• "Le Noël 2016 de Loré"

    Album 1

    Chapitre 1

    Pour le repas de Noël, la dinde nous attend sagement dans le four de ma mère. Le repas est délicieux, mais à vrai dire, nous avons surtout envie d’aller faire la sieste !

    A 16 heures nous dormons tous les deux comme des bébés pour nous réveiller à 20 heures passées… En échange d’un bon café, Yves me donne mon cadeau de Noël : un superbe pendentif en grenat et lui, se jette sur le mode d’emploi de l’i-phone dernier modèle que Papa Noël lui a apporté. 

    Je m’enfonce dans un bon bain chaud et me relaxe quand Yves entre : « Tu sais ma Loré, j’ai adoré notre réveillon de Noël, et j’avoue que tu as su me surprendre. Il est tôt que dirais-tu d’un plan super coquin pour ce soir ? ».Toute émoustillée par cette idée, je l’approuve en lui faisant un gros baiser et lui donne carte blanche.

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    Une demi-heure plus tard je le rejoins devant l’ordi, vêtue d’un string et d’un soutif...

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    « Ah te voilà fainéante ! Je suis débordé de propositions et pourtant je n’ai mis en ligne que ta photo la plus chaste en proposant un plan cul direct pour ce soir avec une jolie femme de 34 ans obéissante et son mari voyeur adorant la prendre en photo en action ». J’éclate de rire : « Tu vas avoir tous les pervers de la ville, il va falloir faire une sélection sévère ! Je prends le relais je te lirai les messages ». Je vais enfiler une jupette et un chemisier ouvert sur mes seins nus et je reviens.

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    Je vois qu’il a fait une présélection : un ciné porno avec deux hommes, un couple dans un sex-shop, une séance dans des toilettes de bar avec un homme vicieux, deux passes en auto et une dans un hôtel, une invitation pour une soirée en groupe et une domina qui se propose de venir chez nous...Il y a vraiment un choix qui m’excite et j’ai du mal à ne pas me caresser.

    « Yves, avec ton accord, je crois qu’on va passer la soirée à recevoir des propositions, il faut trancher, je te donne mon choix : le couple dans un sex-shop, la séance dans des toilettes de bar, celle en groupe et la domina qui vient à la maison… Qu’en penses-tu mon chéri ? ». Il se lève et vient me mordiller le cou…

    Avant de me pincer gentiment les tétons.... et de jouer avec comme il sait que j'adore...

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    en me murmurant : « Çà m’excite encore plus que ce soit toi qui choisisse ! »… « Hum… Tu es un vicieux mais je t’adore… Tu mérites la primeur de ma bouche propre ! »

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    C’est la bouche pleine de son sperme que je me remets au clavier pour envoyer « OK » avec le numéro du portable d’Yves aux sélectionnés et « non désolés » aux autres… De son côté, Yves fait un planning rapide. La première à appeler est la domina, Yves lui donne une heure probable qui lui semble tardive, mais il la rassure en lui promettant qu’elle ne sera pas déçue… L’homme du bar se contente d’approuver l’heure et de donner l’adresse… Le couple du sex-shop accepte en affirmant qu’une heure ce n’est pas assez… Yves les rassure en disant que ce n’est qu’une prise contact… Et, enfin l’organisatrice de la soirée de groupe donne l’adresse en précisant que le champagne est au frais… Yves déconnecte et me conseille de mettre un manteau sur mon corps nu, des collants et des bottes… Ce que je fais…

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    Et nous partons dans la voiture qu’Yves a pris soin de préchauffer…

    Chapitre 2

    Grâce au GPS, nous arrivons rapidement au sex-shop...

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    Nous entrons, accueillis par une charmante jeune femme aux seins nus qui nous offre un bon de réduction de 20% sur tout le magasin en nous souhaitant une bonne visite et un Joyeux Noël.

    Nous demandons au caissier s'il connaît Sandra et Pierre. Il rit : "Vous devez être Yves et Loréna, moi, je suis Manu, le propriétaire : ils vous attendent au premier dans le salon privé numéro quatre... Bonne soirée !". 

    Nous frappons discrètement à la porte et ils ouvrent de suite...

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    le champagne nous attend et nous trinquons à la fête, à l'amitié et au sexe. Sandra nous gronde gentiment sur la durée accordée, mais je lui réponds en souriant que ce n'est qu'une première rencontre... Et Pierre rajoute : "Eh bien ne perdons pas de temps, car nous avons des tas de choses à faire !".

    Rieuse, je demande si je peux en savoir plus. Sandra me répond franchement : "Manu nous a prêté des échantillons de son magasin et tu vas jouer au mannequin pour nous, ensuite, quelques photos dans le magasin et tu finiras par une belle surprise ! En attendant, tu peux te mettre à poil et commencer à enfiler les tenues habillées, puis les tenues sexy et tu finiras par les accessoires...". 

    Je me mets nue… Les tenues habillées sont superbes Yves se régale de me mitrailler et Pierre qui a sorti une très belle bite se branle sans fausse pudeur en me matant…

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    Ils votent tous les trois pour la robe à anneaux avec les escarpins qui attachent mes chevilles…

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    Pour la catégorie plus coquine....les avis sont partagés... Yves est pour la tenue en résille, Sandra pour le skaï qui offre mes seins et Pierre ne jure que par le corset... 

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    Quand je me remets nue, Pierre constate en riant que cette présentation m’a fait de l’effet ! A voir le haut de mes cuisses trempé et mes tétons gonflés à exploser... Et quand je vois ce qu'il me reste à présenter, je ne suis pas prête de me calmer : un harnais de cuir pour tout le corps, un neck corset, un raidisseur de dos et des pinces à seins et à sexe reliées par une chaînette...

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    Mais la honte de montrer ma chatte dégoulinante continue avec des menottes, un bâillon mors en cuir, et un bijou destiné à serrer les lèvres au niveau du clitoris...

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    Sandra et Pierre se sont dénudés et me rejoignent pour m'entraîner dans un trio bouillant devant l'objectif d'Yves... Pierre, très excité jouit rapidement dans ma bouche et apprécie que j’avale tout son sperme alors que Sandra se finit seule en partageant son foutre dans ma bouche...

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    Nous nous rafraîchissons un peu et Sandra me dit en se rhabillant : "Nous allons faire des photos dans le magasin, Loré, tu vas enfiler ce jean blanc et rester seins nus, je te prends une autre tenue pour te changer sur place".

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    Nous descendons et saluons Manu. Quelques hommes se retournent sur mes seins nus mais nous faisons tranquillement nos photos...

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    En remontant au salon, j'entends une annonce : "Chers clients, je vous rappelle que le gang-bang de la soirée démarre dans cinq minutes, seuls les dix premiers inscrits seront acceptés, et le prix unique spécial Noël est de vingt euros par personne, alors faites vite !".

    Chapitre 3

    Je n’y fais pas attention et m'exhibe nue à la demande de Sandra…

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    Elle me demande si j’ai entendu l’annonce, j’approuve et elle m'avoue qu'Yves est d'accord pour que je sois la vedette de ce gang-bang… Et que je serai payée en "orgasmes donnés et reçus !". Je ris un peu moins que les 3 autres alors que Sandra me donne une jupe noire, des bas, des bottes blanches, un petit top blanc et un masque.

    Je m’habille, un peu nerveuse : c’est la première fois que je vais faire ça, mais le sourire d’Yves m’encourage. Nous montons un étage de et Sandra me prévient qu’ils vont assister à la séance grâce à des caméras et qu’Yves repartira avec une copie…

    Elle me fait une grosse bise et me pousse dans un salon où m’attendent une dizaine d’hommes masqués. Je n’en mène pas large mais j’entre d’un pas que je voudrais ferme et décidé !

    La situation, les postures, les humiliations, les injures et le nombre de bites font que j’enchaîne les orgasmes... je suce toutes les bites qu’on me présente, je bois tout le sperme qu’on m’offre, j’ouvre mes fesses et ma chatte sans aucune pudeur, chaude comme une chienne, à la grande joie des partouzeurs qui passent des insultes aux félicitations pour mon tempérament de pute née !

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    Quand Manu l’annonce, les hommes me remercient et me félicitent et je retourne au salon. Je me sens sale et souillée malgré les préservatifs, mais les jambes flageolantes d’avoir autant joui, avec l’envie de jouir encore plus fort.

    Une bonne douche me fait du bien. 

    Avant de nous séparer, Sandra m’entraîne dans un soixante neuf pour un orgasme réciproque......

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    et dès que nous avons joui, Pierre m’enfile d’un seul coup de reins pour se vider au fond de mon ventre en grognant de plaisir, malheureusement sans que je n’ai eu le temps m'envoyer en l'air avec sa pine si appétissante...

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    Nous nous séparons en leur assurant que nous nous reverrons très prochainement.

    Chapitre 4

    Je retrouve avec joie la chaleur de la voiture et me mets à l’aise... en enlevant mon manteau pour aérer mes seins et ma chatte dégoulinante…

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    Yves appelle pour confirmer notre rendez-vous suivant… Dans le bar, un homme élégant nous fait un signe...

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    « Bonsoir Loréna et Yves, je m’appelle Antoine ». Il nous offre à boire, je prends une bière et il parle un peu de lui : « Je suis un mac, mais au lieu d’avoir des filles, j’ai remarqué que les bourgeoises qui désiraient s’encanailler foisonnaient sur le net, et j’ai donc décidé de me servir d’elles.

    En fonction de ce que veulent ces dames, je les mets en relation avec des clients qui ont les mêmes fantasmes. L’argent circule sous la table, et la bourgeoise ne touche rien, car j’estime qu’en échange de sa prestation elle a eu son plaisir, voilà qui je suis ».

    Yves répond en souriant : « Quel étrange métier ! ». Antoine éclate de rire : « Exact, Yves ! Mais pour vous prouver qu’il n’y a aucun piège, vous pouvez partir mais si Loréna décide de rester, j’ai trois clients pour elle, qui en plus acceptent de figurer sur des photos, donc, Yves tu pourras te régaler de voir ta femme dans des postures obscènes ! ». 

    Un regard suffit entre nous, je sais qu’Yves sera avec moi pour me photographier… donc j’accepte. Antoine visiblement satisfait me dit : « Tu dois te changer, mon amie va te donner ce qu’il te faut pour être dans le scénario... ».

    Quand je reviens, je suis en jean avec un chandail bleu gris et des bottines noires Antoine me fait porter une autre bière.

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    « Quand ton client sera là, tu descendras aux toilettes, tu laisseras la porte ouverte pour que ton mari puisse te voir, et une bite sortira d’un trou percé dans la cloison. Ton travail est de la branler, de la sucer et de te l’enfiler dans le trou que ton client t'indiquera. Bien sûr, tu as le droit de t’envoyer en l’air en te branlant, mais, s’il jouit, tu seras gentille de ne pas effacer les traces, pour qu’en remontant nous voyons que tu as bien fait ton travail de pute ! ».

    Je fais oui de la tête, sans lui dire que je sais ce qu’est un gloryhole alors qu’un homme d’un certain âge s’approche de notre table en me regardant fixement. Antoine lui dit : « Voilà ta pute, tu remarqueras que je t’ai gâté ce soir ! ».

    Comprenant ce qu'il me reste à faire, je descends aux toilettes et commence à me déshabiller...

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    alors qu'Yves m'encourage du regard... Le client se révèle très exigeant : dès qu'il a constaté que je suis bien à poil. Il se fait branler et sucer la bite...

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    avant d’exiger que je colle mes fesses à la paroi pour pouvoir me baiser, ce que je fais sans rechigner avec un murmure de plaisir...

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    il me lime longuement et quand il veut que je le reprenne en bouche, je suis tellement chaude que je m’envoie en l’air avec les doigts et comme sa pine est gluante, je m’octroie une gorgée de bière...

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    à la grosseur de sa queue, je sens que l’homme n’en peut plus, et je ne suis pas surprise de recevoir ses jets chauds dans ma bouche et sur mes lèvres…

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    je referme soigneusement la bouche pour conserver son sperme sans l’avaler et je commence à me rhabiller, quand Yves me penche en avant, mains posées sur la lunette de la cuvette et m'encule d'un seul coup de reins en me disant : « Je crois que c'est ce qu'il faut faire avec une pute comme toi dans des toilettes, non ? »

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    et il va et vient dans mon cul comme rarement je ne l'avais senti faire, ma bouche pleine du foutre de mon client m'empêche d'hurler mon orgasme juste avant d'entendre les grognements de plaisir d'Yves qui se vide dans mes intestins ! 

    Il m'empêche de me relever et glisse un billet plié entre mes fesses en me disant en riant : « Tu mérites bien ça ! ». Et il s'en va, me laissant m'essuyer sommairement les fesses et me rhabiller.

    Quand je remonte, j’exhibe presque fièrement ma bouche et mes lèvres pleines de traces de foutre tiède qui commence à sécher...je peux enfin avaler le sperme

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    et je rends le billet à Yves en lui disant : « Tu sais bien que pour toi mon cul est gratuit, et même s'il ne l'était pas, il ne vaudrait pas autant d'argent ! ».

    Suite dans "Le Noël 2016 de Loré"

    Tome 2


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  • "Le Noël 2016 de Loré"

    Album 2

    Chapitre 5

    Tout le monde rit et sait à présent pourquoi nous avons tardé à remonter des toilettes ! Un paquet de billets s’échange sous la table mais ce n’est pas ce soir que je vais savoir ce que je vaux comme putain !

    Antoine demande à son amie de me préparer pour les clients suivants. Je reviens habillée d’une robe marron toute simple, avec une mini culotte et des talons mi hauts au dessus transparent. 

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    Un couple vient s’asseoir à notre table et salue Antoine… « Je vous présente Loréna, je vais lui expliquer ce que vous voulez : la porte ouverte des toilettes, tu vas leur faire un strip bien excitant en montant sur la cuvette et en écartant bien les cuisses, puis tu pisseras devant eux en les regardant droit dans les yeux, et tu finiras en te branlant et en jouissant devant eux… Ai-je bien traduit vos envies, chers amis ? ».

    La femme excitée répond que c’est parfait et a visiblement hâte d'y être... Et nous descendons tous les quatre. Mon strip-tease est parfaitement obscène…la femme a glissé sa main sous sa jupe et l'homme a sorti sa bite et se masturbe...

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    Quand je commence à pisser....le mari semble hypnotisé par ma chatte largement ouverte et la femme enlève carrément sa petite culotte et glisse deux doigts dans sa chatte... Ils jouissent tous les deux quand je me branle tout en continuant à pisser....en jouissant sans aucune pudeur devant ce couple inconnu…

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    Sans un mot, je me sèche la chatte et me rhabille. En sortant des toilettes, la femme me baise la bouche en espérant me revoir prochainement.

    Chapitre 6

    Antoine semble apprécier mon travail : « Si un jour tu veux te recycler, appelle moi, tu ferais une excellente pute à temps complet et tu gagnerais vingt fois plus qu’au bureau ! ». Je ris : « Je ne sais pas si mon mari serait heureux de savoir qu’il a épousé une pute, pour l’instant il sait que je suis une vicieuse ! Et à part quelques orgasmes que je lui ai volés dans les toilettes, il sait qu’il aura sa récompense à la  maison ! ». « En plus d’être belle et cochonne, tu es intelligente, ton mari a beaucoup de chance ! ».  

    Il commande une tournée et, pendant que le serveur nous apporte des bières, son amie m’entraîne au vestiaire. Je reviens avec une petite robe rouge, cachant des sous-vêtements noirs très coquins et des souliers assortis.

    Le Noël de Loré 2/4

    Un homme d’une soixantaine d’année est assis à notre table. Antoine me présente : « Voilà, Loréna, c’est elle qui va te faire un beau strip-tease dans les toilettes. Branle toi bien, je suis sur qu’elle te fera bander comme un cerf ! ».

    Je suis un peu surprise, car l’homme me pousse dans des toilettes beaucoup plus agréables que celles du bas, tout en laissant la porte ouverte… Très rapidement, je me rends compte que cet homme a du mal à bander, il compense ce handicap par des insultes et des ordres, ce qui ne me dérange guère...

    « Allez salope commence par te frotter le ventre et les nichons au mur comme une chienne en chaleur »...

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    « Hum ton sourire me dit que tu aimes ça... Montre moi ta petite culotte qui doit être trempée et baisse un peu tes bretelles pour que j'aperçoive tes bouts de mamelles de cochonne... et continue à me regarder droit dans les yeux... j'espère que tu as honte de te conduire comme ça ! »...

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    "Tu es bandante, salope... Enlève cette robe, sors tes nichons et frotte ton cul contre le mur..."

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    "Je suis sur que ton con ressemble à un torrent ! Allez, baisse ta culotte et montre-moi cette chatte debout avant de t'asseoir sur la cuvette...

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    Et dis- moi ce que ça fait à une bourgeoise comme toi de prendre le travail des putes à dix euros qui fréquentent d'habitude ces toilettes ?"... J'entre dans son jeu en lui avouant que j’adore ça, que je mouille comme une salope et que j'ai envie de m'envoyer en l'air devant lui... Il a baissé son pantalon et branle avec frénésie une petite bite qui grossit péniblement...

    « Bien sur que tu vas te branler et jouir comme une traînée devant moi

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     je veux que tu aies honte de toi et que tu saches que tu es une merde qui réagit seulement avec son cul, ses mamelles et son con ! »...Peu à peu il bande dur et je pense qu'il n'ira pas plus loin, je m'enfonce deux doigts dans la chatte avec un bruit obscène, et juste avant de jouir je me mets en levrette pour lui offrir mon cul et mes doigts triturant ma chatte et mon clitoris...

    Le Noël de Loré 2/4 

    et je pars dans un orgasme que le bar doit entendre Je pense que l'addition de ce plaisir, de mes cris de femelle jouissante et de ma position totalement ouverte et exhibée, l'aident, car je l'entends grogner en lâchant ses jets de foutre par terre… 

    Dès que je suis rhabillée, nous retournons au bar où le papy ne tarit pas d’éloges sur moi assurant Antoine que dorénavant il ne veut plus que moi, quel que soit mon prix ! Antoine rit : « Eh bien, Loré, quel succès ! En plus tu ne peux pas savoir en le voyant que c’est l’homme le plus riche du quartier ! Il commence à encaisser ses loyers le 1er et termine le 30 de chaque mois ! ». Nous rions et j’assure le papy qu’il suffira d’un appel à Antoine pour que je vienne le faire jouir ! Rassuré, il s’en va, m'embrasse paternellement, paye ma prestation et toutes les consommations de la table !

    Chapitre 7

    Antoine me dit : "Avec lui tu peux arrêter de travailler ! Car il est « peine à jouir » mais me réclame une fille par jour ! Il est obsédé mais il ne baise jamais une fille, il se contente de la mater et de se branler !". Je ris et finis ma bière...

    « Bon à présent, Loré, avant de nous quitter : mon associé va fermer le bar, mais il va rester six personnes dans le bar, ton mari, toi, mon amie, moi, mon associé et un excellent ami à nous. Tu vas te mettre à poil, nous allons te masquer les yeux et demander à ton mari de ne pas prendre de photos et tu vas te faire partouzer mais sans savoir qui joue avec toi... Ça t'excite ? »

    Yves ayant rangé son appareil photo en souriant, je réponds avec un sourire coquin qu’au point où j’en suis, ça peut être excitant et sans rien ajouter d'autre je me mets à poil alors qu’Antoine me bande les yeux.

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    Dans la demi-heure qui suit, dégoulinante de sécrétions et de foutre, j’enchaîne orgasme sur orgasme, en réalisant, bien sur, que les bites changent souvent de formes et de dimensions. Mais mon plaisir est tel que je me laisse faire sans aucune réticence. Mes yeux bandés m’autorisent tous les vices...Leurs jouissances simultanées sur mon visage me libèrent : je sais que cette séance est finie !

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    Quand Antoine m'enlève mon bandeau et m'indique la salle de bains... J'ai le cul et la chatte remplis de sperme chaud... sans compter ce que j'ai avalé sans rechigner... Antoine nous donne sa carte, et nous quittons le bar.

    Chapitre 8

    Dans la voiture, Yves me demande si je veux continuer. Je le regarde surprise en lui répondant : « Tu m’as déjà vue abandonner un jeu ? ». Il rit : « Tu sais Loré, je suis ravi que tu prennes ça comme un jeu ! ».

    Non sans malice je lui assène un : « Ah parce que pour toi ce n’est pas un jeu ? Moi j’appelle ça des jeux de cul entre adultes consentants ! ». Il se contente de sourire sans répondre et appelle la femme chez qui nous allons, il s’excuse pour le retard, note l’adresse sur le GPS et l’assure que dans cinq minutes, nous serons chez elle.

    La maison est immense. Mais l'accueil de Geneviève est très chaleureux, bien que je sois de suite conduite dans un petit salon où habillée d'un body noir et de bas, je suis attachée très serrée sur un tabouret inconfortable...

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    Tout en me ligotant devant Yves, elle nous apprend qu'elle a invité quelques amis et que toutes les pièces dans lesquelles j'allais être soumise étaient reliées à un grand écran situé dans le salon où tout le monde nous attendait.

    Yves approuve l'idée et la conversation tourne sur mes envies et mes tabous, ce qui lui fait dire que je ferai une esclave plus que correcte qui devrait donner du plaisir à tous qu'ils soient dominants ou voyeurs... 

    Après avoir longuement attendu, seule sur mon tabouret, Geneviève me rejoint. Elle me détache et me fait mettre nue. J’enfile des escarpins noirs, une très belle parure en dentelle, un collier de cuir au cou auquel est attaché un plateau de métal relié à une ceinture qui me serre la taille...

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    Elle m'observe : et me dit : "Bien, tu es une serveuse correcte...". Elle termine en me mettant des fers aux chevilles et aux poignets et me guide vers le salon en riant de me voir marcher à tout petits pas...En arrivant au salon, je suis effarée et honteuse de découvrir tant de gens. Geneviève me présente : "Voilà, Loréna, notre petite pute soumise de la soirée, elle a tenu à vous servir une coupe de champagne et va passer parmi vous !".

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    Les yeux baissés je circule parmi tous ces gens dont plus de la moitié ont les yeux masqués...

    Chapitre 9

    Quand j'ai fini le service, Geneviève me prend par la main pour me conduire dans un petit salon où elle me détache les mains, me donne des vêtements et me dit de les enfiler et de les rejoindre au salon quand j'entendrai "efficace".

    Pendant que je m'exécute, je l’entends dire : « Rassurez vous, vous allez jouer avec elle et vous ne perdrez pas une miette des différentes séances grâce à la télé, mais j’ai appris quelque chose en soumission : une bonne soumise doit être bien chaude pour être efficace ! ».

    Je rentre donc dans le salon, chatte et cul nus, vêtue d'un top blanc couvrant à peine mes seins et de bas en coton qui m'arrivent à mi cuisses... « C'est pour cela que Loréna va s'accroupir devant nous, relever son top, et se faire jouir en se caressant les nichons et la chatte, en vous regardant à tour de rôle droit dans les yeux...

    Le Noël de Loré 2/4

    "Morte de honte, je m'exécute. Ma jouissance est longue à venir et je dois me pincer les tétons et entrer trois doigts dans ma chatte sans arrêter de titiller mon clitoris pour leur offrir cette jouissance qu'ils attendent de moi et ses conséquences : une chatte trempée et des bouts de seins bandés à l'extrême... Geneviève me félicite et annonce à l'assemblée qu’un premier couple va s’occuper de moi dans « la chambre rouge »…

    Chapitre 10

    Un couple se lève et s’en va discrètement alors que des sourires d’habitués fleurissent sur certains visages... En entrant dans la chambre, je constate que c'est plus un donjon qu'une chambre, le femme me tend un tee-shirt et un short vert avant de me suspendre par les mains pour longuement et fermement me peloter les fesses…

    Le Noël de Loré 2/4

    Elle m'ôte le short... et quand elle est repue de l'élasticité de mes fesses, elle me détache et m'offre ses bas à lécher : "Allez salope, fais ce que tu dois faire, lèche bien, régale toi, tu ne toucheras pas grand chose de mon corps ce soir !"...Après s’être fait longuement lécher les bas elle me fait mettre à poil...

    Le Noël de Loré 2/4 

    son mari me bloque les bras en arrière pour qu’elle puisse me gifler avec précision...avant de me demander de la caresser en douceur...

    Le Noël de Loré 2/4 Le Noël de Loré 2/4

    alors que son mari lui tend des pinces en métal qu’elle me fixe aux tétons...elle les étire exagérément en les tendant grâce à la chaîne... et en jouant avec chacune d'elles 

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    avant de les enlever pour les remplacer par une multitude d'autres en bois qu’elle fixe sur toute ma poitrine...elle les relie par une corde pour que son mari prenne son pied à tirer sur la corde en m’écoutant hurler de douleur… 

    Le Noël de Loré 2/4 Le Noël de Loré 2/4

    Quand elle estime que le jeu de pinces a assez duré, elle se fixe un gode ceinture à la taille… M’oblige à le sucer...avant de me baiser de toutes ses forces dans différentes positions...

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    Le Noël de Loré 2/4

    Le Noël de Loré 2/4 Le Noël de Loré 2/4

    jusqu’à m’obliger à une jouissance qui me libère mais qui me surexcite

    Chapitre 11

    La femme dit à son compagnon : « Je suppose que tu as la trique, cette pute est super bandante… Je vais te la préparer… ». Elle me fait enfiler un corset, me bande les yeux et m’attache en levrette au cadre du lit…

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    J’entends des bruits de pas, j’ai l’impression que nous sommes plus que trois… Mais je n’ai pas le temps de trop y penser, car le lit grince et un gland cherche l’entrée de mon cul… Bien que trempée du con, je suis assez sèche de l’anus, mais l'homme s’en moque visiblement et m’encule à sec d’un seul coup de reins...je gémis de douleur alors que l’homme me lime profondément en ressortant totalement sa bite de mon cul pour la refaire rentrer d’un coup de rein puissant… Et quand il se vide dans mon cul, je suis presque lubrifiée…

    Il se retire en affirmant que j’ai un cul aussi doux qu’une bouche… La femme estime qu’il faut le rétrécir un peu et me met dans les fesses un crochet de fer…

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    Ce qui n’empêche nullement qu’un autre homme se mette en position et m’encule aussi brutalement…j’ai horriblement mal à l’anus. Mais quand il se vide dans mon cul, je sais que je n'ai pas fini de souffrir car un autre homme, immédiatement suivi d'un quatrième me remplissent les intestins...

    Le Noël de Loré 2/4

    C’est la première fois de ma vie que quatre hommes m’enculent à la suite et ma honte est plus forte que ma douleur… Quand ils me laissent, enfin tranquille… La femme prévient son homme que ça va être son tour : elle me libère et l’homme se fait faire une très longue pipe...avant d’éjaculer au fond de ma gorge en grognant de plaisir. Il s’essuie le gland sur mon visage en disant à sa compagne : « Elle a une bouche faite pour les pipes… Et elle suce comme une reine ! »… 

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    Avant de m’enlever mon bandeau et de m’ordonner de me remettre à poil, elle demande aux hommes d’aller prévenir le couple suivant, et nous restons toutes les deux. Elle en profite pour regarder vicieusement mes orifices intimes pour voir les dégâts qu’ont faits le crochet, les bites et mon excitation...puis elle me fait mettre sur le lit, bien droite, bras croisés et en me regardant droit dans les yeux...elle me dit : « Tu sais, nous avons reçu des tas de soumises dans cette maison, mais rarement aussi salopes que toi… Tu es une pute et en plus tu es maso et esclave… Je ne connais pas ton avenir, mais je parie 1.000 euros que tu finiras comme objet sexuel à louer pour des partouzes BDSM ou pour des couples, en tout cas, compte sur moi pour te procurer des clients, j’en parlerai à ton mari ! ». 

    Je rougis, ce qui la fait rire…

    Chapitre 12

    Elle se rhabille et me met un collier de chien avec une laisse. « Allez : à quatre pattes, nous allons rejoindre tes futurs maîtres, ils adorent les femmes soumises et savent qu’en faire ! ». Elle me tire par la laisse et nous arrivons dans une pièce qui ressemble à un bar... Elle m'ordonne de m'accroupir, tête baissée en offrant de mes deux mains une cravache aux personnes qui vont entrer une cravache. Et elle m'ordonne de rester comme ça et d'attendre sans bouger...

    Le Noël de Loré 2/4

    Après quelques minutes, un jeune couple entre… La femme est une brune plutôt quelconque mais l'homme est mignon... Ils sont tous les deux habillés de cuir. L'homme prend la cravache de mes mains pendant que sa compagne me suspens à une des poutres du bar... Bras étirés vers le haut, je ne peux défendre aucune partie de mon corps... Les coups de cravache de l'homme et du martinet de la femme commencent à pleuvoir sur tout mon corps…

    Le Noël de Loré 2/4 

    La femme a récupéré la cravache de l'homme et me cingle les nichons en me faisant crier de plus en plus fort tandis que l'homme me gifle et me compresse la bouche pour me faire mal... Ils sont vicieux et sadiques mais je ne peux que supporter...

    Le Noël de Loré 2/4

    L'homme continue a jouer avec mon visage, avec gifles appuyées et compressions de la mâchoire très douloureuses, tandis que la femme a trouvé un meilleur objectif pour sa cravache... mon sexe et elle frappe sans relâche jusqu'à ce que j'hurle en la suppliant d'arrêter...

    Le Noël de Loré 2/4

    L'homme semble se plaire à me broyer la mâchoire, de la main gauche, tandis que de la droite il s'acharne sur mon sein droit avec l'intention visible de me faire mal... Pendant ce temps, la femme qui s'est rapprochée de moi me presse le sein gauche tout en me marquant  le globe par de multiples coups de cravache très rapides...

    Le Noël de Loré 2/4,

    Ils continuent leurs manèges alors que, bizarrement la femme arrive à allumer une petite pipe tout en me pinçant le téton gauche de toutes ses forces... M'obligeant à hurler de douleur alors que l'homme, gentiment me caresse doucement le sein droit et les cheveux, en me souriant...

    Le Noël de Loré 2/4

    La fumeuse de pipe me libère les mains et me fait mettre à genoux devant elle en me frappant doucement la poitrine et le visage avec son martinet... Mais l'homme lui murmure quelque chose à l'oreille et elle se penche sur moi, me broie le visage comme l'homme le faisait et m'ordonne de me faire jouir avec mes doigts, les cuisses écartées au maximum en mettant bien ma laisse de chien entre mes seins... 

    Le Noël de Loré 2/4 Le Noël de Loré 2/4

    Je m'écroule au sol après un orgasme ravageur et le couple quitte la pièce sans me mot de salut ou de remerciement... Il faut vraiment que je m'habitue à être un paquet de viande livré pour faire jouir et s'envoyer en l'air devant des voyeurs plus ou moins sados et vicieux...

    Geneviève réapparaît, constate en riant que je suis bien zébrée, et me conduit dans une petite cave, glaciale, où, nue, je dois attendre, les jambes bien écartées, éloignées du mur, la tête contre le mur et les mains croisées dans le dos...

    Le Noël de Loré 2/4

    Assurément, Geneviève sait mettre ses esclaves dans des positions d'attente humiliantes...

     

    Suite dans "Le Noël 2016 de Loré"

    Tome 3


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    "Le Noël 2016 de Loré"

    Album 3

    Chapitre 13

    Le couple qui vient me chercher pour me conduire dans ce que j'imagine être le salon bleu est curieux : la blonde a une coupe de cheveux de garçon et l’homme semble très timide…

    Le Noël de Loré 3/4

    Ils jouent avec des trayeurs de tétons, des pinces et m’humilient avec un collier de chienne...

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    Le Noël de Loré 3/4

    et des positions plus qu'obscènes qui doivent faire le régal des voyeurs du salon…

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    Et les coups pleuvent de nouveau sur mon corps déjà bien marqué...quand ils ont bien joué avec moi, que l'homme s'est bien fait sucer, m'a enculée, et m'a baisée... Il m'oblige à m’empaler sur sa bite, pour se finir en m'inondant la figure de foutre...

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    Je suis épuisée et j'ai mal partout, mais Geneviève ne s’en soucie guère et pour mes futurs dominants, elle me fait prendre une position très douloureuse : quasiment suspendue par les seins, les chevilles attachées pour me maintenir écartelée sur la pointe des pieds...

    Le Noël de Loré 3/4

    Je suis au bord des larmes quand le couple vient me détacher…. 

    Chapitre 14

    Et ils me conduisent, pour la première fois de ma vie dans un vrai donjon, que je ne suis pas prête d’oublier… Mais j’ai la confirmation que je suis réellement maso et que je jouis plus intensément quand le plaisir est accompagné de douleurs et d'humiliations.

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    Je vis ma séance la plus dure, mais la plus jouissive de la soirée…

    Chapitre 15

    Ils me laissent quasiment inanimée et Geneviève est obligée de m’aider à me relever pour me conduire dans le hall d’entrée où je dois encore prendre une position très humiliante : alors que les invités, pour quitter la maison doivent passer devant moi...

    Le Noël de Loré 3/4

    Je suis insultée, pelotée et giflée... Certains en profitent pour me doigter la chatte ou l'anus, d'autres me pincent brutalement les tétons, les plus durs me crachent dessus et d'autres ne font que me mater avec des sourires vicieux... 

    Yves lit dans mes yeux que je n'en peux plus et demande à Geneviève de m’indiquer où je peux me doucher. Quand je reviens, il la remercie de son accueil et espère que nous aurons le plaisir de nous revoir.

    Elle lui donne une copie des enregistrements vidéo. J’ai le droit à une coupe de champagne et aux félicitations de Geneviève : « Tu sais Loréna, tu es ici chez toi, reviens quand tu le voudras, ce sera toujours un plaisir pour nous et j’ai prévenu Yves que nous t’enverrons des clients dans tes spécialités ! »

    Chapitre 16

     Yves me remet mon manteau et nous rejoignons l’Audi, presque aussi chaude que moi… Et je m'endors comme une masse !

    Arrivés à la maison, il me prend dans ses bras et me porte jusqu'à l'intérieur. Je fais semblant de continuer à dormir mais le remercie par un long baiser. « Tu sais, Loré, je vais appeler la domina pour lui dire de ne pas venir ». Je souris en allant préparer du café et en lui disant : « Hum, amour de ma vie serais tu devenu jaloux ? As-tu peur de me voir obéir à une femme autre que Cathy ? ».

    Il rit en buvant son café… « La seule chose que je demande est qu'elle ne vienne qu'à 2 heures 30 : je voudrais te faire un petit plaisir et prendre un bon bain avant de la recevoir... Entendu ? ».

    Il sourit et appelle la femme qui accepte....

    Chapitre 17

    Quand je reviens, baignée, reposée et rhabillée je lui dis : « Je suppose que cette soirée t'a mis dans tous tes états, et je ne compte pas te laisser comme ça... Reste assis et mate ta pute de femme ! ».

    Et, je me déshabille naturellement devant lui...

    Le Noël de Loré 3/4 Le Noël de Loré 3/4

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    Excité, il s'est déshabillé entre temps, et sans lui laisser le temps de respirer, je l'enjambe et viens m'empaler sur sa bite dure comme de l'acier en poussant un cri de plaisir...

    Le Noël de Loré 3/4 Le Noël de Loré 3/4

    et en lui murmurant à l'oreille : « Laisse toi faire, ne bouge pas, je vais te faire juter dans mon con de salope ! ». 

    A mon vocabulaire inhabituel il comprend que je suis encore surexcitée... et j'avais raison de miser sur son excitation, car je ne mets pas longtemps à lui vider les couilles dans mon ventre ! 

    « Tu vois que c'est agréable de se laisser faire ! Mais il était temps de te vider : tes couilles allaient exploser ! Bon je file à la douche, mais tu sais que la porte n'est pas fermée !".

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    Le Noël de Loré 3/4 Le Noël de Loré 3/4

    Comme je l'avais imaginé, il profite de l'invitation et nous papotons tous les deux pendant que je me lave soigneusement en insistant sur ma chatte et l'intérieur de mon cul, ce qui le fait rire : « C'est une femme que tu nous allons recevoir... pas un mec ! ». « Et alors, tu n'as jamais vu une nana en enculer une autre ? Je ne tiens pas à ce que son gode ressorte sale si elle a envie de me faire ça ! ».

    Chapitre 18

    On sonne à la porte et Yves va ouvrir.

    Il revient seul et me dit : "Tu vas avoir une surprise en la découvrant, mais je suis sur que ça t'excitera encore plus ! Pour le moment, elle visite la maison pour décider des lieux où elle va jouer avec toi. Elle domine des femmes depuis plus de dix ans et elle a même apporté tout ce qu'il lui fallait pour une bonne soirée avec toi et m'a donné ces vêtements pour toi, prépare toi, je vais la rejoindre". 

    J’enfile ce qu'elle m'a attribué : une petite culotte en dentelle dorée, une robe en mousseline légère avec des motifs marron et de ravissants escarpins d'été qui me vont fort bien. Un coup d'œil dans le miroir me fait découvrir une femme fraîche ! 

    Yves apparaît : « Loré, va dans la salle à manger d'été, agenouille toi sur la table, baisse le haut de ta robe et croise tes bras dans ton dos, nous arrivons... ».

    Le Noël de Loré 3/4

    Je vais me mettre en place et je remarque qu'à côté de moi, il y a des pinces à seins en métal reliées par une chaînette, un gros grelot, un collier de cuir, une bougie, un briquet, un martinet, un pot de crème et un gode en latex d'une taille raisonnable.

    Même si je n'ai pas encore vu la joueuse, je connais ses jouets !

    Chapitre 19

    J'ai en effet du mal à cacher ma surprise quand Yves me rejoint, accompagnée d'une superbe noire, grande, très belle, avec un port altier, des cheveux longs et un regard vert très dur.

    Elle s'approche de moi et me détaille sans me toucher. « Ta femme est une belle pute, Yves, j'espère que tu en profites bien ». Il ne répond pas et ils s'asseyent tous les deux face à moi. « Petite pute, la règle du jeu est très simple : je t'ordonne quelque chose et dans la seconde qui suit tu t'exécutes… A la moindre hésitation, je m'en vais, tu as compris salope ? ».

    Je fais oui de la tête… « Bien, pince tes bouts de mamelles de truie et tire la chaîne avec ta bouche ! »...« Tu réagis vite, c'est bien : debout devant la table, bras croisés dans le dos ! »...

    Le Noël de Loré 3/4 Le Noël de Loré 3/4

    Le Noël de Loré 3/4

    « Clipse le grelot sur la chaîne et redresse toi bien en croisant tes mains sur la nuque et penche toi pour faire pendouiller tes mamelles et tendre tes tétons »...

    Le Noël de Loré 3/4 Le Noël de Loré 3/4

    Le grelot qui me paraissait léger est en fait très lourd… « Tu es délicieusement bruyante, j'espère que chaque fois que le grelot tintera tu souffriras, je ne suis pas là pour ton plaisir ! Allez baisse un peu ta culotte et offre toi bras croisés dans le dos, sois fière de t'offrir à ta Maîtresse noire et à l'objectif de ton mari ! »...

    Le Noël de Loré 3/4

    « Je n'ai pas trop vu ta fierté d'être une pute : enlève ta culotte et met un pied sur le lit pour bien offrir ta chatte et souris, je sais bien que tes nichons te font mal, mais je sais que ça te plait… »

    Le Noël de Loré 3/4

    Elle me laisse un long moment exhibée comme ça avant de me dire : « Assieds-toi, enfile ton collier et allume la bougie avec le briquet »...

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    Elle attend qu’il y ait de la cire fondue au bout de la bougie avant de me dire : « Penche la bougie à une vingtaine de centimètres de tes nichons et arrose les de cire sans toucher tes tétons et bouge la bougie de tes seins au ventre »...

    Le Noël de Loré 3/4 Le Noël de Loré 3/4

    Le Noël de Loré 3/4

    « Ça suffit ! Tu es assez décorée comme ça... Prends le manche du martinet avec tes dents et met toi le gode dans le con en levant très haut ta jambe gauche, il entrera encore plus au fond de ta connasse inondée »...

    Le Noël de Loré 3/4

    « Il est entré comme dans du beurre, tu es vraiment en chaleur ! Pour te calmer, prend le martinet et frappe fort tout ce qui a été marqué par la cire et ne retiens pas ta main »...

    Le Noël de Loré 3/4

    Comme ordonné, je frappe fort, mais contrairement à ce qu’elle peut penser, cette douleur ne fait que m’exciter d’avantage… D’autant plus que je suis assise sur le gode qui me taraude. Elle me laisse faire longuement en se régalant du spectacle tout en fumant tranquillement une cigarette à côté d'Yves qui me mitraille… 

    « Bien, arrête. A côté de toi tu as un petit pot de crème, enduis toi tous les endroits où tu as de la cire, elle tombera d'elle-même ». A ma grande surprise, l’onguent agit de suite et, la cire se détache seule de ma peau et après quelques secondes je me retrouve telle que j'étais avant. « Tu as été bien obéissante, tu vas avoir une récompense : accroupis-toi, et empalée par le gode, fais toi jouir comme la salope en chaleur que tu es, mais attention, tu as deux minutes pour t'envoyer en l'air, passé ce temps il te faudra attendre une autre occasion ! »...

    Le Noël de Loré 3/4

    Je suis tellement chaude que j'ai le temps de retarder mon orgasme avant de jouir en hurlant alors que tout mon corps se tord sur la table...

    Chapitre 20

    « Quelle sensualité, Yves, j'ai déjà vu des salopes jouir devant moi, mais là elle les bat toutes ! Je vois que chez elle douleur, humiliation et plaisir forment un cocktail plus que détonnant ! ». Yves lui répond en souriant : « Oui, je suis habitué ! ». 

    Elle me demande de leur servir à boire, je reviens avec une bouteille de champagne alors qu’elle exige une soumise bien propre et m'envoie me doucher…

    Le Noël de Loré 3/4 

    Suite et fin dans "Le Noël 2016 de Loré"

    Tome 4

    4/4

     


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  • "Le Noël 2016 de Loré"

    Album 4

    Chapitre 21

    Yves vient me voir sous la douche... je le rassure en lui affirmant que tout va bien et il me donne ma nouvelle tenue : des mules d'appartement, un body noir et une petite salopette en jean. « Quand tu seras prête, elle a choisi le salon marocain pour la suite ».

    En entrant dans le salon c'est elle qui m'accueille en me serrant la tête d'une main aux ongles très longs et en me regardant durement dans les yeux...

    Le Noël de Loré 4/4

    « Pour le moment tu t'es contentée d'obéir, mais je vais te prendre en main ». Et elle me fait mettre à quatre pattes pour me voir ramper devant elle...

    Elle me mate avec un sourire mi ironique, mi vicieux, avant de m’ordonner de monter sur ses genoux où je reçois une fessée qui me fait hurler de douleur tellement elle frappe fort...

    Le Noël de Loré 4/4 Le Noël de Loré 4/4

    Fesses brûlantes, elle me fait asseoir sur les chevilles, body et salopette baissés et je prends une série d'allers et retours sur les seins...

    Le Noël de Loré 4/4

    A chaque gifle, je sens ses ongles me labourer la peau et des larmes me montent aux yeux ce qui semble l'exciter… « Alors putain ça te plait de te faire massacrer les nichons par ta Maîtresse ? ». Je ne réponds pas, mais elle accentue ses coups jusqu'à ce que j'hurle : « Oh, Madame, je vous en supplie, vous me faites très mal... »

    Elle sourit : « Encore dix allers et retours petite salope, compte les à haute voix et remercie ta Maîtresse à chaque coup ! ». Quand elle a fini, elle me laisse me calmer et me tend son pied droit chaussé... Je le prends en main, comprenant que je dois le lécher et le sucer...

    Le Noël de Loré 4/4

    « Yves tu me donneras une copie de cette photo pour mon site personnel ! ». Quand j’ai bien tout léché et nettoyé, elle m’ordonne de lui enlever sa chaussure et de continuer avec son pied nu…

    Le Noël de Loré 4/4

    Elle fait durer ce moment, je suppose qu’elle doit jouir qu’une blanche lui suce le pied…

    Satisfaite, elle retire son pied, prend des cordes et m'attache dans une position plus qu’obscène qui a la particularité de rendre accessible tout mon corps pour son martinet qu'elle manie avec force et précision...

    Le Noël de Loré 4/4

    Ses coups m'arrachent des cris de douleur qui font même intervenir Yves qui lui dit en souriant : « Ne lui arrache pas la peau, ce serait dommage ! ». Elle le rassure : « Je connais ce genre de soumise, si je continue encore cinq minutes, elle va jouir toute seule sans même que je la touche… » Mais quand elle frappe mes seins et mes tétons, ses coups sont tout de même moins forts…

    Elle continue à me frapper tout en disant à Yves qu'elle doit lui parler en tête à tête... Yves rit en lui répondant que nous n'avons aucun secret l'un pour l'autre... Elle sourit et lui dit que sur un simple appel, elle pouvait faire venir sa sœur qui était beaucoup plus vicieuse qu'elle et éventuellement son beau frère qui pourrait s'occuper de Loréna après le départ des filles...

    Elle conseille à Yves de réfléchir à cette proposition pendant qu'elle continue à s'occuper de moi : elle me traîne par les cordes pour me changer de position et vient s'asseoir sur ma bouche pour se faire bouffer la chatte...

    Le Noël de Loré 4/4

    Elle a un goût étrange et une forte odeur… Mais il est vrai que c'est la première fois que je suce une noire... La position ne semble pas lui convenir : elle me détache et s'assied sur un pouf, cuisses largement ouvertes pour que je continue à la sucer jusqu'à l'orgasme...

    Le Noël de Loré 4/4

    Elle jouit très discrètement mais je sens à l'abondance de ses sécrétions que son plaisir est intense et qu'elle doit être satisfaite de ma bouche et de ma langue...

    Momentanément apaisée, elle prend un gode ceinture d'un bon calibre qu'elle commence à se poser à la taille... Yves lui demande de prendre son temps et il se rapproche de moi en me disant : "Pour ma part la proposition de ta Maîtresse noire me semble très excitante, autant pour te voir soumise durement par une nouvelle Domina et ensuite d'avoir à obéir à un noir surement bien membré... Qu'en penses-tu ma salope préférée ?"

    Inquiète de voir la taille du gode ceinture que prépare la noire... Je réponds d'une petite voix que sa décision sera la mienne étant donné que ce soir je me sens une esclave sexuelle totalement soumise et prête à souffrir et à obéir à n'importe quel ordre de qui que ce soit...

    Yves conclue en disant à la Maîtresse qu'elle peut appeler pour faire venir sa famille...

    La noire sourit, se met debout, va chercher son portable et appelle tout en glissant dans ma bouche toute la longueur du gode :  « Tu dois être une bonne pipeuse, alors tu vas me le prouver... Pense que c'est la bite de ton mari ou la pine de mon beau frère ! »...

    Le Noël de Loré 4/4 

    Elle me fait longuement sucer son gode, tout en dialoguant... "Mais oui je suis sérieuse, vous pouvez être là en 10 minutes, et vous allez vous régaler : c'est une putain blanche extraordinairement obéissante et vicieuse, qui dit oui à tout... Son mari est juste voyeur et il prend des photos, il est super sympa... Tenez, là, elle est à poil, assise à mes genoux en train de pomper mon gros gode ceinture et je vais lui demander de se branler pour être encore plus chaude quand vous arriverez... Allez OK voilà l'adresse, Yves va vous allumer l'extérieur de la maison... Vous trouverez sans problème..."

    Elle raccroche et nous dit... "Ils seront là dans 10 minutes... Ta femme va s'envoyer en l'air comme une folle, cette soirée me de Noël restera gravée dans sa mémoire ! Allez mon esclave blanche, je continue..." Elle me fixe un bâillon qui m’empêche de refermer la bouche et en m'obligeant à prendre des positions obscènes : elle m'encule et me baise en m'interdisant toute jouissance...

    Le Noël de Loré 4/4 Le Noël de Loré 4/4

    Le Noël de Loré 4/4 

    Mais vu le temps q'elle prend à me niquer je suis sure qu'elle s'est envoyée en l'air... Car comme me répète souvent Cathy : il est rare qu'une Domina ne soit pas multi orgasmique...

    Chapitre 22

    Après cette dure séance, elle m'accorde une petite pause en me tendant une cigarette que je fume, yeux baissé, à poil et à genoux devant eux.

    « Tu vas rester à poil, lors de ma visite, j'ai remarqué que vous aviez une très belle cave, qui devrait bien convenir à ma sœur... que tu seras aimable d'appeler "Maîtresse adorée" descend l'attendre dans la cave"

    Elle quitte le salon pour se rhabiller et être prête à partir quand sa famille arriverait, tandis qu'Yves a allumé  les lumières extérieures de la maison. Juste à temps pour accueillir le couple de noirs qui semble fort sympathique...

    Yves leur propose que je monte à poil de la cave pour leur servir une coupe de champagne... Il descend dans la cave pour remonter avec moi en me tenant par la main... "Je vous présente Loréna, ma femme, esclave sexuelle très obéissante comme vous l'a dit votre sœur... quant à Loré, voici "Ta Maîtresse adorée" et ton "Maître"...

    "Ma Maîtresse adorée" ôte son manteau sous lequel elle porte une tenue très sexy : un haut noir échancré et décolleté, un tanga et des spartiates. 

    Elle me souhaite la bienvenue, en me giflant et en me disant : 

    Le Noël de Loré 4/4

    « Tu vas souffrir putain, mais, je sais que tu en as envie, n'est ce pas ? ». Malgré la soirée que je viens de passer j'arrive à rougir en lui disant : « Oui, Maîtresse adorée, tout mon corps est à vous... »

    En souriant, elle demande à Yves si on peut tous descendre à la cave... Je passe la première tout le monde suit y compris le Maître qui porte un sac de sport en bandoulière... Je suppose que ce sont les accessoires de Ma Maîtresse adorée...

    Dès que nous sommes dans la cave, elle fouille dans ce sac et sort un bâillon boule qu'elle me pose et qui, de suite me fait saliver sur les nichons... En souriant, elle m'attache les mains dans le dos et sort son martinet, et s'acharne sur mes seins et mon cul qu'elle zèbre avec un réel plaisir...

    Le Noël de Loré 4/4' Le Noël de Loré 4/4

    Puis elle me pose aux tétons des pinces en acier très dures et joue longuement avec la chaîne qui les relie... Voyant ma douleur et mes cris étouffés dans mon regard désespéré de ne pouvoir me protéger...

    Le Noël de Loré 4/4

    Sa sœur avait raison, elle est beaucoup plus sado... Et un éclair de vice ne quitte pas ses yeux sombres pendant qu'elle sait combien je souffre...

    Elle s'amuse très longtemps avec les pinces et leur chaîne avant de me mettre en levrette, et d'entrer d'un seul mouvement un gros plug en plastique dans mon cul...

    Le Noël de Loré 4/4

    Mais sa soif de m’humilier lui fait m'enlever le bâillon pour que je puisse lui lécher un talon de pied… Et à ma grande surprise, elle parle pour la première fois de nos couleurs de peaux : « Une enculée blanche aux nichons pincés qui suce le pied d'une noire, ça ne te fait pas couler le con sale pute ? Je suis sure que oui ! »

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    Sans attendre de réponse, elle m'enlève les pinces et me pose un bâillon gode avant de me libérer les mains. Elle se met en levrette et m'ordonne de lui bourrer la chatte, ce que je fais jusqu'à avoir mal au cou... Je sens sa jouissance à ses contractions...

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    Mais elle n'en a pas fini avec moi et m'ordonne d'enlever mon plug pendant qu'elle attache son gode ceinture à la taille. Elle s'assied sur une chaise et me dit : « Il est à toi ma pute, viens empaler ton cul dessus et fait tout le travail pour jouir, moi je te regarde ! »...

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    Je suis tellement excitée que je jouis du cul très rapidement en faisant coulisser la fausse bite gluante de mes sécrétions dans mon cul... et en prenant appui sur mes pointes de pieds pour monter et descendre... Quand je m'envoie en l'air, je me tortille comme un ver, pour exprimer ce que mes cris ne peuvent faire à cause du bâillon gode... Ce qui fait rire ma Maîtresse adorée qui sait que je viens de jouir une fois de plus ! 

    « Tu es une vraie machine à jouir, je n'ai jamais vu une pute aussi salope que toi ! » Mais elle aussi est de nouveau excitée, et je dois m'agenouiller devant elle pour baiser sa chatte avec mon gode de bouche alors qu'elle pose un vibro-masseur sur son clitoris…L'action combinée des deux sex-toys la fait jouir une nouvelle fois, toujours aussi discrètement… 

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    Après une petite pose, elle me fait enlever mon bâillon, remet son gode ceinture et me redemande de venir m’empaler sur son gode. Je positionne ma chatte sur le gode mais je reçois un violent coup de martinet sur mes seins et elle me crie : « Pas dans ce trou, pouffiasse… Dans ton trou du cul ! Et comme tu aimes souffrir en jouissant… je te chatouillerai les mamelles avec mon martinet pendant que tu t'enculeras »…

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    Le gode trempé entre sans problème dans mon cul, et je le fais aller et venir dans mon anus alors qu'elle me zèbre les seins et me fait bander les bouts...

    Mais j’ai déjà joui du cul il y a peu de temps, et j’ai peur de ne pas pouvoir jouir une nouvelle fois, et après un long moment de gémissements, elle semble comprendre ce qu'il m'arrive, car elle me fait mettre en levrette à même le sol et m’encule d'un seul coup de rein jusqu’à ce que je sente la protection de son gode contre mes fesses…

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    Et, là, le plaisir des coups, la posture humiliante en levrette, cul levé à même le sol, les yeux et l'appareil photo d'Yves, mon excitation d'obéir à ma Maîtresse adorée noire devant mon Maître qui s'apprête à me prendre en main et l'ensemble de ce que j'ai subi dans la soirée font que je sens monter en moi un orgasme fantastique.

    « Oh, Yves, je jouis du cul... Oh que c'est bon... Oui, Maîtresse adorée enculez moi plus fort je vous en supplie, c'est si bon ». Elle rit en me disant : « Je t'avais prévenue que c'est toi qui viendrait me réclamer de la douleur, putain ! ».

    Nous terminons épuisées et en sueur… Elle se retire doucement de mon cul et dit à Yves :« Tu devrais la mettre sur le trottoir, tu gagnerais une fortune ! Dans toute ma vie de dominante, je n'ai jamais vu une femme aussi pute, aussi soumise et aussi jouisseuse, c'est un vrai régal de la soumettre ! Tu es un homme très chanceux, Yves... Je te félicite ! ». 

    Il sourit et la remercie alors qu'elle commence à rassembler ses affaires… Quand je les rejoins au salon, le corps zébré, les yeux cernés, le visage fatigué, mais le sourire aux lèvres, nous trinquons à mes jouissances données et reçues pour ce Noël !

    Ma Maîtresse adorée m'embrasse longuement sur la bouche en me pelotant avec une certaine tendresse les seins qu'elle a tant martyrisés et nous quitte...

    Chapitre 23

    Je m'adresse à mon Maître en lui demandant l'autorisation de faire une pipe à mon chéri devant lui... Il accepte en souriant et remarque la complicité extraordinaire dans notre couple... Yves lui répond très simplement que nous nous disons tout ce que nous faisons sans jamais cacher une seule vérité...

    "Bravo, allez vas-y pompe ton homme et tu avaleras son foutre lentement pour qu'on te voit bien déglutir et te régaler..."

    Je ne me le fais pas dire deux fois, à poil je plonge sur la pine d'Yves que je suce avec adresse et respect...

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    Yves est trop excité pour se retenir longtemps et le nombre de ses jets de foutre est impressionnant, mais je n'en rate aucun et fais attention de bien les garder en bouche...

    Sur l'ordre de mon Maître, je m'assieds face à eux et j'ouvre mes cuisses en grand pour bien leur montrer le torrent de mouille qui coule de mon con... Je fais tourner le foutre dans ma bouche, je me rapproche de chacun d'eux pour ouvrir ma bouche afin qu'ils voient bien le foutre que lentement je déglutis devant eux en ne cachant pas mon plaisir et avec un large sourire et une langue gourmande qui lèche mes lèvres...

    Chapitre 24

    Mon Maître nous dit qu'il n'est pas comme sa femme et sa belle sœur, lui, est très cérébral et c'est donc de cette manière qu'il va me dominer... 

    "Bien ma petite salope blanche, tu as 3 trous à bites... rappelle les moi s'il te plaît..."

    "La bouche, le con et le cul mon Maître"

    "Très bien, tu vas me chercher sur le net une trentaine de photos dans 3 catégories que je t'impose : Pipes, Postures d'esclaves et Putes à nègres... Pour chacune des catégories tu vas me donner ta photo préférée, que nous mettrons en fond d'écran pendant que je me régalerai de te donner du foutre dans l'ordre que tu m'as donné : bouche, con et cul... Tu as tout compris ?"

    "Oui mon Maître... C'est clair" 

    "Parfait, je vais juste compliquer un peu les choses en te précisant que pour taper sur ton clavier, tu seras bien sur à poil, mais avec un gode de bouche rentrant, un  vibro à grande vitesse dans ton con et le plus gros gode de cul que tu as et qui te permet de t'asseoir dessus... Va chercher tout ça..."

    Je reviens avec le matériel demandé et j'entre tous les godes et jouets dans mes orifices, le gode de bouche entrant étant le plus désagréable car sa longueur me donne de grosses nausées mais j'arriverai à m'y faire...

    "Bien tout ça est en fait pour ton plaisir, voyons maintenant pour tes punitions, combien as-tu de pinces métalliques dentelées ou non ?"

    "Je vais compter, mon Maître mais à priori je dirais une vingtaine..." "Vérifie je te prie" Je retourne à l'armoire et en compte 22..." "Bien reviens ici et pose les sur la table de salon... Yves j'ai vu dans votre chambre un miroir, tu peux l'apporter ici ?"

    Yves s'exécute... et mon Maître me demande de me mettre face à lui pour que je puisse voir tout mon corps... "A présent je vais te passer les pinces une à une, tu vas commencer par la tête et finir pas les pieds, quand tu auras fini, je veux que ces 22 pinces soient bien accrochées sur ton corps, dans le double but de ne pas tomber et celui de te faire souffrir le plus possible... Comme cela, tu devrais être très inspirée ! Allez, commence et dis nous à chaque fois où tu vas poser chaque pince..."

     Chapitre 25

    Je réfléchis car je dois trouver 22 emplacements de la tête au pied... Pour la tête, j'annonce "les deux lobes d'oreille", "OK restent 20", "les deux lèvres", "OK restent 18", "Les deux aisselles", "OK restent 16", "les deux tétons", "OK restent 14", "deux sous chacun de mes nichons", "OK restent 10", "une sur le haut de mon nombril", "OK restent 9"... "Mon Maître, une fois arrivée en bas, si je me suis trompée, je pourrai remonter ?", la réponse est NON comme je m'y attendais... "deux sur chaque grande lèvre de mon con", "OK restent 5", "deux sur chaque intérieur de mes cuisses", "OK reste 1", "et la dernière en haut de ma raie du cul", "bien tu as terminé... je pense que tu dois souffrir intensément, ça t'aidera à chercher et à travailler  très vite pour moins souffrir... je te rappelle que pour ta sélection de photos sur le thème "pipes" je t'enlèverai ton bâillon, mais aucune pince, puis tu me pomperas le nœud, pareil pour le thème "postures d'esclaves" où je te niquerai le con sans capote et idem pour "putes de nègres" où je te défoncerai l'oignon avec ma pine trop large pour ton petit trou du cul de bourgeoise maso !"

    "Bien, mon Maître, je me mets au travail..."

    Chapitre 26

    Je commence pas les "pipes" et trouve très rapidement un site consacré aux pipes interraciales... J'en extrais les meilleures photos que je sélectionne dans un dossier de mon disque dur :

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    Mon Maître est assis à côté de moi et joue avec chacune des pinces de mon corps... Il me demande ma photo favorite en m'enlevant mon bâillon de bouche... Je respire un grand coup et lui dit : "J'aimais bien la 5 mais je trouve qu'elle est trop professionnelle... Je choisis donc la 8 qui me semble plus naturelle..."

    "Très bien, va enfiler une jupette et un chemisier blanc sur ton corps pincé et prends moi de la corde pour te lier les mains dans le dos..." En revenant, il est nu avec une pine dure et très longue, il me lie les mains, je me mets en position comme sur la photo et je le pompe sans les mains en essayant d'avaler le plus possible de sa bite dans ma petite bouche... Je n'ai pas compté, mais je pense qu'il a joui en moins de 10 minutes au fond de ma gorge par de longs jets denses et tièdes qui m'ont fait mouiller et même tremper ma petite chatte déjà dégoulinante...

    Chapitre 27

    Il me détache en semblant content de ma pipe sans s'essuyer le gland... Je me rassieds devant l'ordinateur en cherchant "Postures d'esclave interraciales"... Là aussi j'ouvre de suite un site moins étoffé mais consacré à ce thème dont j'extrais quelques photos...

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    Je dis de suite à mon Maître que "ma préférée est la 11 car elle me semble très humiliante pour une bourgeoise qui aime être traitée comme une chienne"

    "OK, tu as vu la photo, enlève le vibro de ton con, va t'habiller comme la pute et reviens à 4 pattes de ta chambre... Yves et moi nous allons griller une cigarette et boire une coupette en attendant de te niquer comme une salope..."

    Je me prépare rapidement... bas résille, porte jarretelles, bottes montantes que je laisse ouvertes et petit top seins nus en dentelle transparente... Et je reviens de la chambre et entre dans le salon avec toutes mes pinces qui s'entrechoquent et donne la laisse à mon Maître...

    Il est nu, et m’emmène à 4 pattes dans la cuisine, revient par le couloir des chambres, repasse au salon pour qu'Yves puisse faire ses photos, et il me fait faire trois fois ce  tour alors que c'est surtout les pinces de l'intérieur des cuisses et celles de mon con qui me donnent envie d'hurler de douleur...

    Quand nous revenons, il bande comme un âne... il me laisse à 4 pattes sur le tapis du salon et se positionne derrière moi... Quand il me pénètre d'un seul coup de reins, je suis sidérée car sa bite est aussi dure que lorsque je le pompais... Les noirs sont vraiment des supers baiseurs avec un résistance incroyable...

    Il me nique de toute sa puissance et profite de la laisse qui pend pour me fustiger violemment les nichons, le ventre et les épaules... Il semble très excité et j'en ai la confirmation quand il vide ses couilles dans mon con en déclenchant au passage un superbe orgasme pour moi, qu'Yves vient photographier en gros plan...

    Je m'écroule sur le ventre en hurlant de douleur car tout mon corps me fait mal avec ces pinces qui sont compressées entre le tapis et moi...

     Mais mon Maître me relève gentiment et je peux revenir dans ma chambre pour me remettre nue avant le dernier épisode de cette séance que j'aurais finalement beaucoup appréciée...

    Chapitre 28

    Le thème de "Putes à Nègres" est très répandu dans Google... Et je n'ai que l'embarras du choix... Je pique de photos dans plusieurs sites différents, mais pense avoir fait un bon choix, représentatif de ce qu'est pour moi une pute à nègres...

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    "Mon choix est la 15, mon Maître, car c'est une photo d'amateurs, où la femme est vraiment le jouet de l'homme, avec ses poignets et ses chevilles entravés, avec son  petit haut qui lui cache les nichons alors que son Maître s'amuse à lui balader sa bite devant la bouche comme s'il voulait qu'elle le supplie de lui entrer sa grosse pine dans son cul largement offert et obscènement dilaté, luisant de sa mouille..."

    "Bravo salope tu as très bien résumé la photo... Enlève ton plug de ton cul, va chercher de quoi te menotter, enfile un chemisier blanc et couche toi sur le dos comme la fille..." Je m'exécute le plus vite possible et il m'attache avant de s'asseoir sur mon ventre et de promener sa pine sur, con et toutes les pinces qui sont à sa portée... Seins, lèvres, tétons, oreilles et aisselles... Quand il s'est bien amusé alors que je suis au bord des larmes... Il se place entre mes cuisses et son sexe aussi puissant que les deux autres fois me pénètre lentement le fourreau de mon cul plus qu'humide jusqu'à ce que je sente ses couilles encore dures en pleines battre mon cul.... Je suis surexcitée malgré la douleur des pinces...

    "Bien, je crois que tu es encore prête à t'envoyer en l'air, tu vas t'enlever toi même chaque pince de ton corps pendant que je défonce la rondelle... Mais tu vas les enlever en deux temps : premier temps tu ouvres la pince et tu comptes jusqu'à 10... Deuxième temps tu reposes la pince à son emplacement idéal... ne te gêne pas pour hurler de douleur... Je sais que c'est encore plus dur que de te pincer la première fois... Tu recomptes jusqu'à 10 et, là tu peux enlever ta pince et la poser à côté de toi avant d'en enlever une autre... Allez au travail ma pute bourgeoise et régale toi bien... Entre la douleur des pinces et ma pine au cul, j'aimerais que tu t'envoies en l'air deux ou trois fois... Rassure toi le vais longuement te ramoner le cul pour te laisser le temps de te faire jouir...

     Il a tenu parole et j'ai jouis trois fois surtout en enlevant les pinces de mes tétons et de ma raie du cul alors que mon Maître me limait avec une régularité d'automate sans se départir sur son sourire qui signifiait qu'il appréciait ces minutes qui passaient à enculer une bonne esclave blanche bien salope et bien vicieuse...

     Chapitre 29

    Mais toute chose à une fin et malgré son endurance, il s'est vidé longuement dans mes intestins en grognant son plaisir... Quand il s'est relevé, je n'avais plus aucune pince sur le corps, mais par contre, tous les emplacements étaient bien visibles, bien rouges sur ma peau blanche...

    Il m'a détaché les chevilles, me laissant les poignets attachés en me conseillant d'ôter mon chemisier... Il est allé à la salle de bains pour se doucher et se rhabiller, et quand il est revenu au salon, Yves lui a proposé une coupe de champagne que je lui ai servie à poil... Yves lui a promis de lui envoyer les photos de la séance sur son portable...

    Et il est parti après m'avoir longuement baisé la bouche en me pelotant le cul et les nichons et en riant encore des marques qui commençaient à disparaître...

    Chapitre 30

     Une fois seuls, Yves m'allume une cigarette : "Quel Noël ! Tu vas t'en rappeler longtemps pas vrai ? ».Je ris : « Oui, et en plus tes photos seront là pour me le rappeler, mais je te demande une chose : surtout, ne me demande pas combien de fois j'ai joui… Je me rappelle de la première et des trois dernières mais entre les deux j'ai perdu le compte ! ».

    « Ta sexualité ne doit pas se mesurer en nombre d'orgasmes, le tout est qu'apparemment tu te sois régalée ! »« Apparemment et réellement... C'est un apprentissage parfois dur mais je suis contente de m'être décoincée en tant que soumise et j'espère que tu en profiteras ».

    Il se lève et se rapproche de moi : « Sois en sûre ma Loré, depuis hier, je te vois sous un jour nouveau ! Mais je ne sais pas si je serai à la hauteur de ma vedette soumise ! ». Je ris : « Pour l'instant, je suis à la hauteur d'autre chose : viens vite au lit, avant que nous nous écroulions et dormons quarante huit heures d'affilée ! ».

    Nous prenons ensemble une douche rapide et nous nous retrouvons au lit... Noël est passé... Et fort bien passé...

    Mais mes petites aventures sexuelles sont loin d’être finies... !

    FIN

     


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