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  • Loré à Madrid tome 1

    Chapitre 1 Rewrité le 17 novembre 2018

    Les missions d'Yves, mon mari, nous amènent rarement hors de France, mais je garde un tel bon souvenir de nos trois mois passés à Madrid que je ne résiste pas à l'envie de vous en raconter les moments les plus chauds.

    Pour la durée de sa mission, son salaire ayant été doublé, je n'avais eu aucun problème pour prendre un congé sans solde. La Société nous logeait dans un appartement de grand luxe en plein centre de Madrid, à quelques pas de son bureau. Et nous ne manquions de rien.

    Le seul désavantage était que nous avions du nous résoudre à laisser Jean, mon fils d'un précédent mariage à mes beaux-parents pour ne pas bousculer ses études et je n'avais accepté d'aller à Madrid qu'en échange de la promesse du PDG de mon mari de pouvoir passer au moins deux fins de semaine par mois en France.

    Bien évidemment, le changement de pays n'avait pas influencé mon caractère et c'est Yves qui profitait de mes demandes de plus en plus fréquentes de soumission. Nous vivions heureux dans notre bulle en ayant reconstitué une panoplie d'accessoires grâce aux sex-shops en ligne particulièrement bien achalandés : l’Espagne est vraiment le paradis du BDSM qu'ils appellent DS (Dominación Sumisión)

    Mais, je ne me doutais absolument pas que mon tendre amour était en train de me préparer une surprise que je ne risquais pas d’oublier. Bien sur, il ne m'en a dévoilé les dessous et les préparatifs qu'à notre retour en France.

    Chapitre Rewrité le 17 novembre 2018

    Il n'avait pas d'amis au sein de la cellule de dix personnes qu'il avait créé lors d'un précédent séjour de jours, embryon de la future agence de sa Société en Espagne. De temps en temps, il me parlait de son équipe, et en particulier de son chef d'agence, José, qui lui semblait réunir la compétence et l'intelligence.

    Comme dans toutes les entreprises, des bruits couraient et plus particulièrement un qui avait intéressé Yves : il semblait que parmi le personnel il y aurait un Maître confirmé (que les rumeurs appelaient Amo qui signifie Maître en Espagnol) et il avait pris la décision d'en avoir le cœur net en interrogeant son collaborateur le plus proche : son adjoint José.

    Un lundi, Yves entre dans le bureau de José et, après l'avoir salué, il l’invite à déjeuner avec lui dans son restaurant quotidien, pour mieux faire connaissance dans une ambiance plus relax qu'un bureau.

    José flatté par cette demande de son chef, accepte avec plaisir et ils se quittent en se souhaitant une bonne matinée mutuelle.

    Chapitre Rewrité le 17 novembre 2018

     A 14h les deux hommes entrent dans un bon restaurant où Yves a une table réservée. Ils prennent l'apéritif et José lui demande : " Tu es content du démarrage de l'antenne espagnole de la Société ? " Yves lui confirme que tout va très bien et qu'il va même recruter cinq commerciaux de plus et que dans moins de deux mois, il pourra lui passer les commandes.

    A 14h, les deux hommes sortent de concert du bureau et se dirigent vers la cantine d'Yves où il a réservé une table dans un coin tranquille. haosé, enchanté de ces bonnes nouvelles, propose de porter un toast tandis que le serveur apporte les entrées. Ils commencent à manger alors qu'Yves lui avoue « José, je dois te dire que mon invitation n'a rien à voir avec le travail »

    José, un peu surpris, lui répond simplement : « Dis moi ce que je peux faire pour toi et si je peux t'aider, ce sera un grand plaisir pour moi »

    Yves lui avoue que, selon sa secrétaire, il y aurait dans l'entreprise un homme qui aimerait les femmes obéissantes. « Tu as entendu parler de cette rumeur ? » « Oui, Yves, ce n'est pas un bruit de couloir, c'est vrai »

    « J'étais sur qu'en m'adressant à toi, je frappais à la bonne porte ! » « Tu ne peux pas trouver meilleure expression, mais peux tu m'en dire plus sur cette femme pour laquelle tu recherches un dominant ? » « Je peux te dire qu'elle était là lorsque nous avons organisé la petite fête lors de la fin du recrutement avec les conjoints des employés » José réfléchit : « Nous étions les dix recrutés, dont toi et neuf conjoints. J'avoue que je ne me rappelle pas de toutes les femmes ! »

    En riant, Yves sort une photo de son portefeuille : « Et, tu t'en rappelles de celle là ? » Étonné José tarde à répondre : « Bien sur, c'est ta femme, Loréna ! Comment l'oublier ? » « Merci, je suis en effet très fier d'elle. Eh bien José c'est d'elle dont nous allons parler ! »

    « Attends, Yves, car j'ai du mal à te suivre : tu me demandes de te trouver un homme pour soumettre ta propre femme ? » « Voilà, José, tu as tout compris. Tu vois que notre rendez-vous n'a rien à voir avec le travail ! Et de ton côté, tu connais bien cet homme ? Tu penses que ma femme lui conviendrait ? »

    « Tu as vraiment une très belle femme » « Oui, pour ne pas dire autre chose ! » « Et comment la qualifierais-tu toi-même ? » « Entre hommes, je dirais qu’elle est bonne, et que c'est une vraie bombe ! »

    Chapitre 4

    José rit de sa réponse avant de lui répondre qu'il connait très bien cet homme mais que Loréna conviendrait à n’importe quel homme !

    « Je dois t'expliquer une chose : José, nous sommes un couple libre et ma femme aime obéir : quand elle en a envie, nous avons un code entre nous : représenté par un petit bracelet sans aucune valeur. Si en rentrant du bureau je le vois à son poignet, je sais qu’elle a envie que je la soumette. Au fil des ans, et, avec l'appui et l'aide d'une Maîtresse qui l'a éduquée pendant près de quatre ans, en France, elle est devenue une esclave parfaitement obéissante. Nous avons fait sauter ses tabous les uns après les autres et je pense qu’elle est très bien éduquée. Tu me comprends ? » « Oui, parfaitement bien, donc elle aime obéir et à priori elle a peu de tabous ? » « Je vois que tu comprends vite José ! »

    « Je ne crois pas être trop bête et je suis passionné par ce que tu me dis tout en te remerciant de me faire confiance à ce point mais je te laisse continuer » « Depuis environ un an, quand je la soumets et qu’elle n’en peut plus de désir. Elle me parle d’un fantasme qu’elle voudrait réaliser : celui d’être l’esclave d’un Maître inconnu en ma présence »

    « Quel fantasme ! Tu as de la chance d’avoir une femme aussi chaude et aussi franche ! » « Oui tu as raison, j’ai longuement hésité car je doutais de mes réactions, mais plus j’ai pensé à ce jeu plus je l’ai trouvé excitant et finalement j’ai décidé de lui offrir ce plaisir »

    « C’est aussi un grand plaisir que tu vas offrir à cet inconnu car en fait tu vas lui prêter ta femme ? » « Non seulement la lui prêter mais l’autoriser à la soumettre à sa manière et de lui faire faire ce qu’il voudra. C’est pour cela que j’ai besoin d’avoir une entière confiance dans cette personne »

    « Ne te préoccupe plus de ça, jamais je ne te présenterais un voyou ou un sado. Mais comment vois-tu la réalisation de ce fantasme ? » « A la fin de la semaine prochaine : donc pas ce vendredi mais, le prochain, elle aura 34 ans et je voudrais lui offrir un cadeau dont elle se rappellera toute sa vie » « Un cadeau ? Et en quoi cette personne peut t'aider ? »

    « Si cette personne est vraiment qualifiée et sait s'occuper d'une femme soumise et bien éduquée, je peux la lui offrir le weekend en 8, pour une séance qui démarrerait le samedi vers 20 heures pour s'achever le dimanche soir vers minuit. Tu dois trouver ça étrange ? »

    « Absolument pas, je te prends très au sérieux. Je trouve extraordinaire que votre couple soit à ce niveau de confiance et de maturité. Si j’ai bien tout suivi, tu veux l'offrir à un inconnu qui la dominera à sa manière, forcément différente de la tienne. En faisant en sorte que ces sensations nouvelles soient pour elle un cadeau dont elle se rappellera très longtemps. » « Tu es une personne très ouverte et tu comprends vite José. Quand est-ce que nous pourrions rencontrer cet homme ? »

    « Tu vas vite le rencontrer, rassure toi, mais avant j'aimerais savoir quel serait ton rôle dans ce jeu ? » « Moi ? J'aime le plaisir que prend ma femme à se soumettre et à obéir. J'aime la mater, la photographier et la filmer durant toutes ces séances. L’homme pouvant rester masqué s'il le désire » « Je pense que ta proposition est plus qu'intéressante » « Tu crois que l'homme que tu connais va être tenté ? »

    Chapitre 5

    « Je peux t'assurer que l'homme dont nous parlons sera intéressé. Et nous n'avons pas besoin d'organiser une réunion. Nous avons juste à fixer le lieu et la date du rendez-vous puisque cet homme c'est moi ! »

    « Toi ? Wouah quelle surprise ! Je n’en reviens pas. Tu caches bien ton jeu en bon père de famille et en bourreau de travail ! » « Je ne suis pas le seul à cacher mon jeu : je crois que Loréna et toi vous êtes aussi des experts ! » « Tu as raison ! Et, en plus, avec ton physique et ton âge, tu n'auras aucun souci avec ma femme. »

    « J’en suis très heureux. Et tu comptes la prévenir avant ? » « Je veux qu'elle soit informée mais seulement une journée avant la rencontre, juste le temps que l'idée d'obéir à un inconnu fasse son chemin et qu'elle soit bien excitée quand tu arriveras »

    « Hum, je vois que tu es aussi vicieux que moi ! » « A savoir si la plus vicieuse ce n'est pas elle. Ce sera à toi de juger ! Je lui souhaiterai son anniversaire le vendredi soir dans un grand restaurant de Madrid durant lequel je lui annoncerai ce rendez-vous pour la fin de semaine, en lui précisant que je la débarrasserai de toutes les préoccupations matérielles en achetant tout chez un traiteur et en ouvrant quelques bonnes bouteilles de vins et de champagnes français. Tu aimes ça ? »

    « J'aime les femmes obéissantes et les bons vins : donc j'aime la vie comme chante Julio Iglésias dans "Soy un truan" ! Mais pour que nous soyons bien d'accord : comment et où se passera cette rencontre ? »

    "Comme je viens de te dire, je lui annoncerai cette séance de deux jours, le soir de son anniversaire au restaurant, je lui laisserai le temps de refuser cette proposition, car nous décidons toujours tout à deux, et, si elle accepte, je t'enverrai un texto dans la nuit du vendredi au samedi pour confirmer son accord"

    "Ce qui compte c'est qu'elle soit très excitée quand j'arriverai le samedi soir et comme elle aura eu l'annonce de ma venue presque 24 heures avant, elle aura commencé à fantasmer en se demandant ce que je vais exiger d'elle, en fonction de ce que tu m'as dit ou pas dit sur elle !"

    "Oui, et dans la nuit du vendredi, elle aura du mal à résister, car je saurais la préparer mentalement et physiquement, tout en la privant d'orgasmes !" "Hum, excellente idée, comme ça le samedi, elle sera chaude comme de la braise"

    "Oui, tout à fait, est-ce que tu pourrais noter d'être chez nous samedi en 8 vers 20 heures ? Avec un texto de confirmation dans la nuit du vendredi au samedi. Bien préparée, sur-excitée et sachant parfaitement pourquoi je t'ai invité, elle s'offrira spontanément à toi comme soumise sans que tu ne te préoccupes de moi. Tu pourras même sortir avec elle, et quant à ses tabous, ce serait plus excitant que tu les lui demandes toi même » « Oui, c'est une bonne idée »

    Chapitre 6

    « Tu as l'habitude des soumises ? Tu sais quoi faire avec elles ? Qu'elles soient cérébrales ou sexuelles ? » José rit. « Oui je connais bien ces deux aspects de la soumission, mais une soumise cérébrale doit être pénétrée, qu'elle le veuille ou non ! Et considérer une soumise comme un récipient à sperme c'est aussi la traiter en soumise cérébrale ! » Yves éclate de rire : « Oui, tu as raison, mais tu sais très bien que le cerveau d'une femme est extrêmement complexe ! »

    José rit. « Tu sais, Yves, ce qui me plairait aussi, c'est que de temps en temps tu participes avec moi. Elle n'en jouira que plus et mieux » « N'oublie pas que tu es son cadeau, et elle le tien, mais tout dépendra de son excitation. Nous verrons le moment venu » "Si elle est comme tu me l'as décrite. Elle sera vite très chaude ! Je la ferai parler en ta présence, ça n’en sera que plus humiliant."

    "En résumé, tu veux donc que je sois le Maître de ta jolie femme, tu veux la voir jouir en m'obéissant, tu veux filmer la séance dans laquelle j'en fais ce que je veux y compris la pénétrer ? » « C'est une bonne synthèse comme on dirait au bureau » « Tu m'accordes une grande confiance alors que nous nous connaissons peu » « C'est exact, mais tu sais aussi, José, que nous allons en profiter pleinement tous les trois. Et, ce, bien sur en toute discrétion » « Pour cela, tu peux compter sur moi : je pourrais te dire quelle est la fille du bureau qui fait circuler ce bruit. Mais je ne le ferai pas ! Une question : que fais tu de tes enregistrements vidéo ou de tes photos ? » « C'est notre collection privée, Loré est ma soumise depuis près de six ans et j'ai d'autres photos et vidéos d'elle en séances. Mais je te donnerai une copie de ta rencontre avec elle, et si je ne suis pas avec vous, tu auras une super caméra à ta disposition ! »

    « Bien, je crois que tout est clair et si je pense à un détail, je t'appellerai sur ton portable. Entendu ? » « Ah, une dernière chose : je voudrais que tu me dises comment tu aimerais que Loré s'habille pour t'accueillir ? »

    José réfléchit un peu avant de répondre : « Je veux la voir vêtue comme tous les jours, je la ferai se changer sur place en fonction de mon humeur. Mais, tu sais, Yves, qu'en me la prêtant, je vais profiter d'elle pleinement ? Il n'y aura pas de problème ou de jalousie de ta part ? »

    « Si tu ne profites pas de son corps c'est que tu n'es pas un homme normal ! Ne t'occupe pas de ça, je sais à quoi je m'expose en ne mettant aucune limite à ta domination ! Mais d'être offerte à un inconnu sera pour elle une humiliation plus forte que tout ce qu'elle a subi jusqu'à ce jour. »

    « Bien tout semble dit. Il est temps de retourner au travail, sinon mon chef va m'engueuler ! » Yves lui répond en riant : « On se reverra entre temps, mais dans tous les cas, rendez-vous samedi à 20 heures, je te rassure, il y a 2% de malchance que Loré refuse ce deal, donc dans la semaine je te ferai passer un mémo avec notre adresse, notre téléphone et le code d'accès de l'immeuble »

    Et les deux hommes retournent au bureau.

    Chapitre 7

    Le vendredi soir arrive et Yves me fait la surprise de m'inviter dans un des plus grands restaurants de Madrid. Je le gronde gentiment car je suppose que l'addition va être phénoménale.

    Il me répond que ce problème n'est pas le mien et qu'il compte fêter dignement mes 34 ans par une très belle fête et des cadeaux inoubliables. Ce dîner est le démarrage des fêtes de weekend "spécial 34 ans". Nous faisons honneur à la nouvelle cuisine espagnole qui n'a rien à voir avec le gaspacho ou a la paella et, au dessert, Yves m'annonce qu'il a invité un ami chez nous du samedi 20 heures jusqu'au dimanche minuit.

    Je suis un peu surprise car je pensais qu'il aurait invité les quelques amis que nous avons à Madrid et je lui dis : « Ah, un ami ? Et je le connais ? » « Oui je te l'ai présenté, mais même si tu ne t’en rappelles pas bien, je suis sur que vous ferez rapidement connaissance et que vous vous entendrez très bien. »

    Je reste sur cette réponse énigmatique, le temps de déguster mon dessert, mais quand les cafés et les alcools arrivent, je remets la question sur le tapis : « Je suis un peu surprise par ton : "Je suis sur que vous vous entendrez très bien", que veux tu dire par là mon chéri ? »

    Il me sourit, me prend gentiment la main, l’embrasse tendrement et caresse distraitement notre bracelet que j’ai mis à son attention « J’ai, en effet, invité un collègue de travail qui s’appelle José. Mais avant de t’en dire plus, j’aimerais que tu te remémores le fantasme qui te trotte dans la tête depuis environ un an et que tu me supplies de réaliser chaque fois que ton bracelet de soumise t’entraîne dans les profondeurs de l’humiliation et de la jouissance. Tu vois de quoi je veux parler ? »

    « Tu sais bien mon chéri que je suis une machine à fabriquer des fantasmes, comment veux tu que je m’en rappelle d’un en particulier ! »

    « Ne joue pas à la sotte avec moi. Je connais parfaitement ton intelligence et ta mémoire »

    Chapitre 8

    « C’est vrai que je sais de quel fantasme tu veux parler, mais je te rappelle qu’il te met beaucoup plus en cause que moi »

    « Tu as parfaitement raison, mais depuis le temps que tu me parles de cette envie, j’ai pu constater que j’étais plus voyeur que jaloux, plus désireux de tes jouissances que des miennes, et en plus qu’il était temps pour toi de découvrir d’autres manières d’obéir et à d’autres personnes que moi »

    « Hum, je commence à comprendre : pour mes 34 ans, tu as estimé que j'avais l'âge de la maturité d'une soumise et tu as donc décidé de m'offrir un dominant comme cadeau, ou si j’inverse la phrase de m'offrir en cadeau à un dominant » « Tu sais Loré, ce que j'aime chez toi, c'est bien sur ta beauté, ta sensualité et ton vice en amour, mais avant tout j'apprécie ton intelligence. Tu as parfaitement résumé la situation et tu vas, enfin, pouvoir réaliser ton fantasme en te soumettant totalement à un inconnu dont tu ne connais pas les goûts dans ce domaine. Tu es habituée à ma manière de te dominer ou à celle de Cathy, mais tu vas connaître un autre dominant dont c'est, en plus, le loisir favori depuis de longues années. Mais, bien évidemment, comme toujours entre nous, un simple « non » de ta part suffira à arrêter ce projet »

    « Il y a trois choses qui me font plaisir dans cette proposition indécente : que tu te sois creusé la tête pour m'offrir un cadeau vraiment original, que je puisse dire « non » et, enfin, que tu aies sélectionné pour moi une personne compétente. Je me serais mal vue entre les mains d'un débutant, tu sais trop bien ce que coûte la mauvaise réalisation d’un beau fantasme et je suis sure que tu as fait tout le nécessaire pour que ce soit parfait, comme d’habitude. Mais, voyons les choses en face : il est 23 heures 30, mon délai de réflexion va jusqu'à quelle heure ? »

    « Disons jusqu'à 2 heures. Dès que tu me donneras ta réponse j'annulerai ou je confirmerai par textos le traiteur et José, et demain, vers 16 heures, il est prévu que le traiteur nous livre tout ce qu'il nous faut pour ce long weekend. Ça te convient ? » Je ris en le regardant dans les yeux : « Je ferai avec ! »

    Chapitre 9

    Yves va régler l'addition dont je n'ose pas regarder le montant et nous rentrons chez nous, bras dessus, bras dessous comme deux amoureux.

    Dans l’ascenseur, je l’agresse littéralement en l’embrassant sur la bouche, corps collé au sien tout en lui caressant l’entrejambe, en lui murmurant à l’oreille que je suis trempée et que je veux qu’il me baise en levrette dans le hall d’entrée.

    Il ne répond rien et se laisse faire, mais une fois rentrés dans l’appartement, je me jette à quatre pattes sur le sol, remonte ma jupe, entrouvre et baisse ma culotte en lui hurlant de venir me baiser.

    Il se contente de me flatter le cul de la main droite en me disant d’un ton ferme : « Pas de baise, pas d’orgasmes et pas de branlette avant l'ordre de ton "Maître-Cadeau", mais je suis heureux de constater que mon idée ne t’a pas laissée indifférente. Va te coucher nue, je te veux trempée pour me donner ta réponse. Si tu dis « non » à ma proposition, ce sera moi qui profiterai de ton excitation et si tu dis « oui » ce sera lui. Je suppose que cette manière de procéder te convient ? »

    Je me relève penaude et sans rien dire je m’enferme dans notre chambre, arrache presque mes vêtements et me jette, nue, sur le lit.

    Chapitre 10

    J'ai du mal à trouver le sommeil. Je tourne et retourne sur le lit. J’ai résisté à l'envie de glisser ma main entre mes cuisses pour profiter de l'humidité croissante de ma chatte et de me toucher les seins aux tétons bandés.

    Mais Yves vient gratter à ma porte en me rappelant qu'il est presque l'heure de la décision. J'enfile un peignoir sur ma nudité et, pieds nus, je le rejoins dans le salon où il regarde la télé en fumant un petit cigarillo avec un bon verre de cognac, le brandy en Espagne.

    Il me dit de regarder la liste de ce qu'il a commandé au traiteur. Je la parcoure attentivement et lui dit en riant : « Tu es sur que ton ami vient tout seul ? Soit tu m'as menti et ils sont au moins six, soit ton ami a un appétit d'ogre ! ». Il rit en me disant que les restes iront au congélateur comme ça nous pourrons nous passer de faire les courses pendant quelques jours !.

    Je l'approuve en lui faisant remarquer que vu le nom et l'adresse du traiteur madrilène, j'espère qu'il y aura beaucoup de restes, car j'avais appris par une amie espagnole que ce traiteur était extraordinaire et même fournisseur du Palais Royal !

    Je me rapproche et lui murmure à l'oreille : « Je suppose que ton ami a des goûts vestimentaires particuliers pour moi ? Si c'est le cas, c'est le moment de me le dire car je vais me plonger dans ma baignoire bien chaude tout comme moi ! » Il semble ravi de ma réponse et me rassure : « Rassure-toi, il veut te découvrir comme tu es tous les jours et en plus, tu sais que tu n'as pas besoin d'artifices pour être belle ! » Je le remercie d'un baiser sur la bouche et je file dans la salle de bains où la baignoire est sur le point de déborder !

    Quand je reviens, nue, pour prendre une cigarette, il passe ses deux textos, la confiance règne entre nous : et je sais que si j'avais dit non, les deux annulations auraient été faites de la même manière.

    Chapitre 11

    Je suis depuis une bonne demie heure dans mon bain, quand Yves me rejoint, il se dénude complètement et s'assied en face de moi dans la baignoire en me disant : "Tu sais Loré, j'étais quasiment sur que tu accepterais ma proposition indécente" "Ah, et grand homme, qu'est ce qui te faisait penser ça ?"

    "Eh bien, je pense que depuis le temps que tu me parles de ce rêve érotique, il est devenu une réelle envie et que tu désires profondément réaliser ce fantasme, or, nous sommes à l'étranger, et nous n'y resterons pas, la personne que j'ai choisie n'a aucune possibilité et donc aucune envie de raconter cette aventure sans le risque de perdre immédiatement sa place et ma confiance, donc le moment est idéal et tu le sais. Et à 34 ans tu as exactement l'âge qu'il faut pour vivre cette aventure, qui aurait pu t'affoler ou te déstabiliser il y a quelques années, voilà mes arguments ma douce Loré, et je te précise que, de mon côté, je suis prêt depuis longtemps et que j'ai déjà pensé à des scénarii mais qui ne ce sont pas réalisé en leur temps"

    Je lui caresse la queue de mon pied nu et en fermant les yeux je lui réponds : "Le problème avec toi est que tu me connais tellement bien que je connaissais à peu près ta réponse, mais je suis très heureuse que nous ayons eu le même raisonnement. Il nous reste à savoir si ton ami sera le bon instrument pour un weekend qui risque d'être dur à oublier !"

    "Ne te fais pas de souci, José sera à la hauteur et rappelle toi tout de même que je serai là !" Je ris aux éclats : "Oui, c'est vrai, et avec toi je ne risque rien, tu sais ce que j'aime dans la soumission et il te sera simple de rectifier le tir si je peux parler comme ça !"

    "Oui, je suis sur qu'il te "tirera", et même que ça te plaira, mais je pense que ce sera plus amusant si tu arrives à l'heure du rendez-vous complètement en chaleur, et je vais un peu te coacher pour ce faire ! "

    "Je ne te suis pas ?"

    Chapitre 12

    J'ai vite compris ce qu'Yves essayait de me dire.

    Et si je n'avais pas percuté sur le moment, il m'a très vite mise au courant en m'annonçant que, ce soir, c'était une séance bracelet, comme je l'avais demandé en mettant mon bracelet pour aller au restaurant, mais comme il était sur que durant les deux jours qui venaient j'allais battre mon record d'orgasmes, la séance de cette nuit serait juste une préparation à ce record en me laissant au final comme une chienne en rut sans mâle.

    J'étais sure que mon adhésion à son idée l'avait surexcité, mais j'en ai eu très vite la preuve.

    Tout en restant assis, le dos appuyé sur le côté lisse de la baignoire, il m'a guidée pour que je me retrouve à genoux et face à lui, au milieu de la baignoire et m'a conseillé de la vider tout en me branlant le plus fort possible les tétons qui, excitée comme je l'étais, ont triplé de volume avant que la baignoire ne soit vide.

    Il s'est alors assis sur le rebord de la baignoire et m'a demandé de me rapprocher de lui en me couchant sur le dos dans le fond de la baignoire, à présent vide tout en posant mes pieds sur ses cuisses.

    Je voyais sa bite dure plaquée sur son nombril avec une énorme frustration de ne pas pouvoir la toucher ne serait-ce qu'avec mes pieds. Il me regardait avec des yeux brillants de vice que je ne lui connaissais pas.

    Il m'a levé le pied et la jambe gauche pour pouvoir bouger sa jambe droite et enfoncer lentement son pied droit dans mon vagin trempé dans lequel il a immédiatement commencé ses mouvements d'orteils, jugeant de la montée de mon plaisir par la puissance de mes gémissements, avec un rappel ferme de sa part : "Attention Loré pas d'orgasme sinon j'annule la venue de José".

    Quand il a senti que j'allais exploser, il a changé la place de son pied et l'a glissé le plus possible dans ma bouche pour que je puisse le sucer et le lécher pour un nettoyage complet.

    Quand il a vu que j'avais bien travaillé, il s'est levé, est sorti de la baignoire et m'a ordonné de me mettre à quatre pattes la tête tournée vers les robinets, et une fois en place, de glisser ma main droite sur et dans mon vagin pour me branler avec frénésie et sans faire semblant.

    Dès que j'ai commencé à me branler, il est sorti de la salle de bains en m'ordonnant de ne pas m'arrêter et a disparu en me laissant à ma masturbation solitaire.

    Chapitre 13

    Quand il est revenu, il fumait. Il s'est accroupi devant la baignoire en me caressant les cheveux et m'a donné une bouffée de sa cigarette. J'avais honte d'entendre aussi clairement les clapotis de mes doigts dans ma chatte, mais il s'est contenté d'apprécier en me disant que je clapotais bien !

    Sans que je ne réalise, il s'est emparé de mon sein droit, le plus éloigné de lui, pour me fixer de ses deux mains un écraseur de téton avec un lest beaucoup plus lourd que d'habitude. Il a fait pareil au sein gauche, et m'a ordonné de balancer mes nichons de droite à gauche ce que j'ai fait en hurlant de douleur.

    Il souriait en asséchant au fur et à mesure les larmes de douleur qui perlaient de mes yeux, mais en m'aidant à remuer mes nichons qui ballottaient comme des pis de vache sous moi. "Ce ne sont plus des seins ou des nichons, mais carrément des mamelles de truie, allez remue les plus fort et hurle que tu aimes ça !"

    Je me suis exécutée jusqu'à ce qu'il arrête les balancements et ma branlette. Il m'a laissée me reposer et me calmer un peu, tout en rentrant dans la baignoire et en s'agenouillant derrière moi, je ne voyais pas ce qu'il faisait, mais j'ai senti tout d'un coup que sa bite cherchait mon anus et, l'instant d'après, car il connaissait le chemin, il m'enculait d'un seul coup de queue jusqu'à ce que je sente ses couilles battre mes fesses.

    Il me saillait plus qu'il ne me baisait penché sur mon corps, ses deux mains agrippées à mes nichons qu'il pétrissait en jouant avec les écraseurs. Je gémissais à chaque entrée brutale de sa pine dans mon anus mais avec un mélange de douleur et de plaisir que mon vice adorait particulièrement, et Yves le savait bien !

    Chapitre 14

    Il lâche mes seins et me murmure à l'oreille : " Vas-y salope, entraîne toi pour demain, je ne bouge plus, à toi de me vider les couilles dans ton cul et tes intestins de pute ! "

    Tous les poils hérissés par la violence inhabituelle d'Yves, j'ai de suite serré mes fesses et fais les mouvements nécessaires en le branlant avec les muscles de mon anus et en lui faisant faire des allers-retours dans mon cul, j'ai été très fière d'entendre ses grognements et de sentir la fraîcheur de son sperme dans mon cul chauffé à blanc.

    Il s'est retiré de moi, s'est rassis sur le rebord de la baignoire, m'a ordonné d'enlever mes écraseurs de tétons et de me remettre comme tout à l'heure : couchée dans la baignoire avec mes pieds sur ses cuisses. Je voyais très bien son sexe qui débandait un peu, mais j'en avais tellement envie, que même ramolli j'aurais joué avec, mais il avait une autre idée pour moi :

    "Ouvre ta chatte de tes deux mains et ouvre grand la bouche pour tirer la langue du mieux que tu peux" Je ne savais pas ce qu'il allait faire, mais quand il a pris sa bite en main et qu'il l'a dirigée vers mon bas ventre, j'ai su, avant de sentir ses premiers jets dorés et tièdes qu'il comptait me pisser dessus.

    Et il avait très envie, car la pisse a bouillonné dans l'entrée de ma moule, il ne s'est pas attardé sur mon ventre, a longuement arrosé mes nichons et leurs tétons meurtris, avant que les derniers jets ne se perdent au fond de ma bouche et sur mon visage.

    Il m'a regardé longuement en me souriant et en me demandant "tu vas choisir ton état dans ces propositions :

    1 - Tu es chaude

    2 - Tu es bouillante

    3 - Tu es en chaleur

    4 - Tu es à point pour que je fasse venir un chien

    5 - Tu aimerais que je fasse entrer deux très beaux nègres

    6 - Tu sais que tu ne vas pas jouir mais qu'après la douche tu me feras une pipe inoubliable ?"

    Bien sur, j'ai choisi la 6, et nous avons pris une très bonne douche ensemble et sitôt arrivés dans notre chambre, je lui ai fait la meilleure et la plus longue des pipes que je savais faire. En le remerciant d'être mon Maître et de m'accepter telle que j'étais.

    Il était 3 heures du matin, il a mit le réveil à 10 heures, et cette nuit là, j'ai dormi avec le goût de son foutre dans la bouche et sa main emprisonnant ma moule trempée.

    Chapitre 15

    Je me réveille seule et sans réveil, étonnée d'être en forme malgré une nuit beaucoup trop courte. Mais en regardant le radio-réveil, je réalise que j'ai tout de même dormi 8 heures car il est déjà 11 heures !

    Sur la table de nuit, un mot d'Yves : "Ma Loré adorée, tu as été magnifique ce matin, si sensuelle en salope humiliée, si bandante en pute douchée de pisse et si excitante en pipeuse de pine incroyable, tu méritais que je te laisse dormir, je suis parti au bureau vers 8 heures et, je rentrerai dans l'après-midi, je ne sais pas quand, c'est les urgences qui me répondront. Je te laisse réceptionner le traiteur vers 16 heures, et préparer les multiples repas que nous ferons dans les deux jours qui viennent, je t'aime et j'ai très envie de te voir balancer tes nichons devant moi tout en te fouillant ta moule !"

    Après un double expresso, je prends un bon bain, me prélassant dans l’eau chaude en luttant contre l’envie de me masturber et quand j’estime être bien propre de partout, je vide la baignoire, prends une poire à lavement, la remplis, me l’injecte en totalité dans l’anus, rejette tout et recommence jusqu’à ce que l’eau sortant de mon cul soit aussi claire que l’eau qui y entre. Je ne connais pas les goûts de mon Amo (Maître) José, mais je connais peu d’hommes qui n’aiment pas enculer leur soumise et encore moins de mecs qui aiment ressortir leur sexe sale d’un cul apparemment propre. Surtout si je dois le pomper à la fin de sa visite de mon gros colon !

    Bien fraîche et propre, je ressors nue comme un ver et enfile un short, des mules et un big tee-shirt pour recevoir le traiteur.

    Après deux heures de sieste qui me font le plus grand bien, ce sont eux qui me réveillent en sonnant à 16 heures pile.

    Ils sont deux : je leur indique la cuisine sans avoir l'air de remarquer les coups d’œil qu'ils jettent à mes tétons un peu trop bandés, je les remercie et leur donne un bon pourboire individuel et attaque de suite les rangements : bouteilles déjà glacées dans les réfrigérateurs, identification des petits fours salés, à réchauffer ou à servir tels que, des petits fours sucrés et autres vins, blocs de foie gras et succédanée de caviars.

    Tout ce rangement m'a donné chaud malgré mon habillement léger, je vais me doucher rapidement, je sors de la salle de bains en peignoir et chaussons, je m'assure que tout va bien dans la maison, propreté, rangements, tout est à sa place y compris le papier WC !

    Et je file dans ma chambre pour choisir et préparer ma tenue pour le début de l'après midi, tout en supposant que mon Amo m'en ferait souvent changer ! Le choix dure longtemps, mais finalement j'opte pour une culotte bleu marine avec son soutien-gorge assorti en soie et broderies, une mini jupe légère couleur rouille que j'assortis à des mules d'intérieur qui laissent mes pieds nus bien en évidence. Et, je complète par un chemisier blanc opaque avec un décolleté sage.

    Toujours en peignoir et chaussons, je me maquille légèrement et me peigne bien, mes cheveux mi-courts m'aidant beaucoup.

    C'est à ce moment là qu'Yves rentre. Il me trouve devant ma coiffeuse, le peignoir largement ouvert sur mon corps nu, me sourit et me sent de suite un peu contractée.

    Comme pour me défier, il glisse sa main droite entre mes cuisses et me caresse la chatte en me susurrant à l'oreille : "Tu n'es pas croyable ! Tu es encore trempée ! Je ne sais pas si c'est le souvenir de notre nuit ou les rêves que tu as fait pour ce qui t'attend, mais tu es exactement dans l'état dans lequel je désirais t'offrir ton cadeau ou t'offrir en cadeau !"

    Je m'échappe en lui frappant la main tout en le traitant de sadique et de tyran lubrique et le pousse dehors pour m'habiller tranquillement : culotte bleu marine et soutien-gorge assorti, mini jupe légère et chaussons et le chemisier.

    Après un dernier coup d'œil dans la psyché de la chambre, dans laquelle je ne me trouve pas mal. Je rejoins mon chéri dans le salon.

    Je me mets face à lui et tourne sur moi même pour qu'il me voit bien. Il me scrute avec attention en me sanctionnant d'un : « Tu es bandante sans quasiment rien montrer, bravo ! » Qui me va droit au cœur !

    « En plus d’être vicieux et de prêter ta femme à un inconnu, tu es un goujat ! Je me demande ce que j’attends pour te quitter ! »

    Il éclate de rire, ouvre une bouteille de champagne et m'en propose une coupe que j'accepte volontiers en lui disant : « J'ai comme une grosse boule à l'intérieur de l'estomac. Tu crois que c'est normal ? » Il me répond en souriant affectueusement : "Tu es simplement nerveuse parce que depuis hier soir tu as du imaginer tellement de choses excitantes que, maintenant, il te tarde de passer à l'action !"

    Je suis obligée de constater qu'il a en partie raison et nous trinquons à ce long moment de plaisirs pour tout le monde.

    A 20 heures pile la sonnette de la porte d'entrée retentit.

    Chapitre 16

    Yves me conseille d'aller dans la cuisine pour réchauffer quelques tapas que nous mangerons avec du champagne en apéro et il va ouvrir.

    De la cuisine j'entends leur conversation. « Bonjour, José et bienvenu chez nous » Il répond d’une voix chaude et grave qui me plait de suite : «Merci à vous de me recevoir, tu dois te douter Yves comme il m'a été agréable d'accepter cette invitation !»

    Yves rit en lui disant qu'il s'en doute un peu et ils passent au salon. "Quel bel appartement vous avez, et, en plus, avec cette immense terrasse arborée en plein centre de Madrid !" « Il faut en remercier la Société, c'est un appartement meublé loué pour la durée de ma mission, je reconnais qu'ils ont fait les choses en grand ! » Je les entends visiter et en revenant de la terrasse, Yves propose : « Tu veux découvrir la cuisine où Loré est en train de préparer quelques tapas ou tu préfères que je lui demande de venir au salon ? »

    José rit : « Allons la voir peut être pourrons nous l'aider ? » « Tu préfères que je te laisse seul avec elle ? » « Non, allons-y ensemble pour me présenter et une fois revenus au salon, nous aviserons, je préfère »

    Ils entrent tous les deux dans la cuisine. Mon cœur bat à cent à l'heure. Quand je vois José, je me rappelle immédiatement de lui et de notre présentation à la soirée de l'entreprise. Je n'ose pas trop le regarder des pieds à la tête, mais c’est un garçon séduisant, de l'âge d’Yves et élégamment vêtu qui me fait une forte impression avec ses yeux clairs qui semblent pétiller de malice et probablement d'autres sentiments plus intimes !

    « Bonsoir, José, je suis très contente de te revoir et enchantée de te recevoir chez nous » Il s'approche de moi et me fait une bise sur les deux joues : « Bonsoir, Loréna, la première et dernière fois que nous nous sommes vus, tu portais une robe très belle que je ne suis pas prêt d'oublier ! » Je réponds en souriant : « Seulement la robe ou aussi ce qu'il y avait dedans ! »

    Cette plaisanterie improvisée nous fait rire tous les trois. « En plus d’être très belle, tu as de l’humour, j’adore ! Mais comme je sais que c'est ton anniversaire. Je me permets de t'offrir un petit souvenir malgré les recommandations de ton mari ! » « Il ne faut jamais écouter Yves ! J'adore les cadeaux ! » « Donne-moi ton poignet droit. » Je m'exécute et il sort de sa poche un petit bracelet fantaisie qu'il me fixe au poignet, à côté de celui que je porte pour Yves.

    « Je sais que tu aimes les bracelets et qu'ils ont une forte signification pour toi. J'espère que celui là te plaira, te portera chance et te procurera bonheur et plaisir ! »

    En rougissant et en baissant les yeux, je comprends parfaitement les allusions, et constate qu'Yves est allé loin dans ses confidences sur notre vie intime. Je lui fais deux grosses bises en le remerciant chaleureusement.

    Chapitre 17

    « Pouvons-nous t'aider d'une quelconque manière ? »

    « Le champagne est sur la table, j'ai préparé trois assiettes de tapas tièdes, si nous en prenons une chacun, nous pouvons aller boire l'apéritif dans le salon » Chacun prend son assiette, et nous nous exécutons, José s’arrange pour marcher derrière moi et je sens son regard insistant sur mes épaules et mes fesses. Ce qui ne me semble pas déplacé vu le scénario de la soirée.

    Mais son physique et sa prestance ont diminué le diamètre de la boule que j'ai toujours dans le ventre, et c'est en souriant que je pose mon assiette sur la table du salon en laissant les hommes s'asseoir.

    Ils prennent les deux fauteuils, me laissant le canapé qui est juste en face de José. Bien que je serre les cuisses en m'asseyant, ma jupe se relève un peu et laisse apparaître une partie du haut de mes cuisses nues, mais je ne fais aucun geste pour la baisser, ce qui fait sourire Yves.

    Yves remplit les flûtes de champagne rosé et dit : « José, tu es notre invité, c’est à toi de porter un toast » « Je suggère de boire à la santé de ta très belle femme, à son anniversaire et à notre weekend pleins de surprises et de plaisirs » Nous approuvons et choquons nos verres en disant "à la réussite de ce weekend si particulier"

    José félicite Yves pour la qualité du champagne alors que je me lève pour leur proposer les deux premières assiettes remplies de bonnes choses tièdes pour accompagner les bulles.

    Un silence se fait, José ne me quitte pas des yeux en ayant visiblement envie d'en voir plus, alors qu'Yves sourit de ce petit manège à peine caché.

    Chapitre 18

    C'est José qui, entre deux petits fours, décide d’aborder le thème de la soirée : « J'avais dit à Yves que je désirais te découvrir ou te redécouvrir dans une tenue de tous les jours. C'est donc comme ça que tu t'habilles ? » « Tu sais, José, il m'arrive aussi de mettre un jean déchiré et d'enfiler un des gros pulls d'Yves sans rien dessous, mais pour ne pas trop te faire mauvaise impression, j'ai essayé d'être un peu féminine, mais tu as raison c'est une tenue que je porte quasiment tous les jours pour aller au travail ! » « Ah, je vois, mais pour ta féminité, tu as bien joué : on devine que tu as tout ce qu'il faut, là où il le faut mais sans rien voir. C'est aussi ça le charme des belles femmes ! Aussi belles habillées qu'en tenue d’Ève ! »

    « Merci pour le compliment, José, je dois t'avouer que c'est à peu près ce qu'Yves m'a dit en me voyant prête à te recevoir, mais de mon côté, et si tu en as besoin, je peux te rassurer en te disant qu'il aurait pu se tromper en te choisissant, mais je le félicite au contraire pour sa sélection ! »

    Yves nous regarde en souriant nous complimenter mutuellement et semble surtout ravi que le feeling passe si bien entre nous.Il se lève et s'apprête à sortir du salon, je lui demande ce qui lui manque, et il me répond qu'il a oublié ses cigarillos dans son bureau.

    Je lui conseille de me laisser faire et prétexte deux assiettes de tapas à récupérer à la cuisine pour y aller seule, en supposant que cet oubli étrange de ses cigares qui d'habitude ne le quittent jamais, n'est qu'une excuse pour pouvoir s'entretenir avec José. Car il sait parfaitement que, de son bureau, on ne peut entendre aucune conversation du salon.

    Je fais exprès de m'attarder un peu, pour les laisser tranquilles, et quand je reviens, Yves offre un cigarillo à José, qui refuse en disant préférer ses cigarettes, et c'est en fumant et en buvant, qu'ils goûtent les nouvelles tapas chaudes que je viens d'apporter.

    La conversation est un peu curieuse, car personne ne veut attaquer le sujet réel du jour, et nous parlons de choses et d'autres : des tapas, de la qualité du champagne, du fait que nous ayons chacun notre bureau.

    Mais Yves rompt définitivement la glace en me disant : « Dis moi, Loré, ces nouvelles tapas sont délicieuses, mais les anciennes qui refroidissent me plaisaient beaucoup et elles mériteraient de repasser un peu au four, veux-tu que j'y aille ? » Je pense faire à Yves la réponse qu'il attendait : « Non, reste assis avec ton ami, je vais y aller, et tu sais en plus que je ne maîtrise pas encore ce four ultra moderne, alors, j'aurai trop peur que tu fasses tout sauter ! »

    En souriant devant son visage boudeur, je me lève, récupère les assiettes et vais vers la cuisine en m'excusant pour ce contre temps. Tout naturellement, José propose de venir m’aider. Après un coup d’œil à mon tendre, qui se contente de me sourire et de déclarer qu’il va rester au salon pour profiter de son cigare.

    Je comprends donc que c’est dans la cuisine que je vais réellement faire connaissance avec José. Et la boule regrossit dans mon ventre !

    Chapitre 19

    Arrivées dans la cuisine, je remets les tapas au four et j'en prépare une nouvelle fournée pour la suite. Sans le voir, je sens la présence de José qui est appuyé dans l'entrebâillement de la porte et me dévore des yeux sans perdre une miette de mes mouvements.

    Je décide de prendre l'initiative et je lui dis d'une voix rauque et troublée : « Tu es venu pour m'aider, José, c'est gentil à toi ! Mais le four fait tout le travail » Il rit et me répond : « Je suis surtout venu pour t'aider à mieux te connaître toi même ! »

    « Hum., vaste programme. Avec tout ce qu'a du te raconter Yves sur moi, tu crois que j'ai encore besoin d'apprendre à me connaître ? » « Loré, soyons honnêtes, tout d’abord, il m’a dit peu de choses sur toi et ensuite, tout le monde peut progresser même toi ! Viens te mettre debout, au centre de la cuisine. Voilà, comme ça tu es très bien. Maintenant dis-moi qui tu-es ? » « Loréna l'épouse d'Yves et la maman de Jean, mais je suis sure que tu attendais une autre réponse de moi »

    Il s'assied sur l'une des chaises de la cuisine et me répond en souriant : « En effet, et je répète ma question: qui es-tu Loréna ? » Je baisse les yeux, fixant mes chaussures et d'une petite voix je lui réponds que : " Je suis une femme soumise qui a été éduquée pour une obéissance totale, compte tenu de son caractère et de sa passion de se laisser porter et diriger par des tierces personnes dans le domaine sexuel "

    « Voilà qui correspond mieux à ton personnage de cette fin de semaine. Je vais te demander ce qu’Yves t'a dit sur moi, mais avant je vais lui proposer de venir te filmer » Il s’absente quelques instants et revient avec Yves et sa caméra.

    Chapitre 20

    « Nous voilà réunis, donc je te demande ce qu’Yves t’a dit sur moi ? » « En fait, José, pas grand chose, tu es le futur responsable de l’agence de Madrid, très intelligent et responsable dans ton travail, et que, pour toi, cultiver ton jardin secret consiste à dominer des femmes soumises durant tes loisirs. Il t'a choisi et invité pour que je t'obéisse durant un weekend entier qui commencera quand tu en auras envie, en sachant que je devrai obéir à tout ce que tu me demandera, comme je le fais avec lui quand je décide de porter ma marque d'esclave, c'est à dire mon bracelet Je devrais même dire mes bracelets ! Sans même que je sache s'il t'a informé de mes tabous » « Exact, Yves ? » « Tout à fait José »

    « Nous avons le temps de parler de tes tabous. Voyons comment tu t'es préparée pour me recevoir ? Enlève ta jupe » Rouge comme une tomate, mais sans hésiter, je dégrafe ma jupe qui tombe à mes pieds et je la récupère pour la poser sur le dossier d'une chaise, tout en restant devant lui en petite culotte alors qu'il avance sa chaise pour s’asseoir juste en face de moi, sans faire aucun commentaire sur ma culotte.

    Il me dit simplement : « Je vais t'apprendre à t'améliorer. Comment parles-tu à ton mari quand tu mets ton petit bracelet et que tu deviens sa chose ? » « Avec beaucoup de respect, sans jamais le contredire, ni rechigner, mais comme dans la vie de tous les jours » « Donc, tu le tutoies et tu l'appelles Yves ? » « Oui, José, c'est ça »

    « Et comment comptes-tu me marquer ton respect ? » « J’aurai du mal à continuer à t'appeler José et à te tutoyer en obéissant à tes ordres, je préférerais vous vouvoyer et vous appeler différemment » « C'est une excellente réponse. Tu vas donc me vouvoyer et je suis sur que tu as trouvé des appellations à me proposer pour me désigner ? »

    Rose de honte, je dis doucement : « Oui, José j'ai en effet pensé à cette hypothèse » « Et qu'elles sont tes propositions ?» « "Maître" ou "Mon Maître", "Amo" ou "Amo Mio" ou "Monsieur" » « Belle imagination, je n'aurais pas pu faire mieux ! Mais comme je sais qu'entre vous rien ne se fait si vous n'êtes pas d'accord tous les deux, Loré va me donner sa préférence, Yves le fera après et je terminerai, entendu ? » « A toi Loré ! » « Mon préféré est "Amo mio" » « Yves ? » « Pareil pour moi ! » « Loré en conséquence tu me dis ? » « Amo mio, je ferai tout pour vous donner du plaisir par mon obéissance totale et rendre mon mari fier de moi et de mon éducation ! »

    Chapitre 21

    « Enlève ta culotte » Mes mains se posent de chaque côté de ma culotte et je la descends lentement en me tortillant un peu car je l'ai choisie serrée. Quand elle est sur mes chaussures, je me baisse pour la récupérer et la poser sur ma jupe, offrant à José la vue d'une chatte imberbe avec des grandes lèvres humides et brillantes.

    Les deux seuls bruits dans la cuisine sont le ronronnement doux du four et celui quasi inaudible de la caméra d'Yves.

    "Écarte un peu les pieds, baisse les fesses, ouvre grand les cuisses et penche toi un peu en avant sans arrêter de me regarder dans les yeux" Après quelques corrections de sa part, j'arrive à la position qu'il désire, comme assise dans l'air, le cul en pointe, les cuisses largement ouvertes découvrant mon sexe offert. « Je constate que tu es déjà bien trempée petite salope, ne change pas de position et baisse la température du four. J'ai peur que ta chatte ne prenne feu ! »

    Humiliée par cette réflexion, je m'exécute et reprends de suite ma posture obscène. « Comment te sens-tu ? » « Très nerveuse, Monsieur, c'est la première fois que j'obéis à une autre personne devant Yves »

    « Je te comprends, mais je suis sur que ton instinct d'esclave va vite prendre le dessus sur la nouveauté. Marche dans toute la cuisine dans cette position, elle m’excite énormément et je la trouve parfaitement ridicule ! »

    Vexée, je m'exécute en lui offrant, à chaque fois que je me retourne, mon cul ouvert par ma position. Au bout d'un long moment il me fait signe de revenir face à lui.

    Il croise ses jambes et de son pied levé il me caresse du bout de sa chaussure l'intérieur de la cuisse gauche en tendant bien la peau. « Je vois que tu es vraiment très mouillée : nous commençons à peine et tu es déjà trempée. J'en déduis que tu t'apprêtes à passer un long weekend de chienne en chaleur ! »

    Cette simple caresse de sa semelle me couvre le corps de chair de poule, et j'ai très honte d'avoir du plaisir en me faisant caresser par la pointe d'une chaussure, d'autant plus qu’il rapproche son pied de mon sexe sans le toucher mais en s'arrangeant pour l'ouvrir de plus en plus ce qui m'empêche de cacher mon excitation plus que concrète.

    « Comment te sens-tu ma chère Loréna ? » « Hum, vos caresses m'excitent beaucoup, Amo mio, j'ai honte de me présenter à vous comme ça ! » « Tu es une vicieuse, pourquoi avoir honte de te présenter comme telle à moi ? De toutes les manières tu n'aurais pas pu me le cacher longtemps ! Et, pour te rassurer, j'aime beaucoup les salopes soumises et je sais parfaitement que faire d'elles ! En attendant enlève ton chemisier sans changer de position »

    Je déboutonne lentement les quatre boutons de mon chemisier et je le jette sur la chaise, restant en soutien-gorge que José me demande de quitter immédiatement. Je le dégrafe et m'en débarrasse, sans tenter une seconde de cacher mes seins dont je trouve les tétons beaucoup trop durs et excités.

    Il ne me fait aucune réflexion et m'autorise à me mettre debout les bras le long du corps. Je souffle et me sens mieux car la position précédente était dure à maintenir et les muscles de mes cuisses me tirent un peu.

    José me regarde de la tête aux pieds avant de m'ordonner de me tourner pour lui offrir mon dos et mes fesses. « Tu as un joli cul, Loré, Yves s'en sert souvent ? » « Merci, Amo mio, oui Yves l'aime beaucoup et s'en sert souvent » « C’est exact, Yves ? Et quel est ton avis sur son cul ? »

    « Oui, je l’encule très souvent et elle sait ce que j’en pense ! » « Il pense que suis très étroite du cul, Amo mio » « Et tu jouis avec sa bite dans ton cul ? Enlève tes mules en répondant » J’ôte mes mules tout en lui disant que je n'arrive à jouir qu'en me caressant le clitoris quand il me pénètre l'anus.

    Chapitre 22

    « Bien, sors les tapas du four, remets ta jupe, ton chemisier et tes mules, laisse tomber les sous vêtements, tu vas marcher devant nous avec les cuisses bien serrées, comme une geisha, en faisant des petits pas, nous retournons tous les trois au salon » J'essaye de ne pas trop rougir, les hommes savent que je suis trempée et que cette séance trop courte m’a un peu frustrée.

    Je me rhabille, sans sous-vêtements, sors un seul grand plat du four et, après m’être protégé les mains, je fais signe à José que je suis prête.

    Nous revenons au salon. Je pose le plateau sur la table et Yves débouche une autre bouteille de champagne. « Alors, mon ami, avez-vous réussi à faire connaissance en si peu de temps ? Et, si oui, quelles sont très premières impressions ? »

    « Disons que nous avons commencé à nous dévoiler un peu, elle semble parfaitement obéissante, je pense que tu peux être fier de son éducation et bien qu'encore un peu nerveuse, elle était déjà bouillante pour accueillir mes premiers ordres qu'elle semblait attendre impatiemment, donc totalement d'accord pour être mon cadeau ou que je sois le sien ! Quant à son corps, même ses cheveux me font bander ! » « C'est bien j'aurais été peiné qu'elle ne soit pas à ton goût ! »

    « Je crois qu'il te faudrait chercher parmi les pédés pour trouver un homme qui ne bande pas pour ta femme ! Mais, trêve de plaisanterie : dis-moi, Yves, comment l'appelles-tu quand tu la soumets ? » « C'est variable, petite pute ou putain et quand elle dégouline du vagin chienne en chaleur ou salope » « Moi j’aime bien petite pute. Je trouve que ça va bien avec son vice, car non seulement elle est très soumise et obéissante, mais en plus elle adore ça et a du mal à le cacher ! »

    « Je suis content qu’elle découvre une autre manière d’être dominée, je pense que ça la fera bien progresser dans sa carrière d’esclave ! »

    Suite dans le tome 2


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  • Loré à Madrid tome 2

    Chapitre 23

    Les deux hommes rient alors que je remplis leurs verres et que je passe le plateau « Assieds toi dans le sofa, face à moi, petite pute et pose tes pieds sur les coussins pour que je puisse me régaler de voir ton sexe béant sous ta jupe tout en profitant de cet excellent champagne et de ces délicieuses tapas »

    Je m’assieds comme José me le demande et il m’autorise à profiter moi aussi des tapas. Alors qu’Yves continue à me filmer sous tous les angles. Je me sers en le gratifiant d’un « Merci Monsieur Amo Mio » qui fait réagir Yves.

    « Bien que je ne l'utiliserai pas avec elle, j'aime bien son idée de Amo Mio, puisque nous sommes en Espagne. Tu aurais pu aussi lui demander de t’appeler Maître, puisqu’elle est destinée à être ton esclave ! » José rit : « Tu as pu constater que c’est elle qui m’a demandé de me vouvoyer, je crois que ça ne fait pas partie du concept théâtral du Maître vêtu de cuir avec son esclave femme enchaînée. C'est uniquement un problème du profond respect de la dominée pour son dominant. Il est vrai que si nous avions été en France, le "Monsieur" aurait été obligatoire »

    « Je partage totalement ton avis et je suis persuadé que Loré avait hâte que tu arrives pour ne plus avoir à se poser la question cruciale de ta manière de la dominer ! » « Oh, oui c'est très juste, et je crois même avoir ressenti le moment exact où elle a totalement accepté mon autorité ! »

    Chapitre 24

    « Intéressant, et c'était quand, exactement ? » « Oh, je suis sur que tu l'as ressenti aussi, c'est quand j'ai commencé à lui caresser le bord des grandes lèvres avec ma chaussure : elle a frissonné des pieds à la tête, son duvet des avant-bras s'est redressé et elle a fermé les yeux pour cacher son plaisir ! » « Bravo José, ta psychologie va t'être très utile pour bien la dominer ! » « Merci, Yves, tu sais que ta femme n'est pas ma première soumise, mais je dois te dire que c'est la première fois que je rencontre une femme qui s'excite aussi vite. Je suis sur que si je la laissais se toucher elle s’enverrait en l’air en trente secondes ! »

    Yves approuve en rajoutant : « Et pourtant, la séance dans la cuisine était plutôt soft » « Oui, elle m’a réellement surpris. Mais c’est surement de se mettre à poil devant un inconnu et son chéri, et de se faire toucher la chatte par ma chaussure qui l’ont mise dans cet état. Elle pensait peut être que j'allais la niquer dans le premier quart d'heure, mais cette salope a failli avoir raison, car elle m’a fait immédiatement bander comme un âne ! »

    "Je suis sur que cette première fois avec un inconnu devant moi a du y contribuer, mais, comme je te l’avais dit, je lui ai annoncé ta venue et le scénario de ce weekend à la fin de notre dîner d'hier soir, et c'est à 2 heures du matin qu'elle m'a donné son accord. Depuis elle a eu presque une journée pour penser à tout ce qui pouvait lui arriver de ta part, et quand nous sommes revenus du restaurant elle était déjà sur-excitée et j'en ai bien profité"

    "Et tu as fait comme tu m'avais dit ? Bien la chauffer sans la laisser jouir ?" "Oui, en rentrant, elle s'est offerte dans l'entrée mais j’ai refusé de la baiser et je lui ai interdit tout orgasme jusqu'à ton arrivée en lui ordonnant de se réserver pour toi !"

    "Ah ! Tu as eu raison et je comprends mieux son excitation aussi rapide"

    "Mais tu devrais demander à Loré de te raconter ce que nous avons fait après son acceptation de cadeau, choisis toi même le langage que tu aimerais qu'elle utilise, rassure toi elle est bonne dans tous les registres !"

    Chapitre 25

    "Bonne idée, voyons putain, ce que tu as à me révéler sur votre retour du restaurant et je te veux extrêmement ordurière pour ton récit, ce qui ira très bien avec le thème de notre séance et la bourgeoise vicieuse que j'ai en face de moi !"

    "Bien Amo Mio, il est vrai que je lui ai demandé de me niquer comme une pute dès notre retour dans l'appartement, mais il m'a dit qu'il ne me sauterait pas ce soir et que je ne m'enverrai pas une seule fois en l'air avant votre arrivée"

    "Comment t'es tu offerte à lui en rentrant ?"

    "Dès qu'il a ouvert la porte, je me suis mise à quatre pattes devant lui en relevant ma jupe à la taille et en m'arrachant la culotte tout en lui criant de me saillir comme une chienne en chaleur. Il m'a envoyée me faire foutre, mais pas par lui, et m'a renvoyée dans ma chambre alors que je pleurais comme une conne"

    "Bien, continue"

    "Quand le délai pour ma réponse est arrivé, à 2 heures du matin, je suis ressorti de ma chambre et j'ai encore essayé de le faire triquer en lui tripotant la pine, mais il n'a rien voulu savoir, je l'ai insulté et lui ai posé comme question : et comment dois-je m'habiller pour faire plaisir à ce Maître quand il me découvrira ? Ce qui scellait implicitement notre accord. Il m'a sourit et ordonné d'aller prendre un bain en m'assurant qu'il viendrait me rejoindre pour répondre à ma question. J'y suis allée en espérant pouvoir suffisamment l'exciter pour qu'il me fasse jouir car je n'en pouvais plus"

    "Et il t'a rejoint dans la salle de bains ?"

    "Oui et même dans la baignoire, à poil avec sa trique raide et son gland humide, hum comme j'avais envie de me le foutre en bouche et de le pomper jusqu'à le vider de son foutre. Il s'est assis sur le rebord de la baignoire et m'a ordonné de vider la baignoire et de me coucher dans le fond en posant mes pieds sur ses cuisses, là il m'a relevé l'une des cuisses pour pouvoir accéder à ma moule gluante avec son pied, et il m'a longuement fisté le con avec son pied, avant de le retirer et de me le mettre en bouche pour que je le nettoie bien de mon jus de pute avec ma langue"

    "Dans quel état étais-tu salope ?"

    "Je n'en pouvais plus j'avais envie de m'échapper pour sortir et chercher un chien pour le pomper, et me faire saillir, ou d'aller dans les chiottes et de m'enfoncer le balai de merde dans mon trou de salope et de me branler le con en me faisant saigner et en jouissant comme une folle, mais Yves a continué et j'ai du me mettre à quatre pattes dans la baignoire tout en me tripotant la moule sans jouir sous peine d'annulation de votre venue."

    "Hum, ça tu n'aurais pas pu le supporter, c'est une excellente nouvelle, et comme on dit en argot chez vous, je te garantis que tu vas en avoir pour ton pognon et que je te ferai hurler d'arrêter de te faire grimper aux rideaux, mais que je continuerai jusqu'à ce que tes orgasmes deviennent douloureux ! Continue sale truie et avec plus de vice et de cochonneries : défoule toi totalement !"

    Chapitre 26

    "Amo Mio, puis-je me mettre à poil et continuer à vous raconter en m'asseyant sur la table de salon en écartant largement les cuisses et si vous voulez en me fistant seule le con ?"

    "Tu es encore plus pute que je ne le pensais, et en plus tu fournis des idées humiliantes que je n'osais même pas imaginer, exécution et sois très salope !"

    Je me mets à poil en quelques secondes, débarrasse la deuxième table de salon, la ronde en verre, et je m'assieds dessus, pose mes pieds très écartés sur le rebord et dirige mon poing allongé et fermé vers ma moule, je suis tellement ruisselante que mon poing entre sans pratiquement que je ne souffre.

    "Bravo, continue ton récit, mais pendant ce temps agite bien tes cinq doigts dans ton con, racle bien toutes tes parois vaginales jusqu'à sentir que tu es une vraie femme et non une truie dans ta boue, mais ne jouis pas sans mon accord !"

    "Bien Amo Mio, hum comme je suis heureuse et humiliée de me fister le con devant vous et la caméra de mon époux ! Je reprends mon récit d'hier : je me branlais donc à quatre pattes dans la baignoire, quand Yves est sorti de la salle de bains et est revenue avec une cigarette. Il s'est accroupi au niveau de ma tête, m'a donné gentiment une bouffée de cigarette et ..." "Donc, petite putain, tu es aussi une fumeuse, mais depuis que je suis là, je ne t'ai pas vu en allumer une pourquoi ?"

    "Je ne fume jamais avant une séance, pour avoir une haleine agréable pour mon dominant ou mes partenaires de cul, et je ne fumerai ce weekend que si vous m'en offrez une, Amo Mio !"

    Chapitre 27

    "Bravo, continue ton récit" "Profitant de mes yeux fermés par le plaisir de la fumée, Yves s'est saisi d'un nichon et m'a posé brutalement un écraseur de téton avec un lest quasiment insupportable, et en me laissant hurler de douleur, il a fait de même avec l'autre nichon, tout en m'ordonnant de faire ballotter mes mamelles de vache de droite à gauche, ce que j'ai fait en hurlant de douleur. Il souriait en épongeant mes larmes avec un doigt qu'il essuyait avec délectation dans la raie de mon cul en me disant : "Voilà, une bonne destination pour des larmes inutiles, là au moins tu pleures du cul et c'est nouveau pour une bourgeoise comme toi !".

    Il a continué durant ce qui m'a semblé être une éternité jusqu'à revenir dans la baignoire et s'agenouiller derrière moi. Je ne pouvais pas voir ce qu'il me préparait, mais j'ai senti sa pine chercher mon trou du cul, et comme il m'encule quasiment tous les jours de la semaine, il a plongé sa pine d'un seul coup de reins dans mon cul, jusqu'à ce que je sente ses couilles battre mon cul bouillant de désir.

    Il ne m'a pas enculée, il m'a plutôt saillie comme une femelle que son mâle voudrait engrosser en s'agrippant de ses deux mains à mes nichons, sans oublier de les faire bouger, de les broyer et de jouer avec les écraseurs. Il s'est arrêté la pine rentrée jusque dans mes intestins, son bas ventre collé à mon cul et m'a demandé de finir le travail en bougeant mon cul et en m'enculant seule tout en contractant mes muscles de l'anus, et c'est comme ça que je l'ai fait jouir au fond de mon cul, lui arrachant, à ma grande fierté, des grognements de plaisir."

    "Oui au moins sa pute servait à quelque chose contrairement à d'autres moments de ménage, de cuisine ou de repassage ! Continue salope de gare !"

    "Ensuite, il se rassied sur le bord de la baignoire et me demande de reprendre ma position avec mes pieds sur ses cuisses. Je vois sa bite mollir, il m'ordonne d'ôter mes écraseurs, ce que je fais en hurlant de douleur, d'ouvrir ma moule gluante de mes deux mains et d'ouvrir grand ma bouche en sortant ma langue le plus possible.

    Je m'exécute, sans savoir ce qu'il compte faire, mais je comprends mieux en sentant sa pisse bouillonner dans ma moule, ses jets remonter rapidement sur mon ventre, s'arrêter plus longuement sur mes mamelles pour se tarir dans ma bouche grande ouverte. Il me regarde en souriant semblant très fier de sa femme qui ne se comporte toutefois que comme une putain de chiottes de gare, un urinoir public.

    Il me dit simplement : réserve toi encore un peu : une douche et tu me feras une pipe que je veux inoubliable. Nous nous douchons ensemble rapidement, et après nous être essuyés sommairement nous nous jetons sur notre lit, et je mets sa pine en bouche, mais Yves vous dira ce qu'il en a pensé !"

    Chapitre 28

    "Bravo pouffiasse, je constate que tu sais raconter des histoires et que tu as un vocabulaire très varié, je me demande même où une bourgeoise comme toi a appris ce genre de mots, mais laissons cela dans ton jardin secret : je ne veux pas tout t'enlever le premier jour ! Alors Yves comment était cette pipe ?"

    "J'aime bien ce que tu viens de lui dire ! Toi aussi tu sais manipuler la plume ou tout au moins le clavier ! Cette pipe ? Hum, fabuleuse, surtout par l'ardeur de la pipeuse qui essayait vainement de s'envoyer en l'air en suçant ma pine comme une folle d'asile.

    Elle m'a fait durer plus d'un quart d'heure, je ne te dis pas dans quel état elle avait les muscles de la bouche, elle en pleurait de rage et de douleur, et quand j'ai jouit dans sa bouche, elle m'a fait signe qu'elle gardait les lèvres fermées et que donc, elle ne pouvait pas me donner un baiser. Elle s'est couchée sur ma poitrine, m'a pris la main et l'a posée sur sa chatte gluante et l'a refermée très fort, elle m'a jeté un dernier regard plein d'amour pendant qu'elle avalait mon foutre et s'est immédiatement endormie"

    "Bravo, c'était superbe, je me répète, mais son excitation ne me surprend plus à présent ! Elle a pensé à sa soumission depuis le dîner et a du te donner son accord sans savoir ce que j’allais exiger d'elle ! Et, comme elle est très cérébrale, elle a du se faire des tonnes de scénarii en dormant ou en se préparant ! »

    « Tu peux le lui demander, Loré est une femme très sincère » José approuve l’idée d’Yves et me demande de lui dire toute la vérité.

    « Oui Amo Mio, cela a commencé le vendredi soir, dès l'annonce du scénario de mon cadeau, puis tout le long de notre retour, et même pendant notre bouderie d'amoureux, jusqu'à mon accord donné à 2 heures, et, pour finir : durant toute la durée de la séance dans la salle de bains et jusqu'à ce que je termine ma pipe.

    Puis le lendemain : pendant la livraison du traiteur, en prenant mon bain, en me préparant et en m’habillant : je n’ai pensé qu’à vous, Amo Mio. Sans pouvoir savoir comment vous me soumettriez. Comme je vous l’ai dit dans la cuisine, vous êtes le premier inconnu à qui je dois obéir devant Yves. Mais j’avais raison de lui faire confiance. Il m’a fait rencontrer un très bel homme, sachant parfaitement jouer avec une femme aussi complexe que moi »

    « C’est gentil ce que tu viens de dire petite pute. J’aime ta sincérité. Allez sors ton poing de ton con, redresse toi mais garde les cuisses bien écartées. On commence à voir un beau filet de mouille qui coule sur le haut de tes cuisses ! » Yves s'approche pour filmer mon sexe en gros plan.

    "En route, petite salope vicieuse : file prendre une douche, récupère toutes tes affaires pour les entreposer dans ta salle de bains, ne tarde pas trop, et reviens nous en jupe, chemisier et mules.

    "Merci, Amo Mio, je reviens très vite"

    Je ramasse mes affaires éparpillées et file dans la salle de bains en faisant comme avec mon chéri : sans fermer la porte derrière moi.

    Chapitre 29

    Quand je reviens, rafraîchie par ma douche et succinctement rhabillée, José fait mine de s’asseoir sur la table de salon en verre, mais je lui demande d'attendre deux secondes. Il est étonné mais me laisse faire, je file à la cuisine et reviens avec un produit et un chiffon avec lesquels je m'apprête à nettoyer la table que j'ai moi même souillée de mes jus de femelle.

    José rit, mais m'arrête : "C'est bien pensé petite pute, mais je pense qu'il ne faut pas abuser des produits chimiques, que dirais-tu de nettoyer toi même cette table avec ta belle langue de salope ?"

    Je souris, pose mes ustensiles et m'agenouille devant la table et je repère au fur et à mesure les endroits tâchés sur lesquels je passe ma langue sans économiser ma force de léchage.

    Yves, caméra au poing, et José rient de me voir si précautionneuse et m'aident en me signalant les endroits qui restent à nettoyer. Quand j'ai fini, je m'adresse à José : "Amo Mio, je suis contente que vous m'ayez laissé réparer les dégâts que j'avais commis".

    En souriant, José s'assied sur la table basse, face à moi et me demande de rester debout tout en relevant ma jupe jusqu'à la taille. Puis de déboutonner mon chemisier sans l'ôter.

    Il me regarde m’exécuter, visiblement avec plaisir : "Dis moi, Loré, tu as de très beaux ongles, tu ne les vernis jamais ?" "Très rarement, Amo Mio, et avec du vernis transparent" "Pourquoi pas avec une couleur vive ?" "Je n'aime pas trop, je trouve que ça fait un peu vulgaire, Amo Mio"

    José a du mal à retenir un fou rire : "Vulgaire ? Je ne suis pas du tout de ton avis, je trouve qu'une femme qui a de jolis ongles doit les mettre en valeur et les montrer en en étant fière !" "Vous avez raison, Amo Mio, je n'y avais jamais pensé" "Tu as du vernis rouge dans ta salle de bains ? " "Non, Monsieur, uniquement du vernis transparent, je suis désolée".

    « Ca n'a pas d'importance, en arrivant au coin de votre avenue, je suis passé devant un magasin de produits de beauté. Je suis sur que le samedi soir, il doit fermer à 22 heures : tu vas y descendre rapidement et acheter un flacon de vernis rouge vif, d'une marque qui sèche rapidement et tu te dépêches de remonter : j'ai hâte de te voir avec tes beaux ongles vernis ! Peut-être te trouveras-tu vulgaire, mais peux tu me jurer que dans ta vie tu n’as jamais fait de choses vulgaires comme par exemple de te mettre à poil devant un inconnu ou de te faire caresser le con par une semelle sale ? Ou t'asseoir à poil cuisses grands ouvertes et de te fister la moule trempée avec ton poing, devant ton Maître et ton mari ?"

    Je rougis sans répondre, furieuse contre moi d'avoir parlé de vulgarité. Je me rajuste rapidement, prends mon sac et descends à la boutique dont je suis une bonne cliente.

    Chapitre 30

    Je demande un vernis à ongles rouge vif, ce qui surprend la vendeuse, mais ne l'empêche pas de m'en montrer plusieurs. Devant mon hésitation elle me dit : « Le magasin ne va pas tarder à fermer, si vous voulez, emportez plusieurs flacons, montrez les à votre mari et lundi vous me paierez ceux que vous avez utilisés » J'accepte cette proposition et remonte à l'appartement avec six flacons de rouges différents.

    J'explique aux hommes ce qui m'est arrivé et pose sur la table tous les flacons en leur disant que, comme ça, ils pourront choisir eux mêmes. Yves me reprend gentiment en me rappelant que c'est à José qu'il aurait fallu que je présente les flacons. Je présente mes excuses à José qui sourit en commençant à comparer les tons et les coloris et il dit sans me regarder :

    "Je crois qu'Yves a bien fait de te rappeler les règles de la soirée, petite pute. Mais je pense, que tu n'es pas dans la tenue la mieux adaptée pour te vernir les ongles devant nous. Tu vas aller te changer en chaussant des spartiates de soirée sans talons avec un lacet long en cuir s'enroulant sur les chevilles et les jambes, je suis sur que tu en as, toutes les jeunes femmes en portent cette année" "Oui Amo Mio, j'en ai deux paires en effet "

    "J'en étais sur, puis tu enfileras un short de plage très moulant, bien sur sans culotte et un petit débardeur, sans soutien-gorge qui doit permettre aux voyeurs que nous sommes de voir entièrement tes nichons quand tu te pencheras soit en avant soit sur les côtés. File, je suis sur que tu as tout ça dans tes armoires !"

    Au fur et à mesure que José me décrit ce que je dois mettre, je visualise les vêtements que j'ai dans ma garde robe, et je suis curieusement contente de savoir que je vais pouvoir lui faire plaisir en m'habillant presque exactement comme il le souhaite.

    Libérée, je vais dans ma chambre, me déshabille, sors mes vêtements que je porte dans la salle de bains pour me rafraîchir un peu et surtout me sécher la chatte avant de me rhabiller en espérant que ma tenue séduira José.

    Quand je reviens, José me dévore des yeux, il me fait tourner sur moi même pour mieux me savourer du regard. Il me fait me pencher en lui tournant le dos et dit à Yves : « Tu avais raison, Yves, ce serait un crime de garder ce si beau cul égoïstement pour toi tout seul ! »

    Il me tend le vernis choisi, c'est le rouge le plus éclatant de la collection, je le trouve vraiment très voyant, mais ne dis rien. José me fait commencer par les ongles des mains. J'ai le droit de m'asseoir devant la table ronde, avec mes deux hommes face à moi.

    J’étale le vernis d’excellente qualité en me concentrant sur mon travail. En levant de temps en temps la tête je me rends compte que José ne me quitte pas des yeux et qu’Yves filme toute la scène.

    « Tu peux répondre à des questions sans te déconcentrer, petite pute ? » Je lui réponds qu'il n'y a pas de problème. « Yves m’a dit de toi que tu avais très peu de tabous. J’aimerais savoir ce que cache ce « très peu ? » Je rougis fortement en ayant un peu de mal à diriger mon pinceau.

    « En fait, Amo Mio, j’en ai deux : je n’aime pas voir mon sang couler et la scatologie » « Bien, voir du sang ne fait pas partie de mes fantasmes, mais je suppose que ça n’exclue pas les traces un peu appuyées sur ton corps de salope qui appelle plus les coups que les câlins, même si elles mettent quelques temps à disparaître ? » « En fait Amo Mio, je suis contre la douleur inutile, j'aime la douleur excitante : le travail des nichons, des pieds ou des épaules, mais tant qu’il n’y a pas de sang et qu’Yves accepte je n’ai rien contre cette douleur, Amo Mio »

    « Bien, et quant à la scato, qu’est ce qui te gêne ? » « L'odeur et la consistance, Amo Mio, elles me donnent envie de vomir » « Je comprends et je l’accepte, mais ça ne t’empêche pas de te montrer en train de chier ? »

    Mon pinceau quitte brutalement son chemin sur un ongle et je suis obligée de m’essuyer la peau. Je deviens écarlate sans pouvoir répondre, José éclate de rire « Tu connais le dicton : "qui ne dit mot consent". Donc tu ne sentiras pas et tu ne toucheras pas ta merde mais si j'en ai envie, tu chieras devant moi et tu seras filmée par ton mari en train de chier ! Yves es-tu d’accord ? »

    Yves se contente de sourire en approuvant ce choix qu'il complète par un : « Peut être devrais-tu attendre qu’elle soit bien excitée pour lui demander ça ? » José le rassure : « Sois tranquille Yves. J'ai de lointains ancêtres Sioux qui m'ont communiqué leur habitude de regarder où j'allais poser mon prochain pied avant de le lever ! Et ça m'a souvent servi dans la vie ! »

    Chapitre 31

    J’ai enfin terminé de me vernir les ongles des mains. Je me sens aussi excitée que vulgaire mais j’espère que ces sentiments ne se voient pas. José me demande de me mettre debout devant lui :

    « Tu vas te pencher et mettre tes deux mains bien à plat sur ma braguette, comme ça Yves pourra bien filmer tes ongles magnifiques » Je m’exécute en sachant qu’en me penchant de cette manière le décolleté de mon top va lui montrer l’intégralité de mes seins libres de tout soutien-gorge. Et, bien sur, sa braguette étant gonflée à exploser, je ne peux pas poser mes mains à plat dessus.

    José rit : « Eh bien, petite pute, tu ne peux pas poser tes mains à plat ? Explique-moi quel problème tu as ? » Je rougis sans répondre, et tout en essayant de les aplatir, je le caresse, ce qui gonfle encore un peu plus sa braguette : « J’attends ta réponse, salope : qu'est-ce qui te gène ? » « Je ne peux pas mettre mes mains à plat, Amo Mio, car vous bandez trop » « Répète moi ta réponse mais avec un langage plus vulgaire, plus en adéquation avec tes ongles rouge vif ! »

    Je m'en veux encore une fois pour ma phrase malheureuse sur la vulgarité et murmure : « Je ne peux pas poser mes mains à plat car votre bite est trop dure, Amo Mio » « Je n’ai pas bien entendu, je suppose que tu voulais dire pine ? » Je me force à parler plus fort et répète : « Oui, Amo Mio, votre pine est trop dure pour que je puisse poser mes mains à plat sur votre braguette » « Et tu ne penses pas qu’elle est aussi dure à cause de ce que ton décolleté me montre ? » « Je pense que ça y contribue, Amo Mio, et en bonne pute, j'en suis très fière » « Et qu’est ce que tu me montres salope exhibitionniste ? » « Mes seins et mes tétons, Amo Mio »

    Yves est derrière José et filme la scène en plongée. Je prends une gifle brutale de la part de José : elle me vexe plus qu’elle ne me fait mal. « Connasse mal éduquée : les femmes ont des seins et des tétons, les salopes comme toi montrent d'autres choses ! »

    « Pardon, Amo Mio, je vous montrais mes nichons de putain de bordel et mes bouts de mamelles gonflés de chienne en chaleur » « Gonflés par quoi putain ? » « Par le désir, Amo Mio » « Le désir ?As-tu envie de m’ouvrir la braguette ? De sortir ma pine au grand air ? De la branler et de me faire une pipe ? Ou préfères-tu que je te la mette dans le con ou dans ton trou à merde ? » « Non, Amo Mio, je n'ai qu'un unique désir : celui de satisfaire les vôtres. Vous ferez ce que vous voudrez quand vous en aurez envie, je n’ai ni à décider, ni à vous refuser quoi que ce soit »

    « Bonne réponse. Allez va te rasseoir face à moi, pose un premier pied sur la table et, bien penchée, vernis toi les ongles des orteils et prends bien garde que tes nichons tombent bien et ballottent en permanence » Je me mets en position, enlève mes tongs et commence le vernissage de mes orteils.

    Chapitre 32

    José me regarde faire tout en se touchant la braguette. J’ai presque fini le premier pied lorsqu’il se lève, vient derrière moi, se penche, ouvre un peu plus le haut de mon top et baisse ses mains chaudes pour prendre mes seins à pleine main. J’entame l’autre pied en ayant du mal à me concentrer : il pétrit mes seins très durement en s’attardant de temps en temps sur mes tétons qu’il pince entre deux de ses doigts, m’obligeant à gémir.

    « Ils triplent de volume : Yves, je suis sur que ta femme peut jouir des tétons, je me trompe ? » « Non tu ne te trompes pas, ça prend du temps mais elle arrive aussi à se faire jouir comme ça ! » Il les pince encore plus fort et me questionne :

    « Dis moi, belle salope, qu’est-ce qu’Yves ne t’a pas fait aux nichons : des élastiques à leur base ou autour de tes tétons bien bandés et durs ? Les tétons serrés par une corde tendue pour les étirer douloureusement ? Des pinces en plastique sur le gras des nichons pour pouvoir les enlever une à une par avec une cravache en cuir ? Un bondage bien serré de tes nichons qui prennent la forme de deux ballons prêts à exploser ? De la cire fondue ou une flamme de bougie ? Des écraseurs ou des pinces dentelées aux tétons ? Des aiguilles dans les nichons ou dans tes bouts ? Une belle promenade menée par une chaîne qui tire tes deux tétons pincés en même temps ? Quelques heures attachée sans pouvoir bouger avec des pinces en acier lestées de poids ? Et bien sur des zébrures bien rouges de martinet, de cravache ou d'ajonc sur tes nichons de salope ? »

    Honteuse de ce bilan que je dois reconnaître comme vrai, je réponds en sanglotant, peu fière de moi : « Oui, Amo Mio, j'ai subi tout ça, mais pas forcément avec Yves »

    Yves sourit et dit : « Je rajouterai des glaçons frottant les tétons ou fondant sur eux, les trayeuses de seins et de tétons, des sorties dans la rue avec les tétons pincés et lestés sous un pull ample, le travail des tétons avec une batterie de voiture.

    Il manque toutefois le plus fort pour exhiber son esclavage : lui faire anneler les tétons, mais le processus est en cours.

    « Hum, je vois que tu as des nichons sans tabous. Je vais me régaler ! Dis-moi, pendant que tu finis de peindre tes ongles de pute : si je te laisse choisir trois parties de ton corps à torturer, quel serait ton choix ? »

    « A torturer ? Je ne savais pas que le sado était au programme »

    Je reçois une gifle gigantesque qui cette fois me fait très mal « Je suis un dominant et tu es une esclave sexuelle, cérébrale et maso, pourquoi veux-tu que je me gène avec toi ? J’attends ta réponse » Je gagne du temps en terminant de vernir le dernier ongle, referme le flacon et d’une petite voix je lui réponds :

    « Mes pieds, mes seins et mes épaules » "C’est noté. Je vois que tu as fini, mets toi debout sur la table du salon et écarte bien les cuisses"

    Chapitre 33

    Je m'exécute et monte sur la table, mes pieds aux ongles vernis me choquent profondément, mais José se concentre sur une autre partie de moi"

    "Dis moi, cochonne, c’est quoi cette tâche entre tes cuisses ?"

    « Je suis trempée, Amo Mio, et mon short est en tissu fin qui n’absorbe pas le liquide » « En fait tu es en chaleur. Prête à ouvrir un de tes trous à une grosse bite, c’est ça putain ? » « Oui, Amo Mio, chaude et prête à être baisée » « Tu crois qu’on baise une fille comme toi ? Tu ne penses pas qu’on se vide plutôt les couilles dans ses trous bien adaptés aux pines des mecs ? » « Oh, oui, Amo Mio, j’ai tellement honte. Oui je suis prête à être niquée et à vider les couilles de qui vous voudrez »

    Il rit, content de m’avoir entraînée à la limite des insultes supportables. « Tu es une bonne salope, rassure toi avec moi tu videras plus de couilles que tu ne pourrais imaginer ! »

    Il me fait m’accroupir sur la table basse et caresser mes pieds nus avec mes mains pour qu’Yves puise bien filmer l'ensemble de mes ongles vernis dans ce rouge trop agressif. Ce dont il ne se prive pas, car il est rare qu’il me voit avec des ongles peints.

    « Je trouve ton idée des ongles très bandante, José » « Tu ne l’avais jamais obligée à le faire ? » « Non, jamais. Mais je reconnais que comme ça elle fait encore plus pute ! » « Si tu veux la niquer, vas-y Yves, je vous filmerai » Yves rit et lui répond « Non, pas pour l’instant, ne te fais pas de souci pour moi, je te le dirai José »

    Quand Yves a fini de me filmer les ongles, José me demande de rester accroupie et de passer mon majeur sur ma chatte à travers le short et de me caresser lentement mais juste pour me maintenir bien chaude avec l’interdiction de jouir.

    J’en avais tellement envie qu’au bout de cinq minutes je ne peux pas m’empêcher de gémir doucement en fermant les yeux « Nom de Dieu, quelle salope : ta femme est un volcan Yves ! » Yves rit, il ressert les coupes et mange quelques tapas. Il a mit la caméra sur son trépied et les deux hommes se concentrent sur le spectacle d’une femme surexcitée qui se branle sans avoir le droit de jouir. Ils me laissent me caresser tellement longtemps que je suis obligée de faire des pauses de plus en plus longues pour ne pas jouir.

    Les hommes me sentent au bord de l’orgasme et s’en réjouissent en m'insultant copieusement; tout en s'éloignant tous les deux vers la cuisine, me laissant me tripoter la moule seule dans le salon.

    Chapitre 34

    En appartée tous les deux :

    « Tu vas la laisser s’envoyer en l’air José ? » « Aucune chance ! Elle est très chaude, mais je la veux bouillante ! Je veux l’amener à jouir rien qu’en lui regardant le clitoris ! » Yves rit : « Belle ambition ! Bravo si tu y arrives ! » « Ça me semble improbable. Mais on peut rêver ! Dis-moi Yves, dans les tabous de cette pute, nous n’avons pas évoqué la prostitution. Est-ce un oubli ? Tu ne l’as jamais louée pour se faire sauter ? »

    « Disons qu'avec moi, c’est un fantasme pour lequel elle est en période d'apprentissage. Elle a sucé de nombreuses fois dans des bars échangistes en échange d’un verre ou d’une bouteille de champagne, et seulement deux de fois contre de l’argent »

    "Pourquoi dis-tu avec moi ?" "Car avec sa domina française, Cathy, elle est beaucoup plus avancée, c'est elle qui gère son planning soit de passes soit de rendez-vous bdsm, et je suis au courant de ses rentrées d'argent qui sont assez colossales"

    "Sa domina est sa maquerelle ?" "Non, c'est une amie commune et elle ne prend pas un sou sur la part de Loré, et quand elle lui emprunte de l'argent pour financer rapidement ses affaires, elle donne à Loré 12% d'intérêts annuels !"

    "Ah, je vois qu'en effet, elle n'est pas intéressée ! En ce qui me concerne, ce sont ses deux fois contre de l’argent qui m’intéressent. Le reste non. Faire des pipes en bar échangiste me semble normal quand on est une pute comme elle. Et les deux fois contre rémunération, c’était avec des inconnus ? »

    « Non, une fois avec un ami qu'elle ne connaissait pas : nous étions en France, et j'ai fait semblant de rencontrer par hasard cet ami, un soir où elle portait son bracelet bdsm et je lui ai imposé de séduire ce très beau jeune homme et de le ramener à la maison pour la sauter contre 200 euros » « Et elle a réagit comment ? » « Très troublée sur le moment, une séance explosive durant laquelle elle a jouit cinq ou six fois en trois heures et en le faisant éjaculer deux fois, puis aucune envie sexuelle pendant une bonne semaine et, après l'abstinence, le déchaînement en se remémorant qu’elle avait gagné de l'argent en vendant son cul ! » « C’est son côté cérébral qui ressort bien ! Et l’autre fois ? »

    « Avec un parfait inconnu : un chauffeur de taxi ici à Madrid » « Donc il y a peu de temps ? » « Oui c’est très récent »

    "Ok, on revient dans le salon avec des bouteilles et je vais lui demander de nous raconter cette aventure comme elle sait le faire !"

    Revenus dans le salon, José nous sert à boire et me dit « Ma petite pute. Je veux tout savoir sur cette passe avec le chauffeur de taxi. Continue à t’astiquer la chatte et raconte-nous tout » Je suis liquéfiée. Nerveuse et au bord de l’orgasme, je n’ai pas envie de me remémorer cette récente aventure. Et ne réponds rien. José, comprenant que je suis réticente se lève se met derrière moi et me gifle violemment au niveau des oreilles ce qui me fait hurler de douleur « Oh, non, Amo Mio, vous avez mal interprété mon silence : je m’éclaircissais la voix, ne me frappez plus s’il vous plaît » « Eh bien, pouffiasse, ta voix est claire à présent, donc nous t’écoutons, je veux des détails et un langage ordurier, si ça ne me plaît pas je continue les gifles sur les oreilles ! »

    « Bien, Amo Mio, il y a environ trois semaines, Yves m’appelle du bureau en me disant que vers 19 heures, il passera me prendre en taxi pour aller voir une exposition dans un quartier éloigné de Madrid. Je me suis habillée à peu près comme j’étais pour vous accueillir. Un peu avant l'heure, j’étais devant la porte, sans sac, puisqu’Yves me rejoignait.

    Je suis montée dans le taxi et Yves lui a indiqué l’adresse. Nous avons bavardé tout le long du trajet. Quand nous sommes arrivés devant l’exposition, je suis descendue du taxi mais Yves après avoir fouillé toutes ses poches n’a trouvé aucun moyen de paiement, il a alors réalisé qu’il avait tout laissé dans une autre veste au bureau.

    « Loré excuse moi de te couper : je dois lui expliquer deux faits qu’elle ne sait pas : la course faisait 40 euros et en allant chercher Loré, j’avais donné 120 euros au chauffeur en lui disant que j'allais faire croire à ma femme que je n’avais pas d’argent mais qu’elle accepterait certainement de le payer en nature.

    Il a tout de suite compris et a accepté de jouer ce jeu d'adulte en souriant, et je précise aussi que j'avais choisi ce taxiteur assez bel homme dans la file, en attendant même qu'il arrive pour monter dans sa voiture ! » « Quel vicieux tu fais Yves ! Là tu me bats. Continue putain même maintenant que tu connais la vérité ! »

    Chapitre 35

    Très troublée par cet aveu, je poursuis : "Je suis donc remontée dans le taxi en demandant à Yves ce que nous pouvions faire. Le chauffeur, bel homme fort sympathique, s’est tourné vers nous et a proposé de nous ramener chez nous pour récupérer un moyen de paiement. Mais Yves a jugé ça idiot, car nous n'aurions plus le temps de revenir voir l'exposition, dont s'était en plus le dernier jour. Nous réfléchissons tous les trois dans notre coin sans trouver de solution, quand le chauffeur demande à Yves s'il peut lui parler seul à seul. Yves accepte et rejoint le chauffeur à l'extérieur du taxi. Et là, je ne sais pas ce qu'ils se sont dit"

    José intervient : "et alors, ton histoire s'arrête là ? Tu te fous de ma gueule, sale pute ?" "Non, Amo Mio, après quelques minutes de discussion, Yves remonte dans le taxi alors que le chauffeur reste dehors. Donc sans témoin, Yves me dit que j'ai tapé dans l’œil du chauffeur et que si j'accepte de le payer en nature, il serait d’accord pour oublier le prix de la course et même pour me payer une rallonge digne de ma classe et de ma beauté.

    Je trouve la situation très embarrassante, mais je ne veux pas monter sur mes grands chevaux et commencer à pleurer sur ma virginité ou sur le vice de la prostitution. Je constate simplement qu'Yves a jugé bon de me proposer ça, c'est donc pour que j'agisse en responsable. Après tout, le chauffeur est mignon, et beaucoup de mes amies en feraient bien leur quatre heures !

    Ma décision prise, j'ai volontairement prolongé le suspense en faisant signe au chauffeur de venir à ma portière, j'ai baissé ma vitre et je lui ai demandé en Espagnol ce qu’il appelait « un paiement en nature », il a sourit en me répondant très intelligemment : "que, sauf si j’étais vierge, je pouvais me douter de ce qu’un homme pouvait attendre d'une femme pour une centaine d'euros". Et il a même sorti un préservatif de sa poche pour me prouver que je ne risquais rien.

    Yves légèrement boudeur (quel farceur me sert de mari !) m’a finalement laissé le choix et j’ai réglé le problème en donnant mon accord au chauffeur. Il a débarrassé son siège passager et m’a aidé à venir m’asseoir devant.

    Chapitre 36

    J'arrête un peu pour m’éclaircir la gorge : « Le chauffeur démarre en nous expliquant qu’il était risqué de jouer à ce jeu ici mais qu’il connaissait un coin très tranquille à moins d’un kilomètre. Dès que j’ai été assise à ses côtés, il a démarré en conduisant de la main gauche, glissant la droite sous ma jupe pour écarter ma culotte et m’enfiler deux doigts dans le con tout en me demandant d’enlever mon soutien-gorge et d’ouvrir mon chemisier. Je sens que c'est un chaud lapin et que je vais en avoir pour mon argent.

    Il stoppe dans un endroit en effet très calme. Il ouvre sa braguette, baisse son pantalon et son slip et sort une bite de belle taille sur laquelle il pose ma main gauche en me demandant de le branler. Le gland de sa pine est rouge, gonflé et humide, visiblement de me doigter et de voir mes nichons l’a déjà bien excité.

    Je le branle quelques minutes alors qu'il me pelote tout le corps et qu'il glisse ses doigts dans tous mes trous, cul inclus. Puis il me penche la tête pour que je lui lèche longuement les couilles avant de me redresser un peu pour m'enfoncer sa pine entière dans la bouche. Pour le pomper, il me fait m’agenouiller sur mon siège, tournée vers lui et cuisses bien écartées pour pouvoir glisser trois doigts dans mon con et me pistonner en se régalant du bruit que ses doigts font en me ramonant la connasse »

    Je dois faire une pause pour respirer et me calmer un peu pour éviter la jouissance, mes hommes rient en me voyant lutter pour ne pas jouir.

    "Je pense qu’il est tellement excité qu’il va jouir dans ma bouche sans capote, ce qui ne me gêne pas outre mesure, mais il me relève brutalement en me tirant par les cheveux et me fait mettre en levrette, cul tourné vers lui, tête et nichons sortis de l'auto par ma vitre ouverte. Il se met à genoux derrière moi, positionne sa capote et m’enfile d’un seul coup de rein. Agrippé à mes hanches il va et vient en moi comme s’il n’avait pas niqué depuis des mois. Je ferme les yeux en me laissant faire, en fait beaucoup plus excitée par la situation que je n'aurais pu penser"

    Chapitre 37

    Mais je les rouvre en entendant un bruit étrange et je vois un homme dehors, debout devant moi, en train de sortir sa bite de son pantalon, il est très laid et quand il se rapproche de moi, je sens la mauvaise odeur d'une pine mal lavée. Mais avant d'avoir le temps de crier et de demander du secours, il me pince le nez et m’oblige à ouvrir en grand la bouche dans laquelle il enfonce sa pine dure et longue. Je suis prise de nausées alors que le chauffeur de taxi lui signale que je suis sa pute et que s’il veut se vider les couilles dans ma bouche ça lui coûtera 20 euros, comme dans tout le quartier »

    « L’homme rit sans arrêter de me baiser la bouche en me maintenant par les cheveux mais au dernier moment, il sort sa pine de ma bouche et explose sur ma figure et dans mes cheveux en me glissant un billet de 10 euros dans la bouche tout en me disant : « Je ne jouis jamais dans une putain, 10 euros ça te suffira pouffiasse »

    Et il part en se reboutonnant alors que le chauffeur de taxi jouit en grognant de plaisir au fond de ma connasse grande ouverte et trempée. Je sors de la voiture, maculée de sperme, le chauffeur me prête une boîte de kleenex et un peu d'eau pour me rafraîchir avant de me rhabiller. Il nous accompagne devant l’exposition, me donne un billet de 50 euros, et me remercie avant de partir.

    Nous avons visité l’exposition après que je sois passée aux toilettes pour effacer toute trace de foutre sur mon visage ou mes cheveux, voilà, Amo Mio, c'est tout"

    « Putain, Loré, quelle salope tu es ! En plus tu racontes divinement bien tes histoires de cul ! J’ai la bite dure comme du bois. Je crois bien que si Yves est d’accord, nous irons faire un tour dans le coin tranquille de ton chauffeur de taxi baiseur et maquereau ! Je pense que tu as besoin d’un peu de sous ! Et dis moi, putain, avec le recul que penses-tu de cet intermède de cul dans ta vie ? »

    "J’ai deux réactions, Amo Mio, à froid j’ai envie de vomir de ma conduite mais quand je suis excitée, d’y repenser m’excite encore plus" "J’espère, salope, que le temps que nous allons passer ensemble ne fera que t’exciter en y repensant. Pour l’instant, dis-moi avec ta franchise habituelle si tu aimes ma manière de te dominer ?"

    "Oh, oui, Amo Mio, vous m’excitez beaucoup et vous connaissez très bien les femmes obéissantes, mais surtout je n'ai aucune idée de ce qui va m'arriver, par exemple maintenant, car je ne vous connais pas du tout" Il rit "Pour l’instant ce ne sont que des préludes, les choses sérieuses viendront petit à petit ! Arrête de t’astiquer et enlève ton short. J'ai envie de le sentir et tu seras mieux le con et le cul à l’air ! »

    Je lui tends mon short, il le renifle et son jugement immédiat me vexe profondément : « J’aurais eu le même résultat en mettant une culotte à une vraie chienne en chaleur ! Essuie toi le haut des cuisses avec tes doigts et lèche les pour bien les nettoyer, et, si pour toi, une femme aux ongles vernis est vulgaire, une salope au con trempé et dégoulinant qui rêve de se faire mettre est pour moi l’image même de la vulgarité, du vice et de la putasse de gare. Honteuse, je baisse la tête sans rien dire tout en sachant qu’il a raison.

    Il reprend une coupe, trinque avec Yves qui a tout filmé et tout enregistré « Tu devrais couper au montage ton paiement au chauffeur de taxi ? » « Oui, surement. Ça n’apporte rien à l’histoire ! »

    Chapitre 38

    Je finis de me sécher un peu le haut des cuisses et de me lécher les doigts quand José me demande de le regarder dans les yeux « Dis moi, pouffiasse, je suis sur qu’une femelle aussi chaude et maso que toi a quelques jouets sexuels cachés ? Je me trompe ? » « Non, Monsieur, c’est exact, ils sont dans notre chambre à coucher » Il se lève, me donne une tape bruyante sur les fesses et me dit : « Allez en route, je te suis et bouge bien ton cul nu en marchant que je me régale de te voir te trémousser ! Tu viens avec nous Yves ? »

    « Non je vous laisse tous les deux, j’ai des réglages à faire sur l’ordinateur pour le connecter à la télé : amuse toi bien avec elle, régale toi et sache qu’elle a utilisé avec moi tous les jouets que tu vas découvrir donc tu peux choisir ceux que tu veux, elle les a déjà inauguré ! »

    Je me dirige vers notre chambre en sentant le regard de José rivé à mes fesses que j’essaye de remuer en cadence. José me murmure à l’oreille : « Tu sais putain que tu as un mari unique et que tu es une pute extraordinairement bandante, j’ai tellement de choses à te faire faire que je crois que deux jours ne me suffiront pas ! »

    Je suis pieds nus, chatte et cul nus, avec seulement le débardeur chargé de bien exposer mes nichons, nous arrivons dans la chambre, à l’extrême droite d'un grand dressing, il y a une armoire fermée par un cadenas à code. José sourit pendant que je le décode. Il s’assied sur le bord du lit et me dit : « Tu vas sortir tes jouets un par un en m’expliquant à quoi ils servent et tu les déposeras un par un sur le lit à côté de moi »

    Chapitre 39

    Je fouille dans l’armoire et sors les accessoires en fonction de leur catégorie.

    « Quatre paires de menottes, deux en acier : une à chaîne courte pour les poignets et une à chaîne plus longue pour les chevilles, un jeu en cuir pour attacher ensemble les poignets et les chevilles et un collier de cuir avec deux menottes en acier de chaque côté » « Et à quoi sert cette dernière ? » « Une fois le collier posé autour du cou, on peut attacher les deux poignets de chaque côté du cou, Amo Mio » « Bien, ensuite »

    « Des cordes de différents diamètres et de différentes longueurs pour m’attacher et une corde à nœuds pour que je jouisse » « Je ne comprends pas ? » « Yves la tend entre des fixations et une fois enjambée je vais et viens sur les nœuds. Ce qui me fait jouir, Amo Mio » « Bien et puis ? »

    « Trois bâillons : un avec une grosse boule sur laquelle je dois serrer les dents, un autre avec un gode qui rentre très profondément dans ma bouche et un dernier qui, avec une armature en acier m’empêche de refermer la bouche » « Tu n’as rien pour la langue et le nez ? » « Oui, Amo Mio, deux crochets en acier qui entrent dans mes narines et sont tendus par un élastique passant derrière la tête et une pince plate assez large qui pince la langue et peut être suspendue à un crochet par une chaînette » Je lui sors le jouet que je viens de lui décrire. « Très bien, j’adore ça, continue »

    « Deux pompes à air : une avec deux cloches pour vider l’air des nichons, et une autre avec des sortes de seringues vides pour les bouts de mamelles » « Tu n’en as pas pour aspirer les grandes lèvres ? » « Non, Amo Mio, mais vous devriez le dire à Yves » « Continue pouffiasse »

    « Des pinces en plastique très grandes qui prennent beaucoup de chair et des pinces en acier, plates ou dentelées avec des poids pour les lester » « Et tu supportes tous les poids ? » « Oui, Amo Mio, mais je ne peux pas rester pincée toute une soirée avec certaines pinces lestées, ça devient de la torture gratuite. Yves sait quelles sont celles que je supporte longtemps » « Bien, je lui poserai la question tout à l’heure »

    Chapitre 40

    « Un gros crochet en fer avec le bout en forme de gode » « Pour le cul ou le con ? » « Les deux, Amo Mio »

    « Des godes de différents diamètres dont un avec des picots durs en latex » « Combien et quel est le plus gros ? » « Cinq en tout, Amo Mio et le plus gros fait 30 centimètres de long » « Pas mal, je vois que tu es habituée aux grosses pines ! » « Un vibromasseur portable pour le clitoris et quatre pour mon sexe ou mon cul. Des plugs de différents diamètres pour mon anus » « Tu les gardes longtemps dans ton cul ? » « Oui, une matinée ou une soirée, Amo Mio » « Bien »

    « Un ceinturon de cuir avec des picots de latex intérieur pour ma taille, des bracelets de cuir pour compresser la base de mes nichons, d’autres pour mes chevilles et mes poignets » « Avec des anneaux ? » « Oui; Amo Mio »

    « Un paddle pour mes fesses, mes seins ou mes épaules. Une cravache, une baguette d'ajonc et une règle en bois pour y poser mes genoux » « Hum, continue tu me fais bander ! »

    « Des boules de geisha : une avec deux grosses boules et une autre avec trois boules plus petites, un œuf vibrant avec une télécommande et une variété de masques. Voilà, j’ai fini, Amo Mio » « Belle collection qui correspond bien à ton statut de pute facile et maso ! Mets-toi debout face à moi, entre mes jambes. Et écarte bien les cuisses » Je m’exécute tout en le voyant prendre les deux grosses boules de geisha. Il enfonce la première brutalement dans ma chatte gluante qui l’accepte sans difficulté tout en laissant pendre l’autre hors de mon vagin. Il tire sur la corde en me regardant dans les yeux, je ne peux cacher un sourire de plaisir en sentant la boule bouger en moi.

    Chapitre 41

    « Je vois que ça te plait, n’est ce pas petite pute ? » « Hum, oui Amo Mio, ça m’excite » « Voyons si le reste te conviendra autant ! » A ma grande surprise, il pose un masque sur mes yeux. Privée d’un seul coup de ma vue, je suis un peu désemparée, mais je sens qu’il me prend par les cheveux et me tire sur le lit où il me fait tomber parmi les accessoires éparts.

    Il me dispose en levrette et m’incline la tête pour que je la pose sur mes mains croisées. Je déduis de ma position qu’il va me pluguer le cul. D’un seul coup, j’ai l’impression d’être seule et j’entends en effet des bruits de voix en provenance du salon. Quelques instants plus tard, j’entends le bruit caractéristique de la caméra d’Yves et des bruits de crémaillère et d’étoffe, ce qui ressemble fort à un pantalon qui se baisse, et ce qui vient me frotter l'anus ne ressemble pas à du latex : José me donne l’explication du masque et de ma position.

    « Tu pensais que tu allais te régaler en voyant ma bite, en la caressant, en la léchant, en la branlant, voire même en la suçant. Mais non, pouffiasse, tu ne la verras pas encore, l’heure n’est pas venue, par contre, je vais t’exploser la rondelle sans toutefois vider mes couilles dans ton cul de pute et tes intestins de truie»

    Et joignant la parole au geste, il enfonce brutalement sa bite dans mon anus en le défonçant sans aucune pitié. J’hurle de douleur, car il est beaucoup plus gros qu'Yves, mais il n’en tient pas compte et se retire complètement de mon cul pour y pénétrer d’un seul coup en répétant plusieurs fois son manège, jusqu’à ce que mon anus s’habitue à ce monstre qui m’encule.

    « Tu voulais une pine ? Tu l’as au fond du cul salope ! Tu te sens bien remplie du cul espèce de garage à bites ? » « Oh, oui, Amo Mio, mais elle est trop grosse pour mon petit cul, Amo Mio » « Trop grosse ? Tu te fous de moi pouffiasse ! Elle est plus grosse que celle de ton mari ? » « Oh, oui, Amo Mio, bien plus grosse » « Il sort sa bite, crache sur mon anus et replonge sa pine au fond de mon cul avant d'aller et de venir de plus en plus vite et en sortant chaque fois l’intégralité de sa bite de mon cul »

    « Dis moi salope intégrale. Tu vas me prendre combien pour te défoncer le cul de cette manière ? » « Oh, non, Amo Mio, vous savez bien que tout est gratuit pour vous » « Non, tu dois toucher du pognon en échange de ton cul, pense à ton éthique de prostituée ! Il ne faut pas gâcher le métier ! Même si tu débutes » « Oh, Amo Mio, je suis à vous. Je ferai tout ce que vous demanderez. Enculez moi, défoncez mon cul, régalez vous avec votre vide couilles. Je suis là pour ça »

    Chapitre 42

    Il se retire de mon anus et s'adresse ironiquement à mon chéri : « Hum, Yves, je crois que ton expérience va au-delà de tes espérances. Si je continue, ta femme va te réclamer sans arrêt des nouveaux Maîtres ! »

    Yves rit « Oui je crois que tu as raison. Mais si elle ne peut plus se passer de toi, qu'allons nous devenir ? Tu crois qu'elle se contentera de n'avoir que deux Maîtres ! » "Rassure toi, je sais m'effacer, à ce propos, je te laisse la place ? Tu veux l’enculer, elle est déjà bien élargie ? » « Oui je n'en doute pas, je ne savais pas que tu étais monté comme un âne, ce n'en est que mieux, changer le format d'une bite fait partie des nouveautés dans le bdsm qu'elle doit apprendre ! Vas-y profite de ton jouet, continue à lui défoncer le cul, elle en a besoin pour devenir définitivement ton esclave ! »

    José se colle à mes fesses, mains agrippées à mes hanches. Il m'encule de nouveau d'un seul coup mais reste enfoncé quelques minutes au fond de moi, la pine dans mes intestins, son bas ventre collé à moi, avant de ressortir lentement en débandant légèrement. Je sais qu'il n'a pas joui, et je suis étonnée par sa résistance.

    Il profite de ma position et de l’humidité de mon trou du cul pour demander à Yves de lui passer un plug de moyenne taille de ma collection. Il fait des cercles avec sur mon anus avant de le pointer droit sur mon anus et de l’enfoncer dans mes fesses. Je me détends pour l’aider au maximum. Il tourne le plug dans mon cul en l’enfonçant jusqu’à ce que je sente contre mes fesses la plaque de latex qui lui interdit d’entrer plus avant dans mon cul. « C’est vrai que tu as un trou du cul très étroit, mais tu es un régal pour les bites et, là, ce plug n'est pas trop gros mais est très long, il est bien au fond de ton trou à merde et il est assez gros pour que tu ne puisses pas de le perdre ! »

    Chapitre 43

    J’entends du bruit, je pense qu’il se rhabille. Je constate que c'est bien ça, quand il enlève mon masque me fait me redresser avec la boule qui pend de mon con et le plug dans le cul.

    "Yves, tu veux bien la raccompagner au salon, je choisis quelques jouets et je vous rejoins "

    Une claque sur les fesses me fait retourner à petits pas au salon nue, à part mon débardeur, en suivant Yves alors que José fait son choix dans nos jouets.

    Il nous rejoint dans le salon et me laisse debout, cuisses bien serrées. Il boit une coupe avec Yves « Vous avez une très belle collection de sex-toys ! » « Nous les achetons tous les deux sur des sex-shops en ligne mais c’est elle qui choisit ! »

    « C’est plus excitant comme ça. Ta petite pute choisit ce qui va l’humilier ou la faire souffrir ! C’est une bonne idée ! Putain, mets toi au milieu du salon et tourne sur toi-même pour qu’Yves puisse bien te filmer ! » « Entre la chambre et ici, je vais avoir de belles images. Mais pourquoi ne lui as-tu pas rentré la seconde boule dans le con ? » "C’est pour que la première bouge bien  : je veux qu’elle soit plus que trempée !"

    « Dis-nous comment tu te sens putain ? » « Très excitée, Amo Mio, et très honteuse de m’exhiber comme ça devant vous deux et la caméra » « Remets toi à quatre pattes sur la table de salon en verre, que tu commences à bien connaitre ! Tête tournée vers la télé, puisqu’Yves a fini de raccorder l’ordinateur et la télé tu vas pouvoir te voir ! »

    Je fais ce que José me demande et prends la position avant de me voir sur le plasma grand écran du salon : mon débardeur froissé laisse voir une grande partie de mes seins et cette boule qui pend de mon vagin ne risque pas de me refroidir.

    José se place derrière moi, bouge les boules en tirant très fort sur le cordon et finit par entrer la deuxième qui doit faire sa place en poussant l’autre bien au fond de mon vagin.

    Puis il se met devant moi, il a du récupérer des ciseaux dans notre chambre, car il découpe soigneusement mon débardeur en prenant soin de laisser les nichons et les bouts bien dénudés. Il repose ses ciseaux, prend mon sein droit dans sa main. Il le masse et le pétrit avec force avant d’en pincer le bout entre ses doigts jusqu’à ce que le téton soit bien gonflé. Quand il constate que le bout de mamelle bande bien, il prend une des pinces de plastique et la pose juste au bout sans pincer un millimètre de chair du sein. Il semble content de me voir me mordre les lèvres pour ne pas crier et en profite pour faire la même chose à l’autre téton.

    Chapitre 44

    Il me donne une lourde tape sur les fesses : « Tu es très bien comme ça et je vois que tu endures bien la douleur. A ce propos Yves, ta femme m’a dit que tu savais quelles pinces elle supportait, avec quels poids et combien de temps, tu pourras m’éclairer ? Je veux bien la faire souffrir mais pas la torturer ! »

    « Elle supporte toute une soirée des pinces de plastique même lestées, pour toutes les autres, je ne dépasse jamais les deux heures, et dernièrement j’ai vu sur un site qu’il y avait de nouvelles pinces spécialement étudiées pour être portées longtemps sous un vêtement, ce sera un de nos prochains achats » « Merci Yves de m’apprendre à mieux la connaître, je te consulterai avant de lui pincer ses beaux bouts de mamelles de vache ! »

    Je relève la tête et vois mes seins pincés en gros plan sur l’écran. José se met derrière moi en faisant signe à Yves de se rapprocher, il prend le plug dans sa main et lui fait faire quelques allers et retours dans mon cul m’obligeant à gémir comme un petit chiot.

    Il finit par l'enlever complètement de mon cul, et quand il voit que mon anus reste béant même lorsque le plug est enlevé, il demande à Yves : « Elle a de la crème lubrifiante ? » « Oui je vais te la chercher » Yves revient quelques instants plus tard avec une boîte de crème Nivea que José dépose devant moi avec le plus gros plug de ma collection.

    « Fais ton travail de pute, et dans l’intérêt de ton trou du cul, je te conseille de super bien lubrifier ce monstre. Je suis surpris que tu l'aies déjà porté, car il me paraît disproportionné par rapport au diamètre de ton trou à merde »

    José m'ordonne de faire mon travail de lubrificatrice tout en prenant une position qui permette à Yves de bien filmer en gros plan mon anus qui après avoir été libéré du moyen plug s'apprête à recevoir le monstre sans avoir eu le temps de se contracter.

    Je suis les directives d'Yves pour bien exposer mon cul obscènement ouvert et je sais quand j'ai la bonne position en ayant une nausée en me voyant sur l'écran de la télé.

    J’ouvre la boîte, mets une grosse boule de crème sur le gland du plug, je le pose verticalement sur la table, et des deux mains, je le branle en l’enduisant de crème du gland jusqu’à la base. Yves filme en gros plan cette scène obscène que je peux voir à la télé et qui me fait honte tout en me trempant la chatte.

    José me prend le plug des mains pleines de crème et s’assied sur la table en verre juste derrière moi.

    Suite dans le tome 3


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  • Loré à Madrid tome 3

    Chapitre 45

    Il pointe le plug sur mon trou du cul, le tourne pour bien répandre la crème sur l'anus et commence à l’insérer dans mes fesses. Bien dilaté par l'autre plug, l’anus cède facilement, mais le diamètre est tel que j’ai du mal à l’accepter. J’essaye de bien m’ouvrir et de me décontracter aussi bien pour aider José que pour ne pas trop souffrir. Il entre peu à peu en me faisant très mal et en me dilatant à l’extrême mais j’arrive à ne pas me plaindre.

    Yves intervient : « Ne te fais pas de souci, José, bien qu’elle soit très étroite, elle a l’habitude de ce plug, pousse fort, il va entrer d’un coup ! » José n’hésite plus et pousse de toutes ses forces. Avec un bruit obscène de succion le plug entre totalement dans mon cul jusqu’à ce que la plaque de protection butte contre mes fesses. C’est pour moi une libération : il est tout en moi, mais il me faut un long moment pour que la douleur de la pénétration se transforme en plaisir d’être humiliée de cette manière, les intestins remplis.

    « C’est mieux comme ça Yves, qu’en penses-tu ? » « Oui bien mieux, l’autre était plus petit, mais avec celui là, elle a le cul bien rempli et je peux t’assurer que ça lui plait, elle adore quand je l'encule ! Pour le prochain achat, je l’obligerai à commander un plug encore plus gros, comme ça, peu à peu je pourrais lui dilater le cul. Mais tu as été très gentil avec elle en lui laissant lubrifier le plug. Moi je me contente de l’humidifier dans son vagin et je l’encule juste après sans autre précaution ! » « C’est le premier jour Yves. Je la ménage un peu ! Ça te plait petite pute ? » « Oh, Amo Mio, je me sens comme une chienne pleine avec ce monstre dans le cul »

    « C’est bien que tu te sentes chienne, descends de cette table et marche dans le salon pour qu’on te voit bien ! » Je me lève avec difficulté de la table et je marche dans le salon, je dois ressembler à un canard avec mes cuisses ouvertes et mon cul et mon vagin remplis. Yves se moque de moi sans arrêter de me filmer. José me fait mettre à quatre pattes en me disant de continuer à marcher de long en large. Me trouvant particulièrement ridicule, je continue à me promener dans le salon avec encore plus de difficultés.

    Chapitre 46

    Mais cette gymnastique grotesque a un gros avantage : le plug-monstre se met en place dans mon cul, il me fait moins souffrir et arrive même à me procurer un certain plaisir. José ne me quitte pas des yeux :

    « C’est une vraie chienne, ça ne te plairait pas qu’elle te pompe, Yves ? » « Continue à jouer avec ta chienne-jouet José. Pour le moment ne t’occupe pas de moi, j’ai autant de plaisir à la filmer qu’à me faire sucer par elle ! Mais dis-moi José, je vais profiter de cette position qui ne nous cache rien : qu’est ce qui te plait le plus dans ma femme ? » « Ce qui me plait le plus ? Ce serait plus simple de te dire ce qui ne me plait pas ! Mais si je dois te répondre : ses seins et son cul et toi ? » « Moi ? Regarde la bien dans les yeux, tu vas voir de suite ce qui me plait le plus dans ma petite pute de femme ! »

    José m’oblige à venir à quatre pattes devant lui et à le fixer dans les yeux « C’est son regard vicieux ? » « C’est tout à fait ça : quand elle est très excitée et bien soumise, elle a un regard différent : un mélange de honte, d’envie, de plaisir et de peur. C’est ça qui me plait le plus en elle » « Oui, maintenant que tu me le dis, je vois bien ce mélange dans ses yeux. Je n’y avais pas prêté attention ! » « Comme toi, j’aime ses nichons et son cul, mais surtout ce regard qu’elle a exclusivement quand elle se sent chienne et esclave » « Je te rappelle que je ne la connaissais pas avant ce soir !» Yves rit « C’est bien ce que je veux te dire : qu’elle ait ce regard avec toi signifie qu’à présent elle accepte totalement ton autorité et que la boule qu’elle avait dans le ventre avant ton arrivée a disparu depuis longtemps. Bien qu’entre temps tu lui en as mis deux dans le ventre ! Mais ce ne sont pas les mêmes ! »

    José en riant me fait monter sur le sofa en lui présentant mon cul. Il sort le plug de mon cul et le re-rentre sans délicatesse d’un seul coup en m’arrachant un cri de douleur « Je vois que ton petit cul ne s’est pas encore habitué au plug, il glisse pourtant très bien en toi. Je vais arranger ça » Et joignant la parole au geste il me pilonne durement le cul en faisant des allers et retours rapides qui m’obligent à gémir de plaisir. Quand il s’est lassé de son plaisir de me voir remuer les fesses comme un ver de terre, il bloque le plug au fond de mon cul et m’oblige à me retourner face à lui.

    Chapitre 47

    Il prend une petite cordelette avec laquelle il réunit mes cheveux mi-longs et les attache sur ma tête, comme un chignon fait trop vite.

    « Baisse la tête, putain et ouvre grand ta bouche » Pendant que je m’exécute, il fait glisser la fermeture éclair de son pantalon et le baisse en même temps que son boxer, libérant sa bite.

    L’ayant testée dans la chambre et dans mon cul, mais sans l’avoir vu, je suis effrayée par la taille de son sexe qui est bien plus gros que celui d’Yves. Il le prend dans sa main et me frappe le visage avec son gland dur et humide, alors que j’essaye de le lécher quand le gland passe devant ma bouche. José s’amuse de mon manège et il sent que je meurs d’envie qu’il me l’enfonce dans la bouche mais en le mettant juste au bord de mes lèvres, il me demande de le lécher sans le mettre en bouche. Yves s’est levé et filme en gros plan ce jeu du chat et de la souris des plus excitants.

    José pose une main sur ma tête pour me l'abaisser. Ma langue sortie en profite pour lécher toute la longueur de sa bite dure comme du bois avant d’atteindre ses couilles pleines que je lèche avec précaution.

    « Quelle langue délicieuse a ta pute de femme Yves ! » « Lécher et pomper des bites est surement ce qu’elle fait de mieux ! » « Lèche mes cuisses tout autour de mes couilles, putain ! » J’obéis alors que je sens qu’il essaye d’atteindre le plug.

    Yves le voit aussi : « Je peux t’aider en l’enculant avec le plug, ce sera plus pratique pour toi ? » « Bonne idée Yves. Vas-y défonce la bien, moi je vais profiter de sa bouche ! » Yves, sans lâcher sa caméra fait aller et venir le plug dans mes fesses alors que José reprend ses gifles avec son gland sur mon visage. Il voit dans mon regard vicieux que je meurs d’envie de le pomper.

    Il change de position et entre son gland entièrement dans ma bouche tout en m’obligeant à redresser la tête pour pouvoir me pénétrer jusqu’à la gorge, imitant la fameuse gorge profonde. Il perd un peu de liquide que j’avale avec plaisir en souriant. Le gland touche le fond de ma gorge, malgré l’étroitesse de ma bouche, j’ai réussi à avaler tout le monstre. Et les couilles de José viennent flirter avec mes lèvres. Yves me regarde en souriant, il sait qu’entre le plug, les boules de geisha et cette grosse pine en bouche, il me suffirait de trois secondes de caresses pour m’envoyer en l’air comme une dingue.

    Chapitre 48

    José se penche un peu, tire sur le cordon des boules et en sort une gluante qu’il remet immédiatement dedans avec un bruit obscène de succion qui me fait honte. Ce jeu avec les boules me rend folle, et sans pouvoir parler je fais noooooon avec ma main pour indiquer que je suis à la limite de la jouissance. Il me tire par les cheveux et m’ordonne de le sucer seulement avec la bouche. Je referme un peu les lèvres pour bien enserrer sa bite et je commence à la rentrer et à la sortir en la mouillant de ma salive, sans utiliser ni ma langue ni mes mains.

    Yves enfonce totalement le plug en moi et se rapproche pour filmer en gros plan la pipe que je fais à José. « Hum, quel plaisir de se faire pomper par ta pute, Yves ! » « Oui elle sait bien serrer ses lèvres pour que tu te sentes dans sa bouche comme dans un con ! » « Oui, elle suce comme une reine et je dirais même qu'elle suce mieux qu'une putain professionnelle ! »

    « Oh, oui, tu as entièrement raison, et si un jour tu as envie de te soulager dans la bouche d'une pute, appelle la sur son portable et en vingt minutes tu auras un super pompier gratuit ! Et, en plus, le foutre est sa boisson préférée ! Et elle ne laissera pas une goutte échapper si tu veux te vider dans sa bouche ! » « Chaque chose en son temps, mon ami. Pour le moment putain, arrête de sucer et ouvre bien la bouche »

    J’obéis, laissant s'échapper sa bite, très frustrée. Il se lève, me met en levrette sur le sofa, le cul suffisamment haut pour que, debout, sa bite soit juste au niveau de mon anus. Il sort d’un seul coup le plug de mes fesses et pointe immédiatement son gland sur mon trou à merde, béant en ne me laissant aucune possibilité de fantasmer sur ce qui va se passer !

    Chapitre 49

    Yves a aussi changé de position pour bien filmer mes fesses. José pousse, mon anus, largement dilaté par le gros plug, accepte son gland sans difficulté. Je pousse moi-même mes fesses vers sa bite pour l’aider

    « Tu vois Yves, comme elle en a envie, elle pousse avec son cul pour m'aider à l'enculer bien profond et mieux sentir ma bite rentrer ! » Une fois que le gland est passé un peu en force : toute la bite entre d’un seul coup dans mes entrailles jusqu’à ce que je sente ses couilles cogner contre mes fesses ouvertes.

    « Quel petit cul serré elle a ! » « Je te l’avais dit, son cul est un paradis pour les bites. Et il me semble qu’avec la taille de ta bite, elle ne peut pas être plus remplie ! » « Oui, son trou à merde est un vrai régal pour ma bite ! »

    Les deux hommes rient « Je dois faire attention de ne pas me faire piéger par son cul, je veux qu’elle avale tout mon foutre ! » Il passe ses mains sous moi et prend mes deux seins qu’il pétrit sans se préoccuper des pinces. Tout en m’obligeant à pousser mes fesses vers lui en épousant son rythme.

    « Hum, tu participes bien, vas y donne moi des coups de cul : ça fera entrer encore mieux ma bite et c’est ce que tu veux, pas vrai putain ? » « Ooooh que c’est bon, Amo Mio, tellement meilleur que le plug » A chaque poussée, je sens ses couilles battre mon cul. Sa respiration se fait plus rapide au fur et à mesure de ses allers et retours qui croissent en puissance et en rapidité.

    Mes seins ballottent dans tous les sens sous la force de ses coups de boutoir, et comme mes tétons n’en peuvent plus de grossir, les pinces me procurent une excitation à peine mêlée de douleur qui me rend folle d'envie de m'envoyer en l'air en gueulant mon plaisir sans aucune honte !

    Chapitre 50

    « Ma petite salope, je vais te récompenser d’être une aussi bonne pipeuse de pine et d'accueillir si gentiment ma grosse pine : pendant que je t’encule et que je m’occupe de tes nichons, tu as le droit de te toucher le clitoris et de te faire jouir »

    « Excitée comme elle l’est, elle va jouir en dix secondes ! Mais attention aux oreilles, quand Loré jouit, l’immeuble entier est au courant ! » « Remplis lui la bouche avec des cordelettes, elle fera moins de bruit ! »

    Yves va dans la chambre et revient avec un petit paquet de cordes fines, il se place devant moi, et sans que José n'arrête de me limer le cul ni de me torturer les nichons à sa guise, il m'oblige à ouvrir grand la bouche et y enfourne le paquet de cordelettes, ce qui m'interdit de crier en ne laissant passer que mes grognements.  

    Oubliant la bite qui me ravage le cul et rentre dans mes intestins, oubliant les mains de José qui jouent réellement avec mes nichons en les broyant, en étirant les pinces et en les giflant le plus près possible des pinces, je me caresse avec deux doigts le clito qui me semble en feu, bandé comme rarement je l'ai senti, à tel point que je peux presque le branler comme une toute petit bite, ce qui me rend folle de désir.

    Je suis tellement mouillée que mes doigts glissent sans pouvoir rester sur mon bouton, vicieusement je porte mes doigts à la bouche, ce qui déclenche un très gros plan de la caméra d'Yves, et une fois un peu moins mouillés, je recommence à me triturer le clito, essayant de retenir un orgasme que je sens monter et que je sais que je ne pourrai pas retenir longtemps.

    Alors que José me pétrit les nichons au maximum de sa force et m’encule à une vitesse que je ne pouvais imaginer. J'entre au paradis en essayant de hurler mais en n'émettant en fait que des sons à peine compréhensibles mais que José a l'air de bien comprendre : « Oooooooooooooooh, Amo Mio, je ne peux plus me retenir. Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, ooooooooooooooooooh, Amo Mio, comme vous êtes booooooooooon avec votre putain, merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, Amo mio »  

    Et je m’envoie en l’air comme une dingue, bougeant mon corps dans tous les sens, me cognant la tête contre le sofa, obligeant José à sortir sa bite de mon cul, alors que mes cris étouffés par les cordelettes essayent de remplir la pièce « Ooooh, Amo Mio, que c’est booooooooon, merciiiiiiiiiii, Amooooo Mioooooo ! »

    Yves filme en gros plan mon visage pendant l’orgasme alors que dans ma folie jouisseuse j'ai désarçonné José qui a été obligé de se retirer d’un seul coup de mon cul, laissant comme un grand vide en moi.

    Il revient s’asseoir, mais devant moi et il arrache le paquet de cordelettes de ma bouche avant de me glisser immédiatement sa bite décalottée, rouge, tiède et poisseuse dans la bouche.

    Chapitre 51

    Je pense en moi-même que j’ai bien fait de me laver soigneusement l’anus avant la séance et j’avale le gland sans aucune crainte de nausée. « Allez grosse salope, serre bien tes lèvres sur mon gland. Je veux retrouver sur ma bite le plaisir de la caresse de ta langue »

    Je lèche avec gourmandise son gland gluant de mes sécrétions anales « Voilà, tu es parfaite comme ça, continue salope ! » Tout en me félicitant, il me gifle quatre fois les seins, aussi fort que sa position le lui permet : ils ballottent violemment et me rappellent que j’ai toujours les tétons pincés. « Yves, tu filmes bien comment ta pute me pompe ? Surtout ne rate rien tu es en train de faire des images sur lesquelles des tonnes de mecs se branleront en insultant ta putain de salope de femme ? » « Hum, oui et je vois qu'en plus qu’elle le fait avec un énorme plaisir ! »

    José me relève la tête en me tirant par les cheveux. « Mets-toi à genoux devant le sofa ma putain préférée et passe moi le paquet de cordelettes que j'ai sorti de ta gueule de truie » Je m’agenouille devant le sofa et lui passe le paquet de cordes

    « Tourne toi et présente moi tes mains croisées dans le dos » Je m'exécute et il choisit une première cordelette pour m’attacher soigneusement les mains en serrant trop fortement la corde. Dans cette position mes fesses sont à portée des mains de José qui en profite pour les frapper de sa main nue, tout en dialoguant avec Yves « Regarde Yves, comme elle est excitante, mains attachées dans le dos. Avec ses nichons bien pincés et son petit cul étroit bien offert, elle ne demande qu’à être frappée et remplie ! »

    « Hum, je vais avoir des images sensationnelles. Ainsi présentée on pourrait croire qu’elle est née pour donner du plaisir ! » Peu à peu ses coups sur mes fesses se font de plus en plus forts. En relevant un peu la tête, je vois sur l’écran de la télévision les traces de plus en plus rougeâtres de sa main sur ma peau nue.

    « Très bien, Yves, toujours pas envie de profiter de ta petite pute bien chaude ? » « Il me semble qu’avec tout ce que tu lui as mis dans le cul, elle mérite bien que tu lui remplisses l’estomac de ton foutre ! » « Hahaha, c’est de sa faute, elle a un cul tellement appétissant qu’on ne peut pas résister ! »

    "C’est sur, mais je t’assure qu’entre les plugs et ta bite, elle a l’anus ouvert pour le reste de la nuit ! Mais je suis sur qu’elle est impatiente de goûter ton foutre"

    "On va le lui demander ! Dis-moi petite pute, tu as vraiment envie que je me vide les couilles dans ta bouche ?" "Oh, Amo Mio, je ne sais pas si je le mérite, mais ça me plairait tellement, j'ai tant envie de vous remercier de m'avoir laissé jouir que je ferai n'importe quoi pour vous satisfaire" "Mais, attention, pétasse, si je jouis dans ta bouche, je ne veux pas que tu laisses échapper une seule goutte de mon foutre. Tu m’as bien compris rognure humaine  ? " "Oui Amo Mio, j'accueillerai avec beaucoup de respect votre foutre dans ma bouche sans en perdre une goutte et je ne le boirai que sur votre ordre"

    Chapitre 52

    Mais José ne semble pas pressé de se faire pomper, sans y être préparée, je reçois deux gifles puissantes sur les côtés de mes seins. Le bruit des coups résonne même dans le salon, et je gémis de douleur « Hahaha tu vois comment ses nichons ballottent Yves ? » « Oui et je les filme en gros plan. Ça me fait bander ! » « Plus tard je la baiserai, je suis sur que sa connasse est bonne à défoncer ! » « La nuit ne fait que commencer, José, tu as tout le temps ! »

    "Tu as raison, mais là j’ai une idée qui va surement t’exciter" "Putain, tu aimes que ton Amo te baise entre les nichons ou tu préfères lui donner toi-même ce plaisir ?" "Je ferai comme vous me le direz, Amo Mio" « Yves elle a de l’expérience dans cette méthode ? » « Oui, on le fait souvent » « Tu veux que je t’apprenne une position pour bien lui baiser les nichons ? » « Je risque de la connaître mais vas-y je suis curieux et personne n'est universel »

    « Bien, petite pute, tu vas te coucher sur le dos sur la table de la salle à manger et faire en sorte que ta tête et tes épaules pendent hors de la table » Obéissante, je me lève et me couche comme demandé. Mes mains attachées dans le dos ne me facilitent pas l’installation « Yves, on pourrait lui détacher les mains ? » « Tu ne vas pas te préoccuper du confort d’une salope, José, laisse la comme elle est ! »

    En riant, José enjambe ma tête, j’ai ses couilles au niveau de la bouche. Il plie un peu les genoux, crache plusieurs fois dans la vallée de mes seins, pose sa bite à plat sur ma poitrine et la coince entre mes seins en les empoignant fortement, sans se préoccuper des pinces. Et il commence à aller et venir entre mes seins

    Chapitre 53

    « Ça te plait Yves, tu connaissais ? » « Oui ça m’excite beaucoup et je reconnais que je n'avais jamais pratiqué cette position avec la tête pendante » « Tu veux l’essayer ? » « Avec plaisir, José » Yves enlève ses chaussures, son pantalon et dégage sa bite tendue à l’extrême.

    Il reprend la position de José, profite de sa salive entre mes seins et en serrant bien sa bite entre mes seins, il commence à aller et venir « Loré, lèche tout ce qui est à portée de ta bouche pendant que je te baise les nichons ! » Telle que je suis j’ai accès à ses couilles et à l’intérieur de ses cuisses que je m’empresse de lécher avec désir, envie et gourmandise. « Hum, que c’est bon. Ma bite coulisse bien entre ses mamelles ! »

    C'est José qui filme à présent la scène et je le sens tourner autour de la table pour bien varier ses plans. « Hum, excité comme je suis, je ne vais pas résister longtemps ! » « Tu veux essayer autre chose, Yves ? » « Non, j’essaierai une autre fois pour le moment je vais jouir et arroser les nichons de ma pute de femme ! » « Très bien, je continue à filmer »

    Yves donne des coups de reins de plus en plus violents cherchant son plaisir sans vraiment s’occuper du mien. Le sentant sur le point de jouir, je l’encourage : « Ouiiiii mon chéri. Jouis sur mes nichons de pute. J’ai tellement envie de voir sortir de ta bite tes jets de foutre tiède ! »

    José, lui aussi très excité me frappe brutalement le sexe, largement ouvert par ma position sur la table, avec un paddle. Il s'approche pour m'écarter encore plus les cuisses et dégager un maximum ma moule offerte et baveuse, et il reprend ses coups en tapant de plus en plus fort, comme si sa force augmentait après chaque coup.

    « Quelle pute vicieuse, tu es salope de bourgeoise, tu me donnes envie de te battre comme un vieux tapis, hum, je ne t'entends pas crier de douleur, à croire que mes coups ne te font même pas mal, sale putain maso »

    « Oui une putain maso que je vais inonder de foutre ! »

    Et Yves jouit, grognant de plaisir avec une intensité rare que je peux apprécier à la quantité de foutre qui sort en jets denses et rapides me recouvrant très rapidement une partie des nichons. Avec un dernier grognement de plaisir, il lâche mes seins et rentre son sexe dans ma bouche pour se le faire nettoyer. Je m’applique à bien le lécher et le sucer pour qu'il se retire de ma bouche bien propre.

    Et avec vice et un sourire vers moi, il s’essuie dans mes cheveux pour enlever les dernières traces d’humidité.

    Chapitre 54

    « On va lui délier les mains pour qu’elle puisse ramasser ton foutre et le boire » « Ce serait mieux de la laisser comme ça. J’aime beaucoup la voir souillée de foutre et les traces de sperme séché se voient bien sur les images ! »

    « C’est mieux comme ça, tu as raison » Il se penche sur moi me donne deux de ses doigts à lécher et me sourit vicieusement en me regardant sucer comme si c’était deux petites bites. Puis il s’agenouille derrière ma tête, ma position fait que j’ai la tête à l’envers par rapport à lui. Et sans avertissement il entre sa bite dans ma bouche jusqu’au fond de ma gorge. Je sens de suite la différence de grosseur des bites. Mais dans cette position il peut la rentrer totalement sans que je n’aie une seule nausée

    « Ma grosse bite est faite pour sa bouche Yves ! Je vais voir comment elle suce et elle avale ! » « Oui, tu as une bite plus grosse que la mienne. Mais je suis fier de ma femme : elle t'avale jusqu’aux couilles. Elle sait d’adapter à tous les calibres. Et je peux t’assurer que ce n’est pas une punition pour cette salope ! »

    « Mais avec la tête pendante comme ça, je ne sais pas si elle pourra bien sucer et tout boire ! » « Ne t’occupe pas d'elle : tu voulais un trou pour te vider les couilles et bien, là tu l’as, qu’elle soit bien installée ou pas ! » Finalement je me rends compte que lors de cette soirée, c’est José qui fait le plus attention à moi. Yves probablement trop excité par la réalisation de notre fantasme se préoccupe beaucoup moins de moi !

    José, juste à la bonne hauteur bouge ses hanches et entre et sort de ma bouche. Je ne peux pas faire grand-chose, il baise ma bouche plus que je ne le suce, je peux juste ajuster mes lèvres pour qu’il me sente bien « Il me semble que c’est quelque chose de nouveau pour ta putain de femme. Je me trompe ? » « Pour la position, tu as raison, c’est nouveau pour elle, mais j’aime jouir dans sa bouche comme ça : je l’attache, je m’assieds sur ses seins et avec mes mains je guide sa tête et j’utilise sa bouche comme un vagin »

    Chapitre 55

    José ressort sa bite de plus en plus mouillée de ma salive. Il me demande de présenter ma langue à l’entrée de ma bouche, sans la sortir « Hum, elle me lèche de partout quand je la pénètre, que c’est bon ! » Il ressort sa bite et me donne juste son gland à lécher et à sucer. Je me jette dessus comme une morte de faim, José constate que le foutre d’Yves a séché sur ma poitrine. Il en profite pour jouer vicieusement avec les pinces en tirant dessus et en les faisant tourner m’obligeant à des gémissements de douleur étouffés pas le gland qui me remplit la bouche. Yves continue à filmer sans rien rater du spectacle faisant un plan large pour voir mon corps se tordre de douleur.

    José recommence à sortir et rentrer sa bite jusqu’au fond de ma gorge « Je te félicite Yves, je vais me répéter, mais ça c’est une pute qui sait faire une pipe ! » Il me prend par les cheveux et augmente sa cadence, je le sens très près de la jouissance. Je referme bien mes lèvres sur sa bite, juste à temps. « Hum, je vais me vider les couilles dans ta gorge de pute, n’oublie pas de recueillir mon foutre dans ta bouche jusqu’à la dernière goutte et d'attendre mon ordre pour l'avaler ! »

    Je n'ai pas le temps de lui répondre, ni la possibilité avec sa bite qui me remplit la bouche : le premier jet de foutre tiède s’écrase contre ma gorge. Je le récupère sans aucun dégoût et avec un plaisir que je ne dissimule pas en offrant à José mon plus beau sourire, avec ma bouche bien fermée par sa pine.

    Il grogne son plaisir alors que je sens ses couilles collées à mes lèvres. Il jouit au plus profond de ma gorge et j'ai du mal à ne pas avaler directement certains jets fournis et denses qui ont tendance à glisser directement vers mon œsophage « Hummmmmm que c’est bon de se vider dans une bouche chaude et bien serrée ! » Il me semble qu’il me donne des litres de foutre. Il n’arrête pas de m’envoyer ses jets au fond de la gorge mais je réalise que depuis qu'il est entré chez nous, il n'a pas joui une seule fois et il me donne lui même l'explication de ce trop plein de sperme : 

    « En plus tu as de la chance, ça fait quelques jours que je n’avais pas joui et j’avais les couilles pleines. Ton estomac va être bien plein, suceuse de pines ! » J'attends, les lèvres serrées, sans pouvoir parler l'ordre d'avaler le jus de José, aussi bien par respect pour Yves qui doit être fier de moi, que pour bien jouer mon rôle de petite pute utile et obéissante mais aussi par pur plaisir vicieux et personnel. Pourquoi ne pas dire la vérité de temps en temps ? !

    Quand il sort sa bite de ma bouche, elle reste close pour ne pas perdre de foutre et je ne peux donc pas nettoyer sa pine, Yves le voyant un peu perdu lui propose tout simplement d'essuyer sa bite dans mes cheveux ou sur mon visage, en attendant de me libérer la bouche en me donnant l'ordre d'avaler sa semence.

    Chapitre 56

    « Tu as vraiment une petite pute très soumise, parfaitement éduquée et docile, et, qui, en plus assume son vice sans contrainte et sans pudeur ! » « Oui, c’est vrai et je suis très fier d’elle. Mais surtout je suis content de voir son obéissance parfaite à un homme qu’elle ne connaissait pas il y a quelques heures » « Quant à moi, j’ai l’impression que je la connais depuis toujours ! »

    Les hommes rient et José m’aide à me relever. Mes muscles sont endoloris et j’ai du mal à m’asseoir mais je me redresse plus facilement « Yves tu as filmé ses nichons et les traces de sperme séché ? » « Oui et aussi les marques des pinces sur ses tétons et de tes mains sur son cul bien rouge, rassure toi je n’ai rien raté ! ».

    J'ai la bouche toujours fermée, il me semble que José fait durer le plaisir mais c'est son droit plein et entier. Il me détache les mains, je me frotte les poignets là où la corde m’a marquée, et j’attends debout.

    "Yves, je crois qu'il te reste quelques belles images à faire" Yves prend sa caméra et s'approche de moi, José me débarrasse de mes pinces aux tétons, je suis donc totalement à poil et sans aucun accessoire.

    José me fait mettre à genoux au milieu du salon, cuisses bien écartées et mains en coupe sous les nichons "Voilà putasse soulève tes nichons comme si tu voulais qu'on les morde ou qu'on les torture comme tu aimes ! Et à présent baisse les yeux comme si tu avais honte de ta condition et de ta position"

    Je m'exécute et Yves me tourne autour en me filmant sous tous les angles, zoomant sur ma chatte béante, probablement sur mon anus non refermé, sur mes tétons marqués par les pinces et par dessous sur ma bouche toujours pleine et close.

    Chapitre 57

    "Bien pouffiasse, à présent tu vas relever la tête, Yves va approcher sa caméra de ta bouche et je veux des gros plans de l'intérieur de ta bouche encore pleine de foutre, pendant qu'il filme, d'une main tu te fistes la connasse, et de l'autre main tu te masses les nichons en t'occupant de tes deux tétons à tour de rôle. Allez en marche, sois très pute, sois vulgaire, hum que c'est bon de voir ce poing disparaître dans ta connasse, ouvre plus grand la bouche, bien, tu as la bouche pleine de foutre, de ma semence, du sperme de ton amo, hum, ça sort parfaitement bien sur le grand écran. Voilà, touche toi les nichons, tire sur tes bouts comme pour les arracher, je vais compter jusqu'à 3 et à 3 tu avaleras lentement le foutre en gardant la bouche bien ouverte à la caméra et je veux qu'on te voit bien déglutir et presque suivre le chemin de mon foutre dans ton corps de salope de bourgeoise. 1.. 2... 3..."

    Tout en gardant la bouche ouverte, j'essaye d'avaler le plus lentement possible, Yves semble content des images et du réalisme de la disparition du foutre dans mon estomac.

    José attend la fin du tournage et me dit : "Alors ma putain préférée, dis moi comment tu te sens"

    "Hum, Amo Mio, je crois que je n'ai jamais été humiliée de cette manière, et mon orgasme de tout à l'heure est un des meilleurs de ma vie, et tout ça je vous le dois, Amo Mio. Je vous remercie de m'avoir fait profiter de votre foutre durant de longues minutes, je suis sure que c'est une séquence du clip que je me passerai souvent, alors, merci mon Maître y gracias amo mio"

    José sourit de cette hommage d'une petite pute docile et me répond : « Tu es sale comme une truie, souillée de foutre et ton jus de salope en chaleur coule de ton con et probablement de ton cul encore obscènement béant, alors tu vas filer à la salle de bains, ramasse dans le salon tous les jouets que nous avons utilisé, surtout les deux plugs, et lave les biens avant de les remettre sur ton lit. Prends un bon bain, petite salope, et ne reviens au salon qu’en pleine forme et prête à obéir, sans oublier que nous n'en sommes qu'aux préliminaires. Profites-en pour te faire une petite queue de cheval : tu as de trop belles épaules pour les cacher. Allez file maintenant ton époux et moi avons à parler de ton avenir ! »

    Super contente de cette pause , je m'empresse de ramasser tous les accessoires sexuels et je file dans la salle de bains.

    Chapitre 58

    Restés seuls, les hommes se rhabillent, Yves va chercher quelques assiettes de tapas et du champagne bien frappé. Il se rassied : « Pour le moment, j’ai l’impression que tout se passe très bien. Tu sais, José que j’apprends beaucoup en observant ta manière de soumettre Loré ? Elle semble vraiment prendre plaisir à t’obéir, mais je crois que c'est surtout le fait de ne pas savoir ce que tu vas décider pour elle qui l'excite le plus. Comme tu disais tout à l'heure, peut être que d’ici quelques temps elle aura deux Maîtres ! Qui sait ? » « Rien ne me ferait plus plaisir Yves. C’est vrai que je me sens très bien avec vous, mais il faut savoir disparaître quand on se sent de trop ! »

    "Rassure-toi, je commence aussi à te connaître, je sais que si ce moment arrive, tu seras le premier à le devancer !"

    Ils rient, boivent et se restaurent

    Chapitre 59

    « Dis-moi Yves, pourquoi n’exploites-tu pas les clips et les photos des séances de soumission de Loré ? »

    « Exploiter ? Je ne te comprends pas »

    « Oui, tu pourrais trouver un site payant dans un pays étranger comme le Mexique ou le Canada pour pouvoir mettre en ligne ses aventures de soumise »

    « Et tu ne crois pas qu’il y aurait le risque qu'elle soit reconnue et identifiée par pur hasard ? »

    « Il y a des centaines de millions de sites sur le web, ce serait vraiment un hasard faramineux qu’un voisin tombe dessus et tu sais que tout le monde a un sosie sur cette terre, donc, je pense qu'il y a vraiment très peu de risques »

    « En fait tu me proposes de vendre son image, et donc de la prostituer virtuellement sur un site payant ? J’avoue que je n’y avais pas pensé. Mais cette idée vicieuse me plait assez »

    « La prostituer ? C’est une manière peu réaliste de voir les choses. Moi je pense plutôt aux centaines de personnes inconnues qui se masturberont en regardant son site dans "les aventures de La French Salope en Live !" Et ça, par contre, ça m’excite et je suis sur que cérébrale comme elle l'est ça lui plairait beaucoup ! » 

    "Et, tu sais que si ça marche, il y a beaucoup d’argent à gagner ?"

    "C'est un argument qui ne m'intéresse pas : nous avons tous les deux de très bons jobs et des payes largement au-dessus de la moyenne, tu vois passer ma fiche de paye sur ton bureau tu sais donc que je gagne 10.000 euros nets par mois, plus les voyages payés par la Société pour que Loré profite de notre fils tous les 15 jours, plus 5.000 euros de frais de représentation pour gâter de temps en temps les collaborateurs de la cellule madrilène et bien sur cet appartement luxueux pour lequel je ne paye rien"

    "Oui, il faut reconnaître que tu gagnes très bien ta vie, et je crois que Loré travaille aussi ?"

    "Oui, elle est le bras droit d'une grosse PME de réparations de petits avions privés, ce que vous appelez "avionetas" ici. Je ne sais pas exactement combien elle gagne, mais je crois que ce doit être autour de 4.000 euros nets mensuels, mais il faut rajouter ce que lui rapporte le site de cul américain dont sa domina est actionnaire et qui publie ses clips régulièrement sous-titrés en Anglais et en Espagnol, et bien sur son "autre travail" pour lequel Cathy lui trouve énormément de clients sans risques, et là je t'assure que j'ignore totalement combien elle gagne par mois ou par an. Le mot de passe de son site de gestion financière est du style "Combien mon cul me rapporte ?" et je n'ai même pas eu la curiosité d'y jeter un coup d'œil ! Alors si Loré est tentée par l'aspect cérébral de se mettre en ligne pour exciter des voyeurs et les mener au paradis, je ne dis pas non, mais pour le reste, je ne suis pas très chaud, mais je serai honnête avec toi, nous lui en parlerons ensemble et nous verrons bien sa réaction : il s'agit de son cul, donc c'est elle qui prendra la décision, et je tiens à rajouter que s'il y a des gains, ils seront partagés avec toi, puisque tu es l'apporteur de l'idée, et qu'en plus nous avons tous les deux de bonnes connaissances en informatique, nous permettant de nous relayer pour créer et faire vivre ce site."

    "Eh bien, Yves l'avantage avec toi, c'est que d'une simple idée, tu battis de suite un schéma d'actions en faisant attention de ne mettre aucun acteur mal à l'aise et en utilisant toutes les compétences que nous pouvons réunir tous les trois, il est vrai qu'avec nos niveaux informatiques : la création d'un tel site dans un pays quelconque du monde et la qualité des clips échantillons que nous pouvons publier sur ce site pour attirer nos clients avant de rendre ce site payant doit être assez simple pour nous !"

    « Oui, et en plus, je pense que ce site ne peut pas être concurrent de celui qu'elle alimente avec sa Maîtresse, Cathy, mais il faudra aussi son autorisation car les deux idées sont assez proches, mais nous en reparlerons, ça me semble un bon projet mais nous avons le temps, et pour le moment il ne me semble pas indispensable que Loré soit au courant »

    « Bien sur que non. Ce n’est qu’un simple projet à peaufiner, mais nous pouvons tout de même trinquer à cette idée et à notre future éventuelle association ! »

    Chapitre 60

    Après quelques verres et quelques tapas. Yves demande à José : « Comment comptes-tu continuer la soirée avec Loré ? Tu sais que c’est toi qui gères votre emploi du temps ! » « Oui, et je t’en remercie. Quand elle ressortira reposée et rafraîchie de la salle de bains, j’aimerais aller me promener en ville avec elle, avec, bien sur ton accord »

    « Tu n’as pas besoin de me reposer cette question : je t’ai déjà donné mon accord. La seule chose que je te demanderai est simple : je vais te confier une merveille de technologie qui coûte une petite fortune et je te demanderai d’y faire très attention : c’est une petite caméra de poche à grande résolution, pouvant filmer quasiment sans lumière qui devrait te permettre de filmer et, en appuyant sur un simple bouton, d'être automatiquement connecté à mon ordinateur pour que je reçoive en temps réel des images d'une qualité quasi professionnelle » « Je ne savais même pas que ça existait ! Le progrès me dépasse parfois ! »

    En allant chercher la caméra, Yves lui répond : « Moi aussi, mais je suis abonné à des revues informatiques que je dévore ! Voilà l’engin, tu vois qu’elle a la taille d’un gros paquet de cigarettes. Il y a des tas de boutons, mais ne te préoccupe que de ces deux : le rouge pour filmer et le vert pour te connecter directement à mon PC pour la réception des images en ligne » José fait un essai, dirige la caméra sur Yves et appuie sur les deux boutons et quelques secondes plus tard, une très bonne image d’Yves apparaît sur l’écran du PC et de la télé ! « Fabuleux ce petit gadget ! » José le met dans sa poche et dit à Yves :

    « Bon, quand elle reviendra, je la préparerai à mon goût et nous sortirons. En restant en contact avec nos mobiles et la caméra » « Tu peux prendre ton temps, moi j’ai de quoi m’occuper : il faut que je monte le film du début de la soirée, en ne gardant que les meilleures images : j'adore faire ça mais je sais que ça va me prendre beaucoup de temps ! »

    De mon côté, dans la salle de bains, j’ai finis de me sécher les cheveux et de me maquiller. Je vais dans la chambre pour y déposer les accessoires bien propres et quelques minutes plus tard, je reviens au salon, à poil. Les hommes me sourient et me félicitent pour ma fraîcheur et mon visage bien reposée.

    « Très bien ma petite pute, tu es en pleine forme. Je vais te préparer et nous allons faire un petit tour tous les deux. Ton mari ne veut pas venir, il doit monter le premier clip de ces deux jours, il l'appellera sûrement "l'apéritif" ! » « Bien Amo Mio » « Mais, Loré, promets moi de donner à José une totale satisfaction en tout ! »

    Je souris en l'assurant qu’à notre retour il sera fier de moi !

    Chapitre 61

    José m’offre une coupe de champagne que je bois debout, et quand j’ai fini, une bonne claque cinglante sur les fesses me pousse vers la chambre pour mon habillage et ma préparation. Je marche devant lui, imaginant sans peine ce que José doit penser en me voyant de dos à poil devant lui marchant et me tortillant le cul pour lui faire plaisir. Dans la chambre, il me demande de lui ouvrir toutes les armoires et les tiroirs de mon dressing. Ce que je fais, et il ne semble pas surpris de constater qu'il y a de quoi habiller quatre ou cinq femmes !

    Je le vois fouiller dans mes jupes et en extraire une très courte, en coton bleu marine, qui, de mémoire m’arrive à mi cuisses : « Enfile ça, sans culotte bien sur » Pendant que je m’exécute il cherche dans les hauts et me tend un top blanc très décolleté de la poitrine et des dessous de bras mais ajusté au niveau des seins : « Tu vas aussi mettre ce top sans soutien-gorge, il montrera bien tes seins et ton nombril » Je l’enfile sans rien dire alors qu’il me tend des escarpins d’été assortis à la jupe. Il me regarde : « Comme ça tu as le con, les nichons et le cul à l’air et tu ne peux guère les cacher. Tu vas voir comme, curieusement, les hommes vont se retourner sur toi ! »

    Quand j’ai fini de m’habiller j’évite soigneusement de me regarder dans le miroir ce qui fait rire José qui me prend par le bras et me place juste devant la psyché : « Dis-moi, petite pute, que vois-tu dans le miroir ? »

    Yeux baissés et d’une petite voix je lui réponds : « Je voix une pute exhibitionniste, Amo Mio, mais si c’est votre désir, je n’ai rien à redire sur mon habillement » Il rit, assis sur le lit tout en fouillant dans ma panoplie de jouets « Oui tu ressembles à une putain et c’est comme ça que je te voulais ! Mais je vais compléter un peu ta tenue ! » Il a trouvé ce qu’il cherchait. Il m’écarte les cuisses et enfonce profondément un de ses doigts : « Tu es encore trempée ! Tu es la chienne la plus chaude que j’ai rencontrée ! »

    Il retire son doigt qu’il me donne à lécher et de l’autre main me met un œuf vibrant bien au fond du vagin en me prévenant : « S’il tombe de ton vagin, tu seras sévèrement punie, alors serre bien tes cuisses que tu as l'habitude d'ouvrir en grand, salope que tu es ! » Je connais bien cet œuf, qu’Yves aime utiliser et je sais que lorsqu’il est en moi, mes lèvres se referment sans aucune possibilité qu’il ne sorte seul, je sais aussi que c'est José qui aura la télécommande et jouera donc avec moi comme avec un objet téléguidé !

    Chapitre 62

    Il se replonge dans la recherche d’accessoires et en extrait un collier de cuir relativement discret avec un seul anneau et les trois boules de geisha qu’il me tend : « Tourne toi, relève ta jupette et glisse les trois boules dans ton cul, je suppose que nous l’avons suffisamment dilaté pour qu’elles entrent sans crème ! » Il a en effet raison, car les boules glissent une à une sans aucun difficulté « Bien, petite enculée, penche la tête, je vais te poser le collier » Il le serre un peu trop fort autour de mon coup, mais je ne dis rien.

    « Bien, tu es prête. Au salon tu prendras un petit sac bandoulière dans lequel tu mettras ton mobile, des capotes, un paquet de kleenex et tes cigarettes » Je le suis au salon où Yves est devant le gros ordinateur « Ça-y-est, ta pute est prête ? » « Oui, qu’est ce que tu en penses ? » « A mon avis, elle va se faire violer au premier carrefour ! » « Surement ! Mais, regarde ! »

    Il me fait lever ma jupe devant Yves : « Tu vois notre salope a un œuf vibrant dans le con, dont la télécommande est dans ma poche et trois boules de geisha dans le cul ! Il ne lui reste que la bouche pour se faire violer ! »

    Yves l'interrompt pour débrancher sa caméra de l'ordinateur et me filmer longuement des pieds à la tête, vêtue dans un premier temps, puis soulevant mes vêtements pour montrer comment José a décidé de m'accessoirisé pour cette promenade qui devrait être plus que chaude !

    José s'amuse à mettre en route l’œuf qui ronronne faiblement dans le silence de la pièce, Yves rit de voir ma réaction immédiate ! « J’adore l’emmener au restaurant avec cet œuf, il est très discret et elle l’aime tellement qu’elle arrive à jouir deux ou trois fois pendant le repas ! » « Je vais essayer de lui faire battre ce record ! » « Pari tenu ! »

    En riant José me demande de lui donner mon numéro de portable qu'il met en mémoire dans le sien, puis il vérifie le contenu de mon sac. Et dit à Yves : « Bien, nous sommes prêts, nous partons, si tu veux nous rejoindre, appelle moi et je te dirai où nous sommes, autrement tu auras des nouvelles de ta pute de femme par mon mobile et la caméra ! » « Merci José, amusez vous bien »

    Il nous accompagne à la porte, me donne un tendre baiser et nous sortons.

    Chapitre 63

    Nous montons dans l’ascenseur « Tu sais petite pute docile que tu n’as qu’une seule chose à faire : m’obéir sans hésitation, être à la hauteur dans toutes les situations, faire tout ce que j’attends de toi pour que ton mari soit fier de toi. Et que je sois satisfait. Suis-je suis clair ? » « Oui, Amo Mio, très clair »

    "Dis moi avant que nous n'arrivions, que penses-tu de cette balade nocturne ?" "Je pense, que, comme d'habitude, Amo Mio, vous m'avez totalement surprise et que j'étais à mille lieux de penser à une sortie érotique dans les rues du centre de Madrid, à l'heure où l'animation commence, vous continuez, Amo Mio, à me surprendre et à m'intriguer, car à cette heure, je ne sais pas ce que je ferai pour vous dans un quart d'heure !"

    Nous nous retrouvons en bas de l’immeuble et il m'ouvre galamment la porte en souriant : "Je suis content de cette réaction, sache que jusqu'à demain soir, tu seras en permanence dans le doute total de ce qui va t'arriver !"

    « Le grand magasin "El Corte Inglès" fait une nocturne ce soir, nous allons y faire quelques courses : tu vas marcher au milieu du trottoir, à dix mètres devant moi. Si un homme te parle ne lui prête pas attention. S’il te drague, sois amicale avec lui, mais comme une pute qui se contente de provoquer les hommes en étant dans la rue vêtue d’une manière chaude. Si je veux que tu fasses autre chose. Je t’appellerai sur ton mobile. Allez, vas-y maintenant. » « Entendu, Amo Mio. »

    Chapitre 64

    Je commence à marcher, mes talons résonnent sur le pavement du trottoir. Je croise des hommes qui me dénudent du regard, je suis sure qu’ils se retournent sur moi pour voir mon cul quasiment offert. Une voiture avec trois jeunes gens ralentit à ma hauteur. Le passager me dit qu’il y a une place pour moi et que je ne le regretterai pas. Je souris en faisant non avec la main. Ils repartent déçus, car ils savent qu’une femme habillée comme moi, seule sur le trottoir, cherche forcément une bite !

    J’arrive au niveau d’un bar avec une très grande terrasse. Un groupe de jeunes discutent à quelques mètres de là. Mon mobile sonne. « Putain, si un des jeunes de ce groupe t’invite à boire un verre et qu’il te traite avec respect, accepte. Sois gentille avec lui et fais lui des promesses pour une autre fois. Tous ses amis bandent rien qu’en te voyant arriver. »

    Je dépasse la terrasse et l’un des jeunes, plutôt mignon, se détache du groupe et vient vers moi. « Bonsoir belle Dame. Je t’ai remarquée et je crois que tu ne peux pas t’en aller sans que je ne t’aie offert un verre. Tu es d’accord ?. » Il est mignon, agréable, bien éduqué et aimable. Je lui souris.

    « Je n’ai pas beaucoup de temps, j’ai un rendez-vous, mais je crois que je peux accepter de boire un verre avec toi. » « Parfait. Allons au bar extérieur, et merci d’accepter mon invitation. » Ses amis n’en croient pas leurs yeux. Et lui doit penser que c’est le grand gagnant et qu’il me mettra dans son lit dès cette nuit.

    Nous nous asseyons au bar. « Je m’appelle Juan, et toi ? » « Loréna, enchantée Juan. » « Commande ce qui te fait plaisir. » « Un "chupito de manzana" (Petit verre d'alcool de pomme) s'il te plait Juan. Je vois que tu as beaucoup d’amis. » « Oui, mais je préfère être avec toi. Tu devrais annuler ton rendez-vous et nous pourrions aller chez moi, j’habite juste à côté. » « Je ne peux pas car c’est un rendez-vous important. Peut être une autre fois. Tu es souvent dans ce bar ? » « Oui, je suis là quasiment tous les soirs. »

    Mon mobile sonne. « Pardon Juan, ce doit être mon rendez-vous. » « Oui, Loréna, j’écoute. » « Petite pute, laisse ce mec, nous devons être au magasin bien avant la fermeture. » « Mon rendez-vous est arrivé. Je suis désolée je dois y aller. » « Donne-moi au moins ton numéro de portable. » Souriante, je ne le lui donne pas mais je le récompense par un baiser sur la joue en lui disant « A bientôt, rassure-toi, je sais où te trouver ! »

    Chapitre 65

    Je peux voir l’entrée du magasin. Mais le jeu des voyeurs n'arrête pas : je me sens comme une proie désirée et convoitée. Des femmes me regardent, certaines avec envie d’autres avec dégoût. J’arrive, enfin, à l’entrée du magasin où José m’attend. Sans dire un mot, il entre et je le suis. Il me fait passer devant pour monter par l’escalator. J’essaye de tirer sur ma jupe, car plus nous montons plus j’ai peur que quelqu’un voit mes fesses nues. Deux jeunes garçons d’une vingtaine d’années montent derrière nous et font des réflexions très crues sur mes fesses.

    José les regarde en souriant et remonte un peu ma jupe pour leur montrer une bonne moitié de mon cul nu tout en me caressant la raie. Je rougis comme une tomate sans pouvoir échapper à leur regard. « Je suis sur que cette nuit ils vont se branler en pensant à ton cul. » « Je vois, Amo Mio, que vous aimez, que des inconnus se fassent jouir en regardant ou en pensant à mon corps » « C’est bien pour ça que je t’ai habillée comme la putain que tu es ! »

    José sourit, je ne sais pas pourquoi, mais il repense à la longue conversation qu'il a eu avec Yves et il pense que Loré vient de confirmer cet aspect très cérébral de son caractère, et qu'elle ne devrait pas avoir beaucoup d'objection quand, ils lui proposerons le projet, qu'il avait déjà appelé dans sa tête : "Branlez vous en matant une petite pute française sans tabou !"

    Nous arrivons à l’étage souhaité : celui de la lingerie et José cherche une vendeuse. Une femme d’âge mur s’approche : « Puis-je vous aider, Monsieur et Madame ? » « Oui, je cherche un tanga et un soutien-gorge pour mon amie » La femme me toise de la tête aux pieds, je sens qu’elle me classe dans la catégorie "pute" et n’a aucun respect pour moi, ni aucune envie de s'occuper de moi. Mais elle répond avec un sourire très commercial. « Vous pouvez aller tout droit au fond du rayon, là vous rencontrerez une vendeuse qui s’appelle Anita qui sera enchantée de vous conseiller »

    Chapitre 66

    José la remercie et nous allons au fond du rayon. En plein milieu, une vendeuse est en train de faire du rangement. José l’interpelle : « Bonjour, vous devez être Anita ? » C’est une jeune femme d’environ 25 ans, brune, de ma taille, avec un corps très bien fait et un regard pénétrant et brillant. « En effet, Monsieur, que puis-je faire pour vous ? » « Je cherche un tanga et un soutien-gorge, un peu particuliers pour elle » Et il me désigne d’un regard. « Je pensais bien que ce n’était pas pour vous, Monsieur. Maintenant tout dépend de votre définition d’un peu particuliers » Vous riez tous les deux. Je trouve cette jeune femme très agréable.

    « Je voudrais un tanga rouge ouvert devant et derrière et un soutien-gorge qui offre plus ses seins qu’il ne les soutient. Je ne sais pas si j’ai été bien clair. » « Parfaitement clair, Monsieur, je vois que c’est pour une soirée particulière, mais nous avons une gamme de lingerie spécialisée. Suivez-moi. » Nous entrons dans un espace isolé, éclairé de lumières tamisées et rempli de modèles attractifs et très sexys. « Nous sommes obligés de cacher un peu ce rayon à cause des mineurs. C’est la loi. Ici nous allons avoir tout pour votre plaisir. Voyons : madame fait du 38 de ceinture et un bon 90B de tour de pour poitrine ? Je me trompe ? » Je fais non de la tête sans prononcer un seul mot. « Votre amie est très timide, Monsieur »

    Chapitre 67

    José me déstabilise complètement : il éclate de rire et lui répond : « Non, elle parle uniquement quand je lui en donne le droit. » Anita sourit en concluant : « Hum, je vois quelle sorte de couple vous formez, rassurez-vous j'ai beaucoup de clients comme vous et ça va me faciliter le choix. » Elle se dirige vers un portant et revient avec quatre modèles de tangas rouges. « Voilà ce que j’ai dans sa taille comme modèles ouverts aux endroits stratégiques d’une femme. Mon unique souci est qu’elle ne peut essayer que le modèle que vous allez acheter. Ou essayer les modèles en gardant sa culotte. Ce qui risque de ne pas être pratique pour juger les ouvertures. Je suis sur que vous comprenez pourquoi, Monsieur ? »

    José sourit, regarde si nous sommes seuls, lève ma jupette et glisse un doigt dans l’entrée de mon vagin. Il le ressort de suite. « Je peux vous confirmer qu’elle ne peut essayer que ce que nous allons acheter » La vendeuse rit en le voyant me tendre son doigt que je lèche et nettoie sans broncher.. Il prend son temps pour choisir entre les quatre modèles et tend son choix à la jeune femme en lui disant : « Je choisis celui là »

    Suite dans le tome 4

     




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  •  Loré à Madrid tome 4

    Chapitre 68

    « Parfait, à présent, voyons le soutien-gorge. Il doit être avec des balconnets et sans bretelles. Je suppose que vous voulez que ses aréoles et ses tétons restent nus ? » « Oui, bien sur. Montrez-moi ce que vous avez en rouge » La vendeuse, qui connait parfaitement son rayon, revient avec trois modèles très beaux et très sexys. « Si je peux me permettre un conseil. Celui là est le meilleur modèle, il relève et serre les seins, ce qui permet des décolletés profonds. Et les aréoles et les tétons sont bien visibles et faciles d’accès. »

    Le portable de José sonne et il s’isole de quelques mètres en s’excusant. Je suppose que c’est un appel d’Yves. La conversation dure très peu. A son retour, la vendeuse suggère d’essayer les soutiens-gorge. Mais une de ses collègues vient la prévenir que son chef de rayon désire la voir tout de suite. Elle donne le soutif à José en s’excusant : « Mon chef me réclame, les cabines d’essayage sont au fond, je reviens dès que je peux »

    José me pousse vers la cabine qui semble la plus grande sans refermer totalement le rideau. « Mets toi à poil, putain, je veux te voir avec cette lingerie » Je retire mon top quand je sens l’œuf vibrant se mettre en route au fond de mon vagin trempé. Connaissant l’objet, je sais qu’il est sur la vitesse maximum. Je serre mes cuisses en essayant de me concentrer. J’enlève ma jupe, et, nue. J’enfile le soutien-gorge. Il s’adapte parfaitement à ma poitrine et offre mes seins comme sur un plateau. Je les mets bien en place pour que mes tétons durcis soient bien au centre des balconnets.

    Chapitre 69

    José ouvre totalement le rideau et me demande de sourire en regardant la caméra pour transmettre ces images à Yves.

    Puis, rideau toujours ouvert, il me tend le tanga que j’enfile. Il me serre bien les fesses et laisse voir mes lèvres vaginales bien ouvertes et humides. La caméra continue à tourner et José me demande de me montrer de dos pour voir l’effet du tanga sur mon cul et la ficelle des boules qui pend de mon anus. « C’est très bien. Tu es encore plus pute comme ça. Enlève ton soutien-gorge, je vais te filmer en tanga et nichons nus. » A peine le soutien-gorge enlevé, et alors que la caméra tourne. Je vois avec horreur un homme que nous n’avons pas entendu arriver, juste derrière José.

    En me voyant, il s’arrête, me regarde sans vergogne pour bien profiter du spectacle. Sans arrêter la caméra, José se rend compte de mon émoi et de cette présence imprévue. Mais il reste très décontracté : « Bonsoir. Vous aimez ce que vous voyez ? » « Hum, beaucoup » « Désolé si elle se trémousse un peu, elle a un œuf vibrant dans le con »

    Chapitre 70

    Je suis tellement surprise par ce dialogue presqu’amical entre les deux hommes que je reste debout dans la cabine sans même penser à cacher mon corps. « Il suffit de voir la dureté de ma braguette pour savoir que ce type de surprise m’enchante réellement » José éclate de rire et je baisse les yeux, morte de honte. « Si vous voulez, vous pouvez l’aider à s’exciter. Entrez dans la cabine, vous verrez que c’est une esclave très obéissante et fort bien éduquée » « Hum, avec plaisir, je m’appelle Javier et elle ? » « Elle ? Elle n’a pas de nom. C’est une putain sans importance : agenouille toi salope » J’obéis alors que l’inconnu rentre dans la cabine. Derrière lui, je vois José qui remet la caméra en marche.

    « Salope, mets lui la bite à l'air libre, et, vous, Javier, décontractez vous. Vous pouvez même vous asseoir sur le tabouret. Vous serez mieux » Il s’assied, je bouge un peu pour me mettre face à lui et j’ouvre sa braguette pour sortir sa pine déjà bien dure et rouge.

    Chapitre 71

    « Branle-le avec ta main et tes nichons, putain. Fais glisser sa pine entre tes nichons de pute et donne lui du plaisir. Tu es là pour ça. » Javier crache plusieurs fois entre mes seins pour que sa bite glisse mieux. Je le branle de la main droite à la base du sexe et fais glisser sa bite entre mes seins qu’il a prit dans ses mains pour les resserrer sur sa bite. A chaque aller retour, son gland vient cogner mon menton. Je me sens de plus en plus excitée.

    « Hum, quelle pute. C’est une pro, si elle continue, je ne vais pas pouvoir me retenir » « Rassurez-vous, Javier. Vous aller donner tout votre foutre à cette chienne, mais sur sa peau » « Hum, si vous saviez comme ses nichons m’excitent » « Oui, c’est une chienne obéissante et experte. Mais je veux bien qu'elle vous suce mais je ne veux qu'elle vous boive, je veux la laisser sur sa faim de foutre. La nuit ne fait que commencer et je veux la maintenir aussi chaude que possible. Entre votre bite entre ses nichons et l’œuf dans son con, je suis sur qu’elle est en train de mouiller la moquette avec son jus de chienne »

    Chapitre 72

    Javier commence à grogner et respire de plus en plus rapidement. « Si vous voulez que je lui arrose les nichons. Je suis prêt » « C’est elle qui veut que vous jouissiez comme ça. Ecoutez ce que va vous dire ce déché humain sans aucune pudeur » « Oh oui, Monsieur, je veux sentir votre foutre tiède sur mes mamelles de pute, je vous en supplie » « Hum, pas très convaincante, putain, je suis sur que tu peux faire mieux » « Oh, Monsieur, je ne le mérite surement pas, mais je vous en supplie, videz vos couilles sur mes nichons. Arrosez-moi de foutre chaud. Je suis là pour ça. Oh. Je vous en prie. S’il vous plait, Monsieur ! » A me voir si obscènement humiliée et obéissante, Javier jouit. De longs jets de foutre tiède et gluant m’inondent les seins, les tétons, le ventre et les épaules, décidément je tombe sur des hommes qui avaient les couilles bien pleines car je ruisselle de foutre?

    José me tend mon sac et m’ordonne de nettoyer la bite de Javier avec des kleenex. Quand il est propre, il se lève, se rhabille et remercie José sans un regard pour moi. « Très bonne votre pute, encore merci, mais je dois m’en aller. Bonne soirée »

    Chapitre 73

    José termine de filmer mon corps plein de sperme et coupe l’œuf vibrant : « Tu as bien travaillé, petite pute, et Yves a eu de belles images ! File aux toilettes pour te nettoyer mais fais attention de ne pas tacher ton top. Tu peux y aller de suite : il n’y a personne » Je me relève, ramasse mon top, ma jupe, mon nouveau soutien-gorge, mon sac et me dirige vers les toilettes.

    Par chance, elles sont réellement très proches, je m'y m’efforce d’effacer les traces de la jouissance de Javier et j’en profite pour tamponner un peu mon vagin dégoulinant de mes propres sécrétions. Je me rafraîchis un peu avant de me sécher et de remettre ma parure, mon top et ma jupe.

    A mon retour, je retrouve José en plein dialogue avec Anita. A ma grande honte, je vois qu’il est en train de lui montrer le clip qu’il a fait de moi dans la cabine, seule ou avec Javier. Anita rit de bon cœur. « Tu arrives juste à temps, petite salope docile, tu sais de quoi nous sommes en train de parler tous les deux ? » Je suis effarée qu'il me traite de petite salope docile devant cette inconnue et lui répond : « Non, Amo Mio, je n’en ai aucune idée. » « Elle a compris immédiatement quel type de couple nous étions. Et elle me disait que dans le monde du bdsm, il y a des soumises, comme toi, et des Maîtresses comme elle. Et comme elle veut être sure que ta parure te va bien, tu vas lui montrer comme tu es excitante, habillée comme ça ! »

    Chapitre 74

    Je rougis comme une armée de tomates et, elle rit de ma gêne et me prend le bras pour me guider vers une autre cabine. Elle demande à José de la prévenir si quelqu’un entre dans le rayon avant de refermer à demi le rideau. Il connecte de nouveau l’œuf, ce qui la fait sourire. « C’est dur de supporter un œuf vibrant. N’est ce pas petite esclave ? » Je ne réponds rien me contentant d’enlever mon top et ma jupe. Elle m’ordonne de tourner sur moi même et rit de voir la ficelle des boules de geisha sortant de mon cul, bien au centre de l’ouverture du tanga.

    « Tu vas avoir une idée de ce que j’aime faire avec des salopes comme toi ! » Elle baisse sa culotte sur ses chevilles et lève sa jupe avant de s’asseoir sur le tabouret. Elle me fait m’agenouiller devant elle, cuisses largement ouvertes. Elle rapproche sa chaussure droite de mon pubis alors que son talon aiguille cherche mon clitoris qu’elle trouve très facilement. Elle le titille de suite avec la ferrure de son talon fin sans arrêter de frotter mon pubis avec sa semelle sale. Avant de s’incliner vers l’avant pour prendre mes tétons de ses deux mains et les travailler avec ses ongles en les pinçant, en les étirant et en les tordant dans tous les sens jusqu’à ce que je me morde les lèvres pour ne par hurler.

    L’œuf que José a mis à pleine vitesse me défonce le vagin. Le talon de la vendeuse me torture le clitoris gorgé de sang. Sa semelle sale me fait du bien tout en me rendant honteuse de moi et ses jeux avec la chair fragile de mes tétons bandés me font gémir de douleur et de plaisir.

    Chapitre 75

    José ouvre un peu plus le rideau pour filmer plus facilement. Elle se rend vite compte que je suis une vraie chienne en chaleur et elle choisit ce moment pour ouvrir ses cuisses, avancer un peu son cul sur l’assise du tabouret et m’ordonne de lui bouffer la chatte pour la faire jouir. Elle est tellement trempée que je suis obligée d’avaler sa mouille très abondante pour libérer un peu son sexe. Je le fais avec un grand plaisir car elle a un goût aigre-doux assez rare mais très agréable.

    De ses deux mains, elle ouvre largement son vagin et je peux y accéder très facilement pour la lécher, l’embrasser et la mordiller gentiment, elle se laisse faire, gémissante de plaisir sans arrêter le travail de son talon, de sa semelle et de ses ongles sur mes tétons. Je la supplie de me terminer, de me laisser jouir car je n’en peux plus. Mais elle me remet rapidement à ma place en me balançant une double gifle surpuissante. « Ta gueule putain. Et bouffe-moi la chatte. Je me fous de ton plaisir. Tu ne vois pas que je suis sur le point de jouir dans ta bouche de chienne en chaleur ? » Et, d’un seul coup, elle lâche mes tétons, me prend la tête à deux mains, colle ma bouche à sa chatte brûlante et jouit en gémissant discrètement mais avec une force qui tétanise carrément son corps.

    « Quelle suceuse tu as là, mon ami. Je me refuse à croire qu’elle n’est pas aussi gouine ! » Bien que connaissant la réponse, je la supplie une autre fois de me laisser jouir. José rit sans arrêter la caméra qui tourne un gros plan de ma bouche trempée. « Ton Maître te veux en permanence en chaleur, folle du désir de jouir. Mais il t’interdit toute jouissance pour le moment. Le mieux que tu aies à faire est de te relever et de sécher ton con trempé »

    La caméra continue de tourner, même quand je me tamponne le vagin pour le sécher un peu. José m’ordonne de me rhabiller sans mettre la parure sur moi. Je me sens terriblement frustrée et excitée. Il coupe l’œuf vibrant et je sens quelques gouttes de mon jus intime couler sur le haut de mes cuisses. Nous partons, Anita nous accompagne à la caisse, José paye et quand il salue la vendeuse, je suis très surprise de l’entendre dire : « A tout de suite » Sans un mot, il me pousse vers l’ascenseur, nous descendons et sortons du magasin. Et il me guide dans la rue en me tenant par le bras.

    Chapitre 76

    Nous faisons quelques pas dans la rue principale et il m’entraîne dans une petite rue beaucoup moins fréquentée où clignotent des néons de peep-shows et de sex-shops. Il cherche visiblement une boutique en particulier et quand il la trouve, nous entrons dans un sex-shop. Il va directement à la caisse : « Bonsoir, je suis envoyé par Anita mais j’ai besoin de conseils » « Anita est une très bonne cliente, je vous appelle une conseillère » Le gérant fait un appel micro et peu de temps après une ravissante créature qui doit avoir à peine vingt ans nous rejoint. Elle ne porte en tout et pour tout qu’un tanga, des bas à mi cuisses et des talons hauts. Ses jeunes seins nus pointent fièrement sans aucune pudeur. « Voilà Sylvia, ma meilleure employée, elle va vous renseigner »

    Nous nous écartons de la caisse et il lui demande : « J’aimerais vous acheter des pinces à seins modèle BB » « Je vois que vous êtes bien renseigné, Monsieur, nous venons en effet de recevoir cette référence de pinces à tétons, suivez moi. Vous savez comme elles fonctionnent ? » « Non pas trop, si vous pouvez me le réexpliquer, ce serait gentil » « Sans problème : contrairement à des pinces classiques qui se referment sur les tétons ou sur les aréoles, en prolongeant la poitrine de la soumise, ces pinces sont destinées à serrer les tétons en les glissant dans l’espace formé par le métal, et, ce, perpendiculairement à la poitrine de la soumise. Le résultat est le même que si vous lui mettiez un élastique très serré autour des tétons. Mais vous comprendrez vite en les voyant ! »

    Chapitre 77

    Arrivés au rayon, elle ouvre une vitrine et en sort des pinces très petites : « Nous avons deux modèles en acier : un pour les gros tétons et un pour les plus petits. Et chaque modèle peut se régler sur trois positions. Il est donc impossible que les pinces glissent même si la soumise débande des tétons »

    "Le mieux est que je vous fasse une démonstration sur les tétons qui sont destinés à recevoir ces nouvelles pinces, si toutefois c'est possible, bien sur !" "Pas de souci, celle qui va en profiter c'est elle : petite pute, lève ton top et montre tes bouts de mamelles à Sylvia » Humiliée et ne sachant pas où me mettre car il y a des clients qui entendent tout ce que nous disons, je lève mon top jusqu’au cou.

    Je pense que Sylvia ne s'attendait pas à trouver un soutien-gorge et c'est sans aucune gêne, qu'elle me touche un téton avec deux doigts « Je peux déjà dire qu’il lui faut des petites pinces et, à mon avis un réglage moyen. Vous voulez que j’essaye de suite ? » « Oui, ce serait parfait »

    Chapitre 78

    Elle prend une pince, la pose délicatement ouverte autour de mon téton et la laisse se refermer. Je sens déjà mon téton bien serré par le métal. « Une fois posée, vous avez en dessous une petite molette avec trois crans : un pour un serrage fort, un autre pour un serrage moyen et l’autre pour un serrage doux. Là, il est sur doux mais je vous conseille de passer en moyen, elle se sentira plus dominée par vous et donc plus esclave. Je vous laisse faire pour vous entraîner »

    Il se penche et joue avec la molette, allant de doux à fort et, en voyant ma réaction sur fort, il met la position moyenne et la vendeuse lui donne la deuxième pince qu’il me pose lui-même. Avec la même pression « Parfait, merci Sylvia »

    « Nous avons aussi un accessoire qui va avec ces pinces BB : ce sont des poids allongés allant de 50 à 150 grammes qui se fixent à la base des pinces par deux clips adaptés, leur originalité est qu’ils sont reliés aux pinces par un ressort, ce qui fait qu’à chaque balancement des seins, les poids tirent vers le bas et remontent. Je ne les ai pas essayés, mais je sais que tous les Maîtres m’en achètent »

    « Oui c’est original, mais quel poids me conseillez-vous ? » « Avec votre autorisation, il faudrait que je revois un des tétons de votre amie pour me faire une idée » « Bien sur, allez-y » Je remonte une nouvelle fois mon top, la vendeuse enlève une des pinces et observe attentivement mon téton en le faisant réagir avec un ongle

    Chapitre 79

    « Le téton est très réactif, il est assez marqué donc habitué à être pincé, je pense qu’elle peut supporter des poids de 100 grammes. Mais si à l’usage, c’est trop ou pas assez lourd, revenez, je vous les échangerai, ils sont tous au même prix »

    Elle me remet la pince et c’est José, lui-même, qui se charge de clipser les deux ressorts, en effet très fins, avec deux poids de 100 grammes clipsés eux-mêmes à environ 10 centimètres des pinces. Il me voit me crisper mais résister « Ça semble parfait, un grand merci Sylvia ! » Il lui glisse un billet de 10 euros dans la main pour ses services, je baisse mon top : "Je vais payer, file m'attendre dehors, et ne racole pas un client c'est le bon quartier pour faire ça, mais tu n'aurais pas le temps de t'en occuper en bonne professionnelle que tu es !"

    Il me rejoint : « Tu es contente de mon petit cadeau ma salope ? Même avec ton top ajusté au niveau des nichons, on ne voit ni les pinces, ni les poids. Mais, si tu ne les supportes pas n’hésite pas à me le dire, je baisserai la pression sur tes bouts de mamelles ! »

    « Il faut que je m’y habitue, Amo Mio, elles me font un peu mal, surtout qu’à chaque pas, les poids montent et descendent mais c’est surtout très humiliant de penser que des gens peuvent deviner que je porte des pinces à seins » « Il faudra t’habituer à ce que peuvent penser les gens ! Là, ils te prennent pour une putain. Il faut que tu apprennes à être fière d’être une esclave et que tu le montres à tout le monde avec plaisir ! » « J’essaierai, Amo Mio, il me faudra probablement un peu de temps pour arriver à ce raisonnement »

    Chapitre 80

    Nous nous rapprochons de la brasserie qui est en face du Corte Inglès « Assieds toi à cette table, bien droite et cuisses serrées, je vais t’expliquer ce que j’attends de toi » Je m’exécute. Le serveur vient prendre notre commande : « Un café pour Madame, et moi vous me servirez un peu plus tard une bière au bar, j’arrive » Le serveur, habitué à tout s’en va sans rien dire.

    "Je vais te laisser ici toute seule. Très vite des hommes vont penser que tu travailles et que tu attends un client. Tu dois tout faire pour te faire remarquer : dégager tes épaules, jouer de ton décolleté, croiser et décroiser tes jambes, remonter ta jupe, ouvrir et fermer tes cuisses. Si quelqu’un te plait, n’hésite pas à te lever pour lui demander d’allumer ta cigarette.

    Chapitre 81

    Quand viendra le moment de dire qui tu es. Tu affirmeras que tu n’es pas une prostituée professionnelle, mais une simple exhibitionniste vicieuse qui cherche à être filmée gratuitement en obéissant dans un des wcs de la brasserie. L’homme te dira qu’il n’a pas de caméra : tu sortiras celle de ton mari que je mets dans ton sac en lui disant que sitôt la séance commencée tu lui enverras en direct le film sur son portable. Bien sur il va te traiter d’allumeuse ; réponds-lui simplement que tu appartiens à un Maître qui t'a imposé cette épreuve et que la seule chose que tu puisses faire c’est de le branler dans les toilettes, en lui rappelant que ce service est entièrement gratuit. Il te rend service en te filmant pour alimenter ton site web et toi tu lui montres tout ce qu’il veut, tu fais ce qu'il veut et tu le branles. Ah, une dernière chose : je suppose que tu connais le maniement de la mini-caméra d’Yves ? »

    « Oui, Amo Mio, je connais bien le fonctionnement de cette caméra super sophistiquée » « Très bien, moi, je ne pourrai pas voir le film, mais je resterai en contact avec toi en t’appelant sur ton mobile que tu laisseras branché en haut parleur tout au long de la séance pour m’assurer que tu ne risques rien. Entendu ? » « Je ne sais pas si je vais être à la hauteur, Amo Mio » « Comment peux-tu prétendre ne pas être à la hauteur de ce que tu fais le mieux ? T'exhiber, obéir à un inconnu et le faire jouir. Tu préfères que je te fasse faire une passe à 40 euros dans les toilettes ? » « Oh, non, Amo Mio, je ne pourrais pas » « Et pourtant un jour tu le feras je te le promets et même tu me demanderas toi-même de te laisser la faire ! Tu as des questions ? »

    Chapitre 82

    « Oui, Amo Mio, deux : combien de temps doit durer la séance ? Et dans quel wc dois-je aller ? » Il regarde sa montre et réfléchit « Environ une demi-heure » « Bien, Amo Mio » « Et je connais cet endroit, tu as intérêt à aller chez les hommes il y a deux wcs pour handicapés, ils sont plus grands que les autres. Travaille bien. Pense que tu as promis à Yves qu'il serait fier de toi à notre retour J’espère qu’il sera content de ton film. Sois vicieuse, franche et sans tabous : mets toi bien dans la peau de ton personnage ! »

    « J’essaierai de vous satisfaire tous les deux, Amo Mio » « Je ne te demande pas d’essayer. Mais simplement d’être parfaite comme tu l’as été jusqu’à présent, c’est clair ? Si Yves n’est pas satisfait, je te ferai faire la pute et sois sure que ce ne sera pas dans un quartier de call-girls » Tête baissée je ne réponds rien alors qu’il se lève, me donne la mini-caméra et rejoint le bar.

    J’allume une cigarette et sans avoir rien commandé, le serveur vient me porter un autre café et un petit verre de liqueur de pomme. Je glisse la caméra dans mon sac au moment même où mon mobile sonne. C’est José qui me dit de le mettre en mode haut parleur et de le ranger dans mon sac. Je me redresse, dégage un peu plus mes épaules, m’assieds au bord du fauteuil pour pouvoir croiser assez haut les jambes et je fume en silence tout en regardant la terrasse et la place qui sont très fréquentées.

    Chapitre 83

    Un homme élégant d’une cinquantaine d’années me regarde fixement depuis la place. Je me penche en faisant semblant de chasser quelque chose qui me gêne le pied. Je le vois hésiter, mais il finit par se décider et vient s’installer deux tables en face de moi. Je change de position pour que le pied central de la table ne gêne pas sa vue et écarte les cuisses en faisant semblant de me pencher. Je le regarde par en dessous, il semble ne rien rater du spectacle et avoir une bonne vue sur mon entre jambe. Je suis très excitée par mon manège. Mais je ne sais pas si c’est réciproque.

    Comme le temps m’est compté et que cet homme ne semble pas être un voyou, je sors une cigarette, fais semblant de fouiller en vain dans mon sac, et la ruse marche. L’homme s’approche de ma table avec un briquet :

    « Je peux peut être vous aider, Madame ? » Je lui souris et me penche en lui offrant mon décolleté qui ne cache pas grand chose. Il semble interdit de découvrir les petites pinces que j’ai aux tétons « Je peux m’asseoir à votre table, je vois que nous sommes tous les deux seuls ? » « Bien sur, Monsieur, je m’appelle Loréna, asseyez-vous » « Enchanté, moi c’est Ernesto, ça te dérange si je te tutoie ? » « Pas du tout Ernesto » « Tu travailles peut être ? » « Travailler ? Ah, tu me demandes si je cherche des clients ? » « Oui c’est ce que je voulais dire »

    « Pas exactement, je ne suis pas une prostituée. Je suis simplement une exhibitionniste qui cherche à agrandir sa collection de clips de séances obéissantes » « Je comprends pourquoi tu m’as allumée de cette manière. Et quelle est ta recherche ma belle ? » « Oh, c’est tout simple. J’ai un site web pour adultes et je l’alimente par des clips de moi, en forêt, dans des cinémas, dans ma chambre, dans ma salle de bains et partout où je peux. Et, pour rendre ces clips plus attractifs et donc excitants, je cherche des hommes ou des femmes intéressés par un clip durant lequel je ne cache vraiment rien et j'obéis à quasiment tout ce qui m'est demandé » « En somme, tu cherches un voyeur-cinéaste ! Ça me plairait beaucoup que tu t’exhibes pour moi car tu es très bandante, mais, malheureusement je n’ai pas de caméra sur moi, si tu veux on peut faire ça chez moi ? »

    Chapitre 84

    « Ce n'est pas la peine, j’ai toujours ma mini-caméra dans mon sac, et en échange de ta contribution, je te montrerait dès le début de la séance comment connecter ma caméra à ton téléphone pour que reçoives en temps réel le clip sur ton portable » L’homme réfléchit en buvant son verre « Et ça me coûterait combien ? » J’éclate de rire « Rien bien sur, je t’ai dit que je n’étais pas une pute ! » Il sourit, rassuré « Mais tout ça va m’exciter, je peux compter sur toi pour ne pas me laisser en plan à la fin ? » « Bien sur, je ne suis pas une allumeuse, j’ai l’habitude d’éteindre les incendies que je déclenche. Mais je suis l'esclave d'un Maître : celui qui m'a imposé ce jeu entre adultes consentants et il faudra te contenter de ma nudité et de mes mains »

    « Même pas une petite pipe ? » « Non, ça me coûterait une punition trop sévère » « Mais comment le saura-t-il ? » « Il nous regarde en ce moment même et nous écoute sur son portable » « Je vois, tu es son esclave et il t’a ordonné de faire ça ? » « Oui, mais je le fais par plaisir : j’aime me montrer et exciter les hommes » « Admettons que j’accepte, combien de temps m’accordes-tu ? » « Environ une demi-heure, mais là non plus ce n'est pas moi qui décide » Il éclate de rire et avec un grand sourire il me dit : « C’est peu, il serait grand temps que nous commencions ! »

    Chapitre 85

    Je me penche pour prendre mon sac, l’ouvre et lui donne la mini-caméra « Ne te préoccupe pas des consommations, je les paierai, où puis-je te retrouver ? » « Dans les toilettes pour hommes. Un des deux wcs pour handicapés, ce sont les plus vastes » En me levant, je constate que sa braguette est gonflée, ce qui me fait sourire. Je m’éloigne et sans regarder José, ni me préoccuper des yeux qui suivent ma marche, je descends aux toilettes. Je m’assure que les toilettes pour hommes sont vides et je vais directement vers les wcs handicapés où je m’enferme dans le premier en suspendant mon sac à la patère.

    Ils viennent d’être nettoyés ce qui me rassure et me met de bonne humeur.

    Quelques secondes plus tard, on frappe deux petits coups à la porte. J’ouvre et laisse entrer Ernesto, qui était visiblement très impatient d'être seul avec moi. Il me prend dans ses bras et m’embrasse longuement sur la bouche avec une langue avide et terriblement fouineuse. Ce baiser fougueux et fort baveux n’est pas fait pour me calmer après tout ce que j’ai subi sans jouir. Mais je le repousse courtoisement en lui rappelant que nous sommes ici pour faire un clip, et pas trop pour flirter.

    Il rit en me répondant : « Je sais, mais j’en avais trop envie, Loréna, et tu sais peut être que les putes n’embrassent jamais, alors que toi, tu as bien répondu à mon baiser ! »

    Chapitre 86

    Je souris en constatant : « Te voilà donc rassuré sur moi ! A présent je te propose de mener la séance de la manière suivante : tu me dis ce que je dois faire et dans quelle position je dois me mettre et je m’exécute sauf si tu veux une séquence de scato que je déteste. Tu filmes comme tu veux, tu as un gros zoom sur la caméra. Moi, sauf si c'est pour répondre à des questions de ta part, je ne dirai rien. Je vais te dire comment connecter la caméra sur ton portable, sans même que je ne vois ton numéro, et je te demande de mettre une alarme pour nous rappeler qu’il ne nous reste que cinq minutes, pour que j’ai le temps de te "remercier" comme convenu. Ça te convient Ernesto ? » Il approuve, règle la connexion de la caméra et de son téléphone, enclenche l'alarme et prend la direction des opérations !

    Chapitre 87

    « Appuie toi sur le lavabo, pour que je vois ton profil dans le miroir, souris moi, je vais faire un gros plan de ton très beau visage. A présent un gros plan de tes yeux, on a du souvent te dire qu'ils étaient très beaux. Ouvre grand la bouche, ferme tes yeux et sors ta langue. Hum, voilà, bouche ouverte, lèche toi les lèvres et soulève tes cheveux, parfait, à présent baisse lentement ton top jusqu'au dessus de tes seins, tes épaules nue sont à croquer, tu es bien roulée Loréna ! Tourne moi le dos et relève tes cheveux en chignon. Fais la star, ça te va bien, reste le dos tourné et enlève complètement ton top par la tête, fais semblant de rester coincée la tête dans le top et tes nichons aux bouts pincés ballottant devant toi. Superbe, même avec tes superbes seins nus aux bouts lestés, tu restes naturelle ! Croise tes mains sur la tête. Hum, tu es super bandante. Il faut que je sorte ma bite pour qu'elle puisse se raidir au maximum et toi, fais moi face, cache tes seins avec tes mains et lèche-toi les lèvres vicieusement en essayant de bien saliver sur ta langue, ça fera briller tes lèvres de pipeuse. Hum, continue à te lécher les lèvres, je veux qu’elles soient trempées et garde tes mains croisées sur la tête. Hum quels nichons tu as, saute un peu sur toi-même pour que les ressors agissent bien sur tes tétons, hum je vois que tu te crispes de douleur, je vais faire des gros plans de tes tétons et de ton visage crispé de douleur !

    Hum, je vois qu’en plus d’être bandante et vicieuse, tu es maso. Ton Maître a de la chance ! Allez tourne moi le dos, penche toi en avant et laisse ballotter tes seins devant moi, aide les pinces en bougeant tes poids avec tes mains. Hum, superbe, je bande comme un âne. Écarte toi du lavabo et dégrafe ta jupe, puis mets toi de dos et baisse ta jupe à mi-fesses et pétris-toi le cul avec tes deux mains. Dis-moi, c’est quoi cette ficelle qui pend de ton anus ? »

    Chapitre 88

    « La cordelette qui relie les trois boules de geisha que j'ai dans le cul, Ernesto » « Hum, tu as un don pour m'exciter, reste le dos tourné et laisse tomber ta jupe sur tes chaussures, à présent, penche-toi en avant, et va chercher avec la ficelle une des boules qui t'enculent, et positionne là, juste dans ton anus sans qu'elle ne sorte ! Hum quel beau gros plan de ton cul avec cette boule rouge fichée en toi. Penche-toi et ouvre tes fesses de tes deux mains pour que je vois bien la boule et ton anus béant. Là, tu es totalement obscène, continue en sortant une à une les boules de ton cul. Doucement, que je te filme bien en train de te vider le trou du cul, tandis que ton anus reste obscènement ouvert. Si tu savais comme j’ai envie d’y entrer ma bite ! »

    Chapitre 89

    « Tu sais que je ne peux pas Ernesto » « Je sais, je sais, tourne toi à présent vers moi et suce une à une les boules qui sortent de ton cul, sauf si elles sont sales »

    « Non, pas de problème, Ernesto, elles sont trempées de mes jus de femelle, mais propres Ernesto »

    « Alors fais-le, régale-toi de bien les nettoyer. Et fais-moi un grand sourire pour me prouver que tu aimes ça. Hum, je pense qu'elles sont bien propres. Montre moi ton dos une autre fois et penche toi en avant, seins pendouillants et remets-toi les boules une à une dans le cul, vas-y doucement donne moi en cadeau quelques gémissements de plaisir. Bien, lève une jambe et assure toi que les boules sont bien au fond de ton cul. Encore un peu je suis sur que tu peux les enfoncer plus. Tu vois ? Retourne toi et penche toi vers moi pour enlever complètement ta jupe.

    Hum que tu es bonne à poil ! Vas vers la cuvette des wcs, baisse la lunette et assieds-toi naturellement en regardant bien droit la caméra. Écarte aussi largement que tu peux les cuisses, je vais faire un très gros plan de ta moule trempée. A présent, mais attends, je vois que tu as quelque chose dans le vagin, tu peux me dire ce que c'est ? A cet instant précis l’œuf se met à vibrer, Ernesto semble surpris, mais je le rassure en souriant : "C'est un simple œuf vibrant avec une télécommande, et comme mon Maître suit notre séance par téléphone, il a voulu prouver avec humour qu'il entendait tout malgré son éloignement"

    Chapitre 90

    "Comment s'appelle-t-il ?" "Amo Mio " "Eh bien, cher Amo, je tiens à vous féliciter pour l'éducation de votre soumise, elle est parfaite et doit faire rêver tous les hommes qui ont eu la chance de la rencontrer et surtout de jouer avec elle et sa docilité, si vous m'entendez bien, coupez l’œuf trois secondes et remettez le en route, j'aimerais vous poser une question, si vous ne la voulez pas, ne coupez pas l’œuf !" Le ronronnement cesse, 1... 2 ... 3... secondes et reprend de suite, donc José entend bien : "Merci, cher Amo, je voulais simplement vous demander de prolonger de 5 minutes notre séance pour que j'ai le temps de jouir dans la chatte ou dans la bouche de Loréna, j'en ai tant envie que c'est ma promesse de gentleman qui m'empêche de la pousser contre le lavabo pour me vider les couilles dans son ventre que je sens accueillant, chaud et moite !"

    A sa grande déception, le ronronnement ne cesse pas, son visage tourne un peu au boudeur, mais il me dit : "Tant pis, mais j'aurais tout de même essayé ! Tu as de très jolis pieds Loréna. Ils sont bien propres ? » « Pas tout à fait, Ernesto, j’ai marché dans la rue avec ces escarpins ouverts » « Très bien, déchausse toi le pied droit et pose le nu sur le rebord de la lunette. Caresse le surtout entre les orteils. Tu as trouvé un peu de saleté ? »

    « Très peu il y a surtout de la poussière » « Très bien, lèche tes doigts salis. Voilà, tu es très belle, provocante et vicieuse quand tu fais ça. Souris pour bien montrer que rien ne te gêne. Hum, tu es parfaite, repose ton pied droit par terre et fais pareil avec le gauche : tu enlèves ta chaussure, tu te nettoies entre les orteils avec tes doigts comme la belle salope que tu es, puis tu les lèches pour les nettoyer. Pas d'eau pour tes orteils, je veux que tu gardes longtemps ce gout dans la bouche. Maintenant mets toi debout, face à moi, devant la cuvette des wcs, écarte les cuisses autant que tu peux et ouvre ta chatte avec tes deux mains. N’en profite pas pour te toucher. Hum, ton jus de femelle en chaleur dégouline de ta connasse, je vais faire le plus beau gros plan de cette séance"

    Et il s'accroupit devant moi pour filmer ma moule de très près, j'espère pour lui et son futur plaisir qu'il prendra en se masturbant devant son DVD de la séance que ses images seront explicites et bien nettes !

    Chapitre 91

    "Tu es chaude à point ! Ouvre la cuvette et accroupis-toi dessus, cuisses ouvertes. Attention de ne pas glisser. Bonne position. Ouvre encore plus les cuisses avec tes mains. Je vais m’agenouiller devant toi et faire un très gros plan de ton con ouvert avec ton œuf qui te taraude ! Cuisses obscènement ouvertes. Écarte les plus, je suis sur que tu le peux. Voilà, maintenant, caresse toi les nichons et tire sur tes poids pour qu’ils montent et descendent. Fais-toi plaisir en te faisant mal petite pute maso ! Très bien, continue à te pétrir les nichons et pisse dans la cuvette. Vas-y, laisse-toi aller, vide bien ta vessie devant ma caméra, en très gros plan ! Encore, je suis sur que tu as encore plus de pisse à me donner. Voilà ! Eh bien tu en avais vraiment envie !

    Essuie les dernières gouttes avec tes doigts et lèchent les. L'odeur d'urine va se rajouter au gout de tes pieds. Tu as vraiment été bien éduquée, tu es totale-ment obéissante. Heureusement que j’ai accepté cette séance avec toi. Quel con j’aurais été de refuser ! Lève-toi et souris-moi fière d’être à poil devant moi. Tourne toi, mains sur la tête pour que je te filme bien de partout. Tu es parfaitement bien faite : un vrai mannequin. Et je suppose que tu es très rigoureuse sur la propreté ?"

    Chapitre 92

    "Oh, oui Ernesto c'est presqu'une obsession pour moi !" "Je m'en doutais : tu as du remarquer que dans ces chiottes, ça craint un peu : tu vas t'agenouiller devant la cuvette et la lécher soigneusement ! Voilà, fais en bien le tour. Encore un peu par là il reste un peu de pisse devant, je ne sais pas si c'est la tienne ou celle de celui à qui tu as succédé, avale tout en souriant et reste à quatre pattes sur le carrelage"

    "Marche comme ça dans toute la pièce en t’arrangeant pour bien onduler du cul et bouger tes nichons. Très bien, tu es une vraie chienne alors fais ce que toutes les chiennes font quand il y a une odeur étrange : penche ta tête et nettoie tout un carreau du carrelage avec ta langue. Avant, salive bien dessus, tu verras comme ils brilleront en quelques secondes seulement, relève toi et regarde : tu vois d’ici comme moi que le carreau est bien plus propre que les autres. Reste penchée, la tête contre le carrelage et lève très haut ton cul, et ouvre-le avec tes deux mains. Oh ! Je n’en peux plus, je crois que je vais jouir sans me toucher !

    Chapitre 93

    "Couche-toi sur le carrelage sur le ventre, les membres en croix et frotte ton corps longuement sur le carrelage. Imagine le nombre de semelles sales de mecs qui sont entrés ici et dont tu nettoies les traces avec ton ventre, tes cuisses et tes nichons. Je suis sur que ça te fait mouiller ! Passe ta main droite sous toi et va te toucher l’œuf vibrant au fond du con mais sans toucher ton clitoris. Enfonce plus profondément ta main et lève bien ton cul pour que je puisse bien te filmer ! Très bien, à présent couche-toi sur le dos, cuisses outrageusement ouvertes et branle toi le con. Je fais un gros plan de ta branlette. Je veux que tu jouisses devant la caméra"

    "Je ne peux pas, Ernesto, mon Maître ne veut pas" "Quel dommage, lève toi et agenouille toi devant moi je vais glisser ma bite entre tes seins. Hum, ce serait bon de jouir comme ça. Je suis sur que tu aimerais les gifles de mon gland dur et humide sur ta figure. Hum, quels beaux plans : avec ma bite dans ton œil, sur ta bouche fermée, dommage que tu ne puisses pas l’ouvrir, hum comme ça va être bon de te revoir comme ça sur ton clip, et de pouvoir me branler en dégustant chacune des humiliations que tu as acceptées avec le sourire !"

    "Allez j’arrête de rêver : couche toi sur le dos et lève tes pieds. Coince ma bite entre tes pieds et fais semblant de me branler. Hum, encore, c’est trop bon."

    Il regarde furtivement sa montre : "Allez une dernière séquence : couche-toi sur le ventre et lève ton cul. Enlève tes boules d’un seul coup et remplace-les par deux de tes doigts et enfonce les bien, vas-y fais des allers et retours ultra-rapides, oh non ! Tu es trop excitante, vas-y continue à te pistonner le cul avec tes doigts et gémis le plus fort que tu peux. Ooooooooh !

    Chapitre 94

    L’alarme de son mobile nous fait descendre de notre nuage et au même moment José coupe l’œuf vibrant de mon con.

    « Déjà, comme le temps a passé vite ! Hum comme c’était bon. Tu es une femme extraordinaire Loréna, tu peux sortir tes doigts de ton cul et remettre tes boules bien au chaud dans ton sphincter » « Je suis heureuse que ça t’ai plu » « Tu veux bien rester à poil pour me branler ? » « Bien sur, Ernesto, je vais me laver les mains et tu pourras filmer la belle branlette que je vais te faire pour te remercier de cette super-séance »

    Nous nous rapprochons du lavabo, je me lave les mains, il me met à sa droite. Prend la caméra de sa main gauche alors que je commence à lui caresser doucement les couilles que je sens pleines et très sensibles. De sa main gauche il me caresse le cul et va même jusqu’à m’enculer en sortant et rentrant une des boules de mes intestins.

    Je gémis et, lui, grogne de plaisir quand ma main droite se pose sur sa bite, alors que la gauche reste sur ses couilles qu'elle caresse très précaution-neusement. Je le branle en essayant de faire durer le plus possible son plaisir, mais je le sens si excité que je pense qu’il ne tiendra pas longtemps. Il filme en gros plan ma main branleuse. Quand il explose, je me sens très frustrée : tout ce bon foutre qui éclabousse le lavabo devrait être dans ma bouche ou dans mon corps.

    De ma main gauche je fais semblant de cogner accidentellement la caméra, mais je lui fais un clin d’œil et de la droite, je ramasse tout ce que je peux de son sperme dans le lavabo, et tête baissée, mon visage tourné vers lui, je me lèche et me nettoie la main pleine de foutre. Il en est très heureux et me remercie d'un sourire radieux auquel je réponds par une petite mine, comme pour lui expliquer que je ne pouvais pas faire mieux.

    Chapitre 95

    Les couilles vidées. Il respire normalement, retrouvant peu à peu son calme. Il me filme en train de me laver les mains, nue, seins pendants sur le lavabo. Il me tend une serviette, nous nous essuyons et il se rhabille rapidement pour ne perdre aucune image de mon rhabillage. Il filme encore quelques minutes jusqu’à ce que je sois rafraîchie et rhabillée et que je lui offre un sourire et un baiser d'au-revoir face à la caméra.

    Je prends mon mobile, je dis simplement : « Je remonte, je coupe »

    Puis, je lui demande de couper la transmission du clip sur son portable et de vérifier si mon dernier baiser est bien la dernière séquence qu'il a sur son portable. Il me la montre en riant et embrasse l'écran, il a bien tout le clip d'environ d'un peu plus de 40 minutes et en est ravi ! Il me dit de lui prêter mon portable, ce que je fais, et quand il me le rend, il y a un message : "handi 06 07 08 09 10", il sourit en me disant à toi de l'enregistrer ! Je ris et fait "mettre en mémoire" en pensant qu'il fallait être très fort pour deviner qu'Ernesto était dans mon portable à l'entrée Handi !

    Il m’embrasse sur la bouche pour me remercier, insiste pour enlever mes BB de tétons qu'il glisse dans mon sac, je lui murmure un "à bientôt" en lui mordillant l'oreille.

    Chapitre 96

    Il me laisse partir la première, je récupère ma place sur la terrasse où m’attend une belle coupe de champagne français avec un petit mot : « Yves vient de me confirmer après avoir vu ton clip que tu es la meilleure putain de Madrid, et je suis d'accord avec lui ! »

    Ernesto traverse la terrasse il a du remarquer que j'étais seule, mais il fait semblant de ne pas me prêter attention et passe à quelques centimètres de moi sans un regard, cet homme est réellement un gentleman super bien éduqué et je serai très heureuse de le rencontrer prochainement.

    Mon mobile sonne : « Petite pute, bois ta coupe et rejoins moi à l’entrée du Corte Inglès. Nous avons un rendez vous »

    Je sais que nous allons rejoindre Anita, et, un peu épuisée par ma séance, j'estime qu'elle peut attendre un peu ! Je prends donc le temps de fumer une cigarette et de finir de déguster ma coupe.

    Quand j'ai un peu récupéré, je me lève pour rejoindre José !

    Chapitre 97

    « Bonsoir Majesté, Reine des Putains ! » Je souris en lui répondant : « Bonsoir, Amo Mio » « Je crois que tu as bien profité des wcs de la cafétéria. Toi qui avait peur de ne pas être à la hauteur, j’ai trouvé que tu avais été une petite chienne parfaite ! » "Merci pour le champagne et tous ces compliments, Amo Mio.

    Il est vrai que cette séance avec Ernesto m’a beaucoup excitée. Mais vous n'avez pu la suivre que sur votre mobile, c'est très aimable à vous, Amo Mio, d'avoir réservé la deuxième connexion possible à Yves, et c'est aussi très gentil de m'avoir donné, immédiatement, sa réaction très élogieuse, Amo Mio"

    « Je crois que tu as l'honnêteté intellectuelle de toujours faire le maximum pour accomplir ta tâche quelle qu’elle soit, pour faire plaisir à ceux qui t'ont demandé d'essayer. Je peux rajouter que j'aurai une copie de tous les clips de ces deux jours, et que je trouvais normal qu'Yves soit le bénéficiaire de celui-là et que je ne sais même pas ce que veut dire "jalousie" ! Ton mari est en effet très fier de ta prestation, il a simplement rajouté que tu venais de franchir un nouveau cap dans ton éducation grâce à moi, ce qui m'a flatté »

    « Il a tout à fait raison : l’idée était de vous, Amo Mio, et les images pour lui, je me devais d’être à la hauteur de vos envies à tous les deux » « Quant à Ernesto. Je l’ai trouvé fort bien éduqué et très imaginatif et il a du être très content de te découvrir si intimement, car tu ne lui as vraiment pas caché grand chose ! Comme la bonne pute docile que tu sais être. Et, bien qu’un peu frustré de ne pas pouvoir te faire jouir ou de te baiser, il a du être enchanté par le final » « Oui, surement, Amo Mio. Mais il est sur qu'il voulait plus que ma main, il m'a même fait de la peine, mais il s'est qualifié, à juste titre de gentleman, et il est vrai qu'Ernesto en est bien un ! »

    « Ça j’en suis sur, mais il a tout de même du se sentir privilégié qu’une esclave telle que toi lui fasse passer un aussi bon moment qu’en plus il va pouvoir revivre à volonté en revoyant le film »

    « Je le suppose mais j’espère surtout qu’il en fera bon usage et qu’il ne le publiera pas sur tout Madrid, Amo Mio » « C’est un risque à courir mais il me semble qu'il n'aura pas envie de partager "son trésor" et qu'il le gardera jalousement pour lui, à tout hasard, je l'ai pris en photo quand il descendait te rejoindre, on ne sait jamais et je ne veux pas que ma fréquentation te crée des problèmes »

    Chapitre 98

    Le ballet des hommes qui me regardent en passant avec plaisir et désir a reprit. Je n’y fais plus attention, car ils me voient accompagnée. « Tu te doutes ce que nous faisons ici, n’est ce pas petite pute ? » « Je suppose que nous attendons Anita, Amo Mio » « Oui, elle m’a demandé de continuer à jouer avec toi, et j’ai accepté que tu sois sa petite chienne esclave »

    « Je le supposais, Amo Mio » « C’est un peu de ta faute. Tu t’es conduite avec elle comme une excellente gouine, et je crois que ta langue et ta bouche de pouffiasse lui ont bien plu ! »

    « Oui, Amo Mio, il m’a semblé que ce fut un plaisir rapide mais très intense pour elle » « Vu son sourire quand j’ai accepté de te prêter à elle, je n’en doute pas. Je peux savoir si tu t’es refroidie entre la cafétéria et le Corte Inglès ? » « Hum, Amo Mio, bien que mon voyeur des wcs m'ait gentiment débarrassée de mes pinces BB, il faudrait inventer un autre mot qu’excitée pour qualifier mon état actuel ! »

    Il éclate de rire : « Décris-le-moi : petite salope ! » « A part un orgasme que je ne risque pas d'oublier, Amo Mio, ça fait plusieurs fois que vous me refusez la jouissance, et entre ce qui s’est passé chez nous avec Yves et vous, au Corte Inglès avec Javier et Anita, la séance dans les toilettes de la cafétéria, mes bouts de mamelles pincées et l’œuf vibrant de mon con, mon jus coule sans arrêt sur le haut de mes cuisses et j’ai le clitoris gonflé comme un pois chiche. J’ai très honte de mon état, Amo Mio »

    « Très bien, c'est dans cet état d'excitation que je te voulais et je vais tout faire pour t'y laisser et même le faire empirer. Je ne sais pas si tu jouiras avec Anita, mais quand elle nous rejoindra, tu vas la saluer comme "Tu Ama Querida". Comme ça elle n’aura aucun doute sur tes rapports de soumission envers elle, et sache que je ne compte pas intervenir, c'est moi qui te filmerai ce soir »

    Je baisse la tête avec humilité en murmurant : « Bien, Amo Mio»

    Chapitre 99

    « Mais dis moi, ma belle bourgeoise vicieuse, puisque nous avons encore quelques minutes avant qu'Anita n'arrive, je vais te demander de trancher un dilemme que j'ai actuellement. Tu vas passer le weekend à m'obéir, qu'attends-tu de cette recontre ? Quatre ou cinq orgasmes géants comme celui que tu as eu tout à l'heure chez toi ? Ou une cinquantaine de jouissances qui te feront me supplier d'arrêter de te faire jouir ? »

    « Amo mio, j'aurais tendance à vous répondre : et pourquoi pas un mix des deux solutions ? »

    « Continue, précise un peu »

    « Entendu, Amo Mio, pour cela je dois vous livrer un secret très intime, ma Maîtresse française, Cathy, s'est rapidement rendue compte de mon fonctionnement : chaque orgasme me donne envie d'en avoir un autre plus intense, et en réalité je ne sais pas combien de fois je pourrais jouir durant un weekend de soumission ? Je n'en sais absolument rien et je ne me donne pas à d'autres pour battre des records »

    José sourit mais attend visiblement une suite « J'ai rarement des orgasmes de ce type que Cathy et moi appelons "tsunamis". Nous supposons qu'il me faut 4 bonnes heures d'excitation et de frustration pour y arriver. Mais ce qui est très frustrant c'est qu'ils m'épuisent exactement comme la jouissance d'un homme »

    José me coupe la parole :

    « Mais dis moi petite pute docile, après ton tsunami de tout à l'heure, tu étais surexcitée, ça ne colle pas à ton hypothèse »

    « Mais non, au contraire : vous savez que depuis hier soir je suis au courant que je vais vivre une expérience unique, inédite et plus qu'exceptionnelle, ma libido est montée très très haut et même si j'ai perdu de l’énergie dans ce tsunami, il m'en restait beaucoup plus que durant une séance que j'oserais qualifier de classique »

    « Je te suis bien, mais alors, quelle solution proposes-tu ? »

    « Je terminerai une autre fois, car je vois Anita arriver et il est temps que je salue Mon Ama Querida d'une nuit, Amo Mio ! »

    Chapitre 100

    Anita arrive et embrasse José sur la bouche, comme une amante attitrée : « Bonsoir José, je vois que tu es très ponctuel ! » « Oui, j’aime l’être, surtout quand j’ai rendez-vous avec une jolie femme comme toi ! » Elle rit du compliment. Sans son uniforme de vendeuse, j’ai du mal à la reconnaître dans ses vêtements de tous les jours. Elle se tourne vers moi : « Je vois que ta petite chienne est avec toi ! » « Bien sur, comme promis : salue Anita putain ! » « Bonsoir Mon Ama Querida »

    Elle rit en me regardant des pieds à la tête de son regard pénétrant : « Je vois que tu l’as préparée et qu’elle sait ce qui l’attend ! » « Oui, elle est informée, mais je crois qu’elle va te le dire elle-même »

    « Oui, Amo Mio, je veux dire à Mon Ama Querida que je serai sa pute obéissante, pendant tout le temps que mon Amo Mio me prêtera à vous. Et je voulais vous remercier, Mon Ama Querida, car grâce à vos conseils, Mon Amo mio m’a acheté des pinces à tétons BB qui m’excitent beaucoup »

    « J’étais sure qu’elles plairaient à ton Amo. Toutes mes soumises en ont et leurs propriétaires s’en servent surtout dans la rue. J’ai simplement oublié de vous dire qu’il fallait les prendre avec les ressors et les poids ! » « Amo Mio a été bien conseillé et a aussi pris les accessoires, c’est vrai qu’elles me plaisent beaucoup, Mon Ama Querida, car elles me rappellent en permanence mon statut d'esclave »

    José me coupe, « A propos de tes pinces BB, il serait temps ma salope docile de te les remettre aux bouts de tes mamelles ballottantes et de montrer à Anita comme tu es experte pour te torturer toute seule, sale pute maso ! »

    Chapitre 101

    Anita lui demande pourquoi je ne les porte pas, et José en riant lui explique que j'ai fait une passe dans les chiottes de la Cafétéria face au Corté et que mon client me les a enlevées à la fin de la passe !

    Anita éclate de rire : « Je vous aime bien tous les deux, je crois que nous allons passer un bon moment ! Tu prostitues une pute, ce qui me paraît normal, mais toi qu'en retires-tu ? »

    « Ma pouffiasse a fait 50% de remise à son client, en échange d'un clip filmé par une super caméra numérique posée sur un trépied posé centre des chiottes, et j'ai reçu le clip en direct sur mon portable, donc j'étais aux premières loges, allez grosse truie, dépêche-toi de te pincer les nichons, nous n'avons pas que ça à faire, et tu te refroidis du cul ! Ah enfin, on peut y aller quand tu le voudras Anita. Elle est à toi »

    « J'ai décidé de vous emmener chez moi, j’habite tout prêt , ça te va ? »

    « C’est parfait » Elle m’indique le chemin et me dit de marcher devant alors qu’elle reste avec José pour continuer à dialoguer avec lui sans que je ne puisse rien entendre.

    Ils doivent surement parler de mes tabous. Et si je connais la réponse de José, je ne peux imaginer les réactions d’Anita. Ils se sont rapprochés et me regardent marcher en silence, en notant en riant le manège des hommes qui me dévorent des yeux et se retournent sur mon passage.

    J’entends des bribes de conversation : « J’ai une excellente idée pour une autre fois, je t’en parlerai » « Si tu as des bonnes idées. N’hésite pas à m’en faire part. Je verrai avec son mari si elles peuvent lui convenir. Mais le connaissant très voyeur, je suis sur qu’il acceptera toute idée excitante ! »

    Chapitre 102

    Nous arrivons devant l’entrée de l’immeuble d’Anita et après avoir composé son code, nous entrons dans le hall « José, ça te dérange si je commence à lui donner des ordres ? » « Pas du tout, elle est à toi depuis qu’elle t’a saluée ! » « Merci, José : putain, j’habite au quatrième sans ascenseur, enlève ta jupe et ton top, tu vas monter les escaliers à poil ! »

    « J’aime ton idée, Anita ! Et je vais la filmer si tu n’y vois pas d’inconvénient » « La filmer ? Et que fais-tu du film ? » «Il part directement sur l’ordinateur de son mari pour sa collection privée et si tu veux je peux aussi t'envoyer une copie sur ton portable en temps réel » « Ah, dans ce cas, aucun problème. Vas-y »

    Yeux baissés, je me déshabille restant en chaussures avec mon collier, l’œuf vibrant, les boules et les pinces. Je monte. En priant le ciel de ne croiser personne. Je sens leurs yeux fixés sur les mouvements de mon corps et sur mon cul dans lequel les boules remuent à chaque pas, bien que je serre les fesses.

    Chapitre 103

    Au troisième, Anita m’ordonne de m’arrêter et me rejoint en souriant avec un regard plein de vice. Elle frappe à une porte. Un jeune homme très mignon ouvre : « Bonjour Alejandro, je sais que tu aimes voir mes nouvelles esclaves. Que penses-tu de celle là ? Je te présente son Maître qui a accepté de me la prêter »

    Les hommes se serrent la main, alors qu’elle me fait tourner sur moi-même pour que l’inconnu me découvre bien. Je sens au regard de José que cette exhibition l’excite. « Hum, ça fait longtemps que tu n'avais pas ramené une salope aussi bandante chez toi ! Si, quand vous avez fini, tu lui fais faire une escale chez moi. Je ne dirai pas non ! » Anita rit : « Sois tranquille, Alejandro, à tout à l'heure ! »

    En montant le dernier étage elle lui dit : « Tu approuves mon initiative, José ? » « Cette pute est à toi, je n’ai pas l’intention d’intervenir, Anita ! » « J’aime beaucoup exhiber une soumise surtout sans qu’elle soit prévenue » « Et tu comptes la prêter à cet homme ? » « Alejandro est un vieil ami et un super baiseur, j'aime qu'il profite de mes salopes, et dans tous les cas ce sera plus intime que l’inconnu du Corte Inglès qui lui a inondé les nichons dans la cabine d’essayage ! » José sourit : « Ou de l’inconnue qui a joui en se faisant bouffer la chatte au même endroit ! »

    Anita répond en souriant : « Ce dont je garde un très bon souvenir ! Mais crois en mon expérience, José, les esclaves ont toutes le fantasme de se faire baiser comme un morceau de viande, sans un brin de sentiment ! » Nous arrivons au quatrième étage, Anita ouvre sa porte et m’ordonne de passer dans le salon qui est juste à droite. J’entre, et sans trop savoir où me mettre, je reste debout au milieu de la pièce. José s’assied dans un fauteuil pour regarder et filmer, la braguette déjà gonflée.

    Anita enlève sa petite veste et la pose soigneusement sur un dossier de chaise.

    Suite dans le tome 5




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