• Chapitre 6

    Chapitre 6

    Dimanche 29 janvier 2017 - 5h30

    Dès que nous revenons, fraîches et pimpantes de la salle de bains, toutes les deux vêtues d'un peignoir et de chaussons de bain assortis, Annie nous propose une pause que nous acceptons tous.

    Je vais l'aider à mettre quelques pâtisseries sur des assiettes, pendant qu'elle s'occupe de filtrer deux grosses cafetières. J'ouvre deux briques de jus d'orange, prépare les verres adéquats. Annie rajoute un plateau de fromages avec une assiette de pain de mie. Une bouteille de Gris, une de champagne et, en deux voyages, nous portons tout ça au salon où les hommes nous attendent, rhabillés en fumant et en buvant ! De l'eau ! Ce qui nous fait éclater de rire !

    Annie me dit en riant : « Je crois que nous ne sommes pas prêtes de dormir, ma chérie ! Si nos hommes boivent de l'eau, c'est qu'ils veulent rester très lucides ! Autrement dit, qu'ils ont des intentions coupables envers nous ! ».

    « Je t'approuve, et si ce sont leurs pensées, je leur donne entièrement raison ! Nous sommes, assurément les seules coupables : coupables d'avoir dévoilé trop vite nos libidos débridées de femmes libres, coupables d'avoir accepté délibérément un jeu d'adultes qui devait forcément se terminer à poil, coupables d'avoir suggéré une session-visio-maso, plus que pornographique, qui nous a amenée à obéir à un parfait inconnu, il est vrai en toute impunité, mais qui a réduit nos hommes à l'état d'accessoiriste ou de cameraman durant près de trois heures ! Attention, il n'y a pas l'ombre d'un regret dans ce que je dis ! Je ne renie rien ! Je ne regrette rien ! J'assume ce que j'ai fait, et, uniquement en mon nom ! Telle que se déroule cette soirée, je veux que nous démarrions des rapports sur des bases amicales, saines, solides, fiables et en totale confiance. A ce sujet, je désire simplement, quand Yves perdra le prochain jet de dés, que mon gage me soit donné par Marc, et que je l'entende me dire que je dois lire à haute voix, ce qu'il y a de gravé sur l'alliance que je coince amoureusement entre mes nichons de fausse Sainte Nitouche ! Merci de m'avoir écoutée ! ».

    Et j'éclate de rire. Dans un silence pesant !

    Un claquement de mains, puis un deuxième, puis un autre et Yves nous dit : « Madame, Monsieur, je vous présente du 100% pur Loré, pute et nonne, mère et catin, salope et fidèle, fière mais obéissante ! C'est un lot : on prend tout d'elle ou rien ! ». Je vais m'asseoir sur ses genoux, l'embrasse à pleine bouche en lui disant : « Hummmm, toi, si je ne t'avais pas ???? ».

     

    Marc propose de fêter cette belle confession et propose un toast pour le baptême du club des quatre, avec une seule devise vérité et longévité ! Yves reprend l'idée au bond : « Superbe idée, et dans peu de temps, nous aurons des propositions de mon bureau design pour un blason avec nos armoiries et cette devise ! Bravo Marc ! ».

    Nous servons les hommes et buvons à notre club très privé et à sa création !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 5h50

    Annie nous dit gentiment : « C'est bien beau de créer des clubs avec des armoiries, mais ça ne remplit ni son homme ni sa femme, alors servez vous nous devons petit-déjeuner c'est l'heure ! ».

    Marc lui rétorque : « Nous les hommes, nous pouvons remplir nos estomacs, mais vous les filles, il n'y a pas que vos estomacs à remplir, n'est ce pas, Yves ? ». « Surtout que si je perds, le prochain gage de Loré ne durera qu'une minute ! Qu'est ce qu'elle va avoir à rattraper au final ! ».

    Annie lui répond : « Pas de souci, je crois que si un fantôme d'orgasme se lève avec le jour, elle se réveillera en pleine forme pour ne pas qu'il lui échappe ! Et en plus j'ai des kilos de café dans mes armoires ! ». Et elle se lève pour revenir avec la piste de 421 et les trois dés !

    « Et comme le dirait très justement Loré, je suis la seule coupable d'avoir poussé nos hommes à continuer ce jeu idiot, et que le meilleur gagne ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 6h

    Le hasard préserve Yves. Annie tire donc un gage de son bol et le lit à haute voix : « Je dois me mettre entièrement à poil, enfiler un masque, et guidée par Loré, je dois rejoindre un de nos hommes qui m'attendra confortablement installé dans un fauteuil, vêtu seulement d'un caleçon. Sans pouvoir utiliser mes mains, je dois le faire bander, lui sortir la queue et lui lécher le gland avec tendresse. A ce moment là, j'aurai le droit de dire son prénom, d'enlever mon masque et de lui faire la pipe de sa vie en le buvant sans perdre une seule goutte ! ». Marc sourit : « Nous avons bien rit en rédigeant ce gage, et souhaitons tous les deux que ce soit Yves l'homme assis ! ».

    Nous lui répondons tous les deux qu'il a raison, mais que c'est le sort qui décidera, encore une fois ! Pendant qu'Annie et moi allons dans la cuisine, pour qu'elle se mette à poil, enfile son masque et m'embrasse longuement la bouche en me murmurant : « Je suis très fière de t'avoir comme amie, Loré, tu es une fille extraordinaire ! ». Émue, je ne trouve pas de réponse et me contente de lui caresser doucement les cheveux.

    Yves me demande de fermer la porte de la cuisine, probablement pour que rien n'arrive aux oreilles d'Annie, ni les jets de dés, ni les mouvements de fauteuil, ni le déshabillage de l'heureux élu !

    Quelques minutes plus tard, on toque deux fois à la porte de la cuisine, j'entrouvre et vois Marc, en caleçon avec ses mocassins ! Il est franchement ridicule mais me fait chuuuuuuutttttt avec son doigt et m'indique un deux de son autre main, probablement pour me dire d'attendre deux secondes ! Dès qu'il est reparti, je lui en accorde dix, et je guide Annie par la main.

    Les hommes ont tamisé le salon, seule la partie fauteuils est éclairée avec des variateurs d'intensité au minimum. Bien sur, je vois Marc dans le fauteuil, avec son caleçon déjà bien déformé et je lui fais un clin d’œil en rapprochant Annie de lui, de telle sorte qu'elle puisse se mettre à genoux entre ses cuisses sans avoir à le toucher de ses mains.

    Elle s'agenouille et se redresse de suite, elle a décidé d'une tactique qui se révèle être la bonne : elle utilise ses seins comme des mains ! Elle remonte une cuisse et arrive obligatoirement au paquet de Marc, qu'elle caresse amoureusement de ses deux seins bien manipulés par ses mains !

    Quand elle sent qu'il est bien dur, elle se penche et mord le haut du caleçon pour le descendre. Il lui faut beaucoup de patience, car, même si la bite de Marc jaillit comme un lutin du caleçon, le descendre jusqu'aux genoux lui coûte beaucoup de travail ! Elle l'abandonne, sans chercher à l'enlever entièrement, ce que personne ne songe à lui reprocher !

    La dernière phase arrive, sa langue doit reconnaître Marc ou Yves ! Mais je suis sure qu'elle sait déjà à qui appartient l'énorme gland qu'elle lèche avec amour et attention ! Bien que l'ayant déjà eue dans tous les trous, je m'étonne encore de la taille de la bite de Marc qui est bien plus grosse que celle d’Yves et qui me fait jalousement regretter de ne pas être à la place d'Annie ou de ne pas être invitée pour une pipe conjointe !

    Annie renifle curieusement le bas ventre et les couilles de Marc et elle dit à Marc en riant : « Tu pensais qu'un peu de parfum d'Yves me troublerait ? Je crois que je vais te branler comme un ado ! Je vais me croire à la maison ! ». Marc lui répond justement : « Oui mais à la maison tu n’as pas de spectateurs. Alors applique toi, je veux être fier de toi ! ».

    Elle sourit tout en enlevant son masque. Elle lui ôte son caleçon et se penche entre ses cuisses pour lui lécher longuement les couilles alors qu'elle le masturbe fermement de sa main droite ! Puis, sans arrêter de le branler, elle rentre à peine son gland dans sa bouche pour le lui lécher et bien l'humidifier ! Marc s'est installé confortablement, les cuisses bien écartées et il se laisse faire en caressant doucement les cheveux de sa femme.

    Je trouve que cet instant est émouvant, et ressemble plus à de l'amour qu'à une scène de cul ! Elle enfonce le sexe dans sa bouche, mais il est tellement gros qu’elle ne peut pas tout avaler d'un coup et elle le suce en salivant abondamment pour pouvoir en rentrer encore plus !

    Je suis toujours assise sur l’accoudoir gauche du fauteuil d’Yves, un peu en hauteur par rapport à lui. Il me regarde en souriant et glisse sa main droite entre mes cuisses. Comprenant ce qu’il veut, j’ouvre le compas de mes cuisses et il a vite fait de glisser deux de ses doigts dans ma chatte trempée.

    Tel qu’il est placé, Marc ne peut pas ne pas nous voir : « Relève son peignoir, pour que je vois bien ton travail dans sa chatte s’il te plaît Yves ». Il fait un mouvement pour relever le vêtement, mais je l'interromps et je me lève, deux secondes, pour me mettre à poil, en jetant le peignoir. Je me rassieds en ouvrant un peu plus mes cuisses pour que Marc ne rate rien du spectacle de mon homme fouillant mon con avec ses doigts.

    La pièce est remplie par les bruits de succion d’Annie qui a réussit à avaler toute la pine de son homme qu'elle fait aller et venir dans sa bouche, alors que Marc commence à gémir, visiblement enchanté par le travail et la bouche d'orfèvre de sa femme.

    Les doigts magiques d'Yves m'excitent de plus en plus ! Ils me caressent en profondeur tout en venant de temps en temps titiller mon clitoris tendu, bien gonflé et sorti de sa capuche ! Je vois la main de Marc peser un peu plus fort sur la tête de sa femme, il ferme les yeux, on sent qu’il est sur le point d’exploser et c’est ce qu’il fait au fond de la gorge de sa femme dans une série de grognements de satisfaction sourds et graves.

    Je le constate une nouvelle fois, mais ce coup ci avec sa femme : Marc et Annie jouissent à peu près de la même manière, sans débordement, sans bruits inutiles, presque normalement pourrais-je dire ? Mais dans ce cas serais-je celle qui jouit anormalement ?

    Annie garde la bite de son homme très longuement en bouche, tout en déglutissant avec un plaisir non dissimulé ! Elle le suce soigneusement avant de reculer un peu son visage pour lui léchouiller le gland.

    Elle se redresse, les lèvres humides de sperme et nous regarde avec des yeux brillants en découvrant la posture obscène dans laquelle Yves me branle : « Oooooooh ! Écarte plus ses cuisses, ouvre lui bien la connasse, vas-y fouille là, elle n'attend que ça et finit la pour moi Yves : envoie la en l'air, pour nous tous ! J’ai envie de l'entendre hurler comme un animal quand elle jouira avec ses tripes et ses muscles tétanisés ».

    Elle se lève et approche son visage du mien. Elle me donne ses lèvres à lécher. Trop excitée, je lui léche les lèvres pleines du sperme de son mari dont je reconnais le goût et, surtout une odeur de lavande très particulière, alors qu’Yves en quelques coups de doigts et de caresses sur mon clitoris me fait jouir m’obligeant à hurler devant nos nouveaux amis.

    Ce n'est une révélation pour aucun des trois, disons que j'ai voulu célébrer, à ma manière, la naissance de notre club des quatre !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 6h30

    Nous sommes tous les quatre très excités par cet instant de grande communion sensuelle entre nous, et après une petite pause café, peignoir et cigarettes, et une petite discussion en tête à tête avec Yves, le plateau de 421 est ressorti.

    J'avais fait une petite prière pour qu'Yves perde, et, pour une fois, j'ai été exhaussée ! Annie me devance et me confie le coffret dans lequel elle a rangé elle même mes bijoux. Je l'ouvre et je sors le pendentif-alliance que je tends à Marc. Il refuse de le prendre en me disant de lire la gravure à haute voix. Je range le bijou dans la boîte et dis d'une voix claire que je veux naturelle : « Cette alliance est gravée de ces quatre mots : j'appartiens à Annie ».

    Marc me remercie et me signale qu'Annie lui avait déjà dit la vérité, car tout comme moi elle n'est pas une adepte du mensonge !

    Notre club des quatre est bien celui de la vérité : nous venons de le prouver une nouvelle fois ! Mais Yves a quelque chose à rajouter : « Je trouve injuste et lésant que Marc soit privé d'un vrai gage au profit de la réparation de ce nous pourrions appeler, une dissimulation de vérité nécessaire. J'ai besoin de trois minutes de solitude pour rédiger un gage convenu avec Loré, juste avant cette révélation, qui, en fait n'en n'est pas une ! Je rajouterai ce gage dans le bol de Loré, et le hasard décidera si elle doit relever ce défi ou un autre ! Etes vous tous d'accord ? ».

    Quatre mains se lèvent.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 6h40

    Yves est allé dans la cuisine pour rédiger mon gage, pendant ce temps, nous fumons et je prends un excellent jus d'orange, ce qui semble me galvaniser ! Je ne pensais pas que des vitamines pouvaient circuler aussi vite dans le sang !

    Annie me charrie en me disant : « Ca n'a rien à voir avec les vitamines C du jus d'orange ! C'est simplement l'excitation et l'attente de ton gage qui te mettent dans tous tes états ! ». Je lui tire la langue et lui tourne le dos en drapant ma dignité dans mon peignoir qui est à elle !

    Yves revient enfin avec un papier qu'il a plié en quatre. Il le jette dans mon bol, place sa main dessus et le remue bien.Il propose alors : « Pour plus d'équité, je propose que ce soit Annie qui tire le gage de Loré ! ».

    « Tu as raison, Yves, et en plus, Loré est sur des charbons ardents, alors, ne la torturons pas plus, je vais tirer un des gages et je le lirai, entendu ? ». Personne ne proteste et Yves soulève sa main pour qu'Annie se saisisse d'un papier qu'elle déplie et lit à haute voix en mon nom :

    « Je suis contente du rétablissement de la vérité. Mon gage tient donc compte de mon réel statut, puisque qu'Annie me domine et que je suis chaque jour un peu plus son esclave sexuelle. Je lui demande la faveur de me prêter à Marc, qui disposera de moi comme il le voudra, sous réserve de la raison, dont Marc, gentleman avéré n'est pas dépourvu ! ».

    Annie replie le papier et dit à Marc : « Elle est à toi, jouis bien d'elle, elle est très obéissante ! Mais si tu nous l’abîmes, je te castre ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 6h50

    Marc nous remercie de notre honnêteté : « Je vais réaliser un beau fantasme qui me trotte dans la tête depuis que j'ai vu Loré pour la première fois ! Je ne pensais alors qu'à sodomiser ma voisine au cul si bandant, mais je ne savais pas que je pourrai l'utiliser, non comme une fille facile qui aime le cul, mais comme une soumise-sexuelle qui prend son pied en obéissant, et en plus, à ma tendre épouse ! Rassure-toi, Annie, je ne vais pas l’abîmer, mais je vais respecter ton ordre, moi aussi, en en jouissant très fort et devant vous ! ».

    « Loré, suis moi nous allons faire tes courses ! ». Toujours en peignoir, je le suis jusque dans leur chambre dans laquelle il ouvre leur dressing, il soulève un rideau, qui apparemment dissimule leur collection coquine et me dit : « Tu vas toi même choisir trois choses : un plug de bonne taille pour t'habituer à ma pine que tu connais déjà ! Un cintre à pinces en métal, car je pense, personnellement que c'est le meilleur joujou pour faire bander et torturer des bouts de mamelles et dans la collection de chaussures d'Annie, tu trouveras des spartiates à semelles de bois et lacets longs remontant sur les chevilles. Choisis tout ça et retournons au salon ! ».

    « Très bien Loré, à présent, tu peux enlever ton peignoir ». Je réalise en le laissant tomber sur le sol que c’est au moins la sixième fois que je m’exhibe nue devant Marc, mais seulement la deuxième à m'offrir à poil !

    Sans me quitter des yeux, il se touche la bite à travers le slip souriant de voir mon regard se troubler et ma tête se baisser !

    Il demande à Annie de lui prêter sa serviette à dés ! Ce qu'elle fait en riant comme nous trois ! Il me la tend ! « Tu vas chausser tes spartiates et lacer très haut sur tes cuisses les lanières de cuir, puis, tu vas étaler cette serviette pour protéger le coussin droit du canapé, et te mettre à genoux sur cette partie du canapé, en chevauchant bien toute la serviette (…) voilà, c'est très bien : écarte le plus possible tes cuisses (…) encore un peu force toi, je te veux non pas très ouverte mais très offerte ! Tu comprends bien la différence ma pute ? ». Je fais oui de la tête mais il en veut plus ! : « Oui, Monsieur Marc je vais m’offrir à vous selon votre envie ! ».

    « Très bien , tu es intelligente, mais je le savais ! Tu vas coller ton nombril contre le dossier du canapé et derrière toi, tu vas faire en sorte que tes spartiates pendent dans le vide, mais devant, tu vas bien te redresser et te cambrer pour que ta tête et tes nichons pendent dans le vide ! ».

    Mais, je ne peux pas réaliser son désir, car il me manque quelques centimètres pour que mes seins ballottent dans le vide. Marc compense très rapidement en rajoutant deux coussins sous mes genoux, ce qui me met de suite à la bonne hauteur.

    « Voilà, tu es exactement, comme je te rêvais dans mon fantasme ! De dos, avec tes sandales d'esclave, tes cuisses largement ouvertes, ton con et ton trou à merdes béants, tes bras écartés et à plat sur le dossier du canapé, et en passant de l'autre côté, ta tête avec tes yeux humides de désir, regardant fixement le tapis sous toi et tes nichons ballottant au rythme de ta respiration en attendant d'être punis ! Quel beau tableau tu nous offres ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 7h05

    A la demande de Marc, Yves continue de filmer. Marc me demande : « Bouge bien tes nichons de l’autre côté du dossier pour qu'Annie voit bien tes bouts de mamelles grossir et se gonfler d’envie et qu'Yves fasse de beaux gros plans de tes nichons de truie ! (…) hummm comme ça ! Tu vas humidifier ton plug dans ton con qui dégouline jusqu'à mouiller la serviette protectrice ! Et bien le faire aller et venir dans ta connasse en regardant droit dans les yeux Annie et Yves qui semblent très excités par ton visage décomposé par le désir, tes tétons qui bandent de plus en plus et la vue en grand écran qu'Yves t'a offerte en mettant cette psyché dans laquelle tu peux voir tes trous obscènement ouverts et, surtout, ton con béant que tu laboures comme une bonne travailleuse du sexe avec ton énorme plug noir ! ».

    Marc reprend avec excitation le contrôle du jeu : « Regarde le plug et dis moi s’il est bien humide ? ». Je rougis en sortant le plug de mon vagin et le regarde : « Oui, Monsieur Marc, il est mouillé ».

    « Mouillé ou trempé ? ». « Oooh, Marc, plutôt trempé ».

    « Trempé par quoi ma petite chienne ? ». « Mes sécrétions, Monsieur Marc ».

    « Tes sécrétions ? Comme c’est bien dit : tu crois vraiment qu’une chienne comme toi a des sécrétions ? ». Je vois où Marc veut m’amener. « Ooooh, Monsieur Marc, trempé de ma mouille ».

    « Oui de ta mouille de femelle excitée, mais il me semble qu’il lui manque un peu de salive alors glisse le dans ta bouche ! ». Obéissante je le glisse dans ma bouche, il est tellement trempé de mouille qu’il y a un peu de mousse blanche sur toute sa longueur. Je salive abondamment dessus sans oser regarder devant moi.

    « Bien, ça suffit, allez, encule toi d’un seul coup ». Je le repasse sous mon ventre, pose la rondeur de la tête sur mon anus et le pousse en moi sans pouvoir éviter un petit cri de douleur.

    « Hum j’adore tes petits gloussements. Je ne saurai jamais si c’est de la honte, de la douleur ou du plaisir, mais ils me plaisent. Remet toi debout devant le canapé, face à moi, et ondule du cul pour bien sentir le plug dans tes fesses, et fais toi bander les tétons, je les veux durs et bien saillants ». Debout devant la caméra, je me vois sur la télé, ondulant du bas ventre et me caressant les tétons et en les pinçant entre mes doigts. J’ai du mal à me reconnaître tellement mon visage est déformé par le plaisir.

    « Tes bouts sont bien durs ? ». « Oh oui, Monsieur Marc, il me font mal tellement ils pointent ».

    « C’est parfait, prend le cintre à pinces et fixe chacune des pinces à l’un de tes tétons, mais pince juste les tétons, je ne veux pas que tu te écrases un bout de la chair de tes seins ».Je m’exécute alors que les pinces crantées se referment une à une sur mes tétons douloureux. Je grimace et me courbe en avant.

    Le rappel à l’ordre est immédiat : « Redresse toi, cambre toi, tend tes seins vers la caméra et sois plus courageuse. Tu vas ôter tes spartiates et nouer les quatre lacets ensemble ». J’ai peur de comprendre, bien que ces spartiates soient des sandales d’été, leurs semelles en bois les alourdit. Très inquiète, je finis de nouer les lacets.

    Marc ne rate aucun de mes gestes, quand le nœud est fait, il me dit : « Tu vas l'accrocher au crochet central du cintre à pinces, on verra bien jusqu’où tes nichons vont tomber ! ». Je glisse le nœud, mais j’hésite longuement à tout lâcher en sachant que je vais horriblement souffrir !

    Marc me rappelle durement à l’ordre : « Allez lâche tout ! Cambre toi et croise tes mains sur la tête ! ». Mes seins brutalement entraînés vers le sol, j’hurle de douleur et, instinctivement, je me penche pour prendre les sandales dans mes mains allégeant leur poids et donc mes souffrances.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 7h15

    Marc se fâche tout rouge et hurle son mécontentement : « Tu ne joues pas le jeu, je voulais qu’une fois pluguée et tes nichons lestés, tu t'envoies en l'air devant la caméra avant que je ne me vide dans ton cul, mais tu m’obliges à changer de plan et tu vas le regretter ! ». Je réalise que je viens de faire une grosse bêtise et, très rapidement je prends la pose, très droite, mains sur la tête et seins pendants vers le sol : « Oh, je vous en supplie, Monsieur Marc, regardez-moi, je vous obéis, ne me punissez-pas s’il vous plaît ! ».

    Pour toute réponse, Marc me gifle violemment en me disant : « C’est trop tard salope, le train est passé ! ». « Yves, tu peux m’apporter les trois éventuels accessoires dont nous avons parlé tout à l’heure ? ».

    Yves se lève et revient du garage avec un tréteau de bois, quelques morceaux de corde et un paillasson poussiéreux. Je suis surprise et très inquiète de voir arriver ce vide grenier dans le salon !

    Mais, Marc sait parfaitement ce qu'il va faire avec tout ça : il place le tréteau-chevalet devant le canapé et pose le paillasson dessus, comme une selle de cheval. Il m’agrippe par le poignet et me rapproche de cette monture improvisée en me disant :

    « Voilà ce qui arrive quand on ne fait pas ce que je veux : tu t’en rappelleras Loré ! A présent, ouvre bien ta chatte avec tes deux mains, tu vas enjamber le chevalet, et poser ta chatte béante, à plat, sur le paillasson poussiéreux et râpeux et je vais personnellement veiller à ce que tes sandales tombent bien de chaque côté du chevalet. Toi, comme une simple esclave sexuelle : tu te contenteras de te branler en te frottant comme une simple chienne en chaleur sur ton paillasson pour t'envoyer en l'air le plus vite possible en mélangeant bien le plaisir et la douleur ! ». Et pour ne pas me faciliter la tâche, il passe mes bras dans mon dos et les attache en les serrant beaucoup trop !

    Que ce soit dans la psyché ou sur la télé, ma position est obscène, la douleur des seins est quasiment insupportable. Mes mains liées dans le dos ne me servent à rien et je ne peux que frotter ma chatte sur le paillasson en poussant mon corps avec les pointes de mes pieds nus.

    Mes coups de reins obligent le bout du plug à frotter sur le paillasson. Je suis de plus en plus excitée, je me frotte bestialement le con sur cette surface rapeuse et douloureuse, chaque frottement me fait ballotter les seins et les pinces tirent un peu plus sur mes tétons douloureux, il est sur que je vais jouir, mais il est certain que j'oublierai très vite cet orgasme !

    Tout le monde s’est tu, Marc ne fait aucun commentaire, je sens tous les regards tournés vers moi ou vers mes images virtuelles. Mon orgasme est proche, ma peau se couvre de chair de poule, et brutalement je jouis sans crier comme un animal. Je me cogne l’entrejambe contre le paillasson et je balance les sandales suspendues dans tous les sens au risque de me déchirer les tétons. Mon corps se tend, s’arqueboute, se tord alors que je suis au plus fort de ma jouissance.

    Marc me laisse récupérer, puis vient me libérer les mains, m’enlève le cintre à pinces des tétons et m’aide à descendre du chevalet. Il sort doucement le plug de mon anus. Je me sens soulagée de partout, mais tout mon corps reste douloureux et m'empêche de profiter de ce soulagement.

    Annie s’approche de moi, me masse doucement les tétons et toute les parties douloureuses, avec son baume salvateur et, quand je me sens visiblement mieux, elle m'accompagne elle même au canapé pour me faire reprendre ma posture qu'entre temps j'ai qualifiée de crapaud ! Lentement mais autoritairement, elle vérifie que je suis bien en place et se met debout sur ma droite. Fatiguée par mon orgasme punition, et sachant ce qui va m'arriver, je pose ma tête sur le haut du coussin et ferme les yeux en me décontractant.

    Annie m'encourage et me caresse les cheveux en me disant : « Tu as raison ma chérie, c'est ce que tu as de mieux à faire, laisse toi faire, tes souffrances sont terminées ! ».

    Je sens plus que je ne vois une présence derrière moi, et deux genoux se poser entre mes jambes sur le bout de canapé que j'occupe ! C’est Annie, elle même, qui prend la bite de Marc pour positionner son gland à l’entrée de mon anus. Elle en profite pour me glisser à l’oreille : « Tu vois ma Chérie, je t’avais promis que Marc t’enculerait en public, eh bien, ne crie pas (…) d’un seul coup de reins, Marc m’encule en me dilatant encore plus l’anus pourtant bien préparé par le plug (...) c’est fait ! ».

    Mains accrochées à mes hanches, il me défonce le cul, m’obligeant à gémir de plaisir. Annie rajoute : « Et pas de douche, tu vas garder son foutre en toi tout le reste de la soirée ! ».

    Marc est tellement excité qu’il ne tient pas longtemps. Ventre collé à mes fesses il grogne en se vidant dans mon cul pour m'offrir un lavement de foutre plus que très copieux !

    Annie se relève et me dit en riant : « Tu devrais voir l’effet que ton lavement de foutre a produit sur ton mari ! Il bande comme un âne ! Si je perds le coup suivant je sais où va aller tout ce bon sperme ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 7h45

    Je regrette qu’Annie m’interdise toute douche mais j’ai le droit de la suivre dans la salle de bains pour me rafraîchir un peu sans me laver les fesses. Marc entre dans la salle de bains : il nous porte des vêtements et nous dit en souriant : « Prenez votre temps, nous sommes en train de boire une coupe et de fumer une cigarette, rejoignez nous quand vous le voudrez ».

    Je me rhabille avec ce qu'il m’a donné : une petite culotte, une jupette grise, un soutien-gorge assorti à la culotte, un chemisier et des mules à talons. Annie m'imite, et, curieusement nous nous apercevons que nous sommes habillées de la même manière, bien que les couleurs et les formes soient différentes.

    Quand nous revenons au salon, fraîches et reposées, les hommes sont au petit soin : Marc nous allume des cigarettes et Yves nous sert du champagne en nous disant : « Alors les héroïnes de la soirée comment vous sentez vous ? ». Annie rit à pleine gorge : « Moi ? Je n’ai jamais été aussi bien ! Je repense sans arrêt à ce que Loré a dans le cul et ça me remplit d’aise ! ».

    Tout le monde rit, moi, je me contente de rosir et d'ajouter : « Moi je suis comme un cocktail maison fait de honte, de plaisir, de douleur et de jouissance ! C’est assez dur à définir ! ».

    Les trois rient et Marc complète : « Il faut reconnaître, que grâce à son amie Claire, Annie a su choisir un gage étonnant et très fort mais vous vous en êtes merveilleusement tirées et le spectacle que vous nous avez offert restera inoubliable ! ». Yves rajoute : « Jo y est aussi pour beaucoup, je l’ai trouvé imaginatif avec une juste dose de perversité et une bonne connaissance des femmes ! ». « Exact, mais je me reproche d'en avoir montré plus que je ne désirais dévoiler ». Yves rit : « Tu t’es montrée telle que tu es quand tu es très excitée, ni plus ni moins donc tu n’as aucun regret à avoir : tu as juste à t’assumer ! ».

    Dimanche 29 janvier 2017 - 7h50

    Annie pose une question à laquelle je n’avais pas pensé. « Dites moi, vous deux, il y a quelque chose qui m’intrigue : pourquoi êtes vous rhabillés ? Et pourquoi avez vous fait en sorte que Loré et moi soyons habillées pratiquement de la même manière ? ».

    Les hommes sourient, et c’est finalement Marc qui se charge de répondre à sa femme : « Nous allons arrêter de jouer, car, pendant que vous étiez dans la salle de bains, nous avons jeté une dernière fois nos dés et vous avez toutes les deux perdu ! Donc vous avez un gage commun ! ».

    Annie sourit : « Ca vous arrange bien ! Nous n’aurions jamais du vous laisser seuls, tu vois Loré, ce sont des sournois ! ». Marc rit : « Sournois ? Non ! Un peu vicieux ? Oui ! Mais nous sommes surs que vous allez beaucoup aimer votre gage ». Je demande : « Et pouvons nous savoir de quoi il s’agit ? ».

    Marc répond : « Au bureau, deux de mes collègues m’ont parlé d’un endroit proche d’Issoire : la forêt des Combrailles où des gens bien comme il faut viennent pour se montrer ou pour mater entre 3h et 10h le dimanche. Le seul problème est que je ne connais pas tous les détails. Nous pouvons donc prendre une auto, aller sur place et, par exemple, vous exhiber en même temps, d’où vos tenues, avec, un loup sur le visage pour être sur que ton banquier, Annie, ou ton chef, Loré, n'apprennent pas ce que vous aimez faire la nuit. Pour pimenter le jeu, Yves et moi pouvons faire une sélection d'accessoires qui seront des surprises pour vous ! Vous voyez, c’est tout simple ! Et ça n'est qu'un projet !».

    Annie réplique : « Tout simple ? J’aime ta décontraction ! Et je suppose que nous n’avons pas notre mot à dire ? ». Yves lui répond : « Bien sur que vous pouvez ne pas être d’accord : si vous voulez que la soirée continue tranquillement : déshabillons nous et partouzons, si vous voulez qu’elle s’arrête, disons nous au revoir et à un prochain samedi, mais ça me semble être d’une banalité lamentable pour des tempéraments tels que les vôtres, alors que la piste de Marc mérite d’être mieux exploitée et que l'horaire correspond ! ».

    Annie me prend par la main et me murmure quelque chose à l’oreille, je l’approuve et elle dit à haute voix : « Nous allons réfléchir dans notre chambre : si nous revenons habillées c’est que nous sommes d’accord pour approfondir l’idée de Marc, si nous revenons en manteaux c’est que la soirée est finie et si nous revenons nues c’est que nous sommes d’accord pour une partouze. Entendu ? ». Les deux hommes approuvent.

    La discussion dans la chambre est courte, dans l’état d’excitation et d’ivresse dans lequel nous sommes, il est évident que nous acceptons l’idée de Marc. Mais Annie me dit : « Je peux aussi demander plus de détail à Claire sur ce mystérieux lieu de rendez-vous ? ». « Excellente idée, Claire semble bien connaître le sexe dans la région ! Je suis, quant à moi inquiète pour les horaires, baiser ou montrer ses nichons à 10h un dimanche matin me semble un peu tard ! ». « Peut-être pas tant que ça, ma chérie, n'oublie pas qu'en Auvergne les boîtes n'ouvrant que le vendredi et le samedi soirs ont l'autorisation de fermer à 7 ou 8h du matin, de quoi alimenter un lieu de rencontres coquines ! ».

    Et c’est en riant que nous rejoignons nos hommes qui sont ravis de nous voir revenir habillées comme nous étions parties. Mais nous refrénons un peu leur enthousiasme en leur proposant l'idée de demander plus de renseignements à Claire que nous avons décidé de surnommer Miss Cul Auvergne ! Émoustillés, nous acceptons tous.

    Annie me demande de réapprovisionner le café et de rafraîchir les bouteilles pendant qu'elle appelle son amie ! Je m'exécute tout en écoutant.

    « Claire, bonjour c'est encore Annie (…) Oui très bien, nous nous sommes régalés (…) Je t'appelle pour un renseignement (…) Est-ce que tu sais ce qui se passe dans la Forêt des Combrailles le dimanche matin ? (…) Ah, oui : quand le dimanche matin est frais et brumeux, comme aujourd'hui, il y a de l'activité jusqu'à 11h ? (…) Oui, moins que la nuit, mais ça reste tout de même un lieu de rendez-vous pour les fêtards (…) Ah tu as deux ou trois couples amis qui y sont en ce moment, et tu peux les appeler ? Ce sont des habitués? (...) Entendu, si nous nous décidons je te rappelle (…) Entendu ma chérie une bise ! ».

    Nous nous préparons en quelques minutes. Annie rappelle Claire qui lui confirme qu'elle appelle de suite ses amis pour lui indiquer le modèle et le début de l'immatriculation de l'Audi avec laquelle nous partons.

    Les hommes prennent un sac de sport avec eux : Annie et moi donnerions cher pour savoir ce qu’il y a dedans !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 8h

    L’Audi de Marc ronronne dans la nuit. Annie conduit, je suis à côté d’elle et les hommes sont derrière. En quittant la maison, elle a réglé le GPS qui a de suite accroché La Forêt des Combrailles, et, elle suit à la lettre les conseils de la voix robotisée. Nous quittons l'A75, et traversons deux petits villages endormis avant de quitter la route départementale pour suivre la direction fléchée de la forêt qui nous engage dans un petit chemin forestier bien entretenu nous amenant sur une aire de pic nic profondément enfoncée dans la forêt au bord de l’Allier.

    Eclairé par une pleine lune encore épanouie, luttant contre un soleil essayant de percer la brume matinale et la noirceur de la forêt, l’endroit semble et composé d’un labyrinthe de petits chemins carrossables avec de temps en temps des tables et des bancs de bois.

    Marc dit à Annie : « Je pense que nous sommes arrivés, choisis un chemin au hasard, entres-y et coupe le moteur mais pas les codes ». Elle s’exécute et gare la voiture dans un petit chemin abrité par des arbres. Annie en profite pour appeler Claire, qui lui demande de lui donner notre position GPS, qu'elle va transmettre par mail à ses deux couples d'amis. Elle nous rassure en nous disant que notre position est bonne est que nous sommes en plein centre du lieu fréquenté.

    Quelques secondes plus tard, comme des lucioles dans un champ, quelques lueurs, visiblement, de lampes torches, brillent autour de nous : l’endroit n’est pas si désert que ça ! Marc commente : « C’est là que le mode d’emploi me manque ! Annie, essaye de faire des appels de phares, en attendant une vingtaine de secondes entre deux séries ». Cinq minutes après les deux séries d’appel, rien n’a bougé.

    Marc sort de la voiture et allume une cigarette, il est le premier à voir s’approcher quelques silhouettes. Une conversation s’entame avec ces ombres qui pour la plupart portent des imperméables ou des manteaux. Contrairement aux chuchotements des voix, la voix de Marc est claire : (…) Oui deux femmes non professionnelles, la trentaine, mignonnes et chaudes (…) Très obéissantes (…) Ah ça on verra en fonction de l’évolution de la séance (…) Non pas plus que six, trois pour chacune fille (…) Vous êtes quatre ? (…) Allez en chercher deux de plus, on reste garés là (…) Mais pas plus que six (…) Oui je serai dehors ou assis derrière (…) Si vous avez une envie spéciale, proposez la, on verra ! ».

    Deux ombres restent. Deux autres s’éloignent pour recruter deux voyeurs de plus. Marc nous dit de l'extérieur : « Ca ne va pas tarder ! Deux bourgeoises excitées prêtes à s’exhiber, ce doit être une aubaine pour ces voyeurs, familiarisez-vous avec les commandes des lumières intérieures et Yves va vous passer vos loups ».

    Les hommes se partagent : trois côté conductrice et trois côté passagère. Yves nous tend les loups que nous mettons de suite sur nos yeux.

    Marc se rassieds derrière et baisse sa vitre, il semblerait que les six hommes aient élu un porte voix qui est du côté d’Annie et vient murmurer à l’oreille de Marc.

    Marc dit : « Annie, sur la console du levier de vitesse, tu as les deux interrupteurs des plafonniers avant, allume les ». Annie n’est pas habituée à la voiture de son mari, mais en tâtonnant, nous trouvons les plafonniers et les allumons : ce sont des faisceaux halogènes qui nous éclairent parfaitement de la tête aux genoux tout en laissant l’arrière de la voiture dans l’ombre.

    « Bien ! Vous êtes éclairées comme des stars. Maintenant, en bas de vos portières, vous avez les boutons électriques de réglage de vos sièges : inclinez vos dossiers pour être plus à l’aise, je vous dirai d’arrêter ». Nous trouvons les boutons, nos dossiers se baissent jusqu’à ce que Marc nous arrête.

    Un autre conciliabule à l’arrière (…) Bonne idée : An et Lo vous vous reconnaîtrez ? (…) Nous rions : oui l'Anglaise et la Lorraine ! Bien joué Ma ! (…) Super ! (…) Embrassez vous sur la bouche, jouez bien avec vos langues : les voyeurs adorent mater des gouines en action ! ».

    Annie se penche sur moi, et m’embrasse sur la bouche en me coupant le souffle. Elle glisse sa langue aussi loin qu'elle le peut, en trahissant ainsi son excitation. En nous gouinant la bouche de cette manière, nous ne réalisons pas du tout ce que nous en sommes en train de faire, et c'est très agréable ! Nous nous régalons et nos hommes veilllent sur nous !

    Marc nous informe de ce qui se passe : « Pour votre information il y a en un qui a commencé à se branler en vous regardant : pelotez vous les seins à travers vos vêtements et n’hésitez pas à bien vous les malaxer ». Entre notre baiser passionné, le pelotage de caresses nos seins et de savoir d'un homme se branle en nous matant, je mouille comme une fontaine et Annie sentir mon excitation à la taille de mes bouts de nichons malgré mes vêtements !

    « Bien séparez vous et posez vos pieds chaussés sur le tableau de bord, les semelles contre le pare-brise ». C’est avec regret que je sens Annie s’éloigner et que je dois lui lâcher les seins. Nous nous rasseyons sagement côte à côte dans nos fauteuils et relevons nos jambes pour poser nos pieds sur la planche de bord. Comme je vois qu'Annie, gênée par le volant, est obligée d’écarter les cuisses, j'adopte la même position

    Marc ajoute : « An enlève ta chaussure droite et Lo la gauche, écartez plus vos cuisses et caressez vous mutuellement les pieds que vous venez de vous dénuder tout en laissant vos jupes se lever naturellement ». Les pieds dénudés, nous appuyons nos pieds chaussés contre les portières et nous nous caressons orteils contre orteils, tout en levant un peu nos culs pour que le bas de nos jupes glisse vers nos ventres.

    « Aidez vos jupes à remonter à vos ceintures pour qu’ils voient vos culottes ! ». Peu à peu, notre flirt d'orteils, nous oblige à bouger nos bassins et nos cuisses nues se dévoilent juste avant nos culottes. D'un même geste, nous finissons de coincer nos jupes à nos tailles en livrant nos entrecuisses et nos culottes à la vue des mateurs.

    « Mettez vous mutuellement une main dans la culotte et branlez vous sans faire semblant ». Hum, comme j'aimerais que Marc répête cette douce phrase ! Annie glisse la première sa main droite dans ma culotte et commence à me fouiller de ses doigts. Je fais pareil de ma main gauche et je réalise qu’elle est tout aussi trempée que moi !

    « De vos mains libres, déboutonnez lentement et entièrement vos chemisiers et ouvrez les : je vous signale qu’ils sont à présent quatre à se branler en vous matant ! ». Même avec un déboutonnage sensuel, nos chemisiers n'ont que cinq boutons, qui sont vite ouverts, et nous proposons à la convoitise de nos voyeurs nos seins encore dissimulés par nos soutiens-gorges.

    « Branlez vous plus fort, je veux entendre le bruit de vos doigts dans vos chattes, et sortez vos seins par dessus vos soutiens-gorges ». Annie enfonce un doigt de plus dans ma chatte et un autre doigt vient titiller mon clitoris en m'obligeant à gémir. J’essaye de faire pareil de mon côté mais je ne suis pas très adroite de ma main gauche. Je perds du temps à trouver le clito d'Annie et tarde à sortir un à un mes seins de leur bonnet, alors qu’Annie a déjà offert ses seins hauts perchés et magnifiques à son public !

    « Ils ont choisi : c’est Annie, qui a les plus beaux nichons et c’est elle qui va avoir le droit de jouir la première : Loré, tu l’embrasses, tu lui suces les seins et les tétons et tu continues à la branler jusqu’à l’orgasme. Regardez la vitre avant droite : un de nos amis nous a quitté en laissant son sperme sur la vitre en souvenir. Mais rassurez vous un autre a pris sa place ! ».

    Je peux me pencher, comme je le veux vers Annie, pour l’embrasser à pleine bouche. Elle est chaude et très impatiente. Je descends ma tête vers sa poitrine et lui léche ses seins magnifiques, avant de m’attarder de la langue et des dents, sur ses tétons. Ma bonne main droite ! Ne quitte pas sa chatte que je masturbe de plus en plus rapidement, m’attardant plus qu’il ne le faudrait sur son clitoris, mais je veux son plaisir : heureuse et gémissante elle me le donne d’un coup : tout son corps s’abandonne et elle part dans un de ses orgasmes auquel elle m’a habituée. Corps tétanisé et couinements d’animal blessé. « Un autre de nos amis s’est envoyé en l’air : il faudra que je nettoie mon auto demain ! » dit Marc en riant. « Léchez vous mutuellement les doigts qui vous branlaient ».

    Annie me tend sa main droite : je lui léche soigneusement les doigts, reconnaissant mon goût. Puis je lui tends la mienne, trempée de sa jouissance. J’ai peu l’habitude de la voir exécuter des ordres, mais elle me nettoie la main avec un mélange de douceur et de perversité.

    « Désolé Lo, ils ont décidé que tu jouirai plus tard : allez les filles, il est temps de vous mettre à poil ». Un peu frustrée par cette sanction, j’obéis en enlevant mon chemisier et mon soutien gorge, avant de dégrafer et d’ôter ma jupe pour terminer par ma culotte, en me tortillant un peu le cul. De son côté, Annie fait pareil et nous nous retrouvons toutes les deux nues, parfaitement bien éclairées dans la voiture.

    « Enlevez votre dernière chaussure ». Nous nous retrouvons pieds nus. Un ronronnement électrique : Marc baisse un peu les vitres avant, depuis la console de commandes située à l’arrière. « Sortez chacune un pied nu, nous avons des fétichistes de pieds de femmes à l’extérieur ». Un peu décontenancées, nous glissons par la vitre mi-ouverte, le pied nu de notre choix, et, en effet, dès que le mien est dehors, des mains le caressent, des bouches viennent le sucer, des sexes se collent à lui pour le caresser et le souiller de traces de sperme ou de pré-jouissance !

    Ce doit être pareil pour Annie car je l’entends rire, probablement qu’un des inconnus a entrepris de lui chatouiller la plante de son pied. « Pendant qu’ils s’occupent de vos pieds : vous allez glisser vos culottes dans vos chattes en laissant juste dépasser un petit bout de tissu de vos lèvres intimes ». Je sens nettement un des hommes se masturber sur mon pied, alors que je fais rentrer ma culotte dans mon vagin, qui est tellement mouillé que j'ai peur qu'il engloutisse ma culotte ! « Je crois que Loré va prendre une douche de foutre sur son pied ! Mais rassurez vous dès qu’un de nos amis jouit il est remplacé par un autre. Je suis content de voir que, comme on me l'avait dit, ici tout se passe entre gens de bonne compagnie ! ».

    Marc finit sa phrase alors que je sens des jets poisseux et tièdes inonder mon pied. Dès que mon admirateur a fini de jouir, il prend mon pied à pleines mains et l’enduit entièrement de son foutre en insistant tout particulièrement entre les orteils, avant de le libérer et de laisser sa place à un autre ! Annie est colère ! « Oh il y a un cochon qui est en train de me pisser sur le pied, dis lui d’arrêter Ma ! ». Marc d’une voix étrangement autoritaire lui dit : « Tu préfères que je te fasse sortir pour qu’il te pisse dans la bouche ? ». « Non bien sur ! ». « Alors tais toi et joue le jeu ! ».

    Je la sens très en colère mais elle ne se plaint plus. Marc la récompense d'un maladroit : « Bien, c’est mieux comme ça : à présent, sortez vos culottes de vos chattes et passez les par la vitre. Les heureux gagnants auront un souvenir très odorant de cette belle soirée ! ». Je sors ma culotte de ma chatte, je sens la voiture bouger, visiblement il y a un affrontement dehors pour savoir qui va remporter le trophée ! Pour éviter l'émeute, Marc nous fait rentrer nos pieds et lève un maximum nos vitres. Je la glisse par l’entrebâillement de la vitre sans oser regarder le visage du gagnant, en étant sure qu’Annie fait pareil de son côté.

    Pour la première fois depuis que les voyeurs sont arrivés, j'entends deux petits coups, probablement d'alliance, contre ma vitre, je tourne la tête et je vois un homme jeune et souriant qui me montre ma culotte ! Voilà donc le gagnant de mon côté ! Mais, il veut me remercier et il enveloppe sa grosse pine dans ma petite culotte et se branle devant mon visage ! Jusqu'à ce qu'il jouisse dedans, me laissant totalement paralysée par l'obscénité de cette scène ! Je lui fais un signe d'attente et sans bien réfléchir à ce que je fais, je pose ma main sur ma chatte, me tourne vers lui et je me branle en lui indiquant de ne pas quitter mes yeux, et quelques minutes après, je jouis silencieusement pour lui et par lui en le remerciant par un grand sourire et un baiser virtuel, avant de revenir dans le monde réel !

    Je n'ai aucun commentaire sur ce qui vient de se passer ! Juste une tendre caresse d'Yves qui est derrière moi !

    Marc reprend le commandement : « Je n’aime pas les pieds sales, asseyez vous dos contre les portières et sucez vous mutuellement le pied que vous venez de rentrer, il doit ressortir de votre bouche bien propre ! ». Décidément, Marc se révèle très autoritaire. Bizarrement, j'en viens à me demander s’il ne domine pas Annie de temps en temps. Je réalise avec un peu de dégoût qu’il m’incombe de nettoyer son pied souillé par la pisse d'un inconnu. Je profite du peu d'obscurité qui nous reste pour fermer les yeux et essayer d'oublier ce qu'Annie va me rentrer dans la bouche, ce qu'elle fait presque brutalement, c'est normal sa colère n'est pas retombée ! Et je paye pour Marc ! Je me console en lui tendant plus délicatement, ce qui n'est pas non plus un cadeau ! Mon pied souillé et enduit du sperme d’un autre inconnu.

    J’ai un haut le cœur en léchant le pied malodorant d’Annie, mais je fais appel à mon excitation et à mon tempérament de soumise, pour supporter l’épreuve. Alors que la langue d’Annie glisse entre mes orteils en me chatouillant agréablement. Nous finissons de nous nettoyer mutuellement les pieds qui finissent par ne plus sentir ni l’urine ni le sperme.

    « Hum : vous les chauffez à blanc, il y en a deux qui viennent de jouir ! Faites nous sentir vos pieds, Yves et moi allons juger si vous avez bien travaillé ! ». Après un peu de gymnastique, nous tendons nos jambes vers l’arrière et nos maris peuvent constater que nos pieds sont parfaitement propres.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 8h45

    Nous nous rasseyons confortablement dans nos fauteuils. Marc me recommande : « Cherche dans la boîte à gants, Loré, il y a sûrement des pastilles au menthol, mâchez en toutes les deux ». Ils descendent tous les deux, referment les portières, nous mâchons nos pastilles sans pouvoir entendre ce qui se dit.

    Sans en être sures nous pensons que la séance va prendre une autre tournure mais Annie semble toujours aussi décontractée ce qui n’est pas mon cas : je me sens nerveuse et un peu apeurée. Annie s’en rend compte et tente de me rassurer : « Nous ne risquons rien Loré : nos hommes sont là. Rassure toi, je te sens très contactée mais le seul risque que tu prends c’est celui de jouir ! ». Je dois reconnaître qu’elle a raison et je me décontracte un peu alors que les hommes se rasseyent dans l’auto.

    « Bien les filles, vous sentez bon de la bouche ? ». Nous approuvons de la tête. « Parfait : asseyez vous bien au fond de vos fauteuils et relaxez vous, pieds par terre et cuisses serrées ». Nous nous exécutons. « Relaxez vous mieux et passez vos mains derrière le dossier de votre siège, vous verrez comme vous serez encore mieux ». Nous sentons toutes les deux le piège, mais nous n’avons pas envie de résister et nous prenons la position demandée. Yves me prend les mains dans les siennes : « Tu passes une bonne soirée ma douce ? ». « Je mentirai en répondant que non ! ». Je sens, en même temps que j’entends un bruit d’acier qui vient du côté d’Annie, une paire de menottes se refermer sur mes poignets m’interdisant tout autre mouvement que celui de mes cuisses ou de mon ventre.

    Marc éteint les lumières de devant et sort pour relever électriquement nos sièges, nous passant de la position couchée à celle d'assise. Marc revient, rallume les lumières pour éviter que les voyeurs fuient, et nous les entendons fouiller dans leur sac. Ils se penchent vers nous et posent sur chacun de nos bas ventres nus : un vibro sans télécommande que je ne connais pas, deux pinces en plastique et un plug noir qu'il me semble reconnaître. Nous nous regardons pas du tout rassurées.

    Marc nous prévient : « Rappelez vous ce qui est arrivé à Loré à la maison après son refus d’obéissance et soyez attentives, je ne me répéterai pas deux fois : si l’une d’entre vous se comporte mal ou refuse quelque chose, Yves et moi sommes d’accord pour la faire sortir nue de la voiture et la laisser vingt minutes dans les bois. Vous avez bien compris ? ».

    Nous approuvons à tour de rôle de la tête. Un ronronnement de moteur et Marc baisse complètement les vitres nous livrant nues et menottées à ces inconnus. Il leur dit : « Messieurs, je compte sur vous, vous avez cinq minutes chacun, et vous devez laissez la place à un autre. Attention, au moindre incident , je referme les vitres ». Un murmure collectif semble celer cet accord.

    J’essaye de regarder Annie mais un homme chauve et grassouillet passe son torse nu par la fenêtre et enfonce une énorme langue dans ma bouche, il déplace mes sex-toys de mon ventre vers la planche de bord et me relève les cuisses sans arrêter de m’embrasser comme une ventouse. Je le sens tâtonner autour de mon anus dans lequel il glisse sans ménagement deux doigts joints. Il bave tellement que mes seins sont trempés.

    Il se décolle de moi et me fait sentir les doigts qu'il sort de mon cul. « Tu aimes ton odeur de cul sale pute ? C’est toi qui a sucé le pied plein de pisse de l’autre gouine ? ». Je fais oui de la tête : il prend le plug et me le met dans la main : « Encule toi seule devant moi, et lève bien le cul pour que je te vois bien faire gouinasse ! ».

    Malheureuse comme les pierres mais prenant très au sérieux l’avertissement de Marc, je pose mes pieds nus sur les côtés de mon fauteuil et ouvrant mes cuisses, je m’enfonce le plug dans le cul. Il m’ouvre la bouche en me pinçant très fort les tétons avec les doigts et me crache dans la bouche : « Avale ce molard sale pouffiasse, la prochaine dose que je te donnerai c’est une ration de foutre dans ta bouche de salope ! ». J’avale avec dégout le crachat du rustre qui laisse sa place à contre cœur à un autre.

    Le nouveau est petit, il porte des lunettes et semble très intellectuel bien qu’il soit entièrement nu. Il me regarde avec un léger mépris dans les yeux et sans s'occuper du plug que j'ai dans le cul, il m'ouvre largement les cuisses, prend le vibro et me l'enfonce d'un seul coup dans le con. Satisfait, il le met en route : l’appareil ronronne en moi, me labourant l’intérieur du vagin d’un mouvement régulier. Il se penche un peu plus vers moi et m’oblige à poser les pieds sur le fauteuil de chaque côté de mes cuisses, ce qui me donne une position obscène, les cuisses largement ouvertes, le vibro sortant de quelques centimètres de mon bas ventre. Il me pelote les seins, joue à les faire sauter dans ses mains avant de les faire bouger dans tous les sens en les tenant seulement par les tétons me faisant hurler de douleur. Je sens mon genou heurter celui d’Annie, j’en conclut qu’elle aussi a les cuisses largement ouvertes, je n’ose pas la regarder mais j’entends un deuxième bruit de vibro qui ne laisse aucun doute sur ce qu’elle a dans le ventre ou dans le cul.

    L’homme à lunettes lâche enfin mes seins douloureux, il prend les pinces sur la planche de bord et me les pose juste aux bouts de chaque téton, augmentant ma douleur. Il rit de ma réaction et sort son buste de la voiture, il m’agrippe par les cheveux et me tire vers la portière : « Les seins pincés, le con rempli, il te reste à ouvrir la bouche en me souriant salope ! ». Ma tête est hors de la voiture, j’ouvre largement la bouche en esquissant un sourire forcé. Il y entre sa bite et commence à aller et venir entre mes lèvres sans me lâcher les cheveux. Je le sens très excité, son gland mouille énormément. Il va exploser dans ma bouche quand un troisième inconnu le tire en arrière et se penche vers moi.

    « C’est mon tour : fais la queue comme tout le monde ! ». L’homme à lunettes grogne mais laisse sa place : il sait que ce n’est que partie remise. Le troisième est un jeune homme souriant, assez beau gosse, je me demande même ce qu’il fait là, il ne doit pas manquer de conquêtes ! Penché sur moi il me dit : « Je trouve injuste que tu n’aies pas joui, bien que plus âgée, tu es aussi bandante que ta copine ! ». Il a entré tout son torse dans l’auto, sa main droite se pose sur le vibro qu’il sort de mon sexe pour le renfoncer et me pilonner le vagin. Sa main gauche joue avec mes seins : « Regarde moi dans les yeux, malgré ton masque je les vois bien, je veux y voir ton plaisir ». Il me branle de plus en plus vite, sortant le vibro totalement pour le rentrer brutalement d’un seul coup, d’autres fois, il le laisse longuement en contact avec mon clitoris. Quant à mes seins il alterne des pressions très fortes sur chacun de mes seins avec des étirements douloureux de chaque téton pincé. Je ne peux m‘empêcher de gémir de plus en plus fort.

    Il sourit : « Tu aimes ça, hein, belle salope ? ». Je dois faire oui de la tête. Il rit encore plus fort : « Tu vas t’envoyer en l’air pelotée par un parfait inconnu alors que ta copine est en train de sucer une belle bite, vous êtes deux vraies salopes ! ». Il pousse le vibro au fond de mon vagin et le laisse en place, de ses deux mains il se consacre uniquement à mes tétons qu’il branle avec les pinces. Il me voit me tortiller comme un vers, il sait que je vais jouir et que je ne fais rien pour me retenir. Mes cris de plaisir lui arrachent un immense sourire, il suit mon orgasme au fond de mes yeux. Lâchant mes seins, il me regarde donner de furieux coups de reins pour bien entrer au fond de moi le vibro trempé. Comme si tout d’un coup toute l’énergie de mon corps avait disparu : je m’affale dans le fauteuil alors que l’homme se redresse et sort son buste de l’habitacle en souriant et en me faisant une bise sur le front.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 9h45

    La voiture cahote sur le chemin de terre du retour. Yves et Marc nous ont enlevé menottes, vibros, plugs et autres pinces.

    Annie conduit nue. Elle suit aveuglément son GPS pour rentrer chez nous.

    Je ferme les yeux, je me sens fatiguée et sale. D’autres inconnus m’ont fait jouir deux fois, j’en ai bu deux et le dernier a préféré jouir sur mes seins en se masturbant. Je ne sais pas ce qui s’est passé pour Annie, je sais qu’elle a joui au moins deux fois mais ses petits couinements de la troisième fois n’étaient pas assez précis.

    Nos hommes nous donnent des cigarettes allumées, et tous les quatre nous fumons en silence.

    Personne n’a réellement envie de commenter ce qui vient de se passer. Mais est ce bien nécessaire ?

    Epuisée, je somnole dans l’auto ne voyant même pas le temps passer. Yves me secoue gentiment en me murmurant : « Nous sommes à la maison, réveille toi ! ». Les hommes ont du se consulter pendant le trajet, car Annie et moi descendons nues de la voiture dans laquelle nous laissons nos affaires et nous nous embrassons sur le pas de la porte, chaque couple rentrant chez lui.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 10h

    Dès notre entrée, je me dirige vers la salle de bains mais Yves m’arrête gentiment : « Non reste comme ça, tu es trop excitante, viens nous allons boire une dernière coupe de champagne ».

    Trop épuisée pour protester, je le suis dans le salon, il m’allume une cigarette et me sert une coupe de champagne. Je savoure ce moment de repos après une soirée si débridée.

    Il me regarde : « Alors ces petits jeux entre adultes ? Qu’en penses tu ? ». Je souris en lui répondant : « Crevants ! Je suis sur les genoux ! ». Yves éclate de rire : « Oui mais reconnais que tu en as bien profité ». « J’avoue que je me suis éclatée, comme d'habitude, j'ai oublié de compter mes orgasmes ! Je ne sais pas quelle image j’ai pu donner de moi mais même si je dois surement en avoir honte, je reconnais de bon cœur que j’en ai bien profité ! ». « Tu n’as donné que l’image de ce que tu es quand tu es excitée et rassure toi Annie en a montré autant que toi et sinon plus, surtout dans la voiture avec les voyeurs, je peux même dire qu'elle m'a surprise ! ».

    Cette comparaison me fait sourire. « Marc voulait que nous terminions la soirée en vous échangeant, toi dans son lit et Annie dans le mien, mais j’ai refusé en prétextant que tu étais trop fatiguée ».

    « Et en fait quelle est la vraie raison ? ». Yves rit : « S’il doit te baiser, je veux être là, peut être pour me donner bonne conscience ou peut être parce que ça m’excite terriblement de te voir entre les mains de quelqu’un d’autre que moi ! ». « Tu es un sale vicieux, je le savais, mais j’en ai la confirmation ! ». Yves éclate franchement de rire : « Curieux de me faire traiter de vicieux par ma petite femme à poil, tétons encore bandés, estomac, cul et seins pleins de sperme ! Tu as de la chance qu’il soit si tard, sinon j’ouvrirais notre petite armoire secrète et je te ferai passer un mauvais quart d’heure ! ». « Sois sur que j’en aurais très envie, mais je n’en ai pas la force ! ». « Je sais, mais je n’ai pas envie de te baiser dans la chambre ou dans le salon, tu sais ce que tu vas faire ? ».

    « Non je n’en ai aucune idée mais je fais confiance à ton imagination ! ». Il sourit : « Tu vas aller dans le jardin, côté piscine, tu te mettras à quatre pattes sur la pelouse, les cuisses bien écartées et tu attendras que je vienne te baiser : ce sera dans trente secondes ou dans cinq minutes, tout dépendra de mon envie ». Je n’ai toujours pas envie de protester et, en plus, l’idée d’être une chienne attendant la saillie m’excite terriblement. J’éteins ma cigarette, effleure ses lèvres et me dirige vers la porte en lui disant :

    « Ne tarde pas trop, tout de même, je vais avoir froid ». Le soleil a fait son apparition après sa grasse matinée, mais il est loin de réchauffer la terre entière ! Je vais donc m’abriter devant une haie et me mets à quatre pattes, en levrette, cuisses largement ouvertes.

    J’attends, luttant contre la fatigue, le sommeil et le froid. Quelques secondes plus tard, je sens plus que je n’entends Yves se rapprocher : il s’agenouille derrière moi.

    Le contact de sa peau me prouve que lui aussi est nu. Je frissonne en attendant de savoir quelle partie de mon corps, il va me toucher en premier. Mais sans aucun préambule, il pose son gland sur mon anus et me prend solidement par les hanches pour m’enculer d’un seul coup de reins me faisant gémir de douleur et de plaisir.

    Il me laboure le cul de toutes ses forces sans tenir compte de mes cris et de mes « Nooon, pas si fort tu me fais mal ». Il me glisse à l’oreille : « Tu devrais arrêter de miauler, tu vas finir par réveiller les voisins ! Et, en plus, c’est ta conduite indécente qui m’a mise la bite dans cet état, alors, assume ! ».

    Je me calme et arrête de gémir, me laissant faire. Il sort tout son sexe de mon fourreau pour le rentrer d’un coup sec dans mon anus qui commence à être plus souple et plus humide : ses coups de reins me font presque basculer vers l’avant, je sens qu’il retient son plaisir, son sexe est énorme et me remplit de plus en plus.

    Une voix retentit derrière nous : « Tu as de la chance, Yves, Annie s’est écroulée sur le lit dès que nous sommes entrés dans la maison ! Je suis sorti sur le perron pour fumer une cigarette et me calmer et j’ai entendu les miaulements de Loré, qu’on ne peut pas confondre avec un chat ! ».

    Yves rit : « Je suis sur que Loré ne va pas te laisser dans cet état ! Je finis de lui défoncer la rondelle et je te la prête ! ». Il accélère ses mouvements, il est sur le point de jouir : « Tu dois être contente de finir la nuit avec deux grosses bites dans ton petit trou de salope, n’est ce pas ma douce ? Aimes-tu ton statut à présent déclaré et officiel de salope de cette maison ? ».

    Tétanisée par la fatigue et le plaisir, je ne peux que gémir : « Oooooh nooooooon mon amour je ne suis que ta salope et ta pute dévouée que tu peux prêter à qui tu veux, mais sans ta bite, tu sais que je ne peux pas vivre ! ». Stigmatisé par cet aveu forcément sincère, il m’agrippe plus fort les hanches, se colle à mon ventre et jouit au plus profond de mes intestins avec un râle de contentement et de plaisir. Je le sens débander : je serre les fesses pour le garder dans mon anus le plus longtemps possible, mais il finit par sortir de mon cul, aussitôt remplacé par Marc qui me casse le fion avec une grande facilité. Malgré sa taille ! Je dois reconnaître que mon corps sait s'adapter à toutes les circonstances !

    Yves vient devant moi, il contemple mes nichons qui ballottent au fil du pilonnage de mon trou du cul par la pine de Marc, et s’agenouille devant moi en dirigeant ma tête vers sa pine qui est de nouveau raide comme un i, et j'ouvre grand ma bouche pour le pomper en espérant que je pourrai le boire ! « Ce soir, tu n’es qu’un trou à bites. Tu en as conscience, ma chérie ? ». Entre deux léchages de sa bite je dois lui répondre : « Oooh oui je sais que je ne suis qu’un trou à bites ».

    Je le lèche et il m'oblige à lui répéter à voix haute les obscénités qu’il me murmure à l'oreille, tout en remuant mon cul en cadence pour aider Marc à bien m’enculer.

    « Oui je dormirai sans me laver avec tout ce sperme en moi ».

    « Oui, je suis une fille facile qui aime la baise et les pines ».

    « Oui, un jour je vous obéirai à tous les deux et même à tous les trois si vous en avez envie ».

    « Oui je suis une salope qui aime être enculée, faire des pipes, boire du foutre et même de la pisse ! ».

    Marc n’en peut plus et jouit au fond de mon cul alors que j'avale jet après jet le foutre d'Yves et le lèche pour le nettoyer comme une chienne docile !

    Ils sont à peine sortis de mon cul et de ma bouche que je m’écroule sur la pelouse complètement éteinte et épuisée.

    Marc me caresse doucement les fesses et nous dit bonsoir alors qu’Yves me prend dans ses bras et m’amène dans notre chambre où il me couche me regardant m’endormir de suite sans même sentir le filet de sperme qui s’échappe de mon anus dilaté.

    Dimanche 29 janvier 2017 - 13h

    Le réveil a sonné plusieurs fois sans que nous ne l’entendions, et c’est finalement la sonnette de la maison qui nous réveille.

    En maugréant, Yves se réveille et va ouvrir : c’est son père qui lui rappelle que le repas est prêt et que Mamie ne va pas tarder à crier car son épaule d’agneau va être trop cuite.

    J'entends Yves s'excuser auprès de son Papa et lui assurer que nous serons là dans un quart d'heure, le temps d'une douche rapide et d'enfiler trois vêtements qui traînent dans la chambre !

    Mais nous arrivons tout de même en retard, tout en affirmant que l’épaule est délicieusement bien cuite ! Curieusement, nous ne buvons que de l’eau et demandons chacun de notre côté à Adrienne de quoi soigner nos maux de têtes ! Nous écoutons Jean nous raconter ses exploits de la veille, sans vraiment oser lui raconter les nôtres !

    Il est tout excité car le lendemain, il part pour une semaine en classe de neige dans les Alpes avec les copains de son école.Quant à Yves il sait qu'il part lundi en début de matinée, mais il ne se rappelle plus quand il revient ! Bref un vrai désastre !

    La seule chose concrête est que je vais pouvoir récupérer de cette soirée-week-end folle et organiser tranquillement ma semaine avec Annie qui va pouvoir concrétiser notre fameux rendez-vous marathon avec Agnès de Vichy ! Qui me fait fantasmer comme une ado !

    Bah nous verrons bien, car demain sera un autre jour !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 14h

    Nous sommes tellement épuisés qu'Yves me propose de dormir dans son ancienne chambre chez ses parents. Gentiment, ils isolent cette chambre pour ne pas que nous soyons dérangés et cinq minutes plus tard, nus comme des vers, nous dormons comme des souches !

    Dimanche 29 janvier 2017 - 20h

    Son Papa nous réveille par deux coups sur la porte et un gentil : « il est 20h, le dîner est servi ! ».

    Nous nous levons de la sieste, encore plus embués qu’en nous couchant. Son père nous regarde d’un air entendu. Le pauvre, s’il savait que notre sieste coquine s’est transformée en un écroulement sur le lit pour nous endormir de suite, ses fantasmes s’écrouleraient !

    Après les avoir remercié mille et mille fois, nous rentrons tous les trois à la maison. Sur le pas de la porte, un paquet et une énorme composition de fleurs à base de lys : Yves lit le carton accompagnant le bouquet :« Pour nos voisins si agréables et si accueillants, bises d’Annie et de Marc. PS : dans le carton les affaires oubliées dans la voiture ! ».

    Nous en rions tous les deux. Les affaires filent directement dans la machine à laver alors qu’Yves doit aider Jean à faire une rédaction intitulée bien à propos :« Quelles sont tes pensées avant de partir une semaine en classe de neige ? ». Jean nous a annoncé que la meilleure rédaction aurait un super prix, donc il a intérêt à la soigner !

    Moi, contrairement à Annie, je n'ai rien à ranger ou à laver ! J'en profite pour soigner le paquetage de Jean et la petite valise d'Yves qui a commencé à se faire une garde robe russe pour pouvoir voyager sans enregistrer de bagages et gagner du temps à la sortie de l'avions surtout au passage de la douane !

    Je mets les fleurs dans mon plus gros et beau vase et trouve le temps de rentrer sur internet où j’ai un message d’Annie :« Ma pute, Marc m’a dit que tu auras beaucoup de temps libre cette semaine, donne moi ton emploi du temps. PS : merci d’avoir fait des heures supp avec ton cul ce matin de bonne heure ».

    Je vais voir Yves dans la chambre de Jean et je lui demande s'il a ses horaires du voyage en Russie, il m'indique que les billets sont dans son attaché-case à la place habituelle des billets, et que son code est le 404.

    J'ouvre son attaché-case un peu ultra-secret, vu son métier et note ses horaires : demain lundi départ à 9h30 de Clermont, puis Paris > Moscou et mardi prochain retour mardi 7 février arrivée à 21h30 à Clermont. En repartat vers le bureau, je lui dis : « Yves tu pars demain à 10h de Clermont et tu rentres le mardi 7 février à 21h30 à Clermont, je vais donc pouvoir te déposer et te prendre, je suis contente, ça va la rédac ? » Jean affirme que oui ! Alors la vie est belle !

    Je rougis : comme d’habitude, aucune formule de politesse ni aucun au revoir et cette allusion à Marc et à mon cul prouve encore une fois cette complicité sans faille entre eux. J’en arrive à douter que Marc ne soit pas au courant de l’activité de sa femme sur le site porno de Tom !

    « Madame, je suis libre toutes les nuits de cette semaine de 18h à 8h le lendemain, tous les midi entre 11h50 et 14h30 et tout le weekend, puis qu’Yves part demain à 10h et revient le mardi 7 à 21h30. Je peux prendre sans difficulté 2 jours de RTT, et s'il le faut une demi-journée de plus. PS > Mes heures supp de ce matin furent délicieuses - Votre pute ».

    Lundi 30 janvier 2017 - 7h30

    Ma semaine démarre fort, la maison est prête de bonne heure ! A 7h15, j'ai déjà téléphoné à Eva pour lui dire que re risquais d'être en retard pour mon rendez-vous de 8h avec elle, et je lui ai indiqué l'endroit où j'avais caché son double des clés de maison qu'elle pouvait garder.

    Nous partons tous les trois et à 7h30 nous sommes au point de départ des bus pour les Alpes. Le bus de Jean est prévu pour 8h et l'organisateur nous signale qu'il sera à l'heure. L'arrivée en classe de neige est prévue pour 13h. Il est excité comme une puce et saute dans tous les sens, sur que sa rédaction qu'il vient de remettre à sa maîtresse va lui rapporter au maximum le prix Nobel et au minimum une collection de jeux pour sa nouvelle WII !

    J’ai du lui expliquer qu’il n’était pas le seul à concourir et, qu’à son âge, un Grand Prix pouvait aussi être un éclair au chocolat ! Mais, sa désillusion n’aura duré que peu de temps car, dès qu’il a revu ses copains, elle s’est envolée de même que sa Maman et son Papa dont il n’avait plus rien à faire ! Mais la vie est ainsi faite et je la connais bien !

    Nous n'avons pas attendu le départ du bus, et j'ai déposé à 8h Yves à son bureau d’où il devait partir directement avec son patron pour la Russie via Paris. J'avoue que c'est la première fois que je le laisse partir sans lui avoir fait une gâterie, mais il a bien compris qu'avec le weekend que nous avions eu, je n'étais pas très vaillante et je lui ai promis d'être encore plus salope à son retour et de remettre le bracelet qu'il aimait tant ! Ses yeux brillait quand je l'ai embrassé chastement devant son boss ! Il aura neuf jours pour écrire son scénario ! Je devrais me régaler à son retour !

    A 8h30 j'étais de retour à la maison, Eva était là, les vitres étaient ouvertes, la musique en marche, elle chantonnait et ne m'a pas entendue entrer, une bonne odeur de café flottait dans l'air, j'étais ravie ! Je ne sais pas si elle avait vraiment besoin de conseils ! Elle m'a accueillie comme une vieille amie en s'excusant, d'avoir fouillé un peu partout pour tout mettre en route, j'ai approuvé cette initiative. Nous avons bu un café, fumé ma première cigarette de la journée et elle m'a donné tous les papiers nécessaires à la rédaction de son contrat et à sa déclaration d'employée. J'ai répondu à une dizaine de ses questions, toutes très pertinentes. Nous avons réglé ses horaires et je lui ai confirmé que ses clés de maison étaient pour elle. Je lui ai annoncé que je serai seule toute la semaine jusqu'à mardi prochain, et que si elle le voulait nous pourrions déjeuner deux ou trois fois dans la semaine, et de toutes les manière, nous voir le matin vers les 8h30 pour le moment, à voir comment nous allions articuler le nombre d'heures prévues.

    Sur ce, je l'ai laissée, elle avait décidé un grand nettoyage d'hiver ! Je n'ai pas jugé bon de la contredire ! Et je suis revenu sur mes pas pour lui dire que dans la boite à sucre du deuxième placard de la cuisine, il y avait notre boîte aux lettres ! Mille euros en monnaie pour tous les achats de produits pour la maison ou pour payer la Poste ou autre chose, et bien sur, si nos emplois du temps ne coïncidaient pas bien, laisser des petits messages pour l'autre, elle a sourit en me gratifiant d'un : « Je vois que tu ne laisses pas grand chose au hasard ». Je me sauve en lui disant « Tout au moins j'essaye ! Allez je serai là vers midi bon courage ! ».

    Lundi 30 janvier 2017 - 9h

    Finalement je ne suis pas en retard, et je suis la première : Sophie et le boss ne sont pas encore là. Contrairement à mes habitudes, je ne peux attendre pour consulter mes messages persos et j’enfreins ma règle de ne pas me connecter du bureau.

    Mais pour prendre plus de précaution, je me connecte sur le WIFI de mon portable. J’ai en effet un message d’Annie : « Ma pute, viens me voir ce soir à 18h, j’ai un paquet à te donner, puis tu seras libre. Mardi tu passeras la nuit avec moi. Mercredi et jeudi tu es libre. Et tu passeras le weekend avec moi. Interdiction de te faire jouir seule sauf appel préalable pour demander l'autorisation ».

    De peur d’oublier un des rendez vous, je note tout sur mon calepin. Je me demande quel paquet elle a à me remettre et quelles sont ses intentions pour la nuit et le weekend qu’elle me demande de passer avec elle.

    Lundi 30 janvier 2017 - 12h

    En arrivant, j'ai la grande joie de m'entendre dire par Eva qu'elle a préparé un petit repas rapide pour nous deux ! En terminant, je lui dis simplement : « Si c'est pour toi un petit repas rapide pour le midi, je vais rajouter cordon bleu sur ta fiche de paye ! Majordome cordon bleu ! Ca ronfle comme titre ! » Il fait très beau et nous en profitons pour boire le café et fumer une cigarette au bord de la piscine, sans toutefois avoir envie de nous baigner ! Brrrrrrr !

    Je retourne au bureau et j'en repars vers 17h30.

    Lundi 30 janvier 2017 - 17h45

    Je passe par la maison pour me changer et me débarrasser de mes bijoux, aux cas où, Madame serait là ! Et je fais un tour de la maison, Eva est fantastique, elle a nettoyé à fond tout l'étage et le salon et épuisé deux grands corbeilles de repassage ! Il faut que je lui dise de ne pas trop bosser ! Elle va m'épuiser !

    Mais ce bon choix me donne le sourire, et je vais à mon rendez-vous avec un grand sourire.

    Lundi 30 janvier 2017 - 18h

    Je frappe à la porte de Marc et Annie. C’est Marc qui m’ouvre : « Ah bonsoir Loré, c’est gentil de passer nous voir, entre, Annie est au bureau je vais lui dire que tu es là : tu veux boire quelque chose ? ».

    Je souris : « Oui si tu as un jus de quelque chose, avec plaisir, mais surtout pas d’alcool ! ». Il éclate de rire : « Tu es comme nous : au régime sec depuis dimanche midi ! Et Yves et Jean ? Ils sont bien partis ? ». « Oui mes hommes sont bien partis ce matin et tout s’est bien passé, ils sont bien arrivés aux Arcs et à Moscou et ils se gèlent tous les deux ! ».

    Annie qui a entendu notre conversation se joint à nous et m’embrasse sur les deux joues : « Bonsoir ma chérie, merci d’être passée ! ». « Normal, tu sais bien que cette semaine je suis tranquille ! ».

    « Tu as de la chance, ce n’est pas comme moi : nous sortons ce soir, demain, j’ai une soirée entre filles qui risque de s’éterniser, mercredi et jeudi, Marc est obligée de me montrer dans des repas d’affaires dont je me passerais bien, heureusement que le weekend sera plus calme ! ».

    La fine mouche a réussi à me donner tout son emploi du temps de la semaine comme pour me signifier que tout était clairement préparé et arrangé avec Marc. Pendant que nous papotons, Marc revient avec du jus d’orange. Nous buvons et fumons en parlant de choses et d’autres sans évoquer un seul instant notre soirée mouvementée de samedi.

    « Bon, je vais vous laisser, je ne veux pas vous retarder ». « Oui tu as raison, il faut que je finisse de me préparer. Je te raccompagne, j’ai un petit paquet pour toi ! ». Je les embrasse, Annie me reconduit à la porte en me remettant un paquet gros comme un livre mais assez léger. Et je rentre chez moi.

    Lundi 30 janvier 2017 - 18h20

    Arrivée à la maison je n’ai qu’une hâte : ouvrir le paquet.Je prends tout de même le temps de me déchausser, de me servir un verre de Saint Yorre et d’allumer une cigarette. Le paquet est bien ficelé et scotché, visiblement il n’a pas été ouvert, je dois utiliser des ciseaux pour l’ouvrir : il s’éventre déversant sur la table du salon des liasses de billets de 100 dollars neufs : je n’ai jamais vu autant d’argent de ma vie !

    N’en croyant pas mes yeux, je compte 10 billets par liasse et 20 liasses en tout. J’ai du mal à réaliser que ça représente 20.000 dollars ! Mon premier réflexe est de me lever pour appeler Annie et lui dire que c’est beaucoup trop, mais en soulevant la dernière liasse je découvre un petit bristol sur lequel est écrit à la main : « Pour la pute d’Annie dans l’attente de la sauter : Tom ».

    J’ai la conformation que se sont mes droits d’auteur sur les clips mis en ligne. Je me liquéfie dans un mélange de fierté et de honte, ayant l’impression que j’ai perdu tout repère.

    Je décide d’appeler tout de même Annie. Ils sont encore là et c’est elle qui répond : « Oh Madame, c’est beaucoup trop, sans vous je n’aurais jamais pu gagner autant d’argent, je tiens encore une fois à vous en donner la moitié ! ».

    La réponse d’Annie est très sèche : « Je vais être claire avec toi Loré, si tu me redis une seule fois cette phrase, je romps définitivement toute relation avec toi, suis-je claire ? Maintenant je dois te laisser, nous nous voyons demain mardi à 18h ». Et elle raccroche.

    Après avoir réfléchi, je vais dans la cuisine et prends six sacs poubelles bien étanches, j’emballe soigneusement cette fortune en trois paquets et les scotche, puis je descends à la cave et trouve facilement un endroit où personne n’ira jamais chercher un trésor !

    Je remonte en me disant que je devrai en parler à Yves tôt ou tard, je ne me vois pas lui mentir indéfiniment, mais Dieu que cet aveu va me coûter.

    C’est sur cette sage décision que je vais au lit pour finir de récupérer mes heures de sommeil en retard non sans avoir envoyé un dernier message à Annie : « Merci Madame, à demain 18h, votre pute soumise ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 8h00

    Je me réveille, bien reposée après cette très longue nuit de récupération. Curieusement il me semble entendre du bruit dans la maison, je me lève et pieds nus avec un tee-shirt XXL sans rien dessous, je vais dans la cuisine et j'y trouve Eva, en pleine forme, qui nous a préparé un super petit déjeuner ! « Elle me saute au cou et me fait deux grosses bises en me souhaitant joyeux mardi ! Loré ! ». Je m'assieds, je me sers une tasse de café en bois la moitié et je lui dis : « Reprenons calmement ! Qu'a-t-il de spécial ce mardi ? » Elle éclate de rire et me répond : « Il n'y a rien, c'est simplement un joli mardi qui commence ! ». Je suis un peu abasourdie de tant de joie de vivre et elle me met de bonne humeur pour toute la journée !

    Je lui conseille tout de même de ne pas se tuer au travail, et lui explique que connaissant bien ma maison, j'ai vu le travail qu'elle avait abattu en une journée ! Et que je ne voulais pas qu'elle s'impose ce rythme !

    Avant de partir au bureau je vérifie mes mails, il y en a un d'Annie : « Putain Loré, je t’ai donné deux rendez vous pour cette semaine : cette nuit et ce weekend, mais Agnès m’a prévenue qu’elle avait un empêchement pour cette fin de semaine, il te faut donc appeler ton bureau pour leur signaler que demain mercredi et jeudi matin tu ne pourras pas venir. Je confirme de suite notre présence à Agnès de ce soir 19h à jeudi 13h. A toi de trouver une excuse. Garde ta liberté pour le weekend, tu en auras besoin ! ».

    Je suis un peu contrariée, car mon travail compte beaucoup dans ma vie, mais je sais que je n’ai pas le choix : j’appelle donc de suite mon bureau, je sais qu’à cette heure là il n'y a que mon boss. « Bonjour Boss, c’est Loré ». « Non, rassurez-vous rien de grave ! Mais je suis avec le Docteur Bordier, qui vous salue, mais qui me trouve une très mauvaise tension et me conseille de prendre une ou deux journées journée de repos et me fait une petite ordonnance pour me remettre de suite sur pied ». « Pas de souci, Loré, mercredi et jeudi ne sont pas chargés, et vous êtes à jour comme d'habitude. Sophie peut assurer le quotidien et si elle a un souci, elle a votre portable ». « Je vous remercie de votre compréhension, boss, je suis au bureau dans moins d'une demi-heure ! ».

    J'envoie de suite un mail à Annie : « Madame, je suis libre de ce soir 17h40 jusqu'à vendredi 9h du matin - A ce soir 18h - Votre pute ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 17h20

    J’ai du mal à me concentrer au bureau toute la journée mais je résiste à la tentation de lire mes messages. Car je dois prévoir mon absence du mercredi et du jeudi et ne pas prendre de retard. En plus mon boss me retient tard au bureau pour régler tous les détails avec moi. Heureusement que je n'ai pas fait de pause à midi, j'ai gagné deux heures de travail tranquille.

    J'arrive enfin chez moi à 17h20. Je vais directement au bureau et j'ouvre ma messagerie : j'ai un message d'Annie : « Retrouve moi à 18h sur le parking du Motel, attention à tes bijoux et à tes sous-vêtements, souliers plats, jupe courte, chemisier transparent et boules dans ton con, télécommande à me remettre ». J'ai 40 minutes pour tout faire : je me douche rapidement, enfile une jupe courte, un chemisier transparent et décolleté, j'ouvre mon armoire pour en extraire les boules de geisha vibrantes que je glisse dans mon vagin chaud et humide, j’enlève mes bijoux et je mets le collier avec l’alliance. Je prépare mon sac avec mon portable, deux paquets de cigarettes, un peu de liquide, ma Visa et un paquet de kleenex. Je décide de prendre le 4x4 d’Yves pour me faire plaisir et à 18h pile je me gare sur le parking du Motel, en soupirant de soulagement : je suis la première et très contente de conduire pour la première fois cette BMW X-3 superbe qui me change radicalement de la mienne !

    Quelques instants plus tard, la Fiesta d’Annie entre sur le parking, elle se gare et monte à côté de moi : « Tu as bien fait de prendre la BMW d’Yves, on sera mieux ! Vas y, direction Vichy ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 18h

    Je démarre, règle mon GPS et elle allume une cigarette sans m'en donner. Elle me pelote discrètement : le collier-alliance est bien là, ma chatte est bien nue et mouillée, le petit manche des boules dépasse bien de mon con, et quand elle le vérifie, j'ouvre mon sac et je lui donne la télécommande, et elle les met de suite en route à une vitesse raisonnable. Mes seins sont bien libres sous mon chemisier. Elle ne dit rien, le seul bruit dans la voiture est celui des boules qui ronronnent dans mon vagin.

    Je respecte son silence et conduit sans rien dire. Elle allume une deuxième cigarette, et une pour moi. Je la remercie. Elle me dit : « Je t'avais demandé de te libérer du mardi 18h au jeudi 9h et tu t'es libérée du mardi 18h au vendredi 9h, je n'aime pas trop que tu prennes ce genre de liberté avec moi, que s'est-il passé putain ? ». « Je n'ai pas pu prendre une journée et demi de repos, il m'a fallu prendre deux jours entiers, j'en suis désolée, Madame, mais si vous voulez interrompre le rendez-vous chez Agnès le jeudi matin, ça ne pose aucun problème, je travaillerai de chez moi. ». « Soit, mais arrange toi pour ne pas recommencer ce genre de fantaisie ».

    Elle prend son téléphone et envoie un mail qu'elle me lit à haute voix : « Nous serons chez toi, vers 19h, libres en définitive, jusqu’au vendredi matin 8h, bises, Annie ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 19h

    Je roule doucement pour ne prendre aucun risque avec cette voiture que je ne connais pas et, finalement je me gare quelques minutes avant 19h devant la maison d’Agnès. Nous descendons, Annie sonne et Agnès nous ouvre la porte du jardin. Ce soir, il fait plus frais, et nous supportons nos manteaux. Agnès nous ouvre la porte de sa maison et accueille chaleureusement Annie en l’embrassant, sans se préoccuper de moi.

    Elle nous fait entrer dans son salon où un beau feu crépite dans sa cheminée avec insert. Elle propose une boisson à Annie qui lui réclame juste un verre d'eau. Elle me fait un signe de tête pour me désigner la cuisine, et j'en reviens avec un verre d'eau que je donne à Annie.

    « Putain, enlève ta jupe, ouvre ton chemisier entièrement, quitte ces sandales grotesques et mets toi à genoux mains croisées sur la tête le plus près possible de la cheminée, tu vas chauffer tes nichons de salope ! ».

    Je m'exécute, encore furieuse de tant bander des tétons et je m’agenouille face au feu, les mains sur la tête. J'entends derrière moi des bruits de verre et de glaçons. Peu de temps après, Agnès me dit :

    « Tu es servie putain, tu peux nous rejoindre mais reste à genoux ». Je me rapproche de la table, elle me tend un verre qui ressemble à du champagne en me disant : « Annie m'a fait part de tes tabous, mais il y en a un que tu n’as pas cité, et je me suis demandé si c'était un oubli ou si c'était volontaire ? Si je vois une seule grimace sur ton visage quand tu savoureras la boisson qui sera la tienne en ma présence, je te garantis que je te supprime immédiatement un de tes tabous, suis je claire ? ». « Oui Agnès, très claire ».

    Elle rit : « Alors trinquons à notre weekend de milieu de semaine ! ». Nous trinquons et j’ai à peine porté la coupe à mes lèvres que je sens l’odeur forte de l’urine. « Elle est toute fraîche putain, j’ai pissé juste avant que vous n’arriviez, j’ai pensé que ça te ferait plaisir ! ». J’en bois une gorgée, essayant de ne pas grimacer tout en disant : « Oh oui Agnès, j'aime vos odeurs et vos sécrétions, elles contribuent à m'exciter, tout comme vos goûts ». Elles éclatent de rire en me regardant m’humilier en buvant à petites gorgées toute la coupe de pisse tiède.

    Mon verre fini, Agnès m’oblige à retourner devant le feu, j’ai du mal à retenir un vomissement et j’essaye de me concentrer sur leur dialogue.

    « Comme tu me l’as conseillé, je l’ai inscrite sur un site de rencontre qui fonctionne bien sur Vichy, l’avantage c’est qu’elle est loin de chez elle et qu’elle ne risque pas de mauvaise rencontre ».

    « C’est une excellente idée, tu as pu exploiter les photos que je t’ai envoyées ? ». « Oui, j’en ai mis trois : une du visage et deux où elle est en maillot de bains ». « Tu n’as pas utilisé celles où elle est à poil ? ». « Non s’ils veulent en voir plus ils demanderont une visio ! ».

    « Bien raisonné, et tu as eu des rendez vous ? ». « Je t'attendais pour me connecter, tu veux qu’on y aille ? ». « A moins que tu n'aies une autre idée, ce serait bien de lui organiser ces deux jours de congé ! ». « Viens devant l’ordinateur on va mettre ensemble sa fiche à jour et tu pourras surement constater que la fiche incomplète que j'ai publiée a déjà produit des résultats, mais avec la nouvelle, nous allons booster la demande ! ».

    L'ordinateur bénéficie d'un petit bureau ou tout est intégré. Il est dans un coin du vivoir et il dispose de deux fauteuils et de deux écrans jumelés, visiblement ce doit être un gros outil de travail ou de contacts pour Agnès !

    Mardi 31 janvier 2017 - 19h30

    N'ayant probablement pas le droit de les suivre du regard, je reste les yeux fixés sur le feu de cheminée. Je sens ma température corporelle augmenter, mais pour l'instant, c'est plutôt agréable. Je les entends se lever, se déplacer, les fauteuils couinent un peu comme tous les fauteuils à roulettes du monde ! Et la musique de l'ouverture de Windows retentit dans le silence du vivoir.

    J'en profite pour avoir une pensée émue pour le créateur de cette musique en lui souhaitant qu'il touche 0,01€ à chaque passage de sa musique !

    Gentiment elles parlent à voix haute, oh pas pour me faire plaisir, mais assurément pour que je les entende bien.

    « On va commencer par le questionnaire de sa fiche :

    Qu. 1 > Plan baise, amitié ou rencontre ? (…) Plan baise

    Qu. 2 > Jour et fourchette horaire ? (…) Ce mardi de 21h à 24h

    Qu. 2 > Jour et fourchette horaire ? (…) Ce mercredi de 19h à 24h

    Qu. 3 > Particularité des rencontres ? (...) Sexe pur mais Bdsm accepté

    Qu. 4 > Qui ? (…) Femmes > 2 maxi, Hommes > 2 maxi, Couple > 1

    Qu. 5 > Age ? (…) Sans importance

    Qu. 6 > Professionnelle ou occasionnelle ? (…) Occasionnelle

    Qu. 7 > Type de relation ? (…) Rencontre auto

    Qu. 8 > Tarifs ? (…) Le quart d'heure > bdsm 40€ > sexe à poil 25€

    Qu. 9 > Tabous ? (…) Si sexe > aucun

    Qu. 9 > Tabous ? (…) Si bdsm > ni sang, ni traces, ni caca, ni mineurs

    > photos > lieu de rencontre > voiture > accompagnatrices > Contact > lorenavichy@hotmail.com

    « Bien, elle est en ligne, il faut se connecter sur Messenger et attendre les réponses ! ». Annie la questionne : « Comment veux-tu l’habiller ? ». « J’avais pensé nue sous un imper, talons hauts nus pieds, un serre-seins bien serré en cuir, un plug anal, un collier de chienne avec une plaque esclave et les boules de geisha qu’elle porte ».

    « Pas mal, tu peux lui rajouter des bracelets de cuir aux chevilles et aux poignets ? ». Agnès approuve : « Avec des clips en fer si les clients veulent l’attacher, c’est une excellente idée, si tu es d’accord, tu restes devant l’ordinateur et moi je vais la préparer, entendu ? ».

    Agnès se rapproche de moi, me relève en me tirant par les cheveux et me dirige quasiment nue vers la salle de bains. Elle ouvre une petite armoire et me recommande d'y jeter un coup d’œil. J’y découvre des menottes, des chaînettes, des cadenas, des colliers en cuir et en chaîne, des bracelets de cuir, des cordelettes, des pinces, des poids, ainsi que des godes, des vibros, des plugs, des boules de geisha et des bougies de différentes tailles. Un vrai arsenal de dominatrice. « Sais tu, putain, que je n’ai rien acheté de tout ça ? Ce sont toutes les soumises à qui j’ai fait plaisir depuis plus de dix ans qui m’ont tout offert, je suis très fière de ma collection et de leur gratitude ! ».

    Sans attendre de réponse, elle me dit d'enlever mon chemisier et elle me choisit un plug de bonne taille mais court et trapu : « Allez mets toi ça dans le cul ! ». Docilement, je pose un pied sur le bidet et, ainsi ouverte, je le glisse dans mon anus. Elle vérifie qu’il est bien en place et qu'il ne peut pas glisser et elle me demande de lui montrer les boules de mon vagin. Je les sors, elles sont trempées : elle les juge trop petites ». Elle en choisit d’autres dans l’armoire : « Tiens mets celles là, tu les sentiras beaucoup plus ! ».

    Les trois nouvelles boules sont tellement grosses que j’ai du mal à les entrer dans mon vagin, qui est pourtant dégoulinant de mouille. Elle sourit en me voyant forcer et me tortiller pour les enfoncer. Quand elles sont enfin en moi, elle me tend quatre bracelets de cuir : « Met toi ça aux poignets et aux chevilles, et serre les bien ». Je ferme ceux de mes poignets, avant de me pencher pour les chevilles. Chaque bracelet a deux anneaux en fer, elle me donne huit clips que je pose sur chacun des anneaux.

    Elle me montre le collier de cuir de cou assorti avec une plaque métallique gravé du mot esclave. Elle me le pose elle même et en profite pour le serrer un peu trop, et y mettre quatre clips, mais je ne me plains pas. Elle termine en m’aidant à enfiler un soutien-seins en cuir, elle serre elle même chaque sein à leur base, suffisamment pour les faire gonfler de suite comme des petits ballons. Elle se recule et me contemple, visiblement satisfaite.

    Elle m’entraîne dans sa chambre pour choisir de très beaux escarpins à lanières de cuir à talons très hauts qui laissent mes orteils nus. Puis elle me peigne gentiment, me maquille un peu les lèvres, avant de s’asseoir sur le lit pour écrire sur mon bas ventre et au bas de mes reins avec le bâton de rouge à lèvres, des mots que je ne peux pas déchiffrer.

    Bien que très intriguée, je n’ose rien lui demander. Elle s'arrête dans le couloir qui mène au salon et décroche d'une patère un imperméable beige que j'enfile sur mon corps nu avant d'être poussée vers Annie :

    « Voilà notre putain est prête, tu as eu de bons contacts ? ». « J’en ai eu presque cinquante et j’ai du faire un tri sévère, mais j’en ai gardé trois qui semblent intéressants ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 20h

    Annie me demande d'enlever mon imper et me contemple, elle aussi semble contente de mon look, elle sourit en lisant les inscriptions sans que je ne puisse deviner ce qu'elles disent ! Elle me fait asseoir sur un des fauteuils devant le clavier. Je constate que j’ai trois fenêtres d’agrément ouvertes en haut à gauche de mon écran. A sa demande, j’agrée le premier qui me demande immédiatement en dialogue :

    « Tu es Loréna ? » « Oui ».

    « Ton annonce est sérieuse ou tu es une fantasmeuse ? » « Elle est très sérieuse ».

    « Tes copines matent, on peut donc faire ça en roulant ? » « Oui tout à fait ».

    « Tu avales après avoir sucé ? » « Oui ».

    « Tu baises aussi ? » « Oui avec un préservatif ».

    « Et tu te mets à poil ? » « Oui ».

    « Comment être sur que tu es bien la fille de la photo ? » « Acceptez une connexion cam ». « Ok ».

    Mon visage s’affiche sur l’écran mais mon sourire est un peu crispé, Agnès me pince cruellement la cuisse en me murmurant de sourire franchement, ce que je fais à contre cœur.

    « Tu peux te montrer un peu plus ? ». Agnès m'ordonne de me lever, elle dirige un halogène sur moi, je me recule, pour bien m'offrir, alors qu'elle promène vicieusement la web-cam sur moi en insistant sur mon visage, mes seins et bien sur mon con et mon cul nus.

    « Tu es bandante, tu garderas ce soutien gorge pour la rencontre ? » « Oui ».

    « Je peux te rencontrer à 20h30 dis moi où ? » « Sur le parking de Baobab. Je serai dans une X3 BMW immatriculée 63. Ca te va ? » « Oui, très bien ».

    « Tu m’accordes combien de temps ? ». Agnès me murmure le tarif à mon oreille : « Ca dépend de vous je demande 25€ le quart d’heure pour du sexe et 40€ pour du bdsm » « Ok je te retiens pour une demie-heure ! »

    « Oui, comment vous appelez vous ? ».« Sam, tu veux me voir aussi en cam ? ».

    Agnès me fait non de la tête. « Non ce n’est pas la peine, à tout à l’heure Sam je coupe » « Bien à tout à l’heure ». Agnès me caresse les cheveux en me disant : « Bravo putain, je suis fière de toi. Allez agrée le deuxième, tu n'es libre qu'à 21h ne l’oublie pas ».

    J’agrée le deuxième :

    « Bonjour, je suis Henri, c’est toi la pute ? » « Oui c’est moi ».

    « Ouvre ta cam que je te vois ! ». J’ouvre une session cam et apparaît souriante gorge nue. « Ok c’est bien toi, je peux te rencontrer à 20h30 ».

    « Je ne suis libre qu’à 21h et c’est 25€ le quart d’heure pour du sexe et 40€ pour du bdsm ». « Entendu 21h, un quart d’heure me suffiront. Où est le rendez-vous ? »

    « Parking Baobab une X3 immatriculée 63 » « Ok Ciao putain à tout de suite ».

    Agnès constate : « Eh bien il est pressé celui là ! Allez le troisième pour 21h15 et si on peut on en prendra un quatrième ! ». Je la regarde d’un air désespéré en agréant le troisième contact.

    « Bonjour vous êtes Loréna ? » « Oui c’est moi ».

    « Vous êtes très belle en photo ! » « C’est gentil ! ».

    « C’est sincère je vous assure et c’est aussi l’avis de ma femme » « Ah vous êtes un couple ? ».

    « Oui, ça vous contrarie ? » « Non pas du tout ».

    « Alors vous devez finir vos fins de mois comme ça ? » « Oui, je n’ai pas beaucoup d’autre choix ! ».

    « Nous vous comprenons ! Nous pouvons nous voir à 20h30 ? » « Désolée, je ne peux pas vous prendre avant 21h15, si ça vous va ».

    « Ah bon vous avez déjà des clients avant nous ? » « Oui en effet » « Vous prenez 25€, c’est ça ? »

    « Oui pour un quart d’heure de sexe et 40€ pour du bdsm » « Ah, je n'avais pas vu cette option, ça va nous intéresser, donc ça ferait 160€ pour une heure d'obéissance, si je calcule bien ? »

    « Tout à fait » « Si vous accédez à notre demande, nous pouvons même vous donner 200€ pour la même durée »

    « Tout dépend de votre demande » « Nous avons un bateau sur l’Allier, vous pouvez nous y rejoindre, vous et vos deux amies ? »

    « Mes deux amies ne participent pas » « Oui votre fiche est claire : elles se contentent de regarder »

    « C’est ça, mais il faut que je leur demande » « Allez y, prenez votre temps ».

    Je me retourne vers Annie et Agnès, elles se sont déjà concertées et me disent d'approuver en hochant leurs têtes.

    « Entendu, elles sont d’accord ».« Je peux me permettre une question indiscrète ? »

    « Je vous écoute ». « Seriez vous soumise à vos deux amies ? ».

    Je questionne les deux femmes du regard. Annie répond doucement : « Dis lui que tu es très soumise, très pute et bien éduquée ».

    Je donne cette réponse à mon interlocuteur. « Eh bien nous allons passer un bon moment, vous êtes le genre de fille que ma femme et moi recherchons : et aimons rencontrer régulièrement. Notez bien notre adresse : Port des Thermes, troisième ponton, numéro 28, nous vous attendons à 21h15, vous et vos amies ». « Entendu, Monsieur ». « A tout à l’heure ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 20h20

    Trempée par ces conversations, je coupe et Agnès prend ma place. En vraie pro d’internet, elle entre sur le site, rectifie ma fiche et me positionne comme absente sur Hotmail.

    Elle semble contente et dit : « Il est 20h20, le lieu de rendez vous est à cinq minutes nous partons de suite ». Elles enfilent leurs manteaux, moi mon imperméable et nous la suivons. Elle ferme la porte de son jardin et se met au volant de mon auto. Comme Annie, elle porte un jean et un pull à col roulé mais je n’ai pas vu ses chaussures. Elle démarre en me disant : « Ca va le plug et les boules te font du bien ? Tu dois être bien trempée ! Tes clients vont apprécier ».

    Elle conduit en silence et sans radio, Annie fume à côté d’elle sans rien dire et moi je suis assise derrière contractée et anxieuse comme de coutume avant de faire quelque chose de nouveau avec des inconnus.

    Cinq minutes après, nous arrivons sur le parking désert de la jardinerie. Agnès choisit de se garer dans un endroit peu éclairé. Une minute plus tard, une voiture se rapproche de la nôtre, un homme nous regarde puis s‘éloigne. Agnès réagit : « Fausse alerte, putain, enlève tes boules de ton vagin et donne les à Annie, pour le moment tu es assez excitée comme ça ».

    Je m’exécute alors que la voiture revient, le conducteur stoppe au niveau de la fenêtre d’Agnès, il ouvre sa fenêtre et elle en fait autant : « C’est la voiture de Loréna ? Je suis Sam ». « Oui, c’est bien ça gare toi et monte derrière avec elle, nous allons dans un endroit ou vous serez plus tranquilles ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 20h30

    L’homme se gare et sort de son auto. Il semble avoir la trentaine et est en tenue décontractée, joggings aux pieds. Il est un peu enrobé mais le tout est relativement sympathique.

    Je respire un grand coup : je suis horriblement mal à l’aise et contractée. Il entre par la portière de droite. Agnès le salue et dit : « Sam je te présente Loréna, amuse toi bien, tu as trente minutes comme convenu, tu as choisi le sexe ou le bdsm ? ». « Le sexe, Madame ». « Bien, donne tes 50€ à Loréna, nous ne sommes pas ses maquerelles ».

    Il me donne un billet de 50€ que je mets dans la poche de mon imper et Agnès démarre. Sam ne perd pas de temps, il sait qu’avec les vitres teintées personne ne peut nous voir : il m’ordonne de me coucher sur la banquette et de mettre mes pieds sur ses genoux. Je m’exécute le ventre noué. « Hum jolies chaussures mais je ne suis pas fétichiste ». Il me les ôte et les jette sous le siège. « Ouvre ton imper que je vois la marchandise ». Mes mains tremblent, j’ai cinq boutons à défaire et j’écarte lentement les pans de mon manteau. « Hum, à poil sous ton manteau. Tu es une chaudasse toi. Tu as vite fait de te dessaper. Je bande depuis tout à l’heure pour ton soutien-gorge qui te fait des nichons comme des ballons ! ».

    Il se penche un peu vers moi : « Dis moi comment ça marche ? ». Je suis tellement émue que c’est Agnès qui doit répondre tout en conduisant : « La base des nichons est serrée par deux petites ceintures de cuir qui se règlent au diamètre voulu ». Il me fait relever un peu la tête et approcher ma poitrine il a visiblement envie de tester le jouet. Il défait le sein gauche de sa position et le ferme sur la position la plus douce, le sein se dégonfle d’un seul coup comme s’il respirait. Il fait pareil à l’autre sein en expliquant : « J’aime bien les nichons qu’on peut pétrir avec des bouts qui bandent. Tu dois être très maso pour porter des trucs comme ça ! ».

    Il rit et me gifle violemment les seins : un aller retour de sa main droite qui claque dans le silence de la voiture. J’essaye de ne pas trop bouger. En se relevant il dit : « Ah mais je n’avais pas vu ça ! Qu’est ce que tu as écrit sur to, bide ? ». Il lit : « Je suis une putain bon marché » suivi d’une flèche qui semble inviter à continuer la lecture dans le dos. « Enlève ton imper, putain, et montre moi ton cul ». Un peu d’acrobatie et je me tourne pour qu'il puisse continuer sa lecture : « Pour 25€ je fais ce que vous voulez sauf » et une flèche descend vers le trou du cul. « Tu es un vrai catalogue vivant toi. Je comprends pourquoi tu ne peux rien prendre dans le cul ! Il est déjà bien encombré ! J’ai rarement rencontré une salope comme toi ! Je vais me régaler ».

    Agnès annonce que nous sommes arrivés dans un endroit sans risque. Comme Annie l’a fait avec son miroir de courtoisie, elle règle le rétroviseur pour mieux voir ce qui se passe sur la banquette arrière, visiblement elles ont décidé de se faire discrètes.

    « Mets toi sur le dos putain et branle ta chatte de salope pendant que je me dessape ». Sans me quitter des yeux il se dévêt des pieds à la tête en gardant ses chaussettes ce qui me fait sourire intérieurement. Par contre son sexe ne me fait pas rire : il est très long et très gros et je pense qu’il n’est pas encore en complète érection.

    « Allez en levrette maintenant et viens sucer mon bâton, et n’arrête pas de te branler je veux t’entendre gémir ». Je me mets en position mais à peine ai je posé mes lèvres sur son sexe, qu’il appuie sur ma tête, pour le faire rentrer dans ma bouche jusqu'au fond de ma gorge. J’ai une nausée quand il le cogne, mais je me retiens : ce n’est pas le moment de vomir.

    Rageusement il me prend des pleines poignées de cheveux et fait coulisser lui même son sexe dans ma bouche, m’utilisant comme une poupée gonflable. Il s'excite de plus en plus tout seul et je le sens encore grossir dans ma bouche il hurle : « Sale putain, tu ne mouilles pas encore assez ? Fais moi entendre le bruit que tes doigts font dans ton con dégoulinant de tes jus de putain ! ».

    Je suis tellement trempée qu’il me suffit de me gifler doucement la chatte ouverte de trois doigts pour lui faire entendre le bruit qui semble tellement l’exciter. « Salope, je ne sais pas pourquoi tu voles de l’argent à tes clients, en fait tu fais ça pour le plaisir. Je n’ai jamais vu une pute aussi mouillée que toi. Tu es vraiment la lie des putains ». Il semble furieux pour de bon, il ressort son sexe de ma bouche et commence à me taper le visage avec : les joues, les oreilles, il essaye de l’enfoncer dans mes yeux et mouille mes narines, et finit par le renfoncer brutalement dans ma bouche.

    Je sens quelque chose passer au dessus de ma tête sans pouvoir savoir ce que c’est, mais très vite Sam éclaire ma lanterne : « Sympa ta copine comme je pensais me faire sucer je n’avais pas apporté de préservatif et elle en m’en donne un ! Tiens mets le moi sur la queue ». Je ne suis pas vraiment une experte mais peu de temps après il est bien encapuchonné et toujours aussi dur. Il me pousse vers la portière et s’installe au milieu de la banquette cuisses largement ouvertes et sexe bien droit collé au ventre. « Allez viens t’asseoir sur ma bite belle salope, tu vas t’envoyer en l’air pour le même prix, tourne moi le dos et empale toi sur moi, vite ».

    Je l’enjambe et je baisse les fesses. Je prends son sexe dans ma main droite et le guide vers mes lèvres trempées. Quand je sens qu’il est bien en place, je me laisse tomber poussant un grand cri quand le sexe butte au fond de mon vagin. « Dis moi, putain, tu as déjà été remplie comme ça dans ta vie ». Je fais non de la tête.

    « Quitte ton soutif ! Je veux que tes nichons ballottent quand je te ferai sauter au plafond ». Il me dégrafe et je l’enlève, il en profite pour me prendre les seins par en dessous et les faire sauter le plus haut possible. « Appuie toi sur mes cuisses pour m’aider ». Lui, de son côté, empoigne les dossiers des deux sièges avant. Et il commence à me défoncer en me faisant sauter à chaque mouvement. Il a les muscles des cuisses très puissants, je semble être un poids plume pour lui.

    Agnès et Annie ne ratent rien du spectacle : elles voient mes tétons boursouflés de désir et entendent les bruits obscènes de la bite entrer et sortir de mon vagin trempé. Elles me regardent sauter en l’air, comme une poupée indécente, au rythme des puissants coups de reins de Sam. « Eh les copines vous ne voulez pas lui griller les nichons avec l’allume cigares ? Ce serait rigolo non ? ». Elles ne répondent rien, le laissant délirer.

    Agnès en riant me dit : « Demande à Sam si sa putain lui convient ». Je dois me racler la gorge pour parler : « Ooooh Sam ! Dites moi si votre putain fait bien son travail ? ». Sam accélère ses coups de boutoir : « Oui quand tu auras joui avec la chatte défoncée, tu seras la reine des putains et je te recommanderai à tous mes amis ! ». Agnès en rajoute : « Bien on t’emmènera tapiner pour nous dans le bois du bord d’Allier ! ». Je regarde devant moi, sans rien voir alors que les coups de reins m’emmènent vers un orgasme que je ne peux plus contrôler.

    Comme l’avait promis Sam, ma tête heurte le toit de la voiture. J’abandonne ses cuisses et prends mes seins dans mes mains un peu pour calmer leurs mouvements mais surtout pour en pincer les bouts entre deux doigts de chaque main. Et c’est comme ça que je jouis dans un grand cri qui semble ne plus finir et fait vibrer la voiture alors qu’étonné par la puissance de ma jouissance, Sam lâche tout dans son préservatif.

    Mon corps se crispe, se tend et se tord dans tous les sens, je ne me rappelle pas avoir eu un orgasme aussi fort et aussi long dans ma vie, au bout d'une éternité de secondes, je m’écroule sur lui complètement épuisée. Il me dit à l’oreille : « Eh bien je ne savais pas qu’une femme pouvait jouir aussi fort et aussi longtemps ! Tu es vraiment chaude, toi ! ». Je souris en lui assurant que c’est son sexe qui m’a fait cet effet, mais il ne sait pas que ça fait plusieurs heures que ma chatte est taraudée par les boules de geisha et que depuis que nous sommes arrivées à Vichy, j’ai subi humiliation sur vexation sans avoir droit à un orgasme libérateur.

    Sam débande lentement et me soulève pour me déposer à côté de lui sur la banquette. Je vois son sexe décliner, toujours encapuchonné.

    Agnès lui dit : « Tu devrais enlever ton préservatif et le donner à mâcher à ta putain, comme ça elle aura rempli sa promesse de te boire ! Et elle aura en plus un chewing gum ! ». Je suis affolée par l’imagination et le vice d’Agnès : je me croyais vicieuse mais je ne suis qu’une enfant par rapport à elle ! Sam approuve en riant, il quitte son préservatif en faisant attention de ne rien perdre et me fait mettre la tête tournée vers le haut sur ses genoux, il pose le bord du préservatif sur mes lèvres et presse doucement pour le vider entièrement dans ma bouche.

    J’avale et je déglutis en même temps, le sperme s’écoule lentement, j’ai le temps de tout avaler. Quand il est sur que le préservatif est vide, il le roule et le glisse dans ma bouche. Et je commence à mâcher, le cœur au bord des lèvres. Nous roulons déjà quand Sam se fait sucer la queue pour se nettoyer et il se rhabille alors que je renfile mes escarpins, mon soutien-seins et mon imper. Il passe une dernière fois sa main entre mes cuisses : « Pour garder un peu de ton odeur de putain ! ».

    Et descend en nous saluant toutes les trois.

    Mardi 31 janvier 2017 - 21h

    Agnès se gare au même endroit. Visiblement, nous sommes attendues car un homme s’approche de notre voiture. Agnès baisse sa vitre. « Henri, c’est toi la pute ? ». Agnès rit « Non elle est derrière monte avec elle ». J’ai le temps de le voir arriver : la soixantaine, le crâne quasiment chauve, un gros ventre et surtout, il n’a pas l’air bien propre. Il monte à côté de moi. Agnès fait mine de démarrer mais il lui dit : « Pas la peine on va faire ça ici, il n’y a aucun risque ». Agnès lui demande s'il veut du sexe ou du bdsm, il répond an lui donnant 25€ qu'elle refuse en lui demandant de me payer directement.

    Il se tourne vers moi : « Mets toi à poil ». J’enlève mon imper. Il ne fait aucun commentaire. Il défait son pantalon, le baisse de même que son caleçon et se cale au milieu de la banquette : « Tu te mets à genoux devant moi les jambes vers le levier de vitesse, tu te cales comme tu peux démerde toi ». Je tarde à m’exécuter mais finalement, j’arrive à me faufiler entre les deux sièges. Je suis un peu coincée mais mes genoux me calent bien au sol et mes hanches sont coincées par les fauteuils avant. Il a commencé à se branler, son sexe me paraît tout à fait normal bien que pas très propre.

    « Tu vas enlever ton soutif de merde et me branler entre tes nichons et si tu vois du liquide couler tu mets la langue ». Il se cale bien au fond de la banquette et me confie son sexe que je glisse entre mes seins après avoir enlevé le soutien-seins que je venais d'enfiler ! Je comprime de suite mes seins autour de son sexe, et, en les montant et les descendant, je le branle en essayant de maintenir l’étau bien serré.

    Il grogne : « Enfin une putain qui sait se servir de ses nichons, décalotte moi, pouffiasse, ce sera meilleur pour moi ». Je le prends dans ma main droite et tout en le masturbant, je baisse la peau de son gland. J’ai un haut le cœur en voyant la mousse blanche accumulée sous sa peau. Il rit : « Pourquoi se laver alors qu’une pute comme toi fait ça si bien ? ». Je ne dis rien et range mon envie de vomir. Je remets le sexe entre mes seins et recommence à le faire coulisser entre mes globes. Le gland s’humidifie et j’y passe ma langue en surmontant avec beaucoup de difficulté mon dégoût.

    « Crache entre tes nichons ça coulissera encore mieux tu verras ». Je salive et bave entre mes seins, ce qui humidifie son sexe qui coulisse en effet plus rapidement. « Lèche et suce mon gland à présent ! ». L’ordre redouté est arrivé et c’est les yeux fermés que je lèche et suce son gland, le nettoyant comme probablement il ne l’a jamais été.

    Il a devancé mes envies : je voulais essayer de cracher sur le côté, mais il relève mon menton et me dit : « Je veux te voir déglutir devant moi, après tu me feras cette pipe promise, j’ai trois mois de foutre en réserve à te donner : tu vas te régaler ». Je salive beaucoup pour essayer de déglutir sans nausées et écartant mes seins je me jette sur son sexe que je pousse de suite au fond de ma bouche et je commence à le faire coulisser entre mes lèvres serrées juste assez pour qu’il les sente bien.

    Je ne l’entends plus, sinon grogner son plaisir, toujours profondément enfoncé dans la banquette, il me laisse faire à ma manière, lui caresser les testicules, lui branler la base de la bite tout en le suçant. Je le sens grossir dans ma bouche et sans que je ne le sente venir, il explose dans ma bouche en de longs jets poisseux et gras qui n’arrêtent pas. Je suis sûre qu’il ne mentait pas quand il me disait qu’il avait trois mois de réserve.

    J’essaye de suivre le flot de ses jets en les avalant au fur et à mesure mais ma bouche s’est trop vite remplie, et je sens un peu de sperme couler de mes lèvres sur mes seins. Il n’y fait aucune attention. Un dernier coup de rein, un dernier soubresaut, un dernier jet que je peux avaler totalement.

    Et il se laisse débander doucement dans ma bouche me demandant doucement de bien le nettoyer. Ce que je fais de ma langue et de mes lèvres. Il m’aide même à me relever, ce qui n’est pas simple et me dit : « Tu sais tu devrais prendre plus, tu mérites mieux que ce tarif de pipeuse dans le bois des bords d’Allier, elles ne t'arrivent même pas à la cheville ! ».

    Il se rhabille en silence et sort sans nous saluer.

    Mardi 31 janvier 2017 - 21h10

    Agnès se retourne vers moi : « Sacré numéro ce mec ! ». Je fais la grimace en répondant : « Oui surtout au niveau de l’hygiène, vous n’avez rien à boire, Agnès ? J’ai l’estomac au bord des lèvres ». Annie me répond d’une voix courroucée : « Tu te crois où ? Putain ? La seule boisson que tu es autorisée à boire quand tu es avec Agnès, c'est de la pisse ! Si tu veux, sors couche toi sur le sol à poil et je vais t'abreuver à même la source ! Ca tombe bien, j'ai une petite envie ! ».

    Je m'excuse : « Pardon Madame, je n'ai pas réfléchi à mon statut actuel, merci de ne pas m'en vouloir pour cette faute ». Je me rhabille silencieusement : « Je ne t'en veux pas, Putain, personnellement je n'aurais jamais pu pomper ce clodo et le nettoyer aussi bien que tu l'as fait, je suis très fière de toi, mais Annie à raison, à Vichy tu feras des cures de pisse ! Mets toi ça dans ta petite tête très mignonne ! Allez, l'incident est clos, nous sommes dans les temps et devrions être à l'heure au port ». Elle règle le GPS et démarre en prenant la direction de l’Allier et du port de Vichy.

    Mardi 31 janvier 2017 - 21h20

    Nous arrivons un peu en retard car le parking du port des Thermes est assez loin des pontons et celui auxquels sont arrimés les plus gros bateaux de rivière est le plus éloigné.

    Par contre nous n’avons aucune difficulté à trouver le numéro 28 qui est le seul éclairé en cette saison peu propice à la navigation fluviale. Un homme d’une cinquantaine d’années nous attend sur le pont d’un grand bateau, il nous fait signe et nous accueille avec le traditionnel : « Bienvenue à bord ». Je remarque qu’il est en chaussettes, et il nous demande de respecter la règle des bateaux en nous déchaussant, ce que nous faisons en rangeant nos souliers dans des casiers prévus à cet effet. Annie et Agnès restent en bas, quant à moi je me retrouve pieds nus.

    Les présentations ont lieu sur le pont : il s’appelle Daniel, en le regardant je pense que ce doit être un homme d’affaire, peut être un banquier. Il a les cheveux poivre et sel et une grande élégance aussi bien vestimentaire que physique. En souriant en moi même je le qualifie de quinqua bien conservé.

    Agnès se présente, qualifiant Annie d’amie intime et moi de fille corvéable à souhait. Ce qui fait rire Daniel qui juge l’expression aussi bien imagée que passéiste et explicite. Il nous précède en nous invitant à entrer dans le bateau. Après avoir descendu une dizaine de marches, nous arrivons dans un salon qui n’a rien à envier à ceux des plus beaux appartements de Vichy, tant en surface qu’en luxe.

    Une femme est assise dans un des canapés et se lève à notre arrivée. Daniel nous présente : « Yin, mon épouse ». C’est une asiatique qui n’est plus toute jeune, je l’estime à la quarantaine, mais elle a beaucoup de charme dans un superbe kimono bleu marine. Elle aussi est pieds nus avec des ongles superbement vernis et des pieds qui ne doivent pas atteindre le 34 de pointure ! Elle embrasse Annie et Agnès et me toise d’un regard hautain à la limite du mépris. Daniel tient à nous préciser qu’elle est Japonaise et ne parle pas très bien le Français. J’en déduis que cette union est récente et qu’elle est même probablement sa maîtresse.

    Daniel sort une bouteille de champagne et dit à Agnès : « Je pense que ce serait bien que Loréna aille se doucher puisqu’elle a eu l’honnêteté de nous dire que nous n’étions pas ses premiers clients de la soirée ».

    Je suis invitée à suivre Yin qui me pousse hors du salon, et me dirige vers la salle de bains sans me dire un mot, elle referme la porte me laissant seule. La salle de bains est plus grande que la mienne ! J’ai le choix entre une baignoire et une douche, j’opte pour la douche, et commence à faire couler l’eau tout en enlevant tous mes accessoires en cuir et mon plug. Je passe sous l’eau avec plaisir. J’hésite un peu mais, finalement, je décide d’enlever les inscriptions que j’ai sur le corps, je pense qu’elles ne correspondent pas au style des gens qui nous reçoivent et qui me payent.

    Je me savonne soigneusement, me rince longuement la bouche avant de sortir et de me sécher. J’ai pris soin de ne pas me mouiller les cheveux : je renfile mon collier, mes bracelets, mon soutien gorge en cuir et tout en sachant que je prends un risque je mets le plug soigneusement nettoyé dans la poche de mon imperméable. J’espère que mes dominantes ne m’en voudront pas de ces initiatives. Je m’apprête à remettre mon imperméable quand je vois un peignoir qui me semble mieux adapté à la situation. Encore une initiative, bah, au point où j’en suis : c’est donc en peignoir que je réapparais dans le salon.

    Agnès me gronde : « Salope, qui t’a permis d’emprunter un peignoir ? ». Mais Daniel me défend de suite : « Non ne la grondez pas, elle a bien fait, elle est bien plus sexy en peignoir qu’avec son imperméable et de toutes les manières elle ne le gardera pas longtemps ! ».

    Je reste debout sans être invitée à boire et Daniel dit : « Bien Mesdames, il est 21h40, nous avons bien papoté et nous connaissons un peu plus la mentalité, les goûts et les tabous de cette charmante fille corvéable à souhait comme le dit si bien Agnès ! Je propose que nous passions aux travaux pratiques ! ». Agnès rit en lui répondant : « C’est ce que j’allais vous proposer mon cher Daniel ! ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 21h40

    Nous le suivons toutes les quatre, en descendant vers ce qui semble être un autre pont accessible par une porte dérobée. Il allume des lumières indirectes et tamisées et une salle sort de l’ombre. Est ce une salle de sport ? Ou une chambre ? Ou un cabinet médical ? Ou un étrange mélange des trois ? Mais j’avoue que ce lieu me met mal à l’aise. Daniel s’approche de moi en me disant : « Yin adore jouer avec des femmes : tu vas voir qu’elle a beaucoup d’imagination provenant de son origine asiatique, mais il faut que tu saches que tout ce qui va t’arriver pendant une heure et demie a été approuvé par tes amies, donc je n’accepterai aucun refus, aucune hésitation ou aucune jérémiade. Tu as bien compris Loréna ? ».

    Je réalise qu’ils se sont mis d’accord sur une durée plus élevée avant de répondre d’une petite voix : « Oui Monsieur j’ai très bien compris ». Daniel, Annie et Agnès vont s’asseoir dans le coin le plus obscur de la salle : je les distingue à peine. Yin se met face à moi et d’un geste gracieux elle fait glisser son kimono sous lequel elle est entièrement nue : elle est très mince, avec des petits seins aux aréoles très brunes et aux tétons pointus et un ventre entièrement lisse. Elle a de magnifiques yeux verts qui brillent je ne saurais dire si c’est de vice ou d’excitation.

    Sans un mot elle me pousse vers ce qui ressemble à un fauteuil de gynécologue, elle allume un spot qui l’éclaire entièrement et me fait enlever mon peignoir. Elle passe une main discrète dans mon con et mon anus pour vérifier que je suis bien vide.

    Sans même accorder un regard à ma nudité, elle m’aide à m’asseoir, dans ce fauteuil qui laisse mon buste et ma tête relevés alors que mes cuisses et mes chevilles sont posés sur des étriers relevés qui m’ouvrent totalement l’entrecuisse. Elle s’affaire autour de moi, m’attachant les cuisses et les chevilles avec des courroies de cuir intégrées aux étriers, alors que mes pieds restent dans le vide, puis, passant derrière moi elle sort deux bras métalliques du haut du fauteuil et m’y attache les coudes et les poignets me tendant ainsi les bras au dessus de la tête. Elle écarte les branches métalliques pour bien m’ouvrir les bras. Je me sens très inconfortable dans cette position qui m’ouvre totalement sans que je ne puisse rien faire.

    Elle passe à côté de moi, elle serre les lanières de mon soutien-seins en les positionnant au maximum : mes seins gonflent immédiatement et me font mal, mais avant que je n’ai eu le temps de gémir ou d’hurler, elle m’oblige à ouvrir la bouche et me pose sur les dents supérieures et inférieures un appareillage d’acier relié à une structure de cuir qu’elle serre sur ma nuque.

    Elle tourne une clé sur le côté et peu à peu je sens ma mâchoire s’ouvrir, sans que je ne puisse rien faire. Quand elle arrête, j’ai la bouche grande ouverte, et je ne peux que sortir ma langue et baver abondamment sans pouvoir émettre un seul son, sinon des grognements inaudibles.

    J’entends Annie dire : « Hum, que c’est excitant, dommage que je ne puisse pas filmer tout ça ». Daniel rit en lui répondant : « Je dois vous avouer un petit secret, cette salle est équipée d’un système de prises de vues assez sophistiqué. Yin et moi aimons nous repasser les images des séquences les plus excitantes. C’est d’ailleurs quand nous visionnons ces séances que je prends réellement le plus de plaisir avec ma femme. Je vous donnerai une copie du DVD de ce soir ». Annie le remercie.

    Pendant ce temps, Yin s’est assise sur une sorte de coffret métallique placé entre mes cuisses, elle tient à la main une bougie assez fine qu’elle a enduit de crème. Elle l’enfonce facilement dans mon vagin, la tournant pour que la crème imprègne bien tout mon vagin, elle la ressort, remet de la crème et recommence l’opération dans mon anus qu’elle lubrifie soigneusement.

    Quand elle estime que je suis prête, elle se lève et ouvre un des tiroirs de la boîte métallique. Daniel commente pour ses invitées : « Comme vous le voyez cet appareil que nous avons fait faire selon des plans de Yin est une machine à baiser sur laquelle on peut adapter différentes tailles de godes ou de vibros, Yin s’en sert souvent pour s’envoyer en l’air, mais vu les précautions qu’elle a prise pour lubrifier Loréna, je pense que cette dernière va avoir droit à des dimensions hors normes ! ».

    Daniel connaît bien sa femme, car elle sort deux godes noirs d’une dimension assez monstrueuse qu’elle me montre en me regardant vicieusement dans les yeux. Elle les clipse sur les deux embouts sortis de la machine et se lève avec une télécommande dans la main. Elle appuie sur un premier bouton qui fait avancer le gode destiné à mes fesses, elle en ajuste la hauteur, écarte bien mes fesses, remet un peu de crème sur mon anus et fait entrer le gode d’une poussée continue dans mon anus, le dilatant comme jamais je ne l’ai été. J’essaye de hurler mais rien ne sort de ma bouche, sinon un flot de bave.

    Quand elle est sure que le gode est bien au fond de mon cul, elle fait pareil avec celui de mon vagin qui entre plus facilement tout en me dilatant à la limite de la déchirure. Yin attend quelques instants pour me laisser me calmer, puis elle vient me regarder droit dans les yeux son visage à quelques centimètres du mien. Et elle met la machine en route, je sens les deux godes se retirer lentement de moi, jusqu'à ce qu’ils sortent, pour re-rentrer lentement en moi m’arrachant des larmes de douleur. Yin augmente progressivement la cadence jusqu’à arriver à un pilonnage de mes orifices bien plus rapide que ne pourrait le faire un homme.

    Pour la première fois de la soirée, je la vois sourire de mes mouvements inutiles pour éviter ces godes et de mes torsions sur le fauteuil qui n’ont d’autre effet que de rentrer le cuir des lanières dans mes chairs. Daniel explique : « Avec cette machine, Loréna va enchaîner orgasmes sur orgasmes et Yin pourra jouer avec elle en toute liberté ! ».

    Je suis dans un état second : les godes me font tellement d’effet que je suis au bord d’un orgasme que je sais ne pas pouvoir éviter. Yin vient me mordiller le lobe de l’oreille et glisse sa langue dans mon oreille et se relevant, elle me regarde dans les yeux en me disant : « Jouis putain, laisse toi aller ». Je grogne, mes yeux chavirent et je jouis.

    Yin sourit à Daniel qui dit aux deux femmes : « Premier orgasme : elle se régale ! ». Dans des encoches placées sur les côtés du fauteuil, au niveau de mon ventre, Yin pose un arceau de métal au dessus de moi : trois élastiques terminés par des pinces en fer pendent du haut de l’arceau. Yin se penche sur mon téton droit, le caresse, le lèche et le mordille, quand il a bien réagit, elle prend une des pinces et l’accroche à mon téton, l’élastique se tend m’arrachant des larmes de douleur. Elle fait pareil à l’autre téton qui semble s’arracher de mon sein. La troisième pince est pour mon clitoris : la douleur est si forte que je manque de m’évanouir. Yin revient vers ma tête et me caresse les cheveux tout en ramassant ma bave avec un de ses doigts qu’elle enfonce dans ma bouche sans défense.

    Elle m’embrasse le front, me sourit, me mordille les oreilles, me murmurant de temps en temps : « Envoie toi en l’air, tout le monde sait que tu aimes jouir et moi j’adore te voir le visage déformé par le plaisir et la douleur ». Malgré la douleur des pinces, je jouis une deuxième fois, ce qui n’échappe pas à Yin qui l’indique à Daniel qui applaudit : « Bravo, et de deux, elle est bien réceptive cette petite Loréna ! ». Yin prend ma langue entre ses dents et tire méchamment dessus avant de relever sa tête et de me cracher dans la bouche en me disant : « Ne perds rien du spectacle : c’est un moment que j’adore ! ». J’avale péniblement sa salive et la mienne en redoutant ce qu’elle s’apprête à me faire.

    Mardi 31 janvier 2017 - 22h20

    Elle décroche d’un seul mouvement les deux pinces de mes tétons, me laissant celle du clitoris et sort d’un autre tiroir de la machine un coffret qu’elle ouvre et me présente, je vois avec angoisse que ce sont des aiguilles d’acupuncture de différentes longueurs.

    Je grogne encore plus fort et essaye de remuer mon corps pour échapper à ce que je redoute, mais Yin s’installe à côté de moi et prend dans sa main gauche mon sein gauche gonflé comme une baudruche, je me rends compte que je suis plus impressionnée que je n’ai mal, elle semble experte et chaque fois qu’elle enfonce une aiguille verticalement dans le gras de mon sein elle le presse de son autre main pour que les douleurs se confondent.

    Très vite je me retrouve avec une vingtaine d’aiguilles enfoncées dans le sein formant un cercle presque parfait à quatre ou cinq centimètres de mon aréole. Yin se lève et se prépare à faire la même chose au sein droit qui lui aussi a droit à sa couronne d’aiguilles. Puis elle en rajoute en faisant un cercle autour de mon nombril : les piqûres ressemblent à des aiguillons d’insectes et sont plus excitantes que douloureuses.

    Je me demande comment cette vicieuse sadique a omit de s’occuper de mes tétons. Mais je regrette vite cette pensée car elle sort quatre aiguilles plus longues que les autres et se penche tour à tour sur chacun de mes seins pour enfoncer en croix deux aiguilles traversantes dans mes deux tétons. Ce qui est le comble de la douleur.

    Yin me regarde : elle semble satisfaite de ma préparation. Elle me libère de la pince du clitoris et déclipse les deux godes alors qu’ils sont bien au fond de moi. Elle va chercher dans une armoire un harnais avec une large ceinture de cuir pour ma taille et une autre qui passe entre mes cuisses pour bien bloquer les godes. Elle me caresse le haut du sexe pour bien me montrer qu’à cet endroit la ceinture est ouverte laissant libre accès au haut de mes grandes lèvres et à mon clitoris.

    Elle me détache les cuisses et les chevilles, fait de même avec les coudes et les poignets et m’aide à me mettre debout. Tout le monde rit car je suis obligée de rester cuisses très ouvertes tellement les godes me remplissent alors que mes seins me font mal à hurler. Yin m’enlève la machine à ouvrir ma bouche et me prévient : « Si tu cries je te mets du ruban adhésif sur la bouche ». J’approuve de la tête en respirant enfin correctement et en avalant toute la salive accumulée dans ma bouche.

    Yin me pousse vers Daniel : « Fais lui une pipe, il en a envie ». Docile je me mets à genoux devant lui : il a sorti son sexe tendu et bien humide et je m’applique à le sucer. Il est en effet très excité car en très peu de temps il se répand en de longs jets au fond de ma gorge que j’avale un par un sans en perdre une goutte.

    Mardi 31 janvier 2017 - 22h40

    J’ai à peine le temps de finir de nettoyer le sexe crémeux de Daniel que Yin me prend par les cheveux pour m’obliger à me relever : elle me pousse vers un miroir sur pied et allume un spot dissimulé juste au dessus dans le plafond. Dans la lumière crue, je me vois dépeignée, les yeux rougis par les larmes, les seins gonflés par le soutien gorge de cuir avec deux couronnes d’aiguilles dans la chair des seins et autour du nombril et surtout ces quatre aiguilles qui me traversent les tétons.

    En baissant les yeux, je vois le haut de ma chatte dénudé par la ceinture de cuir qui maintient les godes en moi. Je me sens pitoyable et sans réaction devant ce spectacle que je n’attendais absolument pas à offrir aux autres. Yin me dit vicieusement : « On va cacher tes seins : je n’aime pas voir toutes ces aiguilles ». Elle revient de l’armoire avec un soutien gorge en dentelle aux larges bonnets qui doit recouvrir l’intégralité de mes seins. Elle défait les sangles du soutien gorge de cuir, libérant d’un seul coup mes deux seins qui s’affaissent en se dégonflant.

    Je me mords les lèvres pour ne pas crier tandis que Yin m’aide à enfiler l’autre soutien gorge en me glissant à l’oreille : « Dommage pour toi : je fais du 85b et il va un peu te serrer ». En riant elle entre les deux seins dans les bonnets et agrafe le soutien gorge dans mon dos. J’ai l’impression que les aiguilles rentrent totalement dans mes seins et je ne peux m’empêcher de hurler de douleur. Yin m’insulte en me giflant violemment une oreille jusqu’à ce que je me taise : « Ta gueule sale putain, je ne veux pas t’entendre, tu n’avais pas à avoir des nichons plus gros que les miens : tant pis pour toi ! ».

    Je sanglote en me taisant mais sans arriver à me calmer. Yin se fâche, elle prend une paire de ciseaux et tire le bout d’un bonnet entre ses doigts, elle le coupe, et attaque l’autre pour faire pareil, mes tétons transpercés sortent du tissu. « Allez je vais être bonne avec toi : enlève toi même les aiguilles de tes tétons ». Mes mains tremblent quand je prends délicatement un sein d’une main et que j’enlève le plus doucement possible une des aiguilles. Elle est si fine que je ne saigne même pas, ce qui me rassure un peu. Je fais de même avec les autres. Cette douleur s’évanouit mais les petites aiguilles compressées par le soutien gorge trop serré me font encore plus mal : Yin se place devant moi et me suçote un à un les tétons en me rassurant : « Tu sais j’ai l’habitude d’utiliser des aiguilles et je peux t’assurer que dans quelques heures tu n’auras aucune marque ! ». Mes tétons reprennent de la vigueur et se redressent.

    Yin va chercher quelque chose dans l’armoire, elle en revient avec deux pinces ventouse en plastique dur qu’elle me pose sur chaque téton. Je n’ai jamais vu ça : la pince emprisonne très fort le téton et le pied de la pince est une ventouse. Yin me rapproche du miroir, calcule rapidement la hauteur des ventouses et les fixe sur le miroir, me collant en fait au miroir par les ventouses.

    Daniel précise : « Attention, ces pinces sont auto bloquantes, plus tu tires dessus plus elles bloquent tes tétons, sans relâchement possible ». D’un geste rapide, Yin me clipse le poignet gauche au collier de mon cou. Je peux bouger tout mon corps mais chaque mouvement me tire les tétons. Dans le miroir, je vois Yin sortir des accessoires de l’armoire et demander leur avis au trio de voyeurs. Daniel dit : « Fouet, martinet, cravache, badine ou serviette mouillée, vous avez le choix Mesdames ! ». Annie et Agnès choisissent la cravache.

    Mardi 31 janvier 2017 - 23h00

    Yin revient vers moi, avec une cravache de cuir : « Caresse toi de ta main libre et fais toi jouir, autant de fois que tu le voudras, tu sentiras moins la douleur ». Je la vois poser un tabouret derrière moi et elle me tapote la jambe droite avec sa cravache jusqu’à ce que je la pose pliée sur l’assise en essayant de ne pas perdre mon équilibre, ainsi perchée sur une seule jambe. Redoutant ce qui va m’arriver, je ferme les yeux et commence à me caresser : la fente de la ceinture est étroite et je n’ai accès qu’à mon clitoris et à la partie supérieure de mon sexe : elle me cingle violemment le pied m’obligeant à bouger mon corps et bien sur à me faire mal à hurler aux seins.

    Elle tape très vite, ses coups sont violents et secs, ils résonnent dans la pièce comme des claquements de fouet. La plante de mon pied devient vite brûlante : j’ai de plus en plus de mal à me contrôler, j’ai été obligée de bouger plusieurs fois et j’ai pu constater qu’en effet les pinces serraient de plus en plus mes tétons sans possibilité de les desserrer.

    Mais en même temps, je n’en peux plus, mon clitoris est dressé comme rarement il ne l’a été et je n’ai aucun moyen de me branler sans me le toucher. Oubliant tout le reste, je pars dans un orgasme bestial, criant mon plaisir tout en faisant attention de ne pas trop bouger mes seins. « C’est bien putain, change de pied, je vais m’occuper de l’autre, je peux t’assurer que tu auras du mal à arpenter les trottoirs cette nuit ! ».

    J’ai du mal à poser mon pied meurtri par terre, elle m’y oblige en me cravachant sévèrement les épaules : « Vite, je t’ai dit de changer de pied. Ne me fais pas attendre sale putain ! ». Mon pied meurtri me fait horriblement mal mais j’arrive à poser mon autre jambe sur le tabouret et sans attendre un seul instant Yin s’acharne sur lui comme si elle voulait arracher la peau de la plante de mon pied. J’en pleure de douleur.

    Daniel me prévient : « Attention Loréna, ne te relâche pas, ces pinces peuvent te couper tes bouts de mamelles ! Fais gaffe, je t’aurai prévenue ! ». Après un long moment, Yin arrête enfin et m’autorise à poser mes deux pieds par terre. Sa cravache change de cible et c’est à présent mes orteils qu’elle cravache habilement : chaque coup atteint sa cible. Mais, encore une fois, la douleur se mélange au plaisir et je jouis violemment sans arrêter de pleurer. Yin me sourit sadiquement : « Tu es vraiment une putain très maso, j’espère que Daniel te louera une autre fois, je n’en ai pas fini avec toi et il est rare que je trouve des putains de ton calibre qui endure aussi bien la douleur et en jouisse aussi fort ! ».

    Elle me libère les seins et les mains, m’enlève le harnais, m’aide à enlever les godes qui tombent presque tout seuls tellement je suis trempée, puis elle dégrafe le soutien gorge et enlève une à une les aiguilles de mes seins et de mon ventre. Elle me pousse brutalement dans le dos et nous sortons de la pièce pour pénétrer dans une petite cabine : elle se couche sur le ventre et me dit : « Lèche mon cul et fais moi jouir, allez dépêche toi, fais ce pourquoi on te paye ! ».

    Mardi 31 janvier 2017 - 23h20

    Nous marchons toutes les trois sur le ponton pour rejoindre la voiture, malgré un onguent donné par Daniel, j’ai très mal aux pieds et j’ai des difficultés à suivre leur cadence. Agnès dit à Annie : « Hum quel bon moment ! Je me suis régalée, pas toi Annie ? ».

    Cette dernière rit en lui assurant qu’elle a frôlé l’orgasme à plusieurs reprises. « Par contre Yin, elle, n’a pas frôlé l’orgasme : je n’avais jamais vu une femme jouir trois fois de suite du cul en si peu de temps ! ». Je comprends que ma séance de gouine a été filmée et qu’elles n’en ont rien raté. Agnès rajoute : « Il faut aussi remarquer que ta putain a été à la hauteur aussi bien dans cette séance dure qu’en gouinant si bien Yin ! Nous pouvons être fières d’elle ! ».

    Elles rient toutes les deux : « Allez dépêche toi, putain, la soirée ne fait que commencer, je te remettrai de la pommade dans l’auto ! ». J’essaye d’accélérer et nous arrivons enfin à la voiture dans laquelle je m’assieds avec un réel soulagement. Agnès démarre alors qu’Annie s’assied derrière avec moi, elle me masse les pieds, la pommade me fait de l’effet, la douleur s’atténue. « Tu vois ma pute en moins de 3h tu as gagné 225€, ce n’est pas un record mais ce n’est pas mal non ? ».

    Je ne réponds rien, me sentant horriblement humiliée et sale car Yin m’a obligée à remettre mon imperméable sans m’autoriser à me laver, ni l’entrejambe pleine de mes sécrétions, ni la bouche pleine de ses jouissances.

    Mardi 31 janvier 2017 - 23h50

    Nous rejoignons la maison d’Agnès. Dès notre entrée, elle me dirige vers la salle de bains en me disant : « Moi je prendrai une douche au premier, toi prends ton temps : tu trouveras de la pommade anti douleur dans l’armoire à pharmacie ! ».

    Sitôt seule, j’ôte mes bracelets et mon collier de cuir et me glisse dans l’eau avec un plaisir non dissimulé. Oooh que ça fait du bien ! Au fil des minutes je me sens complètement transformée, le corps et le cerveau lavés de tout ce qui pourrait laisser des tâches sombres et prête à affronter le monde entier. Décidant d’être raisonnable, je me sèche, m’enduis tous les endroits sensibles d’une pommade très active que je ne connaissais pas mais qui semble extrêmement efficace, mais qui ne vaut pas le baume d'Annie.

    Agnès entre sans frapper : « Ah je vois que tu as retrouvé des couleurs et que tes marques ont quasiment disparues, j’en suis heureuse pour toi ! Je t’apporte de quoi te changer ». Elle pose les affaires sur une desserte et s’en va. Curieuse comme toutes les femmes, je découvre une très jolie robe de soirée, noire, assez longue et évasée, avec un décolleté sage et des jolies bretelles fines, une paire d’escarpins de cuir noirs fermés à hauts talons et aux bouts carrés très allongés et très mode et des bas à élastiques gris perle. Je cherche vainement tout sous vêtements.

    Je me peigne soigneusement, me maquille très légèrement comme à mon habitude et je m’habille. Au passage dans le hall, je me regarde dans un grand miroir : rien n’indique que je ne porte aucun sous vêtements et je dois avouer que ma tenue me plaît beaucoup et me va très bien !

    Agnès et Annie ne tardent pas à me rejoindre. Comme annoncé : elles se sont douchées et préparées dans une autre salle de bains et je les trouve magnifiques : elles sont habillées un peu comme moi mais tout en rouge : même style de robes, escarpins identiques et bas gris perle. Elle sont peu maquillées. Je n’ose pas leur demander si elles portent des sous vêtements !. Agnès me tend un manteau de laine très élégant : « Mets ce manteau, nous partons ». Elles enfilent leur manteau, nous mettons nos cigarettes et nos portables dans nos poches et nous sortons.

    Mercredi 1er février 2017 - 0h30

    Agnès reprend le volant en nous annonçant qu’elle nous emmène boire un verre dans un endroit très sympa. Je ne réponds rien : mon programme étant fixé pour moi depuis longtemps, je n’ai guère mon mot à dire ! Il ne nous faut que cinq minutes pour nous garer devant un club appelé « Lady X ».

    Nous avons du mal à trouver une place car il semble y avoir une grosse fréquentation et un gros 4x4 ne se gare pas comme une Smart. Agnès sonne, une petite trappe s’ouvre et de suite la porte s'ouvre sur une jeune femme, probablement d’origine allemande : « Bonsoir Agnès, je suis contente de te revoir, ça fait longtemps que nous ne t’avons pas vue, entre donc avec tes amies ». Nous confions nos manteaux au vestiaire et entrons dans le club.

    Il est vaste tout en gardant un aspect assez intimiste. Je vois deux bars, une belle piste de danse et des tas de recoins avec des banquettes et des poufs, en fait ce serait une boîte de nuit tout à fait classique si elle n’était pas fréquentée que par des femmes. Je savais bien que ça existait, mais c’est la première fois que j’entrais dans un club de lesbiennes.

    Nous nous installons sur des tabourets au bar, et Agnès commande trois cognacs en me glissant à l’oreille : « Tu ne bouges pas de là et si on vient t’inviter à danser tu réponds simplement que tu n’es pas seule et que ne danses pas ! ». La barmaid est très jeune et sert seins nus. Dans un coin, sur un podium surélevé, deux filles nues dansent tendrement enlacées en mimant l’amour, l’ambiance est chaude. Agnès dit à Annie : « Tu veux venir avec moi ? ».

    Annie se lève et me dit : « Reste là, nous revenons de suite ». Je brule d'envie de siroter mon cognac, mais je respecte les règles de Vichy, de la pisse ou rien ! Je compense en fumant beaucoup et en regardant des couples de femmes danser très enlacées, se pelotant et s’embrassant sans aucune pudeur. Bien que peu attirée par les femmes en dehors des rapports de soumission, le spectacle ne me laisse pas indifférente.

    Je passe mon temps à dire : « Nous vous êtes gentille, mais je ne veux pas danser, je ne suis pas seule ! ». Je fume cigarette sur cigarette. Au bout de dix minutes, Agnès et Annie reviennent en compagnie d’une jeune femme mignonne, brune comme moi, environ de ma taille avec les cheveux courts et de grands yeux rieurs. Je la classe immédiatement dans la catégorie des métissées d’Afrique du nord. Agnès nous présente : « Loréna voici Yasmine, une Tunisienne née en France, elle a 38 ans et nous nous connaissons depuis 5 ans, Yasmine, je te présente Loréna, elle est d’origine espagnole et je ne la connais que depuis peu de temps ! ». Agnès approche un quatrième tabouret, et commande une bouteille de champagne qu'elles boivent alors que ma coupe est retournée sur le bar.

    « Hum les filles j’ai une petite faim, que diriez vous de manger une entrecôte salade avec un petit vin du crû ? ». Nous approuvons toutes les trois et Agnès passe commande tout en nous disant :

    « Si vous voulez danser, les filles, ne vous gênez pas pour nous, vous ferez mieux connaissance ». Ce désir ressemble plus à un ordre qu’à une invitation et c’est la main dans la main que nous allons sur la piste de danse. Le DJ ne passe que des musiques lentes et sensuelles. Yasmine me prend par le cou et moi par la taille et nous dansons tout en papotant : « Je vois Agnès tous les mois et chaque fois c’est un réel enchantement, tu verras, toi aussi tu deviendras accro ! ». Je souris : « Hum j’ai peur d’être déjà accro tu sais ! ». « Oui c’est ce qui m’est arrivé dès notre première rencontre à moi aussi, rassure toi tu n’es pas la seule. Elle m’a demandé de me joindre à vous pour la soirée et en te voyant, je n’ai pas hésité un seul instant, tu es très belle tu sais ! ». « Je te remercie, toi aussi tu es très mignonne, à Issoire j’ai une amie tunisienne que j’adore ». « Ah tu es d’Issoire, tu es donc venue en voisine ! ». « Oui, mais rassure toi nous avons fait ce voyage en une seule étape ! ».

    Yasmine rit de mon humour et me serre un peu plus fort en profitant pour coller son ventre et ses seins aux miens. Annie et Agnès se sont installées autour d’une table dans la partie restauration, composée de petits boxes mais elles ne nous quittent pas des yeux en faisant des commentaires que bien entendu nous ne pouvons entendre. En dansant, nos corps font effectivement connaissance : ses seins sont fermes et pointus, son ventre chaud caresse le mien, ses mains massent mon cou et mes épaules très sensuellement, je me sens bien et très attirée par elle.

    Elle me murmure à l’oreille : « Tu as déjà obéi à une femme en compagnie d’une autre soumise ? ». « Une seule fois, avec Annie, à qui j'appartiens, et une autre soumise ». Elle me grignote le lobe de l’oreille en me disant : « Si telle est leur intention, nous devrions passer une soirée très excitante, surtout si Annie et Agnès, unissent leur force de dominantes ! Je suis sure que nous allons nous régaler ! ». « Tu ne penses pas qu’Agnès aimerait simplement nous regarder avoir des rapports lesbiens ? ».

    « C’est une des probabilités, personne ne peut deviner ses intentions car je n’ai jamais vu une femme aussi imaginative qu'elle ! Alors tout est donc possible avec elle ! ». Je souris en me serrant un peu plus contre son corps et en lui rétorquant : « Alors, comme depuis que je suis arrivée à Vichy, je vais me contenter de suivre le mouvement et d’obéir ! ». Yasmine éclate d’un rire enfantin : « C’est en effet le mieux que nous ayons à faire ! ». Une bise rapide sur la bouche et elle me dit : « Viens elles doivent nous attendre et je vois que nos plats sont servis, ne les faisons pas attendre : Agnès n’est pas d’un caractère très patient ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 1h10

    Nous revenons vers elles la main dans la main. Annie nous sourit : « Alors vous avez fait connaissance ? ». Nous sourions en répondant que oui. Agnès semble en pleine forme : « Allez les filles, asseyez vous, mangez et buvez : nous nous offrons une petite pause dans cette soirée mouvementée sachez en profiter ! ». Et, en effet le repas est très agréable, nous rions et plaisantons sans parler ni de sexe ni de soumission. Aucune caresse sous la table, aucune allusion, on se croirait vraiment dans une soirée entre copines.

    Mais l’atmosphère électrique du bar est bien là et ces couples de femmes qui se serrent sur la piste de danse ne nous calment pas vraiment. Comme d’habitude, Agnès décide, elle va régler l’addition et revient en disant : « Bien, nous partons ». Nous récupérons nos manteaux, sortons et Agnès nous dit en riant : « Les filles installez vous derrière et soyez sages ! ». Quand Agnès ouvre sa portière pour s'asseoir, je m'approche d'elle et la remercie : « merci Agnès ». Elle sourit et me tord gentiment le lobe d'une oreille et me répond : « Tu es une bécassine, quand je vous ai dit : « Allez les filles, asseyez vous, mangez et buvez », c'était aussi pour toi, tu as préféré ne rien boire de la soirée pour être sure de ne pas me déplaire, je prends ça comme une punition volontaire très cérébrale, mais il faudra que je t'apprenne à reconnaître l'Agnès-douce et l'Agnès-sévère, je suis sure que ta nouvelle amie va t'y aider ! Elle me connait si bien ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 1h20

    L’ambiance est bon enfant dans la voiture et c’est en riant que nous arrivons chez Agnès, la température a fraîchi et nous sommes heureuses de retrouver une température plus qu’agréable à l’intérieur. Agnès nous demande de nous installer dans le salon et de les attendre. Yasmine et moi allumons une cigarette. Annie et Agnès ne tardent pas à nous rejoindre, elles portent des nuisettes ravissantes en soie, qui leur arrivent aux genoux, gris perle pour Annie et bleu marine pour Agnès avec des mules assorties à talons. Elle s’asseyent dans un fauteuil et nous demande des cigarettes que nous nous empressons de leur offrir allumées.

    « Bien les filles, nous allons jouer un peu, puis nous irons nous reposer, car demain, lever à 10h. Alors ne perdons pas de temps : Yasmine, toi qui connaît ma chambre d’amis, peux tu expliquer à Loréna ce dont il s’agit ? ». Yasmine sourit : « C’est une des pièces de la maison, située sous les toits. En apparence elle ressemble à toutes les autres chambres, mais avec du temps, de la patience et beaucoup d'imagination, Agnès a su l’équiper de tout ce qu’il fallait pour jouer avec ses soumises, tout en pouvant y accueillir sans aucune gêne des amis pas du tout portés sur le bdsm. Selon son humeur, on peut y passer de très bons ou de très mauvais moments ! ».

    Agnès rajoute en souriant : « En résumé c’est une vraie chambre des plaisirs ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 1h30

    Elle se lève et nous invite à la suivre, c'est à cet instant que je réalise combien la maison est vaste. Nous gravissons un escalier de bois, suivons un long couloir et arrivons à une porte en bois massif.

    Elle l'ouvre sans la refermer, et nous fait entrer. A première vue, la chambre semble tout à fait normale avec un très grand lit, un miroir sur un mur latéral, peu de meubles, mais une immense armoire en chêne, deux tables de nuit et un tabouret de bois, le tout décoré très rustiquement d'un lustre et de plusieurs appliques d'éclairage indirect, de compositions florales dans des chaudrons de cuivre ou de simples outils campagnards. Bref on se croirait dans une chambre de ferme. En montant sur le tabouret, Agnès décroche elle même cinq objets, qu’elle ne choisit visiblement pas au hasard, car une fois ces objets enlevés, ils laissent apparaître des crochets solides et deux poulies électriques.

    Elle s'adresse à Yasmine : « Ma chérie, sois gentille de mettre putain Loré à poil et de lui faire bander les tétons comme je les aime, je la veux plus chaude que ma cheminée et tellement excitée, qu'en regardant son clito, je risque de la faire jouir !».

    Souriante, Yasmine m’enlève ma robe, mes chaussures et mes bas. Elle me retourne pour m'enlacer par derrière : mon cul collé à son ventre, et sa poitrine à mes épaules. Elle m'étreint pour m'empêcher de bouger et prend chacun de mes seins dans une de ses mains.

    Ce ne sont visiblement pas les premiers seins qu'elle caresse, elle alterne un pétrissement des globes à la limite de la torture avec des griffures de ses ongles sur mes aréoles et mes tétons. Ils réagissent très rapidement en se dressant et en durcissant comme des petits bites.

    Annie filme tout en détail, tandis qu'Agnès ouvre la grande armoire et en sort une longue corde de chanvre. Elle demande à Yasmine de me pencher en avant pour que mes seins pendent et ballottent bien. Je vois qu’elle positionne un des bouts de la corde à la base de mon sein droit, et, qu'aidée par Yasmine, elle serre à sa convenance le nœud coulant créé sur ce bout de corde rugueuse et très irritante pour la peau. Quand elle est satisfaite du bondage de mon sein droit, elle donne le bout tendu à Yasmine et elles passent toutes les deux à mon autre sein avec l'autre nœud coulant situé à l'autre extrémité.

    Quand elles ont terminé, mes seins sont très serrés à leurs bases et doivent donner une image horriblement déformée de ma poitrine et de mes globes gonflés comme deux ballons. Mais contrairement aux bracelets de cuir du soutien-seins, la corde est très pénible à supporter, surtout qu'avec la partie centrale de la corde, Agnès fait des tours autour de mon corps, juste sous les seins, pour finalement attacher la corde par un nœud solide, sous mes omoplates.

    Je me retrouve : debout, seins comprimés à leurs bases pour terminer en forme de ballons vers les tétons. La corde les soulève vers haut et mes bras restent plaqués à mon corps par cette corde qui me saucissonne.

    Agnès vérifie soigneusement la tension de la corde en différents endroits. Elle retourne vers l’armoire pour prendre une corde en nylon qu'elle attache au nœud que j’ai dans le dos et demande à Yasmine de mont sur le tabouret pour passer la corde de nylon dans l’une des poulies du plafond.

    Quand c'est fait, Agnès démarre la poulie électrique qui tend rapidement la corde de nylon, me hissant jusqu'à ce que mes pieds soient à une vingtaine de centimètres du sol.

    Elle décide que je suis suffisamment suspendue et ordonne à Yasmine, qui semble avoir une grande habitude de la seconder dans ses séances de soumission, de fixer la corde de nylon à un crochet mural.

    Mon corps se balance, sans que je ne puisse le contrôler, suspendu par les cordes qui me lient et me déforment les seins. Agnès oriente un halogène sur moi et me signale en souriant : « Tu remarqueras ma putain que tu n’es pas attachée n’importe comment : tu te vois entièrement dans l'immense miroir mural et tu es la seule à avoir une vue panoramique de toute ma chambre aux plaisirs ! ».

    Annie, enchantée par ma position et par la qualité de l’éclairage, me filme sous tous les angles, avec un sourire gourmand de voyeuse affamée !

    Quant à moi, éclairée crue ment, je suis affolée par l’image de mon corps déformé, avec mes avants-bras immobilisés le long de mon corps, mes seins remontés beaucoup trop hauts et congestionnés par les deux nœuds. Quant à mes tétons bandés à exploser, ils semblent parfaitement obscènes au centre de mes nichons, ridiculement diminués, par le serrage exagéré des nœuds coulants.

    Mercredi 1er février 2017 - 2h15

    Yasmine me regarde avec un peu de tristesse dans les yeux, je suppose qu’elle aussi a été suspendue de cette manière, mais Agnès la gifle violemment : « Ah tu as de la peine pour ta nouvelle amie ! Veux-tu la voir de plus près ? Eh bien, tes désirs sont des ordres ma belle salope ! Mets toi très vite à poil ». Yasmine, le visage marqué par la gifle, s’empresse d’obéir.

    Agnès la prend par la main pour la rapprocher de moi en lui disant : « Tu vas soulever les cuisses de cette putain, les poser sur tes épaules de chaque coté de ton visage et tu vas lui bouffer la chatte jusqu’à ce que je t’ordonne d’arrêter ! ».

    Malgré sa fragilité apparente, Yasmine me soulève facilement les jambes et je me retrouve avec les cuisses posées sur ses épaules. En avançant mon ventre, et elle sa bouche, nous nous retrouvons dans la position exigée. Agnès donne un coup violent sur la nuque de Yasmine pour lui coller la bouche contre mon sexe en lui ordonnant : « Vas y, mange moi ce trou à bites et utilise tes dents : je ne veux pas de tendresse entre vous : bouffe la comme si tu voulais la dévorer toute crue ! ».

    Yasmine s’exécute et me mordille les lèvres vaginales assez fort pour m’obliger à gémir, mais très vite, je lui murmure : « Agnès et Annie sont sorties, peux-tu me mordre moins fort, je t’en prie ? ». Yasmine arrête de suite en me disant : « Oh, ma pauvre Loré, je sais que tu souffres. J'ignore ce qu’Agnès t’a réservé, mais sois forte, ce ne devrait être qu'un mauvais moment à passer, et pardonne moi pour ce qu'elle m'oblige à te faire ».

    Elle recommence à me lécher et moi à gémir, au moment précis où les femmes reviennent dans la pièce. Elles posent quelques objets sur le lit et, à ma grande surprise, Agnès se déshabille entièrement, ne gardant même pas ses mules. Alors que Yasmine me mord le clitoris, je dévore Agnès des yeux réalisant que c’est la première fois que je la vois entièrement nue.

    J’ai terriblement envie de me coller à elle et de lui lécher tout le corps des orteils aux cheveux, mais visiblement elle a d’autres idées qu'un léchage par une putain de ma classe basse.

    Elle prend un objet sur le lit et se rapproche de nous, elle observe longuement le travail des dents de Yasmine sur mes lèvres et sur mon clitoris. Dans le miroir, je la vois descendre sa main droite vers sa chatte et se caresser.

    Très vite deux bruits se concurrencent dans la chambre : mes gémissements hachés et le bruit obscène de ses doigts trempés coulissant dans et sur son sexe. Après de longues minutes, de léchage et de branlette, elle dit à Yasmine : « Tu as cinq petites minutes pour envoyer en l'air cette putain qui n'en peut plus d'envie de crier comme une truie, passé ce temps, je vous fais toutes les deux jouir à la cravache ! ». Et elle déclenche sa montre-chrono.

    Yasmine n'a d'autre choix que de rajouter deux de ses doigts pour pincer et branler mon clitoris en me suçant encore plus fort et sur plus de surface, elle connaît suffisamment les chaudasses pour savoir qu'il ne faudra pas cinq minutes pour exploser. Et c'est ce qui se passe, Agnès riant de me voir serrer mes cuisses contre les joues de Yasmine pour profiter un maximum de sa langue et d ses lèvres tandis que j'hurle sans honte mon plaisir immense !

    Mercredi 1er février 2017 - 2h30

    Yasmine recule un peu sa bouche dégoulinante de ma mouille, ce qui déclenche une réflexion d'Agnès, surtout destinée à Annie : « Ma chérie, je ne veux pas jouer la prof de cul avec toi ! Mais, je te préviens que si tu continues à lui imposer des orgasmes aussi puissants que ceux qu'elle a à Vichy, je crois que vous appelez-ça des tsunamis, tu vas vite te retrouver avec une putain femme fontaine, pour ton plus grand plaisir, celui de ses clients et pour elle, une humiliation supplémentaire ! On réussit à découvrir un vice qu'elle n'a pas encore ! Mais qui va vite rejoindre ses qualités de putain parfaite ! ».

    Annie lui répond en riant franchement : « Tu aurais eu tort de ne pas m'en parler, car j'avais commencé à percevoir ce phénomène, et à fouiller un peu sur Google, sans oser t'en parler car j'avais simplement peur de ta réaction ! Tu dois savoir, Agnès que, comme tes soumises, je te respecte profondément pour tes qualités humaines aussi bien que physiques ! ». Ce gentil aveu d'Annie lui vaut un déplacement d'Agnès, qui, à poil, vient l'embrasser longuement sur la bouche en se soucient comme de deux merdes de Yasmine et moi !

    Agnès se détache d'elle en lui murmurant, « Hum, je ne pense pas que ce soit fini, mais pour l'instant nous avons une putain soumise qui est sur le gril ! Alors,occupons nous d'elle ! ».

    Yasmine caresse de ses joues l'intérieur de mes cuisses tout en se léchant avec soin les lèvres en me souriant pour me faire comprendre qu'elle aimait déjà beaucoup mon goût et mon odeur ! Mais, Agnès revient vers elle, passe par le lit sur lequel elle récupère un énorme vibro de latex dur, blanc et veinuré. Je l'observe avec crainte, il me semble d'un diamètre inhabituel, surtout au niveau du gland et j'estime sa longueur à presque trente centimètres, soit cinq de plus que celui qu'Annie utilise avec moi.

    Elle ordonne à Yasmine de me mettre ça bien au fond de ma connasse, sans tenir compte de mes cris, de bourgeoise perverse mais trop douillette ! Elle recule un peu plus sa tête pour permettre au monstre de se rapprocher de son objectif : mes cuisses sont toujours posées sur ses épaules et j’ai le sexe béant. Elle n'a pas de mal à positionner le gland, qu'elle tourne entre mes lèvres pour bien l’humidifier avant de l’enfoncer doucement dans mon con. Mais Agnès s'impatiente et la menace de punition, et, la pauvre n'a d'autre choix que celui de violer plus durement mon vagin, sans tenir compte de mes cris, au fur et à mesure que cette chose m’écarte les chairs intimes pour faire sa place dans ma connasse.

    Il finit par entrer entièrement, je ne me souviens pas avoir eu quelque chose d’aussi gros dans le con depuis que j'ai perdu mon pucelage. Agnès ordonne à Yasmine de dégager mes cuisses de ses épaules pour que je reprenne ma position précédente de suspendue par les seins.

    Pendant ce temps, Agnès se rapproche de moi et dès que je pends de nouveau, elle stabilise mon corps et me pose un large ceinturon de cuir en haut de mes cuisses. Aidée par Yasmine, elle le serre très fort pour s’assurer que le gode ne risque pas de glisser pas de mon vagin.

    Agnès rit en regardant ma position : « On dirait une truie prête à être empalée et embrochée, pour être cuite verticalement, tu ne crois pas Annie ? ». Elles rient toutes les deux alors qu'Agnès déclenche le vibro, qui, je le constate très vite, n'a que deux fonctions : il vibre de tout son long, et diminue, je ne sais pas de combien, pour revenir de suite à sa dimension maximale. Donc taraudage et pilonnage de mon con : une vraie machine à baiser contre laquelle je ne vais pas pouvoir lutter très longtemps !

    Tout en me regardant gigoter comme un ver sans pouvoir éviter quoi que ce soit dans mon ventre, Agnès met Yasmine à contribution : « Au lieu de te lamenter sur le sort de cette putain sans importance qui est venue à moi pour souffrir et jouir, tu vas m'aider à terminer sa préparation : tu vas aller me chercher dans l'armoire que tu connais si bien : un bâillon écarteur de bouche en latex, un nouveau sex-toy dans sa boîte rouge d'origine qui s'appelle Cap'tain Crochet : joli nom pour ce nouveau gadget qu'une soumise m'a offert la semaine dernière. Je voulais l'essayer sur toi, mais finalement cette putain fera très bien l'affaire ! Et pour terminer, tu prends deux barrettes de douze grandes pinces à linge en bois, et tu reviens vite avec tes courses fatma vicieuse ! ».

    La pauvre Yasmine se contente de baisser la tête en fixant ses pieds, ce qui lui vaut une autre gifle de sa Maîtresse, au même endroit que la première, pour ne pas être partie de suite vers l'armoire. Elle se tient l'oreille et court nue jusqu'à l'armoire. Je la vois dans le miroir, les yeux remplis de larmes, Agnès sait être très dure. Mais sa course est super excitante, car elle a des seins lourds et fermes qui ballottent obscènement quand elle presse le pas ! Elle trouve très vite le bâillon et doit un peu chercher pour trouver le nouveau jouet d'Agnès, elle rapporte les deux accessoires à sa Maîtresse sans la regarder, avec les yeux baissés de la soumise contrite d'avoir été punie trois fois de suite !

    Elle se tient l'oreille et court nue jusqu'à l'armoire. Je la vois dans le miroir, sa course est super excitante, car elle a des seins lourds et fermes qui ballottent presque obscènement quand elle presse le pas !

    Un peu comme ça > vidéo 0mn37 > https://fr.xhamster.com/videos/beaux-seins-en-poire-de-salope-3793176

    Elle trouve très vite le bâillon, doit un peu chercher le nouveau jouet d'Agnès, n'a aucun mal à rassembler les pinces demandées et elle rapporte le tout à sa Maîtresse sans la regarder, avec les yeux baissés de la soumise contrite et honteuse d'avoir été punie trois fois de suite !

    Agnès pose les objets sur son lit et lui ordonne de positionner une première fois le tabouret pour me poser le bâillon sur la bouche. En m'expliquant : « Tu dois connaître, Putain, mais j'utilise beaucoup ce bâillon, car ta bouche va rester très largement ouverte et ne t'autorisera que des grognements inaudibles, sans aucun cri ou mot compréhensible. Comme ça tu nous foutras la paix, mais nous suivront tes souffrances et tes montées vers le plaisir ! ».

    Yasmine, toujours nue, monte sur le tabouret, Agnès lui tend le bâillon qu'elle fixe avec précaution en écartant le plus possible mes mâchoires et en l'ajustant bien à ma dentition, ce que le latex autorise, contrairement au métal. Elle le serre soigneusement sur ma nuque. Et s'apprête à redescendre, une fois son travail accompli, mais Agnès intervient :« Deux secondes ma salope, tu n'as pas fini, elle lui tend le grand frère du vibro que j'ai dans le con en lui demandant de vérifier que le monstre rentre dans ma gueule de conne ridiculement trop ouverte, juste pour voir si l'accès est possible et si elle peut facilement m'en mettre la moitié dans le palais ! ».

    Yasmine obéit en tout point et n'a pas à forcer pour m'enfoncer le vibro dans la bouche, qui est grande ouverte sans que je ne puisse m'opposer à cette pénétration. La longueur que j'ingurgite, malgré moi, semble lui convenir et elle ordonne à Yasmine de ressortir le monstre, de descendre et de changer le tabouret de place, pour me travailler le trou du cul, car elle a hâte de voir ce nouveau gadget à l'oeuvre !

    Je vois, dans l'immense miroir, Yasmine remonter derrière moi. Agnès lui passe le crochet, qui ne semble pas impressionnant pour la partie prévue pour mon anus.

    Mais, comme pour le bâillon, elle explique ce qui va se passer : « Tu vois ton crochet, putain, il est en métal inoxydable et, comme tu as déjà du le constater, la partie que Yasmine va te mettre dans le cul, n'a rien à voir avec le monstre que tu as dans le con ! Mais son usage n'est pas de te dilater l'anus, mais de te faire rentrer du métal bien au chaud dans ton sphincter, voire dans tes intestins. Quand se sera fait, Yasmine attachera le bout du crochet qui sortira de ton anus, à une corde que je vais lui donner. Elle la fera passer dans une poulie différente de celle déjà utilisée pour tes nichons. Quand nous en serons là, elle redescendra du tabouret et je t'expliquerai la suite de ton aventure fantastique au cœur de ton anus de putain ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 3h

    Avec Agnès, tout est écrit, et rien n'est improvisé ! Quand Yasmine a en effet effectué tout ça, j'ai le crochet au fond de mon cul, tout de même assez loin de mes intestins ! Et elle redescend du tabouret en donnant à sa Maîtresse l'autre bout de la corde qui me lie au crochet et le fil électrique équipé d'une prise. Agnès la charge de prendre une rallonge pour pouvoir brancher le gadget à la tête de lit et elle appuie sur la télécommande de la seconde poulie. Peu à peu, la corde se tend, je sens le moment exact où elle commence sa traction sur le crochet enculeur. Mon cul se lève doucement et donc, par un simple phénomène de basculement, mes seins tombent un peu plus vers l'avant et vers Agnès.

    Quand elle estime que ma position est confortable et suffisamment obscène, elle arrête la poulie et demande à Yasmine d'attacher la corde à un des anneaux muraux. Elle vient juste sous mon visage pour affirmer : « Je trouve cette nouvelle position plus intéressante : tu as les nichons plus orientés vers le sol et plus bas d'une quarantaine de centimètres, ce qui, à cause de leur gonflage outrancier, me confirme qu'ils attendaient bien un nouveau geste de ma part ! Je suis contente car j'ai ce geste ! ».

    Il me semble difficile de faire plus cérébral qu'un raisonnement d'Agnès, cette femme raisonne trop vite ! « Mais, à propos de ta position, putain, es-tu contente que ce nouveau crochet, ancré dans ton cul, soulage un peu la tension des cordes sur tes nichons ? ». « Oui, en effet, Agnès et je vous en remercie ». « C'est inutile, putain, j'aime faire plaisir à mes esclaves masos, tant qu'elles me récompensent par une bonne endurance, bien sur ! ».

    Agnès est presque prête à essayer son nouveau joujou, Yasmine l'a branché et lui a sorti le boîtier de commande et le mode d'emploi. Mais elle jette ce papier encombrant et demande à Yasmine d'aller lui récupérer son portable qui doit être dans la poche de son manteau.

    Yasmine fait l'aller-retour en courant et Agnès l'en remercie en lui tapotant gentiment la joue gentiment : « Tu vois, que quand tu veux, tu peux être parfaite ! N'oublie jamais que tu es mon esclave préférée, et qu'à ce titre je ne te passerai aucun faute même la plus minime ! ».

    Elle s'assied sur son lit, écarte ses cuisses et montre sa chatte à Yasmine, qui se met immédiatement à genoux et commence un gouinage magnifique de la chatte de sa Maîtresse. Pour être encore plus à l'aise, Agnès se couche sur son lit, demande un oreiller à Yasmine qui se relève de suite pour la satisfaire et reprendre immédiatement sa place et son léchage alors qu'Agnès lui pose ses pieds nus sur son dos et compose un N° sur son smart-phone.

    « Bonjour, tu me baises les pieds ma pute ? (…) Bien, tu es pleine de foutre, comme tous les soirs ? (…) Ah bon ? Et pourquoi n'as-tu pas appelé une pine de secours ? (…) Il t'a prévenue trop tard ? Mais salope ! Trop tard n'a jamais été une excuse ! II dort ? (…) Je suppose que le médecin l'a saturé de calmants ? (…) Xanax et antibiotiques ? Il ne rebandera pas avant demain soir ! (…) Oui, je te comprends, tu étais inquiète, mais en m'appelant je t'aurais donné des solutions. Ton mari est HS ? Ok, mais pourquoi tu devrais l'être ? (…) Oui j'ai toujours raison ! Alors, je vais te dire la raison de mon appel, et, après ta réponse, je te donnerai un conseil ! (…) Oui je sais que tu n'ignores pas ce que signifie un conseil de ta Maîtresse (…) Je t'appelle pour le Cap'tain Crochet, je me fous du mode d'emploi, je veux que tu me donnes de suite son meilleur programme, pour une pute qui attend avec le crochet dans le cul ! (...) Le « 3 », je le mets en route et je te reprends de suite, en attendant vas dans ton bureau, branche ton ordi et mets toi à poil ! ».

    Elle demande à Annie de lire le programme 3 sur le mode d'emploi et de le lui résumer, et, sans attendre elle le programme et le met en route. Annie lui lit rapidement : c'est un cycle de trois décharges toutes les quinze secondes, la première de 5 volts, puis une de 12 et pour finir une de 24, et le cycle de trois décharges suivies se remet en route indéfiniment.

    Agnès constate de suite les travaux pratiques de cette théorie, car je n'arrête pas de débattre au bout de mes cordes. Je grogne comme un sanglier à chaque décharge. Pour extérioriser ma douleur, et à défaut de pouvoir crier, je suis obligée de tordre mon corps dans tous les sens, sans m'occuper de l'image impudique que je dois forcément donner. Mais ma honte vient surtout de ma bave que je ne peux pas contrôler, comme une chienne enragée ! Ma bouche s'est remplie d'une mousse blanche sale et écœurante qui dégouline par paquets nauséeux sur mes nichons et sur le sol.

    Agnès semble hyper contente, elle programme le sex-toy et laisse agir seul. Elle revient sous moi pour m'assurer que les demandes pressantes de mes nichons ne sont que retardées de quelques secondes ! Elle va dépanner une amie-pute plus intéressante que moi, mais me rassure en me disant qu'elle ne m'oublie pas !

    Mercredi 1er février 2017 - 3h20

    Elle prend un autre oreiller sur son lit, se recouche sur le lit et claque deux doigts pour que Yasmine vienne continuer son travail. Elle a visiblement envie que sa pute tunisienne s'occupe de son petit trou, car le deuxième oreiller lui sert à rehausser un peu plus son cul pour que la langue servile puisse bien s'occuper de son anus et de sa raie des fesses !

    Elle récupère son téléphone et reprend son amie-soumise. « Tu es à poil dans ton bureau, ordinateur branché, ma pute adorée ? (…) Hum, tu me fais mouiller ! On va passer sur Skype, connecte-toi et appelle moi en vidéo ».

    Profitant du temps de réaction de son amie, Agnès demande à Yasmine d'accélérer les léchages de sa langue et de les durcir, même si sa langue doit devenir douloureuse et elle demande à Annie : « Si tu veux, ma chérie, déshabille toi, et rejoint moi sur le lit, tu pourras aussi profiter de la langue ou des doigts magiques de ma pute arabe ! Mais, avant, je te demande juste un service, tu as sur la table de chevet de gauche une télécommande, tu appuies sur on, tu écris avec le clavier Skype et tu fais envoi, merci, ma chérie, rejoins moi vite, j'ai envie de ta langue sur mes nichons de femelle trop chaude ! ».

    Un meuble avec quatre tiroirs et deux portes, juste en face du grand lit s'ouvre en écartant ses deux portes et un écran plasma apparaît. Allumé, il est branché sur le programme Skype alors qu'en même temps la voix de son amie-soumise lui propose une connexion vidéo. Agnès l'accepte vocalement et l'image d'une belle femme d'une bonne quarantaine d'années apparaît sur l'écran. Agnès la prévient qu'elle n'est pas seule et qu'elle ne va donc pas lui transmettre nos images, mais qu'en échange, elle aura demain matin une copie de la longue vidéo faite depuis 19h ce soir.

    « Vous savez bien Maîtresse Agnès que je suis votre pute-esclave, et vous n'avez pas à justifier votre refus d'image, ni à le compenser d'une quelconque manière ! Après tout ce que je vous dois comme leçons d'éducation et en temps de conseils que vous m'avez prodigués depuis presque dix ans, comment pourrais-je avoir le droit de vous en vouloir ? ».

    « Merci mon miel de putain, as-tu toujours ton programme plan-cul direct que nous avions ouvert toutes les deux quand j'ai passé une semaine chez toi ? (…) C'est bien, est-il à jour ? (…) Bravo, j'en déduis que tu t'en sers souvent ? (…) Nooon ce n'est pas un reproche ! C'est au contraire un compliment ! Tu vas le modifier pour ce soir ! (…) Ton scénario : femme, 35, bandante, très salope et vicieuse, non pro, frustrée d'orgasmes, trempée, cherche rencontre immédiate en voiture, idéal 2 hommes ou 1 couple, âge correspondant, cul hard, présentation : à poil sous imper, baise, sodomie, pipe, sperme avalé, bdsm raisonnable bienvenu, peu de paroles, 100% cul et 100% orgasmes, rencontre sans lendemain à saisir, priorité aux premiers. Contact pour heure, lieu et voiture sur anne-marie-inter@hotmail.com (…) Je vais lire les demandes et faire ta sélection. Donne moi le lieu, l'heure, la marque et la couleur de ta voiture (…) Ok c'est noté (…) Je te rappelle sur ton portable. En attendant branle toi la connasse, je te veux dégoulinante (…) Oui, à plus : je vais te faire venir pour que tu suces mes pieds et mon cul ! Jouis bien ma pute adorée ! Et n'oublie pas d'allumer ton plafonnier et de brancher la web-cam de ton auto sur Skype, faible luminosité ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 3h40

    Agnès regarde son radio réveil et dit à Annie : « Je pense que nous pourrons nous connecter dans 10mn, je vais chercher mon ordi portable ». Yasmine bondit du lit en la suppliant presque : « Non, Agnès, ne vous dérangez pas, je vais vous le chercher et vous le connecter sur Hotmail, s'il vous plait ! ». Agnès rit, voit Annie, à poil, prête à la rejoindre au lit et accepte. Elle attend qu'Annie se couche pour se mettre tête bêche et se coucher sur elle pour lui imposer un 69 dont, elles mouraient, visiblement d'envie toutes les deux !

    Je les regarde, jalouse des deux, tellement excitée par l'idée idiote d'être conviée à leur délire, ne serait ce que pour lécher leurs pieds ou leur éviter d'aller aux toilettes en leur offrant ma bouche pour se soulager. J'ai hâte que les décharges s'enchaînent, pour punir mon corps de mes pensées malsaines et je me jure que pour le prochain cycle des triples décharges, je ne bougerai pas un seul centimètre carré de mon corps. Mais quand la troisième me brûle de ses milliers d'épingles, je n'ai aucun autre choix que de cesser de résister et de jouir deux fois coup sur coup en moins de cinq minutes, je dois en être à mon sixième orgasme depuis qu'Agnès a branché mon cul à la prise, et je commence à voir ce qui m'entoure à travers un brouillard inexplicable !

    Quand Yasmine revient avec le PC d'Agnès, elle est sidérée par ce qu'elle découvre ! Deux Maîtresses qui se gouinent dans un 69 d'ados, et moi, au dessus d'elles qui continue à m'agiter comme un pantin quand l'électricité me ravage vicieusement tout mon trou à merdes.

    Elle n'ose rien dire pour me défendre et se positionne derrière Agnès, qui étant couchée sur Annie a son cul très accessible et à une bonne hauteur : elle la prévient en lui glissant sa langue dans la raie qu'elle est prête et désireuse de lécher son anus béant, dégoulinant de sueur et de sécrétions.

    Agnès lui répond en tirant une poignée de ses beaux cheveux longs vers son cul et lui rapprocher la tête de son anus. La conjugaison des deux langues fait qu'Agnès part dans un orgasme dévastateur qui lui tétanise les muscles de tout son corps et lui fait frapper la bouche d'Annie avec sa chatte grande ouverte et punir Yasmine en lui projetant ses fesses sur le visage. Curieuse et originale manière de jouir ! Mais Agnès ne fait rien comme tout le monde !

    Elle repousse Annie et voit que l'heure a tourné, elle se relève, pose son portable sur le lit. Comme promis il est dans Messenger, elle n'a plus qu'à rentrer son code et lit : « Oups, j'ai plus de vingt messages ! Mon amie-pute va être enchantée ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 3h50

    En tournant à peine la tête vers moi, et en commençant à lire ses messages, elle me dit : « Rassure-toi, putain, je ne vais pas te laisser refroidir ! Indique à Yasmine en hochant ta tête, combien de fois tu as joui depuis que j'ai électrifié ton trou à merdes de putain ? ». Constatant que sa Maîtresse a besoin d'elle, Yasmine s'agenouille sur le lit et me voit hocher six fois la tête de haut en bas. Sans marquer son étonnement elle traduit pour Agnès : « Six fois ». « Quelle nympho ! Une vraie putain-perverse campagnarde ! Qui est capable de jouir six fois en un peu moins d'une demi-heure ? Tu es un phénomène de foire ! Et, en plus je te crois ! Je vais te récompenser car, même si tu l'ignores, moi je sais ce qu'attendent tes nichons de putain ! ».

    Elle sait se concentrer sur les deux choses qu'elle fait en même temps ! Un premier tri des messages reçus, et l'annonce de ce qu'attendent, selon elle, avec impatience mes nichons de pute campagnarde !

    « Yasmine a regroupé vingt-quatre grandes pinces en bois, elle va les compléter par deux grandes pinces en plastique. Elle montera sur le tabouret pour t'en mettre treize par sein : celles en plastique sur chaque téton et les autres en spirale autour de tes aréoles et dans le gras de tes globes à la peau si tendue. Elle redescendra et te laissera pincée pendant deux cycles du Cap'tain, il faut bien que nous puissions admirer et filmer tes réactions de notre putain aux nichons pincés ! ».

    « A la fin du second cycle, elle choisira entre un martinet à lanières de cuir et une cravache de cuir, et tu ne devras plus la quitter des yeux, quand elle fera l'unique travail dont je la charge : détacher une à une les vingt-six pinces, mais uniquement en les frappant suffisamment fort pour qu'elles tombent seules par terre ».

    « Elle aura un cycle pour ramasser les vingt-six pinces, un autre te repincer de la même manière, et tout recommencera tant que je ne lui dirai pas d'arrêter ! Allez, au travail : et je veux que ma belle putain d'Issoire prenne un maximum de fois sont pied entre sa suspension, le spectacle gratuit que nous allons lui offrir, les décharges électriques dans son trou à merdes, le pilonnage de sa connasse et, en plus, les coups surs de Yasmine sur ses nichons et l'arrachage pince par pince, probablement facile pour celles en bois, mais pas forcément pour les deux en plastique ! ».

    Je vois des larmes couler des yeux de Yasmine alors qu'elle prépare son tabouret et y monte avec les plaquettes de pinces qu'elle commence à me poser comme lui a indiqué Agnès !

    Pendant ce temps, Annie a rejoint Agnès et lisent les mails, nues à plat ventre sur le lit, en les commentant à voix hautes : « Bof, pas celui là, il est trop vieux ! ». « Non, ils sont trois, ça ne va pas !». « Hum son style ne me plaît pas !». « Il devrait apprendre à écrire avant de répondre ce connard !». Elles semblent prendre beaucoup de plaisir à faire ça conjointement, et ça me réjouit un peu, alors que Yasmine a terminé son travail en me laissant suspendue avec des nichons comme deux hérissons qui ne tardent pas virer au violacés ! Je vois même Annie passer ses deux mains sous elle, une pour se masturber et l'autre pour astiquer son amie qui a les mains occupées par son clavier !

    Mercredi 1er février 2017 - 4h00

    Agnès regarde son radio réveil : « Oh, 4h00 ! Il faut donner une réponse à mon amie, elle doit penser que nous la laissons tomber ! ». Annie, surement fière d'être conviée à la réflexion, lui résume leurs choix finaux : « Nous avons deux hommes de 38 et 40 ans queutards et fiers de l'être, ou un couple, lui 40 et elle 30, à priori attirés par le bdsm, tu veux lui donner le choix ou désigner l'un des deux ? ». « Je lui ai dit que je choisirai pour elle, on va prendre le couple, elle devrait mieux s'amuser, les mecs ne feront qu'utiliser ses trous pendant des heures, avec le couple, ce devrait être plus varié, surtout si la femme est cérébrale, intelligente et un peu gouine ! ».

    Annie l'approuve totalement et Agnès récupère son téléphone, alors que Yasmine commence sa première collecte de pinces. Comme annoncé, les pinces de bois posées sur une peau hyper-tendue ne résistent pas et tombent après un seul coup de martinet, mais celles en plastique qui mordent toute la chair d'un téton, sont plus résistantes et Yasmine doit utiliser la cravache pour qu'après une dizaine de coups précis, elles finissent par se détacher.

    Je ne sais pas comment j'ai pu faire, m'ai j'ai pris deux fois mon pied pendant cette torture que je qualifiais, avant de la subir, de torture extrême, et je ne me pose plus qu'une seule question sur mon masochisme : vers où va-t-il continuer à m'entraîner ? Car je constate que le corps et surtout le cerveau s'habituent très facilement à la douleur, contrairement à ce que je pensais il y a encore quelques courtes semaines !

    Agnès est contente de ma progression : deux orgasmes en me faisant fouetter les nichons pour décrocher des pinces, c'est assez étourdissant, comme moi, elle ne se fait plus aucun souci pour mon masochisme et mes tortures à venir !

    Comme à son habitude, elle ne sait faire que plusieurs choses en même temps : elle téléphone donc à son amie, tout en appuyant sur la main d'Annie pour qu'elle continue ses caresses et lui désigne même un sein qu'Annie s'empresse de venir sucer et lécher, trop contente d’être chargée de mener Agnès à l'orgasme !

    Son amie est en ligne : « Re-bonsoir ma belle putain ! Ton fauteuil est bien mouillé ? (…) Hum tu as bien fait de le protéger ! (…) C'est bien de ne pas avoir joui ! (…) Oui, car il y avait beaucoup de propositions, mais je crois que je t'ai choisi la meilleure ! (…) Mais, oui je comprends ton impatience ! (…) Il s'agit d'un couple, Richard 40 ans et Florence 30 ans, ils ont adoré ton âge, apprécié que tu sois bandante, salope, vicieuse et non pro. Que tu sois en manque, trempée et à la recherche d'un couple, pour une séance à poil sous imper avec baise et bdsm. (…) Ils ont un peu modifié tes stats : 50% cul, 50% obéissance et 200% orgasmes (…) Ils ont rit à tes : « Rencontre sans lendemain à saisir et priorité aux premiers ». (…) Tu as rendez-vous devant le palmier de la Gare, ils ont une Audi A4 marine, et seront sur place à 4h45 (…) Laisse ton portable branché, je te suivrai en géo localisation et si problème je t'appelle de suite, n'oublie pas de brancher ta web-cam sur Skype et en luminosité très faible (…) Éclate-toi bien, demain je t'enverrai un commentaire de ta soirée et le clip promis (…) Je coupe ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 4h10

    Agnès a coupé très vite, car Annie est arrivée à ses fins et l'a laisse pantelante et respiration coupée en travers de son lit, nue, cuisses largement ouvertes en train de tâcher son couvre lit.

    Telle que je suis placée, alors que Yasmine m'a remis une deuxième fois les vingt-six pinces, aucun détail de la scène ne m’échappe.

    Annie se lève et signale à Agnès qu'elle va aux toilettes et se rafraîchir un peu, quand Agnès, revenue très rapidement sur terre demande à Yasmine de lui rapporter Maxtor de l'armoire.

    Pour éviter une nouvelle punition, elle se lève de suite, mais je remarque que ses yeux sont pleins de larmes qu'elle arrive toutefois à contenir en rapportant ce fameux Maxtor qu'elle dépose à côté de sa Maîtresse qui ferme son PC portable et le range dans un des tiroirs de la table de nuit.

    Agnès lui demande se coucher sur le lit et d'ouvrir très largement ses cuisses. Elle prend trois oreillers qui traînent sur le lit et se met à genoux entre les cuisses de sa pauvre esclave. Elle lui claque la cuisse pour qu'elle lève son cul et lui glisse un coussin sous les fesses pour bien la rehausser. Et elle lui jette les deux autres coussins sur les seins en lui demandant de poser sa tête dessus pour avoir une belle vue de son bas ventre.

    C'est à ce moment là qu'Annie revient. Agnès agenouillée au pied du lit, entre les cuisses de son esclave, se tourne vers elle et lui dit : « J'ai un petit service à te demander ma chérie, je peux ? ». « Mais, bien sur Agnès, ce que tu voudras ! ». « Oh, c'est simple, j'avais envie de m'occuper de ma pute arabe, et j'ai pensé que ça te ferait plaisir d'aller cueillir les pinces sur les nichons de ta putain, est-ce que je me trompe ma chérie ? ».

    Annie rit ! « C'est mal me connaître de penser que ce serait une corvée, je vais même faire en sorte que les vingt-six pinces ne tombent pas une seule fois au premier coup ! Ca enchantera ma putain qui devient de plus en plus maso au fil du temps passé avec toi Agnès ! Et je t'en remercie ! ». Et, nue, elle s'approche de moi, armée du martinet et de la cravache et commence à ramasser ses fruits murs, en continuant à colorer de violet mes nichons torturés et à les zébrer de stries, traces vivantes de ma torture !

    Agnès a mon image dans le miroir latéral et elle revient vers Yasmine à qui elle jette un regard méprisant, de la voir ainsi s'offrir à elle nue et veule, les cuisses obscènement ouvertes à la limite de ses articulations.

    Elle prend à côté d’elle le Maxtor : en fait c'est un gode-double noir en latex dont je n'avais jamais rien vu de semblable : une partie lisse et d’une dimension et d'un diamètre tout à fait raisonnables, mais de l’autre côté de la base de latex séparant les deux parties, le gode devient énorme et plus long, mais, il est surtout hérissé sur toute sa longueur de picots qui semblent être en latex plus ou moins souple.

    Yasmine semble bien le connaître car elle supplie sa Maîtresse en pleurant pitoyablement : « Non je vous en supplie, Agnès, pas celui là, vous savez que je ne le supporte pas : il est trop gros et trop douloureux pour moi et me déchire chaque fois l'ouverture du vagin, oh, je vous en supplie, Maîtresse adorée, choisissez-en un autre ! »

    Pour toute réponse Agnès appuie doucement le gland énorme et ses picots sur l’entrée de son vagin et lui dit : « Tes options sont les suivantes : tu te débats, tu cries ou tu essayes de te dérober : je t’attache et je te viole le con et le cul avec ce gode, et moi j'en profite pour jouir deux fois, une en te niquant et l'autre en t'enculant ! Mais, par contre, si tu me promets de te laisser gentiment faire, non seulement je vais te chercher un tube de vaseline pour t'aider à l'invaginer et je me baise jusqu’à ce que je jouisse deux fois en te niquant et je t'en débarrasse de suite. Tu vois, comme je suis compréhensive, je ne te punis pas pour tes protestations, et, en plus je te laisse un choix qui me semble très correct ! ».

    En un éclair, et alors qu'Annie est arrivée, aux deux dernière pinces en plastique, en ayant pris son temps, comme promis, en ne faisant chuter les pinces qu'après deux ou trois coups de martinet vicieusement assénés, et m'avoir déjà fait jouir deux dois : je m’imagine à la place de Yasmine avec ce monstre dans le ventre et tout mon corps se contracte pour un troisième orgasme cérébral qui s'alimente aussi de la chute de la première pince en plastique décrochée par un coup fulgurant de cravache, ce qui inonde mon con et donc le vibro lui permettant d’encore mieux me fouiller.

    Agnès à qui rien n’échappe s’en rend compte et dit à Yasmine : « Tu vois, la putain Loré vient de donner sa réponse : elle a envie de sentir ce gode écarteler son vagin et lui remplir le con pour en jouir comme une bête ! ».

    Et sans attendre la proposition à son offre magnanime, elle s’enfonce lentement dans le vagin trempé de Yasmine d’un mouvement lent et très régulier, Yasmine en pleurs voit le monstre disparaître peu à peu en elle, son vagin doit lui faire incroyablement mal mais elle essaie de résister pour ne pas hurler.

    Le temps semble s’être figé quand, enfin, la base de latex vient toucher ses grandes lèvres. Agnès pose ses mains sur cette base. Elle se relève, se désengageant de sa partie du gode, et après avoir longuement regardé les bords du vagin de sa pute, elle dit à Yasmine : « Tu peux serrer tes cuisses de salope pour bien sentir ta partie du gode dans ton vagin, et, je te signale que ton accès vaginal est intact, tu n'as pas été déchirée d'un centimètre ! Bientôt je te ferai dormir avec Maxtor ! ».

    Ce qui fait grimacer la pauvre Yasmine rien que d'y penser ! Agnès rit de sa réaction un peu enfantine et lui dit : « Avant de continuer, tu vas étrenner ça : c’est le même ami artisan qui me l’a offert, je suis sûre qu'il va te plaire ! ». Comme Yasmine ne peut pas trop bouger à cause du Maxtor, elle lui jette un soutien gorge de latex, apparemment normal. Yasmine semble rassurée, mais quand Agnès se rapproche d'elle pour l'aider à se redresser et pour l’enfiler, elle découvre avec horreur que l’intérieur des bonnets est recouvert des mêmes picots qui tapissent le gode, mais durs et non souples ! « Eh oui ma salope arabe, ce sera moins confortable que tes bonnets de satin habituels et en plus j'ai demandé du 90a alors que tu fais un 95c ! Ca risque donc te serrer un peu ! ».

    Connaissant Agnès, Yasmine n’insiste pas et enfile ses seins dans les deux bonnets avant de mettre les bretelles sur ses épaules et de passer ses deux mains dans le dos pour l’agrafer. Elle grimace : « Alors ma salope, tes premières impressions ? ». « Oh, Agnès, j’ai l’impression que des centaines de guêpes sont entrées dans mon soutien gorge et plantent leurs aiguillons dans mes seins ».

    Agnès se retourne vers Annie en lui disant : « On se croirait dans un cirque ! Ta putain d'Issoire a un serpent qui lui mange le con, elle croit sentir des décharges électrique au milieu de ses étrons en préparation et en plus, des fruits en forme de pinces fleurissent régulièrement sur ses nibards de catin ! Quand à ma pute, elle des guêpes dans son soutif et la pine de Hulk dans sa connasse de bourgeoise vichyssoise de mon cul ! ». Elles éclatent de rire alors qu'Annie est occupée à rassembler la nouvelle récolte de pinces !

    Visiblement heureuse de faire son show devant deux soumises à son entière disposition, Agnès pose un pied sur le lit et s'apprête à s'empaler sur la partie lisse du gode, en nous regardant tour à tour dans les yeux.

    En croisant les miens, elle se rend de suite compte que je ne suis plus là, perdue entre douleur, plaisir et excitation de ce que je vois et de ce que je ressens et que j'embarque une nouvelle fois pour un orgasme incontrôlable, grognant mon plaisir, sans pouvoir le hurler, en essayant de bouger ce que je peux de mon ventre pour mieux sentir le vibro me torturer sans bouger trop mes nichons qui commencent à à être ultra sensibles !

    Elle me sourit vicieusement sans rien rater de mon orgasme, et sans attendre que j’ai fini, elle met le vibro sur sa vitesse maximum en me disant : « On va arrêter un peu les pinces, car ta poitrine commence à me faire pitié, mais je te conseille d’enchaîner les orgasmes de ton cul électrifié et de ta connasse pilonnée, si tu ne jouis pas assez pendant que je nique Yasmine, c’est ma cravache sur tes nichons qui te fera jouir, probablement sans pinces, mais pendant une bonne semaine tu devras te faire tirer habillée et dans le noir pour que tes clients ne te posent pas de questions gênantes ! ».

    Elle revient vers Yasmine, se met à genoux entre ses cuisses, et s'adresse à nous toutes : « Vous vous imaginiez vous régaler à me voir jouir sur ce gode monstrueux, cuisses de pute ouvertes, bouche de salope déformée et nibards tombants et ballottants : c’est mal me connaître : Annie peux-tu leur masquer les yeux, s’il te plaît ? ».

    Annie récupère deux masques de voyage dans l'armoire et monte sur un tabouret pour me poser le mien. En en descendant, elle fait pareil à Yasmine.

    Je me sens frustrée de ne pas voir Agnès jouir, j’entends simplement les bruits de mouille que son vagin fait quand elle s’empale sur le gode qui dépasse du bas ventre de Yasmine et les cris de douleur de cette dernière au fur et à mesure qu’Agnès se gode à une vitesse très rapide !

    J’espère qu’Annie aura pu filmer cette scène et que je la verrai dans un de mes clips. Un grognement de plaisir nous annonce qu’Agnès jouit une première fois et le bruit que fait son vagin en se retirant du gode est profondément obscène. Gentiment elle propose de suite à Annie de profiter du gode bien lubrifié et bien chaud mais Annie rit : « Mon plaisir est avant tout cérébral, Agnès, ne te fais pas de souci pour moi, quelques secondes de ma main sur ma chatte suffirait à m’envoyer en l’air ! ». Agnès rit : « Comme tu voudras, je vais tenir mes engagements ! Et elle se ré-empale sur le gode pour arriver très vite à son deuxième orgasme ! ».

    Quand elle a fini, elle dit à Annie ! « Ma proposition pour t'envoyer en l'air tient toujours, moi je vais dans le salon pour suivre mon amie-pute, quand tu en auras fini avec elles, tu peux leur enlever leurs masques, et demande à Yasmine de libérer Loré, de se doucher et de partir, dis lui qu'elle aura un mail de ma part dans sa bal en arrivant chez elle ! Merci, Annie à toute à l'heure, nous n'allons pas tarder à nous coucher ! ».

    Eh, voilà, encore une nuit presque blanche, mais à Vichy, décidément, je vous mène la vie dure ! Nous sommes le :

    Mercredi 1er février 2017

    Et il est :

    4h45

    Donc l'heure pour moi d'aller fantasmer sur la suite des aventures coquines ou cochonnes ? De Loré !

    Suite > Chapitre 7


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :