• Agnès 4

    "Agnès" Tome 4

    Auteur : Anonyme / Adaptation-Réécriture : Agnès et Loré

     

    Je n'ai pas envie de parler, et donc de lui répondre, mais je me force

    en lui rappelant simplement : "Vous avez mis sur le tapis, mon cher Maître vénéré, un Everest de jouissances. Vue ma totale frustration depuis la petite jouissance de collégienne que vous m'avez royalement offerte dans le taxi, ma question sera simple : est-ce une récompense à vous réclamer quand le déluge sera annoncé ? Ou, est-ce que je suis à quelques minutes de découvrir pourquoi vous m'avez tant fait souffert ?"

    "Ta deuxième hypothèse est la bonne, puisque telle était ma promesse : tu vas jouir jusqu'à me supplier d'arrêter de t'envoyer en l'air, mais avant, il faut que je te mette dans la situation de la salope de la photo, et tu vas m'y aider ! Je prends des cordes, puisqu'à priori je n'aurai besoin que de te bonder, mais c'est toi qui va me dire, avec précision et déférence, comment je dois m'en servir !"

    Comment puis-je en vouloir à Paul ? Avec lui, tout devient ludique ! Il ne prend rien au sérieux, même quand mes larmes coulent par un trop plein de douleur, il rit, non pas pour se moquer de moi ! Ooooh Noooon ! Mais pour me dire : "Ne sois pas triste dans cinq minutes, cette scène deviendra un simple fait de vie qui te fera fantasmer et jouir quand tu ne trouveras pas de suite le sommeil !"

    Je commence donc la description de ce qu'il doit me faire pour que je ressemble le plus possible à la fille de la photo, je crois qu'on peut aller chercher très loin pour trouver plus pervers que cette démarche débile !

    "Mon Maître, il me semblerait logique que vous démarriez votre bondage par me poser un soutien-gorge de corde en enserrant très fortement les bases de mes seins pour les arrondir de suite comme de simples ballons"

    "En effet, c'est ce que je pensais, mais je ne vais pas joindre tes bras et tes poignets avec ces cordes, je ne vais m'occuper que de tes seins, avec deux beaux arrondis serrés devant et une fixation sur tes jolies épaules et ton dos, comme tu l'as dit toi même : un vrai soutien-gorge !"

    Il faudra que je lui pose la question un jour, mais je suis sur que Paul a suivi des cours de bondage soit avec des Chinois soit en Chine, car il est d'une dextérité extraordinaire ! Et moins de 10 minutes après avoir commencé, la corde me rentre dans les épaules, me broie un peu les côtes et mes seins commencent déjà à gonfler en changeant de couleur !

    "Pour le reste, c'est à dire les chevilles et les jambes, je ne peux pas vous guider beaucoup, car, vous avez peut être l'intention de me lier ensemble la cheville et la cuisse du même côté, contrairement à la photo, ou bien d'attacher les poignets et les chevilles en quatre points séparés"

    "C'est exact, tu vas donc t'asseoir très confortablement dans ton fauteuil, le dos contre le dossier, mais le cul un peu avancé vers le bas du fauteuil. Je vais en profiter pour te glisser sous les fesses et les cuisses une sorte d'alèse qui protégera un peu ce fauteuil que j'aime beaucoup, puis, je te guiderai pour le bondage final"

    Je m'exécute, je dois me relever pour qu'il passe le tissu protecteur sous moi, il guide lui même la descente de mes fesses, il constate que ma nuque et mes épaules sont bien appuyées sur le dossier et qu'à partir de mon mont de vénus, mon ventre est à plat contre l'assise du fauteuil.

    Il se relève, satisfait et commence à me lier le côté gauche : il pose mon pied sur le bord extérieur du fauteuil, il fixe solidement un nœud à ma cheville et fait 5 tours de corde, sans me bouger, il fait pareil sur le haut de ma cuisse : un nœud très serré et 5 tours de corde et il va chercher mon poignet gauche qu'il pose entre ma cheville et ma cuisse pour lui faire subir le même sort : un nœud et 5 tours de corde. La seule variante est qu'il lui reste un bon mètre de corde avec lequel il va chercher mon pied nu, entoure très fortement mes orteils et termine par un nœud diabolique.

    Il se redresse, s'assure que toutes les tensions de cordes sont bonnes et se dirige vers mon côté droit où il s'applique à refaire exactement le même schéma de serrage.

    Contrairement au modèle de la photo, je me sens assez libre, bien sur, je ne peux pas déplier mes jambes, mais mes mains et mes doigts peuvent accéder à mon ventre, je peux bouger mes orteils, de même que ma tête et mes épaules. Je peux même cacher mes seins sous mes aisselles et même décoller complètement mon cul du fauteuil en le montant très haut.

    Le terme "liberté surveillée" me vient immédiatement à l'esprit et j'en fais pas à mon Maître qui sourit en me répondant ; "C'est un peu ça en quelque sorte, tu t'étais toi même auto-bondée beaucoup plus durement avant que je n'intervienne !"

    "A présent, voyons ce qu'il reste sur le guéridon comme objets ou gadgets que tu m'avais préconisés : un appareil photo que je vais échanger contre un "reflex" plus sophistiqué, surtout pour les gros plans, un vibromasseur sans fil, noir ébène et très impressionnant, une boite complète de bougies blanches avec un briquet, une cravache courte et un martinet assez dense ! Voici donc des objets que tu m'avoues aimer dans ton subconscient et que tu aimerais que j'utilise sur toi !"

    Note des auteurs :

    Nous avons beaucoup hésité avant d'écrire la séquence qui suit et d'un commun accord, nous avons choisi un compromis qui vous permettra de savoir tout ce qu'Agnès a enduré par amour pour Paul sans trop entrer dans les détails.

    Ne pas parler de ces quelques heures qui ont probablement marquées leur vie de couple aurait été "oublier une page trop importante de cette vie", que nous essayons de décrire mais aussi d'analyser

    Je regardais Paul s'agiter autour d'une grosse boîte noire, déplacer minutieusement une espèce de guéridon très haut, semblable aux "échelles" sur les anciennes plate-formes desquelles on posait un appareil de projection de films "super 8" amateur.

    Qui s'était transformé, avec le progrès, en un superbe "réflex" entièrement automatisé, fixé sur un socle par un pivot qu'il s'amusait à faire bouger avec un petit joy stick qui faisait bouger l'objectif de l'appareil photo selon les ordres du joy stick.

    De temps à autre, je pouvais entendre un Zzzzzzzzzzz étrange que Paul m'a expliqué : "Cet appareil a un zoom très puissant, mais un peu bruyant, qui, comme les autres mouvements de l'appareil se commande avec ce petit boîtier, et tu verras, il fait des photos extraordinaires dont nous allons tapisser notre futur Donjon !

    Il était désormais certain que si quelqu'un ne me connaissait pas intimement avant d'entrer dans cette pièce, il connaîtrait tout de moi en en sortant !

    "Bien, voilà les yeux qui te materont et ceux qui te graveront, occupons nous à présent du spectacle que tu vas leur offrir : tu as choisi un vibromasseur, des bougies éteintes ou allumées, une cravache courte et un martinet assez dense !"

    "Pour éviter de t'imposer quelque chose qui ne te plairait pas, nous allons rester dans la limite de cette liste et essayer d'en tirer le plus de plaisir pour toi, et d'excellentes photos pour ta future exposition de nus !"

    "Mais, je vais voir si ton intelligence est toujours aussi vive même quand tu es offerte comme une poissonnière de Marseille sur ton banc de morues avariées ! Dis moi, ma douce pute du Vieux Port : combien de bougies blanches penses-tu que je vais pouvoir insérer dans tes 3 orifices de pouffiasse ?"

    "Pour être très honnête avec toi, je tiens à te préciser que je m'autoriserai de belles doses de vaseline !"

    Je m'attendais à 10.000 questions pornos, mais vraiment pas à celle-là ! Et je ne peux m'empêcher de rire en le regardant droit dans les yeux, ce qui a le double effet de faire disparaître le petit nuage qui traînait au dessus de nos têtes et de rétablir le dialogue.

    "Au moins, ma question totalement stupide t'aura déridée, c'est déjà ça, mais, cela dit, ça ne t'épargnera pas une réponse précise et si possible savamment calculée !"

    "Calculée ? Oui ! Mais savamment ? Je ne sais pas et j'en doute fort, vous seul pourrez répondre après votre observation clinique et les travaux pratiques de cette question théorique. Bien, mais puisqu'il vous faut une réponse, et je suppose que chaque erreur me coûtera cher, je vais donc vous suggérer : quatre dans la bouche, quatre dans l'anus et cinq dans le con, soit treize si je compte bien !"

    Il se lève, sort treize bougies de leurs boîtes, les pose dans l'espace formé par mes cuisses grandes ouvertes et revient de l'armoire avec un gros pot de vaseline, visiblement acheté pour la circonstance.

    Il s'assied, me doigte distraitement la bouche et la chatte avant de me soulever le cul pour pouvoir me doigter l'anus tout en me disant : "Tu as le choix des pénétrations, ma chérie : je t'écoute !"

    Je réfléchis et place la bouche en dernier, car je ne sais pas si la cire vaselinée et mon palais feront bon ménage, et je lui réponds donc : "Dans l'ordre : con, cul et bouche"

    "Oh, la gourmande, tu gardes la bouche pour la fin, tu comptes donc te régaler ! Allez, au travail !"

    "Donc tu prétends que je vais pouvoir te remplir ta connasse de pute avec cinq bougies ! Eh bien, nous allons très vite le savoir !"

    "Pour te tranquilliser, mon doux amour, je vais t'assurer que tu ne risques rien, je ne vais pas te défoncer le cul ou le con pour essayer de ne pas perdre, si je vois que ça n'entre pas, je te jure que je n'insisterai pas"

    Il répond gentiment à mon sourire et ouvre le pot de vaseline.

    Il prend la première bougie par sa base plate, et l'enfonce dans le pot par la mèche et le bout pointu, en prenant soin de ne pas se vaseliner les deux doigts qui la tiennent en la pinçant.

    Il la fait tourner pour bien l'enduire, et la ressort à quelques centimètres de l'entrée de mon vagin.

    Il l'enfonce sans aucune difficulté dans ma chatte grande ouverte par ma position qui frôle le grand-écart, car en étant assis entre mes cuisses, il m'interdit quasiment toute fermeture de mes cuisses.

    La deuxième entre tellement facilement que je ne la sens même pas, la suivante a un peu plus de mal mais finit par trouver sa place entre les deux premières.

    Je sens que Paul réfléchit, non pas pour savoir comment enfoncer les deux suivantes, mais comment le faire tout en préservant une sorte "d'espace central préservé" pour la dernière, pour qu'il n'y ait aucun risque qu'elle ne puisse pas avoir sa place.

    Il glisse donc la quatrième en maintenant de sa main libre une sorte de demi-cercle formé par les bouts aplatis des trois premières

    et, sans hésiter, ni bouger cette même main, il enfonce la cinquième en se contentant de la faire glisser sur les bords bien vaselinés des quatre autres.

    J'avoue que je commence à sentir la peau de l'entrée de mon vagin terriblement distendue, je ne sais pas ce que ça fait quand on accouche, mais je suppose que ce doit être pire, et ça me rassure un peu, mais je ne peux pas m'empêcher d'hurler :

    "Noooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooon !"

    Quand Paul prend une sixième bougie.

    Il la vaseline longuement dans le pot et la positionne verticalement et dégoulinante de vaseline, juste au dessus de ma moule.

    De sa main libre, il cherche où est le centre des cinq bougies déjà en place, s'assure en faisant bouger chacune d'elles qu'il y a un peu de jeu, et, donc de la place pour la sixième, et sur de lui, il l'enfonce prudemment dans mon con, en la tournant sur elle même, comme s'il la vissait, pour bien écarter les autres.

    Mais elles sont tellement serrées que certaines refusent l'entrée de cette intruse.

    Il s'énerve un peu, et c'est en tapant sur le bout plat de la bougie avec sa main qu'il semble trouver la solution : il prend la cravache courte, qui a un manche en cuir épais et lourd, pose un mouchoir sur le bout de la bougie et commence à la frapper par des petits coups secs avec le manche de la cravache.

    J'hurle de douleur, mais rien n'y fait, il frappe, s'énerve, frappe plus fort, me hurle de faire jouer tous mes muscles vaginaux qui sont au maximum de leurs actions et je craque en éclatant en sanglots alors, qu'enfin, il obtient ce qu'il voulait :

    une mini plantation de six bougies blanches enfoncées par leur mèche et leur bout pointu dans mon réservoir à foutre !

    Je suis sidérée qu'il y soit arrivé, mais je pense que ma douleur ne valait pas la réussite de son pari.

    "Tu connais mal ton corps salope, je savais que ton con pouvait accepter six bougies, alors, tu vas me payer cette erreur en t'envoyant en l'air, j'ose à peine dire seule, car je vais te dévorer du regard sans intervenir et manipuler mon appareil photos pour réussir toutes les photos de toi en train de juter sur ton fauteuil d'esclave !"

    Il se penche, me met dans la main le vibromasseur sans fil, il se lève, prend sa télécommande et me dit simplement : "Tu as le droit à deux actions : frotter tes cuisses l'une contre l'autre dans toutes les positions que tu souhaites, et passer le vibromasseur dans sa vitesse maximum sur tes bouts de mamelles de pouffiasse obscène et indécente !"

    Paul n'avait pas prévu une chose : c'est que je suis tellement excitée qu'à peine le vibro posé sur un de mes tétons, j'éclate d'un orgasme qui couvait depuis quelques longues minutes !

    Il rit en s'avouant surpris mais ne se départit pas pour autant et me dit : "Eh, bien, puisque tu es en forme, tu vas m'en faire deux autres comme ça, le deuxième pour ta punition et le troisième pour mon plaisir de voyeur !"

    J'en ai tellement envie que je ne dis rien, et même si le premier n'a pas été "gigantesque", je décide de changer de position, et pose ma tête sur l'accoudoir de gauche et mes chevilles sur celui de droite, Paul ne m'ayant pas interdit de changer de position, il se contente de tourner un peu mon fauteuil pour avoir ma moule en face de son objectif et j'entends le Zzzzzzzzzzz du zoom.

    Il ne perd pas une miette de mes gestes et de mes attitudes, allant jusqu'à zoomer les contractions et décontractions de mes orteils crispés par le désir de jouir viiiiiiiiiiiiiite et une fois de plus.

    Le second est plus une vague déferlante, je sens qu'il vient de plus loin et met en jeu beaucoup plus d'organes de mon corps : mes tétons sont bandés à fond et me font très mal quand je passe le vibro sur eux, ma moule est bouillonnante.

    Je sens les bougies s'entrechoquer, bien que très serrées les unes contre les autres.

    Il profite d'un petit temps mort dans mes coups de reins pour repositionner l'alèse sur l'accoudoir du fauteuil.

    Je profite de ma bouche libre pour gémir et hurler ma jouissance sans me préoccuper de rien sinon de mon plaisir, et forcément du sien, puisque je jouis pour lui et par lui !

    Le troisième est, comme je m'en doutais, le plus fort et le plus long, chaque fois que j'ai un orgasme aussi long qui secoue mon corps pendant des minutes interminables ou, tout au moins, de très longues secondes, je me rends compte de ce que, nous, femmes multi-orgasmiques, avons comme chance par rapport aux autres femmes beaucoup moins réceptives et bien sur par rapport à nos pauvres amants qui nous envoient tout leur immense amour par l'intermédiaire de quelques minuscules jets de foutre pourtant si agréable et si doux quand on a le plaisir et le loisir de se masser les nichons alors qu'il est encore bien liquide et tiède !

    Paul reprend le jeu en main ! Il me dit : "Ah ! Ma douce chérie, j'ai oublié de te dire que lorsque j'attaquais un autre de tes trous de pute à la bougie, je ne vidais pas celui ou ceux qui étaient pleins ! Désolé pour cet oubli ma chérie !"

    "Tu es une ordure et un salaud, profite bien de cette séance, car c'est la dernière que je t'accorde !"

    Il éclate de rire : "La dernière ???????? Pauvre conne, quand nous aurons fini celle là, je te donne moins de douze heures pour venir me supplier à poil, la moule pleine de ton jus et un martinet à la main, de te faire jouir uniquement avec les lanières du martinet en ne te filmant que le con et ton visage de pute en manque absolu !"

    Il remet le fauteuil à sa place initiale. Il m'agenouille devant le dossier, donc, les seins bondés frottant sur l'étoffe brodée et écarte soigneusement mes cuisses pour bien dégager ma chatte toujours débordante de ses six bougies et ouvre largement mon anus en vaselinant la première et la deuxième bougie qui entrent très facilement.

    La troisième et la quatrième sont un peu peu plus dures, mais, en utilisant le même stratagème que pour le con, Paul "range" les quatre premières en formant une sorte de puits et enfonce la cinquième, encore plus chargée en vaseline, juste au milieu et devant mon étonnant silence, il se contente de m'humilier par un :

    "Même pas un gémissement de plaisir ou de douleur quand la cinquième s'enfonce dans tes intestins ! Tu es une véritable symphonie du cul. Je ne vais pas te torturer pour rien, mais je suis sur que ton cul affamé est capable, tout comme ta connasse, d'en avaler six, espèce de salope insatiable !"

    "Crois-moi quand je t'offrirai à un Maître bien monté ! Je n'oublierai pas de spécifier que tu as un trou du cul sans fond et qu'il te faut parfois deux grosses pines pour être bien pleine !"

    Il me regarde avec un mélange d'ironie et de mépris et se met debout devant mon visage et pose sur le guéridon quatre bougies propres et le pot de vaseline.

    Je redoutais ce moment car je ne savais pas quel goût avait la vaseline, mais Paul, ne s'embête pas avec ce genre de préjugé : il met un gant de chirurgien, passe quatre doigts dans le pot et ramasse un gros tas de vaseline.

    Il me pince les narines de sa main propre, ce qui m'oblige à ouvrir la bouche et me la remplit d'un seul coup avec cette substance au goût atroce qui me fait venir la nausée au bord des lèvres.

    "Je suis sur que tu aimes ça ma chérie, les putes sans tabou disent que ça ressemble à de la merde. Ah ! C'est vrai que tu n'as jamais goûte ton caca, rassure toi ça va vite t'arriver ! Ca fait partie de ton éducation de trou du cul "all inclusive" !"

    "Allez, courage ma douce amie, nous attaquons l'avant dernière ligne droite"

    Il se penche sur mon visage et calmement, comme s'il exécutait une tâche administrative, il m'enfonce les quatre bougies au fond de ma bouche, bien rangées : deux de chaque côté incrustées dans mes joues, laissant ainsi ma bouche à peu près accessible, tout en m'empêchant totalement de parler.

    Puis il me défait avec patience les nœuds qui relient mes poignets à mes chevilles.

    Hum, s'il savait comme je suis heureuse de pouvoir bouger librement mes bras, mes poignets et mes mains !

    Je suis sure qu'il aurait renoncé à son idée !

    Mais, ce qu'il cherche, ce n'est pas de me libérer des fourmis qui courent dans le sang de mes membres restés immobilisés trop longtemps, mais que je puisse récupérer ma "fonction debout" !

    Pour ce faire il continue à me "débonder" et quand il m'a enlevé toutes les cordes, exception faite de mon soutien-gorge de chanvre, il me demande de me lever.

    Mais je suis trop faible et il doit m'aider, car la tête me tourne un peu, mais je finis par pouvoir rester debout sans son aide.

    Il me dirige alors vers la salle de bains et me place devant la double vasque de nos lavabos, il laisse couler l'eau chaude, jusqu'à ce que les deux vasques fument, et les remplit d'eau bouillante.

    Je ne comprends pas ce qu'il veut faire ! M'ébouillanter ? Pourquoi chaque fois que je pense à une humiliation ou à une punition de sa part, je le vois comme un monstre avide de sang et de souffrance ? Il faudra que je règle ce problème un jour ou l'autre !

    Il pose une petite pile de torchon à côté des vasques de même qu'un briquet qui me semble totalement incongru dans ce paysage ! Mais il consent enfin à m'expliquer ce qui va se passer : "Ma chérie si obéissante, tu as à l'heure actuelle six bougies dans le con, cinq dans le cul et quatre dans la bouche, ce qui donne ?"

    Je fais trois fois cinq avec les doigts de ma main droite !

    "Bravo"

    "Je vais te compliquer un peu la tâche, car je ne veux pas que tu touches à celles de ta bouche, et je vais donc prendre cette précaution que tu vas, je suis sur, approuver et adorer !"

    Il se colle à mon dos en me faisant profiter de sa bite toujours aussi dure, m'obligeant même à bouger mon cul pour que je la sente bien chatouiller mes deux globes !

    Il passe un bout de corde entre les lèvres de ma bouche et le tend de toutes ses forces jusqu'à faire un nœud qui me scie le sourire en deux.

    Et me fait très mal aux commissures des lèvres : là où les bougies sont compressées par la corde.

    "Voilà, à présent, tu vas t'enlever une à une les bougies que tu as dans ton ventre : mais, attention : tu choisis ta bougie, tu glisses tes doigts qui vont tout de suite être pleins de vaseline, tu la sors lentement, tu la mets dans la vasque de droite, tu la nettoies bien soigneusement avec l'eau bouillante et quand tu es sure d'avoir enlevé toute la vaseline, tu la jettes dans l'autre vasque dont la température est moindre pour ne pas qu'elle fonde"

    "Quand tu jetteras ta deuxième bougie dans la vasque tiède, tu sortiras la première, tu l'essuieras avec soin, et tu pourras la ranger dans le pot, mèche vers le haut, mais quand tu auras réussi à l'allumer avec le briquet, tu as tout compris salope ?"

    Je fais oui de la tête et approche mon ventre de la vasque la plus chaude : "Tu peux commencer par ton orifice de pute que tu veux, tu as onze bougies à sortir, attaque, je vais mettre l'appareil photo en marche !"

    A part des difficultés pour sortir certaines bougies, trop enfoncées et trop vaselinées et l'eau brûlante de la vasque de "nettoyage", je m'en sors correctement et les bougies s'allument relativement facilement, jusqu'à ce que la onzième trouve sa place dans le gros pot à crayons à côté de ses sœurs et tourne fièrement sa pointe et sa mèche vers le haut comme pour me dire : "Salope, nous sommes prêtes à resservir !"

    "Bravo, tu t'es un peu brûlé les doigts, mais ça n'a pas été trop difficile ! A présent file t'asseoir sur ton fauteuil bien protégé par l'alèse, le con juste au bord du siège, les cuisses posées sur les accoudoirs si possible proches du grand écart, et attends moi tranquillement les mains croisées sur ta tête et les yeux grands ouverts !"

    J'entends le bruit caractéristique d'un homme en train de pisser, je me dis en souriant que c'est la première fois que ça lui arrive pendant une séance ! Celle-ci doit être plus longue que prévue !

    ll revient, toujours nu et bandant comme un cerf ! Mon Dieu comme j'ai envie qu'il me défonce, là, tout de suite, sans un mot, sans me prévenir ! Juste qu'il s'agenouille devant moi et qu'il me défonce la moule avec son pieu en me faisant hurler comme une salope que je suis devenue !

    Le début de mon fantasme se réalise, car il s'agenouille devant moi. Je crois rêver quand il ajuste sa pine au niveau de ma moule dégoulinante, mais, il ne me montre qu'une main : je suis sure qu'il cache quelque chose dans son dos !

    Il me sourit et ouvre sa main cachée devant moi : elle est vide !

    Il éclate de rire et me prévient d'un air qu'il voudrait menaçant :

    "A partir de maintenant, je ne veux pas un seul cri ou un seul mouvement de ta part, je veux - et je ne dis pas je voudrais - que tu gardes en toi tout ce que tu as envie d'exprimer, que ce soit du plaisir, de la jouissance, des jus de femme fontaine, de la douleur, des larmes, des frissons, en bref, tout ce qu'une femme chaudasse comme toi peut ressentir en étant niquée par un Maître qui ne s'occupe que d'une chose : ses jouissances !"

    "Tu as compris, ce que ça veut dire, esclave femelle ? Tu es l'objet de mes jouissances, le réceptacle des jus que je veux bien te donner, mais en cette fin d'après midi, même si tu imploses je ne veux pas sentir que tu t'envoies en l'air, ton tour viendra après et sera beaucoup plus fort !"

    J'ai du mal à me retenir, car, à peine sa phrase terminée, il plonge sa pine dans mon vagin béant et je passe d'un vide sidéral à un remplissage total et profond.

    Ses couilles viennent claquer contre mon cul et mon entrée de vagin, avant qu'il ne se recule pour sortir son pieu et le re-re-re-re-re-re-rentrer encore plus fort, comme s'il voulait me traverser de part en part !

    Dans un délire interne, je rêve d'un pal moyenâgeux qui me traverserait pour ressortir par ma bouche ou par mon trou du cul sous les applaudissements d'une foule compacte qui sait qu'elle va savoir ce que c'est de mourir de plaisir sous les coups de pine de son amant qui veut tout de sa maîtresse et surtout son plaisir total et son dernier souffle de vie !

    Paul est en transes. Lui, qui ne transpire jamais, semble sortir de sa douche. Il me baise sur un rythme quasi insoutenable, il ne me pénètre que lorsqu'il sent que son gland frotte les bords trempés de mon anus, et chaque fois, je ressens son coup de pine comme une épée dans mon ventre alors que de mes deux mains, je tire mes cuisses par en dessous pour encore plus les écarter, essayant d'inventer le "plus que grand écart" pour qu'il ait plus de place, pour que sa chienne soit plus confortable pour que sa pute soit plus vendable !

    Privée de mes sentiments et de leurs manifestations, ma cérébralité va se réfugier dans ma matière grise, et je ne trouve que des insultes, des mots écœurants et des grossièretés pour qualifier ce que je suis en ce moment : une chienne à l'agonie ou un gigantesque clitoris public !

    Il me semble rêver quand Paul cesse ses mouvements, ses couilles baignant dans le jus que ne peut plus contenir ma connasse dégueulante.

    Il passe d'un rythme de marathonien à celui d'un escargot !

    Je le sens bouger en moi comme s'il trempait sa bite dans un verre de cristal délicat et son cri, son hurlement, devrais-je dire, car si proche d'un loup, explose dans notre chambre, s'envole par toutes les imperfections de la construction, s'évapore dans le crépuscule de cet après midi "extra-ordinaire" qui ne peut que "pauser" pour le laisser passer sans lui ôter un "micro-décibel" de sa force !

    Je ne peux, bien sur, pas affirmer, que je ne pouvais pas imaginer qu'un homme pouvait jouir avec cette intensité : ma faible expérience, basée sur une seule relation et quelques dizaines de CD pornos, n'étant pas une base de jugement fiable, mais ce dont je suis sure c'est que je n'oublierai jamais ce hurlement de bête suivi d'une promesse d'amour éternel hurlé par un humain :

    Un grand voile lumineux envahit mes yeux pourtant fermés alors que mon corps se contracte comme si je me congelais en un seul bloc compact d'eau, de chair et de sang.

    Alors qu'il continue à m'ensemencer le ventre, je me pâme sous la jouissance trop profonde qui perdure en moi, perdue au milieu des vibrations jouissives qui cherchent désespérément, comme un coeur de volcan, une issue pour exploser hors de moi et m'éviter l'implosion qui ne pourrait que m'être fatale !

    Et quand je jouis, mon corps ne veut pas que je puisse témoigner de la violence et de la longueur de ces orgasmes qui agrippent férocement les uns aux autres pour former une farandole tellement folle et démente, qu'il préfère me fermer les yeux et m'oblige à m'évanouir pour que d'autres puissent essayer de raconter ce qu'il venait de m'arriver, sans que je ne puisse le raconter moi même, car mon corps qui sait tout, ne peux pas ignorer que personne ne me croirait ! Une chaîne d'orgasmes ??????? Quelle conne !

    Lorsque je reprends connaissance, nous sommes sur notre lit où il m'a étendue entièrement nue

    propre comme un objet de culte et vêtue d'un "déshabillé de nuage" tellement léger qu'il me semble que je flotte au dessus des draps !

    Alors que, petit à petit, le puzzle de mes idées et de mes souvenirs se remet lentement en place, je me rappelle que mon bourreau m'avait offert son orgasme gigantesque ainsi que sa promesse d'amour éternelle, et qu'en échange, je n'ai qu'un seul souvenir : celui d'être morte de plaisir !

    Or, mon bourreau chasse quelques morceaux de nuage et s'installe, comme il aime le faire, la tête entre mes cuisses, pour déposer de doux baisers et d'agiles coups de langue sur mon intimité malmenée.

    Est-ce ce bourreau qui m'a envoyé si haut dans le ciel ? Est-ce cet homme si doux qui m'a déposé ses milliards de spermatozoïdes dans mon ventre de femme pondeuse ? Est-ce cette image d’Apollon qui se délecte des effluves de ma chatte ? Qui cherche de sa langue fouisseuse le mélange de ma liqueur d'amour, de mes jus de femelle vicieuse et de son propre foutre qui ronronne dans mon ventre possessif !

    Et je lui murmure à l'oreille : "Oooooh ! Ouuuuui ! Paul, c'est toi mon seul amour, c'est toi seul qui peut faire ce que tu veux de moi, je suis à toi, car je le veux, car je sais que je suis venue sur terre pour toi, pour te servir, te rendre heureux, désapprendre à te dire non et apprendre à te satisfaire avant que tu n'aies eu le temps de me donner ton envie !"

    Il éclate de rire et change un peu sa caresse en me disant :

    "Ah ! Là tu es dans la mauvaise direction, car, apprendre à satisfaire un homme avant qu'il ne t'ai demandé quoique ce soit, est en effet très dur à apprendre et je ne pense pas avoir ce chapitre dans "Comment transformer mon femme adorable en une vraie salope sans tabou !"

    Je ne peux pas lui répondre, car, en grimaçant, je dois écarter sa main qui repartait à la chasse de mon clitoris devenu trop sensible car toujours bandé et gavé de sang.

    Il comprend de suite et s'excuse en souriant !

    Il sourit toujours quand, lentement, il remonte en rampant vers moi en écartant le plus possible mon déshabillé pour me dénuder au fur et à mesure de sa progression !

    Je ne vois son pieu d'amour qu'au dernier moment, quand il s'agenouille au dessus de moi : il est tendu comme rarement !

    J'en suis même surprise, car après joui et déchargé comme il vient de le faire, il devrait être un peu au repos, mais ce n'est pas le cas, et je n'ai pas l'intention de m'en plaindre !

    Sa lente pénétration au fond de mon ventre est un pur délice.

    J'ai envie de lui au plus profond de moi, je pousse mon ventre pour mieux le sentir me perforer.

    Je remue tout mon corps pour le supplier de me mettre à poil, de m'arracher ce voilage qui m'empêche de sentir quelques millimètres carrés de sa peau !

    Je soulève mes jambes et les passe derrière son dos pour ouvrir encore plus ma moule juteuse à ses assauts virils.

    Chacun de ses mouvements est un immense plaisir, il est doux, il est calmé, il n'a plus sa frénésie infernale qui le guidait tout à l'heure : l'homme a triomphé de ma bête, mais je n'ose pas lui dire qu'à ce moment précis, entre les deux je ne saurai lequel choisir !

    La fatigue, la tension nerveuse extrême de ce moment inoubliable que nous venons de vivre, mes peurs qui se sont mélangées à mes joies de petite fille ou de femme trop mure, la puissance de nos jouissances qui, en fait, se résument à une seule et unique pour les deux, avec des durées et des intensités que nous ne connaissions pas, et que nous ne cherchions même pas !

    Tout ce fatras de dons divins, de vices sado et maso, d'exagérations et d'exaspérations de nos ressentis me font craquer.

    Je laisse Paul me baiser à la vitesse qui lui convient, à la profondeur qu'il veut atteindre et déclencher, s'il le désire mon orgasme : quand il le voudra dans cinq, dis minutes ou jamais !

    De mes yeux ne coulent que des larmes de bonheur d'une femme comblée qui sait très bien qu'avoir la bite de son homme qui coulisse dans son con trempé est déjà une grande jouissance !

    Mes bras autour de son cou, ma joue collée contre sa poitrine, si fort que je donne l'impression de vouloir faire corps avec elle.

    Je m'abandonne à mon "Docteur Paul Jekyll" que j'aime de toute mon âme, et qui est en train de faire monter en moi un orgasme pur et presque romantique à force de me pilonner la chatte avec son pieu de bois dur !

    Et, ce, sans redouter un seul instant, et même, en attendant avec impatience que son double, le mystérieux "Mister Paul Hyde" que je suis la seule à connaître, plus qu'intimement, ne vienne pour transformer nos fantasmes, nos rêves et nos envies les plus secrètes, de celles qu'on "ne dit pas", en des faits réels qui nous transportent dans des mondes extra-galactiques ou tout est faisable et tout est admis entre des adultes consentants !

    Je sens son corps tout entier se bander comme un arc, il sort de moins en moins son sexe de mon vagin, il fonctionne au ralenti, il attend, et je sais ce qu'il veut de moi !

    J'en suis très fière, je manque fauter en le lui disant, mais j'ai le bon réflexe et je me tais en fermant mes yeux et en le serrant encore plus fort entre mes bras et mes jambes pour lui offrir ce qu'il attend de moi : le partage dans une osmose totale des sursauts de notre bonheur et de notre jouissance commune et simultanée !

    Lorsqu'il s'abandonne en moi, comme un petit garçon, pour chercher mon étreinte ferme et sentir la moindre parcelle de ma peau contre la sienne : nous sommes unis l'un à l'autre en un seul sexe, en une seule âme, et avec l'aide de Dieu en un seul amour !

    Respectueusement, comme à son habitude, il souhaite se retirer pour ne pas m'imposer le poids de son corps sur le mien, mais il est hors de question qu'il s'en aille, même pour s'étendre à côté de moi.

    Je le veux en moi, sur moi, car je ne suis pas encore, et je ne serai jamais rassasiée de son corps ni de son sexe !

    Fier d'être le prisonnier consentant de mes jambes et de mes bras unis, il n'allume aucune lumière alors que le crépuscule a terminé d'achever ce si beau jour d'amour. La lumière d'une magnifique pleine lune envahit notre lit d'amour et de passions, sur lequel, toujours enlacés, nous sombrons dans une douce somnolence, sans aucunement nous soucier de l'heure

    Nous nous réveillons alors que la grosse horloge comtoise du salon sonne dix coups. 
    Je ne sais même pas combien de temps nous avons dormi, mais je sais que j'en avais besoin et je me sens si bien.

    Je suis allongée à côté de Paul qui grogne comme un gamin car il veut encore dormir !

    Je me penche sur lui, l'abreuve de baisers humides qu'il essaye de chasser comme des moustiques sans ouvrir les yeux,et lui propose un deal qu'il ne va pas pouvoir refuser :

    "Je vais te laisser dormir un peu plus, je vais préparer un plateau télé, choisir, pour une fois un CD qui me fera envie, et quand tout sera préparé, je viendrai te chercher pour que tu te traînes jusqu'au canapé où tu pourras, si tu en as encore envie, continuer à dormir, MAIS, je vais te préciser que je vais faire tout ça ENTIÈREMENT A POIL ! Alors si tu continues à dormir, ce n'est pas grave, j'irai me chercher un compagnon de film dans l'armoire magique !"

    Une main lasse sort des draps et me fait "ok" avec son pouce, et il se rendort de suite !

    Je lui claque gentiment le cul nu, me lève, et, comme promis, je ne mets rien et me dirige vers la cuisine. Un petit quart d'heure plus tard, j'ai préparé un plateau conséquent avec une bonne bouteille de son vin préféré, et je vais poser tout ça sur la table du salon entre le canapé et la télé.

    La cédé-thèque est dans son bureau à l'étage, pas très loin de la salle de bains, je me dis que ce serait une bonne chose de me laver un peu, et je prends rapidement une douche qui me revigore et, je ne sais absolument pas pourquoi m'excite ! Comme dit Paul, ça fait partie de mon caractère de mouiller pour un rien !

    Chic ! Puisque c'est dans mes gênes, je n'y suis pour rien !

    En sifflotant je rentre dans le bureau de Paul en laissant des empreintes de pieds nus sur le parquet, mais il commence à faire chaud et ça va vite sécher !

    Je m'assieds sur un pouf face à la cédé-thèque qui a un système de recherche informatisé, je vais donc chercher un film français, pffff plus de 1.000, pour adulte ou interdit aux moins de 18 ou de 16 ans, oups, je tombe à 150 ! Je ne sais pas que chercher comme thème et je demande le menu parmi lequel je vois "prostitution occasionnelle".

    Je réfléchis et je pense que nous n'avons jamais vu un film de ce genre, je clique donc et trouve deux solutions, une de bdsm que j'écarte et l'autre qui s'appelle "La Dérobade" avec Miou Miou. Je ne savais même pas que cette actrice avait tourné un film sur ce thème ! Mais, à vrai dire, il y a longtemps : en 1979 !

    Je découvre qu'elle joue avec Maria Schneider, la célèbre actrice du "Dernier tango à Paris" avec cette scène assez hallucinante où cette superbe jeune femme se fait enculer grâce à une bonne ration de beurre ! Comme quoi, il n'y a pas que moi qui aime avoir la bite de Paul dans le cul !

    Le scénario est simple : Marie (Miou Miou) est une jeune femme issue d'une famille d'ouvriers qui tombe amoureuse d'un certain Gérard, avant de découvrir qu'il est un dangereux et sadique mac. Il la bat et la viole régulièrement, mais elle tente de s'enfuir pour retrouver pour retrouver le contrôle de son corps et de sa vie. Il y a même deux photos disponibles comme illustrations que je publie dans ce journal :

    La Dérobade 1 "Miou Miou nue"

    "Agnès" Tome 04

    La Dérobade 2 "Miou Miou seins nus"

    "Agnès" Tome 04

    Je pense que ce film, interdit aux moins de 16 ans sera parfait et comportera un nombre correct de scènes de cul justifiées par le scénario, ce qui n'est vraiment pas le cas de tous les films dits "pornos" !

    Je ne demande pas son envoi sur la télé du salon, mais je fais comme Paul m'a enseigné : je grave un CD que je descends avec moi. Je retourne au salon, vérifie que tout est bien ordonné et je vais réveiller mon homme en m'agenouillant au dessus de lui et en laissant pendre mes seins devant ses yeux en lui murmurant : "La soirée est prête à commencer, mon amour, réveille toi !"

    J'ai beaucoup de mal à lui arracher mes seins de ses mains et c'est en courant que je vais me cacher dans le salon ou il me suit avec sa bite déjà au garde à vous !

    Quand il voit ce que j'ai préparé et le titre du film sélectionné qu'il a déjà vu il y a très longtemps et qu'il avait trouvé très bien, il se calme un peu, et je prétexte qu'il ne fait pas chaud pour m'envelopper dans un très grand châle espagnol coloré, et cacher un peu ma nudité ce que Paul ne peut pas comprendre : il me dit très souvent : "Je pourrais dessiner de mémoire ton clitoris au repos et en érection, mais tu te refuses à ce que je te vois nue si ce n'est pas pour baiser ! Il doit y avoir un de tes neurones qui buggue, il va falloir aller consulter !"

    Mais il reconnait que chaque fois qu'il redécouvre mon corps pour l'utiliser, il est enchanté de le dénuder et de savourer chaque morceau de peau qu'il découvre ou re-découvre !

    Donc ! Qui a raison ? On ne le saura jamais !

    Le vin était délicieux, les amuse-gueules pas très réussis, mais j'ai des progrès à faire en cuisine et je le sais.

    Mais Paul me dit souvent : "Ne t'occupe pas de la cuisine, je peux embaucher un chef, mais si un jour je dois embaucher ta remplaçante pour baiser, tu risques de me faire la gueule ! Alors laisse tomber la cuisine !"

    Mais, ce que Paul ne sait pas c'est que Rafaël me donne en secret des cours de cuisine et que dans deux ou trois mois, je ferai la cuisine pour toute la bande, Paul en tête, en faisant croire que ça vient d'un traiteur ! Et j'attends, que, ce jour là, Paul me demande l'adresse du traiteur car il s'était régalé !

    Et le film était très bien, un vrai film de "vie" avec une vraie histoire et pas un enchaînement d'images de cul.
    Bien sur, en étant collés l'un contre l'autre dans le canapé, lui à poil et moi à moitié nue, nous avons fait quelques gros câlins pendant le film, et je me rappelle même avec amusement que j'avais proposé à Paul de lui faire une pipe le cul tourné au film, alors qu'il me racontait une scène d'amour entre Miou Miou et un de ses clients, lavage de bite inclus !

    Quand Paul me demande ; "Alors, trésor, comment as-tu trouvé le film ?" Je ne lui réponds pas directement mais je prends sa main droite et guide 3 de ses doigts vers ma chatte, trempée !

    Il éclate de rire et me cingle avec un :

    "Ca ne veut rien dire du tout ! Même un navet te ferait mouiller, non pas comme un légume, mais comme une chose consistante que tu pourrais t'enfiler dans le cul ou dans le con"

    et donc un navet te ferait mouiller comme une cochonne, mais, après tout c'est ce que tu es ! Pourquoi chercher plus loin ?"

    "La cochonne et le salaud ! Tu as ça dans ta cédé-thèque ?"

    "Bon, allez, ça va, je disais ça pour plaisanter, je vois que le film t'a plu, c'est le principal"

    "Puis-je te demander si tu as utilisé la prostitution dans tes fantasmes avant de me connaître ou même maintenant que tu deviens peu à peu "une femme complète" ?"

    Voyant qu'il était revenu sur un tempo plus badin, je lui avoue sans mentir que ce fantasme de louer son corps contre de l'argent revient souvent dans mes rares plaisirs solitaires ou dans des idées de jeux érotiques envisageables.

    Et pour bien le lui prouver, je l'aguiche en usant les mêmes mots que les filles dans les scènes de racolage.

    Il se dégage doucement et me lance :

    "J'ai bien envie de satisfaire tes idées ou tes envies de prostitution, de te voir porter des tenues sexy et de te regarder agir en faisant semblant de faire ce métier !"

    "Eh, Paul, arrête ! Tu me fais un peu peur là !"
    "Ne t'inquiètes pas et fais-moi confiance, comme tu le fais si souvent !"

    "Oui, mais, du calme, dis-moi d'abord ce que tu penses !"
    "Non ! Tu ne vas pas recommencer tes simagrées : si tu me fais confiance, on fonce et le jeu commence tout de suite, sinon tant pis pour toi et pour la réalisation de ce fantasme, on verra ça un autre jour !"
    "Mais, mon amour, je fantasme, certes, mais je ne veux pas faire l'amour avec d'autres hommes que toi, pour m'obliger à faire ça, il ne faudrait pas m'attacher ! Il faudrait me crucifier !"

    "Tu as mal entendu le début de notre conversation : je te jure et je t'assure que personne d'autre que moi ne te touchera. Tu as ma parole formelle, par contre, je te promets, encore une fois, de nouvelles sensations et beaucoup de plaisir si tu acceptes de faire ce que je te demande sans discuter. Nous jouons ? Ou pas ?"

    Je dois reconnaître que le film ne m'a pas laissée indifférente et que les scènes des caresses vicieuses et intimes de clients qui tâtent la marchandise humaine, avant de la louer, déclenchent en moi un désir fou.

    Je sais que Paul ne m'en dira pas plus.

    Mais je sais aussi qu'il n'a jamais trahi une promesse faite.

    Après tout, comme d'habitude, pourquoi ne pas aller vers l'attrait d'un monde inconnu ? Puisque sa seule évocation et quelques images ou scènes ont provoqué chez moi des pensées des plus perverses. Et ont mis mes sens en effervescence.

    Surtout que le contact déloyal de la main de Paul sur mes muqueuses brûlantes et largement plus qu'humides, déclenche à cet instant précis, ma petite fontaine, salisseuse invétérée de petites culottes, nichée au confluent de mes cuisses.
    Paul se moque gentiment de moi : "Enfin, Agnès, regarde-toi, tu es toute émoustillée comme à chaque fois que tu sais qu'on va jouer ! Je sais que tu as décidé de dire oui ! Tu sais que tu vas dire oui ! Ton corps te réclame de dire oui !"

    Et il rajoute un peu plus sévère : "Je te mets en garde, mon trésor, à la longue ce jeu de minauderie peut être lassant pour moi : tu es couverte par une promesse formelle de ma part : douterais-tu de MA promesse ? Cite moi UNE fois où je n'ai pas tenu ma promesse, si, bien sur tu en trouves une ! Comme d'habitude, je vais répondre pour nous deux à la fois : nous allons jouer ! Lève-toi et suis moi !"

    Il se lève, me redit une dernière fois : "Réfléchis bien, à ce que je viens de te dire, tu sais très bien à présent que rien ne t'effraye dans le monde du bdsm car tu as un guide qui te connait, qui t'aime plus que tout et qui ne te trahira jamais"

    "Mais, attention, toute corde trop tendue finit par lâcher : lassitude d'un crin crin trop entendu, réactions identiques à la centième action identique proposée, insuffisance du poids d'une promesse. Oh non, bien sur ça ne tuera pas l'amour, mais ça peut peut être le blesser, autant que cette blessure ne s'ouvre jamais dans le nôtre !"

    Je le suis dans les escaliers grinçants, ses paroles résonnent dans ma tête. Je ne dis plus rien, me contentant simplement de me laisser guider. Tout en réalisant qu'il a entièrement raison et qu'il a usé de beaucoup de patience avec moi depuis que nous nous connaissons et qu'il serait temps que j'oublie ce qu'il appelle mes minauderies de dernières minutes qui ne servent à rien !

    Il redevient guilleret en ouvrant mes placards : "Allez, ma chérie, souris moi, nous allons à la fête, et nous allons choisir ton costume !"

    Il fouille dans mes sous-vêtements qu'il connait mieux que mes vêtements, car ce sont quasiment tous des cadeaux de sa part !

    Comme si nous étions aux Galeries Lafayette, il m'annonce d'une voix robotisée :

    "1er étage, tout ce qu'il faut cacher un peu le corps bandant de Madame" et il commence à fouiller et à choisir : un très beau soutien-gorge "La Perla", sans bretelles, en soie et dentelle laissant visible la totalité du haut des seins, comme offerts sur un plateau ! Puis il passe à un superbe porte jarrettelle en cuir noir qu'il assortit avec des bas gris foncés, presque noirs et légèrement scintillants, avec deux coutures noires brodées au centre de l'arrière de chaque cuisse. Je ne suis pas outre mesure surprise qu'il ne choisisse aucune culotte, ne serait-ce qu'un string, je sais pas expérience qu'il aime me savoir nue et totalement accessible plutôt que déguisée avec une espèce de fil dans la raie des fesses !

    Non, il n'y aura pas de culotte petite ou grande, tanga ou string dans ma tenue car : "A présent, nous montons au 2ème étage pour découvrir les nouveautés en cuir qui finiront de rendre votre femme Reine de la soirée !"

    Au rayon des jupes, je préfèrerais dire "jupettes", il en déniche une bien trop courte, qui, au moindre mouvement que je ferai pour me baisser prouvera à tout l'entourage que je suis réellement "cul-nu".

    En la positionnant sur moi, il constate lui même qu'elle m'arrive tout juste à mi-cuisses et ne pourra en aucun cas cacher les fins liserés de dentelle noire des bas assortis aux coutures.

    Ses choix enflammeraient les sens d'un régiment entier, ainsi que, soyons honnête : les miens !

    Plaqué contre mon dos, il me dévore le cou de baisers voraces et gourmands, tout en faisant glisser lentement avec ses lèvres, mon beau châle espagnol, qui ne va pas tarder à choir au sol pour dévoiler ma nudité complète !

    Peu à peu, au fil de ses coups d’œil entre la pièce d'habillement choisie et la partie dénudée de mon corps qu'elle se doit de recouvrir, j'ai l'impression d'entrer dans mon rôle et j'en éprouve de troublants émois et des réactions classiques au niveau de mon bas-ventre ! Par exemple quand il m'aide à agrafer mon mini soutien-gorge et qu'il positionne lui même mes seins et mes tétons comme sur un étal de marché !

    Pendant que j'enfile les bas noirs et les clipse aux portes-jarretelles, Paul m'avoue qu'il lui manque deux pièces pour terminer de me préparer. Mais il ne juge pas utile de me demander conseil, donc, je le laisse se débrouiller tout en enfilant ma mini-jupe et en constatant dans la psyché l'étendue des dégâts et de l'obscénité de ma tenue.

    Toutefois : me mettre en tenue, presqu'en uniforme, pour un jeu porno fait partie intégrante de mon plaisir. Et la totalité de mes pensées va directement dans la direction des obscénités, de l'indécence et de la perversité, voilà tout au moins comment je vois le fantasme de la prostitution, pour le moment !

    L'habit ne fait pas le moine ? C'est faux, ultra faux ! Quand je m'habille pour être une cochonne ? Je deviens une cochonne ! Si je devais m'habiller en moine, je DEVIENDRAI moine ! Na !

    En fouillant dans une autre armoire, Paul, découvre les deux pièces qui manquent à son puzzle "artistique" : il semble revenir d'une caverne d'Ali-Baba mal rangée avec LA perle rare à la main : un génial petit boléro court en agneau, qui a deux particularités intéressantes : il est TOTALEMENT démodé et il n'a aucun système de fermeture, ce qui veut dire que tout ce qu'il est censé cacher est totalement visible ! Qui a osé appeler ce "machin" un vêtement ?

    Je l'enfile, il est aux anges, c'est exactement ce qu'il me fallait ! Pour mes chaussures, il préfère me demander conseil, et voudrais que je lui trouve des escarpins fermés, en cuir rouge, avec deux petits lacets assortis pour ceinturer mes chevilles et des talons d'environ huit centimètres de hauteur, donc raisonnables.

    Bien sur, je lui trouve ça de suite, et lui demande si il veut choisir un manteau ?

    "Il me répond, que c'est déjà fait, et qu'il m'attend en bas !"

    De son côté, il s'habille légèrement en sportswear avec un très beau blouson de cuir marron que je ne lui connaissais pas.

    En sortant de la chambre il me dit : "Je vais sortir la voiture, tu as cinq petites minutes pour te mettre un peu de rouge sur les lèvres, te rafraîchir et te donner un coup de peigne : tu es magnifique ! Je te retrouve sur le perron"

    En arrivant dans le hall, il m'attend, et j'entends le bruit du moteur.

    Il me contemple : les escarpins rouges allongent considérablement mes jambes, mon boléro, qui ne cache pas grand chose, donnerait envie à tout un chacun d'en écarter les bords pour étaler ma poitrine et mes bouts de nichons tendus et bandés !

    La jupette et les bas font un écrin idéal pour ma chatte qui est visible comme la pleine lune de ce soir, à chacun de mes pas, tandis que je suppose que mes nichons proposés comme pour une vente de produits bien juteux à sucer, sont prêts à réveiller les envies d'une armée d'impuissants quand ils les verront trembler dans leurs écrins de dentelle et de soie.

    Paul me tend une simple veste, alors que j'attendais un vêtement plus ample, style manteau. Je me sens devenir cramoisie et j'arrive à balbutier d'une voix quasiment inaudible : "Mais, Paul, je ne peux pas sortir habillée comme ça !"

    Il semble se mettre en colère mais se retient de me crier dessus et me dit simplement : "Il est plus d'une heure du matin, personne ne risque de te voir ! Tu serais gentille de ne plus discuter inutilement ! Allez enfile cette veste, nous partons !"

    Dans ma tête tout se bouscule. Même si j'aime la volupté des jeux de domination et de soumission, et que je sais parfaitement que je vais adorer ce qu'il m'a préparé, à cet instant précis, mon disque dur a buggué et je me sens clouée sur place.

    Paul est obligé de me poser la veste sur les épaules et de me pousser vers la voiture dans laquelle il m'aide à monter.

    Malgré tous ses discours, toutes ses promesses et toutes ces fois où ses jeux se sont super bien déroulés, je ressens que je suis en train de faire une connerie, ma gorge est serrée et je suis très mal dans ma peau, ainsi que dans mon costume, tout au moins si on peut appeler ce que je porte un costume !

    Dans la voiture, Paul cherche à me rassurer et me dit regretter d'avoir été trop dur avec moi. Il me supplie de me laisser le guider et surtout de ne pas avoir peur et me propose même de tout arrêter et de rentrer à la maison.

    Je me penche vers lui, l'embrasse tendrement sur la joue et le rassure en lui murmurant à l'oreille : "Tu sais bien mon coeur, que parfois, il faut me forcer un peu, roule, ne t'occupe pas de ta pleurnicharde, il paraît que ça me passera à la ménopause !"

    Enfin, nous sommes à l'unisson pour ce nouveau jeu

    Comme nous habitons dans la grande banlieue lyonnaise, nous sommes rapidement dans la campagne, mais je ne sais pas du tout où nous sommes.

    Je me sens dans le "presque noir" d'une salle de cinéma, je vois défiler des arbres, des panneaux de signalisation, des croisements et des glissières juste éclairés par les phares puissants de la voiture et par le satellite de notre planète bleue.
    Ce semi-noir me va bien, car il est le bienvenu pour cacher ma tenue indécente et j'y suis, sous la protection totale de Paul.

    Alors que mes pensées gambadent sur mon éventuel futur immédiat que je suis dans l'incapacité d'imaginer,

    Paul pose sa main droite sur ma jambe, au ras de ma mini-jupe, me faisant presque sursauter. Sans dire un mot, il me caresse une cuisse nue, au dessus des bas et force ma jupe à remonter pour que je puisse écarter un peu les cuisses.

    Un long et délicieux frisson me parcourt, et comme dans un réflexe pavlovien mes jambes s'écartent d'elles même, mais sa main s'arrête juste à l'orée de la zone humide de mon oasis.

    Oooooh, comme j'aime jouer dans ses pièces de théâtre qu'il sait magnifiquement mettre en scène d'une manière à la fois sensuelle et réelle, mais aussi cérébrale et tellement imaginative.

    Je réalise qu'en fait, ma peur est ré-apparue quand nous avons quitté la maison, mais comme Paul me l'a répété ce soir, je crois que je devrai vite m'habituer pour ne pas le lasser ou le contrarier !

    L'idée de me rebeller ne m'est pas venue un seul instant, car je l'aime trop pour prendre le risque de le décevoir ou de lui déplaire. Nous savons tous les deux qu'au niveau de complicité auquel nous sommes arrivés, je le suivrais en enfer s'il le fallait et que je lui dirai toujours oui, car ma confiance en lui est totale, de même que mon besoin irrationnel de me laisser conduire vers des situations bdsm qu'il connaît bien, contrairement à moi qui en ignore tout.

    Il sent que je suis plus détendue, sa main sur le haut de mes cuisses n'a rien de sexuel, elle se veut simplement apaisante. Je fonds littéralement sous cette douceur qui dans la situation présente me rassure mais exacerbe d'une manière totalement inconvenante mon masochisme.

    Le noir me permet de rougir incognito de l'obscénité de la demande que j'ai failli lui faire, je me tasse de honte dans le moelleux de mon siège de cuir. Une voiture nous suit un instant, ses phares éclairent

    l'habitacle et mes cuisses ouvertes, qu'heureusement le conducteur ne peut pas voir.

    Paul quitte une route qui semblait nationale pour en prendre une plus petite fléchée "La forêt des étangs" que je ne connais toujours pas ! Un léger brouillard annonce en fait que nous entrons dans une zone humide. La voiture franchit une petite colline et

    "Devant nous apparaît une zone étrange, presque irréelle, surtout avec l'éclairage majestueux de cette pleine lune radieuse. C'est en fait une immense forêt dans laquelle sont restés nichés des étangs de différentes surfaces, mais chacun d'entre eux tient à refléter sa lune ! Ce qui procure cette vision féerique"

    Je dis à Paul : "Quel beau spectacle, c'est splendide ! J'ai honte de ne pas connaître cet endroit alors que je vis depuis 20 ans à moins de 50 kilomètres !"

    Paul rit : "Mon trésor, tu n'as pas à te fustiger, je l'ai découvert aussi il y a un peu plus de 4 ans, mais pour une toute autre raison que ce beau spectacle de reflets d'eau et de sombreur de forêt !" "Ah ! Tu y es venu pêcher avec ton papa ?"

    Paul sourit : "Pêcher, tu te rapproches ! Laisse moi te raconter, tu n'as aucune chance de trouver : j'étais dans mes hautes études et j'avais des amis qui une fois par mois aimaient se détendre, moi je préférais réviser et lire, mais, une fois, j'ai accepté de venir avec eux. Nos parents étaient tous d'un haut niveau financier, donc nous n'étions pas gênés de ce côté là et ils m'ont conduit ici et se sont arrêtés à peu près où nous sommes pour m'expliquer ce que je vais t'expliquer !"

    "Hummmm, passionnant, parle vite mon amour, je suis suspendue à tes lèvres !" "Donc dans ce site appelé "La forêt des étangs", toutes les nuits de pleine lune, des couples lyonnais relativement bourgeois de tous âges ont pris l'habitude de venir à partir de minuit"

    "Au départ, il n'était pas question d'argent, ils venaient pour du libertinage : ce qui veut dire ma chérie ?"

    "Échanger leur compagne contre celle d'un autre !"

    "Bravo ! Ou du mélangisme, qui est ?"

    "Des plans à 3 ou 4 ou à plus ce qui devient des partouzes !"

    "Tu es une championne ! Tu sais ce que nous allons faire : je vais rejoindre la forêt, tu peux voir qu'il y a beaucoup de voitures aux balayages des lueurs de leurs phares, donc c'est la bonne heure pour "pêcher", c'est ce qui m'a fait rire tout à l'heure dans ta suggestion ! Nous y serons dans 5 minutes, pendant ce temps là,

    "Je te suggère d’ôter ta veste, et de continuer à m'écouter en te frottant les cuisses pour te faire du bien et en faisant bander tes bouts de mamelles, je veux être fier de toi quand nous serons sur place !"

    Il démarre sans rien dire de plus, je fais ce qu'il me demande, et dès que je sens la chaleur de mes cuisses qui se caressent doucement et mes tétons réagir comme de bons petits soldats aux exigences de mes doigts et de mes ongles, je me sens en parfait harmonie pour écouter la suite de ce récit magnifique dans lequel forcément, je vais avoir droit à mon rôle écrit sur mesure : car personne ne me baisera ! Mais mon amour pourra me remplir tous les trous autant de fois qu'il le voudra ! Na !

    "Tout s'est toujours bien passé, pour plusieurs raisons, car les étudiants ont créé ce qu'on appelle "une milice de modérateurs" sur le web pour essayer de régler tous les litiges à l'amiable, d'empêcher des professionnelles d'entrer dans certains zones, puisque, bien sur, ils ne pouvaient pas contrôler toute la forêt, et en plus, la police ne vient jamais ici, sauf si elle est appelée en cas de problème grave, et tu sais pourquoi, mon puits de science ?"

    "Oooooooh, tu es un monstre, tu me demandes de réfléchir alors que je me retiens de gémir de plaisir sous mes caresses de salope excitée comme une sale cochonne !"

    "Réponds salope ou tu descends et je repasse dans une heure !" "Tu es un tel salaud que tu serais capable de le faire et même de me piquer les sous que j'aurais gagné !" "Tu es sure que quelqu'un accepterait de te payer ? Moi j'en doute !" "Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr, je vais t'arracher un œil !"

    "La police ne vient pas de peur de trouver le préfet, le pantalon aux chevilles en train d'enculer Madame le Maire sur le capot de sa voiture de fonction ! Sur que pour un mongolien ce n'était pas facile à trouver ! Ignare ! Âne bâté ! Mais si bien monté ! Que j'aime tant !"

    "Bravo, mon puits de savoir ! En plus les milices estudiantines qui se sont développées au fil des ans ont réussi à créer 5 zones distinctes : l'échangisme et le libertinage très surveillés et bien fréquentés, le bdsm lui aussi très surveillé, la prostitution occasionnelle très contrôlée pour éviter les impostures et la prostitution professionnelle libre d'accès" "Et, à ta demande, ils ont créé un 6ème quartier : pour Agnès, pute occasionnelle extrêmement surveillée par son unique client !" "En effet, mais ils ont exigé que l'on bande les yeux de tous les hommes ce soir, mais je ne sais pas si l'e-mail collectif est bien arrivé !"

    "Salaud, tu veux m'exhiber ? Eh bien qu'attends-tu nous sommes arrivés !"

    "Tu ne peux pas parler plus juste, nous sommes au coeur du quartier des prostituées occasionnelles, donc tu n'auras pas d'ennui avec des pros et tu seras bien accueillies par des étudiantes, parfois même des collégiennes, des apprenties, des secrétaires, des coiffeuses ou même de simple chômeuses bardées ou non de diplômes. Tu vois l'embranchement où nous arrivons ?"

    "Oui à 200 mètres devant nous !" "Ce carrefour a été appelé "La place de l'Etoile", car six chemins s'y croisent, c'est le coeur de ce quartier de non pro, j'ai une superbe place de suite à gauche qu'il ne faut pas que je rate, comme ça j'aurai une vue panoramique sur tout le carrefour où tu vois cinq jeunes femmes qui draguent"

    "Dès que je serai garé, tu vas te joindre à elles, te présenter, mieux vaut sous un faux prénom, j'ai pensé à un que j'aime beaucoup et qui n'est pas fréquent : Yvelines ? Il te convient ?" "Oui, pourquoi pas, c'est sympa" "Ok, va pour Yvelines, dis leur que tu viens ici pour réaliser le fantasme de la pute mais sans baiser, donc, elles n'ont pas de souci à se faire pour leurs clients et tu verras bien comment ça se passe. Moi je reste dans la voiture, veilleuses allumées, mais au moindre souci, tu jettes tes escarpins et tu cours me rejoindre, on y va ?"

     

    Suite dans "Agnès" Tome 5 >


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