-cam de mon portable. Je te propose de le regarder, je viens de classer dans ta vidéothèque, sous le nom de : 21/01/17 - Loré jouant seule, il fait 5mn. Tu y rajoutes le temps qu'il te faut pour faire ce que tu voudras : cigarette, toilettes, douche, un coup de fil, sangria, enfin, bref ce que tu veux ! ».

    « Nous avons 45mn devant nous avant l'arrivée du Chef. Moi, je vais dans notre chambre. Quand tu es prêt, tu me donnes le temps total qu'il te faut pour me rejoindre, donc cinq minutes de visionnage, plus le temps dont tu as besoin. Je me mets à poil et je me couche sur le côté droit, la tête enfoncée dans un oreiller, prête à accueillir ta bite dans le trou que tu voudras, mais sans avoir le droit de te voir une seule fois, et, quand tu me pénétreras, je regarderai l'heure et tu auras cinq minutes pour nous faire jouir tous les deux, si l'un des deux n'a pas joui, tant pis pour lui ! Ce scénario t'excite, mon amour ? Et, même, si tu veux je cadrerai ma web-cam, et en entrant dans la chambre tu n'auras qu'à la démarrer ! Alors, on joue ? Je t'en priiiiiiiiiiie , j'en ai trop enviiiiiiie ! ».

    « Bien sur que oui, ne fais pas ta gosse capricieuse, mais si ton clip est bandant, prépares-toi à jouir du cul ! Ça fait trop longtemps que je n'ai pas défoncé ton petit trou ! Laisse moi réfléchir, je te dis dans quelques secondes combien de temps il me faut pour te rejoindre au lit ! ».

    Je le laisse vaquer à ses occupations, et vais au salon fumer une cigarette, un passage discret de ma main sous mon peignoir me signale que j'aime vraiment beaucoup ce scénario !

    J'ai bien peur que comme l'argent attire l'argent, le vice attire le vice et en plus avec une grosse inflation ! 

    Samedi 21 Janvier 2017 - 17h30

    Il revient des toilettes et me dit : « Loré, il est 17h30, à 17h40 ma bite t'enculera ! A de suite ! ». Je souris, je constate qu'il a pris l'option de voir mon clip sur l'ordinateur familial, pendant que je vais dans notre chambre.

    J'ôte mon peignoir, je me couche sur le côté droit, tête vers ma table de nuit, je note qu'il est 17h31 et je me mets un oreiller sur la tête pour ne plus rien voir ni entendre !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 17h40

    Oh, bien sur, ce n'est pas nous, mais ça ressemble beaucoup à ça https://fr.pornhub.com/view_video.php?viewkey=ph59790fec7cfef

    Vidéo de 4mn32 : bilan, deux orgasmes : mes cris sont enregistrés et ce qui coule de mes fesses n'est pas du lait de chèvre !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 18h00

    Vincent est très ponctuel, mais, étant encore dans la salle de bains, j'ai délégué à Yves le soin de le recevoir et de l'aider en m'attendant.

    Samedi 21 Janvier 2017 - 19h00

    Quand je sors de la chambre, je suis assez contente de ce que je viens de voir dans ma psyché : je porte une petite robe grise légèrement pailletée, avec un décolleté froncé par un élastique, dénudant l'épaule droite et recouvrant la gauche, très à la mode il y a quelques temps, mais que, moi, je continue à beaucoup !

    La robe s'arrête juste au dessus des genoux, et il n'y a pas de trace de bretelles, mais un soutien-gorge balconnet et même un tanga assorti, peuvent très bien être cachés sous la robe !

    L'ensemble se termine par des dim-up gris brillants et par des escarpins noirs à talons mi-hauts. Ma gorge semble fière de présenter un très joli collier en perles qu'Yves m'a offert pour nos deux ans de mariage avec ses boucles d'oreilles assorties. Et je n'ai aucun autre bijou apparent à part mon alliance ! Mais, pour faire une surprise à Annie, j’ai caché sa chaîne et son alliance dans un des bonnets de mon soutien-gorge.

    J'entre sans faire de bruit dans le salon, les hommes ont terminé d'installer la rampe de gaz ronde, un grand plat à paella est posé sur les flammes et de l'huile d'olive frémit sans bouillir. A côté, Yves a installé une des tables de la plage de la piscine, qu'il a même recouvert d'une nappe assortie à celle de la table principale, et Vincent a posé dessus tous ses ingrédients et a commencé sa préparation.

    Ailes et cuisses de coquelet, chorizo doux, petit salé fumé, poivrons, petits pois, lotte, crevettes, palourdes, clovisses, amandes, petits calmars, moules et, pour le bouquet final : langoustes et crevettes royales, crustacé dont j'affirme que la chair est la meilleure du monde !

    Dans le pays où l'on affirme qu'il y a autant de recettes de paellas que d'Espagnoles, je sais que Vincent va faire dorer ces ingrédients dans le plat de cuisson, les ressortir, et quand tout sera prêt, il reconstituera le plat, et, quand il le décidera, tous les ingrédients seront recouverts de Cava, de jus de cuisson des coquillages et d'eau. Les épices, secrètes, seront rajoutées et à l’ébullition, il jettera en pluie le riz rond pour une cuisson de vingt minutes et dix minutes de repos sous une feuille de papier alu !

    NDLR > Vous voyez qu'en plus de vous informer de ce que vous pouvez faire avec une femme soumise, je vous offre gratuitement une recette de cuisine !

    Les deux hommes sont tellement occupés, qu'ils ne font pas attention à moi. Vincent demande une cuillère à Yves, en l'appellent par son prénom, et Yves va la lui chercher. Vincent se retourne et semble pétrifié en me voyant !

    J'éclate de rire : « Eh, Vincent, je ne suis pas un fantôme ! Vous avez le droit de regarder, je ne vais pas vous transformer en statue de sel ! ».

    Yves éclate, lui aussi de rire, et me siffle comme seuls les supporters de l’O.M. savent le faire, à défaut de savoir parler ! Et il se fait aussi gronder : « Ça va bien, n'en rajoute pas, sinon, je vais me changer ! ».

    Yves me regarde en me disant : « Tu n'en auras pas le temps, nous sommes deux et nous te ligoterons pour que tu n'ailles pas te changer, c'est compris, belle inconnue ! ».

    Faussement boudeuse, je m'assieds, bras croisés, dans le canapé en grommelant : « Je suis chez moi, et je n'ai même pas le droit de faire ce que je veux ! ». J'allume une cigarette et conclut en lui disant : « Tu peux annuler la soirée, je ne dirai plus un mot ! ».

    Yves éclate de rire : « Ah ! Ça c'est une bonne nouvelle ! On va enfin passer une soirée tranquille ! Allez, Loré, ce n'est pas juste, j'ai claqué une fortune pour ton bouquet rouge et jaune : ils vont arriver et n'auront même pas le droit de voir cette œuvre d'art ! ».

    Je bondis à ce rappel de mon devoir et file à la cuisine, le bouquet est, en effet magnifique. Je le mets dans le plus beau vase que j'ai et il fait un superbe effet sur ma table !

    J'ai à peine le temps de bisouiller la joue d'Yves, de le remercier pour le bouquet et lui dire qu'il est très élégant avec son pantalon de flanelle, son pull assorti, une belle chemise Arrow et des mocassins Nike, que la sonnerie retentit annonçant que nos invités arrivent !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 19h30

    Il n'y a que Marc, qui salue Yves et me fait une bise : « Content de faire ta connaissance, Loréna, Annie m’a beaucoup parlé de toi, j’avais hâte de te rencontrer ! ».

    De près, Marc est un très bel homme et, à mon avis, il le sait ! « Yves m'a dit que c’était une soirée cool, mais je vois que tu es très élégante : eh bien tant pis nous ferons avec ta belle tenue ! Annie arrive, elle s'est rendue compte qu'elle avait oublié ses cigarettes ! ».

    « Yves, je te laisse avec Marc, je vais voir si Vincent a besoin d'un coup de main et j'ouvrirai à Annie, soyez tranquilles ».

    Vincent gère tout très bien et je retourne donc dans l'entrée où Annie arrive juste, me fait une bise et me dit : « Eh bien, ma chère Loré, ça fait une éternité que je n’ai plus de nouvelles de toi ! ». « Oui j’ai été un peu débordée et j’ai du aussi préparer mes absences de la semaine prochaine pour ne pas laisser mes dossier en pagaille ! ».

    « C’est bien, je vois que tu es une bonne employée modèle ! J'avais oublié mes cigarettes et je ne voulais pas passer la soirée à te piquer les tiennes ! ».

    « Que font nos hommes ? ». « Ils visitent la maison ». On les entend marcher au dessus. Annie s’approche de moi et me mordille l’oreille en me palpant les seins et en glissant une main sous ma robe : « Bijoux, soutien-gorge et culotte ! Tu as tout faux aujourd’hui ! ».

    « Je n’avais pas vraiment le choix, Yves et moi, nous nous sommes habillés dans la salle de bains, mais j’ai ton alliance dans un des bonnets de mon soutien-gorge ». « J’espère qu’elle est en contact avec ton bout de mamelle bien dur ! ». « Hum, oui, je la sens à chaque mouvement ! ».

    « Tu veux que je te présente Vincent, il est dans la cuisine ? ». « Avec plaisir, mais demande d'abord à nos hommes quand ils comptent nous rejoindre ! ». Je stoppe au niveau de l'escalier central et crie : « Alors les hommes, vous descendez pour l’apéritif ? Tout est prêt, Annie et moi n'attendons que vous ! Et les tapas de Vincent vont cramer ! ».

    Yves me répond : « Patientez cinq minutes, nous sommes au grenier et je montre quelques uns de mes jouets en bois à Marc ! On se régale, mais on arrive ». « Bon mais ne tardez pas trop on vous attend ! »

    Annie me prend par la main : « Ils en ont pour un moment, c’est parfait, viens avec moi ». Je la suis, elle m’entraîne dans la salle de bains dont elle ne ferme pas la porte : « Donne moi ta culotte, je vais la ranger dans le tiroir de ta commode, si Yves s'étonne que tu n'en aies plus, dis lui que tu l'as enlevée car elle te gênait ! Il comprendra ! Mais, pour toute la soirée, je te veux cul nu et chatte bien accessible ».

    Je me rends compte que je rougis moins à certaines de ses demandes : je m’exécute et elle range ma culotte, après l'avoir sentie. Elle glisse sa main droite sous ma robe, je sais qu'elle se contente de constater que je suis déjà très humide, j'attends sa réflexion, mais elle se contente de sourire sans m'en faire ! Étonnant !

    Le plancher du grenier craque : « Ils sont encore en haut, parfait, baisse le haut de ta robe et sors tes nichons de leurs bonnets par le haut ». Elle m’aide à descendre la crémaillère latérale de ma robe que je baisse à la taille, apparaissant en soutien-gorge.

    Je fais sortir chaque sein de son bonnet, tout en gardant sa chaîne et son alliance dans une main. En souriant elle prend un bâton de rouge à lèvres dans son sac et me maquille rapidement les tétons me disant à l’oreille : « Regarde comme les prostituées se maquillent leurs bouts de mamelles de pute pour plaire à leurs clients : tu aimes ? ».

    Je rougis en me regardant dans le miroir : « Je trouve que c’est un peu trop vulgaire, Madame ». « Et toi tu ne te crois pas vulgaire ? Je ne peux même pas te laisser sans soutien-gorge toute la soirée, tu bandes des nichons tellement fort que tout le monde va s’en rendre compte ! N’est ce pas ça la vulgarité ? ».

    Le bâton de rouge à lèvres à la main, elle se penche et m’écrit quelque chose sur le ventre, que je ne peux pas lire. Elle sort son portable de son sac et prend deux photos de mes seins ainsi sortis et maquillés, deux autres en exigeant que je lui offre mes seins en les soulevant de mes deux mains et deux dernières de l'inscription qu'elle m'a faite sur le ventre.

    « Range tes nichons et rhabille toi : on doit aller les attendre au salon ».

    Samedi 21 Janvier 2017 - 20h00

    Nous nous installons dans deux fauteuils. Je prends le temps de la regarder. Elle est visiblement allée chez son coiffeur, et est très élégante, dans une robe rouge légèrement décolletée, avec des bas gris très clair et des escarpins rouges, magnifiques, aux talons assez hauts.

    Vincent vient nous proposer de nous servir, mais je lui réponds que nos maris arrivent et que nous les attendons, nous allumons deux cigarettes et parlons de Jean et de son plaisir d'être chez mes beaux-parents qui le gâtent beaucoup et chez qui il est un peu le roi !

    Quand les hommes descendent enfin, ils ressemblent à des amis d'enfance, environ le même âge, le même style d'habillement sport-chic et ils n'arrêtent pas de rire en décrivant quelques uns des vieux jouets en bois d'Yves, collection que j'adore aussi !

    Vincent revient et nous propose en apéritif, du Cava, de la sangria préparée cet après midi sous les yeux mêmes de votre hôtesse ! Ou des apéritifs de bar variés : whisky, vodka orange, gin-tonic ou autre ! Tout le monde approuve la sangria, et il revient avec un plateau rempli des premières tapas chaudes et froides, quatre très beaux verres et apporte un énorme pichet de sangria tout à fait adapté : transparent, avec une grande spatule de bois enfoncée, pour permettre d'écarter les morceaux de fruits et les glaçons lors du service.

    Il nous sert et nous attaquons de suite, les tapas sont délicieuses et en fermant les yeux, je me remémore mes bons moments dans mon pays d'origine : Jaén la blanche flottant sur sa mer d'oliviers, en Andalousie !

    Marc lance : « C’est amusant comme deux maisons identiques peuvent être différentes, une fois décorées et agencées ! ». La conversation tourne autour de ce thème tandis que nous dégustons tapas et sangria.

    Un silence se fait et c'est Annie qui enchaîne « Tiens Loré, tu as acheté la paire de chaussures que tu m'avais montrée sur le Web ? ». Très surprise, je lui réponds, « Euh, oui, Mada... Oh, pardon, Annie ! Je les ai reçues hier, tu veux les voir ? ». « Bien, sur, tu sais comme je suis curieuse Loré ! Excusez-nous, Messieurs, des histoires de filles nous attendent ! Nous revenons tout de suite ! ».

    Nous nous levons et elle me conduit directement dans notre chambre à coucher : « Fais attention, grosse connasse, tu as failli m’appeler Madame, tiens voilà les chaussures que j’ai portées toute la journée, renifle bien mon odeur de pieds, avant de nettoyer mes semelles avec ta langue de gaffeuse, et je ne tolérerai aucune autre erreur de toute la soirée ! ».

    Je sens l’intérieur de ses beaux escarpins rouges, l’odeur est, en effet, assez forte. Elle semble énervée, et de son pied gainé de bas, elle me pousse le nez vers l'intérieur d'un escarpin : « Salope et veule comme tu l'es, tu ne peux qu’aimer cette odeur de pieds, vas y, respire profondément pour bien apprécier ce parfum spécial truie en chaleur ! ».

    Elle me regarde faire, et glisse sa main droite sous sa robe, pour se toucher le bas-ventre sans salir sa robe. Elle se masturbe, visiblement avec envie avant de me dire : « Assez de te droguer avec mon parfum envoûtant de pieds sales, à présent, langue bien sortie, fais ton job et lèche bien mes semelles jusqu'à ce qu'elles soient impeccables ! ».

    Le nez rempli de cette odeur abjecte, mais si humiliante, je lèche avec soin ses deux semelles, heureusement pas trop salies par leur court trajet. De deux coups de ses pieds en bas, elle les fait sauter de mes mains en me disant : « Ça suffit : tu prends trop de plaisir, tu risques de jouir, on retourne au salon, sans que tu ne te rinces la bouche ! ».

    Marc nous demande : « Alors ces nouvelles chaussures ? ». « J'ai adoré leur odeur de cuir neuf, et beaucoup aimé les semelles, je crois que je vais acheter les mêmes, mon Chéri ! ». Je me concentre pour ne pas avoir de réaction. Marc continue : « Ah, donc, pas la peine de demander à les voir, je les découvrirai bientôt à tes pieds ma Chérie ! ».

    Vincent nous signale qu'il a préparé tous les ingrédients et qu'il va les, disposer définitivement dans le plat pour la cuisson. Il nous propose de le regarder faire, car c'est une cérémonie traditionnelle qui permet, entre autre, de découvrir, au passage tous les ingrédients qui composent ce plat aussi complet que complexe !

    Verres en main, nous nous rapprochons de la cheminée et le regardons faire, c'est un beau spectacle surtout quand Vincent sort d'un grand plat allongé et protégé par une serviette, les langoustes et les crevettes royales, pour nous les montrer avant de les remporter dans la cuisine, où elles cuiront séparément dans une poissonnière spéciale, dans une sauce préparée secrètement en cuisine, pendant que nous prenions l'apéritif !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 21h00

    Quand il revient de la cuisine, tout le monde est d’accord pour passer à table. Elle est rectangulaire et assez longue. Je l'ai dressée en mettant deux places face à face séparée d'environ trente centimètres de chaque côté du centre de la table.

    Mon idée était de laisser le très beau bouquet espagnol vers le fond de la table et symétriquement de garder l'autre côté libre pour y poser le plat à paella pour nous servir. Ce qui nous offre une table très confortable, sans que nous soyons ni trop séparés, ni entassés.

    « J'ai prévu de séparer nos deux couples : Annie et Yves d'un côté et Marc et moi de l'autre, avec comme vis à vis, soit nos maris, soit la femme de l'autre, c'est à vous de choisir ! ». Annie nous met de suite d'accord : « Je vois tous les jours mon mari, je préfère donc voir le sourire de Loré en face de moi ! ». Marc annonce un sentencieux ce que femme veut et nos places sont donc désignées : je suis face à Annie et j'ai Marc à côté de moi !

    Vincent nous explique que les entrées sont des tapas améliorées, donc, plus grosses que de simples bouchées, servies tièdes et cuisinées chez José avec autant d'attention que dans un trois étoiles Michelin ! Mais, il nous met en garde :

    « Attention, Mesdames et Messieurs, vous avez vu le plat unique qu'il y a après ces entrées ! Alors sachez garder des réserves ! Pour vous aider, j'ai l'habitude de proposer une pause sorbet et liqueur qui n'a rien à voir avec l'Espagne, puisque c'est plutôt un trou normand, après les entrées, pour que vous ayez le temps de récupérer votre appétit ! Si vous laissez dix grains de riz, c'est dommage, mais si vous laissez une langouste ou une crevette royale, c'est un crime de lèse paella ! ».

    Nous applaudissons sa diatribe et approuvons tous la pause sorbet et liqueur à laquelle nous rajoutons et quelques cigarettes ! A l'unanimité, nous décidons de continuer à la sangria, et Vincent s'apprête à commencer à nous servir, mais je lui propose : « Vincent, si tu as besoin d'un coup de main, Annie et moi sommes à ta disposition ! ». Annie, toujours coquine me reprend : « Oui, à ta disposition, mais bien sur, uniquement pour un coup de main ! ».

    Tout le monde comprend l'allusion Q, et nous éclatons de rire. Annie se fait moquer par Marc : « Ma Chérie, tu as toujours l'esprit mal tourné, je suis tombé sur la seule femme de la planète à penser comme toi ! ». Yves rit un peu plus fort, en lui affirmant, qu'en s'asseyant, il va avoir la deuxième en face de lui ! ».

    Nous explosons de rire, sauf Vincent qui ne sait plus où se mettre, d'abord tutoyé par la Maîtresse de maison et ensuite confronté à des affirmations, qu'il n'était pas censé entendre ! Mais il articule tout de même : « Oui, je veux bien, Madame, mon service sera plus fluide, surtout que je dois programmer la paella pour plus tard que prévu, merci d'avance, Mesdames ! ».

    Annie le gronde, en faisant semblant d'être colère : « Alors, tu ne nous aurais rien demandé ? Il faut que tu saches qu'ici, la patronne c'est Loréna, Yves n'a rien à voir, à part pour payer la facture, bien sur ! ».

    Quand les éclats de rire s'achèvent, elle continue : « Elle m'a appris que tu n'avais pas voulu t'asseoir avec nous, car José désapprouve, eh bien sachez Monsieur Vincent, que quand tu seras invité chez nous, tu mangeras avec nous, je te laisserai faire ton job en cuisine, et nous nous occuperons tous les deux du service, mais pas de la vaisselle ! Car je déteste ça et j'ai deux lave-vaisselles, pour être sure de ne jamais tomber en panne ! ».

    Annie nous fait un véritable sketch, et, est très applaudie. Vincent, qui a bien compris que nous adorions plaisanter et mettre les autres gentiment en boite, se mêle de bon cœur à nos rires ! « J'ai rarement eu des clients aussi sympas que vous, quelle belle soirée vous me faites passer ! ».

    Vincent s'exile dans sa cuisine et nous le rejoignons. Mais, en chemin, Annie s'approche de moi, et me murmure à l'oreille : « Ta gueule pue des pieds, lave toi un peu le visage et la bouche pouffiasse ».

    Je m’exécute et quand je me redresse devant l'évier, pour m’essuyer, elle me montre l'écran de son mobile, qu'elle sort d'une poche que je n'avais pas remarquée : « Tiens, regarde-toi » : elle fait défiler les six photos : je me vois, tétons maquillés, comme des nez de clowns, puis lui offrant mes seins avec un sourire niais, qui ne me met pas du tout en valeur et enfin, la phrase écrite sur mon ventre : je suis la putain d'Annie. Elle rit : « Tu n’oublieras pas de te démaquiller ce soir avant de te faire enfiler ! Il vaut mieux pour toi ! ».

    Je suis morte de honte. Mais on se concentre sur Vincent pour lequel nous sommes là ! Annie prend les premiers plats qu'il lui montre et je la suis avec ceux qu'il me confie, en mettant ma rougeur sur le compte de la chaleur de la cuisine ou mes trois fours fonctionnent.

    Le repas est très plaisant, les hommes s’entendent bien, Vincent est un très bon vivant, dès qu'il a quitté de sa tête, son uniforme de service, et, la complicité qui existe entre Annie et moi est bien visible.

    De temps en temps, elle pose un talon sur l’intérieur de mes cuisses pour s’assurer qu'elles restent bien écartées. La nappe nous cache et Marc qui est assis à côté de moi ne se rend compte de rien. A chaque changement de plats, nous nous levons toutes les deux sans qu’Annie n’aie besoin de me demander quoi que ce soit.

    Les rires et les plaisanteries fusent car les pichets de sangria défilent régulièrement. Quand je regardais Vincent la préparer, j'ai failli lui demander : « Pourquoi tant de sangria, nous ne sommes que quatre ? ». Et, là, je suis contente de ne pas avoir posé cette question ridicule, ma seule inquiétude est de ne plus en avoir quand la paella sera là !

    Tout le monde profite de ce qu’il n’y a pas à conduire pour rentrer à la maison pour boire sans contrôle, ce qui de temps en temps ne fait pas de mal !

    Vincent intervient : « Bien, nous arrivons à ce que nous allons appeler entre nous, le trou andalou si ça vous convient ? ». Annie s'agite et lève fiévreusement le doigt : « M'sieur, M'sieur, M'sieur ! Pourquoi le trou n'est pas au féminin ? ». Marc, écœuré, se lève et se dirige vers la porte en disant : « Bon je me casse, je vous laisse mon clown de service ! ».

    Nous rions aux larmes ! Vincent rectifie et propose « Non, plutôt la pause espagnole qui me semble mieux adaptée ! » Mais Annie ne le lâche pas : « M'sieur, M'sieur, M'sieur ! On peut s'adapter à n'importe quel trou vous savez, mais pas à une pause ! » Ce coup ci Vincent quitte la salle, il est rouge écrevisse et ne sait plus quoi dire !

    Sacrée Annie quand elle a trop bu, elle est vraiment intenable ! Yves essaie de sauver Vincent en nous disant : « Bon, je suppose que Vincent voulait nous dire que si nous passions au salon, il allait nous servir des sorbets au choix et à volonté ainsi que son meilleur Cognac XO, il y a aussi des cigarettes et des cigares et un grand panneau : « Ici il est permis de fumer, le cancer tue, mais il faut bien mourir de quelque chose ! »

    Nous rions tous en nous installant dans le salon.Je vais voir Vincent en lui demandant s'il veut que je l'aide ? « Merci, Madame Loréna, mais je n'ai pas besoin d'aide, je mets les riz dans la paella dans dix minutes, elle va cuire vingt minutes et se reposer dix autres minutes, ce qui veut dire que vous pourrez la déguster à partir de 22h45, et là, je n'ai rien à faire sinon, ranger mon matériel et congeler ce qui n'a pas été consommé en vous mettant un titre pour que vous sachiez ce que c'est, donc profitez de la pause et de vos invités, Madame Loré ! ».

    Je ne peux m'empêcher de lui faire un gros bisou et je le remercie en lui disant « Vous êtes trop chou, Vincent, je vous adore ! »

    Samedi 21 Janvier 2017 - 22h00

    Vincent vient nous annoncer que nous pourrons déguster la paella vers 22h45, en attendant, il nous annonce six parfums différents de sorbets, dont du sorbet au melon que je ne connaissais même pas, Annie demande bizarrement, et visiblement sans humour, s'il n'en a pas à la carotte, il répond que ça existe, mais que José ne l'a pas sélectionné !

    Pour ma part je demande du melon et du citron vert pour commencer et Annie de la figue et de la mangue fraîche et me dit : « Loré, tu me prêtes ta salle de bains ? J'ai sérieusement besoin de faire partir quelques vapeurs d'alcool en m'aspergeant le visage ! ». Je ris et lui réponds : « J'aurai trop peur que tu te noies dans le lavabo, je viens avec toi ! Peut être que ça me fera du bien aussi, sans toutefois être d'une nécessité absolue ! ». Des cris et des « Bouh, la menteuse fusent dans la pièce », m'obligeant à partir en courant me réfugier dans la salle de bains !

    Je ne ferme pas la porte et Annie m'y rejoint en venant de la cuisine, avec une boîte hermétique verte dans la main. Je lui demande si Vincent n'a pas besoin d'aide, elle m'assure que non, qu'il gère tout très bien, et elle me dit : « Je suis passée par la cuisine, car j'avais mis au frigo un petit cadeau tout simple pour toi, oh ! Ne me remercie pas c'est vraiment peu de chose ! ».

    Je suis un peu étonnée, mais je la remercie d'avance. Elle me dit de l'ouvrir, ce que je fais de suite ! Je suis surprise d’y trouver une carotte d’une bonne taille, sans fanes et soigneusement épluchée avec, à côté, un des préservatifs parfumés que j'avais achetés avec son argent, dans la pharmacie de village !

    « C’est pour ton petit cul ma chérie. Je n'aime pas qu'il soit vide trop longtemps, quand je suis avec toi, tu vas mettre la capote sur cette carotte, me donner son parfum après l'avoir pompée nue et à genoux comme chaque fois que tu fais une pipe ! Puis, tu t'enculeras, à sec, devant moi. Tu remettras ton tanga et je te donnerai une protection pour ne rien tâcher en t'asseyant ».

    « Et nous retournerons toutes les deux, comme deux jeunes filles sages, au salon pour continuer la fête, je te réserve une surprise, mais si je te dis ce que c'est, ce ne sera plus une surprise ! Alors, au travail, ma web-cam et moi nous te regardons très attentivement ! ».

    Horriblement humiliée de faire tout ça à quatre ou cinq mètres d'Yves, je pose la boîte sur la commode, j'enlève mes escarpins, mes bas dim-up, ma robe grise, je sors la chaîne et l'alliance du bonnet dans lequel elles étaient cachées, je la mets au cou et libère mes nichons du soutien-gorge.

    Debout, et à poil, je déchire l'emballage du préservatif, le positionne roulé sur le bout le plus fin de la carotte et en descendant la main, je le déroule jusqu'en bas, à l'odeur, je sens que c'est de la vanille, mais, pour bien obéir, je m'agenouille, cuisses ouvertes, tête levée et je pompe la carotte une vingtaine de fois avant de la ressortir pour lui dire :

    « C'est un parfum à la vanille, Madame ». « Bien, il te faudra chercher sur le web des capotes à la carotte et en acheter une trentaine de grosses boîtes, dorénavant ce sera ton parfum et ta signature de prostituée ! La pute, aux capotes parfumées à la carotte ! Ça t'ira très bien ! ».

    Carotte dans la main droite, je m’accroupis mais Annie me dit d’une voix douce : « Non penchée sur le lavabo : encule toi devant moi ». Je prends appui avec ma main gauche sur le lavabo, écarte un peu les pieds et passe ma main droite derrière moi. Annie me regarde tâtonner pour humidifier mon anus avec le peu de produit lubrifiant déposé sur le latex et insérer lentement les premiers centimètres de la carotte en moi.

    La petitesse de ce bout et le préservatif l’aide à entrer et elle disparaît rapidement de moitié dans mes fesses, mais le reste est plus dur, car elle s'évase de plus en plus et mon trou n'est pas assez lubrifié.

    Elle s'impatiente : « Tu veux que je t'aide à t'enculer à fond ma salope ? ». Comprenant que je n'ai pas le choix, je force le plus possible et les derniers centimètres rentrent difficilement. Pour le moment, et, sans bouger, le gros bout de la carotte me sert de bouchon, mais qu'adviendra-t-il quand je vais devoir me déplacer, m'asseoir ou me pencher ?

    Annie m'ordonne de me rhabiller, très gênée par l'intruse, je remets mes bas et mes escarpins. Elle sort mon tanga du tiroir de la commode et quand je l'ai enfilé, elle prend un grand mouchoir en tissu en me conseillant de le glisser entre le bout de la carotte et mon tanga pour éviter de tout tâcher ! Je finis en remettant son alliance dans un bonnet de mon soutien-gorge, que je remets en place, tout en ressortant mes tétons maquillés.

    J'enfile ma robe par la tête, je dénude mon épaule gauche, Annie semble contente de moi et me dit : « Très bien, va t’asseoir et dis leur que j'arrive, je passe par la cuisine pour apporter quelque chose ! ».

    En essayant d’être la plus naturelle possible, je vais m’asseoir en disant d’une voix rauque : « Annie m’a chassée de la cuisine, elle arrive ! ». 

    Samedi 21 Janvier 2017 - 22h20

    Nous profitons bien de la fin de la pause, toutes deux requinquées par ce passage dans la salle de bains. Les sorbets sont délicieux, je préfère refuser l'excellent cognac que me propose Yves, Annie, elle se laisse tenter !

    Et je dis : « Je vais sûrement passer pour une anarchiste, mais j'ai envie d'un double expresso pour expurger tout l'alcool que j'ai encore dans le sang, lutter contre la fatigue et bien profiter de cette somptueuse paella si bien préparée par Vincent ! Est-ce qu'il y d'autres anars pour me suivre ? ». A ma grande surprise, quatre mains se lèvent, tout le monde en avait envie sans oser le demander !

    Je vais vers la cuisine, mais Vincent a déjà préparé le plateau avec les tasses, le pot de lait, les cuillères, le sucre et est en train de mettre des doses dans la Nespresso que nous avons !

    Je le remercie encore, il me sourit en se penchant pour me dire doucement : « Attention, Madame Loréna, en vous rhabillant, vous vous êtes trompée d'épaule, c'est la droite qui était nue, et là, voyez par vous même !».

    Pour une fois, je rougis vraiment comme une tomate mais pas devant Yves ou Annie, mais devant un parfait inconnu qui me prend complètement à contre-pied ! Pourquoi me déshabiller dans la salle de bain en présence d'Annie ? Oups, dur à expliquer, je me sens mal !

    Je le remercie mais décide de ne pas rectifier l'erreur, qui, à présent risquerait d'être trop évidente et injustifiée, il me faudra glisser dans la conversation que l'eau froide sur la gorge et les épaules m'ont fait le plus grand bien !

    Je rejoins ma place en arrivant à ne pas marcher comme un canard, Vincent me suit de près avec le plateau et repart pour la cuisine chercher la cafetière, nous nous régalons en fumant beaucoup pour certains et en reprenant des cognacs pour d'autres, et Vincent, vient nous rappeler que l'heure de la paella a sonné ! Il est 22h45 !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 22h45

    Que dire de cette paella ? Je ne vais pas tout raconter en détail, il me faudrait un livre entier !

    Disons que pour les néophytes comme Annie et Marc, ce fut une vraie découverte : des produits, des épices, de la véritable cérémonie dans la préparation et des saveurs nouvelles comme les langoustes cuites à la façon mystérieuse, ou les crevettes royales ! Bref, un plaisir intense et inédit qu'ils n'attendaient pas du tout.

    Une comparaison ? Ils avaient gagné une semaine aux Baléares : Oui, bof ! Dommage on ne parle pas l'allemand ! Mais, dans un palace cinq étoiles ! Ah, ça oui, avec plaisir !

    Et pour les habitués comme Yves ou moi ? Pfffffffffff, que dire ? La meilleure paella de notre vie ? J'espère qu'il en reste beaucoup ? Qu'est-ce qu'il y a après trois étoiles au Michelin ?

    Voilà, ce n'est qu'un résumé, mais vous savez comment a été accueilli ce plat qu'il faut savoir faire ou changer ses plans et aller bouffer chez Mac Do !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 23h45

    Une heure après, aucun de nous ne peut manger un grain de riz de plus. Mais Vincent est content, car nous avons réussi à manger quasiment la moitié du plat, et, surtout, les grosses pièces qui lui donnaient ce goût, cette saveur et cette originalité.

    Après avoir félicité Vincent qui, à mon avis, devrait s'attendre à un très gros pourboire de la part de nos deux couples, nous retournons au salon, non pas pour un dernier verre de sangria ! Car, il n'y en a plus ! Mais, heureusement, Vincent a prévu dans un autre conteneur six bouteilles de Cava.

    Il vient au salon avec quatre flûtes et une bouteille de ce champagne espagnol et, très diplomate, il nous annonce qu'après les heures sangria, nous entamions les heures Cava, plutôt que de dire bêtement que nous étions en rupture de sangria !

    Je lui fais un clin d’œil complice, sans remarquer qu'il n'a pas échappé à Annie ! Yves se lève et vient me dire quelque chose à l'oreille, je me lève en approuvant et je reviens du bar avec une cinquième coupe de champagne qu'Yves remplit. Il me demande si je veux aller le chercher. J'approuve et je file en cuisine pour dire à Vincent qu'Yves veut lui parler.

    Il est en train de ranger ses accessoires de cuisine, mais, il prend le temps d'ôter son tablier pour le suivre. Yves lui sourit, lui désigne un fauteuil et lui tend sa coupe, il ne peut pas ne pas la prendre et nous levons nos coupes et trinquons à la santé d'un futur grand chef étoilé, catégorie paella ! Yves s'inquiète de savoir s'il a mangé, et Vincent le rassure, son boss prévoit toujours une petite mallette pour les extras avec des tas de bonnes choses à manger et à boire !

    Yves lui propose un cigare, mais, non, il ne fume pas ! Il remarque que notre bouteille de Cava est terminée et en rapporte tout de suite une de la cuisine, et me dit à l'oreille : « Madame Loréna, il ne reste que deux Cava dans le conteneur, je suis inquiet ! ». Je le rassure en lui disant qu'Yves va bientôt mettre fin à la soirée, nous avons tous trop bu, et il ne veut pas que ça dégénère !

    Il retourne finir sa coupe et s'excuse d'avoir du travail de rangement à faire dans la cuisine et nous quitte.

    Annie me dit d'une voix quelque peu avinée, « Ma chérie, j'ai besoin d'eau froide, tu viens me tenir la main ? Je ne me sens pas très bien ! ».

    Yves et moi rions, pensant qu'Annie recommence un sketch, mais Marc nous dit qu'elle est sérieuse ! « Elle a bu comme jamais je ne l'ai vu boire ! En plus cette sangria est traîtresse, on a le goût du sucre, mais derrière, il y a un paquet d'alcool, car d'habitude on y met de la limonade mais là c'est du champagne de 12 ou 13°. Il est visiblement inquiet, je le rassure en lui disant que je vais m'occuper d'elle, et que, s'il le fallait, ils pouvaient dormir dans notre chambre d'amis sans aucun souci.

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 00h15

    Annie s'appuie sur moi, et nous marchons doucement vers la salle de bains que je referme, sans toutefois la verrouiller.

    Mais la comédienne qui somnolait en elle se réveille d'un seul coup avec un : « A poil enculée ». L’ordre claque sèchement ! « Mais, Annie, il était si simple de me demander de venir avec toi ? ». « Peut-être, mais quand je suis saoule, j'aime bien m'amuser au dépend des autres ! Nous perdons du temps : pourquoi n'es-tu pas à poil avec ma chaîne autour de ton cou de salope vicieuse ? ».

    Sans répondre, je me déshabille entièrement, comme je l'ai fait, ici même, il y a quelques heures, mais, de son côté, elle enlève sa culotte et me la met sous le nez : « Tu vois les dégâts que tu as fais ? Sens-la bien, renifle la, avec ta truffe de chienne de chasse en chaleur ! ».

    Elle agite sa culotte sous mon nez, m‘obligeant à sentir sa forte odeur de cyprine de femme excitée. Elle roule sa robe à la taille et s’appuie face au mur, cuisses écartées : « Lèche mon trou du cul sale pute et fais bien entrer ta langue ». Par derrière, je m‘applique à la satisfaire, elle se tortille, gémit et semble contente du travail de ma langue.

    Elle se retourne et m’offre sa chatte que je lèche avec la même envie : elle est si excitée qu’elle jouit très vite en pressant sa chatte sur mon visage comme si elle voulait m'empêcher de respirer !

    Brusquement, elle abandonne son rôle de femme avinée, et, sans un regard pour moi, elle enjambe le bidet et se lave la chatte. C’est la première fois que je la vois faire quelque chose d'aussi intime devant moi, ce qui a tendance à me prouver qu'elle n'est pas tout à fait dans son état normal ! J'ai un peu peur de ce qu'elle est capable de faire quand elle n'est pas elle même ! Et si elle devenait sado ?

    Elle infirme cette supposition en me disant : « Démaquille toi les bouts de mamelles et le ventre ». Tout en se lavant, elle me regarde faire. Pour pouvoir tout effacer, je dois lui tourner un moment le dos, elle constate : « Tu sais qu’on voit très bien la carotte qui dépasse de ton petit trou du cul ? Finalement tu l'as bien supportée ? ».

    Tout en me nettoyant les tétons, je lui confirme que la carotte m'a beaucoup gênée, surtout pour marcher normalement, mais surtout humiliée, car nous étions deux à savoir ce qui remplissait mon cul !

    Elle se lève du bidet, se sèche avec une serviette que je lui tends, enfile une de mes culottes que je lui prête, et elle veut voir mon ventre, pour être sure que je suis bien démaquillée : je lui fais face, les mots sont bien partis.

    En souriant, elle me dit : « Je suppose qu'avec tout ce que tu as bu, ma catin lubrique, tu as une vessie bien pleine ? ». « Oh, oui, Madame, vous ne m'auriez pas amenée ici que j'y serai venue seule ! ».

    En souriant, elle m’ordonne de m'asseoir sur les wcs pour pisser, sans me parler du sort du légume. Ce que je fais avec plaisir car j’en avais très envie. Je dois ensuite venir me laver la chatte, devant elle, sur le bidet, me sécher et me rhabiller, en remettant la culotte qu’elle me tend, toujours sans me parler de la carotte que je garde donc dans les fesses, un peu déconfite !

    Un peu d’eau, un coup de peigne, un raccord de maquillage et nous rejoignons les hommes au salon : ils sont devenus très copains et rient de tout et de rien, visiblement bien alcoolisés ! Sans trop s'occuper de nous !

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 00h45

    Annie en profite et m'attire dans un coin du hall pour me dire à voix basse : « Tu te demandais tout à l'heure ce que j'étais capable de faire quand je n'étais pas vraiment moi même, en l’occurrence, un peu saoule, n'est-ce-pas ma Chérie ? ». « Euh, je dois reconnaître que oui, Madame, mais sans peur, je vous sais sure de vos décisions ! ».

    « Peut-être que tu te trompes un peu sur ta Maîtresse, ma belle prostituée de luxe ! Sais-tu quel fantasme, plus cérébral que physique ou sexuel, je vais nous offrir à toi et à moi cette nuit ? ». « Je n'en ai aucune idée, Madame ! Je ne vous connais pas assez, surtout dans le domaine de votre cérébralité, mais je suis sure que vous êtes capable de tout, sauf de me nuire. J'en prends pour preuve votre réaction vis à vis de Tom, devant ma mise en ligne visage dé-flouté, contrairement à vos ordres ! ».

    « Oui, c'est un bon exemple, mais si la personne intervenant dans mon fantasme ne peut jamais l'avouer, je ne me ferais aucun souci ! ». « C'est ce que je vous ai dit : Madame, vous êtes capable de tout, sauf de me nuire ». « C'est vrai et ce sera toujours vrai ! ».

    « Voilà, ce que je te propose : puisque nos hommes sont occupés à rêver, je vais te donner les grandes lignes du fantasme que j'ai en tête et je compte sur toi pour le développer le plus vicieusement possible, entendu, ma Chérie ? ». « Je ferai au mieux, Madame, mais pour le moment je ne comprends pas tout ! ».

    Voyant que les hommes ne s'occupaient absolument plus de nous, Annie me dit : « Tu vas vite comprendre, petite pute, je vais te poser des questions auxquelles tu vas me répondre instantanément : donc sans une once de réflexion ! Ou de euh ! Ou de : deux secondes, Madame, je réfléchis ! Compris ma pouffiasse ? ». « Oui, Madame, c'est très clair ».

    « Bien, concentre toi bien, tu n'as droit qu'à une réponse ! ».

    « Qu'as-tu dans le cul ? ». «  Une carotte, Madame ».

    « Depuis combien de temps ? ». « Environ 3h, Madame ».

    « Qui es au courant ? ». « Vous et moi, Madame ».

    « Penses-tu que Vincent est attiré par toi ? ». «  Oui, Madame ».

    « Est ce qu'Yves connaît ta réponse ? ». « Oui, Madame ».

    « En avez-vous parlé ? ». « Oui, Madame ».

    « Si oui, un résumé de cette discussion ? ». « Je lui ai proposé qu'au lieu de me faire sauter en cachette, il me prête à lui et soit voyeur ou actif ».

    « Je dois annoncer à un des trois hommes présents que tu t'es enculée devant moi avec une carotte et, ce, pour m'obéir. A qui préfères-tu que je le dise ? ». « A Yves, Madame ».

    « Donne moi, selon ton excitation et tes envies, quelques développements de ce fantasme ! ».

    « Première idée : insister auprès d'Yves pour qu'il me prête à Vincent dès que vous serez partis, et demander à Yves de nous filmer ».

    « Deuxième idée : même début, mais vous vous arrangez pour que Marc dorme vite, et revenez chez nous quand Vincent aura terminé son rangement et demandez à Yves de vous laisser filmer Vincent en train de me niquer ».

    « Troisième idée : même début, Vincent me baise et Yves vous saute ».

    « Quatrième idée : partouze à quatre ».

    « Cinquième idée : vous me partouzez tous les trois ».

    « Sixième idée : vous vous arrangez pour discuter en tête à tête avec Vincent pour mieux connaître ce qu'il aime dans le cul. C'est un baiseur ? Un dominant ? Un dominé ? Un échangiste ? Et en fonction de sa réponse, je vous rejoins chez vous, pour qu'il me baise, soit comme un coup facile, soit comme votre soumise, soit comme la soumise d'un couple si vous apprenez qu'il est dominant, mais j'en serais très étonnée ».

    « Voilà, Madame, ce que ma cérébralité et mes envies me dictent, je dois vous avouer que j'ai rarement été aussi excitée que maintenant, et comme ça fait plus de deux heures que je n'ai presque plus rien bu, à part du café fort, je suis très lucide, et prête à accepter toutes vos suggestions, des moments d'excitation aussi intenses sont rares dans la vie ! Il faut en profiter ! Et je compte pas le laisser passer ! ».

    « Compte sur moi pour te calmer salope ! ». Je lui souris sans répondre, en temps normal, j'aurais rougi !

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 01h20

    « J'ai pris ma décision, ma pouff, dans un premier temps, tu vas t'occuper de nos hommes, de façon à ce que j'ai ma liberté totale de mouvements, car, moi non plus je ne suis pas saoule ma Chérie ! Je tiens très bien l'alcool, et dans tous les cas mieux que Marc et toi ! Allez, vas-y, tu n'as qu'à leur dire que je suis allée me doucher et me refaire une santé et veiller à ce qu'ils ne bougent pas du salon, même si tu dois leur montrer ton cul carotté ! ».

    Sans en être totalement sure, je crois comprendre qu'elle a opté pour l'option interview de Vincent, ce qui ne m'étonne pas, car c'est, en effet la plus vicieuse, mais je ne sais pas comment faire pour savoir si elle va sur l'ordinateur de mon bureau, ou téléphoner à quelqu'un ou interviewer Vincent ou réellement se doucher car elle est crevée !

    Me sentant un peu impuissante, je m'approche d'Yves et suis surprise de ne pas voir Marc. « Qu'est-ce que tu as fait de ton copain, mon Chéri ? ». « Il n'allait pas bien, il a préféré aller chez lui pour se doucher, se changer et se reposer un peu, il nous appellera dans une vingtaine de minutes pour nous dire s'il revient ou s'il va se coucher, je crois que c'était la bonne solution ! ». « Oui, pour lui éviter le comas éthylique, en effet ! ». « Et toi, tu as noyé ta copine ? ». « Non, elle est allée dans la salle de bains, je crois qu'elle se douche elle aussi et qu'elle va cuver un peu, mais elle est solide, elle, elle reviendra, c'est sur ! ».

    « Tu sais, amour, je suis très content que nous ayons des voisins aussi agréables, je suis persuadé que nous allons devenir très amis, je vois que tu t’entends déjà très bien avec Annie ! ». « Oui c’est vrai, elle est charmante, naturelle et j’adore son caractère enjoué ! ».

    « Tu savais que Marc était un peu coquinou ? ». « Ah non, à part ses compliments un peu appuyés sur ma tenue, je ne m’en suis pas rendue compte ! ». Yves rit : « Non il ne s’agit pas que de ça, je l'ai pris comme un simple compliment galant ! Mais quand vous êtes allées toutes les deux vous rafraîchir, il a tâté le terrain pour que la soirée se finisse d’une manière coquine ! ». « Oh, il t’a proposé une partouze, à la première rencontre ? Il est gonflé ! ».

    Il rit ! « Non, pas si osé, mais presque : il m’a fait comprendre avec de longues phrases et des mots soigneusement choisis, que la soirée se prêtait tout à fait à un strip poker ! ».

    « Eh bien ! Je l'ai jugé un peu dragueur, car très sur de son physique canon ! Mais pas obsédé du cul au point de vouloir me voir à poil dès le premier soir de notre rencontre ! Et Annie ne m’a pas du tout parlé de cet aspect de sa libido, elle m'a simplement dit qu'il était très jaloux ! Visiblement elle ne peut pas faire ce qu'il s'accorde ! Pas très beau ça ! Et, à propos, que lui as tu répondu ? ».

    « Que je ne faisais jamais rien sans avoir ton accord et sans t’en parler avant ! ». « Quel salaud ! Autrement dit : tu me refiles le bébé et si je refuse : je suis une empêcheuse de tourner en rond, une rabat joie, une vieille moraliste coincée, une jalouse convulsive, une connasse incontrôlable ! Sympa, comme mari ! Je crois que, cette nuit, tu vas te taper une branlette sur le canapé, au lieu de te taper ta femme ! Espèce de lâche ! ».

    Yves rit en nous resservant deux coupes de Cava ! Je refuse de la boire et lui conseille de ne pas toucher la sienne !

    Sa réponse m'effraie un peu : « Tu sais ma Loré, si je dois dormir sur le canapé, ce n'est pas bien grave ! Ce n'est pas ce soir que je vais t'engrosser, je crois qu'entre, bander et boire, je n'ai pas fait le bon choix, et même si tu m'offrais Annie, à poil, je la regarderais, en la remerciant d'être venue, avant de m'endormir comme un soldat de plomb ! ».

    « Tu es un lâche, un salaud et un sans couille ! Et moi je fais quoi avec ma chatte trempée et mes nichons qui percent ma robe ? Je me branle comme une ado ? Je prends la voiture et je vais faire le tapin ? J'invite Annie à me gouiner ? Ou je vais partouzer chez eux ? Tu es un sale traître ! Un lâcheur ! Et je suis vraiment fâché contre toi ! ».

    « Amour, je t'en prie, aide moi à me coucher, j'ai besoin de dormir des jours et des jours, quoique tu fasses ce soir, tu es pardonnée par avance, tout sera de ma faute, accompagne moi au lit, j'ai peur de tomber ! ».

    « Yves, c'est la première et la dernière fois que je te ramasse ivre mort sur ce canapé, je peux te jurer qu'il n'y aura pas de deuxième fois ! Allez, bouge tes fesses je vais te mettre au lit, te border et te laisser dormir jusqu'au décollage de ton putain d'avion de merde ! ».

    Je ne sais pas s'il a tout compris, ou tout entendu, mais sa réaction est égale à zéro : il tente de se lever sans y arriver, je dois l'empoigner sous le bras et quasiment le traîner jusqu'à notre chambre, mettre un bon quart d'heure pour le déshabiller et le recouvrir d'un bout de drap avant de jouer avec sa bite qui ressemble à un gros clitoris dégonflé ! Quelle déception, il me faut maintenant jouer à 100% la carte d'Annie, si je veux avoir ces deux ou trois tsunamis qui grouillent comme des vers solitaires en moi !

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 02h00

    Le téléphone fixe de la maison sonne, je décroche en disant :

    « Bonsoir Marc, tu es en forme ? Je viens de border Yves, carrément ivre mort ! Alors que décides-tu ? ». « Je suis désolé, Loré, mais je suis au lit, et je vais dormir, dis à Annie que je ne l'attends pas, je suis vraiment trop bourré, excuse moi de faire dérailler la fin de ta belle soirée, bonne nuit, Loré et encore bravo pour cette super fête ! ». Et il raccroche ou, plutôt, il laisse retomber son téléphone sur sa base !

    Je me retrouve seule, je suis obligée d'attendre Annie, je ne voudrais pas mettre Madame en colère en la cherchant et en la trouvant là où il ne fallait pas, je décide de lui transmettre des infos en passant par Vincent, un risque à prendre !

    J'ai enregistré le 06 de Vincent sur mon portable, je l'appelle, il répond au bout de trois sonneries : « Vincent, bonsoir, c'est Loréna, je t'appelle pour te dire que Marc est allé se coucher chez lui et que j'ai mis Yves au lit, dans notre chambre : ils dorment tous les deux comme des bébés. Annie est allée se doucher et se reposer dans ma salle de bains, et j'ai vraiment besoin de deux ou trois doubles expressos, tu peux m'arranger ça, pendant ce temps, je vais me doucher, je te remercie, Vincent, bons rangements et ne t'occupe surtout pas de ma vaisselle ! ».

    Il n'a pratiquement pas parlé, mais l'écho spécifique d'un portable en mains libres m'a indiqué qu'il était sur haut parleur, donc les mains occupées ou avec Annie !

    Je ne veux pas attendre seule au salon, je décide donc d'aller prendre réellement une douche et en plus écossaise qui me dessoûlera à coup sur ! Je vais dans ma salle de bains et comme d'habitude, je ne verrouille pas la porte, en sachant qu'en dehors de Vincent dont je ne peux pas connaître la position sans Annie, il n'y a qu'elle qui soit encore opérationnelle et susceptible de venir me faire un petit coucou en passant !

    Je décide donc de conserver la carotte dans le cul, en sachant qu'en discutant et en me battant avec Yves pour le coucher, je l'avais complètement oubliée ! Je me déshabille, commence par une douche très chaude et peu à peu je tourne le bouton vers le froid, jusqu'à arriver à de l'eau froide, sans être glacée, tout en hésitant longuement avant de me glisser sous le jet. Mais en me forçant, et en alternant le chaud et le froid, mon corps s'habitue et je souris même de voir mes bouts de seins bander et débander en fonction de la température de l'eau !

    Je me sens mieux, comme neuve, et j'espère, qu'entre temps, Vincent aura eu le temps de me préparer une grosse cafetière d'expressos qui finiront de me dessoûler, de me rendre ma vigueur et surtout mes désirs plus ou moins avouables et la force de les satisfaire !

    Après m'être séchée, je décide de me rhabiller, plutôt que de m'offrir directement nue sous un peignoir : Annie savait que j'étais sous la douche et pendant le temps que j'ai passé dans la salle de bains, elle a eu largement l'occasion de m'y rejoindre et je ne suis pas loin de penser qu'en définitive, elle a choisi une autre proposition qui n'était pas dans mes développements de son fantasme : celle de garder Vincent pour elle et de se le taper, peut être avant de m'offrir à lui, mais tout en ayant la primeur de sa bite et du goût de son foutre !

    Je me rhabille, et ma carotte et moi allons dans le salon où je me décide à boire la coupe de Cava que m'offrait gentiment Yves ! Tout en contemplant avec gourmandise la cafetière brûlante, devant laquelle il y a une tasse avec un petit mot de Vincent : « Voilà de quoi vous redonner le super punch que je vous connais ! Bonne dégustation, Madame Loréna ! ».

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 02h30

    Je laisse ma coupe et me sert ma première tasse. Je tends l'oreille, et peu à peu, j'identifie nettement un son étrange : la douche de la chambre d'amis fonctionne ! Je ne vois pas Vincent se doucher, je pense donc logiquement que c'est Annie qui l'utilise, finalement elle a décidé de se dégriser de cette manière, ou, alors, elle se lave ! Ce qui confirmerait ma théorie de se faire baiser la première par Vincent ! Probablement pour m'humilier un peu plus, bien que, personnellement, je m'en fiche totalement ! Et de toutes les manières elle passera après la femme de Vincent ! Donc !

    Je déguste mon expresso ! Hum ! C'est presqu'aussi bon qu'un orgasme ! Et en plus avec une cigarette c'est encore meilleur ! Je termine ma première tasse de café et ne résiste pas à une deuxième, la caféine me fait du bien, je la sens agir, même si la dose est un peu trop forte et me fait trembloter la main ! Bah ! Idéal pour branler une bite ! Je me retrouve bien, très excitée, en manque de sommeil et après un peu d'abus d'alcool et surtout beaucoup de frustration de ne pas avoir pu jouir autant que j'en ai besoin, je suis remplie d'humour, tout au moins, je le pense, Yves dit souvent de moi que j'ai le cul gai, expression que nous sommes deux à comprendre ! Lui et moi !

    Un autre bruit étrange me fait dresser l'oreille ! On dirait la sonnerie de mon mobile ! Je ne me rappelle pas de suite où je l'ai laissé, mais je me souviens que je m'en suis servi en dernier dans mon bureau pour mettre en ligne mon clip ! Mais, le temps d'arriver au bureau, la sonnerie s'est arrêtée. Je le récupère et le prends avec moi.

    A peine assise sur mon canapé, il sonne de nouveau. Je prends de suite l'appel en disant : « Bonjour, Madame, merci de m'excuser, je n'avais pas mon portable sous la main ».

    « Tu es au salon ? Tu as toujours ta carotte ? Es-tu nue ? Portes-tu mon alliance ? As-tu la connasse trempée ? As-tu joui aujourd'hui ? Quand ? Et comment ? Ton café est-il bon ? Tu sais ce que je faisais sous la douche ? Allez réponds dans l'ordre sale putain de gouinasse mal baisée ! ».

    « Bien, Madame, je vais essayer de ne rien oublier, oui, je suis au salon, Madame, j'ai toujours la carotte dans mon cul, je suis habillée comme en début de soirée, je porte votre chaîne et votre alliance, j'ai la connasse qui goutte sur le haut de mes cuisses, j'ai joui deux fois aujourd'hui : une avant l'arrivée d'Yves, en me branlant et vous avez eu le clip et une autre fois, enculée par Yves sur notre lit, en jouissant du cul, comme une salope, Madame. Mon café est excellent, je retrouve tout mon dynamisme et votre tasse vous attend. Je suppose, Madame, que vous vous douchiez pour vous rafraîchir, je l'ai fait moi aussi pour en terminer avec ces vapeurs d’alcool qui m'entouraient ! ».

    « Très bien, sers moi une tasse et allume moi une cigarette. Je te rejoins dans trois minutes, et je veux te découvrir à poil, à genoux sur ton canapé, ton cul rempli tendu vers moi et ta tête enfouie dans le haut du coussin ».

    Je me dépêche, trois minutes, ce n'est pas beaucoup !

    Je jette un coup d’œil sur la montre de mon portable. Je me déshabille très rapidement : escarpins, dim-up, tanga, robe et soutien-gorge valsent sur une chaise, dans un des bonnets, je récupère la chaîne et l'alliance que je mets autour du cou.

    Je sers une tasse de bon café odorant, attends un peu pour allumer une cigarette et dans la dernière minute, je me positionne, seins écrasés contre le dossier du canapé, cuisses largement écartées, mais en prenant la pose, je réalise d'un seul coup que, dans cette position, je vais tâcher mon canapé avec ma cyprine, je me sens un peu perdue et je récupère ma robe grise que je sacrifie en l'étalant sous ma chatte comme protège coussin ! Je reprends la position en posant mon visage sur l'appuie tête du dossier du canapé alors que les escarpins d'Annie résonnent dans le couloir !

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 03h00

    Dans cette position totalement obscène, je suis contente d'avoir protégé mon canapé, car je mouille terriblement et je suis sure qu'Annie va s'en rendre compte au premier coup d’œil !

    Elle éclate d'un rire peu communicatif, car malsain et qui me vexe beaucoup plus qu'une vilaine réflexion ! « Ma pauvre call-girl d'occasion ! Il faut absolument que je filme ta position, tellement tu es salope et veule entre ton cul dilaté par cette énorme carotte, le torrent de mouille qui s'échappe de ta connasse et tes cuisses ouvertes qui réclament une grosse pine ! Je regrette de ne pas avoir ma caméra, mais le portable sera suffisant ! Tu mourras de honte en te voyant sur le clip ! Je vais profiter de ton accueil en buvant ton café et en fumant la cigarette que tu m'offres gentiment, en attendant, je ne veux pas te voir bouger un seul centimètre de peau, c'est bien compris ma pétasse enculée ? ».

    « Oui, Madame, je vous assure que je ne ferai aucun mouvement, je n'ai jamais envie de vous déplaire, Madame, mais particulièrement, je voudrais que vous soyez contente de ma totale obéissance, Madame ! ».

    « Et pourquoi ce soir en particulier ? Ma truie en chaleur ? ». « Je vais essayer de vous redire ce que je vous ai confessé avant que nous nous séparions, Madame : je dois vous avouer que j'ai rarement été aussi excitée que maintenant. Je me sens très lucide sur moi même et prête à tout accepter de vous ! Un tel niveau d'envie est rare dans la vie ! Et je ne compte pas le laisser passer ! Et, je me rappelle que vous m'avez assurée que je pouvais compter sur vous, Madame, pour calmer la salope que je suis ! ».

    « Je m'en souviens parfaitement, et ton aveu d'être encore plus soumise, salope et cochonne que d'habitude a trotté des heures dans ma tête, et j'avais hâte de te retrouver pour t'obliger à mettre en pratique tes intentions ! Mais avant de passer aux actes, j'ai quelques nouvelles à t'annoncer, comme tu es confortablement installée et exhibée, je pense que tu vas les accueillir avec plaisir, et pourquoi pas, en jouir ! Puisque tu es tellement cérébrale que des mots suffisent parfois à t'envoyer en l'air ! Je me trompe putain servile ? ». « Non, Madame, vous ne vous trompez jamais, et surtout pas sur la connaissance que vous avez de la pute-esclave que je suis pour vous ! ».

    « Première nouvelle, Marc était enchanté de faire votre connaissance, il vous a trouvé très sympas tous les deux et toi très à son goût ! ». « Oh vous allez me gêner Madame ! ». « Te gêner ! Tu me fais rire ! Je suppose que tu n’ignores pas qu’il a proposé à Yves de finir la soirée en beauté par un strip-poker ? ». « Non, en effet, Yves m’en a parlé ».

    « Et que lui as-tu répondu ? ». « Que nous devions en reparler car c’était peut être un peu rapide ». « Eh bien, puis-qu’Yves revient le vendredi soir, tu as cinq jours pour te faire à cette idée, Marc a aimé tes nichons et ton cul et ce samedi, la fête se fera chez nous, et tu as intérêt à bien te laver tes trous de catin, car, en accord avec Yves, Marc te baisera, t’enculera et, tu boiras son foutre tiède, et le connaissant bien, je t'assure que tu vas te régaler ! C'est entendu ma putain pas chère ? ».

    Elle n'obtient qu'un long silence de ma part et me gronde gentiment : « Je n’ai pas bien entendu ton accord ! ». « Pardon, Madame, j'ai parlé trop bas, je dirai lundi soir à Yves, quand il m’appellera de Moscou, que nous acceptons votre invitation avec plaisir ». « N'oublie pas de lui préciser que tu acceptes, à titre personnel, notre invitation et les conséquences sexuelles qui en découlent, dans la vie, il faut être clairs ! C'est bien compris ma grosse cochonne en chaleur ? ». « Entendu, Madame, je n'oublierai pas de lui rajouter cet engagement très personnel ! ».

    « S'il n'a pas mon portable, tu le lui donnes et tu lui demandes d'avoir la gentillesse de me passer un petit coup de fil pour savoir s'il va bien et si tout est réglé avec sa petite femme pour notre dîner, entendu ? ». « Oui, Madame, je le ferai sans faute et je vous promets qu'Yves vous appellera juste après moi ».

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 03h20

    « A présent, j'ai une deuxième nouvelle à t'annoncer, elle est importante car elle risque de changer une petite partie de ta vie. Voyons si tu suis bien ou si tu ne penses qu'à frotter tes cuisses l'une contre l'autre ? Nous avons parlé d'Yves et de Marc, j'ai parlé de tes obligations futures, je n'ai pas l'habitude de parler de moi, alors, d'après toi pétasse dégoulinante, de qui allons nous parler à présent ? ».

    « Nous étions cinq ce soir, il nous manque Vincent, Madame ».

    « En effet, il est parti sans te saluer, et il m'a priée de l'excuser auprès de toi, mais sa Geneviève de femme l'attendait avec impatience, elle est toute jeune et, un peu comme toi, elle a une grosse libido, mais de jeune femme normale, et pas des envies de prostituée perverse comme les tiennes ! Comme tu me l'avais suggéré, et je tiens à t'en remercier, nous avons longuement papoté tous les deux et j'ai beaucoup appris sur lui. Je ne vais pas tout te raconter, et je vais essayer de te faire un résumé, à toi la championne de cet exercice ».

    « Mais, avant je vais te détendre un peu, car je te trouve un peu contractée, tu peux changer de position et sortir du canapé pour te mettre debout, mais, fais attention de ne pas tout salir avec ta connasse dégoulinante, je vais te servir une tasse de café, et tu vas fumer une cigarette mais rester debout pour que ton con s'égoutte un peu ! Pfft tu fais chier, vas donc chercher des kleenex et bourre ta connasse avec une dizaine de mouchoirs, c'est insupportable de te voir juter comme ça et ça me donne presqu'envie de vomir ! Remplit toi le con, au moins tu vas arrêter de goutter dans toute la pièce, tu es une vraie cochonne dans ton vagin, comme dans ta tête espèce de vache laitière ! ».

    Elle se lève et remonte sa robe : « Bien, puisque tu a annoncé que tu étais bien disposée envers moi et que tu comptais être la plus obéissante des putes-esclaves-masos de mon écurie ! Tu vas bosser avec ta langue de gouine, et commencer par mon trou à merde, je suis désolée, mais j'ai du aller chier pour me vider les intestins du trop plein du foutre de Vincent, à ce sujet, je te confirme qu'il a une grosse pine qui te plaira, pas trop longue mais énorme, comme celle de Pierre, j'ai pensé à toi pendant qu'il m'enculait ! Mais il a aussi des grosses couilles bien pleines, et quand il gicle, tu n'as pas écarté les cuisses pour rien ! Que ce soit dans le cul ou dans le con, je n'ai pas pu absorber toute sa semence, et j'ai perdu quelques jets ! ».

    Il a rit de ma déconvenue, car il m'a expliqué que « Ça lui arrivait avec toutes les nanas : aucune ne pouvait absorber tout son foutre et le garder en elle ! ». Il a même rajouté, « Je ne pense pas que Loréna fasse exception ! ». « Car, bien sur, je lui ai garanti que tu écarterais tes cuisses et ton cul pour lui, mais tu t'en doutais, je suppose ! A ce propos, quand tu as entendu la douche tout à l'heure, je me lavais le con et le cul, pour me vider un peu de tout ce bon foutre, car le ne pouvais pas marcher sans goutter comme toi, et je déteste donner l'image d'une cochonne, contrairement à toi !».

    Tout en me parlant, elle s'est mise à genoux sur le fauteuil, dans la même position dans laquelle j'étais sur le canapé, robe remontée à la taille et culotte jetée au loin d'un coup de pied, elle se régalait de ma langue vriller dans son anus pour pénétrer le plus possible son trou du cul, qui, en effet n'était pas des plus propre, mais cette merde appartenait à ma Maîtresse, et je me devais de la nettoyer soigneusement pour ne pas me parjurer devant elle ! Et, comme une réelle salope que j'étais devenue, plus je léchais son petit trou, plus je mouillais les kleenex entassés dans ma connasse de pute !

    Vues ses contractions, je crois qu'elle a jouit du cul, mais comme chez elle tout est toujours sobre, réservé et silencieux, je ne pourrais pas le jurer !

    Toujours est-il qu'elle a repoussé ma tête d'un violent coup de fesses et s'est retournée pour s'asseoir dans le fauteuil, en m'ordonnant de glisser quelques kleenex sous ses fesses, ce que j'ai fait, pour lui permettre d'écarter largement les cuisses. Elle s'est déchaussée de deux grands coups de pieds qui ont envoyé ses escarpins à deux mètres d'elle et en m'ordonnant de m'agenouiller devant elle, les cuisses bien offertes, elle m'a ordonné de lui bouffer la chatte, et m'a dit : « Tu es tellement poisseuse du bas-ventre que je n'ai aucune envie de te niquer le con avec mes orteils nus, tu vas donc t'envoyer en l'air en me massacrant une paire de bas, mais je préfère ça à ce jus fétide que tu aurais déposé sur mes orteils délicats, sale truie ! ».

    Je remarque, en souriant intérieurement que c'est la soirée des insultes diverses et variées, et je dois reconnaître qu'Annie a, sur ce sujet, une très grande imagination, car elle arrive à m'insulter toutes les dix secondes sans dire deux fois la même grossièreté !

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 03h50

    Cette situation m'excite au plus haut point : je sais que nous allons toutes les deux vers le plaisir : elle, en plaquant de toutes ses forces ma bouche contre sa chatte, dont j'ai du mal à avaler toutes les sécrétions et, moi, en prenant son pied gainé de bas d'une main pour m'en servir comme d'un gode en me pilonnant le con, avec.

    Je sais que dans, l'état où je suis, mon explosion se décompte en secondes et que je m'élève vers un mini tsunami dont je rêve depuis qu'Yves m'a offert cette jouissance du cul, il y a, maintenant, plusieurs heures !

    Sans respecter la hiérarchie, je jouis la première : bien que mes hurlements de plaisir restent au fond de son vagin, totalement étouffés par la pression qu'elle exerce sur ma bouche, les soubresauts et les torsions de mon corps ne peuvent lui cacher mon plaisir fulgurant.

    Jalousie ? Envie ? Compétition ? Elle écrase encore plus ma bouche sur son sexe et s'envoie en l'air alors que ma langue entière fouille sont intimité dégoulinante de son jus de femme jouissante. Elle frôle encore une fois la femme fontaine qu'elle assure ne pas être au mépris de la réalité !

    Le silence se fait, nous avons besoin, toutes les deux, d'un moment de répit pour récupérer la gestion de nos corps, et, moi, ma langue douloureuse de bouffeuse de chatte.

    Sans prendre le temps de rabattre sa robe sur la vue magnifique qu'elle m'offre sur son sexe luisant d'humidité, son petit trou palpitant et ses cuisses largement ouvertes, elle ressemble plus, un court instant, à une soumise offerte qu'à une Maîtresse hautaine.

    Mais, très vite la dominante reprend le dessus, et m'ordonne de nous servir deux cafés et de nous allumer deux cigarettes, pendant qu'elle fait un aller-retour dans la salle de bains pour se rafraîchir le sexe.

    Elle revient très vite en peignoir, je peux deviner sa nudité totale et j'en suis fière, car elle me prouve sa confiance. Nous buvons et fumons, avant qu'elle ne m'ordonne de déverrouiller pour elle mon armoire sexuelle, avant de reprendre ma position agenouillée sur le canapé.

    Pendant qu'elle cherche ce dont elle a besoin, je reprends ma pose obscène, et elle vient se placer juste devant mon visage et me demande de me relever. Elle me tend deux écraseurs de tétons, que je pose sans aucune question sur mes bouts de seins, en grimaçant de douleur pour chacun d'eux, et, elle me tend les lests de plomb, toujours trop lourds pour moi, que je fixe aux écraseurs. Elle règle ma position en me demandant de faire en sorte que mon front soit posé sur l'appui-tête du canapé, mais que mes nichons pendent bien, en toute liberté, pour me faire pleurer de douleur à chaque ondulation de ma poitrine ou à chaque mouvement incontrôlé de mon corps !

    Puis, elle fait le tour du canapé : elle tapote sur chacun de mes seins pour s'assurer qu'ils sont bien libres de pendouiller dans le vide que ma position a créé, et elle réunit mes bras derrière moi, le long de mon dos et les menotte doublement : une paire au niveau des coudes et l'autre aux poignets.

    Je tiens uniquement par mon front, et mon équilibre est plus qu'instable, mais je me suis rarement sentie aussi indécente et offerte, et elle balaie mon corps avec son portable pour bien me filmer sous tous les angles !

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 04h00

    Alors qu'Annie tourne autour de moi pour son clip, j'entends un bruit dans la cuisine, et je suppose que c'est Yves qui s'est levé pour aller boire une verre d'eau, et je me dis que ma soumission totale à Annie ne va pas être encore bien longtemps un secret !

    Annie se rassied dans son fauteuil et reprend son dialogue : « Donc, pour revenir à Vincent, il me semble que j'en étais au résumé de notre longue conversation, bien sur entrecoupée par trois séances de baise intense terminées par de très bons orgasmes pour tous les deux ! Il m'a même avoué qu'il était surpris, car il pensait que tu serais la première à te faire sauter ! Mais, que, de toutes les manières il avait la trique pour les deux ! Et qu'en entrant chez toi, il avait senti ce parfum invisible de liberté sexuelle, palpable par nos gestes, notre habillement et surtout notre manière de parler ou de suggérer ! ».

    « Vincent est un super Chef, Madame, mais aussi un fin psychologue, et je suppose que vous allez m'apprendre des tas de choses sur lui ! ».

    « En effet ma pute indécente ! Et, tu vas aller de surprise en surprise ! Tu sais donc qu'il est marié à une jeune Geneviève qui a quatre ans de moins que lui. Comme je te l'ai laissée entendre tout à l'heure, cette jeune femme a une libido très forte et adore le sexe, et Vincent est un véritable addict du cul : pour lui, s'il n'a pas tiré ses cinq coups, sa journée est gâchée ! Sa jeune épouse, qui n'est absolument pas jalouse, et ne se refuse aucun bon coup si elle en ressent l'envie... ».

    « N'est ce pas ce qu'on appelle un couple moderne et libre, Madame ? ». « Oui, c'est tout à fait ça, mais ils n'ont pas la perversion que je retrouve en permanence chez toi ! Bien qu'à ce sujet, il faille se méfier de Vincent, mais je vais y arriver ! Donc, très rapidement, elle a déclaré que malgré son amour du cul, elle n'arrivait pas à suivre Vincent, et ils ont pris la décision de fréquenter des clubs échangistes ».

    « Ça leur a beaucoup plu : une ou deux fois par semaine, elle pouvait baiser à son rythme, en choisissant son partenaire, et lui pouvait enfiler quatre ou cinq nanas dans une soirée ce qui le comblait, et bien sur, les retours à la maison étaient torrides ! ».

    « J'en suis sur, Madame ! C'est ce qui se passera quand Yves et moi nous auront l'âge de fréquenter ce genre de clubs ! ». « Oui, je vous y vois bien tous les deux ! Mais un soir, un amant éphémère de Geneviève lui a longuement parlé de ses goûts pour le bdsm. Comme elle est curieuse, ouverte et intelligente, elle s'est renseignée, est entrée dans de nombreux sites sur le Web, a fréquenté des forums de discussion et en a parlé à Vincent qui lui aussi s'est montré intéressé, c'était il y a deux ans ! ».

    « Vous allez me dire, Madame, que Vincent s'est révélé être un dominant et elle une soumise ? J'en serais vraiment très surprise pour Vincent qui cache fort bien son jeu ! ». « Eh oui, sauf qu'en fait les deux sont passés du côté obscur de la force en officiant comme dominants, ce qui permet à sa femme de beaucoup moins baiser, tout en jouissant beaucoup plus, avec des femmes ou des couples et à Vincent de continuer à tirer des femmes, tout en essayant d'en faire venir quelques unes vers le monde du bdsm, ce qui est un jeu d'enfant, quand tu le sentiras te niquer ou t'enculer, tu décideras, toi aussi de faire tout ce qu'il voudra, uniquement pour avoir encore longtemps sa grosse bite dans tes trous de traînée ! ».

    « Ils ont donc trouvé leur équilibre sexuel, Madame, c'est une bonne nouvelle, mais je ne comprends pas en quoi elle peut me concerner ? ». « J'y arrive, salope, ne sois pas si pressée, nous avons la vie devant nous ! Excuse moi, je dois aller faire pipi, je reviens de suite ! ».

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 04h20

    Je profite de son absence pour me dégourdir un peu et soulager les lests qui m'arrachent les tétons, mais la récréation est de courte durée car des pas résonnent dans le couloir qui mène aux wcs. Mais curieusement je n'entends pas que les talons d'Annie.

    Malgré mes menottes, je me retourne et vois ses escarpins jetés dans le salon, et ça me fait frémir ! Il y a quelqu'un qui marche dans le couloir et Annie porte des bas, ce n'est donc pas elle !

    Elle entre en me disant : « On continue, on va arriver au moment passionnant pour toi ! ».

    Je la sens se positionner devant mon visage. Elle prend mes cheveux dans ses mains et m'immobilise la tête en m'enfonçant durement le visage dans l'appui-tête du canapé y écrasant même ma bouche et mon nez. J'ai vraiment beaucoup de mal à respirer, et le fait de ne pas savoir qui, en plus d'Annie, me regarde ainsi exhibée me stresse énormément.

    Derrière moi, et sans que je ne puisse rien voir, je sens le coussin s'affaisser, quelqu'un vient de s'agenouiller. Une main me caresse le cul, ouvre encore un peu plus mon anus distendu par la carotte depuis des heures, et la retire d'un seul geste précis mais brutal, qui me fait hurler de douleur, car le légume a adhéré à mes chairs intimes, par manque de lubrification, et je suis sur qu'un peu mon tissu vaginal est resté sur cette maudite carotte !

    Mais, je n'ai pas trop le temps de me lamenter sur mon sort, car je sens de suite un gland de bonne taille, chaud et humide tourner sur mon anus, qui n'a pas eu le temps de se refermer. L'inconnu, dont je connais à présent le sexe, dans les deux sens du terme, pousse lentement son gland en moi, il entre relativement facilement, et, j'ai tort de penser que le plus dur est fait, car, c'est sans compter sur la grosseur peu ordinaire de la bite qui s'enfonce dans mon trou à merde à chaque coup de reins de mon enculeur !

    Quand elle est sure que la bite ne peut pas aller plus profond en moi, elle me libère les cheveux et dit à haute voix : « Eh, bien, je crois que c'est le moment de faire les présentations ! Ma petite putain soumise et bien éduquée, je te présente la grosse pine et les couilles bien remplies de Vincent, qui est revenu de chez lui, après avoir fait hurler sa femme de plaisir, uniquement pour cette présentation, mais aussi par affection pour ton petit trou dont il a rêvé toute la soirée ! Quant à toi, Vincent, je te présente mon esclave Loréna ou Loré ou petite putain en chaleur, ou, comme tu voudras l'appeler ! Elle n'a pas le droit de dire non comme tu t'en es rendu compte depuis que tu es en notre compagnie !

    Vincent tient à me féliciter : « Loréna, je dois te dire, sans aucune flagornerie, que je ne me suis jamais trouvé aussi bien dans un cul, je te félicite, j'avoue que tu es bien au delà de ce que j'avais rêvé, en te matant le cul sous ton grand tee-shirt ! Je n'avais pas imaginé la tiédeur et la douceur de ton fourreau, si étroit, que j'ai l'impression que tu me masturbes avec tes muscles anaux ! ».

    « Ouah, Loré, quelle déclaration d'amour pour ton cul ! Non seulement Vincent sait enculer et il est équipé pour bien le faire, mais en plus il sait parler aux femmes, et même à leur trou à merde ! ».

    « Je vais avouer, ce que je ne devrais pas : j'ai beaucoup fantasmé sur ce moment, depuis que tu es apparu dans ma vie, à 14h hier après midi, mais je ne pensais pas que ta bite et mon cul seraient si complémentai-res, et, contrairement à certaines fois, je suis superbement bien remplie, sans une seule petite douleur, je pense qu'il ne me faudra pas trois quart d'heure, pour m'envoyer en l'air, avec ce bel engin dans le cul ! ».

    Bien évidemment, Annie ne me rate pas, après cette déclaration enflammée ! « Tiens, une pute amoureuse ! Je ne savais pas que ça pouvait exister ! ».

    Lentement, et, visiblement sans trop s'occuper d'Annie, Vincent se retire de mon cul, et à moitié retrait, il rentre de nouveau en entier, m'arrachant un petit gémissement de plaisir. Petit à petit, il sort de plus en plus, et me ré-encule à fond, et, ce, jusqu'à ce que je sois un peu lubrifiée, quand il sent que ses allers et retours sont plus faciles, il augmente sa cadence, jusqu'à arriver à un rythme très soutenu, dans lequel il sort complètement son pieu de mon petit trou, pour le replonger en me défonçant l’œillet, et j'accompagne son pilonnage par mes cris de plaisir de plus en plus forts.

    Je perds pied, me laisse totalement aller, et attends en gémissant comme un chiot que le tsunami m'entraîne loin de tout, de cette terre, d'Annie, mais pas de la pine de Vincent que je veux dans mon con, entre mes nichons, au fond de ma gorge, pour boire et avaler son foutre, qui fera de moi son réservoir à sperme, même si je dois le partager avec des centaines de pouffiasses !

    Dans mon délire jouissif, je n'ai pas réalisé que Vincent n'avait pas joui dans mes fesses, mais, Annie, très me le confirme : « Sais-tu que j'ai posé mes conditions à Vincent pour la suite de vos rapports ? ». « Je n'en savais rien, Madame, mais je vous remercie infiniment de me mettre au courant ! ». J'ai essayé de le cacher, mais j'ai mis beaucoup d'ironie dans cette réponse, et, bien sur Annie s'en est rendue compte !

    « Bien, ma pute, puisque tu ironises, je rajoute à l'instant dans mes conditions, que Vincent est chargé de t'annoncer notre accord ! ».

    « Ce sera même plus honnête de ma part ! Il est tout à fait vrai que j'ai conclu un accord moral avec Annie qui te concerne, Loréna. Mon problème est simple : dans mon esprit, une esclave-soumise ne peut avoir qu'un seul propriétaire, donc tu appartiens à Annie. Tu vas me demander pourquoi je suis revenu chez toi pour te sodomiser ... »

    « … non, Vincent, j'aimerais que tu ailles droit au but, et je vais t'aider : tu es venu enculer l'esclave d'Annie, avec son autorisation de me pénétrer, mais pas celle de jouir en moi. Pour simplifier, tu ne m'imagines pas devant toi, te suppliant de m'enculer et d'appeler tes amis pour qu'ils en fassent autant. Tu ne peux pas me soumettre, car tu me respectes, c'est élégant et je t'en remercie. Mais, dans ces conditions : dis-moi quel rôle je peux avoir ? ».

    « Tu es d'une intelligence rare, Loréna, mais il est normal que ce soit Annie qui en profite. Notre accord est simple : deux nuits par mois, Annie est d'accord pour que tu m'accompagnes dans un club échangiste bdsm, pour être ma monnaie d'échange, tu comprends ? ».

    « Oui, c'est très clair, Vincent, mais j'ai trois questions à te poser : pourquoi ne pas utiliser l'une de vos soumises puisque ta femme et toi dominez ? Quels rapports as-tu convenu avec Annie pour toi et moi ? Et quand comptes-tu commencer ces soirées ? ».

    « Il nous est impossible, compte tenu du milieu dans lequel nous évoluons, de trouver une soumise de ta classe, de ta beauté et de ton intelligence. L'accord ne comporte aucune autre relation entre nous que celle que nous venons de vivre, et, pour finir : Annie te proposera les deux dates en fonction de ton temps libre et de ta vie privée ».

    « Merci, Vincent, puis-je te demander si cet accord te satisfait ? ». Vincent réfléchit un peu, et finit par me répondre gentiment : « Je ne pense pas que ma réponse apporte quoi que ce soit de positif à la situation, et je sais que tu es trop intelligente pour ne pas la connaître, alors je vais me permettre un joker, avec vos autorisations à toutes les deux ! ».

    Je me contente de sourire sans rien dire.

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 05h00

    La connaissant un peu, je pense qu'Annie se sent un peu exclue et qu'elle ne va pas tarder à reprendre la main, et, c'est ce qui se passe :

    « Bon, la séance de confession étant terminée, passons à l'action, Vincent, tu serais gentil de poser une des chaises paillées de la cuisine devant le canapé, s'il te plaît ! ». Pendant qu'il s'exécute, elle m'aide à me mettre debout devant le canapé, ôte avec prudence les écraseurs de mes tétons, ouvre les deux paires de menottes dans mon dos et m'autorise à aller dans la salle de bains pour apaiser un peu la douleur de mes seins, en me recommandant de faire vite.

    Quand je reviens, nue et seins un peu apaisés, elle me demande de m'asseoir sur la chaise et prend cinq bonnes minutes pour m'y attacher très soigneusement.

    Épaules plaquées sur le bois du dossier, coudes et poignets ligotés très serré et attachés à une barre du dossier, une corde sous les seins et une à la taille qui font le tour de la chaise, deux solides cordes aux genoux pour les lier au deux coins, avant, de la chaise et enfin, les pieds tirés et attachés aux pieds arrière de la chaise, pour ne pas m'offrir une position trop confortable, et, surtout, pour m'obliger à maintenir mes cuisses largement ouvertes, et, par là même, ma chatte obscènement offerte et, dégoulinante de cyprine !

    Je suis sur ma chaise, totalement immobilisée, à deux mètres du canapé. Annie va vers notre armoire de jouets et revient vers moi avec un vibro externe et sa télécommande ainsi qu'un rouleau de scotch noir. Elle s'agenouille devant moi, caresse distraitement l'entrée de mon vagin, regarde son doigt et, l'air dégoûté, elle l'essuie sur un de mes seins.

    Elle pose le vibro entre mes jambes, l'ajuste pour que la tête vibrante soit bien positionnée sur le haut de mon sexe et elle découpe trois longs morceaux de scotch avec lesquels elle le fixe sur ma cuisse droite.

    Elle se lève, visiblement contente de son montage, récupère une chaise de la salle à manger, qu'elle place à trois mètres de moi sur ma gauche et y cale son portable réglé pour me filmer des pieds à la tête.

    Elle déclenche la web-cam, met le vibro en route sur la position juste en dessous du maximum et me regarde en souriant : « J'espère pour toi que nous baiserons très longtemps, Vincent et moi, ce qui te permettra d'enchaîner les orgasmes ! Régale toi bien, ma salope vicieuse : de voir ta Maîtresse terminer ton travail d'enculée et de jouir jusqu'à me supplier d'arrêter ce bel objet que tu aimes tant ! ».

    Dimanche 22 Janvier 2017 – 06h40

    Totalement épuisée, je suis toujours attachée sur ma chaise, heureusement délivrée du vibro !

    Annie et Vincent sont partis, après avoir baisé plus d'1h30, devant moi, le temps pour Vincent de profiter de tous les orifices d'Annie, soit pour se faire pomper, soit pour la niquer ou pour l'enculer, et bien sur pour l'utiliser comme vide couilles. Je n'ai compté, ni mes orgasmes, ni les siens, mais, même si je dois probablement la battre, le total semblerait trop ahurissant.

    Par contre, j'ai bien noté que Vincent avait éjaculé dans ses trois fois orifices, en lui enfonçant bien sa pine au maximum de leurs capacités !

    Mon coup de cœur pour le beau Vincent s'est évaporé, comme un fantasme inaccessible, mais je reste tout de même sur le plaisir de l'avoir senti si à l'aise dans mon cul, et sur les surprises que vont me réserver nos deux rendez-vous mensuels à venir !

    Je réunis le peu de force qu'il me reste et hurle :  « Yves, au secours ! ».

    Il lui faut bien trois minutes pour réaliser que j'ai besoin d'aide.

    Il entre comme un zombi dans le salon, me trouve attachée, et me murmure : « Mon pauvre amour, que s'est-il passé ? ». Mais sans attendre ma réponse, il s'attaque à tous les nœuds. Une fois libérée, il me prend dans ses bras et me porte jusque sur notre lit où il me dépose en douceur, me fait un gros bisou sur le front et se jette à côté de moi : moins d'une minute après, il s'est rendormi !

    Je suis prête à parier qu'il ne se rappellera de rien, quand nous nous réveillerons, je me colle à lui, la chatte encore trempée, je débranche mon cerveau trop plein de jouissances et de fantasmes et je m'endors immédiatement après avoir fermé les yeux !

    Et, il est temps que vous fassiez pareil !

    Nous sommes le :

    Dimanche 22 Janvier 2017

    Et, il est presque :

    06h45

    Suite > Chapitre 4


    votre commentaire
  • Chapitre 4

    Dimanche 22 janvier 2017 - 14h00

    Je me réveille brusquement, et, mon premier réflexe est de chercher Yves à côté de moi. Ma main ne rencontre rien, et je me demande où il peut être ! Je m'assieds sur le lit, ce qui me rappelle que je suis à poil et je me lève pour enfiler quelque chose, quand j'entends la chasse d'eau, et des pas feutrés glisser vers la chambre, je sais donc où est Yves !

    Je referme la porte jusqu'à l’entrebâiller, et je m'agenouille derrière et quand il pousse la porte, je lui saute dessus, et en constatant qu'il est aussi à poil, je m'empare de sa bite, ramollie et pas bien égouttée !

    Je l'agresse en riant de bon cœur : « Eh ! C'est quoi ça ? ». Et, sans lui laisser le temps de réagir, je lui ferme la bouche de ma langue et de ma bouche, tout en essayant de le branler, compte tenu de sa rigidité proche d'un chewing-gum, mais dès que ma langue et ma main l'ont fait réagir, je me penche et le prends en bouche, son petit goût de pipi ne me gêne pas, je commence à y être habituée !

    Très vite, il durcit. Je me libère la bouche pour lui lancer un : « Je vois qu'une bonne soirée sexe et un gros dodo t'ont donné des idées coquines ! ». « Hum oui, j’avoue que cette petite fête m’a fait bander dur ! Mais je ne me rappelle pas de tout ! ». « On verra plus tard, je vais vite te calmer ! ».

    Je le suce et le branle, sa queue est de plus en plus dure et je le sens sur le point de gicler dans ma gorge, mais, juste avant, je le retire de ma bouche. Il grogne, mécontent que je le laisse en plan ! « Oh, ne sois pas sotte : j’allais jouir ! ». « Je suis sincèrement désolée ! Mais on va arranger : tu réponds à une question et j'avale tout, sinon tu vas te finir à la main aux wcs ! ». « Ok ! mais accouche de ta question, je n'en peux plus ! ».

    « Tu aurais été encore plus excité, si Marc m'avait sautée, devant Annie, toi, et pourquoi pas Vincent ? ». Il ne réfléchit pas pour répondre : « Hum oui, ça m‘aurait plu et j'aurais bien aimé baiser Annie, qui est canon et vicieuse ! ».

    En cet instant, qui précède sa jouissance, il ne me ment jamais, sans lui répondre, j'avale le plus loin possible sa bite, pour le pomper, comme une morte de faim, et le laisser se vider en moi.

    Je me régale de ses grognements, j’avale tout ce qu'il me donne et lui promet, un peu sibylline : « On en reparlera plus tard ! ».

    Dimanche 22 janvier 2017 - 15h00

    Je lui conseille de faire une petite sieste, pendant que je vais prendre un bain chaud et après, je préparerai un plateau dîner-goûter avec des restes d'hier car, son père doit nous ramener Jean aux alentours de 18h, et il aura sûrement faim, surtout pour des tapas ! Je lui dis de dormir sans s'occuper de rien, je le réveillerai moi même.

    Dimanche 22 janvier 2017 - 18h00

    Je finis de préparer une collation, valable de 18 à 23h ! Un coup d’œil dans la chambre, mon amant favori dort comme un bébé. Dans la cuisine je récupère une tasse de café et je retourne au salon pour boire et fumer ma première cigarette de la journée, habillée, comme hier pour recevoir Vincent : tee-shirt, parure correcte et espadrilles trouées, que je n'arrive pas à jeter !

    Comme je me sens bien, je rêvasse sans allumer la télé ! Une clef ouvre la porte d'entrée, ce qui m'annonce que Jean est là avec son Papy ! Je vais à leur rencontre, très heureuse de retrouver mon Jean ! Une bise à Jules, mon beau-papa avec un grand merci ! Mon fils me fait un gros câlin, hum, que c'est bon un peu d'amour pur et sans-arrière pensée !

    Je propose à Jean de me dire ce qu'il veut boire, et de se débarrasser de ses affaires dans sa chambre, avant de nous rejoindre au salon. Je propose, une Heineken à Jules qui ne boit que cette marque et s'assied dans un fauteuil.

    Je reviens avec la bière, un Coca, mon jus d'orange et deux assiettes de tapas que j'avais préparées en prévision.

    Bonne idée ! Jean se jette sur ces bouchées qui lui rappellent l'Espagne et Jules apprécie aussi ! Il nous quitte pour ne pas faire attendre sa femme, il serre très fort Jean et me bise les joues.

    Je me retrouve avec mon fiston qui me raconte le Scrabble, la balade avec papy et mamy, la télé, la console de jeu, la grasse matinée avec un petit déjeuner super-génial, le bon déjeuner, comme d'hab ! Et même le goûter !

    « Eh, bien avec ce que tu viens d'avaler, je pensais que tu n'avais rien mangé pendant ces deux jours ! ». « C'est de ta faute, maman, tu me proposes des tapas, comment veux-tu, qu'avec ton sang espagnol, je les refuse ! ».

    Je ris de sa franchise et de son franc-parler ! Je pense savoir de qui il tient !

    Dimanche 22 janvier 2017 - 18h30

    Le téléphone sonne, je sais que c'est Annie et je dis à Jean de décrocher pendant que je vais lui chercher un autre Coca.

    « Maman, c'est Annie, notre voisine, tu viens ? ». « J'arrive ! ». Je lui donne son Coca et prends le combiné : « Bonsoir, Annie, tu es en forme ? ». « Hum, oui, mais c'est à toi qu'il faut poser la question ! Pas trop mal à la tête ou au clitoris ce matin ? ». « Non, ils sont un peu douloureux, mais je gère ! ». « Et Yves ? ». « Ah, lui, c'est le grand sommeil ! Il s'est réveillé, une heure, le temps de se faire câliner, et s'est rendormi. Il dort toujours ! Mais je vais le réveiller, car, demain il a son Clermont-Paris à 7h30 ».

    « Et, après, il va où ? ». « Moscou. Il rentre vendredi à 22h30, et a décidé de se garer au parking d'Aulnat ! Ça m'évite de me lever demain à 5h ! ».

    « Et comment es-tu allée te coucher ce matin ? ». « J'ai appelé Yves et il m'a trouvée là où tu m'avais laissée ».

    « Donc, il t'a vu à poil, bondée sur ta chaise et offerte au premier venu ? Et il t'a demandé des explications ? ».

    « Non, nous avions sommeil tous les deux, et à son réveil, il ne se rappelait pas de tout ! Pardon, deux secondes, Annie », « Oui, chéri, tu peux aller dans ta chambre, regarder la télé, entendu, j'embrasse Annie de ta part ! ».

    Dimanche 22 janvier 2017 - 18h45

    « Annie tu as entendu ! Il t'embrasse ! Tu viens de séduire un autre Dufour ! ». « Telle mère, tel fils ! ». « Ne me fais pas rougir, je suis dans le rôle de maman aimante ! ». « Je plaisantais, comment, vas-tu lui résumer mon appel ? ».

    « Je lui dirai que cette semaine, il ira du vendredi soir au dimanche soir chez ses grands-parents, car nous sommes invités chez vous samedi soir ! ». « Ah ! Et tu l'as annoncé officiellement à Yves ? ». « Non, hier soir il était ivre-mort et quand il s'est réveillé, il avait juste envie d'un pompier et de se rendormir ! ». « Tu l'as bu avec plaisir ? Je suppose ! ». « Bien sur, j'ai été sevrée de sperme hier ! ».

    « C'est un reproche, putain ? ». « Non, Annie, désolée, mais Jean risque d'entendre, donc le, Madame, ferait tâche ! ». « Pas grave, je suis occupée demain, je ne te contacterai pas ».

    Après un silence, elle reprend : « Je suppose que tu n'as pas oublié notre rendez-vous de mardi à 13h chez toi. Si besoin, je t’appellerai le matin au bureau. Donc, à mardi, bien chaude et sevrée d'orgasmes. Avec l'intention de gagner ton duel avec Lise : tu dois mieux résister aux punitions, être plus obéissante, mieux éduquée et plus vicieuse. Plus sado si duel, moins rapide pour t'envoyer en l'air, mais plus rapide pour des séries d'orgasmes ! Apprends cette phrase par cœur, elle te servira mardi ».

    Le bip-bip-bip-bip m'indique qu'elle a coupé brutalement, comme d'hab !

    Je rejoins Jean dans sa chambre, il regarde une télé réalité comme tous les ados ! Il me demande ce que voulait Annie et si je lui ai transmis son bisou ? Je le rassure en lui affirmant que j'ai bien fait sa commission, et elle l'en remercie, elle a hâte de faire ta connaissance ! « Ils nous invitent ce samedi soir chez eux, pour nous remercier de notre invitation. Tu iras dormir chez Papy et Mamy Yves ».

    « Chic, comme ça, je pourrai regarder la télé plus tard, Papy me laisse toujours faire ! ». « Il te laisse faire, pourquoi ? ». « Parce que le vendredi et le samedi soir, je peux veiller plus tard, car le samedi et le dimanche matin, je n'ai pas classe ? ». « Bravo, tu sais, que chez eux, comme chez nous, tu es notre petit roi, la seule différence est, qu'ils n'ont rien d'autre à faire que de te gâter, et de jouer avec toi, et, qu'ici, nous avons tous les deux beaucoup d'occupations ! ».

    Je lui fais deux gros bisous et le quitte : « Je vais réveiller Yves, il part demain de bonne heure en Russie pour cinq jours, et il faut qu'il mange et qu'il dorme cette nuit ! Tu peux te doucher et te mettre en pyjama, on dînera dans une demi-heure, après, au lit, et télé maxi jusqu'à 21h30 et je ne te surveillerai pas, je sais que je peux te faire confiance fiston ! ».

    « Tu peux, je t'aime, maman ! ». « Et moi donc fiston, si tu savais ! ».

    Dimanche 22 janvier 2017 - 19h15

    Je me glisse sans bruit dans notre chambre, je me mets à poil, je rampe sur son corps, de travers, pour ne pas lui imposer un 69 au réveil ! Et je mets sa bite molle dans ma bouche, alternant léchage du gland et des couilles.

    Il se réveille mais fait semblant de dormir. Quand il trique comme un âne je me retourne et lui susurre à l'oreille : « Con ou cul ? Ne bouge pas, je suis trempée, je m'empale toute seule ! ».

    « Con, mais doucement, je dors encore ! ». « C'est moi qui vais bosser, je te niquerai à ma manière ! ». Je le chevauche, glisse ma main droite sous moi et empaume sa pine bien dure. Je glisse son gland entre mes grandes lèvres, et je m'assieds lentement sur lui, pour m'empaler avec délice sur son pieu !

    Il se laisse faire, j'essaye de prendre mon temps, mais il est tellement gros, que je sens que je ne vais pas pouvoir le contrôler longtemps. Je lui prends donc les mains et les pose sur mes seins en guidant ses doigts vers mes tétons, seule manière pour moi de jouir aussi vite que lui, et ça marche, je cache ma bouche dans son cou, pour ne pas crier trop fort, pendant qu'il ronronne de plaisir en se vidant les couilles dans ma connasse trempée !

    Nous nous glissons en silence, dans la salle de bains, pour une douche de trois minutes chrono, et en peignoirs, nous allons à la cuisine en récupérant Jean au passage ! A 21h30, les lumières de chez Yves-Loré-Jean sont éteintes !

    Lundi 23 janvier 2017 - 05h00

    Le réveil nous oblige à ouvrir les yeux pour savoir quel est ce bruit incongru à 5h du matin !

    Je lui murmure, que pour un prochain voyage, il vaudrait mieux qu'il parte le dimanche soir, pour que j'ai le temps de le câliner et de l'accompagner, sans être obligée de me lever à cette heure inhumaine ! Il me rétorque que je ne suis pas obligée de me lever et qu'il peut se débrouiller tout seul !

    Je me lève, nue, en lui riant au nez : « Et comment vas-tu te sucer la queue tout seul ? ». Et, en squeezant son droit de réponse, je lui fais son timing : « Tu vas boucler ta valise, te doucher et me retrouver à la cuisine où ton petit déjeuner t'attendra. Tu n'as qu'à penser, sous la douche, que ta petite femme va s'agenouiller sous la table, pour te faire une belle pipe, pendant que tu tartineras tes toasts bien chauds ! Ma boisson du matin sera une bonne ration de foutre de mon petit mari, et, en plus, je pense que je vais rester à poil, car, quand tu partiras à 6h, moi je me recoucherai ! ».

    Je file à la cuisine pour tout préparer en espérant que Jean n'aura pas envie de boire un verre d'eau entre 5 et 6h !

    Lundi 23 janvier 2017 - 06h00

    J'enfile tout de même un peignoir pour l'accompagner sur le pas de la porte et lui offrir un dernier baiser et mes nichons nus à caresser malgré le froid du petit matin ! Je regarde sa voiture s'éloigner, voilà, je suis seule pour cinq jours avec un emploi du temps, chargé et varié !

    Je rentre, me rince la bouche, en me demandant pourquoi mes pipes du matin me soulèvent un peu le cœur, alors que j'adore son sperme, il faudra que je lui pose la question.

    Pour oublier, je bois un verre de Tropicana orange, et je vais me recoucher en remettant le réveil à 7h30, pour pouvoir me préparer, petit-déjeuner avec Jean, le déposer à l'Institut, à 8h30 et être à mon bureau dix minutes après.

    Lundi 23 janvier 2017 - 13h00

    Je sors fumer une cigarette et j'en profite pour appeler mon beau-père. C'est lui qui décroche : « Bonjour, Loré, tu as besoin de nous ? ». « Bonjour, Jules, oui, je suis au bureau et cet après midi et demain, je vais être très occupée par l'arrivée de cinq avions d'un coup, et mon boss voudrais que je m'en occupe, j'ai peur de ne pas pouvoir déposer et récupérer Jean à l'Institut et d'arriver à la maison après ses devoirs, vous pouvez me dépanner ? ».

    « Bien sur, Loré ». « Si tu veux, je m'en occupe jusqu'au retour d'Yves, le vendredi ? ». « Merci Jules, Adrienne et vous êtes très chics, je ne sais pas encore ce que je ferai, je vais voir comment les cinq révisions évoluent, et je vous tiens au courant, je vous embrasse Jules et encore merci ! ».

    Je suis à peine assise à mon bureau que mon boss revient de déjeuner. Il est surpris de me voir au bureau : « Eh bien, Loré, que fais-tu là ? Tu es rentrée tôt ou tu n'es pas allée manger ? Qu'est-ce qui se passe ? ».

    « Oh, rien de grave, boss ! Yves est parti ce matin pour Moscou, mon amie est occupée, et, Jean essaye la cantine. Je n'ai pas eu envie de manger seule, et je suis restée, pour avancer mon travail, et ne pas avoir de retard ». « Loré, même quand tu t'absentes, tu emportes tes dossiers chez toi et tu m'envoies tes décisions par mail, je n'ai plus qu'à vérifier d'un œil distrait, les parapher et les donner à Sophie pour les traiter et les mettre en parapheur. Donc je sais très bien que tu n'as jamais aucun retard ! ».

    « Oui, vous avez raison, boss, mais cette semaine, j'ai du prendre deux jours de RTT : mardi et jeudi, pour m'occuper du ménage et du repassage. Je ne veux pas que ces problèmes domestiques viennent gêner l'aide que je suis sensée vous apporter, voilà pourquoi je mets les bouchées doubles : justement pour ne pas avoir de retard ! ».

    « Je te comprends et t'en remercie, Loré, et je suis content que tu me dises tout ça, car j'ai la solution à ton petit problème domestique ! Je vais anticiper une offre, que je voulais te faire le jour du Printemps, pour te rendre encore plus belle et rayonnante ! ». « Boss, je vais rougir ! Depuis dix ans que je vous vois plus que votre femme, vous auriez pu vous déclarer plus tôt ! ».

    « Ah ! Loré : ta franchise et ton humour ! Je t'apprécie aussi pour ça ! ». « Je le sais bien, boss, sinon, je ne me permettrais jamais de vous taquiner ! ».

    « Redevenons sérieux ! J'avais décidé de te proposer un ajustement de salaire à partir d'avril ! Je vais donc l'anticiper et te proposer 500€ de plus, en net mensuel, dès ce mois de janvier. Avec ces sous, tu pourras te payer une femme de ménage, mais, surtout pas pour faire plus d'heures ici, il est clair que c'est pour que tu profites plus de ta vie, de ton fils et de ton mari ! ».

    « Mais, boss, c'est énorme ! Vous êtes sur que c'est raisonnable et que je les mérite ? ». « Raisonnable ? Demande à Richard, notre grand argentier, si, 12.000€ de dépense annuelle de plus, gênerait notre trésorerie ? Tu me raconteras sa réaction ! Quant à savoir si c'est mérité ou non, c'est moi seul qui en décide ! ».

    « Boss, je ne sais que vous dire ! ». « Eh bien, tu n'as qu'à m'envoyer un mail avec « merci boss ! ». Donc, demain tu n'es pas là ? Je fais refaire ta fiche de paye de janvier avec ton nouveau salaire, une objection ? ». « Non, juste un caprice, boss, je peux vous faire un gros bisou ? ».

    « Ah, Loré, tu aurais du te déclarer plus tôt, hélas, je suis marié ! ». J'éclate de rire et lui smacke la joue avec un plaisir immense ! Et une fierté très intérieure !

    Lundi 23 janvier 2017 - 18h00

    Je quitte le bureau, après avoir glissé un mot sous la porte du bureau du boss : « Encore, merci, boss ! En cas de problème mon portable est toujours branché ! A mercredi, Loré ».

    Je rentre à la maison en chantonnant et je décide de consacrer mon mardi matin à chercher quelqu'un pour m'aider.

    Il me tarde d'avoir l'appel d'Yves pour lui annoncer la nouvelle ! Je m'arrête sur un parking pour téléphoner à mon beau-père. C'est lui qui me répond : « Bonsoir, Loré, tu veux que je te passe Jean ? Ne le dérangez pas s'il est occupé, il vous faut des vêtements ? ». « Non, l'armoire de sa chambre est bien pleine, ne te fais pas de souci et nous assurons ses changements de taille ou de pointure ! ».

    « Vous m'étonnerez toujours ! Comment vous remercier ? ». « Mais, Loré, simplement en nous laissant Jean de temps en temps, comme tu le fais si bien ! En quatre ans, il est devenu notre potion de jeunesse comme Yves et toi ! Je vais le chercher ! ».

    « Non, Jules ce n'est pas la peine, dites lui que j'ai appelé et que je l'embrasse très fort. Je sais qu'il est très bien avec vous et je l'aime de tout mon cœur ! ». « Rassure toi Loré, il le sait parfaitement bien ! Bon courage pour ton travail, embrasse Yves de notre part quand il t'appellera ce soir !».

    Et il raccroche, quels beaux-parents fantastiques j'ai !

    Lundi 23 janvier 2017 - 19h30

    Je redémarre, tout est réglé :

    Ce que je dois dire à Yves : l'augmentation, la future aide ménagère, mon feu vert pour la soirée chez Annie et Marc et ma promesse qu'il rappelle de suite Annie.

    Ma matinée de mardi, au lieu de repasser : trouver celle qui va le faire ! Jean a un bon foyer que sa maman a tendance à déserter, mais le tout c'est qu'il soit heureux, le midi avec ses copains et de temps en temps chez Papy et Mamy !

    Petit point non résolu : vais-je bien assumer mon rôle de compétitrice demain après midi ?

    Je grignote quelques tapas, et bois du jus d'orange quand Yves m'appelle de Moscou, je lui raconte et lui dis tout ce que j'ai à lui dire, pour lui ma journée est magnifique et va changer toute notre vie !

    Je me demande si le changement est du à mon augmentation, à la femme de ménage ou à la bite de Marc ! Mais la communication étant vraiment très mauvaise, je m'assure qu'il a tout compris, qu'il a bien le numéro d'Annie et nous raccrochons en même temps !

    Lundi 23 janvier 2017 - 20h00

    Étant en retard de sommeil, la maison de Loré-toute-seule s'éteint, exceptionnellement à 20h00 ! A noter que je dors avec un vieux pyjama d'Yves et une culotte toute propre, pour éviter toute tentation !

    Mardi 24 janvier 2017 - 08h00

    J'ouvre les yeux sans réveil, je regarde l'heure, et je réalise un peu ébahie que j'ai dormi 12h ! Un tour de cadran !

    Je saute du lit, me rappelle pourquoi je porte une cuirasse et me demande comment je vais me doucher ?

    Je vandalise mon frigo en mangeant tout ce qu'il y a dedans pendant une bonne demi-heure, je finis dans mon bureau, avec une tasse de café, toujours en pyjama, et lance des recherches sur Google pour une femme_de_ ménage_repasseuse_aide_ménagère_sud_Issoire, comme d'hab, j'ai 500.000 réponses, ce qui me semble totalement irréel ! Je n'ai pas mis Pékin pour le lieu, j'ai bien mis Sud_Issoire !

    Enfin, pas grave, qui peut le plus, peut le moins : je réponds à dix demandes de ce type d'aide à domicile, en envoyant le même mail aux dix dames qui me semblent correspondre en lieu de résidence, en âge, en expérience et parfois en photo, à ce que je cherche :

    « Je m'appelle Loréna, j'ai 32 ans, débordée par ma profession, je cherche une aide pour m'assister à domicile, principalement pour du repassage, faisable même à votre domicile, et si accord pour un peu de ménage. J'habite à nom_de_mon_village. Dans la Société qui m'emploie, je m'occupe aussi des 250 salariés, ma gestion est simple : honnêteté, vérité, confiance et si problème explication en tête à tête. Et, depuis dix ans, ça fonctionne bien ! Je peux vous recevoir, chez moi, ce samedi 28 janvier, pour une réponse sous 2h. Si un tel rendez-vous vous convient, appelez moi au 06 22 23 24 25, ce vendredi 27 janvier de 10h à 12h. Merci de respecter cet horaire. A bientôt ? Loréna Dufour »

    Pour l'informer, j'envoie une copie à Annie, ou plutôt à Madame Annie ! Elle sera contente d'apprendre que je cherche à avoir plus de temps libre !

    Mardi 24 janvier 2017 - 11h30

    Sans m'en rendre compte, entre mes recherches, mes lectures d'annonces, la sélection soignée des dix éventuelles candidates, la rédaction du mail collectif, et l'envoi, à toutes les destinataires en « cci », j'ai laissé passer toute ma matinée, mais sans aucun regret : sur dix postulantes, il y en a bien une qui me dira oui et à qui j'aurai envie de dire pareil !

    D'un autre côté, je réalise que, concentrée sur ma recherche, je n'ai pas eu le temps de penser à l'après midi qui se rapprochait à grand pas. Ce qui m'a évité des frissons, le trac et le stress d'être ou de ne pas être à la hauteur des attentes d'Annie.

    Toutefois, il me reste un peu plus d'une heure pour me préparer à recevoir mes deux gentilles dames !

    Je commence par un bain et essaye de bien me nettoyer de partout, en supposant que tous mes orifices seront sollicités. Par des langues ? Des plugs ? Des vibros ? Des doigts ? Ou des mains ? En fait par quelque chose, et ça j'en suis sûre ! J'utilise donc ma poire d'un demi-litre pour des petits lavements internes du vagin et du sphincter, injection d'eau jusqu'à ce que le rejet soit aussi pur que l'eau injectée ! Imparable !

    Ensuite deux problèmes se posent : la tenue pour laquelle je n'ai eu aucune instruction, et ce sera donc la règle générale qui jouera : un seul bijou et pas de sous-vêtements, et la coiffure, qui est vite choisie, car Annie aime trop mes couettes pour que je la contrarie, en me présentant cheveux lâchés ! Décidément, je suis dans la journée des solutions !

    Je me sèche le corps et les cheveux, je reste nue devant mon miroir pour me fignoler des nattes pas trop nunuches. Sure que c'est le moins moche que je puisse faire, je vais dans ma chambre pour préparer ma tenue : pas de fantaisie, je vais rester classique : une jupe bleu marine m'arrivant aux genoux, avec une petite fente coquine d'une dizaine de centimètres sur la cuisse gauche, des bas dim-up bleu ciel, des escarpins assortis à la jupe avec des talons d'environ sept centimètres, et un chemisier bleu clair, entre transparent et opaque, avec des manches larges, des poignets serrés et six boutons dont j'ai l'habitude de n'en boutonner que quatre, mais je jugerai devant ma psyché.

    Mardi 24 janvier 2017 - 12h15

    Il faut que je me trouve une activité pour éviter le trac de la rencontre qui est une première pour moi ! Je me sens forte dans ma tête, mais pas forcément dans mon courage, tout va dépendre de Lise ! Dont je ne connais vraiment pas grand chose, et surtout ni son physique, ni ses tabous ! Les deux éléments les plus importants dans une relation bdsm !

    Mais, il est vrai que j'ai délégué volontairement la totalité de ma volonté à Annie, la chargeant des décisions que je me contente d'exécuter !

    Je liste ce je n'ai pas fait dans la maison, à part le repassage, et je trouve finalement ! Mais c'est à l'extérieur, il me semble que ça fait un siècle que je n'ai plus ouvert ma boîte aux lettres ! Mais, il faut que je m'habille, je ne risque pas de sortir à poil !

    Je retourne dans ma chambre, j'enlève tous mes bijoux, y compris mon alliance, je prends le collier-alliance d'Annie que je pose à côté de moi, je m'assieds pour enfiler soigneusement mes bas, puis, debout devant la glace, c'est au tour de mon chemisier, qui finalement sera fermé par quatre boutons.

    Ce qui dévoile juste le haut de mes seins, et donc un bout de l'alliance, comme je peux le constater, après avoir mis la chaîne en place autour de mon cou, puis, j'enfile ma jupe, dans laquelle je glisse le bas de mon chemisier, en vérifiant que la fente est bien sur le côté de ma cuisse gauche, et, je termine par mes escarpins, que j'adore, car ils ont des semelles confort intégrées, qui me rendent le port de talons tout à fait supportables.

    Mon manteau est pendu à une patère de l'entrée, je l'enfile, prends ma clef et sors récupérer le courrier. J'ouvre et ne trouve qu'une enveloppe assez épaisse avec un destinataire : « Pour Madame Loréna », je me creuse un peu la cervelle et ne trouve qu'une personne qui m'a appelée « Madame Loréna » et c'est Vincent !

    Je pense que l'épaisseur est due à une liasse. Je me dépêche de rentrer et, sans même enlever mon manteau, je décachette l'enveloppe, il y a bien une liasse de billets de 50€. Annie et moi avons mis chacune 250€, sans même en parler à nos maris, et nous lui avons laissé l'enveloppe sur sa petite valise perso, avec un simple « merci » écrit sur l'enveloppe. Je constate donc, au passage, qu'il a changé l'enveloppe.

    N'ayant plus revu l'enveloppe, nous avons supposé qu'il l'avait prise et que prochainement nous aurions un merci de sa part.

    Je sors la liasse et trouve un mot : « Madame Loréna, après ce qui s'est passé entre nous trois, cet argent ressemble plus à un paiement pour service rendu qu'à un bonus - fort généreux - de remerciement pour la réussite de votre soirée ! Dans ces conditions, qui enfreignent tous mes principes moraux, il m'est impossible d'accepter cet argent. Merci pour le geste, à bientôt pour notre première soirée. Je garderai longtemps une partie de cette soirée en tête et pour ce souvenir, je vous dis : « Merci, Madame Loréna ».

    Quel homme ce Vincent ! Je ne sais pas comment vont se passer nos soirées coquines, mais j'espère qu'il ne m'étonnera pas, chaque fois que nous devrons nous rencontrer, je ne voudrais pas m'attacher d'avantage à lui que je ne l'ai été, ou pour être honnête que je le suis !

    Mardi 24 janvier 2017 - 12h50

    Je n’ai pas faim, je me sens de plus en plus nerveuse.

    Je fume cigarette sur cigarette et je dois même ouvrir la fenêtre pour assainir l’air du salon. Heureusement, le temps a décidé de rester au printemps alors que nous sommes au cœur de l’hiver.

    Ça fait bien dix fois que je vérifie ma tenue, ma silhouette, ma coiffure et mon décolleté, et chaque fois, je me persuade qu'Annie va aimer, et peut être même me féliciter, car ses règles, parfois drastiques, sont toutes respectées !

    Au cas où, j'ai préparé une cafetière thermos d'expresso et quatre assiettes de petits fours sucrés, des Surgelés Picard mis à décongeler hier soir. Je regarde sans arrêt la pendule du salon. Il me tarde d'être plus vieille de dix minutes !

    Mardi 24 janvier 2017 - 12h55

    Deux petits coups de politesse à la porte qui n'est pas verrouillée, Annie en a l'habitude. Finalement contente de ne plus être seule, je quitte le canapé où je ruminais et vais à sa rencontre.

    Elle est déjà à l'entrée du salon, et, sans me saluer, elle me donne un sac plastique en me disant : « Tiens, petite pute, ouvre ton sex-shop et range ça dans tes jouets cochons ».

    J'en sors un objet en cuir. Je pense au départ que c’est un gode ceinture, mais à le regarder de plus près, je constate qu'il s’agit d’un gode qui se fixe avec des courroies sur ou dans la bouche de quelqu’un. Je comprends vite ses deux fonctions. Je le range donc dans les bâillons.

    Elle fait un tour dans la cuisine, pour voir ce que j'ai préparé et en revenant, elle mâche un gâteau, et me dit, la bouche à pleine : « Hum, comme d'habitude, ton café sent bon, sers moi une tasse, ma catin préférée ! ».

    Pendant que je la sers, elle allume une cigarette et s’installe dans un fauteuil en repliant ses pieds chaussés sous elle : « J’espère que Lise sera à l’heure, je déteste les gens qui sont en retard. Pas grave, en attendant, j'ai une bonne nouvelle pour toi, mais avant, je voudrais voir ta petite culotte de salope ! ». Après un « Bien, Madame » sans aucune ironie, je me mets devant son fauteuil et je roule ma jupe qui est peu serrée sur ma taille, exhibant ma chatte imberbe, et en me tournant, mon cul nerveusement serré !

    « Je vois que tu as opté pour la couleur chair, elle te va très bien, à présent, ton soutien gorge ! ». Je lui tourne le dos, pour défaire deux boutons de plus de mon chemisier, et je me retourne, lui offrant mes seins nus aux tétons déjà bandés comme des baromètres de mon humidité intime ! Les traîtres !

    « Parure assortie, pas de faute de goût et un joli pendentif avec une alliance qui arrive juste dans la vallée de tes nichons, bijou original et très porno ! Très bien, ta Maîtresse a bon goût ! ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 13h05

    « Déjà cinq minutes de retard, cette connasse va finir par trouver la porte close, je la déteste déjà, et elle a tort de se foutre de ma gueule ! ».

    « Je peux me permettre une réflexion, Madame ? ». « Tu crois qu'elle sera intéressante ? Je n'aime pas que tu interviennes de cette manière, une prostituée doit apprendre à rester sur son bout de trottoir ! ».

    « Entendu, Madame, je me tais ». « C'est mieux pour toi, Lise m'emmerde, je n'aimerais pas me fâcher aussi contre toi ! Bon, en échange de ta coiffure totalement ridicule, mais qui me plaît beaucoup, de ton unique bijou et de ta parure de sous-vêtements couleur chair, je vais t'offrir une récompense ! ».

    Elle sort son portable de son sac, m'ordonne de me rapprocher d'elle et me dit : « Je te fais une fleur, je t'ai mis une des photos de Lise, sur mon portable : tu vas pouvoir la voir ! ». Je me penche vers l'écran, curieuse mais aussi inquiète de la découvrir, mais ce que je vois me plaît beaucoup !

    Annie commente : « Elle est très mignonne avec un joli sourire et de belles jambes, si, toutefois, ce n’est pas la photo de sa voisine ! Si c'est bien elle, elle est même trop mignonne pour toi, il faut absolument que je te trouve une vieille pute, cassée par la vie, moche et grosse pour bien t’humilier ».

    Je ne réponds rien et lui demande si elle veut un autre café, et si elle m'autorise à en boire une tasse : « Oui ma putain, sers nous ».

    Je bois mon café debout à côté d’elle. Je suis soulagée quand mon portable sonne, c’est bien Lise, je mets le haut parleur : « Bonjour Loréna, j’arrive, j'ai eu un peu de mal à trouver ton village, je me suis perdue deux fois, j'espère que, Madame, me pardonnera, et pourtant je suis partie bien avant midi mais ça ne fait que trois minutes que j’ai repéré le fléchage de ton lotissement ! ».

    « Très bien je t'attends, Madame est agacée par ton retard, elle acceptera peut être tes excuses, je ne peux pas parler pour elle, c’est la seule maison d'un étage qui a des volets marrons ». « Je t’embrasse, à tout de suite ».

    « Peut être que le plan que je lui ai envoyé était imprécis, Madame, si c'est ça, merci de me pardonner et de ne pas en vouloir à Lise ». « Tu es têtue, enculée de call-girl ! Je t'ai dit que je me foutais de ce que tu pensais, je savais bien que tu voulais la défendre, et tu as tout de même réussi à me faire chier avec ton raisonnement à l'eau de rose ! Tu vas déboutonner ton chemisier, choisir, dans ton sex-shop, deux gros écraseurs de bouts de mamelles et te les poser, sans un cri, puis tu refermeras cinq boutons de ton chemisier et tu resteras très naturelle, je ne veux pas que Lise voit que tu souffres, ça t'apprendra à me faire chier, connasse nauséabonde ! ».

    « Au moins, elle ne m'a pas posé un lapin, termine vite ton café ! Et, dis-moi : Yves n'est pas étonné par l'augmentation du nombre de vos jouets sexuels ? ». « Non, Madame, car ça fait longtemps que je ne lui ai pas demandé de me dominer, et je lui ai dit que j'avais fait les soldes d’un sex-shop en ligne, donc il ne sera pas étonné ». « C’est bien continue comme ça et, si un soir, il en a envie, arrange toi pour lui dire que tu n'as pas envie de jouer, j’ai envie de continuer à avoir l'exclusivité de jouer avec mon esclave privée ». « Rassurez-vous, Madame, mais ça n'arrivera pas, car, quand j’en ai envie, je mets un bracelet convenu entre nous, et tant qu’il ne le voit pas à mon poignet, il n'exige rien ».

    Annie rit : « Excellente idée ! Comme ça au moins tout est clair ! Montre moi ce bracelet ! ».

    En marchant doucement, pour ne pas que mes seins se balancent trop, je reviens de la chambre avec un petit bracelet de pacotille, Annie sourit en le jugeant : « Comment donner de la valeur à quelque chose qui n’en a pas ? Eh bien, je sais maintenant comment te demander de te soumettre à ton mari ! Mais aussi comment lui enlever toute envie de te demander de te soumettre ! Hum, plus j’ai de pouvoir sur toi, plus je trouve ce jeu m'excite ! ».

    Je ne réponds rien. C'est juste à ce moment qu'on frappe deux coups timides à la porte. Annie me fait signe d’aller ouvrir.

    C’est, Lise, elle est telle que sur la photo avec des cheveux un peu plus longs. Timidement nous nous saluons d'un, ravie de te connaître, en nous bisouillant les joues. Je la fait entrer et verrouille la porte derrière nous en lui disant : « Madame est au salon, suis moi ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 13h20

    Annie regarde longuement Lise, qui baisse immédiatement les yeux pour ne pas croiser son regard : « Bonjour Lise, tu es aussi mignonne que sur ta photo, je m’appelle Annie mais tu m’appelleras Madame, elle, c’est mon esclave : Putain Loré dont je termine le dressage. Es-tu bien éduquée ? ».

    « Je le crois, Madame, malgré mon jeune âge, j’ai déjà beaucoup obéi mais surtout à des partenaires de passage ». « De passage ? Tu les dragues comment ? ». « Sur le Web, Madame ». « Et tu n'arrives pas à en garder un ou une ? ». « Ils cherchent plus une fille facile qu’une soumise, et la plupart ne connaissent même pas la différence, les vrais Maîtres sont rares, Madame, et ne parlons même pas des vraies Maîtresses ! ». « Je vois, et tu as déjà obéi à des femmes ? ». « Très peu, Madame, deux fois seulement ». « Je vois : je t'ai dit, par l'intermédiaire de Putain Loré, que tu ne devais attendre aucune tendresse de ma part ! ».

    « Oui, Madame, je le sais ». « Et, tu es venue malgré ça ? Tu n‘as pas un peu peur ? ». « Je mentirai en disant que non, Madame, je suis inquiète et nerveuse, mais j’essaye de ne pas le montrer ! ».

    Annie rit : « Je vais vite savoir, si tu es une bonne soumise, mais au moins tu es franche, tu devrais bien t’entendre avec Putain Loré ! Veux-tu un expresso ? ». « Oh, oui, Madame avec plaisir, et un sucre, s’il vous plaît, je n'avais pas beaucoup de kilomètres à faire pour vous rejoindre, mais j'en ai fait au moins le double ! Je suis furieuse contre moi, car le plan de Loré était parfait ». « Sers lui une tasse, Putain Loré ».

    Je me penche sur la table et lui sers une tasse avec un sucre que je remue. Je lui tends la tasse mais Annie m’arrête : « Non Putain Loré, bois une gorgée et embrasse Lise sur la bouche, c’est comme ça qu’elle va boire toute sa tasse ».

    Je me force inutilement à ne pas rougir, il faut absolument que je perde ce réflexe, Lise semble un peu plus décontractée que moi, ses lèvres sont douces et elle avale lentement le café que je lui régurgite dans la bouche. Annie nous regarde : « Lise je vais filmer tout l’après midi, avec une caméra semi-professionnelle, veux-tu un loup pour dissimuler tes yeux ? ».

    « Non Madame, je suis célibataire et libre de mon corps, je n’ai aucune raison de me dissimuler le visage ».

    Un cinquième baiser nous permet de finir la tasse et Lise en profite pour glisser sa langue dans ma bouche. Nous mélangeons nos salives et Annie s’en rend parfaitement compte : « Tu es bisexuelle Lise ? ». « On ne peut que l’être en embrassant, Loréna, Madame ». « Tu sais, elle a presque dix ans de plus que toi, et son corps a beaucoup servi ! Elle n’est plus de toute première fraîcheur ! ».

    J'encaisse mal l’insulte mais Lise ne dit rien. Annie sourit de voir cette solidarité entre nous, je sens qu’elle s’amuse beaucoup de cette situation, elle se retrouve avec deux soumises télécommandées au lieu d’une et, ça n’a vraiment pas l’air de lui déplaire.

    Elle allume une cigarette et nous dit : « Bien, mettez vous pieds nus ». Nous sommes toutes les deux dans la même situation, il nous faut ôter nos chaussures, puis nos bas : Lise a de tout petits pieds adorables, aux ongles vernis de frais.

    « Venez, mes petites putains, nous allons visiter le jardin de Putain Loré, il est plus excitant et mieux entretenu qu'elle ! ». Nous la suivons et elle nous fait parcourir le jardin de long en large, marcher sur des allées de béton, dans du sable et même dans une petite flaque d’eau.

    Quand elle décide que c’est suffisant, nous la suivons, têtes basses, dans la maison. Avec l’envie commune d’aller dans la salle de bains, pour nous nettoyer les pieds.

    Annie se rassied et sort sa caméra de son grand sac : « Pute Lise, couche toi sur le dos sur le tapis, Putain Loré, tu vas te coucher sur elle, tête bêche, vous avez dix minutes et pas une minute de plus, pour vous nettoyer mutuellement les pieds, uniquement avec vos langues ! ».

    La poussière, l’eau, le sable et les saloperies ont formé une petite croûte sur la plante des pieds de Lise, je suis obligée de beaucoup saliver pour bien la nettoyer, et en plus elle craint les chatouilles, ce qui ne me facilite pas la tache. Alors que je sens sa propre langue sur mes pieds, je passe ma langue humide entre ses orteils, ce qui la fait se trémousser encore plus, je suis obligée tout comme elle d’avaler les cochonneries que je retire de ses pieds.

    Mais en même temps je sens mon ventre se contracter et mon sexe se tremper. Tenant son pied dans une de mes mains, je lui lèche soigneusement ses petits ongles vernis : petite gâterie, avant de retourner enlever la saleté de son autre talon. Je la sens frémir sous moi. Je me demande si, elle aussi est excitée. Ses pieds luisent de ma salive tout comme les miens doivent briller de la sienne, quand Annie nous arrête :

    « Relevez vous, appuyez vous l’une à l’autre et chacune me présente tour à tour les pieds de l’autre, je vais voir s’ils sont propres ». Je lui présente les pieds de Lise, Annie les juge propres. Puis c’est au tour des miens. L’inspection est aussi positive : « Bien mes salopes vous êtes de bonnes lécheuses de pieds, je vous recommanderai à mes amis ! Vous pouvez remettre vos bas et vos escarpins ».

    Lise et moi nous nous exécutons, et dès que nous sommes prêtes, nous reprenons nos places, debout, face à notre Maîtresse.

    Annie, n'a pas fini avec ce sujet humiliant, et décide d'aller encore plus loin : « Mais dites moi, mes petites prostituées, imaginons que ce que vous venez de faire soit une prestation tarifée : vous allez me murmurer à l'oreille, l'une après l'autre, combien d'euros vous demanderiez ? Pute Lise, combien demanderais-tu pour t'humilier comme ça, probablement devant des voyeurs ? Lise le lui murmure. Annie me dit « Et, toi, Putain Loré ? ». Je lui dis mon prix à l'oreille.

    Annie conclut : « Amusant ! Pour s'humilier publiquement, Pute Lise, veut 10€ et Putain Loré : 50€, qui a raison ? Je ne sais pas ! Mais si Putain Loré veut 50€ pour lécher des orteils, je pense qu'elle va demander 1.000€ pour se faire enculer, surtout si c'est l'extra d'un traiteur ! ».

    Je prends sa vacherie en pleine figure, mais je suppose qu'à partir de ce jour, elle va continuer à m'humilier régulièrement avec cette scène !

    Mardi 24 janvier 2017 - 14h00

    « Voyons à présent, ce que les militaires appellent les dégâts collatéraux, c'est à dire le résultat de cette séance de léchage de pieds sales sur vos moules respectives : Pute Lise, doigte bien profond le con de Putain Loré et dis moi si elle est sèche, mouillée ou trempée ? ».

    Elle s’approche de moi, me regarde, comme pour me demander pardon, et glisse sa main sous ma jupe, probablement un peu surprise de ne pas rencontrer de culotte. Elle glisse un doigt en moi et à ma grande honte, il s'enfonce très facilement.

    Elle le remue un peu avant de le retirer trempé : « Alors ? ». « Oui Madame elle est humide ».

    Annie hausse le ton : « Lise, si tu veux obéir correctement, il faut que tu écoutes mes questions, je t'ai demandé si elle était sèche, mouillée ou trempée ? Rapproche toi de moi, encore un peu, regarde, je serre mes cuisses pour que tu puisses les chevaucher, pour bien te rapprocher, très bien ne bouge plus ».

    Lise s'immobilise, j'ai très peur pour elle : le premier aller-retour sur son visage s'accompagne de : « Alors, Pute Lise : elle est sèche ? ». Elle a le réflexe malheureux de se frotter l'une des joues, et encaisse deux autres allers-retours consécutifs, accompagnés de : « Ou mouillée, Pute Lise ? ».

    Et le dernier aller-retour encore plus puissant s'accompagne de : « Ou trempée ? Tu as compris la règle, Pute Lise ? ». Lise efface un petit sniff de son petit nez : « Oui, Madame, je retiendrai la leçon : Loré est trempée ».

    Annie éclate de rire : « Le contraire m’aurait étonnée ! A ton tour, Putain Loré de prendre la température du con de ta collègue prostituée ! ». Un peu crispée je me rapproche d’elle, glisse ma main sous sa jupe, écarte sa culotte et trouve une chatte dégoulinante, j’y tourne mon doigt avant de l’essuyer sur ses poils pubiens. « Alors, Putain Loré ? Ton verdict ? ». « Elle est est trempée, Madame ».

    « Bien j'ai une belle égalité avec une Pute et une Putain trempées ! Je vais recommencer mon petit jeu de parlez moi à l'oreille ! Je vais fumer une cigarette, quand je l'écraserai, Putain Loré puis Pute Lise, vous viendrez dans cet ordre me proposer comment vous soumettriez l'autre si vous étiez la Maîtresse ? Vous avez compris, même toi Pute Lise, j'ai été claire ? ». « Oui, Madame, j'ai très bien compris ».

    Annie rajoute : « Je voudrais vous dire, surtout à toi Pute Lise, qu'il vaut mieux que vous mettiez vos sentiments de côté pour tout cet après midi, si l'une d'entre vous veut faire une fleur à l'autre, et par exemple, lui demander de sauter trente secondes sur place en ouvrant un parapluie, ce qui est une punition très raffinée, méfiez-vous : l'autre catin qui est votre concurrente, risque de ne pas vous faire le même cadeau ! ».

    Réfléchissez bien, j'allume ma cigarette !

    Mardi 24 janvier 2017 - 14h20

    Un très gros ange passe, sans même rompre le silence qui s'est abattu sur le salon. Lise et moi réfléchissons sans nous regarder, je sais qu'elle n'a pas envie de m'humilier ou de me faire souffrir, mais, la règle du jeu établie par Annie est claire et très sévère : la plus perverse va gagner ! Alors, autant ne pas perdre !

    Lise demande à Annie : « Madame, je peux vous poser une question ? S'il vous plaît ? ». « Ça dépend : ta question concerne le jeu que je vous impose ? ». « Oui, Madame ». « Vas-y Pute Lise, je t'écoute ». « Merci, Madame, je suppose que pour l'éducation de Loréna, vous disposez, ou elle dispose d'accessoires sexuels, qu'elle connaît bien. Pour établir l'égalité, pourrais-je les voir ? Merci de m'avoir écoutée, Madame ».

    « Ta question est intelligente et fondée, tu vas accéder à sa panoplie de jouets et de sex-toys, mais pas pour cette première épreuve pour laquelle, je préfère des propositions d'humiliations très cérébrales et perverses, sans aucun accessoire. Cela dit, je vais rallonger votre délai en fumant une deuxième cigarette pour que vous teniez compte, toutes les deux, de cette réponse à ta question Pute Lise ».

    Nous la remercions de concert et reprenons notre réflexion, pendant qu'Annie prépare sa deuxième cigarette.

    Quand elle l'écrase elle nous dit ! « Putain Loré, je t'écoute ». Je m'approche d'elle, me penche à son oreille : 

    « Merci de me permettre une suggestion, Madame : j'ai appris de vous que vous aimez retarder le plus possible le moment de voir vos soumises nues, je vous propose donc que Lise reste habillée, mais, que, comme nous sommes toutes les deux visiblement très excitée, vous lui donniez l'ordre de me lécher la raie du cul, l'anus et le con, en passant sous ma jupe, ou en la relevant, dans les positons que vous nous imposerez. Pendant que je me masturberai le clito, jusqu'à vous annoncer ma jouissance prochaine, que vous déciderez d'annuler ou d'accepter, je pense que Lise et moi seront encore plus excitées, et que vous pourrez passer à des épreuves plus excitantes pour vous et plus dures pour nous, merci de m'avoir écoutée, Madame ! ».

    « Merci, Putain Loré, à toi Pute Lise ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 14h40

    Lise est beaucoup plus longue que moi à expliquer son idée à l'oreille d'Annie qui sourit plusieurs fois. Je suis un peu soucieuse, je ne la connais pas du tout, peut être est-elle la plus cérébrale des trois !

    Elle revient à mes côtés et Annie allume une autre cigarette, m'ordonne de lui servir un café et fume en le dégustant, tout en réfléchissant, visiblement elle a du mal à faire son choix.

    Elle se décide finalement et annonce que c'est la suggestion de Pute Lise qui l'excite le plus. Je regarde Lise, elle sourit, visiblement très fière d'avoir été choisie pas notre Maîtresse !

    Elle m'ordonne de me mettre à côté de la table ronde du salon. Et me dit ce qui va se passer : « Putain Loré, Pute Lise ferait une bonne Maîtresse Lise, et tu vas apprécier ses talents ! Tu vas commencer par enlever tes escarpins que tu vas bien aligner sur ta table ronde. Bien, comme ça ! A présent, tu t'assieds sur la table et, délicatement, sans les filer, tu enlèves un par un tes dim-up que tu vas bien dérouler avant de les ranger à côté de tes chaussures. Voilà, doucement, ne file pas une maille, ils sont trop beaux ! »

    Elle me laisse terminer en s'adressant à Lise : « Pute Lise, mets toi debout à ma droite. Recule toi un peu, encore un peu, voilà, c'est parfait. Je te vois bien et toi, tu vois, Putain Loré m'obéir ! C'est au tour de ta jupe, Putain Loré, dézippe la doucement, comme elle est un peu ajustée, tortille bien ton cul comme sur un trottoir devant la gare et fais la glisser à tes pieds, reste comme ça pour ma caméra et pour que Pute Lise te mate bien ! Très bien, à présent, tourne toi. Tu vas nous offrir ton cul, et l'ouvrir de tes deux mains, Pute Lise ne connaît pas encore ton trou à merde, que, j'espère, tu-as soigneusement récuré ! ».

    Juste avant de me retourner, je constate que le visage de Lise a un peu rougi de me voir exécuter ce strip-tease qu'elle a elle même suggéré ! Annie prend son temps pour zoomer sur mon anus largement exhibé que Lise mate avec désir ! Elle doit penser que cette nouvelle recrue n'est pas si sainte que ça !

    « Putain Loré, reste comme tu es, dos tourné, tu vas déboutonner ton chemisier, le faire glisser sur tes épaules et bien te cambrer pour que tes nichons pointent ! ». Elle me laisse le temps et quand elle me sent prête, elle me donne l'ordre de me retourner lentement et de regarder Lise dans les yeux.

    Je me retourne, et, dévoile à ma collègue, mes nichons aux bouts lourdement et douloureusement écrasés. Un « Oh », de surprise s'échappe de ses jolies lèvres et je croise son regard triste. Elle vient de comprendre que, depuis son arrivée, je souffrais des nichons sans me plaindre.

    Annie reprend de suite le contrôle et me gifle moralement : « Tu vois, Pute Lise, je te l’avais annoncé : regarde les grosses mamelles de cette vache à lait, avec ses gros bouts qui bandent tellement que je suis obligée de les dissimuler dans des écraseurs, son petit ventre avec deux bourrelets de graisse, son cul de salope qui porte les stigmates de toutes les pines qui l'ont enculée ! Cette vieille catin t’excite toujours ? ».

    Lise ne réfléchit pas un seul instant : « Oh oui, Madame, je la trouve très belle et elle m'excite terriblement, vous êtes trop dure avec elle ».

    En souriant, Annie se lève, s’approche d'elle et la gifle méchamment de trois allers-retours puissants qui lui marquent les deux joues, sans que Lise ne fasse rien pour les éviter. En la contredisant, Lise savait ce qui l'attendait et était d'accord pour en payer le prix : « Je n’aime pas être contredite salope ».

    Elle m'ordonne d'enlever complètement mon chemisier et de le déposer comme le reste sur la table et de revenir de la salle de bains avec le baume apaisant pour que Lise s'en mette sur les joues.

    Mais, Annie est en colère et, en nous disant : « Pute Lise a pris la liberté de me contredire, je ne vois pas pourquoi je dois respecter toutes mes promesses, donc, je vais tenir la première : Putain Loré, à poil et nichons écrasés, tu vas conduire Pute Lise à ton armoire, et lui faire un inventaire de ta panoplie d'esclave-maso. Quand Lise te dira qu'elle a tout noté, et, là, je ne tiens plus ma promesse, tu vas prendre ton gros gode noir ceinture à picots que tu déposeras sur ta table, et tu reviendras à ta place ! ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 15h00

    Corps nu, seins pincés et yeux baissés, je prends Lise par la main et la conduit devant mon armoire : « Voilà ma collection, Lise ».

    Elle s'approche, n'hésite pas à en prendre quelques uns dans ses mains et sourit parfois devant des instruments bizarres ou énormes ! Elle semble tous les connaître et ne s'attarde pas. Elle me souffle qu'elle a juste retenu ceux qu'elle pourrait éventuellement utiliser ! Je pose sur la table le gode ceinture, demandé par Annie, et, nous reprenons nos places.

    « Tu vois, Pute Lise, que ta copine est bien équipée et je t'assure qu'elle sait comment fonctionnent tous ces petits jouets ! Mais, avant de commencer, tu vas allez te mettre derrière Putain Loré, te coller à son dos et à son cul et, comme tu seras bien placée, tu vas mettre tes mains sur ses nichons, et je vais te chronométrer cinq minutes pleines pour lui torturer ses bouts de nichons, en la faisant hurler de douleur, à trois, tu démarres ! ».

    Je sens qu'elle se place derrière moi, pendant qu'Annie décompte, lentement, elle pose ses mains sur mes nichons, prend les écraseurs entre deux doigts de chaque main et au top d'Annie, elle commence à les tordre, à les secouer, à les lever et les baisser brutalement et à gifler mes seins très fort pour qu'ils ballottent dans tous les sens.

    Quand Annie lui dit de stopper, mes hurlements de douleur cessent et sont remplacés par des reniflements de nez, car je pleure comme une gamine et mes jambes flageolent, ne me supportant quasiment plus !

    Annie m'autorise à ôter les deux écraseurs, mais ne parle pas de baume, elle me dit même : « Agenouille toi sur la table ronde, offre tes nichons à Pute Lise avec tes mains, en la suppliant de venir te soigner les tétons avec sa salive et ses dents ! ». Quand Lise a fini d'alterner la douceur et la torture exigées par Annie, je suis au bord de l'évanouissement.

    Annie félicite Lise et m'ordonne de l'aider à s'équiper du gode sans la déshabiller. Nous passons et nous fermons, toutes les deux la ceinture à sa taille, puis la courroie de maintien du gode entre ses cuisses, ce qui froisse sa jupe et dévoile sa chair nue au dessus des bas.

    Annie me dit : « Putain Loré, tu vas t'agenouiller sur le fauteuil, dans la même position qu'avec ton amant, le Chef du traiteur. Pute Lise va t'enculer, comme lui : sans lubrifiant et sans savoir si je la laisserai te faire jouir du cul, mais avec une différence : au lieu d'une grosse pine, ton cul de catin qui ne mérite que ça, va avaler ce monstre à picots ! ».

    Sans avoir envie de répondre ou de me rebeller, je me mets dans la position demandée, en sentant Lise cogner son gode juste à côté de mon anus, je sais que je suis à la bonne hauteur, je relâche tous mes muscles et essaye de bien ouvrir mon anus pour lui faciliter le passage.

    L'entrée du gland me fait hurler. Annie arrête Lise et lui ordonne de récupérer un gode bâillon dans l'armoire et de le serrer le plus fort possible sur ma nuque pour m'empêcher de gueuler comme une hystérique !

    Sitôt posé, elles ne m'entendent plus et je ne peux extérioriser ma douleur que par des torsions indécentes de tout mon corps.

    Quand, enfin, je suis un peu lubrifiée, j'entends Lise gémir de plaisir et accélérer ses allers-retours à présent presque agréables. Je ressens, sans entendre qu'elle prend son pied, mais malgré cette discrétion, Annie s'en est rendue compte ! « Tu m'expliques vite ce qui vient de se passer Pute Lise, avant que je ne change le gode de trou du cul ? ».

    « Oh, pardon, Madame, mais je suis tellement excitée, que cette jouissance m'a échappée, j'ai tenté de l'éviter, mais c'était trop tard, elle a fusé toute seule, je ne suis pas habituée à atteindre des excitations aussi fortes que celles que je ressens depuis mon arrivée, je vous jure que je ne mens pas, Madame, je vous en supplie, ne me punissez pas ! Je ferai tout ce que vous me demanderez sans exception ! ».

    A mon grand étonnement, Annie me demande : « Putain Loré, qu'en penses-tu ? Pute Lise dit-elle la vérité ? Est-elle fiable dans sa promesse incroyable de risque ? Et si je te disais, que j'attendais un seul orgasme de cet enculage superbe, tu me répondrais quoi ma salope ? ».

    « Avant tout, Madame, je vous remercie de me consulter. Je crois que Lise est incapable de mentir, ce n'est pas dans sa nature. Elle vous a fait une promesse et elle obéira ! Vous attendiez un seul orgasme de cet enculage, et vous venez de l'avoir, donc tout est parfait, Madame ! ».

    Lise me murmure à l'oreille : « Merci, Amour, je t'aime ! ». Annie fait semblant de ne pas avoir entendu et lui ordonne de sortir de mon cul, de prendre dans l'armoire un écarteur d'anus réglable. Je dois l'aider pour lui dire de mémoire où il est, car, il ne se reconnaît pas de suite. Yves me l'a beaucoup fait porter pendant quelques mois, mais il a arrêté car il préférait que j'ai un anus resserré pour mieux m'enculer ! ».

    Lise me le pose avec les conseils d'Annie. Pour le moment, il est plus petit que mon gode enculeur. A son sujet, quand l'écarteur est posé, Annie me demande d'aller me doucher pour me laver et me rafraîchir la figure, marquée par cette épreuve, et, en profiter pour nettoyer le gode picots et le ranger dans l'armoire.

    Mardi 24 janvier 2017 - 15h30

    Quand je reviens au salon, humide mais toujours à poil, Annie est dans son fauteuil, occupée à filmer Lise, agenouillée face au mur, dans un coin de la pièce. Toujours habillée, sa main droite glissée sous la jupe, elle se masturbe la chatte avec vigueur.

    Annie lui ordonne de de lever et de se retourner. Je peux lire son envie de jouir sur son visage crispé !

    Annie avance son bas ventre au ras du coussin du fauteuil, roule sa jupe sous laquelle elle n’a toujours pas de culotte et me dit : « Tu sais ce qu'il te reste à faire Putain Loré ? Tu es une gouine rodée, à présent ! ». Je m'approche d'elle à genoux et plaque ma bouche sur ses lèvres intimes en sortant immédiatement ma langue.

    Annie ne peut pas résister, et commente mon obéissance : « Tu vois, Pute Lise, Putain Loré, aimait les femmes avant de me connaître, mais, elle pratiquait peu ! Avec moi, elle apprend très vite à devenir une gouine satisfaisante, dans très peu de temps, elle fera la grimace devant une belle pine droite comme un « i », et n’acceptera plus que des moules de lesbiennes, et peut être même exclusivement la mienne ! Approche toi et observe bien sa technique, avant de nous quitter, tu me lécheras toi aussi, et je veux que tu sois parfaite, dans ce rôle important d'une esclave, si tu veux que je continue à baisser les yeux sur toi ! ».

    Annie est surexcitée, je n’ai jamais senti son clitoris aussi gonflé. Je dessèche ma langue, car, je sais qu'elle l'aime un peu râpeuse, et la fais courir de son petit trou à son gros bouton ! Sans rien oublier au passage et surtout d'avaler ses épaisses secrétions, secrètement fière de ses petits grognements de plaisir discrets.

    Elle demande à Lise ce qu'elle porte sur elle. « Ce que vous voyez, Madame, des escarpins, des bas avec élastiques aux cuisses, un petit gilet, un chemisier classique et une jupette au dessus des genoux et, ce que vous ne voyez pas : un soutien gorge balconnet bleu ciel et un tanga assorti, c'est tout, Madame ».

    « Très bien, Pute Lise, tu vas profiter que Putain Loré ne peut pas te voir, pour te mettre à poil, en commençant pas le haut pour terminer par tes bas, avant de remettre tes escarpins. Mets toi, là où était Putain Loré, pose tes affaires sur les siennes, et montre moi ton corps de pute ! Allez, le gilet ! Et arrête de rougir, tu te doutais tout de même, que tu n'allais pas passer l'après midi habillée ! Salope ! ».

    « Oui, bien sur, Madame, excusez moi, mais j'ai un peu honte, je me mets rarement nue devant d'aussi jolies femmes que vous ! ». « Tes compliments ne changeront rien, allez ton chemisier ! Beau soutif, en effet, fais sortir tes tétons par dessus les bonnets : Pfffffff ils sont minuscules, dis moi vite qu'ils grossissent s'ils sont chatouillés ou torturés ? ». « Oui Madame, je vous rassure, ils quadruplent facilement de volume ! ».

    « Ouf, car avec cette taille, je ne voyais pas où leur poser des pinces lestées ! Je suis rassurée, allez jette ton soutif et fais un tour sur toi même pour que je te vois bien, il est vrai que ton corps de jeunette est appétissant et me fait mouiller, mais je crois que je vais préférer tes réactions, allez, fais tomber ta jupe, j'ai hâte de voir ta cramouille et ton trou à merdes ! ».

    La langue douloureuse de lécher aussi fort le con d'Annie, j'imagine ma pauvre Lise rouge de honte, baisser sa jupe et sa petite culotte pour s'exhiber en bas et en talons devant Annie. Elle ne doit pas être très à l'aise !

    Mais, en même temps, je sens une forte pression d'Annie sur ma tête, je sais à présent que cette vue de Lise va la faire jouir, et c'est ce qui se passe, toujours dans la discrétion et le silence. Mais l'augmentation de ses jus est bien là pour attester d'un bel orgasme, qui comme d'habitude me remplit de joie pour elle et de fierté de lui servir à quelque chose !

    Elle récupère vite, et demande à Lise de terminer en ôtant ses bas et en remettant ses escarpins pour faire un peu plus pute ! Elle ment comme elle respire et lui dit : « Moi j’aurai droit à sa langue pour jouir, mais toi tu te contenteras de son pied, pour t’envoyer en l’air ! Pute Lise, agenouille toi derrière elle, prends un de ses pieds dans ta main et rentre tous ses orteils dans ta connasse de prostituée. Tu te branles et te pistonnes, pendant que Putain Loré agitera ses orteil dans tous les sens pour bien te masturber jusqu'à ce que tu nous offres une belle jouissance bien bruyante, et si possible en même temps que moi ! Car si je jouis avant toi, tu seras privée de cet orgasme ! ».

    J’ai l’impression que Lise se sert de mon gros orteil pour se branler le clito. Et je suis sure qu'elle suit le moindre rictus sur le visage d'Annie, pour que sa jouissance ne lui échappe pas ! Elle se contente de maintenir son excitation au plus haut de la courbe, mais dès qu'elle voit le visage d'Annie se contracter et se déformer légèrement, stigmates que je connais bien chez elle, elle s'envoie en l'air sous l’œil et la caméra d’Annie en poussant des petits gloussements d’animal blessé.

    Une fois de plus, je réalise et constate, que chaque femme a sa propre signature du plaisir. Annie la suit de peu, gémissant, un peu plus fort que d’habitude, en m’enserrant la tête entre ses cuisses tétanisées, me laissant sevrée d'orgasme comme d’habitude.

    Mardi 24 janvier 2017 - 16h00

    Annie donne le signal d’une trêve :

    « Putain Loré, ne lève pas la tête, Pute Lise va aller dans la salle de bains enfiler un peignoir, je ne veux pas que tu la vois nue, pour le moment ! ».

    Dès qu'elle revient, elle m'aide à me relever et nous dit : « Je vais me doucher, rangez vos jouets. A mon retour, nous allons boire une tasse de café et fumer une cigarette, ça nous fera du bien ».

    Nous sommes heureuses de cette pause, je vais préparer du café à la cuisine pendant que Lise m’apporte une cigarette allumée : « Annie est très dure, mais je suis si heureuse de cet après midi. J’ai encore envie de jouir. Dis moi Loré, je pourrais te voir seule ? ». « Chut ne dis pas ça, elle pourrait t’entendre, je ne sais pas, j'en ai aussi envie que toi, on pourrait essayer si elle s'absente, mais il ne faut pas se faire prendre ! ».

    Je porte la cafetière et Lise le reste du plateau, quand Annie revient, elle aussi en peignoir et toute fraîche : « Hum ça fait du bien, mais les putes n'ont pas droit à la douche ! ». Elle allume une cigarette et boit son café.

    « Bien vous allez vous habiller : une jupette, un petit pull col roulé, pas de sous vêtements, ni de bas, prenez un sac de sport pour emporter deux colliers de cou, huit bracelets de cuir pour les poignets et les chevilles, huit clips, deux plugs, deux vibros, le double gode-vibro que Putain Loré a choisi ! Huit pinces en fer lestées, deux masques de repos et deux ceinturons de cuir à vos tailles et attention de ne rien oublier : celle qui oubliera quelque chose devra aller le racheter, à poil dans le sex-shop d'Issoire ! Vous êtes prévenues ! ».

    Curieusement Annie semble lire une liste écrite, comme s’il s’agissait d’une commande. Je suis un peu inquiète, car visiblement nous allons quitter la maison et donc rencontrer d'autres personnes, mais qui ?

    Nous nous habillons séparément, ce qui m'empêche, encore une fois de contempler Lise nue. Avec quatre choses sur nous c’est vite fait, puis, dans l'armoire, nous prenons un à un les objets qu’Annie nous a demandés : colliers, bracelets, clips, plugs, vibros, gode-vibro double, pinces, masques et ceinturons.

    Nous rajoutons nos portables, et sortons derrière Annie.

    Mardi 24 janvier 2017 - 16h15

    Nous nous asseyons à l'arrière. En démarrant Annie nous dit : « Nous avons un quart d’heure de route, sortez vos vibros et branlez vous mutuellement, jupes relevées. Sans jouir, juste pour vous maintenir bien chaudes ! ».

    Nous nous serrons au milieu de la banquette, ouvrons le sac, sortons les vibros, et relevons nos jupes. Lise le glisse entre mes jambes en le positionnant soigneusement sur mon clito et appuie sur la télécommande pour le mettre doucement en route.

    Je fais pareil entre ses cuisses. Les ronronnements des vibros remplissent la voiture. C’est encore plus excitant que si Annie nous parlait. Elle nous regarde dans le rétroviseur et est visiblement contente de notre obéissance ! Elle rectifie notre sagesse en nous faisant augmenter leurs vitesses de deux positions ! Ce qui transforme notre douce caresse excitante en une lutte pour ne pas s'envoyer en l'air !

    Je regarde fixement Lise, je n’ai aucune idée de l’endroit où nous sommes. Annie ne quitte pas le rétro des yeux et roule prudemment. De temps à autre, des petits cris et des gémissements sourds nous échappent : « Attention, mes putes, pas d’orgasme, et interdiction de décoller vos vibros de vos clitos ! Apprenez à vous retenir salopes ! ».

    Le temps que nous passons à nous retenir sans pouvoir couper les vibrations qui nous taraudent nous paraît incroyablement long. Mais, heureusement Annie nous libère : « Nous arrivons, nettoyer bien le vibro de l’autre avec vos langues et rangez les ».

    Je suce le vibro, encore à la température du con de Lise, et découvre son odeur et son goût que j’aime de suite ! En redescendant sur terre, je constate que nous sommes dans la cour d’un motel, devant lequel je passe de temps en temps, pour aller en courses. Je le croyais fermé, mais, en fait, le parking n’est pas visible de la route, et même à cette heure, il y a quelques voitures devant les chambres.

    Annie se gare devant la chambre 18, sort une clé de sa boîte à gants et nous fait signe de descendre. Nous entrons dans la chambre. Elle semble habituée à cette pièce, car elle ferme les rideaux et allume toutes les lumières.

    La chambre est très spartiate de donc, sans grand confort : un grand lit, une table, deux chaises, un grand miroir mural, un paravent derrière lequel il y a un bidet et un lavabo. Sûrement un hôtel de routiers.

    Annie a apporté sa caméra enfermée dans une boîte de carton. Elle monte sur une chaise et pose le tout sur le caisson des stores. Elle sort son i-phone, se branche sur la web-cam et me demande de m'allonger sur un lit, puis sur l'autre. Toujours perchée sur la chaise, elle règle son objectif, et finit, en me faisant asseoir sur le bidet, toute habillée, et, descend de la chaise, contente du réglage de la web-cam !

    Je sais, à présent que nous allons avoir un ou plusieurs invités et qu'Annie ne perdra rien du spectacle porno qui se prépare dans cette chambre minable !

    « Bien sortez tous vos accessoires et rangez-les sur la table ». Nous nous exécutons : « Pute Lise, serre bien fort le collier de cuir autour du cou de Putain Loré, ainsi que ses bracelets de cuir aux chevilles et aux poignets ». Elle me fait presque mal aux poignets et aux chevilles et j’ai un peu de mal à respirer. C’est à mon tour de régler son collier et ses bracelets : j’essaye de moins serrer, mais Annie me fait de suite rectifier : rien ne lui échappe !

    « Bien à présent, mes petites putes, pluguez-vous mutuellement, jupes bien relevées et culs tournés vers la caméra ». Lise m'a tellement élargi l'anus avec le gode-picot, que même, sans l'élargisseur d'anus qui est resté à la maison, je sens que mon petit trou n'est pas encore refermé, et je suis la première à me pencher, jupe levée, pour proposer mes fesses à Lise qui, en effet, n’a guère de mal à introduire le plug jusqu’à sa protection en latex. Puis c’est son tour, je dois un peu forcer, mais avec un petit cri, son anus l’accepte en totalité.

    Annie prend deux chaises qu’elle met, dos à dos au milieu de la pièce devant le miroir, en nous ordonnant de nous asseoir. Telles que nous sommes, nous pouvons nous voir dans le grand miroir mural, juste en tournant un peu nos têtes. Annie prend les clips et relie mon poignet gauche au poignet droit de Lise, en s'arrangeant pour bloquer le tout, dans un des dossiers de chaise.

    Elle fait pareil avec les autres poignets, en nous mettant donc dans l’impossibilité de nous lever l’une sans l’autre, à moins d'emporter les chaises avec nous ! Elle relève nos jupes à mi cuisses et nous les fait écarter. Ce que nous faisons, tout en notant la position indécente que nous renvoie notre image dans le miroir.

    Pour finir de nous mettre mal à l'aise, elle se met debout devant chacune de nous, roulent nos pulls vers le haut, dénudant ainsi nos seins en dévoilant bien nos tétons. Contente de cette mise en scène, elle m’embrasse longuement sur la bouche me faisant frémir d’excitation et de plaisir et fait pareil à Lise sans que je ne puisse connaître sa réaction.

    Puis elle pose les masques sur nos yeux tout en nous disant : « Voilà vous êtes prêtes : rassurez vous personne ne vous reconnaîtra, et si la porte s’ouvre, c’est à quelqu'un à qui j’aurai donné mon accord et la clé, et, pour vous rassurer, je verrai toute la séance sur mon portable et au moindre problème je serai là. Amusez vous-bien, mes putes ! ».

    Et, elle sort de la chambre qu’elle referme à clé derrière elle.

    Mardi 24 janvier 2017 - 16h45

    Le silence de la chambre et nos masques nous oppressent.

    Lise craque la première : « Tu sais ce qui vas nous arriver Loré ? ». « Je suppose qu’Annie nous a louées à un ou des clients ». « Louées ? Tu veux dire prostituées ? ». « Oui c’est un des termes ». « Oh que j’ai honte ! J'ai lu que ça faisait partie de la soumission, mais je ne pensais pas qu'Annie irait si loin pour une première fois ».

    « Je m'en suis assez vite doutée, car elle nous a peu traitées de salope ou de catin, mais depuis ton arrivée elle utilise les termes de « prostituée, Putain Loré et Pute Lise », rassure toi, ma chérie, ce sera la troisième fois que je me prostitue pour elle, je peux te dire qu’avant chaque séance, j'ai paniqué comme toi, que pendant, je me suis peu à peu laissée faire jusqu'au plaisir et, qu’immédiatement après, j'ai eu horriblement honte, mais que depuis, je me rappelle toutes les séances en détail, et je fantasme dessus des heures entières ».

    « Mais, s’ils nous font l’amour sans préservatifs ? ». « Tu sais, je crois que, compte tenu du sens du détail d'Annie, ce seront plus des dominants que des baiseurs et Madame Annie veille sur nous ne l’oublie pas ». « Oui mais je t’avoue que je ne suis pas rassurée ! ». « Tu veux que je te dise que je suis zen ? ».

    Elle arrive à rire : « Non je m’en doute ». « Tu sais Lise : dis toi une chose : au point où nous en sommes, la marche arrière est interdite alors autant que ça se passe bien, tu ne crois pas ? ». « Oui je crois que tu as raison ! On ne peut rien faire d’autre que d’attendre, et essayer que ce qui doit nous arriver se passe au mieux ! ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 16h50

    La clé tourne dans la porte. Nous sommes toutes les deux paniquées et nous nous serrons très fort les mains. Nous sentons bien des présences dans la pièce, il me semble que ce sont des pas d’hommes, mais combien sont ils ?

    Aucun mot n’est échangé. Je sens des déplacements d’air autour de moi, mon intuition me fait penser qu’ils sont deux. Deux mains relèvent ma jupe et m’écartent les cuisses : « Celle là est rasée et la tienne ? » dit une voix d'homme. Un autre homme lui répond : « La mienne est une vraie blonde, peu poilue mais elle a un beau petit con ».

    « Je ne faisais pas trop confiance à la maquerelle, mais il faut reconnaître qu’elles sont bonnes et qu’elles valent les 600€ qu’elle nous a fait raquer ! ». « Qu’est ce que tu en penses Chérie ? ». Chérie ! Ce sont des pédés ?

    Mais une voix féminine curieusement éraillée lui répond : « Je pense que ce sont des occasionnelles, et que la femme n’est pas une maquerelle mais simplement leur Maîtresse et qu’elle fait ça pour les surexciter et les humilier. Tu peux les imaginer rangeant leur petit matos dans leur sac pour venir faire leur petite passe de bourgeoises vicieuses dans un motel borgne ? Elles doivent être mouillées comme des fontaines ! ».

    Les hommes rient : « Oui tu as raison ! ». « Et en, plus regardez la mise en scène, elle nous sont livrées dans une position bien obscène, bien attachées, cuisses super ouvertes, nichons nus, avec tout ce qu’il faut sur la table pour nous occuper d’elles, je suis sure qu’en plus, elles sont très masos ! ».

    J’ai peur que la femme ne soit la plus redoutable de nos partenaires : elle a parfaitement deviné la situation. C’est en fait elle, la dominante du groupe et sûrement la plus vicieuse. Quelques murmures, une conversation que nous ne pouvons pas entendre, visiblement ils se concertent. Une main se glisse entre nous deux et défait les attaches de nos poignets : « Levez vous, baissez vos pulls, tenez droites, et suivez la voix pour être bien face au lit ».

    Nous nous exécutons et l’un des hommes nous interroge : « Toi la blonde, âge, nom et pute depuis quand ? ». Lise me prend la main, visiblement angoissée et elle répond d’une petite voix : « 25 ans, Lise et c'est la première fois, Monsieur ». J’entends le bruit d’une énorme claque et le hurlement de Lise. « La première fois ? Sale menteuse ! Tiens, à genoux sale gouine et avale ma pine de taureau, ça t’apprendra à mentir ».

    J'entends des bruits de lutte, visiblement Lise se débat, mais elle finit par ne plus rien dire, la bouche probablement pleine de la bite de l’homme qui l’interrogeait.

    Pendant que Lise pompe, l’autre homme prend le relais : « Toi la brune, mêmes questions ! ». « 35 ans, Loréna et ça fait trois semaines que je me prostitue, mais je vous jure que Lise vous dit la vérité ». « Vérité ou pas on s’en fout, ce que je peux t’assurer, c’est que ce n’est pas sa première pipe ! Elle suce comme une pro ! ». « Fais du bruit, sale putain, pour que ta collègue entende bien ton talent de pipeuse ! ». Lise salive un peu plus et j’imagine très bien la bite coulisser dans sa bouche.

    Mardi 24 janvier 2017 - 17h00

    La femme dit : « Pour des putes débutantes, mais de vraies soumises je ne les trouve pas bien éduquées : j’aimerais bien que chaque réponse soit suivie d’un « Oui, Monsieur » ou d’un « Oui, Madame ». Qu’en pensez vous les garçons ? ». « Oui, c’est une bonne idée : tu as compris pouffiasse ? », dit-il en s'adressant à moi.

    « Oui Monsieur, j’ai compris ». « C’est parfait comme ça. Enlève ton pull, qu’on voit tes nibards de veille salope ». « Bien, Monsieur ». Je fais passer mon pull par dessus ma tête leur dévoilant mes seins nus. La femme rit : « Tu sais que tu as des mamelles pendouillantes de vieille, sale traînée ? ». « Oui Madame, je le sais, j'ai la poitrine de mon âge ».

    « Et tes passes ne te rapportent pas assez de pognon pour te faire refaire les nichons ? Pas grave, fais toi durcir les bouts en les tordant, dis moi si tu aimes te branler les bouts et quels avantages tu as par rapport à ta petite collègue ? ». « Oui Madame, j’aime me branler les bouts. Mes avantages ? Je ne sais pas Madame, c’est en m’utilisant que vous les découvrirez sûrement ».

    Je prends à mon tour une paire de gifle : « Sale garce, ce n’est pas une réponse, tu frises l’insolence : alors réponds moi vite par oui ou par non : tu es plus endurante ? » : « Oui Madame je crois ». « Plus vicieuse ? » : « Oui Madame ». « Moins de tabous ? » : « Oui Madame ». « Quels sont tes tabous sale pute ? ».

    « Les marques, le sang, les blessures, les jeux avec des mineurs ou avec du caca, Madame ». « Ce qui signifie que, si on était venu avec un chien, tu aurais aimé le pomper et qu'il te baise en levrette comme une chienne, tu aurais bu son foutre et tu l'aurais accueillie dans ton con ? ». « Oui, Madame ». « C’est bon à savoir pour la prochaine fois ! ». « Tu es sure de n’avoir oublié aucun tabou ? ». « Je ne pense pas, Madame ? »

    « Tu ne m’as pas parlé de pisse ! », « Oui Madame, avec raison ! ». Elle éclate de rire : « Eh, les garçons, qui a envie de pisser ? ».

    Un des hommes répond : « Moi ». C’est l’homme qui a sa pine dans la bouche de Lise, il sort sa queue et en me tirant par les nattes, il m'agenouille à ses pieds, me gifle violemment les joues, avec sa bite, pour faire débander et peu, et, quand il sent qu’il peut pisser, il pousse sa bite à demi-molle dans ma bouche, me pince le nez avec deux de ses doigts et me pisse dans la bouche ouverte, comme s’il était face à un urinoir.

    Heureusement son flot est intermittent et j’arrive à tout avaler au fur et à mesure : « Tu t’éclates sale traînée ! » me dit la femme, je dois faire oui de la tête, tout en avalant la pisse qui a une forte odeur de bière. Il fait tomber les dernières gouttes sur ma langue et murmure : « Sacré urinoir, je l’emmènerais bien partout avec moi ! ». Ils rient tous les trois alors que j’essaye d’éviter une nausée tout en regardant la mine déconfite de Lise

    Mardi 24 janvier 2017 - 17h10

    « Allez les salopes : debout et à poil, sans oublier votre éducation ! ».

    « Bien, Monsieur ». Je me débarrasse de ma jupe et fais mine d’ôter  mes souliers : « Non gardez vos souliers, vous serez plus bandantes ! ». Je me redresse, nue, face à eux et j’entends des froissements d’étoffe : je suppose que Lise se débarrasse de ses derniers vêtements.

    La femme, que j'imagine relativement âgée, s’adresse à moi : « Suis ma voix, quand tu penses être face à moi, agenouille-toi et cherche mon pied nu ». « Bien Madame ». Je change un peu de positon et me mets à genoux après avoir trouvé son pied, nu, chaud et odorant : « J’ai mis, pour toi, des souliers fermés sans bas : renifle les comme une chienne curieuse ». Je me penche et pose mon nez sur son pied, qui sent en effet très fort.

    « Tu dois aimer cette odeur sale traînée ? ». « Oui Madame, j’aime beaucoup votre odeur de pied, elle m'excite terriblement ! ». « Alors suce moi bien, et insiste entre les orteils : j'adore ça ! ». Sans répondre, je lèche, malgré l’odeur épouvantable qui me donne envie de vomir.

    Un des hommes, qui doit mater, annonce : « Hum ça me fait triquer de voir une pute aussi vicelarde ! Toi la blondasse, viens par-là : tu vas t’empaler sur ma pine ! J'ai envie de me vider les couilles ! ». J’entends Lise accepter d’une toute petite voix : « Bien Monsieur ».

    « Non pas comme ça tourne moi le dos ! ». Lise doit se retourner sans trop le vouloir, et l’homme la voyant pour la première fois de dos, lui demande, de suite : « Mais qu’est ce que tu as dans le cul sale catin ? ». « Nous avons toutes les deux un plug dans le cul, Monsieur, pour vous prouver notre accessibilité totale ».

    Pendant que la femme me retire son pied de sa bouche, pour sentir avec ses orteils, que, moi aussi, je suis profondément enculée, avant de rajouter : « Hum quelle bonne idée de votre Maîtresse ! En attendant, la pute empalée, rentre tout ce que tu peux de sa bite dans ta connasse, toi ma pute suceuse de pieds, finis moi l'autre ! ». Nous œuvrons toutes les deux et Lise gémit en murmurant : « Oh oui Monsieur ». Visiblement bien remplie.

    Les séances des pieds et de la pine se prolonge. Visiblement, la femme aime me voir accroupie à ses pieds, avec ma langue sortie pour lui nettoyer et même lui récurer ses pieds. Quant à l’homme, il doit se régaler de coulisser dans le vagin d'une aussi jolie fille que Lise.

    La femme m'interrompt : « Ça suffit, redresse-toi et viens découvrir mon corps avec tes mains, vas-y gouinasse ! Tu dois tout caresser ! ». Je me redresse et passe mes mains sur tout son corps, mes mains confirment ce que mon intuition me proposait : des cuisses potelées, une chatte trop poilue et dégoulinante, des grosses fesses rebondies, un ventre avec un nombre incalculable de bourrelets de graisse et des nichons en berne. C'est sur qu'elle a plus de cinquante ans !

    Moralement, je dédis cette séquence à Annie qui cherchait une vieille pute cassée par la vie pour m'humilier ! Que répondre à son pathétique « Je te plais gouinasse ? ». Sinon un : « Oh oui, Madame, vous me faites mouiller comme une folle ! ». Elle en rit, me remercie pour l'illusion que j'ai essayée de lui donner, et complète par : « Je t’ai donné mes pieds à sucer, mais c’est ta collègue qui aura le plaisir de me bouffer la chatte, sans me caresser le corps, rassure toi : toi, tu auras le plaisir de servir de récipient à foutres à mes amis ! ». « Allez la blondasse, ça suffit de te faire niquer, viens par ici ».

    Guidée par les hommes, Lise nous rejoint. La femme la fait s'agenouiller à côté de nous et demande aux hommes de lui passer quatre pinces en fer lestées. Pendant ce temps là, elle me lèche et me mordille un téton : « Dis moi que je te fais bien bander des tétons, sale gouine ! ». « Oh oui, Madame, vous me faites durcir les bouts et je préfère les femmes aux hommes, Madame ! Je suis une vraie gouine ».

    Estimant que mon téton est suffisamment dur, elle y pose la première pince en m’obligeant à la remercier à haute voix : « Oh, Madame, merci de torturer mon bout de mamelle ! ». Comme mes mains sont vides, les deux hommes viennent se placer à mes côtés, ils sont beaucoup plus grands que moi et doivent plier un peu les genoux pour faire en sorte de glisser leurs queues dans mes mains tout en me disant à l’oreille :

    « Branle nous bien, gouinnase qui n'aime que les clitos ! ». La femme sûrement, très excitée de me voir branler deux bites, me mord un peu plus cruellement l'autre bout, avant d'y poser l'autre pince tout en m’obligeant à la remercier une nouvelle fois.

    Mardi 24 janvier 2017 - 17h30

    Un filet de mouille coule de ma chatte, mes tétons me font horriblement mal mais je me concentre sur les deux sexes que je dois branler alors que j’entends des bruits de salive : sûrement la bouche de la femme sur un des tétons de Lise. Quand je l’entends crier et remercier en même temps, je sais qu’elle a un téton pincé. La femme prend tout son temps avant de poser la quatrième pince.

    Elle dit aux hommes : « Admirez ces deux belles putes, seins torturés ballottant au gré de leurs mouvements ! Nous allons jouer avec elles ! Mettez les debout, face à face ! ».

    Le lit grince, la femme doit se lever. Elle me décolle de Lise et me pose un clip sur chaque anneau de mes pinces. Puis, elle recolle Lise contre moi et se sers de mes clips pour récupérer les anneaux de Lise et relier ainsi nos tétons entre eux, sans que nous ne puissions nous séparer sans nous déchirer les tétons : « Allez les femelles en chaleur, pelotez vous mutuellement vos culs avec vos mains droites ».

    Consciente du spectacle super humiliant que nous offrons, nous nous pelotons les fesses, très excitées malgré la douleur de nos tétons. Elle continue à diriger le jeu : « Posez votre main gauche sur la chatte de l’autre, et branlez vous ».

    Lise est trempée et moi je dégouline : « Et maintenant gouinez vous la bouche, je ne veux pas un baiser mais je veux que vous vous léchiez comme des bêtes avec de la bave qui coule sur vos nichons et du bruit, et, en même temps, chacune va sortir le plug du cul de l'autre, et, juste après une petite pause, vous vous enculerez mutuellement le plus sauvagement possible !».

    « Vous voyez les amis ce ne sont pas des professionnelles : même des putains de rue n’accepteraient pas de faire ça ! Regardez les se branler la chatte, s’enculer et se lécher la bave qui coule de leur bouche en faisant attention de ne pas se mutiler les bouts de mamelles ! ».

    Le silence se fait : seuls nos bruits obscènes résonnent dans la pièce. La femme dit : « Moi je vais me toucher en les regardant. Vous, il vous reste quatre pinces lestées à leur poser : une sur chaque grande lèvre vaginale, et n'hésitez pas à pincer un gros paquet de chair, toute cette partie de ces putains est très érogène ! Et, après, vous avez des ceinturons de cuir sur la table : allez y amusez vous et visez là où ça fait mal ! Ces chiennes sont masos et aucune d’elle ne voudra céder avant l’autre ! Allez y mais sans trop les marquer comme me l'a demandé leur propriétaire ! ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 18h00

    La douleur est difficilement supportable : à chaque sifflement d'un ceinturon qui va s’abattre sur une cuisse, une épaule, un dos ou même une tête, nous ne pouvons nous empêcher de nous reculer pour essayer d’échapper aux coups, ce qui nous tend encore plus les tétons.

    A présent, nos culs sont bien lubrifiés et les plugs glissent facilement dans nos fesses, Lise va même jusqu’à ressortir entièrement le mien pour me le replonger dans les fesses d’un coup sec. Il n’y a pas de compétition entre nous.

    Le mélange de douleur, d’humiliation et de plaisir nous a mit dans le même état, et nous enchaînons les orgasmes en mêlant nos cris de plaisir à nos cris de douleur. J’ai joui deux fois et les cris de Lise me font penser qu'elle en est à trois ! De son côté, la femme s’est envoyée en l’air, toujours aussi vulgairement, en poussant des cris de truie.

    « Je pense que ces putes prennent leur pied dans la douleur tellement elles sont masos, je vais leur montrer ce qu'est la vraie douleur ! ».

    Elle s’approche de nous, détache nos seins, nous quitte les plugs et enlève nos pinces en fer.

    « Toi la brunette, agenouille toi, et toi la blondasse, immobilise lui les poignets dans le dos d'une main, et de l'autre tu lui tires les nattes vers l'arrière, pour que ses nichons pointent bien et tu comptes doucement jusqu’à vingt ! ».

    Lise n'a pas compris ce que la femme cherchait à faire, elle me bloque les poignets, me tire les cheveux de toutes ses forces, et, toujours aveuglée, quand elle dit « un », elle ne voit pas le ceinturon cingler mes seins, sans que la femme ne retienne son bras.

    Dès le « quatre », je la supplie avec des sanglots dans la voix. Lise n'ose plus compter, plus tard, elle m'avouera qu'elle est sure que ces coups m'ont marqués la chair.

    La femme me laisse un peu me calmer et m'insulte : « Voilà ce que peut endurer une vraie maso, sale conne, tu peux pleurer, tu recevras tes vingt coups et tu devras expliquer à tes clients pourquoi tu fais tes passes sans enlever ton pull ! J’ai envie de te frapper avec la boucle tellement une raclure comme toi me donne envie d'être sadique ! ».

    Sa voix est hystérique, je la sens surexcitée et je pense qu'elle ne ralentira pas ses coups : elle cherche à me marquer et à me faire mal. Un téléphone portable sonne, la femme décroche, ne dit rien, elle raccroche, et, sans aucun commentaire, elle dit aux deux hommes : « Arrangez-vous avec la brune, moi je prends la blonde ! ». 

    J'ai mal au cœur pour Lise, qui va devoir gouiner cette femme qui va sûrement se mettre à poil, pour lui offrir son corps quasiment obèse, ses bourrelets de mauvaise bouffe, sa vulgarité et sa chatte poilue au jus fétide et nauséabond par manque d'hygiène !

    J'ai presqu'envie de lui demander de laisser Lise aux hommes, tellement je crains qu'elle ne garde un mauvais souvenir de cet accouplement hors nature. Mais, un bras d'homme m'empoigne le bras, m'assied sur une partie du lit, se couche sur le dos et me dit : « Viens t’empaler sur moi, et enfonce bien ma bite dans ta connasse de pute : je vais te la remplir et mon ami va te défoncer la rondelle, tu vas adorer être remplie par deux mâles virils. Ça va sûrement te changer de tes autres clients ! ».

    Sans rien dire, je me rapproche de lui, enjambe ses cuisses et m’assieds en guidant son sexe dans le mien, je suis trempée, il s’enfonce en moi avec un bruit presque obscène.

    De son côté la femme appelle Lise : « Allez la blondasse, montre moi ce que tu sais faire avec une femme, et n’oublie pas que j’ai une chatte, mais aussi un trou du cul ! ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 18h15

    L’homme me pétrit les seins en entrant et sortant son énorme queue de mon vagin en feu. Du côté de Lise, j’entends des bruits de succion, j'espère qu'elle est trop excitée pour imaginer ce qu'elle lèche, mais je suis un peu rassurée car, elle a l'air de bien sortir, et fait même gémir la baleine sur son lit.

    Le deuxième homme ne prend même pas la précaution d’humidifier mon anus : il m’encule d’un seul coup de rein en me tenant par les hanches. Sans pause, Il ressort son sexe et se renfonce en moi, et peu à peu les deux hommes coordonnent leurs pénétrations.

    Je suis obligée de gémir, il est assez rare que je me sente aussi bien remplie, je sens dans mes entrailles les deux sexes qui se frottent contre la fine peau qui les sépare : « Hum je crois que cette salope ne va pas tarder à s’envoyer en l’air. J’ai l’impression que nos deux bites lui plaisent bien ! ».

    L’homme me serre les tétons entre ses doigts et les tord en me faisant hurler. La femme rit : « Vous savez les hommes qu’elle est en train de jouir ? Tu aimes te sentir remplie dans tes deux trous de chienne, hein ma truie en chaleur ? ». Entre deux hurlements de plaisir, j’ai du mal à lui répondre : « Oh oui, Madame : ils me remplissent les trous et je jouis comme rarement ! ».

    La femme ne s’occupe plus de moi et se concentre sur son propre plaisir demandant à Lise de la lécher plus fort et plus sauvagement. J’entends Lise couiner malgré sa bouche collée à la chatte de la femme.

    Celui qui m’encule est le premier à jouir, il se colle à mes fesses et éjacule longuement au fond de mes intestins, il débande à peine et reste enfoncé en moi attendant que son ami explose dans mon ventre. Je suis tellement excitée que je jouis une seconde fois les tétons tordus par l’homme qui n’en peut plus et lâche tout dans mon ventre : « Régale toi putain je suis sur que tu n’as jamais eu autant de foutre en toi ».

    La femme prend son pied à son tour en jouissant bruyamment.

    Les hommes me libèrent après le nettoyage de leurs bites, je me suis appliquée à les laisser bien nets.

    La femme se relève : « Habillons nous : on va y aller ! Toi, la brune, finis ta collègue à la main, je crois que c’est la seule à ne pas avoir pris son pied et il ne faut pas la dégoûter ! ». Ils finissent de se préparer, alors que je m'assieds à côté de Lise. Je lui caresse le visage qui dégouline de la cyprine de la femme.

    Elle caresse ma main que je pose entre ses cuisses pour et la masturber. Son clitoris ultra sensible est prêt à exploser et sa chatte dégouline. Elle se met à gémir dès les contacts plus intimes et plus précis de mes doigts et de ma paume.

    Les hommes et la femme retardent leur sortie, captivés par le spectacle que Lise leur offre en bouquet final. Fascinés, ils regardent son visage déformé par le plaisir et sa main qui caresse tendrement ma main qui la branle doucement. Je la fouille de trois doigts alors qu’un quatrième caresse son clito. Elle cède d’un coup et jouit bruyamment en faisant sourire les deux hommes et la femme qui conclut : « Vous êtes vraiment des machines à jouir. J’espère que nous nous reverrons mes salopes ».

    Et ils quittent la chambre. Lise m’embrasse tendrement sur la bouche. Je lui rends son baiser sans tenir compte de sa bouche et de ses lèvres gluantes du jus de la grosse femme.

    « Viens on va se laver un peu ! Je me sens très sale ». Lise rit et nous passons derrière le paravent pour nous rafraîchir en utilisant le lavabo et le bidet. Nous sommes un peu plus fraîches quand Annie rentre dans la chambre en souriant : « Et ne me dîtes pas que vous n’avez pas aimé ! Car je serais obligée de me fâcher ! ».

    Nous devons reconnaître que cette séance laissera des traces dans nos mémoires en regrettant toutefois qu’elle laisse autant de traces sur nos corps et surtout sur nos seins : « C’est de votre faute, comme je te l’ai dit ma pute, tu attires plus les coups que les câlins ! Mais un peu de mon baume vous calmera, allez rhabillez vous, on s’en va ».

    Elle monte sur une chaise et récupère sa caméra. Nous nous rhabillons, remettons nos affaires dans le sac et sortons ensemble de la chambre.

    Mardi 24 janvier 2017 - 18h50

    Nous nous asseyons derrière et Lise avant de démarrer se retourne et nous donne à chacune 300€ : « Tenez mes petites putes, vous les avez bien mérités ! ». Lise est cramoisie en mettant la liasse dans sa poche, je lui caresse la main pour la rassurer en faisant pareil avec ma part !

    L’ambiance dans la voiture est très partagée : Lise et moi ne disons pas un mot mais Annie semble d’humeur joyeuse. Sans doute est elle contente de sa moisson d’images qui va alimenter Tom. Elle rentre directement à la maison par le chemin le plus court.

    « Mes petites on a un problème d'horaire, nous avions décidé d'une séance de 13h à 19h, or il est 19h. Par un simple appel à mon mari, je peux me libérer jusqu'à 20h, et Lise ? ». « Parfait pour 20h, Madame ». « Et toi Loré ? ». « Je n'ai aucune obligation ! ». « Bien, Loré, on sera chez toi dans cinq minutes ! ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 19h05

    Nous entrons chez moi, Annie me dit qu'elle prend la salle de bains d'amis et qu'elle nous laisse la mienne : « Allez vous laver, vous puez le sexe et la jouissance à dix mètres, séchez vous bien, passez vous mutuellement du baume et dans moins d'un quart d'heure, rejoignez moi à poil dans ton bureau ».

    Nous ne sommes pas mécontentes de nous laver soigneusement et de nous rafraîchir. Lise se montre très entreprenante sous la douche, tenant à me savonner l’entre jambe, les fesses et les pieds. Nous en rions en flirtons comme des ados, puis, nous nous séchons, et, nues, comme demandé par Annie, nous la rejoignons dans mon bureau.

    « Ah vous sentez bon : c'est mieux ! ». Je me rends compte qu’elle est en train d'envoyer le film de l’après midi à Tom, mais, comme elle ne dit rien à Lise, je ne prends aucune initiative.

    Elle est en même temps sur mon Messenger et lit les nombreux messages que j'ai reçu sur bdsmissoire@. Elle demande à Lise : « Toi qui a pris contact avec nous de cette manière, que penses-tu de ce site et de sa fiche ? ». Lise trouve sa fiche très honnête et explicite, personnellement, elle aurait mis des photos plus sages, mais celles que propose sa fiche sont très excitantes.

    Annie lui propose de lire les messages et de noter ceux qui lui semblent intéressants en fonction de leurs perversions, de leurs âges, de leurs disponibilités et de leur 06 ou non : « Ça va me servir à lui trouver des clients ! ».

    Annie pose deux chaises devant l'ordinateur, elle invite Lise à s'asseoir, et après avoir enlevé sa jupe et sa culotte, elle me dit : « Tu sais où est ta place Putain Loré ! Alors, à genoux, et bouffe moi la chatte ! Contrairement à vous je n’ai pas joui, alors applique toi ! ».

    Je m'agenouille et la lèche, elle est déjà bien mouillée. Elle commente quelques messages avec Lise en lui disant : « Sais tu ce que tu es en train de faire, Pute Lise ? ». « Non, Madame, je ne vois pas ». « Tu ne vois pas ? Tu m'aides à chercher des futurs clients pour Putain Loré ! ». Lise ne répond pas, j’entends simplement ses doigts pianoter de temps en temps sur le clavier : « Tiens il y a notre trio de cet après midi, faisant notre éloge en espérant un autre rendez vous avec nous ».

    « Non il nous faut du nouveau, on les recontactera après ! ». Lise prend des notes, peu à peu, elle obtient une liste d'une quinzaine de noms, alors qu'elle n'est pas encore à la moitié de la liste des messages. Mais qu'Annie commence à me remplir la bouche de son jus de femme excitée !

    Mardi 24 janvier 2017 - 19h30

    Elle me caresse la tête comme elle flatterait un chien, je la sens de plus en chaude : « C'est bien d'avoir une secrétaire pour relever les coordonnées de tes futurs clients, tu ne crois pas Putain Loré ? ».

    Sans attendre de réponse, elle prend au hasard un nom dans la liste, et dit à Lise de composer le numéro de téléphone. Elle prend le portable en ouvrant encore plus ses cuisses et le met en mains libres. L’homme décroche après trois sonneries, belle voix grave :

    « Allô ».

    « Bonsoir, Monsieur 48 ans, vicieux et pervers, sado sans marquer ses esclaves ! ».

    L’homme rit : « Oui c’est ça : tu es Loréna ? ».

    « Non je m’appelle Annie, Loréna est ma soumise et pour l’instant elle a mieux à faire avec sa langue entre mes cuisses ».

    Il rit : « J’ai vu qu’elle avait 34 ans, mais est-elle bien éduquée et obéissante ? Je n’ai pas envie de perdre mon temps avec une apprentie soumise ».

    « Je t'assure qu'elle te donnera entière satisfaction ! ».

    « Je dois te faire confiance, quand puis je la rencontrer ? ».

    « Es-tu libre les après-midi ? ».

    « Je peux me libérer mais pour combien de temps ? ».

    « Tout dépendra de tes moyens financiers, elle ne se déplace pas à moins de 200€ de l’heure ».

    « 200€ ! Eh bien ! C’est une pute de luxe ta soumise ! ».

    « Non peut être pas de luxe, mais tu n’ignores pas qu’en bdsm l’obéissance est une perle rare ».

    « Oui c’est vrai je le sais ! Mais ce qui m’excite le plus chez elle, c’est que ce n’est pas une pro. Alors c’est vrai que ça se paye ! Alors disons de 14h à 17h pour 600€, mais pour ce prix là, je la veux chez moi ».

    « Très bien, 3h, chez toi, ma seule exigence, est que son portable reste branché pendant toute la séance ».

    « Je ne te comprends pas ? ».

    « Loréna est ma soumise mais aussi une amie, et je ne veux pas qu’il lui arrive quoi que ce soit, donc je l’appellerai quand elle entrera chez toi et j’écouterai ce qui se passe pour sa protection. Tu as compris ? ».

    « Ah oui c’est très clair, dans ce cas, je suis d'accord, mais rassure-toi je te la rendrai entière ! ».

    « Je l’espère, je t'appelle prochainement pour la date du rendez vous, tu habites dans quel coin ? ».

    « Au nord de Vichy »

    « Ok, alors à bientôt cher Monsieur pervers ! ».

    Il rit encore : « A très bientôt Annie et une bise à Loréna de ma part ! ».

    Et il raccroche. Annie a un peu de mal à parler : les muscles de ses cuisses se contractent de plus en plus, et sa voix est rauque : « On va arrêter, Lise, cet exemple prouve que ta liste est fiable et que les conditions exigées sont facilement acceptées ! ».

    Elle a du mal à terminer sa phrase et en poussant ma tête contre son sexe avec sa main, elle jouit en inondant ma bouche et en me serrant la tête de toute la force des ses cuisses.

    Elle se lève : « Je vais me doucher : puisque vous êtes à poil toutes les deux, faites vous un bon 69, je viendrai, pour le final, peut-être, avec une cravache de cuir ! ».

    Je me couche sur le dos et Lise se met sur moi, tête posée sur mon bas-ventre, nous ne perdons pas de temps, car nous sommes encore dégoulinantes d'envie. Je lui mords presque le clito tellement j'ai envie d'elle et nous nous léchons comme deux truies pour que, sans l'avoir cherché, Annie nous trouve jouissantes en revenant !

    Elle n'a heureusement pas apporté sa cravache ! « Bravo, mes petites putes, je vois que cette journée orgasmique s'achève bien ! « Lise, tu sors avec moi ? ». « Oui, bien sur Madame ! Vous voulez que je vienne chez vous ? ». « J'aimerais te garder pour la nuit, Lise, mais mon mari n'aime pas que je baise le sexe d'un mâle ou d'une femelle ! ».

    Lise rit : « Sûrement un gros jaloux, mais qui se taperait volontiers une petite Lise, au passage, sans se faire voir ! ».

    « C'est exactement ça ! Tu as tout compris, mais avant de partir, j'ai une question, Lise : « Accepterais-tu de nous revoir ? ».

    « Oh oui, avec plaisir, Madame, j’en serais heureuse et fière ». « C’est parfait, je te note dans mes contacts permanents, je t’appellerai quand, Putain Loré aura du temps libre ».

    Annie vérifie qu'elle n'oublie rien, Lise se rhabille rapidement, j'enfile un peignoir pour les accompagner sur le pas de la porte. Annie part la première, à pied, après nous avoir baisé sur la bouche, en nous disant : « Je suis contente que tu te sois régalée, à bientôt ma Pute Lise, je ne tarderai pas à te rappeler ! Quant à toi, Putain Loré, nous avons rendez-vous, jeudi prochain, demain je ne suis pas libre, mais je t'enverrai un mail pour te donner l'heure et le lieu de notre rendez-vous ».

    Lise la double en la klaxonnant amicalement et elles disparaissent dans la nuit. Je rentre chez moi.

    Mardi 24 janvier 2017 - 20h00

    Le téléphone sonne, c'est l'appel quotidien d'Yves qui me raconte sa journée et me confirme qu'il a bien appelé Annie, après moi, hier soir, nous flirtons un petit quart d'heure en ligne et raccrochons.

    Puis j'appelle mes beaux-parents pour avoir des nouvelles de mon fiston, c'est lui qui décroche avec un jovial : « Bonsoir Maman, je t'aime, tu me manques et je vais très bien ! », un vrai résumé de bonheur en quatorze mots !

    Je vais prendre une dernière douche, et séchée et nue, j'ouvre mon ordi et envoie un dernier mail à Annie : « Madame, merci pour cette journée inoubliable, je crois que vous avez en Lise une très bonne future soumise, je vais dormir, mon fixe est débranché mais mon portable est sur ma table de nuit, bonne nuit, votre Putain Loré ».

    Mercredi 25 janvier 2017 - 23h00

    Après une journée tranquille avec Jean, avec qui j'ai mangé chez Mac Do, quelques courses pour rafraîchir le frigo et un peu de ménage en attendant d'être soulagée, je l'espère, dès le début de la semaine prochaine, je rentre dans mes mails avant d’aller me coucher.

    J'ai un message d’Annie : « Putain, tes nouveaux clips font un carton, le rendez vous de demain avec Agnès est à 14h chez elle, mais elle habite dans la banlieue de Vichy. Sois à 13h15 devant le motel de mardi ».

    Je me couche sans envie de me caresser, pour mieux penser à l'après midi de demain qui doit sûrement me réserver de grosses surprises. Même si, Annie, frôle le professionnalisme, il semblerait qu'elle me conduise chez une Maîtresse très expérimentée et plus âgée que nous.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 13h00

    J'ai passé ma matinée à faire mon ménage et un peu de repassage, ce qui m'a occupé l'esprit et m'a empêchée de penser à l'après midi. J'ai hâte d'avoir des appels demain, pour pouvoir convenir de rendez-vous pour ce lundi et passer un accord avec une femme de ménage sympathique, courageuse et avec qui je m'entende bien !

    Mais, est ce que cette perle existe dans la région ? J'ai même décidé, pour ne pas avoir à me mettre à quatre pattes pour laver le sol, et de réserver cette position à d'autres activités moins honnêtes, mais beaucoup plus jouissives !

    J'ai donc décidé, si nécessaire, de piocher dans ce que j'appelle ma cagnotte cul pour ne pas gêner notre train de vie actuel ! Après tout, c'est bien de gagner de l'argent mais autant le dépenser à bon escient !

    Yves absent et Jean à la cantine, à 13h, je bois un dernier double-expresso bien fort, fume une cigarette et, simplement vêtue d’une robe bleu marine, assez décolletée, de bas avec élastiques, d'escarpins fermés en cuir à talons hauts, sur lesquels j'enfile, quasiment à même la peau un chaud manteau épais. Je file.

    Pendant le court trajet qui me sépare du motel, mes pensées s’égarent. Qui est Agnès ? Comment est-elle ? Sans me rappeler de son âge, je sais qu'elle n'est plus toute jeune, j'espère qu’elle ne compense pas un physique ingrat par un sadisme exacerbé.

    Bref, je suis un peu plus nerveuse et soucieuse que d'habitude en me garant directement derrière le motel.

    Annie m’y attend et me fait signe de monter avec elle.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 13h15

    Je ferme ma voiture et monte devant à côté d'elle.

    Elle démarre sans me saluer me disant simplement : « Enlève tes bijoux et tes sous vêtements ! ». « Je ne porte que votre alliance et je n'ai pas mis de sous-vêtements, Madame ! ».

    « Autrement dit, sale truie vicieuse, tu as enfilé ton uniforme de travail, tu es donc prête à te louer ! ».

    Elle rit, me demande de leur allumer deux cigarettes. J'ouvre un peu ma fenêtre pour évacuer la fumée, même s'il ne fait pas chaud dehors. Nous roulons en silence, la paysage des forêts domaniales est beau mais monotone.

    Elle me signale que mes clips ont dépassé les 20.000 visites. « Comme Tom voulait t'envoyer une grosse enveloppe, je lui ai demandé de t'effectuer ton premier virement, sur ton compte bancaire du Delaware : tu as le scan dans ta bal, n'oublie pas de les détruire après avoir noté la date et le montant en codant ce que tu écris ».

    Elle me réclame une autre cigarette. « Par contre en ce qui concerne Lise, je ne pense pas que ce soit nécessaire de lui parler de Tom, elle ne saura jamais qu’elle passe en ligne sur un site porno, mais je te donnerai ses statistiques pour les derniers clips où vous êtes toutes les deux, ce sera à toi de voir si tu veux la rémunérer ou pas, mais je serais toi, je ne le ferais pas ».

    Ce propos a l’avantage d’être clair mais Annie rajoute : « En plus, je ne compte pas te faire rencontrer deux fois la même personne que je ne maîtrise pas totalement, pour éviter tout attachement de sa part, et tout risque de chantage à ta véritable identité ».

    J’acquiesce en silence et Annie m’autorise à allumer une cigarette à condition que j’ouvre encore un peu plus ma fenêtre, et continue :

    « Pour que tu comprennes bien, je vais te citer deux exemples : hier, tu t'es bien entendue avec Lise, je suis sure qu'elle t'a demandé de te revoir sans moi, elle sait où tu habites, comment tu t'appelles, elle a très bien pu faire des photos pornos de toi, sans que nous nous en rendions compte, elle a donc tout pour te faire chanter : « Annie tu laisses Loré et moi nous revoir et nous gouiner, ou j'envoie ses photos les plus hots à tout son répertoire ! ». « Brrr, je comprends, Annie ! ».

    Elle sourit, « Autre exemple : Robert, il connaît mon 06, mais j'ai une réserve de prépayés ! Il te connaît, sans savoir où tu habites, il a lui même tarifé sa relation avec toi, quel intérêt aurait-il à te faire chanter ? Aucun, donc lui est classé : sans risque, mais pas à domicile ! Voilà le type de protection que je prends pour toi ! ».

    « Je vois, comme je le savais, vous me protégez beaucoup, et c'est cette sensation que j'aime quand je suis avec vous, Madame, sans parler, bien sur de mes pulsions sexuelles envers vous, bien sur Madame ! ».

    Elle sourit de ma franchise, et me donne quelques indications sur notre hôtesse : « Hier, Agnès m’a envoyé son N° de portable. Je l’ai rappelée. Elle a une voix douce qui correspond bien à son portrait. En parlant de toi, elle m’a dit aimer ton physique de femme mure et tes yeux vicieux de petite garce. Elle a rajouté qu’elle n’était pas une adepte des mises en scène théâtrales ou de se faire appeler Maîtresse et que nous en resterions à Agnès, Loréna et Annie ».

    Je lui ai confirmé que tout cela nous convenait. En riant elle m’a aussi réaffirmé accepter sans réserve tes tabous et pour finir, elle a rajouté que tu peux venir habillée comme tu le voudras. « Tu vois ma pute que tout se présente bien pour toi ! ».

    J’approuve de la tête sans dire un mot. « Dans la soirée elle m’a rappelée en me disant qu’elle n’aimait pas les préliminaires et que dès que nous aurions sonné chez elle le jeu commencerait, te voilà prévenue vicieuse Loré ! ». Me dit-elle en éclatant de rire.

    A moins vingt, Annie me demande d’envoyer un simple message pour la rassurer : « Nous arrivons, à tout de suite : Annie ».

    Jeudi 26 janvier 2017 - 14h00

    A 14h nous nous garons devant une jolie villa de Cusset, qui est une des banlieues résidentielles de Vichy. Nous descendons et Annie sonne. Je suis très nerveuse et mon cœur bat de plus en plus vite. Une voix douce me rassure par l’interphone : « Bonjour Annie, je t'ouvre. Referme la porte du jardin, s'il te plait. Je vous attends sous la véranda ».

    Nous traversons un joli jardin et gravissons les trois marches du perron pour atteindre l'entrée, dissimulée au fond d'une belle véranda fleurie. La porte d’entrée est juste entrouverte.

    Par l’entrebâillement, Agnès nous dit : « Annie, tu peux entrer, mais, Loréna, va rester un peu dehors. Il ne fait pas chaud, mais tu vas tout enlever et me passer tes affaires l’une après l’autre, en ne gardant que tes chaussures et ton manteau. Allez, plus vite tu seras à poil, plus vite tu viendras te réchauffer avec nous ! ».

    Prévenue qu’il n’y aurait pas de préliminaires, je m’approche d’un fauteuil pour y déposer mon manteau, avant de quitter mes escarpins ce qui me permet d'ôter mes bas, je me redresse pour enlever ma robe et replonger dans mon manteau avant de remettre mes chaussures.

    Je ramasse mes bas et ma robe et les tends par l’entrebâillement de la porte, Agnès répond de l'intérieur : « Elle n'était pas vraiment très habillée, ta soumise, Annie ? ». Ce à quoi, Annie répond : « Jamais de sous-vêtements en ma présence ! ». Le rire d'Agnès lui répond, et, une belle main aux ongles manucurés vernis me tend un foulard : « Met ça sur tes yeux, petite Loré, et, assure toi qu’il ne puisse pas tomber ».

    Je m’exécute en le fixant par un double nœud sur ma nuque.

    « Allez rentre ! Je ne voudrais pas que tu attrapes mal ! ». La porte se refermer derrière moi. Il fait presque trop chaud à l’intérieur : « Reste debout sans bouger dans le hall : Annie et moi avons à parler un peu avant de nous occuper de toi ».

    Elles me laissent dans l’entrée et s’éloignent. Je n’entends pas ce qu’elles se disent. De temps en temps j’entends un éclat de rire, visiblement tout se passe bien entre elles. Je sens une présence et Agnès me dit à haute voix :

    « Annie me confirme que sans t’avoir touchée, le voyage t’a marquée, simplement par l’odeur de femme en chaleur qui régnait dans sa voiture et à la dureté de tes bouts de nichons qui tendaient ta robe légère sous ton manteau ouvert ! Mais rassure toi je suis dans le même état, comme chaque fois qu'une nouvelle soumise accepte de venir à moi ! J’avais simplement peur que vous ne veniez pas, de temps en temps, des fantasmeuses me posent des lapins, mais je vois que tu es une femme qui sait satisfaire les désirs de sa propriétaire, et qui va au bout de ses envies ! ».

    Jeudi 26 janvier 2017 - 14h10

    J’essaye de me calmer : je n'arrive à cerner Agnès et sa douceur apparente me fait peur. Bien qu'un peu rassurée de savoir qu’elle est aussi excitée et que nos natures sont en train de parler pour nous !

    « J’ai prévenu Annie que je n’aimais pas les préliminaires, alors tu vas ouvrir ton manteau, me montrer ta nudité et te masturber la chatte comme si tu étais seule sans personne pour te juger ! Ne fais pas attention à nous, fais toi plaisir. Annie m’a assurée, qu’un orgasme t’excitait au lieu de te calmer, je vais donc le constater de mes propres yeux ! ».

    Je l'entends allumer une cigarette et sens une odeur de tabac brun, tout en la devinant très proche de moi. Je déboutonne mon manteau, j’en écarte les pans et pose ma main droite sur mon sexe en écartant les jambes.

    Je commence à me caresser comme si j’étais seule au monde. Je suis, bien évidemment, trempée, mes doigts glissent tous seuls sur mes grandes lèvres pour atteindre doucement mon clitoris qui, seulement effleuré durcit très vite. Mes caresses font très vite leur effet et je dois arque-bouter un peu plus mes jambes, pour mieux les écarter, et m’enfoncer deux doigts dans le con alors que le troisième titille mon bouton.

    Perdue dans ma bulle orgasmique, j’entends Agnès allumer une deuxième cigarette, comme si elle était à des kilomètres de moi, avant de partir dans un orgasme fulgurant qui me laisse groggy, la main poisseuse et les jambes flageolantes.

    « Tu peux reculer d’un mètre pour t’appuyer au mur qui est juste derrière toi, récupère un peu et lèche ta main droite souillée de ta cyprine, tu n'es pas une femme fontaine, mais tu en as l'étoffe, je suis sure que d'ici peu tu le deviendras ! ».

    Elle s’approche de moi, je sens son haleine enfumée et pendant que je recule elle griffe légèrement mes tétons : « Hum, eux aussi participent à la fête, on dirait ! Ce qui n’est pas pour me déplaire ! ».

    Appuyée au mur je récupère tout en nettoyant ma main poisseuse. Elle pose ses lèvres sur ma bouche : « Tiens : une bouffée pour la finir et te calmer ». Le tabac est fort mais me fait du bien.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 14h20

    Elle me laisse seule. Je la sens immobile, mais je sais qu'elle m'observe. Sans rien dire, elle enlève mon manteau, me prend par la main et me conduit vers une table dont je sens le bois toucher le bas de mon ventre.

    D’une main elle me couche sur la table, en laissant mes pieds chaussés posés sur le sol. Je l’entends manipuler la table, quand elle me plaque dessus, je sens que ma tête, mes épaules et mon ventre sont sur la table, mais que mes seins tombent dans l’espace de la rallonge libéré.

    Je me retrouve couchée sur la table, pieds au sol, mais seins pendants dans le vide. « Dis moi si ça te fait mal je veux bien te dominer mais pas t’estropier ! ». Je comprends le sens de sa remarque, en l’entendant donner des petits coups secs sur les deux bords de la table, pour réduire l’espace rallonge qui se referme sur mes seins, comme un étau de bois.

    De temps en temps, elle pèse sur mes épaules, pour s’assurer que mes seins tombent bien dans le vide. Visiblement elle veut les compresser à leurs bases et nulle part ailleurs ! Je décide de supporter un maximum de pression. Mais à mon grand soulagement, c’est elle qui arrête en me disant : « Ça me semble parfait : essaye de te relever ».

    Je pose mes mains sur la table, mais mes seins sont bien emprisonnés, entre les deux bords intérieurs de la table et je les sens même gonfler tout en constatant que je ne peux pas me relever.

    « Tu es très bien comme ça décontracte toi ! ». J’entends des bruits que je n’arrive pas à identifier. Agnès revient vers moi par le côté droit, elle me soulève un peu et elle passe sous mon ventre ce que je crois deviner être un ceinturon de cuir large.

    Elle m'allonge les bras le long du corps et referme le ceinturon dans le dos en serrant assez fort pour me comprimer l’estomac et m'interdire tout mouvement de mains ou de bras :

    « J’aime bien les soumises incapables de faire un mouvement pour se défendre mais rassure toi il te restera la bouche pour communiquer ! ».

    Elle passe derrière moi, enlève mes chaussures, relève un de mes pieds et pose un nœud coulant autour de mon gros orteil, avant de replier mon pied sur ma fesse et d'attacher, le plus solidement possible, la corde au ceinturon. Elle fait pareil avec l’autre gros orteil, et s’assure que les deux cordes sont bien tendues.

    Elle semble avoir fini de m’immobiliser, je n’ose imaginer l’image obscène que je donne de moi, ainsi ligotée et impuissante, seins pendouillants, cuisses largement offertes, incapable du moindre mouvement, orifices intimes livrés en pâture à toutes ses envies.

    Agnès, très excitée, me le confirme : « Hum : quel beau spectacle tu offres, belle exhibitionniste ! ». Je sens ses cuisses nues frôler l’intérieur des miennes. J’en conclu qu’elle s’est dénudée, au moins du bas.

    Je l’entends ouvrir une boite métallique et elle m’enduit l’anus de crème, en insistant avec deux de ses doigts, pour y rentrer le plus loin possible, le plus de lubrifiant possible.

    Je suis surprise, car, il est rare qu'une Maîtresse lubrifie elle même le trou à merde de son esclave, Annie ne s'abaisserait jamais à m'offrir ça !

    Quand elle arrête, probablement satisfaite de cette préparation, je sens un objet doux et rond se poser sur mon œillet : « Ne t’inquiète pas : il est d’une taille standard, tu ne vas pas souffrir ! ». Et lentement, centimètre par centimètre, elle enfonce le gode de latex en moi, jusqu’à ce que je sente les fausses testicules heurter le haut de mon sexe.

    Elle vérifie, d’une poussée de main, qu’elle ne peut pas l’enfoncer plus et, me laisse comme ça, me recommandant de bien contracter les muscles de mes fesses, pour qu’il reste bien au fond de mon trou du cul.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 14h40

    Je sens sa présence devant moi. Elle enlève mon foulard des yeux, mais le retour brutal de la lumière m'empêche de la voir.

    Hors de mon champ de vision, elle se glisse sous la table. Ses lèvres prennent mon téton droit pour le suçoter longuement. Quand elle sent qu’il a bien réagi, elle le mordille de plus en plus fermement ce qui m’arrache quelques gémissements de douleur.

    En fait c’est ce qu’elle attendait, pour y mettre une pince plate qui me fait pousser un petit cri de douleur. Sans s’en occuper, elle s’attaque à l'autre qui subit le même sort, avec la même réaction de ma part.

    Du dessous de la table elle me dit : « Eh bien, douillette, si tu cries déjà pour de simples pinces, qu’est ce qui va se passer avec ça ! ». Et d’un même geste elle leste les pinces, me faisant hurler de douleur.

    Sa voix se fait très autoritaire : « Évite de crier comme ça, si tu ne veux pas que je te bâillonne. Tu es endurante avec Annie, je ne vois pas pourquoi tu ne serais pas aussi maso avec moi ! ». Bien qu’ayant horriblement mal, j’essaye de me retenir, en me mordant les lèvres pour ne pas crier de nouveau.

    Agnès s’est relevée, sans que je ne puisse la voir, et Annie vient poser à côté de ma bouche un gode ventouse : « Tiens si tu veux mordre au lieu de crier, amuse toi avec ce gode, il est là pour ça ! ».

    Pendant ce temps, Agnès s'est remise dans la fourche de mes jambes ouvertes et a entièrement sorti le gode de mes fesses, me glissant au passage : « C’est bien tu n’as pas sali le gode, j’aime que mes soumises soient très soigneuses de partout, je te félicite ! ».

    A des bruits furtifs : mélange de métal et de frottements de cuir, je comprends qu’elle fixe le gode à ses hanches, et, de suite après, je sens le gland du gode se positionner sur mon anus, alors qu’elle me masse vigoureusement les épaules de ses deux mains.

    « Décontracte toi, belle vicieuse et ouvre toi bien ! Je sais bien que tu es venue ici pour ça, je ne voudrais pas te décevoir ! ». Et alors que je me laisse aller, et que je me décontracte doucement sous ses caresses, elle pousse d’un seul coup de reins le gode dans mes fesses, en s’assurant qu’il ne peut aller plus loin !

    Elle reste un long moment collée à mes fesses, avant de le ressortir pour aller et venir dans mes fesses, avec toute l’amplitude du gode sans se soucier de mes cris. Outre mon anus distendu, mes seins me font horriblement mal : comprimés, gonflés comme des ballons et étirés vers le bas par les poids trop lourds pour moi. Même bloqués par la table, ils bougent au rythme de ses coups de ventre dans mes fesses.

    Heureusement, son portable sonne, et elle doit s’arracher de mes fesses pour le décrocher. Je l’entends dire : « Oui, oui, entendu ! », avant de raccrocher. J’en déduis que c’est un importun qui m’a accordé quelques secondes de répit, avant qu’elle ne reprenne sa place entre mes cuisses.

    Elle continue de se régaler de mon anus qui n’a pas eu le temps de se refermer et qui doit béer, parfaitement obscène, pour lui permettre de reprendre immédiatement ses longs allers et retours dans mes fesses de catin, largement offertes et semblant supplier d'être défoncées !

    Jeudi 26 janvier 2017 - 14h50

    Elle retire complètement le gode de mon cul et, machinalement, je relâche mes muscles pour la recevoir de nouveau en moi, mais, elle se recule, me laissant, l’anus vide et grand ouvert.

    Je l’entends s’affairer avant qu'elle ne reprenne sa place entre mes cuisses et m’encule d'un seul coup de rein avec un gode plus gros et plus long qu’elle n’a aucune difficulté à enfoncer complètement, jusqu’à ce que la base de latex le bloque : « Tu sens ce que tu as dans les fesses ma belle enculée ? Eh bien, je vais me mettre la même chose dans le vagin : c’est un gode-double, Annie m'a assurée que tu connaissais bien ça ! ».

    Je n’ose pas lui dire que j’ai découvert ce genre de gode dans la chambre de mon fils, en me faisant reluire avec sa peluche préférée ! J’entends l’autre partie rentrer dans son vagin et reprendre de suite le pilonnement de mes fesses.

    Mais, ce coup ci, c’est elle qui gémit le plus fort, car chaque coup de reins m'encule jusque dans les intestins, mais lui pistonne aussi le col de l'utérus. Je la sens de plus en plus excitée et brutalement, et visiblement sans aucune raison, elle me gifle très fort sur l’oreille droite.

    Je ne sais pas combien de temps elle a passé à m'enculer et à me gifler, mais j'avais l'impression que mon anus ne rétrécirait jamais et que mes oreilles allaient ressembler à des choux fleurs !

    Elle a enchaîné deux orgasmes bruyants sans un seul arrêt entre les deux, tout en criant : «  Oh comme j’aime le plaisir que me donnent des soumises comme toi. Tiens prends ça dans le cul et mord ton gode ou je te bâillonne ! ».

    Au deuxième, elle s’écroule sur moi, je sens son souffle court et son abondante transpiration couler sur mon dos. Elle me mordille les épaules en me murmurant à l’oreille : « Hum quel plaisir tu viens de me donner ma salope ! ». Curieusement je me sens fière de ne pas l’avoir déçue et de ne pas avoir gémi, en permanence, comme une pleureuse chatouilleuse, même si j’ai mal partout.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 15h00

    Après avoir récupéré, elle se relève derrière moi et y reste.

    Elle m’ôte le gode-double, me remet le gode-ceinture, l’enlève, me remet le premier qu’elle enlève de nouveau au profit du deuxième ! Elle me confirme qu'elle hésite : « Je vais te mettre celui-là ! Ah, non ! Plutôt cet-autre ! Voilà, je crois que j'ai trouvé : je vais te mettre ce nouveau gode ! Je suis certaine qu'il va te surprendre ! ».

    Je souris en moi même en pensant qu'Agnès est tombée amoureuse de mon cul et je me détends pour recevoir ce nouveau gode inéditJe sens des cuisses nues frôler les miennes et j’en conclu qu’il s’agit d’un nouveau gode-ceinture. Mais quand il entre en moi je sens qu’il est plus gros, plus chaud et plus réaliste qu'un gode normal.

    Dans le même temps, Annie vient devant moi et me glisse deux doigts dans la bouche : « Voilà qui va faire du bien à tes jolies petites fesses de pouffiasse ! » me glisse-t-elle à l’oreille. Tout en pompant ses doigts, j’en déduis que c’est bien Agnès qui m'encule avec ce nouveau gode qui me laisse tout de même une étrange impression.

    Annie s'amuse à essayer d'attraper ma langue, mais, ma salive la rend glissante et l'empêche de la pincer. De son autre main, elle me caresse doucement mes cheveux, pour une fois lâchés ! Alors qu'une autre bouche plante cruellement ses dents dans la partie charnue de mon épaule.

    La voix d’Agnès me dit : « Une bouche devant toi ? Une autre sur ton épaule ? Ne te-semble-t-il pas, ma grande salope, que notre petit cercle de famille se soit un peu agrandi ? ».

    Éberluée, je réalise qu’il ne fait aucun doute qu’une tierce personne va et vient dans mes fesses offertes et trempées !

    Agnès tient à me rassurer : « N'ait crainte, tu ne le connaîtras jamais : tu pourras simplement te dire, qu’un jour, un Vichyssois a payé tes deux Maîtresses pour t’enculer. Lui te connaît, et, je vais même l'autoriser à faire deux photos souvenir de toi : une de ton visage et l'autre de ton anus béant, mais toi tu ne le connaîtras pas, c’est excitant tu ne trouves pas ?. Et en plus, il va se vider les couilles dans tes intestins, sans capote, car je le connais et je sais que tu ne risques rien avec lui ».

    Elle éclate de rire en devançant ma pensée : « Non, ce n’est pas mon mari ! Ça restera un pur inconnu pour toi ! Mais n’oublions pas l’essentiel pour une putain : tiens c’est le prix de ta passe ! ». Elle me glisse un billet de banque dans la main gauche, m’obligeant à refermer ma main dessus.

    La table grince, l’inconnu, dont je connais doublement le sexe, donne de puissants coups de reins, pour me voir tortiller tout mon corps et me faire ballotter les seins sous la table. J’ai mal partout, mais je suis surexcitée par cette situation, que je n’avais absolument pas envisagée.

    Agnès reprend : « Oh j’espère que de te prostituer, ne te choque pas, ma distinguée bourgeoise d'Issoire ? Tu avais bien parlé toi même d’amours tarifés dans ton annonce ? Je me trompe ? ». Ne désirant pas parler, je fais simplement oui de la tête.

    « Ah, tu es choquée par une réponse qui sortirait de ta bouche ouverte ? C'est curieux, car tu ne sembles pas être choquée d'avoir ton trou à merde, béant et défoncé par une bite énorme ! Alors, sale petite enculée, je vais changer de ton, si, la salope que tu es en réalité, ne m'avoue pas tout de suite son goût immodéré pour son métier de prostituée occasionnelle ! ».

    En rougissant de honte, je dois lui avouer à haute voix que « Je suis une vraie putain, quasiment professionnelle et que je suis payée pour écarter mes cuisses ou mon trou à merde pour que des clients se vident les couilles en moi ». Pendant ce temps, l’homme, accroché à mes hanches, va de plus en plus vite dans mon cul et mes seins me font de plus en plus mal.

    Agnès se penche et me dit : « Eh bien, ils en font du chemin, tes bouts de mamelles laitières, ma salope ! ».

    L’homme gémit de plus en plus fort, je suis sure qu’il va jouir, et je contracte tous mes muscles pour qu'il me sente bien. Mais, il se retire brutalement de mes fesses pour enfourner son gland trempé dans mon con, dans lequel il s’enfonce en poussant un grognement de plaisir, en retrouvant un autre fourreau plus humide, plus chaud et aussi accueillant que je lui offre bien malgré moi.

    « Dis lui, ma petite chienne en chaleur, que tu as adoré sentir sa grosse pine dans tes petites fesses de catin dépravée ! Et que tu as hâte de recueillir son foutre dans ton con distendu, à force d'y recevoir des grosses pines, à longueur de journée ! ».

    L’homme a diminué sa cadence depuis qu'il me nique. J'ai du mal à réfléchir, dans la situation hyper humiliante dans laquelle je me suis mise, mais je me dois d’oublier toute fausse honte et d'obéir :

    « Oh, Monsieur, quel plaisir vous m’avez donné, en me défonçant le cul avec votre grosse pine. J’ai hâte de bien vous vider les couilles, dans mon ventre de salope, pour que vous gardiez un bon souvenir de la putain-esclave d’Agnès ! ».

    Agnès explose de rire : « Eh bien, ma bourgeoise BCBG ! Quand tu t’y mets ! Quel vocabulaire de pro ! Tu es sûre de ne pas faire le trottoir de temps en temps ? ». Je me sens plus excitée qu'insultée, tandis que mon baiseur, sans rechercher, une seule seconde, mon plaisir, me nique de plus en plus fort, en grognant et en faisant claquer ses cuisses sur les miennes.

    Agnès constate : « Eh bien, tu voulais lui vider les couilles, c’est en train de se faire ! Et le connaissant, je peux t’assurer qu’il se régale dans ton réservoir à foutre ! Il va te remplir et peut être même t’engrosser ! ».

    Sitôt après avoir joui, l’homme s’écroule sur moi, je sens des étoffes sur mon dos et mes cuisses : j’en conclu qu’il avait juste baissé son pantalon, pour profiter de moi sans même se déshabiller !

    Je le sens débander peu à peu dans mon ventre, puis se relever. Il s’essuie le sexe sur mes fesses et se recule, probablement pour se rajuster.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 15h30

    Agnès dit : « Je trouve malpoli de ne pas se présenter quand on est si intime. Qu’en penses tu Annie ? ». Annie lui répond en riant : « J'en suis certaine ma chère consœur ! ». « Nous allons arranger ça : bel étalon merci de mettre ce loup sur vos yeux ».

    Annie et Agnès s'écartent. L’homme qui vient d'éjaculer en moi, s’approche de mon visage, me regarde dans les yeux, en commentant : « Hum, joli minois ! Pour le moment, je n’avais vu de toi que ton trou du cul et ta connasse de pute, mais tes yeux de vicieuse feraient bander un troupeau d'impuissants ! Je ne suis pas prêt d’oublier ton regard. Dommage que toutes les putains ne soient pas aussi belles que toi ! ».

    Il se retire de mon champ de vision, prends le portable qu'une main doit lui tendre, et, exige un sourire épanoui de ma part avant de faire une photo de mon visage.

    Puis, il passe derrière moi, en me disant : « Est-ce que tu peux sourire du trou du cul, belle salope ? Je ne pense pas ! Alors contente toi de bien faire jouer tes muscles pour ouvrir, encore un peu plus, ton trou à merde, pour que j'en garde la trace impérissable dans mon portable ».  Et, c'est ce qu'il fait par deux fois.

    « Hum, que de compliments ma pute. Tu es douée pour ce métier : on verra si tes autres clients seront aussi de cet avis ! ».

    Je m’affole en l’entendant parler de mes autres clients. « Rassure toi, ça ira vite, car ils sont très excités. Ils vont te montrer leur bite, tu leur enfileras une capote avec ta bouche, comme toutes les putes le font. Ils te limeront et se videront dans le trou de leur choix ! ».

    Agnès me glisse un préservatif encore roulé dans la bouche. La première bite se présente devant moi : c’est un noir fortement membré qui a du mal à entrer la totalité de sa bite dans ma bouche.

    Mais le préservatif est bien posé, et l’homme passe derrière moi et sans préambule il m’encule. Il est si bien monté, que j’ai très peur d’être déchirée. Il va et vient rapidement, visiblement très excité. Il me lime quelques minutes le cul et brutalement, il sort de mon anus, s’enfonce dans ma chatte pour y jouir en grognant de plaisir.

    J’ai à peine le temps d’entrevoir les deux autres, tout se déroule vite : ils passent devant moi, yeux cachés par un loup, aussi bien pour me montrer leur sexe que pour regarder mon visage. Et je descends un préservatif roulé sur leurs bites avec ma bouche.

    Agnès les a choisi très bien membrés. Que ce soit dans le con ou dans le cul, je les sens me ramoner avec plus ou moins de délicatesse. Les hommes, visiblement sevrés de femme, sont tous, très excités et ils ne tardent pas à exploser, la plupart, dans mes fesses.

    Je suis affolée que ces quatre hommes aient vu mon visage. Pour eux, je suis une putain dont ils se souviendront. Alors que, moi, je ne connais d'eux que l'essentiel ! Leur sexe !

    Jeudi 26 janvier 2017 - 16h00

    Agnès défait les cordelettes qui attachent mes gros orteils au ceinturon et elle me l'enlève en le détachant de mon ventre. Sans que je ne puisse la voir, elle me remet le foulard sur les yeux et écarte l’espace de la rallonge de table pour libérer mes seins. Elle m’aide à me redresser et me place, debout fesses appuyées à la table.

    J'ai mal partout, mais elle ne m'accorde aucune trêve : « Accroupis toi et fais attention de ne pas trop bouger ton ventre ! ». Elle m’écarte au maximum les jambes en me conseillant : « Reste bien dans cette position, je vais glisser un récipient sous ta chatte et ton anus pour qu'ils s’égouttent du foutre dont tu es pleine ! ».

    Elle me donne une poire vaginale pleine d’eau tiède et me dit : « Rince toi l’intérieur de la chatte ». Je sens le mélange de mes sécrétions, du foutre et de l’eau tiède souillée tomber dans la petite cuvette.

    « Je suis sure que tu dois te sentir plus propre comme ça ! Tiens, celle là est pour ton cul ! ». Je me retrouve avec une autre poire dans la main. J’enfonce profondément la canule dans mon anus et je presse. Je sens de suite que le résultat de ce mini-lavement, tombe lui aussi dans le récipient.

    « Surtout ne bouge pas, si je vois une goutte à côté de la cuvette, je te supprime un de tes tabous, et méfie toi : j’ai l’air gentille comme ça, mais je sais être très cruelle avec les soumises médiocres ».

    Elle me laisse dans cette position. Quel repos pour mes reins, mes cuisses et mon anus. Mais mes seins restent déformés par les poids et me font encore plus mal.

    Je triche un peu et soulève de mes mains les lests qui me déforment la poitrine et, sans bouger, j’essaye de récupérer, tout en sentant sous moi un goutte à goutte provenant de mes deux orifices intimes, largement ouverts par les pénétrations et par ma position actuelle indécente.

    Je n’entends plus les deux femmes. Elles tardent à revenir. Je me demande ce qu’elles font. Je n’ai pas trop la notion du temps mais il me semble que je suis bien restée seule, pendant au moins dix minutes.

    J’ai des fourmis dans les jambes et un début de crampes, mais je n’ose pas bouger, de peur de salir le sol à côté de l’assiette, quand, enfin, j’entends les talons des femmes revenant dans la pièce, et la voix d’Agnès me dire :

    « Eh bien, pouffiasse, tu t’es bien reposée ? Tu as raté quelque chose : ta Maîtresse est une redoutable bouffeuse de chatte ! Nous venons de nous gouiner en pensant à toi ! Je voulais que nous fassions ça à trois, mais Annie m'a dit que tu n’étais pas digne de gouiner une de tes Maîtresses ! Et je crois qu’elle a raison ! Tu mérites plus nos pieds, nos trous du cul et nos urines, que nos chattes ou nos seins ! ».

    Elles rient toutes les deux : « Mais je vois que tu as trouvé une position confortable, sois gentille de redresser ton dos et de poser tes mains croisées sur la tête, les coudes bien parallèles au corps, tu as de la chance que je sois de bonne humeur : en règle générale, je n’aime pas les soumises fainéantes qui se laissent aller à la facilité ! ».

    Je m’exécute en grimaçant de douleur car dans cette nouvelle position très cambrée, mes seins me font mal à hurler. « Bien je vois qu’il n’y a pas de gouttes autour de l’assiette décidément tu es une soumise presque parfaite et ça rattrape un peu ta tricherie ! ». Je l’entends allumer une cigarette et retirer l’assiette du sol.

    Elle me relève et me change de lieu, en m’autorisant à refermer les cuisses, tout en m’humiliant au passage : « Tu sais que ton anus a été tellement dilaté, qu’il est encore largement ouvert. J’espère que ce soir ton mari ne voudra pas t’enculer, car tu aurais des problèmes pour lui expliquer ce qui t’est arrivé ! ». Yeux baissés, je ne dis rien.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 16h20

    Je l’entends s’asseoir, elle semble proche de moi et me dit :« Tu as les mains à la bonne hauteur, retire toi même ton foulard ». Je défais le double nœud et l’enlève. Après un moment très flou, je vois la pièce dans laquelle nous sommes : un salon cossu, Annie est dans un des fauteuils, caméra au poing et je découvre enfin Agnès : assise face à moi dans un autre fauteuil, en peignoir de bain blanc, dévoilant le haut d’une de ses cuisses très blanche, et chaussée d’une très jolie paire de mules d’intérieur à talons hauts.

    Elle ne peut guère cacher son âge, mais elle est restée très belle et très attirante : blonde aux yeux bleus avec un visage un peu ridé, mais un peau, des cheveux, des cuisses et des pieds parfaits.

    Elle sourit en me regardant : « Bonjour Loréna je suis contente que tu me découvres, je ne suis pas trop de différente de ma photo ? Remets tes mains sur la tête je te prie ».

    Je me remets en position en lui répondant : « Annie ne m’a pas autorisée à voir vos photos, et je vous trouve très belle, Agnès ». « Hum décidément Annie, est très dure avec toi, c’est une bonne Maîtresse ! Comme convenu, continue à m'appeler Agnès et à me vouvoyer. Je t'avoue que, pour le moment, tu es une des meilleures soumises que j’ai eues, et j’espère que tu vas continuer ton sans faute ! ».

    « Mais, trêve de compliments, tu peux enlever tes pinces à tétons, ça fait longtemps que tu les portes, elles doivent te faire mal à présent ». Par peur de manquer de courage pour supporter deux douleurs consécu-tives, je décide d’enlever les deux pinces d'un seul geste de mes deux mains. Mais, je manque défaillir : le sang, qui afflue en masse dans mes tétons écrasés, me fait hurler de douleur et je manque de tomber.

    Agnès se rend compte que je ne joue pas la comédie et se lève pour m'assister : « Assieds toi sur ce tabouret, je vais te chercher un remontant ». Ses talons claquent et elle revient, probablement de la cuisine avec un petit verre de vodka glacé : « Bois, ça te fera du bien ! ». Je le vide en trois gorgées et l'alcool fortement dosé et glacé me fait effectivement un effet immédiat et, très vite, je me sens mieux.

    Agnès est revenue s’asseoir dans le fauteuil près de moi : « Voilà, tes couleurs sont revenues je préfère te voir comme ça ! ».

    Elle prend un paquet noir et me le jette en me disant : « Enfile ça ». En le dépliant, je reconnais une armature de soutien-seins en cuir, comme celle que je portais devant Pierre sur les bords d’Allier.

    Je la pose sur ma poitrine : les lanières de cuir destinées à serrer la base des seins ne sont pas attachées, les bretelles d'épaules sont très fines et l’agrafage dans le dos est facile d’accès. Agnès se lève et vient vers moi, en me disant : « Annie m’a dit que tu connaissais déjà ce type de serre-nichons, je peux donc passer directement au serrage N° quatre que tu as déjà supporté ». 

    Elle prend la lanière du sein droit et la serre. L'ardillon enfoncé dans l’œillet quatre, je sens mon sein emprisonné à sa base gonfler de suite. Elle fait pareil au sein gauche. Avant de relever les bretelles sur mes épaules et d'agrafer le soutien-seins dans mon dos.

    « Tu es très drôle comme ça on dirait que tu as deux petits ballons devant toi, tu sais qu'ils vont devenir très rouges, puis tourner au rouge vinasse, mais, dès que je les libérerai, ils reprendront leur couleur normale d'une manière spectaculaire ! ». Elle se recule pour me regarder alors qu’Annie vient filmer mes seins en gros plan.

    « Annie t’appelle sa pute : tu vois qu'entre deux coups de langue, nous avons eu le temps de parler de toi dans ma chambre ! Mais, pour le surnom que je vais te donner, je voudrais quelque chose de beaucoup plus humiliant. Alors vas vers la table que ton trou du cul reconnaîtra vite ! Et, selon la méthode Annie : tu y trouveras un papier et un crayon. Tu vas me proposer par écrit quelques suggestions bien dégradantes de surnoms pour toi, mais, attention, je sais que tu peux avoir un vocabulaire très ordurier, alors, c'est le moment de t'en servir ! ».

    Nue, les seins gonflés et relevés par l’armature en cuir, je m'assieds à cette table de torture, et j'écris, sans trop avoir réfléchi : sac à foutretapin de luxe, putain de bordel, catin vicieuse, bourgeoise dépravée, salope en chaleur et videuse de couilles.

    Et je donne mes propositions à Agnès qui les lit en souriant. Elle me redonne ma feuille et m'ordonne de les numéroter de 1 à 7 dans le désordre. Pendant ces échanges, son peignoir s’est entrouvert, ce qui me permet de constater qu’elle ne porte rien dessous.

    Elle a vu mon regard mais me remet de suite à ma place : « Inutile de regarder ma chatte, si quelqu’un ici a le droit de la manger, c’est Annie. Ne fantasme donc pas sur elle ! ».

    Et, s'adressant à Annie, elle lui dit : « Je pense qu'il est normal que ce soit toi qui choisisse le surnom que je vais donner à ta pute durant tout cet après midi : alors, donne moi un chiffre entre 1 à 7 ! ».

    En riant, Annie lui propose le 7 et Agnès regarde sa liste numérotée : « Bien, ma chérie, tu es tombée sur salope en chaleur, le hasard en a décidé ainsi, Loréna, es tu contente d’être ma salope en chaleur ? ». Je m’entends dire : « Oui Agnès, je vais faire en sorte que vous soyez fière de votre salope en chaleur et Madame, de sa pute ! ».

    Elle comprend qu’après presque trois heures d'humiliations et d'obéissance, mes inhibitions ont disparu et elle sourit de ma rapidité d'exécution à ses ordres. Elle le constate encore une fois, quand, sur un seul petit signe de sa part, je m’agenouille devant elle, assise sur mes talons, cuisses largement ouvertes !

    « A partir de maintenant, je te demande de ne plus me quitter des yeux, entendu salope ? ». Je fais oui de la tête. Elle me demande de croiser les mains sur la tête et de me cambrer au maximum vers l'arrière.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 16h30

    Elle croise ses jambes. Telle que je suis assise, je vois l'intégralité de sa chatte peu poilue et luisante. Son pied gauche, chaussé de sa mule à talon, se pose sur mon sein droit.

    Elle me caresse le haut de mon sein gonflé avec sa semelle, puis, baisse son talon protégé par un bout métallique, en cherchant et trouvant très facilement mon téton encore tout boursouflé par la pince.

    Elle joue vicieusement avec lui, en le titillant et quand elle le voit se redresser, elle appuie son talon pour le rentrer, le plus loin possible, dans la chair de mon sein. Comme je ne la perds pas une seconde des yeux, elle voit ma douleur dans mon regard et souris, quand je me mords les lèvres pour ne pas gémir de douleur.

    « Tu attendais ma bouche ou ma main sur ton nichon mais, c’est ma chaussure qui te caresse et mon talon qui te torture ton bout de mamelle, ça te semble illogique compte tenu de ton statut ? ».

    Je comprends que sa question appelle une réponse et c’est d’une voix rauque que je lui assure : « Non, Agnès, une salope comme moi ne mérite que vos pieds et vos chaussures ! ».

    Elle semble satisfaite et lève son autre pied : « Soutiens moi les chevilles de tes deux mains pour que je puisse jouer en même temps avec tes bouts bandés à exploser ! ».

    Elle alterne l’enfoncement des tétons dans mes seins gonflés et les griffures avec ses talons ferrés. Je n’en peux plus, j’ai envie de hurler mais son regard doux et brillant de plaisir m’apaise, et je m’efforce de ne pas crier pour qu’elle soit fière de moi. 

    Elle retire enfin ses mules de mes seins : « Bravo tu es une bonne salope en chaleur, prends ma mule droite dans ta main et suce sa semelle et son talon, mais pas le dessus, qui a mon odeur et que tu ne mérites pas encore ! ».

    En faisant bien attention de ne jamais la quitter des yeux, je lèche tous les recoins de sa semelle avant d’enfoncer le talon dans ma bouche, pour le pomper bruyamment comme une bite, en le faisant aller et venir dans ma bouche. « Hum tu me donnes envie de te voir sucer un homme : tu dois être une experte. Salive bien, sur ce talon, salope ».

    Je suis son conseil : le talon est rapidement luisant de ma salive et coulisse de mieux en mieux dans ma bouche. « Parfait il est à point : glisse le dans ton anus et assieds toi dessus sans tricher, je vérifierai ».

    Je la regarde avec des yeux penauds, lève le cul et glisse le talon dans mon anus bien ouvert. Je me rassieds, sentant à peine sa présence, mais je grimace un peu, pour lui faire comprendre qu’il est bien en place.

    « Très bien à présent l’autre mule, je pense que tu vas m'annoncer ce que tu dois faire et te décrire à haute voix pour moi ? ». « Agnès, je vais lécher votre semelle et pomper votre talon pour le faire reluire et je le glisserai dans mon trou du cul comme la petite salope enculée en chaleur que je suis ».

    Je léche soigneusement sa semelle et pompe et nettoie son talon, avant de l’enfoncer dans mon trou à merde. Dans cette position, je sens nettement les deux talons en moi.

    Nous ne nous sommes pas quittées du regard. Ses yeux, légèrement ironiques me transpercent : forcément veule, je suis à genoux devant elle, seins rougis et gonflés, yeux grands ouverts, mains croisées sur la tête, cambrée et l'anus rempli des talons de ses mules.

    Elle récupère la petite cuvette qui était restée longtemps sous moi, après avoir été baisée et enculée par les quatre inconnus, et la pose à nos pieds. Le mélange de liquides et de sécrétions a séché.

    Dans une petite soucoupe, elle récupère, une à une les capotes pleines, utilisées par ces hommes et les remplit à mi-hauteur de vodka glacée. Elle secoue bien chaque capote, avant de reverser l’étrange mixture dans la petite cuvette, qui se remplit à moitié.

    Elle pose son pied droit, nu, dans le récipient, me saisit par les cheveux, pour m'obliger à regarder son pied bouger dans tous les sens pour bien remuer ce mélange plus que douteux, qui salit, bien évidemment, tout son pied : des orteils, au talon, en passant par la plante !

    Elle éclate de rire et me dit : « Eh bien ma petite salope enculée en chaleur, comme tu te définis toi même ! Tu vas pouvoir te rendre utile en nettoyant avec ta langue ce pied que tu rêvais d'avoir en bouche ! ».

    Elle croise ses jambes, pour rehausser son pied sale qu'elle me tend ! Je le prends dans une main par la cheville, et commence mon léchage par la plante et le dessous des orteils. Le goût est nauséeux, je ne sais pas ce qui domine le plus : la vodka, mes sécrétions ou le goût très fort des foutres mélangés des quatre hommes. Je m’efforce, yeux ouverts, de lui faire plaisir en lui léchant tous les recoins de son pied souillé !

    Elle se révèle chatouilleuse et je la fais frémir : « Oh, vicieuse, tu me chatouilles avec ta langue de pute ! ». Mais, elle remue, visiblement avec plaisir, ses orteils dans ma bouche, en enfonçant son pied aussi loin qu’elle le peut, me faisant même mal aux commissures des lèvres.

    « Oh quelle bonne salope tu fais ! Annie, quelle soumise de choix tu nous a formée ! Elle donne vraiment envie qu’on lui fasse mal et qu’on la mette plus bas que terre ! Vas y, enlève ta main de mon pied, pompe le sans le toucher en le faisant aller et venir dans ta bouche de pipeuse de nœuds ! Et, passe tes deux mains derrière toi, pour te branler le trou du cul avec mes talons, je veux que tu jouisses du cul devant nous dans cette position que refuserait une prostituée professionnelle ! ».

    Elle est si excitée qu'elle est obligée de faire une pause avant de reprendre ses insultes qui me galvanisent : « Mais toi tu n'as pas honte, et tu vas même être fière de t'envoyer en l'air par le cul devant tes deux Maîtresses, espèce de pouffiasse veule et vicieuse ! Tu aimes le cul, par vice et pas pour le pognon, j'ai rarement vue une salope aussi vicieuse, sans aucune pudeur, ni aucune inhibition ! Tu peux essayer de hurler ton plaisir, si tu veux, mais avec mon pied dans ta gueule de truie, attendant ta saillie quotidienne, on n’entendra pas grand chose espèce de bourgeoise dégénérée ! ».

    Jeudi 26 janvier 2017 - 17h00

    Je me relève un peu pour donner plus d’espace à mes mouvements et je me défonce durement l'anus avec les deux talons. Je regarde toujours Agnès dans les yeux. Ils sont de plus en plus brillants et peinent à rester ouverts. Je suis fière de constater qu’elle est de plus en plus excitée. Elle ouvre franchement son peignoir et pose sa main gauche sur son sexe. C’est la première fois que je la vois presque toute nue, et qu’elle s’abandonne en se caressant devant moi.

    Mais elle en veut plus, et veut rester d'une quelconque manière en contact avec moi ! Elle demande à Annie le ceinturon de cuir qui est resté sur la table, elle en fait plusieurs tours autour de sa main droite, ne gardant qu’une vingtaine de centimètres de cuir libre, et, sans arrêter de se caresser de la main gauche, elle me gifle violemment avec.

    Si la majorité de ses coups atteignent mes joues, mon visage, mon cou, mes épaules et, même le haut de mes seins, certains lui effleurent le pied que je pompe toujours : « Tu me paieras ça, connasse, je me fais mal au pied à cause de toi ! ».

    La force de ses coups est égale à son excitation : plus elle a de plaisir, plus elle devient brutale. Sans pouvoir me regarder, je suis sure que le cuir a marqué mon visage. Mais, ma position devant elle, les talons qui me taraudent, la vue de sa chatte de plus en plus trempée et les coups qui me font mal, mais qui m’excitent font monter un tsunami en moi.

    J’essaye de ne pas quitter son regard, mais mes yeux se révulsent, je fais attention de ne pas mordre son pied alors que mon corps commence à se tordre. Mais Agnès, malgré son excitation, réalise de suite ce qui m’arrive, et hurle : « Stoooooop ! Arrête toi, sors mon pied de ta bouche et débarrasse ton cul de mes talons ! ».

    Mon regard frustré doit être tellement triste et surpris, qu’elle me gifle violemment les deux joues avec le ceinturon en me disant : « Je te rappelle ma salope en chaleur que tu es là pour mon plaisir : si l'un de tes orgasmes me fait plaisir, tu jouiras, mais je ne vais pas supporter que tu jouisses avant moi, connasse ignare ! ».

    En même temps, elle avance ses fesses au bord du fauteuil, ouvre encore plus son peignoir et ses cuisses : « Mais tu vas avoir ta récompense : vas y salope fais ton travail : bouffe moi la chatte, et je te conseille de bien t’appliquer, sinon, c'est la dernière fois de ta vie que tu la verras ! ».

    Avec regret, je retire les talons de mon anus, je dois changer un peu de position pour me rapprocher d’elle et pouvoir la lécher de bas en haut. Elle est trempée. C'est la première fois que je goûte et apprécie un jus de femme excitée aussi délicat et agréable.

    Totalement séduite, je ferme les yeux pour me consacrer à ma tâche, en cherchant vraiment à lui faire plaisir et, en oubliant mon propre plaisir, que je sens encore affleurer dans toutes les parties de mon corps.

    Quelques coups, peu appuyés, de ceinturon sur mes épaules me stimulent, mais ses petits cris et ses gloussements qui vont crescendo me comblent et elle jouit très rapidement en gémissant et en grognant, d’une manière beaucoup moins démonstrative que moi.

    Je continue à la lécher jusqu’à ce qu’elle soit parfaitement propre, la laissant ronronner de plaisir, visiblement apaisée et satisfaite.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 17h30

    Elle me repousse du pied en refermant son peignoir, me privant de la vue de son beau corps de blonde, pâle et désirable : « Vas prendre une douche, c’est la troisième porte à gauche dans le couloir et tu reviendras pour fumer une cigarette que tu as bien mérité ma belle salope. Mais attention interdiction d’enlever ton soutien-nichons et de jouir ! ».

    Je file sous la douche, que j'apprécie après tant d’épreuves, de surprises et de sueur. J’y serais bien restée plus, mais je me contente d’un quart d’heure, en faisant bien attention de ne pas me mouiller les cheveux.

    Séchée, je reviens nue au salon où Agnès et Annie m’attendent assises dans deux fauteuils. Je me rends compte à ce moment là, combien le salon est grand. « Tu as des cigarettes sur la table, sers toi mais reste debout ». Il y a ma marque de cigarettes, et, c'est avec un réel plaisir que j'avale une profonde aspiration, en restant debout face à elles.

    Agnès me dit : « Je crois que nous allons devoir nous séparer. Mais avec Annie, nous venons de nous mettre d’accord pour nous revoir très prochainement. Il te faudra probablement mentir à ta famille, car je te veux à moi : soit, l'idéal : du vendredi soir au dimanche soir, ou, à la rigueur : du samedi midi au dimanche soir : il faudra te débrouiller mais j’ai la promesse d'Annie. Compris ma petite salope ? ».

    « Oui Agnès, je vous promets que je me libérerai, j'ai très à cœur de vous satisfaire Agnès et d'honorer les promesses de Madame ! ». « Très bien, j’ai confiance en vous, je sais donc que je te reverrai, dès que vous serez parties, je mettrai au point un petit synopsis que j'enverrai à Annie pour qu'elle le rectifie en fonction de la meilleure connaissance qu'elle a de toi, comme ça, je serai sure d'avoir deux Maîtresses et une esclave totalement comblées par cette rencontre ! ».

    Mes deux dominantes m'accordent une autre cigarette en même temps qu'elles, et quand Agnès écrase la sienne, elle me dit de m'approcher ! Je reste debout, face à elle. Elle m’ôte délicatement le soutien-seins de cuir. Ma poitrine, enfin libre, s’affaisse un peu et je pousse un soupir de soulagement qui n’échappe pas à Agnès qui me sourit en me disant :

    « Annie m’a aussi confié que tu pouvais jouir seulement en te touchant les tétons, avant que vous ne partiez, j'ai très envie de te voir t'envoyer en l'air comme ça : tu veux des pinces en bois, en plastique ou en fer pour tes bouts de mamelles ? ». Je rougis : « Avec votre permission, Agnès, mes doigts devraient suffire ».

    Elle rit, s’installe dans son fauteuil. Me demande d'enfiler mes escarpins à talons hauts, pour faire plus vulgaire, de rester debout devant elles, avec les cuisses largement ouvertes, pour être sures que je ne me frotte pas les cuisses l’une contre l’autre, pour aider mon orgasme ! « Vas y, ma salope : je t'avoue que je n’ai jamais vu une femelle jouir uniquement de ses mamelles ! ».

    Je pose mes mains sur mes seins et, très excitée, mes doigts caressent mes tétons. Je regarde à tour de rôle mes Maîtresses, comme Agnès me le demande. Mes tétons durcissent très vite. Je sais par expérience qu’il me faut être surexcitée, pour jouir de cette manière, mais je me sens dans l'état idéal pour cet orgasme.

    Très vite, mes doigts pincent mes tétons, puis c'est au tour de mes ongles, me faisant gémir autant de douleur que de plaisir. Peu à peu je perds tout contrôle et je monte sur mon nuage, oubliant les femmes qui me regardent et la caméra qui me filme. Mes cris sont de plus en plus forts et de plus en plus rapprochés.

    Je sens l’orgasme monter en moi. Je sais que je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps. Je regarde une dernière fois Agnès, elle lit dans mes yeux que j’ai dépassé le point de non retour et que je la supplie de ne pas m'interrompre, mais elle sourit et ses lèvres miment un baiser pour m’encourager à continuer.

    Et, brutalement, je vacille sur mes genoux et je jouis en hurlant, les doigts et les ongles crispés sur mes tétons. Toute l’accumulation de mon excitation antérieure semble s’évacuer de mon corps qui tremble des pieds à la tête, faisant rire les femmes. Ma tension met une éternité à diminuer, je transpire comme une marathonienne, totalement exténuée.

    Agnès sourit : « Tu es vraiment une salope peu ordinaire : j’avoue que j’ai hâte de jouer avec toi un week-end entier ! Je vais te pousser dans tes derniers retranchements et te faire atteindre des limites que tu ne peux même pas soupçonner toi même ! ». Annie la rassure en lui disant qu’après la promesse que j'ai faite, elle n’aura pas longtemps à attendre.

    « Bien, allez ma petite Loréna, prends tes affaires, vas te doucher et t’habiller, vous êtes déjà un peu en retard sur votre horaire prévu ! ».

    Jeudi 26 janvier 2017 - 18h00

    Quelques minutes plus tard, nous sommes sur le chemin du retour. Je ne suis pas très bavarde, mais Annie semble en pleine forme : « J’ai accepté que tu revois Agnès, car c’est une excellente dominatrice et qu’avec elle il n’y a pas de rapports d’argent, ce n’est donc pas une cliente à toi, par contre, elle est très connue dans le milieu bdsm de Vichy, elle va donc te rabattre de très nombreux clients : il faudra sûrement que vous négociez toutes les deux un % pour elle ».

    Je lui allume une cigarette et elle continue : « Mais tu ne reviens pas de cette ballade à Vichy les mains vides ! Tu as gagné 110€ ! Eh oui, seul ton premier niqueur t’a payée 50€, les autres t’ont eue pour 20€ chacun. Sois sure qu’ils étaient contents de l’aubaine ! Une pute comme toi pour 20€ c’est vraiment la liquidation avant fermeture ! ».

    Je mets les billets dans ma poche sans rien dire, ça ne sert à rien : Annie refusera toujours une part !

    Nous arrivons au motel. « J'espère que tu auras beaucoup d'appels demain pour ta future femme de ménage, nous nous revoyons samedi soir à la maison, soyez là pour 20h, ça te convient ? ». « Oui ce sera parfait Madame ».

    « Rappelle toi ma pute qu'en dehors de la soirée orientale que je vais vous préparer, la seule chose que nous devrons apprécier, c’est de voir la bite de mon mari défoncer ton petit cul ! Et compte sur moi pour mettre le bdsm sur le tapis : je ne vais pas me gêner, en sachant que tu es aussi l'esclave de ton mari de temps en temps ! Je suis sure que nous allons passer une super soirée ! ».

    Elle m’embrasse longuement sur la bouche, et nous repartons chacune de notre côté.

    Vendredi 27 janvier 2017 - 09h50

    Je suis au bureau, il va bientôt être 10h, et j'espère recevoir de nombreux appels en 2h ! Il est toujours délicat d'intégrer, ne serait-ce que partiellement, une tierce personne dans une famille, et si dans mon travail de DRH pour la Société, je fais très attention pour éviter toute erreur de jugement, je crois que je vais être encore plus attentive pour ce recrutement plus personnel !

    Il fait un temps splendide. Je sors dans la cour fumer une cigarette avec Sophie, et nous parlons, bien évidemment de ce recrutement un peu angoissant, elle tente gentiment de me rassurer.

    A mon retour, j'appelle Annie sur son portable pour lui proposer de nous rejoindre, Jean et moi chez Mario pour une petite pizza-party, elle accepte avec plaisir et, rendez-vous est pris pour 12h10 chez Mario.

    A 10h00 j'appelle Jean pendant sa récré pour lui signaler que je viendrai le chercher à midi avec une surprise, et j'attends en travaillant sur mes dossiers en cours.

    Cinq minutes après, j'ai le premier appel, une dame de 50 ans qui cherche 8h de ménage quotidien, sans repassage, je lui dis poliment de relire mon annonce et je raccroche. 10h10, et toujours un seul appel, je commence à me faire du souci !

    Mais, j'en reçois presque deux coup sur coup : une femme célibataire de 35 ans avec un garçon de 15 ans qui habite à 200 mètres de chez moi, et semble savoir tout faire. En plus, elle répond très correctement et très gentiment à toutes mes questions. Je lui propose un rendez-vous ce samedi chez moi à 10h. Elle s'appelle Eva. Je lui donne mon adresse.

    J'ai six appels en tout, mais je ne donne que trois rendez-vous pour ce samedi : Eva à 10h, Mariette à 11h et Joëlle à 12h, mais, cette dernière doit me confirmer que son mari peut l'accompagner, ce qui me semble être rédhibitoire ! Donc, seuls les deux premiers me semblent sérieux !

    Vendredi 27 janvier 2017 - 11h55

    Je quitte le bureau et file vers l'Institut. Jean m'attend devant le portail en discutant avec un copain, il est superbement habillé, mais avec des vêtements que je ne connais pas !

    Je constate en souriant que mes beaux-parents veillent, en effet, très bien sur lui ! Je me garde de faire une réflexion. Il monte, m'embrasse et je lui dis de suite : « Nous rejoignons Annie chez Mario, ma nouvelle amie et voisine avait très envie de faire ta connaissance ! « Ah c'est super, moi aussi, il me tardait de la rencontrer ! ». « Tu verras, elle t'adore déjà et vous allez devenir copains, chez elle, il y a plusieurs consoles vidéos et plein de jeux ! ».

    En cinq minutes nous sommes chez Mario ou Annie nous attend dehors en fumant : Jean lui fait un gros bisou en la gratifiant d'un : « Salut, Annie je suis très content de te connaître, c'est quoi comme consoles vidéos que tu as ? ». Ça y est la glace est rompue entre eux !

    En riant, Annie me bise la joue et me dis : « J'ai demandé à Mario si nous pouvions manger dehors, ça te va, Loré ? ». « Oui, tout à fait, je garderai mon gilet, mais en plein soleil on aura presque trop chaud ! Et, regarde le serveur : il est en train de dresser des tables dehors ! ».

    Vendredi 27 janvier 2017 - 12h15

    Mario après nous avoir salués, nous installe à une table sans parasol. Prend notre commande de trois pizzas fromages, un demi-rosé et un Coca. Dès qu'il nous laisse, j'en profite pour dire à Jean que j'ai eu une belle augmentation, et que depuis mardi, je cherche une dame pour m'aider à la maison, pour le repassage, le ménage et d'autres bricoles.

    Jean est enchanté de cette bonne nouvelle : « Chic, Maman, comme ça je te verrai plus, car quand tu n'es pas au bureau : tu repasses, tu gères tes dossiers de travail sur ton ordinateur ou tu nettoies ! ».

    Nous rions toutes les deux, mais en fait, il a raison !

    Annie me demande si j'ai des touches ?

    Je lui résume rapidement la situation : « J'ai envoyé dix messages, ce matin j'ai eu six appels et je n'ai donné que trois rendez-vous pour ce samedi matin. Seuls deux rendez-vous, me semblent sérieux, si tout va bien, samedi, nous aurons une gouvernante, à propos : ce titre te paraît bien Annie, pas trop prétentieux ? Pas déplacé de nos jours ? ».

    « Je ne le trouve ni déplacé ni abscons, mais je te suggère de l'interroger, elle, pour savoir comment elle aimerait que tu l'appelles ? ». J'admire Annie qui arrive à me dire cette phrase sans rougir ! Moi, je ne peux pas m'en empêcher ! Et, bien sur elle me pique ! « Ah oui, ce soleil est très fort, tu rougis déjà Loré ! ».

    Comme je l'ai enseigné à Jean, il me demande : « Maman, ça veut dire quoi abscons ? ». « Un mot abscons est un mot qui a disparu de notre vocabulaire et qui ne va pas tarder à être enlevé du dictionnaire, si tu veux un exemple, je peux te citer le mot : « abscons » que seules les Maîtresses utilisent encore ! ».

    Et toc ! Retour à l'envoyeur, « 15a » dit l'arbitre !

    Annie et moi éclatons de rire, entraînant Jean, à qui nous ne pouvons pas vraiment expliquer, pourquoi nous rions !

    Le repas est très agréable, nous rions beaucoup, Jean se révèle plein d'humour et de finesse de langage, Annie l'apprécie beaucoup, et quand nous avons terminé, je dis à Annie : « Nous sommes convenus que nous réglerions les additions à tour de rôle, après moi, puis toi, Annie, c'est donc au tour de Jean ! Et je lui donne ma Visa, en lui demandant s'il se rappelle de mon code ? ».

    « Bien sur Maman, c'est le 4962 ! ». Pliées de rire, nous le mettons en garde toutes les deux en même temps, en lui disant que c'est un code secret ! Et que maintenant tous les clients pourront payer avec cette carte !

    Il nous répond intelligemment : « Oui, mais pour ça, il faut qu'ils soient toi ou Yves ou Annie ou moi ! ». J'approuve et lui fait un gros bisou ! Trop intelligent ce gamin ! On en fera sûrement quelque chose !

    Nous rions et fier comme Artaban, il va régler tout seul, met le billet que je lui ai glissé dans le petit cochon des pourboires et revient avec trois sucettes et la facturette !

    Annie sourit en regardant nos deux sucettes, avant de les donner à Jean, et de me dire : « Tu crois que Mario a été allusif sur ce coup ? ». Heureusement que Jean n'a pas entendu car il m'aurait demandé ce que signifiait « allusif » !

    Les bises : « A demain soir pour Annie », « A dimanche soir pour mon Jean », « A demain par téléphone à tous les deux pour la réponse de la gouvernante ».

    Annie me propose de déposer Jean à son Institut, j'accepte, car je sens que ça fait plaisir à Jean et je file directement au bureau.

    Vendredi 27 janvier 2017 - 19h30

    Un peu étonnée par la maturité de Jean, je l'ai appelé du bureau avant de partir, pour lui demander s'il voulait que je passe le prendre chez ses grands-parents ou s'il y restait jusqu'à dimanche soir ? Il m'a répondu qu'il faisait ses devoirs de lundi et que sa mamy lui avait préparé une grosse omelette aux cèpes et du riz au lait ! Ses deux plats favoris !

    « Entendu ! Je ne peux pas lutter ! A dimanche soir, fiston adoré ! ».

    Yves m'ayant prévenu qu'il aura dîné à l'aéroport, compte tenu de l'attente entre les deux avions. De mon côté, je me suis fait un sandwich, et j'avance un peu le tableau de mes exploits, qui est, en fait un journal intime sous forme de tableau donnant la date, le lieu, la durée, les participants, les actes, et les éventuels gains de chacune de mes relations sexuelles, de ma vie secrète. Document idéal pour Yves s'il veut divorcer, mais que j'ai décidé de tenir pour ne rien oublier de cette nouvelle vie !

    Le téléphone sonne, je suis très surprise car c’est Marc : « Bonsoir Loré, j’espère que je ne te dérange pas ». « Non, pas du tout Marc, je pianotais sur mon ordi en attendant Yves qui rentre par le 22h30 de Paris ». « Tu réponds déjà à une de mes questions, car Annie n'a pas été capable de me dire à quelle heure il rentrait ! Donc, ça lui fait 23h et des brouettes à la maison, par conséquent, ce sera pour demain ! ».

    « Que veux-tu que je lui dise à son arrivée ? ». « Oh, simplement s'il peut se libérer une petite demi-heure, dans la journée, pour prendre un verre à la maison demain ? ».

    Un peu surprise de ne pas être invitée, je dis à Marc : « Pas de souci, je transmettrai, il t'appellera demain matin pour te donner ses heures de liberté, en principe il va au bureau quand il revient de l'étranger, mais il trouvera bien le temps de venir papoter avec toi ! ». « Ok, Loré, merci, Annie t'embrasse ! A demain soir, bisou ! ».

    Je souris en moi même, je sens que durant cette demi-heure, mes oreilles vont siffler ! Mais ça fait partie de la règle du jeu imposée par Madame, acceptée par la gouvernante, pour éviter de dire la bonniche !

    Toujours est-il que le schéma de mon tableau intime est terminé, quand Yves rentre, et nous sommes le :

    Vendredi 27 janvier 2017

    et, il est :

    23h30

    Donc l'heure de dormir pour vous !

    Et l'heure de se coucher dans la maison d'Yves-Loré ou la veilleuse risque de veiller très tard dans la nuit !

    Suite > Chapitre 5


    votre commentaire
  • Chapitre 5

    Nuit du vendredi 27 au samedi 28 janvier 2017

    Comme annoncé, la veilleuse de notre chambre est restée longtemps allumée dans la nuit du retour d'Yves. J'avais décoré notre lit d'une petite guirlande de Noël, et ça lui a plu !

    Mais son petit cadeau, aussi : sa petite femme avec juste sa petite culotte, ses nichons aux bouts bandés et sa bouche avide dirigée vers le contenu de sa braguette ! J'ignore pourquoi, mais, Il ne lui pas fallu longtemps, pour comprendre ce dont j'avais envie !

    Et, si, bien sur, ce n'est pas nous, ces préliminaires, ces pelotages de nichons et de tétons, cette bite bien raide, si à l'aise dans ma bouche, et sa vidange de couilles qui m'a envoyée au paradis, durent 8mn14 >

    http://www.roadsexe.com/video/une-brunette-bien-bonne-pour-se-vider-les-couilles-7080.html

    Après ce qu'Yves a qualifié, avec un humour certain, d'agréable mise en bouche ! Nous avons pris une collation, tous les deux à poil, en nous excitant mutuellement tout au long du repas, et, si, en revenant dans notre chambre, Yves a fait semblant de s'endormir tout de suite, je me suis appliquée à très vite le réveiller et le faire bander comme un âne.

    La suite ne peut que se raconter sur ce clip de 10mn24 >

    http://www.roadsexe.com/video/une-sextape-qui-fait-du-bien-a-regarder-6932.html

    Et c'est, bien emboîtés l'un dans l'autre que nous nous sommes endormis comme des bienheureux très tard dans la nuit !

    Samedi 28 janvier 2017 - 9h

    Yves se réveille un peu avant moi, et me fait la surprise de me réveiller avec un beau plateau-déjeuner, en me posant un toast chaud sur un sein pour me réveiller en douceur ! Je chasse l'intrus d'un revers de main et Yves me rassure avec un baiser gourmand sur l'autre téton, toujours salope, je lui réclame sa main entre mes cuisses ! Mais il me calme en me rappelant que j'ai un rendez-vous important à 10h, qu'il doit aller au bureau pas trop tard et prendre l'apéro avec Marc !

    Je calme mes envies, avale mon petit déjeuner avec plaisir et file sous la douche, où, il commet l'erreur de me rejoindre !

    Et, bien sur, vous commencez à me connaître ! Je m'agenouille et enfourne sa bite dans ma bouche, et il me faut 4mn20 pour faire à peu près comme ces deux beaux amants >

    https://fr.pornhub.com/view_video.php?viewkey=ph599748cd99114&utm_source=PBWeb&utm_medium=PT&utm_campaign=PBWeb

    Nous finissons tout de même de nous laver et nous nous habillons. Nous prenons un dernier expresso, et fumons notre première cigarette dans le salon. Yves en profite pour téléphoner à Marc et prendre rendez-vous pour midi moins le quart chez eux. Il m'embrasse longuement et part pour le bureau alors que je range tout pour mon premier rendez-vous !

    Samedi 28 janvier 2017 - 10h

    Je relis les quelques notes que j'ai prises sur Eva, que j'attends :

    Femme célibataire de 35 ans, née dans le Roussillon, mariée très jeune à un Issoirien, un fils de 15 ans, a toujours travaillé pour qu'il ne manque de rien : secrétariat, intérim, hôtesse d'accueil au Syndicat d’Initiative d'Issoire, serveuse dans une pizzeria, et, depuis trois ans, femme de ménage non déclarée chez quatre clientes différentes.

    Mais elle préférerait un seul employeur et être déclarée. Elle peut donc se libérer de suite. Je me rappelle de sa voix agréable et de ses réponses intelligentes, franches et dans un vocabulaire plus que correct !

    Je l'attends donc avec impatience ! A 10h05, le carillon de la porte résonne. Je vais ouvrir et l'accueille. Une poignée de main et je la fais entrer dans le salon : où je lui propose de faire connaissance en buvant un café et en fumant une cigarette, si toutefois elle est fumeuse, et si ce n'est pas la cas, si la fumée ne la dérange pas. « Je ne suis pas une grosse fumeuse, Madame, mais je vois sur votre table la marque que je préfère, je vais donc accepter, en étant contente que nous ayons déjà un point commun ! ».

    Je trouve cette observation sympathique et significative d'une certaine sûreté de soi ! Nous enchaînons sur nos origines, puisque je suis née à Canet-Village, à dix kilomètres à l'ouest de Perpignan, et elle à Rivesaltes, à dix kilomètres au nord ! A 19 ans, elle a rencontré un auvergnat très sympathique, lors de la fête votive... Je la coupe en lui disant : « La Saint André ! », elle approuve en riant ! Et je rajoute : « Moi, c'est à la Saint Michel, la fête de Canet, que j'ai perdu ma virginité, c'étaient des fêtes dangereuses pour des jeunes filles !

    Nous rions toutes les deux, et elle continue : « Rapidement, j'ai eu mon fils, Mathieu qui fêtera ses 16 ans en septembre, mais, après le dépôt de bilan de Voxan, qui fabriquait les seules motos françaises, il n'a pas pu retrouver rapidement du travail et a finalement quitté la région avec une couguar argentée, nous avons divorcé trois mois après, à l'amiable et sans conséquences pour Mathieu ».

    « C'est déjà ennuyeux de divorcer, mais encore plus, s'il faut se déchirer devant nos enfants, moi, aussi, j'ai divorcé du père de Jean, qui a 12 ans, de la même manière que vous. Mais mon nouveau mari, Yves, l'adore et c'est réciproque, donc j'ai refait ma vie d'une manière très heureuse. Mais, nous avons tous les deux des boulots très prenants : lui dans le développement mondial d'une grosse Compagnie de logiciels, et moi comme bras droit du PDG de la SEAP d'Issoire ». « Celle qui a ses locaux sur l'aérodrome d'Issoire ? ». « Oui, vous connaissez ? ». « Elle rougit un peu : je ne devrais pas vous le dire, mais je n'aime pas les cachotteries : j'ai un petit ami qui y travaille ! ». « Décidément, nous avons beaucoup de choses en commun ! Rassurez-vous, votre vie privée vous appartient, et je ne veux surtout pas connaître son nom ! ».

    Je ressers du café et propose une autre cigarette qu'elle refuse. « Vous voulez visiter la maison pour vous habituer aux lieux ? ». Elle me sourit, pour ce peut-être qu'elle doit juger encourageant ! Nous terminons nos tasses et faisons le tour de la maison, qu'elle trouve : « Très spacieuse et qui accorde un grand espace de vie à chacun, que ce soit par nos deux bureaux, la chambre avec salle de bains de Jean et la suite parentale ». « C'est tout à fait exact, en plus, elle des dépendances, un grand garage et un jardin avec une piscine et ce quartier, dans ce petit village est un havre de paix ! ».

    Nous nous rasseyons, le téléphone sonne. Je m'excuse auprès d'Eva et décroche : « Oui, bonjour, Mariette (…) En effet, nous avons rendez-vous à 11h (…) Ah, vous avez un problème (…) Je comprends, une belle surprise de la part de votre mari (…) Mais, bien sur, nous pouvons retarder le rendez-vous (…) Au mardi ? Oui je pense que ça ira (…) mais appelez-moi lundi en fin de matinée, je vous confirmerai l'heure du rendez-vous de mardi (…) Oui, en effet, je reçois des candidates ce matin (…) Mais vous en saurez plus lundi (…) Oui, bon weekend-end en amoureux, Madame Mariette et à bientôt ».

    Je raccroche en souriant, et en résumant cet appel : « Comment rester à l'ANPE pour un weekend de baise, pauvre Mariette ! ». Même si Eva a compris cette métaphore, un peu vulgaire, elle ne fait aucun commentaire, mais, au moins, elle connaît mon caractère direct !

    « Bon, revenons à nous, vous m'avez dit avoir travaillé trois ans dans une pizzeria de la Place de la République, connaissez vous Sylvia ? ». « Mais, bien sur, c'est la patronne de la Piazza, où j'ai travaillé trois ans ! Vous la connaissez aussi ? ».

    Je ris : « Non seulement je la connais mais, en plus c'est une grande amie, je risque d'être dure avec vous, Eva, me le permettez vous ? ».

    « Je ne vous suis-pas, Madame ? ». Je souris ! « Rassurez-vous, vous n'aurez pas mal, mais je vais vous demander une autorisation, avant que nous n'abordions vos conditions financières : puis-je appeler Sylvia devant vous, sans lui dire que vous êtes en face de moi ? ».

    Eva éclate de rire ! « Je comprends, le mal que je pourrais ressentir : si Sylvia m'a virée pour avoir piqué dans la caisse ou insulté des clients, je risque, en effet, d'être très mal à l'aise, mais je vous rassure : je continue à voir Sylvia et nous sommes de grandes amies. Certains samedis elle m'appelle pour la dépanner au service ou même à la plonge ! ».

    « Eh, bien, en raccrochant, je vous dirai oui ou non ! Et, si c'est oui, nous irons le plus vite possible à la Piazza, et nous raconterons tout à Sylvia en buvant du champagne ! Elle va adorer cette anecdote ! ».

    « Oh ! Oui, avec son humour, je l'imagine déjà pliée en deux en faisant tomber sa coupe ! ».

    J'appelle, Sylvia à la Piazza, il est 11h, donc avant le service.

    Samedi 28 janvier 2017 - 11h15

    Eva et moi finissons de visiter la maison : les dépendances, le garage, le jardin, la piscine et le pool-house. Nous revenons au salon pour aborder le dernier débat à l'ordre du jour : « Eva, j'ai un dernier petit détail à régler avec toi, tu me le permets ? ». « Loréna, si chaque fois que tu dois me demander quelque chose tu mets des gants aussi longs, nous allons passer des soirées entière à attendre nos réponses ! ».

    Je ris, en m'excusant : « Chez SEAP, j'embauche depuis dix ans, mais là, avec toi, c'est tout nouveau, tu vas entrer dans mon intimité et je ne saurais dire pourquoi, mais c'est moi qui me sens gênée ! ».

    « Il n'y a vraiment pas de quoi, Loréna, je suis ton employée et tu es la patronne ! Donc nos rôles sont parfaitement bien définis, et je vais te dire que je suis même fière d'être ton employée ! ».

    « Pfffffff tu me tends une perche superbe : quelle profession dois je mettre sur tes fiches de paye ? ».

    Elle éclate d'un grand rire cristallin ! « Et ça te mettait mal à l'aise ? Mais tu mets ce que tu veux ! ». A mon tour de rire : « J'avais pensé à gouvernante ? Qu'en penses-tu ?». « Sincèrement je trouve ça un peu snob et tu ne l'es pas ! Je préfère nettement femme de ménage, ça me va bien, tu sais que ce qui comptera, c'est que nous nous entendions bien toutes les deux et que la dernière ligne de ma fiche de paye me suffise à rendre mon fils heureux et à vivre correctement ! ».

    « Je te comprends, Eva, et sois certaine que je t'y aiderai le plus possible, sans abuser de tes heures, tu as peut être une photo de toi ? « Oui, j'en ai une de cet été, tu la veux ? ». « Prête la moi, je vais la scanner et l'envoyer à mon mari et à mon fils, il seront enchantés et contents de voir que tu as moins de 70 ans, que tu n'es ni borgne, ni unijambiste et, en plus, plutôt canon, comme ils vont le penser et, le dire tous les deux, car mon fils est précoce et mon mari dit ce qu'il pense ! Comme moi ! ».

    Quelques minutes plus tard, je lui rends sa photo, elle me quitte avec un grand sourire, monte dans sa Twingo avec toit ouvrant !

    Je rentre et envoie sa photo accompagnée de : « Eva, notre sympathique femme de ménage, à partir de ce lundi 31 janvier ! » à Yves, à Jean mais aussi, à Madame !

    Tome 05

    Nous avons rendez-vous lundi matin à 8h pour qu'elle fasse connaissance avec Yves et Jean, que je récupère ses documents pour la rédaction du contrat et que je lui indique où sont certains instruments indispensables, comme, par exemple la station vapeur, la table de repassage et l'énorme corbeille de repassage en retard ! Ouf !

    Samedi 28 janvier 2017 - 11h45

    Yves revient du bureau, heureux d'avoir reçu la bonne nouvelle de ma nouvelle femme de ménage. Et, comme je m'y attendais, il rajoute un peu coquin : « Et, en plus, elle est mignonne comme tout ! ».

    Je lui assure que j'ai plus regardé ses mains et son envie de bosser que la taille ou la fermeté de ses seins ! Il me répond qu'il n'en est pas tout à fait sur et après un gros bisou, il part pour sa rencontre avec Marc !

    Je prépare le déjeuner pour nous deux, puisque Jean est avec ses grands-parents jusqu'au dimanche soir.

    Samedi 28 janvier 2017 - 13h

    Comme je m'y attendais, Joëlle, mon rendez-vous de 12h, ne m'a pas rappelée. Je suis un peu surprise qu'Yves ne soit pas encore de retour, heureusement que mon déjeuner est au chaud dans le four !

    J'allume une autre cigarette en regardant les infos à la télé.

    Yves revient, il sent un peu l'alcool, et je le mets en garde : « Attention, Yves, tu ne te rappelles pas tout ce qui s'est passé la semaine dernière, mais je t'ai promis que c'était la première et la dernière fois que je te mettais au lit ivre mort ! ».

    « Rassure-toi, Amour, ça ne m'arrivera plus, je te le jure ! Mais Marc a une sacrée descente : quatre whiskys tassés en trois quart d'heure ! Il va devoir faire une bonne sieste, moi, je me suis arrêté à deux, car son hors d'âge est assez exceptionnel ! On mange, ma chérie ? ». « C'est prêt, mets toi à l'aise je t'attends à la cuisine ».

    Nous parlons beaucoup d'Eva pendant le repas, mais je refuse à Yves tout accès à son dossier financier : je lui dit fermement que c'est une affaire strictement personnelle, dans laquelle, il n'aura jamais à intervenir : « Mais, ma Chérie (…) Chut, je l'ai embauchée pour m'aider à te consacrer plus de temps et d'amour, ainsi qu'à Jean et mieux vivre nos amitiés, nos loisirs et nos relations. Donc, son budget ne concerne que moi, et mon boss qui a très gentiment ajusté mon salaire pour que je puisse l'embaucher ! ».

    Yves est convaincu mais m'assure qu'il sera toujours là en cas de souci ! Je ris en lui mettant au moins trente centimètres de langue dans sa bouche et, après avoir récupéré mon souffle, je lui dis : « Je le sais bien mon Amour ! ».

    Nous passons dans ce que nous appelons à présent le fumoir, ce qui me fait sourire et devrait avoir le même effet sur Annie, et propose à Yves une petite sieste crapuleuse comme on dit à Marseille, il me sourit, désolé, car il n'a pas fini et il doit retourner au bureau, au moins jusqu'à 18h.

    Un peu désolée, je ne lui en veux pas et m'assieds sur ses genoux pour lui offrir un gros câlin. Il en profite pour me dire que si je veux aller aider Annie, je peux y aller quand je le désire, elle m'attend sans obligation de ma part.

    « Je ne vais pas laisser tomber ma nouvelle amie ! J'irai dans une petite heure, le temps de me doucher et de tout ranger ! ».

    Yves me quitte et repart à son bureau.

    Samedi 28 janvier 2017 - 13h30

    C'est fini pour la maison, je m'habille en uniforme de RTT, et appelle Annie « Bonjour, oui, c'est moi ! Je suis là dans cinq minutes, laisse moi un peu de travail ! ». « Elle rit : « Ok, ma chérie, c'est gentil, viens quand tu veux, je déverrouille la porte et je prépare du café ! Bisous ! ».

    J'annonce mon entrée en poussant la porte, elle me crie qu'elle est dans la cuisine. Je la rejoins, elle me serre contre elle et m'embrasse très tendrement sur la bouche, me faisant ronronner de plaisir.

    Un peu essoufflée, je remarque : « Compte tenu du baiser-régal que tu viens de m'offrir ! Je suppose que Marc n'est pas là ! ». « Tu es futée, ma Loré, le moindre indice te met sur la piste du meurtrier ! Oui, en effet, il est allé faire un golf avec des amis ! ». « Hum, bad news for me ! Il va être en super forme ce soir ! ». « Ah, ça, ma pute adorée, il fallait y penser avant d'accepter la soirée, et pas après ! Tu l'auras cherché ! ».

    Nous rions et je lui demande où elle en est : « Je suis contente, car je travaille depuis 6h ce matin, heure à laquelle tu devais t'endormir, pleine du sperme qu'Yves a accumulé en Russie ! ». « C'est à peu près exact, mais comme j'avais mon rendez-vous avec Eva, nous nous sommes endormis un peu avant ! ».

    « Je t'avais dit que je préparais une soirée marocaine ? ». « Non, pas vraiment, ou je n'ai pas flashé, mais pourquoi ne pas faire appel à un traiteur ? C'est plus simple ? ». « Oui, mais, si chaque fois, tu dois ouvrir ton cul, ça va finir pas me gêner et surtout, contrairement à toi, j'adore faire la cuisine, et, paraît-il, je la fais très bien ! Donc, si je ne la fais pas pour ceux qui vont devenir nos meilleurs amis ? A qui vais-je la faire ? ».

    « Raisonnement imparable, et donc tu en es à ? ». « Mon repas est prêt, la pastella aux pigeons ne demande plus que trente minutes de cuisson au four. Le couscous va se réchauffer deux heures à petit feu, avec la semoule au-dessus pour qu'elle s'imprègne bien des saveurs du mélange, légumes, viandes, épices et jus. Le thé à la menthe se fait au dernier moment et les pâtisseries marocaines sont soigneusement emballées dans un torchon un peu humide pour ne pas sécher et rester croustillantes ! ».

    « Ouah, quel cordon bleu, tu as même fait ton timing ! Quelle organisatrice ! Tu es aussi forte en cuisine que sur les bords d'Allier ! ».

    « Hum ! A ce propos, j'ai reçu le synopsis d'Agnès, je l'ai lu ! J'ai du m'envoyer en l'air, tellement il est excitant ! Je vais y rajouter ma petite touche, et tu vas te régaler ma catin d'amour ! ».

    « Il faudra penser sérieusement à ce gros rendez-vous, mais je n'ai pas encore le programme d'Yves pour les semaines à venir ». « Pas grave, on a le temps, ça augmentera ton excitation ! Tu adores savoir que tu vas vivre bientôt une séance inoubliable ! Et l'attendre avec impatience! ».

    « Hum, oui c'est tout à fait exact ! ». « En ce qui concerne les boissons, les bouteilles de champagne sont au frais depuis hier, Yves a promis à Marc d'en apporter d'autres de la même marque, bien frappées, quant au Gris de Boulaouane, en fait le rosé, très clair, élevé au Maroc, qui accompagnera notre repas, il est lui aussi, dans un autre frigo ! En fait, il ne nous reste qu'à dresser la table et nous aurons fini ! ».

    Entre deux cafés et deux cigarettes, nous dressons soigneusement la table, avec un service de table en poterie de Salé, banlieue de Rabat, et, comme décoration : des objets, des bijoux, des roses des sables et des tas de souvenirs de ce pays où Marc est né. Pour donner une réelle ambiance et faire comme là-bas comme l'assure la pub du Couscous Garbit !

    Entre temps, nous avons, bien sur beaucoup parlé d'Eva. Annie m'assure être contente que je puisse à présent avoir un peu plus de liberté pour ma famille et m'assure qu'elle ne va pas trop abuser de mes temps libres, et partagera équitablement avec Yves, Jean et elle, que ce soit en tant qu'Annie ou de Madame !

    Samedi 28 janvier 2017 - 14h10

    « Dis moi, ma chérie, nous n'avons plus rien à faire. Yves et Marc ne seront, là que dans cinq heures, et, moi, je n'ai qu'une course rapide à faire avec toi. Ce qui nous laisse pratiquement quatre heures. Comme je ne veux pas t'épuiser sexuellement avant la soirée, pourquoi ne pas en profiter pour se faire une toile ? Ça te plairait ? Je te rassure de suite : pas dans un ciné-porno ! Ça, ça viendra plus tard dans ton éducation de soumise parfaite ! ».

    « Excellente idée, je vais juste me changer en vitesse, récupérer un sac et je te retrouve dehors, si tu es d'accord ? Et, même s'il te reste un peu de temps, regarde quel film débute au Ciné Dômes entre 14h45 et 15h. Je te laisse choisir ! ». « Ok, je cherche, je me change et à de suite ! ».

    Samedi 28 janvier 2017 - 15h

    Il y avait un peu de circulation sur la A75 et nous ne pouvons que prendre des places pour le seul film qui commence à 15h : Rogue-One.

    Tome 05

    Jean étant un inconditionnel de Star Wars, je suis contente de voir un épisode que je ne connais pas. Mais Annie me prévient qu'il n'est pas dans la lignée de la saga : « C'est en fait le premier des trois films dérivés de la saga qui seront regroupés sous le sigle A Star Wars Story, le deuxième en 2018 et le dernier en 2020 ! ».

    Annie est aussi un puits de science !

    Samedi 28 janvier 2017 - 17h13

    Le film s'achève, nous sortons, et je dis à Annie : « Je dois reconnaître que je n'ai rien compris ! Avec tous ces morts qui ressuscitent, ces bouts d'épisodes repris et modifiés ! Heureusement que j'étais avec toi ! Ça faisait un bon siècle que je n'avais pas flirté comme ça au cinéma ! ».

    J'ai le malheur de lui dire ça, quand, dans le couloir de la sortie, nous passons juste devant des toilettes. Elle me prend par le cou et me glisse à l'oreille : « Tu ne protestes pas, tu ne dis rien et tu me suis ! ».

    Samedi 28 janvier 2017 - 17h45

    Nous ressortons des wcs pour femmes, je me sens un peu toute chose, la bouche gluante, les genoux marqués par ma position. Et, en plus, frigorifiée d'être restée vingt bonnes minutes, entièrement à poil, alors qu'Annie s'était contentée de relever sa jupe et de baisser sa culotte !

    Je fais un peu la tête, car, je suis restée sur mon envie de jouissance, alors que pendant la durée du film, elle m'a laissée m'exciter sur elle.

    Je pensais qu'en la faisant jouir dans ces wcs, elle m'autoriserait, au moins, une masturbation, mais, je n'ai rien eu ! Elle se rend compte que je suis grognon et me dit : « Puisque tu estimes que nous avons flirté dans la salle, ce n'est pas Madame que tu viens de lécher jusqu'au plaisir ! Mais c'est bien Annie, qui flirtait avec sa petite femelle gouine ! Pourquoi ne pas avoir demandé à Annie de te branler ? Je suis sure qu'elle aurait été très heureuse de glisser ses doigts, dans ton con, dans un cinéma et même, de te faire gémir, pour signaler aux voisins que tu avais un malaise vaginal ! ».

    « Attention, ma petite chérie, Madame et moi sommes deux femmes assez compliquées à suivre et à comprendre, mais je te croyais suffisamment intelligente pour toujours savoir avec qui tu étais ! ».

    Nous récupérons sa voiture ! Je suis groggy ! Je n'ai rien compris, ni elle, ni le film !

    Samedi 28 janvier 2017 - 17h55

    Quelques kilomètres plus tard, nous sommes de l'autre côté d'Aubière, dans la partie appelée le kilomètre lancé, mi zone commerciale, mi zone industrielle. Annie stoppe devant un entrepôt siglé par une petite enseigne lumineuse : Tunis Import, elle me demande de la suivre et pousse une porte métallique qui ouvre sur un show-room de vêtements orientaux.

    En attendant qu'un vendeur s'approche, elle me dit : « Pour une soirée marocaine, il nous fallait des tenues, j'ai sélectionné quelques caftans sur le net. Il nous faut en choisir deux pour les étrenner dès ce soir ! Tu ne trouves pas l'idée séduisante, ma chérie ? ». Je souris : « Super séduisante ! Nos chéris vont être surpris ! ».

    Un bel homme s'approche de nous : « Bonsoir, Mesdames, que puis-je pour votre service ? ». « Bonsoir, Monsieur, j'ai réservé quelques modèles de caftans sur votre site Internet au nom d'Anne-Marie, ce matin aux alentours de 11h ». Il consulte sa tablette, en effet, Madame, voici les modèles que vous avez sélectionnés : et il les projette sur un écran.

    Tome 05   Tome 05   Tome 05

    Tome 05   Tome 05

    Je regarde Annie : « Tu choisis ? ». « Non, tu es mon invitée, choisis ton caftan de soirée, ma chérie ! ». « Entendu, je choisis le bleu et rose, troisième en haut ! ». Le vendeur nous dit : « Très bon choix, Mesdames, je suppose que vous apprécierez un 38-40, car les caftans se portent amples, sinon, bien sur, je vous aurais proposé un 36 ! ».

    Bel homme et gentleman, certains ont tout pour eux ! Annie lui dit : « Pour moi, ce sera le deuxième du bas, blanc, long, avec ces superbes broderies, et dans la même taille ! ». « Donc, un 36, Madame ? ». « Non, mon cher ami, un 38-40 : je n'aime pas montrer mes seins de suite ! ».

    Nous rions tous les trois alors qu'il va chercher notre commande. Quand il revient, elle me demande si je veux l'essayer, je lui dit que ce n'est pas la peine : « Moi, non plus ». Elle sort sa Gold et nous partons en remerciant notre gentil vendeur !

    Je m'étais souvent rendue compte que j'étais désirable aux yeux de certains hommes, en dehors d'Yves, mais en compagnie d'Annie, la paire que nous formons, pour ne pas dire le couple, est absolument irrésistible !

    Samedi 28 janvier 2017 - 18h45

    « Je trouve ton idée, superbe, Annie, j'aurais du faire pareil pour la soirée espagnole ! La prochaine fois, je réfléchirai plus ! ». « Ne te fais pas autant de souci, ma Loré, ta soirée était superbe et il ne manquait rien ! La mienne sera largement en dessous de ta gastronomie, c'est pour ça que je mise plus sur l'ambiance que sur le goût ! ».

    Elle me demande de nous allumer deux cigarettes, et rajoute : « A propos de goût, j'aurais du choisir pour toi, c'est ton modèle que j'aurais pris. Le noir me plaisait aussi, mais il faisait un peu racoleuse, ce bleu t'ira super bien, j'espère que tu as des sandales style tongs-chics bleues, blanches ou dorées, avec des ongles vernis vermillon, tu seras hyper sexy ! ».

    Nous fumons en silence, et à 18h45, elle me dépose chez moi, Yves n'est pas encore rentré. Un smack et je descends avec mon paquet sous le bras. La soirée s'annonce belle !

    Samedi 28 janvier 2017 - 19h15

    Je suis dans le fumoir, à poil sous un peignoir à demi-ouvert et je finis de me vernir les ongles des pieds. Ceux des mains sont faits. J'ai pris un long bain et me suis lavée et récurée de partout, j'ai caché mes affaires dans la chambre d'amis ! Caftan, parure bleu ciel en soie et dentelle, sandales nus pieds hyper sexy, sac avec cigarettes et portable et mon manteau.

    J'ai profité d'un séchage rapide d'ongles, pour appeler Annie et lui proposer de lui envoyer Yves, qu'elle accueillerait en peignoir, comme si elle était en retard, et que cinq minutes après, j'arrive habillée sous mon manteau, qu'elle vienne m'ouvrir, pour que les fatmas entrent ensemble au salon ! Elle accepte de suite, et je reprends mon vernissage !

    A 19h30, Yves arrive. « Pardon, amour, je suis en retard, mais j'ai réussi à tout finir, je ne suis pas obligé d'y retourner demain ! Je vais vite me doucher et m'habiller ! Tu peux me préparer un double expresso, s'il te plaît, j'en ai vraiment besoin ! ».

    Je jette le café frais qu'il me restait pour gagner un peu de temps en en refaisant. Je crois que je vais lui dire que je dois me revernir les ongles d'un pied, mais qu'il peut partir devant, je le rejoindrai dans cinq minutes, oui, ça devrait marcher, car il n'aime pas être en retard !

    Quand il revient au fumoir, sa tasse est servie, je lui ai allumé une cigarette, mais je suis toujours en peignoir en râlant contre moi : je lui montre mon pied gauche : « Regarde l'imbécile de femme que tu as, comment peut-on se vernir aussi mal les ongles ? Je suis obligée de recommencer tout mon pied gauche ! Tu devrais finir ton café et ta cigarette et y aller, le te suis dans cinq minutes, ok ? ». « Pas de souci, prends ton temps, ma chérie, je dirai que, comme j'étais prêt, je suis venu en éclaireur ! Et arrête de t'insulter à propos d'un vernis à ongles ! ».

    « Amour ! Si je ne t'avais pas eu ce soir, je me suicidais ! Allez, dis-leur que j'arrive et attendez moi pour commencer la nouba ! ».

    Samedi 28 janvier 2017 - 20h05

    Je frappe deux coups à leur porte d'entrée, Annie vient de suite m'ouvrir, elle est encore en peignoir, mais je devine le bas de son caftan long qu'elle a du retrousser un peu ! Elle m’entraîne dans la chambre d'amis, j'enlève mon manteau. Elle me contemple avec des yeux brillants d'envie ! « Hum ! Tu vas faire de l'effet ! A commencer par moi ! Ma chérie ! Tu es bandante de la tête aux pieds ».

    Elle arrive encore à me faire rougir ! Mais je préfère en rire !

    Elle enlève son peignoir, libère son caftan, elle est magnifique, avec un décolleté profond qui met en valeur sa poitrine superbe, elle prend son portable, cherche une musique préréglée, nous nous approchons toutes les deux de la porte du salon. Elle déclenche une musique arabe pour que nous réussissions une entrée éblouissante en dansant toutes les deux devant nos hommes étonnés et admiratifs !

    Samedi 28 janvier 2017 - 20h05

    Yves m'a laissée offrir à Annie un très beau bouquet de sa fleur préférée, le lys, et il s'était réservé le plus lourd : confier à Marc une glacière isotherme contenant six bouteilles de champagne frappé, de la même marque que celle qu'ils avaient dans leur frigo.

    Chacun s'assied, Annie est rayonnante dans son superbe caftan, Marc et Yves sont habillés un peu comme samedi soir, chez nous, toujours ce style relax-chic qui leur convient parfaitement.

    Tandis que mon caftan-tunique qui dénude largement mes cuisses sans bas et mes mules nus pieds orientales, attirent leurs regards, ce qui me me gêne un peu, mais me réchauffe le cœur et d'autres parties du corps !

    Marc annonce : « Champagne à l'apéritif, vin marocain pendant le repas et thé à la menthe au dessert, ça convient à tout le monde ? ». Nous approuvons tous, mais, un peu amusée j'ajoute : « Avec, toutefois, plus de modération que la semaine dernière, Marc fait ce qu'il veut ! Mais si Yves me refait ce coup, je l'abandonne dans le caniveau entre nos deux maisons ! ». Tout le monde jure que ça ne se passera pas comme ça !

    Marc sert le champagne pendant qu'Annie nous apporte des amuse-gueules surprenants : elle a soigneusement découpé sa pastella, je suppose avec des ciseaux, en petites parts individuelles, faciles à prendre avec les doigts et à manger. Ce qui nous offre un apéritif original en présentation et en goût !

    Tout le monde la félicite, il faut reconnaître qu'elle a bien caché son jeu, car, je ne me suis doutée de rien ! La pastella est excellente, et la première portion est vite consommée, ainsi que la première bouteille de champagne. Yves qui veut se rendre utile nous dit : « Ne bougez pas, je vais en chercher une ! Mesdames, vous avez assez travaillé ! ».

    Il me laisse seule quelques minutes avec nos amis. Je ne peux pas ignorer l’intérêt que porte Marc pour mes cuisses nues et la question qu'il doit se poser sur ce que je porte dessous ! Mais je fais mine de ne pas m'en apercevoir et continue à parler avec Annie qui me dit :

    « Loré, il me semble qu'il va falloir dire à nos hommes ce que nous avons fait cet après midi ! ». « Oui, tout à fait d'accord, ne les laissons pas croire qu'on a passé notre temps à bosser comme des dingues ! ».

    Nous éclatons de rire devant Marc, qui a du mal à comprendre, et Yves, qui revient avec sa bouteille de champagne. Annie va chercher l'autre moitié de la pastella, et à son retour, j'explique aux deux hommes, qu'Annie ayant tellement bien travaillé, nous avons passé l'après midi au cinéma et à acheter les caftans, cadeaux d'Annie, que nous étrennons ce soir !

    Nous terminons la pastella, et Annie nous dit : « Bien, je crois que nous pouvons passer à la vedette de la soirée : le couscous royal marocain, contrairement à la paella sublime de nos amis, je ne vais pas vous énumérer ce qu'il y a dedans, car, tout cuit à son juste temps, vous reconnaîtrez chaque ingrédient sans problème ! En fait, c'est, le seul petit truc qui fait d'un couscous maison un plat excellent ou immangeable ! ».

    Je me lève pendant qu'Annie termine : « Messieurs, vous avez dix bonnes minutes pour boire une dernière coupette et fumer une cigarette, Loré et moi allons préparer le service du couscous, qui, s'il se mange dans une seule assiette, et avec une cuillère à soupe, se présente et se sert dans une dizaine de plats différents ! A table dans dix minutes ! ».

    Et, Annie et moi les laissons pour regagner la cuisine !

    Samedi 28 janvier 2017 - 20h45

    Annie me dit : « Je suis contente, l'apéro s'est bien passé, la pastella a été appréciée et nous n'avons pas trop bu ! ». « Oui, tu as raison, ce serait dommage que l'alcool vienne perturber une soirée qui s'annonce si belle ! Le vin marocain est beaucoup titré en alcool ? ».

    Annie sort une bouteille du frigo et m'annonce un petit 12° : « Parfait car Yves m'a appris que certains vins du Maghreb titraient 13 ou 14° ! ».

    Annie se rapproche de moi, me pousse vers la table de la cuisine, me force à y appuyer mes fesses et passe sa main sous ma tunique. Elle arrive facilement à ma culotte, qu'elle écarte, pour glisser trois doigts dans mon con dégoulinant ! : « J'en étais sure, mais je voulais vérifier ! Je crois qu'avant de s'occuper de la présentation du couscous, nous allons peaufiner ta préparation à servir ! Ma petite pute ! ».

    Je reste muette, yeux rivés au sol : « Si Madame intervient, ça te dérange ma petite Loré ? ». Je la regarde un peu surprise : « Bien sur que non, Madame, pourquoi serais-je gênée ? C'est vous qui avez souhaité cette soirée et vous la gérez à votre guise ! ».

    Annie semble contente de ma réponse. « Bien, quand tu es arrivée, j'ai fait attention que ton sac reste dans la chambre d'amis. Tu vas y récupérer tes clés et faire un aller-retour chez toi, de façon à être bien préparée pour la partie la plus excitante de la soirée ! Une objection Putain Loré ? ». « Non, Madame, aucune ! ».

    « Parfait, tu vas d'abord changer de sous-vêtements en mettant une petite culotte qui laisse ta chatte et ton anus accessibles, le soutien-seins assorti qui offre tes tétons nus ! Pour les décorer, voici deux petites pinces que tu fixeras verticalement. Ne te fie pas à leurs tailles ! Mais tu devrais très vite t'y habituer ! Tu glisseras ton œuf vibrant dans ton vagin et une paire de boules de geisha dans ton anus et, tu me donneras les télécommandes. Pour terminer, garde tes bijoux, mais rajoute autour de ton cou mon pendentif-alliance, pour qu'Yves fasse sa connaissance, quelque chose à rajouter ? Putain Loré ? ». « Non, Madame, tout est clair ! ».

    « Bien, reviens le plus vite possible, moi je vais commencer à préparer les plats, il nous faudra servir le couscous à ton retour ».

    Je me glisse directement dehors. J'allume la lumière extérieure pour mon retour et je me hâte d'aller chez moi. Dans ma chambre, je ne garde que mes mules orientales, j'ôte mes sous-vêtements et les remplacent par la parure obscène que j'aime beaucoup ! Je me pose les petites pinces, qui, en effet sont très mordantes et enfile le pendentif-alliance d'Annie.

    De l'armoire du salon, je sors les boules et l’œuf, que, par sécurité, je vais mettre dans la salle de bains. Même si tout pénètre facilement, je me sens très pleine et surexcitée. J'enfile mon caftan et je retourne lentement chez Annie ! La course me semble dorénavant interdite !

    Quand je rentre dans la cuisine, Annie me sourit, me demande juste de relever complètement mon caftan et de m'ouvrir les orifices de mes deux mains : « Juste pour me mater », me dit-elle en riant !

    Je sais bien que, Madame, vérifie que ses conseils ont bien été suivis, et un rapide coup d’œil et les cinq photos qu'elle fait de moi sur son i-phone en attesteront si besoin était !

    Samedi 28 janvier 2017 - 21h15

    Je cache tout et m'approche pour l'aider. Elle a vidé le couscoussier dans une grosse marmite plus accessible. Elle a préparé toutes les pièces du service en poterie de Salé : la petite coupe au bord ourlé, avec des oignons salés-sucrés frits, la même, avec des raisins secs marinés et une, un peu plus grande avec des pois chiches dans du jus.

    Elle est en train de transvaser tous les légumes dans un plat ovale assorti et me propose de prendre une fourchette et une cuillère pour l'aider. A deux, nous allons vite, bien que certains gestes me fassent un peu souffrir.

    Il nous reste à faire de même, dans un plat identique, avec la viande : du gigot et de l'épaule d'agneau, partitionnés en morceaux, avant d'attaquer le final : verser le jus restant, dans la grosse soupière, en extraire une douzaine de cuillerées qu'il me faut mélanger à de la harissa tunisienne et, enfin, de disposer dans un plat rond, la colline de semoule haute d'environ quarante centimètres, digne de la Dune du Pilat !

    Annie sort les différentes cuillères de service de son argentier, et, nous allons au salon pour dire à nos hommes que tout est prêt et qu'ils doivent passer à table ! Marc approuve en disant : « Parfait ! On commençait à avoir faim ! ».

    La table est ronde, donc, Annie nous place : Marc est face à Yves, et donc Annie face à moi ! Les hommes s'asseyent, nous retournons dans la cuisine et, Annie, coquine, en profite pour me mordiller l’oreille en me disant : « Tu as vu comme Marc te mate les cuisses ? ». Je ris en approuvant : « Oui, et, Yves qui ne quitte pas ton décolleté des yeux ! ». Nous rions comme des collégiennes, en revenant, les bras chargés de plats.

    « Bien, notre part de travail est faite, à présent, Marc, à toi de jouer : le Gris est dans le deuxième frigo de la lingerie, le tire-bouchon et le seau sont sur la table, et nos verres attendent d'être remplis ! ».

    Pendant qu'il va faire son job, Annie nous propose de nous servir, mais, je lui demande : « Dis, moi, Annie, je pense que, comme tous les plats festifs, comme la paella, le couscous a-t-il, lui aussi ses coutumes, comme celles de tout servir dans des plats séparés, mais aussi des rites ou des traditions de consommation ? ».

    « Bien raisonné, Loré, tu as remarqué que les ingrédients devaient toujours être présentés séparément et que tous les services à couscous en poterie étaient fabriqués comme ça : par exemple un service comme le mien est un service de vingt quatre assiettes, mais il comporte en tout soixante huit pièces ! ».

    « Quant aux rites de dégustation, à part les doigts pour les orientaux et la cuillère à soupe pour les occidentaux, nous héritons en fait des habitudes de nos parents ! Je déguste ce plat comme le faisait ma Maman : une première assiette, pas trop pleine, avec uniquement de la semoule et du jus, une deuxième avec de la semoule et des légumes et la troisième, avec de la viande et un fond de semoule ! Mais, ce ne sont que mes habitudes familiales, vous pouvez le déguster comme vous le voulez ! ».

    « Il n'en est pas question ! Je vais me servir de ton expérience : sers moi à la manière Maman-Annie ! Merci ! ». Quand c'est son tour, Yves demande pareil, et Marc en revenant est tenu au courant, et fait comme nous !

    Nous mangeons tous les quatre notre première assiette de couscous-nature, en nous régalant de la finesse et de la simplicité de cette semoule parfaitement bien cuite, simplement assaisonnée de jus de cuisson et de harissa pour les plus courageux !

    Quand Marc remplit nos verres, Annie achève ses conseils en nous prévenant : « Ne buvez pas trop, la semoule continue à gonfler dans nos ventres ! Vous pourriez exploser et salir mon canapé ! ».

    Tout le monde éclate de rire. Annie se relève, prend le plat de viande et la soupière de bouillon en nous disant : « Compte tenu de votre planning-couscous, je vais remettre la viande et du bouillon dans le couscoussier, comme ça, à petit feu elle sera bien chaude. Pour les légumes, c'est moins important car ils sont très bons même tièdes ! ».

    Elle revient et la conversation se calme peu à peu. Tout le monde a faim et Annie est sûrement très heureuse de voir que nous apprécions tous son repas.

    Nous attendons tous la dernière assiette vide, et Annie nous sert notre deuxième couscous-aux-légumes ! Malgré les conseils d'Annie, les bouteilles de Gris se succèdent, les rires sont plus forts et les plaisanteries plus fréquentes.

    Pour, je ne sais quel motif, nous éclatons de rire, et Annie est obligée de se réfugier dans sa cuisine, mais je sais très vite que c'était une excuse, car, silencieusement, les boules de mon trou du cul et l’œuf de mon vagin se mettent en route, pour me tarauder en silence l'intimité !

    Elle revient, me fait un clin d’œil discret et nous dit : « Je tiens à être la première à annoncer quelque chose d’intime en m'adressant à notre nouvel ami, Yves ! Loréna, est-ce que tu m'y autorises ? ».

    Je réponds en souriant : « Je ne vois pas de quel droit je pourrais te refuser de t'exprimer ! ». « Merci, ma chère Loré : décidément, Yves, tu as beaucoup de chance, tu as une femme qui sait gâter ses amis quand elle les invite, qui, en plus, est très belle, voire canon et que je sais être très sensuelle : tu es un mari vraiment gâté ! J’ai peur que Marc ne soit très jaloux de toi ! ». Yves se lève, verre en main, donne à Annie un gros baiser sur le front et porte un toast : « A nos jolies femmes ! En espérant en profiter, encore, pendant de très longues années ! ».

    Il se rassied et répond à Annie : « C’est vrai, Annie, mais pour la beauté et la sensualité, j’aimerais bien organiser un concours entre vous deux, même si par amour, je miserais sur Loré, je ne suis pas sur du résultat et peut être même que je pencherais pour un match nul ! Donc, Marc n'a aucune raison d'être jaloux de moi ! ».

    Nous trinquons en riant à cette bonne réponse. Nous rafraîchissons un peu la table avant de rapporter le bouillon très chaud et la viande bien appétissante. Pour notre couscous-à-l'agneau. En ayant suivi les conseils d'Annie, il nous reste une petite faim pour déguster les meilleurs morceaux d'agneau qu'elle nous sert.

    Mais quand la dernière assiette est vide, nous sommes vraiment repus, et décidons tous de faire une pause ! Annie me dit de tout laisser sur la table et nous allons tous au fumoir, où Marc nous propose du Gris, du champagne, du café ou tout autre boisson ! La tête me tourne un peu, j’ai vraiment trop bu. Personnellement j'opte pour un double expresso !

    Je ne me rappelle pas comment, mais la conversation tourne sur la future nomination de Trump à la Présidence des USA. Annie se penche vers moi et me dit : « Allons dans la cuisine, on va faire un premier lave-vaisselle. Laissons les hommes critiquer cet homme qui de toutes les manières sera le leader du monde dans quelques jours ! ».

    Samedi 28 janvier 2017 - 22h00

    J’approuve, en souriant, car je sais pertinemment qu'Annie n'a pas besoin de moi pour remplir un lave-vaisselle ! Dans la cuisine, je commence à ranger. Annie sort une bouteille de Vichy Saint-Yorre du frigo et remplit deux grands verres que nous buvons.

    Elle m’en ressert un autre qu’elle m’oblige à boire, malgré mon manque d’envie, tout en me précisant : « Comme ça, tu auras la vessie bien pleine, tu es très excitante quand tu te tortilles d’envie de pisser ».

    Obéissante, je finis le verre et reprends mon travail de rangement en rinçant les assiettes et les plats avant de les ranger dans le lave-vaisselle. Elle met la machine en route, et profite du bruit pour augmenter, sans que je ne la vois, la vitesse de mes sex-toys de deux crans.

    Elle constate, en riant, que je grimace de leurs taraudages plus intenses. Sans plus s'occuper de moi, elle va fouiller dans son frigo. Et, toute contente, elle s'approche de moi, me prend par le cou, et me conduit vers l'une des portes de la cuisine qui donne sur un petit hall jouxtant le salon.

    Elle me glisse à l’oreille : « Pose tes mains sur le mur, recule tes fesses et écarte tes cuisses : ne te préoccupe pas de ce que je vais te faire. A mon signal, tu diras aux hommes que nous allons revenir, mais qu’il leur faut changer de sujet de conversation ».

    J’acquiesce, un peu inquiète, je pose mes deux mains à plat sur le mur, éloigne mes fesses du mur, ce qui m'oblige à me cambrer. Elle m'écarte les pieds en me frappant l'intérieur des cuisses, jusqu'à la limite de l’équilibre.

    Elle semble contente de ma posture, et, elle exhibe fièrement devant moi l'énorme concombre qu’elle a sorti du frigo.

    C'est fou ce qu'une femme peut faire avec un beau concombre >

    Vidéo 1 > 1mn23 > Une jeune et jolie jeune femme profite de ses courses dans un hyper pour s'enculer avec un très beau concombre ! Étonnant !

    http://www.roadsexe.com/video/elle-se-fait-enculer-par-un-concombre-au-super-marche-5447.html

    Vidéo 2 > 11mn47 > Une très jolie blonde à lunettes, s'offre toutes les pénétrations possibles, surtout avec un concombre non épluché !

    https://tukif.com/videos/104596/elle-nourrit-son-cul-avec-un-gros-concombre.html

    Vidéo 3 > 38mn31 > Une très belle jeune femme joue avec un concombre épluché et semble donner des conseils utiles, mais en anglais !

    http://www.bonporn.com/video/181902/Une-beaut%C3%A9-jouit-avec-un-concombre

    Je frissonne d'envie et de peur. Elle soulève ma tunique, la coince à ma taille et me demande d'enlever les sex-toys qui encombrent mes orifices. Je suis obligée de les poser par terre, et, dès que j'ai repris ma position, elle glisse le légume dans le fourreau trempé de ma moule, offerte par ma position.

    Elle l'enfonce des deux tiers, sans aucune difficulté et le fait tourner dans mon intimité, pour que je le sente bien me défoncer. Elle le ressort, me le montre en me disant : « Tu n'as vraiment pas besoin de lubrifiant, ma salope, et, tout ça parce que tu sais que tu vas te faire défoncer toute la nuit ! Je suis certaine que tu en frétilles depuis une semaine ! ».

    Elle le baisse au niveau de mon bas-ventre, je pense qu’elle va le glisser dans ma chatte, mais, elle profite de ma lubrification exceptionnelle pour m’enculer d'un seul coup sec, en me disant : « Vas-y, dis aux hommes d’une voix claire et bien naturelle ce que je t'ai demandé ! ».

    Je dois m’éclaircir la voix pour leur dire à haute voix : « Messieurs, Annie et moi allons vous rejoindre, mais, s'il vous plaît, soyez gentils de changer de conversation ! ». Ils rient, et Marc me répond : « Oui, avec Yves, nous en avons une bien meilleure à te proposer, ma chère Loré, en étant tous les deux surs qu'elle va te passionner ! ».

    Je continue à dialoguer, alors qu’Annie continue à me pistonner le cul ! Ma voix est de plus en plus rauque : « Le café finit de passer, nous arrivons ».

    Annie me mord l’oreille cruellement : « Très bien, Putain Loré, tu vois comme c'est dur de parler d’une voix naturelle à son mari et à son futur amant, quand ta Maîtresse te défonce le fion avec un énorme concombre, tu n'es pas d'accord grosse truie vicieuse ? ». « Oh oui Madame, c’est très dur ! J'ai plus envie de gémir de plaisir que de parler, Madame ! ».

    Elle rit tout en augmentant la cadence de pilonnage dans mes fesses. J’ai beaucoup de mal à me retenir de gémir, mais, tout au contraire, Annie cherche mes cris, en m’enculant de plus en plus fort et de plus en plus profondément : « Hum je vois que tu résistes ! Le train est passé, Putain Loré ! Je comptais te laisser jouir en paix, mais puisque tu es si résistante, nous allons chercher un concombre plus petit dans le frigo ! Il entrera entièrement dans ton trou à merde, et tu pourras t'asseoir, après avoir remis ton œuf vibrant dans ton con, pour rejoindre nos hommes ! ».

    Je ramasse l’œuf et les boules par terre. Dans la cuisine, je nettoie soigneusement les boules de geisha et le gros concombre, tandis qu'Annie me met le petit en place. Elle va cacher les sex-toys inutiles. Quand elle revient, elle vérifie que je suis bien préparée, enclenche l’œuf de mon con, et m'ordonne de prendre la cafetière, pour rejoindre nos hommes, en souriant toutes les deux !

    Samedi 28 janvier 2017 - 22h30

    J’ai beaucoup de mal à marcher naturellement. Mais nous nous asseyons, Annie face à Yves et moi donc, face à Marc. Les hommes ont arrêté le champagne et boivent du cognac. Marc nous en propose, mais Annie préfère continuer au champagne, tout en disant à Marc : « Loré a mal au crâne, je lui ai donné un Doliprane, et, Marc, tu serais gentil d'aller lui chercher une bouteille de Vichy-Saint-Yorre, elle va se rincer un peu avec cette eau miracle ! ».

    Marc, très serviable revient avec une bouteille non entamée, me sert, et nous trinquons tous les quatre avec des verres différents ! Annie confortablement installée dans son fauteuil, enlève ses chaussures, un peu semblables aux miennes (...)

    Tome 05

    (...) replie ses pieds nus sous elle et questionne l'assemblée : « Alors, Messieurs, quel thème de conversation avez-vous à nous proposer ? ».

    Marc se dévoue : « Samedi dernier, j’ai proposé à Yves un strip-poker, en pensant que, vous, Mesdames, étiez assez excitées pour accepter. Yves a approuvé mon idée, mais avant, il désirait te consulter, Loré. J'ai su que vous en aviez parlé tous les deux, tu peux me résumer, Loré ? ».

    « Oui, Marc, j'ai de suite dit à Yves qu'à mon avis, nous ne nous connaissions pas encore assez, mais que si ça faisait plaisir à tout le monde, je rallierai la majorité ! ». Marc sourit : « C’est bien d’être aussi soumise aux désirs de ton mari et d'une majorité ! Encore une de tes qualités, Loré ! ».

    Je regarde timidement mes pieds, en imaginant tous les sous-entendus contenus dans le mot soumission, tout en espérant qu’Annie n'a rien dévoilé de nos relations. Marc continue : « Pour ne rien te cacher Loré, c'était aussi un des sujets de notre rendez-vous de ce matin, qui a pu te paraître bizarre, et je vais laisser Yves te le résumer ! ».

    Yves boit une gorgée de cognac et prend la parole : « Ma chérie, avant tout, il faut que tu saches que pour rétablir l'équilibre, Annie a délégué toute décision à Marc et n’a pas assisté à cet entretien. Nous nous sommes contentés de chercher un jeu simple, entre adultes consentants, comme on les appelle au lieu de dire un jeu-de-cul ou un jeu-coquin ! Amusant et excitant pour égayer une soirée plus qu’amicale et bien arrosée ! Et puisqu'il semble que tout le monde a donné son accord, voilà ce que Marc et moi avons imaginé ! ».

    Annie l'interrompt : « Mais, est-il tout de même entendu que si ça ne nous convient pas, à nous les femmes, vous vous engagez à trouver un autre jeu ? Ou devons-nous forcément accepter ce jeu et aucun autre ? ».

    Yves consulte Marc qui approuve de la tête : « Entendu, Annie, si ce jeu ne vous convient pas, nous en trouverons un autre ! Il y en a suffisamment sur Google pour trouver celui qui nous plaira à tous les quatre ! ». « Je me permets de dire que Loré et moi, nous sommes d'accord, alors, nous t'écoutons Yves ! ».

    « Merci, Annie, mais nous n'avons pas réinventé la poudre ! C'est un simple jeu de lancers de trois dés. Marc et moi lanceront à tour de rôle et le score le plus faible sera le perdant : la femme du couple perdant sortira de la pièce, et les trois autres décideront d’un gage pour elle. Son mari sera le garant qu'elle peut accomplir ce gage et qu'il ne viole pas ses tabous sexuels ou autres. A son retour elle n'aura d'autre choix que d'exécuter son gage. Est-ce que ces règles sont claires pour tout le monde ? ».

    Annie répond en riant : « Très claires ! J'ai juste une petite question : et si vous réalisez le même score ? ». Marc rit : « Nous avons aussi pensé à cette hypothèse, dans ce cas, nous avons décidé de vous laisser choisir entre deux solutions : soit nous rejetons les dés jusqu'à ce que nos deux scores soient différents, soit les deux femmes ont un gage qu'Yves et moi décideront, à vous de choisir ! ».

    Annie demande à ce que nous puissions nous isoler toutes les deux pour débattre de ce jeu auquel nous ne nous attendions pas. Marc lui répond : « Bien sur, prenez votre temps, et rappelez vous que si vous n’êtes pas d’accord, nous ne vous obligeons à rien ! ».

    Samedi 28 janvier 2017 - 23h

    Annie me prend par la main et nous sortons du salon. Pour être sures de ne pas être dérangées, elle m'entraîne dans la salle de bains du premier. Elle ne verrouille pas la porte, mais la ferme, en me disant : « Alors que penses-tu de leur petit jeu ? ».

    En souriant, je lui réponds qu’ils sont allés droit au but en écourtant la phase jeu en elle même, ce à quoi elle me répond : « Oui, j'allais te le dire, jeter deux fois des dés est plus rapide qu'un tour de poker ! ». Je ris : « Mais, toutefois, il est tentant et assez excitant, et chacune de nous a toutes ses chances ! ». « Je trouve aussi : je crois que toutes les deux nous allons prendre notre dose de bites, ce soir mais je suis sure que ce n’est pas pour te déplaire ! ».

    J'essaye d'éviter son regard, mais elle me relève le menton et avec des yeux brillants, elle me dit d'un ton très sec et tranchant : « A poil, Putain Loré ! ». Un peu surprise, mais obéissante, j'enlève de suite mon caftan par le haut. J'hésite un peu en me penchant mais, de la même voix, elle me dit : « Tes souliers aussi ». Je les fais glisser de mes pieds et les mets de côté.

    « Très bien, tu vas soulager tes tétons, en enlevant tes petites pinces, connaissant le résultat, tu as quelques minutes et un flacon d'onguent dans l'armoire de toilettes ! ». Gentiment elle vient me bâillonner de sa main pour m'empêcher de hurler, et me laisse le temps de récupérer et de me soigner devant elle ! Quand elle me sent mieux, elle continue en m'ordonnant de vider mon con et mon cul et de jeter mes jouets sales dans le lavabo. J'obéis sans attendre et en silence.

    « Bien, Putain Loré, sans le rincer, enfonce ton petit concombre dans ta bouche de truie, et fais le aller et venir pour bien le lubrifier et le nettoyer, allez fais-vite, nous n'avons pas toute la nuit devant nous ! ».

    Sans m'interrompre, elle me prend pas les épaules et me place devant le miroir, au dessus du lavabo. Je peux me voir pompant ce concombre venant de mon anus. Elle sourit dans le miroir, et tarde un peu avant de m'arrêter :

    « Il est bien propre, mets toi debout dans la douche, ouvre largement tes cuisses ouvertes. Tu vas plier un peu les genoux, je te veux dans une pause obscène pour pisser devant moi en te bourrant le cul avec ton concombre ! ». Je me positionne selon ses ordres, le légume passe de ma bouche dans ma main, j'essaye d'assurer une prise tout en l'enfonçant dans mon trou du cul, et quand il est bien au fond, je me pistonne, tout en relâchant ma vessie.

    Je suis tellement pleine, que mon jet est dense et tombe hors de la douche, je suis obligée de plier un peu plus mes genoux, pour mieux le contrôler, yeux mi clos pour pleinement jouir de cette humiliation et cacher ma honte.

    Annie me regarde sans rien dire, au travers de mes yeux mi-clos, il me semble que sa main droite est bien proche de son bas-ventre, mais, alors que ma main droite, fait aller et venir le légume en moi, je ne peux pas m’empêcher de gémir de plaisir en sentant monter un orgasme en moi !

    Annie me laisse faire alors qu’il y a bien longtemps que j’ai cessé de pisser : « Tourne moi le dos, pour que je vois bien ton travail d’enculée ! Et jouis du cul puisque tu ne peux plus te retenir ! Mais évite de crier comme une truie saillie par son porc ! ».

    Mes pieds glissent dans la pisse fraîche quand je me retourne pour lui offrir le spectacle du concombre qui entre et sort de mon trou du cul. Elle me regarde faire longuement avant de dire : « Parfait, comme ça ton petit trou sera bien obscènement élargi quand Marc y glissera sa pine ! ».

    Yeux fermés, j'imagine la scène avec Marc qui m'encule devant mon tendre qui admire mes nichons ballotter à chaque coup de rein alors qu'Annie lui fait une pipe d'enfer, et je jouiiiiiiiiiiiiiis comme une dingue, en ayant pris soin de me mordre le poing pour éviter de hurler et d'alerter toute la maison !

    « Dis-moi, Putain Loré, c'est bien ton premier orgasme de la soirée, ou je me trompe ? ». « Oui, Madame, et même de la journée ! ». « Il fallait bien démarrer la série ! Maintenant tu risques de les enchaîner ! Enlève ce concombre, et profite d'une bonne douche pour le nettoyer en même temps que ton cul : je ne tiens pas à ce que tu pues la pisse ! ».

    « Je t'ai préparé une parure sexy, je ne veux pas que nos hommes sachent que tu étais à poil sous ton caftan, ça ferait plus penser au bdsm qu'au libertinage ! Je t’attends avec eux, et, au passage laisse tous tes jouets propres dans la chambre d'amis, je te porterai demain tes deux concombres avec lesquels tu feras, une bonne salade avec une sauce blanche ! ».

    Une dizaine de minutes plus tard, toute pimpante, je reviens au salon où la joyeuse équipe rit et boit en m'attendant. « Te voilà, enfin ! Nous allons pouvoir commencer le jeu ! ».

    Samedi 28 janvier 2017 - 23h30

    Yves me sourit et me tend un papier. Je peux y lire une phrase, très probablement écrite par la reine des petits mots : Annie !

    Yves me dit : « Nous l'avons tous lue à voix haute devant les autres, c'est ton tour ! ». « Bien, je suis donc moi aussi, d’accord sur les règles de ce jeu entre adultes consentants : je m’engage à exécuter mes gages sans protester et, à ne répondre que la vérité ! ».

    Marc confirme : « Eh bien tout le monde étant d’accord. Il ne nous reste plus qu’à commencer le jeu ! ». Nous trinquons tous au champagne pour sceller cet accord et Marc va chercher une piste de 421 avec trois dés. Il la pose sur la table de salon.

    Les garçons placent deux fauteuils face à face, s'y asseyent et Annie et moi nous nous installons bien confortablement sur les larges accoudoirs, pour suivre le déroulement du jeu.

    Annie me regarde, je sens de l’ironie dans ses yeux, elle est visiblement en train de se rappeler du concombre, de ma jouissance du cul et de la salle de bains, mais je suis sure qu'elle sait qu'elle a le pouvoir de faire basculer la soirée vers une séance d'humiliations dont je serai forcément l'héroïne.

    Il lui suffit pour cela d'annoncer ma condition ou de laisser Yves, lire le libellé de la gravure de l'alliance que je porte au cou ! Mais, elle peut aussi très facilement lui conserver le thème unanimement choisi par tout le monde : une soirée libertine-échangiste comme il y en a tant le samedi soir dans des maisons bourgeoises aux volets soigneusement fermés !

    J’espère que, lors du choix des gages, elle n’imposera pas trop sa volonté, et j'ai confiance en Yves pour que mes gages soient, bien sur fortement siglés cul, mais faisables sans une once de domination ou de sadisme !

    Avant le premier jet, Yves intervient : « J'ai bien réfléchi, avant de commencer, nous devons régler quelques détails importants. Pour nous, les maris, nous allons jouer, gagner ou perdre, sans aucune conséquence, mais, pas pour nos épouses, qui, du reste nous doivent une réponse en ce qui concerne le même score de deux jets de dés ! ».

    « Sans jamais avoir joué à ce jeu, je suppose que nous commencerons par les déshabiller. Il faut donc que nous inventorions ce que chacune d'elle porte, en incluant ou en excluant les bijoux et en considérant une chaussure ou une paire de chaussures ! Lorsqu'elles n'auront plus rien à enlever, je suppose que nous passerons à la partie la plus excitante du jeu : les gages ? ».

    « Pour éviter les inégalités de traitement, pouvons nous envisager des gages minutés au chronomètre ? Je suggère une progression par des séries d'un gage par femme : de 5 minutes, puis de 10, puis de 15 et enfin de 30 minutes. A la fin de ces huit gages, nous pourrons faire un bilan et envisager des gages plus longs ou de changer de jeu ou de faire un super petit déjeuner avec les restes du repas et d'aller nous coucher, pour un repos bien mérité, surtout pour nos épouses chéries ! Voilà ce que je voulais rajouter, surtout pour connaître vos opinions ! ».

    Un silence suit son long discours. Annie tape la première dans ses mains, et tout le monde la suit ! « Bravo, Yves, en quelques phrases, tu as résolu toutes les énigmes que me suggéraient ce jeu un peu improvisé, grâce à toi, il mérite le titre de jeu entre adultes consentants de l'année, et je te promets qu'il sera publié sur le Web ! Personnellement, je t'approuve à 200% ! ».

    Marc et moi levons la main pour nous joindre à Annie, Yves fait le plein des voix ! Je réponds tout de même à sa demande initiale : « Je pense, mais je n'en ai pas parlé à Annie, qu'en cas de score identique, les deux épouses doivent avoir chacune un gage ! ». Annie s'empresse de m'approuver.

    Pour augmenter la durée de l'effeuillage, nous convenons de rajouter chaque bijou sauf les alliances et de séparer les paires en deux unités, ce qui donne, pour moi cinq bijoux et cinq vêtements, et pour Annie : sept bijoux et cinq vêtements. Pour rétablir l'égalité, elle devra donc enlever deux fois deux bijoux au lieu d'un.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 0h

    Yves gagne le premier jet. Sans rien dire Annie va dans la cuisine.

    Marc « Tu veux la voir en sous-vêtements ? ». Yves « Non pas tout de suite, et j'aimerais que, nue, elle ait tous ses bijoux sur elle : on peut commencer par une chaussure ? ». Marc « Ok, elle enlève sa chaussure droite et nous exhibe sensuellement son pied nu ! ».

    Je vais la chercher, elle revient souriante, visiblement pas du tout stressée par ce qui l’attend. Nous sommes convenu que c'est le mari perdant, qui annonce lui-même le gage à sa femme.

    Elle sourit, enlève sa chaussure droite, pose son pied nu sur la table de jeu, elle a des ongles parfaitement vernis d'un rouge quasiment identique au mien et bouge ses orteils, les écarte de ses doigts, avant de nous présenter son pied en le hissant au niveau de nos yeux. Yves la caresse et rit de constater qu’elle est très chatouilleuse. Elle est applaudie et reprend sa place sur l’accoudoir de Marc.

    Yves gagne le deuxième jet, Annie repart.

    Marc « Tu continues à la déshabiller ? ». Yves « Bien sur, mais on va réchauffer l’atmosphère en lui demandant d'enlever son caftan, ce sera sexy de la voir en soutif et culotte ! ».

    Je vais la chercher. Elle n'a aucune gêne à enlever son caftan par le haut, en dévoilant son superbe corps qu'elle montre, mains en l'air, en tournant sur elle même et en se penchant pour que les hommes, mais surtout Yves, puissent bien la mater ! Je suis surprise de la voir jouer aussi loin le jeu de la séduction, elle veut sûrement allumer la jalousie de Marc !

    Yves a une passe malchanceuse et perd les trois jets suivants !

    Je me retrouve trois fois à la cuisine, avec Annie, qui, à chaque apparition m'embrasse sur la bouche, me prend la main et me dit : « Courage ma petite pute », en m'emmenant sur le lieu de mon déshonneur !

    Je savais ce qui allait se passer, car c'est forcément Marc, le gagnant, qui a pesé sur les décisions du trio ! Et, à deux contre un, Yves n'a pas pu me défendre ! A l'issue de ces trois défaites, je me retrouve donc comme je l'avais supposé, avec mes mules orientales, tous mes bijoux, mais sans aucun vêtement ! En cinq minutes, j'ai perdu mon caftan, mon soutien- gorge et ma culotte ! Et Marc a gagné ce qu'il voulait ! Me voir à poil, devant lui, en constatant, de visu, malgré mes cuisses très serrées, que j'étais fin prête à être niquée !

    La partie continue, c'est à Marc de manquer deux fois de chance sur les sixième et septième jets. Pour nous mettre toutes les deux à égalité, Annie devrait perdre ses sous-vêtements, mais, je sais que la proie étant sûre, Yves va prendre son temps avant de la découvrir totalement ! A la grande surprise de Marc, qui le connaît mal ! Elle n'enlève que sa paire de boucles d'oreilles et son collier.

    Yves perd le huitième jet, et Marc le neuvième ! Je dois abandonner ma mule droite, et me caresser érotiquement mon pied dénudé avant de le donner en pâture aux trois, dont Annie, qui me mord cruellement un bout de mes orteils, tout en me complimentant quant à leur vernissage. Et Marc s'aperçoit que je ne suis pas du tout chatouilleuse des pieds !

    Quant à Annie, elle ne perd qu'une petite bague dans ce concours !

    Annie propose une pause champagne et gâteaux marocains, pendant que les hommes se chargeront de faire le point de notre petit jeu coquin, avant la dernière ligne droite qui nous conduira aux gages !

    Je la suis dans la cuisine, à poil avec une seule chaussure ! « Je suppose que tu as remarqué la bosse du pantalon de Marc ! Il bande comme un âne dès que tu bouges une cuisse ou un nichon ! ». Je souris : « Oui, je crois que tu peux mettre une casserole à chauffer, je ne vais pas tarder à y passer ! ». « Hum, pas évident, moi, en tout cas, j'attendrai des plus longs, pour bien profiter de tes trous ! ». « On verra bien, de toutes les manières, les dès sont presque jetés ! ». Nous rions et revenons avec une assiette de pâtisseries orientales, une bouteille de champagne dans un seau et des flûtes !

    Marc annonce le résultat : il me reste cinq bijoux et une chaussure à perdre, quant à Annie, ce sera deux bijoux, ses sous-vêtements et une chaussure.

    Nous apprécions le champagne bien frappé qui contribue au plaisir de manger ces délicieuses pâtisseries bien croquantes !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 0h20

    Marc annonce qu'il ne nous reste que dix jets avant d'arriver aux fameux gages ! Il a l'air très impatient d'y être, je me demande bien pourquoi ?

    Rien ne sert de courir, il faut partir à point ! Et Marc, prouve la véracité de ce dicton en perdant trois fois de suite ! Fidèle à sa stratégie, Yves ne veut pas dénuder Annie, et, comme je l'ai bien compris, je l'épaule.

    Annie ne perd donc, pour ces trois gages, que sa deuxième bague, sa paire de bracelets et sa deuxième chaussure, elle reste donc en sous-vêtements, pour le plus grand plaisir d'Yves à qui elle murmure en passant : « Tu es aussi vicieux que ta femme, salaud ! ». Mais, j'ai des oreilles de fouine et la vicieuse a tout entendu et j'éclate de rire ! Marc se demande encore pourquoi !

    La chance tourne, heureusement pour Annie, car Yves perds deux fois. J'abandonne donc, l'une après l'autre mes boucles d'oreille, sans avoir grand chose à montrer aux autres, qui s'intéressent à mes trous, mais pas forcément dans mes lobes d'oreilles !

    Sur le quinzième jet, Marc gagne encore, et je l'entends de la cuisine proposer le pendentif-alliance, mais Annie lui répond que ça met bien en valeur mes seins et qu'il vaut mieux le garder pour la fin ! Je perds donc une deuxième et dernière bague !

    Le seizième jet est le premier ex-æquo de la soirée ! Comme convenu, nous allons toutes les deux dans la cuisine, et en profitons pour boire deux grands verres de St-Yorre ! Et, quand Marc nous appelle, Annie doit enlever sa culotte et moi, ma deuxième de mule !

    Sans se démonter, Annie offre très longuement et très largement, sa belle chatte à tout le monde, y compris à moi, qui suis, presque gênée, de la contempler, pour la première fois, sans pouvoir ni la bouffer ni la lécher ! Quant à moi, ils me font monter, pieds nus, sur la table et me demandent de me caresser les orteils d'un pied avec l'autre, amoureusement et érotiquement. C'est la première fois que je danse de cette manière, et j'ai du mal à m'en sortir avec des compliments !

    Pour les deux derniers lancers, Yves propose que, puisque nos chattes sont nues, nous montions, à tour de rôle, sur la table, coincions les trois dés entre nos cuisses et en nous mettant juste au dessus de la piste de dés, nous ouvrions nos cuisses pour exécuter nous mêmes les quatre jets restants !

    Cette idée est approuvée à l'unanimité ! Mais Annie demande une seconde, et va chercher une serviette dans la salle de bains. Elle revient en disant ironiquement : « Si je dois passer après Loré, je préfère être prudente ! ». Tout le monde éclate de rire, sauf moi, qui suis vraiment très vexée ! Je suis certaine que son con est aussi torrentiel que le mien !

    Elle me tire ironiquement la langue et passe la première, de sa chatte sort un double cinq et un trois, soit treize points.

    Elle me laisse la place, et de mes cuisses sort aussi un double cinq, mais, vif comme l'éclair, Marc cache le troisième dé avec une revue qui traînait en dessous de la table, et nous nous penchons tous pour découvrir ! ? ! ? ! ? ! ? Un deux ! J'ai donc perdu d'un seul petit point !

    Il n'est pas nécessaire que je m'isole dans la cuisine, car il ne me reste plus que mon pendentif-alliance à ôter. Je me lève, contractée et visiblement gênée, mais Yves me dit gentiment : « Il ne te reste que ça à enlever, donne le moi, je ne crois pas le connaître ! C'est nouveau ? ». Je l'enlève et le lui donne en confirmant : « Oui, Amour, il est très récent ».

    Annie vient s'asseoir sur son accoudoir et lui dit : « Je n'avais jamais vu que l'intérieur de l'alliance était gravé ! ». Yves doit se demander comment elle a pu voir ce détail d'aussi loin, mais, elle lui prend le bijou des mains et lit à voix haute : J'appartiens à Yves ! Oh ! Les z'amours ! Comme c'est mignon ! ». Elle le redonne à Yves, qui lit la vraie appartenance, et éclate de rire en me disant : « Cachottière tu attendais quoi pour me dévoiler mon dernier cadeau de Noël ? Tu aurais pu me prévenir qu'il était, enfin, arrivé ! ».

    Incapable de lui répondre, je rougis réellement comme un régiment de tomates pendant qu'Annie range le bijou dans l'écrin où sont les autres ! Marc suit d'assez loin cette conversation, et c'est tant mieux pour tout le monde !

    Je suis finalement soulagée d'un gros poids, Yves sait qu'Annie me domine, nous n'aurons plus à nous cacher de lui, et comme il connaît mes fantasmes les plus secrets, et ignore la jalousie, tant que je reviens toujours dans ses bras quémander son amour et sa queue, je vais vivre beaucoup plus tranquillement, et même probablement lui expliquer petit à petit que ces flots de dollars ne proviennent pas forcément de mes augmentations !

    Yves résume la situation : « Nous arrivons à un tournant important de cette partie ! Annie va-t-elle se retrouver à poil comme Loré ? Ou, allons nous infliger le premier gage minuté à ma petite femme ? Annie, d'après toi, qui doit laisser tomber les dés la première ? ». « Logiquement puisque j'ai commencé pour le précédent, c'est Loré qui devrait laisser tomber la première ! ». « Alors allons-y ! Loré tu montes sur la table, s'il te plaît ? ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 0h40

    Deux tirages malchanceux, Annie me bat, et, donc je m'isole pour les laisser réfléchir à mon premier gage de 5 minutes. J'allume une cigarette au passage et m'assieds dans la cuisine, pour la fumer tranquillement, tout en repensant à ce qui vient d'arriver.

    Je constate qu'Annie a quasiment obligé Yves à découvrir la vérité sur nos relations bdsm. Comme je lui avais avoué pas mal de ses traits de caractère, elle a tout misé sur une bonne réaction de sa part, et, ce, pour lui avouer d'une manière simple et définitive nos relations.

    Elle est trop intelligente pour ne pas se douter que ce secret empoisonnait ma vie, et, le résultat de cette habile manœuvre est que je suis soulagée : Yves sait qu'Annie me domine. Et comme Yves connaît tous mes fantasmes et ignore la jalousie, tant que je reviens toujours dans ses bras, je vais pouvoir vivre sereinement et, peut être même, le mettre dans la confidence de tout ce qui a changé dans ma vie depuis qu'Annie a fait graver ces quatre petits mots sur cette alliance !

    Je rumine encore, mais je trouve qu'ils sont vraiment très lents pour prendre leur décision. Je vais dans la chambre d'amis pour récupérer dans mon sac mon paquet de Royale et j'en allume une autre en grignotant un petit gâteau !

    Autant rendre mon attente agréable ! Le temps passe et je commence à me poser des questions, quand, enfin, Annie entre, pieds nus et en soutif, en me disant : « On y va, ma chérie ! A toi l'inauguration ! ».

    Tous réunis, elle me dit ce qui va se passer : « Tu vas jouer au jeu de la vérité. Marc et moi allons te poser des questions très intimes pendant ton gage de cinq minutes. Yves chronométrera. Tu dois nous répondre, très vite et ne dire que la vérité, entendu, Loré ? ». « Oui, Annie, j'ai bien compris ».

    « Tu vas t'asseoir sur le tabouret qui est face de notre fauteuil, bien t'exhiber, en écartant généreusement les cuisses, ce qui te permettra de te doigter et te branler. Si tu jouis, sans nuire à tes réponses, tant mieux pour toi ! ». Je suis surprise, car je m’attendais à pomper Marc ou à sucer les pieds d'Annie, mais pas à ce gage, très cérébral et très troublant. Assise sur le tabouret, j'ouvre le compas de mes jambes et pose ma main droite sur mon sexe ! « Prête, Loré ? ». « Oui, Annie ». « Yves ? Top ! ».

    Marc : « Cinq synonymes du mot sein ? » : « Poitrine, nichons, mamelles, roberts et nibards ».

    Annie : « Vierge du cul ? » : « Non ».

    Marc : « Qui ? » : « Un ami d’enfance ».

    Annie : « A quel âge ? » : « 15 ans ».

    Marc : « As-tu déjà gouiné une femme ? » : « Oui ».

    Annie : « Aimes-tu te branler devant un ou une inconnu ? » : « Oui ».

    Marc : « En réunion, combien de gens maximum t'ont vue nue ? » : « Six, non sept, pardon ».

    Annie : « Es-tu consciente que, ce soir, tu vas recevoir du sperme et pas uniquement d'Yves ? » : « En acceptant cette soirée, je le supposais ».

    Marc : « Quel est le qualificatif qui te convient le mieux : Pute ? Salope ? Ou vicieuse ? » : « Vicieuse ».

    Annie : « As-tu déjà pissé devant quelqu’un ? » : « Oui ».

    Marc : « Combien d’hommes, au maximum, t'ont partouzée dans une seule réunion ? » : « Quatre ».

    Annie : « Entre lécher une semelle de botte, une bite de chien ou le cul d'une femme, que choisis tu ? » : « Le cul d'une femme ».

    Marc : « Combien de fois au maximum as-tu joui, en une seule soirée ? » « Dix, mais sans en être sûre, je ne les compte jamais ». « Yves tu peux confirmer sa réponse ? ». « Non, moi non plus, je ne comptabilise jamais ses jouissances et ses réponses ne datent pas toutes de notre relation ! ».

    Annie : « Quelles sont les parties de ton corps que tu préfères ? » : « Mes épaules, mes pieds, mes yeux et mes fesses ».

    Marc : « Laquelle de ces catégories te correspond le mieux : maso, sado ou nympho ? » : « Le choix est trop restreint, disons maso ».

    Annie : « Aimes tu te promener, nue, au risque d’être vue ? » : « Oui ».

    Marc : « D'une manière plus générale, peut-on te classer dans la catégorie des exhibitionnistes ? » : « Oui ».

    Yves : « Attention vous entrez dans la dernière minute ! ». Annie : « Merci, Yves ! ».

    Annie : « T’es tu exhibée en auto devant des voyeurs ? » : « Oui ».

    Marc : « Combien étaient-ils ? » : « Huit ».

    Annie : « Est-ce qu’ils t’ont pelotée ? » : « Oui ».

    Marc : « Pelotée nue ou habillée ? » : « Habillée puis nue ».

    Annie : « Veux-tu nous résumer rapidement ce jeu de la vérité ? » : « J'ai très honte de cette mise à nue physique et , morale. De ma chatte trempée par cette exhibition obscène, mais le regret, d'avoir manqué l'orgasme pour une petite poignée de secondes ! ».

    Ils rient tous les trois et Yves nous dit : « Stop ! Cinq minutes passées d'une poignée de seconde ! Mais je voulais lui laisser finir son résumé ! ».

    Annie me félicite : « Bravo, ma chérie, ce n’était pas si facile, félicitations pour ta franchise et ton honnêteté, et merci pour ce beau spectacle super bandant ou super mouillant, selon ce qu'on a entre les cuisses ! ».

    Annie et son humour ! Je lui fais un clin d’œil complice et reviens m’asseoir sur l’accoudoir d'Yves qui me baise à pleine bouche et m’offre une coupe de champagne et une cigarette qui ne peuvent pas mieux tomber !

    Annie remonte sur la table, et après son jet, elle essuie, très loyalement les dés trempés avec sa serviette ! Ce qui fait rire tout le monde, et prouve son auto-dérision ! Mais sa serviette ne fait pas miracle et elle offre ses seins nus à tout le monde.

    En les découvrant pour la première fois, Yves se jette à genoux et prie à haute voix : « Mon Dieu, accordez moi cinq dernières minutes pour lécher et peloter ces magnifiques nichons, avant de me rappeler à Vous ! ».

    L'ambiance est torride et électrique, les tabous et les inhibitions tombent, chacun se dénude et se révèle aux autres, et la fin de cette nuit va sûrement être très très chaude et super excitante !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 1h10

    Annie et moi sommes à poil. Mais, les hommes continuent l'exploration visuelle de nos corps, en matant les petits coins secrets, le durcissement d'un bout de nichon, la brillance humide d'une chatte ou un clin d’œil coquin de l'une à l'autre ou de l'un à l'une !

    Marc propose de reprendre les jets de dés, Yves l'approuve tout en rajoutant : « Soyons raisonnables, il me semble que Marc et moi pouvons tout de même jeter les dés nous-mêmes ! ».

    Annie pense qu'Yves est un homme censé ! Mais elle tient à faire une remarque : « Bien que ce soit Loré qui ait subi le premier gage, je n'ai pas apprécié le concept de chronométrage. J'avais beaucoup plus de question à lui poser, et j'aurais trouvé super excitant qu'elle soit la première à jouir devant nous trois, or, le temps lui a manqué. Je considère que ce n'est pas le temps d'un gage ou d'un défi qui fera son intérêt, mais son scénario de base. Il peut très bien évoluer ou avoir une suite si tout le monde est d'accord ! ».

    Yves lui répond : « J'ai ressenti la même frustration que toi. L'idée de voir ma Loré jouir devant vous, m'avait raidi la bite ! Et, de jouer l'homme horloge, qui en plus l'a empêchée de jouir, ne m'a pas du tout plu ! Mais, pour que nous puissions adopter une autre solution, si, toutefois vous avez, comme Annie et moi, l'envie de changer de formule, avez-vous d'autres propositions ? ».

    « Marc, tu as des suggestions ? ». « Je pense, Yves, que nous pourrions simplement supprimer la notion de temps, tout en veillant, sans être trop pointilleux, à une égalité de temps entre Loré et Annie, par courtoisie pour elles ! ». « Il me semble que c'est une excellente suggestion, et toi, ma chérie quelles seraient tes idées, je suis sur que tu n'en manques pas ! ».

    Je viens m'asseoir sur son accoudoir pour lui répondre : « Ce serait en effet étrange que la fantasmeuse de service n'aie pas d'idées, mais au sein de notre couple, c'est plus simple que, dans une soirée à quatre ! Je commence en partageant votre avis de supprimer le chronométrage, en plus, vue l'heure, il est certain que la formule initiale ne rentre plus dans le temps. Je vous propose donc la solution suivante : puis qu’Annie et moi sommes à égalité, en oubliant mon gage minuté, nous pourrions consacrer, un quart-d'heure, pour que chaque couple, scénarise cinq gages pour chacune d'entre nous ! Qu'en pensez-vous ? ».

    Annie me répond la première : « Ma chérie tu proposes donc qu'Yves et toi rédigiez tes gages, alors que Marc et moi ferions de même, pour moi, de notre côté ? ». « Tu as tout compris, Annie, après nous mêmes, ce sont tout de même nos maris amants baiseurs, qui nous connaissent le mieux. Voyons je vais demander à Yves : « Aurais-tu des difficultés à me scénariser dix bons gages bien excitants ? ».

    Yves sourit en me répondant : « Tu as dit combien ? Vingt ? Trente ? Ou plus ? ». Je souris : « Je ne questionne pas Marc, j'aurais la même réponse ! ». « Je suis convaincue ma chérie ! ».

    Marc rajoute simplement : « Loré, ton raisonnement est parfait, mais que prévois-tu pour l'équilibre des durées ? ». « Marc, j'ai dit qu'on oubliait ce gage de 5 minutes : donc à l'approche des gages de 10 minutes, Annie et moi sommes à égalité. A la fin du huitième gage, Yves et toi pourriez totaliser les durées de nos séries de deux gages et l'équilibre interviendra en imposant un ultime gage à la moins sollicitée en temps ».

    Annie suggère : « Nos nouvelles lois sont votées ! Loré et moi allons enfiler un peignoir, car nous sommes en train de nous refroidir. Nous allons préparer du café fort, pendant que Marc nous fournira du papier et des crayons, pour rédiger nos gages en formule télégramme, et les plier au moins en quatre. Nous en ferons deux pioches, une > Loré, l'autre > Annie ! Allez faisons bouger nos méninges ! Et comptez, sur Loré et moi pour faire le spectacle ! ».

    Quelques dix minutes plus tard, tout est prêt : il y a deux bols sur la table du salon avec dans chacun, quatre gages rédigés par nos deux couples. Nous sommes gavés de caféine et avons pas mal fumé, mais Yves semble content des gages que nous avons décidés, et, au moins, il est assuré qu'ils me plairont beaucoup !

    Comme Annie, je suis nue sous mon peignoir fermé, et elle donne le coup de départ. Il faut donc que Marc jette les trois dés pour savoir, laquelle va tirer un gage dans son bol, et le lire à haute voix !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 1h30

    Yves gagne et Annie tire donc son premier gage qu'elle déplie et nous lit à voix haute : « Yves ayant envie de pisser, nous allons aux toilettes et je dois faire en sorte qu'il n'ait pas à se servir de ses mains ! ».

    Sans commentaire, elle enlève sont peignoir, prend Yves par la main et tout le monde se dirige vers leur salle de bains, qui est la plus propice, pour que tout le monde profite bien du spectacle.

    Marc et moi nous nous asseyons sur la baignoire, Yves reste debout devant la cuvette. Annie, d'une main experte, lui ouvre la braguette, dégage son sexe à demi-mou de son caleçon et de son pantalon qu'elle baisse un peu sur ses cuisses.

    Elle l'empaume de sa main droite et le dirige vers la cuvette en disant ironiquement à Yves : « Si, Monsieur, veut bien se donner la peine de relâcher sa vessie ! ». Il, a visiblement très envie, car il pisse de longs jets, avec lesquels, elle s'amuse à dessiner des figures imaginaires sur la porcelaine, ce qui, en même temps, lui permet de le branler un peu !

    Quand Yves n'a plus rien à lui donner, elle l’égoutte longuement en le secouant au dessus de la cuvette, et, bien sur, ce qui doit arriver, arrive !

    Il durcit très rapidement. Elle s'agenouille devant lui, le prend en bouche pour nettoyer son gland, et en profiter pour le pomper avec toute sa science, comme elle en avait visiblement très envie, surtout devant les yeux de Marc, qui reste curieusement, totalement muet !

    Mais, rapidement Yves lui demande d'arrêter en lui disant : « La suite fera sûrement l'objet d'un prochain scénario, chère Annie ! ». Elle sort sa bite de sa bouche, se redresse, lèche tous les recoins de ce beau morceau muscle et le remet délicatement dans son caleçon et dans son pantalon avant de refermer sa braguette ! ».

    Sans nous regarder, elle se lave les mains, se rince la bouche et nous revenons au salon. Souveraine, quoique à poil, elle ne semble même pas troublée, et tout le monde admire son caractère !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 1h40

    Yves reprend le papier du gage d'Annie et rajoute quinze minutes. J'étais sûre que cette séquence n'avait duré que cinq ou six minutes, c'est fou ce qu'on peut se tromper en estimant une durée !

    Annie nous demande : « Dites moi, avez-vous utilisé des sex-toys classiques dans votre liste ? ». Yves lui répond : « Oui, de mémoire, dans trois, j'étais sur que ce genre de jouets faisait partie intégrante d'un gage sexuel, me-suis-je trompé ? ».

    « Non pas du tout, nous aussi en avons mis en fonction de ce que nous avons ! ». « De toutes les manières, si quelque chose manque nous le trouverons probablement dans notre panoplie que Loré met régulièrement à jour ! ». « Ok, donc on peut continuer ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 1h50

    Les hommes se remettent en place et jettent leurs dés. Marc sort un petit onze, et Yves semble assurer de gagner, c'est en souriant qu'il jette ses trois dés et sort un... neuf !

    Marc rit, tout content. Me regarde enlever mon peignoir et sortir mon gage du bol qui m'est consacré, je le lis devant tout le monde : « Marc a trop envie de moi, donc Yves va me prêter à lui, mais Loré, doit choisir dans quelle situation elle sera la plus salope : seule avec Marc ou avec Annie et Yves comme voyeurs ? ».

    Un peu vexée, je dis à Yves : « Amour, c'est toi qui a rajouté cette histoire de salope ? Nous n'en avions pas du tout parlé quand nous avons rédigé ce gage ! ». Yves rit : « En effet, mais je ne voulais pas te mettre mal à l'aise ! Choisis ce que tu veux, mais moi je connais la réponse ! ».

    « Bien, tu l'auras cherché, Marc aura une catin : tu peux mettre la chanson de Jeanne Mas ! Je suis une libertine, je suis une catin ! ».

    Nue, je prends Marc par la main et lui dis : « On va où tu veux ! ». Nous sortons tous les deux seuls du salon ! Marc me conduit dans la grande chambre d'amis du premier, et (...)

    Dimanche 29 janvier 2017 - 2h40

    (...) Une heure après, Marc me quitte. Il s'est séché et rhabillé dans la salle de bains adjacente. En me matant, une dernière fois à poil sous la douche, sans résister au désir de me caresser, de me tapoter le cul et de me doigter le con et le cul, pour que ses doigts s'en rappellent bien ! Il me conseille de prendre mon temps, il part devant pour leur dire que j'arrive. Je le remercie.

    Quelques minutes plus tard, toute fraîche, j'entre à mon tour dans le salon, en souriant à tout le monde. Il est évident, qu'à ma mine réjouie de femme comblée, Yves et Annie savant que tout s'est bien passé ! Mais personne n'osera me demander un résumé de séance.

    Annie est en peignoir, mais toujours aussi naturelle que si elle était en tailleur de grand couturier, et, Yves est habillé.

    Mais, curieuse comme je le suis, je remarque que l'étiquette de composition de son pull est sortie du vêtement, alors que je l'avais moi même glissée à l'intérieur ! Je sais donc qu'il a, au moins ôté, et remis son pull, de là à conclure qu'il a tout enlevé pour se faire Annie ! Il y a un pas que je franchis de suite ! Mais sans être sûre à 100% de connaître la vérité un jour !

    L'absence de jalousie étant de mise dans notre couple, je suis heureuse qu'il ait baisé Annie qui ne demandait que ça ! Nous connaissons à présent toutes les deux la pine du mari de l'autre ! Pas de jalouse ni de frustrée dans la paire d'amies que nous formons !

    Annie propose d'aller refaire un peu de café, et de tiédir quelques gâteaux pour une petite pause avant de continuer. Tout le monde est d'accord et je me lève de suite pour aller l'aider. En entrant dans la cuisine, Annie me dit de suite en effleurant ma bouche de la sienne : « Te voilà dépucelée, ma chérie ! Tu as du bien sentir la bite de mon homme et il t’a baisée une bonne heure ! Quel effet ça t’a fait Putain Loré ? ».

    Je baisse les yeux : « Je n’ai pas été trop troublée de me retrouver à poil, seule avec lui, dans un lit, je savais que ça devait arriver ! Mais je dois avouer qu’il a un sexe imposant, bien plus gros que celui de mon mari ».

    Elle rit : « Rassure-toi, si nous continuons nos soirées libertines, tu auras souvent la possibilité de les comparer de plus près dans tes différents trous ! As-tu aimé le goût de son foutre, sa manière de te niquer et celle de t'enculer ? ». Je lui souris très franchement en lui disant simplement que pour les réponses à ces questions, elle devra s'adresser à Marc !

    Elle éclate de rire : tu refuses même un donnant-donnant ? Ce qu'il t'a fait, contre ce que nous avons fait au salon ? ». « Eh, oui, même ça ! Mais rassure-toi, un petit détail vous a trahi ! Mais tu sais bien que je devrais être une sacrée hypocrite pour être jalouse ! Et, surtout de toi ! ».

    Nous rions en rapportant tout ce qui était promis aux hommes et profitons de la pause pour récupérer ! Et j'en avais vraiment besoin : pour le moment, Marc est un amant beaucoup plus exigeant que mon tendre Yves, mais il est dans sa période découverte ! Ca lui passera !

    Je retourne à la cuisine pour rapporter une nouvelle bouteille de champagne : heureusement que nous devons pas conduire pour rentrer chez nous ! Nous sommes vraiment tous les quatre très alcoolisés. Les rires fusent, les plaisanteries sont titrées sexe ! Les coupettes se succèdent, de même que les tasses de café, les cigarillos pour les hommes et les mentholées pour nous ! Et même les gâteaux, car certains ont un petit creux ou sont très gourmands !

    Un peu plus tard, Yves dit à Marc d'ajouter une heure sur le papier de mon gage et précise que si tout le monde est prêt, nous pouvons continuer notre jeu !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 3h

    Yves et Marc s'affrontent de nouveau avec les trois dés. Assises toutes les deux en peignoir sur les accoudoirs, nous suivons attentivement les jets ! Et, pour la deuxième fois de la soirée, ils réalisent le même score !

    Marc : « Zut, on a oublié ce cas de figure! ». Mais Annie en riant lui dit, non pas « on » : « vous » avez oublié, car moi, j'y ai pensé, et je suis même sûre que Loré sera d'accord pour ce double gage commun ! ».

    Annie : « Voulez vous que je vous le propose ? ». Les hommes approuvent, contents de se débarrasser de la corvée et, je ne dis rien, redoutant un peu que l’ambiance sexe qui règne depuis mon prêt à Marc, ne fasse déraper la soirée.

    « Je vais essayer d’être concise : Claire, une amie, est abonnée payante à un site sur lequel des inconnus des deux sexes, s’exhibent à des voyeurs des deux sexes, qui se branlent en les regardant exécuter leurs ordres devant leur caméra. Donc le Minitel-rose du XXIème siècle ! ».

    Yves et Marc approuvent et estiment que c'est un excellent gage qui sera très excitant. Marc affirme même que c'est même un excellent moyen d'inaugurer leur web-cam neuve et techniquement parfaite ! Le pauvre ne sait pas qu'Annie en a fait une honorable caméra d'occasion !

    Malgré les 4h30, Annie téléphone à Claire, haut parleur branché :

    « Bonsoir Claire, c’est Annie (...) Oui je vais très bien (...) Je sais que tu ne dort jamais ! (...) Tu passes ta vie sur le net et à ce sujet, j’ai besoin de toi : je suis en soirée coquine avec Marc et un couple d’amis (...) Tu es toujours abonnée au site des web-cams des copines sans tabous ? (...) Ah, ok ! (...) Est-ce que par hasard il te resterait un code invité ? (...) Oui ? (...) Super ! Tu peux me le donner ? (...) Mais, oui je sais bien que ça rapporte de l’argent, mais tu pourra tout garder pour toi (...) Attends, je note copinessanstabous.fr (...) Accès invité abzw12895/25cx (...) Oui, un questionnaire à remplir (...) Non je t'assure que je ne veux aucun partage des gains (...) Garde tout en souvenir de mon amitié ! (...) Bon je te laisse (...) Oui, je te promets de tout te raconter ! (...) Gros baisers Claire ! ».

    Nous avons tous entendu sa conversation. Annie s’installe devant leur gros ordi qui est dans un coin du salon. Yves remarque : « Tu ne trouves pas, que ça ressemble, un peu à de la prostitution ? ». Elle sourit : « Non, plus d'un Peep-Show : contre un salaire, la fille montre ce qu'elle veut, si après elle accepte plus, ce n'est pas la faute du sex-shop ! ».

    Annie continue : « Je suis dans la page des invités. Mais pour remplir la fiche, il faut décider qui de Loré ou de moi va obéir en étant filmée ? Vous ne voulez pas jeter une fois de plus les dés ? ». Les hommes font semblant de s'approcher de la piste de dés, des dés roulent et ils se relèvent en même temps : « Voilà ta réponse Annie, la chance mais très peu le hasard ont décidés : vous serez filmées toutes les deux, et ce sera doublement plus excitant ! ». Annie et moi nous nous regardons sans rien dire, nous étions sures que les hommes allaient tricher dans ce sens !

    Chacun s'active : Annie et moi retournons dans la chambre d'amis pour nous rhabiller comme en arrivant, bijoux en moins. Marc connecte la web-cam avec l'ordi et l’écran plasma du salon. Annie remplit la fiche en ne cochant que des cases prévues. J'ai la vague impression que ce n’est pas la première fois qu’elle se connecte, mais comme voyeuse ou comme invitée ? Je classe ça en me disant que je m'en fous !

    Je lis par dessus son épaule les questions et les réponses qu'elle coche :

    Qui sera filmée ? Deux amies

    Ages ? 25 et 34

    Mariées ? Oui

    Maris présents ? Oui

    Qui filme ? Mari

    Heure de connexion ? De suite

    Réponses à questions intimes ? Oui

    Rencontre recherchée ? Non

    Qu’est ce qui définit le mieux l'Amie 1 : docile, rétive ou soumise ? Docile

    Qu’est ce qui définit le mieux l'Amie 2 ? Docile

    Acceptez vous la minute gratuite pour faire connaissance ? Oui

    Etes vous seules ou accompagnées ? Accompagnées

    Maris, amis, amants ? Maris

    Filmée sans visage ? Non

    Filmée visage caché ? Vérification IP demandée

    Elle nomme notre fiche : Deux amies très coquines et vicieuses et entre le code invité pour la valider. Le site est bien fait et très fréquenté, nous avons de suite des dizaines de propositions. Pour répondre rapidement nous avons : non merci bisous-occupée-trop tard et une dizaine d’autres réponses qui nous déconnectent de l’importun.

    D’autres options nous permettent d’accepter un dialogue avec accès à nos fiches réciproques. Une demande attire l’attention d’Annie : « Bonsoir, je suis un homme de 45 ans. Aimez vous l’humour ? La sensualité ? Et êtes vous motivées ? Si oui : bavardons un peu ensemble ! A tout de suite ? Jo ». Sa présentation est simple mais correcte et sa fiche que lisent soigneusement Marc et Yves semble le confirmer. Marc approuve et dit à Annie : « Vas y, contacte le ! ». Elle clique sur accepter le dialogue.

    Nous > « Bonsoir Jo, humour, sensualité et motivation nous séduisent ! ».

    Jo > « Hum bonsoir vous, je n’espérais pas de réponse de votre part ! ».

    Nous > « Il ne faut jamais être défaitiste : nous sommes bien là ! ».

    Jo > « Je suppose que vous avez été submergées de propositions, qu’est ce qui me vaut l’honneur de dialoguer avec vous ? ».

    Nous > « Présentation, âge, fiche, style différents des autres ».

    Jo > « Vous êtes jeunes, pourquoi ne pas jouer avec des hommes de votre âge ? ».

    Nous > « Non, car nous préférons les hommes plus murs ! ».

    Jo > « Puis je vous demander pourquoi ? ».

    Nous > « En principe, ils savent ce qu’ils veulent et comment l’obtenir ! ».

    Jo > « C’est une belle réponse, comment vous appelez vous ? ».

    Nous > « Loréna pour la jolie brune de 34 ans et Annie pour moi la blonde de 25 ».

    Jo > « Moi c’est Jo, sur votre fiche, vous dites être avec vos maris, situation très originale, vous pouvez m’en dire plus ? ».

    Nous > « Bien sur, nous affirmons aussi que nous disons la vérité : donc pas de mensonges ! Nous sommes deux couples réunis, pour une soirée très arrosée, avec des gages très coquins. Perdantes toutes les deux aux dés, notre gage est de nous offrir ici à un parfait inconnu ! Pourquoi pas appelé Jo ? ».

    Jo > « Ah je vois, vous êtes quatre, deux matent et deux obéissent ! Très excitant ! Mais gros risques de censure de mes envies par vos maris ! ».

    Nous > « Hum, en principe nos maris nous connaissant bien, et savant que nous ne sommes pas des oies blanche, et que le cul ne nous fait pas peur ! Mais, en plus nous te propose un safeword, si nous disons arlequin tu changes ton désir, ça te convient ? ».

    Jo > « Bonne idée et joli humour. Ils vous filment masquées ? ».

    Nous > « Tu habites où ? ».

    Jo > « En Belgique ».

    Nous > « Tu peux envoyer ton IP en cliquant sur vérification d'IP ? Si IP confirmé, pas de masque, c'est très loin ! ».

    Jo > « Ok, je l'envoie de suite et après ? ».

    Nous > « Le web-master va nous confirmer ta ville ».

    Jo > « Voilà, envoyé ! Inscrites ou simplement invitées ? ».

    Nous > « Invitées ».

    Jo > « Session sans lendemain, je ne déteste pas, ça nous force à tout donner la première fois en sachant qu'il n'y aura pas de deuxième fois ! Essayons de bien en profiter ! Comment vous sentez-vous ? ».

    Nous > « Nerveuses, mais nous espérons à la hauteur de tes attentes et de celles de nos époux ! Ah ! La réponse pour ton IP ! Tu connais La Louvière ? ».

    Jo > « Ouiiiii c'est ma ville ! ».

    Nous > « Ok pas de masque ! On accepte la minute de connaissance ! ».

    Jo > « Ok je me connecte en visio, à tout de suite, je vous aime déjà ! ».

    Nous > « Et si tu venais de pêcher deux gros thons ? Ce serait rigolo ! ».

    Jo > « Les thons sont les plus salopes ! ».

    Nous > « Je ne sais pas s'il est pervers ou vicieux mais dans tous les cas, il a de l'humour ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 3h30

    Un clip sur accepter la visio gratuite d'une minute, et nous sommes connectés ! Marc cadre nos visages en plein écran.

    Nous sommes un peu tendues, et ça se voit. La connexion s’établit et un visage d’homme souriant s'affiche sur nos écrans. Sa voix grave et rieuse sort des hauts parleurs :

    Jo > « Bonsoir toutes les deux ! ».

    Nous lui retournons son accueil chaleureux et Annie enchaîne : « Je viens de gagner 10€ ! ».

    Jo > « Ah bon et pourquoi ? ».

    Nous > « J’avais parié avec Loréna que tu étais mignon et j’ai gagné ! ».

    Jo > « Flatteuse, mais je vous retourne le compliment, vous êtes deux thons-canons ! Et j'ai furieusement envie de vous demander de marcher devant la caméra pour vous voir en entier, je peux ? ».

    Nous > « Tu es sur un site où on demande rarement l'autorisation ! ».

    Jo > « C’est vrai, vieux reste d’éducation, très bien, alors, faites quelques pas, dans ce que je suppose être un salon pour que je vous vois de dos et de face ça me donnera sûrement des idées ! ». Nous nous levons, allons jusqu’à la télé et nous en revenons lentement la main dans la main. Vous êtes très belles, je suis le plus chanceux des hommes ! Et en plus vous avez une image HD sur le plasma : c’est très excitant tout ça ! ».

    Annie > « J’ai une icône avec : votre minute est écoulée acceptez vous la session audio et vidéo payante ? Que dois-je faire ? ».

    Jo > « Toi tu n’as qu’à cliquer sur oui, si vous voulez de moi, et moi, il faut que je mette en route mon compte, ça va prendre quelques minutes, restez connectées ! ».

    Nous > « Entendu à tout de suite ».

    J’allume une cigarette : « Pfft, je suis nerveuse ! ». Yves rit : « Oui nerveuse mais sûrement très excitée ! Il a l’air très bien ce Jo ! ».

    Mais une question me tarabuste : « Mais si Jo nous demande des choses que nous ne voulons pas exécuter, que va-t-il se passer ? ». Annie me répond avec un large sourire : « C’est tout simple : soit nous acceptons soit nous disons arlequin. Tu sais bien ma Loré, qu’en acceptant un gage de ce type, nous avons accepté de nous montrer nues physiquement et moralement. Si, bien sur, tu dis arlequin s’il te demande d’enlever ta culotte, il vaut mieux couper la visio de suite ! ».

    Tout le monde rit de cette boutade et Yves rajoute : « Pour ma part, je te promets de ne pas intervenir, je suis bien placé pour savoir jusqu’où tu peux aller quand tu es très excitée ! Tu ne crois pas ? ». « Oui c’est justement ce qui me fait peur ! ».

    Tout le monde comprend que j’ai plus peur de moi, que de Jo et c’est Annie qui a le mot de la fin : « Si Jo est malin et qu'il connaît les femmes, il n'exigera pas de suite des choses trop intimes ou trop perverses, même un peu bdsm, il attendra que notre excitation soit bien visible ! Et ça il sait le voir à son âge ! ».

    Ce que je te propose ma Loré c'est : « De nous lâcher et d'être telles que nous avons envie d’être. Personne ne nous jugera. Nous aurons, peut être, quelques remords demain mais, dans quelques jours, nous rirons tous les quatre de cette visio, et d’y repenser, nous excitera tous au plus haut point ».

    Yves continue : en attendant, je t'affirme que ce défi nous excite tous les quatre, et si tu veux vérifier nos braguettes et la culotte d'Annie, ne te gêne pas ! Tu verras que je ne mens pas ! ». Je baisse les yeux et dis d'une voix quasi inaudible : « Vu l'état de ma culotte, je peux te confirmer que tu ne te trompes pas ! ». Annie enchaîne en riant : « Eh bien tu vois, tu n‘es pas une oie blanche, Loré, surtout si je me réfère à tes réponses à nos questions très intimes. Dis toi qu’en obéissant à Jo nous ne risquons ni bébé ni sida, juste quelques rougeurs aux joues ! Alors profitons-en un maximum et laissons nous aller ! ».

    Une icône s'incruste : « Vous êtes demandé en visio-session payante, par le pseudo Jo, IP confirmé à La Louvière en Belgique, cliquez sur accepter ou refuser ». Annie accepte avant de se lever et laisse sa place à Yves. Marc a sa web-am en main, et le visage souriant de Jo apparaît sur nos écrans, surtout sur la télé de salon et sa voix virile et chaleureuse résonne dans tout le salon.

    Jo > « Re-bonsoir, j’ai un peu tardé car ils sont très lents pour accepter des montants inconnus à l'avance ! Mais, à part ça, c'est le meilleur site que je connaisse ! Êtes-vous de mon avis ? ».

    Loré > « Nous ne pouvons pas le comparer, car c'est notre première expérience de ce type, bonsoir Jo, nous t’attendions en papotant tous les quatre ».

    Jo > « J’espère que vous ne disiez pas du mal de moi ! ».

    Annie > « Nullement ! Nous constations simplement que cette visio serait une parenthèse dans nos vies sexuelles, c’est très positif pour toi ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 3h40

    Jo > « J’en suis heureux et je vous en remercie, si vous êtes d'accord, nous pourrions commencer ? ».

    Loré > « Bien sur Jo, nous t'écoutons ! ».

    Jo > « Deux petits points à régler : je peux t'appeler Loré ? Et, puis-je revoir l’ensemble de la pièce ? ».

    Loré > « Pas de problème pour Loré et c'est le mari d'Annie qui filme, il va pouvoir te montrer tout ça ! ». Marc balaye la pièce.

    Jo > « C'est ce que je pensais, pourriez-vous installer deux halogènes assez puissants pour éclairer le canapé et la table de salon pour reconstituer un petit studio d’enregistrement ». Quand tout est en place, Yves allume les lampes : le canapé et la table se voient parfaitement sur le plasma. « C'est parfait, je vais vous demander de vous asseoir toutes les deux sur le canapé ! ». Nous nous asseyons. « Rapprochez vous l’une de l’autre et caressez vous les épaules le cou et la nuque. Faites des gestes doux et légers comme si un amant vous caressait ». Un peu hésitante, je mets mes mains sur les épaules largement dénudées d’Annie et lui masse la nuque alors que ses mains me caressent au dessus de mon caftan. Elle effleure mes épaules, avant de se poser sur ma nuque et de relever mes cheveux pour dénuder mon cou.

    Jo > « Bravo, vous jouez bien le jeu, merci, passez vos mains dans vos cheveux : décoiffez vous en restant naturelles ». Je glisse mes doigts dans ses cheveux alors que, de son côté, elle chiffonne mes cheveux en me souriant un peu vicieusement. « Vous êtes chez qui ? ». Annie, un peu étonnée par la question répond : « Chez Annie ! ». « N'ait crainte, je ne vais pas sonner à ta porte, Annie ! C'était pour savoir laquelle connaissait la maison ! Donc, Annie tu vas nous ramener un bâton de rouge à lèvres, et, pendant ton absence, Loré vas commencer à se caresser les seins à travers son beau caftan ». Elle se lève et revient peu de temps après. Elle me retrouve, confortablement enfoncée dans le sofa, me pétrissant les seins, les yeux mi clos.  Demande un gros plan de mes lèvres. « Belle bouche, mais j’aime les filles plus maquillées, Annie, fais lui une bouche plus sensuelle ! ». Annie se tourne vers moi et s’applique à me maquiller les lèvres jusqu’à ce qu’il lui dise : « Voilà, une belle bouche bien rouge et pulpeuse, j’adore. A présent, j'aimerais voir les orteils et les pieds de Loré en gros plan ». Marc change de plan et le moteur électrique du zoom ronronne. « Jolis pieds, bien offerts par tes mules, ongles bien vernis d'un très beau rouge, Loré, je suis très fétichiste de tes petits adorables ! ».

    Jo > « En fait, les filles, ce matin, en vous vernissant les ongles et en vous maquillant, vous ne vous doutiez pas que vous vous prépariez pour moi, que vous ne connaissez que depuis dix minutes ! Loré : surtout n'arrête pas de peloter tes seins et sors bien ta langue pour lécher tes lèvres fraîchement maquillées avec gourmandise, pour mieux t’offrir à moi et me faire triquer ! ». La perversion de ses mots me fait frémir et obéir. Marc alterne les vues de mes pieds, de ma langue qui lèche voluptueusement mes lèvres trop rouges et de mes mains qui pressent et malaxent mes seins, avec grand plaisir ! « Annie, mets deux doigts dans ta bouche et suce les comme si c’était un petit sexe ». Elle s’exécute et leur fait faire des allers et retours dans sa bouche. « Souris donc à la caméra : tu n’es pas contente de sucer ? ». Elle sourit sans répondre et Jo continue de la stimuler : « Accentue le rythme tu ne feras jamais bander une pine en suçant comme ça ! ». Elle salive et suce de plus en plus fort. Sa bouche commence à émettre des bruit de succion que Jo entend parfaitement bien : « Tu t'améliores : rajoute deux doigts dans ta bouche et pompe les quatre le plus rapidement possible ! ».

    Jo > « Pendant ce temps, je veux que Loré se déchausse, s'allonge confortablement sur le canapé et pose ses jolis pieds nus sur les genoux de sa tendre amie ». Je jette mes mules, me couche sur le dos en caftan et sous-vêtement, tête sur l'accoudoir et pose mes pieds nus sur les genoux recouverts du beau caftan blanc d'Annie. « Belle position, Annie va te caresser les orteils, l'un après l'autre et finira en glissant un doigt entre eux pour vérifier si une bourgeoise-salope comme toi est tout de même bien propre! ». Annie s'insurge et me défend : « Oh comment pouvez-vous demander ça ? Bien sur que Loré est propre et ce n'est pas une salope ! ». Le visage de Jo se ferme un peu et il grogne : « Sois gentille de ne pas contester mes ordres, Annie, et je veux bien que Loré ne soit pas une salope, mais alors dis moi, comment je dois appeler une femme qui se pelote les nichons, devant un inconnu, simplement parce que cet inconnu lui a demandé de le faire ? ». Annie ne trouve rien à lui répondre. Elle arrête de me branler les orteils et sent ses doigts : « Je sens un curieux mélange d'une odeur indéfinissable et de transpiration ». « Tu vois : même les bourgeoises propres peuvent sentir des pieds : tu as beaucoup à apprendre, Annie ! Essuie tes doigts sur tes joues : Loré, assieds-toi, remets tes mules. Vous allez monter toutes les deux sur la table du salon, en vous faisant face ! ».

    Jo > « J’adore votre docilité ! Elle m’excite. Voici vos rôles pour la séquence suivante : vous êtes dans une boîte de gouines, nous allons tamiser l'ambiance et Marc, le DJ, va lancer une série des quatre plus beaux slows de tous les temps, dont-il vous offre un extrait :

    Wind of Change de Scorpions pour cinq minutes https://www.youtube.com/watch?v=n4RjJKxsamQ&list=PLgxNubUp2fOX2HfC9MK28QKxkw1V9K3dY&index=5

    Dounette 123 pour huit minutes

    https://www.youtube.com/watch?v=9N-U8GHFEds&index=1&list=RDQM3QzffJIhtAU

    With Or Without You de U2 pour cinq minutes

    https://www.youtube.com/watch?v=XmSdTa9kaiQ&list=RDQMAe42LqXuGr0&index=2

    I Will Always Love You de Whitney Houston pour cinq minutes

    https://www.youtube.com/watch?v=3JWTaaS7LdU&index=10&list=RDQM3QzffJIhtAU

    Jo > « Bravo, Marc, très bon slows, elles commenceront sur Scorpion mais leur danse risque de durer très longtemps ! Messieurs, pourriez-vous éteindre toutes les lumières du salon sauf un halogène dirigé vers cette piste improvisée, s'il vous plaît ? ». Yves s'exécute et un seul lampadaire nous inonde de lumière. « Dans cette ambiance très intime, vous allez faire en sorte d'emballer l'autre ! Celle qui se laissera guider, à n'importe quel moment, vers le canapé pour s'y abandonner sera l'emballée, et la gagnante sera l'emballeuse ! Pour le premier slow, vous allez vous enlacer et danser, sans qu'un petit souffle d'air ne puisse passer entre vos deux corps. Et, vous allez vous embrasser à pleine bouche, sans faire semblant : je veux de la salive, des gémissements et des réactions corporelles. Pour le moment laissez vos mains posées sur le haut des fesses de l'autre ! ». Marc lance le morceau et Annie, ne pouvant pas mettre son autorité de côté, me prend fermement dans ses bras ! Je sens sa poitrine écraser la mienne, une de ses cuisses se glisser, facilement, sous mon caftan-tunique très court, mais c'est moi qui lui prend la bouche et lui enfonce ma langue sans lui laisser le temps de réfléchir !

    Jo > Quelques instants plus tard : « Messieurs, je vous conseille de m'imiter : j'ai enlevé mon pantalon et je me branle en admirant le spectacle de gouines que nous proposent vos deux épouses. Je constate avec plaisir qu'elles ne font pas semblant, je pense que nous n'irons pas au quatrième slow pour qu'une ne se fasse emballer ! A ce sujet, puis-je compter sur quelques jouets que vous auriez chez vous ? ». Yves « Peux-tu lister tes désirs ? ». Jo « Je me suis fait un petit pense-bête : un gode-double, deux vibros, avec leurs deux télécommandes, deux colliers de cou en cuir, quatre bracelets de cuir pour les chevilles et les poignets, une douzaine de clips en fer, un martinet, deux paires de menottes, des pinces en bois, en plastique et en métal et deux masques aveuglants. Je crois n'avoir rien oublié ! ». Yves « Je vois ça avec Marc, et nous te tenons au courant ! ». Jo « Entendu, merci, Yves ».

    Jo > « Le magnifique slow suivant dure huit minutes ! Nous allons pimenter un peu vos rôles : tout en continuant à vous gouiner la bouche, vous avez la durée du morceau pour vous déshabiller mutuellement, et, ce, dans l'ordre suivant : caftan, culotte, soutien-gorge et chaussures. Mais attention : ne caressez pas ce que vous dénudez, vous pouvez effleurer ou mater, mais pas embrasser ou peloter. Et faites votre job en nous faisant bander comme des ânes ! ». Nous pressons un peu plus fort nos bouches l'une contre l'autre en salivant tellement que des filets gluants sortent de nos bouches, alors que Jo commente notre déshabillage mutuel en nous prouvons sa perversité ! « Le caftan d'Annie était superbe avec ses belles broderies, mais je le préfère jeté sur un fauteuil, hummmm quel corps ! C'est une bombe ! Ouah, Marc elle est bandante des ongles des orteils jusqu'à la pointe de ses cheveux blonds ! Et, c'est ça que tu as dans ton lit tous les jours ! Tu dois la niquer quatre ou cinq fois par jour ? Non ? Et toi, Yves, tu n'as pas à être jaloux ! Le vice de ta femme se lit dans ses beaux yeux, bien sur elle a un plus servi qu'Annie, mais elle est encore très baisable, ta catin, et je pense que tu ne dois pas de gêner de le lui prouver ! Bonne au plumard comme elle doit l'être ! Elle doit attirer les pines, comme un aimant ! Eh bien, vous êtes des petits veinards, et je vous remercie tous les deux de m'avoir invité à mater vos femmes et à constater qu'elles sont aussi garces dans l'intimité, surtout quand elle se lâchent ! ».

    Jo > « Hum, les filles, après les caftans, vous enlevez quoi ? ». Nous descendons nos mains vers nos hanches et excitées par ce flot de paroles injurieuses, mais justes, nous arrêtons deux secondes notre long baiser pour répondre en même temps : « Nos culottes, Monsieur Jo ! ». Et, lentement, sans décoller nos bouches, nous nous baissons pour descendre nos culottes et remontons, pour les jeter d'un jet de chaussure vers le fauteuil, en montrant aux trois hommes, nos moules dégoulinantes et nos culs ronds et fermes qui appellent les coups ou les caresses selon nos différents admirateurs du site de Tom ! Jo > « Les filles, il ne vous reste que trois minutes avant la fin de ce slow italien, je vais vous faire cadeau des sandales, que vous pouvez garder, mais je veux voir vos nichons avant la fin de ce morceau ! Débrouillez vous, et n'arrêtez surtout pas de vous gouiner la bouche ou vous serez durement punies ! Même si je dois me battre contre vos maris ! ». Loré lui rétorque : « Monsieur Jo, se battre contre nos maris, c'est se battre à quatre contre un ! Estimez bien vos chances avant de commencer le duel ! Cela dit, Annie va vous satisfaire et vous offrir mes nichons de catin aux bouts bien bandés ! ». Et je reprends mon baiser, tandis qu'elle dégrafe mon soutien gorge, qu'elle jette à l'aveugle, m'exhibant à poil. La coquine en a profité pour frôler mes tétons en libérant mes seins des balconnets et ils bandent ! Mais, je vais vite me venger : elle doit sentir ma main faire sauter l'agrafe de son soutif, qui tombe à ses pieds, la mettant dans le même état de nudité que moi !

    Jo > Nous gratifie d'un blanc ! Mais il ne nous connaît pas bien : nous arrêtons de nous embrasser, et les bouches pleines de salives, nous le narguons même si nous sommes à poil ! Annie : « Un arrêt cardiaque, Jo ? Ou un infarctus en découvrant nos beaux nichons que tu ne pourras jamais pas toucher ? ». Loré : « Eh, lâcheur, tu ne vas pas nous laisser tomber en pleine montée d'orgasmes, nous ne vivons pas de promesses, nous ! Nous voulons nous envoyer en l'air, comme tu nous le diras, alors, ne t'endors pas, ce n'est pas le moment ! ». Yves et Marc sont pliés en deux ! Et nous soutiennent à fond ! Jo > « Pfffffff, je suis là ! Vous êtes décidément de sacrées garces, je n'ai pas pu m'empêcher de gicler, en vous voyant toutes les deux à poil, quasiment en même temps. C’était trop beau, et ça m'a fait un tel choc, que j'ai inondé tout mon clavier, alors que je voulais me retenir, pour un superbe orgasme ! ».

    Jo > « Maintenant, je vais devoir continuer jusqu'au deuxième, ça va me coûter cher, mais vous allez me le payer en nature ! Allumeuses ! ». Sa colère factice nous amuse tous. Nous lui proposons une pause avec reprise, mais il hurle en nous la refusant et nous ordonne de continuer, et qu'avec notre vice, il rebandera bientôt comme un âne ! Jo > « Avant de demander à Marc de mettre les derniers slows, j'attends la réponse de vos maris pour les jouets ? ». Yves > « Oui, Jo, nous avons toute ta liste, elle est sur la table de la salle à manger, tu veux la voir ? ». Jo > « Avec plaisir, pas pour vérifier, puisque je vous crois tous les deux, mais pour faire connaissance avec vos accessoires que je ne connais pas. A ce propos, pas d'arlequin en vu pour les utiliser ? ». Marc > « Disons, un demi-arlequin pour le martinet à lanières de cuir, pas de marques s'il te plaît, et vas-y mollo ! ». Jo > «Cool, Marc, je suis l'opposé d'un sado, si j'aime faire mal, avec des mots insultants, quand je sens que je suis en présence de cérébrales, je ne ferais pas de mal à une mouche ! Que je n'enculerais même pas ! Contrairement à vos femmes du reste ! ». Encore une fois, Jo nous fait exploser de rire et nous l'applaudissons ! Que c'est bon de faire des cochonneries sexuelles dans une ambiance aussi cool !

    Marc > « Je vais filmer les jouets en gros plans sur la table, n'hésite pas à changer mon cadrage, ok ? ». Jo > « Ok, vas-y, dis au fille de fumer une cigarette et de boire une coupe de champagne à ma santé, et en peignoirs, si elles le désirent ! ». Marc > « Jo vous accorde une pause cigarettes, coupe de champagne et peignoir, pour une dizaine de minutes. Je vais lui montrer la liste des sex-toys qu'on lui a trouvés ! ». Loré > « C'est quoi cette liste ? ». Yves > « Ah, oui c'était juste le début de votre sex-danse, et vous n'avez pas pu tout entendre. Jo nous a fait une liste des sex-toys qu'il désirait utiliser sur vous. Marc les avait tous dans leur panoplie et il va les lui montrer, pour qu'il les connaisse. Les jouets sont sur la table de la salle à manger, vous pouvez aller les voir. On lui a simplement mis un demi-arlequin pour qu'il fasse gaffe avec le martinet, à lanières de cuir, et le reste nous a semblé être du classique ! ». Annie et moi nous nous dirigeons vers la table et regardons ce qui nous attend en fumant et en buvant : à priori des sex-toys classiques !

    Marc > « J'y suis, j'ai monté une connexion directe, entre nous deux, ce que tu diras ne tombera que dans mon oreille, ça te va ? ». Jo > « Super, je ne te demande pas comment tu as fait : tu sembles trop fort pour moi, on pourrait le refaire pendant la séance ? ». Marc > « Non, et, uniquement à cause d'Yves, tu comprendras facilement pourquoi ! ». Jo > « Bien sur, entendu ! ». Marc > « Voilà ce qu'on t'a trouvé, tu nommes l'accessoire, et je te fais un gros plan ? ».

    Jo > « Ok, allons-y, le gode-double, belle taille des deux côtés, deux fois trente centimètres ? Non, deux fois vingt-cinq mais mêmes diamètres.  Deux vibros avec télécommandes, dernière génération, petits, ultra modernes, ils valent une fortune ! Oui exact ! Deux colliers de cou en cuir pour femmes, les tailles doivent aller, quatre anneaux par collier, c'est parfait ! Huit bracelets de cuir, pour les chevilles et les poignets, là aussi les tailles sont bonnes, et deux anneaux par bracelet, c'est suffisant ! Douze clips en fer, quatre pour les colliers et huit pour les bracelets ! Ok. Un martinet à lanières de cuir, les miens sont plus doux, je ferai attention, rassure toi, Marc ! Deux paires de menottes, vues les chaînettes, elles ne vont qu'aux poignets ! Douze pinces en bois, ok ! Douze pinces en pastique, ok ! Quatre pinces en métal, ok ! Deux masques aveuglants j'utilise les mêmes chez moi ! Parfait, et merci beaucoup Marc ! J'espère que les filles vont apprécier la suite ! J'ai très envie de vite rebander ! ».

    Marc > « Cool, Jo, tu les as superbement bien préparées ! Elles sont aussi chaudes que des locomotives à vapeur, et aussi excitées que le jour de leur première bite au cul ! Elles t'obéiront au quart de tour et ne te refuseront pas grand chose, Annie est un peu la meneuse de la paire, et je la connais à peu près bien ! ». Jo > Rieur ! « Dis-moi tu peux te charger d'un petit travail pour moi ? ». Marc > « Bien sur, que veux-tu ? ».

    Jo > « Si ça ne te dérange pas, tu vérifies leurs pointures, et, si elles correspondent à peu près, tu demandes à ta femme de choisir deux paires, identiques ou semblables, dans sa garde-robe : talons aiguilles très hauts, orteils visibles, bien dénudés, un peu chaussures de dragueuses, tu vois ? ». Marc > « Oui, bien sur, des chaussures de putes ! Il me semble que j'ai déjà remarqué des chaussures de ce type aux pieds de ma femme, si les pointures correspondent, ça doit pouvoir se faire ! Je vais les interroger, tu entendras leurs réponses ! ».

    Jo > « Mesdames, si vous êtes reposées, nous allons reprendre, mais avant que Marc n'envoie la musique, vous allez l'écouter, puis m'écouter, ok ? ». Marc « Loré quelle est ta pointure de chaussures ? ». Loré étonnée, mais à près tout, pourquoi pas ? « 38, Marc ! ». Marc « Annie, si je ne me trompe pas, toi aussi tu chausses du 38 ? ». Annie, pliée en deux de rire : « Oh, mon bon Maître, votre modeste servante vous remercie de vous rappeler de ce détail insignifiant de votre esclave insignifiante ! ». Marc « Tu es une sotte ! Tu seras privée de sexe pendant quatre jours ! ». Annie « Noooooon, je t'en supplie, mon divin mari, pas quatre jours, mais au moins quarante jours, pour que mon anus ait le temps de se refermer ! ». Ça sent la scène de ménage, Yves et moi ne rions pas, malgré l'envie que nous avons de le faire !

    Jo > « Très bien, Annie, tu vas aller dans ta garde robe et revenir avec deux paires d'escarpins identiques ou similaires : talons très hauts, pieds et orteils le plus dénudé possible et le pied très cambré. En fait, des chaussures de pute pour parler plus clairement ! ». Annie revient son dressing avec deux modèles d'escarpins qu'elle fait filmer par Marc :

    Tome 05  Tome 05

    Jo > « Très beaux escarpins, Annie, donne le modèle sans bride à Loré. Mais, il te faut choisir une autre paire : le bracelet de cuir est super excitant, mais ta cheville ne va pas pouvoir supporter, en plus, celui que j'ai prévu ! ». Annie a compris. Elle revient avec ma deuxième chaussure et les pieds chaussés d'escarpins super sexys, qui lui font des pieds de star du porno et que, Jo approuve de suite !

    Tome 05

    Jo > « Maintenant que vous êtes comme je le désirais : à poil sur des talons de putes et, avant de remonter sur votre piste de danse, rendez-vous autour de la table de la salle à manger ! Pas facile de marcher avec des talons aussi hauts ! Vos culs qui se trémoussent sont quasiment obscènes et super bandants ! Sur la table vous avez des sex-toys prêtés par Marc. Attendez le nom de l'objet à prendre et posez-le à côté de vous, j'ai coupé la liste en deux pour que vous ne ratiez rien ! Liste A : Un vibro, sa télécommande, un collier pour le cou, deux bracelets pour les chevilles, deux autres pour les poignets et six clips en métal. Comptez vos articles cinq pinces en bois, quatre pinces en plastique et deux pinces en acier ! Comptez vos articles ! ». Nous en avons toutes les deux treize !

    Jo > « Parfait, à présent la liste B : cinq pinces en bois, quatre pinces en plastique et deux pinces en acier ! Comptez vos articles ! Et la somme des deux listes ! ». Nous en avons toutes les deux onze, soit un total de vingt-quatre. Jo > « Vous comptez bien, Annie va rajouter à sa liste : le gode double de deux fois vingt-cinq centimètres, une paire de menottes de poignets et un masque, ce qui lui fera vingt sept articles. Et Loré va ajouter à la sienne un martinet à lanières de cuir, une paire de menottes et le deuxième masque pour avoir elle aussi ses vingt sept sex-toys ! ».

    Jo > « C'est bien ! A présent, vous allez vous poser mutuellement les jouets : Loré va fixer les bracelets aux chevilles d'Annie qui fera pareil à celles de Loré. Puis, Loré s'occupera des poignets et réciproquement, et vous finirez cette série par les colliers de vos cous ! ». Je prends les bracelets et m'agenouille devant Annie, pour lui poser les bracelets de cuir aux chevilles. Je me relève et elle serres les deux bracelets sur mes chevilles. Puis, relevée, elle me tend ses poignets pour la pose des bracelets et me rend la pareille en serrant mes poignets. Je finis en lui fermant le collier autour du cou.

    Jo me demande : « Combien d’œillets ? ». Je lui réponds : « Cinq » et il me demande de mettre l'ardillon dans le quatrième et de vérifier le serrage. Annie lui répond : « C'est supportable » et elle me pose mon collier de la même manière ! Jo « C'est parfait de vous voir aussi obéissantes ! Pour finir cette séquence cuir, prenez chacune vos six clips métalliques et vous en clipsez un sur chaque anneau intérieur de vos bracelets de chevilles et de poignets. Ainsi qu'un sur chaque anneau, tourné vers les épaules, de votre collier de cou. Annie pose les clips de Loré et vis-versa, allez ne traînez pas ! ». Nous ne mettons que quelques minutes à tout clipser et nous nous retrouvons face à la table, mais de plus en plus décorées, comme les fameux tapins de Noël d'Annie !

    Jo « Vous avez été très sages pour cette préparation, je vais vous récompenser par un petit cadeau : il vous reste deux séquences : les pénétrations ou les pinces, je vous laisse choisir celle par laquelle vous aimeriez que je commence ! ». Décider ou le laisser choisir ? Je regarde Annie qui me murmure : « Ton choix sera le mien ! ». Je lui souris et réponds à Jo : « Les pénétrations, Monsieur Jo ! ».

    Jo « Hum, cette réponse m'intrigue ! Seriez-vous plus vicieuses que masos ? Mes belles call-girls de luxe ? ». Annie « Arlequin vous répondra peut être, Monsieur Jo ! ». « Pour cela, il faudrait que vous vous plaigniez à lui, or, je commence à vous deviner : vous ne le ferez pas ! Bien, la session pénétrations, que vous avez souhaitée, commence : prenez vos télécommandes, Yves va venir les récupérer, car, ce soir il sera le roi du zapping ! Merci, Yves ! A présent, prenez vos vibros, regardez votre amie au fond des yeux, léchez avec envie les têtes de vos vibros qui vont vous faire jouir. Salivez bien vos langues, ils adorent l'humidité ! Hummmmmm quelles actrices ! A présent, comme ces nouveaux vibros, ultra modernes, sont devenus aussi petits que surpuissants, glissez-les doucement dans vos gorges profondes ! ».

    Jo « Yves, à toi : vitesse maxi ! Pendant que ces gouines-salopes referment leurs belles lèvres, qu'elles vont coller sur celles de leur amie ! Marc, ne rate surtout pas leur joues engrossées par ces énormes chamallows, zoome comme un fou, il faut que ce passage transpire de bave, d'envies, de jus de femmes qui en veulent plus ! Et, rassurez-vous elles vont en avoir ! ». J'ai beaucoup de mal à coller mes lèvres sur celles d'Annie sans les ouvrir pour forcer sa bouche à aspirer ma langue ! Mais les vibrations des vibros m'empêchent de satisfaire mon caprice, et, comme elle, je me contente de frotter mes lèvres brillantes de salive sur les siennes ! Jo « Quel spectacle, vous m'auriez dit ça, il y a une demi-heure, je vous aurais explosé de rire au nez ! Je n'en crois pas mes yeux ! On va pervertir le jeu, je crois que nos catins sont prêtes à l'emploi ! Mais à voir les coups de bas ventre que donne Loré, je la sens plus chaude ! Je vais donc démarrer par elle ! ».

    Jo > « Annie, décolle toi de cette pute et sors ton chamallow de ta bouche. Tu passes derrière elle, en faisant bien attention que Marc ne rate rien de l'entrée du vibro dans le petit cul de salope de Loré ! Puis, tu vas chercher celui qu'elle suce, si ta main est souillée : essuie-la sur ses nichons, ils sont là pour ça ! Et tu lui glisses le second dans la connasse, je suis sur qu'il va être aspiré en une seconde ! Recto-verso ! C'est complet, désolé ! Messieurs-Dames ! Yves, pour améliorer le spectacle tu vas jouer avec les variateurs en passant lentement de la vitesse maxi à la mini, puis l'inverse, et, ce sans pause ! ». Je suis surprise par la rapidité avec laquelle Jo a fait intervenir Annie : le vibro de mon cul est heureusement bloqué par mon anus. Mais mon vagin a englouti l'autre sans que rien ne dépasse de mes lèvres. Yves joue avec les variateurs de vitesses, ce qui me permet juste de me préparer à la maximale qui me met carrément en transes : je ne me contrôle plus du tout, il me semble que c'est mon vagin qui commande mon corps et qu'il me faudrait une simple petite étincelle, pour que je devienne folle d'envie que mon con me fasse exploser de plaisir en un tsunami jamais ressenti, mais Yves ne reste pas assez longtemps sur cette vitesse pour que j'y arrive !

    Jo se rend vite compte que lorsque le vibro est au maximum, je me transforme totalement : « Yves, reste plus longtemps sur la vitesse maximale, il me semble que ça change le visage de ta femme ! ». Décidément, Jo, sait déchiffrer les mimiques des femmes sensuelles ! Et, en effet, lorsqu'il s'exécute, j'ai du mal à rester debout, tellement mon corps tremble ! Jo « C'est exact, laissons la mijoter comme ça, nous allons l'envoyer en l'air la première ! Je crois qu'elle est à point ! Yves, je vais demander à Annie de la finir ! Qu'en penses-tu ? ». Yves sourit, Jo ne peut pas connaître les rapports qu'il y a entre Annie et moi, et il se contente de répondre : « Oui, ça peut être bandant, mais ne donne pas de délai à Annie : laisse la faire ! ». Jo « Entendu, Yves ! Annie, avant votre retour sur votre piste de danse, je pense que Loré est à point : tu vas la finir en l'envoyant en l'air comme tu le sens. Si besoin, tu peux choisir des sex-toys, je te fais confiance, mais fais la hurler comme une truie en pleine saillie ! ».

    Annie > est plus embarrassée qu'heureuse de ce cadeau, elle se rapproche de moi, et fait semblant de chercher le sex-toy infaillible, mais me glisse à l'oreille : « Couchée nue sur le dos sur le tapis, vibros à fond, je m'assieds sur ta bouche, tu me bouffes la chatte, je te malaxe les seins et tu te branles, ça te va ma chérie ? ». « Parfait, n'oublie pas de me libérer la bouche, je suis au bord d'un tsunami et ils vont l'entendre ! Je t'aime, Madame Annie ! ». Elle sourit et prend une paire de menottes, avec laquelle elle m'attache les poignets devant moi.

    Annie > « Monsieur Jo, connaît bien les garces ! Tu es plus qu'à point salope : couche toi sur le dos, écarte bien les cuisses et demande à ton mari de mettre les deux vibros à pleine vitesse. Tu vas me bouffer la chatte et bien me la nettoyer, pendant que tu te reluiras le clito avec tes doigts et, n'oublie pas que Monsieur Jo, veut entendre ton plaisir ! Ne jouis pas comme une ado sous sa couette, catin des rues ! ». Je supplie Yves de mettre les deux vibros à fond, d'une petite voix catastrophée ! Mais, me connaissant comme il me connaît, il doit rire de mon cinéma !

    Marc > a bien du mal à nous suivre avec sa caméra, je me couche sur le dos, sur le tapis, Annie me glisse gentiment un coussin sous la tête en me disant : « Comme ça tu seras aux premières loges pour voir ce que tes nichons et ton con vont encaisser ! ». Je ne réponds rien, bien que trouvant ça très confortable ! Avant de s'asseoir sur ma bouche, elle m'écarte soigneusement les cuisses en frappant leur intérieur, m'arrachant des petits cris de douleur. Puis elle pose, elle même, mes mains menottées sur ma chatte. Fouille le haut de mon sexe et pose un de mes doigts sur mon clitoris, déjà bien gonflé, avant de s'accroupir au dessus de mon visage et de poser brutalement sa chatte dégoulinante de jus, comme jamais je ne l'avais connue !

    Annie > me crie : « Tu vois qu'il y a de quoi boire et de quoi nettoyer, ma salope, alors, applique toi bien ». Et en faisant attention de ne pas me bloquer le nez avec son sexe, elle pose ses mains sur mes seins et les pétrit avant de s'occuper de mes bouts, avec l'intention visible de bien m'exciter pour m'amener vers un orgasme cérébro-corporel, teinté de jouissance des tétons, qui risque de faire beaucoup de bruit et de me rester en mémoire !

    Jo « Marc, fais des gros plans de la moule d'Annie écrasant la bouche de Loré, du travail des nichons et de cette pute qui se fait reluire le clito avec ses cuisses ouvertes à qui veut l'enfiler ! Ne rate rien ! Ouah, je bande comme un fou ! Annie frotte toi plus fort le con sur les lèvre de cette pute, et Loré, fait l'effort de sortir ta langue. Elle t'a demandé de nettoyer l'intérieur de sa connasse, et d'avaler au fur et à mesure son bon jus de femelle en chaleur ! Allez salope, lève et descend rapidement ton bas ventre, comme si tu niquais avec tes doigts, allez plus fort, plus vite, plus de vice, sois plus salope ! Annie laisse la un peu respirer et gémir je ne l'entends plus ! ».

    Annie > se soulève un peu pour me laisser respirer, et crier à tout le monde que ma jouissance est proche ! Je monte et descends de plus en plus obscènement mon sexe, comme si une énorme pine de fantôme me niquait ! Et, mon corps se met à trembler, symptôme que je connais bien, annonciateur du tsunami qui s'est mis en route pour me submerger ! Vicieusement, je remonte mes mains vers mes seins et caresse les doigts d'Annie, tout en lui murmurant : « Plus fort, fais les tourner, pince les, non, pas avec tes doigts avec tes ongles, fais moi mal, je vais jouir, je veux souffrir par toi et pour toi, en jouissant : ooooh je t'offre cette jouissance, ooooh que ça va être, boooooon, ouuui tu me fais mal et j'aime, ooooh ! ».

    Quand je me réveille, Annie m'a relevé le buste et me fait boire un peu de champagne ! Elle me sourit quand elle voit mon réveil de femme comblée, qui a simplement eu un raté cardiaque, après un orgasme trop fort ! Elle sait que je suis sujette à ce tic, qu'il me faudra bien faire soigner un jour !

    « Eh, bien, ma chérie ! Tu voulais montrer à Monsieur Jo que tu savais bien jouir ? Ou, tu as trop attendu pour t'envoyer en l'air ! Je te signale, qu'un dimanche à un peu moins de 7h du matin, tu as failli réveiller tout le quartier ! J'ai même du te te bâillonner la bouche de ma main ! Tu te sens mieux à présent ? ».

    « Non, pas du tout, j'ai encore envie de jouir, je veux encore une coupe de champagne et une cigarette ! ». Tout le monde, y compris Jo, éclate de rire ! Et mes caprices sont satisfaits. C'est avec les deux vibros, éteints, mon collier, mes bracelets, mes menottes et à poil que je fume ma cigarette, en récupérant un peu, la tête posée sur le ventre d'Annie qui me caresse les cheveux en partageant ma coupe de champagne ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 4h30

    Jo « Annie, aide Loré à se relever et enlève lui les menottes. Tu vas déposer tout ce que tu as de tes listes sur la table dancing n'oublie pas tes séries de pinces et ne tombe pas avec tes talons de pute ! Quant à toi, Loré, tu vas dans la salle de bains, pour enlever tes deux vibros, les nettoyer soigneusement et les ramener en récupérant au passage, tout les articles de tes listes. Et tu rejoins Annie sur la table ! ». Sans répondre, nous faisons ce qu'il demande, et nous nous retrouvons quelques minutes plus tard face à face, sur la table de salon, en ayant déposé nos jouets à nos pieds, comme ordonné.».

    Jo « Nous arrivons peu à peu au bouquet final de cette séance, et, pour imiter un feu d'artifice, nous allons nous offrir une féerie d'orgasmes des deux sexes ! ». Curieux, Yves lui demande de s'expliquer un peu plus. Jo « Mon final est simple : Loré vient d'inaugurer la série d'orgasmes féminins en chaîne, car, les filles en ont très envie et en plus leur libido super bouillante risque fort de leur faire oublier leurs limites classiques. Si ce dépassement se produit, comme je suis prêt à le parier, les séquences vont devenir, de plus en plus excitantes, et elles nous feront forcément bander comme des cerfs. On peut, bien sur, se réserver pour plus tard, mais on peut aussi se faire plaisir, et en nous accordant deux éjaculations pour le reste de la séance, je totalise donc six orgasmes mâles ! Mais, par contre, je mise sur une bonne douzaine d'orgasmes pour ces dames multi orgasmiques, soit un bouquet final d'environ dix huit jouissances, en une heure ou une heure et demi ! ». Yves > « Bon raisonnement, personnellement, je suis prêt à te suivre ! Mais je crois qu'on doit pouvoir booster le score des filles ! Marc me confirme qu'il te suit aussi ! Et que nous nous préparons dans la tenue adéquate ! ».

    Jo « Merci de votre confiance ! Mesdames, nous pouvons y aller ? ».  Annie et moi répondons positivement, et Jo enchaîne de suite : « Vous allez reprendre votre ancienne position : bien collées l'une contre l'autre. Gouinez vous la bouche en salivant comme des truies. Vous avez uniquement le droit de bouger vos membres pour faire ce que vous voulez à l'autre ou sur vous ! Nous vous regardons, jolies petites salopes dégoulinantes ! Marc, tu devrais faire un gros plan de leurs cons, avant qu'elles se collent ! Ces dames perdent leurs eaux ! ». En riant, Marc vient vers nous, et filme nos sexes en très gros plans, je sens le mien goutter le long du haut de mes cuisses, mais je n'en ai pas honte, mon excitation me fait tout oublier et pudeur devient un mot étranger ! J'accueille le corps d'Annie contre le mien, j'essaye de faire en sorte que mes tétons caressent les siens, et j'ouvre grand ma bouche pour qu'elle y engouffre sa langue gourmande et vicieusement curieuse ! Nos mains prennent deux directions : les miennes se posent sur ses fesses pour les pétrir tendrement et les siennes sur mes seins, pour les malaxer rapidement avant de s'occuper de mes tétons qui bandent déjà comme des petits lutins rieurs !

    Jo > « Hum, que c'est beau ! Continuez comme ça, pelotez vous les fesses et les nichons pour bien faire bander vos bouts de mamelles, j’adore voir des femmes avec des tétons en érection comme des petites bites ! ». En dehors de nos caresses, notre baiser est tellement passionné et sensuel qu’un filet de salive coule sur mes seins. Annie en profite pour me masser les nichons avec, tout en me soufflant à l’oreille : « Regarde nos maris ! ». J’entrouvre les yeux et, je les vois côte à côte, nus, sexes en main, en train de se branler en nous matant ! Je dis à Annie : « Ils sont marrants tous les deux ! D'habitude, c'est nos mains qui les branlent ! Je vais être jalouse ! J'espère qu'aucun d'eux ne fera une pipe à l'autre ! ».

    Jo après quelques longues minutes, pour que les hommes aient le temps de bien nous mater, de nous filmer et de s'exciter de nos caresses mutuelles de plus en plus précises. Jo reprend la main : « Vous pouvez vous séparer, les filles, et arrêter de mélanger vos salives ! Vous êtes vraiment deux belles salopes : vous gouiner la bouche, vous excite tellement que vous avez les nichons pleins de bave et les bouts de mamelles durs comme du bois ! ». Nous nous séparons en sueur, la respiration haletante, visiblement surexcitées par la séquence très chaude, que nous venons d'assumer. Je suis au bord de la jouissance et je sens qu'Annie n'en peut plus !

    Jo « Rassurez-vous les chattes, la suite sera plus longue et vous pourrez vous envoyer en l'air en enchaînant vos orgasmes comme vous en crevez d'envie : Annie, tu vas décorer Loré. Pour ça, tu prends tes cinq pinces en bois, tu t'agenouilles devant ses cuisses légèrement ouvertes et tu lui poses deux pinces sur chaque grande lèvre. Pendant ce temps, Loré, tu vas faire bander ton clitoris, quand il sera bien dur, tu le recouvriras de son capuchon, et tu l'offriras comme ça, à Annie qui le pincera facilement avec sa dernière pince. Protégé par la peau, tu ne souffriras pas. Tu sentiras une gêne et une humiliation de plus ! Mais ça tu adores ! ». Annie suis ses ordres à la lettre et il est exact que je sens plus les pinces de mes lèvres vaginales, que celle de mon clitoris bien à l'abri ! Jo « C'est parfait, Loré, je ne crois pas nécessaire de recommencer le même discours : à toi de décorer Annie ! ». J'ai beaucoup de mal à pincer les lèvres intimes de ma Maîtresse, mais Annie m'aide, en dégageant chaque lèvre pour m'aider à obéir. Son clito est plus proéminent que le mien. Elle grimace quand j'y pose ma dernière pince. Je lui murmure mes excuses, mais elle se contente de me caresser les cheveux !

    Jo « A présent, prenez vos quatre pinces en plastique. Loré va démarrer sur Annie qui va lever ses bras pour offrir ses aisselles, sur chacune d'elle, Loré posera deux pinces, en s'arrangent pour mordre un maximum de peau. Puis, Annie décorera les aisselles de Loré ! ». Jo connaît bien le corps féminin et les zones sensibles. Les aisselles sont très délicates et ces pinces en plastique, quasiment neuves font très mal ! Jo « Loré prends les vibros, et donnes-en un à Annie. Chacune d'entre vous va tendre le sien à l'autre pour qu'elle le pompe, en salivant et en bavant dessus. Allez-y, je vous dirai quand arrêter ! ». Nous nous tendons les vibros, comme, le feraient deux enfants avec deux sucettes ! Et chacune de nous doit ouvrir sa bouche pour que l'autre puisse y avoir accès, l'enfoncer dans sa gorge, ou en le faire aller et venir entre les lèvres de l'autre. Des positions, des gestes et des actes extrêmement humiliants, avec, en plus les harcèlements verbaux de Jo « Faites plus de bruit, suceuses de bites, couvrez ces vibros de bave : je veux entendre des bruits obscènes sortir de vos bouches et voir vos baves couler sur vos mentons. Vous avez envie de passer pour des vraies putains, car ça vous fait mouiller le minou ! Mais vos gestes et vos attitudes restent ceux de bourgeoises coincées ! C'est déprimant ! Lâchez vous, soyez les salopes que vous avez envie d'être, au moins pour un soir ! ». Ce raisonnement, surtout dans ce contexte, où nous sommes exhibées, à poil, pincées, godées, vues, filmées, surexcitées et dégoulinantes d'envies de jouir, nous atteint et nous accélérons nos pipes en arrivant très rapidement à des bruits que nous regretteront sûrement en regardant ce clip, si, toutefois, nous en avons le courage et l'envie un de ces jours !

    Jo « Voilà qui est mieux ! C'est dommage qu'il soit nécessaire de vous secouer pour obtenir de bons résultats pour vos prestations de putes ! A présent, je pense que vos jouets sont suffisamment lubrifiés, nous allons pouvoir les ranger. Auriez-vous une suggestion pour leur stockage ? ». Nous savons bien que cette question appelle une réponse, et après un coup d’œil à Annie, je me charge de lui répondre : « Je suppose, Monsieur Jo, que si nous vous répondons : dans leurs boîtes, nous serons sévèrement punies, alors, disons que je n'ai rien dit, et nous vous proposons soit dans nos cons soit dans nos trous à merde ! Est-ce une réponse assez bourgeoise pour vous ? ».

    Jo « J'ai du mal à t'imaginer soumise, Loré, tu en as pourtant toutes les caractéristiques, et je constate en permanence l'ascendant qu'a Annie sur toi, mais tu as ce caractère frondeur s'oppose à cette hypothèse. J'aime beaucoup ce mélange eau-feu et je trouve que tu en joues très bien ! Je vais accepter votre deuxième proposition, et vous allez faire les choses très simplement : chacune va insérer dans le cul de l'autre, le vibro qu'elle lubrifiait dans sa bouche, jusqu'à ce que les vibros soient bloqués par les anneaux de vos anus ! ». Nous nous exécutons facilement car notre transpiration a atteint toutes les parties de nos corps, et, les vibros sont gluants de salive. Pour le moment Yves n'a pas déclenché les moteurs et mon vibro, bien calé dans mon cul et bloqué par mon anus me procure une impression loin d'être désagréable.

    Jo « Bonjour à nos belles petites enculées ! Nous allons pouvoir terminer votre préparation ! Comme vous aimez bien être très proches, nous allons commencer par les chevilles : Loré, assieds toi devant Annie, approches tes chevilles des siennes et clipses les deux anneaux pour que vous ne puissiez plus marcher seules ». La pause n'étant pas très commode, Annie est obligée de m'aider à me relever, c'est en effet très compliqué de ne pas pouvoir avancer un pied sans se coordonner à l'autre , surtout avec nos talons gigantesques ! Jo > « Vos mignons petits chatons aiment aussi être réunis ! Annie, puisque le sort a fait que tu en sois chargé, prends le gode-double. Comme je te suppose bien lubrifiée, tu vas te l'enfoncer jusqu'à ce que la plaque de latex de séparation t'empêche d'aller plus loin, ne t'en fais pas, ça ne fera que vingt-cinq centimètres de fausse bite dans ton con de pute, et, tu mettras Loré dans la position adéquate, pour lui enfoncer les centimètres qui lui appartiennent ». Nous sentons que Jo a nettement durci le scénario. Annie n'a, en effet, aucune difficulté à s'invaginer son gode et que dire du mien qui glisse tout seul, alors qu'Annie me murmure à l'oreille : « Ouf, j'ai eu peur qu'il ressorte par ton trou du cul tellement il est entré rapidement ! ». Je redoutais cette pénétration à cause des pinces aux lèvres qui allaient forcément frotter contre le gode, mais je constate que ces pinces en bois ne sont pas très douloureuses et que le gode étant bien lisse, la douleur que je redoutais ne se produit pas !

    Jo « Vous avez très bien travaillé, les filles : à présent, c'est à nous de jouer : prenez vos deux masques et mettez les sur vos yeux, vous n'avez pas besoin de voir Marc et Yves finir votre préparation ! ». Aveuglées, il ne nous reste que les sons pour essayer de savoir ce qui va nous arriver. Nous entendons le clavier de l'ordi, et, sans être expertes en informatique, nous savons que Jo et nos maris correspondent par écrit ! Jo « Allez-y, mes amis, mais pendant que vous les préparez, j'aimerais qu'Yves mette en route, les moteurs des vibros de culs, pour qu'elles aient une démonstration de ce que ces nouveaux modèles sont capables de leur faire, Yves, déclenche-les en même temps, pour qu'elles aient les mêmes sensations aux mêmes moments ! ».

    Loré > Yves déclenche les deux vibros. Machinalement, je compte les secondes dans ma tête. Pour le moment le vibro est le petit jouet que j'ai glissé dans mes fesses : une petite fusée de cinq ou six centimètres de diamètre, d'une quinzaine de centimètres de long, avec deux têtes aux bouts arrondis. A 30, il commence à vibrer, très lentement, puis de plus en plus vite, pour arriver, à 60, à ravager les quinze centimètres de vagin qu'il taraude, en nous obligeant à nous trémousser en criant de douleur ! Les vibrations s'arrêtent, l'engin fait une pause : à 10, il reprend son cycle. J'ai l'impression, qu'il croît en moi, et je réalise que c'est bien le cas : je sens la tête arrondie se frayer un chemin dans mon sphincter, et s'arrête alors que j'en suis à 25, à la limite de mes intestins.

    Marc nous rassure : « Il est dans sa plus grande longueur soit vingt cinq centimètres, il ne grandira pas plus, il va faire une pause et vous gratifiera d'un petit cadeau ! Soyez bien attentives mes belles pétasses ! ». Je ne vois pas un vibro me faire un cadeau ! Mais Marc doit être un peu poète ! J'en suis à 10, quand un peu de liquide froid coule au fond de moi, ce doit être le cadeau annoncé ! Je pousse un petit cri de surprise ! Marc nous informe : « C'est le cadeau : un jet puissant de lubrifiant très froid pour lutter contre la chaleur de vos tunnels à bites qui va vous être très utile dans peu de temps ! ». Je reprends mon comptage et quand j'arrive à 90, le pilonnage mécanique et douloureux de mon anus s'arrête enfin : près d'une minute et demi, d'allers et retours du vibro passant de vingt cinq centimètres à quinze centimètres sans une seule pause !

    Je suis anéantie, très proche d'un puissant orgasme, quand, dans sa plus grande longueur, le vibro termine son cycle en tournoyant à l'intérieur de mon cul, jusqu'à ce qu'il se raidisse et se réduise pour revenir à son niveau de départ. Mais je suis à 120, soit deux minutes après la fin du pilonnage, et, c'est trop tard pour moi.

    Aux premiers tournoiements de la tête du vibro, je jouis tellement fort que je ne peux pas rester debout : vues nos chevilles liées, je ne que m'accroupir et tomber entre les cuisses d'Annie pour ne pas la déséquilibrer. Alors que tout mon corps continue de trembler et de frissonner !

    Pendant ce temps, Yves coupe les moteurs des vibros. Jo reprend la parole : « Quel orgasme Loré ! Attention, Yves, tu sais que les attaques cardiaques sont plus fréquentes chez les femmes que chez nous ! Un jour, elle ne se réveillera pas, d'un autre côté, quelle mort sublime, mais bien sur le plus tard possible ! ». Tout le monde éclate de rire avant qu'il ne continue ! Jo : « Il va falloir nous y mettre ! Nous ne jouissons pas assez ! Mais la phase finale va sûrement changer la donne ! Messieurs, pourriez-vous aider vos femmes à descendre de la table ? Je pense qu'il leur faut plus d'espace ! ». Ils nous soulèvent, en en profitant pour nous peloter un peu, et nous déposent doucement sur l'épais tapis du salon. Nous les entendons s'éloigner la table et Jo les en remercie !  Jo « Bien, merci Messieurs, il nous reste les poignets, les pinces en acier, les menottes et le martinet, vous pouvez utiliser tout ça dans l'ordre que vous voulez ! ». Yves propose à Marc : « Que penses-tu de : poignets, pinces, menottes et martinet ? ». Marc l'assure que c'est parfait ! Nous nous demandons ce que tout cela signifie sur le plan concret ? Les mots pinces et martinet ne sont pas très agréables à entendre !

    Marc > « Yves, je reprends la caméra, ça t'ennuie d'être filmé ». « Non, mais essaye toutefois de ne pas trop me cadrer. Tu sais de toutes les manières vers quelles parties de leurs corps, je vais aller, en fonction de l'ordre choisi ? ». « Ok, je vais faire attention ! ».

    C'est donc Yves qui intervient. Il commence par Annie, j'entends des bruits de métaux qui s'entrechoquent, sans savoir ce qui se passe, mais, quand vient mon tour, je sens qu'il clipse chacun de mes bracelets de poignets, aux deux anneaux de mon collier de cou. Je ne peux donc plus bouger les mains !

    « Marc, aide moi, je n'arrive pas à glisser les anneaux, les uns dans les autres ! ». « Attends, je vais chercher un couteau, comme pour les porte-clefs, il faut écarter les deux cercles pour laisser passer le troisième, je reviens ! ». Nous entendons des pas, et à priori, Marc a résolu le problème, malheureusement pour nous ! « J'ai commencé par Annie, là c'est donc le tour de ma petite chérie ! ». Je sens ses mains se rapprocher de ma poitrine, tout en entendant un cliquetis dans une de ses mains. Il prend mon téton droit en tenaille, entre deux de ses doigts, le pince très fort et y pose l'une des pinces métalliques, qu'il laisse tomber sur mon ventre. Je la trouve longue et lourde, mais, je vais vite savoir pourquoi !

    Loré > Il change de côté et fait pareil avec mon autre téton, en obligeant mon sein à pendre vers le bas. Il commente : « C'est dommage, car en la raccordant à Annie, on va perdre du poids et la soulager ! ». Mais Marc lui rétorque en riant : « Yves tu oublies la troisième étape ! ». « Eh oui ! Ça va compenser largement, et booster les libidos de nos belles putes ! ». Il se détache de moi et murmure à Annie : « Prête à t'envoyer en l'air, belle enfant ? ». Elle lui répond, « Hum, oui, il faut bien que je rattrape les trois jouissances non répertoriée ! ». Si j'avais besoin d'une confirmation, je sais, à présent, qu'Yves a fait jouir trois fois, ma belle Maîtresse, en une heure !

    Yves fait gémir Annie. Je pense que c'est en lui préparant le téton pour le pincer. Il prend le bas de ma pince, qui est en fait la pince d'Annie, car ils les ont reliées ensemble ! Il la pose sur le téton d'Annie, qui gémit de douleur. Il fait pareil à l'autre bout, et nous nous retrouvons toutes les deux attachées par les tétons !

    Il termine très rapidement : il ouvre chaque paire de menottes, les referme, au centre de nos deux pinces qui n'en font qu'une et les lâche dans le vide, ce qui étire très douloureusement nos bouts de mamelle et nous fait hurler de douleur ! Marc lui tend un long clip qui peut se clipser dans les deux sens, et lui dit : « Jo a rajouté ça en voyant notre collection, c'est pour leurs colliers de cou ! ». « Bonne idée, ça manquait ! ». Il vient vers nous, pour attacher nos colliers ensemble, nous enlevant nos derniers gestes autorisés !

    Jo « Dieu que vous êtes bandantes toutes les deux ! Yves va vous enlever vos masques, car vous devez impérativement vous voir sur vos écrans de contrôle ». Je l'entends s'approcher de nous pour nous ôter nos masques. Jo « Marc, filme les en gros plans, pour qu'elles puissent se mater et constater qu'on ne peut guère faire plus putes ! ». Pendant que Marc s'active en tournant autour de nous avec sa caméra, cherchant la goutte de jus de femelle qui mouille une cuisse ou le téton qui se balance, suite à un mouvement trop brusque de sa propriétaire, nos deux chevilles verrouillées par des clips, des chaussures obscènes, avec ces ongles vermillon trop voyants !

    Jo > « Continuons : Yves va prendre le martinet qu'il reste dans notre caverne d'Ali Baba pour s'en servir sur vous, avec la force qu'il voudra, par séries de dix coups sur vos côtés piles donc : fesses, reins, dos, épaules, cuisses et jambes. La fouettée comptera à haute voix chaque coup qui aura trois effets : un changement de couleur de sa peau, une marque discrète, mais, surtout, l'obligation de défoncer le con de son amie, avec la partie du gode qui lui appartient ! Attendez bien le clac du coup, la tête du gode posée juste entre les cinq pinces du vagin de votre amie ! Le but est, bien entendu, de vous faire jouir toutes les deux, comme baiseuse ou baisée ! Le sort a désigné Annie comme première baiseuse ! ». Yves se place sur le côté gauche d'Annie, lanières du martinet bien déroulées vers le bas. Jo « Top ! Annie ! Compte ! ».

    Elle dit : un et le premier coup de martinet la cingle quelque part sur le cul, elle avait bien préparé, ma partie de gode qui entre d'un seul coup de reins, me faisant crier, plus de surprise que de douleur !

    Les coups se succèdent, j'ai l'impression qu'Yves varie ses coups, car ils ne font pas tous le même bruit sur la peau d'Annie. Peu à peu, je mouille de plus en plus et mes cris sont remplacés par des gémissements siglés plaisir !

    Mais la plus grosse surprise, me vient d'Annie, qui, elle aussi, commence à ressentir une trop grosse vague de plaisir, mais est-ce, le martinet ou le pilonnage du gode-double qui nous donne forcément un double plaisir à chaque enfoncement dans mon con !

    Yves en est à sa deuxième tournée de coups. Après les dix d'Annie, il m'a caressée dix fois, j'ai trouvé qu'il n'était pas très juste, car il m'a frappée plus fort que sa nouvelle maîtresse ! La surprise est à son comble, quand Annie nous offre un deuxième orgasme à la Annie : discret, silencieux, mais avec tous les muscles tétanisés par le plaisir !

    Jo semble content d’avoir fait craquer Annie, il savait qu’elle avait très envie d'enchaîner des orgasmes et il veut profiter à fond de cette excitation ! Jo « Yves va vous aider à vous alléger : vous ne garderez que vos colliers de cous et vos chaussures. Annie va récupérer le double gode et les deux pinces en métal dont elle en fera quatre ». Quand Yves m'enlève mon vibro, moteur éteint, je gémis de soulagement, mais pas quand il enlève, pourtant avec douceur, les quatre pinces de mes lèvres vaginales et celle de mon clitoris. Mais je ne peux retenir mes hurlements quand il m'ôte les pinces des tétons. Jo demande même à Annie : « Tu nous as dit que tu avais un baume spécial, tu peux aller le chercher, s'il te plaît ? Je crois que ton amie en a vraiment besoin ! ». Annie revient avec son baume américain et s'occupe elle même de me masser délicatement les bouts de seins.Très rapidement le baume miracle produit son effet et deux serrements de doigts, doux, puis un peu plus fort, qui devraient me faire hurler de douleur, ne me font gémir que de plaisir !

    Jo dicte ses nouvelles règles du jeu : « Bien, les filles étant délestées de tout accessoire, nous allons durcir le jeu : chacune d'elle va écraser les tétons de l'autre par les pinces en fer non lestées qu'Annie a séparées. Puis, chaque chaudasse va se munir du vibro ultra moderne qu'elle connait déjà. Et l'invaginer dans le con de l'autre. Yves mettra de suite les moteurs sur leurs vitesses maximales ! Nous nous rappelons tous des résultats de cette vitesse sur les deux femmes ! ». Je crois qu'Annie s'en souvient en effet autant que moi !

    Jo « Bien, nous commençons ! Vous allez remonter une dernière fois sur votre piste de danse, pour un dernier Peep-Show ! Mais, vous n'allez pas vous enlacer : dès que votre amie vous aura invaginé le vibro en marche : vous vous ferez face à une vingtaine de centimètres de distance, en écartant vos cuisses pour avoir des appuis solides, et vous tendrez vos mains pour vous prendre mutuellement les pinces des seins. A mon top vous commencerez à vous torturer les bouts de mamelles en ne respectant que deux seules règles : vous n'avez pas le droit de bouger un pied, à chaque mouvement, même faible, vous serez fouettée par l'autre, qui, ne vous fera sûrement pas de cadeau ! Et, quand l'une de vous deux voudra arrêter le combat : elle s'agenouillera devant l'autre, sans rien dire, pour lui avouer sa défaite. Sous réserve de la censure de vos maris, la gagnante aura tous les droits sur elle, en particulier de se faire sucer longuement pour une séries d'orgasmes enchaînés ! Allez, et que le plus résistante gagne ! ».

    Loré > Je baisse les yeux sans oser regarder Annie qui glisse son vibro dans mon vagin dégoulinant et me pose les deux pinces juste aux bouts des tétons. Elle ne me regarde pas non plus quand je lui enfonce le vibro et que je lui écrase les tétons ! Jo donne le top ! Cette fois, Annie me regarde droit dans les yeux, alors que nos bas-ventres ondulent au rythme d’une musique imaginaire, tout en tirant et en tordant nos tétons, en faisant tout pour faire craquer l’autre, tout en sachant qu’elle ne voudra pas céder. Jo éclate de rire : « Eh bien, soit vous êtes très masos, ou très bien entraînées ou trop fières pour vous avouer vaincues ! Ou peut être, un mélange des trois ! ».

    Loré > Les minutes passent. Je n'en peux plus. Et je sais parfaitement qu'Annie connait mon état. A court d'idée, je bouge mes deux pieds pour que le temps des punitions m'accorde un peu de répit.

    Annie me sourit ironiquement, me disant avec ses yeux : « C’est toi qui craque la première ! ». Jo annonce les punitions : « Yves, tu vas passer le martinet à Annie. Tu peux la frapper où et comment tu le voudras ! Loré va même t'aider en comptant les coups pour toi : deux fois soixante, puisqu'elle a bougé les deux pieds ! Tu veux que je lui ordonne un posture qui te conviendra le mieux pour ces punitions ? ». « Non, merci, Monsieur Jo, je vais le faire moi-même ! ». Elle s'approche de moi, et me murmure à l'oreille : « Écarte un peu plus tes cuisses, comme si tu devais laisser passer un genou entre elles. Voilà, parfait, ne bouge plus le bas de ton corps, et pour le haut, tu vas te contenter de croiser tes mains sur la tête et de mettre tes bras dans le même axe que tes épaules ! ».

    Quand je pense que j'ai décidé de commettre ces deux fautes pour essayer de gagner du temps et me permettre de souffler un peu ! Je me suis lourdement trompée. Quand je murmure, d'une voix à peine audible le fameux : cent vingt qui met fin à l'avalanche de coups, je titube sur mes jambes et mes joues sont remplies de mes larmes de douleur.

    Annie a divisé ses cibles en trois parties égales : le tiers pour mon sexe ouvert, comme elle me l'avait demandé. Pas pour y glisser son genou, mais pour que les lanières du martinet de cuir puissent faire mouche à chaque fois sur ces parties si sensibles de mon corps !

    Tout en réservant les deux autres tiers, à atteindre à chaque coup la pince d'un de mes bouts. Tout en cherchant la double-punition : l'horrible douleur d'une ou de plusieurs lanières s'abattant fortement sur l'aréole visée, et l'onde du choc prolongée durant de longues secondes par les mouvements de la pince et de mon téton ! Vu le sourire pervers que je ne lui connaissais pas encore, à chaque coup qu'elle estimait : bien réussi.  J'en ai conclu que cette Annie là était la vraie, et que dans un futur relativement proche, je devrai apprendre à supporter ce genre de tortures si je voulais continuer à lui plaire !

    Jo « Laissons Loré récupérer un peu, car, il faut reconnaître qu'Annie ne l'a pas punie à moitié ! Comme vient de me le suggérer Yves, nous aimerions qu'Annie, qui ne s'est pas trop fatiguée, sauf le bras, vienne s'agenouiller devant Yves, dont la dureté de la bite ne peut pas cacher qu'il a besoin de toute urgence d'un quelconque récipient pour vider ses couilles ! Annie, veux-tu être ce récipient et lui faire plaisir ? ». Annie n'hésite pas longtemps, elle descend de la table et se jette devant Yves en disant vicieusement pour que tout le monde l'entende : « Comme ça, Marc pourra filmer sa femme en train de pomper un ami et Loré verra ce qu'elle doit améliorer quand elle suce son tendre époux ! ». Jo me recommande : « Loré installe toi dans un fauteuil et repose toi en admirant le spectacle de ton mari qui va se vider les couilles dans la gorge de ta copine ! Mais ne te refroidis pas, continue à te branler le clito, cuisses obscènement ouvertes ! Tu n'en a pas fini avec nous ! ».

    Jo > le silence se fait dans le salon, Annie pompe Yves assez discrètement, comme toujours, et moi, même très mouillée, j'essaye de ne pas être dérangeante. Mais je dois demander une autorisation à Monsieur Jo : « Monsieur Jo, je n'en peux plus, m'autorisez vous à m'envoyer en l'air, s'il vous plait ? ». Il rit et demande leur avis aux autres qui répondent oui de la tête ou de la voix, et, heureuse de cette autorisation, je jouis, oubliant un peu les douleurs qu'il m'aura fallu supporter pour atteindre cet orgasme libérateur ! Il est suivi de très près par celui d'Yves qui tire Annie par les cheveux pour gicler au fond de sa gorge, lui arrachant, pour un fois, des onomatopées obscènes ! Jo nous rappelle à l'ordre : « Allez les filles, sur la table, vous avez un combat à finir ! ».

    Annie > Nous remontons toutes les deux sur la table. Annie sait que la fin est proche, elle fait semblant de m'enlacer, pour me murmurer à l'oreille : « Viens vite lécher l’intérieur de ma bouche, tu auras un peu du goût de ton homme ! Et ne te débats plus, laisse ton orgueil de côté, tu as perdu, je ne veux pas te faire plus de mal ! ». J'arrive à coller mes lèvres contre les siennes et à goûter le foutre de mon Yves en la remerciant, je lui réponds dans un souffle : « Je sais maintenant ce que vous attendez de moi Madame, je ne sais pas si je saurais être à la hauteur de vos attentes en matière de tortures mais j'essaierai je vous le promets ! ». Elle me souffle un dernier : « Non, ne crois pas ça, certaines tortures me sont dictées par un trop plein de libido, ce n'est pas la vraie Annie, que tu es en train de découvrir, rassure toi, ma chérie ! ».

    Jo nous rappelle à l'ordre : « Alors, les filles, vous vous magnez le cul ? ». Vicieusement, Annie, prend chacune de mes pinces entre ses doigts et les fait tourner autour de mes tétons, la pression est tellement écrasante que je ne peux pas résister très longtemps et je tombe à genoux devant elle. Je me tiens les seins en pleurant alors qu’Annie se tourne et me présente ses fesses. Je connais la règle du jeu et obéissante je m’approche d’elle alors qu'elle se penche en avant et ouvre ses fesses pour sentir entrer ma langue dans son anus chaud et odorant.

    Les hommes rient alors qu’Annie ronronne, elle a senti ma langue en pointe pénétrer son anus et profite pleinement de la caresse en oubliant tout ce qui l’entoure. Jo demande des gros plans de ma langue au travail, il les obtient et me félicite pour mon agilité de bouffeuse de cul ! Il me laisse longuement comme ça, je commence à avoir des crampes à la mâchoire, surtout qu’il m’a demandé de croiser mes mains dans le dos, ce qui me prive de tout appui hormis de ma langue et de ma bouche sur son cul, et de mon nez enfoui dans sa raie du cul !

    Jo > Annie finit sa deuxième jouissance et Jo nous ordonne : « C’est bien, Loré, tu l'as envoyée en l'air deux fois : bravo ! A présent, arrête de lui bouffer le cul et sors ton vibro de ton propre trou à merdes ! Très bien, glisse le dans ta bouche et nettoie le avec soin ! ». Je m’exécute, sors le vibro de mon anus et le glisse dans ma bouche pour bien le nettoyer en le léchant de partout ! « Ca suffit comme ça, il doit être bien propre, sors le vibro qu'elle a dans le con et remplace le par celui que tu viens de nettoyer soigneusement pour elle ! Voilà, très bien, et toi, sans le nettoyer tu vas te niquer la connasse avec son vibro, voyons si sa mouille te conviendra bien sale gouinasse ! ». Curieusement, je me sens vide sans rien dans le cul et le vibro dans mon con non branché, mais j'en profite un peu pour souffler !

    Jo « Maintenant, les filles, vous allez vous mettre cul contre cul, et c'est Yves et Marc qui vont vous aider à glisser dans vos deux trous à merdes de salopes, le gode-double que vous connaissez ! J'escompte de votre part un minimum de deux jouissances pour chacune, dont l'orgasme du cul ! Alors soyez encore plus salopes que celles que vous avez été et  envoyez vous en l'air en offrant ce spectacle porno aux trois mâles qui vous regardent en jouant le jeu à fond ! Pour ne pas être distraites, Yves et Marc vont vous enlever vos écraseurs de tétons, et puisque l'orgasme du cul n'a rien à voir avec le fétichisme, enlevez vous mêmes vos chaussures pour être plus à poil qu'à poil devant vos Maîtres ! Et leurs plaisirs qui dépendront du vice que vous mettrez à vous présenter sous votre jour le plus obscène ! ».

    Nous nous retrouvons reliées par cet énorme gode que nous faisons aller et venir dans nos culs. A genoux sur le tapis du salon, pieds nus et seins libres ballottants sous nous pour le plus grand plaisir des mâles qui se branlent sans fausse honte, y compris Jo qui a réglé sa web-am sur sa grosse pine en feu ! Sa voix est devenue rauque : « J’ai rarement vu des putes en chaleur comme vous : avancez et reculez vos culs pour bien sentir le gode double vous ramoner vos trous du cul, je me branle la queue en vous regardant vous humilier devant nous ! ». Nous nous exécutons et, peu à peu nous mouillons tellement, que nos fesses claquent quand nous nous renfonçons le gode dans nos intestins, ce qui provoque un rire nerveux et vicieux de la part des trois hommes.

    Jo réclame des gros-plans du gode allant et venant dans nos fesses avant de nous demander de rester en appui sur une seule main et de nous branler la chatte avec l’autre main. Nous nous exécutons avec un grand plaisir : mon sexe est humide et bouillant, j’ai presque envie d’y enfiler une main entière tellement je suis excitée et en manque de jouissance.  Jo  

    Jo « Arrêtez de vous branler la chatte, je n’en peux plus je vais jouir, mais vous allez jouir en même temps que moi et en gros plan devant votre caméra : je ne veux voir que vos visages quand vous jouirez, et vous entendre crier que vous jouissez du cul comme deux salopes vicieuses !  J’enverrai ma purée à ce moment là ! ».

    Nous nous relevons et, en nous déplaçant avec difficulté, nous nous plaçons cul contre cul à un petit mètre de l’écran plasma alors que Marc règle sa caméra. Jo est content du cadrage, de son côté il a orienté sa web cam vers son sexe gonflé et rouge. Il nous donne un dernier ordre qui ressemble à une supplique : « Faites comme vous le pourrez, mais arrangez vous, pour jouir du cul pendant ma jouissance ! ».  

    Annie > En quelques coups de doigts et de paumes, nous sommes au bord de l’orgasme, c’est Annie qui cède la première en oubliant toute retenue pour crier en jouissant : « Oooooh , je jouis du cul comme la salope que je suis ! ». Mais j’étais prête, et je la suis immédiatement, en faisant écho à son aveu obscène, alors que Jo a tourné sa caméra vers l’écran et qu’il jouit sur notre image en inondant son écran.

      et la voix de Jo résonne une dernière fois : « Hum, les filles, je vous dois l’une des meilleures jouissances de ma cyber vie ! Je vous en remercie infiniment et j’espère de tout cœur que nous nous reverrons prochainement. Je vous laisse à vos maris que je salue, bonsoir à tous les quatre et, surtout, n'arrêtez jamais vos soirées coquines : il faut savoir jouir et planer hors de son corps pour être en vie ! ». Et il se déconnecte.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 5h30

    Marc dit : « Sympa ce Jo, nous avons eu de la chance dans notre choix, nous aurions du lui donner notre e-mail ». Annie rétorque : « Il n'en est pas question, une parenthèse est une parenthèse et il ne faut jamais chercher à en faire un paragraphe et surtout pas une histoire ! ». Tout le monde et Marc le premier se rallie à son avis et nous laissons les hommes dans le salon pour aller prendre une bonne douche bienvenue et méritée.

    Marc nous assure qu'à notre retour nous aurons le tableau des scores des orgasmes de la soirée. Nous approuvons et le félicitons en nous faisant un beau clin d’œil, toutes les deux ! Bien malin qui connaîtra la vérité !

    Comme répondrait mon grand-père en imitant un Auvergnat célèbre : Monsieur Fernand Raynaud ! Qui à là question posée : « Combien de temps faut-il à un canon pour refroidir après un tir ? ». Répondait imperturbable : « Un certain temps ! ».

    Remplacez « Canon et temps » par « Orgasmes et nombre ».

    Et vous entrerez dans le secret des Dieux (et non pas dans le domaine des Dieux ! (Il faut lire autre chose que des bédés ! Ignares -que j'embrasse- !)

     

    Vous avez sans doute remarqué que vous venez de passer une nuit blanche avec nous !

    N'oubliez pas de jeter vos kleenex usagés ou de changer vos draps car, nous sommes le :

    Dimanche 29 janvier 2017

    et, il est :

    5h30

    Donc l'heure de vous lever pour vous et de dormir pour moi !

    Suite > Chapitre 6




    1 commentaire
  • Chapitre 6

    Dimanche 29 janvier 2017 - 5h30

    Dès que nous revenons, fraîches et pimpantes de la salle de bains, toutes les deux vêtues d'un peignoir et de chaussons de bain assortis, Annie nous propose une pause que nous acceptons tous.

    Je vais l'aider à mettre quelques pâtisseries sur des assiettes, pendant qu'elle s'occupe de filtrer deux grosses cafetières. J'ouvre deux briques de jus d'orange, prépare les verres adéquats. Annie rajoute un plateau de fromages avec une assiette de pain de mie. Une bouteille de Gris, une de champagne et, en deux voyages, nous portons tout ça au salon où les hommes nous attendent, rhabillés en fumant et en buvant ! De l'eau ! Ce qui nous fait éclater de rire !

    Annie me dit en riant : « Je crois que nous ne sommes pas prêtes de dormir, ma chérie ! Si nos hommes boivent de l'eau, c'est qu'ils veulent rester très lucides ! Autrement dit, qu'ils ont des intentions coupables envers nous ! ».

    « Je t'approuve, et si ce sont leurs pensées, je leur donne entièrement raison ! Nous sommes, assurément les seules coupables : coupables d'avoir dévoilé trop vite nos libidos débridées de femmes libres, coupables d'avoir accepté délibérément un jeu d'adultes qui devait forcément se terminer à poil, coupables d'avoir suggéré une session-visio-maso, plus que pornographique, qui nous a amenée à obéir à un parfait inconnu, il est vrai en toute impunité, mais qui a réduit nos hommes à l'état d'accessoiriste ou de cameraman durant près de trois heures ! Attention, il n'y a pas l'ombre d'un regret dans ce que je dis ! Je ne renie rien ! Je ne regrette rien ! J'assume ce que j'ai fait, et, uniquement en mon nom ! Telle que se déroule cette soirée, je veux que nous démarrions des rapports sur des bases amicales, saines, solides, fiables et en totale confiance. A ce sujet, je désire simplement, quand Yves perdra le prochain jet de dés, que mon gage me soit donné par Marc, et que je l'entende me dire que je dois lire à haute voix, ce qu'il y a de gravé sur l'alliance que je coince amoureusement entre mes nichons de fausse Sainte Nitouche ! Merci de m'avoir écoutée ! ».

    Et j'éclate de rire. Dans un silence pesant !

    Un claquement de mains, puis un deuxième, puis un autre et Yves nous dit : « Madame, Monsieur, je vous présente du 100% pur Loré, pute et nonne, mère et catin, salope et fidèle, fière mais obéissante ! C'est un lot : on prend tout d'elle ou rien ! ». Je vais m'asseoir sur ses genoux, l'embrasse à pleine bouche en lui disant : « Hummmm, toi, si je ne t'avais pas ???? ».

     

    Marc propose de fêter cette belle confession et propose un toast pour le baptême du club des quatre, avec une seule devise vérité et longévité ! Yves reprend l'idée au bond : « Superbe idée, et dans peu de temps, nous aurons des propositions de mon bureau design pour un blason avec nos armoiries et cette devise ! Bravo Marc ! ».

    Nous servons les hommes et buvons à notre club très privé et à sa création !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 5h50

    Annie nous dit gentiment : « C'est bien beau de créer des clubs avec des armoiries, mais ça ne remplit ni son homme ni sa femme, alors servez vous nous devons petit-déjeuner c'est l'heure ! ».

    Marc lui rétorque : « Nous les hommes, nous pouvons remplir nos estomacs, mais vous les filles, il n'y a pas que vos estomacs à remplir, n'est ce pas, Yves ? ». « Surtout que si je perds, le prochain gage de Loré ne durera qu'une minute ! Qu'est ce qu'elle va avoir à rattraper au final ! ».

    Annie lui répond : « Pas de souci, je crois que si un fantôme d'orgasme se lève avec le jour, elle se réveillera en pleine forme pour ne pas qu'il lui échappe ! Et en plus j'ai des kilos de café dans mes armoires ! ». Et elle se lève pour revenir avec la piste de 421 et les trois dés !

    « Et comme le dirait très justement Loré, je suis la seule coupable d'avoir poussé nos hommes à continuer ce jeu idiot, et que le meilleur gagne ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 6h

    Le hasard préserve Yves. Annie tire donc un gage de son bol et le lit à haute voix : « Je dois me mettre entièrement à poil, enfiler un masque, et guidée par Loré, je dois rejoindre un de nos hommes qui m'attendra confortablement installé dans un fauteuil, vêtu seulement d'un caleçon. Sans pouvoir utiliser mes mains, je dois le faire bander, lui sortir la queue et lui lécher le gland avec tendresse. A ce moment là, j'aurai le droit de dire son prénom, d'enlever mon masque et de lui faire la pipe de sa vie en le buvant sans perdre une seule goutte ! ». Marc sourit : « Nous avons bien rit en rédigeant ce gage, et souhaitons tous les deux que ce soit Yves l'homme assis ! ».

    Nous lui répondons tous les deux qu'il a raison, mais que c'est le sort qui décidera, encore une fois ! Pendant qu'Annie et moi allons dans la cuisine, pour qu'elle se mette à poil, enfile son masque et m'embrasse longuement la bouche en me murmurant : « Je suis très fière de t'avoir comme amie, Loré, tu es une fille extraordinaire ! ». Émue, je ne trouve pas de réponse et me contente de lui caresser doucement les cheveux.

    Yves me demande de fermer la porte de la cuisine, probablement pour que rien n'arrive aux oreilles d'Annie, ni les jets de dés, ni les mouvements de fauteuil, ni le déshabillage de l'heureux élu !

    Quelques minutes plus tard, on toque deux fois à la porte de la cuisine, j'entrouvre et vois Marc, en caleçon avec ses mocassins ! Il est franchement ridicule mais me fait chuuuuuuutttttt avec son doigt et m'indique un deux de son autre main, probablement pour me dire d'attendre deux secondes ! Dès qu'il est reparti, je lui en accorde dix, et je guide Annie par la main.

    Les hommes ont tamisé le salon, seule la partie fauteuils est éclairée avec des variateurs d'intensité au minimum. Bien sur, je vois Marc dans le fauteuil, avec son caleçon déjà bien déformé et je lui fais un clin d’œil en rapprochant Annie de lui, de telle sorte qu'elle puisse se mettre à genoux entre ses cuisses sans avoir à le toucher de ses mains.

    Elle s'agenouille et se redresse de suite, elle a décidé d'une tactique qui se révèle être la bonne : elle utilise ses seins comme des mains ! Elle remonte une cuisse et arrive obligatoirement au paquet de Marc, qu'elle caresse amoureusement de ses deux seins bien manipulés par ses mains !

    Quand elle sent qu'il est bien dur, elle se penche et mord le haut du caleçon pour le descendre. Il lui faut beaucoup de patience, car, même si la bite de Marc jaillit comme un lutin du caleçon, le descendre jusqu'aux genoux lui coûte beaucoup de travail ! Elle l'abandonne, sans chercher à l'enlever entièrement, ce que personne ne songe à lui reprocher !

    La dernière phase arrive, sa langue doit reconnaître Marc ou Yves ! Mais je suis sure qu'elle sait déjà à qui appartient l'énorme gland qu'elle lèche avec amour et attention ! Bien que l'ayant déjà eue dans tous les trous, je m'étonne encore de la taille de la bite de Marc qui est bien plus grosse que celle d’Yves et qui me fait jalousement regretter de ne pas être à la place d'Annie ou de ne pas être invitée pour une pipe conjointe !

    Annie renifle curieusement le bas ventre et les couilles de Marc et elle dit à Marc en riant : « Tu pensais qu'un peu de parfum d'Yves me troublerait ? Je crois que je vais te branler comme un ado ! Je vais me croire à la maison ! ». Marc lui répond justement : « Oui mais à la maison tu n’as pas de spectateurs. Alors applique toi, je veux être fier de toi ! ».

    Elle sourit tout en enlevant son masque. Elle lui ôte son caleçon et se penche entre ses cuisses pour lui lécher longuement les couilles alors qu'elle le masturbe fermement de sa main droite ! Puis, sans arrêter de le branler, elle rentre à peine son gland dans sa bouche pour le lui lécher et bien l'humidifier ! Marc s'est installé confortablement, les cuisses bien écartées et il se laisse faire en caressant doucement les cheveux de sa femme.

    Je trouve que cet instant est émouvant, et ressemble plus à de l'amour qu'à une scène de cul ! Elle enfonce le sexe dans sa bouche, mais il est tellement gros qu’elle ne peut pas tout avaler d'un coup et elle le suce en salivant abondamment pour pouvoir en rentrer encore plus !

    Je suis toujours assise sur l’accoudoir gauche du fauteuil d’Yves, un peu en hauteur par rapport à lui. Il me regarde en souriant et glisse sa main droite entre mes cuisses. Comprenant ce qu’il veut, j’ouvre le compas de mes cuisses et il a vite fait de glisser deux de ses doigts dans ma chatte trempée.

    Tel qu’il est placé, Marc ne peut pas ne pas nous voir : « Relève son peignoir, pour que je vois bien ton travail dans sa chatte s’il te plaît Yves ». Il fait un mouvement pour relever le vêtement, mais je l'interromps et je me lève, deux secondes, pour me mettre à poil, en jetant le peignoir. Je me rassieds en ouvrant un peu plus mes cuisses pour que Marc ne rate rien du spectacle de mon homme fouillant mon con avec ses doigts.

    La pièce est remplie par les bruits de succion d’Annie qui a réussit à avaler toute la pine de son homme qu'elle fait aller et venir dans sa bouche, alors que Marc commence à gémir, visiblement enchanté par le travail et la bouche d'orfèvre de sa femme.

    Les doigts magiques d'Yves m'excitent de plus en plus ! Ils me caressent en profondeur tout en venant de temps en temps titiller mon clitoris tendu, bien gonflé et sorti de sa capuche ! Je vois la main de Marc peser un peu plus fort sur la tête de sa femme, il ferme les yeux, on sent qu’il est sur le point d’exploser et c’est ce qu’il fait au fond de la gorge de sa femme dans une série de grognements de satisfaction sourds et graves.

    Je le constate une nouvelle fois, mais ce coup ci avec sa femme : Marc et Annie jouissent à peu près de la même manière, sans débordement, sans bruits inutiles, presque normalement pourrais-je dire ? Mais dans ce cas serais-je celle qui jouit anormalement ?

    Annie garde la bite de son homme très longuement en bouche, tout en déglutissant avec un plaisir non dissimulé ! Elle le suce soigneusement avant de reculer un peu son visage pour lui léchouiller le gland.

    Elle se redresse, les lèvres humides de sperme et nous regarde avec des yeux brillants en découvrant la posture obscène dans laquelle Yves me branle : « Oooooooh ! Écarte plus ses cuisses, ouvre lui bien la connasse, vas-y fouille là, elle n'attend que ça et finit la pour moi Yves : envoie la en l'air, pour nous tous ! J’ai envie de l'entendre hurler comme un animal quand elle jouira avec ses tripes et ses muscles tétanisés ».

    Elle se lève et approche son visage du mien. Elle me donne ses lèvres à lécher. Trop excitée, je lui léche les lèvres pleines du sperme de son mari dont je reconnais le goût et, surtout une odeur de lavande très particulière, alors qu’Yves en quelques coups de doigts et de caresses sur mon clitoris me fait jouir m’obligeant à hurler devant nos nouveaux amis.

    Ce n'est une révélation pour aucun des trois, disons que j'ai voulu célébrer, à ma manière, la naissance de notre club des quatre !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 6h30

    Nous sommes tous les quatre très excités par cet instant de grande communion sensuelle entre nous, et après une petite pause café, peignoir et cigarettes, et une petite discussion en tête à tête avec Yves, le plateau de 421 est ressorti.

    J'avais fait une petite prière pour qu'Yves perde, et, pour une fois, j'ai été exhaussée ! Annie me devance et me confie le coffret dans lequel elle a rangé elle même mes bijoux. Je l'ouvre et je sors le pendentif-alliance que je tends à Marc. Il refuse de le prendre en me disant de lire la gravure à haute voix. Je range le bijou dans la boîte et dis d'une voix claire que je veux naturelle : « Cette alliance est gravée de ces quatre mots : j'appartiens à Annie ».

    Marc me remercie et me signale qu'Annie lui avait déjà dit la vérité, car tout comme moi elle n'est pas une adepte du mensonge !

    Notre club des quatre est bien celui de la vérité : nous venons de le prouver une nouvelle fois ! Mais Yves a quelque chose à rajouter : « Je trouve injuste et lésant que Marc soit privé d'un vrai gage au profit de la réparation de ce nous pourrions appeler, une dissimulation de vérité nécessaire. J'ai besoin de trois minutes de solitude pour rédiger un gage convenu avec Loré, juste avant cette révélation, qui, en fait n'en n'est pas une ! Je rajouterai ce gage dans le bol de Loré, et le hasard décidera si elle doit relever ce défi ou un autre ! Etes vous tous d'accord ? ».

    Quatre mains se lèvent.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 6h40

    Yves est allé dans la cuisine pour rédiger mon gage, pendant ce temps, nous fumons et je prends un excellent jus d'orange, ce qui semble me galvaniser ! Je ne pensais pas que des vitamines pouvaient circuler aussi vite dans le sang !

    Annie me charrie en me disant : « Ca n'a rien à voir avec les vitamines C du jus d'orange ! C'est simplement l'excitation et l'attente de ton gage qui te mettent dans tous tes états ! ». Je lui tire la langue et lui tourne le dos en drapant ma dignité dans mon peignoir qui est à elle !

    Yves revient enfin avec un papier qu'il a plié en quatre. Il le jette dans mon bol, place sa main dessus et le remue bien.Il propose alors : « Pour plus d'équité, je propose que ce soit Annie qui tire le gage de Loré ! ».

    « Tu as raison, Yves, et en plus, Loré est sur des charbons ardents, alors, ne la torturons pas plus, je vais tirer un des gages et je le lirai, entendu ? ». Personne ne proteste et Yves soulève sa main pour qu'Annie se saisisse d'un papier qu'elle déplie et lit à haute voix en mon nom :

    « Je suis contente du rétablissement de la vérité. Mon gage tient donc compte de mon réel statut, puisque qu'Annie me domine et que je suis chaque jour un peu plus son esclave sexuelle. Je lui demande la faveur de me prêter à Marc, qui disposera de moi comme il le voudra, sous réserve de la raison, dont Marc, gentleman avéré n'est pas dépourvu ! ».

    Annie replie le papier et dit à Marc : « Elle est à toi, jouis bien d'elle, elle est très obéissante ! Mais si tu nous l’abîmes, je te castre ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 6h50

    Marc nous remercie de notre honnêteté : « Je vais réaliser un beau fantasme qui me trotte dans la tête depuis que j'ai vu Loré pour la première fois ! Je ne pensais alors qu'à sodomiser ma voisine au cul si bandant, mais je ne savais pas que je pourrai l'utiliser, non comme une fille facile qui aime le cul, mais comme une soumise-sexuelle qui prend son pied en obéissant, et en plus, à ma tendre épouse ! Rassure-toi, Annie, je ne vais pas l’abîmer, mais je vais respecter ton ordre, moi aussi, en en jouissant très fort et devant vous ! ».

    « Loré, suis moi nous allons faire tes courses ! ». Toujours en peignoir, je le suis jusque dans leur chambre dans laquelle il ouvre leur dressing, il soulève un rideau, qui apparemment dissimule leur collection coquine et me dit : « Tu vas toi même choisir trois choses : un plug de bonne taille pour t'habituer à ma pine que tu connais déjà ! Un cintre à pinces en métal, car je pense, personnellement que c'est le meilleur joujou pour faire bander et torturer des bouts de mamelles et dans la collection de chaussures d'Annie, tu trouveras des spartiates à semelles de bois et lacets longs remontant sur les chevilles. Choisis tout ça et retournons au salon ! ».

    « Très bien Loré, à présent, tu peux enlever ton peignoir ». Je réalise en le laissant tomber sur le sol que c’est au moins la sixième fois que je m’exhibe nue devant Marc, mais seulement la deuxième à m'offrir à poil !

    Sans me quitter des yeux, il se touche la bite à travers le slip souriant de voir mon regard se troubler et ma tête se baisser !

    Il demande à Annie de lui prêter sa serviette à dés ! Ce qu'elle fait en riant comme nous trois ! Il me la tend ! « Tu vas chausser tes spartiates et lacer très haut sur tes cuisses les lanières de cuir, puis, tu vas étaler cette serviette pour protéger le coussin droit du canapé, et te mettre à genoux sur cette partie du canapé, en chevauchant bien toute la serviette (…) voilà, c'est très bien : écarte le plus possible tes cuisses (…) encore un peu force toi, je te veux non pas très ouverte mais très offerte ! Tu comprends bien la différence ma pute ? ». Je fais oui de la tête mais il en veut plus ! : « Oui, Monsieur Marc je vais m’offrir à vous selon votre envie ! ».

    « Très bien , tu es intelligente, mais je le savais ! Tu vas coller ton nombril contre le dossier du canapé et derrière toi, tu vas faire en sorte que tes spartiates pendent dans le vide, mais devant, tu vas bien te redresser et te cambrer pour que ta tête et tes nichons pendent dans le vide ! ».

    Mais, je ne peux pas réaliser son désir, car il me manque quelques centimètres pour que mes seins ballottent dans le vide. Marc compense très rapidement en rajoutant deux coussins sous mes genoux, ce qui me met de suite à la bonne hauteur.

    « Voilà, tu es exactement, comme je te rêvais dans mon fantasme ! De dos, avec tes sandales d'esclave, tes cuisses largement ouvertes, ton con et ton trou à merdes béants, tes bras écartés et à plat sur le dossier du canapé, et en passant de l'autre côté, ta tête avec tes yeux humides de désir, regardant fixement le tapis sous toi et tes nichons ballottant au rythme de ta respiration en attendant d'être punis ! Quel beau tableau tu nous offres ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 7h05

    A la demande de Marc, Yves continue de filmer. Marc me demande : « Bouge bien tes nichons de l’autre côté du dossier pour qu'Annie voit bien tes bouts de mamelles grossir et se gonfler d’envie et qu'Yves fasse de beaux gros plans de tes nichons de truie ! (…) hummm comme ça ! Tu vas humidifier ton plug dans ton con qui dégouline jusqu'à mouiller la serviette protectrice ! Et bien le faire aller et venir dans ta connasse en regardant droit dans les yeux Annie et Yves qui semblent très excités par ton visage décomposé par le désir, tes tétons qui bandent de plus en plus et la vue en grand écran qu'Yves t'a offerte en mettant cette psyché dans laquelle tu peux voir tes trous obscènement ouverts et, surtout, ton con béant que tu laboures comme une bonne travailleuse du sexe avec ton énorme plug noir ! ».

    Marc reprend avec excitation le contrôle du jeu : « Regarde le plug et dis moi s’il est bien humide ? ». Je rougis en sortant le plug de mon vagin et le regarde : « Oui, Monsieur Marc, il est mouillé ».

    « Mouillé ou trempé ? ». « Oooh, Marc, plutôt trempé ».

    « Trempé par quoi ma petite chienne ? ». « Mes sécrétions, Monsieur Marc ».

    « Tes sécrétions ? Comme c’est bien dit : tu crois vraiment qu’une chienne comme toi a des sécrétions ? ». Je vois où Marc veut m’amener. « Ooooh, Monsieur Marc, trempé de ma mouille ».

    « Oui de ta mouille de femelle excitée, mais il me semble qu’il lui manque un peu de salive alors glisse le dans ta bouche ! ». Obéissante je le glisse dans ma bouche, il est tellement trempé de mouille qu’il y a un peu de mousse blanche sur toute sa longueur. Je salive abondamment dessus sans oser regarder devant moi.

    « Bien, ça suffit, allez, encule toi d’un seul coup ». Je le repasse sous mon ventre, pose la rondeur de la tête sur mon anus et le pousse en moi sans pouvoir éviter un petit cri de douleur.

    « Hum j’adore tes petits gloussements. Je ne saurai jamais si c’est de la honte, de la douleur ou du plaisir, mais ils me plaisent. Remet toi debout devant le canapé, face à moi, et ondule du cul pour bien sentir le plug dans tes fesses, et fais toi bander les tétons, je les veux durs et bien saillants ». Debout devant la caméra, je me vois sur la télé, ondulant du bas ventre et me caressant les tétons et en les pinçant entre mes doigts. J’ai du mal à me reconnaître tellement mon visage est déformé par le plaisir.

    « Tes bouts sont bien durs ? ». « Oh oui, Monsieur Marc, il me font mal tellement ils pointent ».

    « C’est parfait, prend le cintre à pinces et fixe chacune des pinces à l’un de tes tétons, mais pince juste les tétons, je ne veux pas que tu te écrases un bout de la chair de tes seins ».Je m’exécute alors que les pinces crantées se referment une à une sur mes tétons douloureux. Je grimace et me courbe en avant.

    Le rappel à l’ordre est immédiat : « Redresse toi, cambre toi, tend tes seins vers la caméra et sois plus courageuse. Tu vas ôter tes spartiates et nouer les quatre lacets ensemble ». J’ai peur de comprendre, bien que ces spartiates soient des sandales d’été, leurs semelles en bois les alourdit. Très inquiète, je finis de nouer les lacets.

    Marc ne rate aucun de mes gestes, quand le nœud est fait, il me dit : « Tu vas l'accrocher au crochet central du cintre à pinces, on verra bien jusqu’où tes nichons vont tomber ! ». Je glisse le nœud, mais j’hésite longuement à tout lâcher en sachant que je vais horriblement souffrir !

    Marc me rappelle durement à l’ordre : « Allez lâche tout ! Cambre toi et croise tes mains sur la tête ! ». Mes seins brutalement entraînés vers le sol, j’hurle de douleur et, instinctivement, je me penche pour prendre les sandales dans mes mains allégeant leur poids et donc mes souffrances.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 7h15

    Marc se fâche tout rouge et hurle son mécontentement : « Tu ne joues pas le jeu, je voulais qu’une fois pluguée et tes nichons lestés, tu t'envoies en l'air devant la caméra avant que je ne me vide dans ton cul, mais tu m’obliges à changer de plan et tu vas le regretter ! ». Je réalise que je viens de faire une grosse bêtise et, très rapidement je prends la pose, très droite, mains sur la tête et seins pendants vers le sol : « Oh, je vous en supplie, Monsieur Marc, regardez-moi, je vous obéis, ne me punissez-pas s’il vous plaît ! ».

    Pour toute réponse, Marc me gifle violemment en me disant : « C’est trop tard salope, le train est passé ! ». « Yves, tu peux m’apporter les trois éventuels accessoires dont nous avons parlé tout à l’heure ? ».

    Yves se lève et revient du garage avec un tréteau de bois, quelques morceaux de corde et un paillasson poussiéreux. Je suis surprise et très inquiète de voir arriver ce vide grenier dans le salon !

    Mais, Marc sait parfaitement ce qu'il va faire avec tout ça : il place le tréteau-chevalet devant le canapé et pose le paillasson dessus, comme une selle de cheval. Il m’agrippe par le poignet et me rapproche de cette monture improvisée en me disant :

    « Voilà ce qui arrive quand on ne fait pas ce que je veux : tu t’en rappelleras Loré ! A présent, ouvre bien ta chatte avec tes deux mains, tu vas enjamber le chevalet, et poser ta chatte béante, à plat, sur le paillasson poussiéreux et râpeux et je vais personnellement veiller à ce que tes sandales tombent bien de chaque côté du chevalet. Toi, comme une simple esclave sexuelle : tu te contenteras de te branler en te frottant comme une simple chienne en chaleur sur ton paillasson pour t'envoyer en l'air le plus vite possible en mélangeant bien le plaisir et la douleur ! ». Et pour ne pas me faciliter la tâche, il passe mes bras dans mon dos et les attache en les serrant beaucoup trop !

    Que ce soit dans la psyché ou sur la télé, ma position est obscène, la douleur des seins est quasiment insupportable. Mes mains liées dans le dos ne me servent à rien et je ne peux que frotter ma chatte sur le paillasson en poussant mon corps avec les pointes de mes pieds nus.

    Mes coups de reins obligent le bout du plug à frotter sur le paillasson. Je suis de plus en plus excitée, je me frotte bestialement le con sur cette surface rapeuse et douloureuse, chaque frottement me fait ballotter les seins et les pinces tirent un peu plus sur mes tétons douloureux, il est sur que je vais jouir, mais il est certain que j'oublierai très vite cet orgasme !

    Tout le monde s’est tu, Marc ne fait aucun commentaire, je sens tous les regards tournés vers moi ou vers mes images virtuelles. Mon orgasme est proche, ma peau se couvre de chair de poule, et brutalement je jouis sans crier comme un animal. Je me cogne l’entrejambe contre le paillasson et je balance les sandales suspendues dans tous les sens au risque de me déchirer les tétons. Mon corps se tend, s’arqueboute, se tord alors que je suis au plus fort de ma jouissance.

    Marc me laisse récupérer, puis vient me libérer les mains, m’enlève le cintre à pinces des tétons et m’aide à descendre du chevalet. Il sort doucement le plug de mon anus. Je me sens soulagée de partout, mais tout mon corps reste douloureux et m'empêche de profiter de ce soulagement.

    Annie s’approche de moi, me masse doucement les tétons et toute les parties douloureuses, avec son baume salvateur et, quand je me sens visiblement mieux, elle m'accompagne elle même au canapé pour me faire reprendre ma posture qu'entre temps j'ai qualifiée de crapaud ! Lentement mais autoritairement, elle vérifie que je suis bien en place et se met debout sur ma droite. Fatiguée par mon orgasme punition, et sachant ce qui va m'arriver, je pose ma tête sur le haut du coussin et ferme les yeux en me décontractant.

    Annie m'encourage et me caresse les cheveux en me disant : « Tu as raison ma chérie, c'est ce que tu as de mieux à faire, laisse toi faire, tes souffrances sont terminées ! ».

    Je sens plus que je ne vois une présence derrière moi, et deux genoux se poser entre mes jambes sur le bout de canapé que j'occupe ! C’est Annie, elle même, qui prend la bite de Marc pour positionner son gland à l’entrée de mon anus. Elle en profite pour me glisser à l’oreille : « Tu vois ma Chérie, je t’avais promis que Marc t’enculerait en public, eh bien, ne crie pas (…) d’un seul coup de reins, Marc m’encule en me dilatant encore plus l’anus pourtant bien préparé par le plug (...) c’est fait ! ».

    Mains accrochées à mes hanches, il me défonce le cul, m’obligeant à gémir de plaisir. Annie rajoute : « Et pas de douche, tu vas garder son foutre en toi tout le reste de la soirée ! ».

    Marc est tellement excité qu’il ne tient pas longtemps. Ventre collé à mes fesses il grogne en se vidant dans mon cul pour m'offrir un lavement de foutre plus que très copieux !

    Annie se relève et me dit en riant : « Tu devrais voir l’effet que ton lavement de foutre a produit sur ton mari ! Il bande comme un âne ! Si je perds le coup suivant je sais où va aller tout ce bon sperme ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 7h45

    Je regrette qu’Annie m’interdise toute douche mais j’ai le droit de la suivre dans la salle de bains pour me rafraîchir un peu sans me laver les fesses. Marc entre dans la salle de bains : il nous porte des vêtements et nous dit en souriant : « Prenez votre temps, nous sommes en train de boire une coupe et de fumer une cigarette, rejoignez nous quand vous le voudrez ».

    Je me rhabille avec ce qu'il m’a donné : une petite culotte, une jupette grise, un soutien-gorge assorti à la culotte, un chemisier et des mules à talons. Annie m'imite, et, curieusement nous nous apercevons que nous sommes habillées de la même manière, bien que les couleurs et les formes soient différentes.

    Quand nous revenons au salon, fraîches et reposées, les hommes sont au petit soin : Marc nous allume des cigarettes et Yves nous sert du champagne en nous disant : « Alors les héroïnes de la soirée comment vous sentez vous ? ». Annie rit à pleine gorge : « Moi ? Je n’ai jamais été aussi bien ! Je repense sans arrêt à ce que Loré a dans le cul et ça me remplit d’aise ! ».

    Tout le monde rit, moi, je me contente de rosir et d'ajouter : « Moi je suis comme un cocktail maison fait de honte, de plaisir, de douleur et de jouissance ! C’est assez dur à définir ! ».

    Les trois rient et Marc complète : « Il faut reconnaître, que grâce à son amie Claire, Annie a su choisir un gage étonnant et très fort mais vous vous en êtes merveilleusement tirées et le spectacle que vous nous avez offert restera inoubliable ! ». Yves rajoute : « Jo y est aussi pour beaucoup, je l’ai trouvé imaginatif avec une juste dose de perversité et une bonne connaissance des femmes ! ». « Exact, mais je me reproche d'en avoir montré plus que je ne désirais dévoiler ». Yves rit : « Tu t’es montrée telle que tu es quand tu es très excitée, ni plus ni moins donc tu n’as aucun regret à avoir : tu as juste à t’assumer ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 7h50

    Annie pose une question à laquelle je n’avais pas pensé. « Dites moi, vous deux, il y a quelque chose qui m’intrigue : pourquoi êtes vous rhabillés ? Et pourquoi avez vous fait en sorte que Loré et moi soyons habillées pratiquement de la même manière ? ».

    Les hommes sourient, et c’est finalement Marc qui se charge de répondre à sa femme : « Nous allons arrêter de jouer, car, pendant que vous étiez dans la salle de bains, nous avons jeté une dernière fois nos dés et vous avez toutes les deux perdu ! Donc vous avez un gage commun ! ».

    Annie sourit : « Ca vous arrange bien ! Nous n’aurions jamais du vous laisser seuls, tu vois Loré, ce sont des sournois ! ». Marc rit : « Sournois ? Non ! Un peu vicieux ? Oui ! Mais nous sommes surs que vous allez beaucoup aimer votre gage ». Je demande : « Et pouvons nous savoir de quoi il s’agit ? ».

    Marc répond : « Au bureau, deux de mes collègues m’ont parlé d’un endroit proche d’Issoire : la forêt des Combrailles où des gens bien comme il faut viennent pour se montrer ou pour mater entre 3h et 10h le dimanche. Le seul problème est que je ne connais pas tous les détails. Nous pouvons donc prendre une auto, aller sur place et, par exemple, vous exhiber en même temps, d’où vos tenues, avec, un loup sur le visage pour être sur que ton banquier, Annie, ou ton chef, Loré, n'apprennent pas ce que vous aimez faire la nuit. Pour pimenter le jeu, Yves et moi pouvons faire une sélection d'accessoires qui seront des surprises pour vous ! Vous voyez, c’est tout simple ! Et ça n'est qu'un projet !».

    Annie réplique : « Tout simple ? J’aime ta décontraction ! Et je suppose que nous n’avons pas notre mot à dire ? ». Yves lui répond : « Bien sur que vous pouvez ne pas être d’accord : si vous voulez que la soirée continue tranquillement : déshabillons nous et partouzons, si vous voulez qu’elle s’arrête, disons nous au revoir et à un prochain samedi, mais ça me semble être d’une banalité lamentable pour des tempéraments tels que les vôtres, alors que la piste de Marc mérite d’être mieux exploitée et que l'horaire correspond ! ».

    Annie me prend par la main et me murmure quelque chose à l’oreille, je l’approuve et elle dit à haute voix : « Nous allons réfléchir dans notre chambre : si nous revenons habillées c’est que nous sommes d’accord pour approfondir l’idée de Marc, si nous revenons en manteaux c’est que la soirée est finie et si nous revenons nues c’est que nous sommes d’accord pour une partouze. Entendu ? ». Les deux hommes approuvent.

    La discussion dans la chambre est courte, dans l’état d’excitation et d’ivresse dans lequel nous sommes, il est évident que nous acceptons l’idée de Marc. Mais Annie me dit : « Je peux aussi demander plus de détail à Claire sur ce mystérieux lieu de rendez-vous ? ». « Excellente idée, Claire semble bien connaître le sexe dans la région ! Je suis, quant à moi inquiète pour les horaires, baiser ou montrer ses nichons à 10h un dimanche matin me semble un peu tard ! ». « Peut-être pas tant que ça, ma chérie, n'oublie pas qu'en Auvergne les boîtes n'ouvrant que le vendredi et le samedi soirs ont l'autorisation de fermer à 7 ou 8h du matin, de quoi alimenter un lieu de rencontres coquines ! ».

    Et c’est en riant que nous rejoignons nos hommes qui sont ravis de nous voir revenir habillées comme nous étions parties. Mais nous refrénons un peu leur enthousiasme en leur proposant l'idée de demander plus de renseignements à Claire que nous avons décidé de surnommer Miss Cul Auvergne ! Émoustillés, nous acceptons tous.

    Annie me demande de réapprovisionner le café et de rafraîchir les bouteilles pendant qu'elle appelle son amie ! Je m'exécute tout en écoutant.

    « Claire, bonjour c'est encore Annie (…) Oui très bien, nous nous sommes régalés (…) Je t'appelle pour un renseignement (…) Est-ce que tu sais ce qui se passe dans la Forêt des Combrailles le dimanche matin ? (…) Ah, oui : quand le dimanche matin est frais et brumeux, comme aujourd'hui, il y a de l'activité jusqu'à 11h ? (…) Oui, moins que la nuit, mais ça reste tout de même un lieu de rendez-vous pour les fêtards (…) Ah tu as deux ou trois couples amis qui y sont en ce moment, et tu peux les appeler ? Ce sont des habitués? (...) Entendu, si nous nous décidons je te rappelle (…) Entendu ma chérie une bise ! ».

    Nous nous préparons en quelques minutes. Annie rappelle Claire qui lui confirme qu'elle appelle de suite ses amis pour lui indiquer le modèle et le début de l'immatriculation de l'Audi avec laquelle nous partons.

    Les hommes prennent un sac de sport avec eux : Annie et moi donnerions cher pour savoir ce qu’il y a dedans !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 8h

    L’Audi de Marc ronronne dans la nuit. Annie conduit, je suis à côté d’elle et les hommes sont derrière. En quittant la maison, elle a réglé le GPS qui a de suite accroché La Forêt des Combrailles, et, elle suit à la lettre les conseils de la voix robotisée. Nous quittons l'A75, et traversons deux petits villages endormis avant de quitter la route départementale pour suivre la direction fléchée de la forêt qui nous engage dans un petit chemin forestier bien entretenu nous amenant sur une aire de pic nic profondément enfoncée dans la forêt au bord de l’Allier.

    Eclairé par une pleine lune encore épanouie, luttant contre un soleil essayant de percer la brume matinale et la noirceur de la forêt, l’endroit semble et composé d’un labyrinthe de petits chemins carrossables avec de temps en temps des tables et des bancs de bois.

    Marc dit à Annie : « Je pense que nous sommes arrivés, choisis un chemin au hasard, entres-y et coupe le moteur mais pas les codes ». Elle s’exécute et gare la voiture dans un petit chemin abrité par des arbres. Annie en profite pour appeler Claire, qui lui demande de lui donner notre position GPS, qu'elle va transmettre par mail à ses deux couples d'amis. Elle nous rassure en nous disant que notre position est bonne est que nous sommes en plein centre du lieu fréquenté.

    Quelques secondes plus tard, comme des lucioles dans un champ, quelques lueurs, visiblement, de lampes torches, brillent autour de nous : l’endroit n’est pas si désert que ça ! Marc commente : « C’est là que le mode d’emploi me manque ! Annie, essaye de faire des appels de phares, en attendant une vingtaine de secondes entre deux séries ». Cinq minutes après les deux séries d’appel, rien n’a bougé.

    Marc sort de la voiture et allume une cigarette, il est le premier à voir s’approcher quelques silhouettes. Une conversation s’entame avec ces ombres qui pour la plupart portent des imperméables ou des manteaux. Contrairement aux chuchotements des voix, la voix de Marc est claire : (…) Oui deux femmes non professionnelles, la trentaine, mignonnes et chaudes (…) Très obéissantes (…) Ah ça on verra en fonction de l’évolution de la séance (…) Non pas plus que six, trois pour chacune fille (…) Vous êtes quatre ? (…) Allez en chercher deux de plus, on reste garés là (…) Mais pas plus que six (…) Oui je serai dehors ou assis derrière (…) Si vous avez une envie spéciale, proposez la, on verra ! ».

    Deux ombres restent. Deux autres s’éloignent pour recruter deux voyeurs de plus. Marc nous dit de l'extérieur : « Ca ne va pas tarder ! Deux bourgeoises excitées prêtes à s’exhiber, ce doit être une aubaine pour ces voyeurs, familiarisez-vous avec les commandes des lumières intérieures et Yves va vous passer vos loups ».

    Les hommes se partagent : trois côté conductrice et trois côté passagère. Yves nous tend les loups que nous mettons de suite sur nos yeux.

    Marc se rassieds derrière et baisse sa vitre, il semblerait que les six hommes aient élu un porte voix qui est du côté d’Annie et vient murmurer à l’oreille de Marc.

    Marc dit : « Annie, sur la console du levier de vitesse, tu as les deux interrupteurs des plafonniers avant, allume les ». Annie n’est pas habituée à la voiture de son mari, mais en tâtonnant, nous trouvons les plafonniers et les allumons : ce sont des faisceaux halogènes qui nous éclairent parfaitement de la tête aux genoux tout en laissant l’arrière de la voiture dans l’ombre.

    « Bien ! Vous êtes éclairées comme des stars. Maintenant, en bas de vos portières, vous avez les boutons électriques de réglage de vos sièges : inclinez vos dossiers pour être plus à l’aise, je vous dirai d’arrêter ». Nous trouvons les boutons, nos dossiers se baissent jusqu’à ce que Marc nous arrête.

    Un autre conciliabule à l’arrière (…) Bonne idée : An et Lo vous vous reconnaîtrez ? (…) Nous rions : oui l'Anglaise et la Lorraine ! Bien joué Ma ! (…) Super ! (…) Embrassez vous sur la bouche, jouez bien avec vos langues : les voyeurs adorent mater des gouines en action ! ».

    Annie se penche sur moi, et m’embrasse sur la bouche en me coupant le souffle. Elle glisse sa langue aussi loin qu'elle le peut, en trahissant ainsi son excitation. En nous gouinant la bouche de cette manière, nous ne réalisons pas du tout ce que nous en sommes en train de faire, et c'est très agréable ! Nous nous régalons et nos hommes veilllent sur nous !

    Marc nous informe de ce qui se passe : « Pour votre information il y a en un qui a commencé à se branler en vous regardant : pelotez vous les seins à travers vos vêtements et n’hésitez pas à bien vous les malaxer ». Entre notre baiser passionné, le pelotage de caresses nos seins et de savoir d'un homme se branle en nous matant, je mouille comme une fontaine et Annie sentir mon excitation à la taille de mes bouts de nichons malgré mes vêtements !

    « Bien séparez vous et posez vos pieds chaussés sur le tableau de bord, les semelles contre le pare-brise ». C’est avec regret que je sens Annie s’éloigner et que je dois lui lâcher les seins. Nous nous rasseyons sagement côte à côte dans nos fauteuils et relevons nos jambes pour poser nos pieds sur la planche de bord. Comme je vois qu'Annie, gênée par le volant, est obligée d’écarter les cuisses, j'adopte la même position

    Marc ajoute : « An enlève ta chaussure droite et Lo la gauche, écartez plus vos cuisses et caressez vous mutuellement les pieds que vous venez de vous dénuder tout en laissant vos jupes se lever naturellement ». Les pieds dénudés, nous appuyons nos pieds chaussés contre les portières et nous nous caressons orteils contre orteils, tout en levant un peu nos culs pour que le bas de nos jupes glisse vers nos ventres.

    « Aidez vos jupes à remonter à vos ceintures pour qu’ils voient vos culottes ! ». Peu à peu, notre flirt d'orteils, nous oblige à bouger nos bassins et nos cuisses nues se dévoilent juste avant nos culottes. D'un même geste, nous finissons de coincer nos jupes à nos tailles en livrant nos entrecuisses et nos culottes à la vue des mateurs.

    « Mettez vous mutuellement une main dans la culotte et branlez vous sans faire semblant ». Hum, comme j'aimerais que Marc répête cette douce phrase ! Annie glisse la première sa main droite dans ma culotte et commence à me fouiller de ses doigts. Je fais pareil de ma main gauche et je réalise qu’elle est tout aussi trempée que moi !

    « De vos mains libres, déboutonnez lentement et entièrement vos chemisiers et ouvrez les : je vous signale qu’ils sont à présent quatre à se branler en vous matant ! ». Même avec un déboutonnage sensuel, nos chemisiers n'ont que cinq boutons, qui sont vite ouverts, et nous proposons à la convoitise de nos voyeurs nos seins encore dissimulés par nos soutiens-gorges.

    « Branlez vous plus fort, je veux entendre le bruit de vos doigts dans vos chattes, et sortez vos seins par dessus vos soutiens-gorges ». Annie enfonce un doigt de plus dans ma chatte et un autre doigt vient titiller mon clitoris en m'obligeant à gémir. J’essaye de faire pareil de mon côté mais je ne suis pas très adroite de ma main gauche. Je perds du temps à trouver le clito d'Annie et tarde à sortir un à un mes seins de leur bonnet, alors qu’Annie a déjà offert ses seins hauts perchés et magnifiques à son public !

    « Ils ont choisi : c’est Annie, qui a les plus beaux nichons et c’est elle qui va avoir le droit de jouir la première : Loré, tu l’embrasses, tu lui suces les seins et les tétons et tu continues à la branler jusqu’à l’orgasme. Regardez la vitre avant droite : un de nos amis nous a quitté en laissant son sperme sur la vitre en souvenir. Mais rassurez vous un autre a pris sa place ! ».

    Je peux me pencher, comme je le veux vers Annie, pour l’embrasser à pleine bouche. Elle est chaude et très impatiente. Je descends ma tête vers sa poitrine et lui léche ses seins magnifiques, avant de m’attarder de la langue et des dents, sur ses tétons. Ma bonne main droite ! Ne quitte pas sa chatte que je masturbe de plus en plus rapidement, m’attardant plus qu’il ne le faudrait sur son clitoris, mais je veux son plaisir : heureuse et gémissante elle me le donne d’un coup : tout son corps s’abandonne et elle part dans un de ses orgasmes auquel elle m’a habituée. Corps tétanisé et couinements d’animal blessé. « Un autre de nos amis s’est envoyé en l’air : il faudra que je nettoie mon auto demain ! » dit Marc en riant. « Léchez vous mutuellement les doigts qui vous branlaient ».

    Annie me tend sa main droite : je lui léche soigneusement les doigts, reconnaissant mon goût. Puis je lui tends la mienne, trempée de sa jouissance. J’ai peu l’habitude de la voir exécuter des ordres, mais elle me nettoie la main avec un mélange de douceur et de perversité.

    « Désolé Lo, ils ont décidé que tu jouirai plus tard : allez les filles, il est temps de vous mettre à poil ». Un peu frustrée par cette sanction, j’obéis en enlevant mon chemisier et mon soutien gorge, avant de dégrafer et d’ôter ma jupe pour terminer par ma culotte, en me tortillant un peu le cul. De son côté, Annie fait pareil et nous nous retrouvons toutes les deux nues, parfaitement bien éclairées dans la voiture.

    « Enlevez votre dernière chaussure ». Nous nous retrouvons pieds nus. Un ronronnement électrique : Marc baisse un peu les vitres avant, depuis la console de commandes située à l’arrière. « Sortez chacune un pied nu, nous avons des fétichistes de pieds de femmes à l’extérieur ». Un peu décontenancées, nous glissons par la vitre mi-ouverte, le pied nu de notre choix, et, en effet, dès que le mien est dehors, des mains le caressent, des bouches viennent le sucer, des sexes se collent à lui pour le caresser et le souiller de traces de sperme ou de pré-jouissance !

    Ce doit être pareil pour Annie car je l’entends rire, probablement qu’un des inconnus a entrepris de lui chatouiller la plante de son pied. « Pendant qu’ils s’occupent de vos pieds : vous allez glisser vos culottes dans vos chattes en laissant juste dépasser un petit bout de tissu de vos lèvres intimes ». Je sens nettement un des hommes se masturber sur mon pied, alors que je fais rentrer ma culotte dans mon vagin, qui est tellement mouillé que j'ai peur qu'il engloutisse ma culotte ! « Je crois que Loré va prendre une douche de foutre sur son pied ! Mais rassurez vous dès qu’un de nos amis jouit il est remplacé par un autre. Je suis content de voir que, comme on me l'avait dit, ici tout se passe entre gens de bonne compagnie ! ».

    Marc finit sa phrase alors que je sens des jets poisseux et tièdes inonder mon pied. Dès que mon admirateur a fini de jouir, il prend mon pied à pleines mains et l’enduit entièrement de son foutre en insistant tout particulièrement entre les orteils, avant de le libérer et de laisser sa place à un autre ! Annie est colère ! « Oh il y a un cochon qui est en train de me pisser sur le pied, dis lui d’arrêter Ma ! ». Marc d’une voix étrangement autoritaire lui dit : « Tu préfères que je te fasse sortir pour qu’il te pisse dans la bouche ? ». « Non bien sur ! ». « Alors tais toi et joue le jeu ! ».

    Je la sens très en colère mais elle ne se plaint plus. Marc la récompense d'un maladroit : « Bien, c’est mieux comme ça : à présent, sortez vos culottes de vos chattes et passez les par la vitre. Les heureux gagnants auront un souvenir très odorant de cette belle soirée ! ». Je sors ma culotte de ma chatte, je sens la voiture bouger, visiblement il y a un affrontement dehors pour savoir qui va remporter le trophée ! Pour éviter l'émeute, Marc nous fait rentrer nos pieds et lève un maximum nos vitres. Je la glisse par l’entrebâillement de la vitre sans oser regarder le visage du gagnant, en étant sure qu’Annie fait pareil de son côté.

    Pour la première fois depuis que les voyeurs sont arrivés, j'entends deux petits coups, probablement d'alliance, contre ma vitre, je tourne la tête et je vois un homme jeune et souriant qui me montre ma culotte ! Voilà donc le gagnant de mon côté ! Mais, il veut me remercier et il enveloppe sa grosse pine dans ma petite culotte et se branle devant mon visage ! Jusqu'à ce qu'il jouisse dedans, me laissant totalement paralysée par l'obscénité de cette scène ! Je lui fais un signe d'attente et sans bien réfléchir à ce que je fais, je pose ma main sur ma chatte, me tourne vers lui et je me branle en lui indiquant de ne pas quitter mes yeux, et quelques minutes après, je jouis silencieusement pour lui et par lui en le remerciant par un grand sourire et un baiser virtuel, avant de revenir dans le monde réel !

    Je n'ai aucun commentaire sur ce qui vient de se passer ! Juste une tendre caresse d'Yves qui est derrière moi !

    Marc reprend le commandement : « Je n’aime pas les pieds sales, asseyez vous dos contre les portières et sucez vous mutuellement le pied que vous venez de rentrer, il doit ressortir de votre bouche bien propre ! ». Décidément, Marc se révèle très autoritaire. Bizarrement, j'en viens à me demander s’il ne domine pas Annie de temps en temps. Je réalise avec un peu de dégoût qu’il m’incombe de nettoyer son pied souillé par la pisse d'un inconnu. Je profite du peu d'obscurité qui nous reste pour fermer les yeux et essayer d'oublier ce qu'Annie va me rentrer dans la bouche, ce qu'elle fait presque brutalement, c'est normal sa colère n'est pas retombée ! Et je paye pour Marc ! Je me console en lui tendant plus délicatement, ce qui n'est pas non plus un cadeau ! Mon pied souillé et enduit du sperme d’un autre inconnu.

    J’ai un haut le cœur en léchant le pied malodorant d’Annie, mais je fais appel à mon excitation et à mon tempérament de soumise, pour supporter l’épreuve. Alors que la langue d’Annie glisse entre mes orteils en me chatouillant agréablement. Nous finissons de nous nettoyer mutuellement les pieds qui finissent par ne plus sentir ni l’urine ni le sperme.

    « Hum : vous les chauffez à blanc, il y en a deux qui viennent de jouir ! Faites nous sentir vos pieds, Yves et moi allons juger si vous avez bien travaillé ! ». Après un peu de gymnastique, nous tendons nos jambes vers l’arrière et nos maris peuvent constater que nos pieds sont parfaitement propres.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 8h45

    Nous nous rasseyons confortablement dans nos fauteuils. Marc me recommande : « Cherche dans la boîte à gants, Loré, il y a sûrement des pastilles au menthol, mâchez en toutes les deux ». Ils descendent tous les deux, referment les portières, nous mâchons nos pastilles sans pouvoir entendre ce qui se dit.

    Sans en être sures nous pensons que la séance va prendre une autre tournure mais Annie semble toujours aussi décontractée ce qui n’est pas mon cas : je me sens nerveuse et un peu apeurée. Annie s’en rend compte et tente de me rassurer : « Nous ne risquons rien Loré : nos hommes sont là. Rassure toi, je te sens très contactée mais le seul risque que tu prends c’est celui de jouir ! ». Je dois reconnaître qu’elle a raison et je me décontracte un peu alors que les hommes se rasseyent dans l’auto.

    « Bien les filles, vous sentez bon de la bouche ? ». Nous approuvons de la tête. « Parfait : asseyez vous bien au fond de vos fauteuils et relaxez vous, pieds par terre et cuisses serrées ». Nous nous exécutons. « Relaxez vous mieux et passez vos mains derrière le dossier de votre siège, vous verrez comme vous serez encore mieux ». Nous sentons toutes les deux le piège, mais nous n’avons pas envie de résister et nous prenons la position demandée. Yves me prend les mains dans les siennes : « Tu passes une bonne soirée ma douce ? ». « Je mentirai en répondant que non ! ». Je sens, en même temps que j’entends un bruit d’acier qui vient du côté d’Annie, une paire de menottes se refermer sur mes poignets m’interdisant tout autre mouvement que celui de mes cuisses ou de mon ventre.

    Marc éteint les lumières de devant et sort pour relever électriquement nos sièges, nous passant de la position couchée à celle d'assise. Marc revient, rallume les lumières pour éviter que les voyeurs fuient, et nous les entendons fouiller dans leur sac. Ils se penchent vers nous et posent sur chacun de nos bas ventres nus : un vibro sans télécommande que je ne connais pas, deux pinces en plastique et un plug noir qu'il me semble reconnaître. Nous nous regardons pas du tout rassurées.

    Marc nous prévient : « Rappelez vous ce qui est arrivé à Loré à la maison après son refus d’obéissance et soyez attentives, je ne me répéterai pas deux fois : si l’une d’entre vous se comporte mal ou refuse quelque chose, Yves et moi sommes d’accord pour la faire sortir nue de la voiture et la laisser vingt minutes dans les bois. Vous avez bien compris ? ».

    Nous approuvons à tour de rôle de la tête. Un ronronnement de moteur et Marc baisse complètement les vitres nous livrant nues et menottées à ces inconnus. Il leur dit : « Messieurs, je compte sur vous, vous avez cinq minutes chacun, et vous devez laissez la place à un autre. Attention, au moindre incident , je referme les vitres ». Un murmure collectif semble celer cet accord.

    J’essaye de regarder Annie mais un homme chauve et grassouillet passe son torse nu par la fenêtre et enfonce une énorme langue dans ma bouche, il déplace mes sex-toys de mon ventre vers la planche de bord et me relève les cuisses sans arrêter de m’embrasser comme une ventouse. Je le sens tâtonner autour de mon anus dans lequel il glisse sans ménagement deux doigts joints. Il bave tellement que mes seins sont trempés.

    Il se décolle de moi et me fait sentir les doigts qu'il sort de mon cul. « Tu aimes ton odeur de cul sale pute ? C’est toi qui a sucé le pied plein de pisse de l’autre gouine ? ». Je fais oui de la tête : il prend le plug et me le met dans la main : « Encule toi seule devant moi, et lève bien le cul pour que je te vois bien faire gouinasse ! ».

    Malheureuse comme les pierres mais prenant très au sérieux l’avertissement de Marc, je pose mes pieds nus sur les côtés de mon fauteuil et ouvrant mes cuisses, je m’enfonce le plug dans le cul. Il m’ouvre la bouche en me pinçant très fort les tétons avec les doigts et me crache dans la bouche : « Avale ce molard sale pouffiasse, la prochaine dose que je te donnerai c’est une ration de foutre dans ta bouche de salope ! ». J’avale avec dégout le crachat du rustre qui laisse sa place à contre cœur à un autre.

    Le nouveau est petit, il porte des lunettes et semble très intellectuel bien qu’il soit entièrement nu. Il me regarde avec un léger mépris dans les yeux et sans s'occuper du plug que j'ai dans le cul, il m'ouvre largement les cuisses, prend le vibro et me l'enfonce d'un seul coup dans le con. Satisfait, il le met en route : l’appareil ronronne en moi, me labourant l’intérieur du vagin d’un mouvement régulier. Il se penche un peu plus vers moi et m’oblige à poser les pieds sur le fauteuil de chaque côté de mes cuisses, ce qui me donne une position obscène, les cuisses largement ouvertes, le vibro sortant de quelques centimètres de mon bas ventre. Il me pelote les seins, joue à les faire sauter dans ses mains avant de les faire bouger dans tous les sens en les tenant seulement par les tétons me faisant hurler de douleur. Je sens mon genou heurter celui d’Annie, j’en conclut qu’elle aussi a les cuisses largement ouvertes, je n’ose pas la regarder mais j’entends un deuxième bruit de vibro qui ne laisse aucun doute sur ce qu’elle a dans le ventre ou dans le cul.

    L’homme à lunettes lâche enfin mes seins douloureux, il prend les pinces sur la planche de bord et me les pose juste aux bouts de chaque téton, augmentant ma douleur. Il rit de ma réaction et sort son buste de la voiture, il m’agrippe par les cheveux et me tire vers la portière : « Les seins pincés, le con rempli, il te reste à ouvrir la bouche en me souriant salope ! ». Ma tête est hors de la voiture, j’ouvre largement la bouche en esquissant un sourire forcé. Il y entre sa bite et commence à aller et venir entre mes lèvres sans me lâcher les cheveux. Je le sens très excité, son gland mouille énormément. Il va exploser dans ma bouche quand un troisième inconnu le tire en arrière et se penche vers moi.

    « C’est mon tour : fais la queue comme tout le monde ! ». L’homme à lunettes grogne mais laisse sa place : il sait que ce n’est que partie remise. Le troisième est un jeune homme souriant, assez beau gosse, je me demande même ce qu’il fait là, il ne doit pas manquer de conquêtes ! Penché sur moi il me dit : « Je trouve injuste que tu n’aies pas joui, bien que plus âgée, tu es aussi bandante que ta copine ! ». Il a entré tout son torse dans l’auto, sa main droite se pose sur le vibro qu’il sort de mon sexe pour le renfoncer et me pilonner le vagin. Sa main gauche joue avec mes seins : « Regarde moi dans les yeux, malgré ton masque je les vois bien, je veux y voir ton plaisir ». Il me branle de plus en plus vite, sortant le vibro totalement pour le rentrer brutalement d’un seul coup, d’autres fois, il le laisse longuement en contact avec mon clitoris. Quant à mes seins il alterne des pressions très fortes sur chacun de mes seins avec des étirements douloureux de chaque téton pincé. Je ne peux m‘empêcher de gémir de plus en plus fort.

    Il sourit : « Tu aimes ça, hein, belle salope ? ». Je dois faire oui de la tête. Il rit encore plus fort : « Tu vas t’envoyer en l’air pelotée par un parfait inconnu alors que ta copine est en train de sucer une belle bite, vous êtes deux vraies salopes ! ». Il pousse le vibro au fond de mon vagin et le laisse en place, de ses deux mains il se consacre uniquement à mes tétons qu’il branle avec les pinces. Il me voit me tortiller comme un vers, il sait que je vais jouir et que je ne fais rien pour me retenir. Mes cris de plaisir lui arrachent un immense sourire, il suit mon orgasme au fond de mes yeux. Lâchant mes seins, il me regarde donner de furieux coups de reins pour bien entrer au fond de moi le vibro trempé. Comme si tout d’un coup toute l’énergie de mon corps avait disparu : je m’affale dans le fauteuil alors que l’homme se redresse et sort son buste de l’habitacle en souriant et en me faisant une bise sur le front.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 9h45

    La voiture cahote sur le chemin de terre du retour. Yves et Marc nous ont enlevé menottes, vibros, plugs et autres pinces.

    Annie conduit nue. Elle suit aveuglément son GPS pour rentrer chez nous.

    Je ferme les yeux, je me sens fatiguée et sale. D’autres inconnus m’ont fait jouir deux fois, j’en ai bu deux et le dernier a préféré jouir sur mes seins en se masturbant. Je ne sais pas ce qui s’est passé pour Annie, je sais qu’elle a joui au moins deux fois mais ses petits couinements de la troisième fois n’étaient pas assez précis.

    Nos hommes nous donnent des cigarettes allumées, et tous les quatre nous fumons en silence.

    Personne n’a réellement envie de commenter ce qui vient de se passer. Mais est ce bien nécessaire ?

    Epuisée, je somnole dans l’auto ne voyant même pas le temps passer. Yves me secoue gentiment en me murmurant : « Nous sommes à la maison, réveille toi ! ». Les hommes ont du se consulter pendant le trajet, car Annie et moi descendons nues de la voiture dans laquelle nous laissons nos affaires et nous nous embrassons sur le pas de la porte, chaque couple rentrant chez lui.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 10h

    Dès notre entrée, je me dirige vers la salle de bains mais Yves m’arrête gentiment : « Non reste comme ça, tu es trop excitante, viens nous allons boire une dernière coupe de champagne ».

    Trop épuisée pour protester, je le suis dans le salon, il m’allume une cigarette et me sert une coupe de champagne. Je savoure ce moment de repos après une soirée si débridée.

    Il me regarde : « Alors ces petits jeux entre adultes ? Qu’en penses tu ? ». Je souris en lui répondant : « Crevants ! Je suis sur les genoux ! ». Yves éclate de rire : « Oui mais reconnais que tu en as bien profité ». « J’avoue que je me suis éclatée, comme d'habitude, j'ai oublié de compter mes orgasmes ! Je ne sais pas quelle image j’ai pu donner de moi mais même si je dois surement en avoir honte, je reconnais de bon cœur que j’en ai bien profité ! ». « Tu n’as donné que l’image de ce que tu es quand tu es excitée et rassure toi Annie en a montré autant que toi et sinon plus, surtout dans la voiture avec les voyeurs, je peux même dire qu'elle m'a surprise ! ».

    Cette comparaison me fait sourire. « Marc voulait que nous terminions la soirée en vous échangeant, toi dans son lit et Annie dans le mien, mais j’ai refusé en prétextant que tu étais trop fatiguée ».

    « Et en fait quelle est la vraie raison ? ». Yves rit : « S’il doit te baiser, je veux être là, peut être pour me donner bonne conscience ou peut être parce que ça m’excite terriblement de te voir entre les mains de quelqu’un d’autre que moi ! ». « Tu es un sale vicieux, je le savais, mais j’en ai la confirmation ! ». Yves éclate franchement de rire : « Curieux de me faire traiter de vicieux par ma petite femme à poil, tétons encore bandés, estomac, cul et seins pleins de sperme ! Tu as de la chance qu’il soit si tard, sinon j’ouvrirais notre petite armoire secrète et je te ferai passer un mauvais quart d’heure ! ». « Sois sur que j’en aurais très envie, mais je n’en ai pas la force ! ». « Je sais, mais je n’ai pas envie de te baiser dans la chambre ou dans le salon, tu sais ce que tu vas faire ? ».

    « Non je n’en ai aucune idée mais je fais confiance à ton imagination ! ». Il sourit : « Tu vas aller dans le jardin, côté piscine, tu te mettras à quatre pattes sur la pelouse, les cuisses bien écartées et tu attendras que je vienne te baiser : ce sera dans trente secondes ou dans cinq minutes, tout dépendra de mon envie ». Je n’ai toujours pas envie de protester et, en plus, l’idée d’être une chienne attendant la saillie m’excite terriblement. J’éteins ma cigarette, effleure ses lèvres et me dirige vers la porte en lui disant :

    « Ne tarde pas trop, tout de même, je vais avoir froid ». Le soleil a fait son apparition après sa grasse matinée, mais il est loin de réchauffer la terre entière ! Je vais donc m’abriter devant une haie et me mets à quatre pattes, en levrette, cuisses largement ouvertes.

    J’attends, luttant contre la fatigue, le sommeil et le froid. Quelques secondes plus tard, je sens plus que je n’entends Yves se rapprocher : il s’agenouille derrière moi.

    Le contact de sa peau me prouve que lui aussi est nu. Je frissonne en attendant de savoir quelle partie de mon corps, il va me toucher en premier. Mais sans aucun préambule, il pose son gland sur mon anus et me prend solidement par les hanches pour m’enculer d’un seul coup de reins me faisant gémir de douleur et de plaisir.

    Il me laboure le cul de toutes ses forces sans tenir compte de mes cris et de mes « Nooon, pas si fort tu me fais mal ». Il me glisse à l’oreille : « Tu devrais arrêter de miauler, tu vas finir par réveiller les voisins ! Et, en plus, c’est ta conduite indécente qui m’a mise la bite dans cet état, alors, assume ! ».

    Je me calme et arrête de gémir, me laissant faire. Il sort tout son sexe de mon fourreau pour le rentrer d’un coup sec dans mon anus qui commence à être plus souple et plus humide : ses coups de reins me font presque basculer vers l’avant, je sens qu’il retient son plaisir, son sexe est énorme et me remplit de plus en plus.

    Une voix retentit derrière nous : « Tu as de la chance, Yves, Annie s’est écroulée sur le lit dès que nous sommes entrés dans la maison ! Je suis sorti sur le perron pour fumer une cigarette et me calmer et j’ai entendu les miaulements de Loré, qu’on ne peut pas confondre avec un chat ! ».

    Yves rit : « Je suis sur que Loré ne va pas te laisser dans cet état ! Je finis de lui défoncer la rondelle et je te la prête ! ». Il accélère ses mouvements, il est sur le point de jouir : « Tu dois être contente de finir la nuit avec deux grosses bites dans ton petit trou de salope, n’est ce pas ma douce ? Aimes-tu ton statut à présent déclaré et officiel de salope de cette maison ? ».

    Tétanisée par la fatigue et le plaisir, je ne peux que gémir : « Oooooh nooooooon mon amour je ne suis que ta salope et ta pute dévouée que tu peux prêter à qui tu veux, mais sans ta bite, tu sais que je ne peux pas vivre ! ». Stigmatisé par cet aveu forcément sincère, il m’agrippe plus fort les hanches, se colle à mon ventre et jouit au plus profond de mes intestins avec un râle de contentement et de plaisir. Je le sens débander : je serre les fesses pour le garder dans mon anus le plus longtemps possible, mais il finit par sortir de mon cul, aussitôt remplacé par Marc qui me casse le fion avec une grande facilité. Malgré sa taille ! Je dois reconnaître que mon corps sait s'adapter à toutes les circonstances !

    Yves vient devant moi, il contemple mes nichons qui ballottent au fil du pilonnage de mon trou du cul par la pine de Marc, et s’agenouille devant moi en dirigeant ma tête vers sa pine qui est de nouveau raide comme un i, et j'ouvre grand ma bouche pour le pomper en espérant que je pourrai le boire ! « Ce soir, tu n’es qu’un trou à bites. Tu en as conscience, ma chérie ? ». Entre deux léchages de sa bite je dois lui répondre : « Oooh oui je sais que je ne suis qu’un trou à bites ».

    Je le lèche et il m'oblige à lui répéter à voix haute les obscénités qu’il me murmure à l'oreille, tout en remuant mon cul en cadence pour aider Marc à bien m’enculer.

    « Oui je dormirai sans me laver avec tout ce sperme en moi ».

    « Oui, je suis une fille facile qui aime la baise et les pines ».

    « Oui, un jour je vous obéirai à tous les deux et même à tous les trois si vous en avez envie ».

    « Oui je suis une salope qui aime être enculée, faire des pipes, boire du foutre et même de la pisse ! ».

    Marc n’en peut plus et jouit au fond de mon cul alors que j'avale jet après jet le foutre d'Yves et le lèche pour le nettoyer comme une chienne docile !

    Ils sont à peine sortis de mon cul et de ma bouche que je m’écroule sur la pelouse complètement éteinte et épuisée.

    Marc me caresse doucement les fesses et nous dit bonsoir alors qu’Yves me prend dans ses bras et m’amène dans notre chambre où il me couche me regardant m’endormir de suite sans même sentir le filet de sperme qui s’échappe de mon anus dilaté.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 13h

    Le réveil a sonné plusieurs fois sans que nous ne l’entendions, et c’est finalement la sonnette de la maison qui nous réveille.

    En maugréant, Yves se réveille et va ouvrir : c’est son père qui lui rappelle que le repas est prêt et que Mamie ne va pas tarder à crier car son épaule d’agneau va être trop cuite.

    J'entends Yves s'excuser auprès de son Papa et lui assurer que nous serons là dans un quart d'heure, le temps d'une douche rapide et d'enfiler trois vêtements qui traînent dans la chambre !

    Mais nous arrivons tout de même en retard, tout en affirmant que l’épaule est délicieusement bien cuite ! Curieusement, nous ne buvons que de l’eau et demandons chacun de notre côté à Adrienne de quoi soigner nos maux de têtes ! Nous écoutons Jean nous raconter ses exploits de la veille, sans vraiment oser lui raconter les nôtres !

    Il est tout excité car le lendemain, il part pour une semaine en classe de neige dans les Alpes avec les copains de son école.Quant à Yves il sait qu'il part lundi en début de matinée, mais il ne se rappelle plus quand il revient ! Bref un vrai désastre !

    La seule chose concrête est que je vais pouvoir récupérer de cette soirée-week-end folle et organiser tranquillement ma semaine avec Annie qui va pouvoir concrétiser notre fameux rendez-vous marathon avec Agnès de Vichy ! Qui me fait fantasmer comme une ado !

    Bah nous verrons bien, car demain sera un autre jour !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 14h

    Nous sommes tellement épuisés qu'Yves me propose de dormir dans son ancienne chambre chez ses parents. Gentiment, ils isolent cette chambre pour ne pas que nous soyons dérangés et cinq minutes plus tard, nus comme des vers, nous dormons comme des souches !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 20h

    Son Papa nous réveille par deux coups sur la porte et un gentil : « il est 20h, le dîner est servi ! ».

    Nous nous levons de la sieste, encore plus embués qu’en nous couchant. Son père nous regarde d’un air entendu. Le pauvre, s’il savait que notre sieste coquine s’est transformée en un écroulement sur le lit pour nous endormir de suite, ses fantasmes s’écrouleraient !

    Après les avoir remercié mille et mille fois, nous rentrons tous les trois à la maison. Sur le pas de la porte, un paquet et une énorme composition de fleurs à base de lys : Yves lit le carton accompagnant le bouquet :« Pour nos voisins si agréables et si accueillants, bises d’Annie et de Marc. PS : dans le carton les affaires oubliées dans la voiture ! ».

    Nous en rions tous les deux. Les affaires filent directement dans la machine à laver alors qu’Yves doit aider Jean à faire une rédaction intitulée bien à propos :« Quelles sont tes pensées avant de partir une semaine en classe de neige ? ». Jean nous a annoncé que la meilleure rédaction aurait un super prix, donc il a intérêt à la soigner !

    Moi, contrairement à Annie, je n'ai rien à ranger ou à laver ! J'en profite pour soigner le paquetage de Jean et la petite valise d'Yves qui a commencé à se faire une garde robe russe pour pouvoir voyager sans enregistrer de bagages et gagner du temps à la sortie de l'avions surtout au passage de la douane !

    Je mets les fleurs dans mon plus gros et beau vase et trouve le temps de rentrer sur internet où j’ai un message d’Annie :« Ma pute, Marc m’a dit que tu auras beaucoup de temps libre cette semaine, donne moi ton emploi du temps. PS : merci d’avoir fait des heures supp avec ton cul ce matin de bonne heure ».

    Je vais voir Yves dans la chambre de Jean et je lui demande s'il a ses horaires du voyage en Russie, il m'indique que les billets sont dans son attaché-case à la place habituelle des billets, et que son code est le 404.

    J'ouvre son attaché-case un peu ultra-secret, vu son métier et note ses horaires : demain lundi départ à 9h30 de Clermont, puis Paris > Moscou et mardi prochain retour mardi 7 février arrivée à 21h30 à Clermont. En repartat vers le bureau, je lui dis : « Yves tu pars demain à 10h de Clermont et tu rentres le mardi 7 février à 21h30 à Clermont, je vais donc pouvoir te déposer et te prendre, je suis contente, ça va la rédac ? » Jean affirme que oui ! Alors la vie est belle !

    Je rougis : comme d’habitude, aucune formule de politesse ni aucun au revoir et cette allusion à Marc et à mon cul prouve encore une fois cette complicité sans faille entre eux. J’en arrive à douter que Marc ne soit pas au courant de l’activité de sa femme sur le site porno de Tom !

    « Madame, je suis libre toutes les nuits de cette semaine de 18h à 8h le lendemain, tous les midi entre 11h50 et 14h30 et tout le weekend, puis qu’Yves part demain à 10h et revient le mardi 7 à 21h30. Je peux prendre sans difficulté 2 jours de RTT, et s'il le faut une demi-journée de plus. PS > Mes heures supp de ce matin furent délicieuses - Votre pute ».

    Lundi 30 janvier 2017 - 7h30

    Ma semaine démarre fort, la maison est prête de bonne heure ! A 7h15, j'ai déjà téléphoné à Eva pour lui dire que re risquais d'être en retard pour mon rendez-vous de 8h avec elle, et je lui ai indiqué l'endroit où j'avais caché son double des clés de maison qu'elle pouvait garder.

    Nous partons tous les trois et à 7h30 nous sommes au point de départ des bus pour les Alpes. Le bus de Jean est prévu pour 8h et l'organisateur nous signale qu'il sera à l'heure. L'arrivée en classe de neige est prévue pour 13h. Il est excité comme une puce et saute dans tous les sens, sur que sa rédaction qu'il vient de remettre à sa maîtresse va lui rapporter au maximum le prix Nobel et au minimum une collection de jeux pour sa nouvelle WII !

    J’ai du lui expliquer qu’il n’était pas le seul à concourir et, qu’à son âge, un Grand Prix pouvait aussi être un éclair au chocolat ! Mais, sa désillusion n’aura duré que peu de temps car, dès qu’il a revu ses copains, elle s’est envolée de même que sa Maman et son Papa dont il n’avait plus rien à faire ! Mais la vie est ainsi faite et je la connais bien !

    Nous n'avons pas attendu le départ du bus, et j'ai déposé à 8h Yves à son bureau d’où il devait partir directement avec son patron pour la Russie via Paris. J'avoue que c'est la première fois que je le laisse partir sans lui avoir fait une gâterie, mais il a bien compris qu'avec le weekend que nous avions eu, je n'étais pas très vaillante et je lui ai promis d'être encore plus salope à son retour et de remettre le bracelet qu'il aimait tant ! Ses yeux brillait quand je l'ai embrassé chastement devant son boss ! Il aura neuf jours pour écrire son scénario ! Je devrais me régaler à son retour !

    A 8h30 j'étais de retour à la maison, Eva était là, les vitres étaient ouvertes, la musique en marche, elle chantonnait et ne m'a pas entendue entrer, une bonne odeur de café flottait dans l'air, j'étais ravie ! Je ne sais pas si elle avait vraiment besoin de conseils ! Elle m'a accueillie comme une vieille amie en s'excusant, d'avoir fouillé un peu partout pour tout mettre en route, j'ai approuvé cette initiative. Nous avons bu un café, fumé ma première cigarette de la journée et elle m'a donné tous les papiers nécessaires à la rédaction de son contrat et à sa déclaration d'employée. J'ai répondu à une dizaine de ses questions, toutes très pertinentes. Nous avons réglé ses horaires et je lui ai confirmé que ses clés de maison étaient pour elle. Je lui ai annoncé que je serai seule toute la semaine jusqu'à mardi prochain, et que si elle le voulait nous pourrions déjeuner deux ou trois fois dans la semaine, et de toutes les manière, nous voir le matin vers les 8h30 pour le moment, à voir comment nous allions articuler le nombre d'heures prévues.

    Sur ce, je l'ai laissée, elle avait décidé un grand nettoyage d'hiver ! Je n'ai pas jugé bon de la contredire ! Et je suis revenu sur mes pas pour lui dire que dans la boite à sucre du deuxième placard de la cuisine, il y avait notre boîte aux lettres ! Mille euros en monnaie pour tous les achats de produits pour la maison ou pour payer la Poste ou autre chose, et bien sur, si nos emplois du temps ne coïncidaient pas bien, laisser des petits messages pour l'autre, elle a sourit en me gratifiant d'un : « Je vois que tu ne laisses pas grand chose au hasard ». Je me sauve en lui disant « Tout au moins j'essaye ! Allez je serai là vers midi bon courage ! ».

    Lundi 30 janvier 2017 - 9h

    Finalement je ne suis pas en retard, et je suis la première : Sophie et le boss ne sont pas encore là. Contrairement à mes habitudes, je ne peux attendre pour consulter mes messages persos et j’enfreins ma règle de ne pas me connecter du bureau.

    Mais pour prendre plus de précaution, je me connecte sur le WIFI de mon portable. J’ai en effet un message d’Annie : « Ma pute, viens me voir ce soir à 18h, j’ai un paquet à te donner, puis tu seras libre. Mardi tu passeras la nuit avec moi. Mercredi et jeudi tu es libre. Et tu passeras le weekend avec moi. Interdiction de te faire jouir seule sauf appel préalable pour demander l'autorisation ».

    De peur d’oublier un des rendez vous, je note tout sur mon calepin. Je me demande quel paquet elle a à me remettre et quelles sont ses intentions pour la nuit et le weekend qu’elle me demande de passer avec elle.

    Lundi 30 janvier 2017 - 12h

    En arrivant, j'ai la grande joie de m'entendre dire par Eva qu'elle a préparé un petit repas rapide pour nous deux ! En terminant, je lui dis simplement : « Si c'est pour toi un petit repas rapide pour le midi, je vais rajouter cordon bleu sur ta fiche de paye ! Majordome cordon bleu ! Ca ronfle comme titre ! » Il fait très beau et nous en profitons pour boire le café et fumer une cigarette au bord de la piscine, sans toutefois avoir envie de nous baigner ! Brrrrrrr !

    Je retourne au bureau et j'en repars vers 17h30.

    Lundi 30 janvier 2017 - 17h45

    Je passe par la maison pour me changer et me débarrasser de mes bijoux, aux cas où, Madame serait là ! Et je fais un tour de la maison, Eva est fantastique, elle a nettoyé à fond tout l'étage et le salon et épuisé deux grands corbeilles de repassage ! Il faut que je lui dise de ne pas trop bosser ! Elle va m'épuiser !

    Mais ce bon choix me donne le sourire, et je vais à mon rendez-vous avec un grand sourire.

    Lundi 30 janvier 2017 - 18h

    Je frappe à la porte de Marc et Annie. C’est Marc qui m’ouvre : « Ah bonsoir Loré, c’est gentil de passer nous voir, entre, Annie est au bureau je vais lui dire que tu es là : tu veux boire quelque chose ? ».

    Je souris : « Oui si tu as un jus de quelque chose, avec plaisir, mais surtout pas d’alcool ! ». Il éclate de rire : « Tu es comme nous : au régime sec depuis dimanche midi ! Et Yves et Jean ? Ils sont bien partis ? ». « Oui mes hommes sont bien partis ce matin et tout s’est bien passé, ils sont bien arrivés aux Arcs et à Moscou et ils se gèlent tous les deux ! ».

    Annie qui a entendu notre conversation se joint à nous et m’embrasse sur les deux joues : « Bonsoir ma chérie, merci d’être passée ! ». « Normal, tu sais bien que cette semaine je suis tranquille ! ».

    « Tu as de la chance, ce n’est pas comme moi : nous sortons ce soir, demain, j’ai une soirée entre filles qui risque de s’éterniser, mercredi et jeudi, Marc est obligée de me montrer dans des repas d’affaires dont je me passerais bien, heureusement que le weekend sera plus calme ! ».

    La fine mouche a réussi à me donner tout son emploi du temps de la semaine comme pour me signifier que tout était clairement préparé et arrangé avec Marc. Pendant que nous papotons, Marc revient avec du jus d’orange. Nous buvons et fumons en parlant de choses et d’autres sans évoquer un seul instant notre soirée mouvementée de samedi.

    « Bon, je vais vous laisser, je ne veux pas vous retarder ». « Oui tu as raison, il faut que je finisse de me préparer. Je te raccompagne, j’ai un petit paquet pour toi ! ». Je les embrasse, Annie me reconduit à la porte en me remettant un paquet gros comme un livre mais assez léger. Et je rentre chez moi.

    Lundi 30 janvier 2017 - 18h20

    Arrivée à la maison je n’ai qu’une hâte : ouvrir le paquet.Je prends tout de même le temps de me déchausser, de me servir un verre de Saint Yorre et d’allumer une cigarette. Le paquet est bien ficelé et scotché, visiblement il n’a pas été ouvert, je dois utiliser des ciseaux pour l’ouvrir : il s’éventre déversant sur la table du salon des liasses de billets de 100 dollars neufs : je n’ai jamais vu autant d’argent de ma vie !

    N’en croyant pas mes yeux, je compte 10 billets par liasse et 20 liasses en tout. J’ai du mal à réaliser que ça représente 20.000 dollars ! Mon premier réflexe est de me lever pour appeler Annie et lui dire que c’est beaucoup trop, mais en soulevant la dernière liasse je découvre un petit bristol sur lequel est écrit à la main : « Pour la pute d’Annie dans l’attente de la sauter : Tom ».

    J’ai la conformation que se sont mes droits d’auteur sur les clips mis en ligne. Je me liquéfie dans un mélange de fierté et de honte, ayant l’impression que j’ai perdu tout repère.

    Je décide d’appeler tout de même Annie. Ils sont encore là et c’est elle qui répond : « Oh Madame, c’est beaucoup trop, sans vous je n’aurais jamais pu gagner autant d’argent, je tiens encore une fois à vous en donner la moitié ! ».

    La réponse d’Annie est très sèche : « Je vais être claire avec toi Loré, si tu me redis une seule fois cette phrase, je romps définitivement toute relation avec toi, suis-je claire ? Maintenant je dois te laisser, nous nous voyons demain mardi à 18h ». Et elle raccroche.

    Après avoir réfléchi, je vais dans la cuisine et prends six sacs poubelles bien étanches, j’emballe soigneusement cette fortune en trois paquets et les scotche, puis je descends à la cave et trouve facilement un endroit où personne n’ira jamais chercher un trésor !

    Je remonte en me disant que je devrai en parler à Yves tôt ou tard, je ne me vois pas lui mentir indéfiniment, mais Dieu que cet aveu va me coûter.

    C’est sur cette sage décision que je vais au lit pour finir de récupérer mes heures de sommeil en retard non sans avoir envoyé un dernier message à Annie : « Merci Madame, à demain 18h, votre pute soumise ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 8h00

    Je me réveille, bien reposée après cette très longue nuit de récupération. Curieusement il me semble entendre du bruit dans la maison, je me lève et pieds nus avec un tee-shirt XXL sans rien dessous, je vais dans la cuisine et j'y trouve Eva, en pleine forme, qui nous a préparé un super petit déjeuner ! « Elle me saute au cou et me fait deux grosses bises en me souhaitant joyeux mardi ! Loré ! ». Je m'assieds, je me sers une tasse de café en bois la moitié et je lui dis : « Reprenons calmement ! Qu'a-t-il de spécial ce mardi ? » Elle éclate de rire et me répond : « Il n'y a rien, c'est simplement un joli mardi qui commence ! ». Je suis un peu abasourdie de tant de joie de vivre et elle me met de bonne humeur pour toute la journée !

    Je lui conseille tout de même de ne pas se tuer au travail, et lui explique que connaissant bien ma maison, j'ai vu le travail qu'elle avait abattu en une journée ! Et que je ne voulais pas qu'elle s'impose ce rythme !

    Avant de partir au bureau je vérifie mes mails, il y en a un d'Annie : « Putain Loré, je t’ai donné deux rendez vous pour cette semaine : cette nuit et ce weekend, mais Agnès m’a prévenue qu’elle avait un empêchement pour cette fin de semaine, il te faut donc appeler ton bureau pour leur signaler que demain mercredi et jeudi matin tu ne pourras pas venir. Je confirme de suite notre présence à Agnès de ce soir 19h à jeudi 13h. A toi de trouver une excuse. Garde ta liberté pour le weekend, tu en auras besoin ! ».

    Je suis un peu contrariée, car mon travail compte beaucoup dans ma vie, mais je sais que je n’ai pas le choix : j’appelle donc de suite mon bureau, je sais qu’à cette heure là il n'y a que mon boss. « Bonjour Boss, c’est Loré ». « Non, rassurez-vous rien de grave ! Mais je suis avec le Docteur Bordier, qui vous salue, mais qui me trouve une très mauvaise tension et me conseille de prendre une ou deux journées journée de repos et me fait une petite ordonnance pour me remettre de suite sur pied ». « Pas de souci, Loré, mercredi et jeudi ne sont pas chargés, et vous êtes à jour comme d'habitude. Sophie peut assurer le quotidien et si elle a un souci, elle a votre portable ». « Je vous remercie de votre compréhension, boss, je suis au bureau dans moins d'une demi-heure ! ».

    J'envoie de suite un mail à Annie : « Madame, je suis libre de ce soir 17h40 jusqu'à vendredi 9h du matin - A ce soir 18h - Votre pute ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 17h20

    J’ai du mal à me concentrer au bureau toute la journée mais je résiste à la tentation de lire mes messages. Car je dois prévoir mon absence du mercredi et du jeudi et ne pas prendre de retard. En plus mon boss me retient tard au bureau pour régler tous les détails avec moi. Heureusement que je n'ai pas fait de pause à midi, j'ai gagné deux heures de travail tranquille.

    J'arrive enfin chez moi à 17h20. Je vais directement au bureau et j'ouvre ma messagerie : j'ai un message d'Annie : « Retrouve moi à 18h sur le parking du Motel, attention à tes bijoux et à tes sous-vêtements, souliers plats, jupe courte, chemisier transparent et boules dans ton con, télécommande à me remettre ». J'ai 40 minutes pour tout faire : je me douche rapidement, enfile une jupe courte, un chemisier transparent et décolleté, j'ouvre mon armoire pour en extraire les boules de geisha vibrantes que je glisse dans mon vagin chaud et humide, j’enlève mes bijoux et je mets le collier avec l’alliance. Je prépare mon sac avec mon portable, deux paquets de cigarettes, un peu de liquide, ma Visa et un paquet de kleenex. Je décide de prendre le 4x4 d’Yves pour me faire plaisir et à 18h pile je me gare sur le parking du Motel, en soupirant de soulagement : je suis la première et très contente de conduire pour la première fois cette BMW X-3 superbe qui me change radicalement de la mienne !

    Quelques instants plus tard, la Fiesta d’Annie entre sur le parking, elle se gare et monte à côté de moi : « Tu as bien fait de prendre la BMW d’Yves, on sera mieux ! Vas y, direction Vichy ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 18h

    Je démarre, règle mon GPS et elle allume une cigarette sans m'en donner. Elle me pelote discrètement : le collier-alliance est bien là, ma chatte est bien nue et mouillée, le petit manche des boules dépasse bien de mon con, et quand elle le vérifie, j'ouvre mon sac et je lui donne la télécommande, et elle les met de suite en route à une vitesse raisonnable. Mes seins sont bien libres sous mon chemisier. Elle ne dit rien, le seul bruit dans la voiture est celui des boules qui ronronnent dans mon vagin.

    Je respecte son silence et conduit sans rien dire. Elle allume une deuxième cigarette, et une pour moi. Je la remercie. Elle me dit : « Je t'avais demandé de te libérer du mardi 18h au jeudi 9h et tu t'es libérée du mardi 18h au vendredi 9h, je n'aime pas trop que tu prennes ce genre de liberté avec moi, que s'est-il passé putain ? ». « Je n'ai pas pu prendre une journée et demi de repos, il m'a fallu prendre deux jours entiers, j'en suis désolée, Madame, mais si vous voulez interrompre le rendez-vous chez Agnès le jeudi matin, ça ne pose aucun problème, je travaillerai de chez moi. ». « Soit, mais arrange toi pour ne pas recommencer ce genre de fantaisie ».

    Elle prend son téléphone et envoie un mail qu'elle me lit à haute voix : « Nous serons chez toi, vers 19h, libres en définitive, jusqu’au vendredi matin 8h, bises, Annie ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 19h

    Je roule doucement pour ne prendre aucun risque avec cette voiture que je ne connais pas et, finalement je me gare quelques minutes avant 19h devant la maison d’Agnès. Nous descendons, Annie sonne et Agnès nous ouvre la porte du jardin. Ce soir, il fait plus frais, et nous supportons nos manteaux. Agnès nous ouvre la porte de sa maison et accueille chaleureusement Annie en l’embrassant, sans se préoccuper de moi.

    Elle nous fait entrer dans son salon où un beau feu crépite dans sa cheminée avec insert. Elle propose une boisson à Annie qui lui réclame juste un verre d'eau. Elle me fait un signe de tête pour me désigner la cuisine, et j'en reviens avec un verre d'eau que je donne à Annie.

    « Putain, enlève ta jupe, ouvre ton chemisier entièrement, quitte ces sandales grotesques et mets toi à genoux mains croisées sur la tête le plus près possible de la cheminée, tu vas chauffer tes nichons de salope ! ».

    Je m'exécute, encore furieuse de tant bander des tétons et je m’agenouille face au feu, les mains sur la tête. J'entends derrière moi des bruits de verre et de glaçons. Peu de temps après, Agnès me dit :

    « Tu es servie putain, tu peux nous rejoindre mais reste à genoux ». Je me rapproche de la table, elle me tend un verre qui ressemble à du champagne en me disant : « Annie m'a fait part de tes tabous, mais il y en a un que tu n’as pas cité, et je me suis demandé si c'était un oubli ou si c'était volontaire ? Si je vois une seule grimace sur ton visage quand tu savoureras la boisson qui sera la tienne en ma présence, je te garantis que je te supprime immédiatement un de tes tabous, suis je claire ? ». « Oui Agnès, très claire ».

    Elle rit : « Alors trinquons à notre weekend de milieu de semaine ! ». Nous trinquons et j’ai à peine porté la coupe à mes lèvres que je sens l’odeur forte de l’urine. « Elle est toute fraîche putain, j’ai pissé juste avant que vous n’arriviez, j’ai pensé que ça te ferait plaisir ! ». J’en bois une gorgée, essayant de ne pas grimacer tout en disant : « Oh oui Agnès, j'aime vos odeurs et vos sécrétions, elles contribuent à m'exciter, tout comme vos goûts ». Elles éclatent de rire en me regardant m’humilier en buvant à petites gorgées toute la coupe de pisse tiède.

    Mon verre fini, Agnès m’oblige à retourner devant le feu, j’ai du mal à retenir un vomissement et j’essaye de me concentrer sur leur dialogue.

    « Comme tu me l’as conseillé, je l’ai inscrite sur un site de rencontre qui fonctionne bien sur Vichy, l’avantage c’est qu’elle est loin de chez elle et qu’elle ne risque pas de mauvaise rencontre ».

    « C’est une excellente idée, tu as pu exploiter les photos que je t’ai envoyées ? ». « Oui, j’en ai mis trois : une du visage et deux où elle est en maillot de bains ». « Tu n’as pas utilisé celles où elle est à poil ? ». « Non s’ils veulent en voir plus ils demanderont une visio ! ».

    « Bien raisonné, et tu as eu des rendez vous ? ». « Je t'attendais pour me connecter, tu veux qu’on y aille ? ». « A moins que tu n'aies une autre idée, ce serait bien de lui organiser ces deux jours de congé ! ». « Viens devant l’ordinateur on va mettre ensemble sa fiche à jour et tu pourras surement constater que la fiche incomplète que j'ai publiée a déjà produit des résultats, mais avec la nouvelle, nous allons booster la demande ! ».

    L'ordinateur bénéficie d'un petit bureau ou tout est intégré. Il est dans un coin du vivoir et il dispose de deux fauteuils et de deux écrans jumelés, visiblement ce doit être un gros outil de travail ou de contacts pour Agnès !

    Mardi 31 janvier 2017 - 19h30

    N'ayant probablement pas le droit de les suivre du regard, je reste les yeux fixés sur le feu de cheminée. Je sens ma température corporelle augmenter, mais pour l'instant, c'est plutôt agréable. Je les entends se lever, se déplacer, les fauteuils couinent un peu comme tous les fauteuils à roulettes du monde ! Et la musique de l'ouverture de Windows retentit dans le silence du vivoir.

    J'en profite pour avoir une pensée émue pour le créateur de cette musique en lui souhaitant qu'il touche 0,01€ à chaque passage de sa musique !

    Gentiment elles parlent à voix haute, oh pas pour me faire plaisir, mais assurément pour que je les entende bien.

    « On va commencer par le questionnaire de sa fiche :

    Qu. 1 > Plan baise, amitié ou rencontre ? (…) Plan baise

    Qu. 2 > Jour et fourchette horaire ? (…) Ce mardi de 21h à 24h

    Qu. 2 > Jour et fourchette horaire ? (…) Ce mercredi de 19h à 24h

    Qu. 3 > Particularité des rencontres ? (...) Sexe pur mais Bdsm accepté

    Qu. 4 > Qui ? (…) Femmes > 2 maxi, Hommes > 2 maxi, Couple > 1

    Qu. 5 > Age ? (…) Sans importance

    Qu. 6 > Professionnelle ou occasionnelle ? (…) Occasionnelle

    Qu. 7 > Type de relation ? (…) Rencontre auto

    Qu. 8 > Tarifs ? (…) Le quart d'heure > bdsm 40€ > sexe à poil 25€

    Qu. 9 > Tabous ? (…) Si sexe > aucun

    Qu. 9 > Tabous ? (…) Si bdsm > ni sang, ni traces, ni caca, ni mineurs

    > photos > lieu de rencontre > voiture > accompagnatrices > Contact > lorenavichy@hotmail.com

    « Bien, elle est en ligne, il faut se connecter sur Messenger et attendre les réponses ! ». Annie la questionne : « Comment veux-tu l’habiller ? ». « J’avais pensé nue sous un imper, talons hauts nus pieds, un serre-seins bien serré en cuir, un plug anal, un collier de chienne avec une plaque esclave et les boules de geisha qu’elle porte ».

    « Pas mal, tu peux lui rajouter des bracelets de cuir aux chevilles et aux poignets ? ». Agnès approuve : « Avec des clips en fer si les clients veulent l’attacher, c’est une excellente idée, si tu es d’accord, tu restes devant l’ordinateur et moi je vais la préparer, entendu ? ».

    Agnès se rapproche de moi, me relève en me tirant par les cheveux et me dirige quasiment nue vers la salle de bains. Elle ouvre une petite armoire et me recommande d'y jeter un coup d’œil. J’y découvre des menottes, des chaînettes, des cadenas, des colliers en cuir et en chaîne, des bracelets de cuir, des cordelettes, des pinces, des poids, ainsi que des godes, des vibros, des plugs, des boules de geisha et des bougies de différentes tailles. Un vrai arsenal de dominatrice. « Sais tu, putain, que je n’ai rien acheté de tout ça ? Ce sont toutes les soumises à qui j’ai fait plaisir depuis plus de dix ans qui m’ont tout offert, je suis très fière de ma collection et de leur gratitude ! ».

    Sans attendre de réponse, elle me dit d'enlever mon chemisier et elle me choisit un plug de bonne taille mais court et trapu : « Allez mets toi ça dans le cul ! ». Docilement, je pose un pied sur le bidet et, ainsi ouverte, je le glisse dans mon anus. Elle vérifie qu’il est bien en place et qu'il ne peut pas glisser et elle me demande de lui montrer les boules de mon vagin. Je les sors, elles sont trempées : elle les juge trop petites ». Elle en choisit d’autres dans l’armoire : « Tiens mets celles là, tu les sentiras beaucoup plus ! ».

    Les trois nouvelles boules sont tellement grosses que j’ai du mal à les entrer dans mon vagin, qui est pourtant dégoulinant de mouille. Elle sourit en me voyant forcer et me tortiller pour les enfoncer. Quand elles sont enfin en moi, elle me tend quatre bracelets de cuir : « Met toi ça aux poignets et aux chevilles, et serre les bien ». Je ferme ceux de mes poignets, avant de me pencher pour les chevilles. Chaque bracelet a deux anneaux en fer, elle me donne huit clips que je pose sur chacun des anneaux.

    Elle me montre le collier de cuir de cou assorti avec une plaque métallique gravé du mot esclave. Elle me le pose elle même et en profite pour le serrer un peu trop, et y mettre quatre clips, mais je ne me plains pas. Elle termine en m’aidant à enfiler un soutien-seins en cuir, elle serre elle même chaque sein à leur base, suffisamment pour les faire gonfler de suite comme des petits ballons. Elle se recule et me contemple, visiblement satisfaite.

    Elle m’entraîne dans sa chambre pour choisir de très beaux escarpins à lanières de cuir à talons très hauts qui laissent mes orteils nus. Puis elle me peigne gentiment, me maquille un peu les lèvres, avant de s’asseoir sur le lit pour écrire sur mon bas ventre et au bas de mes reins avec le bâton de rouge à lèvres, des mots que je ne peux pas déchiffrer.

    Bien que très intriguée, je n’ose rien lui demander. Elle s'arrête dans le couloir qui mène au salon et décroche d'une patère un imperméable beige que j'enfile sur mon corps nu avant d'être poussée vers Annie :

    « Voilà notre putain est prête, tu as eu de bons contacts ? ». « J’en ai eu presque cinquante et j’ai du faire un tri sévère, mais j’en ai gardé trois qui semblent intéressants ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 20h

    Annie me demande d'enlever mon imper et me contemple, elle aussi semble contente de mon look, elle sourit en lisant les inscriptions sans que je ne puisse deviner ce qu'elles disent ! Elle me fait asseoir sur un des fauteuils devant le clavier. Je constate que j’ai trois fenêtres d’agrément ouvertes en haut à gauche de mon écran. A sa demande, j’agrée le premier qui me demande immédiatement en dialogue :

    « Tu es Loréna ? » « Oui ».

    « Ton annonce est sérieuse ou tu es une fantasmeuse ? » « Elle est très sérieuse ».

    « Tes copines matent, on peut donc faire ça en roulant ? » « Oui tout à fait ».

    « Tu avales après avoir sucé ? » « Oui ».

    « Tu baises aussi ? » « Oui avec un préservatif ».

    « Et tu te mets à poil ? » « Oui ».

    « Comment être sur que tu es bien la fille de la photo ? » « Acceptez une connexion cam ». « Ok ».

    Mon visage s’affiche sur l’écran mais mon sourire est un peu crispé, Agnès me pince cruellement la cuisse en me murmurant de sourire franchement, ce que je fais à contre cœur.

    « Tu peux te montrer un peu plus ? ». Agnès m'ordonne de me lever, elle dirige un halogène sur moi, je me recule, pour bien m'offrir, alors qu'elle promène vicieusement la web-cam sur moi en insistant sur mon visage, mes seins et bien sur mon con et mon cul nus.

    « Tu es bandante, tu garderas ce soutien gorge pour la rencontre ? » « Oui ».

    « Je peux te rencontrer à 20h30 dis moi où ? » « Sur le parking de Baobab. Je serai dans une X3 BMW immatriculée 63. Ca te va ? » « Oui, très bien ».

    « Tu m’accordes combien de temps ? ». Agnès me murmure le tarif à mon oreille : « Ca dépend de vous je demande 25€ le quart d’heure pour du sexe et 40€ pour du bdsm » « Ok je te retiens pour une demie-heure ! »

    « Oui, comment vous appelez vous ? ».« Sam, tu veux me voir aussi en cam ? ».

    Agnès me fait non de la tête. « Non ce n’est pas la peine, à tout à l’heure Sam je coupe » « Bien à tout à l’heure ». Agnès me caresse les cheveux en me disant : « Bravo putain, je suis fière de toi. Allez agrée le deuxième, tu n'es libre qu'à 21h ne l’oublie pas ».

    J’agrée le deuxième :

    « Bonjour, je suis Henri, c’est toi la pute ? » « Oui c’est moi ».

    « Ouvre ta cam que je te vois ! ». J’ouvre une session cam et apparaît souriante gorge nue. « Ok c’est bien toi, je peux te rencontrer à 20h30 ».

    « Je ne suis libre qu’à 21h et c’est 25€ le quart d’heure pour du sexe et 40€ pour du bdsm ». « Entendu 21h, un quart d’heure me suffiront. Où est le rendez-vous ? »

    « Parking Baobab une X3 immatriculée 63 » « Ok Ciao putain à tout de suite ».

    Agnès constate : « Eh bien il est pressé celui là ! Allez le troisième pour 21h15 et si on peut on en prendra un quatrième ! ». Je la regarde d’un air désespéré en agréant le troisième contact.

    « Bonjour vous êtes Loréna ? » « Oui c’est moi ».

    « Vous êtes très belle en photo ! » « C’est gentil ! ».

    « C’est sincère je vous assure et c’est aussi l’avis de ma femme » « Ah vous êtes un couple ? ».

    « Oui, ça vous contrarie ? » « Non pas du tout ».

    « Alors vous devez finir vos fins de mois comme ça ? » « Oui, je n’ai pas beaucoup d’autre choix ! ».

    « Nous vous comprenons ! Nous pouvons nous voir à 20h30 ? » « Désolée, je ne peux pas vous prendre avant 21h15, si ça vous va ».

    « Ah bon vous avez déjà des clients avant nous ? » « Oui en effet » « Vous prenez 25€, c’est ça ? »

    « Oui pour un quart d’heure de sexe et 40€ pour du bdsm » « Ah, je n'avais pas vu cette option, ça va nous intéresser, donc ça ferait 160€ pour une heure d'obéissance, si je calcule bien ? »

    « Tout à fait » « Si vous accédez à notre demande, nous pouvons même vous donner 200€ pour la même durée »

    « Tout dépend de votre demande » « Nous avons un bateau sur l’Allier, vous pouvez nous y rejoindre, vous et vos deux amies ? »

    « Mes deux amies ne participent pas » « Oui votre fiche est claire : elles se contentent de regarder »

    « C’est ça, mais il faut que je leur demande » « Allez y, prenez votre temps ».

    Je me retourne vers Annie et Agnès, elles se sont déjà concertées et me disent d'approuver en hochant leurs têtes.

    « Entendu, elles sont d’accord ».« Je peux me permettre une question indiscrète ? »

    « Je vous écoute ». « Seriez vous soumise à vos deux amies ? ».

    Je questionne les deux femmes du regard. Annie répond doucement : « Dis lui que tu es très soumise, très pute et bien éduquée ».

    Je donne cette réponse à mon interlocuteur. « Eh bien nous allons passer un bon moment, vous êtes le genre de fille que ma femme et moi recherchons : et aimons rencontrer régulièrement. Notez bien notre adresse : Port des Thermes, troisième ponton, numéro 28, nous vous attendons à 21h15, vous et vos amies ». « Entendu, Monsieur ». « A tout à l’heure ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 20h20

    Trempée par ces conversations, je coupe et Agnès prend ma place. En vraie pro d’internet, elle entre sur le site, rectifie ma fiche et me positionne comme absente sur Hotmail.

    Elle semble contente et dit : « Il est 20h20, le lieu de rendez vous est à cinq minutes nous partons de suite ». Elles enfilent leurs manteaux, moi mon imperméable et nous la suivons. Elle ferme la porte de son jardin et se met au volant de mon auto. Comme Annie, elle porte un jean et un pull à col roulé mais je n’ai pas vu ses chaussures. Elle démarre en me disant : « Ca va le plug et les boules te font du bien ? Tu dois être bien trempée ! Tes clients vont apprécier ».

    Elle conduit en silence et sans radio, Annie fume à côté d’elle sans rien dire et moi je suis assise derrière contractée et anxieuse comme de coutume avant de faire quelque chose de nouveau avec des inconnus.

    Cinq minutes après, nous arrivons sur le parking désert de la jardinerie. Agnès choisit de se garer dans un endroit peu éclairé. Une minute plus tard, une voiture se rapproche de la nôtre, un homme nous regarde puis s‘éloigne. Agnès réagit : « Fausse alerte, putain, enlève tes boules de ton vagin et donne les à Annie, pour le moment tu es assez excitée comme ça ».

    Je m’exécute alors que la voiture revient, le conducteur stoppe au niveau de la fenêtre d’Agnès, il ouvre sa fenêtre et elle en fait autant : « C’est la voiture de Loréna ? Je suis Sam ». « Oui, c’est bien ça gare toi et monte derrière avec elle, nous allons dans un endroit ou vous serez plus tranquilles ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 20h30

    L’homme se gare et sort de son auto. Il semble avoir la trentaine et est en tenue décontractée, joggings aux pieds. Il est un peu enrobé mais le tout est relativement sympathique.

    Je respire un grand coup : je suis horriblement mal à l’aise et contractée. Il entre par la portière de droite. Agnès le salue et dit : « Sam je te présente Loréna, amuse toi bien, tu as trente minutes comme convenu, tu as choisi le sexe ou le bdsm ? ». « Le sexe, Madame ». « Bien, donne tes 50€ à Loréna, nous ne sommes pas ses maquerelles ».

    Il me donne un billet de 50€ que je mets dans la poche de mon imper et Agnès démarre. Sam ne perd pas de temps, il sait qu’avec les vitres teintées personne ne peut nous voir : il m’ordonne de me coucher sur la banquette et de mettre mes pieds sur ses genoux. Je m’exécute le ventre noué. « Hum jolies chaussures mais je ne suis pas fétichiste ». Il me les ôte et les jette sous le siège. « Ouvre ton imper que je vois la marchandise ». Mes mains tremblent, j’ai cinq boutons à défaire et j’écarte lentement les pans de mon manteau. « Hum, à poil sous ton manteau. Tu es une chaudasse toi. Tu as vite fait de te dessaper. Je bande depuis tout à l’heure pour ton soutien-gorge qui te fait des nichons comme des ballons ! ».

    Il se penche un peu vers moi : « Dis moi comment ça marche ? ». Je suis tellement émue que c’est Agnès qui doit répondre tout en conduisant : « La base des nichons est serrée par deux petites ceintures de cuir qui se règlent au diamètre voulu ». Il me fait relever un peu la tête et approcher ma poitrine il a visiblement envie de tester le jouet. Il défait le sein gauche de sa position et le ferme sur la position la plus douce, le sein se dégonfle d’un seul coup comme s’il respirait. Il fait pareil à l’autre sein en expliquant : « J’aime bien les nichons qu’on peut pétrir avec des bouts qui bandent. Tu dois être très maso pour porter des trucs comme ça ! ».

    Il rit et me gifle violemment les seins : un aller retour de sa main droite qui claque dans le silence de la voiture. J’essaye de ne pas trop bouger. En se relevant il dit : « Ah mais je n’avais pas vu ça ! Qu’est ce que tu as écrit sur to, bide ? ». Il lit : « Je suis une putain bon marché » suivi d’une flèche qui semble inviter à continuer la lecture dans le dos. « Enlève ton imper, putain, et montre moi ton cul ». Un peu d’acrobatie et je me tourne pour qu'il puisse continuer sa lecture : « Pour 25€ je fais ce que vous voulez sauf » et une flèche descend vers le trou du cul. « Tu es un vrai catalogue vivant toi. Je comprends pourquoi tu ne peux rien prendre dans le cul ! Il est déjà bien encombré ! J’ai rarement rencontré une salope comme toi ! Je vais me régaler ».

    Agnès annonce que nous sommes arrivés dans un endroit sans risque. Comme Annie l’a fait avec son miroir de courtoisie, elle règle le rétroviseur pour mieux voir ce qui se passe sur la banquette arrière, visiblement elles ont décidé de se faire discrètes.

    « Mets toi sur le dos putain et branle ta chatte de salope pendant que je me dessape ». Sans me quitter des yeux il se dévêt des pieds à la tête en gardant ses chaussettes ce qui me fait sourire intérieurement. Par contre son sexe ne me fait pas rire : il est très long et très gros et je pense qu’il n’est pas encore en complète érection.

    « Allez en levrette maintenant et viens sucer mon bâton, et n’arrête pas de te branler je veux t’entendre gémir ». Je me mets en position mais à peine ai je posé mes lèvres sur son sexe, qu’il appuie sur ma tête, pour le faire rentrer dans ma bouche jusqu'au fond de ma gorge. J’ai une nausée quand il le cogne, mais je me retiens : ce n’est pas le moment de vomir.

    Rageusement il me prend des pleines poignées de cheveux et fait coulisser lui même son sexe dans ma bouche, m’utilisant comme une poupée gonflable. Il s'excite de plus en plus tout seul et je le sens encore grossir dans ma bouche il hurle : « Sale putain, tu ne mouilles pas encore assez ? Fais moi entendre le bruit que tes doigts font dans ton con dégoulinant de tes jus de putain ! ».

    Je suis tellement trempée qu’il me suffit de me gifler doucement la chatte ouverte de trois doigts pour lui faire entendre le bruit qui semble tellement l’exciter. « Salope, je ne sais pas pourquoi tu voles de l’argent à tes clients, en fait tu fais ça pour le plaisir. Je n’ai jamais vu une pute aussi mouillée que toi. Tu es vraiment la lie des putains ». Il semble furieux pour de bon, il ressort son sexe de ma bouche et commence à me taper le visage avec : les joues, les oreilles, il essaye de l’enfoncer dans mes yeux et mouille mes narines, et finit par le renfoncer brutalement dans ma bouche.

    Je sens quelque chose passer au dessus de ma tête sans pouvoir savoir ce que c’est, mais très vite Sam éclaire ma lanterne : « Sympa ta copine comme je pensais me faire sucer je n’avais pas apporté de préservatif et elle en m’en donne un ! Tiens mets le moi sur la queue ». Je ne suis pas vraiment une experte mais peu de temps après il est bien encapuchonné et toujours aussi dur. Il me pousse vers la portière et s’installe au milieu de la banquette cuisses largement ouvertes et sexe bien droit collé au ventre. « Allez viens t’asseoir sur ma bite belle salope, tu vas t’envoyer en l’air pour le même prix, tourne moi le dos et empale toi sur moi, vite ».

    Je l’enjambe et je baisse les fesses. Je prends son sexe dans ma main droite et le guide vers mes lèvres trempées. Quand je sens qu’il est bien en place, je me laisse tomber poussant un grand cri quand le sexe butte au fond de mon vagin. « Dis moi, putain, tu as déjà été remplie comme ça dans ta vie ». Je fais non de la tête.

    « Quitte ton soutif ! Je veux que tes nichons ballottent quand je te ferai sauter au plafond ». Il me dégrafe et je l’enlève, il en profite pour me prendre les seins par en dessous et les faire sauter le plus haut possible. « Appuie toi sur mes cuisses pour m’aider ». Lui, de son côté, empoigne les dossiers des deux sièges avant. Et il commence à me défoncer en me faisant sauter à chaque mouvement. Il a les muscles des cuisses très puissants, je semble être un poids plume pour lui.

    Agnès et Annie ne ratent rien du spectacle : elles voient mes tétons boursouflés de désir et entendent les bruits obscènes de la bite entrer et sortir de mon vagin trempé. Elles me regardent sauter en l’air, comme une poupée indécente, au rythme des puissants coups de reins de Sam. « Eh les copines vous ne voulez pas lui griller les nichons avec l’allume cigares ? Ce serait rigolo non ? ». Elles ne répondent rien, le laissant délirer.

    Agnès en riant me dit : « Demande à Sam si sa putain lui convient ». Je dois me racler la gorge pour parler : « Ooooh Sam ! Dites moi si votre putain fait bien son travail ? ». Sam accélère ses coups de boutoir : « Oui quand tu auras joui avec la chatte défoncée, tu seras la reine des putains et je te recommanderai à tous mes amis ! ». Agnès en rajoute : « Bien on t’emmènera tapiner pour nous dans le bois du bord d’Allier ! ». Je regarde devant moi, sans rien voir alors que les coups de reins m’emmènent vers un orgasme que je ne peux plus contrôler.

    Comme l’avait promis Sam, ma tête heurte le toit de la voiture. J’abandonne ses cuisses et prends mes seins dans mes mains un peu pour calmer leurs mouvements mais surtout pour en pincer les bouts entre deux doigts de chaque main. Et c’est comme ça que je jouis dans un grand cri qui semble ne plus finir et fait vibrer la voiture alors qu’étonné par la puissance de ma jouissance, Sam lâche tout dans son préservatif.

    Mon corps se crispe, se tend et se tord dans tous les sens, je ne me rappelle pas avoir eu un orgasme aussi fort et aussi long dans ma vie, au bout d'une éternité de secondes, je m’écroule sur lui complètement épuisée. Il me dit à l’oreille : « Eh bien je ne savais pas qu’une femme pouvait jouir aussi fort et aussi longtemps ! Tu es vraiment chaude, toi ! ». Je souris en lui assurant que c’est son sexe qui m’a fait cet effet, mais il ne sait pas que ça fait plusieurs heures que ma chatte est taraudée par les boules de geisha et que depuis que nous sommes arrivées à Vichy, j’ai subi humiliation sur vexation sans avoir droit à un orgasme libérateur.

    Sam débande lentement et me soulève pour me déposer à côté de lui sur la banquette. Je vois son sexe décliner, toujours encapuchonné.

    Agnès lui dit : « Tu devrais enlever ton préservatif et le donner à mâcher à ta putain, comme ça elle aura rempli sa promesse de te boire ! Et elle aura en plus un chewing gum ! ». Je suis affolée par l’imagination et le vice d’Agnès : je me croyais vicieuse mais je ne suis qu’une enfant par rapport à elle ! Sam approuve en riant, il quitte son préservatif en faisant attention de ne rien perdre et me fait mettre la tête tournée vers le haut sur ses genoux, il pose le bord du préservatif sur mes lèvres et presse doucement pour le vider entièrement dans ma bouche.

    J’avale et je déglutis en même temps, le sperme s’écoule lentement, j’ai le temps de tout avaler. Quand il est sur que le préservatif est vide, il le roule et le glisse dans ma bouche. Et je commence à mâcher, le cœur au bord des lèvres. Nous roulons déjà quand Sam se fait sucer la queue pour se nettoyer et il se rhabille alors que je renfile mes escarpins, mon soutien-seins et mon imper. Il passe une dernière fois sa main entre mes cuisses : « Pour garder un peu de ton odeur de putain ! ».

    Et descend en nous saluant toutes les trois.

    Mardi 31 janvier 2017 - 21h

    Agnès se gare au même endroit. Visiblement, nous sommes attendues car un homme s’approche de notre voiture. Agnès baisse sa vitre. « Henri, c’est toi la pute ? ». Agnès rit « Non elle est derrière monte avec elle ». J’ai le temps de le voir arriver : la soixantaine, le crâne quasiment chauve, un gros ventre et surtout, il n’a pas l’air bien propre. Il monte à côté de moi. Agnès fait mine de démarrer mais il lui dit : « Pas la peine on va faire ça ici, il n’y a aucun risque ». Agnès lui demande s'il veut du sexe ou du bdsm, il répond an lui donnant 25€ qu'elle refuse en lui demandant de me payer directement.

    Il se tourne vers moi : « Mets toi à poil ». J’enlève mon imper. Il ne fait aucun commentaire. Il défait son pantalon, le baisse de même que son caleçon et se cale au milieu de la banquette : « Tu te mets à genoux devant moi les jambes vers le levier de vitesse, tu te cales comme tu peux démerde toi ». Je tarde à m’exécuter mais finalement, j’arrive à me faufiler entre les deux sièges. Je suis un peu coincée mais mes genoux me calent bien au sol et mes hanches sont coincées par les fauteuils avant. Il a commencé à se branler, son sexe me paraît tout à fait normal bien que pas très propre.

    « Tu vas enlever ton soutif de merde et me branler entre tes nichons et si tu vois du liquide couler tu mets la langue ». Il se cale bien au fond de la banquette et me confie son sexe que je glisse entre mes seins après avoir enlevé le soutien-seins que je venais d'enfiler ! Je comprime de suite mes seins autour de son sexe, et, en les montant et les descendant, je le branle en essayant de maintenir l’étau bien serré.

    Il grogne : « Enfin une putain qui sait se servir de ses nichons, décalotte moi, pouffiasse, ce sera meilleur pour moi ». Je le prends dans ma main droite et tout en le masturbant, je baisse la peau de son gland. J’ai un haut le cœur en voyant la mousse blanche accumulée sous sa peau. Il rit : « Pourquoi se laver alors qu’une pute comme toi fait ça si bien ? ». Je ne dis rien et range mon envie de vomir. Je remets le sexe entre mes seins et recommence à le faire coulisser entre mes globes. Le gland s’humidifie et j’y passe ma langue en surmontant avec beaucoup de difficulté mon dégoût.

    « Crache entre tes nichons ça coulissera encore mieux tu verras ». Je salive et bave entre mes seins, ce qui humidifie son sexe qui coulisse en effet plus rapidement. « Lèche et suce mon gland à présent ! ». L’ordre redouté est arrivé et c’est les yeux fermés que je lèche et suce son gland, le nettoyant comme probablement il ne l’a jamais été.

    Il a devancé mes envies : je voulais essayer de cracher sur le côté, mais il relève mon menton et me dit : « Je veux te voir déglutir devant moi, après tu me feras cette pipe promise, j’ai trois mois de foutre en réserve à te donner : tu vas te régaler ». Je salive beaucoup pour essayer de déglutir sans nausées et écartant mes seins je me jette sur son sexe que je pousse de suite au fond de ma bouche et je commence à le faire coulisser entre mes lèvres serrées juste assez pour qu’il les sente bien.

    Je ne l’entends plus, sinon grogner son plaisir, toujours profondément enfoncé dans la banquette, il me laisse faire à ma manière, lui caresser les testicules, lui branler la base de la bite tout en le suçant. Je le sens grossir dans ma bouche et sans que je ne le sente venir, il explose dans ma bouche en de longs jets poisseux et gras qui n’arrêtent pas. Je suis sûre qu’il ne mentait pas quand il me disait qu’il avait trois mois de réserve.

    J’essaye de suivre le flot de ses jets en les avalant au fur et à mesure mais ma bouche s’est trop vite remplie, et je sens un peu de sperme couler de mes lèvres sur mes seins. Il n’y fait aucune attention. Un dernier coup de rein, un dernier soubresaut, un dernier jet que je peux avaler totalement.

    Et il se laisse débander doucement dans ma bouche me demandant doucement de bien le nettoyer. Ce que je fais de ma langue et de mes lèvres. Il m’aide même à me relever, ce qui n’est pas simple et me dit : « Tu sais tu devrais prendre plus, tu mérites mieux que ce tarif de pipeuse dans le bois des bords d’Allier, elles ne t'arrivent même pas à la cheville ! ».

    Il se rhabille en silence et sort sans nous saluer.

    Mardi 31 janvier 2017 - 21h10

    Agnès se retourne vers moi : « Sacré numéro ce mec ! ». Je fais la grimace en répondant : « Oui surtout au niveau de l’hygiène, vous n’avez rien à boire, Agnès ? J’ai l’estomac au bord des lèvres ». Annie me répond d’une voix courroucée : « Tu te crois où ? Putain ? La seule boisson que tu es autorisée à boire quand tu es avec Agnès, c'est de la pisse ! Si tu veux, sors couche toi sur le sol à poil et je vais t'abreuver à même la source ! Ca tombe bien, j'ai une petite envie ! ».

    Je m'excuse : « Pardon Madame, je n'ai pas réfléchi à mon statut actuel, merci de ne pas m'en vouloir pour cette faute ». Je me rhabille silencieusement : « Je ne t'en veux pas, Putain, personnellement je n'aurais jamais pu pomper ce clodo et le nettoyer aussi bien que tu l'as fait, je suis très fière de toi, mais Annie à raison, à Vichy tu feras des cures de pisse ! Mets toi ça dans ta petite tête très mignonne ! Allez, l'incident est clos, nous sommes dans les temps et devrions être à l'heure au port ». Elle règle le GPS et démarre en prenant la direction de l’Allier et du port de Vichy.

    Mardi 31 janvier 2017 - 21h20

    Nous arrivons un peu en retard car le parking du port des Thermes est assez loin des pontons et celui auxquels sont arrimés les plus gros bateaux de rivière est le plus éloigné.

    Par contre nous n’avons aucune difficulté à trouver le numéro 28 qui est le seul éclairé en cette saison peu propice à la navigation fluviale. Un homme d’une cinquantaine d’années nous attend sur le pont d’un grand bateau, il nous fait signe et nous accueille avec le traditionnel : « Bienvenue à bord ». Je remarque qu’il est en chaussettes, et il nous demande de respecter la règle des bateaux en nous déchaussant, ce que nous faisons en rangeant nos souliers dans des casiers prévus à cet effet. Annie et Agnès restent en bas, quant à moi je me retrouve pieds nus.

    Les présentations ont lieu sur le pont : il s’appelle Daniel, en le regardant je pense que ce doit être un homme d’affaire, peut être un banquier. Il a les cheveux poivre et sel et une grande élégance aussi bien vestimentaire que physique. En souriant en moi même je le qualifie de quinqua bien conservé.

    Agnès se présente, qualifiant Annie d’amie intime et moi de fille corvéable à souhait. Ce qui fait rire Daniel qui juge l’expression aussi bien imagée que passéiste et explicite. Il nous précède en nous invitant à entrer dans le bateau. Après avoir descendu une dizaine de marches, nous arrivons dans un salon qui n’a rien à envier à ceux des plus beaux appartements de Vichy, tant en surface qu’en luxe.

    Une femme est assise dans un des canapés et se lève à notre arrivée. Daniel nous présente : « Yin, mon épouse ». C’est une asiatique qui n’est plus toute jeune, je l’estime à la quarantaine, mais elle a beaucoup de charme dans un superbe kimono bleu marine. Elle aussi est pieds nus avec des ongles superbement vernis et des pieds qui ne doivent pas atteindre le 34 de pointure ! Elle embrasse Annie et Agnès et me toise d’un regard hautain à la limite du mépris. Daniel tient à nous préciser qu’elle est Japonaise et ne parle pas très bien le Français. J’en déduis que cette union est récente et qu’elle est même probablement sa maîtresse.

    Daniel sort une bouteille de champagne et dit à Agnès : « Je pense que ce serait bien que Loréna aille se doucher puisqu’elle a eu l’honnêteté de nous dire que nous n’étions pas ses premiers clients de la soirée ».

    Je suis invitée à suivre Yin qui me pousse hors du salon, et me dirige vers la salle de bains sans me dire un mot, elle referme la porte me laissant seule. La salle de bains est plus grande que la mienne ! J’ai le choix entre une baignoire et une douche, j’opte pour la douche, et commence à faire couler l’eau tout en enlevant tous mes accessoires en cuir et mon plug. Je passe sous l’eau avec plaisir. J’hésite un peu mais, finalement, je décide d’enlever les inscriptions que j’ai sur le corps, je pense qu’elles ne correspondent pas au style des gens qui nous reçoivent et qui me payent.

    Je me savonne soigneusement, me rince longuement la bouche avant de sortir et de me sécher. J’ai pris soin de ne pas me mouiller les cheveux : je renfile mon collier, mes bracelets, mon soutien gorge en cuir et tout en sachant que je prends un risque je mets le plug soigneusement nettoyé dans la poche de mon imperméable. J’espère que mes dominantes ne m’en voudront pas de ces initiatives. Je m’apprête à remettre mon imperméable quand je vois un peignoir qui me semble mieux adapté à la situation. Encore une initiative, bah, au point où j’en suis : c’est donc en peignoir que je réapparais dans le salon.

    Agnès me gronde : « Salope, qui t’a permis d’emprunter un peignoir ? ». Mais Daniel me défend de suite : « Non ne la grondez pas, elle a bien fait, elle est bien plus sexy en peignoir qu’avec son imperméable et de toutes les manières elle ne le gardera pas longtemps ! ».

    Je reste debout sans être invitée à boire et Daniel dit : « Bien Mesdames, il est 21h40, nous avons bien papoté et nous connaissons un peu plus la mentalité, les goûts et les tabous de cette charmante fille corvéable à souhait comme le dit si bien Agnès ! Je propose que nous passions aux travaux pratiques ! ». Agnès rit en lui répondant : « C’est ce que j’allais vous proposer mon cher Daniel ! ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 21h40

    Nous le suivons toutes les quatre, en descendant vers ce qui semble être un autre pont accessible par une porte dérobée. Il allume des lumières indirectes et tamisées et une salle sort de l’ombre. Est ce une salle de sport ? Ou une chambre ? Ou un cabinet médical ? Ou un étrange mélange des trois ? Mais j’avoue que ce lieu me met mal à l’aise. Daniel s’approche de moi en me disant : « Yin adore jouer avec des femmes : tu vas voir qu’elle a beaucoup d’imagination provenant de son origine asiatique, mais il faut que tu saches que tout ce qui va t’arriver pendant une heure et demie a été approuvé par tes amies, donc je n’accepterai aucun refus, aucune hésitation ou aucune jérémiade. Tu as bien compris Loréna ? ».

    Je réalise qu’ils se sont mis d’accord sur une durée plus élevée avant de répondre d’une petite voix : « Oui Monsieur j’ai très bien compris ». Daniel, Annie et Agnès vont s’asseoir dans le coin le plus obscur de la salle : je les distingue à peine. Yin se met face à moi et d’un geste gracieux elle fait glisser son kimono sous lequel elle est entièrement nue : elle est très mince, avec des petits seins aux aréoles très brunes et aux tétons pointus et un ventre entièrement lisse. Elle a de magnifiques yeux verts qui brillent je ne saurais dire si c’est de vice ou d’excitation.

    Sans un mot elle me pousse vers ce qui ressemble à un fauteuil de gynécologue, elle allume un spot qui l’éclaire entièrement et me fait enlever mon peignoir. Elle passe une main discrète dans mon con et mon anus pour vérifier que je suis bien vide.

    Sans même accorder un regard à ma nudité, elle m’aide à m’asseoir, dans ce fauteuil qui laisse mon buste et ma tête relevés alors que mes cuisses et mes chevilles sont posés sur des étriers relevés qui m’ouvrent totalement l’entrecuisse. Elle s’affaire autour de moi, m’attachant les cuisses et les chevilles avec des courroies de cuir intégrées aux étriers, alors que mes pieds restent dans le vide, puis, passant derrière moi elle sort deux bras métalliques du haut du fauteuil et m’y attache les coudes et les poignets me tendant ainsi les bras au dessus de la tête. Elle écarte les branches métalliques pour bien m’ouvrir les bras. Je me sens très inconfortable dans cette position qui m’ouvre totalement sans que je ne puisse rien faire.

    Elle passe à côté de moi, elle serre les lanières de mon soutien-seins en les positionnant au maximum : mes seins gonflent immédiatement et me font mal, mais avant que je n’ai eu le temps de gémir ou d’hurler, elle m’oblige à ouvrir la bouche et me pose sur les dents supérieures et inférieures un appareillage d’acier relié à une structure de cuir qu’elle serre sur ma nuque.

    Elle tourne une clé sur le côté et peu à peu je sens ma mâchoire s’ouvrir, sans que je ne puisse rien faire. Quand elle arrête, j’ai la bouche grande ouverte, et je ne peux que sortir ma langue et baver abondamment sans pouvoir émettre un seul son, sinon des grognements inaudibles.

    J’entends Annie dire : « Hum, que c’est excitant, dommage que je ne puisse pas filmer tout ça ». Daniel rit en lui répondant : « Je dois vous avouer un petit secret, cette salle est équipée d’un système de prises de vues assez sophistiqué. Yin et moi aimons nous repasser les images des séquences les plus excitantes. C’est d’ailleurs quand nous visionnons ces séances que je prends réellement le plus de plaisir avec ma femme. Je vous donnerai une copie du DVD de ce soir ». Annie le remercie.

    Pendant ce temps, Yin s’est assise sur une sorte de coffret métallique placé entre mes cuisses, elle tient à la main une bougie assez fine qu’elle a enduit de crème. Elle l’enfonce facilement dans mon vagin, la tournant pour que la crème imprègne bien tout mon vagin, elle la ressort, remet de la crème et recommence l’opération dans mon anus qu’elle lubrifie soigneusement.

    Quand elle estime que je suis prête, elle se lève et ouvre un des tiroirs de la boîte métallique. Daniel commente pour ses invitées : « Comme vous le voyez cet appareil que nous avons fait faire selon des plans de Yin est une machine à baiser sur laquelle on peut adapter différentes tailles de godes ou de vibros, Yin s’en sert souvent pour s’envoyer en l’air, mais vu les précautions qu’elle a prise pour lubrifier Loréna, je pense que cette dernière va avoir droit à des dimensions hors normes ! ».

    Daniel connaît bien sa femme, car elle sort deux godes noirs d’une dimension assez monstrueuse qu’elle me montre en me regardant vicieusement dans les yeux. Elle les clipse sur les deux embouts sortis de la machine et se lève avec une télécommande dans la main. Elle appuie sur un premier bouton qui fait avancer le gode destiné à mes fesses, elle en ajuste la hauteur, écarte bien mes fesses, remet un peu de crème sur mon anus et fait entrer le gode d’une poussée continue dans mon anus, le dilatant comme jamais je ne l’ai été. J’essaye de hurler mais rien ne sort de ma bouche, sinon un flot de bave.

    Quand elle est sure que le gode est bien au fond de mon cul, elle fait pareil avec celui de mon vagin qui entre plus facilement tout en me dilatant à la limite de la déchirure. Yin attend quelques instants pour me laisser me calmer, puis elle vient me regarder droit dans les yeux son visage à quelques centimètres du mien. Et elle met la machine en route, je sens les deux godes se retirer lentement de moi, jusqu'à ce qu’ils sortent, pour re-rentrer lentement en moi m’arrachant des larmes de douleur. Yin augmente progressivement la cadence jusqu’à arriver à un pilonnage de mes orifices bien plus rapide que ne pourrait le faire un homme.

    Pour la première fois de la soirée, je la vois sourire de mes mouvements inutiles pour éviter ces godes et de mes torsions sur le fauteuil qui n’ont d’autre effet que de rentrer le cuir des lanières dans mes chairs. Daniel explique : « Avec cette machine, Loréna va enchaîner orgasmes sur orgasmes et Yin pourra jouer avec elle en toute liberté ! ».

    Je suis dans un état second : les godes me font tellement d’effet que je suis au bord d’un orgasme que je sais ne pas pouvoir éviter. Yin vient me mordiller le lobe de l’oreille et glisse sa langue dans mon oreille et se relevant, elle me regarde dans les yeux en me disant : « Jouis putain, laisse toi aller ». Je grogne, mes yeux chavirent et je jouis.

    Yin sourit à Daniel qui dit aux deux femmes : « Premier orgasme : elle se régale ! ». Dans des encoches placées sur les côtés du fauteuil, au niveau de mon ventre, Yin pose un arceau de métal au dessus de moi : trois élastiques terminés par des pinces en fer pendent du haut de l’arceau. Yin se penche sur mon téton droit, le caresse, le lèche et le mordille, quand il a bien réagit, elle prend une des pinces et l’accroche à mon téton, l’élastique se tend m’arrachant des larmes de douleur. Elle fait pareil à l’autre téton qui semble s’arracher de mon sein. La troisième pince est pour mon clitoris : la douleur est si forte que je manque de m’évanouir. Yin revient vers ma tête et me caresse les cheveux tout en ramassant ma bave avec un de ses doigts qu’elle enfonce dans ma bouche sans défense.

    Elle m’embrasse le front, me sourit, me mordille les oreilles, me murmurant de temps en temps : « Envoie toi en l’air, tout le monde sait que tu aimes jouir et moi j’adore te voir le visage déformé par le plaisir et la douleur ». Malgré la douleur des pinces, je jouis une deuxième fois, ce qui n’échappe pas à Yin qui l’indique à Daniel qui applaudit : « Bravo, et de deux, elle est bien réceptive cette petite Loréna ! ». Yin prend ma langue entre ses dents et tire méchamment dessus avant de relever sa tête et de me cracher dans la bouche en me disant : « Ne perds rien du spectacle : c’est un moment que j’adore ! ». J’avale péniblement sa salive et la mienne en redoutant ce qu’elle s’apprête à me faire.

    Mardi 31 janvier 2017 - 22h20

    Elle décroche d’un seul mouvement les deux pinces de mes tétons, me laissant celle du clitoris et sort d’un autre tiroir de la machine un coffret qu’elle ouvre et me présente, je vois avec angoisse que ce sont des aiguilles d’acupuncture de différentes longueurs.

    Je grogne encore plus fort et essaye de remuer mon corps pour échapper à ce que je redoute, mais Yin s’installe à côté de moi et prend dans sa main gauche mon sein gauche gonflé comme une baudruche, je me rends compte que je suis plus impressionnée que je n’ai mal, elle semble experte et chaque fois qu’elle enfonce une aiguille verticalement dans le gras de mon sein elle le presse de son autre main pour que les douleurs se confondent.

    Très vite je me retrouve avec une vingtaine d’aiguilles enfoncées dans le sein formant un cercle presque parfait à quatre ou cinq centimètres de mon aréole. Yin se lève et se prépare à faire la même chose au sein droit qui lui aussi a droit à sa couronne d’aiguilles. Puis elle en rajoute en faisant un cercle autour de mon nombril : les piqûres ressemblent à des aiguillons d’insectes et sont plus excitantes que douloureuses.

    Je me demande comment cette vicieuse sadique a omit de s’occuper de mes tétons. Mais je regrette vite cette pensée car elle sort quatre aiguilles plus longues que les autres et se penche tour à tour sur chacun de mes seins pour enfoncer en croix deux aiguilles traversantes dans mes deux tétons. Ce qui est le comble de la douleur.

    Yin me regarde : elle semble satisfaite de ma préparation. Elle me libère de la pince du clitoris et déclipse les deux godes alors qu’ils sont bien au fond de moi. Elle va chercher dans une armoire un harnais avec une large ceinture de cuir pour ma taille et une autre qui passe entre mes cuisses pour bien bloquer les godes. Elle me caresse le haut du sexe pour bien me montrer qu’à cet endroit la ceinture est ouverte laissant libre accès au haut de mes grandes lèvres et à mon clitoris.

    Elle me détache les cuisses et les chevilles, fait de même avec les coudes et les poignets et m’aide à me mettre debout. Tout le monde rit car je suis obligée de rester cuisses très ouvertes tellement les godes me remplissent alors que mes seins me font mal à hurler. Yin m’enlève la machine à ouvrir ma bouche et me prévient : « Si tu cries je te mets du ruban adhésif sur la bouche ». J’approuve de la tête en respirant enfin correctement et en avalant toute la salive accumulée dans ma bouche.

    Yin me pousse vers Daniel : « Fais lui une pipe, il en a envie ». Docile je me mets à genoux devant lui : il a sorti son sexe tendu et bien humide et je m’applique à le sucer. Il est en effet très excité car en très peu de temps il se répand en de longs jets au fond de ma gorge que j’avale un par un sans en perdre une goutte.

    Mardi 31 janvier 2017 - 22h40

    J’ai à peine le temps de finir de nettoyer le sexe crémeux de Daniel que Yin me prend par les cheveux pour m’obliger à me relever : elle me pousse vers un miroir sur pied et allume un spot dissimulé juste au dessus dans le plafond. Dans la lumière crue, je me vois dépeignée, les yeux rougis par les larmes, les seins gonflés par le soutien gorge de cuir avec deux couronnes d’aiguilles dans la chair des seins et autour du nombril et surtout ces quatre aiguilles qui me traversent les tétons.

    En baissant les yeux, je vois le haut de ma chatte dénudé par la ceinture de cuir qui maintient les godes en moi. Je me sens pitoyable et sans réaction devant ce spectacle que je n’attendais absolument pas à offrir aux autres. Yin me dit vicieusement : « On va cacher tes seins : je n’aime pas voir toutes ces aiguilles ». Elle revient de l’armoire avec un soutien gorge en dentelle aux larges bonnets qui doit recouvrir l’intégralité de mes seins. Elle défait les sangles du soutien gorge de cuir, libérant d’un seul coup mes deux seins qui s’affaissent en se dégonflant.

    Je me mords les lèvres pour ne pas crier tandis que Yin m’aide à enfiler l’autre soutien gorge en me glissant à l’oreille : « Dommage pour toi : je fais du 85b et il va un peu te serrer ». En riant elle entre les deux seins dans les bonnets et agrafe le soutien gorge dans mon dos. J’ai l’impression que les aiguilles rentrent totalement dans mes seins et je ne peux m’empêcher de hurler de douleur. Yin m’insulte en me giflant violemment une oreille jusqu’à ce que je me taise : « Ta gueule sale putain, je ne veux pas t’entendre, tu n’avais pas à avoir des nichons plus gros que les miens : tant pis pour toi ! ».

    Je sanglote en me taisant mais sans arriver à me calmer. Yin se fâche, elle prend une paire de ciseaux et tire le bout d’un bonnet entre ses doigts, elle le coupe, et attaque l’autre pour faire pareil, mes tétons transpercés sortent du tissu. « Allez je vais être bonne avec toi : enlève toi même les aiguilles de tes tétons ». Mes mains tremblent quand je prends délicatement un sein d’une main et que j’enlève le plus doucement possible une des aiguilles. Elle est si fine que je ne saigne même pas, ce qui me rassure un peu. Je fais de même avec les autres. Cette douleur s’évanouit mais les petites aiguilles compressées par le soutien gorge trop serré me font encore plus mal : Yin se place devant moi et me suçote un à un les tétons en me rassurant : « Tu sais j’ai l’habitude d’utiliser des aiguilles et je peux t’assurer que dans quelques heures tu n’auras aucune marque ! ». Mes tétons reprennent de la vigueur et se redressent.

    Yin va chercher quelque chose dans l’armoire, elle en revient avec deux pinces ventouse en plastique dur qu’elle me pose sur chaque téton. Je n’ai jamais vu ça : la pince emprisonne très fort le téton et le pied de la pince est une ventouse. Yin me rapproche du miroir, calcule rapidement la hauteur des ventouses et les fixe sur le miroir, me collant en fait au miroir par les ventouses.

    Daniel précise : « Attention, ces pinces sont auto bloquantes, plus tu tires dessus plus elles bloquent tes tétons, sans relâchement possible ». D’un geste rapide, Yin me clipse le poignet gauche au collier de mon cou. Je peux bouger tout mon corps mais chaque mouvement me tire les tétons. Dans le miroir, je vois Yin sortir des accessoires de l’armoire et demander leur avis au trio de voyeurs. Daniel dit : « Fouet, martinet, cravache, badine ou serviette mouillée, vous avez le choix Mesdames ! ». Annie et Agnès choisissent la cravache.

    Mardi 31 janvier 2017 - 23h00

    Yin revient vers moi, avec une cravache de cuir : « Caresse toi de ta main libre et fais toi jouir, autant de fois que tu le voudras, tu sentiras moins la douleur ». Je la vois poser un tabouret derrière moi et elle me tapote la jambe droite avec sa cravache jusqu’à ce que je la pose pliée sur l’assise en essayant de ne pas perdre mon équilibre, ainsi perchée sur une seule jambe. Redoutant ce qui va m’arriver, je ferme les yeux et commence à me caresser : la fente de la ceinture est étroite et je n’ai accès qu’à mon clitoris et à la partie supérieure de mon sexe : elle me cingle violemment le pied m’obligeant à bouger mon corps et bien sur à me faire mal à hurler aux seins.

    Elle tape très vite, ses coups sont violents et secs, ils résonnent dans la pièce comme des claquements de fouet. La plante de mon pied devient vite brûlante : j’ai de plus en plus de mal à me contrôler, j’ai été obligée de bouger plusieurs fois et j’ai pu constater qu’en effet les pinces serraient de plus en plus mes tétons sans possibilité de les desserrer.

    Mais en même temps, je n’en peux plus, mon clitoris est dressé comme rarement il ne l’a été et je n’ai aucun moyen de me branler sans me le toucher. Oubliant tout le reste, je pars dans un orgasme bestial, criant mon plaisir tout en faisant attention de ne pas trop bouger mes seins. « C’est bien putain, change de pied, je vais m’occuper de l’autre, je peux t’assurer que tu auras du mal à arpenter les trottoirs cette nuit ! ».

    J’ai du mal à poser mon pied meurtri par terre, elle m’y oblige en me cravachant sévèrement les épaules : « Vite, je t’ai dit de changer de pied. Ne me fais pas attendre sale putain ! ». Mon pied meurtri me fait horriblement mal mais j’arrive à poser mon autre jambe sur le tabouret et sans attendre un seul instant Yin s’acharne sur lui comme si elle voulait arracher la peau de la plante de mon pied. J’en pleure de douleur.

    Daniel me prévient : « Attention Loréna, ne te relâche pas, ces pinces peuvent te couper tes bouts de mamelles ! Fais gaffe, je t’aurai prévenue ! ». Après un long moment, Yin arrête enfin et m’autorise à poser mes deux pieds par terre. Sa cravache change de cible et c’est à présent mes orteils qu’elle cravache habilement : chaque coup atteint sa cible. Mais, encore une fois, la douleur se mélange au plaisir et je jouis violemment sans arrêter de pleurer. Yin me sourit sadiquement : « Tu es vraiment une putain très maso, j’espère que Daniel te louera une autre fois, je n’en ai pas fini avec toi et il est rare que je trouve des putains de ton calibre qui endure aussi bien la douleur et en jouisse aussi fort ! ».

    Elle me libère les seins et les mains, m’enlève le harnais, m’aide à enlever les godes qui tombent presque tout seuls tellement je suis trempée, puis elle dégrafe le soutien gorge et enlève une à une les aiguilles de mes seins et de mon ventre. Elle me pousse brutalement dans le dos et nous sortons de la pièce pour pénétrer dans une petite cabine : elle se couche sur le ventre et me dit : « Lèche mon cul et fais moi jouir, allez dépêche toi, fais ce pourquoi on te paye ! ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 23h20

    Nous marchons toutes les trois sur le ponton pour rejoindre la voiture, malgré un onguent donné par Daniel, j’ai très mal aux pieds et j’ai des difficultés à suivre leur cadence. Agnès dit à Annie : « Hum quel bon moment ! Je me suis régalée, pas toi Annie ? ».

    Cette dernière rit en lui assurant qu’elle a frôlé l’orgasme à plusieurs reprises. « Par contre Yin, elle, n’a pas frôlé l’orgasme : je n’avais jamais vu une femme jouir trois fois de suite du cul en si peu de temps ! ». Je comprends que ma séance de gouine a été filmée et qu’elles n’en ont rien raté. Agnès rajoute : « Il faut aussi remarquer que ta putain a été à la hauteur aussi bien dans cette séance dure qu’en gouinant si bien Yin ! Nous pouvons être fières d’elle ! ».

    Elles rient toutes les deux : « Allez dépêche toi, putain, la soirée ne fait que commencer, je te remettrai de la pommade dans l’auto ! ». J’essaye d’accélérer et nous arrivons enfin à la voiture dans laquelle je m’assieds avec un réel soulagement. Agnès démarre alors qu’Annie s’assied derrière avec moi, elle me masse les pieds, la pommade me fait de l’effet, la douleur s’atténue. « Tu vois ma pute en moins de 3h tu as gagné 225€, ce n’est pas un record mais ce n’est pas mal non ? ».

    Je ne réponds rien, me sentant horriblement humiliée et sale car Yin m’a obligée à remettre mon imperméable sans m’autoriser à me laver, ni l’entrejambe pleine de mes sécrétions, ni la bouche pleine de ses jouissances.

    Mardi 31 janvier 2017 - 23h50

    Nous rejoignons la maison d’Agnès. Dès notre entrée, elle me dirige vers la salle de bains en me disant : « Moi je prendrai une douche au premier, toi prends ton temps : tu trouveras de la pommade anti douleur dans l’armoire à pharmacie ! ».

    Sitôt seule, j’ôte mes bracelets et mon collier de cuir et me glisse dans l’eau avec un plaisir non dissimulé. Oooh que ça fait du bien ! Au fil des minutes je me sens complètement transformée, le corps et le cerveau lavés de tout ce qui pourrait laisser des tâches sombres et prête à affronter le monde entier. Décidant d’être raisonnable, je me sèche, m’enduis tous les endroits sensibles d’une pommade très active que je ne connaissais pas mais qui semble extrêmement efficace, mais qui ne vaut pas le baume d'Annie.

    Agnès entre sans frapper : « Ah je vois que tu as retrouvé des couleurs et que tes marques ont quasiment disparues, j’en suis heureuse pour toi ! Je t’apporte de quoi te changer ». Elle pose les affaires sur une desserte et s’en va. Curieuse comme toutes les femmes, je découvre une très jolie robe de soirée, noire, assez longue et évasée, avec un décolleté sage et des jolies bretelles fines, une paire d’escarpins de cuir noirs fermés à hauts talons et aux bouts carrés très allongés et très mode et des bas à élastiques gris perle. Je cherche vainement tout sous vêtements.

    Je me peigne soigneusement, me maquille très légèrement comme à mon habitude et je m’habille. Au passage dans le hall, je me regarde dans un grand miroir : rien n’indique que je ne porte aucun sous vêtements et je dois avouer que ma tenue me plaît beaucoup et me va très bien !

    Agnès et Annie ne tardent pas à me rejoindre. Comme annoncé : elles se sont douchées et préparées dans une autre salle de bains et je les trouve magnifiques : elles sont habillées un peu comme moi mais tout en rouge : même style de robes, escarpins identiques et bas gris perle. Elle sont peu maquillées. Je n’ose pas leur demander si elles portent des sous vêtements !. Agnès me tend un manteau de laine très élégant : « Mets ce manteau, nous partons ». Elles enfilent leur manteau, nous mettons nos cigarettes et nos portables dans nos poches et nous sortons.

    Mercredi 1er février 2017 - 0h30

    Agnès reprend le volant en nous annonçant qu’elle nous emmène boire un verre dans un endroit très sympa. Je ne réponds rien : mon programme étant fixé pour moi depuis longtemps, je n’ai guère mon mot à dire ! Il ne nous faut que cinq minutes pour nous garer devant un club appelé « Lady X ».

    Nous avons du mal à trouver une place car il semble y avoir une grosse fréquentation et un gros 4x4 ne se gare pas comme une Smart. Agnès sonne, une petite trappe s’ouvre et de suite la porte s'ouvre sur une jeune femme, probablement d’origine allemande : « Bonsoir Agnès, je suis contente de te revoir, ça fait longtemps que nous ne t’avons pas vue, entre donc avec tes amies ». Nous confions nos manteaux au vestiaire et entrons dans le club.

    Il est vaste tout en gardant un aspect assez intimiste. Je vois deux bars, une belle piste de danse et des tas de recoins avec des banquettes et des poufs, en fait ce serait une boîte de nuit tout à fait classique si elle n’était pas fréquentée que par des femmes. Je savais bien que ça existait, mais c’est la première fois que j’entrais dans un club de lesbiennes.

    Nous nous installons sur des tabourets au bar, et Agnès commande trois cognacs en me glissant à l’oreille : « Tu ne bouges pas de là et si on vient t’inviter à danser tu réponds simplement que tu n’es pas seule et que ne danses pas ! ». La barmaid est très jeune et sert seins nus. Dans un coin, sur un podium surélevé, deux filles nues dansent tendrement enlacées en mimant l’amour, l’ambiance est chaude. Agnès dit à Annie : « Tu veux venir avec moi ? ».

    Annie se lève et me dit : « Reste là, nous revenons de suite ». Je brule d'envie de siroter mon cognac, mais je respecte les règles de Vichy, de la pisse ou rien ! Je compense en fumant beaucoup et en regardant des couples de femmes danser très enlacées, se pelotant et s’embrassant sans aucune pudeur. Bien que peu attirée par les femmes en dehors des rapports de soumission, le spectacle ne me laisse pas indifférente.

    Je passe mon temps à dire : « Nous vous êtes gentille, mais je ne veux pas danser, je ne suis pas seule ! ». Je fume cigarette sur cigarette. Au bout de dix minutes, Agnès et Annie reviennent en compagnie d’une jeune femme mignonne, brune comme moi, environ de ma taille avec les cheveux courts et de grands yeux rieurs. Je la classe immédiatement dans la catégorie des métissées d’Afrique du nord. Agnès nous présente : « Loréna voici Yasmine, une Tunisienne née en France, elle a 38 ans et nous nous connaissons depuis 5 ans, Yasmine, je te présente Loréna, elle est d’origine espagnole et je ne la connais que depuis peu de temps ! ». Agnès approche un quatrième tabouret, et commande une bouteille de champagne qu'elles boivent alors que ma coupe est retournée sur le bar.

    « Hum les filles j’ai une petite faim, que diriez vous de manger une entrecôte salade avec un petit vin du crû ? ». Nous approuvons toutes les trois et Agnès passe commande tout en nous disant :

    « Si vous voulez danser, les filles, ne vous gênez pas pour nous, vous ferez mieux connaissance ». Ce désir ressemble plus à un ordre qu’à une invitation et c’est la main dans la main que nous allons sur la piste de danse. Le DJ ne passe que des musiques lentes et sensuelles. Yasmine me prend par le cou et moi par la taille et nous dansons tout en papotant : « Je vois Agnès tous les mois et chaque fois c’est un réel enchantement, tu verras, toi aussi tu deviendras accro ! ». Je souris : « Hum j’ai peur d’être déjà accro tu sais ! ». « Oui c’est ce qui m’est arrivé dès notre première rencontre à moi aussi, rassure toi tu n’es pas la seule. Elle m’a demandé de me joindre à vous pour la soirée et en te voyant, je n’ai pas hésité un seul instant, tu es très belle tu sais ! ». « Je te remercie, toi aussi tu es très mignonne, à Issoire j’ai une amie tunisienne que j’adore ». « Ah tu es d’Issoire, tu es donc venue en voisine ! ». « Oui, mais rassure toi nous avons fait ce voyage en une seule étape ! ».

    Yasmine rit de mon humour et me serre un peu plus fort en profitant pour coller son ventre et ses seins aux miens. Annie et Agnès se sont installées autour d’une table dans la partie restauration, composée de petits boxes mais elles ne nous quittent pas des yeux en faisant des commentaires que bien entendu nous ne pouvons entendre. En dansant, nos corps font effectivement connaissance : ses seins sont fermes et pointus, son ventre chaud caresse le mien, ses mains massent mon cou et mes épaules très sensuellement, je me sens bien et très attirée par elle.

    Elle me murmure à l’oreille : « Tu as déjà obéi à une femme en compagnie d’une autre soumise ? ». « Une seule fois, avec Annie, à qui j'appartiens, et une autre soumise ». Elle me grignote le lobe de l’oreille en me disant : « Si telle est leur intention, nous devrions passer une soirée très excitante, surtout si Annie et Agnès, unissent leur force de dominantes ! Je suis sure que nous allons nous régaler ! ». « Tu ne penses pas qu’Agnès aimerait simplement nous regarder avoir des rapports lesbiens ? ».

    « C’est une des probabilités, personne ne peut deviner ses intentions car je n’ai jamais vu une femme aussi imaginative qu'elle ! Alors tout est donc possible avec elle ! ». Je souris en me serrant un peu plus contre son corps et en lui rétorquant : « Alors, comme depuis que je suis arrivée à Vichy, je vais me contenter de suivre le mouvement et d’obéir ! ». Yasmine éclate d’un rire enfantin : « C’est en effet le mieux que nous ayons à faire ! ». Une bise rapide sur la bouche et elle me dit : « Viens elles doivent nous attendre et je vois que nos plats sont servis, ne les faisons pas attendre : Agnès n’est pas d’un caractère très patient ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 1h10

    Nous revenons vers elles la main dans la main. Annie nous sourit : « Alors vous avez fait connaissance ? ». Nous sourions en répondant que oui. Agnès semble en pleine forme : « Allez les filles, asseyez vous, mangez et buvez : nous nous offrons une petite pause dans cette soirée mouvementée sachez en profiter ! ». Et, en effet le repas est très agréable, nous rions et plaisantons sans parler ni de sexe ni de soumission. Aucune caresse sous la table, aucune allusion, on se croirait vraiment dans une soirée entre copines.

    Mais l’atmosphère électrique du bar est bien là et ces couples de femmes qui se serrent sur la piste de danse ne nous calment pas vraiment. Comme d’habitude, Agnès décide, elle va régler l’addition et revient en disant : « Bien, nous partons ». Nous récupérons nos manteaux, sortons et Agnès nous dit en riant : « Les filles installez vous derrière et soyez sages ! ». Quand Agnès ouvre sa portière pour s'asseoir, je m'approche d'elle et la remercie : « merci Agnès ». Elle sourit et me tord gentiment le lobe d'une oreille et me répond : « Tu es une bécassine, quand je vous ai dit : « Allez les filles, asseyez vous, mangez et buvez », c'était aussi pour toi, tu as préféré ne rien boire de la soirée pour être sure de ne pas me déplaire, je prends ça comme une punition volontaire très cérébrale, mais il faudra que je t'apprenne à reconnaître l'Agnès-douce et l'Agnès-sévère, je suis sure que ta nouvelle amie va t'y aider ! Elle me connait si bien ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 1h20

    L’ambiance est bon enfant dans la voiture et c’est en riant que nous arrivons chez Agnès, la température a fraîchi et nous sommes heureuses de retrouver une température plus qu’agréable à l’intérieur. Agnès nous demande de nous installer dans le salon et de les attendre. Yasmine et moi allumons une cigarette. Annie et Agnès ne tardent pas à nous rejoindre, elles portent des nuisettes ravissantes en soie, qui leur arrivent aux genoux, gris perle pour Annie et bleu marine pour Agnès avec des mules assorties à talons. Elle s’asseyent dans un fauteuil et nous demande des cigarettes que nous nous empressons de leur offrir allumées.

    « Bien les filles, nous allons jouer un peu, puis nous irons nous reposer, car demain, lever à 10h. Alors ne perdons pas de temps : Yasmine, toi qui connaît ma chambre d’amis, peux tu expliquer à Loréna ce dont il s’agit ? ». Yasmine sourit : « C’est une des pièces de la maison, située sous les toits. En apparence elle ressemble à toutes les autres chambres, mais avec du temps, de la patience et beaucoup d'imagination, Agnès a su l’équiper de tout ce qu’il fallait pour jouer avec ses soumises, tout en pouvant y accueillir sans aucune gêne des amis pas du tout portés sur le bdsm. Selon son humeur, on peut y passer de très bons ou de très mauvais moments ! ».

    Agnès rajoute en souriant : « En résumé c’est une vraie chambre des plaisirs ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 1h30

    Elle se lève et nous invite à la suivre, c'est à cet instant que je réalise combien la maison est vaste. Nous gravissons un escalier de bois, suivons un long couloir et arrivons à une porte en bois massif.

    Elle l'ouvre sans la refermer, et nous fait entrer. A première vue, la chambre semble tout à fait normale avec un très grand lit, un miroir sur un mur latéral, peu de meubles, mais une immense armoire en chêne, deux tables de nuit et un tabouret de bois, le tout décoré très rustiquement d'un lustre et de plusieurs appliques d'éclairage indirect, de compositions florales dans des chaudrons de cuivre ou de simples outils campagnards. Bref on se croirait dans une chambre de ferme. En montant sur le tabouret, Agnès décroche elle même cinq objets, qu’elle ne choisit visiblement pas au hasard, car une fois ces objets enlevés, ils laissent apparaître des crochets solides et deux poulies électriques.

    Elle s'adresse à Yasmine : « Ma chérie, sois gentille de mettre putain Loré à poil et de lui faire bander les tétons comme je les aime, je la veux plus chaude que ma cheminée et tellement excitée, qu'en regardant son clito, je risque de la faire jouir !».

    Souriante, Yasmine m’enlève ma robe, mes chaussures et mes bas. Elle me retourne pour m'enlacer par derrière : mon cul collé à son ventre, et sa poitrine à mes épaules. Elle m'étreint pour m'empêcher de bouger et prend chacun de mes seins dans une de ses mains.

    Ce ne sont visiblement pas les premiers seins qu'elle caresse, elle alterne un pétrissement des globes à la limite de la torture avec des griffures de ses ongles sur mes aréoles et mes tétons. Ils réagissent très rapidement en se dressant et en durcissant comme des petits bites.

    Annie filme tout en détail, tandis qu'Agnès ouvre la grande armoire et en sort une longue corde de chanvre. Elle demande à Yasmine de me pencher en avant pour que mes seins pendent et ballottent bien. Je vois qu’elle positionne un des bouts de la corde à la base de mon sein droit, et, qu'aidée par Yasmine, elle serre à sa convenance le nœud coulant créé sur ce bout de corde rugueuse et très irritante pour la peau. Quand elle est satisfaite du bondage de mon sein droit, elle donne le bout tendu à Yasmine et elles passent toutes les deux à mon autre sein avec l'autre nœud coulant situé à l'autre extrémité.

    Quand elles ont terminé, mes seins sont très serrés à leurs bases et doivent donner une image horriblement déformée de ma poitrine et de mes globes gonflés comme deux ballons. Mais contrairement aux bracelets de cuir du soutien-seins, la corde est très pénible à supporter, surtout qu'avec la partie centrale de la corde, Agnès fait des tours autour de mon corps, juste sous les seins, pour finalement attacher la corde par un nœud solide, sous mes omoplates.

    Je me retrouve : debout, seins comprimés à leurs bases pour terminer en forme de ballons vers les tétons. La corde les soulève vers haut et mes bras restent plaqués à mon corps par cette corde qui me saucissonne.

    Agnès vérifie soigneusement la tension de la corde en différents endroits. Elle retourne vers l’armoire pour prendre une corde en nylon qu'elle attache au nœud que j’ai dans le dos et demande à Yasmine de mont sur le tabouret pour passer la corde de nylon dans l’une des poulies du plafond.

    Quand c'est fait, Agnès démarre la poulie électrique qui tend rapidement la corde de nylon, me hissant jusqu'à ce que mes pieds soient à une vingtaine de centimètres du sol.

    Elle décide que je suis suffisamment suspendue et ordonne à Yasmine, qui semble avoir une grande habitude de la seconder dans ses séances de soumission, de fixer la corde de nylon à un crochet mural.

    Mon corps se balance, sans que je ne puisse le contrôler, suspendu par les cordes qui me lient et me déforment les seins. Agnès oriente un halogène sur moi et me signale en souriant : « Tu remarqueras ma putain que tu n’es pas attachée n’importe comment : tu te vois entièrement dans l'immense miroir mural et tu es la seule à avoir une vue panoramique de toute ma chambre aux plaisirs ! ».

    Annie, enchantée par ma position et par la qualité de l’éclairage, me filme sous tous les angles, avec un sourire gourmand de voyeuse affamée !

    Quant à moi, éclairée crue ment, je suis affolée par l’image de mon corps déformé, avec mes avants-bras immobilisés le long de mon corps, mes seins remontés beaucoup trop hauts et congestionnés par les deux nœuds. Quant à mes tétons bandés à exploser, ils semblent parfaitement obscènes au centre de mes nichons, ridiculement diminués, par le serrage exagéré des nœuds coulants.

    Mercredi 1er février 2017 - 2h15

    Yasmine me regarde avec un peu de tristesse dans les yeux, je suppose qu’elle aussi a été suspendue de cette manière, mais Agnès la gifle violemment : « Ah tu as de la peine pour ta nouvelle amie ! Veux-tu la voir de plus près ? Eh bien, tes désirs sont des ordres ma belle salope ! Mets toi très vite à poil ». Yasmine, le visage marqué par la gifle, s’empresse d’obéir.

    Agnès la prend par la main pour la rapprocher de moi en lui disant : « Tu vas soulever les cuisses de cette putain, les poser sur tes épaules de chaque coté de ton visage et tu vas lui bouffer la chatte jusqu’à ce que je t’ordonne d’arrêter ! ».

    Malgré sa fragilité apparente, Yasmine me soulève facilement les jambes et je me retrouve avec les cuisses posées sur ses épaules. En avançant mon ventre, et elle sa bouche, nous nous retrouvons dans la position exigée. Agnès donne un coup violent sur la nuque de Yasmine pour lui coller la bouche contre mon sexe en lui ordonnant : « Vas y, mange moi ce trou à bites et utilise tes dents : je ne veux pas de tendresse entre vous : bouffe la comme si tu voulais la dévorer toute crue ! ».

    Yasmine s’exécute et me mordille les lèvres vaginales assez fort pour m’obliger à gémir, mais très vite, je lui murmure : « Agnès et Annie sont sorties, peux-tu me mordre moins fort, je t’en prie ? ». Yasmine arrête de suite en me disant : « Oh, ma pauvre Loré, je sais que tu souffres. J'ignore ce qu’Agnès t’a réservé, mais sois forte, ce ne devrait être qu'un mauvais moment à passer, et pardonne moi pour ce qu'elle m'oblige à te faire ».

    Elle recommence à me lécher et moi à gémir, au moment précis où les femmes reviennent dans la pièce. Elles posent quelques objets sur le lit et, à ma grande surprise, Agnès se déshabille entièrement, ne gardant même pas ses mules. Alors que Yasmine me mord le clitoris, je dévore Agnès des yeux réalisant que c’est la première fois que je la vois entièrement nue.

    J’ai terriblement envie de me coller à elle et de lui lécher tout le corps des orteils aux cheveux, mais visiblement elle a d’autres idées qu'un léchage par une putain de ma classe basse.

    Elle prend un objet sur le lit et se rapproche de nous, elle observe longuement le travail des dents de Yasmine sur mes lèvres et sur mon clitoris. Dans le miroir, je la vois descendre sa main droite vers sa chatte et se caresser.

    Très vite deux bruits se concurrencent dans la chambre : mes gémissements hachés et le bruit obscène de ses doigts trempés coulissant dans et sur son sexe. Après de longues minutes, de léchage et de branlette, elle dit à Yasmine : « Tu as cinq petites minutes pour envoyer en l'air cette putain qui n'en peut plus d'envie de crier comme une truie, passé ce temps, je vous fais toutes les deux jouir à la cravache ! ». Et elle déclenche sa montre-chrono.

    Yasmine n'a d'autre choix que de rajouter deux de ses doigts pour pincer et branler mon clitoris en me suçant encore plus fort et sur plus de surface, elle connaît suffisamment les chaudasses pour savoir qu'il ne faudra pas cinq minutes pour exploser. Et c'est ce qui se passe, Agnès riant de me voir serrer mes cuisses contre les joues de Yasmine pour profiter un maximum de sa langue et d ses lèvres tandis que j'hurle sans honte mon plaisir immense !

    Mercredi 1er février 2017 - 2h30

    Yasmine recule un peu sa bouche dégoulinante de ma mouille, ce qui déclenche une réflexion d'Agnès, surtout destinée à Annie : « Ma chérie, je ne veux pas jouer la prof de cul avec toi ! Mais, je te préviens que si tu continues à lui imposer des orgasmes aussi puissants que ceux qu'elle a à Vichy, je crois que vous appelez-ça des tsunamis, tu vas vite te retrouver avec une putain femme fontaine, pour ton plus grand plaisir, celui de ses clients et pour elle, une humiliation supplémentaire ! On réussit à découvrir un vice qu'elle n'a pas encore ! Mais qui va vite rejoindre ses qualités de putain parfaite ! ».

    Annie lui répond en riant franchement : « Tu aurais eu tort de ne pas m'en parler, car j'avais commencé à percevoir ce phénomène, et à fouiller un peu sur Google, sans oser t'en parler car j'avais simplement peur de ta réaction ! Tu dois savoir, Agnès que, comme tes soumises, je te respecte profondément pour tes qualités humaines aussi bien que physiques ! ». Ce gentil aveu d'Annie lui vaut un déplacement d'Agnès, qui, à poil, vient l'embrasser longuement sur la bouche en se soucient comme de deux merdes de Yasmine et moi !

    Agnès se détache d'elle en lui murmurant, « Hum, je ne pense pas que ce soit fini, mais pour l'instant nous avons une putain soumise qui est sur le gril ! Alors,occupons nous d'elle ! ».

    Yasmine caresse de ses joues l'intérieur de mes cuisses tout en se léchant avec soin les lèvres en me souriant pour me faire comprendre qu'elle aimait déjà beaucoup mon goût et mon odeur ! Mais, Agnès revient vers elle, passe par le lit sur lequel elle récupère un énorme vibro de latex dur, blanc et veinuré. Je l'observe avec crainte, il me semble d'un diamètre inhabituel, surtout au niveau du gland et j'estime sa longueur à presque trente centimètres, soit cinq de plus que celui qu'Annie utilise avec moi.

    Elle ordonne à Yasmine de me mettre ça bien au fond de ma connasse, sans tenir compte de mes cris, de bourgeoise perverse mais trop douillette ! Elle recule un peu plus sa tête pour permettre au monstre de se rapprocher de son objectif : mes cuisses sont toujours posées sur ses épaules et j’ai le sexe béant. Elle n'a pas de mal à positionner le gland, qu'elle tourne entre mes lèvres pour bien l’humidifier avant de l’enfoncer doucement dans mon con. Mais Agnès s'impatiente et la menace de punition, et, la pauvre n'a d'autre choix que celui de violer plus durement mon vagin, sans tenir compte de mes cris, au fur et à mesure que cette chose m’écarte les chairs intimes pour faire sa place dans ma connasse.

    Il finit par entrer entièrement, je ne me souviens pas avoir eu quelque chose d’aussi gros dans le con depuis que j'ai perdu mon pucelage. Agnès ordonne à Yasmine de dégager mes cuisses de ses épaules pour que je reprenne ma position précédente de suspendue par les seins.

    Pendant ce temps, Agnès se rapproche de moi et dès que je pends de nouveau, elle stabilise mon corps et me pose un large ceinturon de cuir en haut de mes cuisses. Aidée par Yasmine, elle le serre très fort pour s’assurer que le gode ne risque pas de glisser pas de mon vagin.

    Agnès rit en regardant ma position : « On dirait une truie prête à être empalée et embrochée, pour être cuite verticalement, tu ne crois pas Annie ? ». Elles rient toutes les deux alors qu'Agnès déclenche le vibro, qui, je le constate très vite, n'a que deux fonctions : il vibre de tout son long, et diminue, je ne sais pas de combien, pour revenir de suite à sa dimension maximale. Donc taraudage et pilonnage de mon con : une vraie machine à baiser contre laquelle je ne vais pas pouvoir lutter très longtemps !

    Tout en me regardant gigoter comme un ver sans pouvoir éviter quoi que ce soit dans mon ventre, Agnès met Yasmine à contribution : « Au lieu de te lamenter sur le sort de cette putain sans importance qui est venue à moi pour souffrir et jouir, tu vas m'aider à terminer sa préparation : tu vas aller me chercher dans l'armoire que tu connais si bien : un bâillon écarteur de bouche en latex, un nouveau sex-toy dans sa boîte rouge d'origine qui s'appelle Cap'tain Crochet : joli nom pour ce nouveau gadget qu'une soumise m'a offert la semaine dernière. Je voulais l'essayer sur toi, mais finalement cette putain fera très bien l'affaire ! Et pour terminer, tu prends deux barrettes de douze grandes pinces à linge en bois, et tu reviens vite avec tes courses fatma vicieuse ! ».

    La pauvre Yasmine se contente de baisser la tête en fixant ses pieds, ce qui lui vaut une autre gifle de sa Maîtresse, au même endroit que la première, pour ne pas être partie de suite vers l'armoire. Elle se tient l'oreille et court nue jusqu'à l'armoire. Je la vois dans le miroir, les yeux remplis de larmes, Agnès sait être très dure. Mais sa course est super excitante, car elle a des seins lourds et fermes qui ballottent obscènement quand elle presse le pas ! Elle trouve très vite le bâillon et doit un peu chercher pour trouver le nouveau jouet d'Agnès, elle rapporte les deux accessoires à sa Maîtresse sans la regarder, avec les yeux baissés de la soumise contrite d'avoir été punie trois fois de suite !

    Elle se tient l'oreille et court nue jusqu'à l'armoire. Je la vois dans le miroir, sa course est super excitante, car elle a des seins lourds et fermes qui ballottent presque obscènement quand elle presse le pas !

    Un peu comme ça > vidéo 0mn37 > https://fr.xhamster.com/videos/beaux-seins-en-poire-de-salope-3793176

    Elle trouve très vite le bâillon, doit un peu chercher le nouveau jouet d'Agnès, n'a aucun mal à rassembler les pinces demandées et elle rapporte le tout à sa Maîtresse sans la regarder, avec les yeux baissés de la soumise contrite et honteuse d'avoir été punie trois fois de suite !

    Agnès pose les objets sur son lit et lui ordonne de positionner une première fois le tabouret pour me poser le bâillon sur la bouche. En m'expliquant : « Tu dois connaître, Putain, mais j'utilise beaucoup ce bâillon, car ta bouche va rester très largement ouverte et ne t'autorisera que des grognements inaudibles, sans aucun cri ou mot compréhensible. Comme ça tu nous foutras la paix, mais nous suivront tes souffrances et tes montées vers le plaisir ! ».

    Yasmine, toujours nue, monte sur le tabouret, Agnès lui tend le bâillon qu'elle fixe avec précaution en écartant le plus possible mes mâchoires et en l'ajustant bien à ma dentition, ce que le latex autorise, contrairement au métal. Elle le serre soigneusement sur ma nuque. Et s'apprête à redescendre, une fois son travail accompli, mais Agnès intervient :« Deux secondes ma salope, tu n'as pas fini, elle lui tend le grand frère du vibro que j'ai dans le con en lui demandant de vérifier que le monstre rentre dans ma gueule de conne ridiculement trop ouverte, juste pour voir si l'accès est possible et si elle peut facilement m'en mettre la moitié dans le palais ! ».

    Yasmine obéit en tout point et n'a pas à forcer pour m'enfoncer le vibro dans la bouche, qui est grande ouverte sans que je ne puisse m'opposer à cette pénétration. La longueur que j'ingurgite, malgré moi, semble lui convenir et elle ordonne à Yasmine de ressortir le monstre, de descendre et de changer le tabouret de place, pour me travailler le trou du cul, car elle a hâte de voir ce nouveau gadget à l'oeuvre !

    Je vois, dans l'immense miroir, Yasmine remonter derrière moi. Agnès lui passe le crochet, qui ne semble pas impressionnant pour la partie prévue pour mon anus.

    Mais, comme pour le bâillon, elle explique ce qui va se passer : « Tu vois ton crochet, putain, il est en métal inoxydable et, comme tu as déjà du le constater, la partie que Yasmine va te mettre dans le cul, n'a rien à voir avec le monstre que tu as dans le con ! Mais son usage n'est pas de te dilater l'anus, mais de te faire rentrer du métal bien au chaud dans ton sphincter, voire dans tes intestins. Quand se sera fait, Yasmine attachera le bout du crochet qui sortira de ton anus, à une corde que je vais lui donner. Elle la fera passer dans une poulie différente de celle déjà utilisée pour tes nichons. Quand nous en serons là, elle redescendra du tabouret et je t'expliquerai la suite de ton aventure fantastique au cœur de ton anus de putain ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 3h

    Avec Agnès, tout est écrit, et rien n'est improvisé ! Quand Yasmine a en effet effectué tout ça, j'ai le crochet au fond de mon cul, tout de même assez loin de mes intestins ! Et elle redescend du tabouret en donnant à sa Maîtresse l'autre bout de la corde qui me lie au crochet et le fil électrique équipé d'une prise. Agnès la charge de prendre une rallonge pour pouvoir brancher le gadget à la tête de lit et elle appuie sur la télécommande de la seconde poulie. Peu à peu, la corde se tend, je sens le moment exact où elle commence sa traction sur le crochet enculeur. Mon cul se lève doucement et donc, par un simple phénomène de basculement, mes seins tombent un peu plus vers l'avant et vers Agnès.

    Quand elle estime que ma position est confortable et suffisamment obscène, elle arrête la poulie et demande à Yasmine d'attacher la corde à un des anneaux muraux. Elle vient juste sous mon visage pour affirmer : « Je trouve cette nouvelle position plus intéressante : tu as les nichons plus orientés vers le sol et plus bas d'une quarantaine de centimètres, ce qui, à cause de leur gonflage outrancier, me confirme qu'ils attendaient bien un nouveau geste de ma part ! Je suis contente car j'ai ce geste ! ».

    Il me semble difficile de faire plus cérébral qu'un raisonnement d'Agnès, cette femme raisonne trop vite ! « Mais, à propos de ta position, putain, es-tu contente que ce nouveau crochet, ancré dans ton cul, soulage un peu la tension des cordes sur tes nichons ? ». « Oui, en effet, Agnès et je vous en remercie ». « C'est inutile, putain, j'aime faire plaisir à mes esclaves masos, tant qu'elles me récompensent par une bonne endurance, bien sur ! ».

    Agnès est presque prête à essayer son nouveau joujou, Yasmine l'a branché et lui a sorti le boîtier de commande et le mode d'emploi. Mais elle jette ce papier encombrant et demande à Yasmine d'aller lui récupérer son portable qui doit être dans la poche de son manteau.

    Yasmine fait l'aller-retour en courant et Agnès l'en remercie en lui tapotant gentiment la joue gentiment : « Tu vois, que quand tu veux, tu peux être parfaite ! N'oublie jamais que tu es mon esclave préférée, et qu'à ce titre je ne te passerai aucun faute même la plus minime ! ».

    Elle s'assied sur son lit, écarte ses cuisses et montre sa chatte à Yasmine, qui se met immédiatement à genoux et commence un gouinage magnifique de la chatte de sa Maîtresse. Pour être encore plus à l'aise, Agnès se couche sur son lit, demande un oreiller à Yasmine qui se relève de suite pour la satisfaire et reprendre immédiatement sa place et son léchage alors qu'Agnès lui pose ses pieds nus sur son dos et compose un N° sur son smart-phone.

    « Bonjour, tu me baises les pieds ma pute ? (…) Bien, tu es pleine de foutre, comme tous les soirs ? (…) Ah bon ? Et pourquoi n'as-tu pas appelé une pine de secours ? (…) Il t'a prévenue trop tard ? Mais salope ! Trop tard n'a jamais été une excuse ! II dort ? (…) Je suppose que le médecin l'a saturé de calmants ? (…) Xanax et antibiotiques ? Il ne rebandera pas avant demain soir ! (…) Oui, je te comprends, tu étais inquiète, mais en m'appelant je t'aurais donné des solutions. Ton mari est HS ? Ok, mais pourquoi tu devrais l'être ? (…) Oui j'ai toujours raison ! Alors, je vais te dire la raison de mon appel, et, après ta réponse, je te donnerai un conseil ! (…) Oui je sais que tu n'ignores pas ce que signifie un conseil de ta Maîtresse (…) Je t'appelle pour le Cap'tain Crochet, je me fous du mode d'emploi, je veux que tu me donnes de suite son meilleur programme, pour une pute qui attend avec le crochet dans le cul ! (...) Le « 3 », je le mets en route et je te reprends de suite, en attendant vas dans ton bureau, branche ton ordi et mets toi à poil ! ».

    Elle demande à Annie de lire le programme 3 sur le mode d'emploi et de le lui résumer, et, sans attendre elle le programme et le met en route. Annie lui lit rapidement : c'est un cycle de trois décharges toutes les quinze secondes, la première de 5 volts, puis une de 12 et pour finir une de 24, et le cycle de trois décharges suivies se remet en route indéfiniment.

    Agnès constate de suite les travaux pratiques de cette théorie, car je n'arrête pas de débattre au bout de mes cordes. Je grogne comme un sanglier à chaque décharge. Pour extérioriser ma douleur, et à défaut de pouvoir crier, je suis obligée de tordre mon corps dans tous les sens, sans m'occuper de l'image impudique que je dois forcément donner. Mais ma honte vient surtout de ma bave que je ne peux pas contrôler, comme une chienne enragée ! Ma bouche s'est remplie d'une mousse blanche sale et écœurante qui dégouline par paquets nauséeux sur mes nichons et sur le sol.

    Agnès semble hyper contente, elle programme le sex-toy et laisse agir seul. Elle revient sous moi pour m'assurer que les demandes pressantes de mes nichons ne sont que retardées de quelques secondes ! Elle va dépanner une amie-pute plus intéressante que moi, mais me rassure en me disant qu'elle ne m'oublie pas !

    Mercredi 1er février 2017 - 3h20

    Elle prend un autre oreiller sur son lit, se recouche sur le lit et claque deux doigts pour que Yasmine vienne continuer son travail. Elle a visiblement envie que sa pute tunisienne s'occupe de son petit trou, car le deuxième oreiller lui sert à rehausser un peu plus son cul pour que la langue servile puisse bien s'occuper de son anus et de sa raie des fesses !

    Elle récupère son téléphone et reprend son amie-soumise. « Tu es à poil dans ton bureau, ordinateur branché, ma pute adorée ? (…) Hum, tu me fais mouiller ! On va passer sur Skype, connecte-toi et appelle moi en vidéo ».

    Profitant du temps de réaction de son amie, Agnès demande à Yasmine d'accélérer les léchages de sa langue et de les durcir, même si sa langue doit devenir douloureuse et elle demande à Annie : « Si tu veux, ma chérie, déshabille toi, et rejoint moi sur le lit, tu pourras aussi profiter de la langue ou des doigts magiques de ma pute arabe ! Mais, avant, je te demande juste un service, tu as sur la table de chevet de gauche une télécommande, tu appuies sur on, tu écris avec le clavier Skype et tu fais envoi, merci, ma chérie, rejoins moi vite, j'ai envie de ta langue sur mes nichons de femelle trop chaude ! ».

    Un meuble avec quatre tiroirs et deux portes, juste en face du grand lit s'ouvre en écartant ses deux portes et un écran plasma apparaît. Allumé, il est branché sur le programme Skype alors qu'en même temps la voix de son amie-soumise lui propose une connexion vidéo. Agnès l'accepte vocalement et l'image d'une belle femme d'une bonne quarantaine d'années apparaît sur l'écran. Agnès la prévient qu'elle n'est pas seule et qu'elle ne va donc pas lui transmettre nos images, mais qu'en échange, elle aura demain matin une copie de la longue vidéo faite depuis 19h ce soir.

    « Vous savez bien Maîtresse Agnès que je suis votre pute-esclave, et vous n'avez pas à justifier votre refus d'image, ni à le compenser d'une quelconque manière ! Après tout ce que je vous dois comme leçons d'éducation et en temps de conseils que vous m'avez prodigués depuis presque dix ans, comment pourrais-je avoir le droit de vous en vouloir ? ».

    « Merci mon miel de putain, as-tu toujours ton programme plan-cul direct que nous avions ouvert toutes les deux quand j'ai passé une semaine chez toi ? (…) C'est bien, est-il à jour ? (…) Bravo, j'en déduis que tu t'en sers souvent ? (…) Nooon ce n'est pas un reproche ! C'est au contraire un compliment ! Tu vas le modifier pour ce soir ! (…) Ton scénario : femme, 35, bandante, très salope et vicieuse, non pro, frustrée d'orgasmes, trempée, cherche rencontre immédiate en voiture, idéal 2 hommes ou 1 couple, âge correspondant, cul hard, présentation : à poil sous imper, baise, sodomie, pipe, sperme avalé, bdsm raisonnable bienvenu, peu de paroles, 100% cul et 100% orgasmes, rencontre sans lendemain à saisir, priorité aux premiers. Contact pour heure, lieu et voiture sur anne-marie-inter@hotmail.com (…) Je vais lire les demandes et faire ta sélection. Donne moi le lieu, l'heure, la marque et la couleur de ta voiture (…) Ok c'est noté (…) Je te rappelle sur ton portable. En attendant branle toi la connasse, je te veux dégoulinante (…) Oui, à plus : je vais te faire venir pour que tu suces mes pieds et mon cul ! Jouis bien ma pute adorée ! Et n'oublie pas d'allumer ton plafonnier et de brancher la web-cam de ton auto sur Skype, faible luminosité ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 3h40

    Agnès regarde son radio réveil et dit à Annie : « Je pense que nous pourrons nous connecter dans 10mn, je vais chercher mon ordi portable ». Yasmine bondit du lit en la suppliant presque : « Non, Agnès, ne vous dérangez pas, je vais vous le chercher et vous le connecter sur Hotmail, s'il vous plait ! ». Agnès rit, voit Annie, à poil, prête à la rejoindre au lit et accepte. Elle attend qu'Annie se couche pour se mettre tête bêche et se coucher sur elle pour lui imposer un 69 dont, elles mouraient, visiblement d'envie toutes les deux !

    Je les regarde, jalouse des deux, tellement excitée par l'idée idiote d'être conviée à leur délire, ne serait ce que pour lécher leurs pieds ou leur éviter d'aller aux toilettes en leur offrant ma bouche pour se soulager. J'ai hâte que les décharges s'enchaînent, pour punir mon corps de mes pensées malsaines et je me jure que pour le prochain cycle des triples décharges, je ne bougerai pas un seul centimètre carré de mon corps. Mais quand la troisième me brûle de ses milliers d'épingles, je n'ai aucun autre choix que de cesser de résister et de jouir deux fois coup sur coup en moins de cinq minutes, je dois en être à mon sixième orgasme depuis qu'Agnès a branché mon cul à la prise, et je commence à voir ce qui m'entoure à travers un brouillard inexplicable !

    Quand Yasmine revient avec le PC d'Agnès, elle est sidérée par ce qu'elle découvre ! Deux Maîtresses qui se gouinent dans un 69 d'ados, et moi, au dessus d'elles qui continue à m'agiter comme un pantin quand l'électricité me ravage vicieusement tout mon trou à merdes.

    Elle n'ose rien dire pour me défendre et se positionne derrière Agnès, qui étant couchée sur Annie a son cul très accessible et à une bonne hauteur : elle la prévient en lui glissant sa langue dans la raie qu'elle est prête et désireuse de lécher son anus béant, dégoulinant de sueur et de sécrétions.

    Agnès lui répond en tirant une poignée de ses beaux cheveux longs vers son cul et lui rapprocher la tête de son anus. La conjugaison des deux langues fait qu'Agnès part dans un orgasme dévastateur qui lui tétanise les muscles de tout son corps et lui fait frapper la bouche d'Annie avec sa chatte grande ouverte et punir Yasmine en lui projetant ses fesses sur le visage. Curieuse et originale manière de jouir ! Mais Agnès ne fait rien comme tout le monde !

    Elle repousse Annie et voit que l'heure a tourné, elle se relève, pose son portable sur le lit. Comme promis il est dans Messenger, elle n'a plus qu'à rentrer son code et lit : « Oups, j'ai plus de vingt messages ! Mon amie-pute va être enchantée ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 3h50

    En tournant à peine la tête vers moi, et en commençant à lire ses messages, elle me dit : « Rassure-toi, putain, je ne vais pas te laisser refroidir ! Indique à Yasmine en hochant ta tête, combien de fois tu as joui depuis que j'ai électrifié ton trou à merdes de putain ? ». Constatant que sa Maîtresse a besoin d'elle, Yasmine s'agenouille sur le lit et me voit hocher six fois la tête de haut en bas. Sans marquer son étonnement elle traduit pour Agnès : « Six fois ». « Quelle nympho ! Une vraie putain-perverse campagnarde ! Qui est capable de jouir six fois en un peu moins d'une demi-heure ? Tu es un phénomène de foire ! Et, en plus je te crois ! Je vais te récompenser car, même si tu l'ignores, moi je sais ce qu'attendent tes nichons de putain ! ».

    Elle sait se concentrer sur les deux choses qu'elle fait en même temps ! Un premier tri des messages reçus, et l'annonce de ce qu'attendent, selon elle, avec impatience mes nichons de pute campagnarde !

    « Yasmine a regroupé vingt-quatre grandes pinces en bois, elle va les compléter par deux grandes pinces en plastique. Elle montera sur le tabouret pour t'en mettre treize par sein : celles en plastique sur chaque téton et les autres en spirale autour de tes aréoles et dans le gras de tes globes à la peau si tendue. Elle redescendra et te laissera pincée pendant deux cycles du Cap'tain, il faut bien que nous puissions admirer et filmer tes réactions de notre putain aux nichons pincés ! ».

    « A la fin du second cycle, elle choisira entre un martinet à lanières de cuir et une cravache de cuir, et tu ne devras plus la quitter des yeux, quand elle fera l'unique travail dont je la charge : détacher une à une les vingt-six pinces, mais uniquement en les frappant suffisamment fort pour qu'elles tombent seules par terre ».

    « Elle aura un cycle pour ramasser les vingt-six pinces, un autre te repincer de la même manière, et tout recommencera tant que je ne lui dirai pas d'arrêter ! Allez, au travail : et je veux que ma belle putain d'Issoire prenne un maximum de fois sont pied entre sa suspension, le spectacle gratuit que nous allons lui offrir, les décharges électriques dans son trou à merdes, le pilonnage de sa connasse et, en plus, les coups surs de Yasmine sur ses nichons et l'arrachage pince par pince, probablement facile pour celles en bois, mais pas forcément pour les deux en plastique ! ».

    Je vois des larmes couler des yeux de Yasmine alors qu'elle prépare son tabouret et y monte avec les plaquettes de pinces qu'elle commence à me poser comme lui a indiqué Agnès !

    Pendant ce temps, Annie a rejoint Agnès et lisent les mails, nues à plat ventre sur le lit, en les commentant à voix hautes : « Bof, pas celui là, il est trop vieux ! ». « Non, ils sont trois, ça ne va pas !». « Hum son style ne me plaît pas !». « Il devrait apprendre à écrire avant de répondre ce connard !». Elles semblent prendre beaucoup de plaisir à faire ça conjointement, et ça me réjouit un peu, alors que Yasmine a terminé son travail en me laissant suspendue avec des nichons comme deux hérissons qui ne tardent pas virer au violacés ! Je vois même Annie passer ses deux mains sous elle, une pour se masturber et l'autre pour astiquer son amie qui a les mains occupées par son clavier !

    Mercredi 1er février 2017 - 4h00

    Agnès regarde son radio réveil : « Oh, 4h00 ! Il faut donner une réponse à mon amie, elle doit penser que nous la laissons tomber ! ». Annie, surement fière d'être conviée à la réflexion, lui résume leurs choix finaux : « Nous avons deux hommes de 38 et 40 ans queutards et fiers de l'être, ou un couple, lui 40 et elle 30, à priori attirés par le bdsm, tu veux lui donner le choix ou désigner l'un des deux ? ». « Je lui ai dit que je choisirai pour elle, on va prendre le couple, elle devrait mieux s'amuser, les mecs ne feront qu'utiliser ses trous pendant des heures, avec le couple, ce devrait être plus varié, surtout si la femme est cérébrale, intelligente et un peu gouine ! ».

    Annie l'approuve totalement et Agnès récupère son téléphone, alors que Yasmine commence sa première collecte de pinces. Comme annoncé, les pinces de bois posées sur une peau hyper-tendue ne résistent pas et tombent après un seul coup de martinet, mais celles en plastique qui mordent toute la chair d'un téton, sont plus résistantes et Yasmine doit utiliser la cravache pour qu'après une dizaine de coups précis, elles finissent par se détacher.

    Je ne sais pas comment j'ai pu faire, m'ai j'ai pris deux fois mon pied pendant cette torture que je qualifiais, avant de la subir, de torture extrême, et je ne me pose plus qu'une seule question sur mon masochisme : vers où va-t-il continuer à m'entraîner ? Car je constate que le corps et surtout le cerveau s'habituent très facilement à la douleur, contrairement à ce que je pensais il y a encore quelques courtes semaines !

    Agnès est contente de ma progression : deux orgasmes en me faisant fouetter les nichons pour décrocher des pinces, c'est assez étourdissant, comme moi, elle ne se fait plus aucun souci pour mon masochisme et mes tortures à venir !

    Comme à son habitude, elle ne sait faire que plusieurs choses en même temps : elle téléphone donc à son amie, tout en appuyant sur la main d'Annie pour qu'elle continue ses caresses et lui désigne même un sein qu'Annie s'empresse de venir sucer et lécher, trop contente d’être chargée de mener Agnès à l'orgasme !

    Son amie est en ligne : « Re-bonsoir ma belle putain ! Ton fauteuil est bien mouillé ? (…) Hum tu as bien fait de le protéger ! (…) C'est bien de ne pas avoir joui ! (…) Oui, car il y avait beaucoup de propositions, mais je crois que je t'ai choisi la meilleure ! (…) Mais, oui je comprends ton impatience ! (…) Il s'agit d'un couple, Richard 40 ans et Florence 30 ans, ils ont adoré ton âge, apprécié que tu sois bandante, salope, vicieuse et non pro. Que tu sois en manque, trempée et à la recherche d'un couple, pour une séance à poil sous imper avec baise et bdsm. (…) Ils ont un peu modifié tes stats : 50% cul, 50% obéissance et 200% orgasmes (…) Ils ont rit à tes : « Rencontre sans lendemain à saisir et priorité aux premiers ». (…) Tu as rendez-vous devant le palmier de la Gare, ils ont une Audi A4 marine, et seront sur place à 4h45 (…) Laisse ton portable branché, je te suivrai en géo localisation et si problème je t'appelle de suite, n'oublie pas de brancher ta web-cam sur Skype et en luminosité très faible (…) Éclate-toi bien, demain je t'enverrai un commentaire de ta soirée et le clip promis (…) Je coupe ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 4h10

    Agnès a coupé très vite, car Annie est arrivée à ses fins et l'a laisse pantelante et respiration coupée en travers de son lit, nue, cuisses largement ouvertes en train de tâcher son couvre lit.

    Telle que je suis placée, alors que Yasmine m'a remis une deuxième fois les vingt-six pinces, aucun détail de la scène ne m’échappe.

    Annie se lève et signale à Agnès qu'elle va aux toilettes et se rafraîchir un peu, quand Agnès, revenue très rapidement sur terre demande à Yasmine de lui rapporter Maxtor de l'armoire.

    Pour éviter une nouvelle punition, elle se lève de suite, mais je remarque que ses yeux sont pleins de larmes qu'elle arrive toutefois à contenir en rapportant ce fameux Maxtor qu'elle dépose à côté de sa Maîtresse qui ferme son PC portable et le range dans un des tiroirs de la table de nuit.

    Agnès lui demande se coucher sur le lit et d'ouvrir très largement ses cuisses. Elle prend trois oreillers qui traînent sur le lit et se met à genoux entre les cuisses de sa pauvre esclave. Elle lui claque la cuisse pour qu'elle lève son cul et lui glisse un coussin sous les fesses pour bien la rehausser. Et elle lui jette les deux autres coussins sur les seins en lui demandant de poser sa tête dessus pour avoir une belle vue de son bas ventre.

    C'est à ce moment là qu'Annie revient. Agnès agenouillée au pied du lit, entre les cuisses de son esclave, se tourne vers elle et lui dit : « J'ai un petit service à te demander ma chérie, je peux ? ». « Mais, bien sur Agnès, ce que tu voudras ! ». « Oh, c'est simple, j'avais envie de m'occuper de ma pute arabe, et j'ai pensé que ça te ferait plaisir d'aller cueillir les pinces sur les nichons de ta putain, est-ce que je me trompe ma chérie ? ».

    Annie rit ! « C'est mal me connaître de penser que ce serait une corvée, je vais même faire en sorte que les vingt-six pinces ne tombent pas une seule fois au premier coup ! Ca enchantera ma putain qui devient de plus en plus maso au fil du temps passé avec toi Agnès ! Et je t'en remercie ! ». Et, nue, elle s'approche de moi, armée du martinet et de la cravache et commence à ramasser ses fruits murs, en continuant à colorer de violet mes nichons torturés et à les zébrer de stries, traces vivantes de ma torture !

    Agnès a mon image dans le miroir latéral et elle revient vers Yasmine à qui elle jette un regard méprisant, de la voir ainsi s'offrir à elle nue et veule, les cuisses obscènement ouvertes à la limite de ses articulations.

    Elle prend à côté d’elle le Maxtor : en fait c'est un gode-double noir en latex dont je n'avais jamais rien vu de semblable : une partie lisse et d’une dimension et d'un diamètre tout à fait raisonnables, mais de l’autre côté de la base de latex séparant les deux parties, le gode devient énorme et plus long, mais, il est surtout hérissé sur toute sa longueur de picots qui semblent être en latex plus ou moins souple.

    Yasmine semble bien le connaître car elle supplie sa Maîtresse en pleurant pitoyablement : « Non je vous en supplie, Agnès, pas celui là, vous savez que je ne le supporte pas : il est trop gros et trop douloureux pour moi et me déchire chaque fois l'ouverture du vagin, oh, je vous en supplie, Maîtresse adorée, choisissez-en un autre ! »

    Pour toute réponse Agnès appuie doucement le gland énorme et ses picots sur l’entrée de son vagin et lui dit : « Tes options sont les suivantes : tu te débats, tu cries ou tu essayes de te dérober : je t’attache et je te viole le con et le cul avec ce gode, et moi j'en profite pour jouir deux fois, une en te niquant et l'autre en t'enculant ! Mais, par contre, si tu me promets de te laisser gentiment faire, non seulement je vais te chercher un tube de vaseline pour t'aider à l'invaginer et je me baise jusqu’à ce que je jouisse deux fois en te niquant et je t'en débarrasse de suite. Tu vois, comme je suis compréhensive, je ne te punis pas pour tes protestations, et, en plus je te laisse un choix qui me semble très correct ! ».

    En un éclair, et alors qu'Annie est arrivée, aux deux dernière pinces en plastique, en ayant pris son temps, comme promis, en ne faisant chuter les pinces qu'après deux ou trois coups de martinet vicieusement assénés, et m'avoir déjà fait jouir deux dois : je m’imagine à la place de Yasmine avec ce monstre dans le ventre et tout mon corps se contracte pour un troisième orgasme cérébral qui s'alimente aussi de la chute de la première pince en plastique décrochée par un coup fulgurant de cravache, ce qui inonde mon con et donc le vibro lui permettant d’encore mieux me fouiller.

    Agnès à qui rien n’échappe s’en rend compte et dit à Yasmine : « Tu vois, la putain Loré vient de donner sa réponse : elle a envie de sentir ce gode écarteler son vagin et lui remplir le con pour en jouir comme une bête ! ».

    Et sans attendre la proposition à son offre magnanime, elle s’enfonce lentement dans le vagin trempé de Yasmine d’un mouvement lent et très régulier, Yasmine en pleurs voit le monstre disparaître peu à peu en elle, son vagin doit lui faire incroyablement mal mais elle essaie de résister pour ne pas hurler.

    Le temps semble s’être figé quand, enfin, la base de latex vient toucher ses grandes lèvres. Agnès pose ses mains sur cette base. Elle se relève, se désengageant de sa partie du gode, et après avoir longuement regardé les bords du vagin de sa pute, elle dit à Yasmine : « Tu peux serrer tes cuisses de salope pour bien sentir ta partie du gode dans ton vagin, et, je te signale que ton accès vaginal est intact, tu n'as pas été déchirée d'un centimètre ! Bientôt je te ferai dormir avec Maxtor ! ».

    Ce qui fait grimacer la pauvre Yasmine rien que d'y penser ! Agnès rit de sa réaction un peu enfantine et lui dit : « Avant de continuer, tu vas étrenner ça : c’est le même ami artisan qui me l’a offert, je suis sûre qu'il va te plaire ! ». Comme Yasmine ne peut pas trop bouger à cause du Maxtor, elle lui jette un soutien gorge de latex, apparemment normal. Yasmine semble rassurée, mais quand Agnès se rapproche d'elle pour l'aider à se redresser et pour l’enfiler, elle découvre avec horreur que l’intérieur des bonnets est recouvert des mêmes picots qui tapissent le gode, mais durs et non souples ! « Eh oui ma salope arabe, ce sera moins confortable que tes bonnets de satin habituels et en plus j'ai demandé du 90a alors que tu fais un 95c ! Ca risque donc te serrer un peu ! ».

    Connaissant Agnès, Yasmine n’insiste pas et enfile ses seins dans les deux bonnets avant de mettre les bretelles sur ses épaules et de passer ses deux mains dans le dos pour l’agrafer. Elle grimace : « Alors ma salope, tes premières impressions ? ». « Oh, Agnès, j’ai l’impression que des centaines de guêpes sont entrées dans mon soutien gorge et plantent leurs aiguillons dans mes seins ».

    Agnès se retourne vers Annie en lui disant : « On se croirait dans un cirque ! Ta putain d'Issoire a un serpent qui lui mange le con, elle croit sentir des décharges électrique au milieu de ses étrons en préparation et en plus, des fruits en forme de pinces fleurissent régulièrement sur ses nibards de catin ! Quand à ma pute, elle des guêpes dans son soutif et la pine de Hulk dans sa connasse de bourgeoise vichyssoise de mon cul ! ». Elles éclatent de rire alors qu'Annie est occupée à rassembler la nouvelle récolte de pinces !

    Visiblement heureuse de faire son show devant deux soumises à son entière disposition, Agnès pose un pied sur le lit et s'apprête à s'empaler sur la partie lisse du gode, en nous regardant tour à tour dans les yeux.

    En croisant les miens, elle se rend de suite compte que je ne suis plus là, perdue entre douleur, plaisir et excitation de ce que je vois et de ce que je ressens et que j'embarque une nouvelle fois pour un orgasme incontrôlable, grognant mon plaisir, sans pouvoir le hurler, en essayant de bouger ce que je peux de mon ventre pour mieux sentir le vibro me torturer sans bouger trop mes nichons qui commencent à à être ultra sensibles !

    Elle me sourit vicieusement sans rien rater de mon orgasme, et sans attendre que j’ai fini, elle met le vibro sur sa vitesse maximum en me disant : « On va arrêter un peu les pinces, car ta poitrine commence à me faire pitié, mais je te conseille d’enchaîner les orgasmes de ton cul électrifié et de ta connasse pilonnée, si tu ne jouis pas assez pendant que je nique Yasmine, c’est ma cravache sur tes nichons qui te fera jouir, probablement sans pinces, mais pendant une bonne semaine tu devras te faire tirer habillée et dans le noir pour que tes clients ne te posent pas de questions gênantes ! ».

    Elle revient vers Yasmine, se met à genoux entre ses cuisses, et s'adresse à nous toutes : « Vous vous imaginiez vous régaler à me voir jouir sur ce gode monstrueux, cuisses de pute ouvertes, bouche de salope déformée et nibards tombants et ballottants : c’est mal me connaître : Annie peux-tu leur masquer les yeux, s’il te plaît ? ».

    Annie récupère deux masques de voyage dans l'armoire et monte sur un tabouret pour me poser le mien. En en descendant, elle fait pareil à Yasmine.

    Je me sens frustrée de ne pas voir Agnès jouir, j’entends simplement les bruits de mouille que son vagin fait quand elle s’empale sur le gode qui dépasse du bas ventre de Yasmine et les cris de douleur de cette dernière au fur et à mesure qu’Agnès se gode à une vitesse très rapide !

    J’espère qu’Annie aura pu filmer cette scène et que je la verrai dans un de mes clips. Un grognement de plaisir nous annonce qu’Agnès jouit une première fois et le bruit que fait son vagin en se retirant du gode est profondément obscène. Gentiment elle propose de suite à Annie de profiter du gode bien lubrifié et bien chaud mais Annie rit : « Mon plaisir est avant tout cérébral, Agnès, ne te fais pas de souci pour moi, quelques secondes de ma main sur ma chatte suffirait à m’envoyer en l’air ! ». Agnès rit : « Comme tu voudras, je vais tenir mes engagements ! Et elle se ré-empale sur le gode pour arriver très vite à son deuxième orgasme ! ».

    Quand elle a fini, elle dit à Annie ! « Ma proposition pour t'envoyer en l'air tient toujours, moi je vais dans le salon pour suivre mon amie-pute, quand tu en auras fini avec elles, tu peux leur enlever leurs masques, et demande à Yasmine de libérer Loré, de se doucher et de partir, dis lui qu'elle aura un mail de ma part dans sa bal en arrivant chez elle ! Merci, Annie à toute à l'heure, nous n'allons pas tarder à nous coucher ! ».

    Eh, voilà, encore une nuit presque blanche, mais à Vichy, décidément, je vous mène la vie dure ! Nous sommes le :

    Mercredi 1er février 2017

    Et il est :

    4h45

    Donc l'heure pour moi d'aller fantasmer sur la suite des aventures coquines ou cochonnes ? De Loré !

    Suite > Chapitre 7


    votre commentaire
  • Chapitre 7

    Mercredi 1er février 2017 - 5h

    Agnès nous quitte et va dans le salon pour suivre un peu les aventures de son amie. Je suppose qu'elle a du passer par une douche rapide. De son côté, Annie a du se dire : « Et pourquoi refuser la gentille invitation d'Agnès, et comme elle n'avait pas besoin de se déshabiller, ses bruits de vagin trempé ont remplacé ceux d'Agnès et ma gentille Maîtresse s'est envoyée en l'air avec son silence et son flegme habituel ! Et j'en étais enchantée pour elle !

    Quand elle en a terminé avec son plaisir, elle s'absente cinq minutes, probablement pour aller se doucher et se rhabiller. Yasmine qui nous sait seule me dit : « Comment vas-tu ma chérie ? Et surtout comment vont des seins ? ». « Pas très bien amour, mais ne t'inquiète pas ça va passer, le baume d'Annie fait des miracles sur ce genre de blessures superficielles, demain on n'y verra plus rien ! ». « J'en suis heureuse pour toi, j'étais malheureuse de te frapper alors que tu saignais presque (…) tu sais bien que si tu ne m'avais pas torturée, Agnès m'aurait demandé de te faire souffrir, il valait mieux que tu lui obéisses ! ». « Oui, c'est vrai, que nos Maîtresses ne nous laissent pas souvent le choix. Mais, heureusement que ça semble s'être arrêté, je n'en pouvais plus ! ».

    Annie revient et nous nous taisons. Elle enlève le masque de Yasmine et l'aide à retirer son Maxtor de son vagin, quelques minuscules lambeaux de peau pendent sur des picots, mais Annie lui confirme qu'elle n'a aucune blessure : « Yasmine, si tu veux bien, aide moi à détacher Putain Loré et à la débarrasser de tous ces instruments de torture. Dès qu'elle sera dans la salle de bains, tu pourras te doucher et t'habiller, Agnès te souhaite une bonne nuit et m'a dit de te signaler qu'elle te contacterait bientôt ».

    Annie arrête tous les moteurs et descend les cordes au sol. Avec Yasmine elles s'activent pour m'ôter bâillon de bouche, défaire le ceinturon du haut de mes cuisses, sortir l'énorme vibro désormais inoffensif de mon vagin et le crochet de mon trou du cul.

    J'ai du mal à marcher, mais, appuyée sur Yasmine je me traîne dans la salle de bains en aidant à y porter des sex-toys.

    Comme Yasmine doit partir, elle se douche la première pendant que je nettoie les sex-toys dans le lavabo et qu'Annie soigne mes blessures avec un flacon de son baume qu'elle a apporté exprès pour moi !

    Mais nous entendons Yasmine gémir sous la douche, et en regardant ses seins qu'elle essaye de nettoyer avec un éponge douce, nous sommes horrifiées : ils sont marqués sur toute leur surface, remplis de boutons rouges dus aux picots ont profondément pénétré la chair de ses seins, mais aussi de ses tétons.

    Dès qu'Annie en a fini avec moi, elle s'occupe de Yasmine en lui massant délicatement les seins de ses deux mains pour atténuer sa douleur qui se calme très vite. Elle lui demande de lui trouver un flacon vide dans lequel elle met un peu de son baume qu'elle pourra se passer pendant la nuit pour être fraîche comme une rose quand elle se lèvera. Yasmine la remercie avec des larmes plein les yeux !

    Pendant que je finis de me remettre d'aplomb, Annie et Yasmine rangent la chambre des plaisirs d'Agnès, lui redonnent son aspect initial et range soigneusement tous les accessoires dans la grande armoire.

    Yasmine est prête et habillée, nous échangeons un long baiser devant la salle de bains, j’enfile un peignoir de bains sur mon corps nu pour la raccompagner mais, quand nous passons devant le salon, Agnès, nous demande de venir la voir.

    Nous obéissons en faisant attention de ne pas regarder le téléviseur : « Dis- moi Yasmine, je viens d’avoir une idée, Annie et sa putain repartiront de Vichy après-demain de bonne heure, pourrait-on venir manger chez toi vers 13h ? Mais attention, pour un apéro simple : Coca et sandwiches par exemple ? ». Yasmine répond : « C’est une excellente idée, Agnès, et l'heure est parfaite (…) Je m'occuperai des sandwichs, de ton côté fais toi livrer des boissons, entendu Yasmine ? ». « Tout à fait Agnès, alors à tout à l'heure ! ».

    Agnès me demande d'aller attendre dans sa chambre et elle se lève avec Annie pour raccompagner Yasmine à la porte. Elles restent quelques temps à discuter, je suppose qu’Agnès règle quelques détails avec Yasmine pour ce qu'elle a prévu pendant notre présence chez elle, mais je ne suis pas pressée de connaître ces détails !

    Mercredi 1er février 2017 - 5h30

    La porte se referme, j'entends les deux amies éteindre les lumières, puis passer dans la salle de bains pour se préparer, peut être pour s'habiller ou se déshabiller pour la nuit, se brosser les dents et faire un dernier pipi. Toujours est-il que lorsqu'elles entrent dans la chambre à coucher, elles enlèvent leurs peignoirs sous lesquels elles portent des nuisettes courtes, transparentes et très sexys, sans aucun sous-vêtements.

    Agnès fait choisir son côté à Annie, qui lui répond, très ironiquement : « Le contraire du tien me conviendra parfaitement ! ».

    En souriant, elle s'assied à gauche du lit et règle le radio-réveil sur 10h, ce qui nous donne moins de cinq petites heures pour nous reposer et fermer un peu les yeux. Annie me demande de me mettre à poil et se couche à gauche d'Agnès en me disant : « Putain Loré, tu vas dormir sur la carpette, au pied du lit, si l’une d’entre nous a besoin de toi, elle te réveillera ! ».

    Agnès éteint la lumière. J'entends des froissements de nuisettes qu'elles enlèvent, des frottements d'épidermes, des bruits de langues mouillées et de doigts humides indiscrets : elles sont en train de s’enlacer, de se caresser, de se gouiner et de se doigter.

    En cherchant un endroit confortable pour dormir : je le trouve en mettant une chaussure sous la carpette pour surélever un peu ma tête. Et mon corps a tellement besoin de repos et de douceur que je m’endors de suite, sans aucune jalousie pour la partouze de Maîtresses qui se déroule à un mètre de moi !

    Oh ! Sommeil ! Mon éternel amant qui sait si bien me prendre ! Comme je t'aime et je t'apprécie !

    Mercredi 1er février 2017 - 10h00

    Le radio réveil me rappelle la réalité du lever et le cauchemar de la plus mauvaise nuit de ma vie !

    C'est Annie qui commence en me donnant des coups de pieds sur le visage, et en me chuchotant : « Je n’arrive pas à dormir, Putain Loré : suce et masse moi les pieds et les orteils ». Je m'exécute longuement jusqu’à entendre sa respiration apaisée ! Elle dort enfin !

    Mais, très peu de temps après c’est Agnès qui me réveille en me donnant des coups de pieds dans les nichons : « Debout, Putain Loré ! Rapporte moi un verre d’eau glacée du frigo ! ». Je dois aller dans la cuisine pour lui rapporter un verre d’eau dont elle boit à peine une gorgée !

    Quelques courtes minutes plus tard, elle me met, de nouveau, à contribution, en me disant : « Je repense à cette journée excitante et je n'arrive pas à me rendormir : bouffe ma chatte et mon trou du cul, fais ce qu'il faut ! Mais je veux jouir ! ». Je crois qu’en fait, elle jouit entre le rêve et la réalité car à son dernier grognement de plaisir, je sens qu’elle dort paisiblement.

    Tôt dans la matinée, c'est Annie qui me réveille : « J’ai envie de pisser, mais je ne veux pas aller aux toilettes, arrange-toi, Putain Loré ». Je me couche sur une carpette du côté de son lit. Elle se lève et, s’agenouille nue sur ma bouche dans laquelle elle vide sa vessie, sans que je n'en perde une goutte, avant de se recoucher et de se rendormir de suite, alors que je me glisse dans la salle de bains pour me rincer la bouche.

    Je viens de me recoucher quand le radio-réveil sonne. Le résumé de ma nuit, me laisse un goût amer, je suis plus fatiguée qu'en me couchant et, surtout, incapable de savoir combien de temps j’ai dormi entre les caprices de mes deux Maîtresses.

    Les langues d'Annie et d'Agnès réapprennent à faire connaissance et elles se rhabillent en enfilant à même la peau leurs peignoirs et leurs chaussons assortis. Moi, j'ai pour consigne de rester à poil ! Agnès me murmure doucement à l’oreille : « Tu m’as bien fait jouir cette nuit. Sais-tu, Putain Loré, que tu es très douée pour envoyer une femme au septième ciel juste avec ta langue de bourgeoise-perverse ! ».

    Je ne trouve rien à lui répondre alors qu'elle me pousse dans la salle de bains : « Tu vas te doucher, mais avant, n’oublions pas ton petit pipi du matin ! ». Je comprends ce qu’elle veut et j’enjambe la baignoire, elle s’assied face à moi et me regarde. Debout, les bras le long du corps, j'ouvre un peu mes jambes et me laisse aller, pissant de longs jets qui retombent sur le bord de la baignoire. Quand ils s'atténuent, Agnès se lève, essuie de sa main droite ma chatte humide de mon urine et me donne ses doigts à lécher et à nettoyer. Yeux fermés je m’exécute essayant d’oublier cette odeur qui me donne la nausée.

    Elle me sourit et me tapote la joue : « Rendez-vous dans un quart d’heure dans le salon, récure toi bien, Putain Loré ! ».

    Et elle disparaît me laissant seule.

    Mercredi 1er février 2017 - 10h20

    J’entre dans le salon, nue, le corps encore un humide de ma douche, Agnès n’est pas là, mais Annie me dit en prenant sa caméra en main : « Enfile cette jupe, ces bas et ces escarpins, reste seins nus et prépare nous le petit déjeuner ! ».

    Je m’habille rapidement, la jupe est hyper courte, en laine grise. Les bas gris perle et les escarpins sont ceux d’hier soir. Je m’active dans la cuisine pour trouver tout ce qu'il me faut pour trois petits-déjeuners.

    Le café passe et les toasts brunissent quand Agnès entre dans la pièce. Elle est en peignoir, en mules plates, et porte une serviette en turban sur ses cheveux. « Je vois que tu es prête et active, c’est très bien, mais il te manque tes bijoux : tiens met-les ». Elle sort de la poche de son peignoir un plug noir court et ventru, des petites pinces en fer et des boules de geisha.

    Elle s’assied sur une chaise à côté d'Annie et de sa caméra. Elle leur allume deux cigarettes. Elles me regardent de dos relever ma jupe et, en forçant un peu, me dilater l’anus pour pouvoir y entrer la totalité du plug.

    Puis, je leur fais face, jupe relevée et coincée à la taille, et je glisse une à une les trois boules de geisha dans mon ventre chaud et humide de la douche ou pour une autre raison ? Dès qu’elles sont en moi je les sens bouger et me donner du plaisir à chacun de mes mouvements.

    Je finis en me posant une à une les pinces aux tétons. Je ne peux éviter une grimace, car les pinces posées verticalement pour ne pas être vues sous des vêtement n'écrasent pas les bouts d'une manière naturelle bien qu’étant dépourvues de poids ou de lests.

    Agnès sourit en me regardant ainsi apprêtée. Pendant que je continue à préparer le petit déjeuner, elle se lève et me pelote les seins à pleines mains sans se soucier ni de mes pinces, ni de mes gémissements de douleur, tout en me murmurant à l’oreille : « Tu as tout prévu pour le petit déjeuner, mais tu as oublié les croissants : en sortant de la maison, à environ 500 mètres sur la gauche tu as une boulangerie : vas nous en acheter six, je te prie, Annie et moi allons nous occuper du reste ».

    Elle m’aide à enfiler mon manteau, et m'indique d'un mouvement de tête des escarpins qui n'ont rien à voir avec la saison et ont des talons bien trop hauts.

    Sentant leurs regards sur mon cul et mes pieds mal chaussés, je sors en marchant à petits pas, autant à cause des talons, que des boules et du plug qui bougent ou me forcent l'anus à chaque pas.

    J’essaye d’écarter le manteau de ma peau nue pour éviter le frottement des pinces sur sa doublure, mais je n’y arrive qu’en le maintenant tiré vers l'avant, ce qui n'est pas gênant, car le quartier est désert et je ne croise personne avant la boulangerie.

    Deux dames attendent leur tour. Le boulanger qui sert, reçoit un appel téléphonique : il s'excuse et fait venir une employée, pour répondre au téléphone, mais l'appel est bref. Il revient mais demande à la fille de rester un peu. Il lève les yeux et me regarde. Quand mon tour arrive, je demande « six croissants », le boulanger tient à me servir lui même et me tend ma commande, c'est à ce moment là que je réalise que je n'ai pas pris d'argent.

    Je le lui avoue d'un air gêné : « Je suis désolée, Monsieur, je suis sortie sans argent, est-ce que Madame Agnès a un compte chez vous ? ». « Non, Mademoiselle, mais c'est elle qui m'a appelé tout à l'heure, pour me demander de lui ouvrir un compte, et me passer commande de nombreux sandwiches pour 12h45, en me précisant d'une manière ironique qu'elle m'envoyait son esclave, pour voir régler avec moi les détails de cette commande, l'ouverture du compte et revenir avec 6 croissants, vous avez cinq minutes à m'accorder Madame ? ». « Mais bien sur Monsieur ! ».

    Nous entrons dans son bureau, son portable sonne. Il décroche : « Ah, oui, re-bonjour, Madame Agnès, je suis avec votre amie ! (…) Ah ! Vous ne plaisantiez pas en me disant que c'était votre esclave ? (…) Mais, l'esclavage n'existe plus, chère Madame ! (…) Ah dans certains milieux ? Oui ! Je ne le savais pas ! (…) Entendu je vous passe (…) Euh (…) La dame en question ! Oui, je mets le main libre ! (…) Putain Loré je viens de passer une commande numérique pour les sandwiches que tu reviendras chercher à 13h, j'ai joins tous mes docs pour l'ouverture de mon compte chez Monsieur Albert, tu n'as plus qu'à enlever ton manteau et lui montrer ce qu'est une putain-esclave en 2017 et ce qu'elle sait faire ! Et quand il en aura fini avec toi, n'oublie pas nos croissants, tes Maîtresses ont faim ! Mes respects à Monsieur Albert ! (…) Je coupe ! ».

    Il a tout entendu, je n'ai vraiment rien d'autre à faire que de déboutonner lentement mon manteau et l'ôter devant lui. Il me regarde avec des yeux ronds et son visage passe par une douzaine de couleurs avant de se figer sur le rouge vif en comprenant ce qui est en train de lui arriver !

    Mercredi 1er février 2017 - 11h00

    Je reviens avec un énorme sac rempli de viennoiseries qui embaume toute la rue. Monsieur Albert a bien mémorisé que, même de nos jours, il existait des esclaves sexuelles, prêtes à obéir et à donner du plaisir n'importe où, n'importe quand et même à n'importe qui !

    Bien qu'Albert soit un quinqua débonnaire et sympathique, mais je ne jugerais pas sa bite aussi gentiment, car elle s'est révélée très active en giclant deux fois, dont une, relativement logiquement dans mes intestins, mais une deuxième fois très proche du bdsm qu'il affirme ignorer, en la faisant gicler sur le sol carrelé de son bureau, pour me photographier, couchée à poil sur le ventre en remuant le cul tout en me doigtant la moule et en léchant son foutre avec ma langue !

    Et très imaginatif, puisque le seul orgasme qu'il m'ait autorisé était un mini tsunami déclenché sans mon intervention par la torture de mes bouts de mamelles de pute ! Si Albert ne fréquente pas de sites bdsm sur le net, moi je suis la Bonne Mère de Marseille !

    Heureusement que ces petits détails incohérents me font sourire, car le chemin du retour aurait pu être un enfer, les boules m’excitent et je sais que mon vagin qui n'a pas été mis à contribution a besoin d'être vidé. Alors qu'après avoir été torturés, pour me donner un orgasme unique, mes tétons gonflés me font de plus en plus mal. Et, par malchance, Albert qui a bien su retirer le plug de mon cul, mais l'a remis en place après usage : ce qui me blesse et, surtout, m'oblige à boitiller !

    Je m'arrête trois fois avant d’arriver devant la porte d’Agnès qui m’ouvre et me fait entrer au chaud. Je suis accueillie par une bonne odeur de café et je prends un plat en inox, dans le placard que j'avais repéré ce matin, et déverse la demi-tonne de viennoiseries, que je signale comme : « Offertes à Madame Agnès pour l'ouverture de son compte ! ».

    Les deux femmes éclatent de rire, sans me regarder et sans me poser une seule question sur cette généreuse donation !

    Mercredi 1er février 2017 - 11h10

    Agnès me le demandant, j'enlève sans fausse honte, mon manteau et ma jupe, dans la cuisine. Elle se rapproche de mes seins, enlève les pinces et regarde attentivement le résultat : « C’est un cadeau d'une de mes élèves, elle avait raison en me ventant leur efficacité : les tétons sont violacés, et leur avantage est d'être invisible sous les vêtements ! ».

    Elle descend une main vers mon sexe et glisse un doigt entre mes lèvres, et, sans rien dire elle termine par l'anus en constatant de suite le problème avec le plug ! « Nous attaquons le petit-déjeuner, mais, toi putain, tu vas te doucher, vider ta moule et enlever ton plug, j'enverrai son mode d'emploi à Monsieur Albert ! Tu nous rejoins vide et à poil ! ».

    « Je vais profiter d'une douche rapide, lave mes boules et mon plug, et après m'être séchée rapidement, je reviens, pieds nus, dans la cuisine, enroulée dans une grande serviette de bain, que je pose sur ma chaise avant de m'y asseoir dessus ».

    Mon café non sucré m'attend. Il ne doit pas être très fort car il me semble bien clair et pourtant je n'avais pas préparé du jus de chaussettes ! Dommage, j'avais besoin de caféine et d'excitants ! Je prends une viennoiserie et la trempe dans mon bol.

    En la mordant, je sens de suite le goût et l'odeur de la pisse. Agnès qui a suivi mon geste me dit en souriant ! « Ce matin, c'est une fête pour toi : Annie et moi sommes tes donatrices, tu bois un super cocktail de pisses de Maîtresses ! »

    Le jus d'orange est, lui aussi coupé d'urine, mais c'est moins désagréable que le café noir ! Je me force à manger mais Annie et Agnès me donnent chacune une viennoiserie et Annie rajoute même : « Il faut que tu manges bien, car tu vas encore beaucoup te dépenser ! Trempe ces trois bonnes pâtisseries maison dans ton café et finis bien tes boissons, pleines de vitamines et de ta boisson vichyssoise préférée !

    Je m'exécuté lentement, mais l'estomac au bord des lèvres : Agnès s'en rend compte et me dit ! « Putain Loré, crois-en mon expérience : pour ton quatrième séjour avec moi tu boiras de la pisse aussi facilement que du champagne ou du coca. Le corps s'habitue à tout très rapidement, et si Annie te prépare des journées 100% pisse à Issoire, ton organisme réagira encore plus vite ! ». Annie approuve et assure Agnès que ce sera fait, dès cette semaine ! Me voilà prévenue de ce qui m'attend !

    Mercredi 1er février 2017 - 11h30

    Agnès « Si vous le voulez, nous pouvons aller au salon fumer une ou deux cigarettes au salon, Je dois appeler Yasmine pour lui dire que les sandwiches ne seront prêts qu'à 13h, et que nous sommes un peu en retard, car Loré et moi devons rassurer son mari. Même à Moscou, il doit se demander si tu vas bien, tu ne crois pas, Putain Loré ? ».

    Annie lui répond qu'ils se téléphonent tous les jours vers 18h, et elle s'assure auprès de moi qu'il l'a bien fait hier : « Oui, Madame, il m'a appelée, nous étions pressés mais je lui ai dit que tout allait bien que je l'appellerai ce matin, donc l'idée d'Agnès correspond à ma promesse ! ».

    Elle sourit et m'ordonne d'aller récupérer les boules et mon portable !

    Quand je reviens avec les deux objets, elle me désigne un fauteuil. Je constate en souriant que ma réputation m'a précédée, car le coussin est protégé par une serviette de bains !

    Agnès qui a suivi ma réaction, rit et me dit : « Putain, mieux vaut prévenir que guérir ! Je déteste laver et mes femmes de ménage ont d'autres choses à faire que ce genre de conneries, en particulier me rapporter du pognon avec leurs culs ! ». Je m’assieds, un peu surprise d'apprendre au détour d'une conversation anodine qu'Agnès a un réseau de call-girls !

    Elle place à deux mètres de moi une psyché sur roulettes dans laquelle je me vois intégralement. Elle me demande de poser mes cuisses et mes genoux sur les accoudoirs, je m’exécute et vois mon image avec les cuisses écartelées et mon sexe largement exhibé.

    Mes bas et mes talons hauts qui reposent sur les accoudoirs contribuent à mon image de pute en action. Je suis très troublée de me voir comme ça, et encore plus du vice d'Agnès, qui va probablement exiger de moi, une conversation intime avec mon mari dans cette position obscène !

    Agnès, que je sens fine psychologue, doit savoir ce que je pense et me glisse à l’oreille : « Prends les boules dans tes mains et, pour le moment, contente toi de les humidifier une à une dans ta bouche, je les veux bien lubrifiées ! ». Elle me regarde les sucer les en fermant les yeux, lui prouvant ma totale adhésion à son scénario pervers !

    Elle change le circuit des boules, qui, dorénavant doivent aller de ma bouche au fond de mon vagin, puis, après une bonne agitation vaginale, revenir dans ma bouche pour un grand nettoyage et repartir dans mon vagin, jusqu'à ce qu'Agnès m'ordonne un autre parcours !

    Elle me regarde jouer plusieurs fois à ce petit jeu, qui, visiblement m’excite et me conseille de relever un peu plus mon cul pour que les boules insérées dans ma moule soient mieux visibles.

    Le parcours vicieux des boules et surtout les images que reflète le miroir me chauffent à blanc. C'est là que je fais la différence entre une domina et une vraie Maîtresse : le miroir crée cette différence : l'une va y penser et l'autre non ! Je crois qu'Annie y aurait pensé, mais à présent j'en suis sure, car elle n'apprend certes pas autant que moi, mais beaucoup, de notre excellente professeur de bdsm vichyssoise !

    Tout mon corps devient sensible. Ce qui n’échappe pas à Agnès, qui m’ordonne : « Tu peux arrêter de sortir tes boules. Glisse ton index droit dans ta moule dégoulinante et essaye de les toucher pour les faire tourner dans ton vagin ! ». J'ai un grand plaisir à lui obéir de suite !

    Elle prend mon portable, le place au creux de ma main gauche en me disant : « Compose le N° pré-enregistré de ton mari, avec ton doigt plein de la mouille de ton con, et passe moi le portable ».

    Je suis morte de honte et terrifiée par ce qu’elle peut éventuellement dire à mon mari. Mais son autorité me paralyse et je suis incapable de m’opposer à elle, je compose avec mon doigt le chiffre de mon mari. Agnès est debout, un peu derrière moi, appuyée sur le côté gauche de mon fauteuil.

    Elle prend l'appareil et se penche vers moi pour quelques derniers conseils : « Masse-toi doucement le clitoris, mais attention, je mets le main libre, sois prudente et tiens en compte ! ».

    Yves décroche : « Bonjour, vous êtes bien Yves Dufour ? (…) Oui, à qui ai-je l'honneur ? (…) Je m’appelle Agnès et je suis une amie de Loré et d'Annie ! (…) Ah ! Je commençais à me faire du souci, j’ai téléphoné hier soir tard à la maison et son portable était coupé, comment va-t-elle ? (…) Très bien, je vais vous la passer, je vous appelle car elle vous a promis, hier, de vous rappeler ce matin, vue la rapidité de votre conversation de 18h ! (…) Il rit ! C'est tout à fait exact, vous êtes très au courant, Agnès ! (…) Quand votre femme parle, j'aime l'écouter, cher Yves, mais je tenais à faire votre connaissance, car, vous avez une femme si adorable que je ne résiste pas à l’envie de vous inviter tous les deux un dimanche à Vichy où je réside ! (…) Merci pour les compliments et pour l'invitation, ça me semble être une excellente idée ! J’aime bien connaître les amies de ma femme ! Mais que fait-elle à Vichy, ne me dîtes pas qu'elle est allée y chercher un amant russe ? Je m'apprêtais justement à en lui rapporter un tout neuf de mon voyage ! (…) Nous rions toutes les trois ! (…) Rassurez-vous, elle va vous tout vous avouer, je vous la passe, à bientôt, Yves ! ».

    Agnès me redonne le téléphone en me murmurant dans l’oreille : « Reste naturelle, n’arrête pas de te branler, regarde toi dans la glace, imagine que ton mari te voit comme ça ! Attention, au main libre ! ».

    Avec ma main droite trempée, je fouille mon con et sort de temps en temps un doigt pour me masser le clito : « Bonjour, mon chéri, excuse moi je suis un peu vaseuse ce matin, Agnès nous a gentiment accueillie chez elle avec Annie, car nous avons fait une petite fête un peu trop arrosée entre filles hier soir, une amie d’Annie qui se marie ce samedi ! (…) Et ça s’est bien passé ? (…) Oui, nous étions une douzaine de femmes, à peu près du même âge ! Nous avons eu droit à un excellent repas et ensuite nous sommes allées faire les folles dans une boîte de nuit jusqu’à l’aube (…) Eh bien, je vois que je ne te manque pas ! Il ne te reste qu'à mettre un voile noir ! (…) Où mon amour ? Sur la tête ou en string ? (…) Toujours aussi salope, ma Loré, tu as de la chance d'avoir tes amies à côté ! (…) Attends, elles me disent quelque chose ! ».

    J'occulte deux secondes mon micro ! Agnès en profite pour me mordiller l’épaule et me dire à haute voix : « Tu ne lui dis pas que tu as été baisée et enculée par un inconnu, que tu as fait trois passes dans sa belle auto ? Que tu as nettoyé la pine d'un clodo et que tu as été torturée deux heures par une asiatique que tu as fait jouir trois fois d'affilée, en lui léchant le trou du cul ? ».

    Tout mon corps frémit, en me remémorant cette soirée, mon doigt continue à tourner autour de mon clitoris, hyper sensibilisé qui entraîne des contractions de plus en plus rapprochées de mes muscles vaginaux.

    (…) Je libère mon micro (…) Me revoilà, Amour, elles sont intenables ! Elles voulaient que je te fasse croire qu'elles étaient sorties et de te proposer une baise par téléphone avec le main libre branché sur Radio France ! Qu'ai je fait pour avoir des amies aussi vicieuses ! (…) Oh ! Oui ! Tu as eu de la chance car elles auraient pu être comme toi : vicieuses et, en plus, perverses ! (…) Tu es un salaud ! Je raccroche ! Tu sais qu'elles écoutent et tu me traites de perverse ! (…) Mais non, ma chérie, tu n'as rien compris ! Dans ma bouche, perverse est un compliment, surtout quand je suis dans ta bouche ! (…) Beaucoup d'humour ton mari, Loré ! Je l'adore ! (…) Agnès adore ton humour et toi, mais je n'ai pas compris dans quel ordre ! (…) Annie veut te dire quelque chose : rassure toi, Yves, comme, c'est Eva qui s'occupe dorénavant de votre maison et que Jean engrange des oursons, j'ai décidé qu'elle ne devait pas s’ennuyer un seul instant pendant ton absence. Or, j'ai des tas d’amies, et, c'est comme ça que nous avons été invitées au dernier moment, à cette soirée entre-filles hier soir à Vichy ! (…) Annie, rassure toi, je te fais confiance ainsi qu'à tes amies ! Je sais que Loré est entre de bonnes mains affectueuses et très câlines ! (…) N'est ce pas ? (…) Gros rire d'Annie sans réponse (…) Et ton travail russe avance bien ? (…) Monosyllabes de ma part (…) Récit d'Yves (…) Avec grand peine : j’arrive à lui dire d’une voix à peu près normale (…) Mon pauvre Chéri, moins 20°, vivement que tu rentres à la maison pour que je puisse te réchauffer ! (…) Il rit : oui j’ai hâte, bon, ma chérie, on va couper, cet appel va te coûter une fortune ! (…) Mon trésor ? C'est toi ! Et il est inépuisable, je t’embrasse des cheveux aux orteils en m'arrêtant longuement là où tu sais ! (…) Je t'aime ma catin ! (…) Et il raccroche ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 11h50

    Je suis en sueur et tout mon corps tremble. Je coupe le téléphone et le laisse tomber à terre, accélérant tout se suite ma caresse sur mon clitoris gonflé de désir, mais Agnès me gifle violemment par derrière : « Arrête, salope, tu jouiras peut être mais pas maintenant ! Pour le moment reste assise dans ce fauteuil sans bouger, nous revenons de suite ».

    Agnès fait signe à Annie de la suivre. Elles reviennent en riant peu de temps après. Elles portent une brassée d'accessoires qui me font penser qu'elles reviennent de l'armoire de la chambre des plaisirs et que je ne vais pas terminer cette matinée en paix !

    Je n'ai pas changé de position dans le fauteuil. Agnès commence par ma tête : elle entoure une corde plusieurs fois autour de mon cou, tout en demandant à Annie d'en tendre une autre entre les deux pieds avant du fauteuil.

    Pendant qu'Annie s’exécute, Agnès, comme le fauteuil a des pieds assez hauts, jette la corde enroulée autour de mon cou sous lui pour qu'Annie la récupère et l'attache à celle qu'elle vient de poser.

    Elles passent ensuite à mes bras et avant-bras qu'elles saucissonnent à mes cuisses et mes jambes, posées sur les deux accoudoirs du fauteuil. Agnès s'interroge : « Dis-moi, Annie, en attachant Putain Loré par une corde bien serrée passant sous le fauteuil et reliant ses deux genoux, tu crois que ça serait suffirait pour l'immobiliser ? ».

    Annie réfléchit et lui répond : « Sauf, si tu es en manque de cordes, je te conseillerais de l'attacher bien serrée avec trois cordes passant sous le fauteuil, une les bras au niveau de ses épaules, une autre au niveau de ses coudes et la dernière à ses chevilles. Je pense que, là, elle serait totalement immobilisée ! ».

    Cette solution est immédiatement mise en pratique, et je me retrouve en effet, parfaitement immobilisée en quelques micros-minutes ! Pour me permettre de mouvoir mes fesses, Agnès glisse sous mon cul un gros oreiller bien rempli qui me sert de petit trampoline pour faire des petits bonds vicieux !

    Elle règle la psyché pour s'assurer que je me vois toujours entièrement dedans et demande à Annie d'installer sa caméra sur son trépied, juste devant le miroir en me cadrant soigneusement du haut de la tête au coussin du fauteuil, puisque mes pieds chaussés sont liés sur les accoudoirs du fauteuil et que seul mon cul repose sur l'assise du fauteuil.

    Agnès continue pendant qu'Annie prépare sa web-cam. Elle me glisse dans la bouche un bâillon-gode court mais très épais, qui remplit toute ma bouche. Elle s'assure que ma langue passe bien sous le gode, pour être sure que je ne puisse pas l'avaler. Elle l'attache très serré derrière ma nuque. Elle me signale, gentiment et au passage que je n'aurai pas les yeux bandés et que je vais garder les yeux grands ouverts tout le temps !

    Elle met des gants de chirurgie pour retirer les boules de geisha de mon con et les remplace de suite par d'autres quasiment identiques qu'elle n'a donc aucun mal à m'invaginer. Et elle demande à Annie de me soulever le bassin par devant, pour m'enculer avec le vibro-multi-fonctions que j'ai déjà testé chez eux lors de notre mémorable soirée !

    Elle se reculent toutes les deux et Agnès lui pose la question clé de la finition ! : « Qu'est ce qu'il lui manque à ton avis ma Chérie ? ». « Je te dirais bien des écraseurs de seins, mais elle a déjà beaucoup souffert des seins dans ta chambre aux plaisirs, peut être pourrais tu te contenter de cinq pinces en plastique : une sur chaque téton et quatre en étoiles pour décorer les aréoles ? ».

    Agnès approuve et deux minutes après mes tétons sont décorés avec ces dix pinces en plastique, aussi décoratives que douloureuses ! « Autre chose, ma chérie ? ». « Oui, tu pourrais lui mettre deux pinces en bois sur chaque grande lèvre du sexe et une troisième entre les deux qu'on pourrait tendre avec une petite corde, passant derrière son cul, pour bien lui ouvrir le con ? ».

    « Superbe idée, Annie ! Mais pourquoi ne pas lui en poser trois sur chaque grande lèvre et lui faire béer la moule en passant la corde derrière son cul, mais qui tendrait les six pinces ! Pour bien offrir son con et l'exposer d'une manière intime et obscène à Madame Cravache et à Monsieur Martinet ? Qui, j'en suis sure, ne sauront pas résister ! ».

    Elles éclatent de rire et se félicitent de ces idées qui trempent leurs moules perverses et qu'elles mettent de suite en application !

    Mercredi 1er février 2017 - 12h

    Méticuleuse, Agnès, vérifie tout : la corde qui me coupe un peu la respiration et qui se tend à l’extrême en passant sous le fauteuil. Le bâillon-gode qu'elle met de suite en route et qui se contente de pilonner mon palais mais de me faire de suite baver comme une bête. Les pinces de mes nichons auxquelles elle donne dix pichenettes pour vérifier qu'elles sont bien fixées !

    Le saucissonnage savant aux accoudoirs, qui me lie ensemble les membres inférieurs et supérieurs. Les trois cordes maîtresses qui passent sous le fauteuil pour m'immobiliser totalement.

    Et, enfin, les deux acteurs principaux de mes futures jouissances : les boules de geisha vibrantes, qu'elle met en route, et dont je reconnais de suite les vibrations permanentes et les bonds puissants qu'elles font en se choquant dans mon con ! Et, bien sur, le maître-artisan de ma jouissance : le vibro-multi-fonctions que je commence à bien connaître et dont je redoute, à présent, la redoutable efficacité !

    Surtout qu'Agnès, comme de coutume, sans faire de fioriture et en sautant la page préliminaires, met sur sa vitesse maximum ! En m'obligeant de suite à me tortiller comme un ver sur mon fauteuil qui manque assurément  d'intimité !

    Contentes de leur oeuvre, elles quittent la pièce en me souhaitant tout le bonheur du monde, ce qui me rappelle quelque chose, mais je ne sais plus quoi, peut être une chanson célèbre ?

    Mais je commence à connaître le fonctionnement de la web-cam d'Annie et je constate que les deux boutons rouges de liaison sont en route ! Elle diffuse donc dans deux directions et je mettrais ma main à couper que c'est le PC du bureau d'Annie et le PC portable d'Agnès ! Elles vont donc me mater, probablement en se gouinant, mais hors de ma vue !

    Je ne peux rien faire, seulement monter et descendre mon cul, et compter mes orgasmes sans pouvoir crier ni me manifester ! Mais je les apprécie tous, et j'ai une seule envie c'est qu'Yves me voit et se branle sur ce clip !

    Mercredi 1er février 2017 - 12h40

    Il y a peu de temps, Agnès, probablement de sa chambre a mis tous les moteurs sur la vitesse maximum, ce qui n'a pas amélioré ma condition de jouisseuse !

    Je ne sais plus où j'en suis, je jouis sans relâche, enchaînant des petits orgasmes et des tsunamis, je dois en être à huit jouissances. J'espère, pour elles, qu'Agnès et Annie ont suivi le même parcours ! J'en suis là  dans mes réflexions quand elles reviennent au salon, me surprenant en pleine jouissance ! Je ne leur cache aucune honte et j'affiche même, avec beaucoup de fierté, mon statut de salope orgasmique, devant elles ! 

    Elles ont totalement change de look : avec des jeans effilochés qui font très d'jeunes, des gros pulls en superposition, des blousons aviateur usés jusqu'à la corde et des superbes Nike neuves aux pieds !

    Un peu calmée par mon dernier orgasme, je ris en leur disant que j’ai du mal à les reconnaître ! Agnès me répond : « Ne m'oblige pas à te gifler, j'aurais trop peur que tu jouisses ! Sais-tu, Putain Loré, qu’il y a des jours où l'ai horreur de m’habiller ! Et chez Yasmine je suis comme chez moi ! Donc, je ne vois pas pourquoi je me gênerais ! ».

    Annie rajoute en riant : « Putain Loré ne peut être que d'accord avec toi, elle a inventé un uniforme de RTT qu'elle met ses jours de repos ! Si tu la croisais, je suis sûre qu'avec ta gentillesse, tu lui donnerais un billet de 5€ pour qu'elle aille s'acheter un bonnet de laine !

    J'approuve et nous rions toutes les trois ! Ca fait du bien ! « Nous allons te libérer : tu vas te doucher, nettoyer les sex-toys et t'habiller. Au passage, nous nous arrêterons devant chez Albert pour que tu récupères notre commande de sandwiches. Je l'ai prévenu que nous passerons aux alentours de 13h et j'ai aussi averti Yasmine que nous aurions peut être un peu de retard.

    Les deux femmes m'entourent, Agnès a coupé tous les moteurs, elle s'occupe des cordes. Pour Annie, ce sont le bâillon-gode, le vibro anal et les boules qu'elle dispose sur la serviette qui protégeait le coussin.

     

    A deux elles me libèrent très vite. Agnès me demande de ranger les sex-toys propres dans sa chambre, enroulés dans une serviette propre. Et, en me claquant durement une fesse quand je passe à sa portée, elle me signale qu'il ne me reste que cinq minutes pour tout faire, revenir ici à poil et m'habiller, sinon elles partent sans moi !

    Mercredi 1er février 2017 - 12h55

    Je reviens douchée et séchée, les sex-toys, sont rangés. Annie a sorti mon habillement qui est succinct : des bas noirs, des escarpins fermés à talons hauts et un magnifique manteau de cuir à enfiler directement sur ma peau nue. Toutes les deux estiment de concert que tout autre vêtement serait superflu !

    Deux minutes après, nous partons. Nous passons récupérer deux poches de sandwiches faits maison. Albert essaye bien me retenir, je lui promets que, demain matin, Madame Agnès m'enverra peut être acheter des croissants sur son compte ! Le pauvre va vivre ces prochaines 24h en pensant à ça !

    Je rejoins l'auto. Hors-saison, il y a peu de circulation dans Vichy et nous roulons facilement. Cinq minutes après, Agnès se gare en bas d'un immeuble impressionnant de hauteur, dans une ville moyennement haute.

    Elle appuie sur le digicode et annonce : « Ce sont les livreuses de sandwiches, Madame, vous pouvez nous ouvrir ? ». Le buzz d'ouverture retentit et nous montons dans l'ascenseur jusqu'au douzième, soit le dernier niveau : el altillo comment disent les Espagnols ! Quand on sait que « alto » veut dire « haut », on suppose vite ce que signifie « altillo » ! Et, encore une leçon gratuite d'Espagnol !

    Dans l'ascenseur, Agnès rompt le silence pour me demander de défaire les trois premiers boutons de mon manteau et de ne pas avoir peur ou honte de montrer ma belle gorge et la naissance de mes seins !

    Mercredi 1er février 2017 - 13h15

    Yasmine nous ouvre, hyper détendue et souriante. Elle nous embrasse toutes les trois longuement sur la bouche et nous invitent à la suivre : pieds-nus, elle porte un grand tee-shirt XXL qui lui arrive à mi-cuisses.

    Je la trouve ravissante et très fraîche même sans maquillage. « Je vois que tu as eu le temps de te reposer, ma douce » lui-dit Agnès en l’étreignant et en lui re-donnant sa langue à sucer.

    Elle termine son baiser en lui caressant la joue et lui conseille : « Fais visiter ton appartement à Loré, je suis sure qu’elle va l'adorer ! ».

    Avec plaisir et tout sourire, Yasmine me prend par la main pour me guider à travers une cuisine ultra moderne, super bien équipée, puis, une très belle salle de bains équipée d'une douche, d'une baignoire et d'un jacuzzi. Nous arrivons dans une chambre aux dimensions exceptionnelles avec une immense porte fenêtre qui donne sur une grande terrasse fleurie commune avec le salon.

    Elle ouvre la porte fenêtre avec une télécommande, et c'est en passant par la terrasse et en admirant la vue que nous offre ce douzième étage, que nous revenons dans le living, délicieusement décoré.

    « Tu as un très bel appartement ! Je n'avais jamais vu un F2 de plus de 200m² ! Tu vis avec quelqu'un ? ».Yasmine rit en me répondant : « Je n’ai pas de mari et je ne travaille pas, mais l’appartement est à moi et j’ai quelques petits sous de côté. J'ai simplement fait confiance à Agnès et à un grand ami ! Je sais que tu vas lui être présentée ! J’espère que tu seras aussi tentée ! Si tu m'autorises, juste un seul petit conseil : n'hésite surtout pas ! ».

    Je rougis en réalisant que Yasmine est en fait une call-girl de luxe, et, en plus, spécialisée dans le bdsm, ce qui selon Annie est très recherché !

    Agnès rit en nous proposant : « Allons sur la terrasse, admirer la vue extraordinaire qu’elle a ».Yasmine fait mine d’enfiler des mules, mais Agnès l'interrompt : « Non reste pieds nus, c'est très bien »

    Yasmine sait qu’en cette saison, et malgré le temps magnifique du jour, la terrasse est soumise aux intempéries, mais habituée à obéir, elle ouvre la porte fenêtre et sort pieds nus. Nous la suivons et admirons du balcon la vue magnifique qu’elle a, vers la droite, sur les parcs majestueux transformés en arboretums et allant jusqu'à l'Allier !

    Certains sont un peu cachés par un des plus hauts immeubles de Vichy qui domine de deux niveaux celui de Yasmine.

    Elle rajoute : « Vous voyez : dans une petite heure, tout Vichy sera en train de profiter de ces parcs ; et, ce depuis que Napoléon a ordonné lui même ces agencements magnifiques des rives de l'Allier. Je ne suis pas une femme d'argent, mais un 200m², face à l'Allier vaut le double du mien. Mais j’ai beaucoup de chance d'avoir cette qualité de vie, et je remercie chaque jour trois personnes : mes deux amis à qui j'appartiens et Allah tout puissant ! ».

    Il fait un peu frais, mais la vue est si belle que nous restons sur la terrasse admirant les fleurs, les plantations, les murs végétaux, un petit bassin fontaine adorable rempli de poissons et un superbe barbecue ultra moderne et très complet. Agnès rompt le charme :« J’ai un peu froid, rentrons, mes Chéries ». Yasmine répond : « Oui, bonne idée, Agnès, asseyez-vous dans ce fauteuil, vous y serez à la droite d'Allah, je vous l'assure ! Moi, avant de vous servir l’apéritif, je vais me laver les pieds ! En cette saison, ma terrasse n’est jamais bien propre ! ».

    Mais Agnès pose sa main sur son bras : « Non reste avec nous, allonge toi sur le canapé et pose tes pieds nus en les faisant dépasser de ce joli petit pouf tunisien. Notre Putain Loré issoirienne va te les nettoyer avec sa langue ! ». Yasmine souriante, s’allonge comme demandé. 

    Agnès me dit gentiment : « Allez, Putain-Loré, mets-toi à poil : je veux que les pieds de Yasmine soient propres et luisants de ta salive ! ». Les trois femmes me regardent ôter mon manteau, et sans quitter ni mes bas ni mes escarpins, je m‘agenouille devant ses pieds un peu poussiéreux, tout en me rappelant qu'il y a peu de temps j'en avait nettoyé d'autres beaucoup plus sales !

    Je prends le premier dans une de mes mains et léche la plante couverte de poussière, je salive abondamment pour avaler plus facilement tout ce que je recueille avant de remonter vers les orteils que je suce un à un. 

    Yasmine frémit, je ne sais pas si c'est à cause des chatouilles ou du plaisir qu'elle peut ressentir ! Je continue, en salivant sur tout son pied, que je lèche sans laisser la moindre parcelle de côté, avant de le lâcher pour me consacrer à l’autre.

    Agnès intervient : « Tu vois comme c’est une bonne putain, suceuse de pieds et pompeuse d'orteils : je lui ai offert les miens hier et elle a failli me faire jouir avec sa langue et sa bouche de putain ! ». Yasmine regarde ses pieds et dit : « Si Agnès est d'accord, je suggère d'applaudir mon amie Loré pour son travail parfait ! ». Agnès applaudit la première, et tout le monde la suit.

    Yasmine se relève et m’aide gentiment à me redresser. Je suis un peu surprise de l'avoir vue montrer son vrai caractère, mais, je me rappelle qu'Agnès m'a dit d'elle qu'elle la connait très bien, elle doit savoir quand elle peut se le permettre ! Réflexe qu'il me faudra apprendre !

    Alors que nous nous activons toutes pour préparer notre pic nic de luxe ! Agnès demande à Yasmine : « Et ton voyeur, il est toujours là ? ». « Ah Pierre ! Oui, il est fidèle au poste, mais je ne sais pas, s’il est là aujourd’hui ».

    Elle prend des jumelles sur la table de la base de son portable et regarde vers l’immeuble d’en face : « Non je vois son télescope et ses appareils photo, son matériel est prêt, mais, lui, ne semble pas être là, il est peut être allé déjeuner dehors. Je suis sur qu'il reviendra bientôt, de toutes les manières, si vous avez besoin de lui, j'ai son 06 ! ».

    « Pas grave, nous avons le temps, allons d'abord nous restaurer, mais, avant, sois gentille, ma Chérie, prête une jupe et un chemisier à Loré, j’ai peur de me lasser de son corps en la voyant constamment à poil ! Et de finir par me faire mouiller quand je sentirai qu'elle a les nichons nus sous une doudoune et un anorak ! ».

    En riant, elle m’entraîne dans sa chambre et m'ouvre sa penderie en me laissant choisir une jupe et un chemisier de mon choix. Je choisis et finis de m'habiller tout en entendant Agnès et Annie s’affairer dans la cuisine.

    Yasmine se penche sur moi et m’embrasse tendrement en cherchant ma langue, que je lui donne sans réserve, et, avant d'aller dans la cuisine, elle me glisse à l’oreille : « Hum ! Ta langue sur mes pieds ! Si tu avais continué un peu, je m’envoyais en l’air ! Jure moi qu’un jour tu me feras jouir comme ça, je t’en prie ». Souriante je le lui jure et nous rejoignons tout le monde.

    Mercredi 1er février 2017 - 13h40

    Champagne frappé, jus frais variés et boissons gazeuses à volonté, Yasmine a bien rempli sa part du contrat, mais elle a aussi rajouté des petits-fours chauds, froids et même sucrés venant du traiteur de son quartier qui est, en fait le meilleur de Vichy !

    Avant de commencer, Agnès me prend par le bras et me murmure à l'oreille : « Si je te dis, profites-en bien, que vas-tu boire ? ». Je réponds en lui souriant ! « Merci, Agnès : des jus de fruits ! ». « Bravo, tu fais des progrès Putain-Loré ! ».

    Nous mangeons de bon cœur en buvant et en riant comme des ados.

    Yasmine > « Savez-vous, Agnès que Monsieur Georges a entamé son douzième album, bientôt il aura 300 femmes de moins de 30 ans dans ses fiches, ça commence à être impressionnant ! ».

    Agnès > « Dire que tu es dans son septième ! Ca ne nous rajeunit pas. Mais il faut savoir que beaucoup d'inscrites ne répondent jamais à ses invitations, il devrait rafraîchir ses fiches ».

    Yasmine > « Oui elles agissent sur un coup d’excitation et par la suite elles ont trop honte de leurs envies et elles ne donnent pas suite ».

    J'ose me joindre à la conversation : « Ou elles ne peuvent pas donner suite, Yasmine est libre et célibataire, mais, pour prendre mon exemple, je suis mariée, avec un enfant, une maison à gérer et un travail. Ce n’est pas si simple de me libérer ! ».

    Les deux femmes approuvent mon raisonnement et Agnès conclut en me disant : « Nous verrons bien ce que tu décideras quand je te présenterai Monsieur Georges. Mais rassure toi, nous t’aimons toutes et nous ne te perdrons pas ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 14h

    J’aide Yasmine à tout ranger dans le lave vaisselle, Agnès est allée dans sa chambre. Elle revient avec ses jumelles à la cuisine : « Dis, moi, Yasmine, j'’ai l’impression qu’il est là, tu peux me le confirmer ? ». Elle la suit dans sa chambre et jette un coup d’œil à la jumelle et elle lui confirme que c'est bien Pierre.

    « Bien tu as son portable ? ». « Oui, il est préréglé Voyeur Pier sur tous mes téléphones ». Agnès prend son portable et s'isole cinq minutes dans la chambre, elle revient en souriant dans le vivoir où elle commence une mise en scène : un fauteuil non visible de l'extérieur, à droite de la porte fenêtre, un autre identiquement caché à gauche. Et un troisième face à la porte fenêtre, fermée pour le moment.

    Yasmine et moi l'avons rejointe dans le salon. Yasmine lui demande un entretien privé, qu'elle accepte de suite. Elles s'isolent dans la cuisine. Agnès revient hyper souriante et s'adresse de suite à Annie ! « Annie, j'ai peut être une bonne nouvelle à t'annoncer ! ». « Ah ! Ma chérie, c'est déjà une excellente nouvelle car je sais que tu ne te trompes jamais ! ».

    « Hum ! Vérité flatteuse, mais dans ce cas, tu as raison. Je te résume le raisonnement et sa conclusion : hier, Yasmine t'a trouvé très gentille et attentionnée quand tu lui as donné un flacon de ton baume miracle qui lui a fait un bien fou ! (…) Bien que je sois très jalouse car je n'y ai pas eu droit !(…) Mais, ma Chérie, tu n'en as pas besoin, ce sont tes soumise qui l'utilise ! (…) Exact (…) Mais je préfère signer le baume pour qu'elle m'aiment encore plus ! ( …) Comme je t'avais assez bien jugée, je n'ignore pas ton ego et j'ai deux gros flacons dans la voiture de Loré et le mail du fabricant aux USA, avec une recommandation de ma part et le tout rien que pour toi ! (…) Dossier classé, merci Annie, je continue !».

    « Donc, elle a décidé de faire plaisir à la femme Annie et non pas à Maîtresse Annie ! (…) ???? (…) Tu vas vite comprendre, elle a sélectionné dans son répertoire et non dans son fichier clients, ce qui est très différent ! (…) En effet ! (…) L'homme qu'elle considère être le plus habile et le plus fascinant de Vichy, au lit, avec un sexe à faire pleurer d'envie les femmes. Et, qui sait s'en servir ! Il s'appelle Jonas, mais n'habite pas dans une baleine ! Il est beau comme un Dieu grec avec ses 30 ans de maturité sexuelle. Et ? (…) Par malheur, il passe la semaine avec Miss Monde en Thaïlande ? (…) Quelle pessimiste ! (…) Et, il a reçu une photo pudique de toi qui vient d'une fiche Wikipédia et non de tes archives cochonnes ! Et (…) Tu as rendez-vous avec lui à la Grande Brasserie qui est à cinquante mètres en sortant de l'immeuble à droite à partir de 14h30, jusqu'à 14h32, si ça se passe mal ! Ou jusqu'à beaucoup plus si affinités ! Tu as juste un détail à respecter : pour lui, Yasmine est directrice d'une agence d’événementiel pour la France, merci ! ».

    Agnès complète : « Bien évidement, tu n'as aucune de limite de temps, entre deux orgasmes, essaye de nous tenir au courant, mais, ce Monsieur étant un gentleman, quand vous en aurez terminé, il t'accompagnera où tu le lui demandera ! Quant à ce qui va se passera ici, ce sera bien sur très chaud, mais entièrement enregistré, donc tu sais que tu ne rateras rien, et que Tom recevra les dernières aventures de Loré à Vichy en temps et en heure ! Rien de plus, sinon de te souhaiter de notre part à toutes, de bien te régaler avec le roi de la baise de Vichy ! Et crois-en ceux qui la connaissent intimement ! Yasmine a un jugement très sur ! Et, elle non plus ne se trompe jamais ! ».

    Annie ne trouve pas d'autre mot qu'un « merci » prononcé d'une voix émue et demande à Yasmine de lui indiquer la salle de bains. Pendant que nous finissons la mise en scène du salon, elle se douche et se rafraîchit ! Soucieuse du moindre détail, Agnès nous demande d'enlever le fauteuil caché de gauche qui était, en fait destiné à Annie !

    Puis elle demande quelque chose à Yasmine qui revient de la cuisine avec un gros sac de cuir noir qu’elle dépose sur la table du salon. Elle continue en lui demandant, dès le départ d'Annie, d’appeler le portable du voyeur de son fixe en main libre, et de pousser l'ampli au maximum.

    Annie revient de la salle de bains, toute fraîche, légèrement parfumée et habillée, elle aussi par la garde robe de Yasmine, mais très élégamment ! Elle m'embrasse tendrement puis passe à la bouche d'Agnès avant de s'attarder longuement dans celle de Yasmine qu'elle doit remercier au creux de l'oreille pour cet amant et pour ses vêtements !

    Nous l'accompagnons toutes les trois à la porte et la saluons jusque dans l'ascenseur et revenons dans le salon. Agnès s’assied dans le fauteuil caché de droite et demande à Yasmine de se mettre entièrement nue et de s'asseoir sur l'accoudoir gauche de son fauteuil tout en s'adressant à moi : « Pour le moment, Putain-Loré, tu t'installes dans le fauteuil du centre, habillée, les jambes pudiquement croisées et tes mains posées à plat sur tes genoux ».

    Agnès fait signe à Yasmine d'appeler Pierre.

    Mercredi 1er février 2017 - 14h20

    Une voix mâle paraissant très jeune résonne dans la pièce :

    « Bonjour, c'est Pierre, je veux parler à la femme qui est assise dans un fauteuil devant la porte fenêtre »

    « Bonjour, Monsieur ».

     « Tu t'appelles Loréna ? »

    « Oui, Monsieur ! ».

    « C'est ton pseudo de pute ? Ou ton vrai prénom ? »

    « Mon vrai prénom, Monsieur, je ne fais pas le trottoir ».

    « Continue à m’appeler Monsieur, quel est ton nom de famille ? »

    « Je n’aime pas le donner, Monsieur ».

    « Ta Maîtresse m’a dit au téléphone que tu disais toujours la vérité ! »

    « C’est vrai, Monsieur, je m’appelle Dufour ».

    « Et tu habites Vichy ? »

    « Non, Monsieur, je vis au sud de Clermont-Ferrand ».

    « Tu es mariée ? »

    « Oui, Monsieur ».

    « Et il s’appelle comment ? »

    « Yves, Monsieur ».

    « Et Yves Dufour sait que tu viens faire la pute à Vichy ? »

    « Non, Monsieur, il n’est pas au courant ».

    « Donc, tu es infidèle, mais en plus salope et menteuse ? »

    « On peut dire ça, Monsieur ».

    « Je ne sais pas si on peut le dire, mais c'est ce qu’affirme ta Maîtresse qui ajoute qu’en plus d’être pute, tu es soumise, obéissante et maso ! »

    Je me sens horriblement vexée par cette réflexion et je ne réponds pas baissant la tête.

    « Ce n’est pas la peine de baisser la tête, je te vois comme si tu étais à un mètre de moi ! Alors répond ! »

    « Oui Monsieur, j'ai la réputation d'être une pute soumise ».

    « Ca va bien ensemble, debout et rapproche-toi de la porte fenêtre »

    Je me lève et me mets à un mètre de la vitre.

    « Que portes-tu sous ta jupe et ton chemisier ? »

    « A part des bas, rien, Monsieur ».

    « Sais-tu qu’en te parlant et en te regardant, je prends cliché sur cliché de toi ? J’en suis déjà à cinquante uniquement de ton visage ! »

    « Je le sais, Monsieur, une amie m'a parlé de votre équipement photo ».

    « Tu connais tes risques en te retrouvant sur le net visage non caché ? »

    « En venant à Vichy, Monsieur, je savais que je prenais des risques ».

    « Ta propriétaire a raison : tu es docile, soumise et elle t'a bien éduquée, félicite la pour moi ! »

    « Elle entend notre conversation, Monsieur ».

    « C’est encore mieux, j’espère que Yasmine écoute aussi : comment veux-tu que je t'appelle ? »

    « Loréna ou Loré, Monsieur, mais je répondrai à tout autre nom ! ».

    « Comment t'appelle Madame Agnès ? »

    « Putain-Loré, Monsieur ».

    « Bien, pour moi tu seras sale-pute ! Tu aimes ? »

    « Oui, Monsieur, j'aime et ça me convient ! ».

    « Je te trouve très veule, tu ne te rebelles jamais ? »

    « Non, Monsieur, jamais, j'ai appris à dire oui et presque jamais non ! ».

    « Bien, sale-pute, suce toi lentement et très sensuellement deux doigts de ta main gauche »

    Je les suce, les lèche avant de les entrer et de les ressortir de ma bouche comme si je les pompais. Il semble satisfait, car il ne me dit rien, et je l’imagine le doigt crispé sur son déclencheur !

    « Déboutonne les deux boutons du haut de ton chemisier et glisse ta main droite dans ton décolleté. Fais durcir tes tétons avec tes doigts »

    Sans arrêter de me sucer les doigts de la main gauche, je déboutonne les deux premiers boutons et glisse ma main droite sur ma poitrine chaude.  Je sollicite mes tétons qui réagissent de suite en se tendant.

    « Sale-pute, suce quatre doigts de ta main gauche et quand ils seront bien mouillés, pose les sur ton chemisier et pétris-toi un de tes bouts, je veux voir des taches sur ton chemisier au niveau d'un bout de nibard que je te laisse choisir ! »

    Quand les doigts de ma main gauche sont trempés de salive, je les pose sur mon chemisier et pince mon téton droit à travers l'étoffe, alors, que sans attendre, je rentre quatre doigts de ma main droite dans ma bouche pour les humidifier de la même manière. Très vite, une auréole de salive se forme autour de mon téton droit.

    « Sale-pute, tu es gentille d'attendre mes ordres avant de les exécuter ! Continue à mouiller tes autres doigts et fais moi voir tes remontées de lait sur tes nichons de femelle pleine. Est-ce que tu commences à être très en chaleur pour perdre du jus de femelle par les nichons ? »

    Je suis assez étonnée par ces pertes de jus par les seins quand une femelle est excitée ! Je ne connais pas du tout ce processus ! Mais peut-être suis-je l'exception qui confirme la règle ! Perdue dans mes pensées, et ayant plus envie d'éclater de rire, que de répondre, je me prends un :

    « Sale-pute je t'ai posé une question, réponds ! »

    « C'est un mélange des deux, Monsieur, j'ai des remontées de lait et je suis tellement excitée que je perds du jus de femelle en chaleur par le canal lactaire ! » Le temps qu'il vérifie lactaire et lactifère, j'ai le temps d'aller boire un verre d'eau ! Je m'excuse auprès de lui et me lève juste pour murmurer à Yasmine : « Dis moi Chérie, tu perds beaucoup de jus par les seins quand tu es excitée ? ». Elle éclate de rire et me conseille de me rasseoir pour ne pas être punie ! Sur ce coup, Agnès est indulgente et rit aussi sans me punir ! Je reviens en m'excusant auprès de Pierre !

    Je tourne les yeux vers le fauteuil : Agnès a quitté son jean et ses chaussures, Yasmine est à genoux devant elle, nue, fesses offertes et lui lèche les pieds avec application.

    Agnès prend une ardoise et écrit dessus : « Sois très salope et lâche toi : il te paye 200€ ». Une gifle de sa part m’aurait fait moins mal.  Désemparée je ne sais plus quoi faire mais la voix reprend :

    « Tourne toi et relève ta jupe : je veux voir ton cul »

    Debout, je tourne le dos à la fenêtre et enroule ma jupe à ma taille, tout en lui faisant remarquer ! « Monsieur, si j'ouvrais la porte fenêtre, vous me verriez plus clairement, vous ne croyez pas? ».

    Il apprécie beaucoup ma remarque et me dit de l’ouvrir de suite !

    Ce que Yasmine fait pour moi avec sa télécommande (…) Ma Chérie, je monte en même temps le chauffage, je ne veux pas que nous nous gelions grâce à tes bonnes idées généreuses !

    « Penche toi en avant et ouvre tes fesses avec tes mains je veux voir la marchandise ! »

    Docilement, j’ouvre largement mes fesses pour lui offrir mon anus.

    « Je sais que Yasmine a beaucoup de sex-toys, trouve toi un plug et encule toi devant moi »

    Agnès me désigne le sac noir sur le lit, je l’ouvre et trouve rapidement un plug noir qui semble être d’un calibre raisonnable. Je reviens vers la fenêtre et me l’enfonce doucement dans les fesses en poussant un cri que je ne peux retenir.

    « Tu glousses quand on t’encule ! Et tu dois hurler quand on te nique ! Tu es une sacrée chaudasse toi ! Assieds toi dans le fauteuil, genoux bien écartés et ouvre ta moule avec tes deux mains »

    Ce langage ordurier me fouette les sens mais je m’assieds, genoux posés sur les accoudoirs et ouvre mon sexe de mes deux mains. Il est gluant et trempé, j’imagine les gros plans que le photographe vicieux doit être en train de faire et ça me surexcite.

    « Ouvre toi plus, tire bien sur tes lèvres, montre moi l’intérieur de ton vagin de salope »

    J’écarte encore plus les cuisses et tire mes lèvres de mes mains pour mieux m’offrir.

    « Tu es trempée, je te vois dégouliner, regarde ce filet de sécrétions qui coule sur ta cuisse. Tu n’as pas honte de te montrer ainsi ? Ton vice ne t’écœure pas ? »

    Je me tourne vers Agnès, je n’ai jamais été insultée comme ça mais elle me rassure par un grand sourire alors que je vois la tête de Yasmine s’agiter entre ses cuisses grandes ouvertes.

    « Lève toi putain et approche toi du balcon : dégage bien ton clitoris et montre le moi, expose le bien, il doit être dur, bien visible et tendu »

    Debout, je l’aide à sortir de sa cachette, il est en effet gorgé de sang, je le décapuchonne délicatement et l’expose ainsi jambes écartées.

    « Si je dois écrire un article sur une femme chaude, je mettrai cette photo de toi ! Branle toi le clitoris d’une main et de l’autre mets toi à poil »

    Main droite rivée sur ma chatte, un doigt posé sur mon clitoris, j’arrive en me contorsionnant un peu à ôter mes chaussures. Pour les bas c’est un peu plus difficile. Mon chemisier ouvert, glisse facilement à mes pieds, suivi de ma jupe. Je suis nue face au balcon, me branlant de plus en plus fort le clitoris et le haut du sexe. Je suis de plus en plus chaude et je n’arrive plus à étouffer mes petits cris de plaisir.

    « Non seulement tu n’as pas honte mais en plus tu en tires du plaisir. Je n’aurai même pas le temps de t’enfiler ma bite que tu me crèverais les tympans en t’envoyant en l’air. File dans le sac et trouve toi deux pinces en fer avec les lests les plus lourds possibles et des boules de geisha »

    Je vais vers le sac. Sans le vouloir, je me rends compte que je tortille du cul pour exciter d'avantage mon voyeur ! Excitée, je deviens réellement une grosse salope, même sans le chercher ! Je fouille le sac et reviens avec une paire d’écraseurs de seins en fer, des plombs pour les lester et des boules de geisha énormes et télécommandées.

    « Sale pute, enfile les boules une à une dans ta moule »

    Je les fais glisser une à une, je suis tellement trempée qu’elles glissent toutes seules très facilement.

    « Bien, à présent les pinces et les poids, fais bien attention de ne pincer que tes tétons de sale pute et pas la chair de tes seins »

    Je gémis de douleur en me pinçant chaque téton et encore plus fort quand les poids les déforment et les entraînent vers le bas.

    « Hum tu es vraiment vulgaire avec tes mamelles pendantes. Mais tu me fais bander car ton visage reflète une réelle douleur »

    J’ai en effet beaucoup de mal à dissimuler ma douleur, courbée vers l’avant, tétons tendus et alourdis par les poids, je grimace en gémissant comme une petite chienne.

    « Je vais te calmer un peu, ça te fera du bien ! Croise tes mains sur la tête, referme bien les cuisses, tu vas sautiller sur tes pieds, le plus haut possible sans décroiser tes mains, ni ouvrir tes jambes et tu vas compter tes sauts à haute voix : allez vas y commence ! »

    Je suis effrayée par la douleur que je vais ressentir : en sautant, les poids vont entraîner mes tétons vers le haut et en redescendant ils vont brutalement chuter vers le bas. Je plie un peu les jambes et saute une première fois en comptant à haute voix : « Un ». La descente est horrible. Même retombée sur mes pieds, mes seins continuent à tressauter me faisant hurler de douleur. Mais je dois ressauter : « Deux », « Trois », « Quatre », « Cinq ». De grosses larmes coulent de mes yeux : « Six », « Sept », « Huit ». « Oooh, je vous en supplie, laissez moi arrêter j’ai vraiment trop mal ».

    « Tu as peut être mal aux nichons mais les boules te ramonent bien le con, alors ne me prends pas pour un imbécile et continue ! »

    Malgré mes supplications et toutes mes prières, il ne me libère qu’à : « Dix ». Je n’en peux plus et je m’écroule à genoux sur le carrelage, en larmes, me tenant les lests pour soulager ma douleur.

    « La sale-pute à genoux ! Ce sera l'une de mes plus belles photos : allez relève toi, enlève les poids de tes pinces. Garde les pinces, le plug et les boules, enfile un manteau, reste nus pieds et demande à Yasmine comment venir chez moi. Dis aux filles, que si elles veulent entendre, je laisse mon téléphone branché, allez ne tarde pas sale-pute ! »

    Mercredi 1er février 2017 - 15h10

    J’ôte avec soulagement les poids des pinces. Ca atténue très peu ma douleur mais mes seins reviennent, au moins à un niveau normal. Agnès, qui ne doit plus compter ses orgasmes, relève la tête de Yasmine qui a la bouche trempée de sa mouille et, visiblement, la langue tellement douloureuse qu'elle semble paralysée.

    De ce fait, elle parle bizarrement mais arrive tout de même à me susurrer, comment aller chez lui et me glisse à l’oreille : « Fais-attention, quand il est bande très dur il adore les filles très vulgaires ».

    Mercredi 1er février 2017 - 15h15

    Je la remercie, enfile mon manteau et sors. J’ai souvent été sur-excitée dans ma vie mais je pense que cette fois je dépasse toutes les limites. Je flotte comme sur un nuage, tout en traversant, pieds nus, l’avenue qui me sépare de l’immeuble en face.

    Sans pouvoir résister au plaisir de frotter mes cuisses pour bien sentir les boules tourner dans mon ventre. J'appuie sur l'interphone au 4b. La voix est affaiblie par un appareil un peu déficient :

    Pierre > « Oui qui est là ? »

    Loré > « C’est Loréna, Monsieur ».

    Pierre > « Loréna ? Je ne connais pas, j’attends quelqu’un, mais ce ne doit pas être vous, ou alors vous vous présentez mal ma chère ».

    Loré > Je me rappelle du conseil de Yasmine. « Je suis la putain que vous avez réservée, Monsieur ».

    Pierre > « Ah tu es mon vide couilles ! Je me fous de savoir que tu t’appelles Loréna ou Josette, tu es bien à poil sous ton manteau ? »

    Loré > « Oui Monsieur je suis bien à poil sous mon manteau ».

    Pierre > L’ouvre porte résonne et j’entre : ascenseur, quatrième gauche, je frappe à la porte. Elle s’ouvre sur un homme jeune, en caleçon qui ne cache pas une forte érection, il me filme avec une caméra numérique, me signifiant que je ne dois pas entrer pour le moment. « Alors dis moi qui es tu ? »

    Loré > « Je suis la putain que vous avez réservée ».

    Pierre > « Je ne t’ai jamais vue sur le trottoir, tu es nouvelle à Vichy ? »

    Loré > « Oui je suis nouvelle mais je ne suis pas une professionnelle ».

    Pierre > « Ah tu finis tes fins de mois en vidant des couilles, je comprends. J’ai dit à ta patronne que je niquais sans préservatif alors si ça ne te va pas, casse toi de suite ! »

    Loré > « Oui Monsieur : je sais que vous niquez sans préservatif ».

    Pierre > Il me toise méprisant et filme mes pieds nus. « Tu n’avais pas de pognon pour t’acheter une paire de pompes ? »

    Loré > « Vous avez demandé une putain sans rien sous son manteau, et pieds nus pour vous prouver mon obéissance et ma volonté de vous plaire ».

    Pierre > « Ah tu me fais rire ! Tu sais ce que tu es pour moi ? »

    Loré > « Je ne sais pas Monsieur, un vide couilles ? ».

    Pierre > « C’est sur que tu me videras les couilles, mais pour moi tu es un objet sur pattes avec trois trous à ma disposition et rien de plus ! Bon, assez perdu de temps avec un paillasson. J’avais demandé trois choses à ta Maîtresse, tu les as sur toi ? »

    Loré > « Oui Monsieur, je les porte ».

    Pierre > « Bien, retourne toi, colle toi à l’ascenseur et enlève ton manteau, je vais vérifier »

    Je lui tourne le dos et j’ôte mon manteau me dévoilant nue. Il ne fait aucun commentaire, mais j’entends plusieurs fois le bruit caractéristique du zoom et j’en déduis qu’il doit faire des gros plans de tout mon corps.

    Pierre > « Reste comme ça et enlève le plug de ton cul de pouffiasse »

    Loré > Manteau relevé, je me penche en avant et je retire le plug de mon anus, il a un peu séché depuis le temps que je le porte et ça me fait grimacer.

    Pierre > « Montre le bien à la caméra (…) Voilà comme ça. A présent, remets le dans ton cul, bien au fond, en poussant bien »

    Loré > Je le remets en place mais je suis très sèche de l’anus et ça me fait mal !.

    Pierre > A peine entré, il me le fait ressortir entièrement, puis le renfoncer totalement. Il semble apprécier ce petit manège car il me le fait faire une dizaine de fois avant de me le laisser profondément enfoncé dans le cul « Tu as l’air d’aimer ça, tu as beaucoup de clients qui te payent pour t’enculer ? »

    Loré > « Je ne sais pas Monsieur, je débute ».

    Pierre > « Et ton mari il t’encule souvent ? »

    Loré > « Oui Monsieur, il aime bien m’enculer, il le fait souvent ».

    Pierre > « Ca ne m’étonne pas tu as des yeux et un cul d’enculée, allez retourne toi que je vois le reste ! »

    Loré > Je me retourne et lui fais face, il filme toujours, je vois, sur un tabouret posé à côté de lui, son téléphone fixe branché, j’en déduis qu’Agnès et Yasmine écoutent toute notre conversation ce qui m’excite encore plus.

    Pierre > « Tu as vraiment des nichons qui appelent la souffrance en permanence. Je serais ton Maître, je te poserais des anneaux gravés à mon nom sur les tétons ! Tu vas jouer un peu pour moi et pour mon film : bouche ouverte, tu vas te lécher les lèvres en regardant vicieusement la caméra avec un grand sourire et en même temps tu te peloteras les nichons de la base à la pointe en insistant bien sur les pinces et tu contracteras les muscles de ton vagin pour bien sentir les boules dans ton ventre : tu vois c’est tout simple ! »

    Loré > Je suis tellement excitée que je n’ai aucun mal à m’exécuter, langue sortie, je me lèche les lèvres tout en souriant à la caméra. Je pétris mes seins, les compressant à leur base pour terminer, en jouant avec les pinces jusqu’à me faire grimacer de douleur. La caméra s’attarde sur mon ventre qui bouge lentement sans que les contractions ne se voient, mais lui et moi savons qu’elles me caressent l’intérieur du vagin. De plus en plus chaude, je me laisse aller en poussant des petits cris qui n’ont rien à voir avec le jeu.

    Pierre > En souriant il constate ma transformation. « Te voilà chaude à point il me semble sale-pute ! »

    Loré > « Oh oui Monsieur je suis très excitée ».

    Pierre > Il rit en posant une main entre mes cuisses, il tire sur la ficelle et retire une des boules. « Regarde dans quel état est la boule, tu n’es pas excitée : tu es dégoulinante ! Je suis sur que tu serais capable de prendre ton pied rien qu’en regardant ma bite tellement tu es en chaleur »

    Loré > « Oh oui votre bite ou une caresse me suffiraient pour jouir ».

    Pierre > « Eh bien c’est parfait, j’ai un client qui me réclame depuis un mois un film sur une pute qui jouit juste en se touchant les nichons, je crois que tu es assez salope pour ça. Enlève les boules de ton ventre et retire tes pinces des seins tu utiliseras tes doigts pour t’envoyer en l’air devant la caméra » Il me fait entrer dans son appartement après avoir ramassé mon manteau. Il referme la porte et je finis d’enlever les boules de mon ventre avant d’hurler en ôtant les pinces de mes bouts. « Eh oui, plus on les garde, plus on a mal en les enlevant, c’est normal, mais ça augmente leur sensibilité ! »

    Mercredi 1er février 2017 - 15h45

    Pierre me demande de refaire une partie de mon entrée : depuis mon arrivée à la porte de l'appartement. Je sonne, le corps nu, recouvert de mon manteau en cuir. Il m'ouvre et je me présente comme : « La putain que vous avez réservée à ma propriétaire ».

    Il approuve, me fait entrer en me rappelant : « Tu es bien au courant que j'ai demandé à ta Maîtresse une pute qui jouissait des bouts de mamelles sans se toucher le reste de son corps de pute ? ». « Oui, je le sais, Monsieur, je ne vous décevrai pas ».

    Devant la caméra, il me tend deux billets de 100€ que je fais disparaître dans la poche de mon manteau.

    Caméra coupée, il me précise ce que je viens de faire : « Tu viens de faire deux passes dans un parking proche, tu travailles toujours à poil sous ton manteau et tu te fais toujours niquer ou enculer sans préservatifs, comme tu es venue directement, tu n'as eu le temps de te laver ! ». Je lui fais signe que j'ai bien compris.

    Il remet la caméra en route en me disant : « Mets toi dans le couloir et enlève ton manteau, je veux voir la marchandise ! ». Je déboutonne lentement mon manteau, que je jette au sol et il semble surpris : « Tu bosses à poil sous ton cuir ? Tu es une vraie salope toi ! ». « Oui, je suis une salope, mais il se fait que cet après-midi, je n'avais pas d’appart, alors je préfère travailler nue sous mon manteau, c'est plus simple ! ». « Et tu as fait combien de passes avant moi sale-pute ? » : « Deux ! ». 

    « Mets-toi devant cette fenêtre où tu auras un bon éclairage et commence à te branler les bouts de mamelles, en étant très pute devant la caméra, et raconte moi ce que tu as fait avec eux ? ». Je me pétris les seins tout en effleurant mes bouts encore sensibles du long écrasement subi chez Yasmine, et lui réponds : « Le début fut pareil : une bonne branlette suivi d'une longue pipe, mais des fins différentes : le premier m'a niquée les cuisses levées avant de se vider les couilles dans ma bouche et de me regarder avaler son foutre en me giflant à chaque gorgée, et le deuxième m'a niquée avant de m'enculer en levrette et de se vider dans mes intestins avant de se faire nettoyer dans ma bouche ! ».

    « Ce sont des habitués ? » (...) « Oui les deux » (...) « Et à quoi ont droit les habitués avec toi ? » (…) Mes tétons sont de plus en plus durs, je les prends entre deux doigts et les branle comme deux petites bites (…) « Ils ont mon portable, ils peuvent m’embrasser sur la bouche, me voir nue, je les bois s’ils veulent jouir dans ma bouche et ils peuvent me baiser ou m’enculer sans capote ».

    Je me prête au jeu de la parfaite putain, ce qui m’excite terriblement. J’ai l’impression que ma chatte coule, de mes cuisses à mes chevilles en flot continu et que mes bouts se nichons ont triplé de volume. Je me lèche les lèvres, pour qu'elles brillent bien, et, bouche entrouverte je regarde la caméra droit dans l'objectif en souriant vicieusement.

    Excité, il insiste : « Écarte bien les jambes pour qu’on voit que tu ne te caresses pas les cuisses, en les frottant l’une contre l’autre, et branle plus fort tes bouts de nibards, je veux t’entendre couiner comme une chienne en rut. Si je comprends bien ce que tu viens de m’expliquer, sale-pute, c’est que tu as une dose de foutre dans ton trou à merdes et une autre dans ton estomac ? ».

    Je gémis en ayant de plus en plus de mal à parler ! « Oui Monsieur, j'avais deux rendez-vous avant qu’on ne me contacte pour me signaler que vous m'attendiez, et je n'ai pas eu le temps de me laver ». Mon corps tremble, mes jambes ont du mal à me supporter, mes tétons sont de plus en plus douloureux et sensibles, j’accentue et durcit mes caresses. La caméra ne perd rien, je la vois aller de mes bouts violacés à mon visage grimaçant, en passant par mes cuisses largement ouvertes dégoulinantes de mon jus de femme tiède et visqueux.

    « Et tu crois vraiment que je vais me vider les couilles dans des trous qui ont servi à tout Vichy ? Tu me prends pour un gogo ? ».

    Je suis au bord de l’orgasme et il m'est de plus en plus difficile de construire des phrases entières : « J’ai répondu honnêtement à vos questions, Monsieur, je ne vous ai pas du tout pris pour un imbécile : je peux me doucher avant que vous ne jouissiez, ou vous pouvez vous vider dans mon con qui est propre, ou m'obliger à vous branler avec mes nichons pour que vous gicliez sur le sol pour me filmer en train de lécher votre foutre et de le récupérer par terre pour l'avaler ! Vous avez de nombreuses possibilités excitantes, mais il vous faut faire vite, car, je commence à ne plus pouvoir me retenir, Monsieur, et ce serait dommage ! Ooooh : faites vite je vous en supplie ! ».

    Il joue parfaitement la colère ! Et après un clin d’œil, il me dit : « Moi je sais ce que tu vas faire, sale-pute : tu vas t’envoyer en l’air en caressant tes mamelles de truie, je filmerai ainsi un véritable orgasme de nichons, et tu me rendras la moitié de mon pognon. Tu te casseras pour te faire niquer où et par qui te voudra ! ».

    Je suis tellement dans le rôle, que j’explose dans un tsunami qui me ravage des tétons au ventre en me faisant hurler de plaisir. Tout mon corps se contracte. Je tombe agenouillée par terre, les mains encore crispées sur mes tétons.

    Je sens que la caméra me suit, et filme tous les endroits qui auraient pu m'aider à jouir, mais, bien sur, sans en trouver un seul ! Le plaisir vient uniquement de la sensibilité et du travail effectué régulièrement sur mes tétons et de la situation extraordinairement humiliante dans laquelle Pierre a su me plonger comme, je le suppose savent le faire les vrais metteurs en scène !

    La caméra vient sur mon visage pour un gros plan de la fin de mon orgasme et Pierre me dit d'une voix qui me semble très lointaine : « Souris à la caméra, ma belle Loré, bien que cet orgasme n'ait aucune besoin d'une chute ! Ton joli sourire en fera une de plus et en regardant cette scène, je penserai encore plus à toi ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 16h20

    Toujours agenouillée, j'essaye de récupérer, le souffle court, car je n'arrive pas à récupérer un respiration normale. Et, tout mon corps est douloureux, probablement après l'accumulation d'orgasmes de ces deux jours, qui ont mis mon corps à contribution, plus que d'habitude.

    Pierre a coupé et posé sa caméra, il m’aide à me relever, et me dit, gentiment d'une voix très douce : « Eh bien, Loré, c’est la première fois que je vois un orgasme aussi violent chez une femme ! Et pourtant, je peux t'affirmer que tu n'es pas la première ! ».

    Je souris et me laisse guider par les cheveux vers sa chambre : je sais très bien qu'il n' pas joui ! Et quand il me propose de me mettre sur le lit, en levrette, la tête entre les mains et le cul bien relevé en pointe, pour qu'il voit bien mon ton trou du cul ouvert ! Je lui réponds en riant : « Après une telle jouissance, je te dois bien ça, Pierre ! ».

    Je suis à peine dans la bonne position, qu’il monte sur le lit, se met à genoux derrière moi et m’encule d’un seul coup de reins en hurlant.

    « Oooooooh, ça fait plus de deux heures que tu me fais bander, je t’assure que tu vas recevoir une sacrée dose de foutre ! ». Il va et vient bestialement dans mes fesses, ne se préoccupant absolument pas d'un quelconque plaisir pour moi, ce qui me semble très normal ! Il ressort complètement son sexe de mon anus, pour le renfoncer brutalement jusqu’aux couilles, me faisant gémir de douleur et de plaisir.

    Sexe dehors, il en profite pour me caresser la raie du cul avec, en soufflant, pour que nous récupérions tous les deux et que je me décontracte pour encore mieux l’accueillir dans mes fesses ! Mais il change brusquement de direction et je sens son gland ouvrir mes lèvres vaginales et sa bite me pénétrer le ventre jusqu’à ce que ses couilles cognent brutalement mes fesses.

    Bien collé à moi, il passe une main sous mon ventre, trouve rapidement mon clitoris et le pince fortement avec deux de ses doigts en commençant à me pilonner le ventre de tous les muscles de son corps. Il est très bien membré et me remplit le vagin, en me faisant gémir de plaisir, tout en me triturant le clitoris sans pitié.

    A ce rythme là, il se produit ce que je n'attendais vraiment pas : je jouis, corps tordu, gémissante comme une petite chienne, poussant mes fesses vers lui pour encore mieux sentir sa queue ravager ma connasse.

    Sans arrêter de me niquer le plus fort et le plus rapidement possible, il ironise sur ce nouvel orgasme en me disant : « C'est rare de tomber sur une salope à jouir comme toi ! Mais quel plaisir ! On se sent vraiment utile quand une nana, mignonne comme toi, s'envoie en l'air autant de fois ! Tu en veux un autre ? ».

    J'éclate de rire ! « Si toi tu peux jouir une fois de plus, je me vois mal te l'interdire, mais, quant à moi ! Un de plus et tu devras appeler le Samu et leur tente à oxygène ! Désolée, ce sera pour une autre fois, que je te promets ! Je me suis trop régalée avec toi, ta cérébralité et ta bite fabuleuse ! ».

    Il me sourit me remercie de cette promesse et se retire de moi. Il me couche doucement sur le dos, et m'ouvre le plus possible le compas de mes cuisses. Je me laisse faire, sereine et rassasiée de jouissances !

    Il s'installe à genoux entre mes cuisses et me caresse le sexe et l'anus en me disant : « A ton tour tu vas réaliser un de mes fantasmes ! Rassure -toi, il est très pacifique pour toi ! Tu es dans la position dans laquelle je te voulais pour me vider les couilles, mais, et c'est là qu'est mon fantasme : je ne veux aucun mouvement, aucun geste et aucun son de ta part : tu es venue ici en qualité de pute et tu vas me recevoir comme la pute qui fait juste son job ! ».

    « Tu es offerte, à poil, cuisses écartées jusqu'à l'obscène, car ta seule envie est de recevoir et de stocker mon foutre et de te casser en récupérant ton pognon ! Pour parfaire le décor, je vais, même t'allumer une cigarette que tu fumeras pendant que je te niquerai comme le paquet de viande que tu as déposé sur l'étal et que j'ai choisi ! Est-ce que tu aimes mon fantasme ma douce Loré ? ».

    « Hum, Pierre, j'ai peur qu'en te le faisant vivre, je n'arrive pas à me retenir ! Je vais te poser juste une seule question ! Est-ce que tu écris des livres pornos ? ». « Euh, oui, ma chérie, et je suis même publié ! Mais un auteur ne peut rien faire sans une muse adaptée ! ». « Je ne serai peut être pas ta muse, mais en tout cas je vais essayer de ne pas te gâcher la réalisation de ton fantasme du jour, car je suppose que tu en as, au moins un par jour sinon plus ! ».

    Il règle sa web-cam, m'allume un cigarette me donne un cendrier, ouvre encore un peu plus mes cuisses, pince un peu mes bouts de nichons pour les faire bander, et se couche enfin sur moi.

    Je sens sa peau nue pour la première fois contre la mienne. Il me pénètre avec une facilité obscène tellement je suis trempée. Je reste couchée sur le dos, en croix, cuisses ouvertes, sans bouger, ni rien dire tout en tirant de temps en temps sur ma cigarette en regardant la fumée partir vers le plafond que je regarde fixement ! Je plains sincèrement les filles qui subissent ça comme j'essaye de le jouer !

    Il va et vient très vite et très fort dans mon con gluant. Il n'a aucun coup de reins complice de ma part, ni un coup de ventre, il atteint seul son orgasme alors que je finis ma cigarette en jouissant en grognant, ventre collé au mien, bien au fond de mon vagin.

    Il s’écroule à côté de moi en sueur, avec un immense sourire ! Il récupère très vite et se redresse. Il sort son sexe de mon vagin trempé, l’essuie sans délicatesse sur mon ventre et se lève, en me disant : « Ne bouge pas je fais encore quelques photos et tu pourras te sauver ».

    Il prend un appareil numérique et fait une vingtaine de photos de moi, étendue, immobile, jambes ouvertes, insistant sur le vagin trempé d’où s’échappe un filet de sperme. Il repose l’appareil. Allume deux cigarettes, j'en accepte une que je fume avec plaisir et en toute complicité avec lui !

    Il me demande : « Donne moi ton portable ». Ma réponse est immédiate : « Si tu veux me joindre, appelle Yasmine elle sait comment me contacter, mais je ne suis pas disponible très souvent, tu sais ».

    Il se contente de cette réponse : « Tu peux filer. A une autre fois peut être, tiens c’est pour toi ». Et il me donne un autre billet de 100€ que je glisse sans honte dans ma poche. Je le remercie, enfile mon manteau et quitte l’appartement.

    Quelques minutes après je rejoins Yasmine et Agnès, souriantes, un peu en sueur et roses de plaisir. Elles me confirment de suite : « Nous n’avons rien perdu de ta prestation, je vois que tu t’es bien éclatée, et en plus tu reviens riche ! Tu as trouvé ta vocation ma salope ! ».

    Je leur montre avec un clin d’œil, ma prime de 100€. Il y a une semaine j'aurais eu honte de cet argent, aujourd'hui, j'en suis presque fière ! Et je m'entends dire : « Oui c’est à vous dégoûter de travailler 38h ! Agnès et Yasmine approuvent en riant.

    J'ai le temps de me doucher et de me rhabiller mais quand je reviens dans le salon, Agnès, souriante me dit : « Il est 16h40, nous allons devoir laisser Yasmine, qui doit se préparer, mais je vous promets que vous vous reverrez très vite, je crois que vous en avez très envie ! ».

    Yasmine approuve et pour seule réponse, elle m’embrasse longuement et tendrement sur la bouche.

    Mercredi 1er février 2017 - 16h40

    Nous laissons Yasmine, et repartons en voiture. Le trajet est très court, car Agnès rentre rapidement dans un parking qui a un accès direct avec la Grande Brasserie où Annie avait rendez-vous avec son super-amant ! Nous constatons du reste avec humour, qu'à ce moment là nous n'avons aucune nouvelle d'elle et, que donc, tout doit bien se passer !

    Agnès descend, me prend le bras et me dit ! « Ma Chérie, tu vas rencontrer quelqu'un de très important ! Annie, ou moi ou n'importe quelle Maîtresse de Vichy sommes des petites merdouilles par rapport à Monsieur Georges que personne ne tutoie et que personne n'appelle Georges. Il dirige et contrôle tout Vichy avec une seule arme : le sexe !

    Mais tu vas vite comprendre ma chérie ! Comme dans l'ascenseur elle se penche pour ouvrir mes trois premiers boutons de manteau ! Mais c'est trop tard, je l'ai fait avant elle ! On ne me répète jamais deux fois un conseil !

    Nous entrons dans la Brasserie par un escalier qui vient directement du parking. Nous traversons une première salle remplie d’hommes prenant leur apéritif qui ne font pas attention à nous sauf un ou deux qui matent nos culs et nos poitrines, bref, rien d'original !

    Une autre salle est plus calme, quand nous y entrons de nombreux regards d'hommes et de femmes s’attardent sur mon décolleté et mon manteau un peu trop court, mettant en valeur ma cambrure, et, nous terminons dans une arrière-salle, beaucoup plus calme et silencieuse : quelques jeunes, deux ou trois couples d’amoureux, heureux de revoir arriver la nuit, le tout dans un décor très cosy et apaisant.

    A peine assises, Agnès commande deux coupes de champagne au serveur en lui disant : « Vous serez gentil de remettre ma carte de visite à Monsieur Georges, le plus vite possible, je vous en remercie ».

    Elle lui glisse un billet de 10€ plié et il s'éloigne.

    Un autre serveur nous porte nos deux coupes avec une petite assiette de tapas, et nous dit que la carte est entre les mains de Monsieur Georges. Nous avons à peine le temps de t'chiner qu'un ouragan entre dans la pièce en hurlant presque : « Agnnnnèèèèès que fais-tu là ? Ca fait cent fois que je te demande de venir directement dans mon bureau ! Oooooh ma douce, pardon de t'avoir négligée, et de t'avoir fait attendre, surtout avec une amie aussi belle ! Et il nous baise les mains ! ».

    Agnès le calme en lui disant, que nous n'avons même pas eu le temps de tremper nos lèvres dans nos coupes et qu'elle ne le dérangera jamais dans son bureau, car il serait capable d'en expulser Le Maréchal pour me recevoir ! ». Nous éclatons de rire, Monsieur Georges (que j'appellerai MG par facilité) donne des consignes et nous le suivons dans le salon de son immense bureau ! ».

    Il nous installe pendant que des serveurs apportent une bouteille de champagne, que je suppose millésimé, quelques assiettes de toasts qui semblent succulents et une coupe en argent contenant du caviar avec une cuillère de service, elle aussi en argent ! Je suis sidérée par cet accueil, je ne pense très sincèrement pas que Madame Agnès soit une merdouille de Vichy comme elle se plaît à se définir modestement !

    Elle lui sourit presque tendrement et le gronde : « MG, vous faites toujours excessivement bien les choses ! Quand apprendrez-vous à faire comme tout le monde ? ». « Mais Agnès, aimerais-tu vraiment, que je devienne comme tout le monde ? Tu ne trouves pas que ce serait d'un ennui mortel ? Mais, si, en attendant tu me présentais ce ravissant minois que tu introduis dans mon bureau sans une once de présentation ? Sort-elle de prison ? Du bagne de Cayenne que je croyais fermé ? Est-elle marquée au fer-rouge ? As-tu si honte d'elle que tu la caches ? ».

    Nous éclatons de rire ! Et Mg lève son verre à la beauté des femmes, à l'amitié et au printemps, qui ne va plus tarder, donc à une nouvelle saison pour la station de Vichy (…) Agnès m'expliquera, en sortant, que la saison signifie pour lui quelques millions d'euros de plus dans ses caisses, car il est l'unique propriétaire de cette immense Grande Brasserie, des deux plus grands traiteurs de luxe de Vichy, d'un restaurant étoilé panoramique sur le port et du seul ***** étoiles de Vichy qui soit encore un hôtel de luxe et non un immeuble d'appartements !

    Mercredi 1er février 2017 - 16h50

    « Je ne comptais pas te la cacher, et si je suis venue avec elle, c'est bien au contraire pour te la présenter et même te la recommander ! ». « Ah, alors, Agnès Chérie, tu as toute ma double attention ! ».

    « Loréna est une amie récente qui m'a été présentée par une autre amie de fraîche date, Annie, qui est sa voisine dans un charmant petit village du sud d'Issoire. Par le plus grand des hasards, Annie, était vice-présidente, de la section parisienne de, elles dirigent le monde, club que vous connaissez très bien, MG ! Quant à vous (…) Il lui coupe la parole : laisse moi continuer ma belle enfant ! ».

    « Quant à moi, je suis le propriétaire de cet endroit et de quelques affaires dans Vichy. Je connais Agnès depuis son enfance ! Elle est mon amie, ma confidente, ma conseillère particulière, mon égérie. Et, je l'ai toujours consultée avant de m'engager dans une action importante ».

    « Quand je me sens en sécurité et avec des personnes de confiance, j'aime donner un exemple de l'aide que m'a apportée Agnès, et qui a changé ma vie : 25 ans après la guerre, elle était toute jeunette, mais m'a conseillé de racheter les ruines du grand hôtel, abandonné car marqué du sigle maudit du pétainisme, alors que tout le monde voulait le voir disparaître pour devenir parking. J'ai suivi son conseil, et à la signature de l'acte je lui ai proposé 40% d'actions gratuites, qu'elle a refusé. En 2018, elle serait multimillionnaire, car c'est le seul hôtel de luxe qui atteint 95% de remplissage depuis sa rénovation complète ! ».

    Il appuie sur deux touches de son petit ordinateur, nous demande quel jour nous sommes : Agnès lui répond : « Le mercredi 1er février 2017 ». Il nous lit sans état d'âmes : « Confidentiel, stats MGH > 45 suites, 45 doubles et 30 singles, aucune gratuité, full hôtel ».

    « Et, pourtant le 1er février est un jour lambda, mais nos 120 chambres sont occupées. J'ai aussi le chiffre d'affaire, la marge brute et la marge nette, mais je ne suis pas exhibitionniste ! ».

    « Voilà, un exemple parmi tant d'autres de ce que je dois à votre nouvelle amie, ma petite Loréna ! Qui la touche me touche ! Sauf si c'est pour la faire jouir bien sur ! ».

    Nous éclatons de rire : quelle aura, quelle verve, quel humour, ce Monsieur Georges, est un personnage fascinant !

    Je me contente d'applaudir discrètement en lui affirmant : « Je pense que je n'ai jamais rencontré un homme aussi passionnant que vous, je comprends à présent pourquoi Madame Agnès me parle si élogieusement de vous ! ». « Ne crois pas ça ma petite Loré ! Agnès se meurt d'amour pour moi ! Mais le jour de son mariage elle s'est trompé d'église ! ».

    Encore un feu d'artifice de rires et MG dit « Allez, on va trinquer qui veut porte un toast ? ». Agnès lève son verre et lui répond : « Au succès de ta nouvelle recrue ! ». MG arrête de rire et la regarde ! « Tu es en train de me dire que tu es venue avec Loréna pour que je l'inscrive dans un de mes albums ? ». « Mais oui, MG, qu'est ce qui te cause du souci ? Je sais qu'elle correspond parfaitement au profil demandé, tu sais qu'étant ma protégée elle sera tranquille et en même temps plus attentive qu'une autre, et j'ai eu l'occasion de la tester, je peux te garantir que ce sera une recrue de tout premier ordre, car en plus d'être très vive, et d'avoir beaucoup de caractère, elle a un QI qui doit, à mon humble avis dépasser celui de notre pauvre Einstein ! Et un Q que tu peux constater par toi même ! ».

    Georges rit beaucoup et approuve le discours d'Agnès en choquant nos verres : « Eh bien à la santé de la nouvelle recrue d’un club très fermé ! ».

    Je suis un peu dépassée, il y a tant de complicité et de sous-entendus entre eux que je me sens exclue de temps en temps.

    Mais, Agnès s’en aperçoit et m’explique la situation en quelques phrases simples : « MG est l'unique détenteur d’un secret qui pourrait ravager Vichy, mais, qui bien au contraire, comme les bombes atomiques, en fait une ville sereine et très calme ! Il a dans son bureau une douzaine d’albums photos contenant les plus beaux clichés des plus belles femmes de Vichy et des alentours, qui acceptent, de temps en temps, de jouer avec des Messieurs fortunés dans des soirées extrêmement privées. Disons de suite qu’aucune n’est ni professionnelle, ni forcée de venir à une soirée. Intelligente comme tu l'es tu as déjà du comprendre quel est le but de ce club très privé, ma chérie ? ».

    « Oui Agnès, c'est assez évident, mais je retiens surtout que d’y figurer n’oblige pas à participer, et que tout reste confidentiel, n’est ce pas ? ». C'est MG qui me répond : « C’est tout à fait ça Loréna, c’est mon Père qui a commencé ce fichier il y a plus de 50 ans, un jour je demanderai à Agnès de te montrer les photos d'époque ! C'est parfois à mourir de rire ! Et, moi, je n’ai fait que le continuer et l’étoffer ».

    « En 2018, nous allons fêter très discrètement ses 90 ans, sans un seul ennui, ni avec la justice, ni avec les participants, ni avec les participantes, ni avec les maris, ni avec les épouses ! Je suis très fier de cette performance et d'une autre très simple : ce club n'a jamais été cité par un seul journal, ni par une seule phrase à la télé ou à la radio ! C'est simple ! Il n'existe pas, il n'a pas de membres, il n'a pas de participantes, il ne sert à rien, sinon à permettre, à des millions d'euros de changer chaque année de mains, en échange de plaisirs charnels, entre adultes consentants et conscients, que la discrétion est la meilleure carapace de ce club tentaculaire ! ».

    Il se lève, ouvre un coffre fort mural et prend délicatement un album qu’il me tend : « Tiens regarde, et assure toi par toi même que tu ne serais pas en mauvaise compagnie ! ».

    Je prends l’album et je commence à feuilleter, chaque double page porte un numéro, je regarde au hasard le numéro 267, une superbe blonde déclinée en huit photos de la plus soft à la plus hard. Puis le 268, une femme d’un certain âge, attirante, sans être un canon de beauté. Je comprends vite que chaque album décline le physique de 25 femmes en une fiche descriptive et huit photos de la plus sage à la plus osée.

    En moi même, je me demande, avec curiosité quel numéro je pourrais porter ! « Yasmine est dans un de ces albums ? ». Agnès sourit : « Oui ma douce Loré, toutes mes meilleures soumises sont dans ces albums, je n’ai jamais voulu imposer à MG des femmes qui n’avaient aucune chance d’être demandées une deuxième fois ou des soumises insuffisamment éduquées : c’est un honneur de figurer dans un de ses albums et MG sait que si je préconise quelqu'un c'est qu'elle le mérite ! ».

    Je continue à feuilleter l’album, passant d’une brune à une blonde, d’un véritable top model, à une femme d’intérieur me ressemblant. Je me sens rassurée : aucune d’entre elles ne ressemble à une pute, elles me semblent plus être des femmes assumant leurs envies sexuelles que des femmes d’argent. Je dois reconnaître que d’envisager de figurer dans les meilleures garces libérées de la région est loin de me laisser de glace.

    Agnès me dit : « Alors Loré, qu’en penses tu ? ». MG rajoute : « Je te rassure, tu n'as aucune décision immédiate à prendre, tu peux y réfléchir, le temps que tu voudras, en parler à ton mari, si tu le juges nécessaire, poser toutes les questions que tu souhaites à Yasmine qui est une des vedettes de notre club, rien n'est pressé chez nous, si demain j'ai une demande et que l'ordi du secrétariat envoie 269 ou 271 noms n'a aucune importance ! ».

    Je me racle un peu la gorge, et je demande si je peux parler seule à seule avec Agnès ? MG se lève et me répond « Aucun problème, je vais faire un tour pour voir si tout se passe bien dans l'établissement. Je reviens dans 5 minutes, ça te suffira ? ». « Oh, oui, bien sur, Monsieur Georges, merci beaucoup, et excusez moi de vous avoir demandé ça ! ». « Aucun souci, Loré, tes désirs resteront toujours des ordres pour moi ! ».

    Et il sort du bureau.

    « Quel personnage fantastique ce MG ! ». « J'étais sur qu'il te plairait ! ». « Si j'annonce que j'ai pris ma décision et que je veux m'inscrire de suite, tu trouves ça bien, Agnès ? Ou trop précipité ? ». « Pas du tout, ça ne choquera personne et surtout pas MG, tu es exactement le style de femme qui fait la renommée de son club : belles, intelligentes, avec du caractère, des spécialités excitantes comme le bdsm, de la répartie, de l'éducation, et qui savent être putes sans jamais en avoir exercé le métier et, ça c'est primordial, il faut que tu saches que si par malheur, tu es encarté un jour par la police des mœurs pour prostitution, quel que soit le lieu dans le monde, tu serais radiée du club à vie le jour même : pour entrer et rester dans le club il faut être sans tache, même si, la Loré du club, se lâche comme une vraie pute, chez nous, le samedi soir ! ».

    « Merci pour ta réponse, Annie, tu peux donc dire à MG que je suis d'accord ! ». « Non : Tu lui diras toi même ! ». « Ok si tu veux, ça m'est égal ! ». Quand MG revient, je lui annonce de suite la nouvelle en souriant ! Il me félicite, me prend dans ses bras me bise très fort les deux joues et me souhaite un excellent parcours dans ce club :

    « Qu'il est fier de représenter pour proposer des filles aussi belles, affranchies, libres dans leurs têtes et dans leurs corps, et, surtout, intelligentes et très sympathiques comme moi ! ».

    « Loré, c'est toi qui a le dernier album, je sais qu'il reste de la place, dis-moi où nous en sommes, s'il te plaît ? » Je tourne les pages : « le 287 est occupé, le 288 aussi, le 289 itou, ah il n'y a rien au numéro 290 et au 291, donc visiblement la dernière femme enregistrée est la 289 ! » « Rappelle moi son prénom s'il te plaît ? ». « Oui : Florence ! ». « Ah oui, je m'en souviens, ça date du début de l'année, elle est venue avec son frère, charmante enfant très jeune, mais elle ne cherche que des rencontres sexuelles, je pense qu'elle cherche à se marier : c'est aussi, mieux qu'un site de rencontre, au moins l'invité paye en étant sur d'avoir du sexe ! Ce qui n'est pas toujours le cas ! ».

    « J'en déduis que mon goût pour le bdsm sera clairement annoncé ? ». « Mais, oui, Loré, tu ne dois pas en avoir honte, mais tes tabous bdsm seront aussi clairement mentionnés, donc tu n'as aucun souci à te faire ! ». Je ne m'en faisais pas, Monsieur Georges, je me renseignais simplement, et voilà qui est fait ! ».

    « Bien ça te convient de porter le numéro 290 ? Il est facile à retenir ! ». Je prends ma respiration, regarde mes souliers puis Agnès dans les yeux. Elle me sourit, rassurante. Pourquoi ne pas leur faire confiance ?

    Je souris : « Allons y pour le numéro 290, on verra bien si je fais une bêtise, mais ces derniers temps, bien entourée, j’en fais très peu ! Alors continuons la bonne série ! ». Agnès et MG éclatent de rire : « Rassure toi, avec nous tu ne peux pas faire de bêtise en sachant que le Préfet et le Commissaire de Police sont mes meilleurs amis et aiment rencontrer des amies membres du club ! Tu ne risques vraiment pas grand chose sinon de coucher avec eux ! ».

    Il sort de son coffre fort un ordinateur portable et me dit : « On va remplir ta fiche, comme ça elle sera faite, et si une question ne te convient pas tu ne réponds pas, c’est tout simple ! ».

    « Numéro de fiche ? » : « 290 ».

    « Prénom ? » : « Loréna ».

    « Surnom ? » :  « Loréna ».

    « Nom ? » : « Joker ».

    « Age ? » : « 34 ans ».

    « Taille ? » : « 1m65 ».

    « Poids ? » : « 53 kilos ».

    « Tour de poitrine ? » : « 95b ».

    « Bisexuelle ? » : « Oui ».

    « Partenaires préférés ? » : « Homme, femme ou couple ».

    « Particularités Sexuelles ? » : « Soumise, obéissante et éduquée ».

    « Tabous sexuels ? » : « Aucun ».

    « Autres tabous ? » : « Bdsm > contact avec des excréments, traces de coups ou de blessures, traces de sang et jeux avec des mineurs ».

    « Contact ? » : « mesange@hotmail.fr 06 68 32 64 90 ».

    « Disponibilité ? » : « Selon vie de famille ».

    « Conditions financières ? » : « A débattre ».

    MG code le tout et enregistre avant de dire à Agnès : « Veux tu t’occuper de la séance de photos ? Tu mets Loré en scène et moi je déclencherai l'appareil ». Agnès semble contente d’obtenir ce rôle de metteur en scène : « Si tu es d’accord Loré ? Tu as vu que sur chaque fiche il y avait huit photos, il faut donc les faire ». Je souris : « Bien allons-y ! ».

    « Nous commençons par une photo où tu es debout, dans ton manteau de cuir, une main posée sur le haut du canapé pour qu’on te voit en entier et souriante ».

    « Ensuite, tu gardes la même pose mais tu déboutonnes les quatre boutons du haut de ton manteau pour qu’on voit bien que tu es nue dessous, en ne montrant que la naissance de tes seins, sans montrer l’essentiel ».

    « Puis, tu nous tournes le dos, tu baisses ton manteau à la taille pour qu’on voit ton dos et tes épaules nues bien offertes sans bretelles de soutien-gorge ».

    « Tu restes dos tourné, tu enlèves ton manteau, tu te plies en deux vers l'avant en écartant légèrement tes cuisses, tu montres tes bas, tes escarpins, et ton cul bien rond et bien nu ! »

    « Puis, tu remets ton manteau, sans le boutonner, tu t’approches du bureau de MG, tu écartes les pans de ton cuir pour montrer tes seins nus, ton ventre et ta chatte rasée, toute souriante ! ».

    « Une des plus chaudes : debout près du canapé, manteau retenu ouvert par tes deux poings sur les hanches, tu poses un pied chaussé sur le sofa, pour te montrer à poil, cuisses et chatte bien ouvertes ».

    « Allez plus que deux : tu enlèves ton manteau. Assise dans le fauteuil, tu poses tes cuisses sur les accoudoirs et en mettant tes deux mains sous tes seins, tu les offres comme si tu en faisais cadeau ».

    « Enfin, pour la dernière : tu gardes la même pose, en écartant un peu plus les cuisses, tu glisses deux doigts dans ta bouche et tu les suces, tout en te masturbant la chatte avec deux autres doigts en écartant bien tes grandes lèvres avec tes autres doigts, pour exhiber largement ton intimité sans fausse honte ! ».

    Bien que le dernier cliché soit pris, Agnès et MG me regardent faire : je continue à me masturber, yeux fermés, visiblement perdue dans la recherche d'un orgasme ! Je gémis de plus en plus fort écoutant sans vraiment entendre Agnès dire à MG : « Tu vois, je ne t’ai pas trompée sur la qualité de la marchandise : tu as beaucoup de salopes dans son genre dans tes albums ? ».

    MG lui répond : « Oh non, pas beaucoup, j’ai beaucoup de libertines, mais des salopes dans son genre, très peu ! ». Sentant mon orgasme monter,  Agnès m’interrompt : « Dis donc, salope ! Tu ne prétends tout de même pas jouir devant Monsieur Georges et dans son bureau ? Aucune salope n'a eu cette autorisation ! Alors : tu vas passer sous son bureau et lui demander pardon en le pompant, je suis sure qu’il a très envie de savoir si tu es une bonne pipeuse ! ».

    J'attendais et j'avais envie de cet ordre ! Je me lève et passe sous le bureau alors qu’il est en train d’ouvrir sa braguette et de baisser son caleçon. J’ai à peine le temps de trouver une position à peu près confortable, qu’il a entré, sans préambule, tout son sexe dans ma bouche et le fait aller et venir en me tenant par les cheveux.

    J'ai du mal à le sucer et je peux juste serrer mes lèvres pour qu'elles enveloppent bien son sexe et, j'arrive, de temps en temps, à faire tourner ma langue autour de son gland. Il semble très excité et grossit de plus en plus dans ma bouche, ses grognements annoncent qu’il va jouir et je me prépare moralement à le recevoir et à le boire.

    Mais encore une fois, Agnès en décide autrement, elle lui affirme très sèchement : « Monsieur Georges, vous méritez mieux que la bouche de cette pute champêtre pour vous vider les couilles ! ».

    Cette remarque me cingle plus fort qu'un coup de fouet et me remet brutalement à ma place de pute sans aucune valeur ! Agnès m’ordonne de me relever, la bouche humide du sexe de MG. Je remarque avec surprise qu’elle s’est déshabillée, en ne gardant que son pull.

    Elle me tend un préservatif, en m'ordonnant sèchement : « Mets le sur sa bite, si tu en es capable ! ». Et pendant que je lui encapuchonne le sexe à genoux devant lui, elle se couche sur le bureau, jambes ouvertes, me disant simplement : « Toi, Putain-Loré, tu te mets dans un coin du bureau, face au mur et restes debout sans te toucher et tu regarde le mur ».

    MG sourit et, pendant que je vais au coin comme une écolière punie ! Il enfile d’un rapide coup de reins sa bite dans le vagin d’Agnès avec un grognement de plaisir non retenu.

    C'est la seule chose que je vois, j'entends le reste, horriblement frustrée, les seins gonflés et le vagin trempé, debout à côté d’eux sans avoir le droit de les regarder s'envoyer en l'air !

    J'entends qu'il la baise presque brutalement, entrant et sortant son sexe de plus en plus rapidement de son vagin de plus en plus bruyant ! Il était à deux doigts d’exploser dans ma bouche et je comprends qu’il ait très envie de jouir, mais elle le tempère et le calme : « Hum doucement, je veux aussi prendre mon plaisir, soyez un peu plus patient ! ».

    A ces mots il ralentit ses coups de reins mais quand elle commence à gémir sourdement, il comprend qu’elle est à point et il jouit en elle, ventre probablement collé au sien en se régalant de voir son corps se contracter sous le sien. Agnès me dit de me retourner : « Pendant que je me prépare, Putain-Loré, colle tes photos sur tes deux pages, on gagnera du temps ».

    MG se retire d’elle, se débarrasse de la capote pleine, alors qu’Agnès s’essuie le sexe avec un kleenex avant de commencer à se rhabiller. MG s'est reboutonné et vient derrière moi, pendant, qu'encore à poil, je pose sur les pages autocollantes mes photos par ordre de prise de vue.

    Quand j’ai terminé, MG y jette un dernier coup d’œil et le tend à Agnès qui l’approuve et l’album repart dans le coffre fort. J'ai le droit de me rhabiller devant eux. Quand j'ai terminé Agnès me dit simplement de remettre mon manteau et salue MG : « Merci pour tout MG, nous allons vous laisser, probablement à bientôt, allez, Loré, nous partons ! ».

    Gentiment, il nous raccompagne sur la terrasse et il lui répond : « Tout le plaisir a été pour moi, Agnès et je suis enchanté par notre nouvelle recrue. Ne sois pas trop dure avec Loré, tu sais très bien, que le plaisir fait parfois commettre des maladresses, qui ne sont en fait que des broutilles, à bientôt, ma Chérie ! ». Il se penche vers Agnès pour l'embrasser et fait pareil avec moi, ce qui me remet du baume au coeur ! 

    Après un petit signe amical, nous regagnons la voiture.

    Mercredi 1er février 2017 - 18h

    Elle met le moteur en route et me dit : « J'ai envie de te raconter une belle histoire vécue, car je suis sure qu'elle te plaira beaucoup, mais j'aimerais avoir des nouvelles d'Annie, ça va faire 6h qu'elle est avec son super-amant ! J'aimerais savoir si tout va bien et si elle compte le quitter ! ».

    « Ce serait dommage de revenir de Vichy avec un mariage fracassé, en effet, voulez-vous que je l'appelle, Agnès ? ». « Je crois c'est le mieux que nous puissions faire ! ». Je prends mon portable, compose le N° préréglé d'Annie que me répond après deux sonneries. « Bonjour, ma Chérie, je suis en main libre avec Agnès, tout va bien ? ». « Bien ? Tu n'as pas un autre mot à me proposer ? ». « Je ne sais pas : très-bien, super-bien et inimaginablement-bien ? ». « Martiennement-bien ça existe ? ». « Agnès me fait signe que non, mais qu'elle fera le nécessaire pour le proposer à Larousse ! ».

    « Pfffffffff quelle après-midi, je suis dans une suite d'un grand hôtel ! (…) Agnès te demande son nom ! (...) Je crois que c'est le Vichy Spa Hotel ou quelque chose comme ça ! (…) Oui, elle connait : c'est le Vichy Célestins Spa Hôtel (…) C'est le seul cinq étoiles de Vichy, les autres palaces ont été découpés en appartements de luxe et le Célestins comme on l'appelle à Vichy est l'hôtel dont t'a parlé MG dans son bureau ! (…) Agnès te conseille de rester tout le temps que tu pourras, si c'est payé d'avance, car tu es dans l'hôtel le plus luxueux de la ville ! (…) Il n'en est pas question, je veux rentrer à la maison pour me reposer. Je suis prête et j'ai commandé un taxi, et la réception m'a prévenue que la note du Uber serait marquée sur le compte du Monsieur ! (…) Parfait, tu te rappelles mon adresse ? Annie ? (…) Oui, mais je rentre comment ? (…) Tu connais la cachette hyper secrète des clefs sous le gros pot de géranium dans la véranda ? (…) Annie éclate de rire, entendu ! On se voit quand vous aurez fini les filles ! Si je dors réveillez-moi ! Je coupe ! ».

    Nous sommes rassurées, et nous quittons le parking en insérant à la sortie une carte spéciale que MG a donné à Agnès ! Je ne sais pas si je ne dois pas m'habituer à ce luxe, qui n'est pas mon quotidien, ou qu'avec des enveloppes telles que celles que j'ai cachées dans ma cave, il faut au contraire que je m'y accoutume !

    Je décide que je verrai ça avec Yves, car si nous thésaurisons cet argent pour le futur, nous ne devons pas changer de mode de vie, qui, il faut le reconnaître est déjà plus que confortable !

    Agnès nous conduit sur le bord de l'Allier, dans un alignement de guinguettes qui doivent surement faire salles combles, en été et les fins de semaines ! Pour le moment, la moitié semble fermée, mais la préférée d'Agnès est en activité. Il fait beau et nous nous installons en terrasse.

    Mercredi 1er février 2017 - 18h15

    Il fait encore beau en cette fin d'après midi et nous nous installons en terrasse. Agnès commande deux vodkas orange sans me demander mon avis en me disant : « Ca te boostera et te nettoiera la gorge ! ». La fille nous sert et Agnès allume deux cigarettes et m'en donne une.

    « Je vais te raconter une histoire vécue, car, comme toi, je n’aime pas les mensonges ! Je dois remonter à trois ans en arrière : j’avais une soumise régulière qui venait me voir de Montluçon deux fois par mois, et nos jeux étaient de plus intenses. Elle n’était pas aussi mignonne que toi, mais très efficace et apprenait très vite ! ».

    « Pour un de nos rendez-vous, je cherchais à lui faire une surprise. Tu n’ignores peut être pas, ou tu vas l’apprendre, que depuis que le gouvernement de la France non occupée s’était installé à Vichy, il s’étaient ouverts de nombreux bars à filles, pour distraire tous ces Messieurs, qui, en fait n’avaient pas grand chose à faire, sinon signer des décrets qui ne servaient à rien. Ces bars-bordels sur lesquels la Préfecture a préféré fermer les yeux en prétextant qu'ils étaient bons pour les curistes ! La ville a donc ajouté à sa réputation de cures thermales, celle de débauche, de libertinage et de prostitution ! Tu me suis ? ».

    « Je suis suspendue à vos lèvres, vous racontez si bien vos histoires, que j'adore vous écouter, Agnès ! ». « C’est gentil, mais ne sois pas trop flatteuse, je suis loin de mériter toutes tes louanges, j'ai aussi de très gros défauts ! ».

    Elle continue : « Un soir, tout à fait par hasard dans une soirée mondaine, je me suis faite une amie, Nathalie, qui m’a attirée de suite et quand je me suis rendue compte que c’était réciproque, nous avons eu une aventure lesbienne toutes les deux. Au fil du temps, nous nous sommes fait des confidences et elle m’a avoué sans aucune gêne qu’elle travaillait dans ce genre de bar ».

    « Etant très belle, je ne doutais pas qu’elle avait de nombreux amis, mais mes rapports avec elle n’ont pas changé, et nous avons continué à coucher très fréquemment ensemble. Un soir où nous avions un peu trop fait la fête, je lui ai parlé de mon amie soumise de Montluçon et de son goût pour les surprises osées et débridées ».

    Son téléphone sonne (…) « Excuse moi ma chérie, commande nous deux autres verres, je reviens de suite (…) Elle s’éloigne, pour répondre à son appel (…) En revenant, elle me sourit (…) « C’était un appel te concernant, mais je t’en parlerai tout à l’heure ! ». (…) La serveuse nous porte nos verres et Agnès reprend :

    « Passés quelques instants, Nath me propose : « Pourquoi ne pas la faire travailler dans mon bar, pour m’assister ? ». Je trouve de suite l’idée originale et la surprise parfaite ! Mais je rétorque qu'elle n’est pas préparée à travailler pour de l’argent : je n'en suis pas à ce stade dans mon éducation ! ».

    Nath éclate de rire en m’affirmant que c’est encore mieux :

    « Elle peut m’aider quelques samedis-soir dans mon travail, en faisant ce que je peux faire semblant de ne pas accepter : la sodomie ou l'uro, par exemple, et agir comme une débutante mal rémunérée, sans même avoir à descendre au bar, en attendant dans la chambre que je monte avec un nouveau client, à qui j’aurai pu annoncer, la bonne nouvelle : que ce soir, il aurait deux filles quasiment pour le prix d’une ! Avec juste un tout petit supplément dont je ne lui parle même pas tellement il est faible ! ».

    « Mais, en fait je m'arrangerai pour augmenter un peu mes prix, quémander discrètement un pourboire pour elle, pour qu'elle gagner à chaque passe, à peu près comme moi. Je te donnerai son enveloppe chaque semaine et quand toi, la prof, tu arriveras au chapitre : « prostitution », tu pourras lui montrer ses propres travaux pratiques ! Ce devrait-être une grande surprise pour elle ! ».

    Cette double idée m’emballe de suite et comme mon amie doit venir le prochain samedi, je l'appellerai vers 21h, chez elle, pour une rencontre à 22h dans un bar proche du club de Nath. Et, si nous avons son accord, et qu'elle s'entend bien avec Nath : elles passeraient cette première nuit à travailler ensemble. Nath m’assure qu’elle obtiendra facilement l’autorisation de sa patronne et que ma jeune amie se rappellera toute sa vie de cette ou de ces nuits car avec une promotion de deux filles pour le prix d’une, elles n’allaient pas chômer ces soirs-là ! ».

    Agnès finit son verre avant de continuer : « Quand, elle est arrivée, en train, le samedi en début d'après-midi, je me suis occupée d’elle tout l'après-midi sans la laisser jouir une seule fois pour la maintenir surexcitée, et la pousser à transgresser ses limites, un peu comme je l’ai fait avec toi aujourd’hui ! ».

    « Et j’ai senti, vers 21h, qu’elle était trop excitée pour me refuser quoi que ce soit : j’ai appelé Nath pour lui confirmer le rendez-vous de 22h ». Nous avons pris une coupe de champagne. Et, dans une excellente ambiance, elles ont fait connaissance et le feeling est très vite passé entre elles.

    Nath lui a rapidement expliqué ce qu’elle attendait d’elle, en évitant de trop rentrer dans les détails. Mais comme je l’avais sevrée et chauffée à blanc ! Mon amie a dit oui à tout et je les ai laissées partir toutes les deux en leur souhaitant, une excellente soirée !

    Elle est rentrée chez moi en taxi, à 9h du matin, complètement épuisée, les yeux cernés, ivre de fatigue, de champagne et de sexe. Je l’ai laissée dormir tout le dimanche et quand elle a du repartir pour Montluçon et sa famille, j’ai eu droit à un baiser, que je n’oublierai jamais, avec des remerciements qui visiblement venaient du fond du cœur.

    Et, une seule confession de sa part : « Comme la vie va être dure à partir de cette nuit ! ». Elle n’a pas voulu que je la raccompagne à la gare et a pris un taxi.

    Agnès s’interrompt pour finir son verre, mais je lui avoue mon impatience de connaître cette histoire sensationnelle.

    Elle sourit et continue : « Mon amie a passé deux nouveaux samedis-soir en un mois à aider Nath, et selon leurs commentaires tout s'est très bien passé entre elles et les amis de Nath ! ».

    « Trois semaines plus tard, j’ai reçu un énorme bouquet de mon amie, me remerciant pour tout ce que j'avais fait pour elle, et me demandant l'autorisation de rejoindre Nath deux ou trois samedis par mois, pour travailler en tandem avec elle ou seule pour son propre compte ! ».

    « Sans le vouloir, j’avais suscité une vocation. Bien sur, il aurait mieux valu qu'elle devienne bonne-soeur ! Mais, à défaut, j'avais aidé une femme libre, pleinement consciente de ses actes, à assumer sa sexualité et à gagner sa vie très confortablement, sans dépendre des habituels requins de la prostitution et sous la surveillance de deux amies ! ».

    « Je lui ai de suite envoyé un mail lui assurant que je n'avais aucune autorisation à lui donner. Son choix de vie me remplissait de fierté pour elle ! Et je terminais en l'embrassant très fort et en lui rappelant que Nath et moi, étions là pour veiller sur elle et qu'elle pouvait dormir sur ses deux oreilles, même avec un sexe d'homme en bouche ! ».

    « En retour, j'ai reçu une réponse qui commençait, par un smiley hilare et contenait un petit texte : « Agnès : quand, comment et avec qui vous le voulez ! Je resterai à vie votre petite putain obéissante ! »».

    « Depuis, je n'ai jamais fait appel à elle. Nath me donne régulièrement d'excellentes nouvelles d'elles et m'invite à aller boire une coupe avec elles dans leur bordel, ce que je ferai surement un jour ! Tiens pourquoi pas avec toi ? Je serai heureuse de te les présenter ! Fin ! Ma Chérie ! ».

    « Quelle belle histoire ! Agnès ! J'ai une question et un vœu à formuler ! Je peux ? ». « Bien sur, je t'écoute ! ».

    « Pourquoi parlez-vous de votre amie de Montluçon, sans me donner son prénom ? ». « Ma chérie, si un jour je dois parler de toi, tu seras mon amie d'Issoire, il faut que tu saches qu'avec un simple prénom, quelques détails anodins et un bon PC : tu peux remonter une piste très loin ! Et ton vœu ? ». « J’espère simplement que mon avenir n’est pas de travailler dans un bordel ! ».

    Elle me caresse la main en me répondant énigmatiquement : « Tu sais ma Chérie, nul ne connaît ton avenir, mais, je ne te vois pas cloîtrée dans un bordel, tu es un très bel oiseau qui a besoin de son nid familial douillet et de sa liberté totale de mouvements ! ».

    Elle se lève, paye et nous repartons.

    Mercredi 1er février 2017 - 18h45

    Agnès se gare devant chez elle. Dès que nous ouvrons le portail du jardin, les lumières extérieures s'allument, et la porte d'entrée s'ouvre dans la véranda. Visiblement, Annie a entendu la voiture et est sortie pour nous accueillir.

    Elle est en peignoir, radieuse et souriante ! Agnès la félicite pour sa bonne mine et l'embrasse longuement sur la bouche. Je reste quelques pas derrière elles sans me manifester.

    Nous entrons, et Agnès referme la porte. Elle nous invite à nous installer au salon, me demande de préparer une cafetière de café bien fort et, pendant que je m'active, je les entends allumer des cigarettes et papoter.

    Je suppose qu'Annie commente son incroyable après midi avec ce super- amant. Annie glousse, pendant qu'Agnès éclate de rire, semblant très contente des exploits sexuels de sa nouvelle amie !

    Quand je reviens avec un plateau complet pour servir trois cafés, Agnès me dit : « J'étais en train d'informer Annie des dernières nouveautés te concernant : tu as quelque chose à lui dire, Putain-Loré ? ».

    « Oui, Agnès, depuis qu'elle m'a quittée chez Yasmine, je lui dois quelques résumés de mes activités, avant qu'elle ne reçoive les clips ».

    Annie intervient en me disant : « Si tu veux me décrire ta domination par téléphone et photos interposés, dans l'appartement de Yasmine, depuis celui de Pierre, tu peux t'en dispenser, je sais tout ce qui s'est passé et les 200€ que tu as empochés, pour tes bons services pornos ! ».

    « Si tu comptes enchaîner sur la passe que tu as faite chez lui, à poil sous ton manteau. En jouant, à la pute qui revenait de faire deux passes dans un parking et, qui avait été convoquée chez lui, au tout dernier moment, sans avoir le temps de se laver, pour tourner un clip intitulé : la salope qui jouit en se faisant les bouts de mamelles sans se toucher le corps, pour 100€ de plus, je suis, aussi, au courant ! ».

    « Et, au risque de te surprendre, je sais aussi, que Pierre t'a gratifié d'un pourboire en nature, en t'enculant, tout en t'astiquant le clito pour t'offrir un double tsunami qui a inondé ton trou à merdes et fait trembler l'immeuble, tellement tu as gueulé ton plaisir comme la salope que tu es ! ».

    « Quant à ton inscription au club de Monsieur Georges, décidée en vingt secondes et la moindre idée de me demander mon autorisation ! Je te demande si le N°290 a bien digéré ses prises de vue de salope exhib ? Son questionnaire humiliant ? Son tarif demandé avec pudeur comme à débattre ! Et pourquoi, tu n'as pas rajouté pour te victimiser un peu plus à débattre avec ma propriétaire ? ».

    « Et, tu ne comptais peut être pas m'apprendre ta plus belle humiliation de l'après midi : tu as magnifiquement bien pompé Monsieur Georges, mais en faisant ton travail de putain, tu ignorais que tu lui remplissais les couilles pour qu'il les vident dans le vagin d'Agnès, alors que tu tenais une chandelle grosse comme une pine d'âne ! Je crois que c'est cette anecdote que je retiendrai de cet après-midi mémorable ! ».

    « Tu t'attendais à quoi, Putain-Loré ? A ce que Monsieur Georges t'ensemence dans son bureau, le jour de votre rencontre ? Tu te prends pour qui ? Tu es avec les deux personnes les plus importantes de Vichy et tu crois que ton con pèse quelque chose ? Si tu as pris la grosse tête ! Il va falloir que je pense à sérieusement te la dégonfler et de te la remettre à la bonne dimension ! ».

    « Je suppose que tu avais hâte de me revoir pour me demander de rectifier ton placard publicitaire sur le site que vous avez ouvert hier avec Agnès : tu y as promis des passes en voiture à des clients qui ne te verront pas ! Ce n'est pas bien professionnel, Putain-Loré ! Mais comme tu as une bonne petite secrétaire, j'ai rajouté un : « Suite à une intoxication, je vous donne rendez-vous très prochainement, et je vous présente toutes mes excuses : Putain-Loré ».

    « Maintenant, Agnès et toi, pouvez me raconter la suite, car MG a appelé ici pour proposer une passe avec le couple pervers, mais, comme vous n'étiez pas rentrées, je lui ai conseillé de t'appeler directement, Agnès, pour avoir de suite la réponse. J'en ai profité, pour lui demander s'il connaissait un restaurant de Vichy, qu'Agnès ne connaissait pas encore pour une petite fête après la passe avec le couple. En riant, il m'a conseillé de le rappeler vers 21h pour avoir une réponse ! ».

    « Je te vois un peu surprise, Putain-Loré, mais tu n'as pas à en vouloir à Agnès ! Tu es ma chose, donc, et, c'est la règle dans le bdsm, elle doit me raconter tes expériences quand je ne suis pas avec vous, car, c’est moi qui suis responsable de toi ! ». Agnès complète : « J'approuve Annie : ne pas la mettre au courant aurait été une faute grave de ma part ! ».

    « Et, en ce qui concerne le couple pervers, il est très connu, et MG les aime bien. Tu peux donc avoir toute confiance en eux. Lui est très voyeur et elle a des tendances humiliantes et sado, mais, c'est avant tout une arriviste joueuse, qui a épousé le bon pigeon ! MG te propose donc deux heures de soumission, c'est ta première occasion de lui faire plaisir, de lui prouver que le N°290 n'agit pas que sur des coups de tête, de bien terminer ces deux jours à Vichy et de glisser 2.000€ dans le petit cochon de ton skieur de Jean, à toi la réponse ! ».

    « Mais, ma Chérie, ce n’est pas tout : l'heure de ton rendez-vous approche, et bien que ce soit à côté, il faut te décider ». Je baisse les yeux et dis d’une petite voix : « Bien, Agnès, vous m'avez convaincue, je vais honorer ce rendez-vous ! ».

    Elle fait signe à Annie : « Parfait, suivez-moi ». Nous allons dans sa chambre, elle ouvre un coffret contenant des chaînes ras et des médailles de différentes grosseurs. Elle en choisit une qu’elle me tend : « Lis la avant de la mettre autour de ton cou ».

    Je lis au recto : « Je suis une putain de MG » et au verso : « Soumise sans tabou ». Agnès me précise que les gravures varient, mais qu'elle contiennent toutes un minuscule micro qui permet de tout entendre dans deux endroits décidés au départ. « Il te faut donc tout faire pour le garder, compris Putain-Loré ? ».

    J’hoche la tête et elle me donne une tenue qui était déjà présélectionnée ! Un top ultra collant qui me moule la poitrine et les bouts de seins, une jupe ras la motte et des escarpins nus-pieds à talons hauts. « Avec ton manteau, ça ira très bien, tu es très présentable et bien dans ton rôle ! ».

    Agnès discute avec Annie, et me dit : « Annie va te conduire. Avec le GPS, elle n'aura aucun souci, moi je vais rester ici pour me reposer un peu ! Nous avons réglé les transmissions de ta séance sur le WIFI de ta BMW, et vers mon PC. On ne sait jamais, même en te présentant comme une putain de l'écurie de MG, je ne connais pas l’étendue de leur vice ! Allez bonne chance ma Chérie, nous veillons sur toi ! ».

    Malgré sa dureté, je la sens inquiète pour moi, mais surement sans raison. Nous l'embrassons et nous nous mettons en route.

    Mercredi 1er février 2017 - 19h00

    Annie prend de suite la parole : « Je ne veux surtout pas que tu sois gênée par les relations que j'ai établies avec Agnès, mais, tu vas revenir de Vichy, avec deux amies, dont une nouvelle qui veilleront sur toi et un super-ami, Monsieur Georges, qui est respecté dans toute l'Auvergne ! Et j'en suis très heureuse, car, si pour toi ce métier-annexe reste un jeu sexuel attrayant, et tu dois continuer à le pratiquer de cette manière ! Avec tes envies et ta fraîcheur ! Pour d'autres, ça peut devenir un métier dangereux même pour des occasionnelles, qui, par exemple, peuvent gêner les pros en leur piquant des clients ! ».

    « Tu peux aussi te dire, en souriant, car je ne pense pas que ça t'arrive ! Que, même si ton mari se lasse de toi, tu pourras toujours te rattraper en continuant ton métier d'ingénieur et jouer à la Yasmine, presque à plein temps ! Et il y a des femmes plus malheureuses que Yasmine ! Tu ne trouves pas ? ».

    Je souris en acquiesçant ! « Encore quelques petites minutes et nous serons arrivées : mettons au point ta présentation : tu t’appelles Loréna, tu es envoyée par Monsieur Gorges, tu es mariée et non professionnelle, tu fais ça pour le vice et l’argent et tu es soumise obéissante à tendance maso, ça te convient ? ». « Est-ce nécessaire de rappeler, de suite, que j’ai des tendances maso ? ».

    Annie réfléchit : « Tu as raison, je recommence : tu t’appelles Loréna, tu es envoyée par Monsieur Georges, tu es non professionnelle, tu fais ça pour le vice et l’argent et tu es soumise et obéissante, avec comme tabous le sang, les blessures, les jeux avec du caca ou des mineurs ? ».

    Je réfléchis, décontractée, je lui demande l’autorisation de fumer. J'en allume deux, je me répète cette présentation, avant de l'accepter.

    Nous arrivons, Annie me dépose devant une grande propriété entourée par des murs d’enceinte et protégée par une immense porte électrique contrôlée par deux caméras.

    Elle m’embrasse tendrement en me précisant qu’elle restera dans les parages et qu’en entendant la fin de ma séance, elle attendra cinq minutes avant de sonner à la grille pour me réclamer.

    Je l'embrasse, descends, et sonne à la porte.

    Mercredi 1er février 2017 - 19h18

    Une voix répond par l’interphone : « Qui est là ? (…) Je m’appelle Loréna (…) Après un moment de silence la voix me répond (…) Nous n’attendons personne de ce nom là (…) Je re-sonne, je sais que la personne écoute (…) Je viens de la part de Monsieur Georges (…) Ah tu es la putain que nous avons louée, vas y entre (…) Merci Monsieur ».

    La porte s’ouvre et sur une grande allée. Une cinquantaine de mètres plus loin, je stoppe devant une maison cossue avec un parc et une grande verrière qui abrite une piscine chauffée. Le tout est un archétype d’une maison bourgeoise.

    Un homme, d’une cinquantaine d’années apparaît sur le perron. Un peu dégarni et grassouillet avec un visage rond mais des petits yeux presque fermés. Il me regarde et me fait signe de me diriger vers la piscine. Il ouvre une porte latérale et me pousse à l'intérieur ! La chaleur ressentie est énorme, vu l'écart des températures.

    Une femme se lève d'un transat. Elle est blonde, plus jeune que lui, bien faite et porte un petit bikini minuscule, qui met son corps en valeur.

    « Chérie, la pute vient d’arriver (…) Je vois mais tu aurais pu en choisir une plus jeune, elle ne me plaît pas (…) Mais je suppose que tu as déjà payé et que nous ne pouvons plus l'échanger ? (…) En effet, ma Chérie, je suis désolée qu’elle ne te convienne pas, veux-tu que je la renvoie ? (…) Elle prend son verre, en boit une gorgée et le repose avant de lui répondre (…) Puisqu’elle est là, autant jouer avec elle, elle aurait été plus bandante, je me serais faite gouiner, mais je me contenterais de l'humilier et la mater en me branlant (…) Voyons tout de même commet elle est à poil ? (…) L’homme me gifle violemment, plus pour me faire mal que pour me rappeler à l'ordre ! (…) Tu as entendu salope ? A poil ! ».

    Je reste debout devant elle, me penche et enlève mes escarpins, ma mini jupe et mon top. Elle m’observe en faisant la moue : (…) Tu as vu comme ses nichons pendent, et son ventre ! (…) Je suis sure qu’elle a mis bas plusieurs fois cette pouff (…) Viens me montrer ta médaille, tas de merde (…) Honteuse de tant d’insultes (…) Je m’approche d’elle pour qu’elle puisse lire au recto (…) Je suis une putain de Monsieur Georges (…) Il faudra lui dire qu’il fasse plus attention à ses recrutements (…) Puis au verso (…) Soumise sans tabou (…) Ah, ça, par contre, ça me va ! Mais, cette pétasse prend de gros risques avec moi ! ».

    Elle se rapproche un peu de moi et dit à son mari : « Tu vas nous chercher ton Polaroid, mon Chéri ? Ca nous fera de la matière pour notre blog et nos amis seront contents ». En bon toutou tranquille, il s’éloigne vers la maison. Elle se lève et me pousse sur un transat dont elle relève le dossier avant de se diriger vers le bar de plein air et d'ouvrir un des placards supérieurs.

    Je ne vois pas ce qu'il y a dedans, mais, elle revient avec une poignée de cordes de chanvre de différentes longueurs qu'elle jette sur le transat voisin. Habilement et rapidement, elle me saucissonne au transat, en me laissant les bras levés au dessus de moi, et les cuisses largement ouvertes.

    Mais, elle n'en a pas terminé : elle prend une grande corde à nœuds espacés d'environ vingt centimètres, avec laquelle elle m'attache les poignets au dessus de la tête, en serrant très fort son nœud. Puis, elle me soulève un peu sur le côté pour passer cette corde sous moi, et faire retomber mon corps sur la corde. Elle la tend le plus fort possible, la passe entre mes cuisses en l'enfonçant bien entre mes grandes lèvres vaginales et termine sa boucle en m'attachant le bout de la corde autour du cou en la serrant à la limite de l'étouffement !

    Quand son mari revient, elle prend l'appareil photo et fait une demi-douzaine de clichés pour qu'on voit bien ma situation : saucissonnée sur le transat, sans pouvoir bouger mon tronc, ma poitrine, mon ventre ou mon bassin. Mes jambes sont encore libres, mais juste pour ouvrir ou refermer les cuisses.

    Quant à mes poignets ils sont dépendants de la corde à nœuds qui passe sous moi, prête à scier mes lèvres vaginales avec son chanvre et à heurter mon clitoris avec ses nœuds. Pour se terminer autour de mon cou, comme une pendue assise. Voilà donc le sadisme de notre mariée nouvelle riche !

    Mais cette femme n'a pas fini de jouer avec moi ! Avec des gestes précis, elle me pose dans la bouche un bâillon boule que je suis obligée de mordre. Je réalise que la boule de latex est percée en son milieu, et laisse passer un tuyau de plastique d’environ deux centimètres de diamètre, court à l'intérieur de ma bouche mais plus long vers l'extérieur.

    Obligée de planter mes dents dans la boule, je ne peux ni crier, ni gémir, ni, bien sur parler, par contre, je bave comme une chienne enragée, ce qui fait ricaner sottement la femme, qui ramasse ma salive de ses doigts, qu'elle essuie avec un dégoût profond sur mes seins nus.

    Elle me prend une poignée de cheveux et baisse ma tête pour que je vois bien tout ce qu'elle me fait ! Elle s'approche de mon entre-cuisses, glisse dans le bas de mon vagin, pour ne pas nuire aux frottements de la corde vers le haut, une canule assez longue, se terminant par un embout, ressemblant à un raccord de tuyau d’arrosage.

    Je ne peux qu'essayer de refermer mes cuisses, ce qui ne sert strictement à rien, sinon à me fatiguer les muscles, et, impuissante, je me vois ainsi appareillée et très craintive de ce que cette femme peut encore inventer pour m'humilier ou satisfaire son sadisme évident !

    Elle me regarde avec des yeux qui me mettent horriblement mal à l'aise. Son mari enchaîne les pellicules de douze Polaroid et faisant des gros plans de mon vagin ouvert et préparé !

    Elle s'absente et revient vers moi en tirant le bout d'un tuyau d’arrosage fin et transparent. Agenouillée devant mon bas-ventre, elle clipse sans difficulté, le tuyau sur l'embout de la canule, enfoncée dans mon vagin.

    Son mari se dirige vers un robinet. Au top de sa femme, il l'ouvre : je sens instantanément un jet d’eau fraîche, lent et régulier, s’écouler dans mon ventre.

    Sans plus se préoccuper des tuyaux, elle vient vers mon visage : « On va te remplir comme une grosse pute, tu vas être gonflée de partout comme si tu étais en cloque et je me régalerai de boire le lait qui jaillira de tes nichons ! ». Je suis un peu interloquée, non par ses manières, mais, je ne me vois pas en train de lui donner du lait !

    Elle se redresse et me rassure : « Quant à ta bouche, rassure-toi, je vais m'en occuper de suite ! ». Elle enlève son slip de bains, prend le long tuyau externe qui sort de la boule et y visse le bout d'un entonnoir.

    Elle se positionne debout à ma droite, me tourne la tête vers son bas ventre nu et me dit : « Regarde bien, ma grosse vache, j’ai bu deux litres d’eau dans la demi-heure avant ton arrivée ! Tu vas donc avoir droit à un gros apéritif, mais excuse moi je n'ai pas prévu de petits fours ! ».

    En ricanant de nouveau, elle relâche sa vessie et pisse dans l'entonnoir, d’un jet constant qui me semble durer une éternité. Quand elle s'est vidée, l’entonnoir est à moitié rempli, car tout n'est pas passé dans ma gorge !

    Elle y trempe un doigt et me le passe sous le nez : « Tu sens ma pisse ? Tu aimes cette odeur ? ». Ne pouvant m'exprimer, je dois acquiescer de la tête, et c’est en riant qu’elle lève l’entonnoir au dessus de ma tête pour faire couler le reste de pisse dans ma bouche en un sol flot continu.

    J’ai du mal à retenir une nausée, mais j’avale au fur et à mesure le liquide nauséabond, qui coule parfois directement dans ma gorge, mais le plus souvent, bouillonne dans mon palais.

    Quand j’ai fini de tout ingurgiter, elle prend une bouteille de Vittel : « C’est juste pour nettoyer l’entonnoir et être sure que tu ne perdras pas une seule goutte de ma pisse ! ». Tout en maintenant l’entonnoir au dessus de ma tête elle y verse, lentement le contenu de la bouteille d'eau, me permettant de boire à petites gorgées et, donc, de tout avaler.

    Elle m’ordonne de regarder le résultat : affolée je vois mon ventre énorme de femme enceinte, gonflé jusque sous mes seins et je me sens très mal avec tout ce liquide qui entre dans mon corps par ma bouche et mon con.

    Elle décide que je suis suffisamment pleine : elle ordonne à son mari de fermer le robinet. « Te voilà bien remplie, pétasse ! ».

    Avec des gestes toujours aussi précis que j'admire en elle, elle me libère de mes liens, m’ôte le bâillon-boule et m’aide à me mettre debout, car j'ai beaucoup de difficulté à le faire seule.

    « Tu vas faire le tour de la piscine avec tes mains croisées sur ta tête pour que tu sentes bien le travail de la corde à nœuds et que mon mari puisse faire de beaux clichés de sa putain ! ».

    Je m’exécute plutôt lentement, accomplissant un, puis deux tours de la piscine, alors que la femme se moque de moi en m'insultant et que son mari me mitraille avec son appareil.

    Je me sens laide, énorme et monstrueuse avec en plus une envie de plus en plus forte de pisser cette eau qui bouge et fait des vagues en moi ! A la fin de mon second tour, elle m’attend accoudée au bar.

    Elle me pousse sans ménagement contre lui. D'un saut agile, elle monte sur le bar, tire sur mes poignets, liés ensemble, et les attache d'un seul geste à un crochet fixé dans le plafond bas.

    Elle redescend, s'agenouille devant moi et m’enlever mes escarpins. Relevée, elle me regarde en se caressant discrètement la chatte d'un seul doigt tout en me reposant sur le sol. Seules, les pointes de mes pieds nus, reposent sur le sol en ne m'offrant qu'un équilibre très précaire !

    Elle repasse derrière le bar et sort du placard un équipement que je ne reconnais pas, quand elle le pose sur le bar devant moi ! Mais auquel je sais que je vais être rapidement présentée !

    Le corps tendu par mes poignets attachés très haut, en équilibre sur les pointes de mes pieds nus, liée des poignets, à la tête par une corde à nœuds qui passe entre mes grandes lèvres. Je ne peux absolument pas bouger et encore moins me dérober quand elle se rapproche de moi et me pose sur les tétons, pour une fois, au repos, deux petits tubes de verre et, sur mes aréoles granuleuses, deux tubes de verre beaucoup plus gros, destinés à englober chacun de mes globes. Elle récupère quatre tuyaux provenant des tubes et les clipse sur les embouts prévus dans ce que je devine être une pompe à vide.

    Elle se recule, laisse son mari faire des photos, et branche la machine : l’air se retire des quatre tubes, y revient, en repart, y revient à nouveau et, ainsi de suite ! Puisque le principe de cette machine est de pomper et à chaque retrait d'air, de grossir et d'allonger mes tétons et mes seins.

    Elle est très attentive, et regarde fixement la réaction de mes tétons en réglant très soigneusement la puissance de la machine. Quand ils sont étirés, comme rarement je les ai vus et que leur succion m'oblige à pousser des petits cris, elle bloque cette position et passe de suite aux seins, pour lesquels elle suit avec la même attention, un réglage très prudent !

    Contente de ses réglages, elle laisse faire la machine et demande à son mari de lui rapporter les deux petits tabourets en bois qui sont de chaque côté de la cheminée ! Elle nous surprend tous les deux, car ni lui ni moi ne voyons ce qu'elle va faire avec deux tabourets !

     

    Mais il s'exécute et revient avec les deux sièges qui ne font pas plus de dix centimètres de haut. Elle lui demande de l'aider : il me lève par la taille et elle glisse les deux tabourets sous mes pointes de pieds. Et, d'un seul coup, mes pieds peuvent reposer entièrement à plat sur le bois !

    Mais mon soulagement est de courte durée, car elle prend une boîte de grandes pinces à linge en plastique dans son armoire du bar, et me la met devant les yeux en me disant :

    « Si tu es dans cette catégorie de femelles, tu vas pouvoir enchaîner tes orgasmes, putain ! Chaque fois que je te poserai une pince sur le corps, et, ce, guidée, par mes caprices pervers et sados ! Tu feras automatiquement un saut de douleur pour te débattre, totalement inutilement ! Mais ce geste que tu ne pourras pas éviter va étirer la corde qui fera son travail dans ta connasse de pute ! Une amie m'assuré que dix chocs d'un nœud de chanvre sur un clito décapuchonné doivent suffire à envoyer en l'air une soumise ! ».

    Alors qu'elle s'apprête à prendre sa première pince, elle jette un regard machinal, sur sa machine à pomper et son visage s'éclaire : « Ca y est : je te tire du lait, salope, aucun nichon de putain n'a jamais résisté à cette machine, hummmmm je vais me régaler ». Hallucinée, je sens en effet mes bouts de seins humides.

    Elle semble hésiter et dit-à son mari : « Mon Chéri, que me conseilles-tu ? J'ai très envie de lui enlever ses embouts pour téter ses nichons et lui arracher son lait à la source tout en m'envoyant en l'air, avec ce goût si excitant dans la bouche, mais d'un autre côté, j'ai très envie de la couvrir de pinces pour la faire jouir quatre ou cinq fois de suite et pour te la donner, ivre d'orgasmes, pour la niquer et jouir d'elle selon tes envies ? Que me conseilles-tu ? ».

    Son mari réfléchit et lui répond, assez justement : « Plus elle est pompée, plus elle te donne de lait ? ». « Oui, mon chéri, en effet ! ». « Donc, laisse là branchée et pose lui une cinquantaine de pinces, si ton amie ne s'est pas trompée, elle va jouir cinq fois et je suis sur que ses hormones de femelle en chaleur l'obligeront à produire beaucoup plus de lait ! ».

    « Hum, mon chéri, je t'adore, en plus d'être riche et d'avoir une belle bite, tu es intelligent et de bon conseil ! ». L'homme, visiblement gaga de sa super-starlette glousse comme un coq caressé à rebrousse-plumes ! Je suis enchantée de ne pas avoir ce genre de rapports avec Yves !

    Elle renonce donc à me téter et prend sa première pince.

    (... ) Je n'ai pas la force de vous raconter l'intégralité de cette séance, absolument éreintante pour moi, je la finis en tombant dans les pommes, réveillée par des sels et des petites gifles inquiètes de mes deux hôtes si sympathiques ! (...) La femme m'avait prévenue que les pinces seraient posées en fonction de ses caprices pervers et sados ! Elle n'a pas failli à sa promesse ! Je ne pensais pas que nous avions, sur le corps, cinquante emplacements humiliants et douloureux pouvant accueillir des pinces, mais, à présent, je serais en mesure d'en faire un inventaire détaillé ! (...) Quant à l'amie de Madame, elle connait apparemment très bien la sexualité et la libido des femmes soumises, car elle ne s'est pas beaucoup trompée sur le nombre d'orgasmes provoquables par une corde à nœuds bien placée, sinon qu'elle n'avait pas supposée que le cinquième serait un tsunami-ravageur et tombeur dans les pommes ! (...) Pour ceux ou celles qui ne seraient pas informé(es), je vous donne une vue d'ensemble de mon corps après la cinquantaine de piqûres de pinces !

    Bouts de tétons, aréoles, gras des seins, langue, lèvres, lobes d'oreilles, aisselles, nombril (…) très joli en étoile (…) mont de Vénus, grandes lèvres, clitoris, intérieur des cuisses, raie des fesses, anus (…) dure à poser (…) et une entre chaque orteil.

    Je ne sais pas si les cinquante y sont ou sont dépassées, mais quand on aime, on ne compte plus ou très mal !

    Quand je suis revenue sur terre en rassurant le couple sur la fréquence de ces malaises en cas d'orgasmes trop violents, la femme reprend des couleurs en réalisant qu'elle n'aurait pas à prévenir Monsieur Georges de mon décès ! Et, elle me demande, presque poliment si je suis en état de continuer ? N'osant pas lui dire d'aller se faire foutre ! J'hôche la tête pour lui signifier que tout va bien !

    Elle me sourit et coupe les moteurs de la machine. Elle enlève les tubes et, comme promis, elle se précipite sur mes tétons pour les sucer goulûment et les mordiller très peu tendrement.

    Dans le même temps, elle se branle seule de sa main droite en avalant ces quelques gouttes de lait probablement tièdes qui sortent lentement de mes bouts de nichons ! Et c'est en jouissant, presqu'aussi bruyamment que moi qu’elle termine de boire mon lait en avalant le tube de réception qui doit en contenir un ou deux centilitres ! Je suis sidérée d’avoir encore du lait dans mes seins 21 ans après avoir accouché !

    Pour se calmer, elle ôte son soutien-gorge et plonge dans la piscine en lui criant : « Vas y mon chéri, à toi de t’amuser avec elle ! ». Il n’attendait que ça et me regarde, vicieusement, suspendue à mon crochet, en train de me tortiller comme un ver, tellement j’ai envie de pisser. Pendant que sa femme se détend et nage, il passe derrière le bar, récupère une cravache de cuir, se place devant moi, écarte brutalement les deux tabourets et m'ordonne de remettre mes pieds dessus. Je me retrouve donc suspendue de nouveau, sur la pointe des pieds, mais avec les cuisses largement écartées !

    En me soulevant d'un seul coup, il détache mes poignets du crochet, je retombe les pieds à plat sur les tabourets. Il me libère les poignets, la chatte, le cou et jette la corde à nœuds, devenue inutile ! Il me demande de croiser mes mains sur la tête et de garder mes cuisses largement ouvertes et mes pieds à plat sur les bancs.

    Ce que je craignais tant arrive, car il cravache une à une, les pinces de mon corps. Je redoutais la répétition de cette torture, car deux fois en deux jours, me semblent trop, mais ce pauvre homme ne peut pas le savoir ! Les pinces résistent, mais moi non, et des larmes coulent sur mon visage ! Semblant me prendre en pitié, il fait un marché avec moi en me proposant : « Je vais essayer de t'enlever les six pinces qui restent encore sur tes nichons, mais, pendant ce temps, je t'autorise à vider ton ventre et ta vessie, mais cuisses super-ouvertes et exhibées par tes deux mains ».

    Je fais oui de la tête et il cravache la première pince, ce qui me fait hurler, mais en même temps mes deux mains ouvrent largement ma moule trempée et obscène et je commence à me vider, pissant avec un plaisir indescriptible ! Je me moque des éclaboussements, des coups secs sur mes nichons, je sens une pince tomber, une autre retenue par un tout petit bout de peau qui me fait hurler de douleur, mais en quelques minutes, j'ai retrouvé ma taille de jeune fille et il ne reste que les deux pinces de mes tétons, je tombe à genoux, épuisée, soulagée mais sans avoir joui ! Je suis décidément une insatisfaite invétérée !

    Sans s'occuper de la pisse qui me recouvre et de mon odeur nauséeuse, l'homme m’entraîne vers une table de salon, me couche sur le ventre et, donc, sur les pinces qui restent encore sur cette partie de mon corps, il me frappe violemment les fesses en m'ordonnant de les ouvrir avec mes deux mains et m’encule violemment en me tenant par les hanches.

    Je constate que sa femme avait raison, je ne sais pas si cet homme est vraiment riche, mais il a un sacré pieu entre les cuisses ! Il ahane dans mon dos, coulissant facilement et profondément dans mes intestins et jouit très vite et très profond en moi.

    En fait, je ne m'en rends compte que par ses grognements de plaisir, la poussée de sa bite dans mon anus et son bas-ventre collé à mon cul ! Sa femme sort de la piscine et vient le féliciter pour avoir bien rempli mon cul de putain !

    L'homme se relève et prend le tuyau d'arrosage en main. Sa femme me conduit à deux mètres des wcs et me demande de lui faire face, avant de me quitter en courant nue !

    Il tourne brutalement le robinet et vise avec son jet froid toutes les parties sales de mon corps. Il insiste vicieusement sur mes seins, ma chatte et, m'obligeant à me retourner, sur mes fesses qu’il m'ordonne à ouvrir de mes deux mains pour bien me nettoyer l’anus et le trou du cul.

    Sous cette douche, je continue à pisser, mais j’avais tellement de liquide dans le corps que je pense que tout n’est pas encore ressorti.

    En riant la femme me jette une serviette : « Sèche toi, putain, nous allons rentrer et je ne veux pas que tu mouilles tout ! ». Son mari coupe l’eau, je me sèche en les regardant se rhabiller.

    Elle me pousse devant elle en disant à son mari (…) Finalement, elle est loin d’être bandante, mais elle obéit bien ! Et son cul ? Tu l’as aimé ? (…) Oui, elle est étroite du cul, je me suis régalé de me vider les couilles comme ça, et je crois que tu as apprécié le lait de ses mamelles, je t’ai vue t’envoyer en l’air comme rarement ! (…) Oui c’est vrai, tu as raison, j’ai bien joui ! (…) Je suis sure que ce n’est pas une pro, mais, elle est bien éduquée et elle semble obéir plus par vice et par soumission que pour du pognon ! Elle est très différentes des autres putes que MG nous a envoyés ! ».

    Je les entends discuter tous les deux, mais je ne peux saisir toutes leurs paroles. Je monte les marches et entre dans le hall de la maison, toujours nue. La femme me guide vers la droite et j’entre dans un bureau.

    L’homme s’assied et téléphone : (…) Oui salut, c’est moi : oui tout va bien ! (…) Ce n’est pas un premier prix de beauté (…) Mais elle compense par son vice (…) Oui, comme promis, tu recevras des photos (…) Elles seront aussi sur notre blog, tu connais l’adresse (…) Je voulais juste te demander si c’est une pro ou non ? (…) Ah ! Ok ! je m’en doutais ! Eh bien on va lui faire une carte (…) Donne moi son nom, son prénom, sa date de naissance (…) Oui je note tout : adresse et téléphone (…) Voilà c’est parfait, une photo et elle aura une belle carte de pute, dont je déposerai un double à la préfecture, lundi matin (…) Allez je te laisse ».

    Je rougis des pieds à la tête en sentant le piège se refermer sur moi. L’homme prend un appareil photo numérique et la femme me donne une brosse : « Peigne toi un peu pour que tu sois appétissante sur ta photo d’identité ! ». Sans pouvoir protester, je me coiffe rapidement. L’homme me colle à un mur et prend deux photos de moi : « Je vais tout préparer, tu peux aller t’amuser avec elle ma Chérie ! ».

    Sa femme rit en me poussant dans le dos : « Allez avance salope et rassure toi, tu es entre de bonnes mains, il est inspecteur aux mœurs et si tu vas bien tous les deux mois à ta visite médicale avec tes consœurs, tu n’auras pas d’ennuis ! ».

    Nous nous rapprochons d’une porte en bois, elle m’arrête et l’ouvre, l’escalier est dans le noir : « Vas y, il y a dix marches et une corde sur la droite pour te guider ».

    Encore très troublée par ce qui s’est passé dans le bureau, j’attrape la corde et commence à descendre en comptant les marches une à une. A la onzième, mes pieds nus se posent sur de la terre battue que je suppose être le sol d’une cave. Elle allume une lumière indirecte : « Voilà, on est dans une cave ronde et on va la découvrir ensemble en commençant par l’armoire à ta gauche ».

    Elle ouvre les deux battants : sur la droite : des objets en cuir pendus : fouets, cravaches, martinets et ceinturons. Sur la gauche : pinces en fer avec des poids différents. Et sur des étagères, des chaînes, des cadenas, des menottes et des fers ainsi que des bâillons différents.

    En ce qui concerne les meubles : à droite de l’armoire, une table offrant un grand choix de godes, de vibros et de plugs de toutes les tailles. Encore plus à droite, une croix de Saint André. Puis une autre table avec des coffrets d’aiguilles de différentes tailles qui me font frémir. Puis une vielle baignoire vide et enfin un fauteuil de gynécologue.

    La femme semble fière de cette cave : « C’est notre donjon à nous, nous l’avons équipé peu à peu et tu ne peux même pas t’imaginer combien de salopes masos y sont passées ! Tu ne seras qu’un N° de plus ! ».

    Je ne dis rien, complètement paralysée par la peur, elle s’en rend compte et me guide vers le fauteuil de gynécologue dans lequel elle me fait asseoir. Elle noue les courroies sur mes poignets et à l’angle de mes coudes pour m’empêcher de bouger les bras et les mains, puis elle me pose les jambes sur les supports relevés et écartés du fauteuil et elle les immobilise comme les bras en deux endroits.

    Pour finir, elle me fixe une large ceinture à la taille qui me plaque contre le fauteuil en me coupant la respiration. Au dessus du fauteuil il y a deux poulies que je n’avais pas remarquées. Elle descend une chaîne de chaque poulie. Elles se terminent par des pinces en acier crantées qu’elle referme sur mes tétons. Elle tend de suite les chaînes jusqu’à ce que mes gémissements lui fassent comprendre que la tension est à la limite du supportable. Elle bloque, heureusement, les chaînes, me laissant ainsi, tétons tendus à l’extrême vers le haut, gémissant de douleur et essayant de ne faire aucun geste pour ne pas accentuer la tension sur mes seins.

    Elle me regarde en riant : « Tu es bien comme ça : nichons tendus, sans pouvoir faire un geste, on va pouvoir jouer ! ». Le vice de cette femme me fait peur, mais je ne peux rien faire. « Il ne nous reste malheureusement que peu de temps, alors on ne va pas pouvoir tout te faire essayer, mais tu vas goûter au meilleur : la célèbre bite d’Ali ! ».

    Elle va vers la table des godes et revient avec un sexe noir monstrueux qu’elle pose sur mon ventre, les fausses couilles du gode sont sur mon mont de Vénus, alors que le gland repose entre mes seins !

    Elle prend un tube de vaseline dont elle enduit le monstre et s'assieds sur un tabouret entre mes cuisses. Elle le prend à sa base et commence à l’enfoncer en moi. Le gland ne passe pas, et j’hurle, persuadée qu’il va me déchirer. Mais elle est patiente et, millimètre par millimètre, elle le fait entrer en moi, m’ouvrant comme si je devais accoucher.

    Au bout que quelques minutes elle rit : « Tu sens bien les couilles contre ton cul, salope ? Tu vois bien qu’il est entré, tu as trente centimètres de bite dans ton con de pute ! Tu as déjà été remplie comme ça ? ».

    Les yeux trempés de larmes, je dois indiquer « non » de la tête et c’est en riant qu’elle commence à me niquer vicieusement, en sortant presque entièrement le monstre de moi pour le replonger lentement dans mon vagin écartelé. Les premiers allers et retours me font hurler de douleur, mais très vite ma mouille se mélange à la vaseline et je sens que le monstre coulisse de plus en plus facilement en moi, la douleur fait place à un autre sentiment mélangé de plaisir et de honte.

    La femme se rapproche de ma tête, elle me mordille l’oreille en me murmurant : « Un jour je demanderai à ton propriétaire de t’offrir au vrai Ali, celui sur lequel nous avons moulé cette bite, il te fera jouir rien que de te poser son gland sur ton anus juste avant de t’enculer comme jamais tu ne l’as été dans toute ta vie de truie ! Aucune pute n’a pu lui résister : elles ont toutes joui comme des chiennes en chaleur ! ».

    Je m’imagine sans peine avec ce monstre dans les intestins et sans pudeur je me laisse aller, criant à présent à chaque introduction dans mon vagin trempé. L’homme nous rejoint, il sourit en me retrouvant au bord de l'orgasme, niquée par le moulage d'Ali. Il reprend de suite son appareil, alternant les gros plans de mon vagin distendu et de mon visage reflétant toutes les étapes de la montée de mon orgasme !

    Je finis par jouir comme une bête alors que la femme bloque le monstre dans mon vagin, avant d'appuyer par surprise, sur une poire annexe, pour m’arroser le fond du con de longs jets chauds et crémeux que je suppose être du lait, ou pourquoi pas ? Du foutre d'animal ! Car, comme me disait une amie : « Quitte à fantasmer, fantasmons très cher ! Car, au final, ce sera le même prix ! ».

    Elle retire le monstre très lentement de mon vagin alors que l’homme me libère les poignets et les chevilles. Quand ils me redressent, le tête me tourne et j’ai du mal à marcher, mes cuisses restent encore largement ouvertes. Sans m’accorder aucun répit, ils m’adossent à une croix de Saint André et m’y attachent solidement les chevilles, la taille et le cou tout en me laissant curieusement les mains libres.

    Ils la font basculer pour que je sois parallèle au sol. Au dessus de moi, un grand miroir fixé au plafond me renvoie mon image plus qu’obscène de femme totalement offerte. La femme sourit, m’embrasse longuement sur la bouche et se relève : « Nous allons terminer ce premier rendez-vous en beauté ! Mon mari va profiter de ton ventre accueillant et bien ouvert par ton ami Ali ! Toi, tu vas me lécher la chatte en t’appliquant, et je t’ai laissé les mains libres pour que tu te branles les tétons jusqu’à l’orgasme ! ».

    Tout s’effectue comme elle l’a prévu, c’est moi qui tarde à jouir des tétons alors que son mari est le premier à m’arroser le con et qu’elle prend son pied dans ma bouche en m’aidant à me caresser et à me torturer les tétons.

    Sans m’accorder de douche, ils me regardent me rhabiller, me précisant que c’est Monsieur Georges qui me paiera et, son mari me donne, très sérieusement, ma carte professionnelle, marquée : « Préfecture de Police de Vichy ! », barrée  avec des trois couleurs bleu, blanc et rouge ! Avec mon nom, mon adresse, ma photo, ma date et mon lieu de naissance et la date de ma prochaine visite médicale !

    Persuadée que le ciel m’est tombé sur la tête, c’est en pleurant que je m’éloigne pour rejoindre Annie qui m’attend derrière la grille.

    Mercredi 1er février 2017 - 21h15

    En me voyant arriver dans cet état, Annie, me demande ce qu'il m’arrive, je lui montre la carte et elle éclate de rire : « Ah, oui, Agnès m'a prévenue pendant, en s'excusant mille fois, de ne pas t'avoir avertie avant ! Ils se veulent rigolos, en bizutant les nouvelles à qui ils font presque à chaque fois le coup de l'encartage comme prostituée ! Rassure-toi, Monsieur Georges les a déjà sermonné et il les mettra à l'amende pour conduite indigne. Ils la paieront et le club sera un peu plus riche ! ».

    Elle déchire la carte et me donne une cigarette en me rassurant : « Je comprends que tu aies eu la peur de ta vie, mais rassure toi, avec nous tu ne risques vraiment rien ! ».

    Elle me donne un kleenex, je m’essuie les yeux et éclate d’un rire nerveux et elle rajoute : « Allez, ma Chérie ! C'est l'heure de la paye ! On va se faire payer une coupe de champagne par Monsieur Georges, il te donnera ta belle enveloppe et nous irons faire un bon dîner ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 21h25

    Par chance, une place se libère juste devant la Grande Brasserie, et, il est au bar. Il s’adresse gentiment à moi en me souriant après m'avoir embrassée sur les deux joues :

    « Eh bien, ma petite Loré, je vois que tu n’as pas tardé à profiter de ton inscription ! Et je n’ai eu que des éloges sur toi, ta réputation va vite se faire sur Vichy, il faut que tu trouves un moyen pour venir régulièrement, je comprends qu'entre ton job et ta vie privée, ce ne se soit pas simple, mais, tu verras, tu seras surprise par le nombre de demandes que tu auras et dont j'informerai soigneusement Agnès et Annie ! Du reste, n'hésite pas à faire attendre tes amis ! S'ils ont envie de toi, ils sauront patienter ! N'oublie pas qu'une jolie femme doit se faire désirer ! ».

    Je souris en le remerciant ! Il sort de son blouson une grosse enveloppe que je glisse dans mon sac sans l’ouvrir et il rajoute en riant : « N’en veut pas à mes amis, ils sont taquins ! Ca fait des dizaines de fois que je leur colle une amende, qu'ils paient en riant, et, vue leur générosité quand je lève des fonds pour le club, j’ai du mal à me résoudre à les exclure ! ».

    Il demande trois coupes : « Je dois vous dire, Monsieur Georges, que, sur le moment, j’ai eu très peur ! ». « Allez, oublie vite cette plaisanterie, et trinquons à tes futures belles aventures, je te jure qu’il n’y a pas d’autres plaisantins dans le Club ! Annie, votre dîner est réglé, Agnès te dire tout ».

    Je me détends, rassurée par ses paroles. Annie l’embrasse en le remerciant pour tout, et je suis surprise de voir MG se pencher vers moi pour me faire biser aussi les joues.

    Ce geste de tendresse amicale me fait chaud au cœur et me rassure sur une amitié peut être naissante ?

    Mercredi 1er février 2017 - 21h35

    Nous quittons MG et rejoignons Agnès chez elle. Elle m'embrasse longuement sur la bouche et me félicite pour mon excellente prestation en s'excusant plusieurs fois de ne pas avoir pensé à me prévenir de la plaisanterie préférée de ce couple !

    Elle m'envoie me laver et me prévient qu'elle a préparé dans sa chambre ma tenue pour le dîner de ce soir. Je la remercie et file avec grande joie dans la salle de bains. Par curiosité j'ouvre l'enveloppe de MG et j'y trouve 4.000€ avec un mot : « Je vais les condamner à 4.000€ d'amende, qu'ils me paieront demain, je la partage avec toi, pour me faire pardonner de ne pas t'avoir informée ou fait informer ! G ».

    Ravie de cette belle prime, je me fais couler un demi-bain et m'y glisse avec plaisir, pour me détendre dix minutes avant de me laver et de me préparer.

    Pendant ce temps, dans le salon, Annie et Agnès papote du dîner. Agnès lui dit : « Comme tu lui avais demandé un resto, que je ne connaissais pas encore, MG m'a rappelée en m'indiquant qu'un couple de Mexicains avait ouvert un resto tex-mex il y a quinze jours, qui était, semble-t-il excellent. Et qu'il avait, justement un excellent ami à lui, qui le tannait pour lui trouver de la compagnie pour inaugurer cet établissement avec lui. Je l'ai appelé, et il accepte de vous inviter toutes les trois ».

    « Il a réservé votre table pour 22h. Il s’appelle Maxime et c’est un des plus gros agents immobiliers de Vichy. J’ai négocié la soirée à 500€ pour Loré et l'addition à sa charge, bien sur ! ». « Ah ! Monsieur Georges ! Que ferais-je sans vous ? ». « Mais, ma Chérie, ce que tu vas faire ce soir : t'amuser sans moi ! Je te souhaite une excellente soirée ! Et je vous embrasse toutes les trois très tendrement ! ».

    Quand je sors de la salle de bains, j'ai nettoyé et rangé les sex-toys utilisés pour ma séance avec le couple, ils sont roulés dans une serviette propre que je dépose dans la chambre d'Agnès. Je trouve sur le lit : mon médaillon-alliance, une petite robe noire moulante, avec un décolleté en goutte, des bas Dim-Up, des sous-vêtements noirs classiques et des escarpins avec des talons mi-hauts.

    Un dernier coup d’œil dans le miroir, et je les rejoins dans le salon : elles ont deux très jolies robes en mousseline de couleurs et de formes différentes, des bas, des talons hauts, mais, je ne peux pas me prononcer pour d'éventuels sous-vêtements !

    Nous prenons nos sacs, enfilons nos manteaux et montons dans le taxi commandé en nous disant : « Comme ça, nous pourrons boire même un peu trop, sans avoir de problèmes de retour ! ». Nous approuvons cette bonne idée et restons silencieuses durant le court trajet, en remerciant le chauffeur, qui nous dépose devant le restaurant.

    Mercredi 1er février 2017 - 22h

    Nous annonçons au serveur que nous sommes attendues par Monsieur Maxime. Il récupère nos manteaux, et nous conduit à une table un peu isolée où un bel homme très élégant se lève immédiatement.

    Agnès le remercie de son invitation et le salue de la part de Monsieur Georges. Maxime lui répond qu'il la connait très bien et lui pose une question simple : « Mais qui ne connaît pas Madame Agnès ou Monsieur Georges sur Vichy ? ». Nous rions tous les quatre, sans bien sur apporter de réponse, à une question qui n'en a pas !

    La table est ronde, nous nous asseyons et il enchaîne en se tournant vers Agnès qui s'est assise à sa droite : « Je présume que cette très belle apparition en mousseline qui s'est assise à ma gauche est Annie ? Et que ce ravissant minois et cette très jolie robe noire, sagement décolletée, installée en face de moi, appartiennent à Loréna ? ».

    Nous approuvons en souriant et Maxime nous propose du champagne en apéritif, ce que nous acceptons. Nous déplions nos serviettes et avons la surprise de découvrir dans chacune de nos assiettes un joli cadeau très bien enveloppé avec l’étiquette d'une grande parfumerie de Vichy.

    C’est quasiment en même temps que nous disons, avec des mots différents : « Oh comme c’est gentil et élégant, Monsieur, mais il ne fallait pas, vous n’étiez pas obligé ! ». Il répond posément et avec un humour certain : « J’ai deux obligations dans ma vie : faire plaisir aux jolies femmes et réussir dans ma profession. C'est en fait la deuxième qui me permet de remplir la première ! ».

    C’est en riant que nous ouvrons nos paquets et découvrons un flacon de parfum N°5 de Chanel. Agnès apprécie en connaisseuse : « Hum, le parfum des jolies femmes ! Quel beau compliment, vous nous gâtez vraiment mon cher Monsieur Maxime, ou plutôt, « Maxime » si vous nous y autorisez ? ». « Ce n’est qu’un petit geste de bienvenue. Bien sur « Maxime ! », ou même « Max ! », si vous préférez, sera plus de circonstance et le « tu » de rigueur si tout le monde est d'accord ! ».

    Nous approuvons toutes les trois et il enchaîne : « Je crois, Loré, que tu n'as pas fini de fouiller ton paquet, je ne te crois pas assez superficielle pour t'arrêter à un parfum volatile ! ».

    Je ris de cette plaisanterie, en effet très drôle, et reprends mon emballage froissé, et j'y trouve en effet un bristol écrit à la main : Proposition indécente (…) Me référant au célèbre film, je lui signale en riant que je ne pense pas valoir un million de dollars ! (...) En souriant il me répond : sait-on jamais ? (…) Je déplie le bristol et le lis (…) Vas aux toilettes et remplace tes sous-vêtements par ce parfum (…) Rapporte les moi au vu et au su de tout le monde (…) J'attends surtout de toi une petite culotte bien odorante (…) ».

    En récupérant mes vieilles habitudes que je croyais enfouies ! Je rougis violemment, très surprise par cette mise en scène imaginative qui me rend dépendante de lui dès le début de la soirée et qui prouve aussi clairement, que je suis une invitée-rémunérée, et donc à ses ordres !

    Je tends le papier à Annie comme pour bien signifier à Max que rien ne se fera sans elle à qui j'appartiens ! Et, après un simple sourire de sa part, je me lève en disant qu’ils peuvent commander pour moi et je prends mon sac et mon flacon en annonçant que je vais aux toilettes pour me rafraîchir un peu.

    Le serveur qui nous apporte les cartes m’indique où sont les toilettes et je les laisse seuls. Je m’enferme dans un des wcs pour femmes tout en me rendant compte que je suis déjà excitée : seins tendus et chatte plus qu’humide.

    Je passe ma robe par dessus la tête et j'enlève mon soutien-gorge que je mets dans mon sac. Puis je baisse et enlève ma culotte, mais avant de la ranger, je me caresse le sexe avec en faisant en sorte de bien m'essuyer les lèvres vaginales et l'entrée de ma moule humides. Je vérifie son odeur en la reniflant et, contente du résultat, je la roule en boule pour la ranger dans mon sac.

    Je me parfume légèrement le corps avec le cadeau de Max. Je range le flacon dans mon sac et renfile ma robe. Et, après m’être un peu rafraîchi le visage devant le lavabo, je remonte.

    Je me rassieds à table en demandant ce que nous allons manger. Max me répond : « Nous allons, d'abord te dévorer des yeux, puis, si nous avons encore une petite faim, nous dégusterons des tortillas à la viande et un chili bien épicé, le tout arrosé d’un excellent vin rosé mexicain, ça te convient ma chère Loré ? ».

    « Je suis en route pour le Paradis, mon cher Max ! ». Et j'ouvre mon sac, je déplie et défroisse mes sous-vêtements et les pose à ma droite, sur la table ! En premier, je lui tends en traversant toute la table : mon soutien-gorge qu’il prend dans ses mains et porte à son visage pour sentir mon odeur et la chaleur des bonnets dans lesquels reposaient mes seins.

    En deuxième, c'est ma culotte froissée qui voyage à travers la table et atterrit dans sa main qu'il porte de suite à son visage. Il semble se régaler de la découverte de mon odeur intime, mais aussi de la preuve que je ne suis pas indifférente à son charme et à ses intentions envers moi !

    Par ces gestes simples, nous savons d'ores et déjà tous les deux qu'il me niquera dans la soirée ! Il semble enchanté et satisfait de l’odeur de ma petite culotte et d’une voix douce, il murmure à l'oreille d'Annie de me demander d'écarter mes jambes et de remonter ma robe sur mes cuisses le plus haut possible.

    Belle diplomatie de Max d'utiliser ma propriétaire pour me transmettre son ordre ! Ce diable d'homme connaît bien la mentalité féminine ! Pour les satisfaire, je suis obligée de me lever et de me rasseoir rapidement. En me rasseyant, je sens le pied chaussé de Max, remonter le long de ma jambe, gaînée de bas. Sans me quitter des yeux, il continue à sentir ma culotte, sans aucune discrétion, tout en soufflant un autre conseil, mais cette fois-ci à Agnès !

    Je souris en constatant sa double diplomatie ! Comme ça, il s'assure que toute la table joue le jeu ! Agnès, souriante, se penche sur moi pour déboutonner le bouton, du décolleté en goutte du haut de ma robe. En l'ouvrant je sais qu’elle dévoile largement le haut de mes seins en laissant voir leur naissance !

    Le serveur arrive et nous apporte les tortillas et le vin. Je remarque que ses yeux passent de ma culotte sentie par l'homme de la table, à mon décolleté, qui dévoile déjà la chaleur de mon caractère ! Mais, il arrive toutefois à servir le vin qu'approuve Max, sans en renverser !

    Nous rions tous de ce bel exploit qui, pour une fois, le fait rougir, lui ! Et pas moi ! Nous sommes servis et nos verres sont pleins, et il repart , Agnès me glisse à l’oreille : « As-tu remarqué la bosse que fait sa braguette, il doit te trouver très à son goût ! ».

    Sans répondre, je goûte le vin et lui trouve un parfum très rafraîchissant que je ne connaissais pas. En me regardant droit dans les yeux, Max fait mine de tremper un doigt dans son verre de vin, et fait semblant de se masser tes tétons tout en me regardant autoritairement.

    Attentive à chacun de ses gestes, je mets peu de temps à comprendre qu’il m’indique ce que je dois faire. Je mouille le bout d'un de mes doigts dans mon verre et passe ma main dans mon décolleté pour me masser l’un après l'autre, mes tétons qui réagissent trop vite à mon goût.

    Comprenant que je suis parfaitement son manège érotique, il me sourit en soulevant la nappe devant lui, me désignant du doigt ce qu'il y a dessous. C'est, évidemment, mon entre-jambe ! Ma main droite quitte mes seins, repasse par mon verre pour l'humidifier et disparaît sous la nappe pour se perdre dans mon bas-ventre que je caresse d'un doigt vinifié, mais, très rapidement trempé par mes sécrétions intimes.

    Il termine cette scénette, en me désignant ses lèvres et je glisse ce doigt entre mes lèvres. Le lèche, langue un peu sortie de ma bouche humide, contente de retrouver mon goût et mon odeur !

    En même temps, je sens son pied, toujours chaussé, se poser sur mon sexe offert et le masser du plat de sa semelle. J'ouvre un peu plus mes cuisses pour lui offrir encore plus de sexe et lui permettre d'y poser encore mieux et encore plus son pied.

    Sans un mot, il commence à manger ses tortillas tout en me massant le sexe de plus en plus fort. Je me laisse faire, mains agrippées à la table sans aucune envie de toucher à mon plat.

    Il me regarde en souriant et m'affirme : « J'ai vu un reportage sur les danseuses tunisiennes qui sont de vraies expertes dans la danse du ventre ». J'ai un peu de mal à parler normalement mais je dis : « Oui j'y suis allée avec Yves et c’est vrai qu’elles dansent très bien ».

    Il enchaîne : « En fait, elles remuent leur bassin avec des mouvements très amples ». Et je rajoute : « Oui, mais sans bouger leurs épaules je ne sais pas comment elles font ». Et il conclut : « Pour moi, c'est la meilleure manière pour une femme de montrer son plaisir a son Maître : onduler du bassin, sans bouger ses épaules pendant qu’il la masturbe ! ».

    Je comprends le sens de cette appartée qui me semblait, au départ, hors sujet et j'essaye de me décontracter et de remuer mon bassin sous la pression de son pied sans que mes épaules ne bougent : « Elles font ça avec des mouvements, très amples et très langoureux ». Je ferme les yeux et augmente la rotation de mon bassin, appuyant ainsi de moi même mon sexe sur sa semelle.

    Et il rajoute : « Et elle vont même de plus en plus vite ». J'essaye d'augmenter de plus en plus ma rotation, ma robe est remontée au dessus de mon ventre. Je me frotte sur ce pied, honteuse et en même temps très excitée, alors qu’il en rajoute : « Elles ondulent du cul comme des pouliches en rut ! ».

    La décence m'interdit de remuer plus ma croupe, je fais l'amour avec son pied, je me sens très chienne et surexcitée. Il enlève brusquement son pied et me tend son verre de vin. D'un seul coup le support de mon excitation tombe sans que ma tension ne redescende.

    Je tends la main vers son verre de vin mais, alors que je m’apprête à boire, il me fait signe que non et ajoute : « Certaines ondulent comme des chiennes remuant la queue pour montrer qu'elles sont contentes ! ».

    Comme hypnotisée, je recommence à onduler du ventre sans rien avoir pour me frotter le sexe. En riant, il penche son verre et me le fait boire en entier. Je le bois sans respirer, mais, ne m'attendant pas à ça, je m'étouffe un peu. De son autre main, il me caresse la main comme pour me flatter en me conseillant d’onduler du ventre pour faire passer le breuvage ! Je remue doucement mon ventre n'osant pas regarder autour de moi mais, persuadée que toute la salle a remarqué ma conduite étrange.

    Max me laisse enfin goûter les tortillas qui sont en effet délicieuses et je le dis. La réponse est immédiate : « Alors, montre moi que tu les aimes comme je t’ai appris ! ». Me traitant intérieurement d'imbécile, je recommence à onduler du ventre sur ma chaise pour manifester mon plaisir simplement récompensée par un : « C'est très bien ! ».

    Nous avons fini les entrées et le garçon débarrasse et nous porte nos chilis con carne. Max nous ressert du vin et nous commençons à apprécier ce plat très goûteux mais excessivement épicé. La conversation tourne sur des sujets anodins tandis que nous finissons nos plats.

    Max est obligé de recommander une autre bouteille tellement le chili nous a mis la gorge en feu. Max me regarde ironiquement et fait tomber la salière de mon côté. Le garçon, attentif, se précipite, et la ramasse profitant ainsi du spectacle que Max voulait que je lui offre.

    Il le remercie et me demande : « Tu as vraiment la gorge en feu, Loré ? ». Je ressemble à une tomate aussi bien à cause du piment du chili que de ce qu’a pu voir le serveur : « Oh, oui, Max, la gorge me brûle ». « Eh bien, le robinet pour te soulager t’attend sous la table ! ». Je comprends de suite ce qu’il veut : « Oooh ici dans le restaurant ? ».

    Il me répond en souriant : « Tu peux aussi attendre mais tu n’auras rien d'autre à boire ! ». Je ne sais pas si c'est la soif ou l'excitation qui me poussent mais je regarde autour de moi et je constate que personne ne nous regarde ! Je me glisse le plus discrètement possible sous la table pour m'agenouiller devant lui.

    Je le vois finir d’ouvrir sa braguette et sortir son sexe déjà bien tendu. Je lèche rapidement son gland humide avant de l'enfoncer dans ma bouche et je le suce, tout en lui branlant la base du sexe, de ma main droite. Il avance son bassin pour m’offrir toute la longueur de son sexe.

    Je l’enfonce le plus possible dans ma bouche ! J'entre et sort tout ce que j'ai pu avaler de ma bouche, lèvres serrées pour qu’il me sente bien, essayant de l'enfoncer goulûment jusqu’au fond de ma gorge. Je sens, avec satisfaction, son sexe se tendre et sa pression sanguine monter. Il grossit dans ma bouche, ses veines se gonflent : je m'applique à le pomper du mieux que je sais faire, en fait très excitée de faire ça, quasiment en public, jusqu’à ce qu’il éjacule au fond de ma gorge.

    Je ferme bien les lèvres pour que rien ne m'échappe et quand j'ai tout avalé, je nettoie son sexe de ma langue pour qu'il ne soit pas souillé de sperme ou de salive. Après m'être assurée qu'il est bien propre, je le remets dans son boxer, et referme son pantalon avant de ressortir de dessous la table, rouge de transpiration et d'excitation.

    En me rasseyant, je vois que j’ai droit à un verre de vin et à un grand verre d'eau fraîche. Malgré les boissons, j'ai du mal à faire passer ce goût de sperme dans la bouche. Il me conseille de m’essuyer le coin des lèvres avec un kleenex. Je demande à Agnès de me passer mon sac que nous avons toutes trois, rangés dans un coin de la banquette.

    Je l'ouvre et découvre sur le dessus, trois grosses boules de geisha noires, reliées par un cordon de soie. Un bristol m'indique : « Vas les mettre aux toilettes pendant que nous prenons un dernier verre tous les trois, nous viendrons te chercher aux toilettes ».

    Je prends mon sac, et obéissante, je redescends aux toilettes. Je suis en train de m’affairer, robe relevée pour glisser une à une les boules en moi quand on frappe trois petits coups à la porte. Persuadée que c'est une des femmes ou Max, j’ouvre la porte et me retrouve, très surprise, en face du serveur qui me tend un mot d’Annie : « Tu l’as excité, prouve lui que tu n’es pas une allumeuse en le finissant comme il en aura envie ! ».

    Je le fais entrer et je referme moi même la porte. Je ne sais pas comment lui demander comment il veut me baiser, mais il ne s’embarrasse pas de préliminaires, il doit avoir peu de temps. Il m’enlève la robe par le haut, me mate à poil et me penche la tête vers la cuvette, cuisses bien ouvertes et cul relevé en pointe.

    J’entends des bruits d’étoffe quand il dégage sa bite, et peu de temps après il appuie son gland sur mon anus, force l’anneau et m’encule d’un puissant coup de reins. Ce qu'il a du voir sous la table a du tellement l'exciter, qu’il ne résiste pas longtemps et jouit très vite, en grognant, ventre plaqué contre mes fesses. Il se retire de mon cul, me donne une tape sur les fesses et me remercie avant de sortir des wcs et de me laisser seule.

    Essoufflée par ce qui vient de se passer, je me rhabille, sors des wcs, me rafraîchit un peu le visage, j’essaye de me recoiffer et je remonte.

    Max et les filles m’attendent en souriant devant le vestiaire. Personne ne fait de commentaire sur ce qui s’est probablement passé dans les wcs, mais ils se doutent bien que le serveur n’a pas laissé passer un telle opportunité et ma transpiration inhabituelle ne peut que le leur confirmer !

    Agnès me prend le bras et nous suivons Max qui nous dit être garé dans le parking souterrain. Il délaisse l’ascenseur et prend l’escalier, et, se rapprochant de moi, il me met une main ferme au cul !

    Je me laisse faire, pensant en moi même qu’un homme que je viens de sucer a bien le droit de me toucher les fesses. A chaque pas je sens les boules bouger dans mon ventre. Il s’arrête sur un palier désert et m’ordonne de me mettre nue.

    Obéissante : j’ôte ma robe par l'encolure et je reste nue, le questionnant des yeux quant aux bas et aux chaussures. Sans en tenir compte, il tire sur la ficelle pour sortir d’un seul coup les trois boules de mon sexe : elles sortent de ma chatte plus que trempées. Il me les tend en me disant de les nettoyer dans ma bouche. Je les suce une à une en les nettoyant de ma langue.

    De temps en temps, Agnès ou Annie doivent rallumer la minuterie. Très rapidement, les boules sont propres et luisantes : « Bien ma petite chienne, retourne toi face au mur et remue tes fesses comme j’aime ».

    Je me mets face au mur, mains posées au dessus de ma tête à plat sur le plâtre et je commence à onduler du ventre et des fesses comme je le faisais au restaurant. Il me claque les fesses de plus en plus fort en m’ordonnant d'onduler de plus en plus vite. J'ondule aussi vite que je le peux, humiliée et excitée mais consciente que de bouger mes fesses comme ça doit l’exciter au plus haut point. Je m'applique donc à bien le faire. Il enfonce deux doigts dans mon sexe trempé et claque mes fesses pour m’obliger à onduler encore plus fort .

    Je bouge à présent tellement vite que je m'imagine chevaucher un sexe invisible en train de baiser avec lui. Il s’approche de mon oreille et me murmure : « Es-tu contente d'être la chienne de Monsieur Maxime, petite putain ? » : «Oooh, oui Monsieur Maxime, vous êtes aussi élégant dans la vie que dans la manière de dominer une pute comme moi !».

    Il rit, j’entends des bruits d’étoffe, il me plaque au mur et me demande d'une voix qui n'admet pas la contradiction : « Dans quel trou le serveur a joui ma pute ? ». D’une voix mal assurée je lui réponds : « Dans mes fesses, Monsieur Maxime ».

    Sans rien dire d’autre, il enfonce les boules dans mes fesses encore dilatées par le sexe du serveur et en prenant la bonne position, il me nique d’un seul coup de reins, allant et venant immédiatement dans mon sexe dégoulinant de mouille.

    Je gémis de plaisir alors qu’il va et vient en moi, et même lorsque j’entends des pas dans l'escalier, je me laisse faire alors que d’un dernier coup de rein il plonge au fond de mon ventre pour m’arroser de foutre.

    Une voix d’homme dit : « On rigole bien ici, mais, je ne suis pas invité ! ». Et les pas s’éloignent vers l’intérieur du parking. Voilà un homme qui va pouvoir raconter qu’il a vu une pute se faire baiser dans un couloir de parking ! Il se retire de mon vagin, m’oblige à m’agenouiller devant lui pour que je lui nettoie la bite qu’il range dans son pantalon et me dit : « Allez, rhabille toi, je te libère, Annie a ton enveloppe ! ».

    Il me tend une carte avec une adresse en me disant : « Vendredi 9 Février à 18h, pour 2h, et ne sois pas en retard ! ». Je prends la carte, regarde l'adresse qui est à Ganat et lui répond : « Bien, Monsieur Maxime, je serai à l'heure ».

    Il propose de nous reconduire, mais Agnès lui ment en lui disant qu'elle a sa voiture, Max les embrasse, me caresse une dernière fois le cul nu sous ma robe et il s’éloigne vers le parking. « Au revoir, mes adorables compagnes, et à bientôt, ma petite chienne !».

    Nous le saluons toutes les trois et remontons les marches du parking. Agnès hèle un taxi qui maraude. Nous retournons chez elle sans un mot.

    Arrivées chez elle, Agnès nous propose des grands verres de Vichy Saint Yorre que je l'aide à nous servir. Nous allumons des cigarettes, car nous n'avons pas fumé de toute la soirée !

    Agnès me demande : « Alors ma Chérie, tu t’es bien régalée ? ». « Hum, quelle élégance ce Max, il a un réel pouvoir de dominant et une éducation au dessus de la moyenne, je l’ai beaucoup apprécié ! Mais je dois aussi reconnaître que, de lui obéir devant vous deux, m'a surexcitée comme rarement ! ». « Rassure-toi, ce petit jeu, à trois dominants pour une dominée, ne m'a pas déçue non plus ! Ma chérie ! Et même et, presque surtout, quand il t’a baisée sans aucun respect dans ce couloir désert puant la pisse ! ». « Oooh, Annie, excitée comme je l’étais, il pouvait me prendre où et comme il le voulait, et tu le sais bien ! ».

    Elles rient : « Oui, nous nous en sommes rendues compte ! ». Agnès se lève, va vers son secrétaire et revient avec une boîte : « Ah, que je n’oublie pas, voilà l'argent de tes deux jours : 75 de la voiture, 200 du bateau et 500 du Tex-Mex, soit 775€  auquel il te faut rajouter la passe avec le couple, soit 2.775€ ! Ce qui n'est pas mal pour une débutante pas encore confirmée !

    Je ris et rectifie : « Non 4.775€, car MG m'a donné la moitié de l'amende, qu'il va encaisser du couple pour s'excuser de ne pas m'avoir prévenue qu'ils étaient coutumier de cette très mauvaise plaisanterie, soit 2.000€ de plus ! ». « Beau geste, pas étonnant de la part de MG ! ».

    Je leur promets que lors de la prochaine soirée, c’est moi qui inviterait tout le monde, mais Annie me répond : « Garde ton argent, ma Loré, tu en auras besoin et le temps passe vite tu sais ! ».

    Jeudi 2 février 2017 - 1h50 

    Agnès nous dit : « Je constate deux choses : il est encore tôt et nous sommes toutes les trois en pleine forme ! Je vais donc vous suggérer une dernière activité, que vous accepterez si vous en avez envie, entendu, Mesdames ? ».

    « Nous pouvons nous doucher, nous rafraîchir et nous changer, même si je dois vous prêter des affaires. Continuer à papoter et à fumer tout en nous détendant, et d'ici une demi-heure, je vous propose d'aller voir un vieil ami qui a un établissement peu commun à une quinzaine de kilomètres de Vichy, sur la route de Clermont et donc d'Issoire ! ».

     

    « Quelle que soit l'heure, il y a toujours une super bonne ambiance chez lui, nous sommes assurées d'y passer un moment à classer entre : « Très sympa ! », et « Extraordinaire ! ». Tout dépend, bien sur des amis qui seront là et qui changent, tous les jours ! Mais, je suis sure que vous ne vous y ennuierez pas, tout y est possible ! ».

    « Manger pour 5 ou 500€ ! Boire des verres d'eau, du Chivas ou du Campagne millésimé ! Jouer à tous les jeux du monde, avec ou sans argent, avec ou sans habits, avec ou sans jetons ! Lancer des fléchettes ! Faire un billard anglais ou américain ! Danser seule ou accompagnée ! Faire un karaoké ! S'exhiber devant tout le monde ou en privé ! Dominer ou l'être quasiment sans tabou car tout est prévu pour le bdsm ! Baiser ou l'être, comme vous en avez envie ou mater si vous n'avez pas envie de baiser ! Payer ou mettre ses dépenses sur une ardoise qu'il faudra payer ! Quand ? Personne ne le sait ! Mon ami dit de cet endroit que : « C'est le jardin d'Eden sans le vilain serpent ! ».

    « Et, en plus, ça fait très longtemps que je n'y suis pas allée et que je me répète, en me flagellant presque tous les jours, qu'il faut absolument que j'aille passer une soirée chez lui ! Voilà, un soir et des amies bien choisies pour remplir cette promesse ! Etes-vous partantes ? Moi, de toutes les manières, même seule ! J'y vais ! ».

    « Bouuuuuuhhhhh l'égoïste ! Elle veut aller s'amuser toute seuuuuuuuule ! Lâcheuse ! Allez les bébés ! Au lit ! Les adultes vont faire mumuse ! Ben nooooooooooooooooooooooooooon avec nous ça ne marche pas comme ça ! Nous venons toutes avec toiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! ».

    « Agnès éclate de rire ! Ok j'ai compris ! Ne prenez pas de sous, c'est moi qui régale ! Nous prenons donc deux voitures, et quand vous le voulez, vous filez sur Issoire et moi je remonte sur Vichy ! Et en plus, vous allez connaître une super bonne étape pour vous arrêter pour n'importe quoi et ce 24h/24 en venant me voir ! Je suis sure que c'est une adresse que vous n'oublierez pas ! ».

    Et même sûre que vous, lecteurs et lectrices assidu(e)s vous retiendrez toute votre vie ! Car elle est pleine de surprises excitantes !

    Car nous sommes le : 

    Jeudi 2 février 2017

    Et qu'il est :

    2h

    Donc l'heure pour moi d'aller dans cet endroit étrange adoré par Agnès,et, pour vous, de voir si vous me suivez, ou si vous lirez mon compte rendu très détaillé plus tard !

    Suite > Chapitre 8


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique