• Chapitre 5

    Chapitre 5

    Nuit du vendredi 27 au samedi 28 janvier 2017

    Comme annoncé, la veilleuse de notre chambre est restée longtemps allumée dans la nuit du retour d'Yves. J'avais décoré notre lit d'une petite guirlande de Noël, et ça lui a plu !

    Mais son petit cadeau, aussi : sa petite femme avec juste sa petite culotte, ses nichons aux bouts bandés et sa bouche avide dirigée vers le contenu de sa braguette ! J'ignore pourquoi, mais, Il ne lui pas fallu longtemps, pour comprendre ce dont j'avais envie !

    Et, si, bien sur, ce n'est pas nous, ces préliminaires, ces pelotages de nichons et de tétons, cette bite bien raide, si à l'aise dans ma bouche, et sa vidange de couilles qui m'a envoyée au paradis, durent 8mn14 >

    http://www.roadsexe.com/video/une-brunette-bien-bonne-pour-se-vider-les-couilles-7080.html

    Après ce qu'Yves a qualifié, avec un humour certain, d'agréable mise en bouche ! Nous avons pris une collation, tous les deux à poil, en nous excitant mutuellement tout au long du repas, et, si, en revenant dans notre chambre, Yves a fait semblant de s'endormir tout de suite, je me suis appliquée à très vite le réveiller et le faire bander comme un âne.

    La suite ne peut que se raconter sur ce clip de 10mn24 >

    http://www.roadsexe.com/video/une-sextape-qui-fait-du-bien-a-regarder-6932.html

    Et c'est, bien emboîtés l'un dans l'autre que nous nous sommes endormis comme des bienheureux très tard dans la nuit !

    Samedi 28 janvier 2017 - 9h

    Yves se réveille un peu avant moi, et me fait la surprise de me réveiller avec un beau plateau-déjeuner, en me posant un toast chaud sur un sein pour me réveiller en douceur ! Je chasse l'intrus d'un revers de main et Yves me rassure avec un baiser gourmand sur l'autre téton, toujours salope, je lui réclame sa main entre mes cuisses ! Mais il me calme en me rappelant que j'ai un rendez-vous important à 10h, qu'il doit aller au bureau pas trop tard et prendre l'apéro avec Marc !

    Je calme mes envies, avale mon petit déjeuner avec plaisir et file sous la douche, où, il commet l'erreur de me rejoindre !

    Et, bien sur, vous commencez à me connaître ! Je m'agenouille et enfourne sa bite dans ma bouche, et il me faut 4mn20 pour faire à peu près comme ces deux beaux amants >

    https://fr.pornhub.com/view_video.php?viewkey=ph599748cd99114&utm_source=PBWeb&utm_medium=PT&utm_campaign=PBWeb

    Nous finissons tout de même de nous laver et nous nous habillons. Nous prenons un dernier expresso, et fumons notre première cigarette dans le salon. Yves en profite pour téléphoner à Marc et prendre rendez-vous pour midi moins le quart chez eux. Il m'embrasse longuement et part pour le bureau alors que je range tout pour mon premier rendez-vous !

    Samedi 28 janvier 2017 - 10h

    Je relis les quelques notes que j'ai prises sur Eva, que j'attends :

    Femme célibataire de 35 ans, née dans le Roussillon, mariée très jeune à un Issoirien, un fils de 15 ans, a toujours travaillé pour qu'il ne manque de rien : secrétariat, intérim, hôtesse d'accueil au Syndicat d’Initiative d'Issoire, serveuse dans une pizzeria, et, depuis trois ans, femme de ménage non déclarée chez quatre clientes différentes.

    Mais elle préférerait un seul employeur et être déclarée. Elle peut donc se libérer de suite. Je me rappelle de sa voix agréable et de ses réponses intelligentes, franches et dans un vocabulaire plus que correct !

    Je l'attends donc avec impatience ! A 10h05, le carillon de la porte résonne. Je vais ouvrir et l'accueille. Une poignée de main et je la fais entrer dans le salon : où je lui propose de faire connaissance en buvant un café et en fumant une cigarette, si toutefois elle est fumeuse, et si ce n'est pas la cas, si la fumée ne la dérange pas. « Je ne suis pas une grosse fumeuse, Madame, mais je vois sur votre table la marque que je préfère, je vais donc accepter, en étant contente que nous ayons déjà un point commun ! ».

    Je trouve cette observation sympathique et significative d'une certaine sûreté de soi ! Nous enchaînons sur nos origines, puisque je suis née à Canet-Village, à dix kilomètres à l'ouest de Perpignan, et elle à Rivesaltes, à dix kilomètres au nord ! A 19 ans, elle a rencontré un auvergnat très sympathique, lors de la fête votive... Je la coupe en lui disant : « La Saint André ! », elle approuve en riant ! Et je rajoute : « Moi, c'est à la Saint Michel, la fête de Canet, que j'ai perdu ma virginité, c'étaient des fêtes dangereuses pour des jeunes filles !

    Nous rions toutes les deux, et elle continue : « Rapidement, j'ai eu mon fils, Mathieu qui fêtera ses 16 ans en septembre, mais, après le dépôt de bilan de Voxan, qui fabriquait les seules motos françaises, il n'a pas pu retrouver rapidement du travail et a finalement quitté la région avec une couguar argentée, nous avons divorcé trois mois après, à l'amiable et sans conséquences pour Mathieu ».

    « C'est déjà ennuyeux de divorcer, mais encore plus, s'il faut se déchirer devant nos enfants, moi, aussi, j'ai divorcé du père de Jean, qui a 12 ans, de la même manière que vous. Mais mon nouveau mari, Yves, l'adore et c'est réciproque, donc j'ai refait ma vie d'une manière très heureuse. Mais, nous avons tous les deux des boulots très prenants : lui dans le développement mondial d'une grosse Compagnie de logiciels, et moi comme bras droit du PDG de la SEAP d'Issoire ». « Celle qui a ses locaux sur l'aérodrome d'Issoire ? ». « Oui, vous connaissez ? ». « Elle rougit un peu : je ne devrais pas vous le dire, mais je n'aime pas les cachotteries : j'ai un petit ami qui y travaille ! ». « Décidément, nous avons beaucoup de choses en commun ! Rassurez-vous, votre vie privée vous appartient, et je ne veux surtout pas connaître son nom ! ».

    Je ressers du café et propose une autre cigarette qu'elle refuse. « Vous voulez visiter la maison pour vous habituer aux lieux ? ». Elle me sourit, pour ce peut-être qu'elle doit juger encourageant ! Nous terminons nos tasses et faisons le tour de la maison, qu'elle trouve : « Très spacieuse et qui accorde un grand espace de vie à chacun, que ce soit par nos deux bureaux, la chambre avec salle de bains de Jean et la suite parentale ». « C'est tout à fait exact, en plus, elle des dépendances, un grand garage et un jardin avec une piscine et ce quartier, dans ce petit village est un havre de paix ! ».

    Nous nous rasseyons, le téléphone sonne. Je m'excuse auprès d'Eva et décroche : « Oui, bonjour, Mariette (…) En effet, nous avons rendez-vous à 11h (…) Ah, vous avez un problème (…) Je comprends, une belle surprise de la part de votre mari (…) Mais, bien sur, nous pouvons retarder le rendez-vous (…) Au mardi ? Oui je pense que ça ira (…) mais appelez-moi lundi en fin de matinée, je vous confirmerai l'heure du rendez-vous de mardi (…) Oui, en effet, je reçois des candidates ce matin (…) Mais vous en saurez plus lundi (…) Oui, bon weekend-end en amoureux, Madame Mariette et à bientôt ».

    Je raccroche en souriant, et en résumant cet appel : « Comment rester à l'ANPE pour un weekend de baise, pauvre Mariette ! ». Même si Eva a compris cette métaphore, un peu vulgaire, elle ne fait aucun commentaire, mais, au moins, elle connaît mon caractère direct !

    « Bon, revenons à nous, vous m'avez dit avoir travaillé trois ans dans une pizzeria de la Place de la République, connaissez vous Sylvia ? ». « Mais, bien sur, c'est la patronne de la Piazza, où j'ai travaillé trois ans ! Vous la connaissez aussi ? ».

    Je ris : « Non seulement je la connais mais, en plus c'est une grande amie, je risque d'être dure avec vous, Eva, me le permettez vous ? ».

    « Je ne vous suis-pas, Madame ? ». Je souris ! « Rassurez-vous, vous n'aurez pas mal, mais je vais vous demander une autorisation, avant que nous n'abordions vos conditions financières : puis-je appeler Sylvia devant vous, sans lui dire que vous êtes en face de moi ? ».

    Eva éclate de rire ! « Je comprends, le mal que je pourrais ressentir : si Sylvia m'a virée pour avoir piqué dans la caisse ou insulté des clients, je risque, en effet, d'être très mal à l'aise, mais je vous rassure : je continue à voir Sylvia et nous sommes de grandes amies. Certains samedis elle m'appelle pour la dépanner au service ou même à la plonge ! ».

    « Eh, bien, en raccrochant, je vous dirai oui ou non ! Et, si c'est oui, nous irons le plus vite possible à la Piazza, et nous raconterons tout à Sylvia en buvant du champagne ! Elle va adorer cette anecdote ! ».

    « Oh ! Oui, avec son humour, je l'imagine déjà pliée en deux en faisant tomber sa coupe ! ».

    J'appelle, Sylvia à la Piazza, il est 11h, donc avant le service.

    Samedi 28 janvier 2017 - 11h15

    Eva et moi finissons de visiter la maison : les dépendances, le garage, le jardin, la piscine et le pool-house. Nous revenons au salon pour aborder le dernier débat à l'ordre du jour : « Eva, j'ai un dernier petit détail à régler avec toi, tu me le permets ? ». « Loréna, si chaque fois que tu dois me demander quelque chose tu mets des gants aussi longs, nous allons passer des soirées entière à attendre nos réponses ! ».

    Je ris, en m'excusant : « Chez SEAP, j'embauche depuis dix ans, mais là, avec toi, c'est tout nouveau, tu vas entrer dans mon intimité et je ne saurais dire pourquoi, mais c'est moi qui me sens gênée ! ».

    « Il n'y a vraiment pas de quoi, Loréna, je suis ton employée et tu es la patronne ! Donc nos rôles sont parfaitement bien définis, et je vais te dire que je suis même fière d'être ton employée ! ».

    « Pfffffff tu me tends une perche superbe : quelle profession dois je mettre sur tes fiches de paye ? ».

    Elle éclate d'un grand rire cristallin ! « Et ça te mettait mal à l'aise ? Mais tu mets ce que tu veux ! ». A mon tour de rire : « J'avais pensé à gouvernante ? Qu'en penses-tu ?». « Sincèrement je trouve ça un peu snob et tu ne l'es pas ! Je préfère nettement femme de ménage, ça me va bien, tu sais que ce qui comptera, c'est que nous nous entendions bien toutes les deux et que la dernière ligne de ma fiche de paye me suffise à rendre mon fils heureux et à vivre correctement ! ».

    « Je te comprends, Eva, et sois certaine que je t'y aiderai le plus possible, sans abuser de tes heures, tu as peut être une photo de toi ? « Oui, j'en ai une de cet été, tu la veux ? ». « Prête la moi, je vais la scanner et l'envoyer à mon mari et à mon fils, il seront enchantés et contents de voir que tu as moins de 70 ans, que tu n'es ni borgne, ni unijambiste et, en plus, plutôt canon, comme ils vont le penser et, le dire tous les deux, car mon fils est précoce et mon mari dit ce qu'il pense ! Comme moi ! ».

    Quelques minutes plus tard, je lui rends sa photo, elle me quitte avec un grand sourire, monte dans sa Twingo avec toit ouvrant !

    Je rentre et envoie sa photo accompagnée de : « Eva, notre sympathique femme de ménage, à partir de ce lundi 31 janvier ! » à Yves, à Jean mais aussi, à Madame !

    Tome 05

    Nous avons rendez-vous lundi matin à 8h pour qu'elle fasse connaissance avec Yves et Jean, que je récupère ses documents pour la rédaction du contrat et que je lui indique où sont certains instruments indispensables, comme, par exemple la station vapeur, la table de repassage et l'énorme corbeille de repassage en retard ! Ouf !

    Samedi 28 janvier 2017 - 11h45

    Yves revient du bureau, heureux d'avoir reçu la bonne nouvelle de ma nouvelle femme de ménage. Et, comme je m'y attendais, il rajoute un peu coquin : « Et, en plus, elle est mignonne comme tout ! ».

    Je lui assure que j'ai plus regardé ses mains et son envie de bosser que la taille ou la fermeté de ses seins ! Il me répond qu'il n'en est pas tout à fait sur et après un gros bisou, il part pour sa rencontre avec Marc !

    Je prépare le déjeuner pour nous deux, puisque Jean est avec ses grands-parents jusqu'au dimanche soir.

    Samedi 28 janvier 2017 - 13h

    Comme je m'y attendais, Joëlle, mon rendez-vous de 12h, ne m'a pas rappelée. Je suis un peu surprise qu'Yves ne soit pas encore de retour, heureusement que mon déjeuner est au chaud dans le four !

    J'allume une autre cigarette en regardant les infos à la télé.

    Yves revient, il sent un peu l'alcool, et je le mets en garde : « Attention, Yves, tu ne te rappelles pas tout ce qui s'est passé la semaine dernière, mais je t'ai promis que c'était la première et la dernière fois que je te mettais au lit ivre mort ! ».

    « Rassure-toi, Amour, ça ne m'arrivera plus, je te le jure ! Mais Marc a une sacrée descente : quatre whiskys tassés en trois quart d'heure ! Il va devoir faire une bonne sieste, moi, je me suis arrêté à deux, car son hors d'âge est assez exceptionnel ! On mange, ma chérie ? ». « C'est prêt, mets toi à l'aise je t'attends à la cuisine ».

    Nous parlons beaucoup d'Eva pendant le repas, mais je refuse à Yves tout accès à son dossier financier : je lui dit fermement que c'est une affaire strictement personnelle, dans laquelle, il n'aura jamais à intervenir : « Mais, ma Chérie (…) Chut, je l'ai embauchée pour m'aider à te consacrer plus de temps et d'amour, ainsi qu'à Jean et mieux vivre nos amitiés, nos loisirs et nos relations. Donc, son budget ne concerne que moi, et mon boss qui a très gentiment ajusté mon salaire pour que je puisse l'embaucher ! ».

    Yves est convaincu mais m'assure qu'il sera toujours là en cas de souci ! Je ris en lui mettant au moins trente centimètres de langue dans sa bouche et, après avoir récupéré mon souffle, je lui dis : « Je le sais bien mon Amour ! ».

    Nous passons dans ce que nous appelons à présent le fumoir, ce qui me fait sourire et devrait avoir le même effet sur Annie, et propose à Yves une petite sieste crapuleuse comme on dit à Marseille, il me sourit, désolé, car il n'a pas fini et il doit retourner au bureau, au moins jusqu'à 18h.

    Un peu désolée, je ne lui en veux pas et m'assieds sur ses genoux pour lui offrir un gros câlin. Il en profite pour me dire que si je veux aller aider Annie, je peux y aller quand je le désire, elle m'attend sans obligation de ma part.

    « Je ne vais pas laisser tomber ma nouvelle amie ! J'irai dans une petite heure, le temps de me doucher et de tout ranger ! ».

    Yves me quitte et repart à son bureau.

    Samedi 28 janvier 2017 - 13h30

    C'est fini pour la maison, je m'habille en uniforme de RTT, et appelle Annie « Bonjour, oui, c'est moi ! Je suis là dans cinq minutes, laisse moi un peu de travail ! ». « Elle rit : « Ok, ma chérie, c'est gentil, viens quand tu veux, je déverrouille la porte et je prépare du café ! Bisous ! ».

    J'annonce mon entrée en poussant la porte, elle me crie qu'elle est dans la cuisine. Je la rejoins, elle me serre contre elle et m'embrasse très tendrement sur la bouche, me faisant ronronner de plaisir.

    Un peu essoufflée, je remarque : « Compte tenu du baiser-régal que tu viens de m'offrir ! Je suppose que Marc n'est pas là ! ». « Tu es futée, ma Loré, le moindre indice te met sur la piste du meurtrier ! Oui, en effet, il est allé faire un golf avec des amis ! ». « Hum, bad news for me ! Il va être en super forme ce soir ! ». « Ah, ça, ma pute adorée, il fallait y penser avant d'accepter la soirée, et pas après ! Tu l'auras cherché ! ».

    Nous rions et je lui demande où elle en est : « Je suis contente, car je travaille depuis 6h ce matin, heure à laquelle tu devais t'endormir, pleine du sperme qu'Yves a accumulé en Russie ! ». « C'est à peu près exact, mais comme j'avais mon rendez-vous avec Eva, nous nous sommes endormis un peu avant ! ».

    « Je t'avais dit que je préparais une soirée marocaine ? ». « Non, pas vraiment, ou je n'ai pas flashé, mais pourquoi ne pas faire appel à un traiteur ? C'est plus simple ? ». « Oui, mais, si chaque fois, tu dois ouvrir ton cul, ça va finir pas me gêner et surtout, contrairement à toi, j'adore faire la cuisine, et, paraît-il, je la fais très bien ! Donc, si je ne la fais pas pour ceux qui vont devenir nos meilleurs amis ? A qui vais-je la faire ? ».

    « Raisonnement imparable, et donc tu en es à ? ». « Mon repas est prêt, la pastella aux pigeons ne demande plus que trente minutes de cuisson au four. Le couscous va se réchauffer deux heures à petit feu, avec la semoule au-dessus pour qu'elle s'imprègne bien des saveurs du mélange, légumes, viandes, épices et jus. Le thé à la menthe se fait au dernier moment et les pâtisseries marocaines sont soigneusement emballées dans un torchon un peu humide pour ne pas sécher et rester croustillantes ! ».

    « Ouah, quel cordon bleu, tu as même fait ton timing ! Quelle organisatrice ! Tu es aussi forte en cuisine que sur les bords d'Allier ! ».

    « Hum ! A ce propos, j'ai reçu le synopsis d'Agnès, je l'ai lu ! J'ai du m'envoyer en l'air, tellement il est excitant ! Je vais y rajouter ma petite touche, et tu vas te régaler ma catin d'amour ! ».

    « Il faudra penser sérieusement à ce gros rendez-vous, mais je n'ai pas encore le programme d'Yves pour les semaines à venir ». « Pas grave, on a le temps, ça augmentera ton excitation ! Tu adores savoir que tu vas vivre bientôt une séance inoubliable ! Et l'attendre avec impatience! ».

    « Hum, oui c'est tout à fait exact ! ». « En ce qui concerne les boissons, les bouteilles de champagne sont au frais depuis hier, Yves a promis à Marc d'en apporter d'autres de la même marque, bien frappées, quant au Gris de Boulaouane, en fait le rosé, très clair, élevé au Maroc, qui accompagnera notre repas, il est lui aussi, dans un autre frigo ! En fait, il ne nous reste qu'à dresser la table et nous aurons fini ! ».

    Entre deux cafés et deux cigarettes, nous dressons soigneusement la table, avec un service de table en poterie de Salé, banlieue de Rabat, et, comme décoration : des objets, des bijoux, des roses des sables et des tas de souvenirs de ce pays où Marc est né. Pour donner une réelle ambiance et faire comme là-bas comme l'assure la pub du Couscous Garbit !

    Entre temps, nous avons, bien sur beaucoup parlé d'Eva. Annie m'assure être contente que je puisse à présent avoir un peu plus de liberté pour ma famille et m'assure qu'elle ne va pas trop abuser de mes temps libres, et partagera équitablement avec Yves, Jean et elle, que ce soit en tant qu'Annie ou de Madame !

    Samedi 28 janvier 2017 - 14h10

    « Dis moi, ma chérie, nous n'avons plus rien à faire. Yves et Marc ne seront, là que dans cinq heures, et, moi, je n'ai qu'une course rapide à faire avec toi. Ce qui nous laisse pratiquement quatre heures. Comme je ne veux pas t'épuiser sexuellement avant la soirée, pourquoi ne pas en profiter pour se faire une toile ? Ça te plairait ? Je te rassure de suite : pas dans un ciné-porno ! Ça, ça viendra plus tard dans ton éducation de soumise parfaite ! ».

    « Excellente idée, je vais juste me changer en vitesse, récupérer un sac et je te retrouve dehors, si tu es d'accord ? Et, même s'il te reste un peu de temps, regarde quel film débute au Ciné Dômes entre 14h45 et 15h. Je te laisse choisir ! ». « Ok, je cherche, je me change et à de suite ! ».

    Samedi 28 janvier 2017 - 15h

    Il y avait un peu de circulation sur la A75 et nous ne pouvons que prendre des places pour le seul film qui commence à 15h : Rogue-One.

    Tome 05

    Jean étant un inconditionnel de Star Wars, je suis contente de voir un épisode que je ne connais pas. Mais Annie me prévient qu'il n'est pas dans la lignée de la saga : « C'est en fait le premier des trois films dérivés de la saga qui seront regroupés sous le sigle A Star Wars Story, le deuxième en 2018 et le dernier en 2020 ! ».

    Annie est aussi un puits de science !

    Samedi 28 janvier 2017 - 17h13

    Le film s'achève, nous sortons, et je dis à Annie : « Je dois reconnaître que je n'ai rien compris ! Avec tous ces morts qui ressuscitent, ces bouts d'épisodes repris et modifiés ! Heureusement que j'étais avec toi ! Ça faisait un bon siècle que je n'avais pas flirté comme ça au cinéma ! ».

    J'ai le malheur de lui dire ça, quand, dans le couloir de la sortie, nous passons juste devant des toilettes. Elle me prend par le cou et me glisse à l'oreille : « Tu ne protestes pas, tu ne dis rien et tu me suis ! ».

    Samedi 28 janvier 2017 - 17h45

    Nous ressortons des wcs pour femmes, je me sens un peu toute chose, la bouche gluante, les genoux marqués par ma position. Et, en plus, frigorifiée d'être restée vingt bonnes minutes, entièrement à poil, alors qu'Annie s'était contentée de relever sa jupe et de baisser sa culotte !

    Je fais un peu la tête, car, je suis restée sur mon envie de jouissance, alors que pendant la durée du film, elle m'a laissée m'exciter sur elle.

    Je pensais qu'en la faisant jouir dans ces wcs, elle m'autoriserait, au moins, une masturbation, mais, je n'ai rien eu ! Elle se rend compte que je suis grognon et me dit : « Puisque tu estimes que nous avons flirté dans la salle, ce n'est pas Madame que tu viens de lécher jusqu'au plaisir ! Mais c'est bien Annie, qui flirtait avec sa petite femelle gouine ! Pourquoi ne pas avoir demandé à Annie de te branler ? Je suis sure qu'elle aurait été très heureuse de glisser ses doigts, dans ton con, dans un cinéma et même, de te faire gémir, pour signaler aux voisins que tu avais un malaise vaginal ! ».

    « Attention, ma petite chérie, Madame et moi sommes deux femmes assez compliquées à suivre et à comprendre, mais je te croyais suffisamment intelligente pour toujours savoir avec qui tu étais ! ».

    Nous récupérons sa voiture ! Je suis groggy ! Je n'ai rien compris, ni elle, ni le film !

    Samedi 28 janvier 2017 - 17h55

    Quelques kilomètres plus tard, nous sommes de l'autre côté d'Aubière, dans la partie appelée le kilomètre lancé, mi zone commerciale, mi zone industrielle. Annie stoppe devant un entrepôt siglé par une petite enseigne lumineuse : Tunis Import, elle me demande de la suivre et pousse une porte métallique qui ouvre sur un show-room de vêtements orientaux.

    En attendant qu'un vendeur s'approche, elle me dit : « Pour une soirée marocaine, il nous fallait des tenues, j'ai sélectionné quelques caftans sur le net. Il nous faut en choisir deux pour les étrenner dès ce soir ! Tu ne trouves pas l'idée séduisante, ma chérie ? ». Je souris : « Super séduisante ! Nos chéris vont être surpris ! ».

    Un bel homme s'approche de nous : « Bonsoir, Mesdames, que puis-je pour votre service ? ». « Bonsoir, Monsieur, j'ai réservé quelques modèles de caftans sur votre site Internet au nom d'Anne-Marie, ce matin aux alentours de 11h ». Il consulte sa tablette, en effet, Madame, voici les modèles que vous avez sélectionnés : et il les projette sur un écran.

    Tome 05   Tome 05   Tome 05

    Tome 05   Tome 05

    Je regarde Annie : « Tu choisis ? ». « Non, tu es mon invitée, choisis ton caftan de soirée, ma chérie ! ». « Entendu, je choisis le bleu et rose, troisième en haut ! ». Le vendeur nous dit : « Très bon choix, Mesdames, je suppose que vous apprécierez un 38-40, car les caftans se portent amples, sinon, bien sur, je vous aurais proposé un 36 ! ».

    Bel homme et gentleman, certains ont tout pour eux ! Annie lui dit : « Pour moi, ce sera le deuxième du bas, blanc, long, avec ces superbes broderies, et dans la même taille ! ». « Donc, un 36, Madame ? ». « Non, mon cher ami, un 38-40 : je n'aime pas montrer mes seins de suite ! ».

    Nous rions tous les trois alors qu'il va chercher notre commande. Quand il revient, elle me demande si je veux l'essayer, je lui dit que ce n'est pas la peine : « Moi, non plus ». Elle sort sa Gold et nous partons en remerciant notre gentil vendeur !

    Je m'étais souvent rendue compte que j'étais désirable aux yeux de certains hommes, en dehors d'Yves, mais en compagnie d'Annie, la paire que nous formons, pour ne pas dire le couple, est absolument irrésistible !

    Samedi 28 janvier 2017 - 18h45

    « Je trouve ton idée, superbe, Annie, j'aurais du faire pareil pour la soirée espagnole ! La prochaine fois, je réfléchirai plus ! ». « Ne te fais pas autant de souci, ma Loré, ta soirée était superbe et il ne manquait rien ! La mienne sera largement en dessous de ta gastronomie, c'est pour ça que je mise plus sur l'ambiance que sur le goût ! ».

    Elle me demande de nous allumer deux cigarettes, et rajoute : « A propos de goût, j'aurais du choisir pour toi, c'est ton modèle que j'aurais pris. Le noir me plaisait aussi, mais il faisait un peu racoleuse, ce bleu t'ira super bien, j'espère que tu as des sandales style tongs-chics bleues, blanches ou dorées, avec des ongles vernis vermillon, tu seras hyper sexy ! ».

    Nous fumons en silence, et à 18h45, elle me dépose chez moi, Yves n'est pas encore rentré. Un smack et je descends avec mon paquet sous le bras. La soirée s'annonce belle !

    Samedi 28 janvier 2017 - 19h15

    Je suis dans le fumoir, à poil sous un peignoir à demi-ouvert et je finis de me vernir les ongles des pieds. Ceux des mains sont faits. J'ai pris un long bain et me suis lavée et récurée de partout, j'ai caché mes affaires dans la chambre d'amis ! Caftan, parure bleu ciel en soie et dentelle, sandales nus pieds hyper sexy, sac avec cigarettes et portable et mon manteau.

    J'ai profité d'un séchage rapide d'ongles, pour appeler Annie et lui proposer de lui envoyer Yves, qu'elle accueillerait en peignoir, comme si elle était en retard, et que cinq minutes après, j'arrive habillée sous mon manteau, qu'elle vienne m'ouvrir, pour que les fatmas entrent ensemble au salon ! Elle accepte de suite, et je reprends mon vernissage !

    A 19h30, Yves arrive. « Pardon, amour, je suis en retard, mais j'ai réussi à tout finir, je ne suis pas obligé d'y retourner demain ! Je vais vite me doucher et m'habiller ! Tu peux me préparer un double expresso, s'il te plaît, j'en ai vraiment besoin ! ».

    Je jette le café frais qu'il me restait pour gagner un peu de temps en en refaisant. Je crois que je vais lui dire que je dois me revernir les ongles d'un pied, mais qu'il peut partir devant, je le rejoindrai dans cinq minutes, oui, ça devrait marcher, car il n'aime pas être en retard !

    Quand il revient au fumoir, sa tasse est servie, je lui ai allumé une cigarette, mais je suis toujours en peignoir en râlant contre moi : je lui montre mon pied gauche : « Regarde l'imbécile de femme que tu as, comment peut-on se vernir aussi mal les ongles ? Je suis obligée de recommencer tout mon pied gauche ! Tu devrais finir ton café et ta cigarette et y aller, le te suis dans cinq minutes, ok ? ». « Pas de souci, prends ton temps, ma chérie, je dirai que, comme j'étais prêt, je suis venu en éclaireur ! Et arrête de t'insulter à propos d'un vernis à ongles ! ».

    « Amour ! Si je ne t'avais pas eu ce soir, je me suicidais ! Allez, dis-leur que j'arrive et attendez moi pour commencer la nouba ! ».

    Samedi 28 janvier 2017 - 20h05

    Je frappe deux coups à leur porte d'entrée, Annie vient de suite m'ouvrir, elle est encore en peignoir, mais je devine le bas de son caftan long qu'elle a du retrousser un peu ! Elle m’entraîne dans la chambre d'amis, j'enlève mon manteau. Elle me contemple avec des yeux brillants d'envie ! « Hum ! Tu vas faire de l'effet ! A commencer par moi ! Ma chérie ! Tu es bandante de la tête aux pieds ».

    Elle arrive encore à me faire rougir ! Mais je préfère en rire !

    Elle enlève son peignoir, libère son caftan, elle est magnifique, avec un décolleté profond qui met en valeur sa poitrine superbe, elle prend son portable, cherche une musique préréglée, nous nous approchons toutes les deux de la porte du salon. Elle déclenche une musique arabe pour que nous réussissions une entrée éblouissante en dansant toutes les deux devant nos hommes étonnés et admiratifs !

    Samedi 28 janvier 2017 - 20h05

    Yves m'a laissée offrir à Annie un très beau bouquet de sa fleur préférée, le lys, et il s'était réservé le plus lourd : confier à Marc une glacière isotherme contenant six bouteilles de champagne frappé, de la même marque que celle qu'ils avaient dans leur frigo.

    Chacun s'assied, Annie est rayonnante dans son superbe caftan, Marc et Yves sont habillés un peu comme samedi soir, chez nous, toujours ce style relax-chic qui leur convient parfaitement.

    Tandis que mon caftan-tunique qui dénude largement mes cuisses sans bas et mes mules nus pieds orientales, attirent leurs regards, ce qui me me gêne un peu, mais me réchauffe le cœur et d'autres parties du corps !

    Marc annonce : « Champagne à l'apéritif, vin marocain pendant le repas et thé à la menthe au dessert, ça convient à tout le monde ? ». Nous approuvons tous, mais, un peu amusée j'ajoute : « Avec, toutefois, plus de modération que la semaine dernière, Marc fait ce qu'il veut ! Mais si Yves me refait ce coup, je l'abandonne dans le caniveau entre nos deux maisons ! ». Tout le monde jure que ça ne se passera pas comme ça !

    Marc sert le champagne pendant qu'Annie nous apporte des amuse-gueules surprenants : elle a soigneusement découpé sa pastella, je suppose avec des ciseaux, en petites parts individuelles, faciles à prendre avec les doigts et à manger. Ce qui nous offre un apéritif original en présentation et en goût !

    Tout le monde la félicite, il faut reconnaître qu'elle a bien caché son jeu, car, je ne me suis doutée de rien ! La pastella est excellente, et la première portion est vite consommée, ainsi que la première bouteille de champagne. Yves qui veut se rendre utile nous dit : « Ne bougez pas, je vais en chercher une ! Mesdames, vous avez assez travaillé ! ».

    Il me laisse seule quelques minutes avec nos amis. Je ne peux pas ignorer l’intérêt que porte Marc pour mes cuisses nues et la question qu'il doit se poser sur ce que je porte dessous ! Mais je fais mine de ne pas m'en apercevoir et continue à parler avec Annie qui me dit :

    « Loré, il me semble qu'il va falloir dire à nos hommes ce que nous avons fait cet après midi ! ». « Oui, tout à fait d'accord, ne les laissons pas croire qu'on a passé notre temps à bosser comme des dingues ! ».

    Nous éclatons de rire devant Marc, qui a du mal à comprendre, et Yves, qui revient avec sa bouteille de champagne. Annie va chercher l'autre moitié de la pastella, et à son retour, j'explique aux deux hommes, qu'Annie ayant tellement bien travaillé, nous avons passé l'après midi au cinéma et à acheter les caftans, cadeaux d'Annie, que nous étrennons ce soir !

    Nous terminons la pastella, et Annie nous dit : « Bien, je crois que nous pouvons passer à la vedette de la soirée : le couscous royal marocain, contrairement à la paella sublime de nos amis, je ne vais pas vous énumérer ce qu'il y a dedans, car, tout cuit à son juste temps, vous reconnaîtrez chaque ingrédient sans problème ! En fait, c'est, le seul petit truc qui fait d'un couscous maison un plat excellent ou immangeable ! ».

    Je me lève pendant qu'Annie termine : « Messieurs, vous avez dix bonnes minutes pour boire une dernière coupette et fumer une cigarette, Loré et moi allons préparer le service du couscous, qui, s'il se mange dans une seule assiette, et avec une cuillère à soupe, se présente et se sert dans une dizaine de plats différents ! A table dans dix minutes ! ».

    Et, Annie et moi les laissons pour regagner la cuisine !

    Samedi 28 janvier 2017 - 20h45

    Annie me dit : « Je suis contente, l'apéro s'est bien passé, la pastella a été appréciée et nous n'avons pas trop bu ! ». « Oui, tu as raison, ce serait dommage que l'alcool vienne perturber une soirée qui s'annonce si belle ! Le vin marocain est beaucoup titré en alcool ? ».

    Annie sort une bouteille du frigo et m'annonce un petit 12° : « Parfait car Yves m'a appris que certains vins du Maghreb titraient 13 ou 14° ! ».

    Annie se rapproche de moi, me pousse vers la table de la cuisine, me force à y appuyer mes fesses et passe sa main sous ma tunique. Elle arrive facilement à ma culotte, qu'elle écarte, pour glisser trois doigts dans mon con dégoulinant ! : « J'en étais sure, mais je voulais vérifier ! Je crois qu'avant de s'occuper de la présentation du couscous, nous allons peaufiner ta préparation à servir ! Ma petite pute ! ».

    Je reste muette, yeux rivés au sol : « Si Madame intervient, ça te dérange ma petite Loré ? ». Je la regarde un peu surprise : « Bien sur que non, Madame, pourquoi serais-je gênée ? C'est vous qui avez souhaité cette soirée et vous la gérez à votre guise ! ».

    Annie semble contente de ma réponse. « Bien, quand tu es arrivée, j'ai fait attention que ton sac reste dans la chambre d'amis. Tu vas y récupérer tes clés et faire un aller-retour chez toi, de façon à être bien préparée pour la partie la plus excitante de la soirée ! Une objection Putain Loré ? ». « Non, Madame, aucune ! ».

    « Parfait, tu vas d'abord changer de sous-vêtements en mettant une petite culotte qui laisse ta chatte et ton anus accessibles, le soutien-seins assorti qui offre tes tétons nus ! Pour les décorer, voici deux petites pinces que tu fixeras verticalement. Ne te fie pas à leurs tailles ! Mais tu devrais très vite t'y habituer ! Tu glisseras ton œuf vibrant dans ton vagin et une paire de boules de geisha dans ton anus et, tu me donneras les télécommandes. Pour terminer, garde tes bijoux, mais rajoute autour de ton cou mon pendentif-alliance, pour qu'Yves fasse sa connaissance, quelque chose à rajouter ? Putain Loré ? ». « Non, Madame, tout est clair ! ».

    « Bien, reviens le plus vite possible, moi je vais commencer à préparer les plats, il nous faudra servir le couscous à ton retour ».

    Je me glisse directement dehors. J'allume la lumière extérieure pour mon retour et je me hâte d'aller chez moi. Dans ma chambre, je ne garde que mes mules orientales, j'ôte mes sous-vêtements et les remplacent par la parure obscène que j'aime beaucoup ! Je me pose les petites pinces, qui, en effet sont très mordantes et enfile le pendentif-alliance d'Annie.

    De l'armoire du salon, je sors les boules et l’œuf, que, par sécurité, je vais mettre dans la salle de bains. Même si tout pénètre facilement, je me sens très pleine et surexcitée. J'enfile mon caftan et je retourne lentement chez Annie ! La course me semble dorénavant interdite !

    Quand je rentre dans la cuisine, Annie me sourit, me demande juste de relever complètement mon caftan et de m'ouvrir les orifices de mes deux mains : « Juste pour me mater », me dit-elle en riant !

    Je sais bien que, Madame, vérifie que ses conseils ont bien été suivis, et un rapide coup d’œil et les cinq photos qu'elle fait de moi sur son i-phone en attesteront si besoin était !

    Samedi 28 janvier 2017 - 21h15

    Je cache tout et m'approche pour l'aider. Elle a vidé le couscoussier dans une grosse marmite plus accessible. Elle a préparé toutes les pièces du service en poterie de Salé : la petite coupe au bord ourlé, avec des oignons salés-sucrés frits, la même, avec des raisins secs marinés et une, un peu plus grande avec des pois chiches dans du jus.

    Elle est en train de transvaser tous les légumes dans un plat ovale assorti et me propose de prendre une fourchette et une cuillère pour l'aider. A deux, nous allons vite, bien que certains gestes me fassent un peu souffrir.

    Il nous reste à faire de même, dans un plat identique, avec la viande : du gigot et de l'épaule d'agneau, partitionnés en morceaux, avant d'attaquer le final : verser le jus restant, dans la grosse soupière, en extraire une douzaine de cuillerées qu'il me faut mélanger à de la harissa tunisienne et, enfin, de disposer dans un plat rond, la colline de semoule haute d'environ quarante centimètres, digne de la Dune du Pilat !

    Annie sort les différentes cuillères de service de son argentier, et, nous allons au salon pour dire à nos hommes que tout est prêt et qu'ils doivent passer à table ! Marc approuve en disant : « Parfait ! On commençait à avoir faim ! ».

    La table est ronde, donc, Annie nous place : Marc est face à Yves, et donc Annie face à moi ! Les hommes s'asseyent, nous retournons dans la cuisine et, Annie, coquine, en profite pour me mordiller l’oreille en me disant : « Tu as vu comme Marc te mate les cuisses ? ». Je ris en approuvant : « Oui, et, Yves qui ne quitte pas ton décolleté des yeux ! ». Nous rions comme des collégiennes, en revenant, les bras chargés de plats.

    « Bien, notre part de travail est faite, à présent, Marc, à toi de jouer : le Gris est dans le deuxième frigo de la lingerie, le tire-bouchon et le seau sont sur la table, et nos verres attendent d'être remplis ! ».

    Pendant qu'il va faire son job, Annie nous propose de nous servir, mais, je lui demande : « Dis, moi, Annie, je pense que, comme tous les plats festifs, comme la paella, le couscous a-t-il, lui aussi ses coutumes, comme celles de tout servir dans des plats séparés, mais aussi des rites ou des traditions de consommation ? ».

    « Bien raisonné, Loré, tu as remarqué que les ingrédients devaient toujours être présentés séparément et que tous les services à couscous en poterie étaient fabriqués comme ça : par exemple un service comme le mien est un service de vingt quatre assiettes, mais il comporte en tout soixante huit pièces ! ».

    « Quant aux rites de dégustation, à part les doigts pour les orientaux et la cuillère à soupe pour les occidentaux, nous héritons en fait des habitudes de nos parents ! Je déguste ce plat comme le faisait ma Maman : une première assiette, pas trop pleine, avec uniquement de la semoule et du jus, une deuxième avec de la semoule et des légumes et la troisième, avec de la viande et un fond de semoule ! Mais, ce ne sont que mes habitudes familiales, vous pouvez le déguster comme vous le voulez ! ».

    « Il n'en est pas question ! Je vais me servir de ton expérience : sers moi à la manière Maman-Annie ! Merci ! ». Quand c'est son tour, Yves demande pareil, et Marc en revenant est tenu au courant, et fait comme nous !

    Nous mangeons tous les quatre notre première assiette de couscous-nature, en nous régalant de la finesse et de la simplicité de cette semoule parfaitement bien cuite, simplement assaisonnée de jus de cuisson et de harissa pour les plus courageux !

    Quand Marc remplit nos verres, Annie achève ses conseils en nous prévenant : « Ne buvez pas trop, la semoule continue à gonfler dans nos ventres ! Vous pourriez exploser et salir mon canapé ! ».

    Tout le monde éclate de rire. Annie se relève, prend le plat de viande et la soupière de bouillon en nous disant : « Compte tenu de votre planning-couscous, je vais remettre la viande et du bouillon dans le couscoussier, comme ça, à petit feu elle sera bien chaude. Pour les légumes, c'est moins important car ils sont très bons même tièdes ! ».

    Elle revient et la conversation se calme peu à peu. Tout le monde a faim et Annie est sûrement très heureuse de voir que nous apprécions tous son repas.

    Nous attendons tous la dernière assiette vide, et Annie nous sert notre deuxième couscous-aux-légumes ! Malgré les conseils d'Annie, les bouteilles de Gris se succèdent, les rires sont plus forts et les plaisanteries plus fréquentes.

    Pour, je ne sais quel motif, nous éclatons de rire, et Annie est obligée de se réfugier dans sa cuisine, mais je sais très vite que c'était une excuse, car, silencieusement, les boules de mon trou du cul et l’œuf de mon vagin se mettent en route, pour me tarauder en silence l'intimité !

    Elle revient, me fait un clin d’œil discret et nous dit : « Je tiens à être la première à annoncer quelque chose d’intime en m'adressant à notre nouvel ami, Yves ! Loréna, est-ce que tu m'y autorises ? ».

    Je réponds en souriant : « Je ne vois pas de quel droit je pourrais te refuser de t'exprimer ! ». « Merci, ma chère Loré : décidément, Yves, tu as beaucoup de chance, tu as une femme qui sait gâter ses amis quand elle les invite, qui, en plus, est très belle, voire canon et que je sais être très sensuelle : tu es un mari vraiment gâté ! J’ai peur que Marc ne soit très jaloux de toi ! ». Yves se lève, verre en main, donne à Annie un gros baiser sur le front et porte un toast : « A nos jolies femmes ! En espérant en profiter, encore, pendant de très longues années ! ».

    Il se rassied et répond à Annie : « C’est vrai, Annie, mais pour la beauté et la sensualité, j’aimerais bien organiser un concours entre vous deux, même si par amour, je miserais sur Loré, je ne suis pas sur du résultat et peut être même que je pencherais pour un match nul ! Donc, Marc n'a aucune raison d'être jaloux de moi ! ».

    Nous trinquons en riant à cette bonne réponse. Nous rafraîchissons un peu la table avant de rapporter le bouillon très chaud et la viande bien appétissante. Pour notre couscous-à-l'agneau. En ayant suivi les conseils d'Annie, il nous reste une petite faim pour déguster les meilleurs morceaux d'agneau qu'elle nous sert.

    Mais quand la dernière assiette est vide, nous sommes vraiment repus, et décidons tous de faire une pause ! Annie me dit de tout laisser sur la table et nous allons tous au fumoir, où Marc nous propose du Gris, du champagne, du café ou tout autre boisson ! La tête me tourne un peu, j’ai vraiment trop bu. Personnellement j'opte pour un double expresso !

    Je ne me rappelle pas comment, mais la conversation tourne sur la future nomination de Trump à la Présidence des USA. Annie se penche vers moi et me dit : « Allons dans la cuisine, on va faire un premier lave-vaisselle. Laissons les hommes critiquer cet homme qui de toutes les manières sera le leader du monde dans quelques jours ! ».

    Samedi 28 janvier 2017 - 22h00

    J’approuve, en souriant, car je sais pertinemment qu'Annie n'a pas besoin de moi pour remplir un lave-vaisselle ! Dans la cuisine, je commence à ranger. Annie sort une bouteille de Vichy Saint-Yorre du frigo et remplit deux grands verres que nous buvons.

    Elle m’en ressert un autre qu’elle m’oblige à boire, malgré mon manque d’envie, tout en me précisant : « Comme ça, tu auras la vessie bien pleine, tu es très excitante quand tu te tortilles d’envie de pisser ».

    Obéissante, je finis le verre et reprends mon travail de rangement en rinçant les assiettes et les plats avant de les ranger dans le lave-vaisselle. Elle met la machine en route, et profite du bruit pour augmenter, sans que je ne la vois, la vitesse de mes sex-toys de deux crans.

    Elle constate, en riant, que je grimace de leurs taraudages plus intenses. Sans plus s'occuper de moi, elle va fouiller dans son frigo. Et, toute contente, elle s'approche de moi, me prend par le cou, et me conduit vers l'une des portes de la cuisine qui donne sur un petit hall jouxtant le salon.

    Elle me glisse à l’oreille : « Pose tes mains sur le mur, recule tes fesses et écarte tes cuisses : ne te préoccupe pas de ce que je vais te faire. A mon signal, tu diras aux hommes que nous allons revenir, mais qu’il leur faut changer de sujet de conversation ».

    J’acquiesce, un peu inquiète, je pose mes deux mains à plat sur le mur, éloigne mes fesses du mur, ce qui m'oblige à me cambrer. Elle m'écarte les pieds en me frappant l'intérieur des cuisses, jusqu'à la limite de l’équilibre.

    Elle semble contente de ma posture, et, elle exhibe fièrement devant moi l'énorme concombre qu’elle a sorti du frigo.

    C'est fou ce qu'une femme peut faire avec un beau concombre >

    Vidéo 1 > 1mn23 > Une jeune et jolie jeune femme profite de ses courses dans un hyper pour s'enculer avec un très beau concombre ! Étonnant !

    http://www.roadsexe.com/video/elle-se-fait-enculer-par-un-concombre-au-super-marche-5447.html

    Vidéo 2 > 11mn47 > Une très jolie blonde à lunettes, s'offre toutes les pénétrations possibles, surtout avec un concombre non épluché !

    https://tukif.com/videos/104596/elle-nourrit-son-cul-avec-un-gros-concombre.html

    Vidéo 3 > 38mn31 > Une très belle jeune femme joue avec un concombre épluché et semble donner des conseils utiles, mais en anglais !

    http://www.bonporn.com/video/181902/Une-beaut%C3%A9-jouit-avec-un-concombre

    Je frissonne d'envie et de peur. Elle soulève ma tunique, la coince à ma taille et me demande d'enlever les sex-toys qui encombrent mes orifices. Je suis obligée de les poser par terre, et, dès que j'ai repris ma position, elle glisse le légume dans le fourreau trempé de ma moule, offerte par ma position.

    Elle l'enfonce des deux tiers, sans aucune difficulté et le fait tourner dans mon intimité, pour que je le sente bien me défoncer. Elle le ressort, me le montre en me disant : « Tu n'as vraiment pas besoin de lubrifiant, ma salope, et, tout ça parce que tu sais que tu vas te faire défoncer toute la nuit ! Je suis certaine que tu en frétilles depuis une semaine ! ».

    Elle le baisse au niveau de mon bas-ventre, je pense qu’elle va le glisser dans ma chatte, mais, elle profite de ma lubrification exceptionnelle pour m’enculer d'un seul coup sec, en me disant : « Vas-y, dis aux hommes d’une voix claire et bien naturelle ce que je t'ai demandé ! ».

    Je dois m’éclaircir la voix pour leur dire à haute voix : « Messieurs, Annie et moi allons vous rejoindre, mais, s'il vous plaît, soyez gentils de changer de conversation ! ». Ils rient, et Marc me répond : « Oui, avec Yves, nous en avons une bien meilleure à te proposer, ma chère Loré, en étant tous les deux surs qu'elle va te passionner ! ».

    Je continue à dialoguer, alors qu’Annie continue à me pistonner le cul ! Ma voix est de plus en plus rauque : « Le café finit de passer, nous arrivons ».

    Annie me mord l’oreille cruellement : « Très bien, Putain Loré, tu vois comme c'est dur de parler d’une voix naturelle à son mari et à son futur amant, quand ta Maîtresse te défonce le fion avec un énorme concombre, tu n'es pas d'accord grosse truie vicieuse ? ». « Oh oui Madame, c’est très dur ! J'ai plus envie de gémir de plaisir que de parler, Madame ! ».

    Elle rit tout en augmentant la cadence de pilonnage dans mes fesses. J’ai beaucoup de mal à me retenir de gémir, mais, tout au contraire, Annie cherche mes cris, en m’enculant de plus en plus fort et de plus en plus profondément : « Hum je vois que tu résistes ! Le train est passé, Putain Loré ! Je comptais te laisser jouir en paix, mais puisque tu es si résistante, nous allons chercher un concombre plus petit dans le frigo ! Il entrera entièrement dans ton trou à merde, et tu pourras t'asseoir, après avoir remis ton œuf vibrant dans ton con, pour rejoindre nos hommes ! ».

    Je ramasse l’œuf et les boules par terre. Dans la cuisine, je nettoie soigneusement les boules de geisha et le gros concombre, tandis qu'Annie me met le petit en place. Elle va cacher les sex-toys inutiles. Quand elle revient, elle vérifie que je suis bien préparée, enclenche l’œuf de mon con, et m'ordonne de prendre la cafetière, pour rejoindre nos hommes, en souriant toutes les deux !

    Samedi 28 janvier 2017 - 22h30

    J’ai beaucoup de mal à marcher naturellement. Mais nous nous asseyons, Annie face à Yves et moi donc, face à Marc. Les hommes ont arrêté le champagne et boivent du cognac. Marc nous en propose, mais Annie préfère continuer au champagne, tout en disant à Marc : « Loré a mal au crâne, je lui ai donné un Doliprane, et, Marc, tu serais gentil d'aller lui chercher une bouteille de Vichy-Saint-Yorre, elle va se rincer un peu avec cette eau miracle ! ».

    Marc, très serviable revient avec une bouteille non entamée, me sert, et nous trinquons tous les quatre avec des verres différents ! Annie confortablement installée dans son fauteuil, enlève ses chaussures, un peu semblables aux miennes (...)

    Tome 05

    (...) replie ses pieds nus sous elle et questionne l'assemblée : « Alors, Messieurs, quel thème de conversation avez-vous à nous proposer ? ».

    Marc se dévoue : « Samedi dernier, j’ai proposé à Yves un strip-poker, en pensant que, vous, Mesdames, étiez assez excitées pour accepter. Yves a approuvé mon idée, mais avant, il désirait te consulter, Loré. J'ai su que vous en aviez parlé tous les deux, tu peux me résumer, Loré ? ».

    « Oui, Marc, j'ai de suite dit à Yves qu'à mon avis, nous ne nous connaissions pas encore assez, mais que si ça faisait plaisir à tout le monde, je rallierai la majorité ! ». Marc sourit : « C’est bien d’être aussi soumise aux désirs de ton mari et d'une majorité ! Encore une de tes qualités, Loré ! ».

    Je regarde timidement mes pieds, en imaginant tous les sous-entendus contenus dans le mot soumission, tout en espérant qu’Annie n'a rien dévoilé de nos relations. Marc continue : « Pour ne rien te cacher Loré, c'était aussi un des sujets de notre rendez-vous de ce matin, qui a pu te paraître bizarre, et je vais laisser Yves te le résumer ! ».

    Yves boit une gorgée de cognac et prend la parole : « Ma chérie, avant tout, il faut que tu saches que pour rétablir l'équilibre, Annie a délégué toute décision à Marc et n’a pas assisté à cet entretien. Nous nous sommes contentés de chercher un jeu simple, entre adultes consentants, comme on les appelle au lieu de dire un jeu-de-cul ou un jeu-coquin ! Amusant et excitant pour égayer une soirée plus qu’amicale et bien arrosée ! Et puisqu'il semble que tout le monde a donné son accord, voilà ce que Marc et moi avons imaginé ! ».

    Annie l'interrompt : « Mais, est-il tout de même entendu que si ça ne nous convient pas, à nous les femmes, vous vous engagez à trouver un autre jeu ? Ou devons-nous forcément accepter ce jeu et aucun autre ? ».

    Yves consulte Marc qui approuve de la tête : « Entendu, Annie, si ce jeu ne vous convient pas, nous en trouverons un autre ! Il y en a suffisamment sur Google pour trouver celui qui nous plaira à tous les quatre ! ». « Je me permets de dire que Loré et moi, nous sommes d'accord, alors, nous t'écoutons Yves ! ».

    « Merci, Annie, mais nous n'avons pas réinventé la poudre ! C'est un simple jeu de lancers de trois dés. Marc et moi lanceront à tour de rôle et le score le plus faible sera le perdant : la femme du couple perdant sortira de la pièce, et les trois autres décideront d’un gage pour elle. Son mari sera le garant qu'elle peut accomplir ce gage et qu'il ne viole pas ses tabous sexuels ou autres. A son retour elle n'aura d'autre choix que d'exécuter son gage. Est-ce que ces règles sont claires pour tout le monde ? ».

    Annie répond en riant : « Très claires ! J'ai juste une petite question : et si vous réalisez le même score ? ». Marc rit : « Nous avons aussi pensé à cette hypothèse, dans ce cas, nous avons décidé de vous laisser choisir entre deux solutions : soit nous rejetons les dés jusqu'à ce que nos deux scores soient différents, soit les deux femmes ont un gage qu'Yves et moi décideront, à vous de choisir ! ».

    Annie demande à ce que nous puissions nous isoler toutes les deux pour débattre de ce jeu auquel nous ne nous attendions pas. Marc lui répond : « Bien sur, prenez votre temps, et rappelez vous que si vous n’êtes pas d’accord, nous ne vous obligeons à rien ! ».

    Samedi 28 janvier 2017 - 23h

    Annie me prend par la main et nous sortons du salon. Pour être sures de ne pas être dérangées, elle m'entraîne dans la salle de bains du premier. Elle ne verrouille pas la porte, mais la ferme, en me disant : « Alors que penses-tu de leur petit jeu ? ».

    En souriant, je lui réponds qu’ils sont allés droit au but en écourtant la phase jeu en elle même, ce à quoi elle me répond : « Oui, j'allais te le dire, jeter deux fois des dés est plus rapide qu'un tour de poker ! ». Je ris : « Mais, toutefois, il est tentant et assez excitant, et chacune de nous a toutes ses chances ! ». « Je trouve aussi : je crois que toutes les deux nous allons prendre notre dose de bites, ce soir mais je suis sure que ce n’est pas pour te déplaire ! ».

    J'essaye d'éviter son regard, mais elle me relève le menton et avec des yeux brillants, elle me dit d'un ton très sec et tranchant : « A poil, Putain Loré ! ». Un peu surprise, mais obéissante, j'enlève de suite mon caftan par le haut. J'hésite un peu en me penchant mais, de la même voix, elle me dit : « Tes souliers aussi ». Je les fais glisser de mes pieds et les mets de côté.

    « Très bien, tu vas soulager tes tétons, en enlevant tes petites pinces, connaissant le résultat, tu as quelques minutes et un flacon d'onguent dans l'armoire de toilettes ! ». Gentiment elle vient me bâillonner de sa main pour m'empêcher de hurler, et me laisse le temps de récupérer et de me soigner devant elle ! Quand elle me sent mieux, elle continue en m'ordonnant de vider mon con et mon cul et de jeter mes jouets sales dans le lavabo. J'obéis sans attendre et en silence.

    « Bien, Putain Loré, sans le rincer, enfonce ton petit concombre dans ta bouche de truie, et fais le aller et venir pour bien le lubrifier et le nettoyer, allez fais-vite, nous n'avons pas toute la nuit devant nous ! ».

    Sans m'interrompre, elle me prend pas les épaules et me place devant le miroir, au dessus du lavabo. Je peux me voir pompant ce concombre venant de mon anus. Elle sourit dans le miroir, et tarde un peu avant de m'arrêter :

    « Il est bien propre, mets toi debout dans la douche, ouvre largement tes cuisses ouvertes. Tu vas plier un peu les genoux, je te veux dans une pause obscène pour pisser devant moi en te bourrant le cul avec ton concombre ! ». Je me positionne selon ses ordres, le légume passe de ma bouche dans ma main, j'essaye d'assurer une prise tout en l'enfonçant dans mon trou du cul, et quand il est bien au fond, je me pistonne, tout en relâchant ma vessie.

    Je suis tellement pleine, que mon jet est dense et tombe hors de la douche, je suis obligée de plier un peu plus mes genoux, pour mieux le contrôler, yeux mi clos pour pleinement jouir de cette humiliation et cacher ma honte.

    Annie me regarde sans rien dire, au travers de mes yeux mi-clos, il me semble que sa main droite est bien proche de son bas-ventre, mais, alors que ma main droite, fait aller et venir le légume en moi, je ne peux pas m’empêcher de gémir de plaisir en sentant monter un orgasme en moi !

    Annie me laisse faire alors qu’il y a bien longtemps que j’ai cessé de pisser : « Tourne moi le dos, pour que je vois bien ton travail d’enculée ! Et jouis du cul puisque tu ne peux plus te retenir ! Mais évite de crier comme une truie saillie par son porc ! ».

    Mes pieds glissent dans la pisse fraîche quand je me retourne pour lui offrir le spectacle du concombre qui entre et sort de mon trou du cul. Elle me regarde faire longuement avant de dire : « Parfait, comme ça ton petit trou sera bien obscènement élargi quand Marc y glissera sa pine ! ».

    Yeux fermés, j'imagine la scène avec Marc qui m'encule devant mon tendre qui admire mes nichons ballotter à chaque coup de rein alors qu'Annie lui fait une pipe d'enfer, et je jouiiiiiiiiiiiiiis comme une dingue, en ayant pris soin de me mordre le poing pour éviter de hurler et d'alerter toute la maison !

    « Dis-moi, Putain Loré, c'est bien ton premier orgasme de la soirée, ou je me trompe ? ». « Oui, Madame, et même de la journée ! ». « Il fallait bien démarrer la série ! Maintenant tu risques de les enchaîner ! Enlève ce concombre, et profite d'une bonne douche pour le nettoyer en même temps que ton cul : je ne tiens pas à ce que tu pues la pisse ! ».

    « Je t'ai préparé une parure sexy, je ne veux pas que nos hommes sachent que tu étais à poil sous ton caftan, ça ferait plus penser au bdsm qu'au libertinage ! Je t’attends avec eux, et, au passage laisse tous tes jouets propres dans la chambre d'amis, je te porterai demain tes deux concombres avec lesquels tu feras, une bonne salade avec une sauce blanche ! ».

    Une dizaine de minutes plus tard, toute pimpante, je reviens au salon où la joyeuse équipe rit et boit en m'attendant. « Te voilà, enfin ! Nous allons pouvoir commencer le jeu ! ».

    Samedi 28 janvier 2017 - 23h30

    Yves me sourit et me tend un papier. Je peux y lire une phrase, très probablement écrite par la reine des petits mots : Annie !

    Yves me dit : « Nous l'avons tous lue à voix haute devant les autres, c'est ton tour ! ». « Bien, je suis donc moi aussi, d’accord sur les règles de ce jeu entre adultes consentants : je m’engage à exécuter mes gages sans protester et, à ne répondre que la vérité ! ».

    Marc confirme : « Eh bien tout le monde étant d’accord. Il ne nous reste plus qu’à commencer le jeu ! ». Nous trinquons tous au champagne pour sceller cet accord et Marc va chercher une piste de 421 avec trois dés. Il la pose sur la table de salon.

    Les garçons placent deux fauteuils face à face, s'y asseyent et Annie et moi nous nous installons bien confortablement sur les larges accoudoirs, pour suivre le déroulement du jeu.

    Annie me regarde, je sens de l’ironie dans ses yeux, elle est visiblement en train de se rappeler du concombre, de ma jouissance du cul et de la salle de bains, mais je suis sure qu'elle sait qu'elle a le pouvoir de faire basculer la soirée vers une séance d'humiliations dont je serai forcément l'héroïne.

    Il lui suffit pour cela d'annoncer ma condition ou de laisser Yves, lire le libellé de la gravure de l'alliance que je porte au cou ! Mais, elle peut aussi très facilement lui conserver le thème unanimement choisi par tout le monde : une soirée libertine-échangiste comme il y en a tant le samedi soir dans des maisons bourgeoises aux volets soigneusement fermés !

    J’espère que, lors du choix des gages, elle n’imposera pas trop sa volonté, et j'ai confiance en Yves pour que mes gages soient, bien sur fortement siglés cul, mais faisables sans une once de domination ou de sadisme !

    Avant le premier jet, Yves intervient : « J'ai bien réfléchi, avant de commencer, nous devons régler quelques détails importants. Pour nous, les maris, nous allons jouer, gagner ou perdre, sans aucune conséquence, mais, pas pour nos épouses, qui, du reste nous doivent une réponse en ce qui concerne le même score de deux jets de dés ! ».

    « Sans jamais avoir joué à ce jeu, je suppose que nous commencerons par les déshabiller. Il faut donc que nous inventorions ce que chacune d'elle porte, en incluant ou en excluant les bijoux et en considérant une chaussure ou une paire de chaussures ! Lorsqu'elles n'auront plus rien à enlever, je suppose que nous passerons à la partie la plus excitante du jeu : les gages ? ».

    « Pour éviter les inégalités de traitement, pouvons nous envisager des gages minutés au chronomètre ? Je suggère une progression par des séries d'un gage par femme : de 5 minutes, puis de 10, puis de 15 et enfin de 30 minutes. A la fin de ces huit gages, nous pourrons faire un bilan et envisager des gages plus longs ou de changer de jeu ou de faire un super petit déjeuner avec les restes du repas et d'aller nous coucher, pour un repos bien mérité, surtout pour nos épouses chéries ! Voilà ce que je voulais rajouter, surtout pour connaître vos opinions ! ».

    Un silence suit son long discours. Annie tape la première dans ses mains, et tout le monde la suit ! « Bravo, Yves, en quelques phrases, tu as résolu toutes les énigmes que me suggéraient ce jeu un peu improvisé, grâce à toi, il mérite le titre de jeu entre adultes consentants de l'année, et je te promets qu'il sera publié sur le Web ! Personnellement, je t'approuve à 200% ! ».

    Marc et moi levons la main pour nous joindre à Annie, Yves fait le plein des voix ! Je réponds tout de même à sa demande initiale : « Je pense, mais je n'en ai pas parlé à Annie, qu'en cas de score identique, les deux épouses doivent avoir chacune un gage ! ». Annie s'empresse de m'approuver.

    Pour augmenter la durée de l'effeuillage, nous convenons de rajouter chaque bijou sauf les alliances et de séparer les paires en deux unités, ce qui donne, pour moi cinq bijoux et cinq vêtements, et pour Annie : sept bijoux et cinq vêtements. Pour rétablir l'égalité, elle devra donc enlever deux fois deux bijoux au lieu d'un.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 0h

    Yves gagne le premier jet. Sans rien dire Annie va dans la cuisine.

    Marc « Tu veux la voir en sous-vêtements ? ». Yves « Non pas tout de suite, et j'aimerais que, nue, elle ait tous ses bijoux sur elle : on peut commencer par une chaussure ? ». Marc « Ok, elle enlève sa chaussure droite et nous exhibe sensuellement son pied nu ! ».

    Je vais la chercher, elle revient souriante, visiblement pas du tout stressée par ce qui l’attend. Nous sommes convenu que c'est le mari perdant, qui annonce lui-même le gage à sa femme.

    Elle sourit, enlève sa chaussure droite, pose son pied nu sur la table de jeu, elle a des ongles parfaitement vernis d'un rouge quasiment identique au mien et bouge ses orteils, les écarte de ses doigts, avant de nous présenter son pied en le hissant au niveau de nos yeux. Yves la caresse et rit de constater qu’elle est très chatouilleuse. Elle est applaudie et reprend sa place sur l’accoudoir de Marc.

    Yves gagne le deuxième jet, Annie repart.

    Marc « Tu continues à la déshabiller ? ». Yves « Bien sur, mais on va réchauffer l’atmosphère en lui demandant d'enlever son caftan, ce sera sexy de la voir en soutif et culotte ! ».

    Je vais la chercher. Elle n'a aucune gêne à enlever son caftan par le haut, en dévoilant son superbe corps qu'elle montre, mains en l'air, en tournant sur elle même et en se penchant pour que les hommes, mais surtout Yves, puissent bien la mater ! Je suis surprise de la voir jouer aussi loin le jeu de la séduction, elle veut sûrement allumer la jalousie de Marc !

    Yves a une passe malchanceuse et perd les trois jets suivants !

    Je me retrouve trois fois à la cuisine, avec Annie, qui, à chaque apparition m'embrasse sur la bouche, me prend la main et me dit : « Courage ma petite pute », en m'emmenant sur le lieu de mon déshonneur !

    Je savais ce qui allait se passer, car c'est forcément Marc, le gagnant, qui a pesé sur les décisions du trio ! Et, à deux contre un, Yves n'a pas pu me défendre ! A l'issue de ces trois défaites, je me retrouve donc comme je l'avais supposé, avec mes mules orientales, tous mes bijoux, mais sans aucun vêtement ! En cinq minutes, j'ai perdu mon caftan, mon soutien- gorge et ma culotte ! Et Marc a gagné ce qu'il voulait ! Me voir à poil, devant lui, en constatant, de visu, malgré mes cuisses très serrées, que j'étais fin prête à être niquée !

    La partie continue, c'est à Marc de manquer deux fois de chance sur les sixième et septième jets. Pour nous mettre toutes les deux à égalité, Annie devrait perdre ses sous-vêtements, mais, je sais que la proie étant sûre, Yves va prendre son temps avant de la découvrir totalement ! A la grande surprise de Marc, qui le connaît mal ! Elle n'enlève que sa paire de boucles d'oreilles et son collier.

    Yves perd le huitième jet, et Marc le neuvième ! Je dois abandonner ma mule droite, et me caresser érotiquement mon pied dénudé avant de le donner en pâture aux trois, dont Annie, qui me mord cruellement un bout de mes orteils, tout en me complimentant quant à leur vernissage. Et Marc s'aperçoit que je ne suis pas du tout chatouilleuse des pieds !

    Quant à Annie, elle ne perd qu'une petite bague dans ce concours !

    Annie propose une pause champagne et gâteaux marocains, pendant que les hommes se chargeront de faire le point de notre petit jeu coquin, avant la dernière ligne droite qui nous conduira aux gages !

    Je la suis dans la cuisine, à poil avec une seule chaussure ! « Je suppose que tu as remarqué la bosse du pantalon de Marc ! Il bande comme un âne dès que tu bouges une cuisse ou un nichon ! ». Je souris : « Oui, je crois que tu peux mettre une casserole à chauffer, je ne vais pas tarder à y passer ! ». « Hum, pas évident, moi, en tout cas, j'attendrai des plus longs, pour bien profiter de tes trous ! ». « On verra bien, de toutes les manières, les dès sont presque jetés ! ». Nous rions et revenons avec une assiette de pâtisseries orientales, une bouteille de champagne dans un seau et des flûtes !

    Marc annonce le résultat : il me reste cinq bijoux et une chaussure à perdre, quant à Annie, ce sera deux bijoux, ses sous-vêtements et une chaussure.

    Nous apprécions le champagne bien frappé qui contribue au plaisir de manger ces délicieuses pâtisseries bien croquantes !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 0h20

    Marc annonce qu'il ne nous reste que dix jets avant d'arriver aux fameux gages ! Il a l'air très impatient d'y être, je me demande bien pourquoi ?

    Rien ne sert de courir, il faut partir à point ! Et Marc, prouve la véracité de ce dicton en perdant trois fois de suite ! Fidèle à sa stratégie, Yves ne veut pas dénuder Annie, et, comme je l'ai bien compris, je l'épaule.

    Annie ne perd donc, pour ces trois gages, que sa deuxième bague, sa paire de bracelets et sa deuxième chaussure, elle reste donc en sous-vêtements, pour le plus grand plaisir d'Yves à qui elle murmure en passant : « Tu es aussi vicieux que ta femme, salaud ! ». Mais, j'ai des oreilles de fouine et la vicieuse a tout entendu et j'éclate de rire ! Marc se demande encore pourquoi !

    La chance tourne, heureusement pour Annie, car Yves perds deux fois. J'abandonne donc, l'une après l'autre mes boucles d'oreille, sans avoir grand chose à montrer aux autres, qui s'intéressent à mes trous, mais pas forcément dans mes lobes d'oreilles !

    Sur le quinzième jet, Marc gagne encore, et je l'entends de la cuisine proposer le pendentif-alliance, mais Annie lui répond que ça met bien en valeur mes seins et qu'il vaut mieux le garder pour la fin ! Je perds donc une deuxième et dernière bague !

    Le seizième jet est le premier ex-æquo de la soirée ! Comme convenu, nous allons toutes les deux dans la cuisine, et en profitons pour boire deux grands verres de St-Yorre ! Et, quand Marc nous appelle, Annie doit enlever sa culotte et moi, ma deuxième de mule !

    Sans se démonter, Annie offre très longuement et très largement, sa belle chatte à tout le monde, y compris à moi, qui suis, presque gênée, de la contempler, pour la première fois, sans pouvoir ni la bouffer ni la lécher ! Quant à moi, ils me font monter, pieds nus, sur la table et me demandent de me caresser les orteils d'un pied avec l'autre, amoureusement et érotiquement. C'est la première fois que je danse de cette manière, et j'ai du mal à m'en sortir avec des compliments !

    Pour les deux derniers lancers, Yves propose que, puisque nos chattes sont nues, nous montions, à tour de rôle, sur la table, coincions les trois dés entre nos cuisses et en nous mettant juste au dessus de la piste de dés, nous ouvrions nos cuisses pour exécuter nous mêmes les quatre jets restants !

    Cette idée est approuvée à l'unanimité ! Mais Annie demande une seconde, et va chercher une serviette dans la salle de bains. Elle revient en disant ironiquement : « Si je dois passer après Loré, je préfère être prudente ! ». Tout le monde éclate de rire, sauf moi, qui suis vraiment très vexée ! Je suis certaine que son con est aussi torrentiel que le mien !

    Elle me tire ironiquement la langue et passe la première, de sa chatte sort un double cinq et un trois, soit treize points.

    Elle me laisse la place, et de mes cuisses sort aussi un double cinq, mais, vif comme l'éclair, Marc cache le troisième dé avec une revue qui traînait en dessous de la table, et nous nous penchons tous pour découvrir ! ? ! ? ! ? ! ? Un deux ! J'ai donc perdu d'un seul petit point !

    Il n'est pas nécessaire que je m'isole dans la cuisine, car il ne me reste plus que mon pendentif-alliance à ôter. Je me lève, contractée et visiblement gênée, mais Yves me dit gentiment : « Il ne te reste que ça à enlever, donne le moi, je ne crois pas le connaître ! C'est nouveau ? ». Je l'enlève et le lui donne en confirmant : « Oui, Amour, il est très récent ».

    Annie vient s'asseoir sur son accoudoir et lui dit : « Je n'avais jamais vu que l'intérieur de l'alliance était gravé ! ». Yves doit se demander comment elle a pu voir ce détail d'aussi loin, mais, elle lui prend le bijou des mains et lit à voix haute : J'appartiens à Yves ! Oh ! Les z'amours ! Comme c'est mignon ! ». Elle le redonne à Yves, qui lit la vraie appartenance, et éclate de rire en me disant : « Cachottière tu attendais quoi pour me dévoiler mon dernier cadeau de Noël ? Tu aurais pu me prévenir qu'il était, enfin, arrivé ! ».

    Incapable de lui répondre, je rougis réellement comme un régiment de tomates pendant qu'Annie range le bijou dans l'écrin où sont les autres ! Marc suit d'assez loin cette conversation, et c'est tant mieux pour tout le monde !

    Je suis finalement soulagée d'un gros poids, Yves sait qu'Annie me domine, nous n'aurons plus à nous cacher de lui, et comme il connaît mes fantasmes les plus secrets, et ignore la jalousie, tant que je reviens toujours dans ses bras quémander son amour et sa queue, je vais vivre beaucoup plus tranquillement, et même probablement lui expliquer petit à petit que ces flots de dollars ne proviennent pas forcément de mes augmentations !

    Yves résume la situation : « Nous arrivons à un tournant important de cette partie ! Annie va-t-elle se retrouver à poil comme Loré ? Ou, allons nous infliger le premier gage minuté à ma petite femme ? Annie, d'après toi, qui doit laisser tomber les dés la première ? ». « Logiquement puisque j'ai commencé pour le précédent, c'est Loré qui devrait laisser tomber la première ! ». « Alors allons-y ! Loré tu montes sur la table, s'il te plaît ? ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 0h40

    Deux tirages malchanceux, Annie me bat, et, donc je m'isole pour les laisser réfléchir à mon premier gage de 5 minutes. J'allume une cigarette au passage et m'assieds dans la cuisine, pour la fumer tranquillement, tout en repensant à ce qui vient d'arriver.

    Je constate qu'Annie a quasiment obligé Yves à découvrir la vérité sur nos relations bdsm. Comme je lui avais avoué pas mal de ses traits de caractère, elle a tout misé sur une bonne réaction de sa part, et, ce, pour lui avouer d'une manière simple et définitive nos relations.

    Elle est trop intelligente pour ne pas se douter que ce secret empoisonnait ma vie, et, le résultat de cette habile manœuvre est que je suis soulagée : Yves sait qu'Annie me domine. Et comme Yves connaît tous mes fantasmes et ignore la jalousie, tant que je reviens toujours dans ses bras, je vais pouvoir vivre sereinement et, peut être même, le mettre dans la confidence de tout ce qui a changé dans ma vie depuis qu'Annie a fait graver ces quatre petits mots sur cette alliance !

    Je rumine encore, mais je trouve qu'ils sont vraiment très lents pour prendre leur décision. Je vais dans la chambre d'amis pour récupérer dans mon sac mon paquet de Royale et j'en allume une autre en grignotant un petit gâteau !

    Autant rendre mon attente agréable ! Le temps passe et je commence à me poser des questions, quand, enfin, Annie entre, pieds nus et en soutif, en me disant : « On y va, ma chérie ! A toi l'inauguration ! ».

    Tous réunis, elle me dit ce qui va se passer : « Tu vas jouer au jeu de la vérité. Marc et moi allons te poser des questions très intimes pendant ton gage de cinq minutes. Yves chronométrera. Tu dois nous répondre, très vite et ne dire que la vérité, entendu, Loré ? ». « Oui, Annie, j'ai bien compris ».

    « Tu vas t'asseoir sur le tabouret qui est face de notre fauteuil, bien t'exhiber, en écartant généreusement les cuisses, ce qui te permettra de te doigter et te branler. Si tu jouis, sans nuire à tes réponses, tant mieux pour toi ! ». Je suis surprise, car je m’attendais à pomper Marc ou à sucer les pieds d'Annie, mais pas à ce gage, très cérébral et très troublant. Assise sur le tabouret, j'ouvre le compas de mes jambes et pose ma main droite sur mon sexe ! « Prête, Loré ? ». « Oui, Annie ». « Yves ? Top ! ».

    Marc : « Cinq synonymes du mot sein ? » : « Poitrine, nichons, mamelles, roberts et nibards ».

    Annie : « Vierge du cul ? » : « Non ».

    Marc : « Qui ? » : « Un ami d’enfance ».

    Annie : « A quel âge ? » : « 15 ans ».

    Marc : « As-tu déjà gouiné une femme ? » : « Oui ».

    Annie : « Aimes-tu te branler devant un ou une inconnu ? » : « Oui ».

    Marc : « En réunion, combien de gens maximum t'ont vue nue ? » : « Six, non sept, pardon ».

    Annie : « Es-tu consciente que, ce soir, tu vas recevoir du sperme et pas uniquement d'Yves ? » : « En acceptant cette soirée, je le supposais ».

    Marc : « Quel est le qualificatif qui te convient le mieux : Pute ? Salope ? Ou vicieuse ? » : « Vicieuse ».

    Annie : « As-tu déjà pissé devant quelqu’un ? » : « Oui ».

    Marc : « Combien d’hommes, au maximum, t'ont partouzée dans une seule réunion ? » : « Quatre ».

    Annie : « Entre lécher une semelle de botte, une bite de chien ou le cul d'une femme, que choisis tu ? » : « Le cul d'une femme ».

    Marc : « Combien de fois au maximum as-tu joui, en une seule soirée ? » « Dix, mais sans en être sûre, je ne les compte jamais ». « Yves tu peux confirmer sa réponse ? ». « Non, moi non plus, je ne comptabilise jamais ses jouissances et ses réponses ne datent pas toutes de notre relation ! ».

    Annie : « Quelles sont les parties de ton corps que tu préfères ? » : « Mes épaules, mes pieds, mes yeux et mes fesses ».

    Marc : « Laquelle de ces catégories te correspond le mieux : maso, sado ou nympho ? » : « Le choix est trop restreint, disons maso ».

    Annie : « Aimes tu te promener, nue, au risque d’être vue ? » : « Oui ».

    Marc : « D'une manière plus générale, peut-on te classer dans la catégorie des exhibitionnistes ? » : « Oui ».

    Yves : « Attention vous entrez dans la dernière minute ! ». Annie : « Merci, Yves ! ».

    Annie : « T’es tu exhibée en auto devant des voyeurs ? » : « Oui ».

    Marc : « Combien étaient-ils ? » : « Huit ».

    Annie : « Est-ce qu’ils t’ont pelotée ? » : « Oui ».

    Marc : « Pelotée nue ou habillée ? » : « Habillée puis nue ».

    Annie : « Veux-tu nous résumer rapidement ce jeu de la vérité ? » : « J'ai très honte de cette mise à nue physique et , morale. De ma chatte trempée par cette exhibition obscène, mais le regret, d'avoir manqué l'orgasme pour une petite poignée de secondes ! ».

    Ils rient tous les trois et Yves nous dit : « Stop ! Cinq minutes passées d'une poignée de seconde ! Mais je voulais lui laisser finir son résumé ! ».

    Annie me félicite : « Bravo, ma chérie, ce n’était pas si facile, félicitations pour ta franchise et ton honnêteté, et merci pour ce beau spectacle super bandant ou super mouillant, selon ce qu'on a entre les cuisses ! ».

    Annie et son humour ! Je lui fais un clin d’œil complice et reviens m’asseoir sur l’accoudoir d'Yves qui me baise à pleine bouche et m’offre une coupe de champagne et une cigarette qui ne peuvent pas mieux tomber !

    Annie remonte sur la table, et après son jet, elle essuie, très loyalement les dés trempés avec sa serviette ! Ce qui fait rire tout le monde, et prouve son auto-dérision ! Mais sa serviette ne fait pas miracle et elle offre ses seins nus à tout le monde.

    En les découvrant pour la première fois, Yves se jette à genoux et prie à haute voix : « Mon Dieu, accordez moi cinq dernières minutes pour lécher et peloter ces magnifiques nichons, avant de me rappeler à Vous ! ».

    L'ambiance est torride et électrique, les tabous et les inhibitions tombent, chacun se dénude et se révèle aux autres, et la fin de cette nuit va sûrement être très très chaude et super excitante !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 1h10

    Annie et moi sommes à poil. Mais, les hommes continuent l'exploration visuelle de nos corps, en matant les petits coins secrets, le durcissement d'un bout de nichon, la brillance humide d'une chatte ou un clin d’œil coquin de l'une à l'autre ou de l'un à l'une !

    Marc propose de reprendre les jets de dés, Yves l'approuve tout en rajoutant : « Soyons raisonnables, il me semble que Marc et moi pouvons tout de même jeter les dés nous-mêmes ! ».

    Annie pense qu'Yves est un homme censé ! Mais elle tient à faire une remarque : « Bien que ce soit Loré qui ait subi le premier gage, je n'ai pas apprécié le concept de chronométrage. J'avais beaucoup plus de question à lui poser, et j'aurais trouvé super excitant qu'elle soit la première à jouir devant nous trois, or, le temps lui a manqué. Je considère que ce n'est pas le temps d'un gage ou d'un défi qui fera son intérêt, mais son scénario de base. Il peut très bien évoluer ou avoir une suite si tout le monde est d'accord ! ».

    Yves lui répond : « J'ai ressenti la même frustration que toi. L'idée de voir ma Loré jouir devant vous, m'avait raidi la bite ! Et, de jouer l'homme horloge, qui en plus l'a empêchée de jouir, ne m'a pas du tout plu ! Mais, pour que nous puissions adopter une autre solution, si, toutefois vous avez, comme Annie et moi, l'envie de changer de formule, avez-vous d'autres propositions ? ».

    « Marc, tu as des suggestions ? ». « Je pense, Yves, que nous pourrions simplement supprimer la notion de temps, tout en veillant, sans être trop pointilleux, à une égalité de temps entre Loré et Annie, par courtoisie pour elles ! ». « Il me semble que c'est une excellente suggestion, et toi, ma chérie quelles seraient tes idées, je suis sur que tu n'en manques pas ! ».

    Je viens m'asseoir sur son accoudoir pour lui répondre : « Ce serait en effet étrange que la fantasmeuse de service n'aie pas d'idées, mais au sein de notre couple, c'est plus simple que, dans une soirée à quatre ! Je commence en partageant votre avis de supprimer le chronométrage, en plus, vue l'heure, il est certain que la formule initiale ne rentre plus dans le temps. Je vous propose donc la solution suivante : puis qu’Annie et moi sommes à égalité, en oubliant mon gage minuté, nous pourrions consacrer, un quart-d'heure, pour que chaque couple, scénarise cinq gages pour chacune d'entre nous ! Qu'en pensez-vous ? ».

    Annie me répond la première : « Ma chérie tu proposes donc qu'Yves et toi rédigiez tes gages, alors que Marc et moi ferions de même, pour moi, de notre côté ? ». « Tu as tout compris, Annie, après nous mêmes, ce sont tout de même nos maris amants baiseurs, qui nous connaissent le mieux. Voyons je vais demander à Yves : « Aurais-tu des difficultés à me scénariser dix bons gages bien excitants ? ».

    Yves sourit en me répondant : « Tu as dit combien ? Vingt ? Trente ? Ou plus ? ». Je souris : « Je ne questionne pas Marc, j'aurais la même réponse ! ». « Je suis convaincue ma chérie ! ».

    Marc rajoute simplement : « Loré, ton raisonnement est parfait, mais que prévois-tu pour l'équilibre des durées ? ». « Marc, j'ai dit qu'on oubliait ce gage de 5 minutes : donc à l'approche des gages de 10 minutes, Annie et moi sommes à égalité. A la fin du huitième gage, Yves et toi pourriez totaliser les durées de nos séries de deux gages et l'équilibre interviendra en imposant un ultime gage à la moins sollicitée en temps ».

    Annie suggère : « Nos nouvelles lois sont votées ! Loré et moi allons enfiler un peignoir, car nous sommes en train de nous refroidir. Nous allons préparer du café fort, pendant que Marc nous fournira du papier et des crayons, pour rédiger nos gages en formule télégramme, et les plier au moins en quatre. Nous en ferons deux pioches, une > Loré, l'autre > Annie ! Allez faisons bouger nos méninges ! Et comptez, sur Loré et moi pour faire le spectacle ! ».

    Quelques dix minutes plus tard, tout est prêt : il y a deux bols sur la table du salon avec dans chacun, quatre gages rédigés par nos deux couples. Nous sommes gavés de caféine et avons pas mal fumé, mais Yves semble content des gages que nous avons décidés, et, au moins, il est assuré qu'ils me plairont beaucoup !

    Comme Annie, je suis nue sous mon peignoir fermé, et elle donne le coup de départ. Il faut donc que Marc jette les trois dés pour savoir, laquelle va tirer un gage dans son bol, et le lire à haute voix !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 1h30

    Yves gagne et Annie tire donc son premier gage qu'elle déplie et nous lit à voix haute : « Yves ayant envie de pisser, nous allons aux toilettes et je dois faire en sorte qu'il n'ait pas à se servir de ses mains ! ».

    Sans commentaire, elle enlève sont peignoir, prend Yves par la main et tout le monde se dirige vers leur salle de bains, qui est la plus propice, pour que tout le monde profite bien du spectacle.

    Marc et moi nous nous asseyons sur la baignoire, Yves reste debout devant la cuvette. Annie, d'une main experte, lui ouvre la braguette, dégage son sexe à demi-mou de son caleçon et de son pantalon qu'elle baisse un peu sur ses cuisses.

    Elle l'empaume de sa main droite et le dirige vers la cuvette en disant ironiquement à Yves : « Si, Monsieur, veut bien se donner la peine de relâcher sa vessie ! ». Il, a visiblement très envie, car il pisse de longs jets, avec lesquels, elle s'amuse à dessiner des figures imaginaires sur la porcelaine, ce qui, en même temps, lui permet de le branler un peu !

    Quand Yves n'a plus rien à lui donner, elle l’égoutte longuement en le secouant au dessus de la cuvette, et, bien sur, ce qui doit arriver, arrive !

    Il durcit très rapidement. Elle s'agenouille devant lui, le prend en bouche pour nettoyer son gland, et en profiter pour le pomper avec toute sa science, comme elle en avait visiblement très envie, surtout devant les yeux de Marc, qui reste curieusement, totalement muet !

    Mais, rapidement Yves lui demande d'arrêter en lui disant : « La suite fera sûrement l'objet d'un prochain scénario, chère Annie ! ». Elle sort sa bite de sa bouche, se redresse, lèche tous les recoins de ce beau morceau muscle et le remet délicatement dans son caleçon et dans son pantalon avant de refermer sa braguette ! ».

    Sans nous regarder, elle se lave les mains, se rince la bouche et nous revenons au salon. Souveraine, quoique à poil, elle ne semble même pas troublée, et tout le monde admire son caractère !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 1h40

    Yves reprend le papier du gage d'Annie et rajoute quinze minutes. J'étais sûre que cette séquence n'avait duré que cinq ou six minutes, c'est fou ce qu'on peut se tromper en estimant une durée !

    Annie nous demande : « Dites moi, avez-vous utilisé des sex-toys classiques dans votre liste ? ». Yves lui répond : « Oui, de mémoire, dans trois, j'étais sur que ce genre de jouets faisait partie intégrante d'un gage sexuel, me-suis-je trompé ? ».

    « Non pas du tout, nous aussi en avons mis en fonction de ce que nous avons ! ». « De toutes les manières, si quelque chose manque nous le trouverons probablement dans notre panoplie que Loré met régulièrement à jour ! ». « Ok, donc on peut continuer ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 1h50

    Les hommes se remettent en place et jettent leurs dés. Marc sort un petit onze, et Yves semble assurer de gagner, c'est en souriant qu'il jette ses trois dés et sort un... neuf !

    Marc rit, tout content. Me regarde enlever mon peignoir et sortir mon gage du bol qui m'est consacré, je le lis devant tout le monde : « Marc a trop envie de moi, donc Yves va me prêter à lui, mais Loré, doit choisir dans quelle situation elle sera la plus salope : seule avec Marc ou avec Annie et Yves comme voyeurs ? ».

    Un peu vexée, je dis à Yves : « Amour, c'est toi qui a rajouté cette histoire de salope ? Nous n'en avions pas du tout parlé quand nous avons rédigé ce gage ! ». Yves rit : « En effet, mais je ne voulais pas te mettre mal à l'aise ! Choisis ce que tu veux, mais moi je connais la réponse ! ».

    « Bien, tu l'auras cherché, Marc aura une catin : tu peux mettre la chanson de Jeanne Mas ! Je suis une libertine, je suis une catin ! ».

    Nue, je prends Marc par la main et lui dis : « On va où tu veux ! ». Nous sortons tous les deux seuls du salon ! Marc me conduit dans la grande chambre d'amis du premier, et (...)

    Dimanche 29 janvier 2017 - 2h40

    (...) Une heure après, Marc me quitte. Il s'est séché et rhabillé dans la salle de bains adjacente. En me matant, une dernière fois à poil sous la douche, sans résister au désir de me caresser, de me tapoter le cul et de me doigter le con et le cul, pour que ses doigts s'en rappellent bien ! Il me conseille de prendre mon temps, il part devant pour leur dire que j'arrive. Je le remercie.

    Quelques minutes plus tard, toute fraîche, j'entre à mon tour dans le salon, en souriant à tout le monde. Il est évident, qu'à ma mine réjouie de femme comblée, Yves et Annie savant que tout s'est bien passé ! Mais personne n'osera me demander un résumé de séance.

    Annie est en peignoir, mais toujours aussi naturelle que si elle était en tailleur de grand couturier, et, Yves est habillé.

    Mais, curieuse comme je le suis, je remarque que l'étiquette de composition de son pull est sortie du vêtement, alors que je l'avais moi même glissée à l'intérieur ! Je sais donc qu'il a, au moins ôté, et remis son pull, de là à conclure qu'il a tout enlevé pour se faire Annie ! Il y a un pas que je franchis de suite ! Mais sans être sûre à 100% de connaître la vérité un jour !

    L'absence de jalousie étant de mise dans notre couple, je suis heureuse qu'il ait baisé Annie qui ne demandait que ça ! Nous connaissons à présent toutes les deux la pine du mari de l'autre ! Pas de jalouse ni de frustrée dans la paire d'amies que nous formons !

    Annie propose d'aller refaire un peu de café, et de tiédir quelques gâteaux pour une petite pause avant de continuer. Tout le monde est d'accord et je me lève de suite pour aller l'aider. En entrant dans la cuisine, Annie me dit de suite en effleurant ma bouche de la sienne : « Te voilà dépucelée, ma chérie ! Tu as du bien sentir la bite de mon homme et il t’a baisée une bonne heure ! Quel effet ça t’a fait Putain Loré ? ».

    Je baisse les yeux : « Je n’ai pas été trop troublée de me retrouver à poil, seule avec lui, dans un lit, je savais que ça devait arriver ! Mais je dois avouer qu’il a un sexe imposant, bien plus gros que celui de mon mari ».

    Elle rit : « Rassure-toi, si nous continuons nos soirées libertines, tu auras souvent la possibilité de les comparer de plus près dans tes différents trous ! As-tu aimé le goût de son foutre, sa manière de te niquer et celle de t'enculer ? ». Je lui souris très franchement en lui disant simplement que pour les réponses à ces questions, elle devra s'adresser à Marc !

    Elle éclate de rire : tu refuses même un donnant-donnant ? Ce qu'il t'a fait, contre ce que nous avons fait au salon ? ». « Eh, oui, même ça ! Mais rassure-toi, un petit détail vous a trahi ! Mais tu sais bien que je devrais être une sacrée hypocrite pour être jalouse ! Et, surtout de toi ! ».

    Nous rions en rapportant tout ce qui était promis aux hommes et profitons de la pause pour récupérer ! Et j'en avais vraiment besoin : pour le moment, Marc est un amant beaucoup plus exigeant que mon tendre Yves, mais il est dans sa période découverte ! Ca lui passera !

    Je retourne à la cuisine pour rapporter une nouvelle bouteille de champagne : heureusement que nous devons pas conduire pour rentrer chez nous ! Nous sommes vraiment tous les quatre très alcoolisés. Les rires fusent, les plaisanteries sont titrées sexe ! Les coupettes se succèdent, de même que les tasses de café, les cigarillos pour les hommes et les mentholées pour nous ! Et même les gâteaux, car certains ont un petit creux ou sont très gourmands !

    Un peu plus tard, Yves dit à Marc d'ajouter une heure sur le papier de mon gage et précise que si tout le monde est prêt, nous pouvons continuer notre jeu !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 3h

    Yves et Marc s'affrontent de nouveau avec les trois dés. Assises toutes les deux en peignoir sur les accoudoirs, nous suivons attentivement les jets ! Et, pour la deuxième fois de la soirée, ils réalisent le même score !

    Marc : « Zut, on a oublié ce cas de figure! ». Mais Annie en riant lui dit, non pas « on » : « vous » avez oublié, car moi, j'y ai pensé, et je suis même sûre que Loré sera d'accord pour ce double gage commun ! ».

    Annie : « Voulez vous que je vous le propose ? ». Les hommes approuvent, contents de se débarrasser de la corvée et, je ne dis rien, redoutant un peu que l’ambiance sexe qui règne depuis mon prêt à Marc, ne fasse déraper la soirée.

    « Je vais essayer d’être concise : Claire, une amie, est abonnée payante à un site sur lequel des inconnus des deux sexes, s’exhibent à des voyeurs des deux sexes, qui se branlent en les regardant exécuter leurs ordres devant leur caméra. Donc le Minitel-rose du XXIème siècle ! ».

    Yves et Marc approuvent et estiment que c'est un excellent gage qui sera très excitant. Marc affirme même que c'est même un excellent moyen d'inaugurer leur web-cam neuve et techniquement parfaite ! Le pauvre ne sait pas qu'Annie en a fait une honorable caméra d'occasion !

    Malgré les 4h30, Annie téléphone à Claire, haut parleur branché :

    « Bonsoir Claire, c’est Annie (...) Oui je vais très bien (...) Je sais que tu ne dort jamais ! (...) Tu passes ta vie sur le net et à ce sujet, j’ai besoin de toi : je suis en soirée coquine avec Marc et un couple d’amis (...) Tu es toujours abonnée au site des web-cams des copines sans tabous ? (...) Ah, ok ! (...) Est-ce que par hasard il te resterait un code invité ? (...) Oui ? (...) Super ! Tu peux me le donner ? (...) Mais, oui je sais bien que ça rapporte de l’argent, mais tu pourra tout garder pour toi (...) Attends, je note copinessanstabous.fr (...) Accès invité abzw12895/25cx (...) Oui, un questionnaire à remplir (...) Non je t'assure que je ne veux aucun partage des gains (...) Garde tout en souvenir de mon amitié ! (...) Bon je te laisse (...) Oui, je te promets de tout te raconter ! (...) Gros baisers Claire ! ».

    Nous avons tous entendu sa conversation. Annie s’installe devant leur gros ordi qui est dans un coin du salon. Yves remarque : « Tu ne trouves pas, que ça ressemble, un peu à de la prostitution ? ». Elle sourit : « Non, plus d'un Peep-Show : contre un salaire, la fille montre ce qu'elle veut, si après elle accepte plus, ce n'est pas la faute du sex-shop ! ».

    Annie continue : « Je suis dans la page des invités. Mais pour remplir la fiche, il faut décider qui de Loré ou de moi va obéir en étant filmée ? Vous ne voulez pas jeter une fois de plus les dés ? ». Les hommes font semblant de s'approcher de la piste de dés, des dés roulent et ils se relèvent en même temps : « Voilà ta réponse Annie, la chance mais très peu le hasard ont décidés : vous serez filmées toutes les deux, et ce sera doublement plus excitant ! ». Annie et moi nous nous regardons sans rien dire, nous étions sures que les hommes allaient tricher dans ce sens !

    Chacun s'active : Annie et moi retournons dans la chambre d'amis pour nous rhabiller comme en arrivant, bijoux en moins. Marc connecte la web-cam avec l'ordi et l’écran plasma du salon. Annie remplit la fiche en ne cochant que des cases prévues. J'ai la vague impression que ce n’est pas la première fois qu’elle se connecte, mais comme voyeuse ou comme invitée ? Je classe ça en me disant que je m'en fous !

    Je lis par dessus son épaule les questions et les réponses qu'elle coche :

    Qui sera filmée ? Deux amies

    Ages ? 25 et 34

    Mariées ? Oui

    Maris présents ? Oui

    Qui filme ? Mari

    Heure de connexion ? De suite

    Réponses à questions intimes ? Oui

    Rencontre recherchée ? Non

    Qu’est ce qui définit le mieux l'Amie 1 : docile, rétive ou soumise ? Docile

    Qu’est ce qui définit le mieux l'Amie 2 ? Docile

    Acceptez vous la minute gratuite pour faire connaissance ? Oui

    Etes vous seules ou accompagnées ? Accompagnées

    Maris, amis, amants ? Maris

    Filmée sans visage ? Non

    Filmée visage caché ? Vérification IP demandée

    Elle nomme notre fiche : Deux amies très coquines et vicieuses et entre le code invité pour la valider. Le site est bien fait et très fréquenté, nous avons de suite des dizaines de propositions. Pour répondre rapidement nous avons : non merci bisous-occupée-trop tard et une dizaine d’autres réponses qui nous déconnectent de l’importun.

    D’autres options nous permettent d’accepter un dialogue avec accès à nos fiches réciproques. Une demande attire l’attention d’Annie : « Bonsoir, je suis un homme de 45 ans. Aimez vous l’humour ? La sensualité ? Et êtes vous motivées ? Si oui : bavardons un peu ensemble ! A tout de suite ? Jo ». Sa présentation est simple mais correcte et sa fiche que lisent soigneusement Marc et Yves semble le confirmer. Marc approuve et dit à Annie : « Vas y, contacte le ! ». Elle clique sur accepter le dialogue.

    Nous > « Bonsoir Jo, humour, sensualité et motivation nous séduisent ! ».

    Jo > « Hum bonsoir vous, je n’espérais pas de réponse de votre part ! ».

    Nous > « Il ne faut jamais être défaitiste : nous sommes bien là ! ».

    Jo > « Je suppose que vous avez été submergées de propositions, qu’est ce qui me vaut l’honneur de dialoguer avec vous ? ».

    Nous > « Présentation, âge, fiche, style différents des autres ».

    Jo > « Vous êtes jeunes, pourquoi ne pas jouer avec des hommes de votre âge ? ».

    Nous > « Non, car nous préférons les hommes plus murs ! ».

    Jo > « Puis je vous demander pourquoi ? ».

    Nous > « En principe, ils savent ce qu’ils veulent et comment l’obtenir ! ».

    Jo > « C’est une belle réponse, comment vous appelez vous ? ».

    Nous > « Loréna pour la jolie brune de 34 ans et Annie pour moi la blonde de 25 ».

    Jo > « Moi c’est Jo, sur votre fiche, vous dites être avec vos maris, situation très originale, vous pouvez m’en dire plus ? ».

    Nous > « Bien sur, nous affirmons aussi que nous disons la vérité : donc pas de mensonges ! Nous sommes deux couples réunis, pour une soirée très arrosée, avec des gages très coquins. Perdantes toutes les deux aux dés, notre gage est de nous offrir ici à un parfait inconnu ! Pourquoi pas appelé Jo ? ».

    Jo > « Ah je vois, vous êtes quatre, deux matent et deux obéissent ! Très excitant ! Mais gros risques de censure de mes envies par vos maris ! ».

    Nous > « Hum, en principe nos maris nous connaissant bien, et savant que nous ne sommes pas des oies blanche, et que le cul ne nous fait pas peur ! Mais, en plus nous te propose un safeword, si nous disons arlequin tu changes ton désir, ça te convient ? ».

    Jo > « Bonne idée et joli humour. Ils vous filment masquées ? ».

    Nous > « Tu habites où ? ».

    Jo > « En Belgique ».

    Nous > « Tu peux envoyer ton IP en cliquant sur vérification d'IP ? Si IP confirmé, pas de masque, c'est très loin ! ».

    Jo > « Ok, je l'envoie de suite et après ? ».

    Nous > « Le web-master va nous confirmer ta ville ».

    Jo > « Voilà, envoyé ! Inscrites ou simplement invitées ? ».

    Nous > « Invitées ».

    Jo > « Session sans lendemain, je ne déteste pas, ça nous force à tout donner la première fois en sachant qu'il n'y aura pas de deuxième fois ! Essayons de bien en profiter ! Comment vous sentez-vous ? ».

    Nous > « Nerveuses, mais nous espérons à la hauteur de tes attentes et de celles de nos époux ! Ah ! La réponse pour ton IP ! Tu connais La Louvière ? ».

    Jo > « Ouiiiii c'est ma ville ! ».

    Nous > « Ok pas de masque ! On accepte la minute de connaissance ! ».

    Jo > « Ok je me connecte en visio, à tout de suite, je vous aime déjà ! ».

    Nous > « Et si tu venais de pêcher deux gros thons ? Ce serait rigolo ! ».

    Jo > « Les thons sont les plus salopes ! ».

    Nous > « Je ne sais pas s'il est pervers ou vicieux mais dans tous les cas, il a de l'humour ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 3h30

    Un clip sur accepter la visio gratuite d'une minute, et nous sommes connectés ! Marc cadre nos visages en plein écran.

    Nous sommes un peu tendues, et ça se voit. La connexion s’établit et un visage d’homme souriant s'affiche sur nos écrans. Sa voix grave et rieuse sort des hauts parleurs :

    Jo > « Bonsoir toutes les deux ! ».

    Nous lui retournons son accueil chaleureux et Annie enchaîne : « Je viens de gagner 10€ ! ».

    Jo > « Ah bon et pourquoi ? ».

    Nous > « J’avais parié avec Loréna que tu étais mignon et j’ai gagné ! ».

    Jo > « Flatteuse, mais je vous retourne le compliment, vous êtes deux thons-canons ! Et j'ai furieusement envie de vous demander de marcher devant la caméra pour vous voir en entier, je peux ? ».

    Nous > « Tu es sur un site où on demande rarement l'autorisation ! ».

    Jo > « C’est vrai, vieux reste d’éducation, très bien, alors, faites quelques pas, dans ce que je suppose être un salon pour que je vous vois de dos et de face ça me donnera sûrement des idées ! ». Nous nous levons, allons jusqu’à la télé et nous en revenons lentement la main dans la main. Vous êtes très belles, je suis le plus chanceux des hommes ! Et en plus vous avez une image HD sur le plasma : c’est très excitant tout ça ! ».

    Annie > « J’ai une icône avec : votre minute est écoulée acceptez vous la session audio et vidéo payante ? Que dois-je faire ? ».

    Jo > « Toi tu n’as qu’à cliquer sur oui, si vous voulez de moi, et moi, il faut que je mette en route mon compte, ça va prendre quelques minutes, restez connectées ! ».

    Nous > « Entendu à tout de suite ».

    J’allume une cigarette : « Pfft, je suis nerveuse ! ». Yves rit : « Oui nerveuse mais sûrement très excitée ! Il a l’air très bien ce Jo ! ».

    Mais une question me tarabuste : « Mais si Jo nous demande des choses que nous ne voulons pas exécuter, que va-t-il se passer ? ». Annie me répond avec un large sourire : « C’est tout simple : soit nous acceptons soit nous disons arlequin. Tu sais bien ma Loré, qu’en acceptant un gage de ce type, nous avons accepté de nous montrer nues physiquement et moralement. Si, bien sur, tu dis arlequin s’il te demande d’enlever ta culotte, il vaut mieux couper la visio de suite ! ».

    Tout le monde rit de cette boutade et Yves rajoute : « Pour ma part, je te promets de ne pas intervenir, je suis bien placé pour savoir jusqu’où tu peux aller quand tu es très excitée ! Tu ne crois pas ? ». « Oui c’est justement ce qui me fait peur ! ».

    Tout le monde comprend que j’ai plus peur de moi, que de Jo et c’est Annie qui a le mot de la fin : « Si Jo est malin et qu'il connaît les femmes, il n'exigera pas de suite des choses trop intimes ou trop perverses, même un peu bdsm, il attendra que notre excitation soit bien visible ! Et ça il sait le voir à son âge ! ».

    Ce que je te propose ma Loré c'est : « De nous lâcher et d'être telles que nous avons envie d’être. Personne ne nous jugera. Nous aurons, peut être, quelques remords demain mais, dans quelques jours, nous rirons tous les quatre de cette visio, et d’y repenser, nous excitera tous au plus haut point ».

    Yves continue : en attendant, je t'affirme que ce défi nous excite tous les quatre, et si tu veux vérifier nos braguettes et la culotte d'Annie, ne te gêne pas ! Tu verras que je ne mens pas ! ». Je baisse les yeux et dis d'une voix quasi inaudible : « Vu l'état de ma culotte, je peux te confirmer que tu ne te trompes pas ! ». Annie enchaîne en riant : « Eh bien tu vois, tu n‘es pas une oie blanche, Loré, surtout si je me réfère à tes réponses à nos questions très intimes. Dis toi qu’en obéissant à Jo nous ne risquons ni bébé ni sida, juste quelques rougeurs aux joues ! Alors profitons-en un maximum et laissons nous aller ! ».

    Une icône s'incruste : « Vous êtes demandé en visio-session payante, par le pseudo Jo, IP confirmé à La Louvière en Belgique, cliquez sur accepter ou refuser ». Annie accepte avant de se lever et laisse sa place à Yves. Marc a sa web-am en main, et le visage souriant de Jo apparaît sur nos écrans, surtout sur la télé de salon et sa voix virile et chaleureuse résonne dans tout le salon.

    Jo > « Re-bonsoir, j’ai un peu tardé car ils sont très lents pour accepter des montants inconnus à l'avance ! Mais, à part ça, c'est le meilleur site que je connaisse ! Êtes-vous de mon avis ? ».

    Loré > « Nous ne pouvons pas le comparer, car c'est notre première expérience de ce type, bonsoir Jo, nous t’attendions en papotant tous les quatre ».

    Jo > « J’espère que vous ne disiez pas du mal de moi ! ».

    Annie > « Nullement ! Nous constations simplement que cette visio serait une parenthèse dans nos vies sexuelles, c’est très positif pour toi ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 3h40

    Jo > « J’en suis heureux et je vous en remercie, si vous êtes d'accord, nous pourrions commencer ? ».

    Loré > « Bien sur Jo, nous t'écoutons ! ».

    Jo > « Deux petits points à régler : je peux t'appeler Loré ? Et, puis-je revoir l’ensemble de la pièce ? ».

    Loré > « Pas de problème pour Loré et c'est le mari d'Annie qui filme, il va pouvoir te montrer tout ça ! ». Marc balaye la pièce.

    Jo > « C'est ce que je pensais, pourriez-vous installer deux halogènes assez puissants pour éclairer le canapé et la table de salon pour reconstituer un petit studio d’enregistrement ». Quand tout est en place, Yves allume les lampes : le canapé et la table se voient parfaitement sur le plasma. « C'est parfait, je vais vous demander de vous asseoir toutes les deux sur le canapé ! ». Nous nous asseyons. « Rapprochez vous l’une de l’autre et caressez vous les épaules le cou et la nuque. Faites des gestes doux et légers comme si un amant vous caressait ». Un peu hésitante, je mets mes mains sur les épaules largement dénudées d’Annie et lui masse la nuque alors que ses mains me caressent au dessus de mon caftan. Elle effleure mes épaules, avant de se poser sur ma nuque et de relever mes cheveux pour dénuder mon cou.

    Jo > « Bravo, vous jouez bien le jeu, merci, passez vos mains dans vos cheveux : décoiffez vous en restant naturelles ». Je glisse mes doigts dans ses cheveux alors que, de son côté, elle chiffonne mes cheveux en me souriant un peu vicieusement. « Vous êtes chez qui ? ». Annie, un peu étonnée par la question répond : « Chez Annie ! ». « N'ait crainte, je ne vais pas sonner à ta porte, Annie ! C'était pour savoir laquelle connaissait la maison ! Donc, Annie tu vas nous ramener un bâton de rouge à lèvres, et, pendant ton absence, Loré vas commencer à se caresser les seins à travers son beau caftan ». Elle se lève et revient peu de temps après. Elle me retrouve, confortablement enfoncée dans le sofa, me pétrissant les seins, les yeux mi clos.  Demande un gros plan de mes lèvres. « Belle bouche, mais j’aime les filles plus maquillées, Annie, fais lui une bouche plus sensuelle ! ». Annie se tourne vers moi et s’applique à me maquiller les lèvres jusqu’à ce qu’il lui dise : « Voilà, une belle bouche bien rouge et pulpeuse, j’adore. A présent, j'aimerais voir les orteils et les pieds de Loré en gros plan ». Marc change de plan et le moteur électrique du zoom ronronne. « Jolis pieds, bien offerts par tes mules, ongles bien vernis d'un très beau rouge, Loré, je suis très fétichiste de tes petits adorables ! ».

    Jo > « En fait, les filles, ce matin, en vous vernissant les ongles et en vous maquillant, vous ne vous doutiez pas que vous vous prépariez pour moi, que vous ne connaissez que depuis dix minutes ! Loré : surtout n'arrête pas de peloter tes seins et sors bien ta langue pour lécher tes lèvres fraîchement maquillées avec gourmandise, pour mieux t’offrir à moi et me faire triquer ! ». La perversion de ses mots me fait frémir et obéir. Marc alterne les vues de mes pieds, de ma langue qui lèche voluptueusement mes lèvres trop rouges et de mes mains qui pressent et malaxent mes seins, avec grand plaisir ! « Annie, mets deux doigts dans ta bouche et suce les comme si c’était un petit sexe ». Elle s’exécute et leur fait faire des allers et retours dans sa bouche. « Souris donc à la caméra : tu n’es pas contente de sucer ? ». Elle sourit sans répondre et Jo continue de la stimuler : « Accentue le rythme tu ne feras jamais bander une pine en suçant comme ça ! ». Elle salive et suce de plus en plus fort. Sa bouche commence à émettre des bruit de succion que Jo entend parfaitement bien : « Tu t'améliores : rajoute deux doigts dans ta bouche et pompe les quatre le plus rapidement possible ! ».

    Jo > « Pendant ce temps, je veux que Loré se déchausse, s'allonge confortablement sur le canapé et pose ses jolis pieds nus sur les genoux de sa tendre amie ». Je jette mes mules, me couche sur le dos en caftan et sous-vêtement, tête sur l'accoudoir et pose mes pieds nus sur les genoux recouverts du beau caftan blanc d'Annie. « Belle position, Annie va te caresser les orteils, l'un après l'autre et finira en glissant un doigt entre eux pour vérifier si une bourgeoise-salope comme toi est tout de même bien propre! ». Annie s'insurge et me défend : « Oh comment pouvez-vous demander ça ? Bien sur que Loré est propre et ce n'est pas une salope ! ». Le visage de Jo se ferme un peu et il grogne : « Sois gentille de ne pas contester mes ordres, Annie, et je veux bien que Loré ne soit pas une salope, mais alors dis moi, comment je dois appeler une femme qui se pelote les nichons, devant un inconnu, simplement parce que cet inconnu lui a demandé de le faire ? ». Annie ne trouve rien à lui répondre. Elle arrête de me branler les orteils et sent ses doigts : « Je sens un curieux mélange d'une odeur indéfinissable et de transpiration ». « Tu vois : même les bourgeoises propres peuvent sentir des pieds : tu as beaucoup à apprendre, Annie ! Essuie tes doigts sur tes joues : Loré, assieds-toi, remets tes mules. Vous allez monter toutes les deux sur la table du salon, en vous faisant face ! ».

    Jo > « J’adore votre docilité ! Elle m’excite. Voici vos rôles pour la séquence suivante : vous êtes dans une boîte de gouines, nous allons tamiser l'ambiance et Marc, le DJ, va lancer une série des quatre plus beaux slows de tous les temps, dont-il vous offre un extrait :

    Wind of Change de Scorpions pour cinq minutes https://www.youtube.com/watch?v=n4RjJKxsamQ&list=PLgxNubUp2fOX2HfC9MK28QKxkw1V9K3dY&index=5

    Dounette 123 pour huit minutes

    https://www.youtube.com/watch?v=9N-U8GHFEds&index=1&list=RDQM3QzffJIhtAU

    With Or Without You de U2 pour cinq minutes

    https://www.youtube.com/watch?v=XmSdTa9kaiQ&list=RDQMAe42LqXuGr0&index=2

    I Will Always Love You de Whitney Houston pour cinq minutes

    https://www.youtube.com/watch?v=3JWTaaS7LdU&index=10&list=RDQM3QzffJIhtAU

    Jo > « Bravo, Marc, très bon slows, elles commenceront sur Scorpion mais leur danse risque de durer très longtemps ! Messieurs, pourriez-vous éteindre toutes les lumières du salon sauf un halogène dirigé vers cette piste improvisée, s'il vous plaît ? ». Yves s'exécute et un seul lampadaire nous inonde de lumière. « Dans cette ambiance très intime, vous allez faire en sorte d'emballer l'autre ! Celle qui se laissera guider, à n'importe quel moment, vers le canapé pour s'y abandonner sera l'emballée, et la gagnante sera l'emballeuse ! Pour le premier slow, vous allez vous enlacer et danser, sans qu'un petit souffle d'air ne puisse passer entre vos deux corps. Et, vous allez vous embrasser à pleine bouche, sans faire semblant : je veux de la salive, des gémissements et des réactions corporelles. Pour le moment laissez vos mains posées sur le haut des fesses de l'autre ! ». Marc lance le morceau et Annie, ne pouvant pas mettre son autorité de côté, me prend fermement dans ses bras ! Je sens sa poitrine écraser la mienne, une de ses cuisses se glisser, facilement, sous mon caftan-tunique très court, mais c'est moi qui lui prend la bouche et lui enfonce ma langue sans lui laisser le temps de réfléchir !

    Jo > Quelques instants plus tard : « Messieurs, je vous conseille de m'imiter : j'ai enlevé mon pantalon et je me branle en admirant le spectacle de gouines que nous proposent vos deux épouses. Je constate avec plaisir qu'elles ne font pas semblant, je pense que nous n'irons pas au quatrième slow pour qu'une ne se fasse emballer ! A ce sujet, puis-je compter sur quelques jouets que vous auriez chez vous ? ». Yves « Peux-tu lister tes désirs ? ». Jo « Je me suis fait un petit pense-bête : un gode-double, deux vibros, avec leurs deux télécommandes, deux colliers de cou en cuir, quatre bracelets de cuir pour les chevilles et les poignets, une douzaine de clips en fer, un martinet, deux paires de menottes, des pinces en bois, en plastique et en métal et deux masques aveuglants. Je crois n'avoir rien oublié ! ». Yves « Je vois ça avec Marc, et nous te tenons au courant ! ». Jo « Entendu, merci, Yves ».

    Jo > « Le magnifique slow suivant dure huit minutes ! Nous allons pimenter un peu vos rôles : tout en continuant à vous gouiner la bouche, vous avez la durée du morceau pour vous déshabiller mutuellement, et, ce, dans l'ordre suivant : caftan, culotte, soutien-gorge et chaussures. Mais attention : ne caressez pas ce que vous dénudez, vous pouvez effleurer ou mater, mais pas embrasser ou peloter. Et faites votre job en nous faisant bander comme des ânes ! ». Nous pressons un peu plus fort nos bouches l'une contre l'autre en salivant tellement que des filets gluants sortent de nos bouches, alors que Jo commente notre déshabillage mutuel en nous prouvons sa perversité ! « Le caftan d'Annie était superbe avec ses belles broderies, mais je le préfère jeté sur un fauteuil, hummmm quel corps ! C'est une bombe ! Ouah, Marc elle est bandante des ongles des orteils jusqu'à la pointe de ses cheveux blonds ! Et, c'est ça que tu as dans ton lit tous les jours ! Tu dois la niquer quatre ou cinq fois par jour ? Non ? Et toi, Yves, tu n'as pas à être jaloux ! Le vice de ta femme se lit dans ses beaux yeux, bien sur elle a un plus servi qu'Annie, mais elle est encore très baisable, ta catin, et je pense que tu ne dois pas de gêner de le lui prouver ! Bonne au plumard comme elle doit l'être ! Elle doit attirer les pines, comme un aimant ! Eh bien, vous êtes des petits veinards, et je vous remercie tous les deux de m'avoir invité à mater vos femmes et à constater qu'elles sont aussi garces dans l'intimité, surtout quand elle se lâchent ! ».

    Jo > « Hum, les filles, après les caftans, vous enlevez quoi ? ». Nous descendons nos mains vers nos hanches et excitées par ce flot de paroles injurieuses, mais justes, nous arrêtons deux secondes notre long baiser pour répondre en même temps : « Nos culottes, Monsieur Jo ! ». Et, lentement, sans décoller nos bouches, nous nous baissons pour descendre nos culottes et remontons, pour les jeter d'un jet de chaussure vers le fauteuil, en montrant aux trois hommes, nos moules dégoulinantes et nos culs ronds et fermes qui appellent les coups ou les caresses selon nos différents admirateurs du site de Tom ! Jo > « Les filles, il ne vous reste que trois minutes avant la fin de ce slow italien, je vais vous faire cadeau des sandales, que vous pouvez garder, mais je veux voir vos nichons avant la fin de ce morceau ! Débrouillez vous, et n'arrêtez surtout pas de vous gouiner la bouche ou vous serez durement punies ! Même si je dois me battre contre vos maris ! ». Loré lui rétorque : « Monsieur Jo, se battre contre nos maris, c'est se battre à quatre contre un ! Estimez bien vos chances avant de commencer le duel ! Cela dit, Annie va vous satisfaire et vous offrir mes nichons de catin aux bouts bien bandés ! ». Et je reprends mon baiser, tandis qu'elle dégrafe mon soutien gorge, qu'elle jette à l'aveugle, m'exhibant à poil. La coquine en a profité pour frôler mes tétons en libérant mes seins des balconnets et ils bandent ! Mais, je vais vite me venger : elle doit sentir ma main faire sauter l'agrafe de son soutif, qui tombe à ses pieds, la mettant dans le même état de nudité que moi !

    Jo > Nous gratifie d'un blanc ! Mais il ne nous connaît pas bien : nous arrêtons de nous embrasser, et les bouches pleines de salives, nous le narguons même si nous sommes à poil ! Annie : « Un arrêt cardiaque, Jo ? Ou un infarctus en découvrant nos beaux nichons que tu ne pourras jamais pas toucher ? ». Loré : « Eh, lâcheur, tu ne vas pas nous laisser tomber en pleine montée d'orgasmes, nous ne vivons pas de promesses, nous ! Nous voulons nous envoyer en l'air, comme tu nous le diras, alors, ne t'endors pas, ce n'est pas le moment ! ». Yves et Marc sont pliés en deux ! Et nous soutiennent à fond ! Jo > « Pfffffff, je suis là ! Vous êtes décidément de sacrées garces, je n'ai pas pu m'empêcher de gicler, en vous voyant toutes les deux à poil, quasiment en même temps. C’était trop beau, et ça m'a fait un tel choc, que j'ai inondé tout mon clavier, alors que je voulais me retenir, pour un superbe orgasme ! ».

    Jo > « Maintenant, je vais devoir continuer jusqu'au deuxième, ça va me coûter cher, mais vous allez me le payer en nature ! Allumeuses ! ». Sa colère factice nous amuse tous. Nous lui proposons une pause avec reprise, mais il hurle en nous la refusant et nous ordonne de continuer, et qu'avec notre vice, il rebandera bientôt comme un âne ! Jo > « Avant de demander à Marc de mettre les derniers slows, j'attends la réponse de vos maris pour les jouets ? ». Yves > « Oui, Jo, nous avons toute ta liste, elle est sur la table de la salle à manger, tu veux la voir ? ». Jo > « Avec plaisir, pas pour vérifier, puisque je vous crois tous les deux, mais pour faire connaissance avec vos accessoires que je ne connais pas. A ce propos, pas d'arlequin en vu pour les utiliser ? ». Marc > « Disons, un demi-arlequin pour le martinet à lanières de cuir, pas de marques s'il te plaît, et vas-y mollo ! ». Jo > «Cool, Marc, je suis l'opposé d'un sado, si j'aime faire mal, avec des mots insultants, quand je sens que je suis en présence de cérébrales, je ne ferais pas de mal à une mouche ! Que je n'enculerais même pas ! Contrairement à vos femmes du reste ! ». Encore une fois, Jo nous fait exploser de rire et nous l'applaudissons ! Que c'est bon de faire des cochonneries sexuelles dans une ambiance aussi cool !

    Marc > « Je vais filmer les jouets en gros plans sur la table, n'hésite pas à changer mon cadrage, ok ? ». Jo > « Ok, vas-y, dis au fille de fumer une cigarette et de boire une coupe de champagne à ma santé, et en peignoirs, si elles le désirent ! ». Marc > « Jo vous accorde une pause cigarettes, coupe de champagne et peignoir, pour une dizaine de minutes. Je vais lui montrer la liste des sex-toys qu'on lui a trouvés ! ». Loré > « C'est quoi cette liste ? ». Yves > « Ah, oui c'était juste le début de votre sex-danse, et vous n'avez pas pu tout entendre. Jo nous a fait une liste des sex-toys qu'il désirait utiliser sur vous. Marc les avait tous dans leur panoplie et il va les lui montrer, pour qu'il les connaisse. Les jouets sont sur la table de la salle à manger, vous pouvez aller les voir. On lui a simplement mis un demi-arlequin pour qu'il fasse gaffe avec le martinet, à lanières de cuir, et le reste nous a semblé être du classique ! ». Annie et moi nous nous dirigeons vers la table et regardons ce qui nous attend en fumant et en buvant : à priori des sex-toys classiques !

    Marc > « J'y suis, j'ai monté une connexion directe, entre nous deux, ce que tu diras ne tombera que dans mon oreille, ça te va ? ». Jo > « Super, je ne te demande pas comment tu as fait : tu sembles trop fort pour moi, on pourrait le refaire pendant la séance ? ». Marc > « Non, et, uniquement à cause d'Yves, tu comprendras facilement pourquoi ! ». Jo > « Bien sur, entendu ! ». Marc > « Voilà ce qu'on t'a trouvé, tu nommes l'accessoire, et je te fais un gros plan ? ».

    Jo > « Ok, allons-y, le gode-double, belle taille des deux côtés, deux fois trente centimètres ? Non, deux fois vingt-cinq mais mêmes diamètres.  Deux vibros avec télécommandes, dernière génération, petits, ultra modernes, ils valent une fortune ! Oui exact ! Deux colliers de cou en cuir pour femmes, les tailles doivent aller, quatre anneaux par collier, c'est parfait ! Huit bracelets de cuir, pour les chevilles et les poignets, là aussi les tailles sont bonnes, et deux anneaux par bracelet, c'est suffisant ! Douze clips en fer, quatre pour les colliers et huit pour les bracelets ! Ok. Un martinet à lanières de cuir, les miens sont plus doux, je ferai attention, rassure toi, Marc ! Deux paires de menottes, vues les chaînettes, elles ne vont qu'aux poignets ! Douze pinces en bois, ok ! Douze pinces en pastique, ok ! Quatre pinces en métal, ok ! Deux masques aveuglants j'utilise les mêmes chez moi ! Parfait, et merci beaucoup Marc ! J'espère que les filles vont apprécier la suite ! J'ai très envie de vite rebander ! ».

    Marc > « Cool, Jo, tu les as superbement bien préparées ! Elles sont aussi chaudes que des locomotives à vapeur, et aussi excitées que le jour de leur première bite au cul ! Elles t'obéiront au quart de tour et ne te refuseront pas grand chose, Annie est un peu la meneuse de la paire, et je la connais à peu près bien ! ». Jo > Rieur ! « Dis-moi tu peux te charger d'un petit travail pour moi ? ». Marc > « Bien sur, que veux-tu ? ».

    Jo > « Si ça ne te dérange pas, tu vérifies leurs pointures, et, si elles correspondent à peu près, tu demandes à ta femme de choisir deux paires, identiques ou semblables, dans sa garde-robe : talons aiguilles très hauts, orteils visibles, bien dénudés, un peu chaussures de dragueuses, tu vois ? ». Marc > « Oui, bien sur, des chaussures de putes ! Il me semble que j'ai déjà remarqué des chaussures de ce type aux pieds de ma femme, si les pointures correspondent, ça doit pouvoir se faire ! Je vais les interroger, tu entendras leurs réponses ! ».

    Jo > « Mesdames, si vous êtes reposées, nous allons reprendre, mais avant que Marc n'envoie la musique, vous allez l'écouter, puis m'écouter, ok ? ». Marc « Loré quelle est ta pointure de chaussures ? ». Loré étonnée, mais à près tout, pourquoi pas ? « 38, Marc ! ». Marc « Annie, si je ne me trompe pas, toi aussi tu chausses du 38 ? ». Annie, pliée en deux de rire : « Oh, mon bon Maître, votre modeste servante vous remercie de vous rappeler de ce détail insignifiant de votre esclave insignifiante ! ». Marc « Tu es une sotte ! Tu seras privée de sexe pendant quatre jours ! ». Annie « Noooooon, je t'en supplie, mon divin mari, pas quatre jours, mais au moins quarante jours, pour que mon anus ait le temps de se refermer ! ». Ça sent la scène de ménage, Yves et moi ne rions pas, malgré l'envie que nous avons de le faire !

    Jo > « Très bien, Annie, tu vas aller dans ta garde robe et revenir avec deux paires d'escarpins identiques ou similaires : talons très hauts, pieds et orteils le plus dénudé possible et le pied très cambré. En fait, des chaussures de pute pour parler plus clairement ! ». Annie revient son dressing avec deux modèles d'escarpins qu'elle fait filmer par Marc :

    Tome 05  Tome 05

    Jo > « Très beaux escarpins, Annie, donne le modèle sans bride à Loré. Mais, il te faut choisir une autre paire : le bracelet de cuir est super excitant, mais ta cheville ne va pas pouvoir supporter, en plus, celui que j'ai prévu ! ». Annie a compris. Elle revient avec ma deuxième chaussure et les pieds chaussés d'escarpins super sexys, qui lui font des pieds de star du porno et que, Jo approuve de suite !

    Tome 05

    Jo > « Maintenant que vous êtes comme je le désirais : à poil sur des talons de putes et, avant de remonter sur votre piste de danse, rendez-vous autour de la table de la salle à manger ! Pas facile de marcher avec des talons aussi hauts ! Vos culs qui se trémoussent sont quasiment obscènes et super bandants ! Sur la table vous avez des sex-toys prêtés par Marc. Attendez le nom de l'objet à prendre et posez-le à côté de vous, j'ai coupé la liste en deux pour que vous ne ratiez rien ! Liste A : Un vibro, sa télécommande, un collier pour le cou, deux bracelets pour les chevilles, deux autres pour les poignets et six clips en métal. Comptez vos articles cinq pinces en bois, quatre pinces en plastique et deux pinces en acier ! Comptez vos articles ! ». Nous en avons toutes les deux treize !

    Jo > « Parfait, à présent la liste B : cinq pinces en bois, quatre pinces en plastique et deux pinces en acier ! Comptez vos articles ! Et la somme des deux listes ! ». Nous en avons toutes les deux onze, soit un total de vingt-quatre. Jo > « Vous comptez bien, Annie va rajouter à sa liste : le gode double de deux fois vingt-cinq centimètres, une paire de menottes de poignets et un masque, ce qui lui fera vingt sept articles. Et Loré va ajouter à la sienne un martinet à lanières de cuir, une paire de menottes et le deuxième masque pour avoir elle aussi ses vingt sept sex-toys ! ».

    Jo > « C'est bien ! A présent, vous allez vous poser mutuellement les jouets : Loré va fixer les bracelets aux chevilles d'Annie qui fera pareil à celles de Loré. Puis, Loré s'occupera des poignets et réciproquement, et vous finirez cette série par les colliers de vos cous ! ». Je prends les bracelets et m'agenouille devant Annie, pour lui poser les bracelets de cuir aux chevilles. Je me relève et elle serres les deux bracelets sur mes chevilles. Puis, relevée, elle me tend ses poignets pour la pose des bracelets et me rend la pareille en serrant mes poignets. Je finis en lui fermant le collier autour du cou.

    Jo me demande : « Combien d’œillets ? ». Je lui réponds : « Cinq » et il me demande de mettre l'ardillon dans le quatrième et de vérifier le serrage. Annie lui répond : « C'est supportable » et elle me pose mon collier de la même manière ! Jo « C'est parfait de vous voir aussi obéissantes ! Pour finir cette séquence cuir, prenez chacune vos six clips métalliques et vous en clipsez un sur chaque anneau intérieur de vos bracelets de chevilles et de poignets. Ainsi qu'un sur chaque anneau, tourné vers les épaules, de votre collier de cou. Annie pose les clips de Loré et vis-versa, allez ne traînez pas ! ». Nous ne mettons que quelques minutes à tout clipser et nous nous retrouvons face à la table, mais de plus en plus décorées, comme les fameux tapins de Noël d'Annie !

    Jo « Vous avez été très sages pour cette préparation, je vais vous récompenser par un petit cadeau : il vous reste deux séquences : les pénétrations ou les pinces, je vous laisse choisir celle par laquelle vous aimeriez que je commence ! ». Décider ou le laisser choisir ? Je regarde Annie qui me murmure : « Ton choix sera le mien ! ». Je lui souris et réponds à Jo : « Les pénétrations, Monsieur Jo ! ».

    Jo « Hum, cette réponse m'intrigue ! Seriez-vous plus vicieuses que masos ? Mes belles call-girls de luxe ? ». Annie « Arlequin vous répondra peut être, Monsieur Jo ! ». « Pour cela, il faudrait que vous vous plaigniez à lui, or, je commence à vous deviner : vous ne le ferez pas ! Bien, la session pénétrations, que vous avez souhaitée, commence : prenez vos télécommandes, Yves va venir les récupérer, car, ce soir il sera le roi du zapping ! Merci, Yves ! A présent, prenez vos vibros, regardez votre amie au fond des yeux, léchez avec envie les têtes de vos vibros qui vont vous faire jouir. Salivez bien vos langues, ils adorent l'humidité ! Hummmmmm quelles actrices ! A présent, comme ces nouveaux vibros, ultra modernes, sont devenus aussi petits que surpuissants, glissez-les doucement dans vos gorges profondes ! ».

    Jo « Yves, à toi : vitesse maxi ! Pendant que ces gouines-salopes referment leurs belles lèvres, qu'elles vont coller sur celles de leur amie ! Marc, ne rate surtout pas leur joues engrossées par ces énormes chamallows, zoome comme un fou, il faut que ce passage transpire de bave, d'envies, de jus de femmes qui en veulent plus ! Et, rassurez-vous elles vont en avoir ! ». J'ai beaucoup de mal à coller mes lèvres sur celles d'Annie sans les ouvrir pour forcer sa bouche à aspirer ma langue ! Mais les vibrations des vibros m'empêchent de satisfaire mon caprice, et, comme elle, je me contente de frotter mes lèvres brillantes de salive sur les siennes ! Jo « Quel spectacle, vous m'auriez dit ça, il y a une demi-heure, je vous aurais explosé de rire au nez ! Je n'en crois pas mes yeux ! On va pervertir le jeu, je crois que nos catins sont prêtes à l'emploi ! Mais à voir les coups de bas ventre que donne Loré, je la sens plus chaude ! Je vais donc démarrer par elle ! ».

    Jo > « Annie, décolle toi de cette pute et sors ton chamallow de ta bouche. Tu passes derrière elle, en faisant bien attention que Marc ne rate rien de l'entrée du vibro dans le petit cul de salope de Loré ! Puis, tu vas chercher celui qu'elle suce, si ta main est souillée : essuie-la sur ses nichons, ils sont là pour ça ! Et tu lui glisses le second dans la connasse, je suis sur qu'il va être aspiré en une seconde ! Recto-verso ! C'est complet, désolé ! Messieurs-Dames ! Yves, pour améliorer le spectacle tu vas jouer avec les variateurs en passant lentement de la vitesse maxi à la mini, puis l'inverse, et, ce sans pause ! ». Je suis surprise par la rapidité avec laquelle Jo a fait intervenir Annie : le vibro de mon cul est heureusement bloqué par mon anus. Mais mon vagin a englouti l'autre sans que rien ne dépasse de mes lèvres. Yves joue avec les variateurs de vitesses, ce qui me permet juste de me préparer à la maximale qui me met carrément en transes : je ne me contrôle plus du tout, il me semble que c'est mon vagin qui commande mon corps et qu'il me faudrait une simple petite étincelle, pour que je devienne folle d'envie que mon con me fasse exploser de plaisir en un tsunami jamais ressenti, mais Yves ne reste pas assez longtemps sur cette vitesse pour que j'y arrive !

    Jo se rend vite compte que lorsque le vibro est au maximum, je me transforme totalement : « Yves, reste plus longtemps sur la vitesse maximale, il me semble que ça change le visage de ta femme ! ». Décidément, Jo, sait déchiffrer les mimiques des femmes sensuelles ! Et, en effet, lorsqu'il s'exécute, j'ai du mal à rester debout, tellement mon corps tremble ! Jo « C'est exact, laissons la mijoter comme ça, nous allons l'envoyer en l'air la première ! Je crois qu'elle est à point ! Yves, je vais demander à Annie de la finir ! Qu'en penses-tu ? ». Yves sourit, Jo ne peut pas connaître les rapports qu'il y a entre Annie et moi, et il se contente de répondre : « Oui, ça peut être bandant, mais ne donne pas de délai à Annie : laisse la faire ! ». Jo « Entendu, Yves ! Annie, avant votre retour sur votre piste de danse, je pense que Loré est à point : tu vas la finir en l'envoyant en l'air comme tu le sens. Si besoin, tu peux choisir des sex-toys, je te fais confiance, mais fais la hurler comme une truie en pleine saillie ! ».

    Annie > est plus embarrassée qu'heureuse de ce cadeau, elle se rapproche de moi, et fait semblant de chercher le sex-toy infaillible, mais me glisse à l'oreille : « Couchée nue sur le dos sur le tapis, vibros à fond, je m'assieds sur ta bouche, tu me bouffes la chatte, je te malaxe les seins et tu te branles, ça te va ma chérie ? ». « Parfait, n'oublie pas de me libérer la bouche, je suis au bord d'un tsunami et ils vont l'entendre ! Je t'aime, Madame Annie ! ». Elle sourit et prend une paire de menottes, avec laquelle elle m'attache les poignets devant moi.

    Annie > « Monsieur Jo, connaît bien les garces ! Tu es plus qu'à point salope : couche toi sur le dos, écarte bien les cuisses et demande à ton mari de mettre les deux vibros à pleine vitesse. Tu vas me bouffer la chatte et bien me la nettoyer, pendant que tu te reluiras le clito avec tes doigts et, n'oublie pas que Monsieur Jo, veut entendre ton plaisir ! Ne jouis pas comme une ado sous sa couette, catin des rues ! ». Je supplie Yves de mettre les deux vibros à fond, d'une petite voix catastrophée ! Mais, me connaissant comme il me connaît, il doit rire de mon cinéma !

    Marc > a bien du mal à nous suivre avec sa caméra, je me couche sur le dos, sur le tapis, Annie me glisse gentiment un coussin sous la tête en me disant : « Comme ça tu seras aux premières loges pour voir ce que tes nichons et ton con vont encaisser ! ». Je ne réponds rien, bien que trouvant ça très confortable ! Avant de s'asseoir sur ma bouche, elle m'écarte soigneusement les cuisses en frappant leur intérieur, m'arrachant des petits cris de douleur. Puis elle pose, elle même, mes mains menottées sur ma chatte. Fouille le haut de mon sexe et pose un de mes doigts sur mon clitoris, déjà bien gonflé, avant de s'accroupir au dessus de mon visage et de poser brutalement sa chatte dégoulinante de jus, comme jamais je ne l'avais connue !

    Annie > me crie : « Tu vois qu'il y a de quoi boire et de quoi nettoyer, ma salope, alors, applique toi bien ». Et en faisant attention de ne pas me bloquer le nez avec son sexe, elle pose ses mains sur mes seins et les pétrit avant de s'occuper de mes bouts, avec l'intention visible de bien m'exciter pour m'amener vers un orgasme cérébro-corporel, teinté de jouissance des tétons, qui risque de faire beaucoup de bruit et de me rester en mémoire !

    Jo « Marc, fais des gros plans de la moule d'Annie écrasant la bouche de Loré, du travail des nichons et de cette pute qui se fait reluire le clito avec ses cuisses ouvertes à qui veut l'enfiler ! Ne rate rien ! Ouah, je bande comme un fou ! Annie frotte toi plus fort le con sur les lèvre de cette pute, et Loré, fait l'effort de sortir ta langue. Elle t'a demandé de nettoyer l'intérieur de sa connasse, et d'avaler au fur et à mesure son bon jus de femelle en chaleur ! Allez salope, lève et descend rapidement ton bas ventre, comme si tu niquais avec tes doigts, allez plus fort, plus vite, plus de vice, sois plus salope ! Annie laisse la un peu respirer et gémir je ne l'entends plus ! ».

    Annie > se soulève un peu pour me laisser respirer, et crier à tout le monde que ma jouissance est proche ! Je monte et descends de plus en plus obscènement mon sexe, comme si une énorme pine de fantôme me niquait ! Et, mon corps se met à trembler, symptôme que je connais bien, annonciateur du tsunami qui s'est mis en route pour me submerger ! Vicieusement, je remonte mes mains vers mes seins et caresse les doigts d'Annie, tout en lui murmurant : « Plus fort, fais les tourner, pince les, non, pas avec tes doigts avec tes ongles, fais moi mal, je vais jouir, je veux souffrir par toi et pour toi, en jouissant : ooooh je t'offre cette jouissance, ooooh que ça va être, boooooon, ouuui tu me fais mal et j'aime, ooooh ! ».

    Quand je me réveille, Annie m'a relevé le buste et me fait boire un peu de champagne ! Elle me sourit quand elle voit mon réveil de femme comblée, qui a simplement eu un raté cardiaque, après un orgasme trop fort ! Elle sait que je suis sujette à ce tic, qu'il me faudra bien faire soigner un jour !

    « Eh, bien, ma chérie ! Tu voulais montrer à Monsieur Jo que tu savais bien jouir ? Ou, tu as trop attendu pour t'envoyer en l'air ! Je te signale, qu'un dimanche à un peu moins de 7h du matin, tu as failli réveiller tout le quartier ! J'ai même du te te bâillonner la bouche de ma main ! Tu te sens mieux à présent ? ».

    « Non, pas du tout, j'ai encore envie de jouir, je veux encore une coupe de champagne et une cigarette ! ». Tout le monde, y compris Jo, éclate de rire ! Et mes caprices sont satisfaits. C'est avec les deux vibros, éteints, mon collier, mes bracelets, mes menottes et à poil que je fume ma cigarette, en récupérant un peu, la tête posée sur le ventre d'Annie qui me caresse les cheveux en partageant ma coupe de champagne ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 4h30

    Jo « Annie, aide Loré à se relever et enlève lui les menottes. Tu vas déposer tout ce que tu as de tes listes sur la table dancing n'oublie pas tes séries de pinces et ne tombe pas avec tes talons de pute ! Quant à toi, Loré, tu vas dans la salle de bains, pour enlever tes deux vibros, les nettoyer soigneusement et les ramener en récupérant au passage, tout les articles de tes listes. Et tu rejoins Annie sur la table ! ». Sans répondre, nous faisons ce qu'il demande, et nous nous retrouvons quelques minutes plus tard face à face, sur la table de salon, en ayant déposé nos jouets à nos pieds, comme ordonné.».

    Jo « Nous arrivons peu à peu au bouquet final de cette séance, et, pour imiter un feu d'artifice, nous allons nous offrir une féerie d'orgasmes des deux sexes ! ». Curieux, Yves lui demande de s'expliquer un peu plus. Jo « Mon final est simple : Loré vient d'inaugurer la série d'orgasmes féminins en chaîne, car, les filles en ont très envie et en plus leur libido super bouillante risque fort de leur faire oublier leurs limites classiques. Si ce dépassement se produit, comme je suis prêt à le parier, les séquences vont devenir, de plus en plus excitantes, et elles nous feront forcément bander comme des cerfs. On peut, bien sur, se réserver pour plus tard, mais on peut aussi se faire plaisir, et en nous accordant deux éjaculations pour le reste de la séance, je totalise donc six orgasmes mâles ! Mais, par contre, je mise sur une bonne douzaine d'orgasmes pour ces dames multi orgasmiques, soit un bouquet final d'environ dix huit jouissances, en une heure ou une heure et demi ! ». Yves > « Bon raisonnement, personnellement, je suis prêt à te suivre ! Mais je crois qu'on doit pouvoir booster le score des filles ! Marc me confirme qu'il te suit aussi ! Et que nous nous préparons dans la tenue adéquate ! ».

    Jo « Merci de votre confiance ! Mesdames, nous pouvons y aller ? ».  Annie et moi répondons positivement, et Jo enchaîne de suite : « Vous allez reprendre votre ancienne position : bien collées l'une contre l'autre. Gouinez vous la bouche en salivant comme des truies. Vous avez uniquement le droit de bouger vos membres pour faire ce que vous voulez à l'autre ou sur vous ! Nous vous regardons, jolies petites salopes dégoulinantes ! Marc, tu devrais faire un gros plan de leurs cons, avant qu'elles se collent ! Ces dames perdent leurs eaux ! ». En riant, Marc vient vers nous, et filme nos sexes en très gros plans, je sens le mien goutter le long du haut de mes cuisses, mais je n'en ai pas honte, mon excitation me fait tout oublier et pudeur devient un mot étranger ! J'accueille le corps d'Annie contre le mien, j'essaye de faire en sorte que mes tétons caressent les siens, et j'ouvre grand ma bouche pour qu'elle y engouffre sa langue gourmande et vicieusement curieuse ! Nos mains prennent deux directions : les miennes se posent sur ses fesses pour les pétrir tendrement et les siennes sur mes seins, pour les malaxer rapidement avant de s'occuper de mes tétons qui bandent déjà comme des petits lutins rieurs !

    Jo > « Hum, que c'est beau ! Continuez comme ça, pelotez vous les fesses et les nichons pour bien faire bander vos bouts de mamelles, j’adore voir des femmes avec des tétons en érection comme des petites bites ! ». En dehors de nos caresses, notre baiser est tellement passionné et sensuel qu’un filet de salive coule sur mes seins. Annie en profite pour me masser les nichons avec, tout en me soufflant à l’oreille : « Regarde nos maris ! ». J’entrouvre les yeux et, je les vois côte à côte, nus, sexes en main, en train de se branler en nous matant ! Je dis à Annie : « Ils sont marrants tous les deux ! D'habitude, c'est nos mains qui les branlent ! Je vais être jalouse ! J'espère qu'aucun d'eux ne fera une pipe à l'autre ! ».

    Jo après quelques longues minutes, pour que les hommes aient le temps de bien nous mater, de nous filmer et de s'exciter de nos caresses mutuelles de plus en plus précises. Jo reprend la main : « Vous pouvez vous séparer, les filles, et arrêter de mélanger vos salives ! Vous êtes vraiment deux belles salopes : vous gouiner la bouche, vous excite tellement que vous avez les nichons pleins de bave et les bouts de mamelles durs comme du bois ! ». Nous nous séparons en sueur, la respiration haletante, visiblement surexcitées par la séquence très chaude, que nous venons d'assumer. Je suis au bord de la jouissance et je sens qu'Annie n'en peut plus !

    Jo « Rassurez-vous les chattes, la suite sera plus longue et vous pourrez vous envoyer en l'air en enchaînant vos orgasmes comme vous en crevez d'envie : Annie, tu vas décorer Loré. Pour ça, tu prends tes cinq pinces en bois, tu t'agenouilles devant ses cuisses légèrement ouvertes et tu lui poses deux pinces sur chaque grande lèvre. Pendant ce temps, Loré, tu vas faire bander ton clitoris, quand il sera bien dur, tu le recouvriras de son capuchon, et tu l'offriras comme ça, à Annie qui le pincera facilement avec sa dernière pince. Protégé par la peau, tu ne souffriras pas. Tu sentiras une gêne et une humiliation de plus ! Mais ça tu adores ! ». Annie suis ses ordres à la lettre et il est exact que je sens plus les pinces de mes lèvres vaginales, que celle de mon clitoris bien à l'abri ! Jo « C'est parfait, Loré, je ne crois pas nécessaire de recommencer le même discours : à toi de décorer Annie ! ». J'ai beaucoup de mal à pincer les lèvres intimes de ma Maîtresse, mais Annie m'aide, en dégageant chaque lèvre pour m'aider à obéir. Son clito est plus proéminent que le mien. Elle grimace quand j'y pose ma dernière pince. Je lui murmure mes excuses, mais elle se contente de me caresser les cheveux !

    Jo « A présent, prenez vos quatre pinces en plastique. Loré va démarrer sur Annie qui va lever ses bras pour offrir ses aisselles, sur chacune d'elle, Loré posera deux pinces, en s'arrangent pour mordre un maximum de peau. Puis, Annie décorera les aisselles de Loré ! ». Jo connaît bien le corps féminin et les zones sensibles. Les aisselles sont très délicates et ces pinces en plastique, quasiment neuves font très mal ! Jo « Loré prends les vibros, et donnes-en un à Annie. Chacune d'entre vous va tendre le sien à l'autre pour qu'elle le pompe, en salivant et en bavant dessus. Allez-y, je vous dirai quand arrêter ! ». Nous nous tendons les vibros, comme, le feraient deux enfants avec deux sucettes ! Et chacune de nous doit ouvrir sa bouche pour que l'autre puisse y avoir accès, l'enfoncer dans sa gorge, ou en le faire aller et venir entre les lèvres de l'autre. Des positions, des gestes et des actes extrêmement humiliants, avec, en plus les harcèlements verbaux de Jo « Faites plus de bruit, suceuses de bites, couvrez ces vibros de bave : je veux entendre des bruits obscènes sortir de vos bouches et voir vos baves couler sur vos mentons. Vous avez envie de passer pour des vraies putains, car ça vous fait mouiller le minou ! Mais vos gestes et vos attitudes restent ceux de bourgeoises coincées ! C'est déprimant ! Lâchez vous, soyez les salopes que vous avez envie d'être, au moins pour un soir ! ». Ce raisonnement, surtout dans ce contexte, où nous sommes exhibées, à poil, pincées, godées, vues, filmées, surexcitées et dégoulinantes d'envies de jouir, nous atteint et nous accélérons nos pipes en arrivant très rapidement à des bruits que nous regretteront sûrement en regardant ce clip, si, toutefois, nous en avons le courage et l'envie un de ces jours !

    Jo « Voilà qui est mieux ! C'est dommage qu'il soit nécessaire de vous secouer pour obtenir de bons résultats pour vos prestations de putes ! A présent, je pense que vos jouets sont suffisamment lubrifiés, nous allons pouvoir les ranger. Auriez-vous une suggestion pour leur stockage ? ». Nous savons bien que cette question appelle une réponse, et après un coup d’œil à Annie, je me charge de lui répondre : « Je suppose, Monsieur Jo, que si nous vous répondons : dans leurs boîtes, nous serons sévèrement punies, alors, disons que je n'ai rien dit, et nous vous proposons soit dans nos cons soit dans nos trous à merde ! Est-ce une réponse assez bourgeoise pour vous ? ».

    Jo « J'ai du mal à t'imaginer soumise, Loré, tu en as pourtant toutes les caractéristiques, et je constate en permanence l'ascendant qu'a Annie sur toi, mais tu as ce caractère frondeur s'oppose à cette hypothèse. J'aime beaucoup ce mélange eau-feu et je trouve que tu en joues très bien ! Je vais accepter votre deuxième proposition, et vous allez faire les choses très simplement : chacune va insérer dans le cul de l'autre, le vibro qu'elle lubrifiait dans sa bouche, jusqu'à ce que les vibros soient bloqués par les anneaux de vos anus ! ». Nous nous exécutons facilement car notre transpiration a atteint toutes les parties de nos corps, et, les vibros sont gluants de salive. Pour le moment Yves n'a pas déclenché les moteurs et mon vibro, bien calé dans mon cul et bloqué par mon anus me procure une impression loin d'être désagréable.

    Jo « Bonjour à nos belles petites enculées ! Nous allons pouvoir terminer votre préparation ! Comme vous aimez bien être très proches, nous allons commencer par les chevilles : Loré, assieds toi devant Annie, approches tes chevilles des siennes et clipses les deux anneaux pour que vous ne puissiez plus marcher seules ». La pause n'étant pas très commode, Annie est obligée de m'aider à me relever, c'est en effet très compliqué de ne pas pouvoir avancer un pied sans se coordonner à l'autre , surtout avec nos talons gigantesques ! Jo > « Vos mignons petits chatons aiment aussi être réunis ! Annie, puisque le sort a fait que tu en sois chargé, prends le gode-double. Comme je te suppose bien lubrifiée, tu vas te l'enfoncer jusqu'à ce que la plaque de latex de séparation t'empêche d'aller plus loin, ne t'en fais pas, ça ne fera que vingt-cinq centimètres de fausse bite dans ton con de pute, et, tu mettras Loré dans la position adéquate, pour lui enfoncer les centimètres qui lui appartiennent ». Nous sentons que Jo a nettement durci le scénario. Annie n'a, en effet, aucune difficulté à s'invaginer son gode et que dire du mien qui glisse tout seul, alors qu'Annie me murmure à l'oreille : « Ouf, j'ai eu peur qu'il ressorte par ton trou du cul tellement il est entré rapidement ! ». Je redoutais cette pénétration à cause des pinces aux lèvres qui allaient forcément frotter contre le gode, mais je constate que ces pinces en bois ne sont pas très douloureuses et que le gode étant bien lisse, la douleur que je redoutais ne se produit pas !

    Jo « Vous avez très bien travaillé, les filles : à présent, c'est à nous de jouer : prenez vos deux masques et mettez les sur vos yeux, vous n'avez pas besoin de voir Marc et Yves finir votre préparation ! ». Aveuglées, il ne nous reste que les sons pour essayer de savoir ce qui va nous arriver. Nous entendons le clavier de l'ordi, et, sans être expertes en informatique, nous savons que Jo et nos maris correspondent par écrit ! Jo « Allez-y, mes amis, mais pendant que vous les préparez, j'aimerais qu'Yves mette en route, les moteurs des vibros de culs, pour qu'elles aient une démonstration de ce que ces nouveaux modèles sont capables de leur faire, Yves, déclenche-les en même temps, pour qu'elles aient les mêmes sensations aux mêmes moments ! ».

    Loré > Yves déclenche les deux vibros. Machinalement, je compte les secondes dans ma tête. Pour le moment le vibro est le petit jouet que j'ai glissé dans mes fesses : une petite fusée de cinq ou six centimètres de diamètre, d'une quinzaine de centimètres de long, avec deux têtes aux bouts arrondis. A 30, il commence à vibrer, très lentement, puis de plus en plus vite, pour arriver, à 60, à ravager les quinze centimètres de vagin qu'il taraude, en nous obligeant à nous trémousser en criant de douleur ! Les vibrations s'arrêtent, l'engin fait une pause : à 10, il reprend son cycle. J'ai l'impression, qu'il croît en moi, et je réalise que c'est bien le cas : je sens la tête arrondie se frayer un chemin dans mon sphincter, et s'arrête alors que j'en suis à 25, à la limite de mes intestins.

    Marc nous rassure : « Il est dans sa plus grande longueur soit vingt cinq centimètres, il ne grandira pas plus, il va faire une pause et vous gratifiera d'un petit cadeau ! Soyez bien attentives mes belles pétasses ! ». Je ne vois pas un vibro me faire un cadeau ! Mais Marc doit être un peu poète ! J'en suis à 10, quand un peu de liquide froid coule au fond de moi, ce doit être le cadeau annoncé ! Je pousse un petit cri de surprise ! Marc nous informe : « C'est le cadeau : un jet puissant de lubrifiant très froid pour lutter contre la chaleur de vos tunnels à bites qui va vous être très utile dans peu de temps ! ». Je reprends mon comptage et quand j'arrive à 90, le pilonnage mécanique et douloureux de mon anus s'arrête enfin : près d'une minute et demi, d'allers et retours du vibro passant de vingt cinq centimètres à quinze centimètres sans une seule pause !

    Je suis anéantie, très proche d'un puissant orgasme, quand, dans sa plus grande longueur, le vibro termine son cycle en tournoyant à l'intérieur de mon cul, jusqu'à ce qu'il se raidisse et se réduise pour revenir à son niveau de départ. Mais je suis à 120, soit deux minutes après la fin du pilonnage, et, c'est trop tard pour moi.

    Aux premiers tournoiements de la tête du vibro, je jouis tellement fort que je ne peux pas rester debout : vues nos chevilles liées, je ne que m'accroupir et tomber entre les cuisses d'Annie pour ne pas la déséquilibrer. Alors que tout mon corps continue de trembler et de frissonner !

    Pendant ce temps, Yves coupe les moteurs des vibros. Jo reprend la parole : « Quel orgasme Loré ! Attention, Yves, tu sais que les attaques cardiaques sont plus fréquentes chez les femmes que chez nous ! Un jour, elle ne se réveillera pas, d'un autre côté, quelle mort sublime, mais bien sur le plus tard possible ! ». Tout le monde éclate de rire avant qu'il ne continue ! Jo : « Il va falloir nous y mettre ! Nous ne jouissons pas assez ! Mais la phase finale va sûrement changer la donne ! Messieurs, pourriez-vous aider vos femmes à descendre de la table ? Je pense qu'il leur faut plus d'espace ! ». Ils nous soulèvent, en en profitant pour nous peloter un peu, et nous déposent doucement sur l'épais tapis du salon. Nous les entendons s'éloigner la table et Jo les en remercie !  Jo « Bien, merci Messieurs, il nous reste les poignets, les pinces en acier, les menottes et le martinet, vous pouvez utiliser tout ça dans l'ordre que vous voulez ! ». Yves propose à Marc : « Que penses-tu de : poignets, pinces, menottes et martinet ? ». Marc l'assure que c'est parfait ! Nous nous demandons ce que tout cela signifie sur le plan concret ? Les mots pinces et martinet ne sont pas très agréables à entendre !

    Marc > « Yves, je reprends la caméra, ça t'ennuie d'être filmé ». « Non, mais essaye toutefois de ne pas trop me cadrer. Tu sais de toutes les manières vers quelles parties de leurs corps, je vais aller, en fonction de l'ordre choisi ? ». « Ok, je vais faire attention ! ».

    C'est donc Yves qui intervient. Il commence par Annie, j'entends des bruits de métaux qui s'entrechoquent, sans savoir ce qui se passe, mais, quand vient mon tour, je sens qu'il clipse chacun de mes bracelets de poignets, aux deux anneaux de mon collier de cou. Je ne peux donc plus bouger les mains !

    « Marc, aide moi, je n'arrive pas à glisser les anneaux, les uns dans les autres ! ». « Attends, je vais chercher un couteau, comme pour les porte-clefs, il faut écarter les deux cercles pour laisser passer le troisième, je reviens ! ». Nous entendons des pas, et à priori, Marc a résolu le problème, malheureusement pour nous ! « J'ai commencé par Annie, là c'est donc le tour de ma petite chérie ! ». Je sens ses mains se rapprocher de ma poitrine, tout en entendant un cliquetis dans une de ses mains. Il prend mon téton droit en tenaille, entre deux de ses doigts, le pince très fort et y pose l'une des pinces métalliques, qu'il laisse tomber sur mon ventre. Je la trouve longue et lourde, mais, je vais vite savoir pourquoi !

    Loré > Il change de côté et fait pareil avec mon autre téton, en obligeant mon sein à pendre vers le bas. Il commente : « C'est dommage, car en la raccordant à Annie, on va perdre du poids et la soulager ! ». Mais Marc lui rétorque en riant : « Yves tu oublies la troisième étape ! ». « Eh oui ! Ça va compenser largement, et booster les libidos de nos belles putes ! ». Il se détache de moi et murmure à Annie : « Prête à t'envoyer en l'air, belle enfant ? ». Elle lui répond, « Hum, oui, il faut bien que je rattrape les trois jouissances non répertoriée ! ». Si j'avais besoin d'une confirmation, je sais, à présent, qu'Yves a fait jouir trois fois, ma belle Maîtresse, en une heure !

    Yves fait gémir Annie. Je pense que c'est en lui préparant le téton pour le pincer. Il prend le bas de ma pince, qui est en fait la pince d'Annie, car ils les ont reliées ensemble ! Il la pose sur le téton d'Annie, qui gémit de douleur. Il fait pareil à l'autre bout, et nous nous retrouvons toutes les deux attachées par les tétons !

    Il termine très rapidement : il ouvre chaque paire de menottes, les referme, au centre de nos deux pinces qui n'en font qu'une et les lâche dans le vide, ce qui étire très douloureusement nos bouts de mamelle et nous fait hurler de douleur ! Marc lui tend un long clip qui peut se clipser dans les deux sens, et lui dit : « Jo a rajouté ça en voyant notre collection, c'est pour leurs colliers de cou ! ». « Bonne idée, ça manquait ! ». Il vient vers nous, pour attacher nos colliers ensemble, nous enlevant nos derniers gestes autorisés !

    Jo « Dieu que vous êtes bandantes toutes les deux ! Yves va vous enlever vos masques, car vous devez impérativement vous voir sur vos écrans de contrôle ». Je l'entends s'approcher de nous pour nous ôter nos masques. Jo « Marc, filme les en gros plans, pour qu'elles puissent se mater et constater qu'on ne peut guère faire plus putes ! ». Pendant que Marc s'active en tournant autour de nous avec sa caméra, cherchant la goutte de jus de femelle qui mouille une cuisse ou le téton qui se balance, suite à un mouvement trop brusque de sa propriétaire, nos deux chevilles verrouillées par des clips, des chaussures obscènes, avec ces ongles vermillon trop voyants !

    Jo > « Continuons : Yves va prendre le martinet qu'il reste dans notre caverne d'Ali Baba pour s'en servir sur vous, avec la force qu'il voudra, par séries de dix coups sur vos côtés piles donc : fesses, reins, dos, épaules, cuisses et jambes. La fouettée comptera à haute voix chaque coup qui aura trois effets : un changement de couleur de sa peau, une marque discrète, mais, surtout, l'obligation de défoncer le con de son amie, avec la partie du gode qui lui appartient ! Attendez bien le clac du coup, la tête du gode posée juste entre les cinq pinces du vagin de votre amie ! Le but est, bien entendu, de vous faire jouir toutes les deux, comme baiseuse ou baisée ! Le sort a désigné Annie comme première baiseuse ! ». Yves se place sur le côté gauche d'Annie, lanières du martinet bien déroulées vers le bas. Jo « Top ! Annie ! Compte ! ».

    Elle dit : un et le premier coup de martinet la cingle quelque part sur le cul, elle avait bien préparé, ma partie de gode qui entre d'un seul coup de reins, me faisant crier, plus de surprise que de douleur !

    Les coups se succèdent, j'ai l'impression qu'Yves varie ses coups, car ils ne font pas tous le même bruit sur la peau d'Annie. Peu à peu, je mouille de plus en plus et mes cris sont remplacés par des gémissements siglés plaisir !

    Mais la plus grosse surprise, me vient d'Annie, qui, elle aussi, commence à ressentir une trop grosse vague de plaisir, mais est-ce, le martinet ou le pilonnage du gode-double qui nous donne forcément un double plaisir à chaque enfoncement dans mon con !

    Yves en est à sa deuxième tournée de coups. Après les dix d'Annie, il m'a caressée dix fois, j'ai trouvé qu'il n'était pas très juste, car il m'a frappée plus fort que sa nouvelle maîtresse ! La surprise est à son comble, quand Annie nous offre un deuxième orgasme à la Annie : discret, silencieux, mais avec tous les muscles tétanisés par le plaisir !

    Jo semble content d’avoir fait craquer Annie, il savait qu’elle avait très envie d'enchaîner des orgasmes et il veut profiter à fond de cette excitation ! Jo « Yves va vous aider à vous alléger : vous ne garderez que vos colliers de cous et vos chaussures. Annie va récupérer le double gode et les deux pinces en métal dont elle en fera quatre ». Quand Yves m'enlève mon vibro, moteur éteint, je gémis de soulagement, mais pas quand il enlève, pourtant avec douceur, les quatre pinces de mes lèvres vaginales et celle de mon clitoris. Mais je ne peux retenir mes hurlements quand il m'ôte les pinces des tétons. Jo demande même à Annie : « Tu nous as dit que tu avais un baume spécial, tu peux aller le chercher, s'il te plaît ? Je crois que ton amie en a vraiment besoin ! ». Annie revient avec son baume américain et s'occupe elle même de me masser délicatement les bouts de seins.Très rapidement le baume miracle produit son effet et deux serrements de doigts, doux, puis un peu plus fort, qui devraient me faire hurler de douleur, ne me font gémir que de plaisir !

    Jo dicte ses nouvelles règles du jeu : « Bien, les filles étant délestées de tout accessoire, nous allons durcir le jeu : chacune d'elle va écraser les tétons de l'autre par les pinces en fer non lestées qu'Annie a séparées. Puis, chaque chaudasse va se munir du vibro ultra moderne qu'elle connait déjà. Et l'invaginer dans le con de l'autre. Yves mettra de suite les moteurs sur leurs vitesses maximales ! Nous nous rappelons tous des résultats de cette vitesse sur les deux femmes ! ». Je crois qu'Annie s'en souvient en effet autant que moi !

    Jo « Bien, nous commençons ! Vous allez remonter une dernière fois sur votre piste de danse, pour un dernier Peep-Show ! Mais, vous n'allez pas vous enlacer : dès que votre amie vous aura invaginé le vibro en marche : vous vous ferez face à une vingtaine de centimètres de distance, en écartant vos cuisses pour avoir des appuis solides, et vous tendrez vos mains pour vous prendre mutuellement les pinces des seins. A mon top vous commencerez à vous torturer les bouts de mamelles en ne respectant que deux seules règles : vous n'avez pas le droit de bouger un pied, à chaque mouvement, même faible, vous serez fouettée par l'autre, qui, ne vous fera sûrement pas de cadeau ! Et, quand l'une de vous deux voudra arrêter le combat : elle s'agenouillera devant l'autre, sans rien dire, pour lui avouer sa défaite. Sous réserve de la censure de vos maris, la gagnante aura tous les droits sur elle, en particulier de se faire sucer longuement pour une séries d'orgasmes enchaînés ! Allez, et que le plus résistante gagne ! ».

    Loré > Je baisse les yeux sans oser regarder Annie qui glisse son vibro dans mon vagin dégoulinant et me pose les deux pinces juste aux bouts des tétons. Elle ne me regarde pas non plus quand je lui enfonce le vibro et que je lui écrase les tétons ! Jo donne le top ! Cette fois, Annie me regarde droit dans les yeux, alors que nos bas-ventres ondulent au rythme d’une musique imaginaire, tout en tirant et en tordant nos tétons, en faisant tout pour faire craquer l’autre, tout en sachant qu’elle ne voudra pas céder. Jo éclate de rire : « Eh bien, soit vous êtes très masos, ou très bien entraînées ou trop fières pour vous avouer vaincues ! Ou peut être, un mélange des trois ! ».

    Loré > Les minutes passent. Je n'en peux plus. Et je sais parfaitement qu'Annie connait mon état. A court d'idée, je bouge mes deux pieds pour que le temps des punitions m'accorde un peu de répit.

    Annie me sourit ironiquement, me disant avec ses yeux : « C’est toi qui craque la première ! ». Jo annonce les punitions : « Yves, tu vas passer le martinet à Annie. Tu peux la frapper où et comment tu le voudras ! Loré va même t'aider en comptant les coups pour toi : deux fois soixante, puisqu'elle a bougé les deux pieds ! Tu veux que je lui ordonne un posture qui te conviendra le mieux pour ces punitions ? ». « Non, merci, Monsieur Jo, je vais le faire moi-même ! ». Elle s'approche de moi, et me murmure à l'oreille : « Écarte un peu plus tes cuisses, comme si tu devais laisser passer un genou entre elles. Voilà, parfait, ne bouge plus le bas de ton corps, et pour le haut, tu vas te contenter de croiser tes mains sur la tête et de mettre tes bras dans le même axe que tes épaules ! ».

    Quand je pense que j'ai décidé de commettre ces deux fautes pour essayer de gagner du temps et me permettre de souffler un peu ! Je me suis lourdement trompée. Quand je murmure, d'une voix à peine audible le fameux : cent vingt qui met fin à l'avalanche de coups, je titube sur mes jambes et mes joues sont remplies de mes larmes de douleur.

    Annie a divisé ses cibles en trois parties égales : le tiers pour mon sexe ouvert, comme elle me l'avait demandé. Pas pour y glisser son genou, mais pour que les lanières du martinet de cuir puissent faire mouche à chaque fois sur ces parties si sensibles de mon corps !

    Tout en réservant les deux autres tiers, à atteindre à chaque coup la pince d'un de mes bouts. Tout en cherchant la double-punition : l'horrible douleur d'une ou de plusieurs lanières s'abattant fortement sur l'aréole visée, et l'onde du choc prolongée durant de longues secondes par les mouvements de la pince et de mon téton ! Vu le sourire pervers que je ne lui connaissais pas encore, à chaque coup qu'elle estimait : bien réussi.  J'en ai conclu que cette Annie là était la vraie, et que dans un futur relativement proche, je devrai apprendre à supporter ce genre de tortures si je voulais continuer à lui plaire !

    Jo « Laissons Loré récupérer un peu, car, il faut reconnaître qu'Annie ne l'a pas punie à moitié ! Comme vient de me le suggérer Yves, nous aimerions qu'Annie, qui ne s'est pas trop fatiguée, sauf le bras, vienne s'agenouiller devant Yves, dont la dureté de la bite ne peut pas cacher qu'il a besoin de toute urgence d'un quelconque récipient pour vider ses couilles ! Annie, veux-tu être ce récipient et lui faire plaisir ? ». Annie n'hésite pas longtemps, elle descend de la table et se jette devant Yves en disant vicieusement pour que tout le monde l'entende : « Comme ça, Marc pourra filmer sa femme en train de pomper un ami et Loré verra ce qu'elle doit améliorer quand elle suce son tendre époux ! ». Jo me recommande : « Loré installe toi dans un fauteuil et repose toi en admirant le spectacle de ton mari qui va se vider les couilles dans la gorge de ta copine ! Mais ne te refroidis pas, continue à te branler le clito, cuisses obscènement ouvertes ! Tu n'en a pas fini avec nous ! ».

    Jo > le silence se fait dans le salon, Annie pompe Yves assez discrètement, comme toujours, et moi, même très mouillée, j'essaye de ne pas être dérangeante. Mais je dois demander une autorisation à Monsieur Jo : « Monsieur Jo, je n'en peux plus, m'autorisez vous à m'envoyer en l'air, s'il vous plait ? ». Il rit et demande leur avis aux autres qui répondent oui de la tête ou de la voix, et, heureuse de cette autorisation, je jouis, oubliant un peu les douleurs qu'il m'aura fallu supporter pour atteindre cet orgasme libérateur ! Il est suivi de très près par celui d'Yves qui tire Annie par les cheveux pour gicler au fond de sa gorge, lui arrachant, pour un fois, des onomatopées obscènes ! Jo nous rappelle à l'ordre : « Allez les filles, sur la table, vous avez un combat à finir ! ».

    Annie > Nous remontons toutes les deux sur la table. Annie sait que la fin est proche, elle fait semblant de m'enlacer, pour me murmurer à l'oreille : « Viens vite lécher l’intérieur de ma bouche, tu auras un peu du goût de ton homme ! Et ne te débats plus, laisse ton orgueil de côté, tu as perdu, je ne veux pas te faire plus de mal ! ». J'arrive à coller mes lèvres contre les siennes et à goûter le foutre de mon Yves en la remerciant, je lui réponds dans un souffle : « Je sais maintenant ce que vous attendez de moi Madame, je ne sais pas si je saurais être à la hauteur de vos attentes en matière de tortures mais j'essaierai je vous le promets ! ». Elle me souffle un dernier : « Non, ne crois pas ça, certaines tortures me sont dictées par un trop plein de libido, ce n'est pas la vraie Annie, que tu es en train de découvrir, rassure toi, ma chérie ! ».

    Jo nous rappelle à l'ordre : « Alors, les filles, vous vous magnez le cul ? ». Vicieusement, Annie, prend chacune de mes pinces entre ses doigts et les fait tourner autour de mes tétons, la pression est tellement écrasante que je ne peux pas résister très longtemps et je tombe à genoux devant elle. Je me tiens les seins en pleurant alors qu’Annie se tourne et me présente ses fesses. Je connais la règle du jeu et obéissante je m’approche d’elle alors qu'elle se penche en avant et ouvre ses fesses pour sentir entrer ma langue dans son anus chaud et odorant.

    Les hommes rient alors qu’Annie ronronne, elle a senti ma langue en pointe pénétrer son anus et profite pleinement de la caresse en oubliant tout ce qui l’entoure. Jo demande des gros plans de ma langue au travail, il les obtient et me félicite pour mon agilité de bouffeuse de cul ! Il me laisse longuement comme ça, je commence à avoir des crampes à la mâchoire, surtout qu’il m’a demandé de croiser mes mains dans le dos, ce qui me prive de tout appui hormis de ma langue et de ma bouche sur son cul, et de mon nez enfoui dans sa raie du cul !

    Jo > Annie finit sa deuxième jouissance et Jo nous ordonne : « C’est bien, Loré, tu l'as envoyée en l'air deux fois : bravo ! A présent, arrête de lui bouffer le cul et sors ton vibro de ton propre trou à merdes ! Très bien, glisse le dans ta bouche et nettoie le avec soin ! ». Je m’exécute, sors le vibro de mon anus et le glisse dans ma bouche pour bien le nettoyer en le léchant de partout ! « Ca suffit comme ça, il doit être bien propre, sors le vibro qu'elle a dans le con et remplace le par celui que tu viens de nettoyer soigneusement pour elle ! Voilà, très bien, et toi, sans le nettoyer tu vas te niquer la connasse avec son vibro, voyons si sa mouille te conviendra bien sale gouinasse ! ». Curieusement, je me sens vide sans rien dans le cul et le vibro dans mon con non branché, mais j'en profite un peu pour souffler !

    Jo « Maintenant, les filles, vous allez vous mettre cul contre cul, et c'est Yves et Marc qui vont vous aider à glisser dans vos deux trous à merdes de salopes, le gode-double que vous connaissez ! J'escompte de votre part un minimum de deux jouissances pour chacune, dont l'orgasme du cul ! Alors soyez encore plus salopes que celles que vous avez été et  envoyez vous en l'air en offrant ce spectacle porno aux trois mâles qui vous regardent en jouant le jeu à fond ! Pour ne pas être distraites, Yves et Marc vont vous enlever vos écraseurs de tétons, et puisque l'orgasme du cul n'a rien à voir avec le fétichisme, enlevez vous mêmes vos chaussures pour être plus à poil qu'à poil devant vos Maîtres ! Et leurs plaisirs qui dépendront du vice que vous mettrez à vous présenter sous votre jour le plus obscène ! ».

    Nous nous retrouvons reliées par cet énorme gode que nous faisons aller et venir dans nos culs. A genoux sur le tapis du salon, pieds nus et seins libres ballottants sous nous pour le plus grand plaisir des mâles qui se branlent sans fausse honte, y compris Jo qui a réglé sa web-am sur sa grosse pine en feu ! Sa voix est devenue rauque : « J’ai rarement vu des putes en chaleur comme vous : avancez et reculez vos culs pour bien sentir le gode double vous ramoner vos trous du cul, je me branle la queue en vous regardant vous humilier devant nous ! ». Nous nous exécutons et, peu à peu nous mouillons tellement, que nos fesses claquent quand nous nous renfonçons le gode dans nos intestins, ce qui provoque un rire nerveux et vicieux de la part des trois hommes.

    Jo réclame des gros-plans du gode allant et venant dans nos fesses avant de nous demander de rester en appui sur une seule main et de nous branler la chatte avec l’autre main. Nous nous exécutons avec un grand plaisir : mon sexe est humide et bouillant, j’ai presque envie d’y enfiler une main entière tellement je suis excitée et en manque de jouissance.  Jo  

    Jo « Arrêtez de vous branler la chatte, je n’en peux plus je vais jouir, mais vous allez jouir en même temps que moi et en gros plan devant votre caméra : je ne veux voir que vos visages quand vous jouirez, et vous entendre crier que vous jouissez du cul comme deux salopes vicieuses !  J’enverrai ma purée à ce moment là ! ».

    Nous nous relevons et, en nous déplaçant avec difficulté, nous nous plaçons cul contre cul à un petit mètre de l’écran plasma alors que Marc règle sa caméra. Jo est content du cadrage, de son côté il a orienté sa web cam vers son sexe gonflé et rouge. Il nous donne un dernier ordre qui ressemble à une supplique : « Faites comme vous le pourrez, mais arrangez vous, pour jouir du cul pendant ma jouissance ! ».  

    Annie > En quelques coups de doigts et de paumes, nous sommes au bord de l’orgasme, c’est Annie qui cède la première en oubliant toute retenue pour crier en jouissant : « Oooooh , je jouis du cul comme la salope que je suis ! ». Mais j’étais prête, et je la suis immédiatement, en faisant écho à son aveu obscène, alors que Jo a tourné sa caméra vers l’écran et qu’il jouit sur notre image en inondant son écran.

      et la voix de Jo résonne une dernière fois : « Hum, les filles, je vous dois l’une des meilleures jouissances de ma cyber vie ! Je vous en remercie infiniment et j’espère de tout cœur que nous nous reverrons prochainement. Je vous laisse à vos maris que je salue, bonsoir à tous les quatre et, surtout, n'arrêtez jamais vos soirées coquines : il faut savoir jouir et planer hors de son corps pour être en vie ! ». Et il se déconnecte.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 5h30

    Marc dit : « Sympa ce Jo, nous avons eu de la chance dans notre choix, nous aurions du lui donner notre e-mail ». Annie rétorque : « Il n'en est pas question, une parenthèse est une parenthèse et il ne faut jamais chercher à en faire un paragraphe et surtout pas une histoire ! ». Tout le monde et Marc le premier se rallie à son avis et nous laissons les hommes dans le salon pour aller prendre une bonne douche bienvenue et méritée.

    Marc nous assure qu'à notre retour nous aurons le tableau des scores des orgasmes de la soirée. Nous approuvons et le félicitons en nous faisant un beau clin d’œil, toutes les deux ! Bien malin qui connaîtra la vérité !

    Comme répondrait mon grand-père en imitant un Auvergnat célèbre : Monsieur Fernand Raynaud ! Qui à là question posée : « Combien de temps faut-il à un canon pour refroidir après un tir ? ». Répondait imperturbable : « Un certain temps ! ».

    Remplacez « Canon et temps » par « Orgasmes et nombre ».

    Et vous entrerez dans le secret des Dieux (et non pas dans le domaine des Dieux ! (Il faut lire autre chose que des bédés ! Ignares -que j'embrasse- !)

     

    Vous avez sans doute remarqué que vous venez de passer une nuit blanche avec nous !

    N'oubliez pas de jeter vos kleenex usagés ou de changer vos draps car, nous sommes le :

    Dimanche 29 janvier 2017

    et, il est :

    5h30

    Donc l'heure de vous lever pour vous et de dormir pour moi !

    Suite > Chapitre 6




  • Commentaires

    1
    Lundi 5 Novembre 2018 à 14:00

    Bonjour Gabriel

    C'est le premier compliment que j'ai sur un de mes écrits, 100% maison, sauf illustrations empruntées au web.

    Je vous en remercie donc.

    La longueur de mes chapitres a été un problème difficile à résoudre : devais-je me censurer en formatant tous les chapitres en 15, 20 ou 25 pages (je parle ici de la matrice qui est écrite en Arial 12 sur Apache Word, avec 2 cm de marges en haut et en bas et 1 cm sur les côtés)  ? Ou devais-je laisser se terminer une tranche de vie, même si elle faisait 40 pages ?

    J'ai opté pour ne pas limiter mes séances et comme je les écris en les vivant (dans ma tête !!!), j'arrive parfois à des chapitres longs que je ne peux pas couper ou réduire.

    Mais, cher Gabriel, rien ne vous empêche, d'arrêter quand vous en avez envie (je l'espère après avoir pris votre plaisir !) et de noter le jour et l'heure auxquels vous vous êtes arrêté.

    Cela dit, si vous avez lu "mes sommaires" vous savez qu'une nouvelle série va apparaître sur votre blog : les nouvelles illustrées, qui, elles seront calibrées en 25 pages avec 10 pages de photos appuyant le sujet.

    Dans tous les cas, merci de votre remarque.

    Bises - Loré

     

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :