• Cathy et Loré 2

    "Cathy et Loré

    2016 > 2/3"

    « Bonjour, Mesdames, je vous en prie… ». Le restaurant est éclairé uniquement par des bougies. Une serveuse souriante et très naturelle malgré ses seins nus vérifie la carte de membre que lui tend Cathy et nous place à une table où il y a déjà des clients assis. « Enlève ton manteau, putain, et donne le à la serveuse… ».

    Mon visage tourne au rouge cramoisi quand je suis obligée de me montrer...

    ...nue devant toute la salle… Je m’assieds à ma place sous le regard mi ironique mi vicieux de Cathy et j’avoue, qu’à ce jour, je ne sais toujours pas ce que j’ai mangé. Nous en sommes au dessert quand un homme s’approche de Cathy et lui murmure quelques mots à l’oreille. Elle approuve en riant et l’homme prend ma laisse...

    et m’entraîne entre les tables où il me demande de retirer mes chaussures, mes bas et de me mettre en levrette. Et c’est en plein milieu du restaurant que je sens sa bite sans protection se poser sur mon anus avant de m’enculer d’un seul coup de rein...

     

    ...et de jouir après quelques allers et retours rapides dans mes intestins... Cramoisie de honte, je me rhabille et me rassieds à ma place… « Tu es une bonne petite enculée ma pute ! Tu vois que les hommes préfèrent ton cul à ton con, ce sont des connaisseurs ! »... Je baisse la tête, car toute la tablée a entendu cette réflexion cinglante et obscène…

    Chapitre 8

    Un bel athlète noir s’approche de notre table : « Cette pute nous plait à mon copain et à moi… Quel est ton prix pour qu’on la partouze dans le petit salon ? » Cathy rit… « Je crois que dans ce restaurant il n’est pas question d’argent… Donc si vous voulez la baiser allez-y, je ne mettrais qu’une seule condition : c’est de pouvoir filmer… Je suppose que ça ne vous dérange pas »... Le noir éclate de rire en lui répondant qu’il s’en fout totalement… Cathy se lève, m’ordonne d’en faire autant et, après avoir traversé toute la salle, qui sait parfaitement ce que je vais faire avec ces deux noirs, nous entrons dans un salon douillet. Sans un mot les noirs se déshabillent et l’un des deux me dit simplement : « A poil putain… et j’espère que tu aimes les grosses pines ! »

    En les regardant toutes les deux au repos, je peux imaginer avec quels genres de monstres je vais devoir jouer… Mais, pour Cathy, je vais jouer le jeu alors que les deux noirs se mettent de suite à l’œuvre en m’obligeant à m’accroupir chatte ouverte…

     

    avant de tester la résistance de ma bouche qui, distendue à l’extrême, arrive tout de même à en pomper un...

       

    Avant de réaliser la prédiction de Cathy, qui décidément a raison, les hommes préfèrent mon cul et les noirs ne se privent pas de m’enculer sans précaution particulière.

      

     

    Et de profiter simultanément de mon cul béant et de ma bouche...

    et de me faire hurler de plaisir en m’enculant et en me baisant en même temps...

    Ils rient de mon orgasme en confirmant à Cathy que je suis une bonne salope bien chaude avant de se faire sucer les deux bites en même temps par ma petite bouche...

    qui avale ce qu’elle peut de ces deux monstres… L’un des deux me tapote sur la tête en se rhabillant : « tu es une bonne chienne et on sent que tu aimes la bite ! Ce n’est pas comme ces putains que nous sommes obligés de baiser car elles sont les seules à être assez larges pour pouvoir accueillir nos pines ! ». Ils saluent Cathy et s’en vont… Elle me fait me rhabiller… Nous retraversons la salle sous les regards ironiques et entendus des clients, elle paye la note, la serveuse me tend mon manteau et nous sortons…

    Chapitre 9

    Cathy démarre : « Tu sais que tu as de la chance aujourd’hui, ton trou du cul de vide-couilles est bien ouvert et il fait un temps splendide… Allume moi une cigarette et fumes-en une si tu en as envie » Je m’exécute alors qu'elle arrive près d’un centre commercial, et prend une petite route dont j’ignorais l’existence. Elle se gare et me dit : « Mets toi entièrement à poil et croise tes mains dans le dos »

    Tout en m’exécutant, je l’entends fouiller dans le sac posé sur la banquette arrière pour en sortir une paire de menottes. Lui tournant le dos, je sens l’acier froid se refermer sur mes poignets. « Je vais ouvrir ta portière, tu vas descendre et te promener sur cette route où il y a beaucoup de passants, n’oublie pas de leur sourire et de te montrer avenante et si tu as des propositions sexuelles, dis simplement que tu n’es qu’une esclave et que ta Maîtresse ne t'autorise qu'à te montrer… »

    Dès que mes pieds nus foulent le bitume, je marche droit devant moi...

    La chaussée est chaude, mais l’air est frais, pour le moment il n’y a personne mais j’aperçois un cycliste qui vient à ma rencontre…

    et me sachant filmée, je lui souris sans réponse de sa part… Puis deux voitures me croisent...

     

    l’un des deux conducteurs freine et semble hésiter, mais finalement il s’éloigne… En voyant arriver deux promeneuses vêtues très chaudement...

    L'une d'elle me dit en riant : "Vous allez prendre froid Mademoiselle, mais vous êtes très mignonne !" Je réalise qu'elle a raison. Mais après m’avoir laissée parcourir de long en large cette petite route, Cathy m’ordonne de revenir vers le centre commercial :

    je monte dans la voiture où j’apprécie pleinement le chauffage… Elle me libère les poignets, me laisse nue et démarre… Elle continue cette route qui s'enfonce dans une forêt et se gare de nouveau. Elle me lie par une grosse corde les poignets devant moi et  me fait descendre et monter nue dans le coffre.

    J'essaye de m'installer confortablement, elle ferme le coffre et redémarre.

    Chapitre 10

    Nous roulons un bon moment, je suppose que c'est sur un chemin forestier car je suis ballottée dans tous les sens essayant de me retenir à ce que je peux. Heureusement, Cathy s’arrête… J’entends sa portière claquer et vois avec plaisir le coffre s’ouvrir… Sans un mot, elle me met un bâillon boule...

    un collier, une laisse et en tirant dessus, elle m’oblige à enjamber le haillon du coffre. Une gifle sur la tête me fait comprendre que je dois rester à quatre pattes. Obéissante et terriblement humiliée, je la suis à son rythme alors qu'elle a posé la caméra sur son trépied pour pouvoir tout filmer avec sa télécommande...

      

     

    Elle ne préoccupe pas du terrain sur lequel nous marchons, j'ai les genoux et les paumes des mains entaillés. Après une très longue promenade, j'ai vraiment du mal à la suivre. Elle s'en rend compte et rejoint la voiture, elle me libère du bâillon, de mon collier et de la corde des poignets et me jette une paire de chaussures de marche. Elle se met nue, enfile une paire de chaussures identique à la mienne et se pose à la taille un gode-ceinture d'un calibre impressionnant. Elle me donne une couverture blanche et nous nous éloignons de la voiture. Dans une clairière où il reste encore une petite plaque de neige, elle m’ordonne d’étaler la couverture et de m’allonger sur le dos… Elle s’agenouille entre mes cuisses et me dit : « Branle le putain… Tu sais déjà où il va aller ! »

    Puis je dois le sucer et saliver dessus en faisant du bruit comme si je pompais une bite...

    Quand elle estime qu’il est bien lubrifié, elle l’enfonce d’un seul coup de rein dans mon con trempé...

    et me pistonne jusqu’à ce que je jouisse bruyamment. Elle rit : « Toujours aussi en chaleur putain ! Viens t’empaler sur cette belle pine gouinasse ! »…

    Pour ce faire, elle se couche sur le dos, j'enjambe le gode qui s’enfonce comme dans du beurre en moi. Elle m’oblige à monter et descendre sur l’engin. Je vois qu'elle a glissé sa main sur sa chatte et qu’elle se branle le clitoris… J’aimerais l’aider, mais je n’ose pas et en plus elle n’en a pas besoin jouissant comme à son habitude, discrètement mais intensément… Souriante et décontractée… elle m’oblige à me mettre en levrette :

    et m'encule longuement avec violence jusqu’à obtenir ma jouissance du cul. S’il y a des chasseurs dans ce bois… je suis sure à présent qu’ils savent qu’une femme est en train de s’envoyer en l’air ! Sans sortir de mon cul, Cathy me gifle violemment sur les oreilles : « Parfois tu me fais honte tellement tu es chaude… Je me demande jusqu’à quel point ton vice va t’entraîner ? ». Elle me donne son gode et la couverture et nous revenons à la voiture, où elle se rhabille rapidement tout en me laissant rentrer pour me réchauffer un peu le temps pour elle de fumer une cigarette.

    « Je suppose que tu as envie de pisser connasse ? ». « Oui, Madame, si je pouvais ce serait bien ». Elle fouille dans son sac : « Tiens je n’ai pas de clips de toi avec des lunettes noires, mets celles là et enfile ces belles chaussures de pute bleue » Elle me guide jusqu’à une petite bute à dix mètres de l’auto :

    « Tu t’accroupis, tu écartes ton con avec tes mains et bien penchée en arrière… tu me montres comment tu sais pisser devant une caméra ». Je m'ouvre la chatte d'une main, et je pisse comme elle le veut et c’est avec soulagement que j’urine en entendant avec honte le zoom de la caméra.

      

     

    Je la rejoins à la voiture. Les lunettes noires cachant un peu mon humiliation.

    Chapitre 11

    « En te promenant comme une chienne, j’ai vu un petit endroit sympa : enfile cette petite robe bleue, prends ces cordes et suis-moi ». La robe ne me réchauffe guère mais je la suis pieds nus. Elle s’arrête près de deux arbres superposés et me demande de me coucher sur celui du bas :

    Elle m’attache les mains à l’arbre du dessus et m’ordonne de lever mon bas ventre pour le frotter à l’écorce. Je dois m’arc-bouter pour atteindre l’autre arbre une fois sur deux, car il est assez haut, mais chaque fois que j’y arrive, je ne peux pas m’empêcher de gémir en sentant l’écorce rugueuse râper ma chatte. Cathy se régale de filmer cette séquence obscène mais elle se rend vite compte que je ne parviendrai pas à jouir de cette manière. Et, visiblement elle cherche à me faire jouir une nouvelle fois.

    « Bien, tu t’es bien battue pour jouir, mais je vais te changer de position… ». Elle m’enlève la corde et me fait monter à califourchon sur une grosse branche de l’arbre du dessus… Elle m’attache les poignets et les chevilles ensemble et me laisse comme ça.

    Elle me signale qu’elle ne me permettra de descendre qu’à mon deuxième orgasme. Le contact de l’écorce sur ma chatte ouverte est délicieux au début et excitée par ce que j’ai fait avant, je n’ai aucun mal à hurler mon plaisir très rapidement, mais le deuxième est plus long à venir : mon clitoris et mes petites lèvres me font mal et je jouis dans un mélange de plaisir et de douleur que Cathy sent parfaitement bien… « C’est moins doux qu’une langue de femme… n’est ce pas poufiasse ? » Je fais oui de la tête : tout mon bas ventre me fait mal. Cathy défait mes cordes et m'aide à redescendre mais elle éclate de rire, car pour revenir à la voiture, je marche comme un canard, les cuisses écartées.

    Elle sort du sac une pommade en me conseillant de bien en passer sur tout mon sexe et de rentrer dans la voiture pour me réchauffer. A ma grande surprise, comme j’ai la main droite pleine de crème, j’ai même le droit à une cigarette allumée qu’elle me tend. Je la remercie avec sincérité, mais sa réponse est cinglante : « Je te veux simplement en bonne forme pour la suite de mon programme, putain, rien de plus ! »

    Chapitre 12

    Quand je suis réchauffée et que mon sexe est apaisé, nous ressortons, elle habillée et moi nue. Elle me tend la serviette blanche et la paire de menottes avec ses clés… Nous repartons vers l’endroit où elle m’a baisée avec le gode-ceinture, mais je sens qu’elle cherche quelque chose. Avec mes pieds nus, j’ai du mal à la suivre. Nous arrivons dans une petite clairière sablonneuse dans laquelle est enfoncé un poteau de bois.  Elle me dit de l’attendre. Alors qu’avec ses chaussures elle monte sur un petit promontoire.

    Elle redescend souriante, visiblement elle a trouvé ce qu’elle cherchait. Elle me fait poser la serviette sur le sable à côté du poteau, m'agenouiller dessus, les mains derrière le poteau. Elle me met les menottes et s'en va.

    L’attente est longue, j’ai froid et j’essaye de me coucher pour sentir la chaleur du sable. C’est en remuant comme un ver que je me rends compte que les menottes ne sont pas verrouillées, je pourrais fuir, mais pour aller où ?

    Je me redresse en entendant des bruits de pas et à ma grande honte, je découvre devant moi deux hommes qui me regardent en souriant… « La femme n’a pas menti ! Sa copine est bien là prête à être consommée ! Voyons si les clés des menottes sont les bonnes ! ». Un des hommes se penche pour ouvrir mes menottes… « Eh, les menottes ne sont même pas fermées. Elle aurait pu s’enfuir depuis longtemps ! ».

    Les hommes rient. L’un d’eux me demande s'ils doivent me tirer par les cheveux ou m’entraîner de force vers leur campement ! La tête baissée, je fais non de la tête et me lève prête à les suivre. Le plus costaud d’entre eux me prend à califourchon sur son dos : « Le chemin n’est pas facile et tu es pieds nus, ce sera plus simple »

    Je le remercie intérieurement et notre groupe se met en route. Cinq minutes après un chemin en effet difficile, escarpé et plein de cailloux, nous arrivons dans une clairière avec une grotte dans laquelle ils ont établi leur campement relativement confortable… Trois hommes nous attendent au camp et rient en nous voyant arriver. Les deux autres leur racontent l’histoire de mes menottes non verrouillées.

    « Non seulement, elle est baisable mais en plus elle est consentante. Je pense qu’on va se régaler tous les cinq ». Gentiment ils me donnent des socquettes et des chaussures de marche pendant que l’un des cinq improvise un lit de fortune et que les autres se mettent à poil. Assise sur le lit, je me laisse peloter en souriant.

    L’un d’entre eux se couche sur le lit de fortune et se fait sucer...

    devant les autres, et il est tellement excité qu’il jouit très vite constatant avec plaisir que j’avale tout son sperme sans aucune grimace. Il se relève et me laisse me coucher sur le lit où les quatre autres se succèdent entre mes cuisses pour jouir au fond de mon ventre sans aucune protection...

       

     

    Quand ils ont tous pris leur plaisir, certains, deux fois… Ils m’offrent gentiment un café chaud en m’enveloppant dans une couverture et se rhabillent. Cathy, que je soupçonne d’avoir tout filmé, se joint à nous et accepte un café. « Alors, ma petite pute vous a plu ? Messieurs ». Ils éclatent de rire en lui affirmant qu’en venant camper ici ils ne s’attendaient pas à une surprise si agréable !

    Chapitre 13

    Assises dans l’auto, Cathy m'accorde une peu de repos pour me réchauffer et fumer une cigarette. Je ne peux que m’essuyer le vagin gorgé de sperme qu’avec quelques kleenex. La tête penchée entre mes cuisses, je ne vois pas deux hommes arriver et frapper discrètement à la fenêtre de Cathy.

    Elle baisse sa vitre et l'un des hommes va directement au but : « Vous travaillez, Mesdames ? ». Cathy rit « Non, pas vraiment… Nous nous réchauffons : mais si mon amie vous plait, vous pourrez peut-être vous en charger tous les deux ! » 

    Les hommes font le tour de la voiture pour me regarder sous toutes les coutures et ouvrent ma portière en demandant confirmation à Cathy que c’est bien gratuit. Elle leur répond en riant "C'est une esclave qui adore les bites et fait ça pour le plaisir. Mais restez près de la voiture pour que je puisse vous filmer ». Les hommes éclatent de rire en acceptant et se mettent nus… Et ils profitent de moi un bon moment...

      

    Trop occupée avec leurs deux bites, Cathy et moi ne voyons pas un homme qui nous observe à une dizaine de mètres et qui se rapproche quand il n'est pas dans le champ de la caméra. Il engage un dialogue avec Cathy, sans que je ne puisse savoir ce qu'ils se sont dit... Quand les deux hommes m’ont gavé l’estomac et le ventre de leur foutre, ils se rhabillent, nous remercient et s’éloignent…

    Je me sens épuisée et très sale. Mais en me rasseyant dans l’auto, Cathy me tend une jupe écossaise, des bas, des souliers noirs, un soutien gorge sans bretelles et un top noir : « Mets-ça putain… ». Quand je suis prête, elle me donne un martinet, une grande corde rouge et me menotte les poignets par devant : « Tu vas sortir, faire une trentaine de mètres devant l’auto et là tu vas être abordée… laisse toi faire et rassure toi, je serai là pour te filmer ! »

    Je m’exécute, ne sachant pas trop ce qui m’attend, et en effet, quelques mètres plus loin, je tombe sur l'homme qui avait abordé Cathy et qui me tire, sans dire un mot, par les poignets menottés...

    et colle sa bouche à la mienne pour la fouiller avec sa langue gluante, avant de m’ôter les menottes pour m’attacher habillée à un arbre en utilisant la corde rouge.

    Puis, il s’agenouille en relevant ma jambe gauche pour l’attacher au niveau de mon genou et me mettre en position inconfortable.

      

    Quand il est satisfait de ma position, il prend le martinet et me frappe de toutes ses forces la poitrine heureusement protégée par mes vêtements.

    Mais, il en veut plus et m'arrache presque mon top et mon soutien-gorge...

       

    Et reprend ses coups sur ma poitrine nue me laissant excitée et les seins zébrés.

      

    Comprenant que mon statut d'esclave lui donne tous les droits, il appuie avec force le manche de son martinet, sur mon plexus, ce qui m'arrache des cris de douleur...

    Je ne comprends pas cette douleur gratuite, mais, visiblement content de lui, il s'en va, me laissant attachée à l'arbre !

    Chapitre 14

    Cathy doit s’occuper de me libérer. Mais, arrivées à la voiture, je constate qu’entre temps elle a rencontré quelqu'un d'autre, car sans entrer dans l'auto, elle m’oblige à me mettre nue et me tend une nouvelle tenue carrément estivale : une petite jupette bariolée et transparente, un tanga, un top minuscule, un collier, une laisse et deux pinces en plastique qu’elle pose elle-même sur mes tétons. « Décidément, tu fais bander beaucoup d’hommes, tu vois ce gros arbre là bas ? » Je fais oui de la tête. « Vas-y pieds nus et appuie toi à lui en découvrant bien tes nichons pincés. Quelqu’un va te rejoindre ». Je fais les quelques mètres qui me séparent de l’arbre, m’y appuie, dégage mon top pour bien dénuder mes seins pincés et j’attends…

    Quelques secondes après un homme est devant moi. Je ne connaîtrai de lui que son physique, car il ne dit pas un mot, mais profite de moi comme la pute que je suis.

      

     

       

    Quand il est repu de m’avoir baisée debout, en levrette et d’avoir inondé mes seins. Il s’en va, toujours sans un mot. La tête basse, je rejoins la voiture. Essuie le sperme de mes seins. Cathy m’autorise à remettre mon manteau et démarre : « La nuit est tombée, c’est parfait, j’ai repéré un coin pour compléter ton album avec un clip de nuit ! » 

    Elle s’arrête en m’annonçant que c’est bien là. Elle sort de son sac ma tenue pour ces prises de vue : une robe courte lamée et des chaussures à talons hauts en plastique qui font très pute, mais elle prépare aussi une multitude d’accessoires. Nous allons plus vers une séance BDSM que vers une séance de charme.

    Cathy met soigneusement en scène chaque plan :

       

      

      

      

      

     

    M’autorisant tout de même un orgasme avec la chatte remplie d’un énorme gode.

     

    Je suis épuisée et je me sens sale quand nous quittons cette forêt où je laisse des souvenirs mitigés d’orgasmes vicieux et d’humiliations multiples…

    Chapitre 15

    Je me cale au fond de mon siège alors que Cathy semble contente du timing. Je me laisse aller et je somnole. Elle prend des petites routes mais ne tarde pas à se garer. Je me réveille et elle me tend des bas noirs, des chaussures, des porte-jarretelles et un soutien-gorge seins nus. Elle complète le tout par un trois-quarts en skaï. Je me retrouve toute habillée de rouge, chatte et seins à l’air. Elle termine par un collier de chienne et une laisse. Elle allume le plafonnier et constate :

    « Tu es parfaite, ainsi offerte. Je suppose que tu connais la réputation de ce petit bois tranquille derrière l’usine de motos ? ». « Non, Madame, je n’en ai aucune idée ». « Yves ne t’a pas montré les endroits chauds d’Issoire ! C’est donc moi qui te servirai de guide ! C’est le repère préféré des voyeurs ! Ils vont se régaler avec toi ». Elle redémarre et s’enfonce dans le bois. Il est tôt mais il y déjà beaucoup d’hommes qui traînent seuls ou en groupe. Dans la lueur de ses codes, elle repère un groupe de deux hommes qui ne semblent pas trop voyous. Et s’arrête à leur niveau.

    « Un peu de chair fraîche, Messieurs ? On touche mais on ne baise pas, entendu ? ». Les deux hommes rient en signifiant qu’ils sont d’accord et Cathy me fait sortir de l’auto. Les hommes se rapprochent de moi et leurs quatre mains baladeuses me pelotent tout le corps en insistant sur ma chatte…

       Cathy et Loré 2 Cathy et Loré 2

    Ils jouent avec moi en constatant entre eux que je mouille très vite et me traitent de « belle salope en chaleur ». Cathy les laisse faire, et quand elle estime qu’ils ont assez joué, elle m’ordonne de rentrer dans l’auto. Les hommes insistent pour que je reste un peu mais rien n’y fait et à peine ma portière fermée, Cathy redémarre… « Ca a du te tremper le con de t’offrir comme ça. Rassure toi je flouterai ton visage. Mets-toi à poil et enfile cette petite robe noire à bretelles avec ce gros ceinturon à la taille… Je vais te trouver un autre coin sympa ! »

    Elle cherche pendant que je me change et repère un groupe de jeune avec deux blacks et un blanc : « Tu restes dans l’auto, fenêtre baissée, c’est toi qui va les draguer. Tu peux les branler et leur sucer le gland, mais pas plus. Et s’ils veulent te branler, ouvre bien les cuisses pour leur signaler que tu en redemandes ». Elle s’arrête à leur niveau. Je baisse ma vitre et d’une voix rauque je m’adresse à eux : « Bonsoir jeunes gens, vous êtes mignons… On joue un peu tous les quatre ? »

    Pour toute réponse, ils baissent leurs pantalons et sortent des bites de beaux calibres… J’en branle deux.

      

     

    Tout en en léchant un alors que des mains passent dans la voiture pour me toucher les seins et m’écarter les cuisses pour me branler la chatte fermement. Un des trois me fait durcir les tétons tandis que son copain entre deux doigts dans ma chatte qui fait un bruit obscène. Ils ouvrent la portière pour mieux me peloter et me transformer en un bout de viande peloté par six mains impatientes et vicieuses. Je suis même obligée de lever les fesses pour que l’un d’entre eux me mette un doigt dans le cul…

    Ils insistent pour me baiser, mais, en riant, Cathy leur dit que ce sera tout pour ce soir, mais que s’ils sont sages elle reviendra demain avec moi à poil et avec des préservatifs ! Je referme difficilement la porte et la fenêtre.

    Cathy rit : « Tu vois tu as déjà un rendez-vous pour demain. En plus ils ont de belles bites, tu devrais me remercier petite pute ! »

    Je me force vraiment pour la remercier de me trouver des belles bites.

    Elle éclate de rire et m’autorise à allumer deux cigarettes en me rassurant : « Mets toi à poil, nous sommes à deux minutes du rendez-vous suivant.

    Ce sont deux bonnes copines, je suis sure qu’elles vont te plaire ! »

    A suivre dans "Cathy et Loré

    2016 > 3/3"


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