• Chapitre 9 - fin - 560 pages

    Chapitre 9

    Samedi 4 février 2017 - 1h30

    Comme à son habitude, Annie arrive pile à l'heure. Elle a visiblement pris le temps de se rafraîchir et de se changer.

    Je lui sers un café et lui allume une cigarette : « Je suis rentrée dans ton site, j'ai cru voir une proposition alléchante, mais comme je n'en avais pas le temps, je l'ai classée dans *à lire plus tard »

    En riant, elle me prend la main et nous nous dirigeons vers mon bureau. Comme elle est la seule à connaître le code d’accès de mon site sur bdsmissoire, je la laisse faire en allumant une cigarette.

    Elle cherche un peu et finit par trouver : « Voilà, celui que j'avais repéré : un dominant, la cinquantaine, pour une visio-obéissante, ce soir, heure sans importance, à condition que tu sois bien éduquée et soumise. Si rétive, peu obéissante et pleurnicharde, merci de t’abstenir. Réponse demandée si possible avant 3h du matin : xyz@hotmail.fr, Jean-Louis. PS : tu as une très belle panoplie de sex-toys »

    « Ca me semble très bien et récent : il a vu les photos de tes jouets que je viens à peine de mettre en ligne : réponds-lui et dialoguez un peu ».

    Je prends sa place, entre dans mon Messenger et une petite fenêtre de demande de dialogue en provenance de xyz m'attend ! Il devait être à l’affût ! J’accepte son dialogue.

    « Bonsoir, je suis Jean-Louis, tu es Loréna ? »

    « Oui, Monsieur, je viens de me reconnecter »

    « Tu as vu que je demande une soumise éduquée, en es-tu une ? »

    « Oui, Monsieur, ma Maîtresse, et ceux et celles à qui elle me loue ou me prête, semblent contents de moi »

    « J’ai vu tes tabous, je les respecterai »

    « Merci Monsieur »

    « Tu as toute ta panoplie près de toi ? »

    « Oui Monsieur, les photos ont été prises il y a 15mn chez moi »

    « Tu es soumise depuis longtemps ? »

    « Environ 6 ans sur une dizaine d’années, Monsieur »

    « Pas mal, et à des hommes, des femmes ou des couples ? »

    « Les trois, Monsieur, je suis éduquée à dire oui à qui veut de moi »

    « Excellente réponse. Je vais régler les problèmes administratifs de notre connexion, et, toi, pendant ce temps, tu vas te préparer : je suppose que tu es bien propre ? »

    « Oui, Monsieur propre jusque dans les moindres recoins ! »

    « Le contraire m'eut étonné ! Enfile une petite robe courte, assez décolletée, et, si possible, rouge. Des sous-vêtements noirs : tanga et soutien gorge avec les tétons par dessus les bonnets et des mules de maison à petits talons. Quand tu seras prête, attend-moi sur Messenger »

    Samedi 4 février 2017 - 1h45

    Annie prépare sa caméra en buvant un verre de bon cognac pendant que je vais dans ma chambre pour m’habiller comme il le veut.

    Elle m'y suit et me filme en tain de me préparer. Avant de remonter totalement ma robe, j’agrafe mon soutien-gorge en prenant soin de dégager mes bouts vers le haut. Elle sourit sans faire de réflexion sur mes tétons déjà durs et bien bandés.

    Un peu de rouge sur les lèvres et de fard sur les paupières et, avec l'accord d’Annie, une cigarette et un grand verre d’eau, je m’assieds devant l’ordinateur du salon et me connecte.

    Jean-Louis, alias xyz est là. Il me demande de suite en dialogue :

    « Re, Loréna, branche ta web-cam : j’ai hâte de te voir en vrai et si tu m’as bien obéi »

    « Pour être précise, Monsieur, je n’ai pas de web-cam, c’est une amie qui me filme avec une caméra vidéo quasiment pro »

    « C’est encore mieux, et ton amie participe ? »

    « Non, Monsieur, elle se contente de filmer, mais vous pouvez lui demander toutes les images que vous voulez »

    « Entendu, accepte l'appel vidéo »

    J’accepte, mais, comme je m’en doutais, lui n’a pas branché la sienne et seule mon image apparaît sur l’écran. Je me met debout et laisse Annie me filmer des pieds à la tête.

    Les haut-parleurs stéréo de l'ordi entrent en scène et une voix grave retentit dans la pièce : « Ca semble parfait, ta robe rouge me plaît beaucoup, elle est assez courte pour qu'on devine que ce qu'elle cache est appétissant ! Vas-y tourne sur toi même, pour que je vois comme tu es élégante »

    Annie en profite pour me glisser à l’oreille : « Je veux que tu gardes ce mec très longtemps en ligne et qu'une fois cette visio terminée, il passe son temps à te réclamer de nouveau, tu as compris Putain-Loré ? »

    Je fais oui de la tête et elle me filme lentement des pieds à la tête pour offrir la meilleure image de moi à mon voyeur.

    « Tu t’appelles réellement Loréna ? »

    « Oui Monsieur, mais vous pouvez m'appeler Loré, ou me donner le surnom qui vous fera plaisir »

    « J’ai du mal à te croire, je pense que c’est plutôt ton nom de travail, tu peux me le prouver ? »

    Sans réfléchir, je me penche vers le bout du bureau et récupère mon sac, j’en sors ma carte d’identité mais Annie filme le plafond du salon et me conseille de plutôt prendre une enveloppe sur mon bureau, de cacher mon adresse et de lui donner le tout à filmer, ce sera bien comme preuve !

    L’homme rit en lisant un gros Madame Loréna Dufour sur l'image que lui envoie Annie et lui dit : « Je pense que la femme qui te filme est plus qu'une amie pour toi ! Visiblement, elle te protège, et même si je n'avais pas d'intentions douteuses, je la félicite pour son réflexe ! Bon, je t'appellerai Loré ! Simple curiosité : tu fais aussi des passes à domicile ? »

    « Je suis mariée, j'ai un enfant et je ne suis pas une pro : vous avez raison, ma caméra-woman, est mon amie et ma Maîtresse, et, en, principe, elle n'aime pas que je revois mes clients, mais vous pourrez toujours lui poser la question, après cette première visio-session ! »

    Il rit de nouveau : « Eh bien, pour ta prestation de ce soir, je te classe plutôt comme une vraie pro, car tes tarifs horaires sont très élevés ! J’espère que tu m’en donneras pour mon argent »

    Je sens que je dois lui répondre quelque chose : « J’essaierai de vous satisfaire, Monsieur »

    Samedi 4 février 2017 - 1h55

    « On va de suite voir ça, tu vas commencer par te mettre à poil, mais comme j'aime les endroits inattendus et humiliants, tu vas le faire dans tes wcs et une fois nue, t 'envoyer en l'air ! Je vais te dévorer des yeux, j’espère que tu vas me faire triquer comme un âne ! »

    Un peu choquée par ce dialogue cru, je vais aux wcs dont je ne ferme pas la porte, laissant Annie me cadrer. Je me sens malgré tout très excitée par la situation. Je me déshabille en suivant les conseils gestuels d'Annie qui, vue l'étroitesse de la pièce, a mit sa cam sur trépied.

    Je me penche en avant pour montrer mon décolleté et mes nichons quasiment nus à l'objectif, je baisse mon tanga aux genoux et remonte doucement ma robe.

    Je ne dévoile qu’un téton à la fois, tout en me branlant les deux bouts, en passant mes mains dans mon décolleté, et je remonte finalement ma robe pour me retourner en ouvrant mon anus des deux mains.

    Mon plaisir est décuplé par le fait que je suis filmée, que mes gestes me sont dictés par ma Maîtresse et qu’un parfait inconnu me mate en se branlant très probablement depuis le début de ce strip-tease vicieux !

    Quand je suis totalement nue, il me suffit de quelques coups de poignets dans ma chatte en feu, pour jouir bruyamment comme j'en ai l’habitude, ce qui déclenche le rire d'Annie et un puissant « Eh be ! » de mon voyeur qui me demande de revenir à poil devant mon ordi.

    « Tu es bien roulée, élégante, bien maquillée, très bandante et tu es une vraie chaudasse. Il est vrai que tu n’as pas l’air d’une pute et, que tu exécutes ce qu'on te demande avec plaisir et en souriant. Dis-moi : as-tu été excitée de m'offrir cet orgasme dans tes wcs sans me connaître ? »

    « Oh, oui Monsieur, votre anonymat a été pour moi une grande source d'excitation ! Je vous remercie pour cette jouissance ! »

    « Tu es une vraie salope sans aucune pudeur ! Mais c'est-ce-que-je voulais pour ce soir ! Tu m'as-dit avoir près de toi les jouets de ton catalogue, tu peux demander à ton amie de me les montrer ? »

    Pendant qu'Annie balaye lentement la table recouverte d'accessoires, je lui réponds : « Voilà, Monsieur, ils sont accessibles sans problème comme vous pouvez le constater »

    « Prends un trio de grosses boules de geisha, appuie toi sur ton bureau pendant que ton amie te filmera le trou du cul en gros plan. Enfile le trio lentement en évitant de jouer la pleureuse : je suppose que ton trou du cul en a vu d'autres ! »

    Je pose les boules sélectionnées sur un coin du bureau. Annie approche sa cam à quelques cm de mon cul et je m'exécute : Jean-Louis ne peut pas ne pas voir que je suis trempée. Je me trémousse un peu le cul, pour enfoncer la dernière boule, car les deux autres prennent toute la place, mais j'y arrive et seul le cordon de récupération dépasse de mon cul.

    Sa voix résonne : « Tu es trempée, sale cochonne vicieuse ! Visiblement, te remplir le cul n'est pas une grosse punition pour toi ! »

    « Oh, Monsieur, j'ai honte de mes réponses, mais j'adore ça, en effet »

    « Et tu arrives à jouir du cul, sans te peloter autre chose ? »

    « Si je suis très excitée, oui, Monsieur, je peux y arriver, mais ça prend plus de temps qu'un orgasme classique »

    « On essaiera tout à l'heure ! Vas dans ta chambre, enfiles un chemisier blanc très transparent, une jupe courte légère et une culotte blanche, de ce que tu n'es pas : une jeune femme sage et pudique ! »

    Suivie comme mon ombre par Annie et sa cam, je me change, il me demande de nouer mon chemisier sur mon ventre nu. Ainsi prête et, d'une manière inattendue, il me demande de quitter la chambre et d'aller dans un endroit éclairé et abrité, du jardin, pour bien me montrer.

    Je choisis la porte latérale du garage, j'allume un spot puissant en espérant que vus l'heure et le lieu, personne ne regardera par là.

    Il est décidément très voyeur, car sa demande est simple mais très vicieuse : je dois glisser ma main dans ma culotte et me branler longuement sans jouir devant l'objectif de la cam.

    Je me caresse longuement, en faisant plaisir à Annie qui, me connaissant par coeur, sait, quand j'arrête ma masturbation pour éviter de jouir, et me filme alors le visage en gros plan ! Après avoir frôlé plusieurs fois l’orgasme, je réussis le challenge : quand il arrête son défi en me faisant revenir chaude et surexcitée devant mon ordi, malgré une température extérieure fraîche.

    « Tu mouilles bien salope ? »

    « Oui, Monsieur, je dégouline ! »

    « Hum ! Je veux voir ta poitrine en gros plan ! Montre moi comment tu remplis bien ton chemisier avec tes gros nibards aux bouts bandés ! »

    Je l'ouvre et il ne peut que constater qu'il est bien rempli ! « On va s'occuper d'eux : enlève ton chemisier et va chercher une corde suffisamment longue pour te faire un soutif en corde, qui te bonde bien les nichons. Je suppose que tu sais faire ça ? »

    « Oui Monsieur, mon mari me l'a apprit »

    « Alors vas-y, et serre bien fort la corde, je veux voir tes nichons gonfler et changer de couleur »

    Avec des gestes précis, et en un temps quasiment record, je me fais ce soutien-gorge en corde, qui me serre très fort les seins, j’ai mal et je le fais savoir en gémissant de douleur.

    « Stop, la pouff : vas vers la table, et restes-y : choisis un bâillon boule, tu me casses les couilles avec tes cris de pleureuse ! » Je le prends sur la table et le pose, en le serrant soigneusement derrière ma nuque.

    « Voilà qui est mieux ! Poses aux bouts de tes mamelles de truie des pinces en fer et lestes les avec tes plombs les plus lourds. Je veux qu'elles pendent, comme celles d’une vache en manque de traite »

    Comme je suis debout devant la table, la pose des pinces lourdement lestées me cause une douleur insupportable. Le bâillon m'empêche de hurler, mais je pleure de douleur, un gros plan de la cam lui montre mes yeux pleins de larmes, ce qui le fait rire et « même bander » Selon son propre aveu.

    Il est donc loin d’être apitoyé, et m’oblige vicieusement à me promener de long en large dans le salon, en sautillant quand il me l'ordonne, pour que les pinces bougent et me torturent un maximum.

    Il exige des gros plans de mon visage couvert de larmes. Il me traite de douillette et m’assure qu’une maso doit supporter beaucoup plus que ça !

    De nouveau collée à la table, il demande à voir les sex-toys pour foire son propre choix. Quand Annie filme les vibros, il l'arrête, et me décrit deux gros vibros que je dois prendre.

    Il m'installe debout au milieu du salon, exige que j’enlève mon bâillon et me fait tellement jouer avec les deux vibros à leurs vitesses maximales, dans mon cul et dans mon con, que je ne peux pas résister et j'enchaîne deux jouissances, qui me font vaciller sur mes genoux et hurler de plaisir, tandis qu'il éclate d'un rire aussi vicieux que sadique.

    Il me fait revenir devant mon ordi, les deux trous toujours remplis par les vibros qui me taraudent à grande vitesse.

    « Tu jouis décidément très rapidement et avec une facilité que j'ai rarement rencontrée dans ma vie ! Je pense que tu es en chaleur en permanence et toujours prête à t'envoyer en l'air ! »

    Que répondre à une telle vérité ? Je préfère me taire en baissant la tête, mais il continue : « On va faire une pause, je suppose que tu as des archives photos de toi : j'en veux quelques unes hards que j'imprimerai et sur lesquelles je pourrai gicler, car, je commence à avoir les couilles bien pleines ! »

    Samedi 4 février 2017 - 2h30

    Contente de ce moment de répit, je réfléchis à ces photos. Annie me remet en mémoire, des photos très hots prises par Marc. Pendant que je cherche le dossier, elle nous sert deux cafés et allume deux cigarettes. Je la remercie, car ça me fait le plus grand bien !

    J'ouvre le dossier. Il y a en effet du choix ! J'en sélectionne 6 que je lui envoie avec l'approbation d'Annie.

    Il attendait visiblement : « Hum, pas mal, on ne voit pas très bien ton visage, mais on te reconnaît bien ! Et le reste de ton corps est super bandant : j'aime beaucoup les deux photos où tu es couchée sur la table, offerte des deux côtés ! Ca te ressemble bien ! J'imprime ! Elles sortent de l'imprimante : en attendant, tu vas enlever ton soutif de corde, tes pinces et tes vibros. Vas dans ta chambre pour mettre une petite robe courte et légère. Sans aucun sous-vêtements, vas-y je te regarde, pendant que tu sors lentement de mon imprimante, comme une call-girl qui veut faire bander à fond son client ! »

    Je souffre et souffle en libérant mes seins et mes orifices, mais je sens ma mouille couler en haut de mes cuisses. J'enfile la robe demandée.

    Quand je suis prête, il me veut une autre fois collée la table et me demande de choisir mon plus gros gode. Je le connais par cœur, car, il est très souvent utilisé, et je le montre à la cam. Il est satisfait.

    Il me dirige vers la table basse du salon, sur laquelle je dois poser ma tête tout en levant le cul le plus haut possible, avec mes jambes tendues et très largement écartées. Le bas de ma robe enroulé autour du ventre.

    « Tu vas te goder dans cette position, je veux que le gode disparaisse totalement dans ton trou de pute et je compte sur ton amie pour faire en sorte que je puisse tout suivre, tu as bien compris la pouff ? »

    « Oui, Monsieur, je vous promets que vous ne serez pas déçu »

    Quelques minutes plus tard il grogne au micro : « Très bien, c'est du vécu, bravo pour les plans de la cam pour que je suive bien, non seulement ton amie est vicieuse, mais en plus très intelligente, as-tu joui ? »

    « Non Monsieur, je n'en ai pas eu le temps, mais, je ne sais pas jouir en silence ! Vous n'auriez pas pu rater un de mes orgasmes ! »

    Il rit : « Rassure toi ! Nous allons y remédier ! Tu vas choisir et installer un gode ceinture, sur l'assise d'une de tes chaises de cuisine et faire en sorte de bien y attacher le gode pour qu’il ne bouge pas »

    Je prends deux godes-ceinture sur la table, et je les lui montre. Il choisit le plus gros recouvert, en plus, de picots de latex souple. Je m'agenouille devant la chaise de la cuisine qu'Annie m'a apportée, je passe la courroie autour de son assise et serre les boucles le plus fortement possible. Je vérifie que le gode soit bien bloqué.

    Jean-Louis suit tous mes gestes grâce à la cam. « C'est parfait, il ne bougera pas ! Tu l'as très bien installé ! A présent, mets toi à poil et remets-toi des pinces en fer aux tétons, mais sans poids et en les pinçant verticalement : je veux qu’en baissant juste un peu la tête, tu puisses voir tes tétons écrasés »

    Je comprends ce qu’il veut et je m’exécute. « Ne me dis pas que tu as mal, je ne te croirai pas ! Demande à ton amie de prendre une bougie éteinte dans chacune de ses mains, de préparer un briquet, et, toi, tu vas t’asseoir sur la chaise, la poitrine tournée vers le dossier, et tu t'enfonces le gode dans le trou de ton cul, les nichons décollés du dossier »

    Annie me prend les bougies et prépare leur allumage pour m'aider. J'enfourche la chaise à l'envers et guide, de ma main droite, le gode à l’intérieur de mon anus trempé, il glisse en moi avec une facilité qui me fait un peu honte, c'est rare que je sois aussi trempée du cul !

    Quand le gode me remplit totalement le cul, Annie allume les deux bougies qu'elle me tend.

    « Ta position est parfaite ma putain perverse ! Tu vas poser tes mains sur le dossier et faire en sorte que la cire fondue des deux bougies tombe sur tes nichons et surtout sur tes tétons, pour éviter de salir l'assise de ta chaise ! Pendant que tu te crameras les nibards, tu te serviras de tes jambes et de tes cuisses pour faire aller et venir le gode-ceinture dans ton cul : je veux qu'en t'enculant sur ce gode, tu jouisses du cul devant moi, tu n’auras le droit d’éteindre les bougies qu'après avoir hurlé que tu jouissais du cul ! »

    Quand il m’autorise à éteindre les bougies, je suis épuisée : j'ai mis un temps fou à jouir et j’ai une couche impressionnante de cire fondue sur les seins.

    « Tu vois que tu peux jouir du cul, belle salope, quand tu veux bien faire un effort, et sache pour ta gouverne que j'ai jouit en même temps que toi en te voyant prendre ton pied comme une chienne en chaleur embrochée sur sa fausse bite ! Mais rassure toi, la prochaine fois, ce sera ma pine qui t'ouvrira le cul et tu jouiras beaucoup plus vite et beaucoup mieux ! »

    « Mon temps imparti est terminé, mais tu vas encore penser à moi quelques longues minutes, une 1ère fois, en enlevant toute cette cire fondue de tes nichons, et une 2ème fois, car je suis en train de t'envoyer la photo sur laquelle j'ai vidé mes couilles : tu constateras que les jets se voient parfaitement bien. J'aimerais beaucoup que, ton amie-Maîtresse t'oblige à te branler et à jouir, en regardant cette œuvre d'art porno ! »

    « Je ne connaîtrai jamais le résultat, mais, après, tu pourras prendre ton pied avec d'autres clients : à bientôt belle salope vicieuse n’oublie pas que ma pine a rendez vous avec ton trou du cul de chienne en chaleur ! »

    Et il se déconnecte.

    Samedi 4 février 2017 - 3h

    Annie rit : « Plus tu avances dans le bdsm, moins tu as d'inhibitions et plus tu es salope et obéissante ! Je ne sais pas jusqu'où tu vas aller, mais j'ai presque peur pour toi : tu prends ton pied aussi facilement que je donne un coup de fil ! La séance avec Jean-Louis a duré à peine un peu plus d'une heure, et tu as réussi à jouir 5 ou 6 fois, en me faisant même perdre le compte ! Tu as un potentiel hallucinant ! Mais Jean-Louis a raison, je te laisse te doucher, tu vas mettre un bon moment pour enlever toute cette cire de tes nichons, et excuse moi de ne pas t’aider ! »

    Ces réflexions humiliantes sont malheureusement exactes, et c'est tête baissée que je vais me doucher. J’ai, en effet, de gros problèmes pour enlever toute cette cire durcie. Ce n’est que 20 minutes plus tard que je peux revenir au salon.

    Annie est partie, il y a un juste un post-it sur mon écran éteint : « Reste à poil, éteins tous tes rhéostats sauf une petite lueur sur le canapé où tu fumeras à poil, cuisses écartées en te touchant le con sans te branler et un bon éclairage sur ta table d'accessoires. Ne touche pas à ta porte d’entrée, elle ne tardera pas à s'ouvrir ».

    Un café, une cigarette et nue, je m’installe confortablement dans le canapé pour me reposer un peu, en attendant ? Je ne sais pas quoi !

    Samedi 4 février 2017 - 3h30

    Ma pause ne dure hélas que le temps de ma cigarette ! J’entends la porte se refermer et des talons aiguilles cliqueter sur le carrelage de l’entrée. Au cas où ce ne serait pas Annie, je dis assez fort : « Suivez la lumière, c'est là que j'ai reçu l'ordre de vous attendre et de vous souhaiter la bienvenue chez moi ! »

    Quand l'inconnue entre dans le salon, je suis surprise de me retrouver face à une toute jeune femme souriante. Elle ne doit pas avoir 30 ans. Je suis frappée par sa beauté de blonde. Elle est vêtue d’un manteau de cuir et de talons hauts. Mais ce qui me frappe le plus, ce sont ses yeux splendides et ses magnifiques cheveux longs. Elle doit être habituée à ce que son physique fasse cet effet, et c'est en souriant qu'elle s’assied en souriant dans le fauteuil face à moi tout en détaillant sans aucune pudeur mon corps nu.

    « Bonsoir bel objet : je suis une amie très intime d’Annie, je viens de passer 1h chez elle devant sa télé, en attendant que tu finisses de faire la pute avec ton client virtuel. Je suis heureuse que tu aies réussi à enlever toute la cire de tes nichons, sinon, je serai partie en courant ! Je ne me suis pas ennuyée, car j’ai pu voir en dehors de la retransmission de ta visio-obéissante, tes meilleurs clips conseillés par Annie. J'ai aussi longuement consulté ta fiche sur jouezaveclefantasme, et quelques propositions de vicelards chauds comme des porcs en rut ! En résumé, j'ai fait ta connaissance très intimement, en très peu de temps, contrairement à toi qui, même après que je me sois amusée avec toi, ne me connaîtra toujours pas ! Je sais que ce n’est pas juste, mais la vie est ainsi faite, tu me sers un whisky sec s’il te plaît ? »

    Sa voix douce correspond bien à son physique, mais je suis très troublée par son regard glacial que je juge dur et vicieux : ce qui ne va pas du tout avec son personnage, ses yeux révèlent une grande dureté.

    Quoi qu’il en soit, je me lève, et je lui sers un whisky sec. « Tu ne veux rien prendre ? Je te conseille un bon verre d’alcool, ça te mettra en forme et, sachant ce qui t’attend, je t'assure que tu en auras besoin ! »

    Pas du tout rassurée par ses paroles, je reviens avec un verre de vodka glacée de la cuisine. « Ah ! Une catin qui n'aime pas le whisky ? » « Non Madame, pas du tout, mais si j'ai le choix : je préfère la vodka »

    « Je ne te dirai qu'une seule fois que mon nom pour toi est Maîtresse Iris. Dommage pour toi, moi je déteste la vodka : tu vas donc renverser ton verre de vodka sur le carrelage de l'entrée, et tu vas te servir un double whisky dans ton verre vide, nous pourrons alors trinquer à cette belle soirée amicale »

    Sans vraiment comprendre son raisonnement, je m’exécute, je vide mon verre sur le sol et me sers une double ration de whisky sec.

    « Eh bien, à ta santé ma chère Loréna ! »

    « Merci, Maîtresse Iris, j'essaierai de participer à la réussite de cette soirée en vous satisfaisant le mieux possible »

    Je suis debout devant elle, quand nous choquons nos verres et je bois le mien à petites gorgées. Je déteste vraiment cet alcool, mais j’essaye de ne pas grimacer et de ne manifester aucun dégoût devant cette jeune femme qui m'impressionne terriblement et qui, pour dire la vérité me fait très peur !

    Elle me regarde faire en souriant ironiquement alors qu’elle a l’air de savourer ce qu’elle boit. Elle finit son verre et me conseille de faire pareil avec le mien en le buvant cul-sec : ce que je fais, l’estomac au bord des lèvres, et, en plus, la dose massive d’alcool que j'ingurgite me fait de suite tourner la tête.

    « Ca fait quelques années que je connais Annie, elle sait que j’adore jouer avec des femmes soumises et masos et quand elle t’a découverte récemment, elle a très vite pensé à t’offrir à moi, j’espère que tu seras à la hauteur de mes attentes, ce serait dommage qu’Annie soit déçue, tu ne trouves pas ? »

    Je me contente de répondre : « Vous avez raison, Maîtresse Iris, mais je crois pouvoir affirmer, qu'à ce jour, Madame Annie n'a reçu aucune plainte à mon sujet ! »

    Pensant avoir trop parlé, je baisse la tête et je rougis. « Tu es donc une putain-maso fière de son statut et de ton job, espérons que lorsque j'en aurai fini avec toi, tu ne descendes pas de ton piédestal ! Mais je hais le désordre : nettoie et range ces verres dans ta cuisine, s’il te plaît »

    Moi qui suis un peu fatiguée d'obéir à des gouines sado, car, ce sont elles qui connaissent le mieux les soumise ! J’ai l’impression que ces quelques jours vont faire évoluer certaines de mes habitudes.

    Après, Annie, Agnès, Yasmine, Yin, Cécile et Grazziella, je me retrouve entre les mains d’une Iris qui semble très désireuse de faire de moi son jouet, de profiter de ma totale soumission et ce que je redoute le plus, d'une certaine endurance dont Annie n'a pas pu manquer de lui parler !

    Résignée, je lave et range les verres et reviens nue, au salon.

    Samedi 4 février 2017 - 3h50

    Décidément, c'est ma soirée-surprise ! Iris a ôté son manteau de cuir et n’est plus vêtue que d’une petite robe rouge à bretelles qui ne cache absolument pas son ventre bien rond !

    Elle rit de me voir si étonnée en me disant : « Ne cherche pas, je suis enceinte de 7 mois et ça commence à bien se voir ! »

    En mon absence, elle a placé une chaise devant son fauteuil et l’a éclairé avec un halogène en coupant toutes les autres lumières.

    Elle me fait signe de m’asseoir sur la chaise et se ressert un autre whisky. Elle s'assied au fond de son fauteuil, sans rien dévoiler de son corps et me dit : « Tu vas rester assise, je vais te dire comment. Nous allons discuter une peu toutes les deux. Si tu dois bouger, je veux que tu reprennes la même pause, entendu connasse ? »

    « Bien Maîtresse Iris, je n'oublierai pas »

    « Le haut de la raie du cul, ton dos et tes épaules collés contre le dossier de la chaise, ton regard rivé au mien, tes cuisses le plus écartées possible, tes pieds nus coincés sur le 1er barreau de la chaise et tes mains posées sur tes genoux. Tu ne bouges pas d'un pouce sauf contrordre »

    Je me mets en position, elle rectifie quelques détails et commence la discussion promise.

    « Tu n’es plus une jeunette. Quel âge as-tu ? »

    « 34 ans, Maîtresse Iris ».

    « Dis moi quelles parties de ton corps tu préfères regarder ? »

    « Mes épaules, mes yeux, mes cuisses et mes fesses, Maîtresse Iris »

    « Les parties de ton corps sur lesquelles tu aimes avoir mal ? »

    « Mes pieds, ma poitrine, mes cuisses et mes oreilles, Maîtresse Iris »

    « Pour le physique, je suis assez d'accord avec toi, car tes nichons pendouillent et ton ventre n’est pas terrible, quand aux zones de torture, elle sont originales et amusantes, je vois que pour te fâcher il faut donc te fesser puisque tu n'aimes pas ça ! »

    « En effet, Maîtresse Iris, ça me fait hurler de rire ! »

    « Combien de fois as-tu mis bas ? »

    Un peu choquée par l’expression je lui réponds : « Une seule fois Maîtresse Iris, il y a maintenant 12 ans »

    « Et ton mari n’a pas pu te payer une chirurgie esthétique ? Il est aussi radin que ça ? Ou il va baiser ailleurs ? »

    « Je crois qu’il m’aimait comme ça, Maîtresse Iris »

    « Si je comprends bien ton imparfait, tu en es à ton 2ème époux ? »

    « En effet, Maîtresse Iris, mon fils de 12 ans est de lui et je suis remariée depuis 4 ans avec Yves qui est un ami d'Annie, Maîtresse Iris »

    « Et il sait que tu te fais tirer par des inconnus ? »

    Je n’ose rien répondre et rougis encore plus alors que, me voyant embarrassée par de simple mots, elle appuie là où ça fait mal !

    « Tu sais pourtant que tu joues un jeu dangereux et tu vas en avoir la preuve aujourd’hui, ton vice risque de tout te faire perdre. Et en plus tu m'annonces que ton mari connait ta Maîtresse ! Mais je n’ai pas à te juger, c’est ton problème et ta vie, si ça tourne mal, ce sera à toi de te démerder comme une grande ! »

    « J’en suis consciente, Maîtresse Iris »

    « Une putain consciente de son inconscience, c’est amusant ! »

    Elle allume une cigarette, j’ai envie de lui dire que ce n’est pas bon pour son bébé, mais que je n'ai pas à la juger, mais je me retiens ! Elle enchaîne :

    « Je t’ai dit aimer l’ordre, or, il y a à côté de moi une tâche et une odeur qui me gênent : tu as une langue ? Donc, tu vas t’en servir pour me faire disparaître cette vodka de ton carrelage »

    Je me lève, estime la tâche et me met à 4 pattes, en levrette au dessus du sol et je lèche avec application le carrelage pour enlever toute trace de la vodka. Chaque fois que je dois redescendre pour lécher, j'ai l'impression de faire une pompe, la position choisie est sportive mais pratique, en peu de temps tout est propre !

    Je la sens se lever et se rapprocher de moi, elle profite de ma posture pour me glisser deux doigts dans la chatte.

    « Eh bien, je vois que tu es surexcitée ! As-tu pris ton pied au moins ? »

    « Avec les deux amis d’Annie, oui Maîtresse Iris »

    « Car en plus tu te fais niquer par deux inconnus sans préservatifs ? Eh bien on peut dire que tu aimes vivre dangereusement ou que tu es suicidaire ! »

    « Ils ne m’ont pas laissé le choix, Maîtresse Iris »

    « Je suis sure que si tu les avais suppliés, ils t’auraient permis de te protéger, mais salope comme tu l’es, je suis sure que tu n’as pas du beaucoup insister, tellement tu étais pressée de te faire niquer par deux belles pines ! »

    Il y a beaucoup de mépris dans sa voix, ce qui me vexe beaucoup. Je l’entends déplacer des accessoires et, alors que je termine de nettoyer le carrelage, elle m'ordonne de garder le cul bien haut et glisse d’un seul geste un vibro au fond de mon vagin ouvert et trempé.

    Elle le positionne sur sa vitesse la plus rapide et avec des gestes précis, elle passe une corde autour de mon ventre et entre mes cuisses pour immobiliser le vibro en moi sans gêner mon anus ou ma raie.

    « Comme tu le vois, j’adore et sais utiliser des cordes, c’est un ami japonais qui m’a enseigné ce qui est une science là bas ! »

    Ayant constaté que le sol était bien propre, elle m’ordonne de me relever.

    Elle m'envoie lui préparer du café et lui servir un cognac. Elle me suit mais s'arrête devant la table, pendant que je continue vers la cuisine, où je m'affaire. Je sors la tête et lui demande : « Maîtresse Iris, je peux fumer une cigarette s'il vous plait ? » Elle grogne un oui et je l'entends fouiller dans les gadgets. J'allume ma cigarette et me relaxe en attendant que les boissons soient prêtes, en me concentrant sur le vibro qui ronronne dans mon ventre en me massant les parois vaginales et le col.

    Samedi 4 février 2017 - 4h05

    Quand je reviens avec un plateau chargé de tout ce qu'elle a demandé, je suis un peu surprise : décidément, cette femme sait tout faire ! Près de la porte du salon, fermée, il y a un tabouret qui vient de nos wcs et avec ce qu'elle a trouvé sur la table, elle a réussi à transformer la porte en une Croix de Saint André, avec, aux 4 angles, des bracelets de cuir qui sont coincés par la fermeture de la porte.

    Elle se fait servir une tasse de café, un double cognac et me demande de lui allumer une cigarette. Elle déguste l'ensemble sans dire un mot et sans m'accorder un regard. Elle se lève et m'adosse à la porte fermée.

    « Je devrais commencer par tes poignets, mais compte tenu de mon ventre, je vais te laisser t'attacher solidement tes chevilles aux deux bracelets de cuir préparés pour elles ! »

    Elle pèse contre mon ventre pour bien me plaquer contre le bois et je dois me baisser pour attacher ma cheville droite au bracelet. Elle vérifie tout de même qu'elle est bien serrée ! Et nous refaisons le même manège pour l'autre cheville. Je me retrouve les cuisses largement écartées avec les chevilles immobilisées, aux deux coins inférieurs de la porte.

    Si j'ai bien compris son idée, le plus dur reste à venir. Mais Iris est pugnace : elle place le tabouret à ma droite, monte dessus et m’oblige à lever mon bras droit pour refermer le bracelet sur mon poignet, ce qui tend tout mon corps, car, je suis, bien sur plus petite que la porte !

    Elle descend du tabouret avec précaution, et le place à ma gauche où elle fait un copié-collé de l'autre côté. Mon corps se tend d'une manière définitive, et je suis obligée de me hisser sur la pointe des pieds.

    Mais elle avait du prévoir ce décalage, qui devait forcément agir au niveau des chevilles, car je me trouve totalement immobilisée, en croix, dos et fesses collés à la porte et le corps tendu à l’extrême alors qu'il reste un ou deux cm entre mes orteils et le sol !

    Heureusement que le vibro est bien fixé par les cordes, sinon, il serait tombé depuis longtemps !

    « Tu vois, chère esclave, c'est le genre de position que j'affectionne avec mes soumises bien éduquées et endurantes, mais il nous faut régler un petit problème : je t'ai entendu jouir dans ta visio, tu es très bruyante et je n'aime ni les gémissements de douleur, ni les gloussements de plaisir ! Alors, ma question est simple : tu peux essayer de te retenir ? Ou je dois obligatoirement te bâillonner ? »

    Je réfléchis un court instant : mais je me dois d’être honnête, pour éviter sa colère : « Je suis très bruyante, Maîtresse Iris, et j’ai du mal à me contrôler »

    « Tant pis pour toi, dans ton cursus de soumise parfaite, tu dois obligatoirement apprendre à jouir en silence, ce n'est pas la peine de t'exhiber vocalement parlant, toute personne intelligente et connaissant un peu le cul, saura que tu es en train de prendre ton pied, même sans un cri de ta part ! Prends Annie comme exemple : tu ne l'as jamais entendue jouir et pourtant tu l'as faite jouir un grand nombre de fois ! C'est ça la seule bonne éducation, stupide pute de bordel ! Donc ne compte pas qu'un bâillon te sauvera : si j’entends un seul cri, je passe à la torture, tu as compris connasse ? »

    « Oui, Maîtresse Iris, je vous ai compris, mais je sais que ce sera très dur pour moi, pour le moment tout le monde m'a encouragée à me laisser totalement aller quand je jouissais ! »

    Iris quitte la pièce. Il doit lui manquer quelque chose qu’elle ne trouve pas sur ma table d'accessoires. J’entends cliqueter ses talons dans toutes les pièces du rez-de-chaussée et revenir un moment plus tard de la chambre de Jean, le seul endroit où elle a pu trouver un seau de cubes de Légo.

    Sans dire un mot, elle le vide sur la table et commence son assemblage. Je la regarde faire avec beaucoup de curiosité, car je n'ai aucune idée de ce que son imagination plus que fertile va lui faire exécuter !

    Sans vraiment choisir ses couleurs, elle réalise rapidement deux plates-formes d’environ 20 cm de long sur 10 de large.

    Elle vient vers moi, se penche pour poser ces deux planchettes de plastique devant mes orteils en contact avec le sol. Elle me demande de lever le plus possible chaque pied et pousse chaque construction avec ses chaussures en les glissant sous chacun de mes pieds nus.

    Bien évidement, mes pieds sont un peu plus surélevés, mais quand je pose la totalité de mes orteils sur les pointes rondes des cubes, j'ai du mal à retenir un cri, car la chair nue de mes orteils en contact avec ces dizaines de pointes arrondies me fait horriblement mal !

    Iris en rit et me dit : « Profites-en, pose entièrement tes pieds sur mes constructions, quitte à tirer un peu sur tes poignets, car dans peu de temps, tu seras obligée de te remettre sur la pointe des pieds, ce qui, m'a-t-on dit fait extrêmement mal ! »

    Elle remarque mon visage juste un peu crispé et me flatte par un : « C’est bien tu es courageuse ! J’apprécie ! »

    Elle retourne à la table, et en très peu de temps, confectionne une tour carrée d'environ 5 cm de côtés sur 30 cm de hauteur. Elle se glisse sur mon côté gauche et me force à me cambrer, en avançant le plus possible mon ventre et ma poitrine, ce qui tend au maximum mes liens. Elle insère alors la tour verticalement entre la porte et mon dos et me force à me cambrer encore plus, en me frappant, jusqu'à ce que la tour soit droite et bien coincée entre mon dos et la porte.

    Ce qui m'oblige à une position totalement obscène avec mon ventre, mes seins et mon sexe tendus vers l'avant comme s'ils appelaient les pelotages ou les tortures !

    Elle conclut en riant : « J’adore les esclaves super-offertes, et là j’avoue que tu m’excites terriblement, c’est dommage pour toi et tes nichons ! »

    Samedi 4 février 2017 - 4h20

    Debout, devant moi, elle se déshabille en baissant ses bretelles et en faisant glisser sa robe sur le tapis. Elle la ramasse d'un pied habile et la jette sur un fauteuil. Elle semble excitée de s'exhiber devant moi, et prend son temps.

    Je peux admirer son ventre bien rond et sa poitrine gonflée remplissant pleinement son soutien gorge. Elle a les jambes nues et enlève ses chaussures, avant de faire glisser sa culotte qui suit le même trajet que sa robe. Elle dévoile une chatte assez poilue mais qui me semble déjà très humide et quand elle dégrafe et ôte son soutien-gorge, je découvre avec envie ses seins splendides aux larges aréoles brunes et aux tétons presque carrés.

    Elle vient me caresser la chatte, largement accessible : « As-tu déjà été soumise et humiliée par une femme enceinte ma salope ? » « Non, Maîtresse Iris, jamais » « Tu vas voir, c’est comme avec une autre domina, mais les femmes enceintes ont des désirs beaucoup plus pervers que les autres, et tu vas vite t’en rendre compte ! »

    Et elle éclate d’un rire de gorge malsain et vicieux qui me donne la chair de poule. Loin d’être rassurée par son discours, je la regarde pour essayer de retrouver la douceur et la sérénité qu’il y a forcément chez une femme enceinte.

    Je me rappelle qu'en attendant Jean, j’avais une libido hors norme, que je partageais avec beaucoup de sensualité et de demandes inhabituelles avec mon ex-mari, qui était ravi de l'aubaine !

    Je me demande même si ce n'est pas durant ces quelques mois que j'ai eu mes premières envies de bdsm ! Contrairement à des consœurs qui ont des envies de fraises ou de homard !

    J'ai beau scruter Iris qui s'affaire autour de moi, je ne vois que son regard dur et ses yeux lumineux et brillants. Elle s’approche de moi et quand elle glisse sa langue dans ma bouche pour m’embrasser avec force et exigence, je constate qu’elle est beaucoup plus grande que moi. Très vite la puissance de sa langue m’oblige à saliver et le mélange de nos baves produit un bruit obscène qui m’excite terriblement.

    Je sens qu'Iris aime sexuellement les femmes et qu’elle sait les embrasser et les faire mouiller ! Elle interrompt son baiser et pose ses deux mains sur mes seins et les pétrit en me murmurant à l’oreille : « Je suppose que tu as l’habitude d’avoir des pinces en fer ou en plastique sur tes bouts de mamelles de truie ? » « Oui, Maîtresse Iris, en effet » « Eh bien avec moi tu vas regretter de ne pas avoir des pinces qui alourdissent tes nichons de vieille pouff en chaleur ! »

    Je ne comprends pas de suite le sens de son objection, mais c'est en éclatant de rire qu’elle pose ses doigts sur mes tétons déjà durcis et les pince, les tord et les griffe, avec une réelle envie de provoquer une douleur extrême.

    Surprise par ce jeu cruel que je ne connaissais pas, je ne peux m’empêcher de gémir tellement ses doigts et surtout ses ongles me torturent. Elle arrête brutalement de jouer avec mes bouts et me gifle d'un aller-retour de main terrible tout en me prévenant :

    « Attention, je vais continuer à te travailler les nichons à ma manière, mais si tu cries ou que tu gémis une nouvelle fois : tu auras encore plus mal et je t'assure que je serai sans pitié ! »

    Elle reprend de nouveau mes bouts de seins avec ses ongles et s’acharne vicieusement et cruellement sur eux. J'arrive à me retenir de crier mais je pleure silencieusement pour évacuer une partie de cette douleur atroce.

    Elle éclate de rire, sans ralentir un seul instant ses caresses qui ressemblent de plus en plus à de la torture raffinée. Elle se met sur la pointe des pieds pour lécher les larmes qui coulent de mes yeux :

    « Hum j’adore ce goût salé, tu me gâtes ma chienne douillette ! »

    Elle appuie vicieusement son ventre sur le mien, m’enfonçant encore plus la tour de Légo dans le dos, tout en continuant à enfoncer ses ongles dans mes tétons, que je ne peux pas voir, mais qui doivent certainement avoir changé de couleur en virant vers le violet.

    Il semble qu'aucun sanglot ne peut ralentir son acharnement sans pitié sur mes tétons.

    Elle quitte mes larmes et sa langue descend sur mes seins en suivant les traces de mes larmes. Mais je frise l'hystérie et la supplie de toutes mes forces quand elle remplace ses ongles de la main gauche par sa bouche et ses dents qui profitent du gonflement douloureux de mon téton pour s'en saisir en le mâchouillant comme un chewing-gum.

    Elle se décolle de moi et me regarde avec mépris dans les yeux : « Tu es pitoyable avec tes petits bouts de mamelles en compote, tes larmes de gamine douillette censées t'attirer ma pitié, que tu m'implores en hurlant comme une demeurée alors que tu sais que tu vas être punie pour ça ! Mais tu t'es lourdement trompée connasse : une maso-éduquée-endurante, c'est tout autre chose que ce que tu me présentes ce soir ! »

    Elle se détache de moi et me gifle violemment de plusieurs allers-retours : deux encore plus forts que ceux de tout à l'heure et deux autres sur les seins qu'elle fait aller valdinguer jusque sur mes côtés.

    Elle va vers la table et choisit des articles que mes yeux embués de larmes ne peuvent pas identifier. Elle revient devant moi, et m'ouvre grand les mâchoires de sa main gauche, alors que de la droite elle m'enfonce brutalement dans la bouche une orange sanguine de calibre moyen, mais qui m'étouffe de suite et dans laquelle je suis obligée de planter mes dents, tout en respirant immédiatement par le nez pour ne pas m'asphyxier.

    Ma bouche ne m'autorise à présent que des grognements à défaut de paroles audibles. J'ai très peur, car je sais qu'à ce niveau, elle peut faire ce qu'elle veut de moi sans que je ne puisse ni bouger, ni argumenter, ni me plaindre.

    Après m'avoir ainsi bâillonnée, elle pose, en étoile, sur chacune de mes aréoles 4 pinces en plastique, en n'hésitant pas à pincer de gros morceaux de chair. Je ne peux que me tordre comme un ver à chaque fixation. Au centre de chacune des étoiles, mes tétons déjà durs à éclater, sont libres et c'est, bien sur sur chacun d'eux qu'elle fixe une pince-écraseur ! La race de pince la plus douloureuse ! Iris est très loin d'être une novice ! J'en ai la preuve au bout de mes nichons !

    Le débit de mes larmes augmente, mais ce qui est pire, c'est qu'ayant du mal à respirer, chaque fois que je cherche à aspirer un peu plus d'air, mon torse se gonfle et mes seins sont encore plus douloureux.

    Elle ricane : « Et, tu es en train de penser que la punition est très dure et totalement injustifiée, mais je dois te rassurer, ce n'est que la première étape de ton châtiment, tu aurais mieux fait de fermer ta gueule ! »

    Elle disparaît de ma vue vers le meuble du living qui n'abrite plus aucun sex-toy, à demi-consciente je me demande ce qu'elle cherche, mais elle a trouvé de suite, et revient souriante avec deux petites bougies pour réchauffer les plats.

    Elle s'agenouille devant moi avec un peu de difficulté, en tenant son gros ventre dans ses deux mains. Elle allume les 2 bougies avec un briquet et elle les glisse sur les parties des plateformes qui touchent la porte de bois, autrement dit à quelques cm de mes talons !

    Je ressens de suite une forte chaleur mais, heureusement pas de brûlure, et bien sur, plus je me dresse sur les pointes de mes pieds moins les flammes se font sentir, mais ce sont les bouts de plastique des cubes de Légo qui me torturent les orteils.

    Je me retrouve dans un cercle totalement vicieux, dans lequel je dois souffrir, tout le temps que ma Maîtresse en aura envie, en choisissant d'alterner la chaleur de plus en plus dure sur mes talons et les enfoncements de plastique dur des Légo dans mes orteils !

    Elle allume une cigarette, s'assied sur le tabouret face à moi, écarte largement ses cuisses et pose sa main droite sur sa chatte en me remerciant :

    « Hum, ma putain, tu vas enfin servir à quelque chose : je vais m'envoyer en l'air comme une reine, en te regardant choisir tes options pour souffrir le moins possible, en admirant ton visage larmoyant, ta bouche rouge du jus de ton orange, fermant ta gueule de conne ! Je me régale à l'avance de te montrer ce qu'est un orgasme énorme sans un cri ni un soupir ! Car, contrairement à la paillasse que tu es encore, moi je suis une femme éduquée ! »

    Je sens tout d'un coup un flot de liquide frais se répandre sur mes seins et descendre vers mon ventre et mon sexe béant. Je réalise que j'ai coupé l'orange avec mes dents ! « Je ne serais pas liée à mes promesses faites à ta Maîtresse, que ce serait du sang qui coulerait comme ça ! Tu as de la chance que je sois une femme de parole ! »

    Et elle tient très vite son autre parole en jouissant très longuement, tout son corps se crispe et s'agite, ses mains se plaquent sur sa moule, ses yeux se ferment mais, en effet, aucun son ne sort de sa bouche. Son retour sur terre est très lent, mais quand elle revient à elle elle est souriante et apaisée !

    Elle se lève, et se contente d'ouvrir la porte pour me libérer d'un coup de mes attaches. Elle se rassied pour me regarder en souriant !

    La tour dans mon dos tombe d'elle même. Sans même me libérer les poignets, j'éteins les bougies et j'éloigne les planchettes de Légo de mes pieds. Puis je libère mes poignets et ôte au plus vite les 10 pinces de mes seins en grimaçant de douleur quand le sang revient dans mes tétons !

    Une fois mes chevilles libres, et avant de défaire les cordes qui maintiennent le vibro dans mon con, j'interroge Iris du regard. Elle hoche la tête pour approuver, et je défais les cordes et accompagne le vibro hors de moi avec un soupir de soulagement discret !

    Elle se lève et se dirige vers la table : « Te voilà soulagée belle esclave ! Rejoins moi à côté de la table »

    Je lui obéis avec quelques difficultés : mes tétons sont en feu et de la couleur d'un vieux Bordeaux sombre, mes plantes de pieds me donnent envie de hurler de douleur quand je les pose sur le sol, m'obligeant à marcher sur la pointe des pieds : et, c'est en titubant que je la rejoins.

    Elle me gifle violemment les deux joues en me disant : « Quand je te donne un ordre, tu serais aimable d'y obéir de suite ! Je n'ai rien à foutre de tes petits soucis de morveuse ! »

    Elle me place face à elle et me menotte les mains devant, tout en me tendant une autre paire différente pour que je me menotte les chevilles. Elle me prend par un coude et me guide vers son fauteuil.

    Elle s'y assied, elle pose, sur les accoudoirs, ses cuisses largement ouvertes et m’ordonne de relever le coin du tapis qui arrive jusqu'au pied du fauteuil.

    « Je crois t'avoir montré comment une femme bien éduquée jouissait : agenouille-toi sur le carrelage, avance-toi le plus possible entre mes cuisses, regarde-moi bien dans les yeux, et masturbe toi pour atteindre deux fois le plaisir : une 1ère pour me remercier de ma leçon et la 2ème pour te récompenser d'avoir supporté la douleur de tes punitions ! »

    Samedi 4 février 2017 - 5h

    Le premier orgasme est arrivé très rapidement, aucune de mes zones érogènes, même la plus secrète, n'avait été épargnée lors de mes punitions et quand mes doigts ont libéré ma soif de jouissance : mon sexe, mon cerveau et tout mon corps se sont associés pour répondre avec une violence peu commune pour un tsunami très puissant !

    Mais, ce fut loin d'être le cas pour le second, que j'ai du aller chercher très loin dans ma volonté, ma fierté de satisfaire Iris, cette Maîtresse impitoyable, et mon refus de la vexation que je pourrais endurer si, pour la 1ère fois, j'étais blâmée devant ma seule Maîtresse : Annie !

    Ce n'est donc pas sans fierté dissimulée et une reprise de confiance en moi que je me suis écroulée en silence à la fin de ma 2ème jouissance ! Quand elle s'est évaporée, je ne savais vraiment plus où j'étais, je nageais entre le ciel et le sol, la douleur et la jouissance, le sourire et la métamorphose d'une douce Iris, en une Cruella plus vraie que nature.

    Iris a bien senti cet instant mais n'en a rien laissé paraître, elle m'a laissée quelques secondes de récupération et m'a autorisée a m'asseoir sur une chaise devant elle, cuisses ouvertes et bras le long du corps.

    « Je suis fière de toi, belle salope ! Je constate que tu as assimilé mes leçons et que tu sais à présent jouir, même très fort, sans qu'un son ne sorte de ta bouche. C'est bien, car il faut que tu la gardes, non pas pour crier, mais pour sucer chaque jour de nombreuse pines énormes et pleines du seul jus qui te convienne réellement : du bon foutre de parfaits inconnus ! »

    Je suis un peu k.o. sur ma chaise et je dois la regarder d'un drôle d'air, car elle se penche vers moi pour me tapoter les joues en me disant : « Ouh ! Ouh ! Il y a quelqu'un ? » Je me secoue un peu et lui sourit un peu bêtement.

    Elle me tend un gode ventouse d’un gros calibre, que je connais bien, mais que je n'ai pas eu beaucoup à subir ces derniers mois : « Puisque Madame a finit sa mini sieste, elle va ventouser cette belle bite sur le carrelage là où je le lui indiquerai et faire en sorte qu'il adhère bien au carrelage, je ne voudrais pas qu'il se décroche de, Madame, en pleine action ! »

    Après l'avoir fixé selon ses instructions, quelques cm face à elle, elle m'ordonne de me rapprocher, de m'agenouiller et de lever mes bras au-dessus de ma tête. Je m'exécute sans vraiment deviner ses intentions !

    Sans que je n’ai le temps de trop réaliser, sa main gauche vient emprisonner mon sein droit qu'elle serre à me faire hurler de douleur, alors que, très habilement, elle pose une pince-écraseur au bout de mon téton, déjà martyrisé trop longuement et elle lâche mon sein pour prendre l'autre et lui mettre une pince identique.

    En un geste instinctif d'auto-défense, je descends mes bras pour essayer de protéger mes seins. Iris me gifle plusieurs fois de suite en hurlant :

    « Tu ne comprendras jamais rien, connasse dégénérée, remonte tout de suite tes bras. Ne bouge plus et arrête de gueuler comme une hyène, tu n'as toujours pas compris que tu faisais l'inverse de qu'il fallait pour te protéger et moins souffrir ! C'est maintenant que tu vas morfler, espèce de call girl de bordels à marins ! »

    Alors que, les yeux pleins de larmes, je remonte en tremblant mes bras au- dessus de ma tête, elle rapproche mes seins de ses deux mains, et pose un clip qui unit les deux anneaux dont sont pourvus les pinces, en collant ainsi mes bouts de mamelles ensemble, ce qui me fait hurler de douleur et la supplier de me libérer. « Pauvre imbécile, continue à gueuler comme ça : tu vas te rappeler longtemps de ce que tu vas endurer maintenant ! »

    Elle se lève, m'écarte de son passage d'un violent coup de pied et revient de la table avec un gros poids de plomb qu'elle accroche à mes deux tétons réunis, ce qui entraîne mes seins vers le sol. Elle passe derrière moi, me redresse brutalement, et me maintient cambrée pendant qu'elle me pose un bâillon écarteur de bouche, dont elle règle le mécanisme d'écartement de mes mâchoires à son maximum.

    J'essaye de supporter la douleur mais je pleure à chaudes larmes et mon visage doit afficher la profondeur de mon désarroi, je subis la plus grosse séance de torture depuis que j'ai décidé de dire oui aux autres.

    Sans se préoccuper de ce que je peux ressentir, et toujours derrière moi, elle me soulève violemment par les épaules et me crie : « Je te veux empalée sur cet énorme gode d'un seul coup, aide toi de tes deux mains, quand je te lâcherai, tu n'auras droit qu'à un essai ! »

    Je tâtonne un peu et essaye de me concentrer, malgré cette douleur qui me paralyse les tétons, elle me dit : « A 3, je te lâche, j'espère pour toi que ta connasse sera bien au dessus de ce monstre ! 1, 2 et 3 ! »

    Elle me lâche, mon corps s'affaisse et le monstre me remplit le con, mais c'est une piqûre de moustique, par rapport à la douleur de mes seins, je dois remuer un peu mon cul pour que le gode s'installe bien dans mon intimité ce qui fait beaucoup rire Iris !

    Elle s'assied au bord du fauteuil, les cuisses toujours largement ouvertes et, en me tirant par les cheveux, elle colle ma bouche grande ouverte par le bâillon à sa moule dégoulinante que j'avais tant envie de boire et de lécher !

    « Je voulais que tu me bouffes la chatte pour me faire jouir, mais avant tu vas boire ma pisse, ça t’apprendra a crier alors que tu savais que tu ne devais pas le faire ! ».

    Elle agrippe mes cheveux et plaque mes lèvres sur son sexe comme si c’était une ventouse et, sans aucun temps mort, elle pisse dans ma bouche en contrôlant ses jets pour que je puisse la boire sans en perdre une goutte.

    Quand elle a fini de pisser, elle m’oblige à nettoyer les gouttes qui coulent de son sexe, avant de bouger son bas-ventre de haut en bas pour bien se faire nettoyer la moule du trou du cul au clitoris.

    Tout en me tordant les cheveux, elle me dit : « Tu vas changer de trou, sale buveuse de pisse, le gode doit être bien poisseux de tes jus de garce et il va pouvoir glisser tout seul jusque dans tes intestins ! Vas-y et encule toi bien profond d'un seul coup ! »

    Sans arrêter de lécher sa chatte, je me redresse un peu pour sortir le gode de mon con et faire coïncider le gland et mon anus. Je me rassieds, me remplissant d'un seul coup l'anus, tout en finissant d’avaler la pisse d'Iris que j’ai encore dans la bouche. Je crois que je ne me suis jamais aussi mal sentie de toute ma vie.

    Des petits couinements m'aident à passer ce mauvais cap, Iris mouille, de plus en plus excitée, et jouit très rapidement, mais comme elle me l’a dit tout à l’heure, les envies d’une femme enceinte sont intenses et elle ne me lâche pas les cheveux, continuant à se faire lécher et à me regarder boire ses sécrétions jusqu’à enchaîner un deuxième orgasme qui lui tord le corps de plaisir et la fait grimacer du bonheur de se relâcher sans aucune retenue, mais toujours sans aucun cri !

    Il lui faut quelques secondes pour revenir de son petit nuage ! Elle me relâche les cheveux et décolle doucement ment ma bouche poisseuse de son moule dégoulinante.

    Trempée de sueur, c'est en me regardant avec un mépris très humiliant pour moi, qu'elle m'ordonne de me lécher soigneusement pour bien la nettoyer en buvant et en avalant tout ce qu'elle a à me donner !

    « Au moins, tu auras servi à quelque chose ! Annie avait bien raison : il faut t'humilier et te faire souffrir pour obtenir le meilleur de toi ! Mais tu as de la chance qu'il soit tard et que j'ai d'autres engagements : si je n’étais pas venue en ayant promis de respecter tes limites et un horaire, tu en aurais eu pour toute la nuit »

    Samedi 4 février 2017 - 5h40

    Cette pensée me fait frémir : je sais qu'Iris est une vraie sado et qu'elle est capable de toutes les cruautés. Je pense que j'ai eu de la chance de n'avoir qu'un simple avant-goût de ce que cette femme est capable de faire à une autre ! Mais ma torture continue alors que je la regarde, ma bouche pleine du fer du bâillon, mes seins étirés vers le sol avec des tétons plus violets que roses et ce monstre qui me remplit le cul.

    Elle se décide à intervenir ! « Allez, tourne-toi et montre-moi ton petit cul de pute ! » Avec un ongle je fais entrer un peu d'air dans la ventouse collée au sol. Et je me mets à 4 pattes devant elle en lui présentant mes fesses dans lesquelles le gode ventouse est profondément planté.

    « Reste à 4 pattes, mais cambre-toi mieux que ça ! » Je m’exécute avec crainte. J’ai peur des capacités illimitées cette femme, mais je redoute surtout de commettre une faute ou qu'une idée folle lui fassent péter un plomb. Je suis à quelques 20 cm d'elle et elle n'a même pas à bouger pour tendre sa main droite et glisser 2 de ces doigts dans ma moule, en écartant largement mes lèvres : « Et tu osais te plaindre ? Tu as adoré ! Tu dégoulines, le haut de tes cuisses de salope est poisseux ! »

    Elle me le prouve, en essuyant avec une grimace de dégoût ses doigts dans la raie de mon cul. Et en profite pour attraper l’extrémité du gode-ventouse de mon anus et le sort comme si elle voulait me l'enlever, avant de le renfoncer brutalement et cruellement au fond de mon cul.

    Mon bâillon, m'aide à réprimer un cri mêlant la surprise et la douleur. Elle rit de moi en m'autorisant à l'ôter, ce que je fais avec une grand soulagement !

    « Quelle réaction étrange de ta part ! Tu ne voudrais tout de même pas me faire croire que tu n’aimes pas être enculée ? Un peu de comédie, pour m’apitoyer ? Nous savons bien, toutes les deux, que tu adores ça, comme, d'ailleurs tout ce qui est humiliant, sale, vicieux et pervers ! Mais je vais te rassurer : même si ta nuit de pute va continuer, je ne vais pas te laisser avec ce monstre dans le cul, et je vais même te demander de m'en faire cadeau ! Car je n'ai pas ce modèle dans ma collection, tu me l'offres putain ? »

    Je suis tellement surprise par cette demande que je ne trouve pas mes mots et je balbutie un : « Bien, sur, Maîtresse Iris, c'est avec grand plaisir que je vous l'offre ». Elle sourit en le retirant sèchement de mon anus.

    À l’évidence, elle prend plaisir à ce que le moindre geste envers moi soit dur. « Merci ma chère esclave, mais tu n’en as pas fini avec lui ! Tu n’imagines pas que je vais le remettre dans mon sac, alors qu’il sort de ton cul ? Je veux que tu le nettoies : lèche-le bien à fond. Je veux qu'il ait l’air neuf ! »

    Elle le glisse elle même dans ma bouche et j’entreprends de le lécher avec application, essayant d’oublier d’où il sort, bien qu’elle me l’ait crûment rappelé. Je le sors plusieurs fois de ma bouche et le lui tends, mais elle m’ordonne chaque fois : « Non ! Continue, nettoie encore paresseuse ! ».

    Et je reprends mon travail de nettoyage, en essayant de n’oublier aucun recoin du sex-toy. Je refais une tentative, qui est la bonne, car elle consent à le prendre, mais elle essuie ma salive dans mes cheveux, et malgré mes nichons étirés et torturés, elle m'envoie lui chercher un torchon propre avec lequel je l'enveloppe et le glisse dans son sac.

    « Viens face à moi, à genoux, et regarde-moi droit dans les yeux avec un beau sourire comme tu sais bien le faire ! »

    Ses yeux verts sont fascinants, mais en quelques heures, j'ai appris à craindre son sourire aussi vicieux que pervers : je frémis des pieds à la tête quand elle pose ses deux mains sur les pinces qui me broient les tétons. Elle les entrouvre à peine, ce qui est déjà très douloureux, et, d’un seul coup, elle me les enlève toutes les deux en même temps.

    La douleur est encore plus violente que lorsqu’elle les a posées. Je me mords les lèvres jusqu'au sang, pour ne pas hurler, et je manque défaillir en m'évanouissant, mais je résiste pour ne pas lui donner un seul petit prétexte pour une nouvelle punition, que j'aurais beaucoup de mal à supporter ! Mais je ne retiens pas mes larmes quand j'explose en sanglots.

    Sadiquement ou, inconsciente de ce qu'un geste d'apaisement peut provoquer sur des nichons si sensibilisés, elle prend ma poitrine à pleines mains, et la pelote avec douceur, enfonçant avec ses pouces, les bouts déformés dans la chair de mes seins.

    Elle m'affirme avec un franc sourire qu'elle est sure que ces caresses me font du bien et enchaîne : « Sais-tu que j'ai adoré le moment où j'ai enlevé tes pinces ? Wouah ! L’effet que ça t'a fait ! Alors que je les avais à peine ouvertes ! J'ai failli jouir ! Pas toi ? C’était génial de lire ton soulagement et ta douleur se mélanger sur ton visage si expressif ! Hum ! Ça me donne envie de recommencer »

    Elle semble hésiter, mais, finalement, elle décide de relâcher mes seins. Je dissimule au maximum mon soulagement de ne pas mettre son envie à exécution, et je suis en fait contente que nous ayons évité un affrontement qui aurait été insoluble !

    « Hum, dis moi, ça fait longtemps que je ne t'avais pas vue sans jouets et les trous vides ! Tu sembles vraiment très très à poil ! Allez, debout, et va chercher une chaîne d'environ 2,50m de long et 6 clips en fer »

    Je m’exécute. Soulagée de marcher et de faire circuler un peu mon sang. Je reviens avec la chaîne et les clips. Elle me positionne debout, devant elle, toujours assise dans son fauteuil, et me guide oralement : je commence en entourant 4 fois ma cheville gauche, avec l'une des extrémités de la chaîne que je clipse. Puis, je dois laisser libre environ 1,50m, avant de faire 4 autres tours autour de ma cheville droite et de clipser la chaîne.

    Elle semble satisfaite : « Tu commences à ressembler à une vraie esclave, et puisque tu peux marcher, reviens avec un collier de cou en chaîne, un masque de repos et un cadenas »

    La chaîne cliquette à chacun de mes pas, me rappelant la servitude dans laquelle je me suis mise seule, et je reviens avec ce qu’elle a demandé. Je m'agenouille devant elle pour qu'elle me serre le collier autour du cou, à la limite de l’étranglement. Elle reprend les menottes qu’elle referme sur mes poignets croisés sur mon ventre.

    En me faisant baisser un peu la tête, elle tire la chaînette des menottes et la passe derrière ma tête et la cadenasse à un des anneaux arrière du collier. Je me retrouve avec les mains en hauteur et derrière la tête, les coudes à hauteur des épaules.

    Elle termine en me posant le masque sur le front, sans m'aveugler pour le moment, mais je suis prévenue qu'elle le fera dans un futur rapide ! Que va-t-elle bien pouvoir me faire ? Je ne verrai même pas ses préparatifs ni ses intentions. Et j’ai tout à craindre de ses instincts sadiques.

    Sa voix claque : « Allez debout esclave ! » D'agenouillée, je passe un peu difficilement à la position debout. Estimant que je ne vais pas assez vite, elle passe un doigt dans l’anneau de mon collier, et me tire vers le haut pour accélérer le mouvement. Abandonnée avant la sortie du salon, je l’entends fouiller sur la table à accessoires.

    Elle revient vers moi et me pousse dans le dos : nous traversons le hall et entrons dans ma chambre qu'elle m'ordonne d'allumer faiblement. Au passage, je lui montre comment la télécommande fonctionne et c'est en fait elle qui règle l'intensité qu'elle veut.

    « Il est temps de te mettre au lit. Mais sans que tu puisses ni t'échapper, ni prendre une quelconque initiative, et je ne vais pas faillir à cette mission demandée par ta Maîtresse Annie ! ».

    Elle enlève la couette du lit et me dit : « Tu vas te coucher sur le dos, comme tu en as l'habitude, la tête posée sur un oreiller central ». Je commence par mettre un des oreillers au centre de la tête de lit et malgré mes menottes et ma chaîne je trouve ma place sur le lit.

    Je la vois s’affairer sans pouvoir noter tout ce qu'elle fait. Elle va vers les pieds du lit et le tire, visiblement pour créer un passage à sa tête. Elle revient dans ce passage et fixe une corde au montant droit du lit, puis elle la fait passer par le dernier anneau arrière de mon collier et termine en la tendant autant qu'elle le peut avant de nouer au montant gauche.

    Inquiète, j’essaie de bouger la tête vers la droite ou vers la gauche mais mes craintes se confirment de suite : cette corde ne me laisse aucune liberté de mouvement. Mes tentatives suscitent chez elle un petit rire :

    « Si tu es du genre à t’agiter dans ton sommeil, eh bien tu devras attendre demain soir ! »

    C'est en continuant de rire qu'elle entoure d'une corde identique ma jambe droite au dessus du genou. Après avoir fait un nœud solide, elle passe la corde sous le lit, et vient attacher de la même manière ma jambe gauche, m’obligeant à écarter très largement les genoux, donc le compas de mes cuisses.

    J’essaye de bouger mon corps mais, à part les chevilles et les pieds, ça m’est quasiment impossible : la corde qui maintient mon collier m’immobilise la tête, les menottes bloquent mes mains et mes cuisses sont bloquées dans une position écartée parfaitement obscène.

    Résignée, j’abandonne tristement mes tentatives que je sais maintenant inutiles. J'étais prévenue depuis le début de la séance et Iris vient de me prouver qu’elle sait jouer avec des liens.

    Elle s’assied à côté de ma hanche droite, et pose le vibro, dont elle s'était servi en début de session, sur le lit, à côté de l’entrée de mon vagin. « Je sais que tu vas passer le reste de la nuit avec, mais je me pose une question : vais-je le laisser en marche oui ou non ? Tu en penses quoi putain ? »

    J'essaye de répondre diplomatiquement :

    « Je pense que vous saurez prendre la bonne décision, Maîtresse Iris, qui suis-je pour vous conseiller ? » « Oui, je ne pouvais rien attendre d'autre d'une roulure comme toi ! Tu as raison ! Qui es-tu pour me donner un conseil ! Bon, en attendant ! »

    Elle pose la tête du vibro entre mes grandes lèvres et tourne le jouet pour l'humidifier de mes jus et l’enfonce lentement en s’assurant qu’il me remplit totalement. Je le sens cogner mon col et, Iris ne peut que constater qu'elle ne peut pas l'insérer plus, toutefois, je prie intérieurement pour qu’elle ne le mette pas en marche.

    J'ai du mal à imaginer devoir finir la nuit ainsi, ce serait une véritable torture d'enchaîner les orgasmes sans possibilité de les stopper ! Mais mes prières n’y font rien. La perversité d'Iris est la plus forte, et, non seulement, elle met le vibro en marche, mais en plus sur sa plus grande vitesse de vibrations, en rajoutant, moqueuse : « Je me demande combien d’orgasmes tu vas avoir cette nuit, avant que ça ne devienne insupportable ! Mais rassure toi, je vais brancher la caméra d’Annie, comme ça nous auront la réponse ! Et nous t'informerons de ta performance ! »

    Je ne peux pas cacher un gémissement de désespoir. Et je laisse échapper un faible : « Oh non, pitié, Maîtresse Iris, pas ça ».

    Sa réponse est immédiate, coléreuse et quasi hystérique :

    « Tu te crois en position de protester, sale putasse ? »

    Elle saute sur le lit, et s’assied sans précaution sur mon ventre. Je ne peux absolument rien faire pour me défendre, et son vice lui impose de s'en prendre encore une fois à mes seins.

    « Tiens, prends-ça pour t’apprendre à bien te conduire, sale pouff ! Et encore ça ! » Elle gifle violemment mes seins, le gauche, le droit, encore et encore, chaque fois plus férocement. En souriant vicieusement, Iris, ajuste ses frappes pour les faire ballotter le plus possible. Elle s'applique soigneusement et systématiquement, pour qu'une partie de ses gifles puissantes, et surtout ses ongles, atteignent mes pauvres tétons, qui n’ont cessé d’être torturés depuis que je suis tombée dans ses griffes.

    Apeurée, je retiens mon envie de crier, sachant que je ne pourrais que m’attirer d'avantage de souffrances de sa part. Elle m’administre une bonne trentaine de gifles avant de redescendre du lit.

    Pendant que mes yeux pleins de larmes constatent les dégâts navrants sur les rondeurs de mes seins et sur mes bouts, et à ma grande surprise, elle a un rire presque enjoué et m'assène un : « Ah, que ça fait du bien ! J’étais frustrée de n’avoir qu’à t’attacher et à te préparer, mais tu m’as donné une bonne raison de me défouler une dernière fois. Avant de partir, et à propos de caméra, Annie a profité de ta séance de douche-anti-cire pour en placer une demi-douzaine dans des endroits dont j'avais la liste ! Donc rien ne lui a échappé ! Bonne nuit, sale pute, bonne continuation de ta déchéance et, je l'espère à très bientôt ! »

    Elle se rapproche de moi, baisse mon masque, vérifie qu'il est bien en place et je ne peux donc pas voir qu’elle laisse la lumière allumée mais j’entends ses pas s’éloigner et ma porte d'entrée claquer, je suis seule avec ma honte, ma position obscène, ma douleur intense et ma peur de ne pas savoir ce qui va m'arriver !

    Samedi 4 février 2017 - 6h20

    Je ne peux retenir mes larmes. Dans quelle situation me suis-je mise ? Jamais, en cédant avec plaisir et amitié à l’envie que j’avais d’obéir à Annie, je n’aurais cru qu’elle m’emmènerait à ce degré d’impuissance et d’avilissement.

    Et maintenant, quelle fin de nuit et quel dimanche m’attendent ? Entravée sans pouvoir bouger, avec un vibro qui va me tarauder des heures durant et me faire forcément jouir, au début pour du plaisir, et plus tard dans une souffrance que je n'imagine même pas !

    Pour les avoir changées moi même, je sais que les piles sont neuves, et qu’il ne va pas s’épuiser avant de nombreuses heures, voire des jours.

    Mon dieu, quel sadisme chez cette jeune femme ! J'espère sincèrement qu'Annie n'a pas atteint son niveau, il faudra que nous parlions sérieusement toutes les deux, je ne crois pas que mon masochisme et ma soumission doivent évoluer vers ces excès de violences et de tortures.

    En même temps, et alors que je n'en ai vraiment aucune envie, je sens que le vibro fait son travail et que le taraudage de l'intérieur de mon vagin fait monter du plaisir en moi. C'est comme si mon bas ventre avait sa vie propre, presqu’animale, réagissant par réflexe à la stimulation.

    Je suis prise en étau entre ce plaisir qui monte de mon intimité profonde et cette angoisse de mon futur immédiat qui me recouvre d'un pessimisme oppressant. Je gémis doucement et ondule du bassin, cherchant instinctivement dans un orgasme non désiré, un apaisement à ma peur et une petite lueur d'espoir même éphémère.

    Je suis sur le point de jouir quand j’entends de nouveau des tallons aiguilles résonner sur le carrelage. Mon cœur bat très vite dans ma poitrine. Mais je crois reconnaître les talons d'Iris, ce qui ne me rassure qu'à moitié ! C’est elle ! D'un seul ordre de mon cerveau, l'orgasme naissant se vaporise en s'écrasant contre le mur de l'inutilité.

    Iris semble très calme : « Esclave servile, je suis allée chez Annie pour me doucher et me changer, et, avoir ses commentaires sur notre session et sur ta préparation pour la suite de tes aventures. Mais j'ai oublié trois détails que je viens rectifier ! Pour que ton joli sourire revienne sur ton visage, je te précise que deux vont te faire plaisir, mais que le 3ème t'ennuiera certainement ! Je te laisse le choix : par lequel veux-tu que je commence ? »

    J'essaye de sourire, mais sans y arriver. Et lui réponds : « Démarrez par la mauvaise nouvelle, Maîtresse Iris, s'il vous plaît ! »

    « Je connaissais ta réponse, tu es solide Loré ! J’avais oublié de prendre tes clés de maison car Annie m'avait demandé de les glisser sous ton paillasson en partant. Sois gentille de ne pas me demander pourquoi ou qui va venir les récupérer pour entrer sans te demander ton avis ! Car je ne le sais absolument pas ! Pour les deux autres nouvelles plus sympathiques, je reviens de suite ! »

    Restée seule. La raison pour laquelle Iris doit glisser les clés sous mon paillasson me semble limpide et en effet très contrariante : Annie a programmé d'autres visites de personnes connues ou inconnues, à qui elle a décidé de me prêter et si ces personnes ne me baisent pas, ne me partouzent pas et pire, ne jouent pas avec moi, c'est qu'elles sont forcément anormales !

    Baiseurs ou baiseuses ? Dominants ou dominantes ? Un, une ou plusieurs sados ?

    Seule Annie peut me le dire, mais je pense qu'en sachant par Iris, qu'Annie a suivi la totalité de notre session-obéissante, elle devrait avoir écarté l'idée de me confier à d'autres sadiques nocturnes.

    Iris revient. Elle me surprend totalement en libérant mes poignets, que je frotte de suite de mes mains, pour bien refaire circuler le sang et les désengourdir.

    Elle me dit : « Je pose à ta droite un flacon du baume d'Annie, un rouleau de Sopalin, je te mets une lumière douce et je te laisse seule dans ta chambre pendant 20mn. Je ferme la porte et je vais dans le salon boire une tasse de ton excellent café et fumer une ou deux cigarettes. Quand je frapperai à ta porte, tu devras remettre ton masque, je te rattacherai les poignets, je ramasserai les Sopalin, le baume et je partirai, c'est compris Loré ? Juste un détail entre nous deux : le wifi des caméras de ta chambre sera en panne pendant ces 20 mn, ne perds pas de temps ! 20mn ça passe très vite ! » 

    Samedi 4 février 2017 - 6h50

    Oh quel plaisir de sentir que très vite mes seins ne me font presque plus mal. Je sais qu'il faudra encore une bonne demi-heure, pour que mes tétons réagissent de même, mais que ça fait du bien !

    Tout en me soignant, j'imagine deux solutions pour le changement d'Iris : soit elle triche avec Annie, en prenant le risque de perdre son amitié alors qu'elle me connait à peine. Ce qui parait peu probable, car, entre son statut de domina et sa beauté, elle ne devrait pas avoir de problème pour recruter des soumises plus belles et plus salopes que moi !

    Ou alors, Annie l'a un peu secouée en lui disant qu'elle avait été trop sado avec moi, en me faisant frôler l’écœurement du bdsm. Et qu'elle devait rattraper cette gaffe de la manière de son choix, sans que je ne lui en veuille une seule seconde.

    Perdue dans mes pensées, j'entends un petit coup à la porte et Iris me dire : « Loré, il ne te reste qu'une minute ! » Elle avait bien raison, les 20mn sont passées à une vitesse incroyable.

    Je ferme le flacon de baume, j'empile les Sopalin utilisés, je met le rouleau à côté. Je me recouche telle que j'étais, et baisse mon masque, avant de mettre moi même mes poignets dans les menottes non fermées.

    Un dernier coup contre la porte et la voix d'Iris : « Loré, je rentre ! » Ma position et le rangement de mes petites affaires doivent la rassurer ! Elle ne dit rien, referme les menottes sur mes poignets, ramasse tout et, juste avant de partir, elle se penche pour m'embrasse sur le front.

    J'ai à peine le temps de lui dire : « Merci ! » et, sans même que je ne puisse l'espérer, ou même, y penser : elle déconnecte le vibro avec la télécommande en me disant : « Si quelqu'un en a besoin, dis-lui, qu'elle est sur la table des accessoires ! Bonne chance Loré ! »

    Et elle part ! Cette fois-ci, j’entends la porte d’entrée claquer derrière elle, la clé tourner dans la serrure, et je suppose que mon trousseau est sous le paillasson comme le désirait Annie !

    Après les heures de désespoir et de douleur que je viens de vivre, je suis tellement soulagée que j’en deviens presque euphorique, malgré mes liens, les élancements de mes bouts de seins et tout ce que je viens de subir. Je raisonne tout à fait illogiquement, mais je ne retiens de tout ces faits que ces deux énormes gestes de pitié, de compassion ou de rattrapage, si ma 2ème hypothèse est la vraie !

    Mais, avec cette détente inespérée s'accompagne d'une lassitude extrême. Toute cette tension dans laquelle je vis depuis des heures, se relâche d'un seul coup : l’épuisement causé par tout ce que j’ai fait et subi pendant cette journée m'enveloppe comme un brouillard invisible.

    Sans m’en rendre compte, et malgré l’inconfort, l'humiliation et l’obscénité de ma position, je sombre dans un profond sommeil !

    Samedi 4 février 2017 - 7h10

    Je n’ai aucune idée de l’heure, je ne sais pas si j'ai dormi longtemps, je suppose que oui, car je me sens beaucoup mieux. Mon bandeau m’empêche de savoir s’il fait jour ou nuit.

    J’ai la curieuse impression d’être entre rêve et réalité. Mais quand deux mains chaudes se posent sur mon ventre et mes seins et me caressent, je sais que je ne rêve pas.

    J’essaye de ne pas réagir et fais semblant de dormir. La chambre est silencieuse, j’ai seulement conscience de frottements de tissu, de respirations et d’eaux de toilette ou d'after-shave.

    Me remémorant comment j’ai été attachée sur le lit, j’imagine le spectacle que je peux offrir, si la lumière est allumée ou que le soleil éclaire la chambre. Je me crispe un peu quand deux doigts joints entrent dans ma bouche, écartant mes lèvres pour aller chercher au fond de mon palais ma langue humide.

    Ils me fouillent, pincent et étirent ma langue pour la faire sortir de ma bouche. Alors qu’une autre main se pose sur mon sexe comme pour se l’approprier complètement en me caressant le haut de la chatte avec la paume avant de glisser deux doigts dans mon vagin humide en frôlant le vibro trempé.

    Sans un mot, les doigts font leur œuvre, et ils finissent par me trahir, car les gestes sont emprunts de douceur et ne veulent pas me faire mal : ils s’assurent simplement de ma parfaite obéissance, correspondant bien à ma posture, en se faisant sucer bruyamment par ma bouche alors que ceux du bas entrent et sortent de mon intimité, de plus en plus rapidement, déclenchant bien malgré moi, des mouvements de mes reins que je n’arrive pas à contrôler.

    Probablement gênée par le vibro, la main qui me masturbe arrête sa caresse et le retire de mon con pour, très vite, reprendre sa caresse en rajoutant un doigt habile qui vient se poser sur mon clitoris pour le faire sortir de sa cachette et l’obliger à se tendre.

    Le silence est interrompu par le bruit de ma salive sur les doigts qui coulissent en moi et par mes petits couinements qui expriment la montée du plaisir que me procurent les doigts qui me fouillent la chatte, jouant à ouvrir mes grandes lèvres et à titiller de plus en plus durement mon clitoris qui continue de grossir.

    Une première main joue dans ma bouche, une deuxième avec ma chatte, je constate qu'un homme est comblé ! Mais, une troisième vient pétrir délicatement mon sein droit, tout en testant de temps en temps la réaction positive de mon téton, avant de passer au sein gauche pour éviter de faire des jaloux ! Mais, il me manque une main ! La quatrième se pose au sommet du compas de mes cuisses, en évitant la partie détrempée, et me caresse délicatement cette partie si sensible du corps.

    Depuis la veille, hormis quelques rares exceptions, je n’ai eu droit qu’à de la douleur, à de la torture plus ou moins brutale et à de l’humiliation, mais ces quatre mains me rassurent sur mon statut de femme certes libertine et vicieuse, mais avant-tout sensuelle ! Et je ne cherche absolument pas à retenir ou à cacher mon plaisir et je me laisse aller à l’extase de ces caresses prodiguées par ces mains et ces doigts experts !

    Les deux hommes ne semblent pas pressés, les caresses sont lentes mais précises, et, peu à peu, je gémis et je transpire de plus en plus en bougeant mon bas ventre sans déclencher plus de réactions de la part des hommes, ni la moindre accélération de leurs caresses.

    Rien ne les presse : je suis à eux, et ils le savent parfaitement !

    Mais je sens qu’à ce rythme, je ne tiendrai plus très longtemps, et l’homme à qui je suce les doigts le comprend.

    Il les sort de ma bouche pour s’emparer du sein dont son compère ne peut pas s'occuper, en me permettant ainsi de laisser exploser ma jouissance, sans cris ni hurlements, comme je l'ai appris d'Iris, mais en tordant comme je le peux mon corps, malgré le peu d’espace que les liens savamment posés me laissent.

    Samedi 4 février 2017 - 7h30

    Toujours sans un mot, les mains me quittent, j’entends des bruits de vêtements : je les imagine en train de se déshabiller, je suppose qu’ils ne m’ont pas offert une jouissance gratuitement et que c’est à mon tour de leur rendre la pareille.

    Un des hommes me rabat les mains derrière ma tête et enjambe mon torse en posant ses deux genoux sur mon oreiller, et en s’asseyant sur mes seins. Il n'a pas à me forcer : il glisse d’un seul coup de rein son sexe dans ma bouche. Sans consigne, je sais ce que je dois faire et je le léche délicatement et le suce. Je note que son gland est déjà humide et que son sexe est déjà très dur. Il a une odeur agréable et je le sens propre dans ma bouche.

    L’autre s'agenouille entre mes cuisses ouvertes, me relève les fesses en me prenant pas les hanches, ce qui lui permet de régler la distance et la hauteur de l'entrée de mon vagin.

    Il n’a aucun mal à entrer d'un seul coup de rein son sexe dans ma chatte trempée. Il me nique et me besogne par d’amples mouvements de nos bassins, en faisant entrer totalement son sexe en moi, avant de le ressortir entièrement pour mieux le plonger dans mon fourreau poisseux en déclenchant un bruit parfaitement obscène qui me rapproche un peu plus de l'extase !

    Ils profitent tous les deux longuement de moi. Je ne les bois qu'une seule fois chacun, mais ils jouissent deux fois dans mon con, toujours sans aucune précaution.

    Si les deux premières jouissances sont rapides, les quatre autres sont plus lentes à venir mais pour me récompenser de ma patience, celui qui m’a baisée en dernier, me léche le clito pour s’assurer que je jouisse en même temps que lui. Ce qui déclenche probablement son orgasme tardif.

    Avant de partir, ils me remettent le vibro dans la chatte alors que l’un des deux me demande à l'oreille : « Bébé, où est la télécommande ? » Je lui réponds en pensant que ce doit être la 1ère fois de ma vie qu'on m'appelle bébé après m'avoir sautée ! Alors que l'autre me glisse à l'oreille : « Tu es, un super coup, à bientôt salope ! »

    Voilà encore deux hommes qui risquent de me saluer dans la rue ! Ils me connaissent très intimement, alors que seul mon con connait l'empreinte de leurs pines et ma bouche de pipeuse le goût de leurs foutres !

    Samedi 4 février 2017 - 7h50

    La porte d’entrée vient de se refermer, je sais à présent que je ne pourrai pas me rendormir, j’ai ce goût aigrelet dans la bouche et je ne peux rien boire, je sens le sperme des hommes s’égoutter peu à peu de ma chatte ouverte, en salissant probablement mon drap du dessous, et le vibro sur une vitesse moyenne qui ronronne presque gentiment dans mon vagin. Ne pouvant influer sur rien, je décide de me décrisper et de me détendre en gérant seulement ce qui va se présenter !

    Et je suis absorbée par une sorte de rêve éveillé, pendant lequel je m'entends jouir en hurlant comme une sirène de pompiers ! Je crois dormir quelques dizaines de minutes tout en me réveillant plusieurs fois pour des motifs fantasmatiques ! Et je me rendors pour des journées entières, réveillée par les bruits de pas d'une foule énorme qui se rapproche de mon lit pour que chacun puisse abuser de moi ! Je me réveille, chaque fois plus trempée de sueur.

    Il semble que ma connexion corps-cerveau fonctionne parfaitement, mais, je suis très surprise car ce sont d'étranges sensations de dépendance et d’impuissance que je n’ai jamais connues jusqu’à ce jour.

    Je fantasme beaucoup sur le bdsm, mais c'est toujours moi qui crée ou amorce le début du fantasme, alors que là, il m'est imposé !

    C'est sur cette étrange constatation, que le vrai sommeil m'emporte et que je peux, enfin, me reposer un peu plus calmement : sans rêve, sans cauchemar, ni même une petite pensée sexuelle !

    Samedi 4 février 2017 - 9h

    Après une éternité ? Une journée ? Ou 10mn ? Une présence bien réelle me tire de ma torpeur. J’ouvre les yeux, mais quand je constate que je suis toujours dans le noir, tout ce que j'ai vécu durant cette nuit chaotique  me revient d’un seul coup en mémoire. Je réalise que j’ai mal partout : toutes ces heures passées avec les bras repliés et les cuisses ouvertes au maximum, m’ont ankylosée.

    La présence se confirme par une voix d’homme que je ne connais pas, mais qui, à priori me connaît ! « Il est temps de te lever, Loréna »

    Il est au pied du lit, et je sens, qu’il est en train de défaire la corde qui me noue les jambes. Je grimace de douleur quand la circulation sanguine revient à la normale. L’homme semble méthodique, il passe à la chaîne de mes chevilles qu’il met un certain temps à démêler en devant trouver les clips qui se sont embrouillés avec les maillons.

    Quand je peux, enfin, bouger mes jambes et mes cuisses comme je l’entends. Il remonte vers le haut du lit pour défaire la corde qui est nouée à chaque coin du lit. Il la fait coulisser dans l'anneau de mon collier de cou avec précaution pour ne pas m'étrangler ou me blesser.

    Il détache le collier qui me serre le cou et termine par les menottes, dont il a du trouver les clés sur la table aux accessoires, probablement en même temps que la télécommande du vibro, car je réalise, qu'il est éteint. 

    Il termine en se penchant vers mon bas-ventre et sort lentement le vibro de mon vagin. Les heures de pénétration et les vibrations ininterrompues ont fait leur effet : il glisse sans difficulté de mon con inondé avec un bruit obscène qui me fait un peu honte, mais qui m'excitait tout à l'heure ! Quelle femme compliquée et vicieuse je suis !

    En plus, je prends une réflexion de sa part qui me confirme ce que je pense de moi ! : « Sais-tu, ma salope, qu’il est gluant de tes sécrétions, sur toute sa longueur ? Toi, au moins, quand on te remplit le con, tu réponds avec ton jus ! J'ai rarement vu autant de mouille de ma vie ! »

    Il me regarde me frictionner de partout en riant et me conseille d'insister sur les articulations, ce que je fais de suite en le remerciant. C'est un soulagement douloureux mais nécessaire, qui m’aide à retrouver une mobilité presque normale. Je suppose qu’il me regarde faire, assise nue sur le lit, sans rien lui cacher de mon intimité, mais enfin libre ! Et, à dire vrai, des yeux n'ont jamais été des prisons !

    Quand il pense que je suis d'attaque, il me conseille de fermer les yeux et de les rouvrir progressivement et lentement, tout en m'ôtant mon masque, que je remplace de suite par une main fermée.

    Je cligne des yeux en jouant sur l'ouverture de mes doigts avant de pouvoir les ouvrir sans souffrir, et je vois très nettement un grand noir avec une tête sympa qui rit de toutes ses dents trop blanches, vêtu seulement d’un caleçon à fleurs totalement démodé, ce qui provoque un fou rire incontrôlable de ma part !

    Curieux, il me demande : « Qu'est ce qui te fait tant rire petite catin ? » Je lui réponds, entre deux éclats de rire : « Ton caleçon ! Tu l'as trouvé dans un vide-grenier ? Il date, au moins, des années 80 ! »

    Il rapproche sa tête de la mienne et me dit d'une voix mi-grave mi-rieuse : « J'ai mis ce machin, car c'est le seul que j'ai, d'habitude je ne porte rien ! Mais, je ne voulais pas t'affoler, alors, arrête de le critiquer ! Et dis lui merci d'exister ! » Ce que je saisis de sa réponse ne me rassure pas sur le contenu de ce drôle de vêtement, mais je pense que je vais être surprise par un drôle d'engin !

    Je trouve cet homme furieusement sympathique, et je m'accroche à l'idée, qu'au moins, un homme comme ça, visiblement plein d'attentions pour moi, risquait de ne pas être trop brutal avec moi, même si son fantasme était de jouer à l'esclave blanche du négro !

    Pour confirmer mon idée rassurante, il voit de suite que j'ai un peu de mal à bouger toute seule et m'aide gentiment à me lever. « A présent que tu es debout, direction ta salle de bains ! »

    Il me soutient, jusqu'à la salle de bains : « Prends ton temps, aussi bien pour te soulager que pour prendre une bonne douche ou te refaire une beauté. Annie m'a dit que tu avais du baume pour soigner ces traces zarbis que tu as sur les nichons et rejoins moi dans la cuisine quand tu seras prête. Je vais nous préparer un bon brunch car j'en ai très envie et toi tu en as besoin ! »

    Il sort de la salle de bains en refermant délicatement la porte derrière lui. C’est un grand bonheur de me retrouver seule dans une pièce et, surtout, libre de mes mouvements.

    J’avais une furieuse envie de me soulager, et c'est ce que je fais en premier ! J'hésite à prendre un bain, car j'ai peur qu'il ramollisse mes chairs et, je lui préfère une douche avec mon variateur de températures, qui me permet d'aller du léger froid au chaud pour faire réagir ma peau.

    Séchée de cette douche réparatrice, je me soigne avec du baume d'Annie. Un coup d’œil dans le miroir me confirme que mes seins sont à 80% de leur état normal, ce qui est un vrai miracle !

    Je souris en pensant que les mauvais moment de cette nuit ont été siphonnés par la bonde et ont rejoint leur vraie place : les égouts !

    Mais je reste parfaitement consciente que la nuit que je viens de passer ne doit pas se renouveler, et même si je peux constater que mes bouts de nichons sont presque aussi en forme que moi, et que, donc, le corps peut peut être supporter plus, que je ne le pensais avant cette nuit, je repense à cette discussion prioritaire que je dois avoir avec Annie, si possible dès ce weekend, sur la progression de mon apprentissage du bdsm et la révision de ma liste de tabous.

    Quand j'ai fini de me maquiller et de retoucher ma coiffure, j'enfile mon peignoir et mes chaussons, sur mon corps nu, et je me sens aussi prête que l’on peut l’être, pour affronter une nouvelle journée dont je ne connais rien, à part le caleçon de mon supposé nouveau gentil copain noir.

    Mais je continue à redouter des événements inattendus, puisque nous ne sommes que samedi matin, tout au moins je le suppose !

    Samedi 4 février 2017 - 9h45

    Mon supposé nouveau gentil copain noir devait guetter les bruits dans ma salle de bains, car il frappe deux petits coups et me demande : « As-tu fini Loréna ? Mon brunch va cramer ! » J'ouvre la porte et je m'apprête à sortir, mais il me repousse doucement vers l'intérieur.

    Il tient dans sa main un collier de chien en cuir large avec une laisse assortie. Comme moi, il a un visage souriant, mais il me parle plus rudement : « Enlève ton peignoir et tes chaussons, en ma présence tu dois toujours être à poil »

    Sans rien dire, je me déshabille et laisse mes affaires dans la salle de bains. Il m'attache le collier autour du cou, sans trop le serrer, et clipse la laisse à un des anneaux et me tire par le cou pour rejoindre la cuisine.

    Je découvre en même temps deux images contradictoires : d'un côté un copieux petit déjeuner bien disposé sur la table, et de l'autre, à un mètre de cette même table, une chaise isolée avec au milieu de son assise, un énorme plug-ventouse de plus de 20 cm de longueur.

    Il me désigne la chaise en s’asseyant sur l’autre : « C'est pour ton cul, tu peux le lubrifier uniquement avec ta salive »

    Un peu surprise qu'il rentre de suite dans le vif du sujet, mais, après tout, je ne m'attendais pas à des cours de tricot. Je sais trop bien ce que j'ai à faire, et, sans discuter ni rechigner, je m’agenouille devant la chaise et entreprends d’enduire de salive le monstrueux plug, futur ornement de mon trou du cul !

    Un éclair me surprend : il vient de me prendre en photo. Je le regarde, étonnée : je sais que la cuisine est sous web-cam, donc, je suis gênée que cette scène plus qu'intime soit destinée à être vue par d'autres yeux que les nôtres, et autrement que sur un clip. Il sourit : « Ne sois pas surprise, c’est pour enrichir le site-photos qui t’est consacré »

    Ainsi, Annie ne se contente plus de mes clips pornos, elle en veut plus et se sert de moi pour alimenter un site que je ne connais pas. Je continue à saliver sur le gode : l'homme me dit : « Je pense qu'il est assez lubrifié, assieds-toi dessus en t'empalant d'un coup si possible »

    Ce n’est pas dit sévèrement, mais sur le ton de quelqu’un qui ne comprendrait même pas une contradiction. Je me penche en avant, présentant mes fesses à l’instrument dont je tiens la tête dans ma main.

    A nouveau il prend des photos, accroupi juste derrière moi. Résignée, je m’assieds lentement, plaçant mon anus sur la tête du plug, puis je me relâche, la dilatation est douloureuse, je tente de me détendre d'avantage, tout en continuant à me remplir les fesses doucement.

    La sensation d’être forcée devient intense, et enfin, je sens que la partie la plus large a franchi l'anneau de mon anus, je me laisse alors aller sur la chaise, mon anus se serre à la base du gode. Ouf ! Il est en place.

    J’ai de mauvais souvenirs de la veille avec les godes et les plugs, mais, ce matin, c’est presque agréablement que je retrouve cette impression d’être à la fois totalement remplie et super dilatée et ouverte. Pendant tout ce temps, mon gardien n’a pas cessé de prendre des photos.

    Il avance un peu ma chaise pour que je puisse manger confortablement et il se rassied : « Je t’ai préparé un petit déjeuner martiniquais » Je ne me fais pas prier : je n’ai rien mangé depuis 24h, et je suis affamée. Pendant que je me restaure, il m’observe, buvant son café à petites gorgées.

    Je lui demande l'autorisation de lui poser une question. Il me répond très sèchement : « Probablement pour me demander comment tu dois m'appeler ? Tu dois m'appeler Toussaint, tu peux me tutoyer et tu n'as droit à aucune question, ok ? »

    Je baisse les yeux et lui réponds un peu vexée : « Bien, Toussaint » Il se détend petit à petit. Pour ma part, manger des bonnes choses me remonte encore un peu plus le moral et, je soutiens son regard, en lui souriant plusieurs fois.

    Il ne réagit pas, mais ne me demande pas non plus de baisser les yeux. Quand j’ai fini, il se lève, me recule avec ma chaise. Il sort sa bite de son caleçon, et ne me dit qu’un mot : « Suce »

    J’ai déjà fait des choses plus désagréables, mais là, ça me semble une mission impossible, on dirait vraiment une bite d'âne, et j'ai l'impression qu'il ne bande pas encore complètement !

    Mais entre son amabilité et sa pine, je n'hésite pas. Je la prends dans ma main, que je ne peux même pas refermer. Je le branle un peu et je me penche, la bouche grande ouverte. Je sors ma langue pour lui sucer le gland, sans difficulté, mais, ensuite, j'essaye d'entrer ce que je peux de son pieu dans ma bouche. Il est bien trop membré pour moi et malgré tous mes efforts, je ne peux lui pomper que la moitié de sa pine, ce qui me frustre terriblement !

    Je fais donc aller et venir mes lèvres sur ce magnifique engin, ma main droite le tenant à la base pour lui caresser délicatement les couilles. « Ne te fais pas de souci, Loré, je rentre difficilement dans une bouche ou un cul de salope normale : tu devrais sentir complètement ma pine quand je te défoncerai la connasse, c'est le seul trou de pute qui peut m'accepter totalement. Mais, j'en souffre autant que toi, car je suis sur que, vicieuse comme tu es, tu es frustrée de ne pas pouvoir me pomper entièrement »

    « C'est vrai, Toussaint, je suis très déçue, mais je n'y arrive vraiment pas ! Ca ne m'empêchera pas de boire ton foutre jusqu'à la dernière goutte, et de te vider les couilles dans mon con, même si tu dois me déchirer pour tout m'enfiler, Toussaint ! » « C'est amusant : tu es l'archétype d'une  bourge libérée, mais tu parles comme une pouff de bordel ! Je vais t’expliquer les règles à respecter tout au long de notre rencontre »

    Curieuse, je dresse l’oreille, sans arrêter de le pomper. « Elles sont simples : dans l'immédiat, tu vas me sucer jusqu’à ce que je gicle dans ta bouche, tu avaleras mon foutre un peu plus tard, car j'ai besoin de photos où on le voit stocké dans ta bouche. Pour la suite, même si tout est bien programmé, tu n'en sauras jamais rien à l’avance. Ton unique objectif est de m'obéir, quoi que je te demande ! »

    Dépitée, je continue ma pipe. Sa bite est, à présent, dure comme de l'ébène, son gland énorme remplit ma bouche.

    Il prend plusieurs clichés de ma bouche en plein travail. Mais je ne peux toujours pas en mettre plus dans ma bouche et ça me fait râler intérieurement ! Comment peut-on avoir à sa disposition une aussi belle bite et ne pas pouvoir en profiter pleinement ? Quel ratage !

    Samedi 4 février 2017 - 10h

    Son portable sonne. Il me lance un : « Ne t’arrête pas de me pomper » et prend l’appel :

    « Oui, bonjour Annie, tout se passe comme prévu (…) Elle est en pleine forme, après 45mn dans la salle de bains (…) Oui ! Elle en avait besoin (…) En ce moment ? (…) Nous sommes dans la cuisine où j'ai préparé un brunch qu'elle a l'air d'apprécier ! (…) Oui, elle est à poil, le cul empalé sur un gros plug-ventouse (…) Elle me suce la queue, on dirait une gamine avec un énorme bâton de réglisse (…) Elle me sourit tellement elle est à son affaire ! (…) Hélas, non, elle est comme les autres, elle ne peut avaler que mon gland et j'ai peur que pour l'enculer ce ne soit pareil. Mais je pense que je pourrais la niquer à fond ! (…) Oui, je suis très optimiste, je te préviendrai si j'arrive à lui enfiler mes 25 cm dans le con ! »

    Il rit : « Oui, elle adore ça (…) Ah, je n’ai pas vérifié, mais je suis certain qu’elle dégouline, rien qu'en me pompant le nœud, tout en ayant le cul rempli ! (…) Oui, je te ferai des photos ! (…) Entendu rappelles-moi quand tu le voudras (…) Je t'embrasse, Annie ! »

    Je sais combien il dit vrai, je sens que ma chatte ne peut plus garder mes jus et que je suis en train de mouiller l'assise de la chaise de la cuisine.

    Je sais que, malgré cet interlude téléphonique, il n’est plus très loin du plaisir. Sa bite se tend et son gland gonfle, il la pousse plus au fond de ma gorge, sans pouvoir en rentrer plus, tout en manquant de m’étouffer.

    Il a son appareil photo dans sa main gauche et prend une rafale de gros plans de ma bouche de suceuse de pine en action. Alors que sa main droite caresse gentiment mes cheveux sans peser sur ma tête.

    Je sens son premier jet frapper ma glotte, les suivants sont puissants et très abondants. Je recule un peu la tête pour recevoir sa semence sur ma langue, il en coule un peu au coin de mes lèvres.

    Une fois de plus. et, tout en éjaculant, il n'oublie pas de me rappeler de ne pas l'avaler de suite, j'approuve de la tête et il se vide lentement les couilles dans mon palais tout en grognant de plaisir.

    Je n'ai jamais entendu un marcassin jouir, mais je ne sais pas pourquoi, je compare son orgasme à l'extase de cette bête ! J'ai parfois des idées étranges !

    Au fond de moi, je suis satisfaite d’avoir pu et su faire jouir une telle pine. Je sais qu'en règle générale je suis une bonne pipeuse, mais je suis contente de le vérifier sur une bite aussi différente que celles qui fréquentent plus ou moins régulièrement ma bouche de putain-suceuse-avaleuse !

    Il reprend ses esprits, et debout devant moi il me mitraille la bouche avec son appareil : s'il n'a pas pris 50 photos, c'est qu'il en a pris 70 ! Des gros plans : avec la bouche fermée et un écoulement de foutre aux commissures de ma bouche ! Un étang de foutre liquide au fond de mon palais avec ma langue à sec ou baignant dedans ! Cette même langue souillée de son jus intime ! Mes dents ruisselantes de son sperme !

    Je crois qu'il a épuisé toutes les prises de vues possibles avant de m’ordonner un sec : « Avale, maintenant » Je m’exécute, recueillant même avec mes doigts les quelques gouttes qui ont coulé sur mes lèvres, avant de les lécher : « On voit que tu aimes ça, Loré, tu as un air de satisfaction qui ne peut tromper personne ! Veux-tu essayer de résoudre une devinette ? Si ça te dit bien sur ! »

    Je souris : « Bonne idée, ça va nous laver un peu la tête et nous changer du cul ! » Il rit et m'expose sa devinette : « Connais-tu la différence entre une femme du monde et une salope dans ton genre ? » Je réfléchis un peu, mais je dois reconnaître que je ne vois pas du tout où peut être la différence, il y a tellement de solutions possibles ! Je lui avoue n'avoir aucune solution plausible ! Il sourit, et me donne la réponse : « Je dois avouer que c'est quasiment introuvable ! Une salope comme toi garde un peu de foutre dans la bouche pour ne pas oublier son goût et son odeur, une femme du monde est déjà dans sa salle de bains en train de cracher avant de se laver les dents ! »

    Je souris, sans oser lui dire que ça ne fait qu'une dizaine d'années, que je ne me lave plus les dents, après avoir avalé une bonne dose de foutre ! Il se rajuste, me conseille de finir de déjeuner et s’absente.

    A son retour, je finis de boire mon verre de jus d'ananas frais. Il me tire par la laisse pour m’obliger à me relever : « Debout et suis-moi ». J'ai beau forcer et essayer de me soulever en me servant de mes deux mains, rien n'y fait, le plug reste collé dans mon cul et ne veut pas en sortir.

    A son retour, je finis de boire mon verre de jus d'ananas frais. Il attrape ma laisse et me tire pour m’obliger à me relever : « Debout et suis-moi ». Il oubli au passage que mon anus et ma chaise sont devenus très proches, et je lui en fait la remarque ! Ca ne le fait pas rire, il semble être concentré sur autre chose !

    Il me dit : « Pose tes mains à plat sur l'assise de la chaise et laisse moi faire ! » Je m'exécute, il passe derrière moi, me soulève comme si j'étais une poupée en m'arrachant le plug du cul, un peu trop brutalement, mais, c'est fait ! « Voilà, maintenant, rien ne t'empêche de me suivre » Cette anecdote ne le fait pas rire, il semble être concentré sur autre chose !

    Samedi 4 février 2017 - 10h15

    Il m’emmène jusqu'au garage ou il a placé en plein milieu le même tréteau de bois dont Marc s’était servi lors de la soirée chez nous. Il prend un plaid de deux places qu'il plie en longueur pour recouvrir tout le haut du tréteau. Il m'aide à l'enfourcher et à m'y installer le plus confortablement possible : avec une jambe, un bras et un sein de chaque côté du support.

    Je m'installe : de ma poitrine à mon bas ventre, mon corps nu apprécie la douceur du plaid. Toussaint choisit deux bouts de cordes sur une étagère, qu'il a du charger d'accessoires, et, habilement, il attache mes poignets aux deux pieds avant du tréteau avec des nœuds trop serrés qui me blessent quand la corde me rentre dans la peau.

    Au même endroit, il récupère deux coussins, qui servaient à Jean pour voyager. Il passe entre mes cuisses qui sont encore libres, me lève le bas-ventre et glisse un des coussins entre le tréteau et le plaid, et le 2ème sur le plaid. Il consolide le tout en pesant sur mes fesses pour que ma chatte entrouverte colle bien au coussin sans nous préoccuper de savoir si j'allais mouiller ou non le coussin !

    Il se recule, semble apprécier le début de ma préparation sur le tréteau, il prend une photo, avant de récupérer une autre corde plus longue, qu'il partage en deux et fait retomber les deux moitiés de chaque côté du tréteau. Il commence sur ma gauche en faisant plusieurs fois le tour de mon ventre attaché au tablier du tréteau, avant de faire pareil sur ma droite, en serrant chaque tour aussi fort qu'il le pouvait, tout en terminant  ce saucissonnage par deux nœuds super serrés, juste au dessus de mes fesses ! Sur le coup, j'en ai la respiration coupée, mais, il relâche tout de suite ses nœuds ce qui lui vaut un soupir de soulagement et un « merci Toussaint » de ma part !

    Mais, sa réaction me sidère, car, il se place devant moi, le visage fermé, il me soulève la tête par les cheveux et de son autre main, il me gifle quatre fois les joues, en me disant doucement mais très fermement : « Avec moi tu as trois obligations : être à poil, obéir et fermer ta gueule. Ce sera mon dernier avertissement ! »

    Je sens sa douceur et sa gentillesse s'éloigner, car, en plus, je ne pense pas qu'il me ligote comme ça pour me faire des câlins ! Et, en plus, il m'a fait très mal aux joues avec ses allers-retours méchants et imprévus.

    Les seules libertés dont je peux encore profiter sont de pouvoir bouger à ma guise le bas de mon corps et ma tête. Mais j'ai à peine fait ce petit inventaire qu'il s'emploie à m'interdire ce mouvement de tête d'une manière vicieuse et douloureuse.

    Il prend une longue corde dont il attache un des bouts à la poignée de la laisse. Il jette le reste de la corde au dessus de moi. Je me souviens qu'à ce niveau, il y a une barre perpendiculaire aux murs qu'Yves a fait poser pour s'entraîner à faire de la barre fixe pour retrouver ses abdominaux un peu perdus ! De mémoire, c'est la 1ère fois qu'elle va servir !

    Il récupère le bout de la corde à sa descente de la barre et la tend au maximum jusqu'à un crochet fiché dans le mur face à moi. Il l'y attache solidement, ce qui m'oblige à relever très douloureusement la tête, à cambrer tout mon corps en faisant saillir impudiquement mes seins pointés, et, ce, sans pouvoir regarder autre part que devant moi !

    C'est vraiment une position douloureuse et humiliante, qu'il prend en photo, en semblant très content de lui ! Il pose une vieille assiette sur le tréteau, au dessous de ma tête relevée vers l'arrière et y pose mon téléphone qu'il est allé chercher dans la cuisine.

    « Parfait, je vais finir de préparer le bas de ton corps et tu pourras commencer à profiter de ta séance, mais il me manque des bricoles, que je vais surement trouver dans ton capharnaüm ! » Il me laisse seule et fouille dans le garage et dans une dépendance adjacente.

    Je ne peux pas voir ce qu'il a déniché, mais j'entends des bruits de ferraille, que je reconnais être, nos anciens fauteuils de jardin, trop lourds, trop démodés et surtout trop inconfortables !

    Je n'ai pas le temps de me demander ce qu'il compte en faire ! Il prend une nouvelle corde et se place sur ma gauche. Il bouge plusieurs fois le fauteuil en cherchant probablement la bonne position.

    Il semble l'avoir trouvée : ses mains prennent ma cheville gauche, et, la lie nue à l'arceau supérieur du fauteuil en fer. Dès qu'il a bien serré le nœud, il n'a rien d'autre à faire que de passer sur ma droite pour reproduire symétriquement le même schéma.

    Il affine en orientant les fauteuils un par un et je comprends de suite pourquoi il ne m'a pas attaché les chevilles comme les poignets. A chaque glissement d'un des fauteuils, il force un peu plus le compas de mes cuisses, qu'il finit par écarter quasiment en position de grand écart !

    Il me réchauffe un peu de ses mains nues, en me giflant et en me fessant, mais plus sous forme de caresses que de coups. Il sourit car, à chaque coup, je sursaute et la partie atteinte se couvre de chair de poule !

    Il me caresse un peu plus fort le cul, sans toucher à ma moule, pourtant  largement ouverte et offerte, en me disant : « Tu es d'une incroyable sensibilité : sur chaque petit recoin de peau que je caresse un peu fort, ta peau se hérisse de chair de poule ! J'ai peur de tes réactions futures, quand tu vas être confrontée à de vrais coups destinés à t'aider à jouir. Rassure-toi, Annie, m'a longuement fait la leçon sur ta haine de faire mal pour faire mal ! »

    Je gémis doucement comme une petite chienne, mais j’ai arrêté de me débattre, car, dès les premiers coups, même peu violents, j'ai réalisé, après mes essais infructueux, que je ne pouvais éviter aucun coup.

    Décidément, j'ai rarement vu un homme aussi méticuleux et calculateur que Toussaint. Il ne fait jamais rien gratuitement, tout est calculé !

    Il est probable qu'à force de fréquenter des filles comme moi, tout en étant, un ami très intime d'Annie, jusqu'à la tutoyer, il doit tout faire pour essayer de lui offrir des prestations parfaites, pour conserver le plus longtemps possible cette relation, qui doit lui rapporter bon nombre de sessions avec des putes-soumises de mon genre !

    Après un rapide coup d’œil sur sa montre, il s'approche de moi pour prendre mon téléphone sur sa plateforme. Il entre dans mon répertoire et compose un numéro pré-enregistré.

    Dès la 1ère sonnerie, il le repose après l'avoir mis en main libre.

    Samedi 4 février 2017 - 11h05

    La voix d’Annie résonne, juste en dessous de ma tête, sans que je ne puisse voir le portable.

    « Alors, ma douce esclave, as-tu bien mangé ? T'es-tu bien reposée ? Et combien de fois as-tu déjà joui ? » « Tout va bien, Madame. Toussaint a préparé un super brunch que j'ai dégusté avec un gros plug dans le cul, et, en dessert, il m'a garni la bouche de ses longs jets de foutre tiède et délicieux ! Bien que je n'ai pas pu avaler la totalité de sa grosse pine, je crois qu'il a apprécié ma pipe, Madame »

    « C'est bien, Putain-Loré ! Moi j’ai dormi comme un bébé en faisant pleins de rêves érotiques qui te mettaient en scène ! J'ai bien reçu les premières photos de la matinée : tu as, en effet l’air prête à entamer une nouvelle journée, pleine de découvertes et de sensations nouvelles ! Je sais aussi que tu es confortablement installée sur un tréteau dans ton garage ! Toussaint, peux-tu m'envoyer quelques photos sans perturber notre dialogue, je te prie ? »

    « Tout de suite Annie, je vais chercher mon portable et quelques bricoles, et je reviens de suite pour vous envoyer des photos hots de votre belle esclave ! »

    Le ton d'Annie est toujours aussi ironique et moqueur, mon moral baisse vertigineusement. J’ai oublié combien ses multiples personnalités arrivent à me déstabiliser et combien chacune de ses phrases est lourde de menaces, parfois à peine voilées !

    Elle continue : « J’espère que mon ami Toussaint te plait. Nous nous sommes connus en Martinique où ses 35 cm faisaient des ravages parmi les zoreilles blanches ! J'ai un peu racolé pour lui et j'y ai gagné quelques clips assez chauds et anonymes, sauf pour le visage des salopes, qui ne se savaient pas filmées ! Mais, pas plus tard qu’hier, il m’a fait une confidence en me demandant pourquoi, d'après moi, il préférait dominer une femme blanche ? »

    Elle rit avant de continuer : « J'ai tenté vainement quelques hypothèses de réponses, mais la réalité était toute autre ! » « C'est parce que, lorsque j'en frappe une, je vois beaucoup mieux les marques sur sa peau que sur une négresse. Une femme blanche n'est jamais aussi belle et bandante qu'avec un corps rougi et zébré par des lanières de cuir de différentes largeurs ! » « En entendant cette confidence, je me suis dit que j'avais sous la main une belle femme bien blanche à lui offrir, et, toi, Putain-Loré, je n'avais pas le droit de te priver de son expérience et de son savoir-faire, qui consistent à faire jouir une chaudasse dans ton genre en la caressant  avec les accessoires adaptés : martinet, cravache ou ceinturon de cuir ! Dis-moi, ma pouff : Toussaint n'est pas revenu ? » « Oui, Annie je suis là, je prends des photos que je t'envoie au fur et à mesure, mais comme tu parlais à Loré, je n'ai pas voulu t'interrompre ! »

    « C'est gentil, Toussaint, je vais vous laisser à vos plaisirs réciproques et je vais apprécier ces photos qui me semblent appétissantes ! Sa position super obscène est très réussie ! Bravo Toussaint : elle est vraiment ouverte à toutes et à tous ! » « Annie, Loré a quelque chose d'important à te dire, elle peut ? » « Vas-y, Putain-Loré, je t'écoute brièvement ! »

    « Madame, si je comprends bien votre dialogue et ma position, Toussaint va me frapper pour me faire jouir. Mais, cette nuit, Iris a atteint mes limites supportables, et, à peine remise, vous exigez que je recommence ce cauchemar avec Toussaint ? Je ne vous comprends pas Madame ? Je vous supplie de différer cette séance à un jour où je serais plus réceptive et plus en forme ! »

    « Oserais-tu prétendre qu'Iris t'a frappée ? En dehors des gifles qu'elle adore distribuer ? Peux-tu me montrer une zébrure de cravache ou un faisceau de lanières de cuir d'un martinet sur ton corps ? Tu sais bien, salope, que rien ne m'échappe ! J'ai chargé Toussaint de t'offrir une séance inédite, qu'on appelle orgasmes-forcés : une session que tu n'as jamais subie et qui fait partie intégrante de ton parcours d'apprentissage du bdsm. Tu me comprends bien sale roulure ? »

    « Je vous comprends, Madame, je vous répondrai simplement et humblement que je n'ai pas assez d'expérience pour savoir à combien d'heures de coups, peuvent correspondre trois heures de torture des seins et des tétons. Mais, je peux vous affirmer qu'un coup de cravache sur un téton mutilé, vaut largement autant qu'une pince écraseur placée sur ce même téton. Je ne demande pas votre pitié, Madame, je vais vous obéir. J'espère seulement, Madame, que j'en sortirai intacte ! »

    J'ai l'impression de l'entendre réfléchir, mais le résultat de cette intuition est loin d'être impressionnant ! « Je suppose que tu as fini, alors, ouvre bien ton anus avec tes muscles de putasse, fais bien bander ton clito en te frottant sur le plaid du chien, mais, surtout : ferme ta gueule ! Et puisque mon ami nous écoute : je lui conseille de te bâillonner d'entrée de jeu, sinon tu vas lui casser les couilles durant tout le temps de sa démonstration ! Et, pour bien te montrer qui décide : je vais lui demander de profiter de ta position, pour t'enfoncer ses 35 cm dans tes deux trous de bourgeoise-pervertie, même s'il doit utiliser un kilo de vaseline ! Et te défoncer l'anus ! Allez, Toussaint, amuse-toi bien avec ton jouet ! »

    Comme d'habitude elle raccroche sèchement ! Je suis effondrée par cette réponse. Toussaint ne semble pas vouloir prendre partie. Il se rapproche de moi juste au moment où le téléphone vibre une autre fois.

    Rêveuse comme je le suis, j'imagine l'impossible : Annie rappelle pour modifier sa décision !

    Il décroche : « Re, Annie, je t'écoute ! (…) Entendu, je vais répéter tes paroles sans mettre le main libre ! (…) Non, Annie, tu n'as pas à te justifier, à des niveaux différents, nous sommes là tous les deux pour t'obéir ! (…) Entendu, je vais raisonner en temps et non en nombre de coups, en plus ce sera plus simple, mais il me manque un peu de matériel, je reviens de suite »

    Durant son absence, Annie n'a visiblement rien à me dire ! Mais, nous ne restons pas seules longtemps, Toussaint revient les bras chargés : « Je suis là, Annie, j'ai un minuteur, une cravache assez fine pour atteindre des petits objectifs, un martinet avec des liens de cuir, lestés de boules de cuir et un large ceinturon de cuir pour faire rougir sa peau de blanchette ! J'ai un gros sachet plein de pinces à linge en bois, un mini vibro externe pour l'aider à jouir. Et un sachet d'orties fraîches, ce sera à toi de m'autoriser à les utiliser ! »

    « Si tu veux bien, Toussaint, on lui demandera en fin de séance si elle a envie d'une bonne-jouissance-inédite-avec-orties, qu'en penses-tu ? »

    « Bonne idée, Annie : ça peut nous donner un super programme : une session de 20mn avec chacun des trois instruments, et deux orgasmes par séance en m'aidant des pinces en bois et du mini vibro externe. A la moitié de la deuxième session, j'intercale une première baise, et à la fin de la troisième session, la deuxième baise. Et comme chaque fois que je la niquerai, je t'assure qu'elle jouira, elle te répondra à la fin, gavée d'orgasmes et te dira elle même qu'elle veut les orties pour jouir une dernière fois ! Tout te convient, chère Annie ? (…) J'en suis heureux, régale toi bien, je vais brancher ta web-cam et si tu veux nous interrompre, fais comme chez toi ! » Elle rit et raccroche.

    Samedi 4 février 2017 - 11h35

    Toussaint s'approche de moi et me dit : « Ma petite salope, pour une fois, tu sais ce qui va t'arriver dans les deux heures qui viennent. Ce doit être nouveau pour toi ! Je vais te bâillonner. Pour me répondre cligne deux fois des yeux pour non et une fois pour oui, entendu ? » « Oui, Toussaint, deux pour non et une pour oui ! »

    Il fait un aller et retour au salon et revient avec un bâillon-boule que je connais bien et qui a l'habitude de sentir mes dents s'enfoncer dans sa mousse, c'est celui que j'appelle mon bâillon-baveur ! Il le pose sans trop le serrer derrière ma nuque, mais la boule est tellement grosse que plus rien ne peut sortir de ma bouche hormis de la bave et de la salive !

    « Je vais commencer par le ceinturon, car c'est l'instrument le moins douloureux. Comme ce sera ta première séance, et que tu es très excitée, tu devrais jouir facilement, mais pour t'aider, je vais glisser le vibro externe sur ton clito, sans le brancher. En te frottant à lui, tu devrais pouvoir t'envoyer en l'air au moins deux fois, car le cuir du ceinturon viendra aussi te réchauffer et caresser tes grandes lèvres et ton clito ! »

    Il s'approche de mon visage, prend le minuteur, le règle et le positionne sur l'étagère à accessoires, placée juste en face de mon visage, pour que je sache en permanence, où j'en suis de mes punitions !

    En homme méthodique qu'il est, il commence par frapper mes plantes de pieds, puis passe à mes orteils, fait l'impasse sur les mollets, et s'attarde très longuement sur l'intérieur de mes cuisses.

    Il augmente progressivement la force de ses coups, en utilisant une technique connue comme l'échange de tennis ! Avec la longueur de cuir souple qu'il n'a pas enroulée autour de son poignet, il fait claquer le cuir intérieur, usé et rappé, d'un coup venant de la droite, et, de suite après, il me frappe avec l'autre côté lisse et froid, avec un geste qui vient de la gauche. Autrement dit : un coup droit suivi d'un revers, et donc c'est bien un échange de tennis !

    Dès qu'il s'attarde sur l'intérieur de mes cuisses, ma peau se réchauffe très vite, et, je suis suffisamment excitée pour jouer avec le petit hérisson à poils courts, que Toussaint a quasiment posé sur mon clito, sans le brancher, sur lequel je commence à me frotter le haut des grandes lèvres, avec beaucoup de plaisir, car, il avait raison ! Ca faisait trop longtemps que je n'avais pas joui !

    Des cuisses il passe aux épaules, en oubliant les fesses pourtant bien ouvertes et offertes, mais après m'avoir longuement cinglé dans tous les sens les épaules et le haut des bras, il redescend vers mon cul.

    C'est, pour moi, une nouvelle première fois ! Je n'ai jamais joui en étant fessée ! Je dois me répéter, mais je trouve cette punition totalement ridicule, et je finis toujours par éclater de rire et à décontenancer mon ou ma partenaire ! Mais avec ce ceinturon, habilement manié par Toussaint, je n'ai vraiment pas envie de rire, mais, bien au contraire, je me tortille comme je peux, pour lui faire comprendre que je veux des coups plus forts sur le plat de ma moule trempée !

    En homme habitué à dominer, il comprend vite et me fait face en me regardant droit dans les yeux : « Ca-y-est, ton compteur est déclenché ? » Je ne peux faire autrement que de cligner une fois des yeux ! « Il te reste un peu moins de 9 mn pour le deuxième. Je vais m'occuper d'une zone, qui, d'après Annie, est super chaude ! Ca devrait aller vite ! »

    Je sais qu'il parle de ma poitrine, et en effet, après avoir positionné différemment la web-cam, il installe un des vieux fauteuil en fer devant moi. Il soigne la symétrie de mes seins lourds qui pendent vers le sol de chaque côté du tréteau.

    Il reprend, avec encore un peu plus de dureté, ses coups droits et ses revers en n'insistant heureusement pas trop sur les tétons. Sans pouvoir les apercevoir, je suis sure que mes seins ont changé de couleur et sont zébrés, mais il est vrai que mes nichons sont, pour moi, une source de jouissances inépuisable.

    Et, c'est logiquement que, bien avant la fin de la séance, je pars dans un orgasme fulgurant, frustrée de ne pas pouvoir l'exprimer comme d'habitude ! Il revient régler la web-cam, et au passage me fait un clin d’œil et un deux avec sa main ! Je hoche une fois la tête, en essayant d'esquisser un sourire qui ressemble plus à une grimace !

    Samedi 4 février 2017 - 11h55

    Il s'affaire dans un coin et me dit en me souriant : « Bad news, my favorite whore-slave, you know that the next session will be cut in two by a sexual interlude which risks to be painful, but if you support well the wooden crowbars, the crop and a big cock, everything should well spend !* » 

    Je suis surprise par son Anglais parfait qui me surprend, mais il a l'intelligence de prononcer lentement sa phrase, ce qui me permet de le comprendre !

    *Mauvaise nouvelle ma putain-esclave préférée, tu sais que la prochaine session sera coupée en deux par un intermède sexuel qui risque d'être pénible, mais si tu supportes bien les pinces en bois, la cravache et une grosse queue, tout devrait bien se passer !

    Oui, je redoute cette session, non à cause de l'instrument qu'il compte utiliser, car je sais que pour lui, les pinces en bois sont associées à la cravache, mais surtout par la demande d'Annie de me défoncer les deux trous, et que je ne sais pas par quel côté il va commencer !

    « Nous allons, tout de même essayer de rendre cette session un peu plus ludique ! J'ai repéré une vieille cuvette cassée que je vais aller chercher et je m’assiérai devant toi. J'énumérerai les endroit de ton corps sur lesquels je compte poser des pinces, et je te proposerai un choix de deux nombres de pinces que je compte y mettre. Tu hocheras une fois la tête pour le premier nombre et deux fois pour l'autre. Si tu te trompes, rassure-toi, tu ne seras pas punie ! Je mettrai le nombre exact de pinces dans la cuvette, avant de passer à une autre partie de ton corps ! Si tu veux me dire zéro, tu fermeras simplement les yeux ! Entendu ma chérie ? »

    Je fais oui de la tête ! Pendant qu'l va chercher la cuvette, j'ai la désagréable impression qu'entre le comptage des pinces, leurs poses, la première séance de cravache, la pause baise et la deuxième séance de cravache, nous partons vers une séance à rallonge, mais je ne sais pas encore qu'il compte avoir de l'aide !

    « Nous commençons par tes pieds ? » Je mime oui.

    « Alors, combien sur tes deux pieds : 8 ou 12 ? » Je pense aux orteils et ne vois pas où en rajouter ! Je mise donc sur le 8 ! Il me gifle doucement la joue ! « Une, entre chaque orteil et deux sous tes coussinets » Il en jette 12 dans la cuvette en riant.

    « Combien sur les deux mollets : 4 ou 8 ? » J'ai beau réfléchir, je ne vois pas où mettre une pince sur un mollet, et je ferme les yeux pour lui indiquer le zéro. Je gagne une douce caresse sur un sein et aucune pince ne va dans la cuvette.

    « Combien pour l'intérieur de tes deux cuisses : du haut des genoux jusqu'à la chatte : 14 ou 16 ? » Je me concentre, imagine cette partie de mon corps et pense que 8 de chaque côté doivent rentrer ! Ce qui me vaut une nouvelle caresse sur l'autre sein et 16 pinces dans la cuvette !

    « On en arrive aux grandes lèvres ! 10 ou 12 ? » Je réfléchis bien, je crois me rappeler, qu'une fois, un domino invité, m'en avait posées 10 avec difficulté ! Et c'est ce que je mise, ça me vaut une autre gentille gifle et 12 pinces en moins dans le sac !

    « Ah, un point sensible est sur notre chemin ! Il faut bien en parler ! Combien sur le clito ? Zéro ou un ? » Je suis nerveuse, mais je ne veux pas le supplier en misant sur zéro ! Je mime donc le un, les yeux tristes ! Il me branle doucement un téton, qui réagit en bandant ! Et il jette une pince dans la cuvette !

    « Nous devons accélérer : combien sur les fesses ? 36 ou 40 ? » Je mise 36 et prends une gifflette, et 40 pinces dans la corbeille !

    « Faisons un lot pour le dos : reins, dos, côtés, aisselles, sans compter les épaules : 80 ou 100 ? » Je pense qu'on peut en mettre beaucoup plus, je valide donc 100, ce qui me fait bander le deuxième téton et rajouter 100 pinces dans ma cagnotte-corbeille !

    « Avant de terminer, combien sur tes seins ? 30 ou 40 ? Je réponds 40 ce qui me vaut 2 petites minutes de branlette de mes deux tétons, en même temps, ce qui n'est pas du tout désagréable !

    « Et dernier point, je vais essayer d'en répartir 18 sur ton visage, et ce sera tout. Je n'ai pas envie de te marquer les épaules que j'adore ! »

    Samedi 4 février 2017 - 12h10

    « J'ai noté un résumé : 12 pinces pour tes pieds, 16 pour l'intérieur de tes cuisses, 12 pour tes grandes lèvres, 1 pour ton clito, 40 pour tes fesses, 100 sur ton dos, 40 pour ta poitrine et 18 sur le visage ! Ce qui nous donne 239 pinces à poser et à enlever ! Je vais t'enlever 20 secondes ton bâillon pour te décontracter un peu et pour que tu puisses me donner l'ordre avec lequel tu veux que je te pose ces pinces ! »

    Il m'ôte le bâillon, j'en profite pour faire jouer mes mâchoires pour les décontracter. Et je lui pose la question qui me brûle les lèvres : 

    « Toussaint, je sais que je ne peux pas te poser de questions, mais tu es sur que tout ça va tenir dans deux sessions de 20mn ? » Il sourit : « Tu sais que tu vas être punie ? Et tu me poses tout de même une question ? Quel caractère tu as ! Je vais te répondre : occupe toi de ton cul, tout est sous controle, sauf toi ! Visiblement ! Alors donne moi ta liste et tais toi »

    Il note avec soin : pieds, fesses, dos, intérieur des cuisses, visage, poitrine, grandes lèvres et clitoris. Il rajoute ces renseignements à son pense bête et, prend discrètement mon portable en prétextant qu'il doit aller aux toilettes. Il revient et repose le téléphone : « Désolé, mais ça urgeait ! » Je lui dit doucement « Ce n'est ni malin ni très courageux de ta part de me mentir ! »

    Il est assez rare de voir rougir un black, mais c'est d'un air contrit et visage fermé, que, sans rien dire, il me remet le bâillon-boule, rajoute un masque aveuglant et ce que je ne peux pas voir : il déverrouille la porte du garage, tout en allumant une cigarette.

    Samedi 4 février 2017 - 12h20

    Il a du avoir le temps de la fumer, et doit être bien connu dans le quartier, car j'entends une auto s'arrêter devant la maison. Le moteur s'arrête et deux portières claquent. Des pas masculins résonnent sur le pavage de la rampe d'accès, alors que je suppose que Toussaint est allé au devant d'eux.

    Comme de coutume dans certaines communautés, leurs retrouvailles sont bruyantes, longues et détaillées. Je ne parle pas suffisamment le créole pour savoir ce qui se dit, ni comment va la grand-mère du second, mais leurs voix et leur accent très banlieusard, m'indiquent qu'ils sont jeunes, probablement Antillais comme Toussaint et qu'ils parlent couramment le créole ! J'espère toutefois que les deux nouveaux ne sont pas montés comme lui !

    Ils reviennent au Français, et devant leur insistance, Toussaint se décide à les mettre au courant : « Vous avez devant vous une esclave-sexuelle, ce n'est pas une professionnelle. Je la domine en la faisant obéir, en l'humiliant et en pratiquant avec elle de la torture soft, pour le plaisir de sa Maîtresse qui suit la séance devant sa télé, grâce à cette web-cam. Mais, nous arrivons à une séquence pour laquelle j'ai besoin d'aide, d'où votre présence dans ce garage ! Vous serez largement récompensés en nature par cette jolie jeune femme bien équipée pour vous faire plaisir ! Ca vous convient ? »

    Je trouve extraordinaire que Toussaint les aient fait venir sans même leur dire pourquoi ils avaient besoin d'eux ! Ce doit être un sacré caïd de banlieue ! Ils rient tous les deux et répondent avec leur langage de d'jeunes : « C'est trop top de niquer une bonne blanche bien bandante ! » Et qu'ils acceptent, mais qu'ils n'ont qu'une heure de libre, car, après ils ont un autre truc à faire !

    Toussaint affirme que ce sera largement suffisant et il pose sur mon dos la cuvette en plastique pleines de pinces en leur disant : « Vous voulez être cagoulés, pour ne pas être reconnus, sur le clip ? » Il rient : « On est très connus dans le quartier, mais ça nous fera une bonne pub, laisse tomber le masque, mais c'est bien super qu'elle ne puisse pas nous voir : on pourra la reconnaître dans la rue mais, elle, non ! »

    « Nous allons tous les trois, lui poser toutes les pinces de cette cuvette. Rassurez-vous, je vous guiderai ! Mais, comme nous les lui enlèverons en la cravachant : si vous pincez trop de peau, elle souffrira à l'arrachage, or le but de ce gage est plus de l'humilier que de la faire souffrir ! »

    « Ok, Toussaint, c'est toi le boss ! On t'écoute ! On commence par où ? »

    Samedi 4 février 2017 - 13h20

    Je suis assise dans le garage sur une chaise délabrée, Toussaint finit de m'éponger le corps, après m'avoir libérée de mes cordes, de mon bâillon et de mon masque. Ses amis, que je ne connaîtrai dans doute jamais, sont partis : il me préciser qu'ils sont restés 1h pile et qu'ils l'ont chargé de me remercier pour mon accueil si chaud et qu'ils espéraient de tout cœur me revoir très bientôt !

    « Mais rassure-toi, ma chérie, je leur ai dit que ça ne servirait à rien de te relancer ici, car c'était le garage et la maison d'une de tes amies. Je leur ai donné le 06 officiel d'Annie, en leur disant, qu'ils devaient obligatoirement passer par elle pour avoir l'espoir de te revoir ! »

    Il finit de me sécher et me propose gentiment : « Annie risque de nous rejoindre dans peu de temps, mais si tu veux, tu peux aller prendre un bon bain et te passer du baume, sur ce qui pourrait encore te faire mal, bien que j'ai fait très attention que tu ne sois blessée, pour obéir à Annie ! »

    Je me lève comme une petite vieille, mais je réalise de suite que c'est le résultat des positions contraignantes prolongées. Soit des bras, avec mes poignets attachés trop serrés, soit de la tête, avec mon cou immobilisé dans une position douloureuse et surtout des jambes, beaucoup trop écartées pour le pauvre compas de mes cuisses, qui est loin de m'autoriser un grand écart !

    Pour une fois de la journée, je veux rester optimiste et estime qu'elles devraient très vite disparaître après un bon bain chaud et, les plus récalcitrantes sous les caresses du baume miraculeux d'Annie.

    Samedi 4 février 2017 - 13h25

    J'entre dans la salle de bains, je referme la porte sans la verrouiller. Je règle , la température de l'eau, je ferme la bonde et je m'allonge dans la baignoire.

    Je ferme les yeux, et, d'un seul coup, mes nerfs lâchent et je pleure à chaudes larmes, en silence, mais en frissonnant d'une peur rétrospective. J'essaye de me concentrer sur les bons moments passés dans ce garage avec ces trois hommes, sans toutefois arriver à chasser de mon esprit ce dont je ne désire vraiment pas me souvenir ! Mais, il faut que je reconnaisse, que, compliquée et cérébrale, comme je le suis, les séquences sont si proches qu'elles se confondent parfois ! 

    Je me souviens des 12 premières pinces posées sur mes pieds et des conseils de Toussaint : « Entraînez-vous sur ses pieds : une pince enfoncée entre chaque orteil, et deux sur ses coussinets ! »

    Surement excités par ma nudité et l’obscénité de ma posture, Toussaint accepte que ses amis se mettent à poil. Et j'avoue que, d'imaginer deux jeunes noirs, la pine probablement tendue, me torturant les pieds, me fait couler, plus que mouiller ! Puis, il les fait passer sur mon cul, en leur conseillant de ne pas hésiter à rentrer dans ma raie et de coincer dans les mâchoires des pinces, toute la graisse qu'ils trouveront !

    Je suis un peu vexée car je ne connais pas la cellulite ! Mais, à chaque pose d'une pince, je tortille mes fesses, ce qui fait beaucoup rire les jeunes !

    Quand ils ont terminé de décorer mon cul, l'un des deux dit : « On dirait que son cul est un hérisson ! » « Oui, tu as raison, continuez à filmer pendant que je la baise ! » Je sens sa présence derrière moi, il pose ses mains sur mes cuisses et je sens son gland chaud et humide fouiller l'entrée de mon vagin, pour le moment épargnée par les pinces ! Sans perdre plus de temps, il s'enfonce d'un seul coup en moi.

    Je sens ses 35 cm cogner mon utérus et ses couilles battre mon cul ! Sans pouvoir dire un mot, je me tords comme un ver, empalée par ce monstre.

    « Pendant que je la nique, amusez vous à caresser les pinces pour qu'elle se tortille encore plus ! Je ne veux pas jouir de suite, mais elle doit s'envoyer en l'air : le con et le clito ravagés par ma pine et le vibro ! » Et, je m'éclate, une troisième fois, comme une truie en chaleur trahie par tout mon corps !

    «Waouh ! Quelle chaudasse ! J'ai rarement vu ça ! Dis-nous quand nous pourrons la niquer ! On commence à avoir les couilles douloureuses ! »

    Je ne sais pas où ils ont placé la web-cam, mais, ils me pincent tous les trois  le dos et l'intérieur des cuisses. Les zones sont de plus en plus sensibles : les aisselles, les dessous de bras, le long des côtes, l'intérieur des cuisses et, en plus, ils s'amusent à me décorer avec une ceinture de pinces juste au dessus de mon cul. Chaque pince m'élance au moindre de mes mouvements ou à la plus petite sollicitation des hommes, qui vérifient qu'elle tient bien !

    « Il nous reste un final de choix avant de vous laisser partir, et, nous sommes dans les temps ! Je vais lui poser le reste des pinces sur le visage, les nichons et la moule. Ismaël, branche son vibro au max. Voilà un tube de vaseline neuf : tu dois lui défoncer le cul, et la faire jouir en lui explosant la rondelle, Youssef te filmera. Après son lavement et son orgasme, Youssef te remplacera pour l'enculer et, je la finirai ! »

    Mais : « Attention, nous devons vider nos couilles dans son cul ou dans son con et il faut faire jouir cette pute à négros six fois, et elle en est à trois ! C'est le deal, vous avez compris ? Alors, amis caïds des HLM ! Au boulot, je compte sur vous et sur vos pines d'ânes ! »

    Quand toutes les pinces sont posées, alors qu'Ismaël s'active dans mon cul en me pilonnant avec toute l'ardeur et l'envie de sa jeunesse, Toussaint récupère la web-cam et confie un appareil photos à Youssef, en lui désignant les endroits les plus hots à photographier.

    Il font des dizaines de photos et de longues minutes de clips, en gros plans ou en plans larges, sans se préoccuper un seul instant de mes larmes. Toussaint termine ce calvaire en m'arrachant mon masque, et exige de moi un beau sourire. Il doit patienter, car la douleur est si forte, que j’ai plus envie de grimacer que de sourire.

    Quand, enfin, il l'obtient, il se positionne devant moi, enlève mon bâillon boule, me montre la cravache, le martinet et le ceinturon, alors que le jeune qui m'encule sort de mon cul sans avoir éjaculé.

    « Et voilà, ma chérie, pour finir, nous allons, chacun avec un instrument différent, t'enlever toutes tes pinces, en les frappant pour les décrocher de ton corps. Pendant ce temps, tu pourras crier et hurler, tout en appréciant nos trois pines, qui iront en fonction de nos envies d'un de tes trous de pute à l'autre. Mais une chose est sure : tu vas jouir trois fois en moins de 20mn, mais si tu as envie de jouir plus, ne te gêne pas ! »

    Il me serait facile de me rappeler les détails de cette petite demi-heure infernale. Mais, pour une fois, je vais jeter un voile pudique sur les moments ignobles et peu racontables endurés.

    Toutefois, et très égoïstement, je retiendrai les quatre jouissances qu'ont provoquées le cumul de l'arrachage d'une trentaine de pinces, le pilonnage incessant de mon sphincter par des bites trop grosses pour mon petit cul et le taraudage répétitif de mon pauvre clito irrité jusqu'au sang par le vibro.

    Je sais que, quand tout a été terminé, je suis restée encore longuement attachée sur ce tréteau, groggy, quasiment inconsciente, mais soulagée et heureuse de ne plus avoir une seule pince à enlever de mon corps !

    Ses deux amis sont partis depuis longtemps, quand Toussaint me libère et m'autorise à rejoindre la salle de bains, d'où, dans un mélange de flou réel et de nuages de souvenirs précis, je vous fais part de cette fin de séance qui restera mémorable sur le chemin de mon éducation de soumise, mais aussi, je le pense, dans quelques réglages de mes relations avec Annie !

    Samedi 4 février 2017 - 14h

    Toussaint frappe doucement à la porte de la salle de bains. Je lui dit d'entrer. Il m'en remercie et entre avec son portable connecté.

    « Annie est en ligne et me demande de te faire écouter notre conversation (…) Oui, Annie elle t'écoute. Elle est dans un bain très chaud et très mousseux : la salle de bains ressemble à un sauna ! (…) Oui, elle a bien mérité ce bain, certaines pinces ont résisté, mais j'ai tenu à ne pas en enlever à la main ! (…) Merci, Annie, mais ce n'est pas la peine de me féliciter, ton esclave est si bien éduquée et si obéissante que c'est un plaisir de s'occuper d'elle « A

    « (…) Oui, tu vois, en fait, tout était dans une excitation et une lubrification adaptées : elle a accepté nos trois engins sans difficulté ! (…) Tu m'avais dit que pour le vagin, tout se passerait bien, mais je pensais rencontrer des problèmes au niveau de son cul, mais finalement tout est rentré ! Elle a même jouit plus que prévu ! C'est fou : pour elle, la jouissance est une vraie passion ! Si tu la laissais faire, elle s'enverrait en l'air à longueur de journées ! »

    Toussaint rit ! (…) « Oui, tu as raison, Annie, mais vu l'état dans lequel elle a fini la troisième session, après quatre orgasmes puissants en moins de 20mn, je n'ai pas eu le courage de lui en proposer un de plus avec mes orties ! (…) Ah ! Super idée ! Loré ! Annie t'envoie la recette de la soupe d'orties fraîches, elle t'assure que tu vas te régaler ! »

    Je lui fais un clin d’œil rieur ! Il comprend que je vais beaucoup mieux ! Annie revient sur ma santé : « Toussaint, tu devrais vérifier son corps et la soigner avec mon baume là où elle ne peut pas le faire. Je ne veux pas qu'elle soit trop marquée par cette séance, je te rappelle dans 10mn »

    Je libère l'eau de la baignoire, me lève et me douche soigneusement. Toussaint fait ce que lui a demandé Annie, mais il reste peu de plaies à soulager avec le baume. Je me sèche, enfile un peignoir, et en me retournant vers lui, je constate qu'il bande comme un âne !

    Décidément, je lui fait beaucoup d'effet ! Il ne me demande rien, mais je le conduis au salon, où il s'assied nu dans un fauteuil. Je jette mon peignoir, me rapproche de lui à genoux entre ses cuisses que j'écarte et je prends tout ce que je peux de sa bite en bouche ! Il grogne de plaisir, et me caresse les cheveux pour me remercier !

    C'est à ce moment là qu'Annie rappelle. Il connecte le téléphone et sans mentir dit à Annie : « Hum ! Annie, tu tombes juste au bon moment, j'ai les deux tiers de ma pine dans sa bouche, la vérification de son corps a provoqué chez moi une réaction bizarre, dont elle s'est rendue compte, et en souriant, elle a décidé de ne pas me laisser dans cet état effroyable ! »

    Je sens qu'il fait durer cette pipe un maximum, il n'est pourtant pas sevré de jouissances, mais je suis sure que c'est un homme qui a de gros besoins de baise ! Il est d'ailleurs bien équipé pour !

    Je le laisse faire à son rythme sans le presser ou jouer avec ses couilles pour accélérer ses giclées, comme font les vraies putes ! Je ne sais pas combien de temps dure ce moment très doux et presque tendre, et quand il pose ses deux mains sur ma tête, sans exercer la moindre pression, je sais qu'il va jouir et je me concentre pour bien le finir et lui communiquer ma joie de le recevoir dans ma bouche de pipeuse !

    La bouche pleine de son foutre, je le regarde dans les yeux, lui sourit et sans le lâcher du regard, j'avale lentement sa semence, m'essuie vicieusement les lèvres avec ma langue et je me remets au travail pour lui nettoyer le mieux possible sa bite qui a à peine débandé ! Toussaint est un phénomène !

    Quand j'en ai fini avec lui, j'entends le bruit de son briquet : il allume deux cigarettes et m'en donne une que je fume avec ma tête posée sur le haut de sa cuisse, pendant qu'il termine de transférer ses photos à Annie !

    Il se rhabille, me demande s’il peut m’aider en quoi que ce soit, je le remercie et il m’embrasse sur le front avant de me quitter, je le laisse partir, nue sur mon pas de porte, j'ai beaucoup d'affection pour cet homme !

    Annie m'appelle : « Ma chérie, le weekend est fini pour toi. J'annule une surprise qui était prête, car je pense que tu dois être saturée de bdsm, d'orgasmes, de jouissances, de douleurs et de foutre : alors, prends un bon bain, et couche toi à poil sur ton lit, offre toi une longue douceur avec ton doigt le plus expert, et endors toi, et surtout ne met pas de réveil !

    Nous sommes le Samedi 4 février 2017 et il est 15h !

    Tu es loin d'avoir terminé ton éducation, mais la suite de tes aventures sera à découvrir dans le Tome 2 de ton livre "Ma Voisine" ! »

    Fin > Suite à venir dans le Tome 2

    555 pages / ce 5 juin 2018 / Merci de votre lecture / Loréna Dufour


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