"Loré et ses clients"

Chapitre 1

Celles et ceux qui suivent ce blog se rappelleront qu’au cours du réveillon de Noël, Cathy avait pris une photo de moi, nue et comme demandé : « souriante et fière de m’offrir à mes futurs clients… »

Le 26 décembre elle m'appelle dans la matinée : « Petite pute, je te confirme que notre weekend au Château est bien réservé pour les 28 et 29 décembre et je passerai te prendre le 28 à 8 heures chez toi… »

Sans me laisser le temps de répondre, elle rajoute que la mise en ligne de ma photo nue et offerte lui a valu un nombre impressionnant de réponses et qu’elle vient d’appeler Yves qui lui a donné son accord pour que nous nous amusions un peu le lendemain. Elle me demande donc d’être chez elle à 14 heures. Et comme d'habitude, elle raccroche sans dire un mot.

A midi, je questionne Yves sur ces autorisations : « Oui, ma Loré, je sais que vous allez au Château les 28 et 29 et que demain, elle a prévu pour toi une après midi coquine… J’espère que ça te convient ? ». « Bien sur, mon Chéri… Tu sais bien que je suis en forme ces jours ci ! ». Il rit en me disant que ça serait bien que je le lui démontre avant qu’il ne reparte au bureau ! « Hum, je suis en train de penser que ça fait longtemps que je ne t’ai pas fait un petit plaisir que tu aimes beaucoup ! ».

Nous nous dénudons tous deux et je lui fais une branlette espagnole…

 

... en sachant qu’il adore jouir entre mes seins ! « Comme ça tu penseras encore plus fort à moi au bureau ! ». « Tu as bien raison car, pour ce soir, je vais te préparer un petit scénario, qui, je l’espère te plaira ! ». « Hum, voilà que tu te mets au diapason du vice de ta petite femme, j’en suis enchantée ! ».

Et il m’embrasse longuement avant de partir.

L’après midi me paraît longue, je me lave, je fais un peu de ménage et quelques courses. A 19 heures il m’appelle : "Loré, je quitte le bureau, je serai à la maison à la demie, tu seras gentille de m'attendre dans mon bureau, comme si tu étais ma secrétaire, avec ta veste bleu clair, ta jupe verte, ton string bleu et des bas. Sous ta veste, je te veux seins nus et bouts pincés par des étaux reliés par une chaîne et avec des bracelets de cuir aux poignets et à tes chevilles.

A portée de main, je veux : une cravache, un collier de cuir avec sa laisse, un gode dur, un bâillon écarteur et enfin, des pinces en fer avec une chaînette... Tu as tout noté ?". Je ris en lui disant que tout est noté et que j'ai l'impression qu'il apprend très vite !

Chapitre 2

J'ai juste le temps de me préparer et de réunir les accessoires que je cache dans le tiroir du bureau avant qu'il n'arrive. Je l'entends rentrer et monter directement au bureau. Il sourit en me voyant habillée comme il le voulait, et fait semblant de s'intéresser à une lettre posée sur la table et me demande si j'ai eu le temps d'effectuer toutes mes tâches.

Jouant le jeu, je lui explique que les dossiers demandés sont dans le tiroir du bureau et que pour le reste tout est en ordre. " Nous allons voir ça : déboutonnez et enlevez votre veste Mademoiselle !"

 

"Cette parure de seins vous va très bien, elle met vos nichons en valeur. Ça mérite une récompense..."

"Mais voyons le reste " : je baisse ma jupe, dévoilant mon string et mes bracelets de cuir :

Il trouve que mes ornements de poignets et de chevilles me vont très bien, mais qu'à poil et assise sur la table, je serai surement mieux pour la suite de mon travail. Je me déshabille et m'assied sur son bureau, cuisses largement ouvertes. Je l'entends fouiller dans le tiroir et par derrière il me fait relever un peu les fesses pour que je me rasseye sur le gode dur qui est englouti par ma chatte trempée...

Il me laisse longuement comme ça, m'obligeant à remuer mon bassin aussi bien horizontalement que verticalement, m'arrachant des cris de plaisir alors qu'il me pose autour du cou le collier de cuir assorti à la chaîne. "Je constate que votre vagin est bruyant lorsqu'il glisse sur ce gode et vous savez pertinemment, Mademoiselle, que j'aime les secrétaires discrètes et silencieuses !". "Oh, oui, Monsieur, je m'en excuse". Et s'emparant de la cravache, il me fait ôter le gode et m'allonger sur le bureau, tout en relevant très haut ma jambe droite, ce qui provoque, bien sur un écartement qui lui offre entièrement ma chatte...

 

 

Je ne pensais pas qu'Yves pouvais me frapper aussi fort. Il a vraiment fait rougir mon bas ventre en cherchant à atteindre les points sensibles, et, ce sans retenir son bras. Mais d'être ainsi frappée par mon mari me donne un plaisir vicieux qui me fait frôler l'orgasme. Après quelques coups au dessus des seins pour rougir ma gorge, j'entends un bruit de chaînes et je sens une pince se refermer sur une de mes grandes lèvres, ce qui me fait gémir de douleur, très rapidement suivie d'une autre que je sais reliée à la première par une chaînette...

 

Il joue avec en tirant dessus jusqu'à ce que j'hurle de douleur. "Décidément vous êtes trop bruyante Mademoiselle". Il m'agenouille sur la table en me laissant toutes mes pinces et me pose un bâillon écarteur...

Et c'est, allongée sur la table, que je reçois sa bite sur ma bouche écartelée alors qu'après s'être branlé de très longues minutes et profitant des deux chaînes à sa disposition pour me faire gémir et me tordre de douleur, il se décide à jouir dans ma bouche...

  

...en s'assurant à coups de cravache que j'avale tout sans en perdre une goutte ! Après s'être un peu calmé, il m'enlève le plus doucement possible tous mes accessoires.

Chapitre 3

"Eh bien... mon Chéri, on peut dire que tu apprends vite, sais tu que j'ai le bas ventre en feu ?". Il rit : "Que le bas ventre ? Moi je suis sur que plus bas c'est aussi en feu ! Allons dans le salon... Je vais jouer au pompier et calmer tout ça !

Sitôt installés sur le sofa, nous baisons comme deux adolescents et il est très fier de me faire hurler de plaisir trois fois avant de se vider longuement dans ma bouche...

 

 

 

"Hum... Tout ça m'a donné faim, ma Chérie... Tu vas nous préparer un petit en-cas ?" J'accepte bien volontiers mais alors que je dirige nue vers la cuisine, il me dit : "Ce serait bien que tu enfiles ton collier de cuir et que tu mettes un petit pagne... Ce serait trop obscène que tu prépares le repas à poil !"... Je lui souris... "Décidément tu es très vicieux ce soir... Tu es sur que tu as travaillé au bureau et que tu ne t'es pas branlé en pensant à tout ce que tu me demanderai de faire ce soir ?"

Il m'offre une cigarette et rit alors que je m'habille comme il le veut et que je file dans la cuisine où il me rejoint pour me mater en silence...

 

 

"Bon repas, ma Loré... Tu peux enlever ton collier et ton pagne, tu redeviens ma femme adorée et je crois que nous avons besoin d'une bonne nuit de repos... J'approuve avec plaisir, repue de jouissances et c'est nue que je me love contre lui en le remerciant pour la soirée merveilleuse qu'il m'a fait passer en lui glissant à l'oreille : "Tu peux recommencer quand tu le voudras, je serai toujours partante, quels que soient tes désirs". Il se contente de me flatter les seins en me disant :

"Pour le moment, dors bien, et n'oublie pas de me raconter en détail ton après midi avec Cathy !". Je le lui promets et nous nous endormons comme des souches...

Chapitre 4

Nous étions tellement épuisés que, le lendemain, nous ratons le réveil et Yves doit faire la course pour se doucher, se préparer, avaler un bol de café et me donner un tendre baiser en me souhaitant une bonne journée pleine de plaisirs avant de courir vers sa voiture...

J'ai du temps devant moi, je prends un long bain, vérifie mon courrier, paye quelques factures et décide qu'ayant mangé frugalement la veille, je vais me payer une pizza.

Comme Cathy ne m'a rien demandé, je suis en tailleur, sous vêtements, chemisier, bas et bien sur mon manteau bien chaud avec un bonnet et une écharpe car il fait très froid. Je me régale, prends deux cafés serrés et à 14 heures pile je sonne à la porte de Cathy, l'estomac noué comme d'habitude... Elle me regarde à peine et me fait entrer : "J'ai tes tenues pour l'après midi, mets toi à poil dans le salon".

Quand je suis nue elle me donne une petite robe noire que je dois enfiler sans sous vêtements et des sandales en cuir noir d'été que je dois porter sans bas

"Bien enfile ton manteau, notre premier rendez vous est à 14 heures 30 et je ne veux pas que tu sois en retard".

Arrivées près de sa voiture elle m'ordonne d'enlever mon manteau et mes chaussures et de monter sur le siège arrière pour me branler tout le long du parcours...

 

Complètement gelée, je monte et me mets en position pour me branler comme elle le veut, constatant qu'une fois de plus, je suis trempée, comme chaque fois que je vais vers de la nouveauté et de l'inconnu.

"Je tiens à ce que tu sois au mieux de ta forme, car tu vas chez des gens aisés, deux amis qui ont été séduits par ta photo et à qui je t'ai prostituée pour 1.500 euros l'heure, alors, autrement dit : il te faudra leur en donner pour leur argent, mais rassure toi je ne pense pas qu'ils soient sados, ils avaient l'air très corrects".

Je sais donc je que vais être partouzée par deux hommes et que je "vaux" 1.500 euros de l'heure, c'est la moitié de ce que je gagne en un mois... Une dizaine de minutes plus tard, Cathy m'ordonne de m'habiller. Elle s'arrête devant un bel immeuble et me dit : "C'est au 2ème droite, tu te présentes comme la putain envoyée par Cathy et avant tout tu demandes ton petit cadeau, et tu n'oublies pas de les satisfaire pleinement, ça peut être de bons clients pour toi !".

Je me présente comme demandé. Une voix mâle me répond : "On t'attend, 2ème étage à droite". L'accueil est chaleureux et les hommes sont beaux, ce qui me rassure un peu. Sans m'obliger à m'humilier et à demander mon petit cadeau, l'un d'eux me tend une enveloppe en me disant : "Tiens voilà la somme convenue avec ta Maîtresse". Et, visiblement excités, ils s'approchent tous les deux de moi :

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les hommes semblent très satisfaits de moi. Ils ont jouit une première fois dans mon cul et dans mon con et une deuxième fois sur mes seins. Ils sont aussi fiers de m'avoir fait jouir deux fois en me mangeant la chatte. Ils m'indiquent la salle de bains. Quand je reviens, fraîche et rhabillée, ils me raccompagnent en m'assurant qu'ils feront appel prochainement à moi, par l'intermédiaire de ma Maîtresse. Satisfaite de cette séance de baise jouissive, je rejoins la voiture où Cathy m'attend. Elle m'indique de monter devant et me demande si les hommes ont été contents de moi : "Il me semble, Madame, ils m'ont dit qu'ils vous contacteraient prochainement".

Je lui tends l'enveloppe avec l'argent gagné.

Elle me gifle violemment : "Tu t'imagines que je suis une maquerelle petite conne ? Ce que tu gagnes avec ton cul de putain est à toi". Je ne m'attendais pas à cette réaction et je sais de suite que cet argent malsain va me brûler les doigts.

"Pour ta punition mets toi à poil connasse !"

"Alors belles bites ? Ils t'ont partouzée comment ? Ils ont jouit ? Et toi ?". "Oui, Madame, ils étaient très bien membrés, ils se sont fait longuement branler et sucer. Ils m'ont fait jouir deux fois en me suçant et ils m'ont baisée en sandwich en jouissant dans mon cul et dans mon con, avant de se finir en se branlant sur mes seins". "C'est rare qu'on lèche une putain et qu'on lui offre une douche. Je savais que le fait que tu ne sois pas une professionnelle leur plairait, voilà deux bons clients dans ton répertoire de pute".

Chapitre 5

"Fouille dans mon grand sac : tu vas y trouver un short, un tee-shirt rayé et des joggings, enfile tout ça et relève tes cheveux, la femme chez qui nous allons te veut avec un chignon". Je la sens me regarder du coin de l'œil alors que je m'habille. Elle se gare devant un petit immeuble et me dit de sortir sans manteau.

Au premier, nous sommes accueillies par une blonde de ma taille, vêtue d'une mini jupe grise et d'un haut rose.

Avec un fort accent anglais ou américain, elle nous propose un café, mais Cathy décline l'offre en prétextant un emploi du temps chargé. "Je vois" dit la jeune femme en me regardant vicieusement.

Sans attendre, elle me jette un paquet de billets verts à la figure en m'infligeant un : "Je suppose que les putes françaises acceptent les dollars, alors j'en veux pour mon argent". Et elle commence à jouer avec moi et à m'humilier d'autant plus fort que la présence et l'appareil photo de Cathy n'ont pas l'air de lui déplaire...

Rester debout devant elle alors qu'elle m'insulte, avant de me faire lécher un de ses pieds chaussé....

 

Visiblement excitée par ma soumission totale et l'exécution immédiate de ce qu'elle me demande de faire, elle se fait lécher l'anus et lui offrir le mien pour qu'elle le doigte...

 

En riant, elle me bloque contre les bas de son canapé pour sentir mon corps nu contre le sien encore habillé et m'embrasse tout le haut du corps en s'attardant sur mes seins...

Comme il ne me reste que ma culotte, elle rentre le tissu dans la raie de mon cul, me fait mettre à genoux sur son tapis, tête posée au sol et elle s'assied sur un pouf pour être face à mon cul et me donne une fessée du plat de ses mains et en quelques minutes je sens mes fesses brûlantes et... je le suppose rouges de ses traces de coups dans lesquels elle let toutes ses forces... 

Puis elle me bâillonne avec un bout d'étoffe et du scotch... et vérifie en m'embrassant   sur la bouche que je ne peux pas me servir de ma bouche...

 

En riant vicieusement, elle enfile un corset de cuir noir, me pose un collier au cou et une laisse-chaîne qu'elle garde dans la main et en tirant sur la laisse, elle me positionne à genoux entre ses cuisses et elle les écarte pour je puisse lui sucer la chatte comme "la bonne chienne salope et vicelarde que je suis..."

Je m'exécute en essayant de lui donner le plus de plaisir possible...

Elle jouit silencieusement mais très longtemps, elle ne peut pas cacher les ondulations de son bas ventre ni le flot de mouille qui coule dans ma bouche... Elle me dit être satisfaite de moi et que je mérite donc une bonne récompense... Elle refait mon bâillon, va chercher une boîte d'épingles à linge en bois qu'elle me pose sur les seins en rond sans toucher ni mes aréoles ni mes tétons... Mais vicieusement elle reprend les pinces une à une pour les retirer et les reposer au même endroit... comme l'avait fait mon Maître noir il y a peu de temps...

Et pour bien s'assurer que je vais pouvoir jouir et avoir ma récompense, elle m'attache les genoux aux accoudoirs d'un fauteuil m'écartelant complètement les cuisses et me caresse de sa main gauche le sein gauche pincé par une demi-douzaine de pinces et, de sa main droite elle me plaque contre le sexe un vibro-masseur terriblement efficace avec lequel elle cherche tout de suite mon clito pour m'envoyer en l'air très rapidement.

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Quand j'ai hurlé mon orgasme, le clito presque rouge sang... Elle s'est levée en souriant, s'est posé un gode ceinture gris d'une belle taille... Et  m'attachant selon son humeur et la position recherchée, elle m'a baisée par tous les trous que j'étais bien incapable de lui soustraire...

 

Je sais que durant cette séquence, je n'ai pas joui, mais qu'elle a prit son pied au moins deux fois... malgré ses orgasmes silencieux, elle ne pouvait pas cacher les tremblements de son corps...

Quand elle est calmée, elle me détache et félicite Cathy pour la qualité de mon éducation : "Je suis très heureuse d'avoir pu dominer une pute aussi soumise qui ne vienne pas du trottoir, on sent qu'elle aime vraiment ça... Va te rafraîchir et te rhabiller dans ma cuisine et, au retour, porte nous deux tasses de café, putain".

Quand je reviens, elle est au téléphone : "Je t'assure Myriam qu'elle te plaira...  Moi je me suis régalée, je suis trempée... Oui, elle est très bien éduquée... Sinon je ne te la recommanderais pas... Je sais bien que tu as un emploi du temps chargé... Maintenant ? Tu peux faire attendre un rendez vous et lui consacrer une vingtaine de minutes ? Attends… je demande à sa Maîtresse... Oui elle est avec elle... Elle se contente de prendre des photos..." Cathy regarde sa montre : "Si ça ne dure que vingt minutes, et que ce n'est pas loin, c'est faisable". La blonde sourit : "C'est dans l'immeuble d'à côté, elle est avocate et vous recevra dans son bureau".

Elle reprend son dialogue téléphonique : "C'est d'accord, elles peuvent être chez toi dans cinq minutes... Combien ? Je vais demander...". Cathy lui indique trois avec ses doigts... "Trois cents euros... Ça te va... Bien elles arrivent... Ah tu aimes les putes en jean avec un chemisier et sans sous vêtements... Pas de souci, je vais arranger ça... Bises Myriam...".

Elle revient et me donne ce qu'il faut pour m'habiller en disant à Cathy : "Tu laisseras mes affaires chez elle". Elle explique à Cathy où est le bureau de son amie et nous prenons congé de la blonde, sans reprendre la voiture Nous entrons dans un immeuble voisin où il y a un grand nombre de plaques professionnelles d'avocats.

 Chapitre 6

Nous sommes reçues par une secrétaire à laquelle Cathy annonce que nous sommes attendues par Mme Al Zuyra. Elle me regarde des pieds à la tête et sourit : visiblement elle connaît les goûts de sa patronne.

Nous ne restons que quelques secondes dans la salle d'attente avant que la secrétaire ne vienne nous chercher et nous fasse entrer dans le bureau de l'avocate. Je vois de suite que cette femme a l'habitude de diriger : elle n'est pas du tout impressionnée par Cathy : "Tu peux prendre des photos, mon visage ne doit pas apparaître et je ne veux pas t'entendre". Cathy sourit sans rien dire et prépare son appareil photo.

Je n'ai pas la notion du temps lors des séances, mais je suis sûre qu'elle n'a pas joué avec moi vingt minutes, quoi qu'il en soit, elle a eu le temps de jouir deux fois en se faisant manger la chatte, en m'obligeant à faire tout ce qu'elle voulait et même de me faire jouir empalée sur son gode ceinture, en semblant pleinement apprécier ma soumission totale promise par son amie...

 

 

 

 

 

 

Elle disparaît en me disant d'aller me rafraîchir et me changer en laissant les affaires de son amie dans son petit cabinet de toilettes. Quand je reviens, elle me donne trois billets de cent euros en demandant à Cathy comment me joindre. Cathy lui donne le site sur lequel je suis en ligne. Elle la salue et nous sortons du bureau. Je suis en short, tee-shirt et joggings aux pieds, ce qui n'est pas de saison et fait sourire la secrétaire !

Chapitre 7

Cathy démarre et me demande, cette fois, de montrer mes seins...

"Je commence à avoir un peu confiance en toi, je peux te prostituer sans avoir honte de toi : tu obéis vite, tu ne rechignes pas à te conduire comme une vraie salope, et, en plus, à chaque fois tu prends ton pied, ce qui me donne à penser que tu es bien dans ton rôle, mais, là nous allons tester un autre aspect de ta soumission, car je te conduis chez une vraie domina qui aime le sado et n'a pas la réputation de respecter ses jouets. Mais c'est une étape importante avant le Château, où, là, tu devras te montrer à la hauteur de toutes les situations !".

Le trajet est court. Et Cathy sonne à l'entrée d'une petite maison d'un quartier isolé.

La femme qui nous accueille est brune et frisée et je suis surprise de constater qu'elle ne porte qu'un très beau corset rouge, qui lui va à ravir et dévoile des seins magnifiques et un corps superbe et ferme.

"Bonjour, je vous attendais... Ne perdons pas de temps, suivez moi". Nous traversons son salon et atteignons un petit couloir. Elle ouvre une porte dissimulée sous un rideau et descend quelques marches. Nous arrivons dans une cave où elle me demande de me mettre à poil.

Tout en me regardant me déshabiller et en félicitant Cathy pour la qualité de la marchandise, elle lui demande : "Elle sait que j'aime le sado, tu l'as prévenue ?". "Je ne suis pas entrée dans les détails, mais elle est là pour faire et supporter ce que tu voudras". La femme rit et Cathy me rappelle à l'ordre : "Tu n'as rien oublié Putain ?".

Nue, les yeux baissés, je demande mon petit cadeau à la femme... En souriant elle me donne une enveloppe que je confie à Cathy. Quand Cathy m'avait prévenue qu'elle allait tester ma résistance, elle ne m'avait pas menti : bien qu'ayant démarré la séance en souriant, empalée sur un gode rigide...

 

mon sourire s'est vite transformé en grimaces et même en larmes au fur et à mesure de l'imagination et des tortures d'une vraie domina sado !

 

 

 

 

 

 

"Hum, je me suis régalée ! C'est rare que je jouisse autant avec une pute soumise ! J'espère que tu as fait des photos obscènes d'elle... Je t'assure qu'elle est super maso et prête à tout subir, car les décharges électriques que je lui ai envoyées dans les tétons et les grandes lèvres n'étaient pas du six volts !

Et je la sentais prête à jouir, surtout quand je l'ai enculée debout, mais je lui ai refusé ce plaisir... Elle n'était pas là pour ça !".

Elle note le portable de Cathy pendant que je me rhabille avec ma petite robe noire du début, les jambes un peu flageolantes, et nous nous séparons de cette domina au sourire charmeur mais aux désirs plus que douloureux...  

Chapitre 8

En remontant dans la voiture, Cathy m'ordonne de m'aérer la chatte...

Elle sourit vicieusement en démarrant : "Tu es bien maso, j'en étais sure, mais j'en ai la confirmation ! Bon, le temps tourne, il est déjà 17h30 et ton dernier rendez vous va durer une heure et demie, pour lesquelles tu seras payée 1.200 euros. J'ai promis à Yves que tu serais à 20h chez toi.

Je vais donc te déposer et tu me rejoindras chez moi en taxi, pour me raconter en détail ta séance et pour que je m'amuse aussi un peu avec toi ! Je n'ai pas beaucoup joui cet après midi ! Tu trouves ça normal putain ?". "Oh, non, Madame, j'ai honte d'avoir autant joui, et je vous promets de vous satisfaire dès que nous serons toutes les deux !". Elle rit sans répondre... Le GPS lui indique que nous sommes arrivées. C'est un immeuble en construction où, apparemment, seul le rez-de-chaussée est terminé : "N'oublie pas : la putain de Cathy et 1.200 euros... Allez amuse toi bien salope !".

Je descends et elle s'en va. Il n'y a pas de sonnette, je tape donc à la porte et c'est un homme jeune, habillé en militaire, qui me reçoit : "Bonjour, Monsieur, je suis la pute envoyée par Cathy". Il me détaille des pieds à la tête avant de me faire entrer et de me dire : "Va vers l'escalier, et demande à l'autre putain ce que tu dois faire". Je trouve une autre femme, debout face aux escaliers, bras croisés dans le dos, vêtue seulement de bas et de porte-jarretelles : "Bonjour, je m'appelle Loréna, on m'a dit de te demander ce que je devais faire". "Salut Loréna, moi c'est Anne- Marie, déshabille-toi, enfile les mêmes choses que moi et viens attendre à côté de moi, dans la position où je suis".

Je m'exécute et quelques minutes plus tard nous sommes côte à côte...

A part nos gémissements, nos cris et nos jouissances, la séance se passe sans un mot. Un homme s'approche de nous pour nous poser colliers et laisses autour du cou et il me courbe au sol pour se faire lécher et nettoyer entièrement les bottes avant de me faire partager ce goût nauséabond en embrassant ma compagne...

 

Puis nous avons droit à une longue promenade dans la pièce... Je suis à quatre pattes et, elle, les bras dans le dos, bien droite, le regard fixé devant elle sans avoir l'autorisation de baisser les yeux...

Cette promenade très humiliante est suivie d'un jeu horrible : les hommes nous placent, face à face, accroupies et nous pincent les tétons avec des petites pinces en acier reliées par des chaînettes... Ce qui fait que si l'une d'entre nous craque ou tombe, c'est le déchirement des tétons assuré. Un des hommes vient nous montrer un minuteur qu'il règle sur quinze minutes et va s'asseoir sur le canapé avec son collègue... La douleur est atroce et nous ne pouvons pas retenir nos cris, mais, heureusement, aucune ne craque et nous tenons la position jusqu'à ce que le minuteur sonne...

Puis ils nous obligent à prendre des postures totalement obscènes dont une où nous sommes à quatre pattes culs et cons largement offerts...

Avant de nous faire très longuement lécher réciproquement nos trous du cul... J'ai mal à la langue à force de lécher le cul d'Anne-Marie

Une femme entre dans la pièce. Elle est vêtue d'une robe noire et des mêmes bas et porte-jarretelles que nous. Je suis chargée de la faire jouir en la suçant alors qu'Anne Marie doit pomper l'un de deux hommes jusqu'à ce qu'il se vide dans sa bouche...

Quand la femme et l'homme se sont envoyés en l'air, ils nous obligent, vicieusement à nous embrasser pour bien mélanger dans nos bouches la jouissance de la femme et le foutre de l'homme qui poisse encore les lèvres de ma compagne d'infortune...

Puis, après nous avoir utilisées comme table de salon alors que la pauvre Anne Marie est contrainte de lécher ma chatte trempée et mon cul béant...

ils donnent une badine à Anne Marie, et pendant que courbée en deux je pompe celui qui n'a pas encore joui, l'autre fait signe à ma compagne de me frapper le cul de toutes ses forces... La bouche remplie de la grosse bite de l'homme, je pousse des cris terribles, tellement elle me fait mal, mais je sais que si elle ne me frappait pas avec cette force, c'est elle qui serait punie et j'essaye malgré moi de supporter la douleur tout en pleurant à chaudes larmes...

Les hommes sont jeunes et pleins de sève, et à peine ai je avalé le sperme du premier, qu'ils nous penchent sur leurs bites pour que nous leur vidions une autre fois les couilles en avalant leur foutre tiède...

Je pense, naïvement, que les hommes en ont fini avec nous, mais c'est mal les connaître, car nous devons toutes les deux nous empaler sur leurs grosses bites et nous asseoir et nous relever seules pour qu'ils puissent se vider une dernière fois dans nos cons...

En nous tirant brutalement les cheveux, ils se font nettoyer les bites avec nos langues et, quand ils sont satisfaits, ils jettent deux liasses de billets par terre et nous regardent ramasser les billets à poil et à quatre pattes, cons dégoulinant de foutre...

Ils s'en vont en nous disant simplement : "Allez, cassez vous les putes et claquez la porte derrière vous en sortant..." Nous nous retrouvons seules, Anne Marie compte 3.000 euros : "Ils ont l'air d'avoir aimé..." Elle m'en donne la moitié.

Nous cherchons en vain un point d'eau pour nous rafraîchir et nous laver un peu les chattes, et c'est donc le con dégoulinant de leur sperme que nous nous rhabillons. Nous nous embrassons et Anne-Marie me dit : "Peut être à un jour lors d'une autre séance ?". Et nos chemins se séparent.

 Chapitre 9

J'ai de la chance car je trouve un taxi en maraude et je ne suis pas loin de chez Cathy. Il me reste environ trois quart d'heure pour être à l'heure à la maison.

Cathy m'attend, et comme convenu, alors qu'elle profite de mon obéissance en me rappelant que je suis sa chienne, son défouloir et son objet sexuel vivant, je dois lui raconter dans les moindres détails, surtout les plus obscènes, la séance que je viens de vivre avec une autre soumise...

Mais surtout que je suis là pour la faire jouir comme elle le veut et le nombre de fois qu'elle en a envie en me consacrant uniquement à son corps... Elle est tellement excitée, qu'elle jouit trois fois d'affilée sous ma langue, et je me sens fière et heureuse aussi bien de ses orgasmes que d'être la carpette obéissante d'une Maîtresse aussi fabuleuse qu'elle...

Quelle Maîtresse pourrait m'humilier et se servir de moi mieux que ma Cathy ? A vous de voir en images...

A 20h pile je suis chez moi et Yves m'accueille comme si je rentrais de faire du shopping avec Cathy... Il ne peut pas ne pas voir mes traits tirés et se contente de sourire quand je l'embrasse tendrement...

 FIN

et à suivre > Le voyage initiatique de Loré dans le célèbre Château du Marquis de Sade...

"Loré au Château du Marquis de Sade > 1/3"

 

Petit rappel 

 

Rappelons que le soir du Réveillon de Noël, Cathy a pris une photo de moi, nue et souriante qu'elle a mise en ligne sur un site qui m’a fait passer l'après midi du 27 avec de nombreux partenaires et des clients.

 

Chapitre 1

 

C'est donc fourbue et honteuse que, le 27 au soir, je rentre à la maison tout en sachant que le lendemain à 8 heures, Cathy venait me prendre pour aller passer ce "Weekend au Château du Marquis de Sade". 

 

Yves m’embrasse sans poser de questions, je le câline un peu avant d'aller prendre une douche réparatrice et de me mettre au lit, nue, pour lui indiquer que j’étais disponible…

… Je m'endors de suite. Mais quelques minutes plus tard un frôlement de ma chatte me fait ouvrir les yeux : Yves me caresse l’entrée du vagin avec sa bite raide et gonflée… 

... en souriant je lève les jambes en lui murmurant : « Ce soir, je ne suis vierge, d’aucun trou… J’ai fait la pute pour Cathy… J'ai gagné 1.500€ avec deux hommes, 1.000$ avec une américaine dominante, 300€ avec une avocate dominante, 600€ avec une femme sado et 1.500€ avec 1 autre soumise et 2 hommes et 1 femme dominants... Alors baise-moi comme une traînée… ».

Il se contente de sourire et m'enfile d'un seul coup de reins... 

et c'est le vagin rempli de son sperme que je me rendors...

Le lendemain, je me lève avant lui, lui prépare un bon petit déjeuner et je le réveille en lui faisant une belle pipe gourmande…

 

… Il me caresse les cheveux pendant que j'avale son sperme et que je lui nettoie la queue avant de déjeuner ensemble sur le lit… Je l’embrasse longuement sur la bouche en lui remerciant pour ce qu’il est… et je file sous la douche pour me laver soigneusement…

…Comme Cathy ne m’a pas donnée de consignes, je m’habille comme pour aller au bureau… Cathy est ponctuelle, elle accepte un café rapide et nous embrassons Yves qui nous souhaite un bon weekend…

 

Chapitre 2

 

Nous roulons vers la gare en silence… Elle s’arrête sur un parking isolé et me dit : « Tu sais que les chiottes des trains ne sont pas très propres, il vaut mieux que tu pisses dehors debout près de la voiture »… Je comprends que ce n’est pas un conseil et, un peu honteuse, j’exécute son ordre…

… Arrivées sur le quai, elle salue un homme bardé d’appareils photos : « Bonjour Léo, voilà ma putain soumise ». Yeux baissés je le salue d’un mouvement de tête et je les suis. Léo dit à Cathy : « J’ai remarqué que le wagon de queue était vide, ce serait bien d’y aller ». Cathy approuve et, quand le train démarre, nous sommes en effet seuls dans le compartiment. Elle me tend des vêtements pour me changer, je le fais devant eux : « Léo, j’ai besoin d’une série d’une amatrice s’exhibant avec les yeux floutés, donc ne t’occupe pas de son visage »… Les ordres se succèdent, de la position la plus sage…

 

 

 

… à d’autres plus obscènes…

 

  

… Nous finissons cinq minutes avant de changer de train. Cathy me tend une superbe parure de soie en dentelle noir et blanc, des porte-jarretelles, un faux diamant qu’elle m’enfonce dans le nombril et des escarpins trop hauts pour moi… Je remets mon manteau et nous passons rapidement d’un train à l’autre…

 

Chapitre 3

 

Le nouveau train n’a que peu de wagons, Léo n’a à proposer qu’un wagon dans lequel il n'y a que deux voyageurs… Cathy sourit en disant : « Ça ne fait rien, on va s’arranger avec eux ».

Elle s’approche des deux hommes et leur dit d’une voix charmeuse : « Messieurs, nous allons prendre des photos de charme, alors si vous êtes pudibonds, changez de wagon, mais si vous êtes voyeurs, vous aurez une bonne surprise à la fin des prises de vue ». L’un des deux sourit en lui disant qu’il sera très heureux de la mater…

Elle éclate de rire en me montrant : « Non c’est mon esclave qui va poser ! ».

Les deux hommes intrigués par le mot esclave ne comptent pas changer de wagons. Cathy tend un petit papier à Léo sur lequel une quinzaine de photos sont mises en scène… Elle me précise qu’on verra mon visage et que je dois sourire en restant énigmatique et un peu hautaine… Cathy sait vraiment ce qu’elle veut…

Chaque pose nécessite au moins deux ou trois photos…

 

 

 

 

 

 

 

… Une heure après Léo annonce que tout est dans la boîte… Cathy regarde sa montre… « C’est parfait et il nous reste une demi-heure… Ma petite pute tu devrais faire plaisir à nos invités »… Les hommes comprennent quand ils me voient m'approcher d’eux sans rien cacher de ma nudité… Agenouillée devant eux, je mets à nu leurs bites déjà bien gonflées, et, sans fausse pudeur je léchouille à tour de rôle leurs glands…

 

  

... avant de baisser la tête pour leur lécher les couilles…

 

… et quand ils sont bien durs je les enfile le plus loin possible dans ma bouche…

 

... jusqu’à ce qu’ils demandent grâce… Je me relève alors, m’empale sur celui qui est assis et prends la pine de l’autre dans ma bouche…

... et c’est comme ça qu’ils s’envoient en l’air en grognant de plaisir… J’ai à peine le temps de me passer un kleenex sur la chatte, de m’habiller avec ce que me donne Cathy et nous changeons de train…

 

Chapitre 4

 

C’est une grande ligne qui va nous conduire en une heure près du Château. Aucun compartiment n’est libre. Cathy la décideuse en choisit un et me fait asseoir face à un brave papy appuyé sur sa canne…

 

… Cathy engage la conversation : « Vous avez un joli paysage devant vous, n’est ce pas Papy ? ». L’homme rit de bon cœur : « Vous parlez de la campagne qui défile ou de cette jolie fille ? ». « Des deux mon cher, vous voulez en savoir plus sur elle ? ». « Bah il faut bien tuer le temps, je suis friand de l’histoire des autres : allez y ! ». « C’est une putain professionnelle, hier elle a eu une dizaine de rendez vous à Issoire et là elle se rend à Valence où l’attendent de nombreux habitués ! ». « Eh bien on ne le croirait pas, on dirait une jeune femme bien sage, comme quoi ! ». « Eh oui Papy il ne faut pas se fier aux apparences, essayez donc de lui demander d’ouvrir son manteau devant vous, vous allez voir sa réaction ! ». « Elle va surement me gifler mais à mon âge, j’en ai vu d’autres ! »…

 

... « Vous voyez, elle vous a même souri ! »… « Oui, mais vous savez ma pauvre dame, j’aimerais bien en voir plus mais je n’ai qu’une petite retraite ! ». « Oh, elle a gagne tellement d’argent avec son cul qu’elle peut bien vous faire plaisir gratuitement, pas vrai ma petite pute ? »… « Oui, Madame, si ça fait plaisir à Monsieur »… Flairant la bonne aubaine, le Papy devient plus curieux et il me demande d’écarter ma culotte pour voir ma chatte…

… Sa main s’enhardit sur mes cuisses…

 

... jusqu’à me toucher la chatte…

 

... pour constater que je suis trempée… Puis il monte sa main et sort mes seins du corset… Il me caresse doucement en voyant mes tétons durcir d’eux-mêmes…

 

… Voyant que je me laisse faire, il reprend possession de ma chatte qu’il doigte franchement en se régalant des bruits obscènes que ses doigts font en coulissant dans mon fourreau trempé…

  

 

… Tout cela l’a excité car il sort une bite un peu molle de son pantalon et commence à se branler devant moi...

… Mais je ne veux pas l’avoir allumé sans l’éteindre et, m’agenouillant devant lui, je m’occupe de sa bite avec ma main et ma bouche…

 

 

… jusqu’à ce que ce brave homme se répande dans ma bouche, chose qui n’a pas du lui arriver depuis bien longtemps… Il se rhabille, juste quand le contrôleur passe pour nous signaler que nous sommes à dix minutes de Valence... Nous rassemblons nos affaires, je vais me rafraîchir la bouche aux wcs, me change et nous saluons le papy encore béat de joie qui nous remercie mille et mille fois…

 

 Chapitre 5

 

Le froid nous saisit, il neigeote et nous nous précipitons dans la chaleur d’un taxi à qui Cathy donne le nom du Château. « Bien Madame, il nous faudra environ une petite demi-heure pour y arriver si cette fichue neige ne s’épaissit pas ! ». Cathy, bien calée dans son siège, s’endort me laissant à ma peur de l’avenir et aux souvenirs déjà nombreux de cette matinée. Je regarde le paysage tout blanc…

Nous arrivons, la couche de neige est très épaisse…

Cathy règle le chauffeur et nous descendons…

Elle me dit : « Il est rare que je te dise ce que vais te faire, mais là je ne résiste pas : écoute bien ce qui va t’arriver »… Au fur et à mesure qu’elle me décrit la situation ma peau se couvre de chair de poule… Je prie presque pour que Cathy puisse me faire vivre cette scène que j’imagine très bien dans ma tête…

 

 

… Elle pousse la porte d’entrée du château qui est en fait une grande bâtisse rénovée à proximité d’un vrai château en ruines.

Nous sommes accueillies par une femme très agréable, vêtue simplement d’un jean, d’un gros pull et de snow-boots…

« Bonjour je m’appelle Anne-Marie, mais tout le monde m’appelle Nana, entrez vite, il fait bien chaud dans le bâtiment ! ».

Cathy donne son nom de réservation et mon nom d’esclave… Nana, rit : « Oh pour elle, pas de problèmes, toutes les soumises portent des numéros, c’est beaucoup plus simple ! ». Elle indique à Cathy qu’elle a la chambre 7 et que sur le lit, il y a ma première tenue. « Vous avez rendez vous dans une vingtaine de minutes : Cathy, tenue cool de rigueur et un masque facultatif, bien sur ta soumise doit être visage découvert, allez, c’est tout droit, sur la droite… A tout de suite… »

 

Chapitre 6

 

La chambre est très confortable, une immense cheminée ronronne donnant une chaleur presque trop élevée.

A ma grande surprise, Cathy se déshabille entièrement et me dit d’en faire autant : « Tu as cinq minutes pour prendre une douche et bien te nettoyer les trous, et après la mienne, tu t’occuperas de moi ! Allez bouge ton cul ! ».

Je me douche rapidement en me savonnant longuement le cul et la chatte, j’évite de me mouiller les cheveux et quelques minutes après, c’est Cathy qui se douche… Quand elle revient, elle se couche sur le dos sur le lit et me dit simplement : « Allez petite pute, fais ton travail »… J’essaye de la satisfaire au mieux…

 

 

… et je suis récompensée par un bel orgasme… Il est midi, nous allons être en retard, pendant qu’elle enfile à même la peau un gros pull à col roulé, des bottes et un pantalon de laine, je mets la tenue qui m’a été imposée. Et cinq minutes après nous rejoignons la grande salle. Nana rit : « Et voilà Cathy et son esclave, vous pouvez vous rapprocher du buffet réservé aux propriétaires des esclaves ! ». Cathy me laisse alors que Nana me guide vers un groupe de filles, habillées très sexy, comme moi. Mon regard parcoure la salle : il y a une vingtaine de personnes, partagées à peu près également entre hommes et femmes, peu sont masquées.

 

Chapitre 7

 

Quand tout le monde est là, elle se met au milieu de la pièce : « Merci d'être venus : vous êtes vingt trois dominants, et vous avez douze esclaves qui sont là de leur plein gré, en ce moment même, Gilbert, mon associé leur fait signer un contrat et leur attribue un numéro qui servira à les identifier… Je vais passer parmi vous et vous donner un petit dépliant qui décrit nos installations composées de ce grand salon et de salons à thème. Tout est sous caméras vidéo et retransmis dans le grand salon. En fin de weekend vous aurez le DVD des exploits de votre esclave. Si vous avez des questions posez-les pendant que je vous distribue les prospectus »…

 

Une main se lève : « Nana, j’ai remarqué qu’il n’y avait qu’un lit dans ma chambre, où va dormir mon esclave ? ». « Tu ouvres ton armoire et tu trouveras des menottes et des chaînes, donc elle peut dormir enchaînée, debout, à genoux ou couchée sur ta carpette ou dans le couloir, je te dirais bien de la faire dormir à poil dehors, mais elle risque de congeler ! ». Une autre question fuse : « Je vois que dans les salons à thème il peut y avoir des spectateurs, comment sont-ils choisis ? ». « Bonne question, si tu vas avec une soumise dans un salon à thème, c’est après inscription auprès de moi, et les spectateurs intéressés doivent aussi me demander de les mettre sur la liste, quand le salon est complet, tu es le Maître de ton salon pour une heure : autrement dit, je gère les soumises et les spectateurs en m’assurant que tout le monde ait sa part de jouissances »

 

Chapitre 8

 

« Bien, nous allons débuter par trois défilés des putes : le premier en tenue sexy, le deuxième à demi-nues et le dernier à poil… A la fin de chaque défilé vous voterez pour éliminer deux soumises, ce qui nous donnera six finalistes à qui nous destinons de vraies épreuves. Au final vous élirez la Reine et la Duchesse… Bien sur, ce sont elles qui seront le plus demandées, mais je veillerai à satisfaire tout le monde… Allez nous démarrons et mes salopes, soyez naturelles, vos charmes doivent suffire à faire bander et mouiller vos dominants ! »…

Gilbert nous demande de faire deux tours devant les spectateurs et de parcourir deux fois les allées entre les rangées de fauteuil avant de revenir vers lui… Nous nous succédons en tenue sexy…

 

  

… Quand vient mon tour…

 

... j’ai du mal à être détendue. A mon passage, Cathy me glisse un : « Souris putain, tu ne vas pas te faire éliminer au premier tour ! »… Les autres terminent...

 

 

 

« Vous avez vu toutes les esclaves dans des tenues sexy,

je vais passer parmi vous pour récupérer vos votes ». Après comptage, ce sont les esclaves…

 

...qui doivent abandonner la compétition. Nana les rassure en leur disant que les résultats étaient très serrés et qu’elles seraient surement très demandées. Entre temps, son associé nous a entraînées derrière le rideau où nous enfilons des tenues qu’il nous impose. « Les huit femelles restantes vont maintenant défiler demi-nues ! ». Certaines sont seins nus…

 

  

... d’autres comme moi… ont la chatte et le cul nus... et la dernière est en collants seins nus...

 

 

… Les réflexions se font plus hards et des mains me frôlent au passage. Après avoir recueilli les résultats, je suis curieusement fière de rester dans les qualifiées, et deux filles nous quittent...

 

Chapitre 9

 

« Une petite pause buffet avant que les huit putes restantes ne se montrent à poil devant vous : ce sera leur épreuve de vérité »…

Nous, nous passons derrière le rideau pour nous déshabiller devant Gilbert qui ne rate rien du spectacle… Quand Nana nous appelle, nous sortons une à une de derrière le rideau… Les spectateurs applaudissent à notre passage…

 

 

 

 

… J’ai le petit avantage de passer en dernier…

… A l’issue de cette épreuve très humiliante, deux filles que j’estimais plus belles que moi doivent nous quitter…

 

… Nana les rassure en leur disant qu’elle a déjà des réservations pour elles… « Nous avons nos six finalistes à qui nous avons réservé des épreuves plus en adéquation avec Sade ! ». Les spectateurs applaudissent, visiblement ils ont besoin d’action… Gilbert lève un deuxième rideau qui dévoile un décor très différent. Je frissonne de peur à la vue des cordes, des chaînes et des billots de bois. Gilbert nous fait aligner nues devant le décor…

... Alors que Nana donne les règles du jeu : « Nous avons rapproché vos fauteuils pour une meilleure visibilité et derrière vous il y a la table des arbitres à qui vous communiquerez vos résultats…

… Pour commencer, nous allons numéroter ces charmantes petites putes ! ». Gilbert passe derrière nous et nous numérote au feutre sur le haut de la fesse droite et au dessus du sein droit, comme de vulgaires animaux…

 

 Chapitre 10

 

« La première épreuve est l’élection du plus beau cul, et pour se faire, nous allons mettre aux fers ces charmantes créatures dociles »…

 

… Après une longue exposition de nos culs, Nana demande à chacun d’aller donner son classement aux arbitres et annonce que la prochaine épreuve sera de tester notre équilibre… Pour ce faire, un assistant à déposé devant chacune de nous un petit billot de bois sur lequel nous devons monter et tenir cinq minutes, alors que la circonférence du billot ne permet pas de poser nos deux pieds…

 

 

… Une fois l’épreuve notée… Gilbert nous enchaîne assises côte à côte…

 

… alors que Nana annonce que la prochaine épreuve permettra de juger notre enthousiasme à faire des pipes en pompant un gode fixé sur un support en bois… Nous y passons toutes en faisant de notre mieux…

 

 

 

  

… Cette épreuve en public m’excite terriblement et je ferme les yeux imaginant que je pompe une vraie bite d’homme avec la volonté de lui arracher son foutre…

Après le vote, nous retournons nous asseoir par terre…

Gilbert et son assistant nous enchaînent et nous menottent les poignets, alors que Nana dévoile la règle de ce jeu : « Voilà qui devrait exciter toute la salle : poignets enchaînés, nos putes vont ouvrir leurs cuisses et se branler pour se faire jouir le plus de fois possible en vingt minutes… Tout en sachant que la salle est pleine d’experts qui sauront déceler la moindre simulation ! ».

Un silence pesant se fait dans la salle et nous faisons des efforts pour nous faire jouir le plus rapidement et le plus de fois possible…

  

 

 

… Je n’arrive à jouir que deux fois alors que ma voisine s’envoie en l’air trois fois, je sais que je vais perdre des points mais ces orgasmes m’ont terriblement excitée et je sens que ma mouille coule de ma chatte vers mon anus.

 

Chapitre 11

 

L’épreuve suivante permet à celles qui n’ont pas pu jouir de se rattraper en s’empalant sur des billots de bois surmontés d’une énorme bite faite du même bois…

 

 

… La pénétration est terriblement douloureuse, mais si j’en juge par mon état, nous devons être toutes trempées et le quart d’heure qu’on nous octroie est suffisant pour que les orgasmes fusent de partout, j’arrive à jouir encore deux fois et me retrouve totalement épuisée alors que Nana annonce la dernière épreuve : « Le visage peut être important dans vos votes, c’est pour cela que nous allons vous présenter nos putes visages cachés dans des caisses en bois...

 

... comme ça vous ne jugerez que ce qui est intéressant : leurs nichons, leurs cons et leurs rondeurs… Je vous laisse dix minutes pour faire votre choix ».

A l’intérieur de ma caisse, je sens des dizaines d’yeux me fouiller le corps en me jugeant et en me jaugeant…

Je regrette sincèrement de ne pas pouvoir me caresser pour leur prouver que je suis probablement l’une des plus chaudes de la salle ! Nana annonce d’une voie enjouée que le concours est fini et qu’elle annoncera les résultats dans quelques petites minutes. Gilbert s’affaire pour nous délivrer et nous aligne debout, côté à côte, nues, mains dans le dos et cuisses ouvertes…

 

Chapitre 12

 

Les invités retournent au buffet alors que Nana participe au dépouillement informatisé… Quand tout le monde a reprit sa place, Nana a le classement en main : « Je vous rappelle que vos esclaves sont numérotées de 32 à 37, vous avez désigné la 33 comme sixième, applaudissez là et nous allons de suite lui donner sa récompense devant vous ! ».

C’est Gilbert et son assistant qui se chargent d’elle : il sort sa bite tendue, l’allonge sur un guéridon haut et la couche à plat ventre et sans aucune précaution il l’encule d’un seul coup de rein…

  

... La salle est tellement chaude que des cris et des applaudissements saluent chaque coup de boutoir… Quand il l’a bien limée, il l’agenouille devant lui; lui glisse sa bite tout juste sortie de son trou du cul chaud dans la bouche et se fait lécher et sucer…

 

et il finit par éjaculer en lui maculant le visage et les cheveux... 

... et, ce, sous un tonnerre d’applaudissements…

En regardant la salle, je constate que la tenue s'est relâchée : une femme à demi-nue a sa main glissée dans sa culotte et se masturbe frénétiquement alors qu’à deux mètres d’elle un homme a carrément baissé son pantalon

pour branler sa bite plus que correcte…

  

… Dans un autre coin de la salle, une femme yeux bandés s’est allongée cuisses ouvertes et quasiment nue pour permettre à son compagnon de la branler à son aise alors qu’un autre branle sa voisine en levrette…

  

Nana semble très contente de la tournure des événements et encourage tout le monde à se lâcher et à satisfaire ses envies en annonçant la cinquième : la 37…

Je sais donc que je suis dans les quatre finalistes puisque je suis la 34, j’espère que Cathy sera fière de moi ! La 37 a de suite droit à sa récompense : choisir une de ses collègues pour un soixante neuf… avec l’obligation de jouir sous sa langue sans que sa collègue désignée ne puisse jouir…

Elle choisit la 36 qui la fait jouir en un temps record !

 

 Chapitre 13

« Voilà qui fait plaisir à voir, je pense qu’elle en avait réellement très envie »

dit Nana avec un brin d’humour...

« La quatrième est la 36 et la troisième la 34, bravo salopes, je crois que vous allez être très demandées, mais si vous avez été jugées sur votre physique ou vos aptitudes à jouir, nous allons vous récompenser toutes les deux en vous permettant de démontrer que vous êtes de vraies esclaves bien dressées, obéissantes, et surtout masos et endurantes, Gilbert à toi ! ».

Entre temps ce dernier a préparé un décor de cave et m’a tendu un débardeur rouge, une culotte assortie et une mini jupe en jean.

Son assistant m’a attachée solidement sur une chaise en bois… alors que ma compagne de séance restera visiblement nue...

  

Gilbert et son assistant se révèlent des dominants vicieux et expérimentés en bondage, positions obscènes, cordes entre les cuisses... pinces et autres godes pour bien faire jouir deux esclaves, masos, gouines et super obéissantes autant que salopes et vicieuses...

 

 

 

 

  

… Je termine cette séance en ayant mal partout et en estimant au fond de moi que ce n’était pas vraiment une récompense, bien qu’en moins d’une demi-heure j’ai réussi à m’envoyer en l’air deux fois, sans pouvoir résister aux frottements de la corde profondément enfoncée dans ma chatte ni à la langue expérimentée de ma partenaire...

Le rideau se baisse sur un tonnerre d’applaudissements et quand, quelques minutes plus tard je reviens dans la salle vêtue d’un simple peignoir ultra court et non boutonné, marqué de mon numéro 34, je suis stupéfaite :

la salle est à présent surchauffée et peu de participants sont encore entièrement vêtus… Les femmes semblent déchaînées : deux d'entre elles, encore habillées, branlent frénétiquement deux bites…

 

… Alors qu’une jeune beauté entièrement nue et visage découvert se régale du sperme de deux bites qu’elle vient de branler jusqu’à boire les foutres...

 

… Vue cette ambiance, je redoute de plus en plus les séances dans les salons à thèmes… Mais, après tout, je sais pourquoi j’ai suivi Cathy ici.

Donc, je me dois d’assumer et en plus j’en ai envie !

 

 Chapitre 14

 

Tout le monde sait que les deux premières sont les 32 et 35,

mais dans quel ordre ? Nana ne fait pas plus attendre son auditoire et annonce que la Reine est la 32 et que la Duchesse est la 35, et qu’elles vont de suite recevoir ensemble leur récompense… Les deux stars de la soirée ont droit à une séance beaucoup plus dure que celle que j’ai subie avec ma collègue !...

 

 

 

 

 

… Les séances de suspensions que leur ont infligées les hommes ont du être terriblement douloureuses... mais aucun cri n’est sorti de leurs bouches,

elles ont prouvé à tous qu’elles méritaient bien d’être les deux reines de ce weekend, et je suppose que tout le monde s’est précipité sur Nana pour les retenir...

Les participants se rajustent et Nana nous fait applaudir chaudement par tout le monde… Nous sommes toutes en peignoir numéroté et Nana nous autorise à nous approcher du buffet pour nous restaurer…

Cathy s’approche de moi par derrière et m’embrasse longuement sur la bouche…

 

 

« A 34 ans tu ne pouvais pas espérer plus, je suis contente que tu sois troisième, et j’ai entendu des commentaires sur toi : beaucoup pensent que tu es une vraie salope qui aime le vice et qui est ici pour son plaisir : tu vas donc être très demandée, continue sur ta lancée, je veux partir de ce château en étant fière de toi, compris ma pute ? ».

« Oui Madame, je ferai tout pour ne pas vous décevoir, comptez sur moi ».

Nana s’adresse à tout le monde : « Chers amis, il est 15h30, nous allons laisser une petite demi-heure de repos à nos esclaves pour se doucher… J’ai déjà beaucoup d’inscriptions pour les salons mais il reste de la place ! »

 

 Chapitre 15

 

Je demande à Gilbert où je peux aller me doucher, il me répond :

« Demande à 33 elle te guidera ».

Je trouve ma collègue au buffet et lui demande si elle peut m’accompagner. Elle sourit en me répondant qu’elle y va et qu’elle est contente que ce soit avec moi car elle m’a remarquée. Je la remercie d’un sourire et la suis.

Nous entrons dans une salle de bains dont la porte ne ferme pas à clé et ôtons nos peignoirs : « J’ai beaucoup apprécié ton show, tu m’as fait mouiller comme une fontaine et je n’ai regardé que toi : tu as beaucoup de classe… Je suis gouine, ça te dérange ? ». Je lui réponds en souriant que dans ce château, il semble malvenu d’être dérangée par quelque chose !

« En plus d’être bandante tu es intelligente ! »…

Et l’instant d’après pendant qu’elle fait couler le bain, je me retrouve dans ses bras pour un tendre et long baiser suivi d’un bain plus qu’excitant pendant lequel nous nous donnons mutuellement un tendre plaisir…

Ce qui nous change des orgasmes très durs que nous avons du offrir aux spectateurs. Et c’est toutes propres et en pleine forme que nous rejoignons le salon…

Chapitre 16

En rentrant dans la salle nous constatons une grande effervescence autour de la table de réservations...

Mais peu à peu, la situation se décante et les filles sont appelées une à une.

Elles quittent le bar en suivant un homme, une femme ou un couple parfois accompagnés d’un groupe de spectateurs.

Cathy s'approche de moi et, après avoir fait durcir mes pointes de seins pour s'assurer que je suis toujours chaude, elle me dit :

« J'ai décidé de suivre tes aventures devant un écran géant, mais sache que je garde l'œil sur toi, je compte sur ton obéissance, ton vice et ton endurance pour me rendre fière de toi et si tu fais une faute je m'arrangerai pour que tu ailles dans un salon dont tu ne ressortiras pas intacte... crois moi ! ».

Elle s'éloigne sans attendre de réponse alors que Nana appelle la 34...

Je la rejoins un peu inquiète. « Tu as de la chance petite pute, tu vas démarrer par un des salons les plus softs du château, Gilbert va t'y conduire : défonce toi pour faire plaisir à ta propriétaire... »

Nous passons chez l’habilleuse puis Gilbert me conduit dans mon premier salon, je constate que c'est un glory-hole…

« Baisse ta jupe, assieds toi sur la cuvette, j'espère pour toi que la bite qui va se présenter sera propre, cajole la bien et fais la jouir... Allez régale toi bien ! »…

 

… La bite qui se présente est dure et fièrement dressée et je peux constater avec plaisir qu'elle est impeccablement propre, je commence de suite à m'en occuper en la branlant...

 

Suite dans "Loré au Château du Marquis

de Sade 2/3" >

"Loré au Château

du Marquis de Sade > 2/3"

 

… Puis ma bouche entre en scène en provoquant les gémissements de l'inconnu, je lui lèche les couilles…

 

 

 

… avant de m'appliquer à l'enfoncer jusqu'au plus profond de ma gorge…

 

 

 

 

… en réprimant mes nausées tout en essayant de lui donner un maximum de plaisir... Pensant à Cathy, je reste souriante et décontractée tout au long de ma fellation et quand les gémissements de l'homme me signalent qu'il ne va pas pouvoir se retenir plus… j'enlève le haut et c'est nue que je le finis entre ma bouche et ma main recevant son sperme chaud sur le haut de mon buste...

 

 

 

 

… Je le nettoie soigneusement en avalant le reste de son sperme. L'homme repu se retire et je me retrouve seule et nue dans ces toilettes… Je m’essuie sommairement avec du papier toilette…

 

Chapitre 17

 

Quelques minutes plus tard, Gilbert revient me chercher et après une douche rapide et une pose chez l'habilleuse pour enfiler un petit déshabillé rose et des escarpins noirs, il me guide vers un autre salon où m'attendent trois jeunes noirs qui, après m'avoir matée…

 

 

 

… me font mettre à poil devant une demi douzaine de voyeurs qui semblent apprécier cette partouze annoncée entre une blanche et trois noirs qui promet d’être chaude vue la taille des bites de jeunes hommes… Ils n’épargnent aucun de mes trous et multiplient les doubles et triples pénétrations, me faisant hurler plusieurs fois de plaisir…

 

 

 

 

 

 

 

… Quand ils en ont fini avec moi, je pense en moi-même que je commence à beaucoup aimer ces salons à thème… ils ont joui deux fois chacun… ce qui satisfait pleinement ma libido démesurée !

 

Chapitre 18

 

Je vais à la douche les jambes flageolantes et l'habilleuse m'équipe avec une curieuse tenue de cuir qui laisse mon cul, mon sexe et mes seins nus.

Gilbert me conduit dans un salon qui est dans le noir absolu, exception faite

d'une scène sur laquelle est disposée une table médicale derrière laquelle trône une machine à baiser...

Je comprends vite qu'il n'y aura peu d'intervention extérieure et que cette machine va user et abuser de moi pour faire plaisir aux voyeurs en leur offrant mes orgasmes...

Le mandrin de la machine est d'une taille raisonnable et, un peu contractée, je m'installe en levrette sur la table... Une main anonyme fixe mon harnais à des chaînes, dirige le gland vers ma chatte et met la machine en route.

Je me retrouve livrée à moi même en tournant le dos à cette machine qui fait son œuvre en moi... En levrette le mandrin est juste à la hauteur de mon sexe et n'a aucun mal à s'enfoncer en moi : il me pistonne à une allure inouïe, et dans tous les cas beaucoup plus rapidement que ne le ferait un homme...

 

 

 

… Après deux orgasmes que je ne peux cacher à mes spectateurs, l'inconnu revient, me fait me redresser et ouvrir mes fesses de mes mains avant d'appliquer la tête du mandrin sur mon anus, ce qui est applaudit par tout le monde et lentement mais trop excitée par la situation et les regards qui me fouillent je m'achemine vers un orgasme du cul, très rare chez moi mais très spectaculaire et qui ne laisse personne indifférent...

 

  

 

… Après cette série d'orgasmes, je m'écroule sur la table, alors que la salle se vide... Gilbert vient me délier et, après la douche il me dit que ma Maîtresse m'attend dans son salon...

 

Chapitre 19

 

Quand je la rejoins, elle est seule dans son salon, face à un grand écran plat : « Nous allons regarder ensemble une séance très dure, pour laquelle tu n’es pas encore prête… Je suis sure que ça te plaira et que tu me supplieras bientôt de t’anneler pour bien affirmer ta condition d'esclave ! ».

Elle s'assied, jupe relevée, chatte nue et cuisses ouvertes et choisit une position qui me permette de voir l'écran tout en lui mangeant la chatte...

La séance est en effet très dure et éprouvante à suivre, j'espère en moi même que je n'arriverai jamais à ce point...

 

 

 

 

 

 

… Cathy a déjà joui une fois et elle me prend par les cheveux pour mieux plaquer ma bouche contre sa chatte gluante en me murmurant :

« Regarde bien salope, tu es trop débutante pour subir ça, mais la prochaine fois tu te retrouveras comme cette pute sur ta chaise électrique avec les nichons pompés tu verras que très vite tu ne pourras plus t'en passer ! »…

 

 

 

… Elle est repue quand la séance cesse... Je me mets à la place de cette soumise qui a subi une séance que je n'aurais jamais pu supporter mais Cathy

sentant ma crainte me rassure : "Tu y viendras un jour... mais pas tout de suite, tu as encore une longue éducation à subir !"

 

Chapitre 20 

 

Elle me redresse et me dit :

« Avant de te laisser continuer dans les salons qui t'attendent... je suppose que tu te rappelles de ma promesse quand nous sommes arrivées au château ? ».

« Oui, Madame, je m'en souviens très bien ».

« Parfait, reste à poil et suis moi, nous allons prendre l'air ».

Je la suis un peu inquiète, au passage elle enfile son manteau, demande à Nana quelqu'un pour l'aider, prends un vibro-masseur et nous sortons tous les trois dans la cour enneigée... Elle demande à l'assistant de m'attacher solidement à un arbre : « Nous allons la laisser une dizaine de minutes comme ça et après je la coucherai dans la neige pour la finir ! »...

 

...L'homme s'exécute... Au bout de dix minutes je tremble de partout,

totalement congelée, Cathy tourne autour de moi en me caressant tous les endroits sensibles ce qui, malgré le froid, m'excite au plus au point...

Elle se décide enfin à me faire libérer et m'oblige à me coucher dans la neige sur le dos après m'avoir mit des bottes et un écarteur de jambes...

 

 

… Puis en me dominant de toute sa hauteur elle pose le vibro masseur sur mon clitoris en me conseillant :

« Plus vite tu jouiras plus vite tu auras le droit de te réchauffer »…

Je suis tellement excitée que je sens mes sécrétions couler sur ma chatte congelée... Et la situation est telle que je jouis très rapidement en hurlant comme une folle ce qui fait sourire Cathy !

 

Chapitre 21 

 

Dès notre retour, Cathy retourne dans son salon, alors qu'une bonne douche chaude me fait le plus grand bien.

Je constate que cet orgasme dans des conditions un peu extrême ne m'a pas refroidie, mais bien au contraire m'a mise dans de bonnes conditions...

Dès ma sortie, Gilbert me reprend en main et après la traditionnelle habilleuse

il me conduit dans un salon où il m’enferme, très peu vêtue, dans une cage recouverte d'un rideau…

Quand le rideau est retiré je me retrouve dans un décor d'appartement encadrée de deux dominantes...

 

… Après quelques railleries en forme de bienvenue sur ma condition

de jouet destinée uniquement à leur bon plaisir et des voyeurs de la salle,

elles me sortent de la cage et commencent sans préambule à jouer

de mon obéissance et de ma résistance...

 

 

… Un bondage sévère et un bâillon démarrent la séance alors que je dois nettoyer un escarpin avec ma langue... Mais l'humiliation n'est pas la seule spécialité de ces femmes qui me fessent mon cul nu et se font lécher les chattes avant de s'occuper de mes tétons avec des pinces extrêmement dures...

 

 

… Puis après m'avoir posé un écarteur de pieds, elles se munissent de godes ceinture impressionnants et profitent de mes orifices sans aucune vergogne

ni tendresse me pénétrant comme si elles voulaient me défoncer...

 

 

 

 

 

… Elles se partagent entre ma bouche et ma chatte avant de m'imposer

une double pénétration qui ne me donne aucune possibilité d'éviter un orgasme applaudit par la salle…

Elles finissent en m'attachant en croix contre une paroi et en m'obligeant à pisser longuement dans une cuvette de métal placée sous moi…

 

 

Elles me laissent comme ça… Quand Gilbert me voit dans cette position obscène,

il me dit : « Je savais que tu étais la plus salope du lot ! »…

Sitôt détachée il me couche en levrette sur une table et après quelques allers

et retours dans mon ventre…

 

 

  

… il se vide les couilles dans mon cul avec un réel soulagement

accompagné de soupirs de joie...

« Comme tu n'es qu'un sac à foutre... pas de douche, tu vas directement t'habiller et je te conduirai à ton prochain salon où tu es attendue ! »

 

Chapitre 22 

 

Quand j'entre, je me demande ce qui va m'arriver, mais comme j'enchaîne

les jouissances, je suis dans un état second et je me sens prête à toutes

les humiliations, ce pourquoi je suis venue…

Apparemment je ne vois pas de spectateurs...

mais je sais que les caméras sont là...

Une femme ne tarde pas à entrer... son visage est aimable mais ses yeux vicieux et mon intuition féminine ne me trompe pas car je passe un moment

redoutablement douloureux et humiliant avec elle...

 

  

 

 

  

  

  

 

 

… Elle termine en me fistant tout en se faisant jouir bruyamment...

« Tu dois te demander pourquoi je n'ai pas voulu de spectateurs dans le salon ? C'est simplement parce que je t'avais remarquée et j'ai entendu dire de toi que tu étais la plus salope et que tu faisais tout par plaisir et non par obligation...

Et ce tête à tête me l'a prouvé tu es vraiment une chienne née et ta propriétaire a beaucoup de chance ! ».

Elle se rhabille et sort du salon me laissant nue couchée sur le sol, un peu groggy…

 

Chapitre 23 

 

C'est un autre assistant qui vient me faire faire le circuit traditionnel de la douche et de l'habilleuse avant de me conduire dans un autre salon où m'attend

un dominant et une demi-douzaine de voyeurs, assis en demi-cercle autour

d'une scène reconstituant une cave...

 

 

 

  

 

 

  

 

… Quand l'homme cesse de s'occuper de moi, nue, attachée sur une chaise,

je réalise que j'ai rarement rencontré un dominant de cette trempe :

très fort en bondage et en douleurs variées mais en même temps très attentif

au plaisir de sa soumise, car, je ne sais pas combien de temps a duré la séance, mais entre le vibro-masseur et le pieu avec lequel il m'a défoncée,

j'ai joui trois fois... Et je garde en tête l'orgasme extrêmement dur que j'ai eu, suspendue par les pieds, seins lestés avec le pieu au fond de moi et celui du cul qu'il a eu du mal à obtenir de moi en toute fin de séance... Je lui souris…

 

 

… il sourit en me regardant : "Dur de t'envoyer en l'air par le cul ! Mais j'y suis arrivé ! Tu es vraiment une soumise idéale, maso mais résistante et d'une obéissance parfaite doublée d'une envie de jouir que doivent t'envier

bon nombre de femmes"...

Je ne réponds rien alors qu'il quitte le salon, mais j'espère que Cathy sera fière

de ces compliments d'un professionnel de la domination...

 

Chapitre 24 

 

Gilbert vient me délivrer et m'indique qu'après la douche je dois me rendre

à poil dans la grande salle. J'y arrive alors que Nana annonce aux participants

que la soirée va se terminer par un bon repas gastronomique servi

par les soumises à poil...

Elle rajoute que des accessoires sont à la disposition de tout le monde

et qu'elle n'a rien à redire si la soirée se termine en partouze générale...

Les invités excités par les séances de l’après midi sont enchantés de cette aubaine et dès que nous commençons à servir les premiers plats, certaines d'entre nous sont vite détournées de leur rôle de serveuses !

 

 

 

 

 

 

 

… J'ai de la chance d'échapper aux humiliations collectives et je ne suis confrontée qu'à une domina très sévère qui s'est mis dans la tête de m'enlever la peau des fesses avec sa cravache alors que certaines de mes compagnes souffrent et sont humiliées beaucoup plus que moi...

 

 

 

 

Quand tout le monde est repu de sexe, nous terminons le service

alors que les invités inventent un jeu en trempant leurs doigts dans nos chattes

pour savoir laquelle est le plus mouillée...

 

 

 

 

 

...Nana semble aux anges, tout s'est bien déroulé,

et elle annonce que s'ils veulent retrouver des soumises en pleine forme à 9 heures du matin, il est temps d'aller au lit...

Cathy me prend par la main et nous rentrons dans sa chambre où je prends un long bain bien chaud…

Quand je reviens, je vois un drôle d’engin à côté de son lit !

Un chevalet de bois muni d’un siège et d’un carcan…

Elle me dit : « J’ai pensé que tu aimerais dormir à côté de moi ! »…

Nue, elle me fait l’enjamber… referme le carcan sur mes mains, m’attache les jambes à la base du meuble et me fait lever les fesses pour glisser sur ma chatte un vibromasseur qui me gêne quand je me rassieds…

 

 

 

A suivre dans "Loré au Château

du Marquis de Sade > 3/3" 

 

"Loré au Château du

Marquis de Sade > 3/3"

 

 

Elle va se doucher, revient en nuisette, branche le vibro sur la plus petite

vitesse en me précisant : « Je te ménage, à cette allure tu devrais jouir

toutes les heures, si je le mettais à la vitesse maximale,

tu ne serais plus vivante demain matin ! ».

Elle éteint la lumière et me dit ironiquement :

« Sache que je suis très fière de toi, ma putain… Jouis bien mais ne fais pas trop de bruit, j’ai sommeil et je ne voudrais pas que tes grognements de truie en chaleur me réveillent ! ».

Dans le noir, la chambre résonne du ronronnement régulier du vibro

qui va me tarauder toute la nuit…

 

Chapitre 25

 

 Quand elle se réveille vers 7 heures, je suis totalement épuisée...

Comme prévu le vibro trop bien placé m'a fait jouir une dizaine de fois dans la nuit... J’ai des crampes à tous les membres et le chevalet est trempé

de mes sécrétions. Tout mon corps n'est plus qu'une zone érogène et, bien sur je n’ai pas fermé l’œil de la nuit… Sans un mot, elle vient me libérer,

m'envoie à la douche en me conseillant de me presser car une surprise m’attend !

Je ne suis guère rassurée par cette promesse, mais je profite de la douche

pour bien me laver et récupérer un peu... Quand je ressors de la salle de bains

très peu vêtue : je suis en effet très surprise de retrouver Cathy

en présence de trois noirs…

Elle me dit : « J'ai remarqué que tu n'avais pas été insensible

de te faire partouzer dans un salon par trois noirs et leurs énormes bites,

alors j'ai demandé à ces trois amis de nous rejoindre dans ma chambre,

je te veux littéralement déchaînée et vous Messieurs cette pute est là pour se faire défoncer alors profitez en bien ! »…

Ils ne se le font pas répéter deux fois... et se mettent de suite à l'œuvre…

… Très vite je me sens très salope et excitée par ces énormes bites : je me livre sans aucune retenue...

… Après la nuit que j’ai passée, j'enchaîne orgasme sur orgasme

alors que les jeunes noirs pleins de santé n’arrêtent pas de me remplir

les trous jusqu’à ce que leur foutre déborde…

 

… et c'est en buvant le dernier que j'ai un orgasme en hurlant que je ne suis

qu’une pute et une chienne sans pudeur, en plein délire devant l’intensité du plaisir que je me donne devant eux… Cathy met fin à la séance en remerciant les trois hommes ravis... Quand nous sommes seules, elle me gifle violemment…

… « Tu aimes trop te faire tirer par des grosses pines, tu es écœurante de facilité et tu écartes les cuisses aussi facilement que je me lisse les cheveux…

Il est temps de te faire subir une séance où tu vas apprendre à souffrir…

J’espère que ça te calmera un peu ! ».

Je ne me m’attendais pas à cette réaction et je vais pleurer dans un coin

pendant qu’elle se prépare…

 

Chapitre 26

 

 Elle prend son temps, et nous descendons à plus de 9 heures…

Nana est en train d’attribuer les salons pour les dernières séances…

Elles s’embrassent toutes les deux et Cathy lui demande

si le salon "des plaisirs des seins" est disponible…

Nana, un peu étonnée lui répond que oui : "Mais tu crois qu’elle va le supporter ?". Cathy me regarde durement : "C’est une étape par laquelle je veux qu’elle passe : elle a trop pris son pied dans ce château, il est temps que je lui fasse faire quelque chose dont elle se souviendra toute sa vie..."

Nana sourit… « C’est ton objet, tu en fais ce que tu veux, je te réserve le "salon seins"… Mais je te conseille d’y assister, les adjoints qui y sont ne sont pas des tendres… ». « C’était mon intention, rassure toi ! ».

« Je te réserve un autre salon pour après ? La séance dure deux heures, tu as une heure devant toi »… « Oui, un petit salon cave, je vais m’occuper d’elle seule,

et je ne veux pas de voyeurs »…

Nana note tout ça et lui souhaite une bonne matinée…

« Gilbert, prépare la 34 pour le salon "plaisirs des seins" s’il te plait »…

Il me regarde un peu étonnée et sans rien dire il me conduit à la douche,

puis chez l’habilleuse et pour une fois chez la maquilleuse…

 

Chapitre 27

 

 Quand j’entre dans le donjon, très maquillée avec une longue perruque brune, seulement vêtue de bas et d’escarpins… Je suis surprise du nombre des voyeurs

et de la présence de deux assistants… Cathy est assise au premier rang…

Et, dès qu’ils s’approchent de moi avec des cordes épaisses, je ferme les yeux

en priant de pouvoir supporter cette séance que j'imagine très sado…

Les hommes me couchent sur le dos sur un chevalet de cuir

et me lient les seins à leurs bases…

Ils passent mes genoux dans un carcan et la séance commence…

 

… ces images se passent de commentaires...

Je ne pouvais pas imaginer que le BDSM pouvait en arriver là...

Car, non seulement j'ai été longuement suspendue uniquement par les seins,

mais en plus, les assistants les ont copieusement arrosés de cire fondue avant de me mettre des aspirateurs de tétons avec des aiguilles enfoncées à leurs bases...

 

Heureusement que Cathy s'est rendue compte que je venais de m'évanouir et a immédiatement stoppé ce qui n'était plus un jeu vicieux mais une véritable torture...

 

Elle demande aux spectateurs de sortir... Ils passent devant moi sans dire un mot... Alors que l'infirmière aidée par Gilbert me remettent sur pieds et m'enlèvent tous les instruments de torture...

 

Chapitre 28

 

 Elle sort en demandant à Gilbert de me préparer pour ma dernière prestation

dans un salon cave avec elle… Quelques minutes plus tard, habillée d'une jupe courte et d'un top noir,  je suis dans le salon où j’attends Cathy…

très excitée d’avoir droit à une séance en tête à tête avec elle, véritable récompense de ce weekend humiliant et très douloureux…

 

… Quand elle entre elle me dit : « Je ne pensais pas que tu résisterais aussi bien

à la séance dans le "salon des seins", je constate que tes nichons sont

bien accrochés à ton buste et que, désormais, je pourrai rajouter des aiguilles

à mes petits accessoires de domina ! Pour cette dernière séance… ne t’attends pas à ce que je sois une gouine attentionnée… Je vais te faire jouir comme tu aimes : dans la douleur et l’humiliation… ». 

 

Et elle met en application ce qu’elle vient de me dire car elle ne m’épargne rien…

Prenant plusieurs fois son plaisir mais en m’offrant aussi de nombreux orgasmes plus ou moins forcés…

...Quand elle en a fini avec moi, elle me fait mettre à poil et c’est elle-même

qui me conduit à la douche où mes vêtements de sortie sont prêts…

 

Elle s’absente pour préparer son petit bagage et nous nous rejoignons dans le hall où Nana salue tous les participants sur le départ :

« Je vous assure que nous trouverons le moyen de prolonger ce genre

de weekend... En essayant de profiter des ponts : j'ai vos e-mails,

je vous préviendrai... Mais certains d'entre vous ont un long voyage à faire..

et toutes les bonnes choses ont une fin »…

 

Gilbert remet à tous les dominants le DVD de leurs soumises...

Et nous montons dans le taxi qui nous attend devant la porte...

A peine rentrées dans le taxi, Cathy me dit :

« Rassure toi ma petite pute, j'ai pris quelques contacts pour toi !

Ce bref séjour au château aura des suites bénéfiques pour toi ! »…

Épuisées, nous somnolons dans les trains, et quelques heures plus tard,

elle me dépose chez moi en me disant :

« Récupère bien, je t’appellerai quand j’aurai besoin et envie de toi ! ».

Je prends une douche et je vais me coucher, ivre de fatigue et de plaisirs...

 

FIN