• Chapitre 8

    Chapitre 8

    Jeudi 2 février 2017 - 2h

    Comme préconisé par Agnès, chacune de nous se repose à sa manière : en buvant de la Vichy Saint Yorre ou un cognac. En fumant une cigarette ou en faisant une mini sieste. En se douchant ou en choisissant sa tenue de soirée dans le living d'Agnès qui nous l'a ouvert très gentiment !

    Personnellement, je prends une longue douche et, en peignoir, je retourne dans la chambre d'ami où sont stockés mes affaires : mon top moulant, ma jupe trop courte, mes bas et mes escarpins fermés, et, avec le manteau de laine qui m'appartient, je serai très bien.

    Je range soigneusement les vêtements prêtés par Yasmine dans la chambre d'Agnès. Je rejoins tout le monde dans le salon, préviens Agnès pour les vêtements de Yasmine. Nous prenons nos sacs, enfilons nos manteaux et nous nous répartissons les voitures.

    Agnès désire conduire, encore un peu, la belle voiture d'Yves et veut me parler, elle s'assure que ça ne dérange pas Annie et elle ouvre la route en s'assurant qu'Annie suit bien.

    Le temps a fraîchit et elle met même un peu de chauffage dans la voiture. Nous roulons en silence quand elle me demande : « A ton avis, combien de fois, pourras-tu venir à Vichy chaque semaine ou chaque mois, pour que je me fasse une idée, de ce que nous pourrions prévoir ? ».

    Je réfléchis : « Je ne voudrais pas vous répondre de bêtises, Agnès, mais il me semble que je pourrai essayer de venir entre deux et trois fois par mois, et faire coïncider ces montées, avec une nuit sur place ! Ai-je bien répondu à votre question, Agnès ? ». « Ce serait, en effet, un rythme idéal, j'aimerais tant que tu puisses le tenir, ma Chérie ! ».

    Elle fait un petit mouvement vers le haut, se tortille un peu, remonte sa jupe sur son ventre et me dit doucement : « Sois sure que je t'aiderai au maximum, ma Chérie, veux-tu poser ta tête sur mes cuisses, je sais que tu ne seras pas idéalement bien placée, mais j'ai tellement envie de ta langue sur mon clitoris, même sans que tu ne m'envoies en l'air ! ». Le reste du trajet passe comme un éclair, sans lumière mais pas sans bruits !

    Jeudi 2 février 2017 - 2h20

    Quelques minutes après, elle me conseille de me redresser, la voiture décélère, quitte la route et entre sur un parking relativement peu encombré, mais mal éclairé. Je corrige ma tenue, reprend un peu ma coiffure et lui demande : « C'est l'établissement de votre ami ? Ca a l'air sympa, mais la nuit ça manque un peu de néons ! ». « Ce lieu est comme toi : agréable et naturel : pourquoi te maquiller alors que tu es si bandante sans ? ».

    Je ris de son humour et, elle enchaîne pour me prouver qu'elle est d'excellente humeur : « Ne te fais aucun souci, je connais cette région et tous les bons coins comme ma poche et j’ai des amis partout ! ». « Parfait, alors comme d’habitude je me laisse guider ! L’avantage avec vous ou Monsieur Georges, c’est que je n’ai pas grand chose à faire ! ». Elle rit ! « Oui, on connait les bons plans, et toi tu les payes en nature, nous avons tous et toutes nos rôles dans la vie ! ».

    Elle se gare devant l'entrée du bar, à côté de quatre voitures et d’un camion. Tout en laissant une belle place à la voiture d'Annie. Nous nous retrouvons toutes les trois dehors et elle nous dit, jovialement : « Venez, les filles, nous allons saluer mon ami Maurice et découvrir l’ambiance si particulière de son Auberge hors norme ! ».

    Nous entrons dans une très grande pièce enfumée ! Ce Monsieur Maurice n'a visiblement pas connaissance, de la loi anti tabac dans les établissements accueillant du public ! Il y a une dizaine de personnes agglutinées au bar, dont le patron qui jaillit de l'arrière du comptoir et se précipite sur Agnès pour la serrer dans ses bras et l’embrasser comme du bon pain !

    « Agnès, toi ici ! Il me semble que ça fait un siècle que je n'ai pas eu l’honneur de ta visite ! ». Agnès éclate de rire : « Tu as raison, Maurice, et c'est pour ça que je profite d'un petit trajet Vichy-Issoire pour, enfin, m'arrêter chez toi, te présenter deux amies très chères et prendre un peu de bon temps, comme chaque fois que je viens chez toi ! Et, surtout boire ton fameux Armagnac hors d’âge ! Il t’en reste toujours ? ».

    « Mais bien sur ma Chérie, et si je n’en avais plus, j’enverrai quelqu'un réveiller l’épicier pour qu’il m’en vende un tonneau ! ». Il nous indique une table confortable : « Asseyez vous là, je vais vous chercher ce nectar et, ne me parle pas d'argent ce soir ! Sinon je me fâche ! ». 

    Jeudi 2 février 2017 - 2h30

    Nous nous asseyons et Agnès nous commente le lieu : « Ici, c'est ce que Maurice appelle la grand'place, ou tout est regroupé : le bar, les jeux automatiques : flippers, fléchettes et autres billards, le casino totalement illégal, le petit podium pour des spectacles improvisés ou des karaokés et les tables de jeux de cartes ! ». 

    « Derrière, il y a d'immenses cuisines, super équipées qui peuvent servir à préparer n'importe quel plat sans réservation, et Maurice a des frigos toujours pleins : il passe son temps à nous prévenir : « Qu'un jour, un Émir du pétrole entrera, avec toute sa smala, et qu'il mangera tellement bien, qu'il achètera sa modeste Auberge en le couvrant d'or, jusqu'à ce que la plus petite partie de son corps soit cachée par l'or ! »».

    Il revient avec une bouteille poussiéreuse et quatre très beaux verres à  liqueur, qu’il remplit à moitié, aussi délicatement que s’il y versait de l’or fondu ! Après avoir apprécié l'arôme, en effet assez extraordinaire de ce breuvage, nous trinquons.

    Maurice rattrape le temps perdu en bombardant Agnès de questions : « Alors que deviens-tu ? Que fais-tu ? As-tu de nouvelles activités ? Es-tu toujours à Vichy ? Et comment va Patrick ? ». Agnès apprécie du nez et du palais ce précieux nectar avant de lui répondre : « Je vis toujours à Vichy, j'ai toujours le même job, mais en beaucoup plus étoffé, car je travaille avec Monsieur Georges, qui m'a chargée de te saluer très amicalement, et, comme tu dois pouvoir le constater, je suis de plus en plus en forme ! Le seul point sombre est que Patrick n'est plus parmi nous, mais, si ça ne te dérange pas Maurice, je préfère ne pas en parler ! ».

    Après un instant de recueillement, yeux fermés et visage crispé, Maurice se signe et dit à haute voix : « Sois-en paix, mon cher ami, je suis très triste d'apprendre que je ne te reverrai jamais plus ! ».

    « A part cette bien triste nouvelle, je suis très heureux pour toi. Tes élèves grandissent bien ? En étant heureuses et en gagnant plein de sous ? ». Elle rit : « Je n’ai aucune plainte, ni des élèves, ni des professeurs. Mais tu sais que chez moi la discipline est la seule règle : seules les meilleures et les plus endurantes réussissent, les autres partent d'elles-mêmes ! ».

    Maurice se lève pour resservir un client au bar. J'en profite pour avouer à Annie ma difficulté à suivre leur conversation ! Elle me sourit et m'approuve ! Agnès, qui nous a entendues, décide de nous rajouter des sous-titres !

    « Maurice m'a connue il y a très longtemps, alors que j'étais une des bonnes élèves du club de Monsieur Georges, dans la même catégorie qu'Annie ! Et, en plus, avec sa bénédiction et son aide, j'avais créé, une sorte de collège très privé où j'enseignais l'obéissance et la soumission, durant des cours payants, et parfois même, lors de travaux pratiques, hors du collège ! ».

    Maurice revient de très bonne humeur, car, probablement, en servant son client, il a du se remémorer un moment épique de leur collaboration : « Je me rappelle encore, comme si c'était hier, alors que ça doit dater d'au moins 10 ans en arrière, que je t’en ai demandé six filles, d’un seul coup, pour une soirée très privée, avec des gens de la haute, bourrés de pognon ! ».

    « Ils devaient être une dizaine et finalement, avec le bouche à oreille ventant la qualité des filles de ton écurie ! Ils ont débarqué à vingt ! Sans te faire connaître, sous le pseudo de Marguerite, je crois ? ». « Non de Nathy, pour Nathalie, car à cette période, ce prénom me parlait bien ! ». « Ah ! Oui, Nathy, je m'en rappelle ! Tu as décidé de grossir leur nombre et vous avez assumé d’une manière remarquable ! Ils sont tous partis aux aurores, repus, vidés, contents et aussi un peu moins riches qu'à leur arrivée ! ».

    Mais, Maurice précise que ce n'est pas terminé ! : « J’ai du vous loger jusqu'au soir tellement vous étiez épuisées ! Mais la fiesta du soir a encore été mémorable, car j'ai fermé l'Auberge, et avec la poignée d'irréductibles qui restait, dont vous, les sept filles, nous avons bu, mangé, chanté et dansé à poil, alors que de temps en temps, un couple allait s'allonger sur une table, pour baiser, applaudi par tous les autres ! Je n'ai jamais assisté à une fête aussi joyeuse, ni à une partouze aussi amicale et sans aucun préjugé ! Mon Dieu, quel bon souvenir, je dois absolument retrouver la date pour la graver sur ma tombe ! ».

    Agnès rajoute ! « Et, toi Maurice, en me faisant jouir sur une des tables, tu me murmurais à l'oreille : « Rends-toi compte, ma douce, que certains ont baisé Madame Agnès ! Sans le savoir ! Oooooooh ! S'ils l'apprenaient comme ils seraient désappointés ! ».

    Entre la mise au point d'Agnès et l'anecdote de Maurice, Annie et moi en savons un peu plus sur les débuts d'Agnès dans le métier de la prostitution-obéissante ! Maurice enchaîne en lui disant : « Tu sais que si tu avais pris un pourcentage sur tout ce que tu as fait gagner à ces femmes depuis leurs débuts ! Tu serais multi-millionnaire à ce jour ? ».

    Elle éclate de rire : « Usés par leurs jouissances, mes trois maris m'ont laissé un dixième des immeubles de rapport ou des meublés de Vichy ! Et tu me vois prendre 50€ à une fille, qui se casse le cul au sens propre comme au figuré, pour en gagner 200 ? ».

    « Et, toi, Maurice, où sont passés tes millions brûlés dans des vins ou des alcools hors de prix ? Du caviar servi à la louche, sans présenter l'addition à tes invités ? A mater les culs des Reines des Putes de l'époque à qui tu offrais quinze jours tout compris dans le plus bel hôtel de Vichy, et que, certaines fois tu ne baisais même pas ? ».

    « Maurice, tu es le Roi de la nuit ! Tu ne fais jamais rien pour du pognon ! Mais toujours tout pour le plaisir ! Tu veux être le seul ? Eh bien ! Non ! Sur ce coup, je ne te laisserais pas ! Nous serons deux ! ».

    Il applaudit Agnès, nous entraînant tous, y compris les clients du bar ! Qui n'ont pas du tout comprendre ! Il nous ressert de son splendide nectar ! Et lance une dernière pique à Agnès : « Eh bien, moi je n’aurais pas hésité ! J'aurais taxé toutes ces petites putes qui te doivent tout ! ».

    Agnès, un peu énervée, lui rétorque : « Vieil entêté ! Et avec cet argent tu aurais acheté le Grand Hôtel des Thermes pour te faire chier en costard derrière ton accueil en faisant des courbettes, alors qu'ici, chez toi, c'est nous tous qui t'en faisons ? ».

    Maurice se tourne vers Annie et moi et nous dit : « Mesdames, que je ne connais pas encore bien, vous venez d'avoir la preuve par neuf, de l’unique défaut de votre amie : « Madame a toujours raison ! ». Rappelez vous en bien, si vous voulez que vos relations perdurent avec elle ! ».

    Agnès rit : « Je vais te contredire,mon grand ami ! Car, cette fois, c’est toi qui a raison ! Et, au passage, je vous présente à tous les trois, toutes mes excuses, car je n'ai pas eu la courtoisie de vous présenter : Maurice : un complice de longue date, comme vous avez du vous en rendre compte ! Loréna une excellente élève de fraîche date qui ira très loin ! Et, Annie, sa propriétaire qui, en me présentant son esclave, est vite devenue une grande amie ! ».

    « Eh bien, nous aller arroser les présentations ! Buvons à Annie, Loréna, Agnès, Maurice, à l'amitié mais aussi au cul avec un grand Q ! ». Et Maurice nous ressert, mais chaque fois les verres sont de plus en plus remplis et la bouteille de plus en plus vide, et je commence à voir en double, ce qui m'inquiète sérieusement !

    Sans vraiment me rendre compte de ce que je fais et, surtout de ce que je dis, je regarde la pendule au dessus du comptoir et dis à Agnès : « Ca fait une heure que nous sommes là, et je commence à être complètement saoule, je pense qu’il serait grand temps de continuer chacune nos routes et de prévoir un autre rendez-vous ? ».

    Après un blanc très gênant qui glace l'ambiance, sa réaction n’est pas du tout celle que je prévoyais, elle me gifle violemment devant tout le monde en me conseillant très fortement de fermer ma gueule et de fixer le sol sans bouger un sourcil !

    Jeudi 2 février 2017 - 3h

    J'ai le temps de capter un regard de Maurice qui semble très gêné pour moi, mais qui se garde bien de dire quoi que ce soit, car, il sait que dans ce genre d'incident tendu, il ne vaut mieux pas la contrarier.

    « Je suis déçue, Putain-Loré, il suffit donc que je sois un peu tendre et familière avec toi, pour que tu penses que tout t’est permis. Mais, tu sais ma grosse salope ! Quand je te laisse lécher mon clito en venant dans l'Auberge de Maurice ! C'est parce que je t'ordonne de me lécher le clito, et non pas pour satisfaire une des tes envies ! ».

    « En résumé, tu viens de nous dire : « Eh ! Les connasses ! J'en ai plein le cul d'être là, à écouter ce vieil alcoolo ! Je commence à être imbibée ! Alors, je suggère que nous nous cassions, vite fait, et de nous revoir plus tard ! Qu'en pensez-vous ? ».

    J'essaye de me défendre, mais je prends un double aller-retour qui m'oblige à me tenir les joues et un : « Je t'ai conseillé de ne plus ouvrir ta gueule de connasse, alors, tu as intérêt à m'obéir pauvre conne ! ».

    « Tu voulais me dire que tu t'étais lourdement trompée, et que tu me suppliais à genoux de te le faire payer de suite ? Voilà qui est très bien dit, ma Chérie ! Et j'espère que ma punition sera à la hauteur de tes attentes, si tu la trouves pas assez ou trop dure ! N'hésite pas à te plaindre à mon secrétariat ! Salope d'enculée ! Blatte de chambre de bordel ! Torcheuse de culs ! ».

    Après tant de violence, elle demande à Maurice de lui indiquer où est sa chambre ? Il semble dessoûlé d'un seul coup et lui répond : « Au premier, juste en face de l’escalier, Agnès ! ».

    « C'est parfait ! Tu vas être le premier à profiter de la chaude hospitalité de mon élève si mal éduquée : Putain Loré, tu vas monter dans la chambre de Maurice, te foutre à poil, te coucher sur le dos, écarter largement tes jambes et ouvrir bien grand ta connasse de tes dix doigts et attendre qu'il vienne s'occuper de toi, sans aucun tabou, sans que tu ne murmures un son, un non ou un pourquoi. Tu lui obéis et c'est tout ! ».

    « Il n'a aucune limite de temps ! Mais, quand il en aura fini avec toi, tu redescendras à poil, tu viendras te coucher sur le billard et ceux qui en auront envie te baiseront comme ils le voudront : pour Maurice, ce sera bien sur gratuit, et pour les autres ce sera 1€ le trou ! Je t'explique, car tu ne sembles pas toujours tout comprendre : si l'un deux veux jouir, dans ton cul, dans ton con et dans ta bouche : il paiera 3€, quelque soit le temps qu'il mettra à accomplir son parcours ! Tes passes serviront à payer une partie de ta boisson, mais tu devras revenir à une date que te donnera Maurice pour finir de payer, moi je réglerai nos verres ! ».

    « Maintenant, casses-toi, je ne veux plus te revoir avant que tu ne sois pleine du foutre de Maurice et soigne-le bien, je te rappelle, si besoin était, que c’est un excellent ami ! ».

    Jeudi 2 février 2017 - 5h

    Nous roulons.

    Annie, visiblement plus peinée pour moi, que mécontente de mon attitude, qu'elle doit excuser par l'abus d'alcool, se contente de conduire prudemment en fumant cigarette sur cigarette sans dire un mot.

    En fermant les yeux, je me remémore facilement tout ce qui s'est passé dans cette Auberge abominable ! Quand ma punition a été consommée, plus de 2h, après son démarrage, Agnès m’a refusé toute boisson et tout accès aux toilettes. Me laissant, visiblement volontairement, avec le goût, d'un mélange de différents foutres, dans ma bouche, et le con et le cul dégoulinant du sperme qu'ils ne pouvaient plus absorber.

    En quittant le bar, et, grâce à deux jeunes hommes qui m'avaient niquée deux fois, j’ai donné les 10€ que j’avais gagné à Maurice, la tête basse, sans oser le regarder dans les yeux.

    Il faut noter que pendant la grosse demi-heure que j’ai passée dans sa chambre, il avait eu le temps de m’examiner sous toutes les coutures avant de profiter de tous mes orifices.

    Je ne pensais pas qu’un homme, qui n’était plus de toute première jeunesse, puisse avoir un sexe aussi dur et aussi gros et quand Agnès m’avait punie de cette manière je n’avais pas imaginé un seul instant, qu’il me ferait jouir grâce à ses caresses et à sa grosse bite et qu'il éjaculerait deux fois en moi en si peu de temps !

    Quand il en a eu fini avec moi il m’a sourit en me disant : « Merci jeune fille, tu as été parfaite, mais, il nous faut penser aux autres, tu devrais descendre à présent ».

    Sans même qu’Agnès daigne me regarder, j’ai descendu l’escalier, nue, en essayant d'oublier les regards braqués sur mon corps, et suis allée me coucher directement sur le billard devant les huit hommes qui étaient au bar.

    Cinq minutes après, un premier homme s’est approché du billard, a sorti sa queue de son pantalon, m'a disposée à sa guise, surtout par rapport au rebord du billard et s’est enfoncé en moi en constatant que la séance avec Maurice m’avait trempée.

    En ironisant il dit à haute voix : « Momo, je ne vois que deux solutions : tu lui as pissé dans le con ou elle a joui comme une bête ! ». Tout le monde rit sans essayer d'avancer une réponse, qui serait forcément vexante pour moi !

    Chacun des hommes présents fait pareil, certains choisissent mon anus, d’autres mon vagin, pour se vider les couilles. Je me suis laissée faire sans réaction, comme une vraie pute, attendant simplement qu’ils finissent de jouir en moi, plus que jamais consciente de ne pas avoir mon mot à dire, sauf à mettre fin à mes relations avec Agnès et probablement avec Annie, ce que je ne voulais surtout pas.

    Quand tout a été fini, Agnès m’a simplement dit : « Putain-Loré, rhabille toi, nous partons ».

    Elle fait une grosse bise à Maurice, qui a tenu à la remercier et n’a pas voulu de son argent, et nous nous retrouvons toutes les trois sur le parking, pour, peut être une explication finale !

    Visiblement ma conduite, ou plutôt, mon absence de conduite a sérieusement déplu à Agnès et malgré la punition que j’ai trouvée disproportionnée, elle n’est pas encore calmée :

    « Je te conseille d’arrêter de pleurnicher comme une gamine : je ne fréquente que des femmes qui aiment l’amour et le font pour le plaisir. Si d’avoir servi de vide couilles à neuf mecs te dégoûte, il vaut mieux me le dire de suite, j’arrêterai de perdre mon temps avec toi ! Et toi, Annie qu'en penses-tu ? Tu peux ne pas être de mon avis, ma Chérie ! Contrairement à Putain-Loré ! ».

    Annie sourit et lui confirme : « J'ai vu, ma Chérie : quand on est sous tes ordres, il vaut mieux être de ton avis ! Je dis franchement que Loré a largement mérité sa punition, pour cette rébellion inadmissible, mais, que je ne la mets pas sur le compte de son caractère, mais simplement sur celui de l'alcool ! Notre petite pute doit apprendre à dire stop quand elle sent qu'elle dépasse la dose admise par son corps ! Je ne l'excuse donc pas, mais je la comprends, et je lui demande de vite rectifier, ce très vilain défaut ! Par contre baiser pour baiser est, à mon avis, une punition qu'elle doit accepter avec le sourire, et à la limite du merci Madame, à la fin de cette punition qui ne devrait pas en être une, pour elle ! ».

    Je ne réponds rien, prends des kleenex dans mon sac, et je me mouche, tout en essayant de me calmer en pensant à autre chose.

    Voyant que ces mises au point ont eues quelques effets, Agnès nous demande, si nous pensons, Annie et moi, que je pourrai assumer le rendez vous fixé par Monsieur Maxime, le vendredi 9 mars.

    Je réfléchis, et Annie me laissant la parole, je lui réponds d’une petite voix : « Le rendez vous est en fin d’après-midi, il faudrait qu'Annie soit disponible et que nous nous arrangions toutes les trois, pour en profiter pour passer la nuit à Vichy, sauf si, vous ne voulez plus de moi ! ».

    Elle éclate de rire : « Mais, bien sur que je veux encore de toi, mais je te veux bien éduquée et si je dois te punir, pour ce faire, je ne veux pas que tu ressasses ta punition pendant des semaines comme une vieille vache ruminante ! ».

    « Je crois que je vous ai compris, Agnès ». « Tu aurais intérêt à vite intégrer tout ça si tu veux qu’on s’entende bien : je t’ai déjà dit chez moi que je savais être très gentille, mais que je savais aussi être très dure, alors, ne me caresse plus jamais à rebrousse-poil. Cela dit, ton idée de cumuler ce rendez vous avec Maxime et une nuit à Vichy me conviendrait parfaitement, nous allons mettre ça sur pied Annie et moi, et, toi, Putain- Loré, tu devras juste te libérer ! Entendu comme ça ? ».

    Nous approuvons toutes les trois, et nous nous séparons, Agnès repart seule pour Vichy, et, étant trop fatiguée, je laisse le volant de la BMW à Annie pour qu'elle nous raccompagne à bon port.

    Elle se contente de conduire très prudemment dans le brouillard, en fumant cigarette sur cigarette, en parlant très peu.

    Jeudi 2 février 2017 - 5h30

    Nous sommes devant chez moi. J’invite Annie à entrer pour prendre un dernier verre, mais elle me répond en souriant : « Ma Chérie, il est déjà 5h30 et j’ai un rendez vous que je ne peux pas déplacer à 10h30. Je suppose que toi aussi tu dois bosser ? ». « Oui Annie, Eva arrive à 8h et, le vendredi je commence à 9h30 ! Mais je ferai une bonne sieste au lieu de manger ! ».

    « C'est aussi ce que je comptais faire ! Alors il vaut mieux être raisonnables, et, en plus, tu sais très bien que si j’entre chez toi, nous finirons la nuit sans dormir ! ».

    Je souris : « Hum, oui je crois que vous avez raison, Madame ! ». « Rappelle toi le défaut de toutes les Maîtresses, ma Chérie : nous avons toujours raison ! Mais, je vais te faire une confidence, et pour plus de sécurité, approche ton oreille de ma bouche, ma Chérie ! ».

    Sans comprendre cet excès de précaution, je rapproche ma joue de sa bouche, et elle me dit : « Ce que je vais te dire, doit rester entre nous deux, entendu, ma petite pute ? ». « C'est juré, Madame ! ». « Très bien : en rentrant de Vichy, ce soir, après ces deux journées très denses, je suis très jalouse d'Agnès qui t'a bien prise en main, peut être même un peu trop ! Ne te fais pas de souci, tu n'es pour rien dans cette impression, c'est à moi de rectifier, et je ne peux pas devenir jalouse de celle ou de ceux qui vont t'approcher, ce serait intolérable ! ».

    Je souris, je me colle un peu à elle, comme une chatte ronronnante, et lui murmure à mon tour : « Chère Madame, à votre âge, il était temps que vous sentiez battre votre cœur avec amour ! Mais ne le répétez à personne ! Et n'oubliez-pas que j'ai trois passions dans ma vie ! Dans le désordre : Yves, Jean et Annie ! ».

    Elle m’embrasse longuement la bouche, me caresse une dernière fois les seins, en glissant sa main sous mon manteau, tout en me disant : « Bon courage, j'attends un rendez-vous pour ce soir et un autre pour demain soir, je te tiens au courant ! ».

    Un dernier baiser et nous rentrons chacune chez nous !

    Jeudi 2 février 2017 - 5h50

    J'ai hâte de me doucher pour enlever la saleté et les souillures de l'Auberge. Sous la douche, je réalise que je suis beaucoup plus humiliée, par cette longue séance que physiquement mortifiée. Je réalise que j'ai du mal à baiser à la chaîne, sans connaître mes baiseurs ! Il faut que j'évite ce genre de punition, et que je rajoute dans mes tabous : « Attention à la dose d'alcool que j'ingurgite ! ».

    J'allume une cigarette, me fait un gros sandwich, car j'ai une petite faim, je prends une canette de Coca dans le frigo et, naturellement, mes pas me guident, à poil, vers mon bureau où j'allume mon PC pour entrer dans ma bal. J'ai un message d'Agnès, il doit être très récent !

    Jeudi 2 février 2017 - 6h

    Il est en effet horodaté de 5h50 : « Ma Chérie ! J'arrive ! Vous devez être encore en route, à moins qu'Annie n'ai été tentée par ta bouche et ta langue de velours ! Ce soir, je vais te chercher dans mon lit ! Sois gentille et essaie de me faire plaisir, en me disant ce que tu as aimé et ce que tu n'as pas aimé dans ces jours et ces folles nuits ? J'attends une autre réponse, qui sera peut être plus dure pour toi : qu'as-tu ressenti pendant ta longue punition dans l'Auberge ? Dès que j'aurai tes deux réponses, je t'enverrai les miennes ! A de suite ! ».

    Je pose mon sandwich-club et je lui réponds de suite : « Chère Agnès, ma réponse à votre première question est très simple : j’ai tout aimé ! Mais, avant tout, j'espère que j’ai été à la hauteur de vos attentes, car c’est ce qui m'effrayait en suivant Annie chez vous ! En ce qui concerne votre deuxième question, je vous livre la réflexion, telle que je viens de l'avoir en me douchant : je suis beaucoup plus humiliée par cette longue punition que physiquement atteinte. Je réalise que j'ai du mal à baiser à la chaîne, surtout sans connaître mes baiseurs ! Je dois absolument éviter ce genre de punition, et faire très attention à la dose d'alcool que j'ingère ! ».

    Je m'accorde une cigarette pour lire sa réponse, et si je dois l'écraser avant, j'irai me coucher et je la lirai demain !

    Tome 08 En coursTome 08 En cours4

    Je vais au salon pour la fumer tranquillement nue sur mon canapé !

    Quand elle est terminée, j'éteins le salon et passe par mon bureau avant d'aller dans ma chambre : j'ai sa réponse, très brève !

    « Putain-Loré : 1- Si tu n'avais pas été à la hauteur de mes attentes, pourquoi aurais-je insisté pour te faire revenir à Vichy ? 2- Pendant que tu faisais niquer comme une pute de gare, j'ai du aller deux fois aux toilettes pour m'envoyer en l'air : je ne pensais pas que de te voir dans une situation aussi humiliante pouvait autant m'exciter - A bientôt ! ».

    Jeudi 2 février 2017 - 9h30

    Après la réponse d'Agnès, je m'écroule comme une masse. J'ai juste eu le temps de régler mon radio-réveil et je me suis endormie.

    Mais, ce matin, la fatigue fait son effet : je n'ai pas entendue Eva arriver un peu avant 8h et je me suis réveillée en sursaut à 9h30 ! Le temps de faire une bise à Eva, de me doucher en 2 minutes, de téléphoner au bureau pour prévenir de mon retard et j'y arrivais à 10h.

    Je vais de suite m'excuser auprès de mon Boss, qui ne peut que constater en me regardant : « Votre Docteur a raison, Loré, vous avez une sale mine, il a eu raison de vous arrêter deux jours. Mais je vais lui demander de vous arrêter, une semaine puis de vous faire reprendre le travail avec des horaires restreints. Vous n'êtes pas en état de travailler à votre rythme habituel, il faut vous ménager, ma petite Loré et moins vous occuper de vos dossiers ! S'il le faut, je ferai seconder Sophie pendant quelques temps, et je vais moi même appeler le Docteur Bordier pour vous prendre un rendez-vous urgent ! ».

    Je pense que, s’il savait pourquoi je suis dans cet état, il ne dirait pas ça ! Moi qui n'aime pas mentir, ça tombe très mal ! Mais je me contente de lui répondre que je vais bien et que je vais en profiter pour rattraper mon retard et même anticiper des dossiers en attente, mais que j'irai au rendez-vous que Bordier me proposera.

    J’ai beaucoup de mal à entrer dans mes dossiers, les souvenirs de ces deux jours à Vichy me reviennent un par un en mémoire et m’obligent parfois à chercher une position plus confortable sur mon fauteuil.

    Jeudi 2 février 2017 - 11h30

    Ma ligne privée sonne, je suis sure que c'est mon Boss, et je décroche comme j’en ai l’habitude : « Ici, Loréna, bonjour ! ».

    C'est en effet lui : « Loré, Bordier ne peut vous prendre que cet après midi à 14h30. Je vous propose donc de partir, d'aller vous reposer chez vous, puis d'aller au rendez-vous et de repartir chez-vous, en m'appelant pour me donner sa décision. Et, mais uniquement si vous vous sentez bien, venez passer une ou deux heures demain matin au bureau, je téléphonerai à Sophie pour qu'elle soit là, comme ça vous pourrez lui donner vos instructions et je ne vous reverrai qu'à la fin de votre arrêt de maladie ! Je ne veux pas que vous tombiez gravement malade, petite Loré ! Compris ? ».

    « Entendu, Boss, mais vous savez, je ne suis pas en sucre ! Je reviendrai vite vous embêter avec mes dossiers ! ». « C'est ce que je souhaite le plus au monde, fillette, mais, reposez-vous, dormez, lisez, faites ce que vous voulez mais, s'il vous plait, revenez moi en bonne forme ! ».

    « Bien, je vous tiens au courant de tout, et un grand merci ! ». « Merci de quoi ? Allez filez je ne veux plus vous avoir dans mes pattes ! ».

    Jeudi 2 février 2017 - 12h

    J'arrive chez moi, un peu attristée par tant de mensonges faits à des gens que j'aime sincèrement, mais, ai-je vraiment le choix ? Je suis finalement
    heureuse des bonnes nouvelles que je vais transmettre à Annie ! Je me fais un sandwich-Coca, et je file à mon bureau pour entrer dans ma bal.

    Au passage, je vois que j'ai un mail dans ma bal générale. Je l'ouvre en premier : il est d'Yves :

    « Mon cœur, je dois prolonger mon séjour en Russie d'une semaine, ce qui me fera revenir le même dimanche que Jean. Je suis désolé. Je peux t'assurer que j'ai tout fait pour éviter cette prolongation. J'ai simplement obtenu de ne pas avoir à me déplacer pendant les quinze jours suivant mon retour. C'est une maigre consolation, qui me permettra de te faire une surprise, pour essayer de me faire pardonner ! Je t'embrasse et lèche tout ton corps qui me manque tellement, Yves ! ».

    Décidément, les nouvelles évoluent vite ! Et, je laisse définitivement de côté mon appréhension-mensonges, pour me lancer dans la rédaction d'un mail qui devrait donner du plaisir à Annie !

    « Madame, j'ai de bonnes nouvelles : j'ai rendez-vous cet après midi avec mon Docteur, qui, suite à une demande de mon Boss, devrait me mettre en arrêt de maladie pour une dizaine de jours ! D'autre part, je viens d'avoir un mail d'Yves, qui doit prolonger son séjour en Russie d'une semaine, et qui ne reviendra donc que le dimanche 12 février, jour du retour de Jean de ses vacances de neige ».

    « A part 2h ce vendredi matin, pour briefer ma secrétaire, je vais donc être seule et libre du jeudi 2 au lundi 13. Ce qui, devrait nous permettre d'honorer le rendez-vous de Ganat et une ancienne promesse au nord de Vichy. Je suis heureuse de ces événements, car je vous avais sentie peinée de m'avoir soupçonnée, bien à tort, de m'être laissée éloigner de vous ! Ces onze jours vont me permettre de vous rassurer pleinement ! J'attends avec excitation et impatience la confirmation des rendez-vous de ce soir et de demain soir ! Votre putain qui ne respire qu'à votre rythme ! ».

    Jeudi 2 février 2017 - 14h20

    Mon mail envoyé, je fais une petite sieste jusqu'à ce que mon radio-réveil me confirme qu'il est 14h ! Comme chaque fois que je vais voir mon généraliste, je me douche et me change de sous-vêtements. Je vide ma boîte aux lettres dans laquelle il n'y a que des prospectus, et à 14h20, je démarre pour filer vers le cabinet de mon cher Docteur.

    Il démarre à 14h30, et me reçoit donc de suite.

    Ma tension prouve que je ne suis toujours pas en forme, et l'appel de mon Boss et mon visage lui suffisent pour m'arrêter jusqu'au dimanche 12 au soir.

    Pour le reste, les aménagements d'horaires n'étant pas pris en compte par la CPAM, il rédige un mot pour mon Boss, en lui disant que du lundi 13 au dimanche 20, il serait bon de m'aménager des horaires de reprise, par exemple : 3h par jour. Il me recevra le lundi 21 à 8h pour constater mon meilleur état, après une prise de sang très complète, qu'il faudrait que je me fasse faire à la maison, aux alentours du 17.

    Je le remercie et rentre chez moi en téléphonant en main libre de mon auto à mon Boss qui attendait impatiemment cet appel. Il me dit avoir tout bien noté et me souhaite de bien me reposer et me dit qu'il a demandé à Sophie d'être là à 10h, en pensant que 2h suffiraient pour que je la mette au courant !

    Je le remercie, rentre chez moi, envoie un mail à mon tendre pour lui dire que la vie est ainsi faite, mais que nos retrouvailles n'en seront que plus belles et que j'ai hâte de connaître sa surprise ! Je vérifie que je n'ai rien d'Annie et je vais me coucher en prenant mon portable et en mettant mon radio-réveil à 18h. Je me couche à poil sur les draps en ronronnant comme une chatte ! Finalement, pas si malheureuse que ça de pouvoir me reposer, et de profiter de la vie, ou tout au moins de mes vies !

    Jeudi 2 février 2017 - 17h40

    Je dors profondément et me réveille avant que le radio-réveil ne se manifeste. Je me sens en pleine forme. Sans m'habiller, je commence par vérifier que je n'ai pas de message d'Annie, et je réalise soudain qu’Éva n'est peut être pas encore partie !

    Je l'appelle ! Mais elle ne répond pas ! Elle a donc fini sa journée ! Et, je lui ai laissé un mot dans notre boîte-à-sucre-à-messages, qui marche très bien ! De ne pas revenir avant lundi, donc, je suis vraiment seule et tranquille pour trois jours !

    Je file sous la douche, finis de me réveiller, me lave de partout avec soin, car sans connaître la teneur du rendez-vous de ce soir, je suis très précautionneuse ! Je me sèche, et enveloppée dans une grand serviette, je retourne au bureau où j'ai, un message d'Annie :

    « Putain-Loré, tu dois être à 18h30 au Sex-Shop de l’autre jour. Mais, avant, tu dois appeler André, au 06 22 23 24 25 pour lui dire que, comme convenu avec moi, tu seras à l’heure. Sois, en bas, en escarpin et nue sous ton manteau de laine. Ne prends que ton portable et tes cigarettes, je te recontacterai plus tard ».

    Je suis très surprise par cette convocation, que vais-je bien pouvoir faire dans un Sex-Shop ? Un Glory-Hole ? Un Peep-Show ? Je compose le N°. Une voix d'homme me répond : (…) « Vous êtes André ? (…) Lui même, que puis-je pour vous Madame ? (…) Je suis Loréna, je vous appelle de la part d’Annie, pour vous confirmer que je serai à l'heure au rendez vous (…) Il rit (…) Parfait Loréna, mais bouge ton cul toute mon équipe est convoquée pour 18h30 (…) Ne sois pas en retard ! ».

    Il raccroche, je suis surprise par ce changement de ton, du passage du vouvoiement au tutoiement et je me demande de quelle équipe il peut bien parler ? Des acteurs probablement !

    Je profite d'être dans le bureau pour envoyer un mail à Annie : « Madame, je viens d’appeler André, le rendez vous est confirmé. Votre pute ».

    Je finis de me sécher, enfile des Dim Up et des escarpins fermés à talons, enfile mon manteau de laine adoré, sur ma peau nue, j'y mets dans mes poches : mon briquet et mon portable, dans mes poches, et je prends ma voiture pour aller au rendez vous, sans savoir qu’Annie me regarde démarrer de sa fenêtre du salon !

    Jeudi 2 février 2017 - 18h30

    Il est juste 18h30 quand j’entre dans le Sex-Shop. André, souriant, vient au devant de moi : « Bonsoir Loréna, tu vois je t'avais dit que nous nous reverrions un jour ! ».

    Je souris : « En effet, de la manière dont tu regardais Annie ! Ca ne m'étonne guère ! ». « Bon, mais tu l'as pour la bagatelle, tu es là pour bosser ! Tu es la dernière, et mon assistante, Cécile, va te prendre en main, dépêchez-vous, le compteur tourne ! ».

    La jeune fille, qui semble avoir à peine vingt ans, m’embrasse sur les joues et me fait signe de la suivre. Nous montons un escalier et arrivons dans un appartement. Elle m’emmène dans une salle de bains et referme la porte en me disant : « Il faut que tu sois impeccable pour les photos, tu vas bien te laver le corps, et je te maquillerai pour gommer tous tes petits défauts corporels, si nécessaire ! ».

    Je la regarde un peu stupéfaite : « Car nous allons faire des photos ? ». La jeune fille éclate de rire : « Ne me dis pas que tu n’es pas au courant ! Tu sais bien que nous devons finir, ce soir, notre catalogue web de lingerie et de sex-toys pour les USA. Nous avions six mannequins sous contrat, mais la dernière a refusé de présenter des produits sado-maso, et c’est ton amie Annie qui connaît André, qui lui a proposé ta candidature. Il a accepté de suite étant donné qu’il te connaissait et te trouvait déjà très photogénique ! ».

    « Donc, soit ta copine aime bien faire des blagues, et nous sommes dans la merde ! Soit, tu as un problème de communication avec elle, mais tu es réellement maso, et dans ce cas, ne te fais pas de souci : dans, moins de 2h tu repartiras chez toi avec une belle enveloppe ! ».

    Si Cécile savait combien je suis surprise, elle serait aussi contractée que moi ! Quoi qu’il en soit, je me déshabille rapidement sans m'occuper de son étonnement de me voir nue sous mon manteau ! Je repasse sous la douche en me savonnant longuement.

    Cécile me regarde faire en constatant que je suis très mignonne. Puis, très décontractée, comme si c'était un geste naturel, elle remplit d’eau tiède une poire à lavement et me la tend : « Tiens, lave toi bien l’anus, il n’y a rien de plus désagréable que d’ôter un plug sale d’un cul aussi mignon que le tien ! ».

    Je m’accroupis et, comme dans ma baignoire, je m’enfonce la canule dans l’anus, avant de m’injecter tout le contenu de la poire. Je vois entre mes cuisses couler une eau déjà bien propre, Cécile remplit de nouveau la poire, et ce n’est qu’au bout de la troisième, que l’eau qui s’écoule de mon anus, est parfaitement claire.

    Gentiment, elle s’occupe de savonner la canule et la poire dans le lavabo, elle remet tout en place, pendant que je me lave et me rince tout le corps. Je sors de la baignoire et elle m’aide à me sécher avant de me coiffer, de me maquiller très légèrement et de passer un peu de poudre ou de maquillage sur tout ce qui pourrait être jugé comme une imperfection de mon corps ou de ma peau, en décidant, toutefois, de ne pas toucher aux petites tâches de brune que j’ai sur le visage et le haut de la poitrine.

    Jeudi 2 février 2017 - 19h

    Elle me tend des chaussons et un peignoir en me disant : « Je ne sais pas comment André va vouloir t’habiller en premier, mais, ne te fais pas de soucis, ce sont tous des pros, ce ne sera pas la première fois qu’ils verront une fille nue sous un peignoir ! ».

    Je la suis dans une grande salle, où s’agitent une demi-douzaine de très jeunes personnes. Cécile me sert de guide : « Nous sommes dans le studio, où se font les prises de vue, avec quelques décors que tu peux voir entreposés : un lit, une chaise, un fauteuil, une table, une croix de Saint André et quelques objets de décoration. Sur cette table, tu as les accessoires qui doivent être présentés et enfin dans ce coin, il y a les tenues des personnes, sélectionnées pour les présenter, dont toi ! ».

    Brutalement téléportée dans un monde totalement inconnu, je ne dis rien, étonnée par cette organisation où tout semble soigneusement prévu.

    Cécile continue : « Tu vas avoir deux partenaires pour les photos. Ils sont déjà en tenue : tu as le grand et très beau Ahmed, cagoulé, avec sa combinaison intégrale, qui laisse voir ses yeux, sa bouche et son sexe dont nous rêvons toutes ! ».

    Elle lui fait un signe amical, et, Ahmed vient me saluer, en me bisant gentiment les deux joues, je suis tétanisée par la vue de son sexe : je n’en ai jamais vu d’aussi gros et d’aussi long et je réalise, qu’en plus, il n’est probablement pas en érection ! Est-ce qu'Ahmed ne s'appellerait pas Ali à Vichy ?

    « Et là, tu as Grazziella, dites Grazzi, une amie grecque très sympa ». Elle aussi est toute vêtue de cuir, de la cagoule, qui laisse voir ses yeux et ses lèvres, aux bottes à hauts talons, en passant par sa combinaison qui dénude ses pointes de seins, sa chatte et ses fesses. Elle m’embrasse en me disant : « Bienvenue, Loré, tu es adorable et, comme André nous a prévenues : j’adore les femmes non professionnelles, qui vont au bout de leurs envies, avec beaucoup de fraîcheur, et je te félicite pour ton cran ! ».

    L'accueil est, on ne peut plus chaleureux ! Et Cécile, en bonne camarade, termine par les techniciens : « Jean-Yves qui s’occupe de la lumière, Robert et Martin qui sont nos deux photographes, un pour le numérique et l’autre pour l'argentique ».

    Ils sont très affairés et se contentent de grands sourires avec un chaleureux : « Bienvenue au club, Loré ! ». André m'enlève mon peignoir , sans rien me demander, et tourne autour de moi en me regardant très en détail ! Il demande à Cécile de maquiller deux points de mes fesses et si j’ai l'anus bien propre ! C'est sur que nous ne sommes pas dans une conversation mondaine ! Cécile me maquille et lui assure que oui !

    Un dernier coup d’œil et il dit à Cécile : « On est dans le timing, alors démarrons. Cécile, rappelles-nous le script des premières photos ».

    Jeudi 2 février 2017 - 19h10

    « Pour démarrer, nous avons une série de bâillons, Loré porte un soutien-gorge balconnet, dévoilant ses tétons nus. C'est Grazzi qui lui fixera les différents bâillons. Si nécessaire, particulièrement pour l’écarteur de bouche, Ahmed démontrera qu’on peut entrer un sexe bandé dans une bouche bâillonnée. Loré sera vue de la tête au soutien-gorge, on se fout du bas ».

    André approuve : « Bien on y va ! ». Cécile choisit un soutien-gorge en me disant : « 95b ? ». Je lui réponds oui. Elle m’aide à l’enfiler. La dentelle des bonnets met en valeur mes tétons tendus. Elle me dirige vers le podium de prises sur lequel sont braqués les deux appareils photos et une caméra que je devine automatique. Grazzi me pose le premier bâillon avec une boule de latex énorme, que je suis obligée de mordre, et qui me fait de suite copieusement baver.

    Les déclencheurs crépitent : « Bon pour les photos ! ». Cécile enlève mon bâillon, m’essuie soigneusement la bave et laisse Grazzi m’en poser un autre, avec une armature métallique qui se pose sur mes mâchoires.

    Ahmed tourne une vis qui écarte les deux parties du bâillon, m’obligeant à ouvrir la bouche. Quand j'en suis presqu'au décrochage de mes mâchoires, il prend ma tête dans ses mains et enfonce son énorme bite en érection, entre les deux armatures d’acier pratiquement jusqu'au fond de ma gorge !

    Je retiens un haut le cœur, alors qu'en me tenant la tête, il fait des allers et retours dans ma bouche, avant de se retirer, quand retentit le : « C’est bon pour la photo ! ».

    Cécile m’enlève le bâillon, me conseille de faire des grimaces pour récupérer la souplesse de mes mâchoires et m’offre un verre d’eau : « Un troisième et les bâillons seront finis : nous avons déjà fait, des séries de bâillons classiques, avant toi ».

    Grazzi s’approche avec le dernier, qui est un gode-double : elle enfonce, la partie hérissée de picots en latex durs dans ma bouche, jusqu’à un plateau en latex qui sépare les deux parties, alors qu’un énorme gode noir et lisse dépasse obscènement de ma bouche.

    Elle se place devant moi, salive dans sa main droite et sur le gode lisse, avant de se coucher sur le dos et de tirer ma tête vers son bas-ventre pour que les photographes ne ratent pas l’énorme gode pénétrer dans son sexe béant.

    En me tirant par les cheveux, elle fait entrer et sortir le gode de sa chatte, en fait pleine de vaseline. Elle fait mine de s'envoyer en l'air, avant de changer de position et nous faisons pareil avec le gode dans son cul, jusqu’à ce que les photographes nous indiquent : « C'est dans la boîte ! ».

    Cécile ôte lentement, la partie hérissée de ma bouche, essuie le peu de sueur que j’ai sur le corps et fait quelques retouches de maquillage.

    Jeudi 2 février 2017 - 19h30

    André s'approche de moi et me caresse doucement les cheveux en me disant : « Tu es sensationnelle, Loré, continue avec ta fraîcheur et ton envie de bien faire ! Tu vas expédier à la poubelle toutes ces pimbêches qui se prennent pour des tops-model ! Et, tu mérites que je te dévoile un des secrets de notre profession : sur un plateau : tu es la seule à avoir le droit de demander une pause ! Car, en fait tu es la seule à bosser ! ».

    Tout le monde éclate de rire ! « Ensuite Cécile ? (...) Après, nous avons les plugs (...) Loré est seins nus (...) Car sur certains clichés on les verras (...) Elle enfile une jupe écossaise ample sans culotte (...) Lui permettant d'avoir l'anus rempli de vaseline transparente (...) Il est prévu que Grazzi et Ahmed lui en mettent un chacun (...) André complète (...) Pourquoi ne pas lui rajouter des chaussettes et des souliers plats ? (...) Cécile explose de rire ! (...) Et pourquoi pas des couettes ? Tu ne crois pas que Loré a passé l’âge d’être déguisée en écolière ? (...) Oui, fantasme de vieux cochon, laisse tomber ! (...) Mets lui au moins des talons hauts hyper sexys ! (...) Va pour les talons hauts, ce sera plus en adéquation (...) Et comment fait-elle pour relever sa jupe ? (...) Tu lui mets des épingles à nourrice ? (...) Ou elle le fait de sa main libre ? (...) Je pense que si elle se relève elle-même sa jupe, ce sera plus excitant ! (...) Tu as raison, allez on y va ».

    Cécile me trouve une jupe écossaise ras-la-touffe, en taille 38 et j’enfile des escarpins à talons hauts qui dévoilent mes orteils non vernis. Elle m’aide à me mettre seins nus et prend deux glaçons dans un bol, sur la table aux accessoires : « Passe-les sur tes tétons, pour qu’ils bandent bien pour les prises de vues pendant que je te prépare l’anus ».

    Rougissante, je passe et repasse les glaçons sur mes tétons, et ils durcissent, en effet, de suite, alors que je sens derrière moi le doigt nu de Cécile, me remplir l’anus de vaseline.

    Pour bien faire son travail, elle enfonce un, puis deux doigts et les tourne soigneusement en moi, pour s’assurer que je suis bien lubrifiée. Elle se relève, glisse un doigt dans mon vagin et estime, en souriant : « De ce côté, pas besoin de lubrifiant, il y a ce qu'il faut ! ».

    Cécile vient de prouver, qu'elle a de l'humour, mais qu'elle sait aussi être très coquine ! Elle s’essuie soigneusement les doigts avec des kleenex et annonce, assez fièrement, que je suis prête.

    André fait rire tout le monde en demandant à Cécile : « Ma Chérie d'assistante, puis-je te demander sur quel plateau de tournage d'un catalogue porno, tu as appris qu'avant de présenter la famille plugs, on devait vaseliner le vagin de la top model ? ».

    Enfin une fille qui rougit plus fort que moi ! La pauvre Cécile, bredouille, un : « Je dois aller aux toilettes, excusez-moi ! ». Et, elle file, la tête baissée, honteuse et mouchée, bien qu'amicalement et sans méchanceté, par son Boss ! Toute la troupe éclate de rire ! Y compris-moi qui comprend la blague, juste à temps, pour ne pas passer pour une conne intégrale !

    Qui a envie de toucher le feu, prend le risque de se brûler ! Dirait-un vieux con style Mao Sait Tout !

    Jeudi 2 février 2017 - 19h40

    Cécile revient, André la calme en lui faisant un gros bisous, et nous reprenons : (...) André me fait mettre en levrette sur le lit, fesses tournées vers les appareils : (...) Tu vas te mettre seule les six premiers plugs, puis Grazzi et Ahmed t’en mettront chacun un (...) Mais rassure toi, ils dégueuleront tous de vaseline invisible (...) Montre moi ton anus, bien ouvert avec une de tes mains ! (...) Honteuse, je pose ma tête sur le lit, relève ma jupe d'une main et ouvre le plus possible mon trou du cul avec l'autre (...) André a un œil médical et pas du tout porno : il constate, que je ne suis pas très large, mais que ça entrera ! (…) « Cécile, il faut que tu rajoutes de la vaseline pour les quatre plus gros, je n’ai pas envie de faire souffrir un cul aussi bandant ! (...) En souriant, elle pose les six premiers modèles, en haut du lit, face à moi et hors champ des objectifs ».

    Comme tous les plugs, ils ont tous une base de latex ou un renflement pour empêcher le plug d'entrer totalement dans le cul, mais, à part ça, ils sont tous différents.

    Trois sont en forme de cônes : je prends le cône-simple, relève ma jupe et le glisse dans mon anus, il me semble minuscule, André me demande de le sortir et de le rentrer plusieurs fois, avant de prendre le deuxième.

    C'est un cône qui a deux renflements à faire entrer dans l’anus avant que l’anneau ne se resserre. Je le sens déjà beaucoup plus et je dois forcer pour l’entrer et le sortir de mon anus avant qu’André ne me dise d’arrêter.

    Pour l’énorme, triple-gode, je dois franchement forcer jusqu’à hurler, car, bien que les deux premiers m’aient un peu dilatée et que Cécile ait remis une bonne couche de vaseline. M’enculer avec ce monstre est un véritable calvaire. Et mes cris sont loin d'être feints.

    André s'approche, alors que je force : « Loré, on va arrêter, il est trop gros pour ton petit cul. Enlève ce que tu as en toi, on trouvera une autre forme de présentation, ne te fais pas de bile ! ».

    Je le regarde, les yeux pleins de larmes, en lui faisant noooon de la tête, et en lui murmurant : « Je vais y arriver, dis-bien aux photographes, qu'il ne ratent pas le moment, exact où le troisième entrera dans mon anus ! ».

    Je ferme les yeux, pousse de toutes mes forces, et ce moment arrive juste ! J'entends avec satisfaction les déclencheurs des appareils, et je tourne de l’œil !

    Jeudi 2 février 2017 - 20h

    La pause semble obligatoire ! Bien que je ne l'ai pas demandés ! Ils sont tous aux petits soins avec moi. Plug retiré, fesses nettoyées à l'eau chaude ! Et, c'est Cécile qui me passe le baume-miracle qu'Annie a prêté à André ! « Au cas où ! Comme elle lui avait dit ! ».

    Après une dizaine de minutes, dont tout le monde a bien profité, nous reprenons : les trois derniers plugs-classiques entrent beaucoup plus facilement, ils sont en forme de bites : gland, verge et couilles mais dans des diamètres et des longueurs différents.

    Le monstre m’ayant bien dilatée, je suis trempée de jus et de vaseline et j’ai même du mal à m’arrêter de les faire aller et venir dans mon trou quand résonnent les : « C’est bon pour nous ! » des photographes.

    Mais, je sais qu’il m’en reste encore au moins deux à essayer ! Cécile m’éponge, me refait une beauté, me demande si je vais bien. Je souffle un peu et lui réponds que je suis ok !

    Comme prévu, c’est Grazzi qui prend le relais, en me présentant l’engin avec lequel elle doit m’enculer : c’est en fait un énorme-plug avec une poignée antidérapante, qui n’est pas destinée à entrer dans mon corps, mais qui permet de le manipuler de l'extérieur.

    Dans un premier temps, elle doit forcer pour que mon anus, à présent très dilaté, s’ouvre encore un peu plus, mais dès que le gland a fait céder la rondelle de mon anus, il s’enfonce d’un seul coup et Grazzi peut le faire tourner facilement dans mon cul, pour bien le vaseliner, avant de me défoncer les fesses, en le sortant et en le rentrant de plus en plus vite.

    J’hurle de plaisir comme une bête sauvage et j’ai l’impression qu’André fait durer la séance un peu plus qu’il n’aurait du. Mais, tout d’un coup, tout s’arrête et je sens l’énorme gode, se retirer doucement de moi. Tandis que je m’écroule sur le lit, épuisée et ruisselante de transpiration !

    Cécile vient s’occuper de moi, me redonne à boire, m’éponge et s’assure que je vais bien. Quand je lui réponds, oui, en souriant, André donne le feu vert. C'est Ahmed qui s’approche de moi et, sans le voir, je sais de suite, que le plug qu’il tient dans sa main, sera forcément le plus dur !

    Il pose l'engin droit sur un tabouret à côté du lit. Me prend par les épaules et me lève du lit, comme un simple fétu de paille !

    Il me positionne juste au dessus du plug, les cuisses de chaque côté du tabouret. Sans me lâcher les épaules, il m'oblige à m'accroupir au dessus du plug et me pousse, vers le bas, pour que mes fesses descendent d'elles-mêmes sur le plug.

    Je sens que l'énorme gland écarte mes grandes lèvres, et, quand il commence sa pénétration, je ne peux qu'hurler de douleur : c’est un cône à deux renflements, presqu'aussi énorme que celui avec lequel je me suis enculée seule.

    Quand Ahmed voit qu'il a entré un tiers du monstre en moi, il me laisse un peu souffler sans le toucher. Avant de me soulever dans ses bras, avec le tiers du plug dans mon cul, mais les deux autres tiers, qui pendent obscènement de mon anus largement dilaté !

    Il me couche sur le dos et me relève les jambes très haut, en m’obligeant à les tenir de mes deux mains, pour les garder bien droites, cuisses largement ouvertes.

    Ses mains libérées, il prend la base du plug, le tourne délicatement en moi, avant de le sortir très lentement et de le re-rentrer encore plus doucement.

    Devant l'ampleur du plaisir que je ressens, je ne peux éviter ni de gémir, ni de me tordre comme un ver. Visiblement excité par mes réactions, il recommence ces gestes, mais en allant de plus en plus vite et de plus en plus profondément !

    Ses gestes répétitifs et parfaitement exécutés me font tellement d'effet que, n’en pouvant plus, j’explose dans un orgasme bruyant et quasi inhumain, en tordant mon corps dans tous les sens.

    Ahmed est surpris par cet orgasme qu'il ne pensait pas provoquer, et encore plus par le geste que je fais, pour qu'il renfonce la totalité du monstre dans mon cul, sans aucune précaution ! C'est ce qu'il fait ,en m'arrachant un hurlement de plaisir et de jouissance, qui laisse la salle pétrifiée !

    André éclate de rire en commentant : « Eh bien ! Une femme qui jouit du cul ! Ce n’est pas courant ! Ca vous est déjà arrivé Grazzi et Cécile ? ». Les jeunes femmes rient, tout en lui avouant que de temps en temps, ça leur arrivait, mais qu’il fallait une excitation hors du commun !

    André bougonne : « Décidément, je ne connais rien aux femmes ! Et il m’envoie avec Cécile à la douche, aussi bien pour me calmer que pour me laver ! ». Elle m’aide à me doucher et à me savonner, veille gentiment à ce que toute la vaseline invisible disparaisse de mon cul et me claque gentiment les fesses en me disant : « Allez joli petit cul, on va en terminer, ce n’est pas le plus agréable qu'il te reste à présenter, mais j’espère que tout continuera à bien se passer ».

    Jeudi 2 février 2017 - 20h30

    Douchée, ragaillardie, reposée et remaquillée, Cécile me ramène au studio où tout le monde fait une pose, en se partageant des pizzas et des bières que je refuse, préférant fumer une cigarette et boire un verre d'eau pétillante et bien fraîche.

    André demande : « Cécile, que nous reste t'il ? Ce serait bien de pouvoir relâcher tout le monde à 21h30 ! ». « Il nous reste en fait, trois séquences que nous pouvons enchaîner en une seule, si Loré peut le supporter : car elle doit être à poil dans les trois ! ».

    « Elle commence par être attachée sur la Croix de Saint André ou Ahmed et Grazzi lui posent des pinces à seins et à lèvres, avec lesquelles, ils jouent cruellement avec elle ! ».

    « Après, nous passerons aux faux coups, où le maquillage permettra à notre maquilleuse professionnelle, de voir sur des grands tirages photos : les différentes traces très légères, laissées sur sa peau nue, par les différents accessoires. Et de les retoucher pour une publication plus vraie que vraie ! Mais tous les studios font ça ! Nous n'avons pas le monopole ! ».

    « Et pour terminer, nous ne pourrons pas tricher, mais seulement raccourcir la séance, car elle devra enfiler le fameux ensemble de torture à picots, qui comprend un collier, un soutien-gorge, un tanga et des souliers dont les semelles internes et tous les accessoires marquent profondément la peau avec des picots de latex demi-dur. Rappelons que cet ensemble est le vaisseau-amiral de notre collection sado-maso ! ».

    André s'adresse à moi : « Loré, si tu n'arrives pas à suivre, n'hésite pas à me le dire, nous ralentirons le rythme ou nous te ménagerons des pauses de repos ou de soins, si nécessaire, tu sais que grâce à à Annie, nous avons tout ce qu'il nous faut ! ».

    « Allez, objectif 1h ! Bon travail, Cécile ! ». Tout le monde rit et reprend sa place !

    Cécile m'approche de la Croix et m‘y positionne de dos, mains et pieds plaqués sur des planchettes perpendiculaires au bois. Elle laisse sa place à Grazzi et Ahmed, qui serrent des bracelets de cuir fixés dans le bois pour m’immobiliser les coudes, les poignets, les chevilles et les genoux.

    Puis ce sont des ceintures, elles aussi rivées dans le bois, qui finissent de me plaquer à la Croix : une au niveau du nombril, une autre juste sous les seins et une dernière sur le front qui m'empêche de bouger ma tête.

    Cécile ajoute : « Après l'ensemble de torture à picots, la Croix est notre meilleure vente avec une moyenne de dix par jour, à 1.200€ ! Alors, autant bien la présenter : fais lui une démonstration Ahmed, s’il te plaît ».

    Comme je suis solidement attachée, il prend une télécommande et la Croix pivote sur un axe : je passe des pieds en bas, à la tête en bas puis du corps vertical, au corps horizontal. « Tu peux t'imaginer, chère Loré, que cette télécommande magique, permet de mettre la soumise dans toutes les positions souhaitées, et bien sur d'accéder à tous ses orifices pour en faire, ce que le détenteur de la télécommande en veut ! ».

    Ahmed me remet dans ma position initiale verticale. Quand Cécile pose les pinces sur la table d'accessoires, André prévient tout le monde : « Attention il y a une trentaine de jeux de pinces à photographier, arrangez-vous pour que les prises de vues soient rapides, dès qu'un modèle est en boîte, prévenez Cécile pour qu'elle l'enlève de la peau de Loré : je ne veux ni lui déchirer la peau, ni la blesser ! ».

    Toute l’équipe approuve et se tient prête. Ahmed s’occupe des pinces du haut et Grazzi des pinces du bas !

    Ahmed commence par poser toutes ses pinces sans lest : sur le bout de ma langue, aux lobes de mes oreilles, au bout de chaque téton, puis, quatre autour de chaque aréole et deux sous chaque aisselle.

    Après des photos d'ensemble, il revient sur chaque pince, pour y clipser des lests différents. Après une autre vue générale, chaque pince est photographiée en gros plan avec son lest, puis détachée par Cécile, et une photo de la marque qu'elle a laissée sur ma peau est faite, et j'en ai fini avec les pinces du haut !

    Mais je dois réclamer une pause, car le mélange des pinces en fer normales, écraseurs, crantées et surtout légères ou lourdement lestées m'a fait endurer une torture insupportable, quasiment !

    Je redoute à présent l'intervention de Grazzi qui gère les pinces du bas ! Elle les place de haut en bas : quatre autour du nombril, cinq alignées sur le haut de mon mont de Vénus, trois sur chaque lèvre vaginale, trois sur chaque intérieur de cuisse et la plus douloureuse et redoutée : une sur le clitoris !

    Comme Ahmed, dès que le plan large est fait, elle se dépêche de clipser les lests, et quand le plan général est dans la boîte, c'est la photo de chaque pince, une à une. Je la supplie de démarrer par celle du clitoris, et de continuer par celles de mes lèvres vaginales !

    Et, c'est ce qu'elle fait, gentiment, en me soulageant un maximum, mais là encore, mes cris sont bien réels : les pinces crantées me font hurler de douleur et les pinces étaux qui me broient littéralement les chairs.

    Quand Ahmed a alourdi les pinces du haut, mes seins se sont tendus vers mes pieds, et quand Grazzi a fait pareil à ma chatte, mes grandes lèvres se sont distendues, complètement déformées.

    André me voit souffrir, et hurle sur ses photographes pour les obliger à accélérer : « C’est fini, bon Dieu, vous perdez du temps ? ». Encore quelques clichés et ils finissent par répondre : « André, c’est dans la boîte ! Ouf ! ».

    Ahmed et Grazzi se précipitent pour me libérer et Cécile me passe du baume sur chaque trace de pince de la poitrine et du sexe pour apaiser ma douleur.

    Je ne veux plus pleurer, je veux montrer mon courage et mon sens du devoir et faire qu'Annie soit fière de moi quand André lui racontera cette prise de vue ! J'essaye de me calmer en me disant : « Encore un peu de courage, ma Loré, tu seras bientôt libre, tu as fait le plus dur ! ».

    Jeudi 2 février 2017 - 21h

    André avance une idée : « Si pour la séquence des coups, on la mettait, nue, de dos, avec les mains croisées sur la tête. Ca donnerait une attitude de soumission sans contrainte, qu’en pensez vous ? ». Tout le monde approuve et je me retrouve sur l’estrade, nue, cambrée, mains croisées sur la tête et bras bien parallèles aux épaules.

    André enchaîne : « Attention, nous avons : la badine pour les plantes de pieds, le fouet pour les mollets, le paddle pour les fesses, la cravache pour les reins et le martinet pour les épaules. Entendu ? Grazzi et Ahmed ! Une démo pour que vous compreniez bien ».

    André prend une badine, la lève et me donne un grand coup sur les fesses, mais juste avant de me frapper, il arrête son coup et moi, je me plie un peu en avant, comme pour accuser le coup qui n'est jamais venu !

    « Voilà ce que vous devez faire à chaque coup ! Alors appliquez vous ! Et frappez bien la partie voulue en fonction de votre accessoire. Vous attendrez que le photographe vous dise Ok pour retirer votre engin, mais s'il vous No, vous recommencerez et, ce jusqu'à ce que la position de votre engin, soit acceptée ! C'est compris ? Et toi, Loré, essaye de ne pas te tortiller le croupion sous les chatouilles et fait bien semblant à chaque coup ».

    Cette séance est très longue. Bien que n'ayant reçu aucun coup, j'ai mal partout, d'espérer, debout, les mains croisées sur la tête, que je vais recevoir le bon coup et réagir comme il le faut ! Les No ont été beaucoup plus nombreux que les Ok et finalement nous avons mis plus de vingt minutes pour mettre en boîte cette séquence !

    Jeudi 2 février 2017 - 21h20

    Fatiguée, je demande à Cécile si je peux avoir un petit verre d’un alcool fort et fumer une cigarette pour me redonner du courage, je sais qu'il me reste une séquence dure, mais je vois enfin le bout du tunnel de cette soirée !

    Elle fait comme moi, et quand elle a fini, elle va me chercher le coordonné-picots qu'elle me présente : « Loré, voilà l’ensemble constitué par un collier de cou, un soutien-gorge, un tanga et des escarpins à talons hauts. Tout est en cuir d'une excellente qualité, mais l’intérieur est tapissé de picots en latex dur qui s’enfoncent dans les chairs. C’est douloureux, mais c’est le clou de notre collection ».

    André rajoute : « Heureusement pour toi, les photographes ont trouvé un trucage pour faire d'une simple marque de picot, un cratère sur Mars ! Tu es sauvée ! ». « Je ne te suis pas André, qu'est ce que tu me dit ? C'est surement une bonne nouvelle mais je ne la comprends pas ! ».

    « Excuse-moi, j'étais trop content de te l'annoncer, et j'ai parlé à l'envers ! Donc, pour bien présenter cette parure de torture, il faut montrer ses composants, et surtout ses picots de latex dur qui rentrent dans la peau de la soumise, mais, grâce à nos génies de photo-shop, il suffira qu'on ait une photo de ta peau, avec juste des marques peu profondes des picots, pour qu'en la traitant, ces marques deviennent des véritables cratères dans ta peau ! Je suis sur que tu as tout compris ! ».

    « Ah ! Oui ! C'est sur que j'ai tout compris, en résumé je vais devoir endurer chaque accessoire, deux ou trois minutes au lieu de deux ou trois heures ? ». « Bingo ! Ma Loré ! ». « Hum, attention André : Loré est une marque déposée, dont je connais la propriétaire : attention au « Ma Loré ! », elle est peut être très jalouse ! »

    André s'écarte en souriant pour laisser passer Grazzi :

    « Tu lui mettras autour du cou sans trop le serrer et tu lui enfileras le soutien-gorge, c'est un 95d, les bonnets ne lui compresseront pas donc trop les seins. Toi, Ahmed, tu lui enfileras ses chaussures et son tanga puis vous la peloterez tous les deux aux endroits sensibles sans trop lui faire mal, et, à mon top, vous arrêterez. Vous l'aiderez à enlever la parure pour que les photographes entrent en scène et fassent toutes les photos dont ils auront besoin pour bien mettre le produit en valeur ! ».

    J’essaye de me décontracter en me répétant que c’est la dernière épreuve. Positionnée derrière moi, Grazziella pose et serre le collier autour de mon cou me déclenchant immédiatement des picotements désagréables.

    Puis, c’est le soutien-gorge, qui me donne l’impression que des centaines de petites aiguilles rentrent dans ma chair. C’est pire encore quand elle commence à me peloter et à me pétrir les seins alors qu’Ahmed, agenouillé devant moi glisse mes pieds nus dans les chaussures.

    Je n’ai, bien évidemment pas d’autre choix que de poser mes pieds par terre, ce qui me torture les plantes de pieds, alors qu’Ahmed m’enfile le tanga en faisant bien attention que le tissu hérissé de picots rentre bien dans les chairs de ma chatte, surtout vers le haut et de la raie de mon cul.

    Je suis déshabillée-de-cuir, Grazzi et Ahmed me prennent en sandwich et me pelotent à quatre mains : le cou, les seins, le sexe et le cul, tout en me poussant à marcher, pour bien marquer mes plantes de pieds.

    Je commence à gémir de douleur quand, Ahmed pose sa main à plat sur mon tanga et me branle en faisant en sorte que les picots rentrent bien dans mes grandes lèvres et frottent mon clito, alors que Grazzi se régale vicieusement de frotter les bonnets de mon soutien-gorge, sur mes tétons, pour que je sente bien les pointes de latex pénétrer, même un peu dans mes chairs.

    Je ne vois pas Cécile se pencher à l’oreille d’André pour lui murmurer quelque chose. Mais j'entends André dire à tout le monde : « Continuez à la peloter, encore quelques minutes. Nous avons oublié une nouveauté importante, qu'il nous faut montrer : le tanga en cuir de la nouvelle collection 2017 s’ouvre sur le devant pour dénuder la chatte, il faudrait le montrer, c’est important, car ça permet la masturbation et même les pénétrations ! ».

    Tout le monde réfléchit pour présenter au mieux cette nouveauté, et Grazzi propose une solution : « Ahmed pourrait niquer Loré, après lui avoir dézippé le tanga, il pourra ainsi, lui peloter les nichons et la faire jouir, sans simulation en la remplissant de son foutre ? ».

    Tout le monde semble d’accord et André conclut :

    « Bon on fait comme ça mais, comme ce n’était pas prévu dans ton contrat, Loré, je rajoute 500€, si tu es d'accord avec l'idée de Grazzi ! ».

    A deux doigts d'un orgasme somptueux, j'approuve en hochant la tête. Ahmed me nique longuement en me pelotant fermement les seins

    Il semble que tout le monde ait oublié le remède-miracle-de-photo-shop, et qu'en enlevant les éléments de torture, il n'y ait rien à retoucher sur ma peau ! En s'enfonçant le plus loin possible dans mon ventre et en bloquant net sa queue en moi, Ahmed me fait hurler de plaisir. J'ai rarement eue la chatte aussi remplie et je n'arrive plus à compter les jets de foutre tiède qui me remplissent la connasse !

    Quand je me relève, les genoux flageolants. J’ôte mon collier et mon soutien-gorge, il suffit d'une prise pour que les photographes prouvent que ces instruments de cuir sont de redoutables moyens de torture. Le même verdict se lit sans appel sur mon cul moucheté de rouge-sang et mes plantes de pieds à la limite du saignement !

    Jeudi 2 février 2017 - 21h40

    Le rendez-vous de 21h30 est raté de 10 minutes, mais André est ravi et fait sortir des coupes, des petits fours et du champagne pour arroser la fin officielle, des prises de vue des collections 2017-2018, de bdsm-made-in-france qui va maintenant demander deux bonnes semaines de mise en page, avant d'être officiellement lancé sur des milliers de sites anglophones vers la mi-mars !

    C'est ce que m'explique Cécile en descendant dans l'appartement de notre premier contact ! Elle me gronde gentiment d'être obligée de me soigner et me dit dans la salle de bains : « Tu es une vraie maso, ma Chérie, tu pouvais arrêter, mais tu as continué, pas pour faire de belles photos, mais simplement pour prendre un pied d'enfer ! Quel courage et quelle résistance ! Je serais incapable de te suivre ! ».

    Elle me soigne, mais les traces de picots s'enlèvent très rapidement avec le baume. Cécile m'aide à me doucher et à me rhabiller. Je reprends rapidement des couleurs, elle me porte un autre petit verre de remontant et sans rien me dire, elle m’embrasse tendrement sur la bouche en me disant à l’oreille : « Si tu veux qu’on se voit un jour toutes les deux, ce sera un réel plaisir pour moi, ma Chérie ».

    Elle me demande mon portable et note elle même son 06, sans me demander le mien, ce que j'apprécie énormément : « J'ai écrit Cécile- Assist, pour que tu te souviennes de suite de moi, car mignonne comme tu l'es, tu dois avoir un répertoire surchargé ! ».

    Prête au départ, je repasse par le studio. Je fais une bise, plus ou moins intime, à tout le monde en les remerciant pour leur professionnalisme et, en espérant que j'ai été à la hauteur de ce qu'ils attendaient de moi. André me rassure sur ce point, et réclame un « Hip ! Hip ! Hip ! Hourra ! Pour Loréna ! », que tout le monde crie avant de m'applaudir !

    André me glisse discrètement une enveloppe dans la poche de mon manteau, je le remercie et il me dit : « J'ai envoyé un texto à Annie, je lui ai dit que tu avais été sensationnelle, et digne d'une vraie top model, que tu devrais vite devenir ! Je lui ai donné l’HTTP du site du Sex-Shop, mais, je te rassure : il est destiné à la vente aux USA par l’intermédiaire de notre i-bureau de Los Angeles, il y a donc assez peu de risque qu'une de tes connaissances s'y connecte ! Sache que j'aurais plaisir à retravailler avec toi, et j'en ferai part à Annie, si besoin, ou directement à toi, car tout va très vite dans nos vies ! Tu ne crois pas « Ma Loré ! » ».

    « Je t'ai noté le HTTP de tes photos de mannequin rien que pour toi, sur un bout de papier : www.bdsm-made-in-france.org bon retour chez toi et, bonsoir à Annie, si tu la vois ! ».

    Je lui ferme la bouche d'un doigt, le remercie, et file sans me retourner, retrouver ma vie et ma petite voiture !

    Jeudi 2 février 2017 - 22h

    Contrairement à mes réactions d'il y a quelques temps, je ne peux pas résister et sors l'enveloppe d'André de la poche de mon manteau. Je l’ouvre et je compte sept billets de 500€, accompagnés d’un petit mot : « Contrat promis à Annie : 3.000€ plus Ahmed 500€. Bises d'André ».

    En reprenant le chemin de la maison, je réalise qu’en moins de quatre heures, j’ai gagné plus d'un mois de salaire brut ! Mais aurais je envie de me regarder et de me saluer dans le miroir de ma salle de bains demain matin ? Et de regarder mon fils et mon mari, dans les yeux, quand ils reviendront la semaine prochaine ? Et cette sérénité, combien vaut-elle ?

    Je sors d’Issoire, et allume une cigarette, juste quand mon portable vibre. C’est Annie : « Putain-Loré, je suis ravie que tout ce soit bien passé, et qu'en plus d'un bel avenir de Call-Girl, tu t'ouvres un avenir de top-model ! Je suppose que tu sais pourquoi il y avait une caméra dans le studio, alors qu’André ne voulait que des photos de toi ? ».

    Je lui réponds poliment : « Oui, Madame, vous devez être en train de visionner la séance de prises de vues ! ». « Bien vu, ma Pute, et plus je te regarde, plus je suis fière de toi. Tom est en train de recevoir de quoi faire quelques super clips de tes exploits ! Ton Delaware va exploser ! ».

    « Dis-moi, putain, j'ai l'occasion de te faire enchaîner de suite sur la séance de demain soir, mais je pense qu'il ne faut pas prendre ton arrêt de maladie à la légère ! Je vais donc te laisser te reposer, cette nuit et demain, jusqu'à 20h. Je t’appellerai pour te dire ce qui t'attend, entendu, Putain ? Mais ne profite pas de ta solitude pour te faire jouir toute la nuit ! Tu manges, tu dors, tu te douches, tu fais pipi et caca, et tu recommences, n'oublie pas tes 2h de travail avec ta secrétaire demain matin, et tu enchaînes jusqu'à mon appel ! Tu as compris, Putain ? Alors bon repos et à demain 20h ! ».

    Jeudi 2 février 2017 - 22h30 

    Je pense n'avoir rien oublié !

    J'ai appelé Jean pour avoir de ses nouvelles, ça a duré, quatre minutes, et j'ai eu droit à : « Je n'arrête pas, tout est trop cool, je t'aime, je t'embrasse et à très bientôt ! ». Ben, oui ! Que lui demander de plus ? Puis j'ai appelé Yves, qui était en pleine réunion de travail nocturne, et nous avons pris rendez-vous pour demain vers 18h.

    J'ai mangé un bout, lu mes mails, regardé le travail toujours parfait d'Eva dans toute la maison. J'ai aussi rangé un peu mon argent : en réunissant l'argent de Vichy et celui du Sex-Shop, j'ai fait un troisième paquet avec un sac poubelle bien garni, que j'ai rangé avec les deux autres dans ma cachette secrète ! En me répétant que dès son retour j'en parlerait à Yves !

    Et après une bonne douche, j'ai enfilé une vieille veste de pyjama d'Yves, et je me suis couchée en mettant mon radio-réveil à 9h ! Soit 10h30, non stop de dodo, et de câlin avec mon Doudou ! Mais, chut, je n'aime pas en parler ! Je le sors uniquement quand je suis seule et un peu mélancolique ! Mais surtout ne le répétez à personne !

    Vendredi 3 février 2017 - 9h 

    Le radio-réveil s’époumone ! J'ai beau le boxer, mais il continue ! Je me demande où je suis ? Je sens l'odeur d'Yves, mais pas sa présence dans le lit ! Je n'entends pas Agnès. Je ne sais pas où je suis, où est Annie, est-ce que je dois accompagner Jean à son institut ?

    J'ai beaucoup de mal à émerger, mais quand je pose un pied par terre, je comprends que je suis seule, chez moi, que j'ai dormi comme une souche pendant des heures, mais que je suis fatiguée et que j'ai encore sommeil !

    Je fais le point sous ma douche ! Pourquoi un réveil à 9h ? Probablement car j'ai un rendez-vous, je fouille dans mes neurones, je trouve un arrêt de maladie, une soirée en préparation pour Annie et un rendez-vous pour briefer Sophie ! Voilà donc pourquoi j'ai du me lever à 9h !

    Vendredi 3 février 2017 - 9h50

    J'arrive au bureau, je vais de suite voir mon Boss qui est dans un des hangars, en train de faire mon boulot, j'en ai un peu honte !

    Je le rejoins, il m'embrasse et me demande si je vais un peu mieux, je lui avoue que je viens de faire un tour de cadran et il semble content.

    Il me dit qu'il préfère être là avec Sophie et moi, pour savoir exactement où en sont tous mes dossiers. Je lui dit assure que c'était mon prochain souhait. Sophie nous rejoint dans le hangar, pile à l'heure.

    L'avantage des filles intelligentes, est double : le premier : une phrase suffit et le deuxième : inutile de se répéter ! A 11h, nous avons épluché tous mes dossiers et je suis sure que Sophie les connait déjà par coeur !

    Il faudra que je méfie : je ne voudrais pas être en train de former la future Loréna de mon Boss !

    Vendredi 3 février 2017 - 11h10

    Je les quitte. Je m'arrête pour acheter des cigarettes, un client devant moi, gueule comme un putois, car le tabac vient encore d'augmenter.

    Je ne sais vraiment pas pourquoi et ce que cet homme paye ? Mais je lui dit : « Monsieur, primo, la pauvre Anaïs n'y est pour rien, elle fait ce que lui ordonne sa patronne, deuzio, vous prenez vos clopes ou pas ? Je n'aime pas les clowns ! Et tertio, des comme vous, j'en chie deux tous les matins, je leur mets un papier cul sur la tête, et ils disparaissent dans la chasse ! Alors cassez-vous ou je vous démonte ce qui vous sert de sexe ! ».

    Anaïs, qui me connait bien, éclate de rire ! « Merci, Loré, de lui avoir dit ce que je pensais ! Il n'aura pas ses cigarettes, je n'ai plus sa marque ! ». Elle ramasse les deux paquets sur son comptoir et me dit : « Et pour vous, Madame ? ». Je prends et paye ma cartouche de Royale et comme le connard continue de faire du foin et menace de tout casser, j'appelle discrètement la police pour leur signaler : « Une prochaine rupture de testicules et je donne l'adresse du bureau de tabac ! ».

    L'homme part en jurant qu'il me retrouvera : « Dans ce monde ou dans l'autre ! ». J'adore cette expression ! Qui va si bien à ce taré !

    Anaïs, qui en rigole encore, insiste pour m’offrir un café, mais je bois un quart St Yorre, de peur que le café me réveille ! La police rappelle, Anaïs leur dit que tout est calme et que le client agité s'en est allé sagement ! Une bise, deux mercis réciproques et je rentre !

    A midi, je me couche, radio-réveil réglé sur 18h, heure à laquelle Yves doit m'appeler !

    Vendredi 3 février 2017 - 18h

    Je me réveille, un peu avant le réveil que je débranche ! J'ai suffisamment dormi, mais je reste au lit en attendant l'appel d'Yves qui est, pile à l'heure, et semble très bien aller !

    De mon côté, je lui signale mon arrêt de travail pour une mauvaise tension et un excès de boulot, un burn-out comme les anglophiles envahissants diraient ! Je lui raconte l'entretien entre mon Boss et le Docteur Bordier, en qui, Yves a totalement confiance.

    Il est content que je sois tenue de me reposer un peu, et me propose même, d'aller passer le reste de la semaine à Super-Besse pour respirer le bon air, en prenant un hôtel-pension suffisamment étoilé, pour être sure de ne reconnaître personne de notre village, et de me reposer à fond sans avoir aucune activité ! Il a même une adresse à me donner si je la veux !

    Je lui dis que son idée est parfaite, mais que sans mes deux hommes et après avoir prévenu Annie du verdict du toubib, j'étais sure de ne pas être dérangée. En plus, comme Éva revient ce lundi, elle me sera d'un grand secours, pour n'avoir rien à faire ni dans la maison ni en dehors !

    Il me dit de faire au mieux, mais qu'il serait enchanté de me retrouver en pleine forme à son retour. Gentiment, il renonce à un petit câlin-téléphonique dont nous sommes friands tous les deux, et me laisse en me prévenant qu'il ne m'appellerait que dimanche, vers midi, pour éviter d'être un souci de plus pour moi ! Quel amour de mari j'ai ! Quand il raccroche, je ne le sens pas soucieux, et j'en suis heureuse et rassurée !

    Je traîne un peu dans la maison, je range deux choses, en dérange trois, bref, je tourne en rond, et, je finis, affalée sur le canapé, sur lequel je n'ai pas grand chose d'autre à faire, que de fumer, et de regarder des programmes sans intérêt à la télé !

    Tout d'un coup, je me souviens que je m'étais dit, qu'un jour d'ennui, je chercherai des diaporamas de femmes seules, entre 30 et 40 ans, faisant des strip-teases intégraux, se terminant, si possible, par des orgasmes réalistes et bien orchestrés !

    Etant dans ma période photos avec les prises de vue de la veille ! Je suis séduite par l'idée, et décide que si je trouve quelques diaporamas sympas, j'en publierai quelques unes, en format-vignettes, pour agrémenter ce journal intime qui est en train de devenir un pavé intime de 6 ou 700 pages !

    Vendredi 3 février 2017 - 18h10

    Je reste nue sous la veste de pyjama de mon Chéri, un verre de Coca, un cendrier propre et vide, mon paquet de Royale et, me voilà prête pour mes fouilles-sexuelles !

    Comme chaque fois que je lance une recherche nouvelle sur le web, je suis aussi curieuse, qu'excitée, mais je dois me rappeler de ma promesse à Annie, de ne pas m'envoyer en l'air, pour préserver la séance de ce soir !

    Je lance une recherche sur Google : « Diaporamas sexys de femmes 30-40 ans, seules, avec strip-tease intégral et orgasme ! ».

    J'ai droit à mes 1,5 million de réponses et je commence à les ouvrir !

    Je suis enchantée, car en moins d'une demi-heure, j'ai accroché dans mes favoris, une bonne vingtaine de diaporamas, tous excitants, avec des filles magnifiques, et, à part quelques unes, dans la bonne tranche d'âge !

    Il me reste à choisir ceux que je vais vous offrir, ce qui ne va pas être simple ! Mais voilà tout de même le résultat de mon tri ! Avec quelques commentaires de ma part, j'espère que le tout vous plaira !

    Diaporama 1 > Belle brune, la trentaine, posant dans un escalier, ce qui a retenu toute mon attention ! Elle montre très vite l'essentiel et humidifie rapidement ce qu'elle a, visiblement très envie, de s'enfiler dans le con ! 10 photos, dont 9 plutôt très coquines !  

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    Diaporama 2 > Très belle femme, probablement de 25 ans, posant dans un TGV certainement à l'arrêt ! Comme toutes les pros de l'exhibition, elle reste de glace, mais peut être que son corps parfait le lui autorise. Moi, je ne le crois pas ! Elle fait vite pour ramasser son enveloppe ! 12 photos que je publie, pour son corps, mais pas pour elle, et aucune n'est coquine ! Belle marchandise dont la traçabilité ne m'intéresse pas ! Loré !

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    Diaporama 3 > De retour dans le monde du naturel, du sourire et du vrai charme ! Cette superbe femme de 40 ans sait qu'elle est très belle ! Elle le montre et elle le prouve ! Photo 10 > Mutine, elle joue avec sa petite culotte et l'objectif ! Adorable ! Photo 12 > Elle exhibe fièrement ses seins tendus et pointus, en disant avec ses yeux : "Eh, les d'jeunes qui me matez : les vôtres seront comment à 40 balais ???". Elle ne nous offre pas d'orgasme, mais, 14 photos qui suintent de sensualité ! Bravo pour Madame et votre photographe ! J'espère que mes lecteurs vous dévoreront des yeux, comme je viens de le faire, avant de vous glisser dans mes pages, et hélas pas dans mon lit ! Un baiser de Loré.

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    Diaporama 4 > Restons dans le monde du naturel ! Cette charmante hispanophone d'environ 25/28 ans, est loin d'être une top-model ! Mais quel charme et quel chien ! Mon mari, qualifie ce genre de femme de super-couilles-au-cul-mettables ! Et pourtant, elle ne fait rien pour aguicher : ses sous-vêtements viennent probablement de chez TATI, mais même ses pieds nus sont excitants ! Seule la photo 11 me semble surjouée ! Pour le reste, je vous mets au défi de deviner si, dans les quatre dernière photos elle vous offre un orgasme. Si cette charmante jeune fille est hispanique, rappelez-vous que je le suis aussi ! Et, nous ne jouissons pas du tout comme les Européennes que je commence à mieux connaître ! Attention certaines grimaces n'en sont pas ! Loré.

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    Tome 08 En cours 5 Tome 08 En cours 6 Tome 08 En cours 7  8  9  10  11

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    Et sera mon dernier diaporama : Diaporama 5  > J'ai voulu un peu de fraîcheur : je l'ai trouvée dans le très jeune âge de cette demoiselle et dans son cadre champêtre ! Elle a décidé d'offrir un festin de chair et de cul à son petit ami photographe ! Et c'est très réussi ! J'espère que votre journée s'est très bien passée et que vous êtes heureuse de prouver votre envie de vivre et de jouir, dans notre modeste blog ! T'chin ! T'chin ! Avec le concombre ou la bouteille ! A vous de choisir ! Loré !

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    Je relis ce que je viens de publier, et je suis contente de moi ! Je voulais montrer quelque chose de varié et d'excitant, je crois que c'est réussi, mais ce sont vos réactions qui me le diront !

    Après, ce petit travail sympathique qui ne déplaira pas à Annie, car j'ai du, très rapidement rajouter une serviette sur le fauteuil du bureau ! Je vais prendre une douche. Je reste en peignoir-chaussons pour attendre l'appel d'Annie dans un petit quart-d'heure, et je me prépare une petite assiette avec une tomate coupée en deux, un bout de gruyère et un double-expresso pour faire passer le tout !

    Vendredi 3 février 2017 - 19h50

    J'ai terminé mon copieux dîner, je vais ranger ma tasse et mon assiette au lave-vaisselle et passe par mon bureau pour prendre mon paquet de cigarettes et mon briquet. Au salon, j'allume une cigarette.

    Au tout début de notre relation, en attendant les appels d'Annie, j'essayais de deviner ce qu'elle allait m'imposer comme défi, mais, pas une seule fois, je n'ai supputé le bon contenu de mon gage du jour !

    J'ai donc décidé d'arrêter ce jeu idiot, et, ce pour deux raisons : je déteste perdre ou avoir tort, et en plus, quel que soit le thème imposé, je n'ai qu'une alternative à ma portée : exécuter les ordres ! Un point c'est tout !

    Avec 10 minutes d'avance, Annie appelle. Je décroche : « Bonsoir Madame ! ». « Tu as été sage, Putain-Loré ? ». « Oui, Madame, j'ai juste cherché et préparé une vingtaine de diaporamas de femmes entre 35 et 40 ans qui faisaient un strip-tease intégral et terminaient par un orgasme devant l'objectif ! ».

    « Et, tu n'as pas eu envie de te masturber, Salope ? Ca m'étonne de toi ! ». « Non, Madame, je vous l'avais promis et si ça m'a, effectivement excitée, ce sera au bénéfice de la soirée que vous m'avez organisée ! ».

    « C'est bien, je te crois assez honnête pour ne pas me mentir ! Es-tu prête à noter tout ce que tu dois faire en 1h, car finalement, ta soirée démarrera, à 21h ? ». « Oui, Madame, je vous écoute attentivement ! ».

    « Bien, je suppose que tu es baignée, douchée, et propre de partout, surtout dans tes trous intimes ? ». « En effet, Madame, prête à servir comme vous me l'avez appris ! ». « Que portes-tu ? ». « Mon peignoir avec les chaussons assortis ». « Parfait, reste comme ça ! ».

    « Tu vas préparer des en-cas pour que tes invités puissent se restaurer. Que du froid : salades composées, œufs durs, plateau de charcuteries et de fromages, pain, beurre, moutarde, cornichons, chips et un petit post-it sur le frigo pour leur indiquer : « Ici : yaourts, vins, boissons etc... ».

    « Quand tu auras préparé tout ça, tu vas t'occuper de l'éclairage : je veux que ton salon, ta chambre à coucher, ta salle de bains et ta cuisine soient éclairés avec des lumières tamisées et indirectes : dès que j'aurai raccroché, sors et ouvre ta boîte à lettres, tu y trouveras une demi-douzaine de rhéostats qui sont pour vous. C'est très simple, tu les mets entre la prise murale et la prise de ta lumière et tu règles la roulette du rhéostat ! ».

    « Merci, Madame, j'avais noté sur le pense-bête d'Eva, qu'elle nous en achète six ! Ca nous manquait en effet, nous les avions vus chez vous et Yves m'avait conseillé d'en acheter ! Encore merci ! Madame ! ». « De rien ma Putain ! ».

    « Pour terminer, tu vas ouvrir ton armoire Sex-Shop et sortir, mais juste en les étalant, tous tes accessoires qui devront être directement accessibles ! ».

    « Voilà, ce sera tout pour le moment, je t'appellerai, dix minutes avant le rendez-vous, pour les derniers détails ! ». Et elle coupe.

    Je sors récupérer les rhéostats extra-plats dans la boîte aux lettres. En regardant vers la maison d'Annie, je constate qu'une voiture, que je ne connais pas, est garée à côté de la sienne, mais je ne vois pas l'AUDI de Marc. Je rentre, en me disant que ce n'est pas mon affaire, et de me mêler de mes oignons !

    Je vais dans la cuisine pour préparer les en-cas. Comme elle a soigneusement évité de me donner le nombre d'invités, je prépare pour quatre personnes, ce qui me semble raisonnable, et, en plus, suffisant pour une femme en arrêt de travail pour surmenage ! En me disant que s'ils sont cinq hommes, je pourrais toujours montrer mon certif au cinquième, pour ne pas avoir à le baiser !

    Tout ça m'a mis en joie, et je souris toute seule en terminant de tout préparer, jusqu'au post-it, au tire-bouchon, au décapsuleur et aux serviettes en papier !

    Puis, avec mes six rhéostats dans les poches, je fais le tour des pièces. Dans la salle de bains, qui n'a pas d'éclairage indirect, j'importe un halogène sur pied du salon. Je mets deux rhéostats dans notre chambre, un dans la cuisine et je dissémine les autres dans le salon.

    Je termine en ouvrant mon armoire Sex-Shop et répartis les accessoires sur la table de la salle à manger.

    Je repasse rapidement dans toutes les lumières ainsi allumées, et je constate que c'est aspect plus intimiste change toute l’atmosphère de notre maison, qui, est pourtant, déjà si agréable à vivre !

    Vendredi 3 février 2017 - 20h50

    Annie me rappelle comme convenu. Je m'empresse de lui dire : « Madame, si vous voyiez le nouvel éclairage ! Il est magnifique, je ne sais pas comment vous remercier, Yves va être très agréablement surpris de cette lumière très intimiste qui est encore plus reposante que des lumières indirectes ! ».

    « C'est l'effet que je recherchais pour toi, ma Chérie, tu vas voir que ça va contribuer à ce que tu passes une excellente soirée ! Bien, je présume que tu es prête ? Les lumières, tu viens de me le confirmer, et les en-cas ? ». « Ils sont prêts, Madame ! ». « Et ta panoplie bdsm ? ». « Elle est soigneusement étalée sur la table de la salle à manger, prête à servir, Madame ! ».

    « C'est parfait, il te reste vingt minutes, car tes invités ont un petit retard. Tu vas mettre à la gauche de ton plasma branché, ton tabouret de cuisine, sur lequel tu vas poser ta web-cam connectée à ton WIFI. Puis, tu iras sur ton PC pour connecter cette web-cam selon la liste qui va s'ouvrir : sur ton écran plasma, sur ton PC, sur mon PC, sur ton portable et sur le mien. Tu sauras faire tout ça, Putain-Loré ? ». « Sans problème, Madame, laissez moi trois minutes et ce sera prêt ! ».

    Vendredi 3 février 2017 - 20h55

    « Tu es de retour ? Tout est bien connecté ? Moi, en tout cas, je vois bien le devant de ta télé, devant laquelle tu n'es pas encore : sur mon PC et sur mon portable ! Donc tout doit bien marcher ! Maintenant, tu vas déverrouiller ta porte, sans allumer de lumière extérieure. Puis, tu te mets à poil, sans aucun bijou dans ta salle de bains, et, puisque tu as encore du temps, tu passes par ton bureau pour y récupérer une chemise en carton de couleur claire et un gros feutre d’une couleur foncée. Vas-faire tout ça, je t'attends ! ».

    Je déverrouille la porte, me mets nue et ôte tous mes bijoux. Je récupère une chemise jaune et un feutre noir dans mon bureau et reprends Annie dans le salon : « Voilà, Madame, j'ai tout ! ».

    « C’est parfait, je vois que les punitions d’Agnès ont laissé des marques, tu es de plus en plus obéissante ! Tu vas plier la chemise en deux et écrire de ta plus belle écriture et, le plus gros possible : je suis une putain soumise. Sur un des côtés pliés, le pli étant destiné à ce que la chemise tienne toute seule ! Tu as tout compris ma Putain ? ».

    Je lui confirme que tout est clair, tout en frémissant à la pensée que je vais confectionner, moi même, une affichette qui annonce en cinq petits mots, ma condition de soumise totalement offerte. Ne voyant pas d’autre solution que celle d’obéir, j’essaye de chasser cette idée et je m’applique à écrire le moins mal possible ces mots obscènes !

    Elle s’impatiente au téléphone : « Ca y est ? Tu as fini ? ». Je lui confirme que c’est terminé et elle me dit de poser la chemise ouverte sur le plasma en prenant soin que la phrase soit bien visible et que l’affichette ne risque pas de tomber. « Voilà, Madame, elle est bien en place ! ».

    Elle rit : « C’est bien, maintenant tu mets ton masque opaque sur ton front. Tu vas t'agenouiller devant le plasma, assise sur les talons, le dos bien droit, et les mains croisées sur ta tête, avec les bras bien parallèles à tes épaules ! Garde ton portable, à portée de main, et, baisses le masque sur tes yeux, et tu attends, le temps qu'il faudra, sans bouger ! N'oublie pas que je te vois sur mon PC ! ».

    Et, comme à son habitude, elle raccroche brutalement. Je pose mon portable à côté de moi et je m’agenouille nue devant la télé.

    Avant de prendre la position demandée, je vérifie le cadrage de la web-cam qui est bon ! Je descends mon masque sur mes yeux, croise mes mains sur la tête, devant mon écran plasma qui doit retransmettre mon image ridicule, mais je suis en fait surtout très inquiète, de ce que l’esprit pervers et sournois d’Annie m’a préparé pour la soirée !

    Vendredi 3 février 2017 - 21h10

    Je sais depuis longtemps que je vais avoir de la visite. Mais qui va me rejoindre ? Annie ? Seule ou accompagnée ? Une autre personne ? Un inconnu ? Une inconnue ? Une relation ? Un ou des hommes ? Une ou des femmes ? Ou un mix des deux sexes ?

    Je suis dans l’incapacité de répondre à cette question, ce qui me rend de plus en plus nerveuse. En plus la position n’est pas agréable, j’ai mal aux reins et je commence à avoir des crampes.

    Je triche un peu pour me décontracter, de temps en temps, en guettant chaque bruit : une voiture dans la rue, un claquement de portière, un miaulement de chat ou un simple son de voix, me font revenir de suite à la position imposée.

    Mais, la moindre alerte, me procure un frisson qui irradie tout mon corps, me tend les tétons, m’humidifie la chatte et me donne la chair de poule, en différents endroits de mon corps, sensibilisé comme jamais, je ne me rappelle l'avoir senti !

    En entendant un bruit de porte se refermer près de chez moi, je ferme les yeux, en priant, pour ne pas tomber entre les mains d’un sadique.

    Tout en me raisonnant : si c’est elle, elle connait mes limites dans le masochisme, et si c’est quelqu’un, à qui elle me prête, et qu’elle contrôle forcément, elle aura sûrement eu le temps de lui donner ses instructions et mes tabous.

    En fait, je me rassure comme je le peux en me raccrochant à une bouée que je vois s’éloigner de moi, à chaque bruit de pas, qui se rapprochent de ma porte d’entrée.

    Le bruit de son ouverture est presque imperceptible, mais j’entends nettement ma porte se refermer. Puis des bruits qui me font penser à quelqu’un qui enlève ses chaussures. Sitôt après, il me semble entendre des glissements de pieds sur le carrelage et une respiration comme dédoublée.

    D’autres bruits indistincts proviennent de la maison, mais certains me paraissent venir du garage et d’autres de la cuisine. Complètement décontenancée, et, à vrai dire un peu perdue ! J’ai beaucoup de mal à reconstituer le puzzle.

    Alors, que, tout d’un coup j'entends et je sens une respiration, et une présence juste derrière moi et un regard qui parcourt tout mon dos, en me faisant frissonner des pieds à la tête !

    Je ne peux m’empêcher de frémir quand une voix d’homme me dit à l’oreille : « Ne t’en fais pas, belle Loréna, tout va bien se passer. Il faut dire qu'un long discours, bien détaillé, de ta propriétaire, Annie, et ta petite pancarte publicitaire nous ont éclairés sur qui tu étais réellement, dans ta deuxième vie, très peu connue, car plus que cachée ! ».

    Le nous me fixe uniquement sur le fait qu’ils sont plusieurs. La voix ne me dit absolument rien, sinon que je suis sure de ne pas la connaître !

    Elle continue, suave et douce : « Pour te rassurer, je te donne tout de suite un aperçu de ton programme. Pour satisfaire ton côté sexe, nous allons nous occuper de toi, en te partouzant bien gentiment, et en nous régalant de tes jouissances ! Ensuite, nous nous reposerons un peu, en t'élargissant le plus possible tes trous de salope ! Et, pour finir : nous répondront à ta demande, en nous amusant avec la vraie Loréna, qui n'est, en fait, qu'une putain, vénale, vicieuse, salope, perverse et une très bonne soumise-maso qui ne refuse quasiment rien ! ».

    Ce programme détaillé augmente mes frayeurs et mon angoisse mais je suis à présent certaine que je ne connais pas cet homme. Mon portable sonne, une main me le passe, main libre en marche.

    C'est Annie : « Tu vois comme je suis altruiste ma pute, tu es en train de recevoir deux de mes bons amis. J’espère que je pourrai être fière de toi et de ton obéissance, malgré leur vice et leur perversité ! Ils vont commencer par prendre deux loups sur ta table aux plaisirs, et, quand ils te l'ordonneront, tu enlèveras toi même ton masque. Pourquoi ? C'est très simple : je ne veux pas que tu puisses les reconnaître, mais je tiens à ce qu’ils puissent te reconnaître, allez amuse toi bien ! ».

    On me reprend le téléphone de la main. Je les entends fouiller et commenter mon équipement : « On se croirait chez une pro, quelle panoplie de maso ! Il y a même des accessoires que je ne connais pas ! ». C’est le deuxième inconnu qui vient de parler et je peux constater que, comme pour le premier, je ne connais pas sa voix.

    Des mains me relèvent, en me laissant face à ta télé, et une des voix me demande d'enlever mon masque. Dès que mes yeux se sont de nouveau habitués à la lumière agréablement tamisée, je découvre deux jeunes hommes, bien faits et souriants, sous leurs loups, qui m’empêchent de les voir en totalité.

    Contrairement à eux, qui ne se privent pas pour me retourner pour apprécier mon côté pile, après avoir eu longuement le temps de mater mon dos, quand j’étais agenouillée. Le premier se dirige vers la table de la salle à manger, et ouvre un sac de cuir, que je crois reconnaître : il en sort une caméra et un trépied que je reconnais comme étant ceux d’Annie.

    Il me confie : « Ton amie ne veut rien perdre de tes ébats, et comme elle n'a aucune confiance dans ta web-cam, nous en changeons et allons de ce pas dans ta chambre ! ».

    Essayant d'oublier ma nudité et tout ce que je leur dévoile malgré moi, j'essaye de rester naturelle, et je les conduis dans notre chambre. Je dois me coucher sur le dos, sur le dessus-de-lit, alors qu’ils installent et mettent en route la caméra, sur son trépied, pour un grand-angle sur le lit entier.

    Ils se déshabillent. Bien qu'ils ne bandent pas encore, je constate que la nature les a bien dotés, et je dois reconnaître que dans mon malheur, j'aurais pu tomber plus mal !

    Ils me positionnent bien au centre du lit et se couchent de chaque côté de moi, et, sans attendre, ils profitent de mon corps selon leurs envies. Sans se préoccuper, un seul instant des miennes.

    Je dois vite reconnaître qu'ils savent très bien se servir, de leurs langues, de leurs doigts et de leurs sexes. Ils ne m'autorisent pas à les toucher, malgré les nombreux appels que leur fais et j’ai l’impression incroyable qu'ils sont six à s’occuper de moi car aucun centimètre carré de mon corps n’est oublié.

    Leurs doigts et leurs bites me pénètrent partout, me faisant gémir de plaisir ce qui m’attire leurs sarcasmes et leurs insultes.

    Ils finissent par prendre leur pied, quasiment en même temps, en s’agenouillant de chaque côté de moi et en se branlant pour m’arroser les seins de sperme chaud et gluant, sans toutefois me laisser assez de temps pour jouir !

    Mais ces deux hommes, jeunes et pleins d'envie, m'excitent terriblement et je sais que je jouirai plus tard. Après un peu de repos, ils se relèvent et s'asseyent de chaque côté de la caméra qui me filme donc seule et en automatique. L'un d'eux m'ordonne de me branler, cuisses grandes ouvertes, tout en leur demandant l’autorisation de jouir, chaque fois que je suis au bord de l'orgasme !

    Ils rient de mes gémissements, et, bien évidemment chaque fois que je leur demande cette autorisation, leur réponse est négative ! Ils me laissent me heurter à leur refus, pendant une bonne demi-heure. Je crève d’envie de jouir, mais je suis obligée de me retenir.

    L'un d'eux a prit la caméra en main et multiplie les gros plans de ma chatte dégoulinante, de mes grandes lèvres gonflées et de mon clitoris gros comme un pois chiche ! Sans omettre de remonter très souvent vers mes seins sur lesquels l'objectif, cherche, et, bien sur, trouve, les traînées laiteuses de leur double jouissance.

    Vendredi 3 février 2017 - 22h

    « Suffit sale pute : vas te calmer sous la douche, mais interdiction de t'envoyer en l'air. Nous allons boire un verre, il paraît que tu nous as préparé de quoi grignoter ? ». « Oui, Monsieur, c'est dans la cuisine ».

    « Bien, alors retrouve nous à poil dans ta cuisine, nous sommes très loin d’en avoir fini avec toi ! ». Je me douche longuement, remarquant qu'encore une fois des inconnus m'ont baisée sans préservatifs. J'espère que ces hommes sont sains, mais je me demande si ce n'est pas une consigne, un peu dangereuse, d’Annie pour m’humilier un peu plus. 

    Encore humide de la douche, je vais dans la cuisine, où ils ne sont plus !

    Les hommes à poil, ont su trouver le vin et tout ce qu'il fallait pour casser la croûte, mais ils ont aussi trouvé sur la table mon CD intime, qu'ils regardent sur l'écran plasma du salon.

    Quand j'entre, ils me regardent en riant : « Tu es une sacrée salope toi, et tu as l'air d'adorer ça, et en plus il faut que tu en gardes des souvenirs ! ». Ils se relèvent, je ne peux que constater que leurs sexes ont repris des formes : « Installe toi dans le canapé, on va s'occuper bien comme il faut de toi ».

    En m'asseyant je constate que la caméra est déjà réglée vers le canapé. Ils abrègent les préambules, m'estimant assez chaude et suffisamment trempée, pour être fistée et baisée par les deux trous.

    Comme annoncé clairement à l'avance, ils s’occupent non pas de moi, mais, juste de mes deux orifices. Ils rient, en m'obligeant à regarder un poignet et un bout d'avant-bras complètement aspirés dans un de mes trous. Et, alors qu'ils me fistent les deux trous en même temps, ils s’amusent en agitant leurs doigts, en même temps, dans mon cul et dans mon con.

    M'obligeant à hurler de douleur : avec une explication très simple : je suis très étroite, surtout de l’anus, où j’ai du mal à supporter un poing entier. Mais, ils sont intraitables, et peu à peu, je suis obligée de m’y faire. Ils me font même monter sur la table du salon, avec leurs deux poings en moi et, danser comme une pute dans un bordel, en me touchant les nichons et en tortillant du cul avec un vice et un plaisir évidents !

    Quand ils décident, enfin, de remplacer leurs poings par leurs pines, je leur réponds, par des hurlements de plaisir et une jouissance terrifiante qui me laisse complètement abasourdie. J'ai rarement eu l’occasion d’avoir deux bites aussi belles dans mes deux trous et j'en profite sans fausse pudeur !

    Vendredi 3 février 2017 - 22h20

    Je n'en peux plus et je leur réclame une pose, ils me l'accordent en souriant mais en m'interdisant d'aller me doucher : « C'est trop excitant de te savoir pleine de notre foutre, et on va se régaler de le voir s'écouler de ton cul et de ton con. Ce sera un beau spectacle, et profite bien de la pause, car après nous allons passer aux choses sérieuses et ce n'est pas évident que tu cries de plaisir comme tu viens de le faire ! ».

    Je leur propose de boire un verre, je les sers et nous fumons en silence. Ils écrasent leurs cigarettes et l'un des d'eux me dit : « Vas te mettre au coin, mains sur la tête et cuisses écartées, nous allons te préparer un petit scénario sur mesure ! ». Sans rien dire je vais au coin et y reste, tournée vers le mur, mains sur la tête et cuisses écartées.

    A ma grande honte la position est favorable à l’écoulement de leurs foutres sur le sol. Ils s’en rendent compte et ricanent de moi tout en parlant à voix basse et en cherchant de quoi s'amuser sur la table.

    Au bout de quelques minutes, ils m’autorisent à revenir, je constate qu’ils sont toujours nus et que l’un des deux filme. Visiblement, un des hommes va me dominer pendant que l’autre filmera. « Tu vas faire tes courses sur la table : choisis toi un collier de chienne, un bâillon boule, cinq pinces en fer et tu reviens déposer ton trésor à mes pieds ! ».

    Je réunis tout ce qu'il m'a demandé et l'étale devant lui. « Accroupis toi devant nous, comme si tu voulais pisser : en équilibre sur tes pieds, les cuisses écartées, le buste bien droit ».

    Je me mets en position, honteuse de m'offrir aussi vulgairement, mais ça les excite visiblement car ils se branlent en me matant. « Reste bien en équilibre et ne tombe pas : car si tu tombes, je t’éteins ma cigarette sur un de tes nichons ! ». Je frémis de peur à cette idée et fais bien attention de garder mon équilibre dans cette position difficile.

    « Mets ton collier autour du cou et serre le bien et après tu te mettras le bâillon boule ». Je prends le collier et le bâillon, que je me pose sans trop de difficulté. Il vérifie la tension du collier et me dit : « Deux trous de plus, ce n’est pas assez serré ». Je m’étouffe un peu mais j’arrive à le fermer.

    « A présent, il nous reste les pinces en fer. Je vais t’indiquer où les poser, une par une, et je compterai jusqu’à trois, si à trois, elle n’est pas posée, c’est la cigarette ! Tu as bien compris pouffiasse ? ».

    Ne pouvant parler à cause de la boule, je fais oui de la tête. Je prends la décision de tout faire, pour éviter une brûlure. Mais je m’attends au pire de sa part. Il voit la peur dans mes yeux et sourit en annonçant : téton gauche. J'ai une pince dans la main, et, avant qu’il n’ait eu le temps de commencer à compter, je la pose juste sur le bout de mon téton.

    Je prends une autre pince et m’attends à téton droit mais il annonce lèvre du sexe droite. Je me penche et pince la lèvre, boursouflée de désir, ce qui m'oblige à gémir de douleur.

    Je n'ai pas le temps de prendre une autre pince, qu'il annonce : téton gauche et je me retrouve avec les deux bouts de tétons durement pincés. « Pour la prochaine, je vais te laisser deux minutes : fais toi bander le clitoris, et à mon top, tu y mettras la quatrième pince, allez commence ! ».

    Effrayée par la douleur que je vais être obligée de m’infliger, je baisse ma main droite, dégage mon clitoris de mes lèvres enflées, et je le branle en faisant rouler mon index humide dessus.

    La caméra vient me filmer, en très gros plan, et les bites des hommes se gonflent, prêtes à exploser. Je voudrais pouvoir retenir le temps, mais je vois l’homme consulter sa montre, je sais que je n’échapperai pas à son top fatal. Ma caresse commence à me faire oublier la douleur des autres pinces, et je me branle le bouton de plus en plus fort. 

    Quand le top retentit, j'ai la pince dans la main, je baisse la tête pour bien voir ce que je fais, et, je pose la pince sur mon clitoris. J’hurle dans mon bâillon, mais le son est remplacé, par un filet de bave, qui coule sur mes seins.

    Je ne peux retenir mes larmes, alors que je pose la dernière pince, sur la lèvre du sexe gauche comme ordonné. Il se penche vers moi et joue avec la pince de mon clitoris : « Je t’avais prévenue que pendant ce genre de jeu, tu risquais de hurler pour autre chose que pour ton plaisir, je crois qu’on a bien fait de te bâillonner ! ».

    Ils se branlent de plus en plus fort, en me regardant souffrir et pleurer devant eux, j’ai peur d’être tombée sur des gens, qui ignorent le sens du mot pitié, mais j’essaye de me calmer pour ne pas leur offrir un spectacle trop pitoyable.

    « Très bien, à présent à quatre pattes, c'est une position de chienne en chaleur, que tu dois connaître par cœur pouffiasse ! ». Je sens qu'ils ne comptent enlever aucune de mes pinces, et, au contraire, pendant que je me mets en position, l'un des deux se lève et revient de la table avec le plus gros vibro de notre collection.

    Il s’agenouille derrière moi. Je me décontracte pour recevoir le vibro dans mon cul, mais il me surprend en ouvrant mon anus avec sa bite, et il s’enfonce dans mes fesses d’un puissant coup de reins.

    Il se penche sur moi, prend mes seins dans ses mains pour les pétrir et tirer sur les pinces tout en me labourant le cul. Je me tortille, mais il sait parfaitement que ce n’est pas de plaisir. « Tu pleures toujours putain ? Pourtant tout à l’heure, tu hurlais ton plaisir d’avoir deux grosses pines dans tes trous à bites ! Et, là, tu n'as que le trou à merdes plein ! C’est fou ce que les femmes sont changeantes ! ».

    Un dernier coup de reins, un grognement, il manque de m’arracher les pinces des seins sans les desserrer et il jouit dans mon cul avec une satisfaction non dissimulée. Il attend à peine de débander. Se retire de mes fesses et y glisse immédiatement le vibro qu’il branche de suite sur sa vitesse maximale.

    Bien malgré moi, je réponds aux vibrations, en bougeant mes fesses, ce qui fait balancer toutes mes pinces en métal lourd et me refait pleurer. « Mets toi debout et serre les fesses. Mais, attention ! Si tu perds le vibro c’est la cigarette ! ».

    Je me relève, en fait, je sais que je ne risque rien : il est tellement gros, qu’il me remplit les fesses, sans aucune possibilité qu’il sorte seul de mon anus. Ils me contemplent et me filment comme ça, debout, cuisses jointes, pincée et le visage rempli de larmes !

    Un de mes tortionnaires me tend une longue corde de chanvre : « Tu vas te bonder les seins, en serrant très fort la corde, comme je t’ai vu faire sur plusieurs photos. Je veux que tu transformes, tes nichons de salope, en deux ballons violets qui te feront jouir de douleur ! ».

    Je remercie Yves en pensée : il l’a tant de fois fait sur moi, que j’ai appris à me bonder seule, et quelques minutes après, j'ai deux gros ballons gonflés à la place des seins. Ils me font tourner sur moi même, pour bien me mater et me filmer. Pendant que le premier continue à faire de très gros plans de mes seins, l’autre prend une autre longue corde de chanvre très effilochée.

    Ils cherchent deux points d’ancrage, dans le salon, à la hauteur de mon ventre, et, les ayant trouvés, ils y attachent la nouvelle corde en réglant sa tension et sa hauteur en fonction de ma taille.

    Ils se murmurent quelque chose à l'oreille et l'un des deux me dit : « Enlève la pince de ton clitoris ». Je le fais immédiatement, en me pliant de douleur, dès que le sang revient dans cet organe si sensible ! « Masse le, le sang reviendra et ça te fera du bien ».

    Mon vagin est tellement mouillé, que j’y trouve de quoi apaiser un peu la douleur de mon clito, que je caresse doucement avec mon index mouillé. « Ca suffit, tu n’es pas là pour te faire plaisir, enlève ton bâillon-boule et enjambe la corde, en faisant attention que les pinces de tes lèvres pendent des deux côtés et que la corde entre bien profondément entre tes lèvres ».

    C’est avec un réel plaisir, que j’ôte le bâillon, qui me fait baver depuis plus d’une heure et, bouche, enfin libre, j’enjambe la corde en faisant attention à la position des pinces. Dès qu'ils ont fini de tendre à fond la corde qui passe entre mes jambes, ils m'ordonnent d'aller et venir sur cette corde irritante, mais terriblement excitante, qui m'ouvre les grandes lèvres et vient masser l'entrée de mon vagin et mon clitoris en feu.

    Ils rient et m’insultent : « Vas y sale-pute, croise les mains dans ton dos et frotte-toi bien, tu n'arrêteras qu'après ta deuxième jouissance, comme la chienne en chaleur que tu es, et qui en meure d’envie ».

    Je frémis de tout mon corps, la douleur de mon clitoris s’apaise peu à peu et je me frotte sur la corde avec de plus en plus de plaisir. Mais l’homme a décidé que, ce soir, plaisir et douleur iraient ensemble : il prend des menottes et attache mes poignets dans mon dos et à la corde, ce qui m’oblige à me pencher vers l’arrière, sans gêner mes frottements sur la corde !

    Celui qui ne filme pas, passe devant moi et me montre quatre lests en plomb. « Quatre lests pour quatre pinces, le compte est bon, tu ne trouves pas ? ». Il rit en me voyant le supplier des yeux, mais je sais qu’il ira au bout : « Ne fais pas cette gueule, connasse, tu sais que ces poids te feront jouir encore plus vite, tu es tellement salope et maso que tu ne sais même pas faire la différence entre la douleur et le plaisir, il te faut les deux, pour t’envoyer en l’air et gueuler comme une truie en chaleur ! ».

    Il arrête de parler et clipse, un à un, les quatre poids aux pinces, me faisant hurler de douleur. Son regard se durcit et il me gifle de toutes ses forces : « Tu veux que je te remette le bâillon ? Ou tu veux la cigarette sur le nichon ? Fais gaffe pouffiasse, si j’entends un cri qui ne soit pas un cri de jouissance, tu auras droit au bâillon et à la brûlure, alors maîtrise toi ! ».

    J’ai peur, mais, il a raison, la douleur s’estompe peu à peu ou tout au moins, je m’y habitue. Je suis de plus en plus excitée, avec une intensité que je n’ai pas souvenir d’avoir connue depuis longtemps, et je sais que je ne vais pas pouvoir tenir bien longtemps.

    Je pèse de tout mon corps sur la corde, accélère brutalement mes allers et retours sur le chanvre qui me dévaste l’intérieur du sexe et je finis par jouir en hurlant mon plaisir. Le cameraman confie la caméra à son ami, il me libère les mains de la corde tout en me laissant les menottes et les pinces ! Il m'aide à enjamber la corde, pèse sur ma tête pour m’agenouiller devant lui et sexe à hauteur de ma bouche, il commence à se branler en me disant :

    « Tu vas voir la différence entre une femme qui pompe une bite et une salope qui avale le foutre d’un parfait inconnu, qui n’a aucun respect pour elle ! ».

    En me regardant avec mépris, il se branle en prenant tout son temps, et, quand il est bien chaud, il m’ordonne d’ouvrir la bouche et approche son gland pour continuer de se branler tout en jouissant dans ma bouche. Quand il a fini, il m’oblige à refermer la bouche et à avaler son foutre lentement en me conseillant de bien le déguster !

    L’autre m’ouvre la bouche, comme il le ferait avec un animal, il vérifie que j’ai bien avalé tout le sperme et me relève pour me remettre en place sur la corde en me disant simplement : « Tu nous dois un deuxième orgasme, je t’avais demandée de t’envoyer en l’air deux fois sale pute ! ».

    Ces hommes sont des monstres, autant la première fois, la corde fut un réel plaisir, autant, pour cette deuxième fois, c'est une torture et ce n’est qu’au bout d’un long quart d’heure que j’arrive à une jouissance, mêlée de larmes pour mon clitoris irrité à l’extrême, et de gémissements de plaisir pour un orgasme forcé, qui ne me donne aucune satisfaction.

    Vendredi 3 février 2017 - 23h30

    « Je t’avais dit qu’elle y arriverait, une salope de son calibre est capable de tout et, je regrette sincèrement d’avoir promis à Annie, de ne pas la marquer, car je suis sur qu’elle aurait joui en se branlant, pendant que j’aurais éteint deux cigarettes sur ses tétons chauffés à blanc ! Mais ce sera pour une autre fois ! Je négocierai mieux avec Annie ! ».

    Ils rient en me dégageant de mes cordes ! Me laissant les pinces, le vibro et les menottes. Je suis épuisée et je les supplie de m’accorder un peu de répit. « Il n’en est pas question, suis nous, nous changeons d’endroit, en entrant chez toi, j’ai repéré un cagibi fort sympathique, qui me convient très bien, mais avant, on va combler des vides ! ».

    Il sort le vibro que j'ai dans le cul et, sans même lui passer un kleenex, il le glisse sans aucune difficulté dans mon con dégoulinant. Il le branche sur une vitesses que je juge moyenne ! Puis il en prend un autre, un peu plus gros, sur la table et me met en levrette pour le glisser, bien au fond de mon cul, avant de le faire vibrer un peu plus fort que celui du con !

    Son ami, récupère sur la table un harnais de cuir, composé d’une ceinture large qu'il me fixe, bien serrée à la taille, et, une autre, un peu plus large qui passe entre mes cuisses et est fixée ; des deux côtés, sur la ceinture, pour soutenir, ce que j'ai dans les orifices et empêcher toute chute !

    Ils prennent d’autres jouets, que je n’arrive pas à identifier et m'obligent à les suivre : j'ai toutes les peines du monde à marcher, entre les pinces lestées qui pendent de ma chatte ou de mes tétons et mes orifices largement trop dilatés. Ils rient et se moquent de moi, en me voyant marcher, comme un canard maladroit.

    Nous passons par la cuisine pour entrer dans le cagibi qui me sert à étendre mon linge. Mon tortionnaire monte sur un tabouret : il a repéré un crochet au plafond auquel il attache mes poignets menottés vers l'avant.

    Il me laisse suspendue, la pointe des pieds effleurant tout juste le sol, libre de tourner sur moi même, mais en aucun cas de m’échapper ou de faire un quelconque geste superflu.

    Il branche en même temps les deux vibros sur leurs vitesses maximales et, pendant un bon quart d'heure, ils jouent avec moi, m'insultant, me frappant toutes les parties du corps, avec une cravache pour l'un et un martinet pour l'autre en me traitant de tous les noms.

    Je pleure de douleur, tout en tournant sans arrêt sur l’axe de mes poignets attachés, au rythme des coups qui pleuvent sur mes fesses, mes seins pincés et gonflés ou mon intimité gorgée de sang.

    Pendant cette double raclée profondément sadique, les vibros ronronnent en moi, me taraudant les chairs intimes de mon sphincter ou de mon vagin, et, malgré la douleur, j'atteins l'orgasme devant les yeux sarcastiques des hommes à qui je donne raison de m'avoir définitivement cataloguée comme la reine des salopes d'Auvergne !

    Lassés de me frapper et probablement de retenir leurs coups pour ne pas déplaire à Annie, ils me libèrent les mains et, nous revenons dans le salon où je peux, enfin, me débarrasser de tous mes accessoires.

    Dans un élan de générosité, ils m’autorisent à aller chercher le baume, dont Annie a du leur signaler l'existence dans ma salle de bains, et de revenir me soigner dans le salon devant eux.

    Gentiment, ils me guident même vers des petites blessures que je ne peux pas voir, sans toutefois se salir les mains avec le baume !

    J'en vois un regarder sa montre, et dire à l'autre : « Bien, nous sommes dans les temps, il nous reste une dizaine de minutes, elle va donc pouvoir avoir droit à notre dernier cadeau, et nous laisserons la place à qui en voudra ! ».

    Ils s'asseyent sur le canapé me laissant debout, nue face à eux : « Dis nous connasse, qu'est ce qui peut sortir de la bite d'un homme ? ». Plutôt surprise par cette question, je réponds franchement et naturellement : « Du sperme et de la pisse, Monsieur ».

    Ils rient tous les deux : « Bonne réponse, et que trouves-tu le plus humiliant ? Avaler du foutre ? Ou boire de la pisse ? ». « Aucun des deux, Monsieur, ce sont des produits naturels, et il n'y a pas à avoir honte d'en avaler ! ». « Je vais te répéter que tu es vraiment une super salope ! Tu vas donc pouvoir te régaler, avec ce que chacun de nous, voudra bien te donner à boire et à avaler ! Et, estime toi heureuse, que nous n'ayons pas un chien, car c'est sa pisse que tu mériterais de boire ! ».

    Vendredi 3 février 2017 - 0h

    Ils sont partis, je suis sous la douche essayant de me laver de tout ce sperme, de toutes ces insultes et surtout de toute cette urine que j'ai reçue et avalée. Je me sens humiliée, car ces images infamantes reviennent sans cesse dans ma tête.

    L'un des deux a commencé par me tendre un verre, que j'ai du remplir en pissant, avant de le boire en me pinçant les tétons de mon autre main, tout en souriant à la caméra, pour prouver mon absence de dégoût.

    Puis pour m'humilier encore plus, ils m'ont obligée à pisser dans une cuvette que j’ai du laper à quatre pattes jusqu'à la dernière goutte. J’avais envie de vomir, mais j'ai essayé de me retenir en fermant les yeux et en pensant à autre chose.

    « Mais dit donc pouffiasse, tu as l'air d'adorer ça ! On va donc te faire plaisir : mets toi à genoux sur ton carrelage, écarte bien les cuisses et branle toi : tu vas te faire jouir devant nous, pendant que nous te pisserons dessus, ce sera la meilleure manière de nous prouver, que tu aimes la pisse bien tiède ! ».

    Et c’est à tour de rôle, qu’ils ont vidé leurs vessies sur mes seins, mon corps, mes cheveux et dans ma bouche, qu’ils m’ont obligée à garder bien ouverte, sans que je ne puisse rien faire d’autre que recevoir, et avaler ce liquide nauséeux, tout en me branlant devant eux ; comme une véritable truie !

    Je n'ai pas joui, quand ils me pissaient dessus, mais, peu après, quand trempée de pisse, dans un mélange immonde, du plaisir qu'ils prenaient à se branler tous les deux et à m'inonder de foutre et, de mon humiliation, moi qui, malgré l'obscénité de la situation, arrivait à prendre mon pied, devant ces salauds, que j'aurais tant aimé haïr !

    Je sors de la douche et je vais boire un grand verre d'eau. Malgré cette douche, je ne me suis jamais sentie aussi sale et surtout salie.

    J'espère de tout cœur qu’Annie ne va pas se manifester : je suis réellement exténuée et bouleversée jusqu'à l’écœurement, par tous ces événements subis en quelques heures. Je crois qu'il me faudra, un bon bout de temps, pour transformer, ces humiliations et ce sadisme, en fantasmes jouissifs !

    Je m’affale dans un fauteuil en allumant une dernière cigarette, avant d'aller me coucher, en priant pour que mon portable ne sonne pas.

    Je lutte contre le sommeil mais mon portable ne vibre pas ! Toutefois (...)

    Vendredi 3 février 2017 - 0h20

    (…) Ce sont des talons aiguilles qui résonnent sur le carrelage. Je réalise d’un seul coup que je n’ai pas pensé à verrouiller ma porte et qu’une femme vient d’entrer chez moi ! Très angoissée, j’écrase ma cigarette, sans bouger de mon fauteuil.

    Annie entre dans la pièce en souriant : « Bonsoir, Putain-Loré, tu as eu le temps de récupérer ? Ces deux jeunes gens ont une belle santé ! Tu dois être d'accord avec moi ? ». « Oh oui Madame, j’ai rarement vu des hommes jouir autant de fois de suite, et, en plus, ils sont très cérébraux, j’ai passé un long moment à réparer leurs dégâts ».

    « Ils ont été invités pour ça, et ne te plains pas trop, car l’un des deux voulait vraiment te torturer, mais je les ai bien briefés avant, sinon je t’aurais ramassée en miettes, mais sais tu, que tu as déjà vu ces deux jeunes gens, dans ta courte vie ? ». « Si vous le dites, Madame, je vous crois, mais sincèrement je ne m’en rappelle pas ! Seraient ce deux des hommes de Vichy ? ».

    Elle rit : « Non, en fait tu ne les as vus qu'en vidéo ! Ce sont les jeunes gens avec lesquels j’ai tourné le clip dans la chambre d’Hôtel ! Bien sur, je les connaissais beaucoup plus intimement que toi et j’étais sure qu’ils te feraient bien jouir et qu’ils seraient à la hauteur de ce que je leur demandais, et je ne me suis pas trompée ! ». « Ah ! Ca ! Pour être à la hauteur ! Non, Madame, vous ne vous êtes pas trompée ».

    « Je ne vais te répéter une nouvelle fois que je me trompe rarement ! Je n'aime pas radoter ! Et pour changer de sujet : sais-tu que tes photos retouchées et terminées sont déjà en ligne sur le site du catalogue d’André ? Cet homme a une équipe redoutablement efficace ! Tu veux les voir ? ».

    J’approuve de la tête et elle m’installe devant mon ordinateur allumé et me dit d'entrer bdsm-made-in-france.org et de le mettre de suite dans mes favoris.

    Elle ignore qu'André m'a déjà donné le HTTP, mais il ne me semble pas utile de le lui dire ! Elle regarde par dessus mon épaule ! « Voilà, ma Chérie, tu es sur la page d’accueil du catalogue, qui est encore en chantier pour une dizaine de jours, mais les photos sont définitives ! ».

    « Quant à moi, j’ai un petit travail à terminer. Une question : ta panoplie de Sex-Shop est toujours étalée sur ta table de salle à manger ? ».

    Je me lève : « Oui, Madame, je vous y conduis ». Annie, constate que la panoplie est étalée sur toute la table. Elle me demande une nappe unie de couleur claire, pendant qu'elle entasse les accessoires sur une demi-table.

    Elle sort de son sac un appareil photo numérique et me demande de lui trouver une nappe unie de couleur claire. Je prends dans mon buffet, une nappe jaune pâle, qui semble lui convenir. Elle la pose soigneusement sur la demi-table dégagée.

    Ayant compris son but, je lui propose mon aide : « Je vois ce que vous vous apprêtez à faire, Madame, voulez-vous que je vous aide à faire vos photos catégorielles ? A deux ce sera plus vite fait ! »

    «Merci de ton offre, putain, mais, va voir tes photos ! Je sais exactement ce que je veux faire,j’ai donc de quoi m’occuper, on se revoit tout à l'heure ! ».

    Et je la laisse trier nos sex-toys pour les répertorier dans un diaporama qui sera forcément très explicite pour mes futurs clients !

    Samedi 4 février 2017 - 0h30

    Je comprends suffisamment l’Anglais pour me diriger facilement dans ce qui n'est, pour l'instant, qu'un squelette de catalogue.

    Je fais défiler des dizaines de photos de mannequins qui présentent de l'habillement coquin : strings, nuisettes, corsets et autres parures sexys. D'autres qui vantent des vibromasseurs, des godes ou des boules de geisha.

    Il y a des dizaines de pages et des centaines d'articles. Certains ont déjà leur fiche technique, avec leurs caractéristiques, les coloris disponibles, le mode d'emploi, si nécessaire, et, bien sur, le prix, et le fameux add to my basket puisque les Américains aiment jouer au Basket en faisant leurs courses !

    Peu à peu, j’arrive dans la partie bdsm où je devrais me trouver. Sans avoir aucun expérience, je dois reconnaître que la différence entre des photos de mannequins amateurs et professionnels saute aux yeux.

    Mes photos sont parfois mélangées avec celles d'autres filles, pour présenter une même série d'articles, mais j'ai aussi droit à quelques doubles-pages où je suis le seul mannequin !

    Je me suis rarement trouvée aussi sexy sur des photos ! Mais, bien évidemment, les positions osées que j'ai du prendre, mon habillement, ou plutôt, mon manque d'habillement ! Les gadgets, que je mets en valeur, en les présentant in sitio, et surtout les clichés pris par des photographes professionnels, qui savent mieux que tout le monde, profiter d'un clignement de paupière, du durcissement d'un téton ou même d'une goutte de cyprine s'échappant de ma chatte et qui roule sur haut d'une cuisse !

    Tout ça, mis bout à bout, ne risque pas de refroidir l'acheteur potentiel ou le simple mateur qui a envie de se branler !

    Entre deux photos de notre panoplie, Annie me rejoint dans le bureau et se penche par dessus mon épaule pour me dire : « Sincèrement, je trouve que tu es le mannequin le plus naturel de tout le catalogue. On remarque de suite que tu n’es pas une pro, aussi bien dans ta manière d’exprimer ta douleur quand tu as le corps pincé ou cravaché, ou ton plaisir, lorsque tu ne fais pas semblant de t'envoyer en l'air, remplie par cet énorme gode ou la super-pine d’Ahmed !».

    « Je suis très contente de t’avoir proposée à mon nouvel ami André ! Sais tu que désormais, il compte sur toi pour chacune de ses futures productions ? Il en édite une douzaine par an, alors à 3.000 euros nets la séance, tu peux arrêter de travailler ! ».

    « Allez je te laisse finir, moi j’en ai encore quelques unes à faire et je t’expliquerai pourquoi j'ai fait ça, mais tu as déjà du comprendre ! ».

    Je feuillette attentivement le chapitre consacré aux gadgets bdsm. Caractérisés, en ce début 2017, par l'apparition des gadgets connectés en wifi ou bluetooth, tout en constatant que certains, que je ne connais même pas, ne me laissent pas indifférente. Décidément le monde bdsm est très vaste et je constate que je suis loin d’avoir fini de l’explorer !

    Mes yeux se ferment seuls ! Je décide donc d'arrêter ! Je m'apprête à demander à Annie, si je peux fermer le PC, quand elle revient et me demande de lui laisser la place et d’aller nous préparer un bon café fort, car la nuit s’annonce encore longue !

    Je m’éclipse à la cuisine, la laissant faire ! Vu son niveau d'informatique, elle ne risque pas d’abîmer mon PC ! Quand je reviens avec un café odorant, des tasses et du sucre pour elle, elle m'annonce :

    « Voilà, j’ai terminé : en quatorze photos, j’ai regroupé par familles, toute ta panoplie de jouets, accessoires et autres sex-toys ! Ce qui constitue, comme tu dois t'en douter, ton catalogue personnel, que je viens de rajouter dans un dossier mes accessoires sur ta fiche du site jouezaveclefantasme.com ».

    « Comme ça les gens qui se connecteront sauront de quoi tu disposes avant de te proposer une rencontre ou une visio-cam obéissante. Tiens, à ce sujet, j’ai modifié ton site : la personne qui te demandera en visio-cam deviendra ton client, j’ai mis au point un système de paiement par Visa qui ne permet pas de te retrouver ! ».

    Elle ouvre ma fiche perso sur le site et rajoute : « Je n'ai pas fait ça par vénalité, mais il n’y a aucune raison pour que tu profites de ce site pour aboutir à des rencontres de cul ou de bdsm payantes et que tu t’offres gratuitement pour des visios-cam. J’ai mis le tarif assez haut pour éviter de te faire perdre ton temps avec des amateurs, par contre, tes clients risquent d’être plus exigeants, en échange de ce qu’ils payent pour te voir obéir, c’est le revers de ma médaille ! ».

    Je ne peux que constater que ma fiche sur ce site est des plus précises, un descriptif de ce que j'accepte durci surtout vers les humiliations mais sans changer mes tabous. De nouvelles photos récentes et hyper coquines ! Et, en plus un catalogue de mes jouets bdsm, et comme bouquet final ! Annie a rajouté une option prévue par le site qui s'intitule l'avis de ceux qui ont essayé une visio-cam-obéissante avec Loré ? Je ne vois pas comment cette nouvelle rubrique se présente et je demande à Annie de m'aider.

    Elle rentre dans la partie gestion de ma fiche et me présente cette rubrique ! Il y a cinq questions avec des cases réponses à cocher :

    Q 1 > Notez cette visio-cam ? 1-2-3-4-5 (1=nul,5=super)

    Q 2 > Durée de connexion ? (en mn) 10-20-30-40-50-60-60+

    Q 3 > Honnêteté de la fiche de Loré ? 1-2-3-4-5 (1=nul,5=super)

    Q 4 > Degré de son obéissance ? (en %) 50-60-70-80-90-100

    Q 5 > Avez-vous joui ? 0-1-2-3-4-5-5+

    Je suis épatée, mais aussi effrayée par le travail d'Annie ! Avec cette nouvelle orientation, sur ce site, qui a déjà donné d’excellents résultats, il est sur que je n'aurai plus d'amateurs mais uniquement des demandes réelles, soit de rencontre, soit de visios-cam.

    Je demande à Annie : « Madame, ne pensez-vous pas qu'avec ce type de site, je peux annuler mes propositions de téléphone porno ? Je crois qu'elles ne vont servir à rien ? ».

    « Bien joué, ma putain, car je voulais t'en parler et te dire, qu'à mon avis, il fallait supprimer ce site. Je pensais simplement à ton client, un peu amoureux de toi, tu devrais essayer de le contacter pour lui donner lefantasme.com ? ». « Entendu, ça ne devrait pas être difficile car j'ai son tél fixe, mais est-ce que je pourrais, toute seule, moduler, mes prix de visio-cam, en fonction du client ? ». « Non, tu ne le pourras pas, à moins de passer par un réseau amical gratuit, qui sera forcément filtré par Yves, par moi et probablement par Agnès ! Ces rencontres réelles ou virtuelles sont destinées à te faire travailler un maximum avant tes quarante ans, pour accumuler un maximum d'argent et ne pas avoir de souci avec ta vieillesse ou un éventuel accident d'Yves ! Mais bien sur, si tu veux baiser par amour, par-ci par-là, tu le pourras, mais avec au moins un feu vert, d'un de nous trois, tu comprends pourquoi ma Chérie ? Nous savons te protéger, mais toi, toute seule le peux-tu ? ».

    « Je vous comprends Madame, et je vous promets que je respecterai les règles, de toutes les manières, je vais mettre Yves au courant de toutes mes pratiques dès son retour de Russie. Maintenant qu'il sait que vous me dominez, il n'y a aucune raison de lui cacher ni la vérité, ni les paquets d'argent, que je cache en en ayant presque honte ! ».

    « Bravo, ma Chérie, Yves mérite une vérité totale et toi tu as le droit à une vie sexuelle totalement libre, même si certains la trouveront, un peu débridée ! Mais ceux-la ne te gêneront jamais ! ».

    Je crois sincèrement Annie, même quand elle me dit que ma nuit est loin d'être finie ! Elle m'accorde 30 minutes de pause et me prévient qu'elle sera là à 1h30 du matin pour la suite !

    Donc c'est juste un arrêt technique, pour me permettre de passer du tome 8 au tome 9 !

    Car, nous sommes le :

    Samedi 4 février 2017

    Et il est :

    1h10

    Donc l'heure pour moi d'aller fumer une cigarette et de me faire plaisir en publiant, outre ce tome 8 fini, un autre document que je vous ai préparé depuis longtemps ! Encore une fois, vous allez vous régaler !

    Suite > Chapitre 9


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