• Javier, Amo mio 4

    Javier, Amo mio 4

    Mauvaise nouvelle pour Amo mio !

    Nous fumons et buvons du café et du champagne en grignotant des tapas fraîches qu'Yves a rapportées de la cuisine.

    Je suis debout, et mes hommes sont assis.

    Je crois que, tout comme moi, ils n'ont pas envie de parler de ce qui s'est déroulé !

    Evidemment pas du léchage des pieds d'Anita, ni de ma tenue, mais de ce qui tout s'est passé depuis sont arrivée !

    Elle nous rejoint, elle a enfilé une ravissante robe vert foncé, légère, lui arrivant au dessus des genoux et très décolleté, ne cachant pas grand chose de ses seins ! Et des escarpins magnifiques assortis à sa robe.

    Elle a rapporté son sac avec elle.

    C'est à ce moment précis que le portable de Javier sonne !

    (Il répond en Espagnol, mais je traduis !)

    • "Bonjour, c'est Javier... Ah, Lola bonjour, le Congrès se déroule bien ?... Ah bon, il est déjà fini !... Oui je t'écoute !... A quelle heure dis-tu ?... 20h00 ! Mais il était prévu pour demain ?... Ah, le charter, est payé à l'heure, et l'hôtel accepte de ne pas encaisser les nuits annulées... Les 40 passagers du vol préfèrent rentrer chez eux !... C'est humain ! Eh bien, je n'ai pas le choix... Car il n'y a pas de vols réguliers Clermont-Valencia !... Entendu on se retrouve à l'enregistrement... Merci de m'avoir prévenu Lola, je t'embrasse !"

    Et, il raccroche visiblement attristé.

    • "Vous avez tout compris grâce à Loré, l'avion nous rapatrie dans trois heures, et je ne peux pas en prendre un autre, à moins que..."

    Il entre dans l'ordi, et trouve le premier Clermont-Valencia avec un stop, mais uniquement pour ce mardi avec, en plus, un changement d'aéroport à Paris !

    • "Je dois me rendre à l'évidence. Yves peux-tu me commander un taxi pour que je sois à l'aéroport vers 18h ?"

    •  "Un taxi ? Tu plaisantes Javier, je t'accompagnerai !"

    • "Mais tu ne vas pas laisser Anita et Loré sans compagnie ? Il n'en n'est pas question, commande moi ce taxi, s'il te plaît !"

    • "Attendez les hommes, je vais appeler Océane et lui demander si je peux rentrer plus tard que prévu. J'avais envisagé de vous quitter vers 18h, mais, je vais essayer de retarder !

    Elle prend son téléphone, s'isole et revient quelques minutes plus tard :

    • "Mon départ est reporté à 21h, Océane est obligée de mettre en route l'équipe de nuit et je serai avant elle à la maison, bien sur ça n'arrange pas notre pauvre Javier, mais le week-end ne sera pas entièrement gâché !"

    • "Oui, ça ne change pas mon futur, mais probablement celui de Putain-Loré !

    • "Ne te fais pas de souci, Javier, nous t'enverrons les clips de la suite de ses aventures, tu les auras pendant le vol !"

    • "Merci, mon ami Yves, ce sera une maigre consolation, mais il faudra bien que je m'en contente !"

    Yves nous ressert du champagne, et nous entamons notre dernière heure tous les quatre.

    Un petit coup vite fait, bien fait !

    • "Vous nous excusez quelques minutes, j'ai des petits secrets à révéler à mon ami Javier !"

    Il s'éloignent avec leurs flûtes vers la piscine, et là, contrairement aux autres fois, je n'ai jamais su ce qu'ils s'étaient dit !

    • "Ca ne te fais pas peur de rester seule une heure avec Anita ?"

    • "Pas du tout, Yves, d'abord, je n'aurais pas supporté que tu abandonnes Javier dans un taxi et Anita est une femme tellement extraordinaire et une Domina qui me comprend si bien qu'à part jouir, je ne risque rien !"

    • "Tu es vraiment bandante dans cette tenue, il faut que tu me trouves la même sur tes sites cochons, et peu importe son prix ! Même si elle n'est pas en solde, achète-la !"

    J’acquiesce de la tête, et me rapproche de lui, m'assieds sur ses genoux et lui offre mon corps qu'il pelote de suite avec avidité !

    Pendant que ses mains sont occupées, je sors sa bite de son maillot et je commence une masturbation qui est vite, très efficace !

    Je me relève, débarrasse rapidement la table et je lui demande :

    • "Pile ou face, qu'elle trou de ta pute préfères-tu défoncer ?"

    • "Hum, j'ai plus envie de ton con bien ruisselant !"

    Je me couche sur le dos et écarte les cuisses en les relevant très haut et en les maintenant levées et ouvertes de mes deux mains !

    L'entrée de mon con est un peu rétrécie par le cuir du string, mais ça ne gêne guère mon Tendre pour m'enfiler toute sa bite dans le con, d'un seul et unique coup de reins ! Il est bien plein de mouille, à moins que ce ne soit du sperme féminin, mais je sais que je n'ai pas la chance d'Anita !

    Il me nique avec des coups de reins durs et puissants, jusqu'à ce que je commence à couiner et à gémir :

    • "Hummmm, Amour de ma vie, comme j'adore ta grosse pine, et comme elle me ramone bien. Depuis le temps que j'attendais un petit coup vite fait, tu vas m'envoyer dans les nuages, continue mon Chéri, ne t'arrête pas, je veux sentir ton foutre gicler dans mon réservoir de putain-maso, gave-moi de ton jus, Amour !"

    Les deux conspirateurs reviennent, ils ont soif, ils s'asseyent, et allument des cigarettes pour admirer la fin de ce beau "live porno" !

    Il grogne et jouit longuement avec sa bite bien calée au fond de mon ventre et je jouis presqu'en même temps que lui, en manifestant bruyamment mon plaisir et mon aller et retour trop bref, au Paradis !

    Il applaudissent tous les deux, alors qu'Yves fait le tour de la table pour se faire lécher et sucer le pieu qui est très vite nettoyé avec ma gourmandise habituelle !

    Je me remets debout sans juger utile de me nettoyer la chatte, même si quelques gouttes de foutre tombent sur le carrelage du nid, Lydia sera là lundi pour effacer mes tâches bizarres !

    Le petit complot d'Anita et Javier !

    • "Dis-moi, Yves, tu sais, je suppose, entrer sur le site US de ta femme ?"

    • "Oui, bien sur, Anita, je te l'ouvre !"

    Elle remplace Yves dans le fauteuil.

    • "Je le découvre, mais ta femme va m'aider : petite pute, peux-tu me rechercher le clip le plus chaud que tu aies réalisé sur le thème de l'amour avec un animal, puisque, de mémoire, la zoophilie ne fait pas partie de tes tabous ?"

    Je rougis comme une pucelle effarouchée, mais je me mets debout derrière elle et la guide dans les dizaines de mes exhibitions filmées.

    • "Vous êtes sur "accueil-menu", cliquez sur "chercher un thème" et vous tapez "zoo". Vous arrivez dans un sous-dossier qui contient cinq fichiers. Vous sélectionnez le trois. Pendant le générique, vous avez un menu dans lequel vous choisissez la vitesse de lecture : lente, rapide ou très rapide."

    • "Merci petite pute, Yves cet ordi est relié à cette télévision ?"

    • "Oui, Anita, appuyez juste sur le bouton Wifi du clavier"

    Le clip démarre, mais comme il est annoncé pour une durée de quarante-cinq minutes, elle passe directement à la vitesse très rapide. Les images se succèdent, mais, seul le son est inaudible, et quand un chien entre en scène, elle passe sur vitesse rapide et regarde attentivement, jusqu'à conclure :

    • "Je sais tout ce que je voulais savoir, petit pute, tu n'as vraiment aucun tabou avec un animal, et surtout un gros chien ! Tu as beaucoup joui pendant ce tournage ma grosse cochonne ?"

    Je rougis encore plus d'avoir à avouer devant le trio :

    • "Oui, Anita, j'étais surprise, j'avais du public, le chien était très bien dressé et j'étais à la fin d'une séance super-excitante !"

    • "Je vois, donc plus chienne en chaleur que petite pute ?"

    • "Oui, Anita, je dois reconnaître que j'avais été conditionnée pour faire tout ce qu'on me demandait, sans même penser à ça !"

    • "Précise bien ton "penser à ça" petite salope !"

    D'une petite voix un peu rauque, je murmure :

    • "Flirter et baiser avec un chien, Anita !"

    • "Eh, bien, il nous reste une grosse demi-heure pour réaliser un des fantasmes de Javier, qui était le seul à savoir que je venais avec mes adorables labradors si bien dressés ! Je reviens !"

    • "Ooooh, Amo mio, tu étais au courant ? Tu sais que je suis très réservée sur la zoo, ça t'excite tellement que ça ?

    • "Eh, oui, Putain-Loré, c'est un très ancien fantasme que je suis très heureux de voir se réaliser, surtout avec toi !"

    Les talons d'Anita claquent et les deux labradors apparaissent, suivant avec docilité leur maîtresse. Ils sont très beaux, visiblement jeunes et semblent très joueurs.

    Anita fait les présentations :

    • "Je me suis inspirée des dessins animés de Walt Disney ! Le plus foncé c'est "Doug", comme dans "La-Haut" et l'autre "Pongo" pour "Les 101 Dalmatiens". Je les ai achetés, à six mois, et je les ai confiés à une école de dressage près de Nevers. Six mois après : ils obéissaient à ma voix et sont spécialisés dans "Le bonheur des Dames", pour rester dans les citations. Mes petits trésors, je vous présente Loréna, la chienne-salope avec laquelle vous allez vous amuser comme des petits fous, saluez-la s'il vous plaît !"

    Ca semble incroyable, mais les deux chiens aboient un seul coup chacun, en me regardant !

    Anita me veut très chaude pour la suite !

    • "Pendant que je me prépare, petite pute, peux-tu aller me chercher un pot de confiture de fraise et/ou de mûre, avec une longue cuillère à café ?"

    J’acquiesce et, un peu déboussolée par ce que je vais devoir affronter, je vais dans le garage prendre les confitures et en repassant par la cuisine une cuillère à mazagran qui devrait convenir à Anita.

    En revenant, je suis très surprise de la découvrir nue, en escarpins, assise à l'ombre d'un parasol sur un transat en position de fauteuil bas : dos bien calé et jambes étirées. Je pose mes trouvailles à ses côtés.

    • "Merci, ma petite pute, tu vas te mettre pieds nus, enlever le bas de ta parure : il te suffit de défaire la boucle de ton ventre, la ceinture qui tient ton string et tout le bas tombera, tu vas la ranger dans mon sac et tu reviens vers moi !"

    Je suis ses instructions et après avoir enlevé mes chaussures, je défais les deux boucles et je la ramasse à mes pieds pour la ranger.

    Au retour, elle m'indique de venir sur sa droite.

    • "Très bien, tu t'allonges sur moi, la bouche au niveau de mes seins, tu enjambes mon genou droit, en pressant bien fort ton entrejambe sur lui, je vais avoir le genou mouillé, mais c'est plus excitant que grave !"

    Je me mets exactement comme elle me le demande et pose avec soin ma chatte ouverte sur son genou, ce qui me fait gémir de plaisir !

    • "Tu gémis déjà, petite chienne en chaleur ? Et nous n'avons même pas commencé ! Ca promet ! Tu as trois parties du corps qui m'intéressent : ta bouche, car j'adore qu'une soumise s'occupe de mes tétons avec sa langue, ses lèvres et même ses dents sans exagérer ! Ta main droite qui ne te sert à rien mais qui fera plaisir à ma chatte bien coulante et à mon clito déjà très en forme ! Et, pour terminer, ta moule trempée et ravagée d'envies que tu vas frotter très fort sur mon genou qui est prêt à t'accueillir !"

    Je suis fascinée d'avoir les seins d'Anita à quelques centimètres de ma bouche, mais je surmonte mon manque de confiance et commence par de longs baisers sur ses aréoles et ses tétons que je sens frémir et grossir.

    Ma main droite trouve facilement sa chatte, bien ouverte et déjà très humide, je me contente pour le moment de caresser ses grandes lèvres de haut en bas, alors que je donne des coups de reins pour me frotter énergiquement à son genou, doux et très agréable.

    Elle ferme les yeux, visiblement prête à me laisser l'honorer de mes baisers et de mes caresses intimes, ce que n'ont pas du pouvoir faire toutes ses soumises !

    Je me frotte de plus en plus fort sur son genou, mais il faut que je garde son rythme, sans chercher à imposer le mien, et je diminue la pression de ma chatte.

    Une voix que j'ai du mal à reconnaître me dit :

    • "Pourquoi ralentir, salope, tu aimes te frotter pour jouir ? Alors, ne te gêne pas ! Rajoute un doigt, mon clito a faim de tes doigts, et mordille mes bouts avec tendresse, sois la putain-gouine très salope que je sais que tu es !"

    Je ne me préoccupe pas un seul instant de mes hommes qui doivent bander comme des ânes ! Yves doit se régaler d'avoir autant de gros plans à faire, et Javier doit fumer une cigarette en se bastonnant la bite, super excité par le spectacle que nous leur offrons toutes les deux !

    • "Guarra, frotte-toi le plus fort possible, je veux que tu jouisses !"

    Je suis au bord de l'orgasme, mais tout d'un coup, ma main droite est inondée par des jets puissants de sperme de femme, alors que je n'ai absolument ni senti ni vu arriver son orgasme !

    • "Oh, Anita, dommage de jeter tout ce bon foutre, oooooh j'aurais aimé le boire jusqu'à la dernière goutte, je l'aime tant, mais oooooh, je jouis, je jouiiiiiis, je pars au Paradis, oooooh merci Anita ! Apprenez moi à éjaculer et à jouir comme vous, je vous en supplie ! Ooooooooh je jouiiiis encore ! Merciiiiiii à vous, je vous aime tant !"

    Anita m'ordonne de me relever et me dit comme s'il ne s'était rien passé :

    • "Je suis contente de ton tsunami, je ne pensais pas que tu pouvais en avoir un avec seulement mon genou, mais nous allons vite profiter de ton excitation pour faire plaisir à Javier !"

    Anita prépare le fantasme de Javier...

    Elle émet un son et les deux chiens viennent laper et avaler tout ce bon sperme, qui aurait du être dans ma bouche ou dans ma gorge, elle me demande de m'asseoir dos tourné, appuyée à ses cuisses et me dit :

    • "Commence par la fraise, telle que tu es, tu peux tout atteindre : sans faire de pâtés, mets des demi-cuillères entre chaque orteil, et recouvre les d'une petite couche... Voilà, très bien... Remonte aux genoux et dessine des traînées sur l'intérieur de tes cuisses, sans toucher ton con... C'est parfait, c'est un régal de te voir obéir, ma petite pute !... Monte à ton visage : une demi-cuillère sur chaque joue, une traînée des épaules au cou que tu badigeonnes bien... Tu glisses un doigt dans le pot et tu te l'enfonces dans une oreille et u fais pareil avec l'autre... Et tu déposes dans ta bouche, une cuillère entière que tu n'avales pas, et avec deux doigts, tu te maquilles les lèvres !... Alors les hommes ça vous excite, vous bandez dur ?"

    • "Je ne sais plus vers où diriger ma caméra ! Et je suis parfois obligée de la mettre sur pied pour me branler !"

    • "Moi je dois m'arrêter pour me réserver pour le bouquet final, mais il risque de ne pas durer longtemps !"

    Anita éclate de rire :

    • "Bah, tu te régaleras encore plus sur les clips d'Yves ! Mais c'est vraiment dommage que vous ne soyez pas des "females" ! Vous mettez une heure à vous recharger, et nous, pendant cette heure on s'envoie en l'air quatre ou cinq fois ! Pauvres hommes je vous plains sincèrement !"

    Elle me caresse gentiment les cheveux et me dit :

    • "Allez, on continue ta préparation, mes toutous savent que quelque chose se prépare, ils doivent aussi être excités ! Mais on passe à la mûre, c'est leur fruit rouge ou noir préféré !"

    Je change de pot, nettoie un peu mes doigts sur mon ventre alors qu'Anita repend ses ordres :

    • "Comme tu t'en es rendue compte, il te reste deux parties du corps à tartiner, tu n'as plus besoin de la cuillère. Je commence par le bas... T u plonges tes doigts dans le pot, tu te lèves un peu, et tu en glisses un bon paquet dans ton trou du cul, sans trop salir les bords... Bien !... Tu te rassieds et tu fais pareil dans ton con, mais sitôt après l'avoir bien rempli, tu te maquilles les lèvres comme tu l'as fait à ta bouche !... N'oublie pas de bien oindre toutes tes lèvres et le clito ! Il faut qu'ils soient bien "mûre" ! Bravo !... Tu es parfaite !... Nous allons terminer par tes superbes nichons où ce sera très simple !... Tu trempes à tour de rôle tes deux mains dans le pot et tu badigeonnes d'une bonne couche chacun de tes nichons, et pour finir, tu fais deux petits monticules sur tes deux bouts de mamelles de chienne en chaleur !... Voilà, tu es parfaite !... Yves tu peux faire des photos ! Et toi putain, lève les cuisses pour qu'il puisse aussi prendre ton trou du cul plein de confiture !"

    Yves me mitraille de photos alors que Javier a pris sa caméra et ne sait plus où il doit filmer ! Mais, Yves le conseille !

    • "Allez, finie la séance photos ! Petite pute, tu vas te lever doucement sans faire tomber de confiture et t'installer, assise sur le ciment bien chaud de la plage, Javier va venir te menotter dans le dos et Yves va glisser un coussin de piscine, là où doit tomber ta tête en te couchant, et tu seras fin prête !"

    Le fantasme de Javier !

    • "Yves, j'ai peur d'avoir pris un peu de retard, c'est ennuyeux ?"

    • "Pas de souci, j'ai le 06 du chef d'escale : nous nous rencontrons si souvent que nous sommes devenus amis, je l'appellerai en partant pour lui dire que j'ai un des "chartérisé" en retard par ma faute !"

    Anita vient s'asseoir avec eux, Yves remplit les flûtes et, je ne peux pas boire, la bouche remplie de bonne gelée !

    Et pourtant, j'en ai très envie, car je ne sais pas du tout ce qu'Anita va demander à ses chiens, toujours assis sans bouger.

    Mais elle leur grogne un ordre, et, ils se lèvent lentement tous les deux, viennent vers moi et me tournent autour, en me reniflant.

    J'essaye de mémoriser leurs noms : Doug pour le plus foncé et Pongo pour l'autre. Pongo semble le plus joueur, et probablement sans le vouloir, il me donne un coup avec son museau qui me fait tomber sur le dos, ma tête est bien amortie par le coussin gonflable, mais mes mains menottées m'obligent à choisir un côté pour rester étendue !

    Doug semble s'intéresser à mes pieds et après un ordre, il me léche avec douceur, de sa langue rapeuse, les pieds et les orteils, alors que Pongo s'intéresse plus à mon visage. Un autre ordre et il me léche les épaules et arrive jusqu'à mon cou, où il se régale de mon badigeonnage !

    Leurs langues sont de véritables nettoyeuses ! Il ne reste aucune trace de confiture après leurs passages !

    Peu à peu, elles parcourent tout mon corps qui est recouvert autant de confiture que de chair de poule ! Doug en a fini avec mes pieds et remonte lentement par l'intérieur de mes cuisses, mais alors que je pensais qu'il allait s'intéresser à mon sexe, il remonte vers mon ventre où il y a quelques traces à récupérer.

    Je gémis de plus en plus fort et je sens mon con dégouliner sur le ciment chaud. Pongo a terminé mes joues et semblent renifler un endroit bizarre, mais il remplace sa truffe par sa langue et je la sens pénétrer profondément dans mon oreille : je couine de plaisir et ma chair de poule redouble ! Il doit savoir que j'en ai deux, car sitôt finie celle là, il passe à l'autre avec le même plaisir pour moi !

    Yves me dit souvent en plaisantant qu'un jour, il me fera jouir des oreilles ! Eh bien, ce jour a failli arriver !

    Je tourne un peu la tête pour voir ce que font les trois autres, Yves a mis sa caméra sur pied et, à poil, il se branle sans rater une miette du spectacle, Javier fait pareil avec sa grosse queue, et étrangement, Anita qui a remis sa belle robe verte, l'a roulée sur son ventre et se masturbe lentement avec trois doigts, comme moi !

    Le spectacle les excite visiblement, tout comme il me met en feu et je constate de visu que les chiens bandent avec leurs bouts roses bien sortis !

    Je décide de jouer "Miss Peggy" et je ramène les cuisses vers moi, soulève mon cul et leur offre mon anus rempli ! Mais il n'y a pas de place pour deux ! C'est le plus rapide qui me léchera le cul, et peut-être qu'il provoquera mon premier orgasme ! C'est Doug qui gagne car il était dans le coin. Un autre ordre, le fait se précipiter pour lécher longuement mon anneau avant d'y glisser profondément la langue pour récupérer la réserve de bonne confiture entreposée ! J'essaye de me retenir, mais je n'en peux plus et je jouis en essayant de ne pas effrayer les chiens !

    Mentalement je me traite de tous les noms que je connais : un chien vient de me faire jouir du cul ! J'ai l'impression d'être sur la dernière marche d'une échelle qui descend directement vers les Enfers de l'humiliation ! Jusqu'où vais-je arriver ?

    Mais, les chiens ne se sont rendu compte de rien ! Pongo descend de mon visage vers mes seins, et il les attaque en spécialiste ! Il commence par mes globes qu'il nettoie à fond, avant de s'attaquer à mes aréoles et à mes bouts, quand sa langue les râpe, je gémis de plaisir et je les sens se gonfler, il s'attarde tellement que j'ai peur de jouir une autre fois, en passant vraiment pour une salope totale !

    Mais, heureusement, des nichons il descend vers mon sexe où les deux truffes se retrouvent. Je crains le moment ou une langue va atteindre mon clito, je suis dans une telle chaleur animale, que je ne pourrai pas retenir un autre orgasme !

    Mais Pongo ne m'a pas entendue, probablement curieux de voir ce petit machin dur et plein de bonne confiture de mûre, il le lèche exactement où il ne fallait pas, je tiens vraiment à mériter ma qualité de salope cinq étoiles, car je jouis une deuxième fois, toujours sans crier, mais sans pouvoir éviter de me tortiller comme une hystérique épileptique !

    Le bouquet final !

    Anita arrête le jeu, les chiens vont se coucher à un mètre de moi et elle me dit :

    • "Putain-Loré, Yves va te libérer de tes menottes et Javier va étendre une grande couverture sur la plage, tu vas t'y mettre en levrette, avec la tête reposant sur le coussin de plastique. Tu vas lever ton cul, pour bien l'offrir ! Tu nous as bien excités tous les cinq, le moment est venu d'en remercier deux sur cinq !"

    Yves m'enlève les menottes, alors qu'à côté je vois Javier étaler soigneusement la grande couverture du garage.

    Yves m'aide à me relever. Si j'ai encore de la confiture sur moi, ce sont des micros-traces ! Javier déplace le coussin vers l'autre couverture, et Yves me guide, je me mets à genoux, puis en levrette. Mains appuyées de chaque côté du coussin, je pose ma tête sur lui sans changer le reste de mon corps de position, mon cul est bien en l'air, et je le monte encore un peu plus pour mieux l'offrir, je suppose que c'est un des chiens qui va en profiter !

    Anita se lève, appelle Bongo et le fait se coucher sur le côté droit, juste devant ma tête, j'ai sa pine, pas grosse mais très longue, à cinq centimètres de ma tête !

    Elle se penche sur mon oreille libre et me susurre :

    • "Petite pute, tu vas réaliser un fantasme très ancien pour ton Amo, mais toi qui es si imaginative, j'aimerais, avant de le réaliser que tu me dévoiles ce qui va se passer, selon toi !"

    • "Oh, Anita, est-ce nécessaire ? Je vais faire quelque chose que même une putain professionnelle refuserait de faire !"

    • "C'est exact, mais tu n'es pas une pro ! Tu es une call-girl-esclave-maso, alors, toi tu vas le faire. Allez je veux t'entendre salope !"

    • "Oh, je n'ai jamais eu aussi honte, alors rien qu'à vous, dans l'oreille, je vous en prie, si mes hommes savent que j'ai deviné ce qui allait m'arriver, j'aurais trop honte ! Je vous en supplie, Anita !"

    • "Non, à haute voix, pour tout le monde, et arrête de marchander ou je te rajoute des écraseurs aux tétons !"

    • "Oh, non pas les écraseurs, je vais leur dire, Anita !"

    • "Mes amis, rapprochez vous de la tête de cette putain, c'est elle même qui va vous raconter la fin et le fantasme de Javier !"

    • "Je n'ai aucune idée de ce qui va lui arriver, et toi Javier ?"

    • "J'ai une petite idée, mais je la laisse s'exprimer, je déteste couper la parole à une jolie femme, même dans une position aussi obscène et dégradante !"

    Ils s'approchent et, bites à l'air, ils se penchent pour m'écouter !

    Je suis obligée de me racler la gorge pour éclaircir ma voix :

    • "Anita est une Maîtresse tellement excitante que je n'ai pas envie de la contrarier, et je vais vous dire ce je pense avoir deviné pour la suite. Elle a dit tout à l'heure : "tu nous as excités tous les cinq, c'est le moment d'en remercier deux sur cinq !" Comme Anita pèse tous ses mots, quand elle a mis Pongo en position devant ma tête et, comme, personne ne m'a mis une protection pour éviter les griffes d'un chien sur mon dos, je sais que c'est Javier qui va m'enculer et que je dois pomper Pongo, jusqu'au bout ! Ooooh, je vous jure que je n'ai jamais eu aussi honte de ma vie !"

    • "C'est la vérité, Anita ?"

    • "Oui Yves, c'est un vieux fantasme de Javier que ta pute de femme va réaliser avec et devant lui ! Comme ça son départ sera moins douloureux !"

    • "Alors, si c'est un fantasme de Javier ! J'espère qu'il appréciera le cadeau !"

    • "Allez, en route, sinon vous allez rater l'avion !"

    Pongo est toujours aussi dur, Anita lui prend la bite et la rapproche de ma bouche qu'elle me fait ouvrir, elle y glisse elle même la pine du chien qui comprend de suite que ce truc chaud et humide va lui faire plaisir, mais il ne bouge pas.

    Quand je referme mes lèvres sur ce que je peux avaler de sa bite, un ordre, et il s'agite en bougeant ses reins et en s'enfonçant plus profondément dans ma bouche, ce qui doit lui tordre un peu le sexe.

    Mais il semble content et je continue en sentant le gland de Javier s’humidifier dans ma connasse trempée dont il fait plusieurs fois le tour avant de poser son gland sur mon anneau et commencer à m'enculer, lentement !

    Mais les vitesses changent : j'ai affaire à un chien très excité et Javier se retient depuis longtemps pour offrir un beau final et une belle réalisation de son fantasme !

    Pongo devient de plus en plus exigeant sur la longueur que je peux avaler et Javier augmente les fréquences de ses coups de boutoir au fond de mon cul, je suis tellement lubrifiée qu'il peut sortir entièrement sa bite et me la re-rentrer d'un seul coup jusque dans les intestins !

    A ce rythme, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps, et je vais jouir du cul en ayant une pine de chien dans la bouche, quoi de plus normal pour la pute de rue que je suis devenue en quelques heures, la salope complète qui fait tout, même ce que les putains refusent, et qui, en plus en tire du plaisir et des orgasmes à répétition !

    Je m'insulte tellement et avec un vocabulaire, qui sort de je ne sais où, que je jouis, mais seuls les trémoussements de mon cul d'enculée le prouvent, car la pine du chien m'empêche d'émettre autre chose que des grognements de bête !

    Mais, n'en suis-je pas devenue une ?

    Heureusement, mes trémoussements de mousmé plaisent à Javier qui s'enfonce en moi et se vide les couilles dans mon cul de salope ouverte à qui le veut !

    Pongo a la gentillesse d'éjaculer dans ma bouche, je pensais que les chiens étaient des éjaculateurs précoces et qu'en deux minutes ils remplissaient leur femelle en la saillant, mais Pongo doit être un peu humain, car j'ai attendu sa jouissance très longtemps ! Son foutre ne me plaît pas : il est acide, salé et nauséabond.

    Je suis heureuse pour les chiennes qui n'ont pas à le goûter, et je l'avale rapidement pour en finir, mais Anita insiste pour que je le nettoie bien en le léchant !

    Dès que Javier est sorti de mon cul, elle lui fait jeter la serviette sur moi : de mes épaules jusqu'en haut de mon cul et appelle Doug, l'ordre est différent, et il met immédiatement ses deux pattes avant sur mon dos protégé, il trouve, comme un grand, l'entrée de mon vagin et me pénètre d'un coup, et là j'ai bien la preuve que ce sont des éjaculateurs précoces, car en une dizaine d'allers et retours dans mon con, il éjacule ! Me revoilà pleine de foutre, mais un seul vient d'un humain, les autres ont vidé des couilles de chiens et je ne suis pas vraiment fière de mon exploit !

    Hélas, Javier doit nous quitter !

    Je file à la salle de bains en disant à Javier :

    • "Si je ne suis pas ressortie de ma crasse et de mon foutre, viens me faire un gros baiser dans la salle de bains, excuse moi si j'y suis à poil, tu pourras mieux me peloter, vicieux !"

    Yves est tout de même inquiet, car il est presque 19h. Il appelle de suite son ami :

    • "Germain ? Bonjour c'est Yves !... Non ce n'est pas moi qui suis en retard, c'est un ami qui rentre avec le charter de Valencia... Tu sais où il en sont ?... Ah, une petite réparation avant de pouvoir décoller... Décollage à 21h... Ouf... Mais non imbécile heureux, ce n'est pas moi qui ait saboté l'avion !... Bon merci et désolé pour la panne ! On part de chez moi... Comment il s'appelle ? Deux secondes, je ne sais pas comment ça s'écrit ! Ah, voilà Javier comme prénom et Loggrano ! Avec deux G ! Merci Germain, on se voit mardi sur le premier Orly, je retourne à Moscou ! Je viendrai en avance... Comment ça t'étonnerait ? Je viens deux heures avant le décollage et je t'offre le petit déjeuner buffet gastro au Panoramique !... Oui ça t'en bouche un coin ?... Quoi ? Que je sois en avance ou que je t'invite au Buffet ?... Les deux ?... Voyou, je te porterai un croissant non décongelé de la part de Loré ! Allez à mardi ! Et dit au pilote du charter de piloter doucement !"

    • "Wouah, c'est vraiment un bon copain, on est sauvé, la petite panne nous dépanne !

    Je sors de la salle de bain enveloppée dans mon peignoir et en chaussons, ça me fait tout drôle de ne pas être à poil !

    Javier a préparé ses affaires, tout vérifié et nous sortons toutes les deux pour les accompagner, personne dans la rue, nous pouvons longuement nous embrasser, et Javier, comme promis en profite pour me peloter et me dire :

    • "Et surtout ne soit pas sage ni avec Anita, ni avec Yves ! J'aurai tes clips pour me prouver que tu as été très salope !"

    • "Plus salope que de me faire enculer en pompant un chien ? Tu crois que ça existe ?"

    • "Bien sur avec une vraie bite d'âne, je vais en chercher un sur Valencia et je te l'achèterai !"

    • "Tu es un salaud, je n'irai jamais à Valencia, sauf si tu m'en donnes l'ordre !"

    Rires, bisous, étreintes, saluts de la main et les deux hommes démarrent. Anita et moi nous nous retrouvons toutes les deux pour une bonne heure !

    En tête à tête avec Anita !

    • "Ah, Javier, quel homme sympa ! Si je n'avais pas été gouine, je me serais surement mariée avec lui ! Dommage !"

    • "Oui, il est super cool et en plus c'est un dominant et un amant extraordinaire, dommage qu'il habite si loin !"

    • "Hum, ma chérie, moi j'habite à moins de deux heures de chez toi et tu n'as pas besoin de demander d'autorisation pour prendre rendez-vous avec moi ou même avec Océane et moi !"

    • "Exact, Anita, mais n'oublie pas que depuis un peu plus de deux ans, j'ai une organisatrice de mon planning intime qui s'appelle Cathy !"

    • "La Reine du bdsm auvergnat ! Tu as beaucoup de chance d'être formée par elle. Ta parfaite obéissance est déjà une très belle preuve de sa réussite ! Je ne la connais que de réputation, mais j'aimerais bien la rencontrer un jour !"

    • "Oh, ça c'est un fantasme que je réaliserai facilement et sans chien ! Je lui en parlerai dès demain, elle m'a donnée ma liberté pour ce weekend avec Javier, elle ne savait pas que tu étais invitée, mais je vais lui dire tant de belles choses sur toi, qu'elle t'appréciera et acceptera de te rencontrer !"

    • "Là, tu vois, ma petite pute, on est en train de faire ce qu'il ne faut jamais faire quand on est en séance : on papote entre copines et on oublie pourquoi on s'est rencontrées !"

    • "Je crois que c'est la toute première leçon de Cathy, mais on arrête et je redeviens ton esclave-sexuelle-maso-enculée-suceuse-de-chien. Ca te va ?"

    • "Tout à fait, il est 19h, Yves revient vers 20h10, et je dois vous quitter vers 21h à dix minutes près, donc nous avons une heure dix toutes les deux et une heure trente et un peu plus avec ton mari !"

    • "Exact, mais allons boire une coupe de champagne et fumer une cigarettes pendant que tes neurones sortent un super scénario d'une heure. Au passage je vais prendre du café, j'en ai besoin !"

    Elle éclate de rire :

    • "Rassure toi petite salope, il est déjà prêt ! Et il m'excite tellement que j'ai hâte de te mettre au défi, en revenant, ramène le reste de ta parure !"

    Le premier défi d'Anita !

    Nous buvons une coupe de champagne et du café. Je range la parure dans le sac d'Anita et nous allumons une cigarette :

    • "Il me faut dix minutes seule devant cet ordinateur, tu vas en profiter pour enfiler, sur ton corps nu, ton tailleur de travail le plus classieux, en gardant ton collier. Tu t'arranges pour te faire une coiffure type cadre sup. Tu rajoutes tes escarpins sexys et tu me rejoins dans l'entrée à 19h10 tapantes ! Je t'emmène faire un petit tour, tant qu'il fait encore jour, compris ?"

    • "Oui, Anita, j'ai tout noté et je serai à l'heure !"

    • "Allez magne ton beau cul appétissant et accueillant, salope !"

    Je réalise que j'ai peu de temps pour tout faire, et je me presse, le tailleur et les escarpins sont sortis, je file à la salle de bains pour revoir ma coiffure, comme mes cheveux sont très souples, je n'en ai pas pour longtemps à me faire un chignon de femme autoritaire.

    Et je retourne dans ma chambre pour terminer de m'habiller.

    Il me reste trois minutes, j'en profite pour aller chercher une cigarette au salon, l'allumer et aller à la cuisine pour boire un grand verre de Vichy et je finis ma cigarette à la cuisine. Je sors en entendant ses bruits de talons dans le couloir !

    Une petite balade XXX !

    Elle me dit qu'avec les chiens ce n'est pas la peine de fermer la maison. Elle prend le volant, je m'assieds sur le siège passager et elle se tourne vers moi :

    • "Déboutonne ta veste de tailleur que tu garderas ouverte tout le temps de notre périple, et comme bijoux tu te mets ces deux pinces aux nichons, elles ne sont pas trop lestées, car il te faudra les garder au moins une heure !"

    Je souris, et pose les pinces sur mes tétons, en grimaçant un peu de douleur.

    • "Je ne veux pas entendre un seul mot ! Et tu ne fais aucun mouvement ! Je veux un bout de bois à mes côtés !"

    N'ayant rien à répondre, elle démarre et règle son GPS. J'essaye de garder mon sang froid alors que les pinces me font souffrir.

    En arrivant dans la petite ville programmée, elle prend une route qui contourne le centre avec des feux limiteurs de vitesse. Elle semble chercher quelque chose.

    Elle double un scooter et dévisage le conducteur, elle accélère et s'arrête un peu plus loin. Elle redémarre et double le scooter. Au loin un feu vert, elle ralentit, et quand il est rouge, elle s'arrête à gauche de la chaussée en me disant :

    • "Baisse ta vitre, montre bien tes nichons pincés sortant de ta veste de bourgeoise et fais un geste amical au conducteur qui a l'air sympa, et envoies lui un baiser avec tes lèvres"

    L'ado s'arrête de mon côté. Il est en effet sympa, mais il ne doit pas avoir plus de 14 ou 15 ans, je réalise qu'elle est en train de me faire draguer cet ado !

    Elle s'adresse à lui :

    • "Salut bel ado, tu as vu la marchandise ? Ca te dit de jouer avec elle ? Si tu la veux, trouve nous un parking tranquille pour ton engin et ma voiture !"

    Il démarre et prend un petit chemin qui nous conduit dans un coin isolé. Il enlève son casque, il est, en effet, très mignon et, il demande en bredouillant :

    • "C'est gratuit, Madame ?"

    Anita lui répond en riant :

    • "Bien sur, que c'est gratuit, c'est une bourgeoise très salope, vicieuse et maso qui veut jouer à la pute, tu peux lui faire ce que tu veux sur la banquette arrière, mais à une condition ! Tu appelles quatre ou cinq potes de ton âge pour les faire profiter de cette salope !" 

    Le garçon réfléchis un peu et finis par dire à Anita :

    • "D'accord, je m'appelle Mic, je vous donne mon portable, je vous dis qui appeler et pendant que je me régale avec la pute, vous les appelez, dites leur que nous sommes dans le pré de Mme Martin. Mais je n'ai pas de capotes ?"

    • "Je m'appelle Anita et la salope s'appelle "la salope", ne te fais pas de souci j'ai des capotes !"

    Pendant que je passe sur la gauche de la banquette arrière, très confortable, dans cette voiture de luxe, Mic donne à Anita cinq prénoms qui sont dans la mémoire de son téléphone :

    • "Ce sont mes meilleurs amis, nous sommes toujours ensemble, dites bien que vous appelez de ma part !"

    • "Ok, je les appelle. Le mode d'emploi cette salope, est simple, tu lui demandes ce que tu veux et elle l'exécute de suite, elle n'a rien à te refuser ! Tu peux la baiser, l'enculer, te faire pomper : c'est ton jouet pour un quart d'heure. Tu la tutoies et elle te vouvoie, et tu seras gentil de répéter tout ça à tes copains au fur et à mesure de leur arrivée ! A toi de jouer"

    Il s'assied à mes côtés, et me demande de suite de me mettre à poil, ce que je fais en souriant en enlevant ma jupe par le bas. Je m'apprête à me mettre pieds nus, mais il me retient :

    • "Non pas tes souliers, ils sont très sexys, garde les, hum, à bien réfléchir, tu en enlèves un et je vais me branler en te regardant nettoyer ta semelle avec ta langue, puisque tu dis oui à tout !"

    J'enlève mon soulier droit, m'adosse à ma portière, j'écarte bien mes cuisses pour qu'il puisse me mâter la chatte, je pose la semelle de mon escarpin sur ma bouche et sors ma langue.

    Il semble fasciné, il enlève son short en se tortillant un peu, son caleçon et dégage une bite bien faite et bien dure pour son âge ! Il semble hypnotisé de voir courir ma langue sur ma semelle pas très propre, il a du voir ça sur des sites pornos, mais là, il voit une vraie femme, même si c'est une salope, le faire devant lui !

    • "Tu vas changer de position ! J'ai très envie de voir ton joli cul ouvert devant moi, mais n'arrête pas de lécher ta semelle !"

    Je vois ce qu'il veut et change de position en me mettant à genoux, cul tourné vers lui, et vicieusement, ma main libre écarte ma raie du cul ! Il s'adresse à Anita :

    • "Madame, je n'ai jamais enculé une femme, vous pouvez me dire si c'est possible et peut être m'aider un peu ?"

    Anita rit, et se retourne :

    • "Avec la bite que tu as, tu n'auras pas de problème, tu devrais lui lécher un peu l'anus pour la lubrifier, rassure toi elle s'est lavée le cul avant de partir, puis je te donnerai un tube de vaseline et tu lui en mettras sur l'anus et dans le trou du cul, voilà un Sopalin pour te nettoyer les doigts, et quand elle sera prête, je te donnerai une capote, tu sais te l'enfiler tout seul ?"

    • "Merci, Madame, oui je sais comment mettre une capote !"

    Il s'approche de mon cul et commence à le lécher en salivant dessus et il glisse sa langue dans mon anus qu'il lèche avec frénésie, je me laisse faire car, même novice, il le fait très bien !

    • "Mic, deux de tes copains arrivent, et le troisième a mon autorisation pour venir avec sa soeur de 18 ans qui aime les nanas, et semble très excitée ! Les autres sont sur répondeur !"

    Il ne répond rien, occupé à déguster mon trou du cul. Anita lui passe le tube de vaseline, il se relève et enduit soigneusement l'anneau de mon anus et en injecte dans mon trou. Puis il met la capote qu'Anita lui a passée, mais le petit vicieux m'enlève l'autre chaussure et me dit !

    • "Baisse la tête et lève ton cul très haut, tu vas sucer bruyamment tes semelles sales pendant que je vais m'assurer qu'on est bien dans le cul d'une bourge-salope qui veut jouer à la putain !"

    Apparemment, il a hâte de s'enfoncer dans mon cul, mais après quelques tentatives infructueuses, il n'arrive pas à entrer.

    Je passe une main sous moi pour l'aider à trouver mon anus, il y pose son gland, et d'un brusque coup de reins, avec un petit cri de triomphe, il rentre toute sa bite en moi, m'arrachant un couinement de plaisir !

    Anita le félicite, mais, je saurai plus tard, que cette coquine nous a caché que sa voiture est équipée de quatre caméras soigneusement camouflées en sortie d'air, et, elles ne ratent aucun mouvement de ce qui se passe dans la voiture !

    Je déteste les jeunes baiseurs, car ils ont tout à apprendre, mais ce n'est pas mon rôle ! Je repense à la saillie de mon amant chien, et, là, c'est la même chose, surexcité d'enculer une femme pour la première fois, il me lime comme un fou, et ce qui devait arriver arrive !

    Il m'encule profondément en remplissant sa capote et en gémissant de plaisir !

    Je suis tout de même heureuse de son plaisir, je resterai toute sa vie, la première femme qu'il a sodomisée !

    Anita le félicite :

    • "Alors ça t'a plu ? Tu vas pouvoir te vanter d'avoir enculé une femme auprès de tes potes ! Passe moi la capote, fais attention de ne pas tâcher le cuir de la banquette, je vais la mettre dans une grosse épaisseur de Sopalin et je la jetterai chez moi !"

    Il est tout essoufflé et enlève avec précaution sa capote pour la tendre à Anita :

    • "Oh, Madame, comme c'était bon ! Je me suis régalé, je voulais tenir plus, mais je n'ai pas pu !"

    • "C'est normal fiston avec le temps et la pratique tu apprendras à te retenir parfois même pour que ton enculée jouisse du cul !"

    Les potes de Mic le scooter-man !

    Deux scooters nous rejoignent, sur l'un d'eux, il y a le frère et la soeur, je ne suis pas mécontente de la venue d'une jeune femme !

    Anita me demande :

    • "Puisqu'ils sont tous là, petite pute, rhabille toi vite, remets tes chaussures, nous allons les accueillir dehors, n'oublie pas de laisser ta veste ouverte !"

    Je fais le plus vite possible, mais, même dans une voiture de luxe, se rhabiller, remettre ses escarpins et se laver le cul avec des lingettes intimes ne sont pas très faciles à faire.

    Je rejoins un peu plus tard, Anita, qui est déjà en grande conversation avec eux. Comme convenu, c'est Mic qui se charge de transmettre "le mode d'emploi du jouet" à ses potes, mais il ne peut pas cacher sa fierté d'enculeur, et il le dit à tout le monde !

    Il est acclamé par tous ses potes, l'un d'eux le traite de bluffeur ! Mais Anita intervient fermement !

    • "Je vous assure que Mic dit la vérité, j'étais sur le siège avant et j'ai tout vu dans le rétro, il a bien jouit dans son cul !"

    Mais, comme, apparemment ils ne sont plus puceaux, ils s’empressent de demander à Anita s'ils peuvent eux aussi me faire la même chose ! Je le redoutais !

    • "Pourquoi elle offrirait son cul à Mic, et pas aux autres ? Mais nous allons modifier la situation pour que vous profitiez encore mieux d'elle ! La salope va s'agenouiller sur la banquette arrière de la voiture. Elle sortira sa tête et ses nichons. Le premier à l'enculer lui donnera sa queue de l'extérieur. Il se fera sucer suffisamment de temps pour être bien dur, mais sans jouir ! La salope sait, par habitude, quand un mec est prêt à l'enculer. Il montera sur la banquette arrière, pour s'agenouiller derrière elle. Elle ouvrira ses fesses avec ses deux mains, pour bien lui offrir son anus : il commencera par lui lécher le cul, comme a fait Mic pour bien la lubrifier de sa salive, puis je lui passerai le tube de vaseline, et quand elle sera prête, il mettra sa capote et l'enculera, tout le monde a compris ?"

    • "Juste une question, Madame, quand celui qui va l'enculer, quitte sa bite de la bouche de la salope, le deuxième à l'enculer peut en profiter pour venir de suite se faire pomper ?"

    • "Bonne remarque, pas besoin d'attendre qu'il l'encule, il se fera de suite pomper, et quand le premier aura éjaculé, le deuxième sera prêt à prendre sa place ! Bravo ! Bonne idée !"

    • "Super plan, Madame, vous êtes une excellente organisatrice, si nous organisons une partouze, vous nous donnerez un coup de main ou des idées ?"

    • "Pourquoi pas ? Mais il faudra attendre quelques années, vous n'avez pas encore l'âge et la maturité pour partouzer !"

    Ils rient, et tout se met en place. La jeune femme s'approche d'Anita et lui demande si elle peut lui parler en tête à tête. Anita l'entraîne un peu plus loin et lui dit :

    • "Tu veux surement savoir comment ça se passera pour toi ?"

    • "Oui, aucun de mes amis ne m'a vue nue et ne me sens pas capable de jouer avec une lesbienne sous leurs yeux, j'ai déjà eu pas mal d'expériences, mais jamais en présence d'hommes !"

    • "C'est tout simple, tu me diras comment tu veux qu'elle t'accueille ? Nue, habillée, et dans quelle position, avec les garçons, nous irons nous balader, et une vingtaine de minutes plus tard, je reviendrai. Ils ne te rejoindrons que quand tu seras prête. Ca te convient ?"

    • "Oh, oui, Madame, c'est parfait comme ça ! Merci beaucoup !"

    Quand elles reviennent, je suis à genoux et à poil sur la banquette, la tête et les nichons sortis, le premier à mettre en forme a sorti sa bite et se branle pour se chauffer un peu, le deuxième a sorti la sienne qui pendouille un peu !

    Anita donne le top départ, et l'ado s'approche de moi et me dit :

    • "Je vous trouve très belle et très excitante, Madame, et très courageuse de vous livrer à ce genre de services !"

    Je ne réponds bien, je commence par le branler un peu et petit à petit sa pine durcit et je peux la rentrer dans ma bouche. Je suis à la bonne hauteur pour le sucer, sans oublier de lui caresser et de lui léchouiller ses belles couilles juvéniles.

    Il durcit encore rapidement, mais je le garde un peu plus en bouche par vice ou par gourmandise et finis par lui dire :

    • "Je ne pense pas que tu puisses bander plus, viens derrière moi !"

    Il fait le tour de la voiture et s'agenouille derrière moi, la première chose qu'il fait est de se mettre à poil, et j'apprécie ! Puis il suit "la règle de trois" édictée par Anita, il lèche et suce longuement mon anus en salivant un maximum dessus.

    Pendant qu'il se régale et me régale le cul, le prochain enculeur se présente bite à l'air devant ma bouche, et je dois me concentrer sur les deux pour leur donner un maximum de plaisir !

    A l'intérieur, Anita a passé le tube de vaseline à l'ado qui me prépare bien et avec beaucoup de soin, je n'ai pas le courage de lui dire qu'avec la vaseline du premier, je pouvais prendre cinq pines à la suite dans le cul !

    J'en profite pour sucer les couilles du jeune comme si c'étaient des gros bonbons ! Il en grogne de plaisir, ce qui me récompense !

    Je suis bien vaselinée, et le jeune enfile sa capote comme un expert, il s'agenouille à la bonne hauteur et rentre du premier coup son gland qui écarte bien l'anneau de mon cul.

    Rentrer le reste est simple, mais il doit être un peu plus mature que l'autre, car il ne me lime pas comme un fou et profite de chaque aller et retour dans mon cul, comme s'il les savourait tous !

    Dehors c'est un peu la panique, le jeune est obligé de se retirer de ma bouche pour ne pas jouir, le pauvre me fait de la peine, car à peine entré dans mon cul chaud et serré, il va tout lâcher !

    Dedans, le rythme du pilonnage de mon cul s'accélère et je sens que le jeune est à point, et après deux allers et retours, il éjacule dans sa capote en grognant de plaisir, j'ai cru entendre Yves, tellement leurs grognements se ressemblent !

    Il récupère en restant dans mon cul et bien accroché à mes hanches, mais, comme le premier, il donne sa capote pleine à Anita qui lui tend un Sopalin en échange.

    Heureux de le voir sortir de la voiture, mon jeune pompé me remercie mille fois et prend sa place, et j'essaye de l'aider :

    • "Ne me lèche pas le cul, et ne me met pas plus de vaseline, tu en a assez pour m'enculer jusqu'à ce que je sente tes couilles !"

    Il se capote la queue et lui aussi entre entièrement dans mon cul sans avoir eu à chercher l'entrée ! Mais, il est obligé de ressortir pour ne pas éjaculer !

    • "Tu es trop excité, tu ne peux rien faire, reste dehors et compte jusqu'à vingt, rentre la moi dans le cul et reste un peu au fond, ça te calmera peut être !"

    Il fait ce que je lui dis, mais en ressortant et en re-rentrant une fois de plus, il se vide dans sa capote avec un cri tellement adorable, qu'il me comble de plaisir. Un autre qui se rappellera de mon cul toute sa vie !

    Il me remercie encore un millier de fois et me quitte en me disant :

    • "J'espère que je ne t'ai pas fait mal !"

    Je lui réponds en souriant :

    • "Tu es un très gentil garçon, rassure-toi, tu ne m'as pas fait mal, mais au contraire, tu m'as donné beaucoup de plaisir !"

    Anita s'adresse à tout le monde :

    • "Mes nouveaux amis, et amants de cette enculée, nous allons laisser Lili et la salope entre filles ! Nous allons visiter les environs, un bon quart d'heure avant de les rejoindre. Mais, là, j'aurai un dernier cadeau à vous faire, et nous vous laisserons !"

    Je me demande quelle est la nature du cadeau préparé par Anita, je suppose que ce sera vicieux et probablement très humiliant !

    Les garçons approuvent et Anita rajoute pour moi :

    • "Petite salope, Lili te veut habillée et assise sur la banquette, amusez vous bien les filles !"

    Lili passe devant elle et elle lui murmure à l'oreille :

    • "Tu as la pommade sur mon siège, comme convenu !"

    Et elle s'éloigne avec les ados, super contents de leur première fois !

    La jeune Lili, gouine-scooter-woman...

    Je finis de m'habiller, me nettoie rapidement le cul et ouvre la portière à Lili qui s'assied à ma droite, rouge comme un champ de pivoine !

    • "N'ai ni honte, ni peur, j'aime ce que je fais, car j'ai une libido hors du commun ! Tu es donc une femme qui aime les femmes ?"

    • "Oui, Madame, mais j'ai du mal à entrer dans le monde du bdsm, je connais quelques filles qui sont sado-maso, mais je les évite ! Je pense que les pinces que tu as aux seins te font très mal, et Madame Anita m'a donné l'autorisation de te les enlever."

    • "Ca me fera un immense plaisir, veux-tu me les enlever ou préfères-tu que je le fasse ?"

    • "Comme tu vas beaucoup souffrir, car ça doit faire longtemps que tu les portes, je préfère que ce soit toi qui le fasse !"

    Je souris, déboutonne ma veste et enlève avec précaution la première, en poussant un hurlement de douleur que tout le monde doit entendre !

    Lili détourne les yeux et se penche vers le siège du conducteur, pendant que je fais pareil avec l'autre, avec le même résultat sonore !

    Je les jette sur le siège passager. Lili a dans la main ma pommade calmante. J'enlève ma veste pour qu'elle puisse bien pommader mes aréoles et mes tétons, ce qu'elle fait avec envie et beaucoup de douceur, très vite la forte douleur se transforme en gêne supportable !

    • "Merci, Lili, cette torture me paralysait ! J'aimerais te remercier, te sens-tu le courage de te mettre nue devant moi ? Je sais être une excellente gouine, et tu ne le regretteras pas !"

    Sans répondre, elle déboutonne son chemisier, enlève et dégrafe son soutien-gorge. Pendant que j'enlève ma jupe et mes chaussures, sans la quitter des yeux.

    Quant elle délace ses chaussures et enlève sa petite culotte en coton, nous sommes nues toutes les deux !

    Le reste est une simple séance entre deux gouines, à part que je m'occupe d'elle, en ne lui demandant rien en échange !

    Je lèche longuement ses pieds, et une autre position me permet de m'occuper soigneusement de ses petits seins très réceptifs.

    Quand ses tétons bandent bien, je remonte un peu et l'embrasse longuement sur la bouche, elle me donne sa langue et nous nous fouillons fébrilement les bouches.

    Sans arrêter de lui gouiner la bouche, je descends une main vers sa chatte, qui est déjà bien humide. Je l'appuie à sa portière, lui ouvre largement les cuisses, lui relève un peu le cul pour lui faire plaisir en lui léchant l'anus.

    Quand ma langue en pointe la pénètre doucement, elle remue son joli petit cul. Elle sent très bon et je me régale de ses petits cris de plaisir !

    Mais mon objectif est son con, que j'ouvre de mes deux mains, et ma tête disparaît entre ses cuisses. J'essaye de la gâter en lui offrant toute mon expérience de gouine mangeuse de chatte !

    • "Oooooh, c'est trop bon, Madame, laisse moi te rendre la pareille, je t'en supplie, ce n'est pas juste !"

    Je fais non de la tête et continue à lui manger l'entre-cuisses, je remonte mes mains sur ses tétons, je les pelote un peu, et je suis récompensée par un orgasme, discret et à peine visible, mais trahi par les contractions de son vagin, que je ressens bien dans ma bouche !

    Elle tente de me relever la tête, mais je l'en empêche et continue à la lécher, à la sucer et à boire son jus intime de jeune femelle chaude. Je n'oublie pas de remonter de temps en temps mes mains pour que ses tétons soient aussi conviés à la fête !

    Dehors Anita nous dit :

    • "Vous avez fini les filles, je peux ramener les garçons ?"

    Je lève une main et indique "cinq" avec mes doigts !

    Je suis de plus entreprenante avec Lili, je pose un doigt sur son clitoris à peine visible, mais ses gémissements me font penser que je ne me suis pas trompée, et en quelques minutes, elle a son deuxième orgasme dont je me sens très fière !

    Nous émergeons toutes les deux, je mouille comme la grosse cochonne que je suis ! Je tends des lingettes intimes à Lili qui s'essuie la chatte et commence à se rhabiller, les joues colorées de plaisir !

    Je me rhabille plus rapidement qu'elle, car je n'ai pas grand chose à enfiler, je l'embrasse une dernière fois sur la bouche :

    • "Ne dis rien, rejoins les autres, Anita a un cadeau à vous faire, et je ne sais pas ce que c'est, je serai aussi surprise que tes amis et toi !"

    Elle descend de l'auto en me disant simplement :

    • "Merci, Madame, je n'avais jamais aussi bien joui !"

    Le cadeau humiliant d'Anita !

    Quand je sors à mon tour, Anita me glisse à l’oreille :

    • "J'ai eu Yves, il n'est pas encore à la maison, je lui ai dis que nous serions à la maison vers 20h10, il m'a dit que ça ne posait pas de problème !"

    Nous sommes regroupés devant elle et elle annonce l'organisation :

    • "Je dois vous distribuer vos places pour que vous appréciez bien votre cadeau : Lili sur le siège du conducteur, Mic sur celui du passager, tous les deux tournés vers l'arrière. Pendant ce temps, la salope s'assied au milieu de la banquette arrière, à poil et encadrée pas nos deux autres beaux gosses. Messieurs, vous pouvez sortir vos bites ! Allez tout le monde à sa place !"

    Je me déshabille entièrement et me mets au milieu de la banquette arrière, les deux jeunes s'asseyent de chaque côté de moi, leurs bites déjà bien dressées ! Mic fait pareil et s'installe à genoux pour bien mater derrière.

    Pendant ce temps, Anita confie un petit paquet à Lili et lui explique ce qu'elle doit en faire, Lili approuve de la tête et s'assied, elle aussi tournée vers moi !

    Quand tout le monde est en place elle nous dit !

    • "Excusez moi de ne pas être avec vous, mais la voiture ne le permet pas ! Vous êtes tous bien placés et vous n'allez rien rater. Petite salope, tu vas glisser ton cul vers l'avant, lever tes genoux pour qu'ils s'appuient fortement sur les deux dossiers avant. Tu ouvres ton con avec tes deux mains et tu commences de suite à te masturber, pour montrer à tout le monde comment une bourgeoise-salope s'envoie en l'air toute seule ! Je suppose que ton quart d'heure récréatif avec Lili a fait dégouliner ton con ! Pour la suite, c'est Lili qui a les cartes en mains ! Moi je materai de l'extérieur : baissez toutes les vitres, le bouton est dans la poignée de votre portière, merci !"

    Pendant le ronron des vitres qui s'abaissent, je pose ma tête sur le coussin moelleux, mets mes genoux en position, j'en profite pour les écarter au maximum et bien les caler contre les dossiers des sièges avant. Je finis d'ouvrir ma moule avec mes doigts et ma main droite reste sur place. Je me branle, comme si j'étais seule, sans fausse honte ni pudeur, devant une gouine ravie et trois enculeurs qui sont encore sur leur petit nuage !

    Lili n'arrive pas à dire tout haut ce qu'elle doit annoncer ! Comprenant sa gêne, Anita vient à son secours !

    • "Pas de souci, je vais te remplacer : Lili a les trois capotes pleines du foutre de ses amis enculeurs ! Elle va les donner une par une à cette pute, ce qui lui fera trois chewing-gums appétissants à mâchouiller, avec au coeur de chacun d'eux la boisson qu'elle préfère ! Je suis désolée de ne pas avoir attribué un prénom à chaque capote ! Si elle les a salies avec son cul, ce n'est pas grave, car elle devra l'avaler avant que Lili ne lui donne une autre ! La connaissant elle devrait s'envoyer, au moins deux fois en l'air ! Mais si vous vous branlez essayez de ne pas jouir : vous pourrez éjaculer dans sa bouche d'affamée du foutre !"

    Pour l'humiliation et l'obscénité, je sais que je peux compter sur Anita !

    Mais je suis tellement excitée, que sans arrêter de me branler de la main droite, je prends la première capote que me tend Lili et la met dans la bouche, l'image du chewing-gum est très réussie, tout au moins au début ! Je ne sens qu'un arrière goût fadasse, mais quand mes dents percent le caoutchouc, je retrouve le goût du foutre un peu solidifié. Je continue toutefois à déglutir, jusqu'à le vider entièrement et à avaler ce qui reste du préservatif !

    De chaque côté de moi, les pines sont dures et dressées, je préférerais les sucer, mais Lili me tend la deuxième capote avec laquelle je fais pareil, mon machouillage est agrémenté par un très bel orgasme que je ne camoufle pas, mais j'essaye tout de même de respecter les oreilles de mes voyeurs en ne criant pas trop fort !

    La dernière ressemble au début aux autres, mais, ce doit être la plus récente, car le foutre est un peu plus liquide et en le buvant avec lenteur, je m'envoie en l'air, pour faire plaisir à Anita, mais, aussi et surtout ! Pour me faire plaisir !

    • "Bravo salope, tu as rempli ton engagement, à présent, les garçons vont sortir de la voiture, tu vas t'allonger de tout ton long sur le bord de la banquette, la tête hors de la voiture et les garçons qui auront envie de se finir en se branlant dans ta bouche s'agenouilleront à hauteur de tes nichons, et à tour de rôle, ils vont éjaculer en se branlant dans ta bouche, mais tu te contentes d'avaler, interdiction de les sucer ! Je sais que pour toi ça sera une punition, mais tu ne seras qu'un réceptacle à foutre, ce que tu es dans ta vie de tous les jours !"

    Tous les garçons ont suivi à la lettre les instructions d'Anita et n'ont pas joui ! Ils passent tous les trois sur mes nichons, et j'avale leurs foutres, à la troisième éjaculation, je suis au bord de la nausée, mais j'essaye de rester souriante !

    • "Tu as trois minutes pour te rafraîchir la chatte, tiens, bois de la Vichy ça t'aidera à rincer ta bouche de salope ! Nous partons ! Merci les jeunes, et bravo, vous êtes des Champions ! Peut être à bientôt !"

    Je rejoins mon tendre, mais Anita nous quitte !

    Il est 20h10, quand nous revenons à la maison, Yves nous accueille en nous confirmant qu'il vient à peine d'arriver, car il s'est attardé avec Javier !

    Anita nous dit :

    • "Je suis désolée mes amis, mais Océane me manque trop, j'ai hâte de la rejoindre, le défi suivant peut se passer de moi : c'est une session-vidéo pour une soumise obéissante et maso que j'ai montée pour elle ! Loré, tu devrais aller prendre un bon bain et te remettre sur pied, pendant que j'expliquerai à Yves comment cette session va se dérouler, car nous ne pouvons plus l'arrêter !"

    Moyennement contente, je les laisse mais sans oublier de dire à Anita :

    • "Anita, ne pars pas sans venir me dire au revoir, je t'en prie !"

    • "Rassure toi Putain-Loré, faire jouir une pute des nichons qui prend son bain, sera pour moi un plaisir extrême, bien qu'il te faudra me rendre la pareille, je ne peux pas partir pour Nevers dans l'état ou tes potes m'ont mise, ou je devrais m'envoyer en l'air, toute seule comme une conne, au moins deux fois avant d'arriver !"

    Je ris, l'embrasse rapidement sur la bouche et je disparais ! Il est 20h20 !

    Fin... mais...

    "La session-vidéo inédite de Loré" (prévue pour 21h) sera une Nouvelle à part entière. Probablement moins longue que les quatre tomes de "Javier, Amo mio".

    Je vais essayer de l'écrire pour dimanche prochain, avec, entre temps quelques mises en ligne que vous serez heureux de découvrir !

    Loré, ce mardi 20 Août – 01h59


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