• Javier, Amo mio 3

    Javier, Amo mio 3

    Me voilà bien rangée dans le garage !

    Ils ont choisi un coin du garage, où il n'y a rien et où je peux faire face au mur sans être gênée. Perchée sur mes hauts talons, je m'installe dans le coin choisi, et comme il me le demande, bien droite. J'écarte un peu mes cuisses, sans être provocante, et je croise mes mains sur la tête en les alignant avec mes épaules.

    Javier semble satisfait. Yves m'enlève deux secondes les mains pour me mettre mon bandeau, et il les repose au même endroit.

    • "A tout à l'heure, Putain-Loré, et sois bien sage !"

    A quelques minutes d'une séance de quelques heures, je ne risque pas de faire des bêtises et de sauter à cloche-pieds avec mes talons trop hauts et mes seins nus !

    Ils quittent le garage par la porte d'accès intérieure, juste au moment où j'entends un bruit de moteur stopper devant la maison.

    J'ai appris la suite par Yves quelques jours plus tard :

    Anita est descendue, a pris un gros sac dans la malle sans la refermer, est entrée par le petit portail où ils l'attendaient. Ils se sont salués, et en posant son sac, elle leur a annoncé qu'elle n'avait pas pu laisser ses deux jeunes labradors à Nevers, et qu'elle les avait donc pris avec elle. Mais, qu'il leur fallait juste un espace ombragé et qu'ils étaient très bien éduqués et très obéissants.

    Yves l'a rassurée, et elle est allée les chercher en laisse pour les emmener dans le jardin : deux magnifiques jeunes labradors joueurs qui ont de suite faits des fêtes à mes hommes ! Elle leur a confié les laisses et est allée finir de décharger sa voiture avant de la fermer.

    Elle portait deux grosses gamelles à remplir d'eau et deux autres pour les croquettes qu'elle avait aussi apportées. Yves a proposé de les laisser sur notre terrasse extérieure d'entrée. Elle a trouvé ça très bien. Et il est allé chercher deux couvertures dans la buanderie, qu'il a étendues sur le carrelage. Les deux adorables chiens se sont de suite couchés dessus alors que Javier revenait avec les gamelles pleines d'eau fraîche.

    Elle les a libéré de leurs laisses, en leur assurant qu'ils ne bougeraient pas de cet espace tant qu'ils ne la reverraient pas. Yves a laissé le sac à leur garde. Et a dit qu'ils allaient vers la piscine, mais en passant sur le gazon, car j'avais l'oreille fine, et si j'entendais un bruit de talons aiguilles, la surprise serait éventée !

    Ils ont bu du champagne, mangé des tapas et fumé, mais le principal de la conversation s'est concentré entre elle et Javier, très heureux de se revoir après tant d'années.

    Au bout d'une dizaine de minutes, Javier lui a rappelé qu'elle avait un rendez- vous, et que je l'attendais, tout en l'assurant qu'ils trouveraient des plages de pause pour continuer à papoter.

    Anita lui a confié qu'Océane, l'invitait officiellement chez elles pour passer le temps qu'il voudrait, pour changer d'air ou passer des vacances. Et que cette invitation nous concernait aussi, à mes risques, car si Océane n'était pas active en bdsm, elle adorait mater et filmer ! Elle a rajouté que c'était un Yves au féminin !

    Javier était enchanté de cette invitation et l'a assurée qu'elles pouvaient compter sur lui, et qu'il ferait tout pour que nous les rejoignons, ne serait-ce qu'une journée si Océane pouvait se libérer !

    Heureuse de cette réponse, elle s'est vite remise dans son rôle et a demandé où était son sac et où elle pouvait se changer ?

    • "Je vais chercher ton sac, Javier va t'indiquer la chambre d'amis où tu seras tranquille et tu pourras y laisser tes affaires"

    • "Merci, Yves, mais une fois changée, il faut que le sac me suive partout, j'ai quelques accessoires qui plaisent aux dames, et je suis habituée à eux !"

    • "Aucun problème, Yves et moi ferons suivre ton sac !"

    • "A propos du garage, vous avez pu l'équiper comme je vous l'ai demandé ? Si oui, la séance du garage va durer très longtemps !"

    • "Tout est exactement comme tu me l'as décrit au téléphone, il faut reconnaître que pour transformer le garage d'Yves en "mazmorra", il ne faudrait pas grand chose !"

    • "Hum, "mazmorra", je n'ai pas entendu ce mot depuis mon départ de Valencia, c'est vrai qu'il y en avait de belles là-bas !"

    • "Nous avons fait au mieux mais je crois que tu seras à ton aise. Yves, tu as peut être une question à poser à Anita ?"

    • "Oui, est-ce que tu penses être capable de cacher ton sexe un maximum de temps à Loré ?"

    • "Tu me demandes de changer de string ?"

    Nous éclatons de rire, elle est superbe et a, en plus, beaucoup humour !

    • "Rassure toi Yves, elle mettra plus d'une heure, avant de réaliser que je suis une femme ! Je me suis gravé un petit scénario dans la cervelle pour ça ! J'entrerai pieds nus dans le garage. Je vais même te confier un secret entre Jav et moi ! Quand j'ai appris qu'elle adorait être surprise, je me suis mis de l'eau de toilettes pour homme. Mais quand je suis allée embrasser Océane dans son bureau, elle m'a reniflée et m'a engueulée en me disant que je sentais le chien ! J'ai du tout lui expliquer ! Et on a terminé en riant toutes les deux ! Et je lui ai promis que ce soir je l'attendrai au lit, à poil, chaude à point et seulement arrosée de mon Guerlain !"

    Nous éclatons de rire et la laissons se changer.

    Elle était arrivée en jean déchiré de partout, avec un tee-shirt informe qui montrait tout de même l’opulence de sa belle poitrine et des talons très hauts auxquels elle semblait très habituée !

    • "Javier, si quelqu'un d'autre que toi me dit qu'elle a 38 ans, je le traite de connard !"

    • "Tu as raison, on peut facilement lui en donner dix de moins, mais tu sais, Yves, c'est comme ta femme, elle ne fait pas son âge, vêtue ou à poil !"

    • "Alors Océane et moi sommes les plus heureux du monde !"

    Elle revient métamorphosée avec un top mauve, seins-croisés qui lui cache à peine les seins tout en les mettant en valeur, et un petit short de toile assorti, ultra moulant qui nous semble, sur le moment, avoir des défauts à l'entrejambe !

    Elle porte ses escarpins à la main, et Javier s'empresse de l'en débarrasser alors que je me charge du sac et que nous nous dirigeons vers le garage où j'ai peur que nous ayons très chaud !

    • "Une pause dans la cuisine pour boire de l'eau fraîche et prendre deux bouteilles glacées ? Nous risquons de souffrir dans le garage qui est la pièce la plus chaude de la maison !"

    Tout le monde est d'accord, je leur sers un verre d'eau et même deux pour Javier, qui commence à apprécier la Vichy Saint Yorre ! Je mets les bouteilles dans des sacs isothermes et nous entrons dans le garage !

    Je réalise que nous avons deux gros chiens dans la maison que nous n'avons jamais entendus ! Quelle belle éducation !

    Je suis entre des mains anonymes très perverses !

    En entrant, Anita enfile des gants de cuir fin et me souffle à l'oreille :

    • "C'est pour que n'elle sente pas mes ongles !"

    • "Alors Putain-Loré, tout va bien ? Pas trop chaud ? Tu veux un peu d'eau ? Pendant qu'Yves nous installe deux fauteuils de jardin. Il m'a dit que tu nous invitais à un spectacle hard, interdit au moins de trente-cinq ans ?"

    • "L'âge limite va dépendre du quatrième qui va nous rejoindre ! En attendant Amo mio, j'accepte volontiers un grand verre d'eau, je suis déshydratée !"

    J'entends le pssschiiittt d'ouverture de la Vichy et l'instant d'après je bois au goulot un bon quart de la bouteille !

    • "Oh quel régal, merci Amo mio et Yves !"

    J'entends mes deux hommes s'asseoir dans leurs fauteuils. J'ai l'impression qu'ils ne sont pas seuls.

    Le bruit d'une longue fermeture éclair qu'on fait glisser, et quelques sons que je n'arrive pas à identifier me conforte dans cette idée : le quatrième est dans le garage !

    Sans un mot, une main gantée décroise mes mains, tend au maximum la droite et sans bruit, elle fait de même avec la gauche.

    Quelques instants plus tard, de lourds fers d'esclave emprisonnent mes deux poignets. Quelques bruits de ferraille, un de mes hommes se lève et aide à me bloquer les poignets avec un long écarteur, probablement réglable en longueur que la main me pose sur les épaules et le bas de la nuque.

    J'ai l'impression stupide d'avoir des ailes et que je vais voler !

    Mais la vérité est toute autre ! Des pieds nus s'insèrent entre mes cuisses et les écartent jusqu'à la limite de mon équilibre.

    De suite après, la main gantée se pose délicatement sur ma tête et appuie fortement dessus, je ne peux qu'obéir et la baisser, jusqu'à ce que mon corps soit plié en deux vers le mur.

    Mes muscles tremblent un peu mais je récupère mon équilibre précaire et adopte cette position humiliante.

    Quelques chuchotements derrière moi et Javier me dit :

    • "Putain-Loré, reste comme ça, tu es superbe, tes nichons, qui pendouillent sous toi, sont un vrai régal des yeux, mais recule d'environ deux mètres pour ne plus être coincée par ce mur !"

    J'obéis et fais quelques petits pas vers l'arrière en prenant soin de conserver cette position.

    • "Voilà, tu es parfaite, ne bouge plus !"

    Je suppose que le quatrième fait des gestes explicites pour que mes hommes me guident efficacement.

    La main revient sur moi et je sens une rondelle de métal se poser sur mon anus, et une grosse quantité de vaseline noyer mon anus et s'enfoncer dans mon sphincter.

    Quand je suis bien pleine, elle retire ce que j'ai identifié comme un gros tube de vaseline.

    J'en conclu que le tube de vaseline, tout comme les fers et l'écarteur télescopique viennent d'un même endroit, probablement d'un sac dans lequel le quatrième a stocké ses accessoires. J'ai donc affaire à des mains habituées à dominer.

    Quelques secondes plus tard, la main pose sur mon anus une ogive de sex-toy et la fait tourner plusieurs fois sur mon anneau, avant de l'enfoncer lentement dans mon cul, il me paraît sans fin ! Mais quand mes intestins le sentent, la main s'arrête.

    Le gode m'encule profondément, mais quand un moteur se met à doucement ronronner, je sais que c'est un vibromasseur interne télécommandé de la nouvelle génération, dont je ne connais pas les programmes !

    Ce qui me fait peur et Javier ne me rassure pas du tout !

    • "Putain-Loré, tu as dans le cul une merveille de la technologie, et Yves et moi avons la télécommande et le mode d'emploi : c'est incroyable ce qu'il peut faire en appuyant sur de simples boutons, mais je ne te dis rien ! Tu vas vite savoir de ce que peut faire ce vibro de trente centimètres !"

    Ils commencent par une vibration rapide, agréable, mais gênante dans ma position, et je réalise que je ne peux pas empêcher mes fesses de gigoter, ce qui doit donner de belles images à Yves !

    Yves prend la parole :

    • "Nous avons donné quelques informations sur toi à notre nouveau partenaire de jeu qui sait qu'à part tes zones érogènes classiques, tes bouts de mamelles sont hyper sensibles !"

    Pendant cette indication, très gênante pour moi, Javier pose un fauteuil de plage devant moi, et j'entends un corps s'y asseoir.

    Mes seins pendent et mes tétons bandent déjà, fiers et durs. Juste à portée des deux mains qui s'en emparent et les caressent doucement.

    Le vibro change de partition, il diminue de la moitié de sa longueur, s'arrête un peu, mais redevient très vite énorme, juste avant de se ré-enfoncer en un quart de secondes au fond de moi, ce qui me fait pousser un cri de douleur, mélangé à un plaisir certain !

    Et, il y reste en vibrant encore plus vite, ce qui couvre mon corps de chair de poule !

    Pendant ce temps, les mains jouent avec mes aréoles, en les caressant et en les pinçant légèrement, je les sens se hérisser de minuscules petits boutons, mais j'apprécie cette caresse assez inédite et je ferme mes yeux sous mon bandeau !

    Au bout d'un long moment, les deux mains se rejoignent sur un seul sein, elles pincent un peu plus l'aréole et, habilement , elles remplacent les doigts par une pince en plastique large qui, sur le moment, me donne plus de plaisir que de douleur.

    Elles se réunissent sur mon autre sein et y font exactement pareil.

    Très vite, je me rends compte que ces deux pinces ont la particularité de dissocier mes tétons de leurs aréoles, et je me doute avec effroi de ce qui va m'arriver !

    Et ce n'est qu'un début !

    Yves nous propose de boire un peu d'eau, j'accepte, mais Javier émet une réserve :

    • "Tu peux te relever pour boire à la bouteille, mais aussitôt après, tu reprends exactement la même pose !"

    J’acquiesce de la tête et me redresse, ce qui fait du bien à tous mes muscles endoloris, je bois de longues gorgées, puis, bien obéissante, je reprends ma pause.

    J'entends le quatrième boire aussi, mais dès que cette mini pause est terminée, les mains reviennent chacune vers un sein et donnent quelques pichenettes sur les tétons bandés comme des petites bites, et comme je l'avais prévu, bien détachés de la chair de mes seins !

    Mais elles deviennent de plus en plus sadiques et mes bouts de mamelles vont avoir droit à un traitement que je n'ai jamais vécu dans ma courte vie de pute-soumise !

    Les mains me pincent les tétons, me faisant hurler de douleur alors que les hommes ont mit le programme complet du vibro sur une vitesse quasiment insupportable.

    Comme chaque fois que je suis obligée de subir sans pouvoir faire autre chose que crier et tortiller mon corps, je me mets à compter un cycle complet du vibro.

    Un de mes hommes se lève et me pose sur la bouche un bâillon-boule avec une boule énorme dans laquelle je ne peux que planter mes dents, la bouche grande ouverte et, de suite une salive abondante et infamante coule sur mon menton.

    Pendant que mes bouts subissent l'enfer : pincés le plus fort possible par les doigts, puis balancés dans tous les sens, et, le pire, tournés sur eux-mêmes pour leur faire faire un tour, puis deux.

    Je manque de m'évanouir quand les mains arrivent à les tordre deux fois sur eux-mêmes !

    La machine à enculer fait son job sans se préoccuper de ce qui se passe au niveau de mes nichons. La réduction à la moitié de sa longueur avant de me pilonner. Le blocage au fond de moi avec de larges rotations du gland qui tourne en vibrant. La quasi sortie de mon cul en diminuant et grossissant petit à petit tout en faisant des rotations rapides pendant toute la durée de ses changements. Et enfin, la pire : le pilonnage de mon cul avec une intensité inouïe : il se fait tout petit et grossit d'un seul coup pour m'enculer à fond, mais reprend de suite sa petite longueur pour recommencer.

    J'ai arrêté de compter car j'étais à 300, son cycle total doit durer au moins cinq minutes, voire plus !

    Plus haut, la torture de mes tétons continuent, ayant réussi à leur faire faire deux tours, juste en les pinçant avec force, les mains varient les plaisirs en en posant un sur une main et en le frappant avec une petite règle de fer en variant la force des coups, avant de passer à l'autre.

    Je pleure depuis quelques minutes et la bave immonde qui tombe sur mon menton est de plus en plus abondante.

    Certainement, proportionnelle à la puissance des cris que je ne peux pas pousser !

    Javier reprend la parole :

    • "Tu résistes bien Putain-Loré, mais nous allons te faire un petit plaisir : mettre le vibro au fond de ton cul, et le couper, donc il va juste de gêner sans te faire de misères, mais, en échange, tes bouts de salope continueront de souffrir, dans un seul but : que tu jouisses deux fois des tétons : quand tu sentiras que tu vas jouir, déplie les doigts de ta main droite, et nous t'enlèverons ton bâillon, pour que tu puisses hurler ton plaisir de jouir de tes bouts de mamelles et nous le raconter en langage bien crû ! Les mains se feront plus douces pour t'amener au deuxième, et Yves te passeras de ta pommade !"

    Je suis presque heureuse, mais j'aurais préféré que les mains cessent de me torturer et que le vibro m'amène à la jouissance du cul !

    Il se colle au fond de mon cul et s'arrête, je me consacre uniquement à la douleur de mes bouts, mais, heureusement les mains se font plus tendres et se contentent de branler mes bouts comme des petites bites, sans trop les serrer, ce qui me va très bien et m'amène à lever mes doigts quand je suis prête à exploser, un de mes hommes vient me délivrer du bâillon, juste à temps et je m'envoie à l'air en hurlant :

    • "Ooooooooh mes bouts de salope me font tellement mal, mais je suis si maso que j'aime ça, ooooooh je jouis des nichons devant vous, je suis vraiment une bourgeoise-salope-exhibitionniste, j'ai tellement honte, mais vos yeux et la caméra contribuent à me faire jouir aussi fort.... Oooooh ! Je jouiiiis !"

    Pauvres petits tétons !

    En partant d'un orgasme aussi fort, le deuxième n'est qu'une formalité, je suppose que mes hommes n'ont pas caché au quatrième que j'étais multi-orgasmique et qu'un orgasme me rapprochait d'un autre au lieu de m'en éloigner !

    Les mains semblent le savoir, et se font aussi douces que possible sur des tétons largement meurtris et maltraités durant de longues minutes.

    Yves revient me donner à boire et me dit :

    • "Tu a le droit de te relever pour boire, et je vais même lever un peu ton bandeau pour qu'en baissant la tête, tu vois tes bouts de nichons. J'ai fait beaucoup de gros plans d'eux, mais il me semble logique que tu constates jusqu'où tu peux aller avec eux !"

    Je me redresse et bois longuement, j'en avais vraiment besoin. Yves m'empêche de me repencher et passe devant moi :

    • "N'oublie pas de rouvrir tes yeux lentement !'

    Je connais ce conseil, mais je fais comme Yves me dicte. Je revois en premier son visage, que je me précipite d'embrasser, et je penche la tête pour voir mes tétons, je suis affolée par ce que je découvre : ils sont mauve-foncé et portent les traces des tortures, alors qu'ils sont toujours maintenus par ces pinces que j'avais oubliées.

    Comment Yves va pouvoir faire pour me redonner mes tétons adorables que j'aime tant ?

    Yves a compris ce qui se passe dans ma tête :

    • "Rassure toi ! Les mains et les doigts qui t'ont mise dans cet état sont habitués, ne te fais pas de souci, dès que le sang aura bien circulé, je frictionnerai tes tétons avec du beurre congelé et après dix minutes de repos et de pommade, tu retrouvera les tétons de tes vingt ans !"

    • "Merci de me rassurer, Yves, ils ont vraiment mauvaise allure !"

    • "Oui, mais ils t'ont fait jouir deux fois ! Ne l'oublie pas !"

    Je souris sans lui répondre, je me rappelle surtout du premier orgasme où j'ai été très bavarde et j'ai honte de ce j'ai pu dire, bien que je m'en souvienne plus ! J'ai un cerveau sélectif comme Yves le dit souvent !

    J'entends derrière nous des chuchotements, Javier doit parler au quatrième, mais ils sont dans le couloir et je ne distingue aucune voix !

    Pendant qu'Yves me remet le bandeau en place, Javier revient vers nous :

    • "Yves, il faut la préparer pour la suite, elle aura sa pause-nichons après ! S'il te plaît, aide-moi à lui enlever l'écarteur et ses fers, quand elle aura les mains libres, je lui donnerai trois feuilles de Sopalin pour qu'elle se sorte le vibro du cul et qu'elle l'y dépose en l'enveloppant bien, sans se vaseliner les mains !"

    Tout est fait rapidement, et mes muscles des bras et des épaules sont soulagés !

    Je sens Javier venir devant moi, je reconnais à présent les odeurs de chacun : Yves et Javier avec leurs eaux de toilettes différentes, et le quatrième a son odeur que je trouve trop musquée et trop macho !

    Javier me demande de joindre mes poignets devant moi et les attache avec plusieurs tours d'une corde et un nœud compliqué !

    Puis, il me pousse dans mon coin :

    • "Tu vas coller ton front contre le mur, reculer d'un petit mètre ton corps et écarter tes pieds pour être bien en équilibre, tu peux faire ce que tu veux avec tes mains, sauf te branler ! Il était plus simple de tes attacher que de te les couper, ma petite pute !"

    • "Oui, Amo mio, je préfère aussi cette solution, bien qu'un bras de Loré grillé au barbecue, ce ne doit pas être mauvais !"

    Nous rions tous les trois pendant que je me mets en position, je constate que le quatrième ne se joint pas à notre rire détendeur !

    Javier, content de ma position revient s'asseoir dans son fauteuil et se prenant pour Freddie Mercury, il essaye de chanter un beau :

    • "The show must go-on !"

    Pan-Pan, Cul-Cul ?

    Dans cette position, j'ai peur que la séance de ce matin ne se renouvelle, mais je pense que mes hommes savent que je déteste la fessée et j'imagine qu'ils auront défendu mon tabou jusqu'à la mort !

    J'entends des bruits que je ne peux pas identifier, il est certain que quelque chose se prépare, mais je ne sais pas ce que ça peut-être !

    Ma cérébralité est tellement forte que cette attente et cette ignorance me mouillent le con, plus qu'elles ne m'inquiètent !

    Les mains se posent sur mes épaules, sans qu'un corps ne se colle à mon cul, elles me font un long massage relaxant et très professionnel qui me fait gémir de plaisir, elles descendent pour me cajoler les nichons qu'elles font tressauter comme des petits ballons en prenant soin de ne même pas effleurer mes bouts.

    Je les sens descendre des aisselles à mes hanches, sans me toucher, comme si elles dessinaient le contour de mon corps et de mes courbes.

    Ma peau se recouvre de chair de poule ! Elles remontent mais en se posant sur ma peau et refont le même parcours tout en malaxant un peu les chairs qu'elles rencontrent.

    Je suis très sensible à ces douces caresses, je sens mes tétons revivre, et j'ai peur que ma moule laisse échapper quelques gouttes vers le sol !

    Les mains disparaissent et je les retrouvent plaquées au milieu de mon dos pour me pousser fermement vers le mur et me redresser totalement, seins et ventre plaqués contre le mur tiède, j'ai vraiment l'impression d'être un objet, et j'adore ça !

    Elles me tournent la tête vers la droite, et c'est ma joue gauche qui se retrouve plaquée contre le mur. Je sens son souffle et sa respiration tout près de mon visage.

    J'entrouvre ma bouche pour recevoir la sienne, mais la main gantée me la referme. Je sens des lèvres fermées se poser tout au bout de mon épaule gauche et me parcourir jusqu'à la base du cou, sans s'ouvrir.

    Le retour vers l'épaule se fait avec une langue douce et à peine mouillée, qui me fait frémir et trembler des genoux, je suis très excitée et ravie de cette séquence tendresse, moi qui redoutait la fessée !

    Le même parcours se fait avec des dents qui pressent mes chairs sans me faire mal, et quand elles arrivent à la base du cou, elles en profitent et deviennent plus dures et insistantes jusqu'à ce que je gémisse comme une petite chienne.

    Pour le retour vers l'épaule, elles me mordillent, je les sens bien, mais sans avoir mal, bien au contraire !

    Arrivées au bout du parcours, je ne sais plus où elles sont mais d'un seul coup, une langue fine et humide entre dans mon oreille gauche et me lèche avidement l'intérieur en essayant d'aller au plus profond de la cavité, je gémis de plus en plus fort.

    Les mains changent ma tête de place, c'est la joue droite qui est appuyée contre le mur. Mais ce côté a droit à moins d'égards que l'autre, la langue intervient mais elle se fait insistante de l'épaule au cou, les dents mordillent plus fort et quand la langue vient me lécher l'oreille, je suis au bord de l'orgasme et tremble de tout mon corps.

    Les mains me reprennent par les hanches, me remettent comme j'étais avant ces caresses extraordinaires, des pieds nus écartent plus mes cuisses, et l'instant d'après, alors que je tremble de partout, un gland se présente à l'entrée de mon anus, et, comme je n'ai rien perdu ni de la lubrification de mon anus, ni la vaseline initiale, il s'enfonce en moi sans aucune difficulté et il reste arc-bouté dans mon cul alors que je sens battre des couilles sur mon cul.

    Les mains se crispent sur mes hanches, et la bite commence à me pistonner de tout son long, chaque retour la fait ressortir complètement de mon cul et chaque aller me défonce l'anneau jusqu'à ce que je ressente les couilles. Le quatrième est puissant et a une bite raide et très dure qui lui permet de m'enculer comme ça au tout début.

    Mes gémissements deviennent des couinements de plaisir pendant que je suis magistralement enculée, comme rarement je l'ai été !

    Pendant l'enculage, j'entends des chuchotements, Yves et Javier se parlent, mais je n'entends rien, je le saurai comme d'habitude plus tard !

    • "Anita m'a expliqué que c'était un gode-double qui lui avait coûté une fortune. Elle l'a fait faire par un ami, artisan-couturier à Valencia. Et, depuis, elle n'a jamais arrêté de s'en servir ! Elle a exigé une texture ressemblant à la peau de nos sexes, des dimensions précises, un gland bien marqué, et surtout des couilles mobiles pour remplacer la traditionnelle plaque de cuir qui sépare les deux côtés d'un gode-double. En fait, si elle se le met dans le con, ou si elle baise ou encule une femme, quand elle arrive aux fausses couilles, elle s'arrête !"

    • "C'est assez incroyable, je suis sur que Loré pense être enculée par un homme ! Et tu as vu comment elle se l'ait posé ?"

    • "Non, elle l'a fait dans le salon, mais elle m'a expliqué : quand nous pensions que son short ajusté avait un défaut à l'entrejambe, c'est simplement un bout de tissu qui dissimule la large découpe qui lui laisse la chatte à l'air, et je suppose que pour son cul c'est pareil ! Mais, ce n'est pas tout, tu vas voir son sens du détail : dans le gland, il y a une partie réservoir, et comme elle n'a aucune difficulté à baiser en ressortant tout le gode et en le re-rentrant d'un seul coup, contrairement à nous, qui devons attendre que la femme soit super bien lubrifiée ! Quand elle veut éjaculer : elle presse une petite cavité cachée sur le gland ce qui déclenche l'ouverture d'un faux méat, et elle n'a plus qu'à compter jusqu'à dix et le faux sperme jaillit ! Elle éjacule dans le con ou dans le cul, mais si elle veut abuser sa soumise, elle peut éjaculer dans la raie de son cul, ce qui lève les éventuels doutes sur son sexe !"

    • "Quelle femme étonnante ! Elle fait vraiment partie de votre club de cérébraux, Javier ! Tu en as profité pour imaginer avec elle comment elle va révéler à Loré qu'elle est une femme ?"

    • "Comme je te l'ai dit, ce n'est pas une Domina qui vient sans scénarii, elle en a un, mais elle n'a pas voulu me le dire. Je pense plutôt qu'elle finit de le peaufiner en fonction des événements !"

    • "Javier j'ai l'impression qu'elle te réclame, elle doit avoir quelque chose à te demander !"

    Alors que je gémis et couine, elle lui glisse quelques mots à l'oreille.

    Javier s'adresse directement à moi :

    • "Putain-Loré, le quatrième a très envie de se vider dans ton trou à merde ou sur ton cul, mais il ne le fera pas avant que tu ne jouisses du cul en l'annonçant bien clairement, comme quand tu as joui des bouts de mamelles. Si tu n'es pas prête, son conseil est de te mettre des écraseurs de tétons aux bouts des nichons pour accélérer ton orgasme !"

    • "Ooooh, Amo mio, non surtout pas les écraseurs, vous avez vu dans... Ooooooh que c'est bon d'être enculée comme ça !... quel état ils sont ! Rassurez le quatrième, je fais durer, tellement je me régale, mais je vais laisser faire la nature, je vous le jure ! Mais pas les écraseurs, je vous en supplie, Amo mio, faites moi confiance !"

    • "D'accord Putain-Loré, je te crois, mais ne tarde pas !"

    • "Tu es gonflé, Javier ! Elle t'a dit qu'elle allait lui arroser le cul ?"

    • "Oui, c'est pour ça que je préviens ta femme !

    Ils sourient, Yves prend sa caméra et ils se rapprochent, en les entendant je leur fais un maigre sourire alors que le pilonnage se déchaîne en rapidité et en violence, et je jouis ! C'est un autre tsunami qui me fait hurler et je rajoute à ma honte des paroles que je sais très bien que je vais regretter !

    • "Oooh, ouuuuuui je jouiiiiiis du cul comme une putain, comme la salope immorale que je suis... Ouuuuui... Défoncez moi encore avec votre pine au fond de mon cul ! Ouiiiiiii, plus fooooort ! Je le mérite, faîtes moi jouiiiiiir dans la douleur, adoucie par mon immense plaisir, je ferai tout ce que vous me demanderez, ooooh c'est la première fois que je suis si bien enculéééée !"

    Yves a filmé tout mon orgasme.

    Il guette maintenant l'éjaculation : le double-gode sort de mon cul et se pose entre mes fesses et de longs jets blanc et laiteux inondent ma raie du cul, le quatrième en profite pour étaler et répandre tout ce bon jus, sur tout mon cul, et j'ai un dernier tremblement de tout le corps car, cet orgasme fabuleux a prolongé d'une manière incroyable ma jouissance !

    Avec Javier, nous nous posons une seule question : Anita a-t-elle pris son pied ?

    Pin-pon, pin-pon ! Docteur-téton !

    Yves m'entraîne à quelques pas de mon coin de punie, il me libère les poignets et me dit :

    • "Comme promis, je vais m'occuper de tes tétons, j'ai un beurrier qui sort du congélateur et un large bandeau pour te protéger les seins et laisser agir le beurre, tu vas un peu souffrir pendant le massage, j'en suis désolé, mais ça ne durera pas longtemps !"

    Ca fait en effet très mal, mais quand il passe au sein gauche, le droit est moins douloureux, alors je reste confiante et j'essaye de lui éviter mes cris de douleur, le pauvre ne les méritent pas !

    Il termine en me bandant les seins, juste assez fort pour que le bandeau ne tombe pas et me conduit au salon où il m'enlève le bandeau des yeux et me couche sur le canapé en me disant gentiment :

    • "Reste tranquillement allongée, et surtout ne touche pas tes seins, laisse ce corps gras régénérer toutes tes cellules, je reviens dans quelques minutes"

    Je l'attire vers moi et lui donne un long baiser sur la bouche.

    Il doit retourner dans le garage où les deux autres l'attendent. Ils sont assis dans les deux fauteuils, et Anita porte toujours son double-gode !

    • "Bravo, Anita pour ton remède au beurre, elle se sent déjà mieux"

    • "Qui punit bien doit savoir bien guérir ! C'est la règle du bdsm, malheureusement pas pour les sados qui se branlent devant les blessures de leurs proies !"

    Javier me dit en me faisant un clin d'oeil :

    • "Alors, Yves, qui va poser LA question à Anita ?

    Yves hésite à répondre sans oser regarder la fausse bite d'Anita !

    • "Si vous me permettez de répondre à la question que vous n'osez pas me poser, j'ai eu trois orgasmes en enculant Putain-Loré, comme le dit si bien Javier, et je compte bien en avoir d'autres !"

    • "Yves et moi sommes habitués à côtoyer des femmes qui s'envoient en l'air, sans parler de Loré qui en avise tout le quartier ! Mais, là, tu nous épates totalement, tu as un secret ?"

    • "Je ne vais pas prétendre vous donner un cours sur les manifestations extérieures de l'orgasme, mais il y en a trois : le silence, les couinements et les hurlements. Aucun des trois n'augmente ou ne diminue la puissance d'une jouissance. Si Loré hurle, c'est une manière de se délivrer de la crispation intense qui précède la jouissance. Mais aussi, elle rassure, elle valorise et elle remercie son partenaire. Océane, qui est la femme qui me connait le mieux, sait exactement quand et combien de temps je jouis. Comment ? Il faut le lui demander car, je ne le sais pas ! Et elle n'a jamais répondu à mes questions sur ce phénomène !"

    • "Mais en dehors de la voix, il y a d'autres manifestations extérieures : le changement de visage, les mouvements convulsifs, les tremblements des muscles et, ça, la femme qui s'envoie en l'air ne le contrôle pas ?"

    • "Tu as tout à fait raison, Yves, mais avec de la volonté et de l'entraînement on peut apprendre à son cerveau à diminuer, et même supprimer ces réactions classiques. J'ai mis beaucoup de temps à y arriver pour obtenir deux résultats que je recherchais car je n'aime pas que mes soumises me voient jouir, ça ne les regardent pas et parfois, comme avec Loré, un orgasme mal contrôlé peut me démasquer !"

    • "Javier m'avait parlé de toi comme d'une femme exceptionnelle, mais j'avoue franchement qu'il n'exagérait pas ! Je peux te poser une dernière question très intime ou tu en as assez ?"

    • "Celui ou celle à qui je demanderais d'arrêter de parler de cul avec moi, mon cher Yves, n'est pas né, j'adore le sexe et la domination et je ne le cache pas !"

    Ils rient de cette belle réponse et Yves lui demande :

    • "Tu es une femme-fontaine, et pourtant nous ne nous sommes rendus compte de rien quand tu jouissais en enculant Loré ?"

    • "Ca se contrôle aussi, et je vais d'ailleurs devoir libérer ma vessie pleine de sperme féminin, mais dès que Putain-Loré saura qui je suis, vous verrez que l'info de Javier est bien exacte, car contrairement à des soumises que je jugerais banales, Loré m'excite énormément !"

    Ils rient tous les trois et laissent Anita aller aux toilettes.

    Yves vient prendre de mes nouvelles, je somnole, mais je l'assure que je vais mieux et que j'ai hâte qu'il me passe la pommade ! Il sort le tube et me dit :

    • "Voilà qui finira te te guérir !"

    Il enlève mon bandeau protecteur, m'embrasse tendrement les deux bouts de seins, qui, à notre grand plaisir, se dressent de suite.

    Il me pommade avec beaucoup de soin les bouts, mais ne peux pas s'empêcher de descendre un peu plus bas et d'empaumer mes nichons comme il aime le faire !

    • "Hum, Amour, tu es toujours en maillot de bains ? Tu peux me la montrer ? Un petit coup rapide ne gênera pas les autres !"

    Il rit, caresse ma chatte qui lui mouille les doigts, et m'affirme que c'est prévu dans le programme, mais qu'en attendant, je dois attendre dix minutes, sans me recouvrir les seins pour que ma guérison soit totale ! Il m'embrasse et rejoint les autres !

    Mon futur proche se décide, sans moi !

    Comme je ne les entends pas, je suppose qu'ils sont dans le nid.

    La douleur s'estompant, je m'endors !

    Yves les rejoint avec de quoi boire et se restaurer. Anita a enlevé son gode-double et bien que l’entrejambe de son short soit trempé, elle semble en pleine forme. Javier me dit :

    • "Entre deux souvenirs de jeunesse, Anita a mis au point la suite du programme, comme Putain-Loré va bien, elle estime que c'est le moment de se dévoiler, mais je vais lui laisser la parole, elle est majeure et n'a pas besoin d'un porte-parole !"

    • "On se croirait dans un Congrès de Pharmaciens ! Merci mon cher collègue de me donner la parole !

    Ce rappel au Congrès, où Javier est sensé être, nous faire rire, Anita est de bonne compagnie et, on ne s’ennuie pas avec elle !

    • "Je vous donne mon idée, mais si vous avez des suggestions, je suis preneuse ! Je pense qu'en me sentant jouir sur son cul, Loré, est bien tombée dans le piège, il faut donc que la découverte de ma chatte soit inédite, très chaude, voire vicieuse !"

    Les deux hommes approuvent.

    • "Il faudra de nouveau lui bander les yeux. Nous la ramenons dans le garage, toujours nue et nous lui demandons de finir son travail : nettoyer la bite qui lui a ravagé le cul, à genoux devant moi et mains liées dans le dos. Quand elle reluit de propreté, nous utilisons vos équipements : elle se couche en croix sur la couverture sous les anneaux. Nous lui mettons des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles et une ceinture de cuir pour lui soutenir le ventre. Grâce aux cordes, nous la décollons du sol jusqu'à ce que son con, son cul et sa bouche soient à la bonne hauteur pour nous trois. Pour la faire gigoter et l'affoler un peu, nous allumons deux bougies chacun pour arroser son corps de cire chaude. Il faut que les bougies soient au moins à cinquante centimètres d'elle, pour ne pas la brûler. Nous gâtons ses endroits stratégiques : l'entrée et l'intérieur du vagin, le clito, les orteils, le ventre, le nombril, et bien sur les nichons. Il faut se rapprocher des tétons en faisant des cercles jusqu'à arriver à ses bouts pour former deux petits tas blancs sur ses seins. Ca vous convient pour le moment ?"

    Les hommes approuvent et trouvent ses idées parfaites et très excitantes !

    • "Merci de votre confiance ! Ensuite, mais c'est facultatif, tous les deux vous dégagez ses tétons en grattant la cire fondue, et je prends le relais en lui faisant sentir la chaleur d'une flamme de bougie léchant ses tétons et vous faites de même sous ses orteils facilement accessibles, bien évidemment, il faut faire très attention, car le jeu de la bougie allumée est dangereux !"

    Yves lui répond de suite :

    • "Je crois me souvenir que dans ses clips américains, il y en a un ou deux où elle subit ce traitement, donc, en restant très prudents, je n'ai rien contre !"

    • "Super Yves, donc je continue mon scénario ! Puis, nous passons à un jeu qui s'appelle la "balançoire" dans le bdsm ! Il est simple : quand je porte mon gode-double, nous avons trois bites à lui offrir ! Je suggère des rôles à titre d'exemples ! Yves commence à la baiser, et Javier à se faire pomper, tout en sachant qu'elle aura la tête à l'envers ! Puis, Yves la laisse, je prends sa place dans son vagin, et Yves la place de Javier dans sa bouche, et nous tournons comme ça jusqu'à ce que vous vous vidiez les couilles. Je suis sure qu'elle jouira plusieurs fois !"

    • "Quel scénario ! Je n'arrive même pas à en imaginer la fin ! Et toi Yves ?"

    • "Moi ? Je ne cherche même pas, Anita est trop forte pour moi !

    • "Vous êtes rassasiés ! Je me fais sucer et je jouis dans sa bouche pour qu'elle sente bien le goût de mon faux foutre, pendant qu'elle l'avale, j'enlève mon double-gode et lui enfonce la partie qu'elle ne connait pas dans la bouche. Le goût et l'odeur qu'elle ne reconnaît pas va la surprendre, mais je lui pilonne la bouche pendant que vous lui branlez la chatte et le clito. Je peux vous garantir qu'elle va jouir sans savoir où elle habite ni qui elle est !"

    • "Oui, elle devrait être totalement déboussolée et ne plus savoir ce qui se passe ! Elle va penser que son Maître a disparu !"

    • "Oui, c'est probable, mais elle va vite comprendre la vérité, car, quand elle aura joui grâce à vos vingt doigts ! Je lui enlèverai le demi-gode de la bouche et je poserai ma chatte sur sa bouche. Je vous précise, sales cochons de voyeurs, que pour cette séquence je ne porterai pas de short !"

    • "Wouah, je vais te revoir presqu'à poil ! Quelle chance !"

    • "Moi, je vais suggérer mieux, vue ta photo, j'ai aussi hâte de te voir à poil en vrai, bien que je sache que tu ne baiseras pas avec nous ! Pourquoi garder ton top et ne pas te mettre nue, perchée sur tes escarpins sexys ? Je peux te garantir sur l'Amour que je porte à Loré que nous ne te violerons pas !"

    • "Je vais y réfléchir, Yves, tu auras ma réponse dans le garage où j'entrerai la dernière ! J'aimerais vous faire plaisir à tous les deux, mais depuis que j'habite Nevers, je n'ai fait l'amour qu'avec Océane à qui je raconte en détail toutes mes séances de Domina !"

    • "Quand tu réfléchiras, Anita, considère qu'entre te mettre à poil dans une séance hard, et te laisser baiser, il y a un gouffre !"

    • "Nous verrons ça, mais je termine : comme c'est très rare que je domine une soumise qui me fait vraiment mouiller, je sais que Loré n'est gouine que soumise et que sa langue est forcément habituée et super agréable, ma vessie se remplira d'hormones et de substances que mon cerveau commande ! Et, c'est à elle que j'offrirai un "orgasme-fontaine", et je compte sur vous pour vous positionner de chaque côté de sa tête pour qu'elle en avale le plus possible, et s'il en reste ! Badigeonnez-en soigneusement son corps des pieds à la tête, j'aimerais qu'elle sente l'odeur de femelle en chaleur que je vais devenir !"

    Un silence achève son récit. Javier est le premier à applaudir et Yves le suit avec enthousiasme et se lève pour embrasser Anita sur la joue en lui disant :

    • "C'est pour récompenser ta fantastique imagination, et aussi, un peu-beaucoup, pour honorer chastement ta beauté !"

    Curieusement Anita, la femme forte, rosit et ne répond rien !

    Yves sert du champagne et ils trinquent à ce beau scénario !

    Une magnifique fête s'organise !

    Anita se prépare dans la chambre d'amis, Javier termine le garage : il étend la couverture sur le sol, met deux fauteuils pour eux, face à celui d'Anita, ils me verront bien nettoyer la bite enculeuse !

    Il vérifie que les six cordes fixées aux anneaux des poutres tombent sur le sol aux bons endroits. Il approche un vieux guéridon et y dépose les quatre bracelets et la ceinture de cuir qu'il sort du sac d'Anita.

    Yves lui a dit qu'il trouverait des bougies de ménage et des allumettes dans la buanderie. Il va les chercher et les pose sur le guéridon.

    Il a fini et rejoint Yves dans le salon.

    • "Alors, Putain-Loré est en forme ?"

    Yves lui répond :

    • "Oui, elle va beaucoup mieux, et ses tétons ont un bel aspect, je vais encore les masser avec de la pommade, les rincer et elle sera toute neuve !"

    • "Parfait Yves, tu es un vrai Docteur ! J'ai terminé ce que j'avais à faire, je vous attends à la piscine. Un bon expresso, que je vais préparer, et du champagne finiront de te remettre sur pied !"

    Il nous quitte. En passant devant la chambre d'amis, il frappe à la porte. Anita l’entrebâille et il lui dit :

    • "Dans dix minutes, nous passerons tous les trois devant ta chambre, je dirai "le garage nous attend" et tu nous rejoindras quand tu le voudras, je te laisserai une flûte de champagne pleine sur la table du nid, si ça te tente !"

    • "Bravo, Javier, à tout de suite, un détail, je préfère que ce soit toi qui parle à Loré de ma part, ne la chouchoute pas et sois très cru avec elle, pour garder l'ambiance très hard !"

    • "Pas de problème, Anita, à tout de suite !"

    Comme promis, Yves me masse les seins avec délicatesse, remet un peu de pommade sur mes aréoles et mes tétons et s'attardent sur eux. Je me laisse faire avec plaisir, yeux fermés, plus il me masse, plus je me sens en forme, et je constate que mes bouts de nichons et mon con apprécient aussi !

    Malgré mon envie, je ne lui fais pas d'avances coquines, et il me demande si je suis prête à me lever : 

    • "Tout à fait, Amour, prête à te suivre au bout du monde !"

    Il rit en me répondant :

    • "Pour l'instant, notre voyage s'arrêtera au nid où le café de Javier et le champagne t'attendent pour ta convalescence !"

    Je me lève et m'approche de lui pour l'enlacer et l'embrasser sur la bouche, ma langue fougueuse cherchant et trouvant sa langue !

    • "Hum ! J'ai vraiment très envie de toi, mais je suppose que Javier a tout minuté, alors allons-y, est ce que le quatrième sera présent ? Et, peux-tu me dire quand je vais, enfin, le découvrir ?"

    • "Disons que dans, environ, une petite demi-heure tu feras sa connaissance !"

    • "Vite, je veux vieillir d'une demi-heure ! Pressons-nous !"

    Et, toujours à poil et perchée sur mes escarpins trop hauts, je le suis jusqu'au nid où Javier nous attend !

    • "Welcome, Putain-Loré, ton café et ton champagne t'attendent, et je suis très heureux de te revoir en pleine forme !

    • "Merci, Javier, même si je me doute que c'est un peu le calme avant la tempête, je te remercie, ainsi que mon Tendre de toutes vos attentions !"

    J'accepte une cigarette, dont la première bouffée est un vrai plaisir, et je bois mon café et mon champagne à petites gorgées.

    • "Javier, bravo pour ton café ! Celui de mon Chéri est bien meilleur, mais tu apprends vite !"

    • "Espèce de salope ! C'est la première fois que je me sers d'un engin pareil, et tu me critiques ! Tu es une sale pétasse !"

    Yves et moi éclatons de rire !

    • "Eh bien il t'a fallu du temps pour constater que j'étais une pétasse mais, tu m'aurais fait plaisir en me traitant de "guarra" !

    • "Oups, et c'est quoi une "guarra" ?"

    • "Ah oui pardon Yves, "una guarra" en Espagnol, c'est un peu comme Mon Chéri ou Mon Amour, à part que ça ve dire : salope, traînée ou cochonne ! Tout moi, quoi !"

    • "Si quieres que empiece a ponerte apodos en mi lengua, ¡Ten cuidado, soy más fuerte que tú!

    • "Arrêtez sales marmots, je ne comprends rien ! Qu'est ce que Javier vient de te dire ?"

    • "Oh, rien une simple gentille menace : "Si tu veux que je commence à t'insulter dans ma langue, fais attention, je suis plus fort que toi !" Et il a raison, si j'avais un langage très fleuri quand j'étais jeune, je ne m'en souviens plus beaucoup, en plus il doit y avoir des nouveautés ! Alors il vaut mieux que je me considère comme battue !"

    • "Non seulement, tu dois t'avouer battue, mais j'attends tes excuses à genoux devant moi Putain-Loré !"

    • "Oh Oh Oh ! Amo mio est très colère ! Excuse moi Yves, mais je dois m'excuser du fond du coeur, un Valencien est très susceptible !"

    • "Et moi je t'ordonne de le faire de suite !"

    • "Vous avez du lire "Les Malheurs de Loréna" du Marquis de Sade, soit, je vais m'excuser à genoux !"

    A poil, je m'agenouille devant Javier et lui dit :

    • "Je vous demande humblement pardon, Amo mio, j'ai été étonnée que vous sachiez faire un aussi bon café, bien meilleur que celui de mon Tendre, mais puisque je suis dans les comparaisons, permettez moi de rajouter, que, certes vous avez une plus grosse bite que lui, mais lui sait beaucoup mieux s'en servir !"

    Un silence se fait dans le nid, et le premier à le rompre est Javier ! Je me lève, m'assieds sur ses genoux, lui caresse la bite sans aucun honte et lui dit !

    • "Alors, tu as compris mon humour de sale gosse ! Amo mio ?"

    Nous éclatons de rire tous les trois ! Heureux de vivre ces deux jours ensemble ! Et Javier nous dit :

    • "Je pense que ce n'est pas la peine de te punir, ça te ferait encore jouir, ma "guarra" adorée ! Mais avec ce qui t'attend, j'espère de tout mon coeur que tu ne perdras pas ton sens de l'humour ! Il est trop drôle et surtout très inattendu ! Mais après ce super interlude, revenons sur terre : il vaudrait mieux que tu laisses tes escarpins ici, tu seras plus confortable pieds nus !"

    • "En effet, Javier, merci pour cette remarque !"

    Je n'ai rien à faire : Yves s'agenouille devant moi pour délacer mes escarpins et il m'embrasse tendrement chaque pied avant de les reposer sur le carrelage du nid !

    Quand nous sommes prêts, je prends mes deux hommes par le bras et nous allons vers le garage, Javier sourit et nous dit dans le couloir :

    • "En route pour le garage !"

    Je souris en constatant :

    • "Notre quatrième aime décidément beaucoup notre garage ! Il faudrait que nous transformions une partie de notre cave en donjon, tu ne crois pas Yves ? Et on y mettrait la clim ! Ca serait plus agréable !"

    Ils rient tous les deux et Yves me répond :

    • "C'est une excellente idée, Amour, et comme avec mon excellent prof, Javier, je fais des progrès rapides en domination ! Ca pourrait nous servir !"

    Et c'est en riant tous les trois que nous entrons dans le garage où Javier m'attache soigneusement les poignets dans le dos et me place, en me demandant de ne pas bouger.

    Yves me remet mon bandeau sur les yeux, je sais que la récréation est terminée ! Mais elle m'a fait du bien !

    Et, je suis très contente, car ça fait très longtemps que j'ai envie d'un donjon personnel, pour qu'Yves puisse mieux s'amuser avec moi ou pour qu'il me mate et me filme en séance avec des inconnu(e)s, et même, pourquoi pas le prêter à des ami(e)s pour qu'ils s'amusent, ce doit être agréable et jouissif de mater de temps en temps !

    Que la "fiesta" commence !

    Sans entendre ses pas, je sens que le quatrième s'apprête à entrer dans le garage. Mais ils ferment la porte d'accès et je ne peux rien entendre !

    • "Vous en avez mis du temps pour passer devant ma porte !"

    • "Oui, pardon, Anita, mais Loré était d'humeur joyeuse et elle nous a joué un sketch à sa manière ! Nous étions morts de rire !"

    • "Pas plus mal qu'elle soit super relaxée, elle appréciera plus ce qui l'attend ! Si elle savait !"

    La porte s'ouvre et un silence pesant et curieusement électrique tombe sur le garage. Un seul corps s'assied dans un fauteuil.

    Ces fauteuils bas-de-gamme nous servent quand nous avons beaucoup d'invités, mais ils couinent chaque fois que quelqu'un s'assied !

    J'entends mes hommes chuchoter et c'est Javier qui s'adresse à moi :

    • "Petite salope, tu as beaucoup apprécié la pine qui t'a défoncée le cul et t'a envoyée en l'air, mais tu n'as pas fini, il te faut à présent la nettoyer !"

    Je sens qu'il a durcit la manière de s'adresser à moi, Javier, mon Amo est de retour, il vient vers moi me guide et m'oblige à me mettre à genoux.

    Tout de suite après, des mains me saisissent les cheveux et rapprochent la bite de mon visage, sans résister, j'ouvre largement la bouche et elles tirent sur mes cheveux pour que j'engloutisse le plus possible de ce monstre dans ma bouche.

    Je lèche et suce tout ce que je peux, alors qu'elles lui font faire des allers retours dans mon étui de pipeuse de pine !

    Après quelques minutes de ce traitement j'ai très mal aux commissures des lèvres et la bite ressort de ma bouche alors que Javier me dit :

    • "Tu es vraiment une pipeuse professionnelle, je vais te faire une promesse : je vous ai invités tous les deux à passer du bon temps chez moi à Valencia, je suis très ami avec une équipe de basket-ball, je te promets que tu passeras le temps qu'il faudra dans leur vestiaire après une victoire, et que tu les pomperas tous ! A présent, lève toi, tu changes de position !"

    Je me redresse, et je reconnais la main d'Yves. Il me délie les poignets et me fait faire quelques pas. Mes pieds nus sentent que je suis sur une couverture, en plein garage, ça me semble étrange ! Javier me dit sèchement :

    • "Truie-vicieuse, nous allons te fixer aux poignets et aux chevilles tes bracelets de cuir de pute-esclave que tu adores, et tu vas retrouver avec plaisir ta ceinture de nombril qu'on va serrer bien fort ! Ne nous remercie pas, sale putain en chaleur, tu mérites cet équipement !"

    Les accessoires sont vite posés par les deux hommes, mais ils serrent plus que d'habitude, sans toutefois me faire mal. Javier me positionne sur la couverture :

    • "Putain, tu n'a plus qu'à poser ton cul d'enculée sur cette serviette, tu t'allonges sur le dos, tu t'étires comme une soumise qui veut s'offrir, en fait comme Putain-Loré sait le faire ! Et tu écartes tes pieds et tes mains, comme si tu allais être crucifiée ! Je vais chercher un marteau et des clous pour achever de mettre ma "guarra" dans la bonne posture, bien obscène !"

    Ces traits d'humour d'Amo mio me fait sourire et calment un peu mon angoisse ! J'essaie de prendre la pause exacte qu'il m'a ordonnée.

    Je sens que les trois personnes s'agitent autour moi : des mains attachent mes anneaux de chevilles et de poignets en faisant des nœuds solides : ce sont donc des cordes qu'ils nouent.

    Deux d'entre eux font pareil aux anneaux latéraux de ma ceinture.

    Je me rends très vite compte que ces nœuds et ces cordes vont servir à me décoller du sol !

    Et, en effet : les premières cordes soulèvent mon ventre alors que deux mains me soutiennent la tête, tout en laissant mes pieds posés au sol. Ils doivent les arrimer à des supports solides.

    Le reste est plus facile à réaliser, et quelques minutes plus tard je suis suspendue par six cordes, mais je ne sais du tout à quelle hauteur !

    Je ne souffre pas, car c'est mon dos et mes reins qui supportent mon poids et les autres attaches l'aident un peu mais sans être essentielles.

    Allumez le feu !!!!!

    Ils doivent m'entourer tous les trois, car ils s'amusent à me balancer de droite à gauche et de haut en bas. Il est vrai que je forme une véritable balançoire vivante, que j'avais vue sur des sites bdsm, sans savoir ce que cette posture grotesque permettait !

    Mais je vais vite mettre à jour mes connaissances sexuelles !

    Je sens un regroupement humain à gauche de ma tête, des bruits d'ouverture de quelque chose en déchirant le plastique de protection, mais les bruits bien caractéristiques qui suivent m'affolent : car ce sont des allumettes qu'ils allument !

    Après un peu d'attente, je sais de suite ce qui va m'arriver : une première goutte de cire brûlante, tombe sur un de mes orteils, suivie d'une autre sur mon mont de Vénus et d'une autre sur mon front.

    La disparité des points de chute me prouvent que les trois sont armés d'une bougie, mais quand les gouttes redoublent quasiment aux mêmes endroits de ma chair, je sais de suite que chacun d'eux a deux bougies !

    Je ne sais pas combien de temps ce déluge de gouttes dure, mais c'est un véritable enfer, mes orteils sont soigneusement visés un par un, et le dédoublement des bougies permet de s'occuper des deux pieds en même temps. Mon nombril est vite rempli. Mon ventre et mon mont de Vénus sont rapidement recouverts d'une épaisse couche de cire !

    Les bougies du haut continuent à s'intéresser à mon front, mes joues, mon cou et mes épaules tout en évitant soigneusement le visage, les yeux et la bouche.

    J'ai déjà subi cette punition, mais je me rappelle de gouttes beaucoup plus douloureuses, je suppose que les bougies sont assez éloignées de leurs cibles pour ne pas risquer de brûlures graves.

    Toutefois, chaque fois qu'une partie de mon corps est attaquée, je ne peux pas m'empêcher de gigoter et de gémir, ce qui fait rire mes hommes ! Mais quand les gouttes se multiplient, je ne sens plus rien, les premières gouttes me protègent de la chute des autres.

    En réfléchissant, je réalise que, pour le moment, elles s'arrêtent à mon mont de Vénus. Ma bouche n'a pas été visée et aucune n'a touché ni mes seins, ni mon sexe !

    Je redoute le pire pour la fin de la séance !

    Et elle arrive trop vite pour moi, une bougie perle en bas d'un sein et commence un cercle en faisant en sorte de ne pas recouvrir la goutte précédente. Le même processus est appliqué sur l'autre sein ! D'autres gouttes ont commencé l'ascension de mes nichons en continuant à dessiner des cercles de plus en plus petits sur mes globes.

    Dans le même temps, deux bougies noient mes lèvres serrées, puis une main ferme m'oblige à ouvrir la bouche et les deux bougies jointes se régalent de me faire hurler en tombant sur ma langue et sur mon palais.

    Je gigote comme une diablesse, en essayant, vainement de me libérer les mains de leurs attaches, mais je suis obligée de subir sans pouvoir ni me défendre ni me protéger !

    Le pire reste à venir, les bougies qui s'occupaient de ma bouche descendent vers mon sexe, et elles reproduisent le travail fait sur les lèvres de ma bouche, mais sur mes lèvres vaginales, beaucoup plus sensibles que celles de ma bouche.

    Quand elles ont bien constellé mes lèvres de cire, une main m'ouvre le vagin de toute la puissance de ses doigts et douche sans pitié l'intérieur de mon con, heureusement, sans trop insister car j'hurle de douleur comme une furie !

    Les deux alpinistes ont terminé leurs ascensions, et sont arrivés à mes aréoles qui sont rapidement recouvertes, avant de tomber précisément sur mes tétons, me faisant hurler jusqu'à ce qu'ils ressemblent à des petits tas blancs, en supposant que les bougies sont blanches !

    Je me décontracte quand j'entends trois souffles : il n'y a plus que trois bougies en fonction, mais...

    La peur augmente-t'elle l'excitation ?

    Des ongles se posent sur mes aréoles et commencent à enlever la cire qu'il y a sur elles. C'est relativement facile : la cire est encore moelleuse et doit s'enlever par plaques.

    Mais le nettoyage des tétons est plus sensible, bien sur les cônes de cire séchées s'enlèvent bien, mais le nettoyage des quatre ou cinq premiers impacts me fait hurler de douleur.

    Mais quand les ongles ont fini d’œuvrer, je me sens mieux et avec ces doigts qui me triturent, je sens que mes tétons re-bandent durement !

    Je me demande où sont passées les trois bougies allumées, quand je sens la première flamme lécher un très court instant mon petit orteil droit, j'hurle :

    • "Nooooon pas de brûlures, je vous en supplie, c'est dans mes tabous, si vous ne les respectez pas, Yves devra intervenir !"

    Il me rassure de suite :

    • "Tu ne seras pas brûlée, Amour, je te le garantis"

    Je veux bien le croire, mais en même temps, un de mes tétons sent une flamme le lécher rapidement en passant sur lui, puis c'est l'autre, j'hurle de douleur, tout en m'efforçant de lui faire confiance !

    Il est vrai que chaque flamme me lèche juste un court instant et que ce ne sont que les dessous des orteils et mes bouts de nichons qui sont pris pour cibles.

    J'attends la prochaine destination avec peur et angoisse. Un téton ? Un orteil ? Suivi d'un orteil de l'autre pied ?

    Mais deux doigts s'enfoncent et tournent dans mon con, et Javier dit :

    • "Encore trois minutes et nous pourrons arrêter, pour le moment son con est un torrent, et regardez la taille de ses bouts de mamelles, visiblement, cette pute-maso a peur, mais elle mouille comme une chienne en chaleur !"

    Machinalement, je commence à compter, sans arrêter de bouger et de hurler, mais quand je suis à 170, le calvaire s'achève ! Et les trois dernières bougies sont de suite soufflées et éteintes !

    J'ai hâte de me débarrasser de toutes ces saloperies qui polluent mon corps, mais très vite, je sais que je devrai attendre un peu !

    Tournante consentante = orgasmes !

    Je sens qu'ils changent de positions.

    Quelqu'un se place dans le compas de mes cuisses, frotte son gland sur ma moule cirée et juteuse, et l'enfonce dans mon con avec un grognement de plaisir.

    Je reconnais le grognement et la bite d'Yves, et je pousse mon ventre vers lui pour l'aider à me baiser à fond !

    Dans le même temps, une bite me frotte la bouche, des mains éparpillent la cire, et une pine entre son gland, se fait un peu sucer, et rentre un peu plus. J'ai la tête à l'envers, mais j'essaye de bien le pomper, j'ai reconnu Javier à son odeur corporelle et à la taille de son mandrin, lui aussi je me dois de bien le sucer !

    Après de longs et vigoureux allers retours dans mon vagin, le premier à s'arrêter est Yves, qui est immédiatement remplacé par la bite du quatrième que je viens de nettoyer !

    Je me dis que ce n'était pas vraiment la peine, mais qu'il est vrai que cette pine venait de mon cul et que là elle me baise !

    Ses coups de reins sont forts et puissants, cette bite est bien plus grosse que celle d'Yves et elle me remplit totalement le con et me faisant couiner de plaisir !

    Je retrouve très vite ma bite préférée, mais dans la bouche, Javier s'arrache de ma bouche et Yves prend sa place, je sais que je suis dans une tournante !

    Ils vont me baiser et se faire sucer en tournant tous les trois, jusqu'à ce qu'ils n'en puissent plus et qu'ils se vident dans le trou qu'il sont en train de limer !

    Cette tournante dure très longtemps, mais je sens qu'ils arrivent au bout de leur résistance, quand le hasard du timing fait que c'est Yves qui me nique, je mets tous mes muscles en mouvement et fais en sorte de balancer mon bassin vers lui, il comprend ce que je cherche, et se doute de ce que je cache :

    • "Oooooh, Amour, ta bite est la meilleure, tu vas m'envoyer au ciel, vas-y, défonce moi bien, enfonce toi le plus possible dans la connasse de ta pute de femme-maso, et jouiiiis, s'il te plaît, je veux qu'on jouisse ensemble, vas-y Amour, donne moi ton foutre, je t'en supplie, et prends ton pied en même temps, ooooooh, je n'en peux plus, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, gicle en moi, vide bien tes couilles, je suis ton réservoir préféré ! Vas-y mon Tendre lâche tout"!

    Et, miracle de l'amour, nous jouissons ensemble, j'ai essayé de ne pas trop crier pour profiter de ses grognements de plaisir et de sa longue éjaculation qui me remplit le ventre et accroît mon orgasme en le prolongeant en tsunami !

    Il se retire de mon ventre, fait comme il en a l'habitude en se nettoyant la pine gluante sur mes cuisses et laisse sa place à Javier, qui, je le pense, lui aussi ne tiendra pas longtemps !

    Mais il n'a pas la faveur de mes muscles, je me contente de me balancer très fort pour l'aider à me niquer et à jouir. Et son excitation et ma technique portent leurs fruits, lui aussi jouit longuement en moi, j'ai dans l'estomac les deux foutres : ceux de mon mari et de mon Amo !

    Si je compte bien, il me reste le quatrième à satisfaire !

    Je fais connaissance avec son foutre !

    Dès qu'il a vu que Javier se vidait les couilles dans mon vagin, le quatrième a glissé sa grosse pine dans ma bouche !

    Le ventre gavé de foutre, j'ai été contente de son choix.

    Sa manière de me donner son pieu à sucer est étrange, en fait il profite de la position de ma tête pour me faire une "gorge profonde" en enfonçant la quasi totalité de son chibre dans ma gorge, alors que jusqu'alors, je n'ai jamais pu le pomper qu'en l'avalant à moitié.

    Mais cette position m'empêche de bien le sucer, et c'est en fait lui qui va devoir me niquer la bouche, et, il le sait bien, car des deux mains il agrippe tout ce qu'il peut de mes cheveux et commence à faire des allers et retours dans ma bouche, en la sortant de ma bouche et en la renfonçant brutalement d'un seul coup de reins.

    Je fais très attention à la position de ma tête pour qu'aucun obstacle ne gêne ses pénétrations quasi verticales.

    Je me sens un peu lésée de ne pas pouvoir lui faire une vraie pipe pour laquelle j'étais prête à donner le meilleur de moi-même.

    Javier s'en rend compte et je l'entends échanger avec Yves, sans les comprendre. Ils semblent d'accord, car je les sens se rapprocher, et je me retrouve avec quatre mains sur ma chatte obscènement ouverte, ils vont me branler et ça va faire des ravages, tellement je suis excitée d'avoir la bouche occupée par une aussi bonne queue !

    Ils se régalent de caresser mes lèvres, l'intérieur de mon con, mon trou du cul, ma raie et mon clitoris. Avec leurs vingt doigts, je me crois dans une partouze et mon premier orgasme ne tarde pas à venir.

    J'essaye d'être un peu discrète, mais sans vraiment y arriver.

    La pine d'acier continue de me défoncer la gorge, ce qui m'empêche de refréner des spasmes d'étranglement, car l'air a du mal à passer dans ma gorge obstruée.

    J'arrive toutefois à étouffer des débuts de vomissements mais pas les gargouillis de salives indécents qui sortent de ma bouche malgré moi !

    Javier m'informe :

    • "Le quatrième, t'accorde gentiment un autre orgasme, il va essayer de se retenir pour toi, mais après tu boiras son foutre dont la plus grosse partie ira directement dans ton œsophage de salope ! Mais il mérite bien que tu lui fasses le cadeau d'une "gorge profonde" qui n'a pas de secret pour la putain-pipeuse-professionnelle que tu es !"

    Je suis contente que la position de ma gorge lui convienne, et je me concentre sur mon orgasme. Mes hommes ne m'ont pas lâché la chatte, et je jouis, en couinant comme une brebis à sa naissance !

    Juste à temps, car il n'en pouvait plus et je sens ses jets tièdes et gluants frapper le fond de ma gorge, il sort un peu son pieu pour que ses jaillissements de foutre arrosent aussi mon palais et ma langue.

    Le dernier jet s'écrase sur mes lèvres entrouvertes !

    C'est une éjaculation d'une rare puissance, hors du commun !

    Javier se dépêche de me dire, pendant sa jouissance :

    • "Gardes-en un maximum, tu le dégusteras plus tard !"

    Et c'est ce que je fais en refermant mes lèvres quand il se retire.

    • "Très bien, avale lentement son foutre à petites gorgées, montre lui ton réel plaisir de déguster son foutre que tu découvres !"

    Je me léche les lèvres pour ne pas en perdre une goutte, j'ai déjà dégusté quelques litres de sperme, mais celui là à un goût unique qui me séduit immédiatement et je le déguste jusqu'à la dernière goutte.

    Je me promets de ne pas boire dans l'heure qui vient pour continuer à avoir ce goût savoureux dans la bouche !

    Je reste bouche bée, mais pas que pour sucer !

    Je sens des mouvements derrière ma tête, mais, sans savoir ce qui m'arrive, je me retrouve avec un gros gode gluant, trempé et odorant qui s'enfonce lentement dans ma bouche.

    Une ou des mains doivent l'aider à me pénétrer, mais, au fur et à mesure qu'il progresse, je suis tellement excitée que je le lèche avec avidité. Il suinte d'un jus intime que je ne connais pas, mais j'ai si souvent léché et avalé des sécrétions de femmes excitées, que je suis sure qu'elles viennent d'un con de femme, aussi, et même voire plus, excitée et trempée que le mien !

    Je me demande d'où ce gode peut bien provenir ?

    Mais comme les vingt doigts de mes hommes se sont remis au travail, je suis tellement sollicitée par ma chatte que je le suce avec fougue et ardeur sans me poser d'autres questions !

    Je jouis une nouvelle fois bruyamment, sans pouvoir contrôler ni les tremblements de mon corps, ni mes cris !

    Le sucre d'orge magique qui faisait le plaisir de ma langue et de mes lèvres de pipeuse se retire d'un seul coup de ma bouche, et l'instant d'après, quelqu'un s'agite au-dessus de moi, et une chatte gluante, largement ouverte par des doigts, se pose sur ma bouche !

    Je vais bouffer une chatte ! Mais d'où vient-elle ? Je croyais être la seule femme de ce quatuor !

    En principe, même les yeux bandés, j'arrive à reconnaître la situation, même si je ne la contrôle plus ! Mais là, je ne sais plus ce qui se passe ! Mais la chatte a un parfum si agréable, elle est tellement trempée et appétissante que je vais jusqu'à me faire mal aux muscles de la mâchoire pour la lécher, la sucer et boire tout ce que je peux avec la frénésie d'une gouine réellement en chaleur, ce que je suis !

    Je crois entendre des gémissements de femme, mais dans le délire où je flotte, je dois me tromper ! Mais ils sont de plus en plus forts, et la chatte inconnue se frotte à présent sur ma bouche de toutes ses forces pour mieux sentir les raclements de ma langue sur tout ce qu'elle peut attraper, y compris un clitoris proéminent et spectaculaire, je reste longtemps sur lui et je sais que ce traitement doit être fatal, pour elle !

    Du côté de mon sexe dégoulinant, mes hommes sont tellement actifs que je recommence à crier en jouissant :

    • "Oooooh, continuez à me branler c'est si booooooon, je vais jouir une fois de plus, et j'espère que le clitoris que j'ai dans la bouche va faire s'envoyer en l'air sa propriétaire ! Il est temps qu'on s'éclatent toutes les deux ! Oooooh je n'en peux plus ! Oh que c'est boooon, je n'ai jamais vécu un tel moment, et je jouiiiiiiiiiiis"

    Comme l'avait annoncé Anita, sans que je ne le sache, ma suspension, mon corps couvert de cire fondue, ma peur d'être brûlée par les flammes et cette tournante vicieuse dans laquelle je ne savais pas qui allait juter et dans lequel de mes trous de pute, ont rendu cette séance extraordinairement excitante.

    Personnellement, je suis arrivée à des niveaux d'excitations rarement atteints, et si un vagin participait à cette séance, je ne comprendrais pas qu'il ne soit pas dans le même état que le mien !

    A présent, elle ne cache plus du tout le plaisir qu'elle prend avec ma bouche ! Elle se frotte la chatte sur ma bouche, en devenant de plus en plus demandeuse, et en appuyant de tout son corps pour que je la lèche, que je la suce avec soin, et que je déglutisse le plus rapidement possible tout ce que je peux avaler de son jus intime, car, elle sait, elle, qu'elle en a un autre, bien plus copieux, à me donner !

    Javier, Amo mio 3

    Quand elle jouit, ça commence comme un con rempli de foutre qui se vide dans ma bouche, et que je bois goulûment. Et je sais à présent que je suis en train de boire la chatte d'une femme-fontaine, et que ce sont les premiers jets de son sperme féminin que j'avale avec délice :

    Javier, Amo mio 3

    Mais, très vite, son éjaculation épaisse qui coule de son con en feu se transforme en un geyser impressionnant de ce type :

    Javier, Amo mio 3

    C'est bien une femme-fontaine qui est en train de me jouir dessus ! Je n'en ai pas rencontrée beaucoup, mais je suis ravie de boire du sperme féminin !

    Je ne peux me remplir la bouche qu'avec quelques-uns de ses longs jets puissants, mais pendant son très long orgasme, mes hommes se rapprochent, et, mains nues, ils récupèrent ce que je ne peux pas happer au passage et ils l'étalent sur mon corps, des pieds à la tête en insistant, bien sur, sur mon sexe et mes nichons !

    Mon corps en est rapidement recouvert, et je sens l'odeur de femme surexcitée qui a du remplir une vessie entière de sperme féminin, au fur et à mesure de ma domination !

    C'est assurément une Domina qui se régale de dominer son esclave !

    Dommage que mes hommes aient arrêté de me masturber, mais, puisque je ne peux plus compter sur eux, je m'empresse de descendre mes deux mains sur ma chatte brûlante, et c'est finalement mes dix doigts qui me donnent un orgasme fabuleux, alors que les derniers jets de cette femme-fontaine tombent sur mon corps bouillant et tétanisé par ma jouissance, probablement, pour compenser mes cris que je ne peux pas pousser à cause d'une bouche beaucoup trop remplie de foutre !

    Jouir quand une Domina éjacule son sperme sur mon corps de putain vicieuse, même en fantasme, je n'avais jamais imaginé que ça puisse m'arriver un jour !

    Elle se dégage de ma bouche, apparemment en étant aidée, je fais un signe pour appeler quelqu'un, c'est Yves qui se précipite, je lui montre ma bouche lèvres serrées et lui fais signe que je suis muette et de ma main je dessine dans l'air le geste de quelqu'un qui écrit.

    Il comprend de suite et dans la minute qui suit, il me met un stylo dans la main et un bloc et j'écris, à l'aveugle et probablement très mal :

    Bonjour, Maîtresse, je suis Putain-Loré !

    Yves a vite compris qu'il fallait montrer ce mot griffonné à Anita.

    Et, pour la première fois, j'entends sa voix, douce et adorable :

    • "Je suis enchantée, Putain-Loré, tu peux m'appeler par mon prénom : Anita, et me vouvoyer, à part ton obéissance totale qui implique de ne me dire que la vérité, je n'ai pas d'autres règles à t'imposer ! Attends moi la bouche pleine, je reviens de suite dans cinq minutes !"

    Elle demande à Yves de la suivre. Après une courte conversation dans le couloir, Yves revient. Javier l'interroge, il ne semble pas connaître la suite !

    • "Rien de grave ? Que faisons nous de Loré ?"

    • "Elle m'a demandé si nous avions un bidet, je lui ai dit que non, mais que la baignoire du bas était équipée d'une douchette que Loré utilisait souvent pour se laver intimement. Dans sa chambre, elle m'a montré la photo d'une parure de cuir qui est dans son sac : nous devons libérer Loré, lui enfiler cette parure, la menotter dans le dos et lui remettre ses escarpins qui sont dans le nid, en veillant à ce qu'elle n'avale pas le sperme qu'elle a dans sa bouche ! Je vais chercher ses chaussures !"

    • "Non, comme, tu as vu la photo, occupes-toi de la parure, j'y vais."

    • "D'accord, nous avons tout juste le temps de préparer Loré !"

    Javier va jusqu'au nid et revient avec mes escarpins, alors qu'Yves trouve la parure que veut Anita.

    Tous les deux s’attellent à me détacher et à me remettre sur pied, Yves m'enlève mon bandeau des yeux, en me disant :

    • "Maintenant que tu la connais, tu n'as plus besoin de ça !"

    Je regarde la parure, elle est super sexy, et je les rassure :

    • "Je pense que je pourrai l'enfiler toute seule, ce n'est pas bien compliqué, mais vous aurez des réglages à faire !"

    • "Il est 16h, comme l'avait prévu Anita, la séquence garage a duré très longtemps, mais nous nous en souviendrons longtemps !"

    Anita prend la session en main !

    J'ai terminé de mettre mon harnais de corps, et, en effet mes hommes ont des réglages à faire.

    Javier, Amo mio 3

    Javier constate que le neck corset peut se poser au dessus de son collier, et ils rattachent donc le haut de la parure aux anneaux de mon collier, et ils me serrent le qui-qui avec le neck-corset : j'ai la tête bien droite, mais il m'est quasiment impossible de tourner la tête !

    Puis ils ajustent la fixation entre le bas et le haut de la parure. Tendue, mais pas trop, pour me laisser bien droite et ne pas me pencher trop en avant.

    Ils ajustent la hauteur des offre-nichons pour les mettre bien en valeur, et serrent la ceinture qui tient le string qui dégage obscènement mes deux orifices.

    Dommage que je n'ai pas de miroir pour me voir, mais mes hommes m'assurent que je suis encore plus sexy qu'à poil !

    Je renfile mes escarpins et Javier me menotte les poignets dans le dos, juste au moment où Anita entre dans le garage enveloppée d'un de mes peignoirs et avec mes chaussons de bains !

    • "Ah, ma petite pute est prête ! Merci Messieurs ! Wouah, cette parure a été faite pour toi ! Tu es superbe, et cent fois plus sexy qu'à poil ! Ma petite pute, tu vas être contente, car nous allons nous installer au salon, qui sera plus confortable que ce garage, qui nous laissera tout de même, d'excellents souvenirs !"

    Yves prend son sac, et nous partons tous les quatre vers le salon. Anita s'assied dans un fauteuil et me dit doucement :

    • "Tu dois être gênée par tout ce que tu gardes au chaud dans la bouche, j'espère que tu as aimé le goût de mon sperme, tu vas donc t'agenouiller devant moi, et je vais te tendre mes pieds nus, sur lesquels tu vas vider le contenu de ta bouche, en évitant de salir le tapis !"

    Je me rapproche, mains liées dans le dos, dans ma tenue de salope soumise, et je m'agenouille devant elle. Elle pose ses adorables pieds nus aux ongles discrètement vernis et je sens une main me courber la tête, jusqu'à ce que mes lèvres touchent ses beaux pieds qui sentent le savon de sa toilette rapide.

    Je fais faire au sperme un dernier tour dans mon palais : il est resté à la bonne température et est très liquide.

    J'entrouvre mes lèvres comme si je voulais siffler, et lentement j'en recouvre soigneusement les pieds de ma Maîtresse, qui serre bien ses orteils entre eux, pour éviter que le liquide ne coule sur le tapis.

    Elle se penche vers moi pour regarder mon travail :

    • "Tu es très soigneuse ma petite pute, et dans la réalisation d'un ordre, tu es une esclave parfaite, je l'ai remarqué dès que je t'ai prise en main ! Et ça me plait et m'excite beaucoup !"

    Je me racle un peu la gorge, pour ramener sur mon palais les dernières gouttes, mais je n'ai vraiment plus rien à lui donner !

    • "C'est parfait, à présent tu vas me lécher les pieds et avaler au fur et à mesure ce que ta langue ramasse de mon sperme, prends ton temps ! Nous ne sommes pas pressés !"

    Je regrette de ne pas pouvoir lui caresser les pieds, et je m'installe au mieux pour que ma langue recueille le liquide que je bois de suite avec un plaisir intense !

    Ce moment idyllique doit durer au moins dix minutes, mais, quand je relève la tête, elle contrôle mon travail, m'indique du doigt deux endroits où il reste des traces, je les efface, et peu de temps après elle me dit :

    • "Voilà un travail parfait, mes pieds sont frais de ta salive et tu as pu savourer lentement mon jus, avant qu'il ne rejoigne ceux de ton Mâitre et de ton Mari dans ton estomac ! Nous voilà tous les trois dans ton ventre de petite pute ! Maintenant que tu as la bouche libre, as-tu des questions petite pute ?'

    • "J'aurais tellement de questions, Anita, que je préfère ne vous en poser aucune : j'adore votre domination cérébrale, Javier vous a bien renseignée : merci Amo mio ! Vous êtes très belle, et je me retrouve avec une Ama, un Amo et mon cher Mari voyeur que j'adore ! J'espère être à la hauteur de toutes vos attentes !"

    • "Pour cela, petite pute, rien de plus simple : il te suffit de bien écouter ce que chacun de nous va te demander, et de l'exécuter aussi bien que ce tu viens de faire avec mes pieds !"

    Elle se lève, remet ses chaussons et nous dit :

    • "Je vais me changer, on se retrouve dans ce que vous appelez le nid. Mais j'ai besoin d'un ordinateur connecté Wifi, Yves le suréquipé en accessoires bdsm et en informatique, je suis sure que tu as ça !"

    Yves se contente de lui sourire et m'aide à me relever.
    Javier m'enlève mes menottes pendant qu'Anita s’éclipse.

    Suite dans Javier, Amo mio 4

     


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