• Agnès 2

    "Agnès" Tome 2

    Auteur : Anonyme / Adaptation-Réécriture : Agnès et Loré

     

    Cela va faire 8 mois que je vis dans la très belle maison de Paul.

    Beaucoup de choses ont changé pour moi : j'ai du avouer à mes parents que j'étais très amoureuse d'un certain Paul et que je désirais vivre chez lui.

    Nous étions convenus tous les deux de les inviter à passer une soirée avec nous, en toute simplicité, avec maillots de bains, barbecue, bonnes bouteilles et bonnes pâtisseries !

    Si Paul et moi étions bien en tongs et maillots, le reste n'avait rien à voir avec le programme annoncé : nous avions une table pour quatre merveilleusement décorée, un sommelier, un chef cuistot, une serveuse et les merveilleuses illuminations de la maison, du parc et de la piscine.

    Nous avons pris l'apéritif dans la piscine, car une partie de celle-ci disposait d'une table à fleur d'eau sur laquelle nous pouvions déposer nos verres et les plateaux de petits fours que nous passaient la serveuse.

    Jeanine, mon adorable maman n'a pas pu s'empêcher de demander à Paul, pendant cet apéritif :

    "Dîtes, moi, mon cher Paul, vous nous avez invités à une petite soirée amicale, voire familiale. Avec Jacques, mon mari, nous n'attendions pas que vous vous mettiez autant en frais pour nous, nous sommes des gens modestes et avons éduqué Agnès avec nos moyens, et elle ne semble pas en être malheureuse !"

    Paul, tout sourire, lui répond : "Je vais vous répondre sur un seul point, Madame : je connais des gens qui sont nés avec une cuillère d'argent dans la bouche et qui n'ont qu'un claquement de doigt à faire pour que tombe dans leur poche un billet de 100.000 euros ou la dernière Ferrari. J'ai rayé ces gens de mes relations et fait rehausser les murs de ma maison pour qu'ils ne puissent pas les escalader !"

     

    "Quand j'ai rencontré Agnès, deux aimants m'ont attiré en elle : sa beauté et sa simplicité"

     

    "J'ai attendu pendant deux mois une question du style : "Et que fais-tu dans la vie, Paul ?" Sa jolie bouche n'a jamais posé cette question"

    "J'ai attendu qu'elle soit prête pour une relation d'adulte et non pas d'étudiants, puisque je fus un étudiant, mais que j'ai du devenir très vite un adulte"

    "Durant toute notre période que l'ont peut qualifier de fiançailles ou de découverte mutuelle, nous n'avons jamais mangé dans un restaurant étoilé, nous avons beaucoup circulé en taxi pour éviter qu'elle ne voit quelle type de voitures, j'avais été habitué à conduire et quand elle m'a avoué en me regardant droit dans les yeux qu'elle me voulait, moi, pour sa mutation en une "vraie femme", pardon pour cette franchise, mais je ne vois que des adultes autour de cette table"

     

    "Entre une suite dans un palace 5 étoiles et une grange sentant bon la paille, je n'ai pas hésité"

     

    "Depuis, nous ne nous sommes quasiment plus quittés mais quand je l'ai invitée à passer un weekend ici, j'ai bien sur du lui avouer la vérité, qu'elle va vous raconter elle même"

    "Permettez-moi de faire une appartée pour elle : ma chérie, merci de ne pas t'étendre sur ma vie professionnelle et quand à ce qui se passe ce soir dans la maison, explique simplement ce qui s'y passe depuis les quelques mois que tu y habites !"

    "Entendu, Paul, tu peux compter sur moi !"

    "Comme vous l'a dit l'amour de ma vie, nous n'avons jamais parlé de situation, d'argent, ou de projets d'avenir. Paul sait que je suis en dernière année de fac et que je m'achemine vers mes 20 ans alors qu'il en a 25. Quand, en arrivant chez lui, j'ai vu sa maison, j'ai osé lui dire que je pensais qu'il était à l'aise, mais pas à ce point !

    Ce qui l'a beaucoup fait rire"

    "Nous avons posé mon sac sur le perron et sommes allés faire un grand tour dans le parc, où, il y a même des biches et des cerfs apprivoisés !"

     

    "En nous promenant, il m'a résumé les grands moments de sa vie"

     

    "De très bons résultats au Lycée, et à 16 ans, BAC en poche, école préparatoire à des grandes écoles. Il a été reçu dans deux d'entre elles : Centrale et HEC"

    "En travaillant la nuit, il a passé les deux concours et 3 et 4 ans après il s'est retrouvé diplômé des deux Ecoles, à seulement 21 ans. L'année d'après il a passé 4 masters dans 4 domaines différents dont l'informatique"

     

    "Il partait vers un avenir plus que brillant quand, le malheur a frappé sa famille"

     

    "L'avion de la société s'est écrasé avec ses parents et les deux pilotes. Ses parents sont restés un an dans le coma et quand il s'est décidé à les laisser partir, il a juré de consacrer sa vie à son petit frère, et à l'entreprise de son père"

    "Il a passé les 3 dernières années à consolider la puissance de la compagnie de son père qui est le leader mondial des opérations chirurgicales à distance. Il ne veut pas l'introduire en bourse pour lui conserver son caractère familial, à sa mort, son frère en fera ce qu'il voudra, n'étant lié par aucune promesse à un mourant"

    "Je devrais te gronder ma chérie, mais, devant tes parents, je n'oserai pas ! Ton papa est trop bien baraqué ! Mais comme chaque fois que tu parles de moi, tu rajoutes des superlatifs qui me font rougir ! Il faudra que tu apprennes à cacher un peu mieux tes sentiments ! Mais bien, sûr, jamais à ta maman ni à ton papa !"

    La gentille serveuse, qui s'appelle Anne Marie, nous propose un café, des infusions, du thé et des digestifs au bord de la piscine ou dans la piscine, et c'est finalement maman qui donne le "la" en ôtant son peignoir et en plongeant dans l'eau tiède pour rejoindre à la nage la table "Atlantide" comme elle l'a déjà baptisée !

     

    "Allez ! Tous dans l'Atlantide !"

     

    "Crie Paul en plongeant dans l'eau et en faisant semblant de faire la course avec ma maman ! J'ai une petite larme qui coule en voyant que maman qui était déjà au courant de pratiquement tout (mais chut !) avait si vite adopté "mon" Paul.

    Nous émergeons de l'eau et nous nous asseyons autour de la table, tout est déjà en place : les cafetières, les théières, les tasses, le sucrier, l'argenterie, les bouteilles d'alcool, les différentes tisanes, de très beaux verres à liqueurs et même des cigares pour les amateurs.

    Papa en prend un, Anne Marie jette un briquet à Paul qui le lui allume. Il avale sa première bouffée en disant : "Huuuuum, ce n'est pas un Reinitas ça : un pur Cohiba de la Havane, bravo Paul, mais dis-moi, ma chérie, tu devais nous expliquer deux choses : nous avons bien compris que Paul n'est pas de ceux qui tapent dans les mains pour que l'argent se mette à pleuvoir, il le mérite et

     

    "Sa promesse à son papa est une chose qui me touche droit au coeur !"

     

    "Bravo, Paul, vous êtes un type bien ! Mais, Agnès, il nous manque un récit de ta part !" "Oui, papa tu as raison, il se passe des choses étranges dans cette maison tous les soirs, je dois te l'avouer, si Paul n'est pas encore rentré quand je descends du bus de l'université, c'est Rafaël, notre chef cuistot préféré qui vient me chercher avec une véritable charrette, tirée par un pur sang ! C'est une honte et je crois que je vais porter plainte contre eux ! Car, il arrive des jours où quand Paul est là, c'est lui qui vient me chercher avec la même charrette et le même pur-sang !"

    Tout le monde éclate de rire : "Je savais que vous trouverez ça drôle, mais je voulais aussi vous expliquer que

     

    "L'équipe que vous avez devant vos yeux, papa et maman, est l'équipe qui gère la maison de A à Z"

     

    "Anne Marie, aujourd'hui bien habillée, alors qu'avec nous elle se trimbale en short de jean et tongs. Elle s'occupe des commandes sur internet, du service et de l'entretien de la maison avec, trois jours par semaine, deux dames qui viennent l'aider pour le ménage, le repassage et "l'attention aux fleurs fragiles", elle fait partie de la maison et de la famille, et elle va nous faire un joli strip-tease pour nous rejoindre autour de "l'Atlantide" !"

    "Rafaël, lui, en dehors de la cuisine, a un hobby extraordinaire : refaire pousser des plantes oubliées, Paul le sponsorise et ils ont déjà gagné 2 grands concours européens, il est donc heureux comme tout ! Et va fêter ça en plongeant pour nous rejoindre ! "Nooooon Rafaël, pas une bommmmmbe, Oups trop tard !"

    "Et Norbert qui est le préposé aux bons vins, mais entre deux cuites, c'est le magicien du garage de la maison ! Il y a tellement de chevaux dans ce garage que certains cherchent à s'échapper la nuit, mais vous savez ce qu'on dit des Dieux Grecs ?

    Dès qu'il sont adultes, ils cherchent les chars les plus rapides et... bah, je vous laisse finir la phrase, ce serait malvenu que je dise du bien de moi !"

    Paul se glisse vers moi, me donne un gros baiser sur la bouche et finit ma phrase :

     

    "et cherchent leur Déesse de beauté, et comme dirait notre Agnès ! Moi, je l'ai trouvée ! Na !"

     

    Papa et maman éclatent de rire, car ils connaissent bien mon "Na !" que j'utilise souvent, alors que Paul sert lui même nos trois amis qui nous rejoint dans l'eau !

    Papa est convaincu que Paul et moi formons un couple parfait, et il dit à tout le monde : "Mes enfants, j'ai envie d'applaudir, que pensez-vous de cette idée saugrenue ?"

    Nous éclatons de rire, et Paul démarre en claquant très fort ses mains l'une contre l'autre, en rougissant je reconnais ces bruits, mais la dernière fois, ses claques rebondissaient sur mes fesses !

     

    Nous finissons par un "Hip-hip-hip-hourra !"

     

    "Qui est notre calumet d'une paix éternelle et sans aucun ombre. Mais l'avenir nous le confirmera !"

    Mes parents rentrent chez eux à une heure peu coutumière pour eux, mais ils respirent le bonheur et je suis sûre que nous avons apporté une réponse à chacune de leur question.

    Je repense souvent à cette soirée assez magique, mais la vie de tous les jours prend le dessus, avec ses petits soucis et ses grandes joies.

     

    Le temps est venu pour nous de dîner dans la maison devant un immense feu de cheminée

     

    Que nous aimons entretenir tous les deux. Paul est assis dans son grand fauteuil, et je suis assise à ses pieds éblouie par le spectacle de ce feu aussi diabolique que captivant.

    Je bois une tisane et lui un bon alcool, nos amis sont tous allés se coucher ou vaquent à leurs propres activités.

    Je regarde Paul en me tordant un peu le cou et lui demande : "Dis-moi, Paul, puis-je te poser une question sérieuse ?" "Ma chérie, toutes tes interrogations sont sérieuses, pourquoi douter de toi encore une fois ?"

    Je ne réponds rien et lui dis :

     

    "Est-ce que tu penses que l'amour peut faire évoluer un corps ?"

     

    "Question très difficile qu'il faut d'abord analyser : quand tu parles "d'un corps", tu parles du tien ?"

    "Oui, Paul !" "C'est ce que je pensais. Quand tu parles d'évolution, évoques-tu une évolution physique : par exemple des seins plus gros, des tétons plus longs, des fesses plus ouvertes à force d'être utilisées par ton amant ?"

    "J'avoue que tu me fais douter un peu : il est peut être vrai que certains endroits de mon corps se sont modifiés, mais je pense que c'est plus par ta tendre manie de les utiliser, que par un phénomène anatomique, et je pourrais reprendre les deux exemples de mes tétons et de mon anus, ton habitude de les mettre à contribution les ont fait sûrement s'élargir ou grandir, mais aussi ils sont devenus des zones beaucoup plus érogènes qu'elles n'étaient au début de nos ébats !"

     

    "Je mettrai un bémol pour tes tétons, mais, dans l'ensemble, il faut donc chercher ailleurs !"

     

    "Peux-tu tout de même me donner un début de piste de réflexion, j'ai bien une idée, mais je veux m'assurer que je ne vais pas de raconter des bêtises issues de mes propres fantasmes !"

    "Je vais essayer de te résumer ce que je pense : depuis quelques mois, j'ose me maquiller un peu plus et les longueurs de mes robes ou de mes jupes ont diminué. Tu m'offres, beaucoup plus que je ne le voudrais, de très jolis vêtements et des sous-vêtements sexys que j'hésite à porter de suite !"

    "Tout à fait d'accord, Agnès, mais rappelle-toi que récemment, je t'ai dis aimer les femmes qui ressemblaient à des femmes et qu'un rien habillait ton corps de rêve. Mon jugement est probablement faussé par l'amour que j'ai pour toi. Mais, je me rends compte que, petit à petit, tu cèdes quasiment à toutes mes demandes :

     

    "L'amour a parfois ses raisons que la morale ne comprend pas !"

     

    "Ne penses-tu pas que c'est dans ce sens que tu as changé ? Nous continuons le chemin fabuleux de ton éducation amoureuse, petit à petit, sans afficher le thème de notre future soirée sur un écran géant, tout est feutré et discret, mais tu avances très vite dans ce monde qui t'était inconnu il y a encore quelques mois"

    "Ton changement n'est-il pas là ? Il y a 6 mois tu aurais jeté un soutien-gorge qui te dévoilait tes bouts ! Il y a 3 mois, tu aurais hésité une semaine avant de le mettre pour moi, et demain tu vas venir me lécher l'oreille en me susurrant :

    "Mon chéri, je ne ne peux pas avoir un soutien-gorge plus sexy porno que celui que tu m'as offert la semaine dernière ?"

     

    "En fait, Paul, ta réponse est que ce n'est pas mon corps qui change, mais ce que j'en pense et ce que j'aime que tu en fasses ?"

     

    "C'est tout à fait ça mon bébé : quand tu as vu la lingerie que je t'offrais sur des sites en ligne, tu as réalisé qu'elle était donc portée par d'autres femmes que toi !"

    "Quand nous regardons des CD pornos, tu te rends bien compte que mes choix sont très ciblés : il y a souvent du bdsm qui t'émoustille et déclenche en toi des envies d'essais et de découvertes, tu rêves souvent de faire comme les actrices qui semblent tant jouir sur ta télé ! Réalises-tu les progrès que tu as fait en si peu de temps? Il faut reconnaître que si nous comptions les heures que nous passons à baiser, ça ressemblerait à un entraînement intensif, mais, sois gentille, cite-moi toi-même quelques progrès qui te viennent en tête !"

    "Oooh, tu veux encore me faire rougir Paul ?" "Nooon, il n'en est pas question, nous discutons de choses sérieuses, tu n'as pas le droit de rougir, je t'écoute !"

    "Si je compare à quelques mois, j'aime m'offrir totalement à toi, attachée sur le lit ou sur la table du salon. Tu m'as fait découvrir les plaisirs du bondage et

     

    "J'avoue que ces situations perverses me transportent dans un autre monde : le paradis du plaisir"

     

    "Mais, dis moi mon bébé, pourquoi juges-tu ces situations comme "perverses" ? Alors qu'elles te mènent droit au "Paradis du plaisir" ?" "Je ne sais pas Paul, j'imagine que le jugement de "perversité" appartient à l'ancienne Agnès et que le "Paradis" est le terrain de jeu de la nouvelle Agnès !"

    "Bon, assez philosophé, tu veux que nous allions nous coucher ? Ma chérie ?" "Je t'avoue que je n'ai pas sommeil, nous sommes si bien dans ton "grand palais" et surtout devant ce feu qui m'hypnotise littéralement, j'ai envie de rester un peu si ça ne te dérange pas"

     

    "Je sais ce que nous allons faire, je vais aller chercher un CD, et toi, tu vas prendre le temps d'aller notre chambre et d'enfiler le petit cadeau du jour qui t'attend sous ton oreiller"

     

    "Tu verras, tu seras agréablement surprise !"

    Nous nous retrouvons quelques minutes plus tard et Paul m'interroge du regard sur son cadeau du jour ! Je ris en lui disant qu'il ne sert pas à grand chose mais qu'il est très excitant !

    Paul charge le CD en riant et le met en route, il vient s'asseoir dans le canapé et nous mélangeons nos corps pour trouver la meilleure position pour déguster une séance de cul dont nous ne sommes pas les acteurs !

    Je souris et frémis un peu, car sous ma jupe, je porte son cadeau : un tanga de satin noir plus que très coquin : il est fendu sur toute la longueur de ma chatte, ce qui permet de dévoiler toute mon intimité sans le retirer. Il ne sert vraiment pas à grand chose, mais je le trouve très rigolo, et je pense en moi même que les prostituées professionnelles doivent en porter des identiques.

    Dès qu'il s'est assis, il a habilement relevé ma jupe et a ouvert la partie découpée du tanga en ne laissant dépasser que le haut de mes lèvres vaginales et mon clitoris. Tout en écartant les pans de mon chemisier pour libérer mes seins des bonnets du soutien-gorge et inonder ma poitrine de ses baisers chauds et délicieux.

     

    Sa main se glisse sous ma jupe pour jouer de mes chairs tendres et intimes

     

    Tandis que je veux participer en lui caressant du bout des doigts son sexe déjà dur sous son peignoir.

    Brusquement comme s'il était Archimède, il crie, non pas "Eurêka, j'ai trouvé", mais "J'ai une superbe idée que je ne veux pas te dévoiler. Tu dois me dire "oui" ou "non" sans poser de questions !" Dans l'état d'excitation où il m'a mise en très peu de temps, et habituée comme je le suis à ses questions sans réponse.

    Trop amoureuse et inconsciente, en ces moments là, j'accepte de tester son idée sans savoir de quoi il s'agit ! Il m'abandonne devant le film, et je reste seule à regarder la scène en laissant glisser tout naturellement ma main sous ma jupe !

    Quand il revient au salon, un vieux réflexe m'ordonne de retirer ma main et je maudis encore une fois cette réaction imbécile. Mais quand je vois son "panier-garni", comme nous l'appelons entre nous, rempli de cordes et d'une multitude d'accessoires sexuels.

     

    Je sais que je vais être étroitement bondée et livrée à ses turpitudes,

     

    Ce qui m'excite au plus haut point, comme chaque fois que je vois ce panier ! Il met le CD en pause et me demande de m'allonger sur le dos à même la table basse du salon.

    Rapidement, il attache mes poignets sous la table.

    Ses mains s'insinuent sous ma jupe et me retirent le slip ouvert qui cachait tant bien que mal mon intimité.

    Il écarte mes jambes et les positionne de chaque coté de la table avant de lier mes chevilles avec une grosse corde blanche qui passe aussi sous la table.

    Allongée sur le dos, la jupe relevée et les jambes ouvertes, ma chatte est largement exposée. Il m'abandonne avec un sourire coquin. Je m'interroge sur ses intentions avec quelques troubles et inquiétudes.

    Chaque fois qu'il m'a proposé de lui faire confiance, j'ai découvert quelque chose de nouveau. Mais, dans ce cas précis, je n'ai aucune idée de ce qu'il va me faire découvrir, car la séance commence comme beaucoup d'autres que j'ai du supporter avant de le supplier de continuer !

    Que vais-je découvrir. Ce soir ?

     

    Quand il revient avec des ciseaux, sa bombe de mousse à raser et son rasoir, je comprends immédiatement ses intentions

     

    Et que, malgré mes hurlements et mes refus, il est bien décidé à le faire ! "Mon oiseau des îles est pris au piège et va se faire plumer. Ne râle pas, ce n'est pas douloureux et si tu n'aimes pas, dans trois semaines on n'y verra plus rien. Mais comme d'habitude, tu râleras par principe et ensuite tu en redemanderas !"

    Me dit-il en riant franchement de ma gêne stupide ! Avant de démarrer sa tache funeste, il oriente la table basse sur laquelle je suis bondée pour que je puisse suivre la télé sans peine et remet le CD en route.

    A l'aide des ciseaux au contact froid, il coupe ma toison, que j'ai pourtant bien soignée pour pouvoir porter les tangas et les maillots qu'il m'a offerts, et il pulvérise la mousse à raser sur mon bas-ventre. Sa froideur me perturbe, mais j'ai surtout tellement peur d'être entaillée, que j'applique ses conseils à la lettre :

    "Surtout, ma chérie, ne bouge en aucun cas !"

    La tête, posée un peu en contrebas sur la table, et les yeux fermés, je me maudis d'avoir répondu "oui" à sa proposition de lui faire confiance. La prochaine fois je serai plus prudente ! Même si je me dis cela à chaque fois ! Cette fois, je le pense sérieusement.

    Ses doigts écartent et poussent mes lèvres d'un coté puis de l'autre pendant que le rasoir glisse sur ma peau.

    Lorsqu'il a terminé son ouvrage, il enlève le mélange poils et mousse à raser et lave mon sexe en s'aidant d'un gant et en vérifiant qu'il n'oublie pas un seul petit poil sur toute la partie qu'il vient de "faucher" !

     

    Oh ! Vite ! Montrez-moi un trou de souris pour aller m'y cacher !

     

    Quelle honte, mais aussi quelle horreur ! Sans me voir, je me sens plus nue que nue. L'air devient soudain frais sur mon intimité, rapidement réchauffée, par un baume après rasage qu'il insiste à me présenter comme : "sans alcool" ! Heureusement pour lui !

    Il range toutes ses affaires de "Figaro" et sort de son "panier-garni" un collier de cuir que je ne connais pas. Il me le pose délicatement autour du cou, et s'assure que la sangle de cuir qui part du haut de ma nuque, est bien à sa place et que les deux bracelets de cuir, qui sont fixés à elle, balancent bien sur mes omoplates.

    Il libère mes bras, déchire ce qui reste de mon chemisier, ôte mon soutien-gorge et me fait asseoir sur la table pour que je tente de regarder mon entre-jambe, mais il en profite pour passer derrière mon dos, il saisit les deux bracelets de cuir qui pendent à la sangle et m'attache avec les poignets derrière mon dos.

    Il libère mes chevilles et m'embrasse tout en pressant de sa main les replis de l'entrée de mon vagin. Il va et vient sur ma vulve trempée d'envie et de désir. Je le déteste autant que je l'aime !

    Ses baisers sont enflammés, il est jouissif et heureux de me sentir pleine d'envie de folles jouissances !

    "Si tu le désires, mon bébé, tu peux aller voir comment tu es belle dans la glace de la salle de bain !" Normalement, j'ai une sainte horreur de me déplacer nue, mais, dans l'instant, loin de ce type de préjugé, je me précipite dans la maison. Les poignets entravés dans le dos, j'arrive malgré tout à allumer la lumière pour me regarder dans la glace.

     

    Oh ! Quelle horreur ! Avec mon ventre lisse, je ressemble à une adolescente encore pubère.

     

    Paul me rejoint silencieusement et m'enlace en couvrant mon cou de ses baisers tendres et brûlants.

    "Je t'aime ! Tu es encore plus belle avec ta chatte de nubile !"

    "Je te déteste, je ressemble à une gamine, quelle âge me donnes-tu comme ça ? !" "Juste l'âge légal de te faire faire tout ce que je voudrai quand je te soumettrai pour de bon !"

    Malgré mes mains dans le dos, je caresse sa poitrine et agace ses tétons du bout de mes doigts. Emporté par sa fougue, il ne se méfie pas pendant que je les saisis pour les pincer sauvagement.

    Il se recule en criant et saisit mon oreille pour me reconduire au salon malgré mes cris et mes fausses vraies, insultes.

    Il attrape une chaise, s'assied et me couche à plat ventre sur ses genoux. "La petite salope n'a pas été sage et va donc recevoir une fessée !" "Non, salaud ! Lâche-moi ! Ce n'est pas en me fessant que tu feras mon éducation de femme !"

    Couchée sur ses genoux, ma tête pend dans le vide, mes cheveux frôlent le sol et mes fesses sont largement exposées.

    Sa main glisse entre mes cuisses agitées, puis d'un doigt inquisiteur, il agace l'entrée de mon anus.

    Je le déteste vraiment de tellement aimer cet endroit ! "Ma tourterelle adorée est redevenue une petite fille mais son petit chaton est trempé de désir. Il y a une incohérence qui m'échappe, tu peux me l'expliquer je te prie ?"

     

    "Va te faire voir pervers, puisque tu es attiré par les petites jeunettes, je ne te parle plus de la soirée ! Amuse-toi sans moi !"

     

    Il sourit, ma menace "d'absence" doit lui convenir : sa main droite claque mes fesses, mais, quand il la rabat, c'est pour les caresser en les pétrissant. Il me tient fermement de la gauche et continue à claquer et à caresser mes rondeurs de l'autre, m'arrachant des cris de douleurs rapidement mêlés de gémissements de plaisir.

    Il est vrai que l'alternance des coups et des caresses, est un peu douloureux, mais pour la première fois de ma vie, je sens que c'est plus les coups secs et virils qui m'enflamment et provoquent la montée d'une vague dans mon ventre et dans mon cerveau !

    Sa main se pose sur mes chairs chaudes, son doigt glisse lentement sur mes courbes, avant de se perdre dans une étroite vallée pour terminer sa course entre les lèvres de mon sexe.

    La confusion envahit mon esprit. Je suis tiraillée entre le refus de lui dévoiler mes goûts pour la fessée et l'envie qu'il continue, en frappant encore plus durement, avec cette nouvelle excitation que je ressens pour la première fois.

    Mais, probablement que dans des séances, quasiment identiques, il ne m'avait pas fessée de cette manière : en alternant des coups cinglants et des caresses et en appuyant moins ses coups, beaucoup plus forts ce soir ! Comme s'il avait lu en moi, et, sans me laisser plus de temps pour méditer, il reprend sa fessée "d'adulte" : en la rendant plus forte, beaucoup plus dure mais surtout avec une cadence de coups, beaucoup plus rapide !

    Une avalanche de claques s'abat sur mes fesses qui commencent à être endolories.

     

    "Mon cul, que je sens de plus en plus brûlant, me fait mal"

     

    Ma tête me brûle, mais, en toute contradiction, je me sens bien : je nage en plein paradoxe, surtout lorsqu'il alterne maintenant une longue série de coups puissants et douloureux avec une phase de pelotage de mon cul que je sens de plus en plus chaud. Mon épiderme fessier me picote agréablement.

    Vous allez penser que je suis devenue folle. J'ai envie qu'il me fesse encore plus fort, juste pour mieux apprécier sa séquence de caresses, qui est divinement bonne !

    Je me savais cérébrale, mais pas à ce point ! C'est comme si, un jour, je lui demandais de partir trois jours sans me donner de nouvelles, pour mieux apprécier son retour et nos retrouvailles ! Tout mon corps tremble des pieds à la tête, je respire très fort, comme si je cherchais mon air, mais il sait que je lui ai donné depuis longtemps toute ma volonté et que je me suis offerte avec une grande joie et un vrai plaisir à tous ses tourments amoureux et ses exigences de la moins perverse à celle que je pensais inimaginable !

     

    Je me laisse guider, et me retrouve agenouillée à ses pieds, toujours entièrement nue, collier d'esclave au cou et mains liées dans le dos.

     

    Sa verge gorgée de désir dépasse fièrement des pans de son peignoir. Sans aucune gêne malgré ma position, les liens et mes fesses qui doivent être d'un rouge carrément obscène, je m'en approche prise d'une envie folle de déguster son pieu, de sentir la douceur de sa peau entre mes lèvres.

    Comme pour l'agacer, je dépose des petits baisers sur son gland avant de le prendre en bouche dans un gémissement de bonheur. Je l'aspire, le goûte, le titille de la langue en me délectant de cet instant magique.

    Une contraction est aussitôt accompagnée de sa main, qui me repousse tendrement. Paul m'annonce avec un grand sourire radieux posé sur son visage un peu congestionné par le désir :

    "J'ai très envie de toi ! Tu es merveilleuse, tu as appris si vite à me sucer comme une reine ! Mais, j'ai d'autres projets pour toi !"

    "Moi aussi, je n'en peux plus ! Libère-moi et baise-moi, je t'en supplie !"

    Il ne répond pas et m'aide à me relever. Il me guide vers la table de la salle à manger, sans me délier les bras. De la ceinture à la tête, il me couche sur le plateau de la table, et, écarte mes pieds nus posés sur le sol, en les frappant de son pied.

     

    Dans cette position, mes reins sont véritablement offerts à son désir, et, probablement à tous ses projets !

     

    En quelques mois, j'ai appris à aimer les positions obscènes dans lesquelles il éprouvait un plaisir intense à me mettre. Et je commençais à réaliser que plus la position était vulgaire et me faisait monter le rouge aux joues, plus j'éprouvais une impérieuse envie de lui.

    J'en venais à souhaiter intérieurement qu'il fasse ce qu'il voulait avec ses cordes ou ses menottes, qu'il cesse de caresser mon cul bouillant et mon sexe rasé depuis peu, pour passer à la seule action qui pouvait apaiser le feu qui brûlait en moi : me baiser !

    Il laisse passer un très long moment, en me regardant dans cette posture qui ferait bander n'importe quel homme normalement constitué. Il se décide, enfin, à venir se placer entre mes jambes, de frotter ses cuisses nues aux miennes et de poser son gland humide sur l'entrée de mon vagin.

    Je gémis, je sens sa pénétration, c'est vrai, mais j'attends, j'attends, j'attends encore, j'attends toujours, mais en vain ! Il est assez rare que je devienne vulgaire, mais, mes pensées le sont : "Cet "enfoiré" joue de son sexe dur comme une barre de fer, à la porte de mon monde de jouissances, mais sans jamais la franchir.

    J'ai beau tendre mon bas-ventre vers sa queue : il se dérobe immédiatement. Et, chaque fois qu'il recommence, je subis une autre cuisante désillusion".

    Je me rends ! J'arrête de bouger ! Je ne perds plus ma dignité à lui réclamer ce que je veux ! Je garde ma position en le laissant décider de tout : de sa pénétration ou du trou qu'il choisira !

     

    "Alors, qu’enfin, il entre en moi, je constate sans surprise qu'il a choisi mon petit trou"

     

    Mais sa main bloque mes reins, pour m'interdire tout mouvement, qui me permettrait d'aller chercher son sexe moi même pour mieux l'enfoncer dans mon sphincter.

    Sa main qui m'interdit tout mouvement me vexe profondément, et, je tiens à lui en faire part : "Dis-moi, Paul, pourquoi me bloquer les reins avec une de tes mains, tu ne pouvais pas me demander de ne pas bouger ? Je suis probablement juste assez intelligente pour comprendre que tu as envie de me pénétrer par le trou que tu veux et comme tu le veux !"

    Je lui aurais demandé le temps qu'il faisait dehors, j'aurais eu la même réponse : "Tu as sûrement raison, ma chérie, mais j'ai une pensée qui bloque ma réflexion : dis-moi, dans nos exercices d'adaptation de ton vocabulaire à ton actuelle condition, je ne sais plus où nous en sommes ? Cinq "AVAC" ou six ?"

    "Je me demande ce que viens faire cette question à ce moment précis, et dans notre situation actuelle ?" "Ma chérie, sois gentille, et même si tu ne l'es pas encore, fais semblant d'être soumise, alors 5 ou 6 ? Réponds, ce n'est tout de même pas compliqué !" "Soit, mais ce n'est pas la peine de te fâcher pour ça, je pense que nous en sommes à six, car tu m'as dit à la première que tu m'en ferai faire une par mois, et ça doit faire 6 mois de ça !"

    "Il faudra qu'on change de rythme, car tu évolues plus vite dans ton obéissance et tes attitudes que dans ton vocabulaire, on va réviser rapidement et passer à la 7ème séance d'"AVAC" !"

    Son sexe, enfoncé d'un bon tiers dans mes fesses ne bouge pas d'un pouce, j'ai envie de lui demander de prendre du recul, de nous regarder et de me dire sincèrement si cette situation accompagnera bien une séance d'"AVAC" ! Mais je me tais. "Très bien, mais avant, enlève tes mules et mets toi sur la pointe des pieds, je trouve ça très excitant !" Je m'exécute sans un commentaire.

    "Tu peux bouder ma tendre Agnès, mais dans les 10 minutes qui viennent, tu vas parler, beaucoup parler, et crier, beaucoup crier ! Voilà ton emploi du temps !" A ma grande surprise, il se retire de mon anus pour se renfoncer lentement exactement où il était l'instant d'avant ! Il me murmure gentiment : "Ca c'est un coup pour te rendre plus attentive à mes questions. Prête ? Je démarre !" "Décris-moi ta position actuelle, mon bébé ?" "Comment je suis là ? Sur cette table avec ton machin dans les fesses ?" "C'est exactement ça !"

     

    "Eh bien, j'avais encore mes chaussons quand tu m'as couchée sur le plateau de la table de la salle à manger, de la taille à la tête, les mains menottées dans le dos, les pieds posés par terre que tu m'as largement écartés pour bien m'ouvrir et m'offrir, et quand tu m'as demandé d'ôter mes chaussons, je me suis retrouvée toute nue, avec, en plus un bon tiers de ton membre dans les fesses pour que je sois attentive à tes questions !"

     

    Ma phrase se termine par un gémissement d'envie, car Paul a reprit sa pénétration et son arrêt brutal au point de départ. "Bonne base de travail ! Mais, il y a du boulot ! Bon, donc : c'est ta description de notre situation. Comme chaque fois, tu vas choisir ton style de description parmi ces trois possibilités qui dépendent de l'humidité réelle, et non pas virtuelle, de ton sexe : filet, ruisseau ou torrent. Je te rappelle que j'ai eu le temps de me rendre compte de ton état, alors, ne triche pas !" "Paul, je peux te demander une faveur ?" "Bien sur, mon amour, je t'écoute !" "Si je te dis que ma chatte ressemble à un torrent, tu promets de me baiser de suite et de m'envoyer en l'air rapidement ?"

    "Je voudrais bien ma chérie, mais vu l'orifice que j'ai choisi, je ne peux pas te baiser. Tu sais qu'un orgasme par ce trou est plus difficile à obtenir, alors tout dépendra de ton envie cérébrale de t'envoyer en l'air comme ça ! Alors quelle version décides-tu de choisir ?"

    "Je ne peux pas mentir, ce sera "torrent," mais je vais apprendre des mots que je me dépêcherai d'oublier, sale pervers !"

    "Je diminuerai ton calvaire à une seule phrase, rassure-toi, mais quand tu parles de l'oublier, je t'assure que tu ne pourras pas !"

    "Donc ta phrase : "Eh bien, j'avais encore mes chaussons quand... va devenir en langage "torrent" :

     

    "J'ai encore mes chaussures d'esclave aux pieds, je sais que de voir mes orteils peints en rouge vif comme une putain de bordel te fais bander comme un âne, tu prends dans ta main la quasi totalité de mes cheveux pour m'amener à heurter le plateau de la table de la salle à manger avec mon ventre nu. D'un violent coup dans le dos, tu me plies en avant et me regarde tomber lourdement, nichons en avant, sur le bois de la table. Mes pieds restent posés au sol et de tes chaussures, tu les écartes le plus possible en shootant dans mes chevilles. Quand je suis obscènement ouverte et que tu peux voir l'intérieur de mon trou à merde et de ma connasse, tu poses tes mains sur moi, pour resserrer mon collier de chienne et libérer mes deux poignets de leurs liens de cuir. Tu te couches alors un peu plus sur mon cul, je sens ta bite heurter mon bas-ventre alors que tu m'ordonnes de descendre mes deux mains sous mon ventre jusqu'à mon con torrentiel. D'y tremper mes doigts pour bien les mouiller, puis de remonter ma main gauche vers ma bouche pour me sucer les doigts comme si c'était ta pine, et de mon autre main, de me branler le clito pendant que tu m'enculeras comme jamais tu ne l'avais fait ! Mais tu termines en me disant que j'aurai le droit de crier autant que je le voudrais !"

     

    Complètement soumise à son jeu sadique, cruel et rempli de vulgarité qui me révulsent, les dents plantées dans ma lèvre inférieure, je m'abandonne en gémissant jusqu'au moment où, ni tenant plus, je m'entends crier : "Plus fort ! Plus fort ! Plus fort ! Défonce-moi le cul plus fort ! Vas-y éclate-moi ce trou à merde !", sans aucune pudeur, ni aucune retenue, ni honte ! Il est vrai qu'il ne m'avait jamais enculée de cette manière : ses allers et retours sont complets : il sort totalement sa bite de mon cul pour y replonger avec une force incroyable que seule la dureté de sa pine lui permet. Mes : "Ooooooooh ! Ooooooooh ! Ooooooooh !" accompagnent les claquements de nos cuisses pour devenir finalement des : "Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah" sans fin.

    Tout comme moi, il semble perdre son contrôle et devient brutal. Il m'insulte même dans un délire fabuleux, je deviens sa pute, sa salope, sa chienne, son objet, son vide couilles, mais je l'encourage par des ; "Ouuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii" et j'aime ça, et je le lui avoue.

     

    Nous sommes en plein délire, je suis devenue sa chose, son esclave et une proie volontairement soumise à son amour sauvage et ses désirs pervers.

     

    Ma tête chauffe, ou plutôt, entre mes tempes s'installe une barre imaginaire mais chauffante. Mes sensations sont difficiles à décrire, c'est un peu comme si j'étais ivre. Dans cet état second, cambrée pour m'offrir plus encore à ce sublime pilonnage de mon trou à merde de pute de bordel, mes mâchoires tremblantes laissent échapper mes cris offusqués mais aussi mes hurlements d'encouragement, comme si je demandais au taureau de défoncer le matador ! Une onde titanesque traverse mes reins, suivie d'autres plus petites mais m'atteignant en rafales. Sous ses assauts ininterrompus ma jouissance atteint des sommets inimaginables. Comme une épileptique en crise, ma tête s'agite, et bute contre la table.

    D'une poigne ferme, Paul agrippe mes cheveux et la tire brutalement en arrière, est-ce pour me protéger des chocs ou est-ce pour que je comprenne qu'à présent je suis prête à tout faire pour lui ? Je ne le saurai jamais !

    Je crie comme une folle. Je suis sûre que j'ai perdu la raison pendant quelques secondes et suis passée par un état de débilité totale. Brutalement, une chape de plomb s'abat sur la salle à manger : Paul arrête de me pilonner le cul, je cesse mes hurlements de démente, il s'est arrêté d'un coup, profondément enfoncé en moi.

     

    Nos deux corps se fondent en un corps unique, nous sommes tous deux figés dans l'attente de son plaisir, du feu d’artifice de sa jouissance. 

     

    Alors que lentement, je sens sa bite se mouvoir quasiment dans mes intestins, je sais qu'il me donne son foutre et comme si je le remerciais pour ça, j'éclate soudain en larmes, sans aucune raison. Je pleure, oui je pleure, mais je ne sais pas pourquoi ! Paul en est très surpris, il fait mine de se retirer aussitôt, mais je l'en empêche, je veux qu'il reste indéfiniment dans "son cul", puisque je viens de le lui offrir !

    Il m'enlève mon collier, se couche sur tout mon corps pour bien l'épouser, il doit sentir que je bouge mes muscles anaux pour mieux constater qu'il est encore en moi.

    Il se confond en excuses, mais je me contente de lui prendre ses mains, de lever un peu mon buste et de les poser sur mes seins en lui disant : "Tais-toi, ne dis rien, serres mon corps et mes seins".

    Nous restons comme ça de longues minutes, mes larmes se calment et, entre deux reniflements disgracieux, je le rassure en lui souriant et en l'embrassant de mes lèvres mouillées :

     

    "Tu n'as rien à voir avec mes larmes. Elles ne sont que les perles d'un plaisir trop intense.

     

    "A présent je sais que je suis toute à toi, et j'en suis fière !"

    Après le dîner que nous avons préparé seuls, car Paul a donné ce weekend prolongé à toute sa petite équipe,

     

    "Nous nous retrouvons, comme tous les soirs, dans le salon, devant ce fabuleux feu de cheminée" 

     

    Que j'aime tant ! Je suis allongée sur le canapé, la tête posée sur le ventre plat et presque trop dur de l'homme que j'aime et à qui j'appartiens corps et âme.

    Nous finissons de regarder un CD porno très bdsm qui relate la vraie vie d'une femme maso qui aime se laisser attacher, fouetter et abuser par un ou plusieurs hommes devant des voyeurs qui payent pour assister au spectacle.

    Comme chaque fois, les images ont fait largement plus que titiller mes sens qui sont en émoi et je redoute même qu'une insurrection ne soit en cours de préparation, si Paul continue de parler, au lieu de me baiser ! J'ai pourtant réduit ma part de dialogue en revêtant une nuisette minuscule avec, un mini-slip comme seul sous-vêtements !

    A moins de lui crier dans un porte voix : "Je suis prête mon amour, baise moi !" Je ne vois plus ce que je peux inventer !

    Au lieu de ça, Paul, un peu perdu dans ses raisonnements et ses pensées, se laisse caresser gentiment, sans vraiment y faire très attention, tout en m'expliquant qu'il préfère les films amateurs ou les bandes dessinées pornos sur ce sujet, car le doublage des films est bien souvent minable et les "hardeuses" sont plus des exhibitionnistes que des actrices plus ou moins douées.

     

    Alors qu'une amatrice va jouer son propre rôle, et personne ne se moquera si elle apparaît un peu nunuche à l'écran !

     

    Pour étoffer ses explications, il va chercher dans son bureau des livres et des revues qui expliquent sans ambiguïté que sur le petit écran, les scènes "hards" sont aux antipodes des plaisirs et des joies de la réalité. Sur les pages de garde des livres ou sur les couvertures des revues, il y a des photos ou des dessins, de jolies jeunes femmes souriantes, bondées et soumises aux plaisirs de surfeurs californiens !

    Paul ouvre un très beau livre, avec une couverture en cuir travaillé. Il me demande de m'asseoir, le pose sur mes genoux et vient s'asseoir à ma droite, cuisse contre cuisse.

    Il tourne les pages, qu'il semble connaître par coeur, et commente avec passion certaines des gravures. Son index insiste parfois sur des détails que je n'avais pas vu du premier coup d’œil, et, je ne cesse de m'identifier à ces filles qui se laissent frapper, pincer, baiser ou enculer, bondées dans toutes les positions qu'un homme cérébral peut imaginer !

    Je suis un peu perdue dans mes pensées, mais surtout partagée entre le mépris et une sorte de dégoût pour ces filles qui se laissent totalement faire en échange de quelques billets de banque et l'envie terrible mais presque irrésistible de faire comme elles, et d'en garder des traces : surtout quand les CD montrent des femmes visiblement non professionnelles, jouir à grands cris : d'une position obscène ou d'une pénétration forcée ou de tétons trop étirés.

    Paul continue à tourner les pages et à parler, mais son discours ronronne un peu dans ma tête et j'en ai perdu le fil ! Me prenant le visage dans sa main, il m'oblige à le regarder dans les yeux et me demande avec un grand sourire :

     

    "Dis-moi, mon bébé, aimerais-tu essayer, toi aussi, de découvrir les plaisirs de cette femme que nous venons de voir ?"

     

    "Ou de toutes celles dont je te montre des photos depuis tout à l'heure ? Penses-tu, au fond de toi qu'elles souffrent ? Ou qu'elles jouissent d'une manière différente de ce que tu as connu jusqu'à ce jour ?" "Paul, je ne vais pas te répéter à quelle point je suis amoureuse de toi et que de voir un CD d'une heure et demie qui raconte la vie sexuelle plus qu'intime d'une femme aussi normale que moi, qui a choisi le bdsm au lieu de l'amour "simple", m'excite au plus haut point et que, bien sur, j'ai envie de suivre cet exemple tout en sachant que tu es certainement le meilleur guide que la vie pourrait me procurer, mais, si en une dizaine de mois, j'ai réussi à corriger beaucoup de mes défauts, j'ai peur ! Peur de sauter le pas ! Peur de ne pas être celle que tu attends ! Peur que tu fasses de ce saut dans l'inconnu une condition première pour que nous vivions ensemble ! Peur de moi ! Peur de toi ! Et même peur de ton ombre ou de la mienne !

     

    "Dis moi trésor, il nous faudrait un sacré camion de déménagement si nous voulions changer de domicile tout en emportant toutes tes peurs !

     

    "Alors, je te propose un "safari" !" "Nous avons 3 longs jours devant nous, la maison est vide, personne ne nous dérangera, je vais brouiller tous nos téléphones. Nous allons vivre une réelle parenthèse dans notre vie et chasser pendant ce "safari" toutes les peurs que tu as énoncées !"

    "Dans 3 jours, il doit y avoir devant ce feu de cheminée, qui nous servira de phare et d'autel de nos trophées : "la carcasse de Madame "sauter le pas", "le squelette "de celle que j'attendais", "le corps encore chaud de Madame condition première", et bien sur "les scalps de ton ombre et de la mienne" Que penses-tu de cette proposition, et, bien sûr, si ce "safari" t'ennuie, nous l'arrêterons immédiatement !"

    "J'aime beaucoup ta façon de surmonter un obstacle en lui substituant une solution ludique, tu me fais rire, tu es d'un cérébralisme qui devrait me faire peur, mais j'ai tellement confiance en toi que ton côté "force obscure" arrive à être effacé par les jeux ou les événements que tu crées pour me rassurer ! Alors, encore une fois, je me laisse faire mais ai-je ta promesse formelle, que si je te dis "stop safari" tu arrêteras tout de suite ce que tu es en train de faire ?"

    "Je te le jure, ma tendre Agnès, et si je passe outre ta demande d'arrêt, je t'autorise à quitter immédiatement cette maison" Je comprends qu'il ne bluffe pas, et lui demande : "Alors comment commence ce "safari" ? Nous allons choisir nos fusils ? Ou des caméras et des appareils photos ?"

    Il sourit et me dit en se levant : "Je vais chercher quelques bricoles, en attendant, lève-toi et mets-toi debout devant le canapé, fesses tournées vers la cheminée ! Je reviens de suite !" Au ton de sa voix, je sais qu'un nouveau jeu d'amour vient de démarrer, et je m'exécute bien volontiers.

     

    "Je me sens un peu bébête : pieds nus, très peu vêtue,debout devant un canapé vide, les fesses chauffées par le foyer de la cheminée"

     

    Mais Paul revient très vite ! Il s'assied au bord du canapé, me rapproche un peu de lui, relève le bas de ma nuisette, glisse ses mains sur mes cuisses frémissantes et en profite pour peloter fermement mes fesses rebondies.

    Ses doigts saisissent mon mini-slip, et le font glisser lentement le long de mes cuisses et de mes jambes, que je soulève une à une pour l'aider à le retirer. Je m'étonne lorsque je le vois le porter à la son visage pour le humer.

     

    "Les fragrances du joli petit con de ma femme sont des parfums délicieusement érotiques"

     

    "Peux-tu me dévoiler la belle grotte qui exhale un si doux parfum ?" Totalement impudique, je relève totalement le bas de ma nuisette que je bloque à ma taille et en lui désignant du doigt le haut de mes cuisses je lui indique : "Que mon petit chaton implore ses baisers !"

    "Un chaton qui implore des baisers ? Quel curieux vocabulaire ! Aurais-du oublié nos séances d'Avac ? "Oooooh Paul, tu sais bien que ce langage vulgaire ne me convient pas du tout, ne me demande pas ça !" "Mais mon tendre bébé, tu as la solution : il te suffit de dire "stop safari" et ton calvaire s'arrête !"

    Un silence lourd se fait dans la pièce. Paul repose mon slip et prend un des livres qui traînait sur le canapé et semble se désintéresser de moi.

    Je réalise que je dois continuer à faire des compromis et à apprendre à faire ce que je n'aime pas faire, si je veux le garder et être celle qu'il attend que je sois ! Je me racle un peu la gorge et lui dis d'une voix rauque :

    "Ooooh, Paul, mon con trempé a besoin de ta bouche et de ta langue pour boire mes jus de salope excitée, et mon clito attend avec impatience tes doigts et tes dents !"

    Il repose son livre et me répond :

     

    "Pas tout de suite, une esclave doit savoir attendre sans rien demander"

     

    "Peut-être qu'après ou même pendant la surprise que je t'ai préparée, tu auras l'occasion de t'envoyer en l'air, mais ce sera en découvrant une toute nouvelle jouissance pour toi ! Tu es prête ?" "Oui, Paul, mais j'ai peur !"

    "C'est très bien, nous voilà en présence de ta première peur, nous allons pouvoir nous entraîner à la chasser et à la terrasser !"

    "Paul, s'il s'agit de me frapper d'une quelconque manière, et si tu me promets de faire doucement, je veux bien essayer pour te faire plaisir !" "Ma tendre colombe : j'adore ta façon de présenter les choses. Tu ne veux pas essayer pour me faire plaisir, tu as envie d'essayer, tout simplement ! Je vais donc installer le nécessaire pendant que tu pourras continuer ta lecture érotique, mais tout en restant debout et en écartant un peu plus les cuisses, c'est comme ça que je te préfère dans l'attente de la suite de ta séance d'éducation !"

    Il se lève, me fait un clin d'œil et part d'un pas décidé. Il s'arrête un instant pour me lancer avec son air taquin : " Toutefois, ne commence pas sans moi !" Je grogne pour le principe, mais il n'a pas tout à fait tort, car tout en feuilletant les pages de la revue porno qu'il m'a donnée, je laisserais volontiers courir mes doigts sur mon chaton, ou sur ma moule comme il aimerait que je dise ! J'avoue que le film, les livres et les revues m'ont chauffée au rouge vif, je sens que je vais faire encore une folie, mais tant pis, j'en ai trop envie.

    Quand il revient, je suis toujours debout devant le canapé, les cuisses bien ouvertes, ma main gauche enfouie dans la zone de mon bas-ventre et une revue dans la main droite.

     

    Il me regarde dans les yeux, mais j'ai un mal fou à soutenir son regard moqueur.

     

    Il me prend la revue pour la déposer sur le canapé, et ôte lentement mon autre main de la chaleur moite de ma chatte en fusion.

    Il enlève totalement ma nuisette, me croise les mains sur la tête et s’assure que mes bras sont bien parallèles à mes épaules.

     

    Et il finit par me pousser gentiment vers le garage, sans dire un mot.

     

    Je tremble comme une ado qui aurait fait une bêtise. Le garage est immense, puisqu'il fait la même surface que tout le rez de chaussée de la maison. Mais il est divisé en une demi-douzaine de garages fermés et verrouillés, qui contiennent les bolides de Paul, un grand espace qui peut accueillir plus de six voitures, que nous utilisons quotidiennement, dont la carriole du bus scolaire, mais aussi des pièces fermées que je ne connais pas.

    Toutes ces pièces ont une ouverture à code, et Paul ouvre l'une d'elle dans laquelle il me pousse doucement. Elle ressemble à un débarras, avec un vieux lit dans un coin, des fauteuils et des chaises, mais aussi un crochet qui pend d'une des poutres au bout d'une chaîne un peu rouillée, probablement destiné à suspendre un moteur entier.

    Il me sourit et m'embrasse la bouche, jusqu'à ce qu'il sente que mes jambes flageolent entre ses bras. Me laissant reprendre ma respiration, il me dit : "Je ne désire en rien te contraindre. Si tu le désires toujours et que tu m'aimes assez pour me faire une totale confiance, tu vas passer toi même ces menottes à tes poignets et je vais t'aider à monter sur ce tabouret pour que tu accroches tes poignets à ce crochet !"

    J'obéis silencieusement en femme "docile", totalement soumise à ses envies et, de même qu'aux miennes également, je dois l'avouer humblement !

     

    A poil devant Paul qui est encore un peu vêtu, mon excitation monte encore un peu plus.

     

    Il s'approche de moi, m'embrasse tendrement et m'aide à me passer les menottes aux poignets. Le contact du métal froid me fait frémir ! Comme pour m'encourager, il m'embrasse puis me pousse sous la chaîne et m'aide à monter sur le tabouret. Lorsque je passe la chaîne des menottes dans l'anse du crochet, mes pensées se bousculent : je suis incontestablement devenue folle d'accepter toute cette mise en scène !

    Il me maintient délicatement quand mon corps redescend, coincé entre le crochet qui bloque la chaîne de mes menottes, vers le haut et, le tabouret sur lequel je dois me mettre sur la pointe des pieds, vers le bas. Mes bras et mes seins sont étirés, mon corps tendu est offert et mon ventre se creuse.

    Il s'éloigne de quelques pas, me sourit en me regardant des pieds à la tête ! "C'est ta dernière chance de faire marche arrière, si tu repousses le tabouret : tu deviens la proie de tes envies et des miennes sans possibilité d'échapper au plaisir qui t'attend !"

    Est-ce pour le provoquer ou le braver ? Je ne réalise pas bien pourquoi mon pied droit repousse fortement le tabouret et le fait tomber.

     

    Mon corps se tend encore plus, uniquement attaché par la chaîne de mes menottes

     

    Il tournoie dans le vide sans que je ne puisse contrôler ses mouvements ni le sens de ses rotations. Je me sens plus que jamais comme son objet sexuel, son esclave et, je découvre que ma formation avance bien, car je ne suis pas surprise outre mesure que cette situation m'excite de plus en plus fort et inonde mon puits d'amour !

    Complètement inconsciente et provocante, je profite d'un moment où ma croupe lui fait face : "Frappe mon cul, mon amour, s'il te plaît !" "Non pas tout de suite. Te regarder, pendue comme un jambon, attendre ta première flagellation me fait bander et l'attente te la fera désirer plus encore"

    "Salaud !" En m'attrapant fermement d'un bras, il me serre contre lui. Son autre main, saisit ma nuque et plaque ses lèvres contre les miennes pour un baiser fougueux. Cette position, nue, debout et bras liés au-dessus de la tête me trouble au plus haut point. Sa langue gourmande m'explore pendant que d'une main ferme, enroulée sur ma nuque, il maintient ma tête lui interdisant tout mouvement.

    Ce baiser me fait craquer tellement il est enflammé.

    Nos langues se mélangent et tournent ensemble en une folle sarabande.

    Rien n'égale ce baiser : si doux, si pervers et si sauvage a la fois. Sans cesser son baiser, il me fesse à mains nues en me caressant entre deux claques. Ses doigts s'insinuent dans mon sexe que je sens de plus en plus trempé. Les sensations que j'éprouve sont exquises. Et me font aller chercher ses doigts en balançant mon corps pour cela !

    Il joue entre mon plaisir et ma souffrance. Souffrance, car mes poignets me font souffrir et que ses claques sont beaucoup plus fortes, aujourd'hui, et, plaisir, parce que les caresses sur la peau de mon cul qui doit être rouge vif, sont apaisantes et fort agréables.

     

    Oooooh ! Que j'aime être ainsi liée et offerte à ses divins tourments.

     

    Paul passe derrière moi, contemple mes rondeurs et y laisse courir ses mains. Il se plaque contre mon dos, déplace mes cheveux et m'invite à pencher la tête en avant pour laisser courir ses lèvres sur ma nuque.

    Mes yeux peuvent voir ses doigts effleurer à peine sans les toucher vraiment, la pointe de mes seins aux pointes tendues. Je sens la chaleur de ses mains, sensation exquise en espérant plus de caresses, mais il joue comme les magnétiseurs sur ma peau sans réellement la toucher.

    Mes tétons se tendent sous la voluptueuse caresse de mon trop doux tortionnaire. Je commence à avoir vraiment envie de plus de contacts charnels, mais il me les refuse.

    Il m'abandonne à mes émois et, de derrière un carton posé sur l'établi, il sort un martinet jouet avant de venir se placer derrière moi. J'attends les premiers coups en frémissant d'inquiétude et d'excitation érotique.

    Un premier coup s'abat sur mes fesses. Je bondis en avant, même s'il n'est pas très douloureux. Le sifflement des lanières m'annonce le deuxième. Finalement, la douleur arrive, car les coups sont portés toujours aux même endroits ! Je laisse échapper un petit cri de douleur.

    Le claquement du troisième résonne dans la pièce, il m'a fait tressauter et serrer les fesses. Je serre les dents par fierté en me disant que ce n'était finalement pas une bonne idée. La peau de mes fesses chauffe et je sens des picotements là où les lanières se sont abattues.

    Le bois du martinet glisse sur mon cul avant de s'insinuer au creux de mes cuisses. Les lanières sur mes jambes génèrent un frisson, Paul les fait ensuite remonter sur ma poitrine, je ne dis rien mais j'ai une peur bleue. Mais, quand il sent que je me contracte et qu'il sait que je crains ce qui va se passer, il me dit :

     

    "Laisse éclater ta peur ! Tu vas voir comment nous allons la vaincre !"

     

    Et, il me frappe à la volée : il passe d'une fesse à l'autre et n'épargne pas mes cuisses. Je me cambre, me tortille comme un vers ridicule pour essayer de m'échapper, mais les fines lanières de cuir me rattrapent.

    Je lui demande grâce, mais il continue ! Il me semble que la peau de mon cul est arrachée par les terribles lanières.

    "Que tu es douillette ! Que de cinéma pour un martinet d'enfants ! "Paul, je t'en prie, arrête, j'ai trop mal ! Arrête !" "Ah bon ? Tu as trop mal, c'est surement car je ne me suis occupé que de ton cul et de tes cuisses, mais je vais changer, rassure-toi et tu auras plus de plaisir !" Il arrête ses coups sur mon cul et tire le tabouret qu'il redresse et met entre mes cuisses, m'obligeant à les ouvrir un peu plus. Il a tout mon sexe ouvert devant lui et l'une de ses mains vient fouiller mes muqueuses chaudes et trempées.

    Mon esprit se partage entre ses attouchements experts et les coups que j'ai reçus. Mais, ses caresses dénotent d'une telle connaissance de la moindre zone érogène de mon corps que je suis de plus en plus excitée et que tout sentiment de douleur s'efface peu à peu.

     

    Je découvre, à mon corps réellement défendant, que le monde merveilleux de la volupté dans la souffrance existe vraiment,

     

    et que je suis en train de commencer son exploration ! Mais, lorsque le plaisir commence à poindre dans mes entrailles et dans mon cerveau, Paul stoppe net ma jouissance en arrêtant de me battre et de me caresser !

    Comment fait-il pour connaître le juste instant où personne au monde ne pourra plus arrêter mon orgasme ? J'ai les nerfs à vif, abandonnée aux portes de l'orgasme, comme si je ne méritais pas de l'atteindre ! Je frissonne, écrasée de désir, broyée par l'interdiction de l'atteindre !

    Mon éternelle pudeur imbécile m'interdit de lui crier que de m'arrêter, quand je suis à deux doigts de jouir, est une véritable torture et non une marche de plus sur le chemin de mon éducation de femme soumise et esclave ! Mais je modère mon propos en lui disant doucement : "Paul, détache moi s'il te plait et baise moi comme tu le voudras, mais je t'en supplie, ne me refuse plus l'orgasme, je vais devenir folle !"

    "Non, ma toute belle, "il ne me plait pas" de te libérer.

     

    La splendeur irréelle de mon élève esclave au cul rouge, m'impose inéluctablement la sauvagerie d'un viol avec tortures

     

    et absolument pas d'une gentille pénétration avec des câlins de Bisounours !" Paul passe derrière moi, il m'agrippe brutalement par les hanches et tire mon cul douloureux vers lui.

    En manque d'amour, sans me rendre compte de l'impudeur de mon appel, je tends mon cul vers lui en ouvrant autant que je peux mes deux orifices ! Je l'aime à la folie, mais encore plus quand il est pervers et qu'il me pervertit, ou quand il m'initie à des jeux et que je me révèle une salope avisée et une excellente élève !

    J'ai une envie folle de lui et de sentir sa bite au fond de moi ! Sa main guide son pénis dans le fouillis de l'entrée de ma moule dégoulinante sur lequel il glisse en en cherchant l'entrée.

    Mais quand il la trouve, il ne me fait pas de cadeau : il est au summum de sa dureté, entre le bois d'Afrique et l'acier du Luxembourg. Il plonge dans mon con en me prenant brutalement, d'un seul coup de rein. Mon ventre l'attendait et il se dilate avec plaisir. Rien que de me sentir ainsi prise et si rudement clouée par son pieu magique, m'irradie et me fait sauter au moins une dizaine de marches vers la montée de mon orgasme !

    Empalée, tenue à la taille et guidée par ses mains, je suis un pantin qui monte et descend sur sa bite.

     

    Je ne peux rien faire, et la chaîne qui me tient suspendue est là pour me rappeler ma condition d'esclave totale.

     

    Je me suis totalement livrée à son bon vouloir, à ses caprices, aussi pervers soient-ils et je n'attends que sa volonté pour profiter du plaisir qu'il voudra bien me donner !

    Je sais que je n'ai rien à lui réclamer ! Je réalise tout d'un coup que je m'apprête à penser une nouvelle fois : "Toujours, comme si Paul, lisait dans mes pensées !" Mais, je sais que c'est impossible.

    Il est probable que mon disque dur a eu un petit bug, car d'un seul coup, je comprends tout : quand deux personnes qui commencent à très bien se connaître, dont la logique et l'intelligence sont quasiment identiques, bien que je pense que Paul soit plus doué ! Donc, quand ces deux personnes pensent en même temps au même sujet, il est fort probable qu'ils arrivent tous les deux, et quasiment en même temps à la même conclusion ! Et quand j'annonce fièrement un peu plus haut : "Et je n'attends que sa bonne volonté pour profiter du plaisir qu'il voudra bien me donner ! Je sais que je n'ai rien à lui réclamer !"

     

    Cela veut dire que tous les deux nous sommes arrivés au même résultat sans nous consulter !

     

    il sait que je ne vais rien lui réclamer et il tient mon orgasme dans sa main : s'il l'ouvre, je jouirai ! S'il la garde fermée, je serai frustrée ! Paul a du sentir le blanc dans mon attention et dans ma conversation, peut-être s'est-il demandé ce qui m'arrivait, mais, sans évoquer ce silence il continue : "Tu t'offres à moi comme une garce en mal d'amour, tétons gonflés et connasse dégoulinante, telle une femelle en chaleur qui cherche une queue pour la monter ! J'aime quand mon ex-pudique tourterelle tend son cul à mon désir !"

    La bouche grande ouverte, je crie et halète sous les assauts infligés par mon Maître amant. La tête rejetée en arrière, je m'abandonne à son supplice et à ses mots outranciers.

    Placé derrière moi, il n'a aucun mal à empaumer mes nichons à pleines mains, il fait rouler mes tétons puis les pince rudement. Pendue et tendue par la chaîne, je me tords comme une liane à chaque coup de reins et à chacune de ses tortures de mes bouts de mamelles bandés.

    Privée de mes mouvements je ne suis plus qu'un vagin, un corps avide totalement obsédé par ma jouissance que je ne contrôle même pas ! Paul se penche sur moi, une de ses mains abandonne ma poitrine et caresse la face interne de ma cuisse.

    Elle la soulève assez facilement, la disjoignant de l'autre cuisse et, ce mouvement ouvre encore plus obscènement mon con. Ooooooooooooh ! Quel plaisir quand elle se pose sur mon intimité, quand ses doigts écartent sans ménagement mes lèvres, cherchent mon clitoris non pas pour le maltraiter, cette leçon fait partie du passé ! Mais pour l'écraser et le pincer entre son pouce et son index. Il m'oblige à gémir de douleur, et je sens que je recommence à perdre la tête.

     

    Sans aucune retenue, toute honte et pudeur oubliées, je deviens une véritable furie

     

    Qui crie à son "tortionnaire" des : "Oooooooooh, ouuuuuuuuuuuuui, plus foooooooooooooooooooort" Tout en me cambrant plus encore pour m'offrir à ses ruades.

    Entre ses cuisses qui claquent sur mon cul torturé, une de ses mains qui pince mes tétons, ses assauts qui me remplissent de plus en plus la connasse et ses doigts qui écrasent mon clito de garce, je délire maintenant totalement sous le plaisir déferlant. Je n'ai jamais connu de sensation aussi forte.

    Il me semble qu'en quelques mois, j'ai appris à jouir, car chaque orgasme qu'il m'accorde est pour moi une nouveauté en longueur, en puissance et en ondes sonores pour mes éventuelles voisins ! Je crie ma jouissance comme une louve, ravagée, vaincue, un genou à terre, soumise abattue par un orgasme souverain, impérial et libérateur.

    Emporté par son plaisir, Paul ne me laisse pas souffler : il continue de maltraiter mon clito et mes tétons, il accélère ses allers et retours en moi, et, dans une demi-inconscience provoquée par un "tsunami trop fort", je l'entends jouir dans un grand râle de plaisir trop fort.

    Nous restons un long moment comme cela, collés par mon cul et son ventre, jusqu'à ce que je sente un liquide s'échapper de mon con, forcément ouvert par ma position, et je lui murmure à l'oreille : "Huuuuuuuuuummmmmm, mon Maître, tu es en train de couler de ma connasse, quel dommage de perdre tout ce bon foutre ! Comme j'aimerais être acrobate pour pouvoir me pencher et boire ton sperme que j'aime tant !"

    Il éclate de rire, et je le suis avec grand plaisir ! Je manque de m'écrouler quand il me détache : si ses mains ne m'avaient pas rattrapée, je me serais affalée sur le béton.

    Dans ses bras, je vois passer les pièces et le couloir de la maison comme dans un rêve. Il m'allonge délicatement sur notre lit, dans ma mémoire tous les instants que je viens de vivre sont fragmentés tel un puzzle dont on aurait éparpillé les pièces.

    Petit à petit je le reconstitue en fait il ne reste qu'une seule phase relativement très courte : aujourd'hui, Paul m'a bondée, battue et torturée, mais je n'ai jamais autant joui de ma vie et je n'ai plus peur de mes peurs : elles gisent devant la cheminée !

    J'aurai 20 ans dans quelques jours et Paul veut que nous en parlions tous les deux pour que ce soit une belle fête.

     

    "Pour l'occasion, il m'invite dans un très bon restaurant de fruits de mer, car, il sait qu'avec la cuisine asiatique, c'est celle que je préfère"

     

    "Il me prévient que nous irons en taxi et qu'il aimerait que je porte une belle robe bleue ou bleue marine, avec des mi-talons assortis et, que si ça ne me dérange pas, que je ne mette aucun sous-vêtements !

    J'avoue ne jamais être sortie avec seulement une robe sur le corps, mais comme nous devons parler de "mes 20 ans", je ne voudrais pas lui gâcher son plaisir ! Je choisis une robe simple avec un petit décolleté et une longueur raisonnable, sans transparence, je suis rassurée : seul lui sait que je suis nue dessous !

    En ce dimanche de printemps, il fait un temps magnifique, on sent que la nature se prépare à accueillir l'été, ma saison favorite, quand on habite, en plus dans une maison comme celle de Paul ! Dans le taxi, je lui dit : "Tu sais mon trésor que nous allons devoir aussi fêter mon diplôme de fin d'études : vers le 15 juin je serai officiellement "experte comptable et contrôleuse de gestion", et je voudrais parler de mon avenir avec toi !"

    "C'est une très bonne idée mon cerveau si sexy ! Nous allons profiter d'un bon repas et d'une bonne conversation et je suis content que nous sortions un peu de la maison !"

    Ce dimanche matin, il n'y a pas grand monde dans les rues, nous traversons la ville rapidement et un petit quart d'heure le taxi nous dépose devant le restaurant "La Criée" qui est très connu pour ses plateaux de fruits de mer que, même un ogre ne peut pas finir !

    Paul nous commande deux mojitos et nous choisissons deux plateaux de fruits de mer que nous composons nous même : des grosses gambas, du homard, des langoustines, des moules crues, trois catégories différentes d'huîtres, quelques bulots et deux queues de langoustes ! Nous voilà partis pour trois bonnes heures de salissures de doigts et de plaisir total !

     

    Le chef vient nous mettre nos deux tabliers-homards,

     

    Et nous sirotons nos mojitos en attendant que l'écaillère fasse son oeuvre ! "Tu me feras penser à leur acheter deux tabliers spécial homards en partant, car un jour je commanderai des plateaux pour la maison, et tu enfileras ton tablier mais sans rien dessous ! Ce sera plus sexy qu'ici, et tu verras ce que ta moule prendra !"

    "Oh Paul, tu deviens de plus en plus pervers, je me demande parfois si je ne devrais pas te rendre papa pour te calmer un peu !" "Hum, oui dominer une super salope pleine avec des gros nichons et des bouts de mamelles de 5 centimètres ! Quelle fête ce sera ! On annule les plateaux et on va baiser à la maison en vitesse, ok ?"

    Nous éclatons de rire, des voisins de table se tournent vers nous mais ne peuvent que constater que nous sommes un couple d'amoureux content de la vie et d'être dans ce restaurant !

     

    Les plateaux arrivent et nous les applaudissons, car ils sont portés par deux écaillères qui ont en plus planté, là ou elles le pouvaient, des bâtonnets magiques, qui lancent des milliers de joyeuse étincelles

     

    Dans le coin où nous sommes. Il y a même un client qui nous demande s'il peut prendre le plateau en photos et Paul en souriant lui répond en chinois : "Qu'il peut prendre toutes les photos qu'il veut !"

    Très surpris, il nous répond ce que Paul traduit par : "Merci, Madame et Monsieur, vous êtes un très beau couple et je vous souhaite beaucoup de bonheur !"

    Quand il a prit ses photos, notre coin redevient intime et nous commençons à attaquer la montagne de fruits de mer qui vient de s'échouer sur notre table !

     

    "Bon appétit ma chérie, et dis moi par quoi veux-tu commencer : ton travail ou ton anniversaire ?"

     

    "Mon travail, ce serait bien car j'ai déjà beaucoup avancé sur ce dossier contrairement à mes 20 ans !

    Avec toi et ton sexe, je sais que je vais passer une excellente journée au Paradis ! Donc, je ne me fais pas de souci !"

    Je gobe une huître en lui faisant une grimace et il me sourit comme j'adore qu'il le fasse !

    "Ok, alors on va démarrer par ton boulot, je te laisse parler !"

    "Merci Paul, je reconnais ta courtoisie, voilà comment je vois mon avenir professionnel. Pour moi, il est primordial que j'ai un travail, ce qui veut dire, des responsabilités, ce qui ne veut pas forcément dire une carrière, mais surtout, une vie en dehors de toi, un espace de mouvements et de libertés, avec des copines de travail, des sorties distrayantes entre filles pour que j'ai des choses rigolotes à te raconter, une petite voiture d'occasion qui ne vient pas de ton garage mais que j'aurai choisi toute seule et dont je rembourserai tous les mois le crédit, et surtout : trois petits sous à la banque sur pour pouvoir t'offrir un cadeau, sans avoir à te demander de l'argent pour le payer ! Est-ce que tu me comprends, Paul ? Ta réponse est très importante pour moi !"

     

    "Rassure toi mon bébé, non seulement je te comprends parfaitement, mais en plus je t'approuve totalement.

     

    "Tu as besoin d'une vie sans moi, avec d'autres visages, des gens qui ne pensent pas forcément comme moi. Quant à ton autonomie financière, il faut que tu l'aies, c'est primordial, ce sera ton oxygène, je te trouve, comme d'habitude très sage et très sereine dans ton approche d'un problème ou d'un dossier !"

    "Oooooh, Paul, si tu savais comme tu me fais plaisir ! Mais, je pense avoir aussi la solution à te proposer pour bien faire cohabiter notre vie de couple et nos vies professionnelles"

    "Tu n'ignores pas que ce diplôme, que j'ai la chance d'obtenir jeune, me permet de travailler dans un cabinet d'audit, ou de compta : donc en profession libérale. Mais je ne veux pas en créer un, car ce serait beaucoup de soucis pour moi et ça me prendrait trop de mon temps, par contre, j'ai deux amies de fac qui sont, comme moi, dans les trois premières de la classe : Nathalie qui a 23 ans et Brigitte qui en a 22, qui m'ont proposées de m'associer avec elles pour créer et développer ce cabinet"

    "Nous y travaillons depuis plus de quatre mois et nous avons déjà la promesse d'une vingtaine de clients qui sont venus questionner nos profs : "Tiens à propos, simple curiosité, quels sont les meilleurs éléments de la promotion de cette année !" Ils ont été surpris quand les profs ont répondu que c'était trois nanas et en plus pas mal fichues !" "Je n'en connais qu'une sur trois, mais c'est vrai ! Eh bien, dis moi, jolie Agnès, voilà un dossier bien bouclé : et, en plus, ton côté "libérale" peut t'assurer une certaine liberté pour ton côté "libertin", pour ne pas dire plus ! Il te suffit d'un bureau dans notre maison pour rattraper un éventuel retard et traiter à temps tes dossiers urgents, je pense particulièrement aux périodes chargées de déclarations de TVA ou d'impôts ou de bilans !"

    "Tu m'as "volé" mon dernier argument, car c'est de cette liberté que je voulais te parler. Internet me permet de travailler d'où je veux et si je veux t'offrir une semaine dans le Périgord, si tu as une fin de mois difficile ! Je n'ai pas besoin d'un mot d'excuse pour m'absenter !"

    "C'est donc entendu ! Nous appliquerons exactement le plan que tu viens de me décrire, ma douce maîtresse ! Je ne t'aiderai qu'en cas de besoin absolu, mais je suis sure que tu te feras un réel objectif de t'en sortir toute seule, mais n'oublie pas que dans la cinquantaine de sociétés du holding "Albert et fils", plusieurs d'entre elles font appel à des cabinets comme celui que tu vas créer et..." "Nooooooooooooooon ! Paul, je t'en supplie, je ne veux pas ! Je sais qu'en cas de grave problème tu seras avec moi mais je ne veux pas d'aide directe et je te jure que je vérifierai que les contrats signés par mes associées ne le sont pas avec une de tes filiales !"

    "Non, rassure toi, mon amour, tu auras ton indépendance, ta tranquillité et ta vie sans moi : tu sais tout comme moi que, dans une vie de couple, les seuls moments qui sont fabuleux sont les retrouvailles !"

    "Oui, tu as raison, mais tu devrais manger un peu, tu grignotes depuis tout à l'heure et tu te contentes de m'écouter !"

    "Tu as raison et en plus j'ai faim !"

     

    Il plonge vers le plateau et attaque la "décortication" de son homard !

     

    Je fais une pause et le regarde comme j'aime le faire : simplement en train de faire quelque chose avec application, les yeux légèrement fermés avec deux mini-rides au coin de chacun d'eux !

    Il se rend compte que je le regarde et me demande gentiment si je ne veux pas aller me laver les mains et faire un petit pipi pour meubler ma pause ? Je souris en lui disant "C'est en effet une bonne idée, j'y pensais justement !"

    "Eh, bien décidément, nous sommes toujours sur la même fréquence ! Mais si tu vas aux toilettes, laisse moi te donner un petit cadeau que je t'ai préparé pour ce dimanche"

    Et il me tend un petit paquet bien emballé qui pourrait être un livre. Je le prends avant de me lever, un baiser sur la bouche de mon amour, en lui léchant les lèvres pour humidifier les siennes et un ; "A de suite, je vais ouvrir mon paquet surprise !"

    J'enlève mon tablier homard et un serveur m'indique où sont les toilettes !

     

    Suite dans "Agnès" Tome 3 >

     




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