• Chapitre 3

    Chapitre 3

    Dimanche 15 Janvier 2017 – 11h30

    « Loré, je pars devant avec Jean, tu nous rejoins quand tu le peux ? Ne tarde pas trop, le gigot serait trop cuit ! ». « Je finis de ranger la cuisine et le temps de m'habiller, je vous rejoins, à de suite les hommes ! ».

    La porte claque, j’ai fini de ranger, mais, avant de m'habiller, je voulais me garder un peu de temps pour entrer sur le site, curieuse et excitée de découvrir le résultat du montage du film d’hier.

    Le haut débit est une belle invention, car, en quelques clics, je suis sur le site et je découvre que j'ai huit nouveautés et trois clips placés dans le top-ten !

    Annie continue de me favoriser ! J’ouvre au hasard l’avant dernier et je me retrouve plongée dans l’ambiance d’hier. Dommage que je sois pressée, j’aurais aimé pouvoir me caresser en visionnant tous ces films, alors que je ne peux qu'en regarder des extraits à la sauvette.

    Très excitée je clique sur le dernier, et je constate avec surprise que c’est celui filmé avec la web-cam de mon portable dans la salle de bains. Une grosse bouffée d'adrénaline me monte au visage et je rougis de honte : la qualité est relativement bonne et l'on voit parfaitement ce que je fais.

    Décidément, en un seul clip, je vais devenir très intime avec tous les voyeurs qui me suivent sur le site de Tom.

    Avant de partir, j'envoie un Messenger à Annie :

    « Madame, ce mardi, je suis libre de 14h à 19h. Jeudi et vendredi, je peux me libérer de 12h à 14h, et samedi, Yves et moi comptons vous avoir pour un petit dîner amical chez nous. Par contre, la semaine prochaine sera plus cool : Yves part cinq jours pour son travail, du lundi matin au vendredi soir, je peux donc me libérer quasiment tous les midis, dont un où nous pourrions manger toutes les deux avec Jean. Je compte prendre deux jours de RTT : le mardi et le jeudi. A noter que, cette semaine là, je serai donc seule la nuit avec Jean, mais qu'il adore passer quelques nuits chez mes beaux-parents qui le gâtent beaucoup ! J'ai hâte d'être à la semaine prochaine ! Vous me manquez : votre petite pute en chaleur ! ».

    Je déconnecte, enfile les vêtements que j'avais préparé, ferme la maison et je me dirige, pensant à la semaine que je vais vivre, vers la maison de mes beaux-parents à peine distante d'un petit kilomètre de la nôtre.

    Lundi 16 Janvier 2017 - 13h30

    Après un repas rapide en tête à tête, car Jean est resté à la cantine, Yves repart au travail, comme je ne veux pas me connecter sur un site perso de mon travail, j’ai un quart d’heure pour lire une éventuelle réponse d’Annie, avant de prendre moi aussi le chemin de mon travail.

    Je tremble un peu en lisant dans mon dossier sécurisé que j’ai un message, qui ne peut venir que d'Annie :

    « Ma pute : pour information et pour te prouver que tu as pris la bonne décision, tu as dépassé cette nuit les 5.000 visiteurs, les commentaires sont très élogieux et très vulgaires, à ton image ! ».

    « Mardi, je t’attends chez moi à 14h, vêtue de ton manteau, d'escarpins à talons hauts, de bas dim-up et de ton soutien-seins en cuir. Tu mettras aussi tes bracelets de cuir aux chevilles et aux poignets et ton collier assorti autour du cou. Aucun autre bijou que mon alliance ».

    « Dès 13h, tu glisseras les boules dans ton vagin et tu prépareras quatre pinces en fer lestées, le gros vibro rose et sa télécommande, quatre clips et un loup. Enfin, avant de quitter la maison, tu te mettras le gros vibro dans le cul. Si possible, ce soir, fais gicler Yves, mais retiens toi de jouir, je te veux chaudasse pour moi ! Entendu pour la soirée de samedi soir tous les quatre chez vous ».

    Mardi 17 Janvier 2017 - 13h05

    Nous mangeons tous les trois, car, malencontreusement, la cantine est en grève et Jean mange avec nous. Je me lève pour aller chercher le gratin de pâtes au four, plat que tout le monde apprécie !

    Je reviens m’asseoir en faisant une petite grimace qui n'échappe pas à Yves qui me dit : « La même douleur que cette nuit ? Tu devrais aller voir le Docteur Lopez, elle t'a gâché ta soirée, ce serait dommage de continuer à souffrir ! ».

    Je sais bien à quoi Yves fait allusion, hier soir, j'ai prétexté une douleur vaginale pour ne pas baiser et jouir, mais en échange, il a été content, car je l'ai fait jouir dans ma bouche et quelques minutes plus tard, il a vidangé le trop plein dans mes intestins, mais je sais qu'il n'aime pas jouir seul et qu'il se régale de mes orgasmes surtout quand ils sont spectaculaires.

    « Oui, tu as raison, si, ce soir je souffre toujours, je prendrai rendez-vous avec Lopez, mais je suis sure que ça va passer ». En fait, je suis vraiment très mal à l’aise avec ces boules de geisha qui se choquent en moi à chaque mouvement. J’essaye de rester naturelle, tout en appréciant que la vibration télécommandée, plus forte que la naturelle ne soit pas enclenchée !

    Nous parlons de choses et d’autres, Jean nous fait rire en nous racontant qu’un enfant de sa classe s’est endormi ce matin sur son bureau, Yves me demande ce que je vais faire dans l’après midi, je lui réponds que j’ai rapporté du travail à faire pour m’avancer un peu et que si je suis lasse de travailler j’irai faire du lèche vitrine.

    Yves approuve : « Pourquoi n’irais tu pas faire du shopping avec Annie, si elle est libre, je crois savoir qu’elle ne travaille pas ? Ils sont gentils d'avoir de suite accepté notre invitation pour samedi. Ils ont l’air bien tous les deux, ça fait plaisir d’avoir des voisins sympas ! Tu pourrais en profiter pour connaître leurs goûts pour bien orienter le traiteur ! ».

    J’ai beaucoup de mal à lui répondre: « Oui, c'est une excellente idée : nous avons échangé nos numéros de portables, je l’appellerai quand vous serez partis tous les deux ». Yves me sourit, se lève, me fait une grosse bise sur le front et me conseille : « Tu as vraiment une petite mine, va faire la sieste et essaye de sortir avec Annie, au lieu de rester à bosser toute seule, les 35h ne sont pas faites pour les chiens tu sais ! ».

    Mardi 17 Janvier 2017 - 13h45

    Jean se prépare, nous buvons notre café en fumant une cigarette dans le salon, j’ai rangé toute la cuisine ce qui a fait bouger encore plus les boules en moi. Yves regarde sa montre : « Bon il est moins le quart, j’y vais, je dépose Jean au passage ».

    Une bise à tous les deux. Yves me murmure à l’oreille : « J’espère que tu seras en forme ce soir, hier je me suis endormi un frustré tu sais ! ».

    « Oui, moi aussi, mais je t’assure que je n’étais pas bien du tout ». « Je sais, pas la peine de t’excuser, je ne t’en veux pas du tout, allez bon après midi ma chérie ». Le 4x4 démarre, un petit salut et je me retrouve seule.

    Mardi 17 Janvier 2017 - 13h50

    Dès la porte fermée, je vais vers l’armoire cachée du salon et j’en extrais tout ce que m’a demandé Annie : les quatre bracelets, le collier de cuir, le vibro, les quatre clips, le soutien-seins, les quatre pinces lestées et le masque. Je pose tout ça sur le lit de ma chambre et je prends l’alliance dans le coffret, j’enlève tous mes bijoux et je pends la chaîne à mon cou. De sentir l’or froid entre mes seins me donne la chair de poule.

    Je me mets entièrement nue, et, assise, j’enfile les bas. Je dois me mettre devant le miroir pour bien fixer le soutien-seins sans trop serrer les courroies remplaçant les bonnets, puis je fixe les bracelets à mes poignets et à mes chevilles et je termine par le collier correctement serré autour du cou.

    J’enfile mes escarpins, je me sens gauche, car je n’ai pas trop l’habitude d’être en talons hauts, et je vais dans la salle de bains. Je mets un peu de crème sur le plug et, accroupie, je le fais glisser dans mon anus.

    Je n’ai pas besoin de relire le mail d’Annie, j’y ai pensé et repensé toute la nuit, je sais que je n'oublie rien !

    De retour dans ma chambre, je complète mon sac à main avec mes cigarettes, mon briquet et mon portable. Je prends un autre sac en cuir dans lequel je fourre les sex-toys que je ne porte pas.

    Il ne me reste que quelques minutes pour enfiler mon manteau, vérifier ma coiffure dans le miroir et refermer ma porte pour me diriger lentement vers la maison d’Annie.

    Mardi 17 Janvier 2017 - 14h00

    C’est curieux comme le temps a changé en trois jours, il fait presque chaud aujourd’hui. Je tape trois petits coups à la porte. Annie vient m’ouvrir, elle est ravissante dans une robe noire très sage, évasée vers les genoux et à peine décolletée. Elle porte des bas gris perle et des escarpins à bouts carrés aussi hauts que les miens. Elle est très peu maquillée et souriante :

    « J’aime ta ponctualité, entre ». Elle referme la porte derrière nous et m’invite à passer au salon. « Alors pour samedi ? ». « Yves a été enchanté de savoir que vous acceptiez notre invitation, Jean qui avait prévu d’aller dormir chez ses grands-parents ne sera pas avec nous ».

    « Bien nous l'emmènerons un jour chez Mac Do, ça lui fera plaisir et je pourrai faire sa connaissance ». « Oui ce sera sympa, Yves qui est très content que nous devenions amies m'a conseillé de profiter de mon après-midi de liberté pour connaître un peu plus vos goûts pour affiner la commande du traiteur ».

    « On verra ça vendredi, quelle heure pour samedi ? ». « On peut dire 19h30, si ça vous convient ? ». « Entendu ma chérie ! ».

    « Samedi, n’oublie surtout pas de m’appeler Annie et de me tutoyer ! ».

    « Je ne l’oublierai pas, Madame, rassurez vous ! ». Annie me montre le café et les cigarettes : « Assieds toi, bois ton café et allume toi une cigarette. Tu as baisé hier soir ? ».

    Annie a vraiment l’art de passer d’un sujet à l’autre sans prévenir. Ma main tremble un peu quand je porte la tasse à mes lèvres : « Oui, Madame, mais comme je lui ai annoncé une méchante douleur vaginale, je l'ai bu et il a joui dans mes fesses sans que je ne jouisse, donc je suis restée chaude, comme vous me l'aviez demandé, Madame ! ».

    « Peu importe la manière dont une pute ment à son mari, ce qui m’intéresse c’est que tu sois en manque ! Lève toi et ôte ton manteau ». Je repose ma tasse, mets la cigarette dans le cendrier et je me lève en déboutonnant mon manteau que j’ôte.

    « La caméra est sur la télé, fais attention de bien rester dans le champ ».

    Elle me scrute en détail : « Bien, l’alliance, les bracelets, le collier, je vois le fil qui pend de ta chatte, par contre le soutien-seins ne me va pas, il y a combien d’encoches dans les courroies de serrage ? ». Ne le sachant pas, je les compte en glissant mon doigt sur l'une des courroies. « J’en compte six, Madame ». « Je suppose que tu les a mises sur la deuxième encoche ? ». « Oui, Madame, en effet ».

    « Rectifie de suite et met chaque ardillon dans le quatrième trou : je te veux avec des seins en pomme aujourd’hui : deux belles pommes bien offertes. Penche toi vers moi, je veux vérifier que tu les mets bien dans les bons trous ! ».

    Je me penche pour serrer la première courroie : « Voilà tu y es ». Je la coince dans la position demandée, la courroie me serre assez fort la base du sein et je le sens de suite gonfler, je fais pareil pour l’autre et quand je me relève, je sens en effet que mes seins sont haut perchés et tendus comme des peaux de tambour.

    « Voilà tu es bien mieux comme ça. Retourne toi et montre moi ton cul ».

    Je lui tourne le dos et je me penche. « Tu as le cul plein de crème. Tu aurais pu t’enculer à sec sale pute, vas dans la salle de bain, lave toi le cul sur le bidet ! ».

    Un peu vexée de réapprendre que je dois faire attention au moindre détail avec Annie, je vais dans la salle de bains, je m’apprête à m’accroupir pour enlever le vibro, mais Annie m’a suivi avec la caméra et me donne ses instructions en direct :

    « Remplis d’abord le bidet d’eau chaude ». Je m’exécute, en prenant de temps en temps, la température de l’eau. Annie en profite pour me filmer sous tous les angles. Quand le bidet est plein elle me demande de lui tourner le dos, de m'appuyer au lavabo et d'enlever le sex-toy.

    Je m’appuie d’une main, et de l’autre je le fais glisser lentement hors de mes fesses. La crème agissant, il sort quasiment tout seul, elle exige que je le montre bien à la caméra en souriant. Je me retourne pour lui faire face, et le place devant mes seins avec un grand sourire, Annie le filme en gros plan et me conseille de bien le regarder : je redoute ce que je vais voir, il est en effet plein de crème mais, heureusement pour ma pudeur, vierge de toute saleté.

    Annie sourit : « Heureusement que je t’ai prévenue que tu devrais t’enculer ce matin, tu t’es bien lavé l’anus en profondeur ! Bravo ma putain très professionnelle ! ». Je rougis en repensant au lavage méticuleux que je m’étais, en effet, fait le matin même !

    « J’aurais aimé qu’il soit un peu plus sale, mais ce n’est pas grave, tous tes admirateurs savent ce qu'il y a dans ton petit cul de salope serrée depuis hier soir, mais j’espère que tu vas aimer le goût du mélange de ta crème lubrifiante et des sécrétions de ton cul car tu vas le lécher soigneusement en t'appliquant bien ! ».

    Comme à mon habitude, je deviens rouge pivoine, et sans m’être touchée je suis au bord de l’orgasme.

    Je le lèche, langue sortie au maximum, Annie me filme en gros plan, ne ratant aucun détail : « Parfait, enfonce le bien dans ta bouche et mets toi sur le bidet, cul tourné vers moi et un peu levé. Je veux voir ton doigt te travailler l’anus et te nettoyer bien à fond ».

    J’enfourche le bidet comme elle le veut et, les fesses un peu levées, je me nettoie devant l'objectif : « Savonne toi bien le cul et doigte-toi l'anus. Vas-y enfonce le bien ». Je savonne mes doigts et mes fesses. Très vite, je peux enfoncer deux doigts et me laver en profondeur. J’alterne le savon et l’eau pour bien me nettoyer : « Enlève le vibro de ta bouche et coince le entre tes seins ! ». Il est couvert de salive et je le glisse entre mes globes gonflés : « Mets toi trois doigts dans le cul et bouge les en toi. J’ai envie que tu jouisses du cul pour moi ».

    Je gémis en enfonçant sans trop de difficulté un troisième doigt dans mes fesses et je fais aller et venir mes doigts La fine cloison me fait sentir les boules vibrantes de mon vagin, je gémis, de plus en plus excitée.

    Annie alterne les prises de vues de mon visage et de mes fesses. Je n’en peux plus, ma situation est trop humiliante et excitante et je bouge mes doigts de plus en plus fort sans pouvoir échapper à l'orgasme et crier mon plaisir : « Oooooooooooooh, Madame, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis du cuuuuuul, oooooooooooooooh que c’est booooooooon, Madame ! ».

    Elle me laisse aller au bout de ma jouissance, mais dès qu'elle me sent calmée et repue, elle me tire brutalement la main vers l'arrière pour m’enlever les doigts de mes fesses : « Ça suffit comme ça, pouffiasse : rince toi, sèche toi et remets ton vibro, sans crème, dans ton cul de pute. Tu as pris un acompte sur ton plaisir, il te faudra attendre le suivant, et outre l'enculage sans crème, tu vas serrer tes lanières de nichons sur le cinquième trou, pour te prouver que tu ne pourras jamais te foutre de ta Maîtresse, sans avoir une addition à payer ! ».

    Les yeux fixés sur le carrelage, je m'appuie au lavabo pour introduire en moi le vibro qui entre en forçant un peu : « C’est plus dur sans la crème ? Tu vois, sale tricheuse ! Mais c’est surtout quand tu l’enlèveras ce soir que ça te fera mal ! Il aura bien séché dans ton petit cul ! ».

    Il me reste à me mettre devant le miroir pour resserrer d’un cran les lanières du soutien-seins, j’ai du mal à atteindre la position cinq, mais dès qu’un sein est ainsi emprisonné, il se gonfle comme un ballon de baudruche obscène et douloureux.

    Annie coupe la caméra et me dit : « Très bien, allons au salon, nous devons partir ». Sans me poser de questions, je la suis seins et anus douloureux.

    Mardi 17 Janvier 2017 - 14h45

    Quelques minutes après nous sommes dans son auto, mon excitation n’est pas retombée et est même entretenue par le vibro et les boules, dont les moteurs sont heureusement coupés.

    Il fait un temps splendide, en passant devant un commerce, j’ai même vu un 20° affiché. « A quelle pharmacie as tu l’habitude d’aller ? ».

    Sans lui laisser remarquer mon étonnement, je réponds : « A celle de notre village, Madame ». « Bien nous irons dans une autre, il faut tout de même veiller sur ta réputation ! ». Peu de temps après, elle arrête l’auto devant la pharmacie d'un village, dont j'ignorais l'existence si près du nôtre : « Vas acheter des préservatifs, tu demandes quel parfum il y a, tu choisis des XL et tu prends le modèle avec picots. Tu as de l'argent au moins ? ». « Non, je suis désolée, Madame, je n’ai pas pris d’argent ! ».

    Elle me donne un billet de 20€ et me regarde entrer dans la pharmacie.

    Le pharmacien semble intrigué par mes bracelets et mon collier de cuir. Je dois m’éclaircir la voix pour lui demander s'il a des préservatifs parfumés, il sourit en me répondant : « Bien, sur Madame, j'ai fraise, banane, ananas, vanille ou nature ». Je réfléchis rapidement : autant me faire plaisir, s'il sont pour moi ! « A l'ananas, auriez vous des XL à picots, Monsieur ? ».

    Il se retourne, pioche dans un tiroir et étale trois boîtes sur son comptoir en me disant : « Voilà Madame : ananas, XL et picots, par dix, vingt ou cinquante ». Je lui tends mon billet de 20€, en lui disant que je ne veux pas faire une Visa pour si peu. Il comprend et me donne une boîte de vingt en me précisant qu'il n'aura pas de monnaie à me rendre !

    Je le remercie et je sors de la pharmacie avec ma boîte de capotes, comme si je flottais sur la planète Mars ! Je m'assieds, complètement dans les nuages, entendant Annie terminer une conversation téléphonique, en disant : « Entendu, à de suite ».

    Elle roule quelques minutes, ralentit à l’entrée d’un petit village, cherche visiblement quelque chose, avant de prendre son mobile et d'appuyer sur la touche dernier appel : « Je suis à l’entrée du village, où dois-je aller ? ». Elle écoute en disant des : « J’y suis » ou « Oui, je vois ».

    Peu à peu la voiture s’enfonce dans une forêt dense que traverse l'Allier. Nous prenons un chemin forestier et sommes brinquebalées par les ornières. Annie dit un laconique: « Bien je coupe ». Elle range son téléphone et me dit : « C’est le moment de mettre ton masque, je te dirai quand l’enlever ».

    Je prends le masque de repos dans mon sac et en recouvre mes yeux. L’auto s’arrête. Elle descend en claquant sa portière, puis vient ouvrir la mienne et m'aide à descendre, en me conseillant de ne pas oublier mon gros sac. Nous marchons un peu dans ce que je pense être de l’herbe.

    Elle s’arrête : « Bonjour Pierre, je te présente ma petite Loréna, elle te plaît ? ». « Oui elle est très mignonne, mais la seule chose que je ne comprends pas c’est que toi aussi tu es bandante. Tu es sure qu’en rajoutant quelques billets, je ne peux pas m’amuser avec vous deux ? ». Elle éclate de rire : « Cher Monsieur, contrairement à mon amie, je ne suis pas à louer et je n’ai aucun penchant pour le bdsm, tu serais donc très déçu ! ».

    L’homme rit : « C’est dommage mais peut être qu’un jour j’arriverais à te décider : j’adore les parties à trois ! Bon en attendant comme le temps m’est compté, voilà ». J’entends un bruit de billets froissés : « Six billets de 50€, ça nous fait bien 300€ comme convenu pour deux heures de jeu avec ton amie. A qui dois-je les donner ? ». Je suppose qu'Annie doit sourire en répondant : « Pas à moi, je ne suis pas une mère maquerelle et, en plus, je lui ai choisi un manteau avec des poches ! ».

    Je sens une main glisser quelque chose dans ma poche. Sur le marché des putes masos en plein air, ma côte est donc de 300€ les deux heures, ce qui fait 50% de moins qu'une heure avec Robert dans des wcs !

    Annie complète : « Comme convenu je vais tout filmer, si tu ne veux pas apparaître sur le film, il est temps de te masquer le visage, mais comme promis, tu auras une copie du film par envoi électronique sur ton mail ».

    « Oh ça m’est égal d’être reconnu, je suis majeur et célibataire ! Mais je te rappelle ta promesse de pouvoir voir ton amie, les yeux dans les yeux, au moins cinq minutes, de toutes les manières, son visage est en ligne, donc je la connais déjà un peu ! ». « Tu peux compter sur moi ».

    Annie s’éloigne, je suppose qu’elle va chercher sa caméra.

    Mardi 17 Janvier 2017 - 15h10

    Quand elle revient, c'est au tour de l'homme d'aller chercher des accessoires dans son auto. Annie en profite pour se rapprocher de moi et me dire : « Tu entres, de plain pied, dans le métier : 300€ pour deux heures, Pierre n’a pas même imaginé un seul instant que tu n’étais pas une professionnelle. Il m’a dit être dominant, cérébral et sado, mais rassure toi je suis là pour veiller sur toi. Alors sois sage et bien obéissante, c’est tout ce que j’attends de toi ».

    Je ne dis rien, tête baissée, j’ai l’impression de toucher le fond du dessous ! Jusqu'où Annie va-t-elle me conduire ? Je vis un mélange de rêve et de cauchemar à deux minutes d’être ainsi livrée à un parfait inconnu qui va jouer avec moi pendant deux heures contre six gros billets de banque.

    Mon ruminement de mauvaises idées est interrompu par des bruits variés d’ustensiles qu'on pose sur un support. La voix rocailleuse de Pierre nous assure : « Vous savez, l'été, c’est très sympa, ici, à deux pas du fleuve et sous les arbres, cette table s’arrache le dimanche, mais en hiver, je n'y ai jamais vu personne ! ».

    Annie lui répond poliment : « Oui j’en suis sure, mais aujourd'hui, nous avons un temps exceptionnel, tiens voilà ce que je lui ai fait te rapporter en plus de ce qu'elle porte : quatre pinces dures avec des poids, des clips pour ses bracelets, des préservatifs parfumés, et comme je voulais te la livrer chaude et excitée, elle a un vibro dans le cul, des boules vibrantes dans la chatte et je te confie leurs télécommandes ».

    « Elle porte aussi les bracelets de cuir et le collier de cou et, comme tu me l’as demandé, un soutien-seins en cuir très résistant, ça te va, Pierre ? ». « Hum, oui, ce n'est pas mal du tout, Annie, j'ai de quoi bien jouer avec ton esclave ! ».

    Je le sens se rapprocher de moi alors qu'Annie allume une cigarette. Il me dit d’une voix sourde : « Tu as de la chance, car il fait beau, mais s’il avait fait 2°, tu aurais subi le même sort ! ».

    Il pose ses mains sur moi et entreprend de déboutonner mon manteau. Il en écarte les pans et je sens qu’il prend du recul pour admirer ce que les pans ont dévoilé : il se rapproche, effleure mes tétons, qui me trahissent lâchement en bandant de suite.

    Après une caresse du ventre, il baisse sa main et la glisse entre mes cuisses pour me doigter sournoisement le con, en me murmurant à l'oreille : « Hum, salope de bourge, tu es trempée comme une truie qui attend sa saillie ! Je ne savais pas qu'Annie me louait une super chaudasse ! Tu es bien tombée avec moi, tu vas te régaler pouffiasse de luxe, tu es chère mais tu vas aussi prendre cher ! Et te rappeler longtemps de ces deux heures en bord d'Allier !».

    Il arrache presque les deux derniers boutons de mon manteau qu'il fait tomber à terre et m'ordonne en criant : « Tourne sur toi même pour que je vois bien la marchandise ».

    Consciente de m’offrir comme un vulgaire animal je pivote, ce en quoi mes hauts talons et l'herbe ne m'aident pas vraiment : « Continue en croisant les mains sur ta tête, accélère, mais ne t’arrête surtout pas ». Je pose mes mains croisées sur la tête et tourne de plus en plus vite.

    A chaque passage devant ses mains, il me pelote les seins et les fesses en me disant : « Tu es vraiment une pute de luxe, ma belle Loréna et tu me fais déjà bander comme un cerf ! ». Il joue encore un bon moment à me voir tourner, avant de m’arrêter, en m'annonçant qu'il allait me préparer, mais pour un autre petit jeu ».

    J’ai très peur de son imagination, cérébrale, comme annoncé à Annie ! Mais je ne veux pas le lui montrer, et je me laisse docilement faire : d'une main, il plaque les miennes dans le dos et clipse les bracelets de mes poignets entre eux. Et pour bien finir de m’attacher, il passe une corde autour de mes coudes en serrant très fort, ce qui m’oblige à me cambrer et à tendre mes seins en avant.

    Puis, en me levant une jambe après l’autre, il m’enlève les chaussures et les bas, je sens l’herbe humide sous mes pieds nus.

    Il me pelote durement les seins en les commentant vulgairement : « Tu aurais du refuser de venir avec des nibards de catin aussi offerts et gonflés : leur obscénité appelle des pinces dures et, tu le savais bien ! Mais tu mouillais d'avance de cette torture, tellement tu l'aimes et tu attends cette douleur ! ».

    Je me contracte, mais ne peux éviter qu’il pose les pinces aux bouts de mes mamelles gonflées, ce qui m'oblige à me plier en deux, en hurlant de douleur. Puis, sans que je ne le sente s’approcher, il fait de même à chacune de mes grandes lèvres vaginales, m’arrachant deux autres cris de douleur, vraiment pas simulée !

    Il rit en me prenant par les épaules et en me secouant comme un pommier, ce qui fait bouger toutes les pinces et m'oblige à le supplier d'arrêter cette torture : « Arrête de crier ! Maintenant que je te sens prête : tu vas aller te promener toute seule, mais je serai ton G.P.S. et c’est donc moi qui te dirait où aller. Tu vois c’est tout simple comme jeu, mais rassure toi je ne t’enverrai ni dans des ronces, ni dans un ravin : j’ai promis à ta propriétaire de te rendre à elle, entière et pas trop marquée ! ».

    Il allume à son tour une cigarette et j'entends qu'il offre du feu à Annie. Sa voix s'éloigne, ils ont du s'asseoir sur le banc de la table de pic-nic. « Fais un pas en avant pour me montrer comment tu marches ».

    Je fais un pas normal. « Bien je vois que tu fais des petits pas, c'est logique, avec tout ce que tu as dans les entrailles ! Je vais en tenir compte : allez dix pas en avant ! ». Je marche, le sol change, des branchages craquent sous mes pieds nus et des petits cailloux s’enfoncent dans mes plantes de pieds nus.

    « Tourne toi vers la gauche et fais six pas ». Je me tourne et avance. Rapidement je sens que je suis dans un bosquet de jeunes pins : les aiguilles et les branches me griffent le corps sans réellement me faire mal, au bout des six pas, je sors de ce bosquet.

    « Maintenant tu vas tourner à droite et courir pendant dix pas ». Pendant ma course, la douleur des pinces est insupportable : je sens les poids ballotter dans tous les sens et peser sur mes tétons et sur mes lèvres. Je m’arrête épuisée.

    « Avance un peu : à un pas devant toi il y a un petit chêne liège : cherche le avec tes jambes et tes pieds ». J’avance en tâtonnant, je ne le trouve pas de suite, Pierre doit me guider plus précisément, et mon pied le trouve. « Bien, tu y es, tu vas te coller contre son tronc, que tu vas enlacer de tes cuisses, et, appuyer ta chatte bien ouverte sur l’écorce ».

    J’ai du mal à écarter suffisamment les cuisses pour que les pinces ne soient pas en contact avec le tronc, mais j’y arrive.

    C'est à ce moment précis, qu'il enclenche la vitesse maximale du vibro qui est destiné à me tarauder l'anus, et, c'est sans y faire allusion qu'il continue : « Hum, très bien, tu sais que ton amie et sa caméra, ne ratent rien du spectacle porno que tu nous offres ! Vas-y frotte toi au tronc, fais toi plaisir comme une fille en chaleur qui se frotte sur n’importe quoi : l’écorce va faire du bien à ta petite connasse ! ».

    Bien collée à l’arbre, qui a heureusement un petit diamètre mais malheureusement une écorce très rugueuse, je bouge mes genoux pour frotter mon bas ventre de haut en bas. La large ouverture de mes cuisses, que je recherchais, évite, en effet, le contact des pinces sur le tronc, mais c’est la chair intime et fragile de l'entrée de mon vagin qui est en contact direct avec l’écorce, ce qui me procure un mélange de plaisir et de douleur qui me fait gémir de plaisir devant eux, un relâchement que je voulais éviter à tout prix !

    Malgré la confusion de mes sens, je sens des événements se produire : le bruit des pas lourds de Pierre qui se rapproche de moi, et, côté intimité, le déclenchement, à une vitesse interdite par la loi, des vibrations de mes boules dans mon vagin dégoulinant sur l'écorce du jeune chêne !

    Pierre se colle à mon dos, je le sens nu et la dureté de sa bite atteste de son excitation. Il prend mes seins dans ses mains, et les broie sans se préoccuper de mes cris de douleur et de mes protestation en me glissant à l’oreille : « Une pute comme toi ça s'encule d’abord debout : ça ne mérite ni un lit, ni une bite dans la chatte ! ».

    Il baisse sa main, arrache le vibro de mon anus et le jette au loin, il fléchit ses genoux pour prendre la bonne position et profite que mon anus ne s’est pas encore rétracté pour poser son gland sur mon petit trou, peser de toutes ses forces et s’enfoncer d’un seul coup dans mon boyau chaud et humide: « Hum quel cul tu as salope ! Oh que je suis bien dedans ! ».

    Et sans arrêter de me peloter les seins il m’encule de toute la puissance de ses reins comme s’il avait envie de me transpercer de part en part.

    Mardi 17 Janvier 2017 - 15h50

    Il gémit et grogne en s’acharnant dans mes fesses me faisant hurler de douleur autant par ses mains qui jouent avec les pinces de mes tétons que par ma chatte qu’il plaque brutalement sur l’écorce sans se soucier des boules qui me défoncent l'intérieur du vagin !

    On dirait que chacun de mes cris multiplie sa force et la taille de son sexe qui entre et sort à présent en toute liberté dans mon anus, de plus en plus lubrifié : « Oh je n’ai jamais défoncé un cul aussi bon que le tien, chaud et serré, il me branle comme jamais je ne l’ai été ».

    Je le sens grossir encore plus en moi et dans un long grognement, il explose dans mon cul, ventre collé à mes fesses pour jouir le plus profond possible en moi. Je réalise à peine qu’il m’a enculée sans préservatif, mais je suis tellement excitée que je n’y fais pas vraiment attention.

    Il lâche mes seins mais reste profondément enfoncé dans mes fesses, semblant récupérer après cet effort intense.

    Il me glisse à l’oreille : « Tu sais comment on honore une putain de ton calibre ma belle Loréna ? ». Je ne réponds rien, car je ne connais pas la réponse ! Mais il me la donne très vite : je sens un liquide tiède inonder très rapidement mes fesses et mes intestins : il est en train de me pisser dans le cul !

    « C’est ça honorer une pute aussi salope que toi : lui pisser dans le cul, après avoir soigneusement vidé ses couilles pleines dans son réservoir à merde ! Dis moi que ça te plaît pouffiasse de luxe ! ». J’ai vraiment du mal à lui murmurer : « Oui j’aime ça et je mérite vos humiliations, Monsieur ».

    En riant il finit de pisser et s’essuie la bite sur mes fesses avant de me libérer : « Lâche cet arbre : tu vas continuer ta promenade ». En me reculant, je sens l’urine s’échapper abondamment de mon anus béant, et souiller mes cuisses et mes jambes.

    Pierre joue avec moi comme avec un jouet télécommandé, assuré de ma totale obéissance. Après m’avoir fait traverser des bosquets, me frotter à des arbres plus gros que le précédent, m’asseoir pour me branler sur une souche morte, il me fait revenir vers lui pour me détacher les mains et les coudes.

    Mais le jeu ne s’arrête pas pour autant, et il continue en me faisant étreindre, lécher, embrasser et mimer une baise avec un arbre. Son dernier ordre me fait faire dix pas en avant : au cinquième je sens que j'entre dans l'Allier, je suis obligée d’avancer, malgré le froid glacial de l’eau, jusqu’à ce qu’elle m’arrive aux genoux.

    Pierre me dit alors : « Accroupis toi et fais ta toilette intime, je n’aime pas les salopes qui sentent la pisse quand je les baise ! ». Je n’ai guère le choix et, malgré le froid de l'eau et l'humiliation extrême de cette situation, je ne suis pas trop mécontente, car je me sens vraiment très sale ! Je me lave le con et le cul en essayant d'enlever toute trace d’urine et de ma propre mouille, qui a coulé sur le haut de mes cuisses.

    Il a la courtoisie de ne pas me laisser trop longtemps dans l’eau et c’est en frémissant de froid que je fais le chemin inverse. Je suis accueillie par une serviette et Annie, qui me donne une bouffée de sa cigarette en me disant à l’oreille : « Hum tu sais j’ai de belles images de toi ma pute, ton audimat va monter en flèche ! ».

    Pierre, qui semblait s’être éloigné, revient. Il enlève en quelques gestes rapides les boules de mon vagin, les pinces de mes lèvres et de mes tétons, en me faisant hurler de douleur. Il en rit : « C’est meilleur quand on les pose pas vrai ? ». Je fais humblement oui de la tête. « Rassure toi je te les remettrai plus tard, mais je ne veux pas te mutiler ! ».

    Mardi 17 Janvier 2017 - 16h20

    Il se rapproche de moi, relie par deux clips mes bracelets de poignets au collier de mon cou et me laisse debout avant d'attacher les bracelets de mes chevilles entre eux.

    Je suis incapable de bouger les bras et de faire un seul pas et, inquiète, je me demande ce qu'il compte me faire, mais Pierre est un bavard fier de ses idées, et, très vite, il me dévoile son projet !

    « N’aie pas peur, tout va bien se passer : tu as deux anneaux cousus dans le cuir de ton soutien-seins, je vais les clipser sur deux chaînes d'environ deux mètres et les réunir en une seule, grâce à un anneau. Je nouerai une longue corde à cet anneau et je ferai passer la corde, au dessus d'une solide branche d'arbre, juste au dessus de toi ».

    « Et, ce, avant de la relier au treuil de mon 4x4 ! Je vais te demander, comme à toutes les salopes que j'ai envoyées en l'air de cette manière, si tu as envie de me raconter la suite ? ». Pendant qu’il me parlait, il exécutait tout ce qu’il disait et c’est remplie de terreur que je le supplie : « Oh non, Monsieur, vous ne pouvez pas me faire ça ! Je vais avoir horriblement mal et vous risquez de me mutiler les seins ».

    Je prends un aller retour puissant qui me fait très mal : « Tu crois que tu es la première salope que je pends par les nibards ? Pauvre conne, je ne saurais même pas les compter, tellement j’en ai vu jouir, accrochées à ma corde, en me suppliant de les punir encore plus fort ! ».

    Et sans plus s’occuper de moi, il s’éloigne. Je l’entends s’affairer, probablement pour choisir une branche solide, me conduire dessous et jeter une corde au dessus de la branche avant d'allumer son moteur.

    « Décontracte-toi, pétasse ! Tu vas monter très lentement, mais sûrement au septième ciel ! ». Par des petits bruits, de maillons ou de frottements, je sens la corde se tendre.

    Au début tout va bien, j’ai simplement l’impression que mes seins sont pétris par des mains gigantesques, mais peu à peu, mes pieds se soulèvent, je passe sur leurs pointes, la pression sur mes seins augmente, et d’un seul coup mes pieds quittent le sol, me faisant hurler de douleur et gigoter comme un poisson accroché à un hameçon !

    Il lève encore la corde d’une vingtaine de centimètres, je suis bel et bien suspendue dans le vide, uniquement retenue par les anneaux de mon soutien-seins, la poitrine broyée par le poids de mon corps qui compresse mes seins dans cette armature de cuir rigide assez solide pour me supporter.

    Les larmes étouffent mes cris de douleur. Je pleure à présent à chaudes larmes en pensant que je suis en train de vivre le plus mauvais moment de ma jeune vie ! Il coupe son moteur. Un lourd silence tombe sur la clairière, uniquement déchiré par mes sanglots de souffrance.

    Je l'entends marcher, il ne doit pas être loin de moi, et, en effet, sa voix me parvient d'en dessous : « Tu es très belle avec tes mamelles superbement bien déformées. J’aurais du te laisser tes écraseurs de bouts, tu aurais beaucoup plus souffert. J'adore lire la souffrance sur le visage d’une belle salope bien éduquée et très chaudasse ! Mais, à ce sujet, je dois aussi penser à toi !».

    Il revient peu de temps après et m’écarte sans ménagement les cuisses pour y glisser sans difficulté ce que je comprends être le vibro qu'il avait jeté dans les broussailles avant de m'enculer debout comme une catin ! Lorsqu’il sent qu'il est bien au fond de moi, il télécommande sa vitesse maximale !

    Un peu sevrée de jouissance par Annie et surexcitée par le rôle qu’elle me fait jouer avec cet inconnu, je ne tarde pas à me balancer et me tordre au bout de ma corde alors que le vibro fait des ravages en moi.

    Mes pieds, liés ensemble, me garantissent que je ne peux pas le perdre, car mes cuisses restent très serrées. Pierre s’adresse à Annie : « Tu m’as dit qu’elle était mariée et que je ne pouvais pas la marquer, c’est bien exact ? ». « Oui ça fait partie de nos conventions ».

    Pierre rit : « Sauf si je la frappe sans la marquer ! ». Annie est bien obligée d’approuver : « Ah dans ce cas : mais je ne connais qu'une seule manière pour ne pas marquer ! ». « Eh bien, soit tu vas la reconnaître, soit tu vas en apprendre une autre ! Si je te dis serviette mouillée que me réponds-tu ? ».

    « Oui, c'est aussi ma solution ! ». « Bien, mais avant de tremper cette serviette dans le fleuve et de la faire jouir avec mes coups soigneusement dosés, je vais m‘amuser autrement avec elle ».

    Je le sens se rapprocher de moi, nouer une corde autour du clip qui unit mes pieds et, probablement en la faisant passer par dessus la même branche et en la tirant à la main, il lève mes pieds vers l’arrière, en arrêtant juste avant qu’ils ne touchent mes fesses.

    Dans cette position, je dois contracter un peu plus mes cuisses, pour ne pas perdre le vibro. Après l'avoir entendu arrimer la corde à sa voiture, je l'entends s'éloigner de moi : des bruits de feuillage et de branches brisées m’inquiètent un peu.

    Quand il revient, je comprends de suite ce qu'il fabriquait en recevant le premier coup sur la plante des pieds. Coup donné par une branche souple et fine que je connais aussi sous le nom de badine : ses coups sont secs et rapprochés. Il fait bien attention de ne jamais frapper deux fois au même endroit, la douleur est donc intense et j'ai l’impression qu’on m’enfonce des aiguilles.

    Délaissant mes plantes de pied brûlantes, il attaque mes orteils en les visant très précisément, pour faire très mal sans me marquer, tout en m'humiliant oralement comme je constate qu'il adore faire : « Tu vois, ma pouffiasse, ce soir, tu auras du mal à aller te coucher mais tu pourras écarter les cuisses sans problèmes pour te faire enfiler et servir de récipient de foutre à qui voudra de toi ! ».

    La force de ses coups et la vulgarité de son propos me prouvent qu’il est très excité, mais en m’imaginant, ce soir, recevoir le sexe de mon mari en moi après avoir joué à la pute maso tout l’après midi, je n’en peux plus et je ne peux contrôler un orgasme puissant qui me ravage et me tord le corps en me faisant hurler sans aucune retenue.

    « Tu as vraiment déniché la Reine des salopes, Annie, regarde comme elle se tord de plaisir et de douleur : j’ai rarement vu ça ! ». Estimant sans doute que mes pieds et mes orteils ne peuvent en supporter plus, Pierre fait retomber mes pieds liés et je me retrouve pendue verticalement, le vibro toujours profondément enfoncé en moi.

    Je ne l'entends plus, ce qui n'est pas bon signe !

    Mardi 17 Janvier 2017 - 16h40

    Le premier coup de serviette mouillée claque sur mon ventre, comme je ne suis suspendue que par un anneau, mon corps ballotte et se balance longuement comme un sac de patates après chaque coup. Il choisit soigneusement la partie de mon corps qu’il veut atteindre, mes seins, mes fesses, mon visage, mes cuisses, il n’épargne rien, faisant comme sur mes pieds, en ne frappant jamais deux fois au même endroit.

    J’ai horriblement mal, je n’arrête pas de le supplier d’arrêter, je pleure, je sanglote, mais rien n’y fait, plus je mendie sa pitié plus il tape fort.

    Du fin fond de ma détresse j’entends Annie dire : « Je constate, encore une fois, qu'il n’y a aucune marque sur son corps ! ». Pierre rit : « Oui, elle n'est pas du tout marquée, et, pourtant tu as vu que je ne retenais vraiment pas mes coups ! Je t'avoue que je n'ai jamais compris pourquoi ce tissu mouillé ne laissait pas de traces ! Mais je t’assure qu’elle sent bien les coups et que ses larmes ne sont pas feintes ! ».

    Les coups sont de plus en plus rapprochés, mais ils cessent de temps en temps, probablement pour que Pierre puisse remouiller la serviette, qui sèche peu à peu au contact de mon corps.

    « Si je peux me permettre un conseil, Annie, filme bien son visage à chaque coup : ce sera la partie la plus jouissive de ton film, car très peu de soumises acceptent d'être frappées, beaucoup de clips pornos sont tournés avec des filles qui font semblant de souffrir, mais ce n'est pas le cas de ton esclave, à qui j'ai murmuré à l'oreille au début de notre rencontre, qu'elle était chère mais qu'elle prendrait cher de ma part ! ».

    Je suppose qu’Annie ne s’en prive pas. Je suis pratiquement évanouie, suspendue comme un jambon à ma corde, quand, d’un seul coup, le silence se fait et les coups cessent.

    J’entends le moteur du 4x4 se mettre en route et la corde descendre peu à peu. Quand mes pieds nus touchent le sol, j’ai envie de hurler tellement ils sont sensibles, mais l’absence de pression sur mes seins me fait tellement de bien, qu'elle minimise toute autre douleur.

    Pierre enlève les clips de mes poignets et de mes chevilles, puis il dégrafe les courroies de mes seins et m’enlève l’armature du soutien-seins : « Hum, ce soir, tu devras garder un tee shirt pour te faire niquer : tes beaux nibards sont bien marqués ! ».

    Annie me rassure en lui disant : « Je n'aime pas que mes amies soient marquées, c'est pour ça que je fais fabriquer un onguent, à l'étranger, qui m'assure qu'en moins de trois heures, toute trace de coup aura disparu ! Loré sait qu'avec moi elle n'a pas de souci à se faire ! C'est aussi à ça que je sers Pierre ! ».

    En l'écoutant, je sens l’odeur spécifique de l’arnica : c’est Annie qui me fait découvrir pour la première fois son baume secret, il est vrai que, pour le moment, je n'en avais pas eu besoin !

    Pierre s'impatiente un peu : « Annie, le temps m'est compté, tu pourras la bichonner dans ta voiture : enlève lui le vibro et son masque, je veux qu’elle me voit en train de la tringler ».

    Annie en a fini avec mes seins, comme je m'y attendais, elle m'ordonne de faire glisser le vibro de mon sexe, et m’enlève le masque en me conseillant de garder les yeux fermés et de les rouvrir doucement.

    C’est ce que je fais, le flou se fait réalité, je vois la clairière dans laquelle nous sommes, le sourire d’Annie, le fleuve qui coule à deux pas de nous et Pierre, un grand homme bien charpenté, nu, avec un sexe très développé, comme mon cul a déjà eu l'occasion de le constater !

    « Couche toi par terre dans l'herbe, lève bien tes cuisses et écarte les, tu vas savoir ce que c’est que d’être remplie par une grosse pine ».

    Je me couche dans l’herbe humide, ouvre mes cuisses, les lève en tenant mes chevilles de mes mains. Il s’agenouille devant moi, frotte son gland humide sur ma chatte trempée, et entre tout son gland facilement avant de se laisser tomber sur moi m’empalant d’un seul coup, il est en effet tellement bien membré qu'il me remplit totalement le vagin, ce que je ressens assez rarement !

    Il est tellement excité qu’il me pilonne de suite par des allers et retours rapides, sans se préoccuper de mon plaisir, ce que je comprends parfaitement : je suis là pour son plaisir et non pas l'inverse ! Je constate qu’encore une fois, il n’a pas mis de préservatif, j’espère au moins qu’il est sain. Il s’agrippe à mes pieds et semble vouloir me défoncer le ventre en me niquant violemment jusqu’à jouir en grognant, tout en lâchant au plus profond de moi de longs jets de sperme tièdes et visqueux que je sens, malheureusement à peine !

    Il reste longuement collé et enfoncé en moi avant de ressortir, d’essuyer sa bite sur mon bas ventre et de se relever, me laissant sur le sol, épuisée, haletante, essayant de récupérer de mes émotions et de mes souffrances.

    Mardi 17 Janvier 2017 - 17h10

    « Bravo Pierre, bon timing, ça fait exactement deux heures que tu es avec Loréna : j’espère que tu t’es bien amusé ». « Hum beaucoup plus que ça et je vais même lui donner un pourboire ! ». Il sort quatre billets de 50€ de sa poche et me les jette sur le corps : « Tiens, tu les mérites bien, des filles aussi salopes que toi doivent s’entretenir. Je ne tiens pas à te perdre et je veux te revoir souvent ! ».

    Annie dit évasivement : « Nous verrons bien, merci pour elle, allez nous te laissons partir, je vais laisser mon amie se remettre et nous partirons aussi ».

    Je suis encore couchée quand le 4x4 démarre et s’en va. Annie m’aide à me relever, me tend la serviette. Je m’essuie un peu tout le corps pendant qu’elle rassemble nos affaires. J’ai tellement mal aux pieds que je ne peux pas remettre mes talons, et c’est finalement, juste vêtue de mon manteau que je rejoins l’auto.

    Elle me dit : « Assieds toi sur la serviette, tu es pleine de sperme, je ne veux pas que tu tâches mes coussins ! ». Elle démarre. Je constate qu’elle prend le chemin le plus court pour aller chez nous et moins de dix minutes après, nous nous garons devant sa maison et elle m’invite à entrer chez elle.

    Mardi 17 Janvier 2017 - 17h30

    Je marche en claudiquant, tout en me disant que si le baume ne fonctionne pas bien, comment vais-je pouvoir expliquer l’état de mes pieds à Yves ?

    Sitôt entrées dans la maison, Annie me dit : « Vas te laver, soigneusement, tu trouveras l'onguent à base d'arnica dans l’armoire à pharmacie, fais moi penser à t'en donner un flacon pour chez toi, tu risques d'en avoir besoin. Tu peux en mettre sur tes seins et surtout sur tes pieds, insiste surtout sur le dessus, sauf fétichisme particulier, Yves ne te regardera pas la plante des pieds ! Et prends un de mes peignoirs quand tu auras fini ».

    Je profite longuement de la douche, me lavant surtout du sperme de cet inconnu qui m'a louée. J’en ai tellement honte, mais en me lavant la chatte, je me rends compte que toute l’humidité ne vient pas de la douche et que je suis encore très excitée. Je dois admettre que j'aime être salope ! Je réalise qu’Annie et Pierre ne m’ont autorisé qu’un orgasme chacun, préférant m’utiliser à leur guise.

    Dix minutes après, je sors de la salle de bains, en peignoir et mules de bains, la pommade m’a fait du bien, mes douleurs aux seins appartiennent au passé et je peux marcher sans boiter.

    M’entendant sortir de la salle de bains, Annie me crie de la rejoindre dans son bureau : « Assieds toi à côté de moi, je suis en train d’envoyer le film de cet après midi à Tom. Je suis sure que tu vas faire un carton et en plus tu as gagné plein d’argent : regarde tout ça est à toi ! ».

    Sur le bureau il y a 500€. « C’est à te dégoûter de rester honnête ! Tu ne crois pas ma pute ? 500€ en deux heures. Combien gagnes tu par mois, ma chérie ? ». « 3.000€ nets, Madame ».

    « Eh bien tu vois, en 8h, tu peux gagner ton salaire mensuel net d'impôts et en plus, toucher des royalties confortables sur tes films ! Ça vaut le coup de faire quelques petits sacrifices et en plus il m’a semblé que tu n’avais pas détesté la bite de Pierre ? ».

    J'essaye de ne pas trop réagir en lui avouant que c'est le genre de sexe qui m'excite le plus ! « Et, iras-tu jusqu'à me dire pourquoi ma petite putain vicieuse ? ». « Oui, Madame, car je sais que si je vous dis, que j'en ai honte, vous allez me punir, alors, je vous avoue, sans oser vous regarder que j'aime les sexes... « … Non, putain, les pines ! Pas les sexes ! ». « Pardon, Madame, les pines de la taille de celle de Pierre, car elles ne sont pas trop longues et ne blessent ni l'utérus, ni les intestins, mais que, par contre, comme elles sont grosses et larges, elles me remplissent parfaitement mes orifices et rendent mon vagin ou mon sphincter... « … Non, sale pouffiasse : mon con et mon trou à merde ! ». « Pardon Madame... et me remplissent mon con et mon trou à merde si bien qu'ils deviennent des zones érogènes fantastiques ! »

    « Yves en a une plus grosse ? ». Je baisse les yeux et dis d'une petite voix : « Non, Madame, elle est un peu plus petite mais il sait très bien s’en servir ». « Oui, mais Pierre était là pour te baiser et t’enculer et pas pour t’envoyer en l’air, contrairement à ton mari, tu comprends ? ». « Oui, Madame, j'ai bien su faire la différence ».

    « Bon le film est envoyé, je suppose que tu dois rentrer chez toi. Mais, avant, nous devons essayer de planifier un premier jet de notre emploi du temps pour ces deux semaines à venir. Si je résume ton long mail pour cette semaine : tu es libre jeudi et vendredi de 12 à 14h, et samedi nous festoyons tous les quatre chez vous à partir de 19h30. Et nous avons un travail à faire : l'organisation de la soirée de samedi, c'est bien résumé, ma Chérie ? »

    « Oui, Madame, c'est tout à fait ça ». « Tu as beau être à poil et sûrement trempée sous ton peignoir, tu peux m'appeler Annie et me tutoyer, ma chérie, je pense que tu as eu, en deux heures, assez d'émotions pour la semaine ! ».

    « Oui, tu pourrais même dire pour des mois ! ». « Tu as tort de penser ça, ma chérie, dans quelques jours, ces deux heures deviendront ton fantasme préféré pour te masturber, et, es-tu sure de ne jamais me demander avez vous des nouvelles de Pierre, Madame ? ! ». « Je suis trop novice dans ce monde pour te contredire, mais il est vrai que j'ai déjà des réactions qui m'étonnent moi même ! Donc, je ne peux jurer de rien ! ».

    « Bah, nous verrons bien, je te propose le programme suivant : jeudi nous nous retrouvons toutes les deux vers 12h pour une pizza chez Mario, avec des blocs notes et nous mettons ta soirée de samedi au point, à une condition ? Tu veux deviner laquelle ? ». « Je pense que, puisque Madame s'est retirée, ce n'est pas une condition de cul ! Ça ne peut pas être une condition de choix de pizza, c'est donc que tu veux payer l'addition à ton tour ? ». « Bravo, la dernière fois, tu as été la plus rapide, mais à partir de maintenant, on paye chacune notre tour, ok ? ». J'éclate de rire : « Bien sur que c'est ok ! ».

    « Quant à vendredi, on peut avancer sur l'emploi du temps de la semaine prochaine, pendant laquelle tu auras beaucoup de temps libre, et se faire un petit chinois à domicile chez moi, si tu aimes cette cuisine et manger avec des baguettes ! ». « Très bonne idée, et j'adore la cuisine chinoise ! ».

    Encore une fois les mêmes goûts, je constate que nous avons beaucoup de points communs, mais heureusement qu'en bdsm nous sommes complémentaires et non identiques !

    Mardi 17 Janvier 2017 - 18h30

    « Parfait, il est 18h30, Jean ne va pas tarder à rentrer de chez tes beaux-parents, il voudra retrouver sa douce Maman ! ».

    A cette pensée qui me ramène sur terre d'un seul coup, je rougis, me méprisant pour mes instincts si vils et si bas : « Ramasse tes jouets, ton argent, remets ton manteau et file chez toi te préparer à accueillir ta petite famille, même si on se revoit jeudi, ça ne nous empêche pas de nous téléphoner pour se faire une bise ou se donner des nouvelles ! Et si empêchement, c'est un mail ».

    Elle m’embrasse longuement sur la bouche tout en glissant une main dans mon peignoir pour me caresser mes seins tièdes et la descend vers ma chatte nue : « Tu es encore trempée avec des nichons bien durs ! Yves va se régaler ce soir ! N’oublie pas de lui raconter pourquoi tu es si excitée ! ».

    Elle rit et me laisse aller. Je ramasse mes affaires, me change et après un dernier baiser, je la quitte et rentre pieds nus chez moi.

    Je m’habille correctement, enfile des chaussons moelleux et finis juste de ranger mes jouets quand Jean ouvre la porte, en me faisant basculer dans une toute autre vie.

    Mercredi 18 Janvier 2017 - 23h00

    Tout le monde est couché, je finis un dossier pour mon travail et j'en profite pour envoyer un message à Annie et non à Madame ! Je ne sais pas si ça va me rapporter un baiser ou une punition, mais il faut savoir vivre dangereusement :

    « Bonsoir, Annie, je te confirme que je sortirai du bureau vers moins cinq et que je serai chez Mario à 12h à epsilon près, mais avec l'obligation de te quitter vers 14h30 maxi. Bonne nuit, je vais rêver de toi en baisant avec Yves, toute à toi, Loré ! ».

    Et je vais me coucher.

    Jeudi 19 Janvier 2017 - 11h45

    La matinée au bureau me semble bien longue, depuis 10h, je ne suis quasiment plus opérationnelle, attendant l'heure de sauter dans ma voiture pour rejoindre Annie chez Mario.

    Dans l'entreprise, nous avons un petit refuge qui est la loge d'Edmond, notre concierge. Avec l'autorisation bienveillante du patron, nous nous sommes adjugés le droit d'y griller quelques cigarettes, et il a toujours un café, un thé ou une autre boisson, que nous lui achetons à tour de rôle ! A nous offrir !

    C'est notre deuxième bureau comme il s'est lui même baptisé ! Et, j'y entre pour la cinquième fois de la matinée, ce qui est rarissime !

    Jeudi 19 Janvier 2017 - 11h55

    Après avoir papoté un peu avec Edmond, tout en vérifiant l'heure, je récupère mes affaires au bureau et je m'esquive en saluant tout le monde.

    Je ne suis pas loin de la pizzeria et j'y suis, comme prévu à 12h.

    Annie n'est pas arrivée, mais comme il fait beau, je l'attends dehors, au soleil en fumant une cigarette. Sa voiture entre sur le parking et se gare à côté de la mienne. Elle est ravissante, et très souriante. Elle me gronde de ne pas avoir choisi notre table et m'embrasse sans aucune gêne à pleine bouche.

    Nous entrons, Mario nous donne une bonne table et je propose : « Un apéritif, Annie ? Mais c'est moi qui l'offre ! ».

    Elle approuve en souriant, nous commandons deux mojitos sans alcool, Mario nous les porte avec une petite assiette d'antipasti, en nous glissant que c'est un cadeau de la maison pour ses plus belles clientes !

    Annie le regarde et me dit : « Il faudra que tu le pompes un jour prochain, il est trop mignon de bander sans arrêt pour toi ! ». « Ooooh, Annie, je pensais que Madame était en congé cette semaine ! ».

    « Oui, en principe, mais tu es bien placée pour savoir que les doubles personnalités sont assez difficiles à séparer ! Qui est-on ? Qui avons-nous en face de nous ? Questions toujours difficiles ! Mais rassure-toi, nous allons régler le problème de notre soirée amicale ! ».

    Jeudi 19 Janvier 2017 - 12h10

    Nous sommes très studieuses pendant tout le repas, malgré quelques piques à double sens, dont nous rions de bon cœur et, surtout de bonne humeur.

    Les pizzas sont délicieuses, Mario nous a même fait préparer deux six fromages, par son pizzaïolo et nous en sommes flattées.

    Jeudi 19 Janvier 2017 - 14h00

    Nous avons fini notre travail et Mario nous propose de nous servir nos cafés et deux cognacs offerts, en terrasse, tellement le temps est printanier. Il sait que ça nous permettra de prendre notre temps et surtout de fumer une cigarette avant de partir.

    Nous nous installons en plein soleil, et c'est vraiment très agréable, Annie regrette même de ne pas avoir pensé à demander à manger dehors !

    Les cafés-cognacs n'étant pas servis, je m'excuse auprès d'Annie en lui disant que je vais faire un petit pipi.

    Elle sourit : « Madame aurait tant à exiger de toi ! Mais Annie n'a rien à te dire, sinon de ne pas glisser en montant sur la cuvette ! ».

    Comprenant de suite l'allusion, j'éclate de rire et descends aux toilettes, en faisant un grand sourire à Mario, qui est en train de préparer notre petit plateau. Quand je reviens, nous sommes servies, Annie me donne la cigarette qu'elle vient d'allumer pour moi, et nous dégustons nos cafés-cognacs.

    Nous sommes si bien que nous lui redemandons deux cafés, refusons les deux cognacs qu'il nous propose, et allumons deux autres cigarettes.

    Nous les écrasons pour aller le payer à sa caisse, à moi les apéritifs et à Annie le repas !

    Nous sommes ses dernières clientes, et il nous dit : « A propos, ça fait des mois que je voulais le faire, mais j'oublie toujours : tenez ! ».

    Il prend deux cartes commerciales de son restaurant, et note au verso son 06 avant de nous les tendre. « Voilà, comme ça, vous m'aurez directement quelle que soit l'heure ! ».

    Nous le remercions et Annie me dit : « Ça mérite bien deux gros bisous n'est-ce pas ma Loré ? ». Sans attendre ma réponse, elle s'approche de lui, pour un gros smack sur la joue gauche ! A notre grande de surprise, il rougit comme un ado ! Et il devient carrément écarlate, quand c'est moi qui lui embrasse la joue droite !

    Annie rit franchement, moi un peu moins, car j'ai fait une liaison dangereuse, entre sa phrase de tout à l'heure, suggérant un pompier pour Mario, et cette transmission de N° de portable ! Bah, la vie est ainsi faite ! Mieux vaut que je la prenne au jour le jour !

    Nous regagnons le parking, et, sans aucune honte, tout en se doutant que Mario nous regarde, elle m'appuie le dos contre mon auto et m'embrasse profondément et longuement à pleine bouche et à pleines langues ! S'il avait le moindre doute, il sait à présent que nous sommes gouines ou tout au moins bisexuelles !

    Nous nous séparons avec un regret réciproque, en attendant de nous retrouver le lendemain vendredi, mais Annie m'a promis un mail dans la nuit pour m'en dire plus.

    Sur la route du bureau, je récapitule mentalement ce que j'ai à faire pour la soirée de samedi, en fait, pas grand chose : un ou deux mails et un ou deux coups de fil ! C'est bon de vivre au 21ème siècle !

    Jeudi 19 Janvier 2017 - 14h20

    J'arrive au bureau, vais prévenir le boss que je suis là, il me demande si mon repas en amoureux s'est bien passé, sans mentir, je lui dis que oui !

    Je salue ma nouvelle secrétaire, Sophie qui est un vrai bonbon comme nous disons en Espagne ! Elle remplace ma fidèle Arlette, qui a pris sa retraite bien méritée. Mais, malgré mon attachement et mes dix ans de collaboration avec elle, je reconnais que je bosse super bien avec Sophie, qui est un peu plus jeune que moi, très agréable à regarder, super diplômée, avec un QI aussi appétissant que son Q !

    Comme chaque fois, en m'asseyant dans mon fauteuil, je sors mon portable perso, je l'allume et fais pareil, avec mon portable d'entreprise qui, lui, reste en permanence dans mon tiroir de bureau, sauf quand je ne suis pas là et que je le confie à Sophie.

    J'ai deux messages privés et dix pour le travail mais aucun appel en absence sur les deux.

    Pour pouvoir le ranger de suite, je lis mes deux messages persos : avec surprise, j'en découvre un d'Annie, et un autre de mon tendre qui me souhaite un bon appétit et espère que j'aurai la forme ce soir pour un petit marathon de cul ! Je lui réponds de suite : « Un semi-marathon, oui, je n'ai pratiquement plus mal ! Un gros coup de langue pleine de salive, sur ton gland poisseux de sale pervers que j'adore ! ».

    J'ouvre avec curiosité celui d'Annie, et en le découvrant, j'ai le réflexe de regarder si Sophie peut me voir, mais je me rappelle qu'au départ d'Arlette, j'ai bougé nos bureaux pour que chacune ait un espace intime plus important, et heureusement !

    Rassurée, je le lis : « Ma chérie, je me suis régalée, plus du temps passé avec toi, que des pizzas 'rop bonnes de Mario comme doivent dire nos garçons ! Tu viens de descendre aux toilettes, sans ton téléphone, je ne peux pas m'empêcher de t'imaginer jupe remontée, culotte sur tes chaussures, con et cul nu ! Tu fais tes besoins comme si tu étais devant ma caméra ! ».

    « Je me suis déjà envoyée en l'air trois fois sur ce clip, et je ne compte pas m'arrêter : je t'y sens si salope, que même la scato qui n'est pas mon best du bdsm, m'excite comme une dingue. A demain, ma chérie, je vais essayer de te surprendre, en attendant je t'envoie trois liens de clips du Web, en te conseillant d'aller les regarder aux toilettes, car tu risques d'avoir besoin d'être seule ! Ne m'appelle pas à chaud, je préfère que tu me racontes tes réactions demain, de vive voix. Bon cinéma ma belle vicieuse de rêve ! ».

    Première vidéo : 5mn35. Blonde correctement faite, nue, solidement bondée sur une chaise, face à une télé qui diffuse un film porno hard, obligée de s'envoyer en l'air avec un vibro externe scotché sur son clito.

    https://fr.pornhub.com/view_video.php?viewkey=ph577d36fcdb56d

    Deuxième vidéo : 5mn35. Brune, star du porno, yeux bandés, bouche bâillonnée, superbement bondée, comme j'aimerais te voir un jour : couchée sur le dos, nichons gonflés et pincés, corps bien étiré, avec, elle aussi, un gode externe bien placé sur son clito, ses orgasmes ne sont pas feints !

    https://fr.pornhub.com/view_video.php?viewkey=ph5679929cb0bcb

    Troisième vidéo : 8mn35. J'ai quelques doutes sur l'authenticité de ce clip, mais, même, si la fille est complice, elle joue superbement bien. C'est probablement le futur de ta soumission ! Dès que cet accessoire et ce programme seront en vente, j'ai hâte de l'essayer sur toi !

    http://www.roadsexe.com/video/il-controle-lorgasme-dune-blonde-avec-son-smartphone-6437.html

    Jeudi 19 Janvier 2017 - 23h30

    Je sens le foutre, la mouille et la transpiration. Je demande à Yves s'il m'autorise à ne pas me laver avant de dormir. Il rit : « Tu as été tellement salope ce soir, que ce serait un crime de te laver, toute la chambre sent ton odeur de femme en chaleur ! Et tu sais bien que j'adore ça ! Je pense même que je te réveillerai pour une pipe dans la nuit ! Couche toi sans rentrer dans les draps, la tête posée sur mon ventre et ma bite ramollie dans ta bouche de pipeuse, tu dormiras bien mieux comme ça ma petite putain d'épouse ! ».

    Pour en arriver là, je n'ai rien laissé au hasard : au bureau, j'ai visionné deux fois chaque clip, une fois, sagement assise dans mon bureau, mais en me titillant le clito avec une règle de bois, et, une autre fois, nichons sortis de mon soutien-gorge, jupe relevée et culotte jetée dans un coin, en me branlant le clito cuisses largement ouvertes, debout ou sur la cuvette, mais chaque fois en m'arrêtant juste avant l'orgasme !

    Rentrée à la maison, j'étais chaude comme la braise. Yves m'avait prévenue qu'il serait là vers 20h, j'ai donc mangé avec Jean de bonne heure, gardé un plateau repas pour Yves, aidé Jean à faire ses devoirs, je l'ai bordé en lui autorisant une heure de télé et embrassé pour la nuit.

    Puis, j'ai attendu Yves, habillée en pute : talons hauts, bas avec porte- jarretelles, chatte et cul nu, soutien-gorge balconnets avec les tétons sortis et décorés de deux petits bijoux imitant les anneaux des femmes annelées, mais sans avoir à percer les tétons. A 20h, j'ai déclenché une vidéo porno louée sur Orange, et j'ai commencé à la regarder en me branlant cuisses largement ouvertes sur le lit, à côté du plateau-repas d'Yves !

    Et c'est comme ça qu'il m'a trouvée !

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 08h00

    Avant de partir au bureau, je rentre dans ma messagerie et y trouve un court message : « Rendez vous chez moi à midi ».

    Aucune instruction, rien d’autre, je passe une partie de la matinée à penser à ce rendez vous sans pouvoir percer les intentions d’Annie, qui, en fait, n'a pas signé son message : est-il d'Annie qui s'affirme de plus en plus comme une femme, dont je suis en train de tomber très amoureuse, ou de, Madame, qui se révèle être une dominante redoutable, expérimentée et très imaginative ?

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 10h00

    Ma ligne intérieure sonne. Je décroche en étant sure que c’est mon patron : « Oui, Loréna, bonjour ». Je suis très surprise d’entendre Annie : « Bonjour Loréna, tu peux me passer ma pute, s’il te plaît ». Pensive, je me demande comment elle a pu avoir ce N° ?

    Elle semble deviner ma pensée et me dit en riant : « Eh oui c’est fou tous les N° de téléphone qu’on peut trouver dans la mémoire d’un portable, tu sais ma pute ! ». Je ne réponds rien : elle est décidément trop vicieuse et trop intelligente pour moi, mais sa voix me fait vibrer des pieds à la tête : « Que puis je faire pour vous, Madame ? ».

    « Juste une question : dis moi simplement comment es-tu habillée ? ». Je n'ai pas besoin de me regarder pour lui répondre : « Une jupe grise en laine qui m'arrive au dessus des genoux, un chemisier blanc opaque, un soutien-gorge bleu marine, un tanga assorti, des bas dim-up et des talons plats ». « Tu as pensé à prendre mon alliance ? »« Non, Madame, mais avant d’aller chez vous j’ai le temps de passer chez moi, je quitterai mon bureau à 11h45, au plus tard ». « Entendu, j'ai promis de te surprendre, et tu vas l'être ! Je t’attends à midi avec ton unique bijou et aucun sous-vêtements ! J'ai reporté notre déjeuner chinois à une date ultérieure ».

    Comme d'habitude, elle raccroche sans un mot de plus.

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 11h50

    J’arrive chez moi, je n’ai pas fait grand chose entre 10h et 11h30, trop troublée par cet appel. Dans ma chambre, j'ôte tous mes bijoux, mets la chaîne avec l’alliance d'Annie. Je retire mes sous-vêtements que je mets dans mon sac, avec mes bijoux, prévoyant que, peut être, je devrais partir directement de chez Annie pour aller au bureau.

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 12h00

    Deux minutes avant midi, je me retrouve devant la porte d’Annie, un post-it y est affiché : « Je suis dans mon bureau ». Je pousse la porte en annonçant assez fort : « Bonjour, Madame, c’est moi ». 

    Je vais directement au bureau, Annie est devant son ordinateur.

    « Bonjour ma pute, je suis justement sur ta fiche, tu as trois clips dans le top-ten. Tu as dépassé les 10.000 visites et 20.000$ de chiffre d’affaires et déjà gagné 14.000$. Es-tu contente ? ».

    Annie sait très bien que ma motivation n’est pas l’argent, mais après un rapide change en €, je réalise que c’est une grosse somme : « Qui ne le serait pas, Madame, mais j’aimerais que vous preniez en compte que, sans vous, je n’aurais jamais pu gagner une telle somme et j'insiste pour que nous partagions toutes les deux, ainsi que toute somme à venir ! ».

    « Gentille idée, ma pute, mais il n’en est pas question, c’est ton travail, ton cul et ton obéissance, donc c’est ton argent. Ma récompense c’est ta docilité et le plaisir que tu donnes autour de toi, et le site de Tom que tu fais fructifier à grande vitesse ! ».

    Je ne réponds rien, je ne peux en tout cas pas accuser Annie de vénalité, elle vient de refuser une assez belle somme et je prends la décision de lui être encore plus soumise.

    « Dès la fin de ta séance avec Pierre, je suis entrée sur ton site perso dans bdsmissoire@ pour corriger une grossière erreur que Tom et moi avons faite : sur les photos postées pour imager ta fiche signalétique, j'avais demandé à Tom de flouter ton visage, mais il n'a probablement pas eu le temps de le faire, ou il l'a simplement oublié ».

    « Donc, pendant quelques heures, tu as été parfaitement reconnaissable sur ce site, en plus régional. C'est, en fait Pierrot la grosse bite qui m'a mis la puce à l'oreille en me disant : de toutes les manières, son visage est en ligne, donc je la connais déjà un peu, j'ai donc appelé de suite Tom au téléphone, pour passer mes nerfs sur lui, car j'étais furieuse ! Et, tu as eu beaucoup de chance jusqu'à maintenant, car tu ne m'as jamais vue furieuse ! ».

    « Bref, Tom s'en rappellera, et trente minutes plus tard, toutes tes photos étaient remplacées, grâce à notre studio de retouches, par ta sosie : cheveux longs châtain clair et vieillie de deux ans. Sans aucun problème vis à vis de ceux qui diront ne pas te reconnaître : tu es plus jeune que sur tes photos et tu as changé de longueur et de couleur de cheveux ! ».

    « Tu as un mail de Tom, et ses excuses dans ta boîte, maintenant, j’ai deux bonnes nouvelles à t'annoncer : sur les dizaines de propositions que tu as eues, je n'en ai retenu que deux, qui me semblent intéressantes ! ».

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 12h20

    Elle tourne les yeux vers moi : « Mais tu es encore habillée ? Mets toi à poil, tu sais que j’aime t'avoir nue à mes côtés ». Je me déshabille rapidement. L’absence totale de sous vêtements me rend la tâche plus facile : « Ôte aussi tes talons, je te veux complètement à poil ».

    Je m’exécute pendant qu’elle se lève et se rassied au bord du fauteuil, les cuisses ouvertes et elle soulève sa robe sous laquelle elle ne porte pas de culotte. « Agenouille-toi sous le bureau, et bouffe moi la chatte, je vais te lire les messages et tu me donneras les réponses que tu aurais faites, je rédigerai ce que je voudrai ».

    Je commence à la lécher, elle est juste un peu humide, mais ma langue va vite changer les choses : « Hum très bien applique toi, voilà la première réponse intéressante ».

    « Bonsoir, jolie Loré, je m’appelle Agnès, j’ai 45 ans, je te joins une photo en pied, habillée. Je suis très dominante, et depuis 20 ans j'ai eu de très nombreuses soumises. J’ai bien lu ta fiche et tu m’intéresses, j’ai les mêmes tabous que toi et j’habite à 80 kilomètres de chez toi. Je peux me libérer quand tu le voudras, la semaine ou le weekend-end, réponds moi vite, Agnès ».

    « Alors qu’en penses tu ? Cesse de me lécher et caresse moi avec tes doigts pour me répondre ». La bouche, gluante de ses premières sécrétions, je lui caresse la chatte et les lèvres de mes doigts : d’une petite voix, je lui demande si je peux voir sa photo. « Non, elle te conviendra, c’est moi qui en décide ».

    « Entendu, Madame, il faudrait peut être lui dire que je suis à sa disposition pour un après midi de la semaine prochaine, mais que je ne me déplace qu’avec vous, et, si cette condition lui convient, lui demander si elle préfère me rencontrer chez elle ou chez moi ? ». « Ça me semble être une bonne réponse mais il faut aussi lui parler de tes tarifs ? ».

    « Oh, Madame, je ne pense pas qu’il soit nécessaire d’aborder ce sujet avec elle ! ». « Je ne vois pas pourquoi, mais je vais simplement lui signaler que d’habitude, tu demandes de l’argent, on verra bien sa réponse ». « Bien Madame, comme vous le voudrez ».

    Elle rédige ma réponse et me la lit à haute voix : « Bonjour, Madame Agnès, ou Maîtresse Agnès, j’ai été très touchée par votre intérêt pour moi, et je suis prête à vous rencontrer un après midi de la semaine prochaine, par exemple mardi ou jeudi. Je dois simplement vous préciser que je ne me déplace jamais sans Madame Annie, à qui j'appartiens, qui regarde et filme, et que ma soumission est, en principe tarifée, qu’en pensez vous ? Je vous remercie de votre réponse, et si elle est positive, de me dire si vous préférez que nous nous voyions chez vous ou chez moi. Merci. Toute à vous : Loréna ».

    Elle relit sa réponse pour éviter toute faute de frappe et l’envoie.

    « Montre moi ta tête et suce tes doigts : tu aimes mes sécrétions vaginales ? Mon goût ? Et mon odeur ? ». « Oh oui, Madame, je les aime de plus en plus ». « Alors nettoie bien tes doigts et recommence à me lécher, je préfère ta langue de pute à tes doigts ! Je vais te lire la deuxième proposition, très différente » :

    « Bonjour Loréna, je m’appelle Lise et je suis une soumise comme toi, j’ai beaucoup aimé ta description, tes goûts et tes photos. Je suis bi, j’ai 30 ans et je t’envoie à mon tour quelques photos habillée et demi-nue. J’habite très près de chez toi, mais tu dois te demander pourquoi une soumise prend contact avec toi ! Je désire simplement savoir si ton Maître ou ta Maîtresse aimerait me soumettre en ta compagnie. Je sais bien que c’est une demande étrange, mais j’aimerais beaucoup obéir à tes côtés. S'ils ne veulent pas, je n’ai malheureusement personne à te proposer, ces temps ci, je vais de déception en déception avec des dominants ou des dominantes rencontrés sut le Web. J’espère que mon rêve ou mon fantasme pourra se réaliser, car ta demande m'a parue très sincère et vraie. Je t’embrasse tendrement, si tu veux me joindre, je te donne mon portable : 06 79 92 50 02. Je t’aime déjà, Lise ».

    « Tu vois c’est une demande diamétralement opposée, cette fille est décidée, elle a très envie de se donner et d’obéir avec une autre soumise, et elle est pressée puisqu’elle te donne même son portable, tu vas donc l’appeler et lui proposer l'après-midi de mardi ou de jeudi prochain ». « Sors de la table et montre moi ta chatte ».

    Je me redresse et me mets debout à ses côtés, jambes légèrement ouvertes, elle se penche et me regarde de près : « Hum je vois que ces dialogues et cette minette ne t’ont pas laissée indifférente, tu as un beau filet de mouille sur l’intérieur de ta cuisse. Tu es une vraie salope ! ».

    Elle prend son téléphone, compose le numéro de Lise et me passe l’appareil. La jeune femme répond après deux sonneries :

    « Oui bonjour ».

    « Bonjour Lise, tu as répondu à une annonce sur le Web ».

    « Oui je m’en souviens, attends je ne suis pas seule, je vais sur la terrasse ». Annie a mit le téléphone en mains libres, elle entend donc tout. « Voilà je suis tranquille ».

    « Je m'appelle Loréna, Madame Annie, à qui j'appartiens, est d’accord pour nous dominer toutes les deux ».

    « Oh, quelle bonne nouvelle ! Remercie la très fort pour moi, et quand pouvons-nous nous rencontrer ? ».

    « Elle te propose ce mardi ou ce vendredi après-midi, et, pour la durée de ton choix, nous sommes libres de 13h à 19h ».

    « Je travaille, mais ça ne fait rien, je prendrai une journée de congé. Je préfère le mardi et profiter de vous deux le plus de temps possible ! Si ça lui convient, où veut-elle que nous nous rencontrions ? ».

    J’interroge Annie du regard qui me répond : « Chez toi ». « Elle préfère chez moi, je t’enverrai mon adresse et un plan d’accès par mail, ça te convient Lise ? ».

    « C’est parfait, votre réponse me conduit directement au Paradis, dis à Madame Annie que j’ai hâte d’être à mardi ! ».

    « Attends, elle m’écrit un petit mot, je te le lis : « N’attends aucune tendresse de ma part ! »».

    « Hum, tu peux lui répondre que je n’en attendais pas. Je pense être bien éduquée et comme je serai en compétition amicale avec toi, je saurai me surpasser en obéissance ».

    « Elle a entendu ta réponse et t’écrit un autre mot : elle te demande de ne pas jouir jusqu’à mardi ».

    Lise rit un peu nerveusement : « Entendu je resterai sage, pour arriver bien excitée chez toi et faire sa connaissance. Je t’embrasse, à mardi ma chérie, et je m'offre à l'avance à ta Maîtresse pour qu'elle fasse ce qu'elle veut de moi ! ».

    « Moi aussi je t’embrasse Lise, au plaisir de te connaître ce mardi ».

    Et je raccroche.

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 13h00

    « Voilà un mardi après midi qui risque d'être excitant, dis moi, ma pouffiasse préférée, je voulais te poser une question : as-tu aimé te prostituer pour moi ? ».

    Yeux baissés, je réponds doucement : « Vous ne pouvez pas l'ignorer, Madame, puisque j'ai joui les deux fois, dans les wcs ou au bord d'Allier ». « Oui je m’en doutais, mais je préfère t’entendre me le dire avec tes mots de pute de gare : vas y je t’écoute ! ».

    « Oui Madame, j’ai aimé faire la putain devant vous et pour vous. J'ai loué mon corps, mon obéissance et mon masochisme contre des billets de banque ! ». « Tu es une vraie salope née, j’ai bien peur que, si Yves te largue, tu ne finisses dans un bordel ! Tiens on a un message, il faut t'occuper : agenouille toi à côté de moi et ramasse tes souliers, tu vas lécher les talons et les semelles pendant que j'ouvre le message ».

    Je m’agenouille, pose mes chaussures devant moi et je lèche un talon devant la caméra d'Annie. Elle ouvre le message : « C'est une réponse d'Agnès :

    « Loréna, entendu pour jeudi après midi chez moi, si accord je t’enverrai mon adresse, ta Propriétaire est la bienvenue, mais seulement pour mater et filmer, sans participer, sauf demande de ma part. Pas question d’argent entre nous, mais j’ai noté que tu obéissais aussi vénalement, si tu es celle que tu dis être, tu auras de nombreux clients, car les jolies putes masos sont rares et très demandées dans notre région. Si ta Maîtresse est d’accord, envoie moi un message par retour : Agnès ».

    Sans même attendre une réponse de ma part, Annie envoie son accord que je signe à distance en léchant une semelle sale, de plus en plus excitée qu'elle joue à sa guise avec moi et mes rendez-vous de putain !

    « Bien samedi soir notre dîner amical à quatre, mardi un après midi avec mes deux soumises Lise et Loré et jeudi, un après midi avec ta Maîtresse, Agnès : tu commences à avoir un emploi du temps de ministre ! Il te reste dimanche pour satisfaire ton petit mari par un feu d'artifice de vices et de perversions ! ».

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 13h15

    Elle rit, coupe l’ordinateur et m'ordonne de la suivre. Elle prend sa caméra et passe devant moi, je la suis nue et obéissante : « Tu sais où est la cuisine, trouve toi un tablier et prépare moi un bon café, tu n’as qu’à fouiller pour trouver tout ce qu’il te faut ».

    Je me dirige vers la cuisine alors qu’elle va au salon, j’ouvre quelques placards et trouve tout ce qu’il me faut. J’enfile un tablier qui ne cache pas grand chose de ma nudité et, peu de temps après, j’entre au salon avec la cafetière, une tasse, du sucre et une petite cuillère.

    Annie est en ligne avec son associé Tom :

    « Je sais bien qu’on te réclame des nouvelles vidéos d’elle, mais elle travaille, elle est mariée et a un enfant, je ne peux pas la filmer 24h sur 24. Je t’enverrai dans l’après midi un film, mais c’est tout ce que je peux faire. Mais oui elle n’est pas conne, et sait bien que plus elle est filmée, plus elle est demandée et plus elle gagne d’argent. Je t’assure que la semaine prochaine, comme son mari s'absente, tu auras beaucoup plus de matière. Oui elle est avec moi, elle est en train de me servir un café, à poil, avec juste un petit tablier qui ne cache rien. Allez je te laisse je t’enverrai le film dans l’après midi, j’ai à faire avec elle. Bise Tom ».

    Elle raccroche : « Sais tu, écarteuse de cuisses, que je n’ai jamais couché avec Tom et pourtant, chaque fois que je vais le voir, je suis seule et je reste plusieurs jours, mais nous sommes d’accord, tous les deux, pour ne pas mélanger le travail et le plaisir. Le café doit prêt, vas le chercher ».

    Je retourne à la cuisine, sentant son regard sur les mouvements de mon petit cul mis en valeur par des bouts de tablier, et je reviens avec la cafetière. Je la sers, remue son café et lui propose sa tasse.

    « Hum très bon ton café. Va te mettre au coin, face au mur, lève ton tablier et commence à te branler, je veux vite entendre tes bruits de mouille ». Au coin, je pose ma main droite sur ma chatte et je me caresse, avec d’autant plus d'envie que je suis réellement trempée.

    Elle déguste son café. Très vite les premiers chuintements de mes doigts trempés de cyprine résonnent dans le silence de la pièce. Elle s’approche silencieusement de moi par derrière et me mordille vicieusement le lobe de l’oreille m’obligeant à pousser des petits gémissements avant de me glisser au creux de l’oreille : « Je te sens très chaude, je me trompe ? ».

    « Ooooh non, Madame, vous ne vous trompez pas ». « Je me demande si un jour je te verrai obligée de te lubrifier ? J’ai vraiment l’impression que tu es constamment en chaleur. Allez, enlève ce tablier et retourne toi. Tu vas continuer à te toucher, à poil et me raconter à haute voix ton vice et ton goût pour la soumission et pour l’exhibition. Allez vite, j’attends ! ».

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 13h25

    Le tablier tombe par terre et je me retourne, deux doigts dans la chatte et un autre sur le haut de mes lèvres, pelotant mon clitoris gonflé et rouge. Je dois m’éclaircir la gorge pour lui dire : « Oh oui, Madame, j’aime me caresser, à poil, devant vous ».

    Elle sourit, allume une cigarette et me dit : « Je veux que tu t’humilies verbalement, que tu sois plus qu'une putain et très vulgaire ». Je prends tout de même le temps de réfléchir, avant de dire à haute voix : « Oh, Madame, j’aime me branler à poil devant la caméra, me toucher le clitoris en bougeant mes nichons pour montrer que je suis une vraie salope en chaleur ».

    « Tu peux faire mieux ! Passe tes doigts pleins de mouille sur tes tétons de pute, je les veux luisants sur le film ». Je m’exécute et enduis mes tétons enflés, du jus de ma connasse. Elle filme en gros plan, ne ratant rien du durcissement de mes bouts de seins : « Fais les bien bander, pour que tous tes clients voient et entendent bien ce que tu fais ». « Oh oui, Madame, je fais bander mes bouts de mamelles de pute en chaleur, mon con déborde tellement je suis excitée, je suis fière que vous le montriez à mes clients ».

    « Très bien, continue de te branler ». Elle approche sa caméra de mon sexe pour ne rien rater du travail de mes doigts dans ma chatte et sur mon clitoris : « Dis moi ce que tu es train de te faire ? ». « Je me touche comme une vulgaire putain en chaleur Madame ». « Et, bien sur, tu as envie de t’envoyer en l’air ? ». « Oh oui, Madame je suis surexcitée, mon clitoris me fait mal, tellement j’ai envie de jouir ».

    « Tu ne préférerais pas une grosse bite qui exploserait ton réservoir à foutre ? ». « Oh oui, Madame je préférerais jouir avec une grosse pine en moi ». « Mais, nous n'avons pas le temps d’appeler un de tes clients, c’est dommage, tu perds de l’argent, n’est ce pas salope ? ». « Oui, Madame : cet orgasme ne me rapportera rien ». « Car d’habitude tes jouissances te rapportent ? Tu es donc une prostituée ? ». « Oui Madame, je suis une prostituée vicieuse qui aime autant l’argent que le foutre ou la cyprine ou les grosses pines dans mon cul de salope paillasson de rien du tout, Madame ! ».  

    Annie sourit, contente de m’avoir poussée dans mes derniers retranchements. « Mais pour moi ce sera gratuit, allez arrête de te branler et à genoux, lèche moi et fais moi jouir comme la bonne esclave que tu es en train de devenir en si peu de temps ! ».

    Assise sur le canapé, elle retrousse sa jupe à la taille, écarte ses cuisses et m’offre sa chatte trempée. J’ai à peine le temps de m’agenouiller qu’elle plaque sa chatte sur ma bouche en me tirant par les cheveux. Elle filme le travail de ma langue sur son sexe tout en me demandant de croiser les mains dans le dos. Elle est tellement excitée qu’en quelques coups de langue elle jouit, comme d’habitude, en silence et avec pudeur.

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 14h00

    Elle se fait longuement lécher et nettoyer la chatte avant de regarder sa montre : « Tu vas être en retard, vas vite te doucher, t’habiller et file au bureau, ton mari sera heureux de te faire hurler cette nuit ! Pense à moi dans l’après midi ça te maintiendra en forme ! ».

    Horriblement frustrée de ne pas avoir pu jouir, je vais vite me doucher, me rhabille et remets mes bijoux. Je suis en retard. Annie me crie de son bureau : « File ma pute et à samedi soir, bonne baise ce soir avec ton mari, pense à moi ! ». Il est 14h quand je quitte sa maison un peu désorientée.

    Vendredi 20 Janvier 2017 - 17h00

    Je suis seule au bureau depuis mon retour de chez Annie. J'ai réglé les affaires courantes, répondu à quelques appels, vérifié un montage de pièce détachée délicat sur un Falcon en révision et vers 17h, comme il me l'avait demandé, j'ai appelé mon boss qui faisait sa partie hebdomadaire de golf avec ses amis industriels, pour lui résumer un après midi comme les autres, il m'a souhaité un bon weekend, après m'avoir donné l'autorisation de m'occuper de mon dîner depuis mon bureau !

    Pour ma soirée espagnole, puis qu’après tout, j'ai les deux nationalités ! J'ai tout commandé et confirmé chez José mon traiteur habituel, content de préparer pour Yves et moi une belle soirée espagnole, sans que ses prix ne soient contestés !  Des tapas variées, chaudes ou froides, des portions plus élaborées pour les entrées et une belle paella faite chez nous, de même que la sangria au Cava, équivalent de notre blanquette française et un plateau d'excellents fromages manchegos, soit en provenance de la région appelée La Mancha !

    Vincent, le cuisinier que José nous attribue, me rappelle au bureau pour me signaler qu'il viendra une première fois de 14h à 15h pour préparer la sangria, et à partir de 18h comme Chef et serveur, sans limite d'heure, tout en me rappelant que le traiteur facturera chaque heure de présence 50€, comme convenu sur le devis que j'ai reçu par mail et que j'ai renvoyé signé et approuvé. J'approuve et lui dis que je l'attendrai demain à 14h et que j'espère que nous nous entendrons bien et, que la soirée sera une belle fête !

    Samedi 21 Janvier 2017 – 11h00

    Quand je me réveille, ce samedi matin, j'ai l'impression d'avoir dormi une semaine ! En fait, Yves et moi avons festoyé jusqu'à 2h du matin, et j'ai tellement joui que je me suis endormie comme une masse sans m'en rendre compte !

    En ouvrant les yeux, je découvre un mot sur ma table de chevet, je le lis de suite : « Ma chérie, tu es si belle quand tu dors la chatte ouverte, j'ai failli te baiser pour te réveiller, mais finalement je suis allé au bureau, je reviendrai vers 17h, si tu as besoin de moi, appelle, je lèche ta chatte si sucrée ! Ton violeur inconnu ! Il est 8h dors bien ! ».

    Je petit-déjeune, prends un long bain pour me laver le moindre recoin de peau, j'enfile une mini parure en soie et un tee shirt XXL, des espadrilles trouées et je m'installe au salon, devant la télé avec mes cigarettes et une cafetière de café bien fort !

    Je fais un petit point de ma situation.

    Je n'ai pas grand chose à faire pour notre soirée à quatre, il me reste à attendre le cuisinier à 14h, et, préparer la maison, après son départ.

    Je n'ai aucune nouvelle d’Annie depuis hier, pas d’appel, pas de messages. Je n’ai même pas eu le temps d’entrer sur le site pour y découvrir mes derniers clips, ma vie normale m’a précipitée dans son train train habituel, dont je n'ai pas pu sortir.

    Yves a croisé Marc dehors, ils ont papoté quelques instants et il a eu le temps de lui dire que la tenue de samedi était décontractée : une vraie soirée entre copains et, aucunement une réception !

    Je téléphone à mes beaux-parents pour m'assurer que tout va bien pour Jean, il est en train de faire un Scrabble avec le beau-père, je ne les dérange pas et, appelle Yves, pour lui dire que j'attends le cuisinier pour la sangria. Ensuite je préparerai la maison, qu'il peut venir quand il le veut, et, que, s'il a le temps, en passant devant un fleuriste, qu'il achète un beau bouquet rouge et jaune pour décorer notre table des couleurs de l'Espagne. Il me promet un sans faute et raccroche après m'avoir baisée partout partout !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 14h00

    Je suis tellement relax que je m'endors devant la télé et, c'est la sonnette qui me réveille en sursaut. J'ai un peu de mal à émerger et me dirige en zombie vers la porte.

    J'ouvre et un jeune homme souriant me salue : « Bonjour, Madame Dufour, je suis Vincent, le Chef du Traiteur José et je viens pour préparer la sangria pour votre soirée ! ». Il me semble charmant, bien habillé avec son tablier-blouse blanc immaculé, et sa toque de chef qui m'a toujours fait rigoler.

    Je le fais rentrer. Mais, avant de démarrer, je lui propose un café, qu'il accepte et que nous prenons au salon, bien que non fumeur, la fumée ne le dérangeant pas, j'allume une cigarette et nous papotons un peu.

    Il a 30 ans, marié depuis deux ans à une adorable Geneviève de 26 ans, pour le moment sans enfant, et il est chez José depuis six ans, soit, à peu près comme nous en qualité de clients ! Il est très content de son job d'extra, car, pratiquement tous les vendredis ou samedis soirs, José l'envoie chez des clients, qui, souvent le rappellent pour une autre soirée chez eux : il s'est donc fait sa petite clientèle ce qui lui permet de travailler sans souci, et seulement deux jours par semaine au plus !

    « Je suis heureuse de rencontrer quelqu'un qui aime son travail, comme c'est mon cas, j'adore que les gens soient heureux et bien traités dans leur job ! ». « Oh, oui, Madame Dufour, vous avez raison, c'est si agréable d'aller faire sa journée en sifflotant ! ». « Et, sûrement plus agréable si vous m'appelez Loréna et moi Vincent, non ? ». Il rit : « Ah, ça c'est la cerise sur le gâteau ! ». « Ce que je trouve normal pour un cuisinier, on va bosser ? ».

    « Oh, non, Madame, oh, pardon, Loréna, je ne veux pas que vous travailliez, c'est mon job ! ». « Mais je peux tout de même vous regarder élaborer votre sangria, bien qu'Espagnole d'origine, je vous assure que je ne vous ferai aucune réflexion ni aucune recommandation ! ».

    « Il rougit un peu, et me dit, non, ce n'est pas pour ça ! ». « Voyons, si ma présence vous gêne à ce point, Vincent, je saurais m'effacer et même disparaître si vous insistez ! ». « Nooon, je me suis mal exprimé, bien au contraire Loréna, j'ai très envie que vous restiez avec moi, considérez que je n'ai rien dit, montrez moi la cuisine, je vais chercher mes ustensiles et mes produits dans ma camionnette ! ».

    Il y a des choses qui se disent et d'autres qui se sentent, mes tétons ont senti que ce garçon avait un problème dans sa braguette, et qu'il était un peu... gêné et qu'un aller-retour dans sa camionnette était vraiment nécessaire !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 15h00

    Vincent s'en va, la sangria est prête, elle embaume toute la cuisine : une bonne odeur de beaux fruits à jus fraîchement coupés : citrons, oranges, bananes et pommes, de très bons vins rouges de la Loire, livrés à la bonne température et bien sur les épices secrètes de Joséqu'il n'a pas voulu me dévoiler ! Avant d'arroser le tout par huit bouteilles de Cava Carta Negra au lieu de la traditionnelle limonade ! Saupoudrés de zestes d'agrumes et de dés de fruits, ces douze litres sont allés dans deux conteneurs à température et aération contrôlées pour que les fruits et les épices aient le temps de donner tout leur arôme !

    Je l'ai surpris, en le prenant en photo, quand il versait la dernière bouteille de Cava, il a un air sérieux qui le fait rire, mais, on sent tout son professionnalisme et on peut voir que c'est un jeune homme qui n'a, physiquement, pas beaucoup de défauts !

    Dès que la porte est refermée, je me jette sur mon canapé et j'envoie cette photo à Annie et Yves sur leurs mails normaux, en accompagnant d'un : « Ci-joint un avant goût de la sangria de ce soir, et de Vincent notre Chef cuistot, très agréable, Annie, merci de transmettre à Marc et bises à tous les trois !».

    J'envoie aussi un double de mon ordinateur : « Madame, je vous présente Vincent ! Votre salope ! ». Je ne sais pas ce qui va m'arriver, mais je sais que je l'aurai bien cherché, à vouloir jouer la pute on gagne souvent !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 16h45

    J'ai terminé ma préparation, la table est mise, il me manque le bouquet central pour la terminer, j'ai préparé les tables d'apéritif et des bouteilles de Cava sont au frais, si nos amis le préfèrent à la sangria.

    Vincent sera là dans une heure avec les boîtes de tapas froides qu'il faudra dresser sur des plats qui sont prêts et les plaques de tapas chaudes qu'il suffira de glisser dans le four. Quant à la paella, José m'avait demandé si notre cheminée était en marche, et vue ma réponse négative, Vincent m'a prévenue qu'il venait avec un réchaud à rampe de gaz ronde pour la préparer dans le grand plat qui porte son nom dans la cheminée, comme ça, pendant l'apéritif, tout le monde pourra apprendre comment on fait une paella !

    Un peu désœuvrée, et aussi excitée par cette heure passée avec un homme qui, visiblement, évitait de me regarder pour ne pas afficher ou accentuer son désir, je vais me réfugier dans la chambre d'amis, je me mets à poil, je cale mon téléphone sur la commode, juste au dessus du petit lit et je mets en route la web-cam, manœuvre que j'ai l'habitude de faire, dans cette chambre, pour garder des traces de mes branlettes sauvages et solitaires !

    Et, couchée confortablement sur le dos, je pose ma main droite sur ma chatte bien épanouie pour me masturber avec la volonté affichée de m'envoyer en l'air au moins une fois.

    Un peu comme ça > Vidéo de 5mn01 très réaliste !

    http://www.roadsexe.com/video/belle-femme-atteint-vraiment-lorgasme-en-se-masturbant-5379.html

    Après un orgasme très réussi, je reste de longues minutes sur le lit en me caressant distraitement les seins et la chatte, mais, renonçant à flemmarder plus longtemps, je me lève nue, vais dans mon bureau et transfère mon petit clip de cinq minutes sur le disque protégé qu'a créé Yves pour notre vidéothèque intime. Puis, en changeant de partition du disque dur, je l'envoie à Annie avec un commentaire très court : « En pensant à vous, Madame, à tout à l'heure, votre putain chaude et vicieuse, plus excitée de vous revoir que calmée par cet orgasme ! ».

    Puis je vais me doucher. Et j'enfile une tenue intermédiaire pour recevoir Yves, probablement dans peu de temps, et Vincent à 18h, en décidant que je m'habillerai pour la soirée vers 19h.

    Samedi 21 Janvier 2017 - 17h10

    Je sors de la salle de bains, en peignoir, pour aller me changer dans la chambre quand j'entends la porte s'ouvrir, Yves est à l'heure, j'en suis très heureuse et cours pour l'accueillir et l'embrasser sur la bouche, comme une arapède heureuse de retrouver son rocher !

    Il est ravi de cet accueil et constate rapidement que je suis nue sous le peignoir : « Dis-moi, petite salope ! Que fais-tu à poil sous ton peignoir à cette heure ci ? Tu t'es tapée le beau cuistot ? Tu l'as caché où ? Je veux lui demander ce qu'il pense du vice de ma salope d'épouse ! ».

    « Ah, non, Yves, c'est vrai qu'il est à croquer et que je ne l'ai pas laissé indifférente, mais j'avais pensé me faire baiser devant toi ce soir quand tout le monde serait parti ! Mais ça va te coûter 50€ de l'heure car c'est son salaire horaire que José va nous facturer ! ». « S'il prétend avoir bossé alors qu'il te baisait, je vais lui faire la tête au carré à ce connard de Chef ! » 

    J'éclate de rire : « Hum, Yves, puisque tu sembles avoir une petite envie, je te propose un jeu coquin, ça te dit ? ». « Tu m'as déjà vu refuser une proposition de cul de ta part ? ».

    « Euh, non pas vraiment, Yves ! Donc, voilà mon jeu : je viens de me filmer, en train de me branler, à poil, dans la chambre d'amis, sans sex-toy : un bel orgasme très chaud, bien que filmé avec la web-cam de mon portable. Je te propose de le regarder, je viens de classer dans ta vidéothèque, sous le nom de : 21/01/17 - Loré jouant seule, il fait 5mn. Tu y rajoutes le temps qu'il te faut pour faire ce que tu voudras : cigarette, toilettes, douche, un coup de fil, sangria, enfin, bref ce que tu veux ! ».

    « Nous avons 45mn devant nous avant l'arrivée du Chef. Moi, je vais dans notre chambre. Quand tu es prêt, tu me donnes le temps total qu'il te faut pour me rejoindre, donc cinq minutes de visionnage, plus le temps dont tu as besoin. Je me mets à poil et je me couche sur le côté droit, la tête enfoncée dans un oreiller, prête à accueillir ta bite dans le trou que tu voudras, mais sans avoir le droit de te voir une seule fois, et, quand tu me pénétreras, je regarderai l'heure et tu auras cinq minutes pour nous faire jouir tous les deux, si l'un des deux n'a pas joui, tant pis pour lui ! Ce scénario t'excite, mon amour ? Et, même, si tu veux je cadrerai ma web-cam, et en entrant dans la chambre tu n'auras qu'à la démarrer ! Alors, on joue ? Je t'en priiiiiiiiiiie , j'en ai trop enviiiiiiie ! ».

    « Bien sur que oui, ne fais pas ta gosse capricieuse, mais si ton clip est bandant, prépares-toi à jouir du cul ! Ça fait trop longtemps que je n'ai pas défoncé ton petit trou ! Laisse moi réfléchir, je te dis dans quelques secondes combien de temps il me faut pour te rejoindre au lit ! ».

    Je le laisse vaquer à ses occupations, et vais au salon fumer une cigarette, un passage discret de ma main sous mon peignoir me signale que j'aime vraiment beaucoup ce scénario !

    J'ai bien peur que comme l'argent attire l'argent, le vice attire le vice et en plus avec une grosse inflation ! 

    Samedi 21 Janvier 2017 - 17h30

    Il revient des toilettes et me dit : « Loré, il est 17h30, à 17h40 ma bite t'enculera ! A de suite ! ». Je souris, je constate qu'il a pris l'option de voir mon clip sur l'ordinateur familial, pendant que je vais dans notre chambre.

    J'ôte mon peignoir, je me couche sur le côté droit, tête vers ma table de nuit, je note qu'il est 17h31 et je me mets un oreiller sur la tête pour ne plus rien voir ni entendre !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 17h40

    Oh, bien sur, ce n'est pas nous, mais ça ressemble beaucoup à ça https://fr.pornhub.com/view_video.php?viewkey=ph59790fec7cfef

    Vidéo de 4mn32 : bilan, deux orgasmes : mes cris sont enregistrés et ce qui coule de mes fesses n'est pas du lait de chèvre !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 18h00

    Vincent est très ponctuel, mais, étant encore dans la salle de bains, j'ai délégué à Yves le soin de le recevoir et de l'aider en m'attendant.

    Samedi 21 Janvier 2017 - 19h00

    Quand je sors de la chambre, je suis assez contente de ce que je viens de voir dans ma psyché : je porte une petite robe grise légèrement pailletée, avec un décolleté froncé par un élastique, dénudant l'épaule droite et recouvrant la gauche, très à la mode il y a quelques temps, mais que, moi, je continue à beaucoup !

    La robe s'arrête juste au dessus des genoux, et il n'y a pas de trace de bretelles, mais un soutien-gorge balconnet et même un tanga assorti, peuvent très bien être cachés sous la robe !

    L'ensemble se termine par des dim-up gris brillants et par des escarpins noirs à talons mi-hauts. Ma gorge semble fière de présenter un très joli collier en perles qu'Yves m'a offert pour nos deux ans de mariage avec ses boucles d'oreilles assorties. Et je n'ai aucun autre bijou apparent à part mon alliance ! Mais, pour faire une surprise à Annie, j’ai caché sa chaîne et son alliance dans un des bonnets de mon soutien-gorge.

    J'entre sans faire de bruit dans le salon, les hommes ont terminé d'installer la rampe de gaz ronde, un grand plat à paella est posé sur les flammes et de l'huile d'olive frémit sans bouillir. A côté, Yves a installé une des tables de la plage de la piscine, qu'il a même recouvert d'une nappe assortie à celle de la table principale, et Vincent a posé dessus tous ses ingrédients et a commencé sa préparation.

    Ailes et cuisses de coquelet, chorizo doux, petit salé fumé, poivrons, petits pois, lotte, crevettes, palourdes, clovisses, amandes, petits calmars, moules et, pour le bouquet final : langoustes et crevettes royales, crustacé dont j'affirme que la chair est la meilleure du monde !

    Dans le pays où l'on affirme qu'il y a autant de recettes de paellas que d'Espagnoles, je sais que Vincent va faire dorer ces ingrédients dans le plat de cuisson, les ressortir, et quand tout sera prêt, il reconstituera le plat, et, quand il le décidera, tous les ingrédients seront recouverts de Cava, de jus de cuisson des coquillages et d'eau. Les épices, secrètes, seront rajoutées et à l’ébullition, il jettera en pluie le riz rond pour une cuisson de vingt minutes et dix minutes de repos sous une feuille de papier alu !

    NDLR > Vous voyez qu'en plus de vous informer de ce que vous pouvez faire avec une femme soumise, je vous offre gratuitement une recette de cuisine !

    Les deux hommes sont tellement occupés, qu'ils ne font pas attention à moi. Vincent demande une cuillère à Yves, en l'appellent par son prénom, et Yves va la lui chercher. Vincent se retourne et semble pétrifié en me voyant !

    J'éclate de rire : « Eh, Vincent, je ne suis pas un fantôme ! Vous avez le droit de regarder, je ne vais pas vous transformer en statue de sel ! ».

    Yves éclate, lui aussi de rire, et me siffle comme seuls les supporters de l’O.M. savent le faire, à défaut de savoir parler ! Et il se fait aussi gronder : « Ça va bien, n'en rajoute pas, sinon, je vais me changer ! ».

    Yves me regarde en me disant : « Tu n'en auras pas le temps, nous sommes deux et nous te ligoterons pour que tu n'ailles pas te changer, c'est compris, belle inconnue ! ».

    Faussement boudeuse, je m'assieds, bras croisés, dans le canapé en grommelant : « Je suis chez moi, et je n'ai même pas le droit de faire ce que je veux ! ». J'allume une cigarette et conclut en lui disant : « Tu peux annuler la soirée, je ne dirai plus un mot ! ».

    Yves éclate de rire : « Ah ! Ça c'est une bonne nouvelle ! On va enfin passer une soirée tranquille ! Allez, Loré, ce n'est pas juste, j'ai claqué une fortune pour ton bouquet rouge et jaune : ils vont arriver et n'auront même pas le droit de voir cette œuvre d'art ! ».

    Je bondis à ce rappel de mon devoir et file à la cuisine, le bouquet est, en effet magnifique. Je le mets dans le plus beau vase que j'ai et il fait un superbe effet sur ma table !

    J'ai à peine le temps de bisouiller la joue d'Yves, de le remercier pour le bouquet et lui dire qu'il est très élégant avec son pantalon de flanelle, son pull assorti, une belle chemise Arrow et des mocassins Nike, que la sonnerie retentit annonçant que nos invités arrivent !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 19h30

    Il n'y a que Marc, qui salue Yves et me fait une bise : « Content de faire ta connaissance, Loréna, Annie m’a beaucoup parlé de toi, j’avais hâte de te rencontrer ! ».

    De près, Marc est un très bel homme et, à mon avis, il le sait ! « Yves m'a dit que c’était une soirée cool, mais je vois que tu es très élégante : eh bien tant pis nous ferons avec ta belle tenue ! Annie arrive, elle s'est rendue compte qu'elle avait oublié ses cigarettes ! ».

    « Yves, je te laisse avec Marc, je vais voir si Vincent a besoin d'un coup de main et j'ouvrirai à Annie, soyez tranquilles ».

    Vincent gère tout très bien et je retourne donc dans l'entrée où Annie arrive juste, me fait une bise et me dit : « Eh bien, ma chère Loré, ça fait une éternité que je n’ai plus de nouvelles de toi ! ». « Oui j’ai été un peu débordée et j’ai du aussi préparer mes absences de la semaine prochaine pour ne pas laisser mes dossier en pagaille ! ».

    « C’est bien, je vois que tu es une bonne employée modèle ! J'avais oublié mes cigarettes et je ne voulais pas passer la soirée à te piquer les tiennes ! ».

    « Que font nos hommes ? ». « Ils visitent la maison ». On les entend marcher au dessus. Annie s’approche de moi et me mordille l’oreille en me palpant les seins et en glissant une main sous ma robe : « Bijoux, soutien-gorge et culotte ! Tu as tout faux aujourd’hui ! ».

    « Je n’avais pas vraiment le choix, Yves et moi, nous nous sommes habillés dans la salle de bains, mais j’ai ton alliance dans un des bonnets de mon soutien-gorge ». « J’espère qu’elle est en contact avec ton bout de mamelle bien dur ! ». « Hum, oui, je la sens à chaque mouvement ! ».

    « Tu veux que je te présente Vincent, il est dans la cuisine ? ». « Avec plaisir, mais demande d'abord à nos hommes quand ils comptent nous rejoindre ! ». Je stoppe au niveau de l'escalier central et crie : « Alors les hommes, vous descendez pour l’apéritif ? Tout est prêt, Annie et moi n'attendons que vous ! Et les tapas de Vincent vont cramer ! ».

    Yves me répond : « Patientez cinq minutes, nous sommes au grenier et je montre quelques uns de mes jouets en bois à Marc ! On se régale, mais on arrive ». « Bon mais ne tardez pas trop on vous attend ! »

    Annie me prend par la main : « Ils en ont pour un moment, c’est parfait, viens avec moi ». Je la suis, elle m’entraîne dans la salle de bains dont elle ne ferme pas la porte : « Donne moi ta culotte, je vais la ranger dans le tiroir de ta commode, si Yves s'étonne que tu n'en aies plus, dis lui que tu l'as enlevée car elle te gênait ! Il comprendra ! Mais, pour toute la soirée, je te veux cul nu et chatte bien accessible ».

    Je me rends compte que je rougis moins à certaines de ses demandes : je m’exécute et elle range ma culotte, après l'avoir sentie. Elle glisse sa main droite sous ma robe, je sais qu'elle se contente de constater que je suis déjà très humide, j'attends sa réflexion, mais elle se contente de sourire sans m'en faire ! Étonnant !

    Le plancher du grenier craque : « Ils sont encore en haut, parfait, baisse le haut de ta robe et sors tes nichons de leurs bonnets par le haut ». Elle m’aide à descendre la crémaillère latérale de ma robe que je baisse à la taille, apparaissant en soutien-gorge.

    Je fais sortir chaque sein de son bonnet, tout en gardant sa chaîne et son alliance dans une main. En souriant elle prend un bâton de rouge à lèvres dans son sac et me maquille rapidement les tétons me disant à l’oreille : « Regarde comme les prostituées se maquillent leurs bouts de mamelles de pute pour plaire à leurs clients : tu aimes ? ».

    Je rougis en me regardant dans le miroir : « Je trouve que c’est un peu trop vulgaire, Madame ». « Et toi tu ne te crois pas vulgaire ? Je ne peux même pas te laisser sans soutien-gorge toute la soirée, tu bandes des nichons tellement fort que tout le monde va s’en rendre compte ! N’est ce pas ça la vulgarité ? ».

    Le bâton de rouge à lèvres à la main, elle se penche et m’écrit quelque chose sur le ventre, que je ne peux pas lire. Elle sort son portable de son sac et prend deux photos de mes seins ainsi sortis et maquillés, deux autres en exigeant que je lui offre mes seins en les soulevant de mes deux mains et deux dernières de l'inscription qu'elle m'a faite sur le ventre.

    « Range tes nichons et rhabille toi : on doit aller les attendre au salon ».

    Samedi 21 Janvier 2017 - 20h00

    Nous nous installons dans deux fauteuils. Je prends le temps de la regarder. Elle est visiblement allée chez son coiffeur, et est très élégante, dans une robe rouge légèrement décolletée, avec des bas gris très clair et des escarpins rouges, magnifiques, aux talons assez hauts.

    Vincent vient nous proposer de nous servir, mais je lui réponds que nos maris arrivent et que nous les attendons, nous allumons deux cigarettes et parlons de Jean et de son plaisir d'être chez mes beaux-parents qui le gâtent beaucoup et chez qui il est un peu le roi !

    Quand les hommes descendent enfin, ils ressemblent à des amis d'enfance, environ le même âge, le même style d'habillement sport-chic et ils n'arrêtent pas de rire en décrivant quelques uns des vieux jouets en bois d'Yves, collection que j'adore aussi !

    Vincent revient et nous propose en apéritif, du Cava, de la sangria préparée cet après midi sous les yeux mêmes de votre hôtesse ! Ou des apéritifs de bar variés : whisky, vodka orange, gin-tonic ou autre ! Tout le monde approuve la sangria, et il revient avec un plateau rempli des premières tapas chaudes et froides, quatre très beaux verres et apporte un énorme pichet de sangria tout à fait adapté : transparent, avec une grande spatule de bois enfoncée, pour permettre d'écarter les morceaux de fruits et les glaçons lors du service.

    Il nous sert et nous attaquons de suite, les tapas sont délicieuses et en fermant les yeux, je me remémore mes bons moments dans mon pays d'origine : Jaén la blanche flottant sur sa mer d'oliviers, en Andalousie !

    Marc lance : « C’est amusant comme deux maisons identiques peuvent être différentes, une fois décorées et agencées ! ». La conversation tourne autour de ce thème tandis que nous dégustons tapas et sangria.

    Un silence se fait et c'est Annie qui enchaîne « Tiens Loré, tu as acheté la paire de chaussures que tu m'avais montrée sur le Web ? ». Très surprise, je lui réponds, « Euh, oui, Mada... Oh, pardon, Annie ! Je les ai reçues hier, tu veux les voir ? ». « Bien, sur, tu sais comme je suis curieuse Loré ! Excusez-nous, Messieurs, des histoires de filles nous attendent ! Nous revenons tout de suite ! ».

    Nous nous levons et elle me conduit directement dans notre chambre à coucher : « Fais attention, grosse connasse, tu as failli m’appeler Madame, tiens voilà les chaussures que j’ai portées toute la journée, renifle bien mon odeur de pieds, avant de nettoyer mes semelles avec ta langue de gaffeuse, et je ne tolérerai aucune autre erreur de toute la soirée ! ».

    Je sens l’intérieur de ses beaux escarpins rouges, l’odeur est, en effet, assez forte. Elle semble énervée, et de son pied gainé de bas, elle me pousse le nez vers l'intérieur d'un escarpin : « Salope et veule comme tu l'es, tu ne peux qu’aimer cette odeur de pieds, vas y, respire profondément pour bien apprécier ce parfum spécial truie en chaleur ! ».

    Elle me regarde faire, et glisse sa main droite sous sa robe, pour se toucher le bas-ventre sans salir sa robe. Elle se masturbe, visiblement avec envie avant de me dire : « Assez de te droguer avec mon parfum envoûtant de pieds sales, à présent, langue bien sortie, fais ton job et lèche bien mes semelles jusqu'à ce qu'elles soient impeccables ! ».

    Le nez rempli de cette odeur abjecte, mais si humiliante, je lèche avec soin ses deux semelles, heureusement pas trop salies par leur court trajet. De deux coups de ses pieds en bas, elle les fait sauter de mes mains en me disant : « Ça suffit : tu prends trop de plaisir, tu risques de jouir, on retourne au salon, sans que tu ne te rinces la bouche ! ».

    Marc nous demande : « Alors ces nouvelles chaussures ? ». « J'ai adoré leur odeur de cuir neuf, et beaucoup aimé les semelles, je crois que je vais acheter les mêmes, mon Chéri ! ». Je me concentre pour ne pas avoir de réaction. Marc continue : « Ah, donc, pas la peine de demander à les voir, je les découvrirai bientôt à tes pieds ma Chérie ! ».

    Vincent nous signale qu'il a préparé tous les ingrédients et qu'il va les, disposer définitivement dans le plat pour la cuisson. Il nous propose de le regarder faire, car c'est une cérémonie traditionnelle qui permet, entre autre, de découvrir, au passage tous les ingrédients qui composent ce plat aussi complet que complexe !

    Verres en main, nous nous rapprochons de la cheminée et le regardons faire, c'est un beau spectacle surtout quand Vincent sort d'un grand plat allongé et protégé par une serviette, les langoustes et les crevettes royales, pour nous les montrer avant de les remporter dans la cuisine, où elles cuiront séparément dans une poissonnière spéciale, dans une sauce préparée secrètement en cuisine, pendant que nous prenions l'apéritif !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 21h00

    Quand il revient de la cuisine, tout le monde est d’accord pour passer à table. Elle est rectangulaire et assez longue. Je l'ai dressée en mettant deux places face à face séparée d'environ trente centimètres de chaque côté du centre de la table.

    Mon idée était de laisser le très beau bouquet espagnol vers le fond de la table et symétriquement de garder l'autre côté libre pour y poser le plat à paella pour nous servir. Ce qui nous offre une table très confortable, sans que nous soyons ni trop séparés, ni entassés.

    « J'ai prévu de séparer nos deux couples : Annie et Yves d'un côté et Marc et moi de l'autre, avec comme vis à vis, soit nos maris, soit la femme de l'autre, c'est à vous de choisir ! ». Annie nous met de suite d'accord : « Je vois tous les jours mon mari, je préfère donc voir le sourire de Loré en face de moi ! ». Marc annonce un sentencieux ce que femme veut et nos places sont donc désignées : je suis face à Annie et j'ai Marc à côté de moi !

    Vincent nous explique que les entrées sont des tapas améliorées, donc, plus grosses que de simples bouchées, servies tièdes et cuisinées chez José avec autant d'attention que dans un trois étoiles Michelin ! Mais, il nous met en garde :

    « Attention, Mesdames et Messieurs, vous avez vu le plat unique qu'il y a après ces entrées ! Alors sachez garder des réserves ! Pour vous aider, j'ai l'habitude de proposer une pause sorbet et liqueur qui n'a rien à voir avec l'Espagne, puisque c'est plutôt un trou normand, après les entrées, pour que vous ayez le temps de récupérer votre appétit ! Si vous laissez dix grains de riz, c'est dommage, mais si vous laissez une langouste ou une crevette royale, c'est un crime de lèse paella ! ».

    Nous applaudissons sa diatribe et approuvons tous la pause sorbet et liqueur à laquelle nous rajoutons et quelques cigarettes ! A l'unanimité, nous décidons de continuer à la sangria, et Vincent s'apprête à commencer à nous servir, mais je lui propose : « Vincent, si tu as besoin d'un coup de main, Annie et moi sommes à ta disposition ! ». Annie, toujours coquine me reprend : « Oui, à ta disposition, mais bien sur, uniquement pour un coup de main ! ».

    Tout le monde comprend l'allusion Q, et nous éclatons de rire. Annie se fait moquer par Marc : « Ma Chérie, tu as toujours l'esprit mal tourné, je suis tombé sur la seule femme de la planète à penser comme toi ! ». Yves rit un peu plus fort, en lui affirmant, qu'en s'asseyant, il va avoir la deuxième en face de lui ! ».

    Nous explosons de rire, sauf Vincent qui ne sait plus où se mettre, d'abord tutoyé par la Maîtresse de maison et ensuite confronté à des affirmations, qu'il n'était pas censé entendre ! Mais il articule tout de même : « Oui, je veux bien, Madame, mon service sera plus fluide, surtout que je dois programmer la paella pour plus tard que prévu, merci d'avance, Mesdames ! ».

    Annie le gronde, en faisant semblant d'être colère : « Alors, tu ne nous aurais rien demandé ? Il faut que tu saches qu'ici, la patronne c'est Loréna, Yves n'a rien à voir, à part pour payer la facture, bien sur ! ».

    Quand les éclats de rire s'achèvent, elle continue : « Elle m'a appris que tu n'avais pas voulu t'asseoir avec nous, car José désapprouve, eh bien sachez Monsieur Vincent, que quand tu seras invité chez nous, tu mangeras avec nous, je te laisserai faire ton job en cuisine, et nous nous occuperons tous les deux du service, mais pas de la vaisselle ! Car je déteste ça et j'ai deux lave-vaisselles, pour être sure de ne jamais tomber en panne ! ».

    Annie nous fait un véritable sketch, et, est très applaudie. Vincent, qui a bien compris que nous adorions plaisanter et mettre les autres gentiment en boite, se mêle de bon cœur à nos rires ! « J'ai rarement eu des clients aussi sympas que vous, quelle belle soirée vous me faites passer ! ».

    Vincent s'exile dans sa cuisine et nous le rejoignons. Mais, en chemin, Annie s'approche de moi, et me murmure à l'oreille : « Ta gueule pue des pieds, lave toi un peu le visage et la bouche pouffiasse ».

    Je m’exécute et quand je me redresse devant l'évier, pour m’essuyer, elle me montre l'écran de son mobile, qu'elle sort d'une poche que je n'avais pas remarquée : « Tiens, regarde-toi » : elle fait défiler les six photos : je me vois, tétons maquillés, comme des nez de clowns, puis lui offrant mes seins avec un sourire niais, qui ne me met pas du tout en valeur et enfin, la phrase écrite sur mon ventre : je suis la putain d'Annie. Elle rit : « Tu n’oublieras pas de te démaquiller ce soir avant de te faire enfiler ! Il vaut mieux pour toi ! ».

    Je suis morte de honte. Mais on se concentre sur Vincent pour lequel nous sommes là ! Annie prend les premiers plats qu'il lui montre et je la suis avec ceux qu'il me confie, en mettant ma rougeur sur le compte de la chaleur de la cuisine ou mes trois fours fonctionnent.

    Le repas est très plaisant, les hommes s’entendent bien, Vincent est un très bon vivant, dès qu'il a quitté de sa tête, son uniforme de service, et, la complicité qui existe entre Annie et moi est bien visible.

    De temps en temps, elle pose un talon sur l’intérieur de mes cuisses pour s’assurer qu'elles restent bien écartées. La nappe nous cache et Marc qui est assis à côté de moi ne se rend compte de rien. A chaque changement de plats, nous nous levons toutes les deux sans qu’Annie n’aie besoin de me demander quoi que ce soit.

    Les rires et les plaisanteries fusent car les pichets de sangria défilent régulièrement. Quand je regardais Vincent la préparer, j'ai failli lui demander : « Pourquoi tant de sangria, nous ne sommes que quatre ? ». Et, là, je suis contente de ne pas avoir posé cette question ridicule, ma seule inquiétude est de ne plus en avoir quand la paella sera là !

    Tout le monde profite de ce qu’il n’y a pas à conduire pour rentrer à la maison pour boire sans contrôle, ce qui de temps en temps ne fait pas de mal !

    Vincent intervient : « Bien, nous arrivons à ce que nous allons appeler entre nous, le trou andalou si ça vous convient ? ». Annie s'agite et lève fiévreusement le doigt : « M'sieur, M'sieur, M'sieur ! Pourquoi le trou n'est pas au féminin ? ». Marc, écœuré, se lève et se dirige vers la porte en disant : « Bon je me casse, je vous laisse mon clown de service ! ».

    Nous rions aux larmes ! Vincent rectifie et propose « Non, plutôt la pause espagnole qui me semble mieux adaptée ! » Mais Annie ne le lâche pas : « M'sieur, M'sieur, M'sieur ! On peut s'adapter à n'importe quel trou vous savez, mais pas à une pause ! » Ce coup ci Vincent quitte la salle, il est rouge écrevisse et ne sait plus quoi dire !

    Sacrée Annie quand elle a trop bu, elle est vraiment intenable ! Yves essaie de sauver Vincent en nous disant : « Bon, je suppose que Vincent voulait nous dire que si nous passions au salon, il allait nous servir des sorbets au choix et à volonté ainsi que son meilleur Cognac XO, il y a aussi des cigarettes et des cigares et un grand panneau : « Ici il est permis de fumer, le cancer tue, mais il faut bien mourir de quelque chose ! »

    Nous rions tous en nous installant dans le salon.Je vais voir Vincent en lui demandant s'il veut que je l'aide ? « Merci, Madame Loréna, mais je n'ai pas besoin d'aide, je mets les riz dans la paella dans dix minutes, elle va cuire vingt minutes et se reposer dix autres minutes, ce qui veut dire que vous pourrez la déguster à partir de 22h45, et là, je n'ai rien à faire sinon, ranger mon matériel et congeler ce qui n'a pas été consommé en vous mettant un titre pour que vous sachiez ce que c'est, donc profitez de la pause et de vos invités, Madame Loré ! ».

    Je ne peux m'empêcher de lui faire un gros bisou et je le remercie en lui disant « Vous êtes trop chou, Vincent, je vous adore ! »

    Samedi 21 Janvier 2017 - 22h00

    Vincent vient nous annoncer que nous pourrons déguster la paella vers 22h45, en attendant, il nous annonce six parfums différents de sorbets, dont du sorbet au melon que je ne connaissais même pas, Annie demande bizarrement, et visiblement sans humour, s'il n'en a pas à la carotte, il répond que ça existe, mais que José ne l'a pas sélectionné !

    Pour ma part je demande du melon et du citron vert pour commencer et Annie de la figue et de la mangue fraîche et me dit : « Loré, tu me prêtes ta salle de bains ? J'ai sérieusement besoin de faire partir quelques vapeurs d'alcool en m'aspergeant le visage ! ». Je ris et lui réponds : « J'aurai trop peur que tu te noies dans le lavabo, je viens avec toi ! Peut être que ça me fera du bien aussi, sans toutefois être d'une nécessité absolue ! ». Des cris et des « Bouh, la menteuse fusent dans la pièce », m'obligeant à partir en courant me réfugier dans la salle de bains !

    Je ne ferme pas la porte et Annie m'y rejoint en venant de la cuisine, avec une boîte hermétique verte dans la main. Je lui demande si Vincent n'a pas besoin d'aide, elle m'assure que non, qu'il gère tout très bien, et elle me dit : « Je suis passée par la cuisine, car j'avais mis au frigo un petit cadeau tout simple pour toi, oh ! Ne me remercie pas c'est vraiment peu de chose ! ».

    Je suis un peu étonnée, mais je la remercie d'avance. Elle me dit de l'ouvrir, ce que je fais de suite ! Je suis surprise d’y trouver une carotte d’une bonne taille, sans fanes et soigneusement épluchée avec, à côté, un des préservatifs parfumés que j'avais achetés avec son argent, dans la pharmacie de village !

    « C’est pour ton petit cul ma chérie. Je n'aime pas qu'il soit vide trop longtemps, quand je suis avec toi, tu vas mettre la capote sur cette carotte, me donner son parfum après l'avoir pompée nue et à genoux comme chaque fois que tu fais une pipe ! Puis, tu t'enculeras, à sec, devant moi. Tu remettras ton tanga et je te donnerai une protection pour ne rien tâcher en t'asseyant ».

    « Et nous retournerons toutes les deux, comme deux jeunes filles sages, au salon pour continuer la fête, je te réserve une surprise, mais si je te dis ce que c'est, ce ne sera plus une surprise ! Alors, au travail, ma web-cam et moi nous te regardons très attentivement ! ».

    Horriblement humiliée de faire tout ça à quatre ou cinq mètres d'Yves, je pose la boîte sur la commode, j'enlève mes escarpins, mes bas dim-up, ma robe grise, je sors la chaîne et l'alliance du bonnet dans lequel elles étaient cachées, je la mets au cou et libère mes nichons du soutien-gorge.

    Debout, et à poil, je déchire l'emballage du préservatif, le positionne roulé sur le bout le plus fin de la carotte et en descendant la main, je le déroule jusqu'en bas, à l'odeur, je sens que c'est de la vanille, mais, pour bien obéir, je m'agenouille, cuisses ouvertes, tête levée et je pompe la carotte une vingtaine de fois avant de la ressortir pour lui dire :

    « C'est un parfum à la vanille, Madame ». « Bien, il te faudra chercher sur le web des capotes à la carotte et en acheter une trentaine de grosses boîtes, dorénavant ce sera ton parfum et ta signature de prostituée ! La pute, aux capotes parfumées à la carotte ! Ça t'ira très bien ! ».

    Carotte dans la main droite, je m’accroupis mais Annie me dit d’une voix douce : « Non penchée sur le lavabo : encule toi devant moi ». Je prends appui avec ma main gauche sur le lavabo, écarte un peu les pieds et passe ma main droite derrière moi. Annie me regarde tâtonner pour humidifier mon anus avec le peu de produit lubrifiant déposé sur le latex et insérer lentement les premiers centimètres de la carotte en moi.

    La petitesse de ce bout et le préservatif l’aide à entrer et elle disparaît rapidement de moitié dans mes fesses, mais le reste est plus dur, car elle s'évase de plus en plus et mon trou n'est pas assez lubrifié.

    Elle s'impatiente : « Tu veux que je t'aide à t'enculer à fond ma salope ? ». Comprenant que je n'ai pas le choix, je force le plus possible et les derniers centimètres rentrent difficilement. Pour le moment, et, sans bouger, le gros bout de la carotte me sert de bouchon, mais qu'adviendra-t-il quand je vais devoir me déplacer, m'asseoir ou me pencher ?

    Annie m'ordonne de me rhabiller, très gênée par l'intruse, je remets mes bas et mes escarpins. Elle sort mon tanga du tiroir de la commode et quand je l'ai enfilé, elle prend un grand mouchoir en tissu en me conseillant de le glisser entre le bout de la carotte et mon tanga pour éviter de tout tâcher ! Je finis en remettant son alliance dans un bonnet de mon soutien-gorge, que je remets en place, tout en ressortant mes tétons maquillés.

    J'enfile ma robe par la tête, je dénude mon épaule gauche, Annie semble contente de moi et me dit : « Très bien, va t’asseoir et dis leur que j'arrive, je passe par la cuisine pour apporter quelque chose ! ».

    En essayant d’être la plus naturelle possible, je vais m’asseoir en disant d’une voix rauque : « Annie m’a chassée de la cuisine, elle arrive ! ». 

    Samedi 21 Janvier 2017 - 22h20

    Nous profitons bien de la fin de la pause, toutes deux requinquées par ce passage dans la salle de bains. Les sorbets sont délicieux, je préfère refuser l'excellent cognac que me propose Yves, Annie, elle se laisse tenter !

    Et je dis : « Je vais sûrement passer pour une anarchiste, mais j'ai envie d'un double expresso pour expurger tout l'alcool que j'ai encore dans le sang, lutter contre la fatigue et bien profiter de cette somptueuse paella si bien préparée par Vincent ! Est-ce qu'il y d'autres anars pour me suivre ? ». A ma grande surprise, quatre mains se lèvent, tout le monde en avait envie sans oser le demander !

    Je vais vers la cuisine, mais Vincent a déjà préparé le plateau avec les tasses, le pot de lait, les cuillères, le sucre et est en train de mettre des doses dans la Nespresso que nous avons !

    Je le remercie encore, il me sourit en se penchant pour me dire doucement : « Attention, Madame Loréna, en vous rhabillant, vous vous êtes trompée d'épaule, c'est la droite qui était nue, et là, voyez par vous même !».

    Pour une fois, je rougis vraiment comme une tomate mais pas devant Yves ou Annie, mais devant un parfait inconnu qui me prend complètement à contre-pied ! Pourquoi me déshabiller dans la salle de bain en présence d'Annie ? Oups, dur à expliquer, je me sens mal !

    Je le remercie mais décide de ne pas rectifier l'erreur, qui, à présent risquerait d'être trop évidente et injustifiée, il me faudra glisser dans la conversation que l'eau froide sur la gorge et les épaules m'ont fait le plus grand bien !

    Je rejoins ma place en arrivant à ne pas marcher comme un canard, Vincent me suit de près avec le plateau et repart pour la cuisine chercher la cafetière, nous nous régalons en fumant beaucoup pour certains et en reprenant des cognacs pour d'autres, et Vincent, vient nous rappeler que l'heure de la paella a sonné ! Il est 22h45 !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 22h45

    Que dire de cette paella ? Je ne vais pas tout raconter en détail, il me faudrait un livre entier !

    Disons que pour les néophytes comme Annie et Marc, ce fut une vraie découverte : des produits, des épices, de la véritable cérémonie dans la préparation et des saveurs nouvelles comme les langoustes cuites à la façon mystérieuse, ou les crevettes royales ! Bref, un plaisir intense et inédit qu'ils n'attendaient pas du tout.

    Une comparaison ? Ils avaient gagné une semaine aux Baléares : Oui, bof ! Dommage on ne parle pas l'allemand ! Mais, dans un palace cinq étoiles ! Ah, ça oui, avec plaisir !

    Et pour les habitués comme Yves ou moi ? Pfffffffffff, que dire ? La meilleure paella de notre vie ? J'espère qu'il en reste beaucoup ? Qu'est-ce qu'il y a après trois étoiles au Michelin ?

    Voilà, ce n'est qu'un résumé, mais vous savez comment a été accueilli ce plat qu'il faut savoir faire ou changer ses plans et aller bouffer chez Mac Do !

    Samedi 21 Janvier 2017 - 23h45

    Une heure après, aucun de nous ne peut manger un grain de riz de plus. Mais Vincent est content, car nous avons réussi à manger quasiment la moitié du plat, et, surtout, les grosses pièces qui lui donnaient ce goût, cette saveur et cette originalité.

    Après avoir félicité Vincent qui, à mon avis, devrait s'attendre à un très gros pourboire de la part de nos deux couples, nous retournons au salon, non pas pour un dernier verre de sangria ! Car, il n'y en a plus ! Mais, heureusement, Vincent a prévu dans un autre conteneur six bouteilles de Cava.

    Il vient au salon avec quatre flûtes et une bouteille de ce champagne espagnol et, très diplomate, il nous annonce qu'après les heures sangria, nous entamions les heures Cava, plutôt que de dire bêtement que nous étions en rupture de sangria !

    Je lui fais un clin d’œil complice, sans remarquer qu'il n'a pas échappé à Annie ! Yves se lève et vient me dire quelque chose à l'oreille, je me lève en approuvant et je reviens du bar avec une cinquième coupe de champagne qu'Yves remplit. Il me demande si je veux aller le chercher. J'approuve et je file en cuisine pour dire à Vincent qu'Yves veut lui parler.

    Il est en train de ranger ses accessoires de cuisine, mais, il prend le temps d'ôter son tablier pour le suivre. Yves lui sourit, lui désigne un fauteuil et lui tend sa coupe, il ne peut pas ne pas la prendre et nous levons nos coupes et trinquons à la santé d'un futur grand chef étoilé, catégorie paella ! Yves s'inquiète de savoir s'il a mangé, et Vincent le rassure, son boss prévoit toujours une petite mallette pour les extras avec des tas de bonnes choses à manger et à boire !

    Yves lui propose un cigare, mais, non, il ne fume pas ! Il remarque que notre bouteille de Cava est terminée et en rapporte tout de suite une de la cuisine, et me dit à l'oreille : « Madame Loréna, il ne reste que deux Cava dans le conteneur, je suis inquiet ! ». Je le rassure en lui disant qu'Yves va bientôt mettre fin à la soirée, nous avons tous trop bu, et il ne veut pas que ça dégénère !

    Il retourne finir sa coupe et s'excuse d'avoir du travail de rangement à faire dans la cuisine et nous quitte.

    Annie me dit d'une voix quelque peu avinée, « Ma chérie, j'ai besoin d'eau froide, tu viens me tenir la main ? Je ne me sens pas très bien ! ».

    Yves et moi rions, pensant qu'Annie recommence un sketch, mais Marc nous dit qu'elle est sérieuse ! « Elle a bu comme jamais je ne l'ai vu boire ! En plus cette sangria est traîtresse, on a le goût du sucre, mais derrière, il y a un paquet d'alcool, car d'habitude on y met de la limonade mais là c'est du champagne de 12 ou 13°. Il est visiblement inquiet, je le rassure en lui disant que je vais m'occuper d'elle, et que, s'il le fallait, ils pouvaient dormir dans notre chambre d'amis sans aucun souci.

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 00h15

    Annie s'appuie sur moi, et nous marchons doucement vers la salle de bains que je referme, sans toutefois la verrouiller.

    Mais la comédienne qui somnolait en elle se réveille d'un seul coup avec un : « A poil enculée ». L’ordre claque sèchement ! « Mais, Annie, il était si simple de me demander de venir avec toi ? ». « Peut-être, mais quand je suis saoule, j'aime bien m'amuser au dépend des autres ! Nous perdons du temps : pourquoi n'es-tu pas à poil avec ma chaîne autour de ton cou de salope vicieuse ? ».

    Sans répondre, je me déshabille entièrement, comme je l'ai fait, ici même, il y a quelques heures, mais, de son côté, elle enlève sa culotte et me la met sous le nez : « Tu vois les dégâts que tu as fais ? Sens-la bien, renifle la, avec ta truffe de chienne de chasse en chaleur ! ».

    Elle agite sa culotte sous mon nez, m‘obligeant à sentir sa forte odeur de cyprine de femme excitée. Elle roule sa robe à la taille et s’appuie face au mur, cuisses écartées : « Lèche mon trou du cul sale pute et fais bien entrer ta langue ». Par derrière, je m‘applique à la satisfaire, elle se tortille, gémit et semble contente du travail de ma langue.

    Elle se retourne et m’offre sa chatte que je lèche avec la même envie : elle est si excitée qu’elle jouit très vite en pressant sa chatte sur mon visage comme si elle voulait m'empêcher de respirer !

    Brusquement, elle abandonne son rôle de femme avinée, et, sans un regard pour moi, elle enjambe le bidet et se lave la chatte. C’est la première fois que je la vois faire quelque chose d'aussi intime devant moi, ce qui a tendance à me prouver qu'elle n'est pas tout à fait dans son état normal ! J'ai un peu peur de ce qu'elle est capable de faire quand elle n'est pas elle même ! Et si elle devenait sado ?

    Elle infirme cette supposition en me disant : « Démaquille toi les bouts de mamelles et le ventre ». Tout en se lavant, elle me regarde faire. Pour pouvoir tout effacer, je dois lui tourner un moment le dos, elle constate : « Tu sais qu’on voit très bien la carotte qui dépasse de ton petit trou du cul ? Finalement tu l'as bien supportée ? ».

    Tout en me nettoyant les tétons, je lui confirme que la carotte m'a beaucoup gênée, surtout pour marcher normalement, mais surtout humiliée, car nous étions deux à savoir ce qui remplissait mon cul !

    Elle se lève du bidet, se sèche avec une serviette que je lui tends, enfile une de mes culottes que je lui prête, et elle veut voir mon ventre, pour être sure que je suis bien démaquillée : je lui fais face, les mots sont bien partis.

    En souriant, elle me dit : « Je suppose qu'avec tout ce que tu as bu, ma catin lubrique, tu as une vessie bien pleine ? ». « Oh, oui, Madame, vous ne m'auriez pas amenée ici que j'y serai venue seule ! ».

    En souriant, elle m’ordonne de m'asseoir sur les wcs pour pisser, sans me parler du sort du légume. Ce que je fais avec plaisir car j’en avais très envie. Je dois ensuite venir me laver la chatte, devant elle, sur le bidet, me sécher et me rhabiller, en remettant la culotte qu’elle me tend, toujours sans me parler de la carotte que je garde donc dans les fesses, un peu déconfite !

    Un peu d’eau, un coup de peigne, un raccord de maquillage et nous rejoignons les hommes au salon : ils sont devenus très copains et rient de tout et de rien, visiblement bien alcoolisés ! Sans trop s'occuper de nous !

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 00h45

    Annie en profite et m'attire dans un coin du hall pour me dire à voix basse : « Tu te demandais tout à l'heure ce que j'étais capable de faire quand je n'étais pas vraiment moi même, en l’occurrence, un peu saoule, n'est-ce-pas ma Chérie ? ». « Euh, je dois reconnaître que oui, Madame, mais sans peur, je vous sais sure de vos décisions ! ».

    « Peut-être que tu te trompes un peu sur ta Maîtresse, ma belle prostituée de luxe ! Sais-tu quel fantasme, plus cérébral que physique ou sexuel, je vais nous offrir à toi et à moi cette nuit ? ». « Je n'en ai aucune idée, Madame ! Je ne vous connais pas assez, surtout dans le domaine de votre cérébralité, mais je suis sure que vous êtes capable de tout, sauf de me nuire. J'en prends pour preuve votre réaction vis à vis de Tom, devant ma mise en ligne visage dé-flouté, contrairement à vos ordres ! ».

    « Oui, c'est un bon exemple, mais si la personne intervenant dans mon fantasme ne peut jamais l'avouer, je ne me ferais aucun souci ! ». « C'est ce que je vous ai dit : Madame, vous êtes capable de tout, sauf de me nuire ». « C'est vrai et ce sera toujours vrai ! ».

    « Voilà, ce que je te propose : puisque nos hommes sont occupés à rêver, je vais te donner les grandes lignes du fantasme que j'ai en tête et je compte sur toi pour le développer le plus vicieusement possible, entendu, ma Chérie ? ». « Je ferai au mieux, Madame, mais pour le moment je ne comprends pas tout ! ».

    Voyant que les hommes ne s'occupaient absolument plus de nous, Annie me dit : « Tu vas vite comprendre, petite pute, je vais te poser des questions auxquelles tu vas me répondre instantanément : donc sans une once de réflexion ! Ou de euh ! Ou de : deux secondes, Madame, je réfléchis ! Compris ma pouffiasse ? ». « Oui, Madame, c'est très clair ».

    « Bien, concentre toi bien, tu n'as droit qu'à une réponse ! ».

    « Qu'as-tu dans le cul ? ». «  Une carotte, Madame ».

    « Depuis combien de temps ? ». « Environ 3h, Madame ».

    « Qui es au courant ? ». « Vous et moi, Madame ».

    « Penses-tu que Vincent est attiré par toi ? ». «  Oui, Madame ».

    « Est ce qu'Yves connaît ta réponse ? ». « Oui, Madame ».

    « En avez-vous parlé ? ». « Oui, Madame ».

    « Si oui, un résumé de cette discussion ? ». « Je lui ai proposé qu'au lieu de me faire sauter en cachette, il me prête à lui et soit voyeur ou actif ».

    « Je dois annoncer à un des trois hommes présents que tu t'es enculée devant moi avec une carotte et, ce, pour m'obéir. A qui préfères-tu que je le dise ? ». « A Yves, Madame ».

    « Donne moi, selon ton excitation et tes envies, quelques développements de ce fantasme ! ».

    « Première idée : insister auprès d'Yves pour qu'il me prête à Vincent dès que vous serez partis, et demander à Yves de nous filmer ».

    « Deuxième idée : même début, mais vous vous arrangez pour que Marc dorme vite, et revenez chez nous quand Vincent aura terminé son rangement et demandez à Yves de vous laisser filmer Vincent en train de me niquer ».

    « Troisième idée : même début, Vincent me baise et Yves vous saute ».

    « Quatrième idée : partouze à quatre ».

    « Cinquième idée : vous me partouzez tous les trois ».

    « Sixième idée : vous vous arrangez pour discuter en tête à tête avec Vincent pour mieux connaître ce qu'il aime dans le cul. C'est un baiseur ? Un dominant ? Un dominé ? Un échangiste ? Et en fonction de sa réponse, je vous rejoins chez vous, pour qu'il me baise, soit comme un coup facile, soit comme votre soumise, soit comme la soumise d'un couple si vous apprenez qu'il est dominant, mais j'en serais très étonnée ».

    « Voilà, Madame, ce que ma cérébralité et mes envies me dictent, je dois vous avouer que j'ai rarement été aussi excitée que maintenant, et comme ça fait plus de deux heures que je n'ai presque plus rien bu, à part du café fort, je suis très lucide, et prête à accepter toutes vos suggestions, des moments d'excitation aussi intenses sont rares dans la vie ! Il faut en profiter ! Et je compte pas le laisser passer ! ».

    « Compte sur moi pour te calmer salope ! ». Je lui souris sans répondre, en temps normal, j'aurais rougi !

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 01h20

    « J'ai pris ma décision, ma pouff, dans un premier temps, tu vas t'occuper de nos hommes, de façon à ce que j'ai ma liberté totale de mouvements, car, moi non plus je ne suis pas saoule ma Chérie ! Je tiens très bien l'alcool, et dans tous les cas mieux que Marc et toi ! Allez, vas-y, tu n'as qu'à leur dire que je suis allée me doucher et me refaire une santé et veiller à ce qu'ils ne bougent pas du salon, même si tu dois leur montrer ton cul carotté ! ».

    Sans en être totalement sure, je crois comprendre qu'elle a opté pour l'option interview de Vincent, ce qui ne m'étonne pas, car c'est, en effet la plus vicieuse, mais je ne sais pas comment faire pour savoir si elle va sur l'ordinateur de mon bureau, ou téléphoner à quelqu'un ou interviewer Vincent ou réellement se doucher car elle est crevée !

    Me sentant un peu impuissante, je m'approche d'Yves et suis surprise de ne pas voir Marc. « Qu'est-ce que tu as fait de ton copain, mon Chéri ? ». « Il n'allait pas bien, il a préféré aller chez lui pour se doucher, se changer et se reposer un peu, il nous appellera dans une vingtaine de minutes pour nous dire s'il revient ou s'il va se coucher, je crois que c'était la bonne solution ! ». « Oui, pour lui éviter le comas éthylique, en effet ! ». « Et toi, tu as noyé ta copine ? ». « Non, elle est allée dans la salle de bains, je crois qu'elle se douche elle aussi et qu'elle va cuver un peu, mais elle est solide, elle, elle reviendra, c'est sur ! ».

    « Tu sais, amour, je suis très content que nous ayons des voisins aussi agréables, je suis persuadé que nous allons devenir très amis, je vois que tu t’entends déjà très bien avec Annie ! ». « Oui c’est vrai, elle est charmante, naturelle et j’adore son caractère enjoué ! ».

    « Tu savais que Marc était un peu coquinou ? ». « Ah non, à part ses compliments un peu appuyés sur ma tenue, je ne m’en suis pas rendue compte ! ». Yves rit : « Non il ne s’agit pas que de ça, je l'ai pris comme un simple compliment galant ! Mais quand vous êtes allées toutes les deux vous rafraîchir, il a tâté le terrain pour que la soirée se finisse d’une manière coquine ! ». « Oh, il t’a proposé une partouze, à la première rencontre ? Il est gonflé ! ».

    Il rit ! « Non, pas si osé, mais presque : il m’a fait comprendre avec de longues phrases et des mots soigneusement choisis, que la soirée se prêtait tout à fait à un strip poker ! ».

    « Eh bien ! Je l'ai jugé un peu dragueur, car très sur de son physique canon ! Mais pas obsédé du cul au point de vouloir me voir à poil dès le premier soir de notre rencontre ! Et Annie ne m’a pas du tout parlé de cet aspect de sa libido, elle m'a simplement dit qu'il était très jaloux ! Visiblement elle ne peut pas faire ce qu'il s'accorde ! Pas très beau ça ! Et, à propos, que lui as tu répondu ? ».

    « Que je ne faisais jamais rien sans avoir ton accord et sans t’en parler avant ! ». « Quel salaud ! Autrement dit : tu me refiles le bébé et si je refuse : je suis une empêcheuse de tourner en rond, une rabat joie, une vieille moraliste coincée, une jalouse convulsive, une connasse incontrôlable ! Sympa, comme mari ! Je crois que, cette nuit, tu vas te taper une branlette sur le canapé, au lieu de te taper ta femme ! Espèce de lâche ! ».

    Yves rit en nous resservant deux coupes de Cava ! Je refuse de la boire et lui conseille de ne pas toucher la sienne !

    Sa réponse m'effraie un peu : « Tu sais ma Loré, si je dois dormir sur le canapé, ce n'est pas bien grave ! Ce n'est pas ce soir que je vais t'engrosser, je crois qu'entre, bander et boire, je n'ai pas fait le bon choix, et même si tu m'offrais Annie, à poil, je la regarderais, en la remerciant d'être venue, avant de m'endormir comme un soldat de plomb ! ».

    « Tu es un lâche, un salaud et un sans couille ! Et moi je fais quoi avec ma chatte trempée et mes nichons qui percent ma robe ? Je me branle comme une ado ? Je prends la voiture et je vais faire le tapin ? J'invite Annie à me gouiner ? Ou je vais partouzer chez eux ? Tu es un sale traître ! Un lâcheur ! Et je suis vraiment fâché contre toi ! ».

    « Amour, je t'en prie, aide moi à me coucher, j'ai besoin de dormir des jours et des jours, quoique tu fasses ce soir, tu es pardonnée par avance, tout sera de ma faute, accompagne moi au lit, j'ai peur de tomber ! ».

    « Yves, c'est la première et la dernière fois que je te ramasse ivre mort sur ce canapé, je peux te jurer qu'il n'y aura pas de deuxième fois ! Allez, bouge tes fesses je vais te mettre au lit, te border et te laisser dormir jusqu'au décollage de ton putain d'avion de merde ! ».

    Je ne sais pas s'il a tout compris, ou tout entendu, mais sa réaction est égale à zéro : il tente de se lever sans y arriver, je dois l'empoigner sous le bras et quasiment le traîner jusqu'à notre chambre, mettre un bon quart d'heure pour le déshabiller et le recouvrir d'un bout de drap avant de jouer avec sa bite qui ressemble à un gros clitoris dégonflé ! Quelle déception, il me faut maintenant jouer à 100% la carte d'Annie, si je veux avoir ces deux ou trois tsunamis qui grouillent comme des vers solitaires en moi !

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 02h00

    Le téléphone fixe de la maison sonne, je décroche en disant :

    « Bonsoir Marc, tu es en forme ? Je viens de border Yves, carrément ivre mort ! Alors que décides-tu ? ». « Je suis désolé, Loré, mais je suis au lit, et je vais dormir, dis à Annie que je ne l'attends pas, je suis vraiment trop bourré, excuse moi de faire dérailler la fin de ta belle soirée, bonne nuit, Loré et encore bravo pour cette super fête ! ». Et il raccroche ou, plutôt, il laisse retomber son téléphone sur sa base !

    Je me retrouve seule, je suis obligée d'attendre Annie, je ne voudrais pas mettre Madame en colère en la cherchant et en la trouvant là où il ne fallait pas, je décide de lui transmettre des infos en passant par Vincent, un risque à prendre !

    J'ai enregistré le 06 de Vincent sur mon portable, je l'appelle, il répond au bout de trois sonneries : « Vincent, bonsoir, c'est Loréna, je t'appelle pour te dire que Marc est allé se coucher chez lui et que j'ai mis Yves au lit, dans notre chambre : ils dorment tous les deux comme des bébés. Annie est allée se doucher et se reposer dans ma salle de bains, et j'ai vraiment besoin de deux ou trois doubles expressos, tu peux m'arranger ça, pendant ce temps, je vais me doucher, je te remercie, Vincent, bons rangements et ne t'occupe surtout pas de ma vaisselle ! ».

    Il n'a pratiquement pas parlé, mais l'écho spécifique d'un portable en mains libres m'a indiqué qu'il était sur haut parleur, donc les mains occupées ou avec Annie !

    Je ne veux pas attendre seule au salon, je décide donc d'aller prendre réellement une douche et en plus écossaise qui me dessoûlera à coup sur ! Je vais dans ma salle de bains et comme d'habitude, je ne verrouille pas la porte, en sachant qu'en dehors de Vincent dont je ne peux pas connaître la position sans Annie, il n'y a qu'elle qui soit encore opérationnelle et susceptible de venir me faire un petit coucou en passant !

    Je décide donc de conserver la carotte dans le cul, en sachant qu'en discutant et en me battant avec Yves pour le coucher, je l'avais complètement oubliée ! Je me déshabille, commence par une douche très chaude et peu à peu je tourne le bouton vers le froid, jusqu'à arriver à de l'eau froide, sans être glacée, tout en hésitant longuement avant de me glisser sous le jet. Mais en me forçant, et en alternant le chaud et le froid, mon corps s'habitue et je souris même de voir mes bouts de seins bander et débander en fonction de la température de l'eau !

    Je me sens mieux, comme neuve, et j'espère, qu'entre temps, Vincent aura eu le temps de me préparer une grosse cafetière d'expressos qui finiront de me dessoûler, de me rendre ma vigueur et surtout mes désirs plus ou moins avouables et la force de les satisfaire !

    Après m'être séchée, je décide de me rhabiller, plutôt que de m'offrir directement nue sous un peignoir : Annie savait que j'étais sous la douche et pendant le temps que j'ai passé dans la salle de bains, elle a eu largement l'occasion de m'y rejoindre et je ne suis pas loin de penser qu'en définitive, elle a choisi une autre proposition qui n'était pas dans mes développements de son fantasme : celle de garder Vincent pour elle et de se le taper, peut être avant de m'offrir à lui, mais tout en ayant la primeur de sa bite et du goût de son foutre !

    Je me rhabille, et ma carotte et moi allons dans le salon où je me décide à boire la coupe de Cava que m'offrait gentiment Yves ! Tout en contemplant avec gourmandise la cafetière brûlante, devant laquelle il y a une tasse avec un petit mot de Vincent : « Voilà de quoi vous redonner le super punch que je vous connais ! Bonne dégustation, Madame Loréna ! ».

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 02h30

    Je laisse ma coupe et me sert ma première tasse. Je tends l'oreille, et peu à peu, j'identifie nettement un son étrange : la douche de la chambre d'amis fonctionne ! Je ne vois pas Vincent se doucher, je pense donc logiquement que c'est Annie qui l'utilise, finalement elle a décidé de se dégriser de cette manière, ou, alors, elle se lave ! Ce qui confirmerait ma théorie de se faire baiser la première par Vincent ! Probablement pour m'humilier un peu plus, bien que, personnellement, je m'en fiche totalement ! Et de toutes les manières elle passera après la femme de Vincent ! Donc !

    Je déguste mon expresso ! Hum ! C'est presqu'aussi bon qu'un orgasme ! Et en plus avec une cigarette c'est encore meilleur ! Je termine ma première tasse de café et ne résiste pas à une deuxième, la caféine me fait du bien, je la sens agir, même si la dose est un peu trop forte et me fait trembloter la main ! Bah ! Idéal pour branler une bite ! Je me retrouve bien, très excitée, en manque de sommeil et après un peu d'abus d'alcool et surtout beaucoup de frustration de ne pas avoir pu jouir autant que j'en ai besoin, je suis remplie d'humour, tout au moins, je le pense, Yves dit souvent de moi que j'ai le cul gai, expression que nous sommes deux à comprendre ! Lui et moi !

    Un autre bruit étrange me fait dresser l'oreille ! On dirait la sonnerie de mon mobile ! Je ne me rappelle pas de suite où je l'ai laissé, mais je me souviens que je m'en suis servi en dernier dans mon bureau pour mettre en ligne mon clip ! Mais, le temps d'arriver au bureau, la sonnerie s'est arrêtée. Je le récupère et le prends avec moi.

    A peine assise sur mon canapé, il sonne de nouveau. Je prends de suite l'appel en disant : « Bonjour, Madame, merci de m'excuser, je n'avais pas mon portable sous la main ».

    « Tu es au salon ? Tu as toujours ta carotte ? Es-tu nue ? Portes-tu mon alliance ? As-tu la connasse trempée ? As-tu joui aujourd'hui ? Quand ? Et comment ? Ton café est-il bon ? Tu sais ce que je faisais sous la douche ? Allez réponds dans l'ordre sale putain de gouinasse mal baisée ! ».

    « Bien, Madame, je vais essayer de ne rien oublier, oui, je suis au salon, Madame, j'ai toujours la carotte dans mon cul, je suis habillée comme en début de soirée, je porte votre chaîne et votre alliance, j'ai la connasse qui goutte sur le haut de mes cuisses, j'ai joui deux fois aujourd'hui : une avant l'arrivée d'Yves, en me branlant et vous avez eu le clip et une autre fois, enculée par Yves sur notre lit, en jouissant du cul, comme une salope, Madame. Mon café est excellent, je retrouve tout mon dynamisme et votre tasse vous attend. Je suppose, Madame, que vous vous douchiez pour vous rafraîchir, je l'ai fait moi aussi pour en terminer avec ces vapeurs d’alcool qui m'entouraient ! ».

    « Très bien, sers moi une tasse et allume moi une cigarette. Je te rejoins dans trois minutes, et je veux te découvrir à poil, à genoux sur ton canapé, ton cul rempli tendu vers moi et ta tête enfouie dans le haut du coussin ».

    Je me dépêche, trois minutes, ce n'est pas beaucoup !

    Je jette un coup d’œil sur la montre de mon portable. Je me déshabille très rapidement : escarpins, dim-up, tanga, robe et soutien-gorge valsent sur une chaise, dans un des bonnets, je récupère la chaîne et l'alliance que je mets autour du cou.

    Je sers une tasse de bon café odorant, attends un peu pour allumer une cigarette et dans la dernière minute, je me positionne, seins écrasés contre le dossier du canapé, cuisses largement écartées, mais en prenant la pose, je réalise d'un seul coup que, dans cette position, je vais tâcher mon canapé avec ma cyprine, je me sens un peu perdue et je récupère ma robe grise que je sacrifie en l'étalant sous ma chatte comme protège coussin ! Je reprends la position en posant mon visage sur l'appuie tête du dossier du canapé alors que les escarpins d'Annie résonnent dans le couloir !

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 03h00

    Dans cette position totalement obscène, je suis contente d'avoir protégé mon canapé, car je mouille terriblement et je suis sure qu'Annie va s'en rendre compte au premier coup d’œil !

    Elle éclate d'un rire peu communicatif, car malsain et qui me vexe beaucoup plus qu'une vilaine réflexion ! « Ma pauvre call-girl d'occasion ! Il faut absolument que je filme ta position, tellement tu es salope et veule entre ton cul dilaté par cette énorme carotte, le torrent de mouille qui s'échappe de ta connasse et tes cuisses ouvertes qui réclament une grosse pine ! Je regrette de ne pas avoir ma caméra, mais le portable sera suffisant ! Tu mourras de honte en te voyant sur le clip ! Je vais profiter de ton accueil en buvant ton café et en fumant la cigarette que tu m'offres gentiment, en attendant, je ne veux pas te voir bouger un seul centimètre de peau, c'est bien compris ma pétasse enculée ? ».

    « Oui, Madame, je vous assure que je ne ferai aucun mouvement, je n'ai jamais envie de vous déplaire, Madame, mais particulièrement, je voudrais que vous soyez contente de ma totale obéissance, Madame ! ».

    « Et pourquoi ce soir en particulier ? Ma truie en chaleur ? ». « Je vais essayer de vous redire ce que je vous ai confessé avant que nous nous séparions, Madame : je dois vous avouer que j'ai rarement été aussi excitée que maintenant. Je me sens très lucide sur moi même et prête à tout accepter de vous ! Un tel niveau d'envie est rare dans la vie ! Et je ne compte pas le laisser passer ! Et, je me rappelle que vous m'avez assurée que je pouvais compter sur vous, Madame, pour calmer la salope que je suis ! ».

    « Je m'en souviens parfaitement, et ton aveu d'être encore plus soumise, salope et cochonne que d'habitude a trotté des heures dans ma tête, et j'avais hâte de te retrouver pour t'obliger à mettre en pratique tes intentions ! Mais avant de passer aux actes, j'ai quelques nouvelles à t'annoncer, comme tu es confortablement installée et exhibée, je pense que tu vas les accueillir avec plaisir, et pourquoi pas, en jouir ! Puisque tu es tellement cérébrale que des mots suffisent parfois à t'envoyer en l'air ! Je me trompe putain servile ? ». « Non, Madame, vous ne vous trompez jamais, et surtout pas sur la connaissance que vous avez de la pute-esclave que je suis pour vous ! ».

    « Première nouvelle, Marc était enchanté de faire votre connaissance, il vous a trouvé très sympas tous les deux et toi très à son goût ! ». « Oh vous allez me gêner Madame ! ». « Te gêner ! Tu me fais rire ! Je suppose que tu n’ignores pas qu’il a proposé à Yves de finir la soirée en beauté par un strip-poker ? ». « Non, en effet, Yves m’en a parlé ».

    « Et que lui as-tu répondu ? ». « Que nous devions en reparler car c’était peut être un peu rapide ». « Eh bien, puis-qu’Yves revient le vendredi soir, tu as cinq jours pour te faire à cette idée, Marc a aimé tes nichons et ton cul et ce samedi, la fête se fera chez nous, et tu as intérêt à bien te laver tes trous de catin, car, en accord avec Yves, Marc te baisera, t’enculera et, tu boiras son foutre tiède, et le connaissant bien, je t'assure que tu vas te régaler ! C'est entendu ma putain pas chère ? ».

    Elle n'obtient qu'un long silence de ma part et me gronde gentiment : « Je n’ai pas bien entendu ton accord ! ». « Pardon, Madame, j'ai parlé trop bas, je dirai lundi soir à Yves, quand il m’appellera de Moscou, que nous acceptons votre invitation avec plaisir ». « N'oublie pas de lui préciser que tu acceptes, à titre personnel, notre invitation et les conséquences sexuelles qui en découlent, dans la vie, il faut être clairs ! C'est bien compris ma grosse cochonne en chaleur ? ». « Entendu, Madame, je n'oublierai pas de lui rajouter cet engagement très personnel ! ».

    « S'il n'a pas mon portable, tu le lui donnes et tu lui demandes d'avoir la gentillesse de me passer un petit coup de fil pour savoir s'il va bien et si tout est réglé avec sa petite femme pour notre dîner, entendu ? ». « Oui, Madame, je le ferai sans faute et je vous promets qu'Yves vous appellera juste après moi ».

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 03h20

    « A présent, j'ai une deuxième nouvelle à t'annoncer, elle est importante car elle risque de changer une petite partie de ta vie. Voyons si tu suis bien ou si tu ne penses qu'à frotter tes cuisses l'une contre l'autre ? Nous avons parlé d'Yves et de Marc, j'ai parlé de tes obligations futures, je n'ai pas l'habitude de parler de moi, alors, d'après toi pétasse dégoulinante, de qui allons nous parler à présent ? ».

    « Nous étions cinq ce soir, il nous manque Vincent, Madame ».

    « En effet, il est parti sans te saluer, et il m'a priée de l'excuser auprès de toi, mais sa Geneviève de femme l'attendait avec impatience, elle est toute jeune et, un peu comme toi, elle a une grosse libido, mais de jeune femme normale, et pas des envies de prostituée perverse comme les tiennes ! Comme tu me l'avais suggéré, et je tiens à t'en remercier, nous avons longuement papoté tous les deux et j'ai beaucoup appris sur lui. Je ne vais pas tout te raconter, et je vais essayer de te faire un résumé, à toi la championne de cet exercice ».

    « Mais, avant je vais te détendre un peu, car je te trouve un peu contractée, tu peux changer de position et sortir du canapé pour te mettre debout, mais, fais attention de ne pas tout salir avec ta connasse dégoulinante, je vais te servir une tasse de café, et tu vas fumer une cigarette mais rester debout pour que ton con s'égoutte un peu ! Pfft tu fais chier, vas donc chercher des kleenex et bourre ta connasse avec une dizaine de mouchoirs, c'est insupportable de te voir juter comme ça et ça me donne presqu'envie de vomir ! Remplit toi le con, au moins tu vas arrêter de goutter dans toute la pièce, tu es une vraie cochonne dans ton vagin, comme dans ta tête espèce de vache laitière ! ».

    Elle se lève et remonte sa robe : « Bien, puisque tu a annoncé que tu étais bien disposée envers moi et que tu comptais être la plus obéissante des putes-esclaves-masos de mon écurie ! Tu vas bosser avec ta langue de gouine, et commencer par mon trou à merde, je suis désolée, mais j'ai du aller chier pour me vider les intestins du trop plein du foutre de Vincent, à ce sujet, je te confirme qu'il a une grosse pine qui te plaira, pas trop longue mais énorme, comme celle de Pierre, j'ai pensé à toi pendant qu'il m'enculait ! Mais il a aussi des grosses couilles bien pleines, et quand il gicle, tu n'as pas écarté les cuisses pour rien ! Que ce soit dans le cul ou dans le con, je n'ai pas pu absorber toute sa semence, et j'ai perdu quelques jets ! ».

    Il a rit de ma déconvenue, car il m'a expliqué que « Ça lui arrivait avec toutes les nanas : aucune ne pouvait absorber tout son foutre et le garder en elle ! ». Il a même rajouté, « Je ne pense pas que Loréna fasse exception ! ». « Car, bien sur, je lui ai garanti que tu écarterais tes cuisses et ton cul pour lui, mais tu t'en doutais, je suppose ! A ce propos, quand tu as entendu la douche tout à l'heure, je me lavais le con et le cul, pour me vider un peu de tout ce bon foutre, car le ne pouvais pas marcher sans goutter comme toi, et je déteste donner l'image d'une cochonne, contrairement à toi !».

    Tout en me parlant, elle s'est mise à genoux sur le fauteuil, dans la même position dans laquelle j'étais sur le canapé, robe remontée à la taille et culotte jetée au loin d'un coup de pied, elle se régalait de ma langue vriller dans son anus pour pénétrer le plus possible son trou du cul, qui, en effet n'était pas des plus propre, mais cette merde appartenait à ma Maîtresse, et je me devais de la nettoyer soigneusement pour ne pas me parjurer devant elle ! Et, comme une réelle salope que j'étais devenue, plus je léchais son petit trou, plus je mouillais les kleenex entassés dans ma connasse de pute !

    Vues ses contractions, je crois qu'elle a jouit du cul, mais comme chez elle tout est toujours sobre, réservé et silencieux, je ne pourrais pas le jurer !

    Toujours est-il qu'elle a repoussé ma tête d'un violent coup de fesses et s'est retournée pour s'asseoir dans le fauteuil, en m'ordonnant de glisser quelques kleenex sous ses fesses, ce que j'ai fait, pour lui permettre d'écarter largement les cuisses. Elle s'est déchaussée de deux grands coups de pieds qui ont envoyé ses escarpins à deux mètres d'elle et en m'ordonnant de m'agenouiller devant elle, les cuisses bien offertes, elle m'a ordonné de lui bouffer la chatte, et m'a dit : « Tu es tellement poisseuse du bas-ventre que je n'ai aucune envie de te niquer le con avec mes orteils nus, tu vas donc t'envoyer en l'air en me massacrant une paire de bas, mais je préfère ça à ce jus fétide que tu aurais déposé sur mes orteils délicats, sale truie ! ».

    Je remarque, en souriant intérieurement que c'est la soirée des insultes diverses et variées, et je dois reconnaître qu'Annie a, sur ce sujet, une très grande imagination, car elle arrive à m'insulter toutes les dix secondes sans dire deux fois la même grossièreté !

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 03h50

    Cette situation m'excite au plus haut point : je sais que nous allons toutes les deux vers le plaisir : elle, en plaquant de toutes ses forces ma bouche contre sa chatte, dont j'ai du mal à avaler toutes les sécrétions et, moi, en prenant son pied gainé de bas d'une main pour m'en servir comme d'un gode en me pilonnant le con, avec.

    Je sais que dans, l'état où je suis, mon explosion se décompte en secondes et que je m'élève vers un mini tsunami dont je rêve depuis qu'Yves m'a offert cette jouissance du cul, il y a, maintenant, plusieurs heures !

    Sans respecter la hiérarchie, je jouis la première : bien que mes hurlements de plaisir restent au fond de son vagin, totalement étouffés par la pression qu'elle exerce sur ma bouche, les soubresauts et les torsions de mon corps ne peuvent lui cacher mon plaisir fulgurant.

    Jalousie ? Envie ? Compétition ? Elle écrase encore plus ma bouche sur son sexe et s'envoie en l'air alors que ma langue entière fouille sont intimité dégoulinante de son jus de femme jouissante. Elle frôle encore une fois la femme fontaine qu'elle assure ne pas être au mépris de la réalité !

    Le silence se fait, nous avons besoin, toutes les deux, d'un moment de répit pour récupérer la gestion de nos corps, et, moi, ma langue douloureuse de bouffeuse de chatte.

    Sans prendre le temps de rabattre sa robe sur la vue magnifique qu'elle m'offre sur son sexe luisant d'humidité, son petit trou palpitant et ses cuisses largement ouvertes, elle ressemble plus, un court instant, à une soumise offerte qu'à une Maîtresse hautaine.

    Mais, très vite la dominante reprend le dessus, et m'ordonne de nous servir deux cafés et de nous allumer deux cigarettes, pendant qu'elle fait un aller-retour dans la salle de bains pour se rafraîchir le sexe.

    Elle revient très vite en peignoir, je peux deviner sa nudité totale et j'en suis fière, car elle me prouve sa confiance. Nous buvons et fumons, avant qu'elle ne m'ordonne de déverrouiller pour elle mon armoire sexuelle, avant de reprendre ma position agenouillée sur le canapé.

    Pendant qu'elle cherche ce dont elle a besoin, je reprends ma pose obscène, et elle vient se placer juste devant mon visage et me demande de me relever. Elle me tend deux écraseurs de tétons, que je pose sans aucune question sur mes bouts de seins, en grimaçant de douleur pour chacun d'eux, et, elle me tend les lests de plomb, toujours trop lourds pour moi, que je fixe aux écraseurs. Elle règle ma position en me demandant de faire en sorte que mon front soit posé sur l'appui-tête du canapé, mais que mes nichons pendent bien, en toute liberté, pour me faire pleurer de douleur à chaque ondulation de ma poitrine ou à chaque mouvement incontrôlé de mon corps !

    Puis, elle fait le tour du canapé : elle tapote sur chacun de mes seins pour s'assurer qu'ils sont bien libres de pendouiller dans le vide que ma position a créé, et elle réunit mes bras derrière moi, le long de mon dos et les menotte doublement : une paire au niveau des coudes et l'autre aux poignets.

    Je tiens uniquement par mon front, et mon équilibre est plus qu'instable, mais je me suis rarement sentie aussi indécente et offerte, et elle balaie mon corps avec son portable pour bien me filmer sous tous les angles !

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 04h00

    Alors qu'Annie tourne autour de moi pour son clip, j'entends un bruit dans la cuisine, et je suppose que c'est Yves qui s'est levé pour aller boire une verre d'eau, et je me dis que ma soumission totale à Annie ne va pas être encore bien longtemps un secret !

    Annie se rassied dans son fauteuil et reprend son dialogue : « Donc, pour revenir à Vincent, il me semble que j'en étais au résumé de notre longue conversation, bien sur entrecoupée par trois séances de baise intense terminées par de très bons orgasmes pour tous les deux ! Il m'a même avoué qu'il était surpris, car il pensait que tu serais la première à te faire sauter ! Mais, que, de toutes les manières il avait la trique pour les deux ! Et qu'en entrant chez toi, il avait senti ce parfum invisible de liberté sexuelle, palpable par nos gestes, notre habillement et surtout notre manière de parler ou de suggérer ! ».

    « Vincent est un super Chef, Madame, mais aussi un fin psychologue, et je suppose que vous allez m'apprendre des tas de choses sur lui ! ».

    « En effet ma pute indécente ! Et, tu vas aller de surprise en surprise ! Tu sais donc qu'il est marié à une jeune Geneviève qui a quatre ans de moins que lui. Comme je te l'ai laissée entendre tout à l'heure, cette jeune femme a une libido très forte et adore le sexe, et Vincent est un véritable addict du cul : pour lui, s'il n'a pas tiré ses cinq coups, sa journée est gâchée ! Sa jeune épouse, qui n'est absolument pas jalouse, et ne se refuse aucun bon coup si elle en ressent l'envie... ».

    « N'est ce pas ce qu'on appelle un couple moderne et libre, Madame ? ». « Oui, c'est tout à fait ça, mais ils n'ont pas la perversion que je retrouve en permanence chez toi ! Bien qu'à ce sujet, il faille se méfier de Vincent, mais je vais y arriver ! Donc, très rapidement, elle a déclaré que malgré son amour du cul, elle n'arrivait pas à suivre Vincent, et ils ont pris la décision de fréquenter des clubs échangistes ».

    « Ça leur a beaucoup plu : une ou deux fois par semaine, elle pouvait baiser à son rythme, en choisissant son partenaire, et lui pouvait enfiler quatre ou cinq nanas dans une soirée ce qui le comblait, et bien sur, les retours à la maison étaient torrides ! ».

    « J'en suis sur, Madame ! C'est ce qui se passera quand Yves et moi nous auront l'âge de fréquenter ce genre de clubs ! ». « Oui, je vous y vois bien tous les deux ! Mais un soir, un amant éphémère de Geneviève lui a longuement parlé de ses goûts pour le bdsm. Comme elle est curieuse, ouverte et intelligente, elle s'est renseignée, est entrée dans de nombreux sites sur le Web, a fréquenté des forums de discussion et en a parlé à Vincent qui lui aussi s'est montré intéressé, c'était il y a deux ans ! ».

    « Vous allez me dire, Madame, que Vincent s'est révélé être un dominant et elle une soumise ? J'en serais vraiment très surprise pour Vincent qui cache fort bien son jeu ! ». « Eh oui, sauf qu'en fait les deux sont passés du côté obscur de la force en officiant comme dominants, ce qui permet à sa femme de beaucoup moins baiser, tout en jouissant beaucoup plus, avec des femmes ou des couples et à Vincent de continuer à tirer des femmes, tout en essayant d'en faire venir quelques unes vers le monde du bdsm, ce qui est un jeu d'enfant, quand tu le sentiras te niquer ou t'enculer, tu décideras, toi aussi de faire tout ce qu'il voudra, uniquement pour avoir encore longtemps sa grosse bite dans tes trous de traînée ! ».

    « Ils ont donc trouvé leur équilibre sexuel, Madame, c'est une bonne nouvelle, mais je ne comprends pas en quoi elle peut me concerner ? ». « J'y arrive, salope, ne sois pas si pressée, nous avons la vie devant nous ! Excuse moi, je dois aller faire pipi, je reviens de suite ! ».

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 04h20

    Je profite de son absence pour me dégourdir un peu et soulager les lests qui m'arrachent les tétons, mais la récréation est de courte durée car des pas résonnent dans le couloir qui mène aux wcs. Mais curieusement je n'entends pas que les talons d'Annie.

    Malgré mes menottes, je me retourne et vois ses escarpins jetés dans le salon, et ça me fait frémir ! Il y a quelqu'un qui marche dans le couloir et Annie porte des bas, ce n'est donc pas elle !

    Elle entre en me disant : « On continue, on va arriver au moment passionnant pour toi ! ».

    Je la sens se positionner devant mon visage. Elle prend mes cheveux dans ses mains et m'immobilise la tête en m'enfonçant durement le visage dans l'appui-tête du canapé y écrasant même ma bouche et mon nez. J'ai vraiment beaucoup de mal à respirer, et le fait de ne pas savoir qui, en plus d'Annie, me regarde ainsi exhibée me stresse énormément.

    Derrière moi, et sans que je ne puisse rien voir, je sens le coussin s'affaisser, quelqu'un vient de s'agenouiller. Une main me caresse le cul, ouvre encore un peu plus mon anus distendu par la carotte depuis des heures, et la retire d'un seul geste précis mais brutal, qui me fait hurler de douleur, car le légume a adhéré à mes chairs intimes, par manque de lubrification, et je suis sur qu'un peu mon tissu vaginal est resté sur cette maudite carotte !

    Mais, je n'ai pas trop le temps de me lamenter sur mon sort, car je sens de suite un gland de bonne taille, chaud et humide tourner sur mon anus, qui n'a pas eu le temps de se refermer. L'inconnu, dont je connais à présent le sexe, dans les deux sens du terme, pousse lentement son gland en moi, il entre relativement facilement, et, j'ai tort de penser que le plus dur est fait, car, c'est sans compter sur la grosseur peu ordinaire de la bite qui s'enfonce dans mon trou à merde à chaque coup de reins de mon enculeur !

    Quand elle est sure que la bite ne peut pas aller plus profond en moi, elle me libère les cheveux et dit à haute voix : « Eh, bien, je crois que c'est le moment de faire les présentations ! Ma petite putain soumise et bien éduquée, je te présente la grosse pine et les couilles bien remplies de Vincent, qui est revenu de chez lui, après avoir fait hurler sa femme de plaisir, uniquement pour cette présentation, mais aussi par affection pour ton petit trou dont il a rêvé toute la soirée ! Quant à toi, Vincent, je te présente mon esclave Loréna ou Loré ou petite putain en chaleur, ou, comme tu voudras l'appeler ! Elle n'a pas le droit de dire non comme tu t'en es rendu compte depuis que tu es en notre compagnie !

    Vincent tient à me féliciter : « Loréna, je dois te dire, sans aucune flagornerie, que je ne me suis jamais trouvé aussi bien dans un cul, je te félicite, j'avoue que tu es bien au delà de ce que j'avais rêvé, en te matant le cul sous ton grand tee-shirt ! Je n'avais pas imaginé la tiédeur et la douceur de ton fourreau, si étroit, que j'ai l'impression que tu me masturbes avec tes muscles anaux ! ».

    « Ouah, Loré, quelle déclaration d'amour pour ton cul ! Non seulement Vincent sait enculer et il est équipé pour bien le faire, mais en plus il sait parler aux femmes, et même à leur trou à merde ! ».

    « Je vais avouer, ce que je ne devrais pas : j'ai beaucoup fantasmé sur ce moment, depuis que tu es apparu dans ma vie, à 14h hier après midi, mais je ne pensais pas que ta bite et mon cul seraient si complémentai-res, et, contrairement à certaines fois, je suis superbement bien remplie, sans une seule petite douleur, je pense qu'il ne me faudra pas trois quart d'heure, pour m'envoyer en l'air, avec ce bel engin dans le cul ! ».

    Bien évidemment, Annie ne me rate pas, après cette déclaration enflammée ! « Tiens, une pute amoureuse ! Je ne savais pas que ça pouvait exister ! ».

    Lentement, et, visiblement sans trop s'occuper d'Annie, Vincent se retire de mon cul, et à moitié retrait, il rentre de nouveau en entier, m'arrachant un petit gémissement de plaisir. Petit à petit, il sort de plus en plus, et me ré-encule à fond, et, ce, jusqu'à ce que je sois un peu lubrifiée, quand il sent que ses allers et retours sont plus faciles, il augmente sa cadence, jusqu'à arriver à un rythme très soutenu, dans lequel il sort complètement son pieu de mon petit trou, pour le replonger en me défonçant l’œillet, et j'accompagne son pilonnage par mes cris de plaisir de plus en plus forts.

    Je perds pied, me laisse totalement aller, et attends en gémissant comme un chiot que le tsunami m'entraîne loin de tout, de cette terre, d'Annie, mais pas de la pine de Vincent que je veux dans mon con, entre mes nichons, au fond de ma gorge, pour boire et avaler son foutre, qui fera de moi son réservoir à sperme, même si je dois le partager avec des centaines de pouffiasses !

    Dans mon délire jouissif, je n'ai pas réalisé que Vincent n'avait pas joui dans mes fesses, mais, Annie, très me le confirme : « Sais-tu que j'ai posé mes conditions à Vincent pour la suite de vos rapports ? ». « Je n'en savais rien, Madame, mais je vous remercie infiniment de me mettre au courant ! ». J'ai essayé de le cacher, mais j'ai mis beaucoup d'ironie dans cette réponse, et, bien sur Annie s'en est rendue compte !

    « Bien, ma pute, puisque tu ironises, je rajoute à l'instant dans mes conditions, que Vincent est chargé de t'annoncer notre accord ! ».

    « Ce sera même plus honnête de ma part ! Il est tout à fait vrai que j'ai conclu un accord moral avec Annie qui te concerne, Loréna. Mon problème est simple : dans mon esprit, une esclave-soumise ne peut avoir qu'un seul propriétaire, donc tu appartiens à Annie. Tu vas me demander pourquoi je suis revenu chez toi pour te sodomiser ... »

    « … non, Vincent, j'aimerais que tu ailles droit au but, et je vais t'aider : tu es venu enculer l'esclave d'Annie, avec son autorisation de me pénétrer, mais pas celle de jouir en moi. Pour simplifier, tu ne m'imagines pas devant toi, te suppliant de m'enculer et d'appeler tes amis pour qu'ils en fassent autant. Tu ne peux pas me soumettre, car tu me respectes, c'est élégant et je t'en remercie. Mais, dans ces conditions : dis-moi quel rôle je peux avoir ? ».

    « Tu es d'une intelligence rare, Loréna, mais il est normal que ce soit Annie qui en profite. Notre accord est simple : deux nuits par mois, Annie est d'accord pour que tu m'accompagnes dans un club échangiste bdsm, pour être ma monnaie d'échange, tu comprends ? ».

    « Oui, c'est très clair, Vincent, mais j'ai trois questions à te poser : pourquoi ne pas utiliser l'une de vos soumises puisque ta femme et toi dominez ? Quels rapports as-tu convenu avec Annie pour toi et moi ? Et quand comptes-tu commencer ces soirées ? ».

    « Il nous est impossible, compte tenu du milieu dans lequel nous évoluons, de trouver une soumise de ta classe, de ta beauté et de ton intelligence. L'accord ne comporte aucune autre relation entre nous que celle que nous venons de vivre, et, pour finir : Annie te proposera les deux dates en fonction de ton temps libre et de ta vie privée ».

    « Merci, Vincent, puis-je te demander si cet accord te satisfait ? ». Vincent réfléchit un peu, et finit par me répondre gentiment : « Je ne pense pas que ma réponse apporte quoi que ce soit de positif à la situation, et je sais que tu es trop intelligente pour ne pas la connaître, alors je vais me permettre un joker, avec vos autorisations à toutes les deux ! ».

    Je me contente de sourire sans rien dire.

    Dimanche 22 Janvier 2017 - 05h00

    La connaissant un peu, je pense qu'Annie se sent un peu exclue et qu'elle ne va pas tarder à reprendre la main, et, c'est ce qui se passe :

    « Bon, la séance de confession étant terminée, passons à l'action, Vincent, tu serais gentil de poser une des chaises paillées de la cuisine devant le canapé, s'il te plaît ! ». Pendant qu'il s'exécute, elle m'aide à me mettre debout devant le canapé, ôte avec prudence les écraseurs de mes tétons, ouvre les deux paires de menottes dans mon dos et m'autorise à aller dans la salle de bains pour apaiser un peu la douleur de mes seins, en me recommandant de faire vite.

    Quand je reviens, nue et seins un peu apaisés, elle me demande de m'asseoir sur la chaise et prend cinq bonnes minutes pour m'y attacher très soigneusement.

    Épaules plaquées sur le bois du dossier, coudes et poignets ligotés très serré et attachés à une barre du dossier, une corde sous les seins et une à la taille qui font le tour de la chaise, deux solides cordes aux genoux pour les lier au deux coins, avant, de la chaise et enfin, les pieds tirés et attachés aux pieds arrière de la chaise, pour ne pas m'offrir une position trop confortable, et, surtout, pour m'obliger à maintenir mes cuisses largement ouvertes, et, par là même, ma chatte obscènement offerte et, dégoulinante de cyprine !

    Je suis sur ma chaise, totalement immobilisée, à deux mètres du canapé. Annie va vers notre armoire de jouets et revient vers moi avec un vibro externe et sa télécommande ainsi qu'un rouleau de scotch noir. Elle s'agenouille devant moi, caresse distraitement l'entrée de mon vagin, regarde son doigt et, l'air dégoûté, elle l'essuie sur un de mes seins.

    Elle pose le vibro entre mes jambes, l'ajuste pour que la tête vibrante soit bien positionnée sur le haut de mon sexe et elle découpe trois longs morceaux de scotch avec lesquels elle le fixe sur ma cuisse droite.

    Elle se lève, visiblement contente de son montage, récupère une chaise de la salle à manger, qu'elle place à trois mètres de moi sur ma gauche et y cale son portable réglé pour me filmer des pieds à la tête.

    Elle déclenche la web-cam, met le vibro en route sur la position juste en dessous du maximum et me regarde en souriant : « J'espère pour toi que nous baiserons très longtemps, Vincent et moi, ce qui te permettra d'enchaîner les orgasmes ! Régale toi bien, ma salope vicieuse : de voir ta Maîtresse terminer ton travail d'enculée et de jouir jusqu'à me supplier d'arrêter ce bel objet que tu aimes tant ! ».

    Dimanche 22 Janvier 2017 – 06h40

    Totalement épuisée, je suis toujours attachée sur ma chaise, heureusement délivrée du vibro !

    Annie et Vincent sont partis, après avoir baisé plus d'1h30, devant moi, le temps pour Vincent de profiter de tous les orifices d'Annie, soit pour se faire pomper, soit pour la niquer ou pour l'enculer, et bien sur pour l'utiliser comme vide couilles. Je n'ai compté, ni mes orgasmes, ni les siens, mais, même si je dois probablement la battre, le total semblerait trop ahurissant.

    Par contre, j'ai bien noté que Vincent avait éjaculé dans ses trois fois orifices, en lui enfonçant bien sa pine au maximum de leurs capacités !

    Mon coup de cœur pour le beau Vincent s'est évaporé, comme un fantasme inaccessible, mais je reste tout de même sur le plaisir de l'avoir senti si à l'aise dans mon cul, et sur les surprises que vont me réserver nos deux rendez-vous mensuels à venir !

    Je réunis le peu de force qu'il me reste et hurle :  « Yves, au secours ! ».

    Il lui faut bien trois minutes pour réaliser que j'ai besoin d'aide.

    Il entre comme un zombi dans le salon, me trouve attachée, et me murmure : « Mon pauvre amour, que s'est-il passé ? ». Mais sans attendre ma réponse, il s'attaque à tous les nœuds. Une fois libérée, il me prend dans ses bras et me porte jusque sur notre lit où il me dépose en douceur, me fait un gros bisou sur le front et se jette à côté de moi : moins d'une minute après, il s'est rendormi !

    Je suis prête à parier qu'il ne se rappellera de rien, quand nous nous réveillerons, je me colle à lui, la chatte encore trempée, je débranche mon cerveau trop plein de jouissances et de fantasmes et je m'endors immédiatement après avoir fermé les yeux !

    Et, il est temps que vous fassiez pareil !

    Nous sommes le :

    Dimanche 22 Janvier 2017

    Et, il est presque :

    06h45

    Suite > Chapitre 4


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