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    "Cathy et Loré

    2016 > 1/3"

    Chapitre 1

    Quelques jours après notre séjour au Château (voir « Loré au Château »)… Yves est obligé de s’absenter une semaine pour son travail… J’en profite pour prendre des RTT et demander à mes parents de garder mon fils, car, en leur absence, j’ai la ferme intention de mettre à jour mes tâches ménagères et de me reposer… Ayant la maison et le lit pour moi toute seule… J’en profite pour flemmarder en m’étirant nue au lit le matin…

     

    Il n’est pas rare que je reste plus longtemps que prévu dans la salle de bains… pour me faire quelques petit plaisirs… ayant découvert récemment la petite sucette sexuelle qui me fait un gros plaisir où qu’elle aille !

        

       

    Mais, je n’en oublie pas mon objectif et peu à peu ma maison reprend un aspect normal à force d’être aspirée et briquée… De même que les chemises d’Yves qui sont enfin repassées comme il le faut ! Mais l’avantage d’être seule c’est de faire ce qu’on veut quand on le veut et, très souvent après mon café, j’ai une petite envie que je n’ai aucune raison de refréner ! Alors j’obéis avec grande joie à mon instinct de femme chaude… et un ou deux godes m’aident à grimper sur mon petit nuage où je me sens si bien !

      

      

      

      

      

    Comme je n’ai personne pour venir constater si je suis sèche ou trempée, je ne me gêne pas pour me mettre en tenue très légère quand je fais le ménage ou la vaisselle !

     

    Quand j’ai fini… Contente du devoir accompli… Je m’octroie une petite cigarette

     

    et un cognac avant d’aller voir mes messages sur mon ordinateur…

    Il est 18h30, j’en suis à la moitié de ma lecture quand le téléphone sonne…

    Chapitre 2

    « Bonsoir ma petite pute… Il a fallu qu’Yves m’appelle pour tout autre chose pour que je sache qu’il s’absentait une semaine, que tu avais laissé ton fils à tes parents et que tu étais en vacances… J’aurais aimé l’apprendre de ta bouche d’aspirateur à bites petite connasse ! » « Pardonnez moi, Madame, je voulais profiter de cette semaine pour rattraper mon retard à la maison et me reposer un peu… Je ne voulais pas vous le cacher… » « Tu rattraperas ton retard entre les rendez vous que j’ai commencé à prendre pour toi petite putain… Je suis claire ?" « Oui, Madame, très claire » « Qu’est ce que tu es en train de fabriquer ? Tu as ta main dans ta culotte ? Ou directement dans ton con ? » « Non, Madame, je suis en train de lire mes messages… » « Tu vas immédiatement arrêter… Je suis avec un ami qui a très envie de te connaître, je te laisse cinq minutes pour t’habiller un peu, brancher tes webcams sans fil… Tu vas lui faire un strip-tease à lui déchirer la braguette et tu le finiras en te faisant jouir en direct… Dépêche-toi, tu as peu de temps… » Et elle raccroche sans un mot de plus…

    Je ne sais pas, et je ne saurai probablement jamais pourquoi Yves l’a appelée… Mais j’ai l’impression que ma semaine de repos est extrêmement compromise… Je me dépêche d’enfiler un petit pull rouge facile à enlever par la tête et une culotte rose très transparente… Je décide de rester pieds nus… Quelques minutes plus tard, une connexion vidéo m’est réclamée sur Messenger… Je l’accepte et Cathy me dit par les hauts parleurs : « Comment as-tu cadré tes caméras salope ? » « Une sur mon salon de cuir et l’autre dans ma chambre, Madame » « Ça ira… Vas y on regarde ta prestation… Si tu es bien convaincante, tu gagneras un bon client car il sait que tu es une esclave maso alors applique toi… »

    Je n’ai rien à rajouter, j’essaye de sourire pour séduire et je commence mon jeu en faisant en sorte d’exécuter lentement tous les gestes et en jouant de temps en temps des zooms télécommandés…

      

      

       

    Puis je coupe la caméra du salon et quand je suis couchée sur mon lit, j’allume celle de la chambre et je continue jusqu’à ce que mes doigts me fassent hurler de plaisir…

      

      

     

    "Tu gueules de plus en plus fort quand tu t’envoies en l’air ! Une vraie chienne en chaleur" Je coupe la visioconférence "Vas devant ton ordinateur, je me rappelle de quelques photos où tu fumes à poil, les cuisses écartées, devant ton ordinateur : envoie les nous de suite salope !" « Elles sont anciennes, Madame, et j’ai les yeux cachés… » « Tu obéis et tu fermes ta gueule » Je retourne devant l’ordinateur, nue, chatte trempée et je fouille mon disque dur pour trouver ces photos dont je me rappelle… Et je les envoie…

      

     

    « Je vais les mettre sur la clé USB de ton nouvel ami… mais il veut quatre photos de plus de toi : une de ton cul à poil, une de ton trou du cul de pute, une de ton con en gros plan et une avec tes bouts de mamelles durement pincées par des pinces en métal lestées… Vas-y putain, cherche lui ça et envoie les de suite » Je replonge dans mon disque dur… Et sélectionne les quatre photos demandées que j’envoie de suite par e-mail.

       

      

    « Je te donnerai de mes nouvelles, putain, tiens-toi toujours prête… » Et, comme à son habitude, elle raccroche sans commentaire.

    Chapitre 3

    Son « tiens-toi toujours prête » m’inquiète un peu… J’ai peur qu’elle ne gère réellement mon emploi du temps avec toutes les conséquences que cela peut comporter… Mais, après tout, je sais que je ne suis pour elle qu’un jouet à donner du plaisir… Et je n’ai guère le choix, ni du reste l’envie de la contrarier… ! Il est tard… je me douche et vais au lit…

    A minuit, je suis réveillée par la sonnette de l’entrée… Je me doute immédiatement que c’est Cathy… J’enfile en toute hâte un pull bleu clair et une culotte blanche… J’allume les lumières extérieures et ouvre la porte souriante :

    Elle me prend par le bras et me conduit au salon : « Décidément tu fais tout à l’envers… J’aurais aimé que tu ouvres nue… et si ce n’avait pas été moi tu l’aurais convié à te baiser ! Allez à poil ».

      

    « Te voilà dans une tenue plus adéquate à ta condition de pute, à ce propos, tu as bien travaillé avec mon ami tout à l’heure, tu as un rendez-vous avec lui, mais comme c’est une relation du Château, je crains pour toi qu’il ne soit assez exigeant ! Sers-moi un verre de cognac » En essayant d’oublier ma nudité, je lui tends un verre bien plein…

    « Bien, tu es en droit de savoir pourquoi je suis venue chez toi : je commence à avoir une belle collection de clips sur ton site, mais il m'en manque dans ton environnement naturel… Donc chez toi… Tu vas m’aider en me donnant des idées de lieux où tu peux t’exhiber en te branlant de temps en temps mais sans jouir… Assieds toi face à moi et doigte-toi en me répondant ».

    « Je pense qu’il suffit de faire le tour de la maison pour trouver ces endroits : ma chambre, le salon, le bureau et la salle de bains… » « Oui mais dans la salle de bains, il y a la douche, la salle elle-même, la baignoire et les wcs… » « Exact, Madame… ensuite, le bureau, l’ordinateur, la cuisine… Je crois qu’on a fait le tour, Madame » « On peut aussi rajouter devant un miroir, devant une fenêtre et dans un escalier… Là je crois que ce sera complet… Tiens, tant que j’y pense, mets un peignoir et des mules et vas dans ma malle tu y trouveras deux valisettes, c’est pour toi… »

    Elle se ressert un cognac alors que j’affronte le froid pour revenir avec deux valises, une lourde et l’autre plus légère…

    Chapitre 4

    Pendant que je me remets nue, elle va dans ma chambre et regarde avec attention ma garde-robe…  « On va démarrer par la chambre… reste à poil et enfile ces très jolies chaussures de pute en plastique »

    Je m’exécute, prends la pose qu’elle me demande et elle me filme…

    « Pour le salon, tu vas mettre cette robe courte grise et noire, ces chaussures rouge à brides, des dim-up légers et ce tanga assorti, je vais te filmer sur ton sofa rouge… Je t’attends »

    Prête, je la rejoins au salon et elle me guide dans chacune de mes positions et de mes gestes. Elle me gronde un peu car je ne respecte pas toujours ses désirs, et pour arriver à un clip d'une quinzaine de minutes, je suis sure qu’elle en a tourné deux fois plus...

      

        

        

       

      

    Je termine la séance épuisée et sur-excitée car je n’ai vraiment pas fait semblant de rentrer mes doigts dans ma chatte… « Bien, tu es un mannequin docile et ce film va faire plaisir à tes clients… qui savent par d’autres dossiers que tu as des qualités d’esclave maso ! On va passer à la salle de bains : reste à poil » 

    La série dans la salle de bains est plus courte… Quelques plans devant le miroir...

     

    et un très gros plan de mon cul…

    Puis un petit jeu avec un gode dans la douche :

       

      

    ... et pour terminer : un clip en train de me toucher dans la baignoire et une chaussée dans les wcs :

     Cathy et Loré 1

    « Bon… Je suis contente du tournage. Allons dans ton bureau : tu vas enfiler ce long débardeur bleu, des talons hauts noirs, des collants sans culotte et rester sans soutien gorge. Prends avec toi la petite valise, elle te sera utile… » Je me prépare et la rejoins dans le bureau où, là encore je prends toutes les poses qu’elle me demande en n’hésitant pas à faire quatre ou cinq prises pour qu'elle soit satisfaite…

        

       

    A ce moment du tournage, elle me fait ouvrir la petite valise. J'y découvre un objet bleu et blanc que j’observe avec curiosité : « C’est un double vibro à piles, la partie longue va dans ton con et la partie ronde réagit comme un vibromasseur de clitoris… C'est une nouveauté et ce sera surement ton nouvel ami du futur ! » Un peu craintive je le mets en position, après l'avoir sucé, l’ensemble est doux, mais quand je le mets en marche, c’est une véritable explosion aussi bien dans mon vagin que sur mon clitoris…

     

        

    J’ai du mal à me retenir de jouir. Mais heureusement, Cathy arrête la séance en riant.

    « Je suis contente de mon achat ! Je comptais te mettre devant l’ordinateur, mais on va aller plutôt dans ta cuisine, sinon tu serais fichue de jouir avec mon autre joujou ! Mets-toi un tee-shirt léger qui laisse bien voir tes nichons et un tanga noir et rejoins moi »

    Vêtue comme elle me l’a demandé, je la rejoins dans la cuisine où je commence par des tâches ménagères avant de prendre des poses beaucoup plus osées.

       

      

       

     

    Encore une fois je termine frustrée à la limite extrême de l’orgasme… 

    Cathy m'emmène à poil dans le bureau, elle me fait mettre des écouteurs pour être dans les conditions d'une session vidéo. Elle me tend un vibro et sort de la grande valise une très belle machine à baiser portative.

    « Je crois qu’avec tout ça tu vas te régaler ! Mais rappelle-toi… Pas de jouissance ! Je vais en faire en sorte que la séance ne dure pas trop longtemps…. »

    A mon avis, elle dure une éternité car je n’en peux plus et elle le lit dans mes yeux…. Je suis au bord de l’orgasme et je dois penser à des tas de choses non sexuelles pour ne pas exploser de plaisir…

       

      

      

    Elle rit en me voyant en sueur, récupérer ma respiration et me calmer.

    « Allez un petit chemisier rouge attaché en corsaire pour une petite séance devant le miroir et ce sera presque fini… » 

      

    « Tu vois c’était simple… allez à poil on va faire quelques plans dans l’escalier… »

     

    « Et un dernier à poil devant la fenêtre ! »

    Chapitre 5

     « Je suppose petite pute que tout ça ne t’a pas laissée indifférente ? »

    « Oh… Non, Madame… Je suis trempée… »

    « Rassure-toi… J’ai tout prévu… Vas enfiler une jupette à carreau, un top rouge, des sous vêtements blancs et rejoins moi dans la chambre d’amis… »

    En me préparant, je me demande ce qu’elle a pu préparer… Quand j’entre dans la chambre, je vois la caméra sur son trépied tournée vers le lit…

    « Tu vois, Loré… Il y a des fois où il faut savoir profiter de nos corps sans pinces, ni chaînes, ni accessoires sinon un bon gode double. Alors, ce soir on va jouer aux gouines… Car j’en ai envie ! »

    Cette séance me convient parfaitement bien, il est très tard et je n’avais guère envie d’être humiliée et de souffrir. Et c’est bien le contraire qui se produit car Cathy sait être une gouine très douce et très tendre, ce dont je me doutais instinctivement ».  

        

        

    Quand elle s’est mise nue et a enfilé dans nos deux vagins le gode double… j’ai su que j’allais vivre un orgasme inoubliable…

     

    ... et ce fut le cas car nous avons joint nos cris dans une explosion de plaisir assez rare…

    Cathy est la première à émerger… Elle se lève, range sa caméra et me lance un simple : "A bientôt, je te laisse le gode double : je suis sure qu’une pétasse comme toi a envie de continuer à se défoncer le con ! »

    Et elle a raison car cinq minutes après j’hurle mon second plaisir...

    Chapitre 6

    Le lendemain, après une nuit très calme, je m’apprête à prendre mon petit déjeuner dans la cuisine... 

    ...quand Cathy m’appelle.

    « Bonjour, petit pute… Aujourd’hui tu es prise de midi à très tard dans la nuit… Je passerai te prendre vers midi moins le quart, ne t’habille pas, je te dirai ce que tu dois mettre… ». Et elle raccroche…

    Je n’ai donc pas à imaginer ce que je vais faire dans l’après midi… Je termine mon petit déjeuner, fume une cigarette et vais prendre un long bain...

    ...en me douchant soigneusement toutes les parties intimes :

     

    et, ne sachant pas quel sort sera réservé à mes fesses je termine par un lavement...

    ...qui m’assurera d’une propreté parfaite.

    Et en enfilant une petite nuisette, je vérifie devant mon miroir que je suis bien coiffée. 

    Et je m’installe au salon pour attendre Cathy en buvant un café…

    Quelques minutes avant le rendez-vous, Cathy m’appelle : « J’arrive, tu es habillée comment ? ». « Je porte une nuisette, Madame ». « Bien, déverrouille ta porte et attends moi dans ton salon ». Je fais ce qu’elle me demande… Quelques minutes plus tard ses talons claquent dans le hall, je me lève, elle s’approche de moi et soulève ma nuisette...

    ...apparemment contente de moi elle m’entraîne dans ma chambre… "J'ai choisi chez moi tes tenues pour ce long après midi, mais je vais piocher chez toi pour les joujoux sexuels dont j'aurai certainement besoin". Je lui ouvre mon armoire d'accessoires, je lui porte un grand sac qu'elle m'a demandé et elle me dit de filer au salon pour l'attendre, pendant qu'elle fait son choix.

    Quant elle revient avec son sac plein, elle me donne une armature en cuir qui se croise sur les seins et sur la chatte sans les cacher, des bas gris foncés et des porte-jarretelles assortis : "Enfile ça, tu mettras un manteau chaud par-dessus, mais dehors il fait un vrai temps de printemps"

    Je m’exécute pendant qu’elle finit de se préparer. « Bien, tu es prête ?Allons-y »

    Chapitre 7

    Une fois dans la voiture, elle me dit : "Je vais essayer de te faire découvrir le vrai monde du BDSM. Tu ne peux pas savoir combien d'endroits sont dédiés à ces pratiques dans notre petite ville. Elle roule quelques minutes et s'arrête devant un restaurant dont les vitres sont cachées par des rideaux. Je lis que "l'entrée est réservée aux membres". Avant de sortir elle me met un collier et une laisse. Elle sonne : un coup long et quatre courts. Un portier vient de suite nous ouvrir.

     A suivre dans "Cathy et Loré

    2016 > 2/3"


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  • "Cathy et Loré

    2016 > 2/3"

    « Bonjour, Mesdames, je vous en prie… ». Le restaurant est éclairé uniquement par des bougies. Une serveuse souriante et très naturelle malgré ses seins nus vérifie la carte de membre que lui tend Cathy et nous place à une table où il y a déjà des clients assis. « Enlève ton manteau, putain, et donne le à la serveuse… ».

    Mon visage tourne au rouge cramoisi quand je suis obligée de me montrer...

    ...nue devant toute la salle… Je m’assieds à ma place sous le regard mi ironique mi vicieux de Cathy et j’avoue, qu’à ce jour, je ne sais toujours pas ce que j’ai mangé. Nous en sommes au dessert quand un homme s’approche de Cathy et lui murmure quelques mots à l’oreille. Elle approuve en riant et l’homme prend ma laisse...

    et m’entraîne entre les tables où il me demande de retirer mes chaussures, mes bas et de me mettre en levrette. Et c’est en plein milieu du restaurant que je sens sa bite sans protection se poser sur mon anus avant de m’enculer d’un seul coup de rein...

     

    ...et de jouir après quelques allers et retours rapides dans mes intestins... Cramoisie de honte, je me rhabille et me rassieds à ma place… « Tu es une bonne petite enculée ma pute ! Tu vois que les hommes préfèrent ton cul à ton con, ce sont des connaisseurs ! »... Je baisse la tête, car toute la tablée a entendu cette réflexion cinglante et obscène…

    Chapitre 8

    Un bel athlète noir s’approche de notre table : « Cette pute nous plait à mon copain et à moi… Quel est ton prix pour qu’on la partouze dans le petit salon ? » Cathy rit… « Je crois que dans ce restaurant il n’est pas question d’argent… Donc si vous voulez la baiser allez-y, je ne mettrais qu’une seule condition : c’est de pouvoir filmer… Je suppose que ça ne vous dérange pas »... Le noir éclate de rire en lui répondant qu’il s’en fout totalement… Cathy se lève, m’ordonne d’en faire autant et, après avoir traversé toute la salle, qui sait parfaitement ce que je vais faire avec ces deux noirs, nous entrons dans un salon douillet. Sans un mot les noirs se déshabillent et l’un des deux me dit simplement : « A poil putain… et j’espère que tu aimes les grosses pines ! »

    En les regardant toutes les deux au repos, je peux imaginer avec quels genres de monstres je vais devoir jouer… Mais, pour Cathy, je vais jouer le jeu alors que les deux noirs se mettent de suite à l’œuvre en m’obligeant à m’accroupir chatte ouverte…

     

    avant de tester la résistance de ma bouche qui, distendue à l’extrême, arrive tout de même à en pomper un...

       

    Avant de réaliser la prédiction de Cathy, qui décidément a raison, les hommes préfèrent mon cul et les noirs ne se privent pas de m’enculer sans précaution particulière.

      

     

    Et de profiter simultanément de mon cul béant et de ma bouche...

    et de me faire hurler de plaisir en m’enculant et en me baisant en même temps...

    Ils rient de mon orgasme en confirmant à Cathy que je suis une bonne salope bien chaude avant de se faire sucer les deux bites en même temps par ma petite bouche...

    qui avale ce qu’elle peut de ces deux monstres… L’un des deux me tapote sur la tête en se rhabillant : « tu es une bonne chienne et on sent que tu aimes la bite ! Ce n’est pas comme ces putains que nous sommes obligés de baiser car elles sont les seules à être assez larges pour pouvoir accueillir nos pines ! ». Ils saluent Cathy et s’en vont… Elle me fait me rhabiller… Nous retraversons la salle sous les regards ironiques et entendus des clients, elle paye la note, la serveuse me tend mon manteau et nous sortons…

    Chapitre 9

    Cathy démarre : « Tu sais que tu as de la chance aujourd’hui, ton trou du cul de vide-couilles est bien ouvert et il fait un temps splendide… Allume moi une cigarette et fumes-en une si tu en as envie » Je m’exécute alors qu'elle arrive près d’un centre commercial, et prend une petite route dont j’ignorais l’existence. Elle se gare et me dit : « Mets toi entièrement à poil et croise tes mains dans le dos »

    Tout en m’exécutant, je l’entends fouiller dans le sac posé sur la banquette arrière pour en sortir une paire de menottes. Lui tournant le dos, je sens l’acier froid se refermer sur mes poignets. « Je vais ouvrir ta portière, tu vas descendre et te promener sur cette route où il y a beaucoup de passants, n’oublie pas de leur sourire et de te montrer avenante et si tu as des propositions sexuelles, dis simplement que tu n’es qu’une esclave et que ta Maîtresse ne t'autorise qu'à te montrer… »

    Dès que mes pieds nus foulent le bitume, je marche droit devant moi...

    La chaussée est chaude, mais l’air est frais, pour le moment il n’y a personne mais j’aperçois un cycliste qui vient à ma rencontre…

    et me sachant filmée, je lui souris sans réponse de sa part… Puis deux voitures me croisent...

     

    l’un des deux conducteurs freine et semble hésiter, mais finalement il s’éloigne… En voyant arriver deux promeneuses vêtues très chaudement...

    L'une d'elle me dit en riant : "Vous allez prendre froid Mademoiselle, mais vous êtes très mignonne !" Je réalise qu'elle a raison. Mais après m’avoir laissée parcourir de long en large cette petite route, Cathy m’ordonne de revenir vers le centre commercial :

    je monte dans la voiture où j’apprécie pleinement le chauffage… Elle me libère les poignets, me laisse nue et démarre… Elle continue cette route qui s'enfonce dans une forêt et se gare de nouveau. Elle me lie par une grosse corde les poignets devant moi et  me fait descendre et monter nue dans le coffre.

    J'essaye de m'installer confortablement, elle ferme le coffre et redémarre.

    Chapitre 10

    Nous roulons un bon moment, je suppose que c'est sur un chemin forestier car je suis ballottée dans tous les sens essayant de me retenir à ce que je peux. Heureusement, Cathy s’arrête… J’entends sa portière claquer et vois avec plaisir le coffre s’ouvrir… Sans un mot, elle me met un bâillon boule...

    un collier, une laisse et en tirant dessus, elle m’oblige à enjamber le haillon du coffre. Une gifle sur la tête me fait comprendre que je dois rester à quatre pattes. Obéissante et terriblement humiliée, je la suis à son rythme alors qu'elle a posé la caméra sur son trépied pour pouvoir tout filmer avec sa télécommande...

      

     

    Elle ne préoccupe pas du terrain sur lequel nous marchons, j'ai les genoux et les paumes des mains entaillés. Après une très longue promenade, j'ai vraiment du mal à la suivre. Elle s'en rend compte et rejoint la voiture, elle me libère du bâillon, de mon collier et de la corde des poignets et me jette une paire de chaussures de marche. Elle se met nue, enfile une paire de chaussures identique à la mienne et se pose à la taille un gode-ceinture d'un calibre impressionnant. Elle me donne une couverture blanche et nous nous éloignons de la voiture. Dans une clairière où il reste encore une petite plaque de neige, elle m’ordonne d’étaler la couverture et de m’allonger sur le dos… Elle s’agenouille entre mes cuisses et me dit : « Branle le putain… Tu sais déjà où il va aller ! »

    Puis je dois le sucer et saliver dessus en faisant du bruit comme si je pompais une bite...

    Quand elle estime qu’il est bien lubrifié, elle l’enfonce d’un seul coup de rein dans mon con trempé...

    et me pistonne jusqu’à ce que je jouisse bruyamment. Elle rit : « Toujours aussi en chaleur putain ! Viens t’empaler sur cette belle pine gouinasse ! »…

    Pour ce faire, elle se couche sur le dos, j'enjambe le gode qui s’enfonce comme dans du beurre en moi. Elle m’oblige à monter et descendre sur l’engin. Je vois qu'elle a glissé sa main sur sa chatte et qu’elle se branle le clitoris… J’aimerais l’aider, mais je n’ose pas et en plus elle n’en a pas besoin jouissant comme à son habitude, discrètement mais intensément… Souriante et décontractée… elle m’oblige à me mettre en levrette :

    et m'encule longuement avec violence jusqu’à obtenir ma jouissance du cul. S’il y a des chasseurs dans ce bois… je suis sure à présent qu’ils savent qu’une femme est en train de s’envoyer en l’air ! Sans sortir de mon cul, Cathy me gifle violemment sur les oreilles : « Parfois tu me fais honte tellement tu es chaude… Je me demande jusqu’à quel point ton vice va t’entraîner ? ». Elle me donne son gode et la couverture et nous revenons à la voiture, où elle se rhabille rapidement tout en me laissant rentrer pour me réchauffer un peu le temps pour elle de fumer une cigarette.

    « Je suppose que tu as envie de pisser connasse ? ». « Oui, Madame, si je pouvais ce serait bien ». Elle fouille dans son sac : « Tiens je n’ai pas de clips de toi avec des lunettes noires, mets celles là et enfile ces belles chaussures de pute bleue » Elle me guide jusqu’à une petite bute à dix mètres de l’auto :

    « Tu t’accroupis, tu écartes ton con avec tes mains et bien penchée en arrière… tu me montres comment tu sais pisser devant une caméra ». Je m'ouvre la chatte d'une main, et je pisse comme elle le veut et c’est avec soulagement que j’urine en entendant avec honte le zoom de la caméra.

      

     

    Je la rejoins à la voiture. Les lunettes noires cachant un peu mon humiliation.

    Chapitre 11

    « En te promenant comme une chienne, j’ai vu un petit endroit sympa : enfile cette petite robe bleue, prends ces cordes et suis-moi ». La robe ne me réchauffe guère mais je la suis pieds nus. Elle s’arrête près de deux arbres superposés et me demande de me coucher sur celui du bas :

    Elle m’attache les mains à l’arbre du dessus et m’ordonne de lever mon bas ventre pour le frotter à l’écorce. Je dois m’arc-bouter pour atteindre l’autre arbre une fois sur deux, car il est assez haut, mais chaque fois que j’y arrive, je ne peux pas m’empêcher de gémir en sentant l’écorce rugueuse râper ma chatte. Cathy se régale de filmer cette séquence obscène mais elle se rend vite compte que je ne parviendrai pas à jouir de cette manière. Et, visiblement elle cherche à me faire jouir une nouvelle fois.

    « Bien, tu t’es bien battue pour jouir, mais je vais te changer de position… ». Elle m’enlève la corde et me fait monter à califourchon sur une grosse branche de l’arbre du dessus… Elle m’attache les poignets et les chevilles ensemble et me laisse comme ça.

    Elle me signale qu’elle ne me permettra de descendre qu’à mon deuxième orgasme. Le contact de l’écorce sur ma chatte ouverte est délicieux au début et excitée par ce que j’ai fait avant, je n’ai aucun mal à hurler mon plaisir très rapidement, mais le deuxième est plus long à venir : mon clitoris et mes petites lèvres me font mal et je jouis dans un mélange de plaisir et de douleur que Cathy sent parfaitement bien… « C’est moins doux qu’une langue de femme… n’est ce pas poufiasse ? » Je fais oui de la tête : tout mon bas ventre me fait mal. Cathy défait mes cordes et m'aide à redescendre mais elle éclate de rire, car pour revenir à la voiture, je marche comme un canard, les cuisses écartées.

    Elle sort du sac une pommade en me conseillant de bien en passer sur tout mon sexe et de rentrer dans la voiture pour me réchauffer. A ma grande surprise, comme j’ai la main droite pleine de crème, j’ai même le droit à une cigarette allumée qu’elle me tend. Je la remercie avec sincérité, mais sa réponse est cinglante : « Je te veux simplement en bonne forme pour la suite de mon programme, putain, rien de plus ! »

    Chapitre 12

    Quand je suis réchauffée et que mon sexe est apaisé, nous ressortons, elle habillée et moi nue. Elle me tend la serviette blanche et la paire de menottes avec ses clés… Nous repartons vers l’endroit où elle m’a baisée avec le gode-ceinture, mais je sens qu’elle cherche quelque chose. Avec mes pieds nus, j’ai du mal à la suivre. Nous arrivons dans une petite clairière sablonneuse dans laquelle est enfoncé un poteau de bois.  Elle me dit de l’attendre. Alors qu’avec ses chaussures elle monte sur un petit promontoire.

    Elle redescend souriante, visiblement elle a trouvé ce qu’elle cherchait. Elle me fait poser la serviette sur le sable à côté du poteau, m'agenouiller dessus, les mains derrière le poteau. Elle me met les menottes et s'en va.

    L’attente est longue, j’ai froid et j’essaye de me coucher pour sentir la chaleur du sable. C’est en remuant comme un ver que je me rends compte que les menottes ne sont pas verrouillées, je pourrais fuir, mais pour aller où ?

    Je me redresse en entendant des bruits de pas et à ma grande honte, je découvre devant moi deux hommes qui me regardent en souriant… « La femme n’a pas menti ! Sa copine est bien là prête à être consommée ! Voyons si les clés des menottes sont les bonnes ! ». Un des hommes se penche pour ouvrir mes menottes… « Eh, les menottes ne sont même pas fermées. Elle aurait pu s’enfuir depuis longtemps ! ».

    Les hommes rient. L’un d’eux me demande s'ils doivent me tirer par les cheveux ou m’entraîner de force vers leur campement ! La tête baissée, je fais non de la tête et me lève prête à les suivre. Le plus costaud d’entre eux me prend à califourchon sur son dos : « Le chemin n’est pas facile et tu es pieds nus, ce sera plus simple »

    Je le remercie intérieurement et notre groupe se met en route. Cinq minutes après un chemin en effet difficile, escarpé et plein de cailloux, nous arrivons dans une clairière avec une grotte dans laquelle ils ont établi leur campement relativement confortable… Trois hommes nous attendent au camp et rient en nous voyant arriver. Les deux autres leur racontent l’histoire de mes menottes non verrouillées.

    « Non seulement, elle est baisable mais en plus elle est consentante. Je pense qu’on va se régaler tous les cinq ». Gentiment ils me donnent des socquettes et des chaussures de marche pendant que l’un des cinq improvise un lit de fortune et que les autres se mettent à poil. Assise sur le lit, je me laisse peloter en souriant.

    L’un d’entre eux se couche sur le lit de fortune et se fait sucer...

    devant les autres, et il est tellement excité qu’il jouit très vite constatant avec plaisir que j’avale tout son sperme sans aucune grimace. Il se relève et me laisse me coucher sur le lit où les quatre autres se succèdent entre mes cuisses pour jouir au fond de mon ventre sans aucune protection...

       

     

    Quand ils ont tous pris leur plaisir, certains, deux fois… Ils m’offrent gentiment un café chaud en m’enveloppant dans une couverture et se rhabillent. Cathy, que je soupçonne d’avoir tout filmé, se joint à nous et accepte un café. « Alors, ma petite pute vous a plu ? Messieurs ». Ils éclatent de rire en lui affirmant qu’en venant camper ici ils ne s’attendaient pas à une surprise si agréable !

    Chapitre 13

    Assises dans l’auto, Cathy m'accorde une peu de repos pour me réchauffer et fumer une cigarette. Je ne peux que m’essuyer le vagin gorgé de sperme qu’avec quelques kleenex. La tête penchée entre mes cuisses, je ne vois pas deux hommes arriver et frapper discrètement à la fenêtre de Cathy.

    Elle baisse sa vitre et l'un des hommes va directement au but : « Vous travaillez, Mesdames ? ». Cathy rit « Non, pas vraiment… Nous nous réchauffons : mais si mon amie vous plait, vous pourrez peut-être vous en charger tous les deux ! » 

    Les hommes font le tour de la voiture pour me regarder sous toutes les coutures et ouvrent ma portière en demandant confirmation à Cathy que c’est bien gratuit. Elle leur répond en riant "C'est une esclave qui adore les bites et fait ça pour le plaisir. Mais restez près de la voiture pour que je puisse vous filmer ». Les hommes éclatent de rire en acceptant et se mettent nus… Et ils profitent de moi un bon moment...

      

    Trop occupée avec leurs deux bites, Cathy et moi ne voyons pas un homme qui nous observe à une dizaine de mètres et qui se rapproche quand il n'est pas dans le champ de la caméra. Il engage un dialogue avec Cathy, sans que je ne puisse savoir ce qu'ils se sont dit... Quand les deux hommes m’ont gavé l’estomac et le ventre de leur foutre, ils se rhabillent, nous remercient et s’éloignent…

    Je me sens épuisée et très sale. Mais en me rasseyant dans l’auto, Cathy me tend une jupe écossaise, des bas, des souliers noirs, un soutien gorge sans bretelles et un top noir : « Mets-ça putain… ». Quand je suis prête, elle me donne un martinet, une grande corde rouge et me menotte les poignets par devant : « Tu vas sortir, faire une trentaine de mètres devant l’auto et là tu vas être abordée… laisse toi faire et rassure toi, je serai là pour te filmer ! »

    Je m’exécute, ne sachant pas trop ce qui m’attend, et en effet, quelques mètres plus loin, je tombe sur l'homme qui avait abordé Cathy et qui me tire, sans dire un mot, par les poignets menottés...

    et colle sa bouche à la mienne pour la fouiller avec sa langue gluante, avant de m’ôter les menottes pour m’attacher habillée à un arbre en utilisant la corde rouge.

    Puis, il s’agenouille en relevant ma jambe gauche pour l’attacher au niveau de mon genou et me mettre en position inconfortable.

      

    Quand il est satisfait de ma position, il prend le martinet et me frappe de toutes ses forces la poitrine heureusement protégée par mes vêtements.

    Mais, il en veut plus et m'arrache presque mon top et mon soutien-gorge...

       

    Et reprend ses coups sur ma poitrine nue me laissant excitée et les seins zébrés.

      

    Comprenant que mon statut d'esclave lui donne tous les droits, il appuie avec force le manche de son martinet, sur mon plexus, ce qui m'arrache des cris de douleur...

    Je ne comprends pas cette douleur gratuite, mais, visiblement content de lui, il s'en va, me laissant attachée à l'arbre !

    Chapitre 14

    Cathy doit s’occuper de me libérer. Mais, arrivées à la voiture, je constate qu’entre temps elle a rencontré quelqu'un d'autre, car sans entrer dans l'auto, elle m’oblige à me mettre nue et me tend une nouvelle tenue carrément estivale : une petite jupette bariolée et transparente, un tanga, un top minuscule, un collier, une laisse et deux pinces en plastique qu’elle pose elle-même sur mes tétons. « Décidément, tu fais bander beaucoup d’hommes, tu vois ce gros arbre là bas ? » Je fais oui de la tête. « Vas-y pieds nus et appuie toi à lui en découvrant bien tes nichons pincés. Quelqu’un va te rejoindre ». Je fais les quelques mètres qui me séparent de l’arbre, m’y appuie, dégage mon top pour bien dénuder mes seins pincés et j’attends…

    Quelques secondes après un homme est devant moi. Je ne connaîtrai de lui que son physique, car il ne dit pas un mot, mais profite de moi comme la pute que je suis.

      

     

       

    Quand il est repu de m’avoir baisée debout, en levrette et d’avoir inondé mes seins. Il s’en va, toujours sans un mot. La tête basse, je rejoins la voiture. Essuie le sperme de mes seins. Cathy m’autorise à remettre mon manteau et démarre : « La nuit est tombée, c’est parfait, j’ai repéré un coin pour compléter ton album avec un clip de nuit ! » 

    Elle s’arrête en m’annonçant que c’est bien là. Elle sort de son sac ma tenue pour ces prises de vue : une robe courte lamée et des chaussures à talons hauts en plastique qui font très pute, mais elle prépare aussi une multitude d’accessoires. Nous allons plus vers une séance BDSM que vers une séance de charme.

    Cathy met soigneusement en scène chaque plan :

       

      

      

      

      

     

    M’autorisant tout de même un orgasme avec la chatte remplie d’un énorme gode.

     

    Je suis épuisée et je me sens sale quand nous quittons cette forêt où je laisse des souvenirs mitigés d’orgasmes vicieux et d’humiliations multiples…

    Chapitre 15

    Je me cale au fond de mon siège alors que Cathy semble contente du timing. Je me laisse aller et je somnole. Elle prend des petites routes mais ne tarde pas à se garer. Je me réveille et elle me tend des bas noirs, des chaussures, des porte-jarretelles et un soutien-gorge seins nus. Elle complète le tout par un trois-quarts en skaï. Je me retrouve toute habillée de rouge, chatte et seins à l’air. Elle termine par un collier de chienne et une laisse. Elle allume le plafonnier et constate :

    « Tu es parfaite, ainsi offerte. Je suppose que tu connais la réputation de ce petit bois tranquille derrière l’usine de motos ? ». « Non, Madame, je n’en ai aucune idée ». « Yves ne t’a pas montré les endroits chauds d’Issoire ! C’est donc moi qui te servirai de guide ! C’est le repère préféré des voyeurs ! Ils vont se régaler avec toi ». Elle redémarre et s’enfonce dans le bois. Il est tôt mais il y déjà beaucoup d’hommes qui traînent seuls ou en groupe. Dans la lueur de ses codes, elle repère un groupe de deux hommes qui ne semblent pas trop voyous. Et s’arrête à leur niveau.

    « Un peu de chair fraîche, Messieurs ? On touche mais on ne baise pas, entendu ? ». Les deux hommes rient en signifiant qu’ils sont d’accord et Cathy me fait sortir de l’auto. Les hommes se rapprochent de moi et leurs quatre mains baladeuses me pelotent tout le corps en insistant sur ma chatte…

       Cathy et Loré 2 Cathy et Loré 2

    Ils jouent avec moi en constatant entre eux que je mouille très vite et me traitent de « belle salope en chaleur ». Cathy les laisse faire, et quand elle estime qu’ils ont assez joué, elle m’ordonne de rentrer dans l’auto. Les hommes insistent pour que je reste un peu mais rien n’y fait et à peine ma portière fermée, Cathy redémarre… « Ca a du te tremper le con de t’offrir comme ça. Rassure toi je flouterai ton visage. Mets-toi à poil et enfile cette petite robe noire à bretelles avec ce gros ceinturon à la taille… Je vais te trouver un autre coin sympa ! »

    Elle cherche pendant que je me change et repère un groupe de jeune avec deux blacks et un blanc : « Tu restes dans l’auto, fenêtre baissée, c’est toi qui va les draguer. Tu peux les branler et leur sucer le gland, mais pas plus. Et s’ils veulent te branler, ouvre bien les cuisses pour leur signaler que tu en redemandes ». Elle s’arrête à leur niveau. Je baisse ma vitre et d’une voix rauque je m’adresse à eux : « Bonsoir jeunes gens, vous êtes mignons… On joue un peu tous les quatre ? »

    Pour toute réponse, ils baissent leurs pantalons et sortent des bites de beaux calibres… J’en branle deux.

      

     

    Tout en en léchant un alors que des mains passent dans la voiture pour me toucher les seins et m’écarter les cuisses pour me branler la chatte fermement. Un des trois me fait durcir les tétons tandis que son copain entre deux doigts dans ma chatte qui fait un bruit obscène. Ils ouvrent la portière pour mieux me peloter et me transformer en un bout de viande peloté par six mains impatientes et vicieuses. Je suis même obligée de lever les fesses pour que l’un d’entre eux me mette un doigt dans le cul…

    Ils insistent pour me baiser, mais, en riant, Cathy leur dit que ce sera tout pour ce soir, mais que s’ils sont sages elle reviendra demain avec moi à poil et avec des préservatifs ! Je referme difficilement la porte et la fenêtre.

    Cathy rit : « Tu vois tu as déjà un rendez-vous pour demain. En plus ils ont de belles bites, tu devrais me remercier petite pute ! »

    Je me force vraiment pour la remercier de me trouver des belles bites.

    Elle éclate de rire et m’autorise à allumer deux cigarettes en me rassurant : « Mets toi à poil, nous sommes à deux minutes du rendez-vous suivant.

    Ce sont deux bonnes copines, je suis sure qu’elles vont te plaire ! »

    A suivre dans "Cathy et Loré

    2016 > 3/3"


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    "Cathy et Loré

    2016 > 3/3"

    Chapitre 16

    Elle reste dans la zone industrielle qu’elle semble connaître par cœur, et pénètre dans la grande cour d’un local qui semble abandonné. Le portail du hangar est ouvert et elle entre avec la voiture. Elle s’arrête près d’un bureau délabré et deux jeunes femmes en sortent : « Cathy, l’horloge ! Pile à l’heure comme d’habitude ! ». « Vous savez bien les filles que j’aime tenir mes engagements. Vous êtes rigolotes comme ça : petit haut noir, gros gode-ceinture et chatte et cul nus ! On dirait des jumelles, la pute ! Rejoins nous et vite ! ». Intimidée, je sors de l’auto, toute nue, et les filles ironisent :

    « A poil ! Déjà prête ! Je suppose que tu lui as trempé le con avant de nous l’amener !!! Elle n’est pas de première jeunesse mais semble être bonne et après ce que tu nous a raconté sur elle, nous n’en doutons pas ! ».

    Celle qui a un gode-ceinture rouge m’oblige à le branler...

    Alors que son amie commence à agrandir mon anus avec le noir. Mais c’est le rouge que je prends au fond du cul alors que sa propriétaire m’encule avec une puissance insoupçonnée. Elle continue en me frappant durement les fesses avec un paddle alors que je pompe le noir.

     

    Avant qu’elles ne changent... C’est celle que je pompe qui me brûle la peau avec les lanières d’un martinet de cuir « Ne te retiens pas salope… Tu dois jouir du cul et tu vas jouir du cul, même si on doit passer une heure à t’enculer et à te frapper ! » Elles ignorent que je suis surexcitée et il ne me faut que quelques minutes pour crier mon plaisir en hurlant que je jouis du cul, comme une salope… Une des filles me tend un gode rouge...

    que j’enfile dans mon con alors qu’elle me relève pour m’approcher d’un baquet plein d’eau qu’elle me montre avant de me plonger la tête dedans...

     

    jusqu’à la limite de l’asphyxie… Elles rient de voir mon visage étonné...

    ...avant de me replonger plusieurs fois la tête dans le baquet se régalant visiblement de me voir remuer comme un ver. Elles se relèvent, enlèvent leurs godes et félicitent Cathy : « Bonne pute ! Tu es tombée sur la perle rare, j’espère qu’un de ces jours tu nous la prêteras pour plus de temps, tu sais que nous avons des amis qui ont des caves équipés ou des donjons… ». « Comptez sur moi les filles…Allez putain, sèche toi un peu avec une serviette, je ne veux pas que tu mouille mes sièges, et reste à poil… Nous allons faire un tour chez toi ! »

    Elle embrasse ses amies et nous démarrons… « Sympas mes amies, tu ne trouves pas salope ? Je te prêterai à elles, tu vas voir qu’elles aiment les soumises et savent les faire travailler ! » « Oui, Madame, elles sont sympas ». « Bien, nous ne sommes pas loin de chez toi. On va te doucher et te préparer un peu pour la soirée qui s’annonce chargée »

    Chapitre 17

    Elle se gare devant chez moi et, heureusement qu’il fait nuit, car je dois faire nue, les quelques mètres qui me séparent de l’entrée. Dès que nous sommes dans la maison elle me demande de nous préparer deux cafés bien forts. Et s’installe au salon. Quelques minutes plus tard je reviens avec un plateau : je lui sers une tasse de café, elle m’autorise à en boire un et à allumer deux cigarettes et c’est en silence que nous fumons et buvons notre café qui est le bienvenu.

    « Bien… Tu vas aller te laver, car tu en as besoin : assieds toi dans ta douche et attends moi j’arrive ». Je me fais une joie de prendre une douche avec elle, mais Cathy à une autre idée en tête et quand elle me rejoint, entièrement nue, elle se positionne au dessus de moi et je comprends vite ce qu’elle attend de moi. « Je suis sure qu’un bon liquide tiède et jaune te fera le plus grand bien après tout ce que tu as subi ! Ouvre grand ta bouche, avale tout et je peux t’assurer que j’ai la vessie bien pleine ! »

    Elle ne ment pas car je suis littéralement abreuvée et inondée de sa pisse

        

         

    que je bois directement à la source, qui tombe sur mon corps ou que je vais chercher avec ma main.

    Avec un sourire vicieux, elle ressort de la douche et me tend une culotte sale qu’elle a ramassée dans ma corbeille à linge.

    « Enfile cette culotte… Caresse-toi comme si tu te baisais et fais-toi jouir ! Quand ce sera fait tu auras le droit de doucher ton corps de pute plein de foutre et de pisse ! » Je comprends ce qu’elle attend de moi et lui obéis en tous points m’envoyant en l’air très rapidement en glissant mes doigts dans ma culotte...

       

    avant de l’enlever après mon orgasme.

    Et, je peux, enfin, profiter d’une longue et bonne douche chaude...

     

      

    Bien sur, filmée par Cathy, comme toute le reste. Elle m’ordonne de me sécher et de me repeigner et s’absente un moment. Elle revient avec une petite robe blanche, des chaussures noires, une corde blanche, un rouleau d’adhésif et des menottes.

    Nous montons l’escalier et arrivées à un palier, elle me fait enfiler la robe, me menotte les mains dans le dos, m’attache les jambes avec l’adhésif, et finit par la corde…

     

    « Tournée vers le mur, tu vas méditer sur ta condition d’esclave pendant que je vais me doucher et me préparer. Garde bien la tête baissée et bien sur, je ne veux pas t’entendre ».

    Je n’ai aucune idée du temps qui passe mais elle tarde beaucoup et quand elle revient, elle est métamorphosée et très souriante.

    « Alors, putain, tu as réalisé qui tu étais ? Dans une hiérarchie théorique… personnellement, j’hésiterais à te classer dans la catégorie des paillassons ou des moquettes, tellement tu es en bas de l’échelle ! Mais, ce n’est pas tout, je pense que ce soir ton anus sera largement sollicité… Nous allons donc en prendre soin ! ».

    Elle m’enlève les menottes et me laisse me débrouiller pour enlever tout ce que j’ai sur moi. Bien que j’ai les jambes bien épilées, l’adhésif tire sur la peau de mes jambes, et, quand je suis prête elle me conduit dans la salle de bains où elle me regarde, caméra en main, me faire un lavement pour avoir les intestins bien propres…

     

    … Cette humiliation supplémentaire me rend nerveuse mais m’excite aussi au plus haut point. Quand je suis bien propre, Cathy s'harnache avec un gros gode-ceinture et me conduit nue dans le salon devant la cheminée, heureusement éteinte… En riant vicieusement, elle joue un très long moment dans ma bouche :

      

    Avant de me mettre en levrette...

     

     

    ...pour me baiser et m’enculer jusqu’à ce que je jouisse en hurlant comme une bête, comme à mon habitude… Elle rit, se change rapidement et m’assied dans le sofa en m’enfonçant dans le con trempé un gode double...

     

    ...en me précisant que c’est son tour de s’envoyer en l’air et que, même si j’en ai envie, elle ne veut pas que je jouisse… Elle cherche longuement son orgasme en montant et descendant sur le gode double et finit par atteindre le plaisir en gémissant toujours aussi discrètement… « Tu vas te nettoyer la connasse sur le bidet, enfiler des talons très hauts et mettre ton manteau sur ton corps nu… nous sortons ! »

    Chapitre 18

    Quand je suis rafraîchie et prête, nous partons… Je renonce à regarder la route et au bout de peu de temps, elle arrête la voiture devant une grande maison dans une banlieue isolée d’Issoire. Avant d’entrer elle daigne m’expliquer ce qui va se passer : « Je t’ai dit tout à l’heure que je vais t’introduire dans le monde du BDSM pour continuer après le bois des voyeurs, nous allons chez un couple qui organise des fêtes dans sa cave…

    Et chaque soirée a son héroïne… Comme j’ai beaucoup de relations : ce soir tu seras la reine de la soirée, pour cela tu seras payée 2.000 euros… Mais, bien évidemment en échange de cette forte somme, tu n’as le droit de prononcer qu’un seul mot : « oui »… C’est compris, putain ? ». « Oui, Madame… Je serai à la hauteur de vos attentes ».

    « Je l’espère bien, allons-y »

    Cathy frappe, une femme d’une cinquantaine d’année à demi-vêtue nous ouvre, elles s’embrassent et se saluent amicalement… « Voilà ta pute ? J’ai bien fait de te faire confiance ! Suivez-moi, nous descendons à la cave… ».

    Le femme glisse discrètement une enveloppe épaisse à Cathy, je suppose que ce sont mes "honoraires"...

    En entrant dans la pièce, je suis incapable de savoir combien de personnes il y a... J’ai un frisson en pensant que si je dois baiser avec tout le monde, je ne ressortirai pas intacte de cette cave. L’hôtesse me présente : « Voilà la pute maso que nous propose mon amie…

    Profitez-en, soyez imaginatifs. La séance durera une heure, vous avez tout le temps de montrer vos talents et de rendre hommage à son corps qui est uniquement dédié à votre plaisir… ». Les invités ne perdent pas de temps… et la soirée commence…

      

      

      

      

      

     

    Je termine pleine de sperme, la langue dure d’avoir léché des chattes et sucé des bites jusqu'à la limite de l’évanouissement. Cathy vient me récupérer en m’assurant qu’elle est très fière de moi et m’amène me doucher et me détendre.

    « Un bon ami à moi m’a demandé un petit service que nous allons lui rendre. C’est une relation du Château. Il a dragué une pute avec des nichons énormes qui est dans une pièce à côté et il aimerait que vous jouiez toutes les deux vue la différence de nichons, il estime que ce sera très excitant. Nous irons dès que tu seras prête »

    Chapitre 19

    Le salon est proche de la cave. En entrant je vois un homme élégant et une soumise aux seins énormes bondés à l’extrême…

      

    L’homme ganté embrasse Cathy : « Tu as vu ses obus ! Ça ce sont des nichons ! Mais ta pute n’est pas mal non plus ! ». Pour me mettre en forme il m'enfonce deux doigts gantés dans le con...

    Avant de changer le bâillon de sa soumise et de lui mettre des pinces à linge réparties sur ses deux nichons…

     

    Il trouve excitant de me faire sucer ses énormes nichons, d'abord avec les pinces, puis sans elles...

     

    Puis il me met un bâillon écarteur et des pinces lestées aux tétons...

     

    et nous oblige à jouir toutes les deux avec des vibro-masseurs...

    Avant de se faire sucer avec le bâillon jusqu’à me remplir la gorge de son foutre.

    Il remercie chaleureusement Cathy en lui assurant qu’il lui rendra la pareille. Elle rit en affirmant que ce fut un plaisir et dit : « Nous devons y aller, nous sommes invitées à un dîner à thème chez les Ronan. Tu dois les connaître ! ». « Oh, oui, ils sont connus comme le loup blanc sur Issoire. Il y a plusieurs putes ? ». « Non seulement la mienne qui aura l’exclusivité ! ». « Eh, bien, je lui souhaite bon courage ! Elle va avoir du boulot ! ». « Elle est habituée ne te fais pas de souci »

    Elle m’ordonne de remettre mon manteau, mes talons hauts et nous quittons son ami…

    Chapitre 20

    Dans la voiture, elle me conseille de me branler pour me garder chaude et m’explique qu’un repas chez les Ronan est avant tout une partouze et un très bon dîner.

    « Comme tu es la seule esclave invitée, tu devrais atteindre le summum de l’humiliation, de la douleur et de la baise… Mais rassure toi ce sera ta dernière expérience de la journée… Après je te ramènerai chez toi… ».

    Je frémis un peu de ce qui m’attend, mais au point où j’en suis, je me sens prête à tout subir. Après tout, une humiliation est une humiliation et une bite, une bite ! Et elles se ressemblent toutes à quelques variantes près !

    Mais une fois arrivées sur place… Ce que je subis est au-delà de ce que je pouvais imaginer… Et le film pris par Cathy sera surement dans le top 10 de Tom et se passera largement de commentaires…

    Machinalement, en sortant de l’auto j’ai regardé la montre du tableau de bord de la voiture de Cathy, il devait être 21h30 quand a démarré cette horrible séance :

     

      

      

      

      

       

      

     

     

     

     

     

     

      

     

    Quand nous sommes sorties la montre affichait 23h55… Soit plus de deux heures de supplices, d’humiliations, de baise et de tortures que je ne suis pas prête d’oublier…

    Quand Cathy me dépose devant chez moi, je suis dans un état second et il me reste suffisamment de force pour me doucher et me coucher nue alors que les dernières paroles de Cathy résonnent encore en moi :

    « Je te laisse récupérer demain matin, putain, je t’appellerai en début d’après midi… » 

    FIN


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