• Javier, Amo mio 1

    Javier, Amo mio 1

    Avant propos...

    Javier est pharmacien à Valencia en Espagne. Il y a 4 ans, nous nous sommes connus sur le net et en quelques semaines, après avoir échangé quelques photos banales, nous avons parlé librement de nos fantasmes sexuels. En résumé : pour lui être obéi et pour moi, me laisser faire et obéir. En Espagnol, Amo signifie Mâitre d'où le titre de cette nouvelle !

    Mon mari, Yves, suivait nos échanges. Avec d'infinies précautions Javier a suggéré que nous pouvions, peut-être passer à une session-vidéo. Même débutante dans l'école de Cathy, je savais ce que c'était, mais avant tout, il me fallait le feu vert de mon Tendre !

    Il m'a donné son accord, non sans exiger une conversation avec Javier. Je les ai laissé longuement dialoguer sur WhatsApp sans chercher à savoir ce qu'ils s'écrivaient.

    Le mardi suivant, alors que nous faisions un câlin après 4 beaux orgasmes dont 3 pour moi :

    • "Si tu es prête pour une session, Javier nous propose samedi soir à 22h. Réfléchis et fixes tes conditions, mais il faut que tu saches qu'après notre échange, Javier en sait beaucoup sur toi, y compris sur ta scolarité chez Cathy !"

    • "Ca ne me dérange pas, mais si je dis oui, il faudra tout de même être seuls ?"

    • "Tu sais bien que notre voisine adore Jean et qu'il est copain avec ses enfants, je suis sure qu'elle sera heureuse de l'accueillir pour une nuit "

    Le samedi, nous avons bien joué nos rôles : Yves, le caméra-man, Javier, l'Amo délicat mais exigeant et un peu pervers, et, moi, la soumise de plus en plus excitée.

    Pour moi cette 1ère session a été plus qu'un rôle, je n'ai pas fait semblant, ni d'obéir, ni de jouir ! Et elle a été suivie par une dizaine d'autres, toutes aussi jouissives pour nous 3.

    Nota > Beaucoup de photos de ces sessions sont publiées dans l'album intime de Loré # 14 Romans photos. Ce qui suit est donc fantasmé.

    Le Congrès imprévu d'Août 2017 !

    Entre mon job, Cathy, ma vie de famille et Javier, qui a reconnu élégamment qu'il manquait d'idées pour me proposer d'autres sessions, nous y avons mis un terme. Il y a 2 ans, le lundi 2 juillet 2017, il a téléphoné à Yves pour lui annoncer :

    • "J'ai un Congrès en août à Clermont, je peux m'y inscrire sans participer. J'ai une idée un peu folle : passer 2 jours avec vous pour dominer Loré ? Je suppose qu'elle sera partante, vue son apprentissage de la soumission, mais, il faut que vous soyez d'accord tous les deux !"

    Après un long silence :

    • "Ca me semble être, en effet, une bonne idée, vous êtes assez intimes pour vous rencontrer en vrai ! Je vais lui en parler de suite et y réfléchir, tu auras notre réponse dans la semaine"

    • "Merci, Yves, j'espère que vous serez d'accord, à plus"

    Dès son retour du bureau, Yves me fait part de cette proposition.

    • "Amour, la balle est plutôt dans ton camp, Cathy me fait rencontrer des tas d'hommes qui deviennent mes amants d'un jour. Mais, là, il s'agit de passer 2 jours avec une connaissance. C'est un peu différent. Ca m'excite évidemment beaucoup, mais tu es le seul homme que j'aime, tout le reste n'est qu'un jeu entre adultes consentants !"

    • "Merci pour ta réponse franche. Nous en reparlerons, il attend ma réponse fin de cette semaine"

    En fait, nous n'en avons reparlé une seule fois :

    • "Si nous acceptons, quels seraient tes tabous ?"

    • "On peut très bien utiliser ceux que Cathy impose à tous mes clients. Mais tu peux rajouter ce que tu n'as pas envie de me voir faire !"

    • "Bonne réponse, merci Amour"

    Le vendredi il m'annonce :

    • "Amour, je vais accepter, tu as rencontré des invités inconnus en ma présence et ça s'est toujours bien passé ! Alors, pourquoi pas Javier ? Nous n'avons que des photos de lui, et tu connais sa manière de dominer ! Je n'imposerai pas mes limites. As-tu changé d'avis ?"

    • "Non, je serai heureuse de m'offrir à lui en ta présence ! Tu pourras aussi le modérer si tu estimes qu'il va trop loin !"

    Il éclate de rire :

    • "Je ne pensais pas que tu connaissais les mots aller trop loin !"

    • "Avec Cathy, vous êtes les deux seuls au monde à me connaître par coeur ! Je suis contente de te surprendre !"

    Il m'embrasse très fort et tendrement :

    • "Je l'appelle pour lui donner notre accord et avoir le détail de son séjour !"

    Quatre jours avant la rencontre...

    Nous nous organisons pour être seuls du 3 au 6 août : un weekend pour Jean dans la propriété de son meilleur ami et un congé pour le vendredi 4 pour nous deux. Javier doit atterrir à l'aéroport d'Aulnat le vendredi 4 à 9h et et en redécoller le dimanche 6 à 9h.

    Le mardi soir, Yves modifie notre câlin : il me conduit plusieurs fois à l'orgasme sans me laisser conclure et lui se fait sucer et jouit en me conseillant de ne pas me laver !

    Je reste sur ma faim et lui demande :

    • "Tu as eu Javier au téléphone ?"

    • "Non, pas depuis ma confirmation."

    • "Pourquoi me laisses-tu en manque ?"

    • "Simplement pour que tu sois affamée durant ces 2 jours, tu trouves ça injuste ?"

    • "Un peu, mais, si tu fais ça jusqu'à vendredi, je serai une véritable furie !"

    • "Eh bien, c'est le but ! Bonne nuit Amour !"

    Et il me prend dans ses bras pour s'endormir ! Je le traite mentalement de salaud mais je m'endors rapidement. Le reste de la semaine, chacun respecte son deal, il prend son plaisir tous les soirs tout en augmentant le nombre de mes montées vers l'orgasme et me laisse en plan, pleine ou barbouillée de son foutre et toujours sans pouvoir me laver !

    • "Tu es bien conscient que, vendredi, je serai une vraie salope ?"

    • "Je ne pense pas que ton Amo souhaite rencontrer une soumise débutante ! Son attente de 2 ans mérite mieux de toi !"

    Mon appel du jeudi à Javier...

    Je suis grognon et le jeudi vers 16h, j'appelle Javier :

    • "Bonjour Javier, c'est Loré !"

    • "Loré ? Quelle surprise ! Tu vas bien ? C'est demain matin que nous faisons connaissance !"

    • "Oui ! Je suis impatiente d'être plus vieille d'un jour ! Je t'appelle car j'ai 2 points à éclaircir, tu as un peu de temps ?"

    • "Oui, je n'ai pas de clients, ils font la sieste, il fait très chaud à Valencia ! Que veux-tu savoir ?"

    • "Depuis mardi, quand nous baisons, Yves m'excite comme d'habitude, mais dès que je vais jouir, il arrête tout. Je l'ai prévenu qu'en me traitant de cette manière, il allait t'offrir une soumise salope en furie. Il se contente de rire et de me répondre que tu n'attends que ça, et je crois qu'il a raison !"

    • "Il te connaît par coeur et j'aurais fait pareil !"

    • "Vous les mecs, vous êtes tous des salauds !"

    • "Tout à fait exact ! Je t'approuve ! Mais en quoi ça te gêne ?"

    • "Ca m'oblige à exiger de vous deux qu'il n'y ait aucun préambule, dès que tu mets un pied chez nous, je m'offre totalement à toi : mon Amo arrive et sa soumise l'attend prête à être son objet obéissant. Rassure toi, grâce à Yves je serai très réceptive ! Es-tu d'accord ?"

    • "C'est super ! Et ?"

    • "Comment veux-tu me découvrir en me voyant pour la 1ère fois ?"

    • "Je suis ravi de ta demande, elle m'évite un mail ! Pour les vêtements : un large tee-shirt sans manches, nombril apparent, décolleté et échancré sur les côtés. Une mini-jupe légère en coton au ras de la chatte. Pour les chaussures : ongles natures, talons, lanières de cuir qui dénudent tes pieds. Et pas de culotte : ça te va ?"

    • "Oui, j'ai ça en stock, ensuite ?"

    • "Pour ta poitrine, un vieux soutien-gorge dont tu découpes le tissu, en gardant l'armature des bonnets, les bretelles et l'agrafe du dos. Ca te va toujours ?"

    • "Bref, à poil sans le montrer tout de suite ?"

    • "Bingo ! Pour les accessoires : je te porte un collier de cou, tu mets des bracelets de cuir avec anneaux et clips aux poignets et aux chevilles. Tu rajoutes une ceinture bien serrée au dessus du nombril, avec anneaux et clips. Pour tes tétons : des pinces douces qui se posent verticalement et que tu peux garder longtemps"

    • "J'en ai une paire"

    • "Bien, tu les poses à 10h. Mais à 9h30 tu t'encules avec un légume bien vaseliné et tu t'invagines 3 grosses boules de geisha, mais sans lubrifiant. Voilà, tu as tout ça ?"

    • "Pour le cul ce sera une aubergine, pour me permettre de m'asseoir, et mes boules me remplissent totalement, tout en pouvant bouger comme il le faut dans mon ventre !"

    • "Un détail : Yves va te quitter vers 8h30, je veux qu'il te découvre préparée en même temps que moi, ok ?"

    • "Entendu Amo mio, j'ai noté. Je te laisse, à demain et cette nuit ne jouit pas ! Je serai prête à te vider les couilles !"

    • "A demain, ma petite salope en furie !"

    Et je raccroche.

    Vendredi 8h30, les préparatifs !

    Yves vient m'embrasser dans mon bain.

    • "J'y vais, si son avion n'est pas en retard, nous serons là vers 10h, sinon, je t'appelle, ne t'engourdis pas dans ton bain !"

    • "Rassure toi, j'essaye de me détendre plus que je ne me lave et j'évite que ma main n'aille saluer ma chatte ! De toutes les manières, à 9h le traiteur vient me livrer, donc je ne vais pas tarder à sortir !"

    Il m'embrasse, me caresse les seins qu'il trouvent bandants et s'en va !

    20 mn après, je sors du bain, me sèche, et puis zut pour le traiteur, je le recevrai en peignoir de bains et en chaussons. Je vais dans la chambre pour mettre sur le lit ce que j'ai préparé la veille et je fais chercher les accessoires dans notre armoire secrète.

    J'ai tout préparé quand le traiteur sonne.

    Tout est dans 6 conteneurs : le salé et le sucré à réchauffer, le salé et le sucré prêts à consommer et 2 autres pour les vins et le champagne.

    A 9h15, tout est rangé. Le téléphone sonne, c'est Yves :

    • "Loré, son avion vient de se poser, nous serons vers 10h15 à la maison, bises !"

    • "Merci Amour, ici tout est livré et rangé, je vais me préparer !"

    • "Je peux savoir ce que tu vas mettre ?"

    • "Oui, dès que vous entrerez dans la maison ! Bise, amour !"

    Dans le frigo, je prends l'aubergine très phallique, je la prépare pour qu'elle soit bien lisse et file à la salle de bains où je prends le tube de vaseline, je lui en mets un bon paquet sur la tête et nue, je m'accroupis et lubrifie mon anus qui accepte de suite tout le légume. Il est gros et long, mais bien calé dans mon cul, je suis sur qu'il ne tombera pas !

    Les boules m'attendent sur le lit. Je suis bien lubrifiée par mes fantasmes du bain, et elles entrent facilement !

    Retour à la cuisine pour mettre en route 1 litre de bon expresso.

    J'en profite pour remettre mon peignoir et aller fumer une cigarette vers la piscine : le thermomètre annonce 28° et l'eau est déjà à 24°, elle sera à 28° dans peu de temps, une température idéale pour se baigner !

    En marchant, je me sens très pleine et les boules de geisha font bien leur job !

    L'aubergine me gêne, mais la honte d'être enculée me fait mouiller comme la salope que je m'apprête à être ! Je suis sure que personne ne sera déçu !

    Tout est prêt !

    Je reviens sur mon lit ou je découpe soigneusement un vieux soutien-gorge. C'est plus un offre-nichons qu'un cache-nichons ! Je vérifie que ma jupe et mon tee-shirt ne sont pas froissés et je mets les escarpins pour habituer un peu mes pieds.

    Je fais quelques pas qui m'amènent dans le bureau, je constate avec amusement qu'Yves a préparé ses petits affaires : notre super web-cam dernier cri et 2 appareils photos, je suppose qu'en se levant avant moi, il a connecté tous les écrans au Wifi ! Yves n'aime pas le travail bâclé même pour filmer sa pute de femme !

    Le café est passé je m'en sers une grande tasse que je vais boire quasiment nue dans l'abri cuisine extérieure en fumant une autre cigarette. Notre jardin est idéal : grâce à des constructions éloignées et des hautes haies, personne ne peut voir ce qui s'y passe !

    En constatant qu'il fait si bon dans ce nid protégé du soleil, je décide de dresser 3 couverts pour leur proposer le petit déjeuner ici.

    Les hommes pourront mettre leurs maillots, et moi, Javier me dira comment me mettre !

    Le temps de joindre la pensée au geste, il est déjà 10h.

    Ma tenue...

    Je retourne dans la chambre pour me poser les pinces verticales que j'apprécie et qui m'excitent beaucoup sans me faire mal, je pose mes bracelets en cuir aux chevilles et aux poignets et je mets ma ceinture avec ses 8 anneaux et ses clips. Je termine par le tee-shirt et la mini jupe. Un coup d'oeil dans le miroir de ma psyché : si je sors comme ça, je suis sure d'être violée !

    Un détail me choque et je raccourcis de 3 cm le bas du tee-shirt : il ne dégage pas assez mon nombril ! La découpe n'est pas très pro, mais c'est le nombril que j'offre ! Pas le tee-shirt !

    Et je me pose une question importante : où les attendre ? Je choisis finalement le nid de la cuisine extérieure. Je vais au bureau et rédige un post-it Cuisine extérieure que je pose sur la porte d'entrée, je me ressers un café avec un jus d'orange et j'allume une autre cigarette, contente de moi ! Je suis prête !

    Amo mio ! Ton esclave t'attend !

    J'écrase ma cigarette quand j'entends le moteur de la voiture d'Yves.

    Je me lève, vide et nettoie mon cendrier, je mets tasse et verre dans l'évier et je me mets debout derrière la table dressée. Je n'ai pas une grosse boule dans le ventre, puisque j'en ai déjà 3 dans le vagin, mais je suis très nerveuse avec ces 4 boules et anxieuse comme à chaque découverte, ce qui est un peu faux, car voir Javier ne sera pas une vraie découverte !

    Je suis simplement anxieuse de le découvrir en vrai, mais surtout de voir les réactions de mon homme quand mon Amo me prendra en main !

    J'entends Yves dire à Javier :

    • "Laisse tes affaires dans le hall, Loré nous attend près de la piscine"

    Des pas sur le gravier et les deux hommes sont là ! J'aurais reconnu Javier même dans un métro bondé !

    Je souris et baisse la tête en murmurant un :

    • "Bienvenu, Amo mio !"

    Il sourit en me regardant de la tête aux pieds :

    • "Je reconnais que ça méritait bien 2 ans d'attente, pour découvrir la vraie salope que tu es. Mais, penses-tu que tu vas décider pour nous ? Je vois que tu as préparé une table ! Mais, en ma présence : tu dois respecter 2 règles ! Baisser les yeux en permanence et attendre un ordre avant de faire quoi que ce soit !"

    • "Bien, Amo mio, mais vue la température, je pensais vous faire plaisir"

    • "Et tu ne dois jamais te justifier ! Vas dans le hall et porte mes affaires dans la chambre prévue, j'aimerais qu'elle ait un lit à trois places. Tu ouvres le sac marron : sur le dessus, il y a deux pochettes à me rapporter"

    Je me hâte autant que mon ventre me le permet et je reviens très vite.

    A mon grand plaisir mes hommes sont assis : Yves a servi le café, le jus d'orange et a même trouvé dans le bar un plateau plein de viennoiseries.

    Je dépose les pochons devant Javier en baissant les yeux.

    Et je m'écarte d'un mètre de la table, debout, mains croisées dans le dos.

    • "Dans un sac, il y a mes affaires de bain et dans l'autre un cadeau pour Loré !"

    • "C'est gentil d'avoir pensé à elle, elle adore les surprises !"

    • "En lui dictant sa tenue, je l'ai prévenue que je lui apportais un cadeau, putain, tu dis ce que c'est à ton mari ?"

    • "C'est un collier d'esclave personnalisé, que m'offre mon Amo "

    • "Lis à haute voix ce qu'il y a gravé"

    Je sors un collier de cuir avec une plaque gravée que je lis :

    • "Merci, Yves, de me prêter ta pute de femme, j'en rêvais !"

    • "Tu n'as pas à me remercier, c'est grâce aux organisateurs du Congrès et à ton idée !"

    • "Exact, mais votre accord est un vrai cadeau, et ta femme ne quittera pas ce collier pendant ces 2 jours ! Et elle le gardera en souvenir ! Excuse moi de changer de sujet, je dois pisser, c'est où ?"

    Le wc de la pool-house...

    • "Loré va t'accompagner, il y a des wcs dans la pool-house"

    Il se lève et je le précède, nous contournons la cuisine extérieure et arrivons dans les vestiaires. Je lui ouvre la porte des wcs.

    • "Reste avec moi, tu vas sortir ma bite et me la tenir. Les dernières gouttes seront pour ta bouche de pipeuse !"

    En notant au passage qu'il a une bite assez imposante, quand il finit, je fais mine d'égoutter sa bite de ma main en la secouant un peu, mais il me rappelle à l'ordre :

    • "Je ne pense pas t'avoir dit ça, tu vas être punie, tu vas lécher les dernières gouttes et tout remettre en ordre de marche !"

    Je suis furieuse contre moi, une punition stupide, voilà ce que me rapporte ma tentative de ne pas lui nettoyer la bite : je m'agenouille devant lui, et lèche son gland où il reste quelques gouttes, puis je le prends en bouche et le nettoie.

    • "C'est bien, tu es une bonne nettoyeuse de pine, pour ta punition tu remontes ta jupe à la taille et tu enlèves tes boules de geisha. Tu enjambes la cuvette et tu pisses debout en me faisant face, et en me regardant droit dans les yeux, et tu inventes quelque chose de très vicieux à me dire !"

    Quand c'est fini, il me pince le nez en souriant, m'ordonne de remettre mes boules qui s'enfoncent en moi avec un bruit obscène, qui me fait honte, et nous rejoignons Yves.

    • "Cette pute a déjà des tas de choses à te raconter, mais pendant que nous prenons ce bon petit déjeuner, elle va commencer par te dire ce qu'elle porte sur elle, tu vas voir, c'est intéressant !"

    • "Merci, Amo mio, de me donner la parole, voulez-vous que je montre en même temps que je décris ?"

    Il se lève, se met face à moi et m'envoie une paire de gifles qui me fait couiner de douleur.

    • "Je ne te pensais pas aussi conne que vicieuse : je t'ai demandé de dire tout ce que tu as sur toi, et pas de montrer, essaye de mieux comprendre mes ordres connasse !"

    Encore une erreur, et une punition douloureuse alors que l'autre était humiliante. Je me rappelle qu'il ne faut pas que je me justifie, j'évite donc de m'excuser et commence ma description :

    • "Merci, Amo mio pour cette gifle méritée : je porte un tee-shirt que j'ai amputé de 3 cm, car Amo mio désirait que mon nombril soit bien visible, dessous j'ai une armature de soutien-gorge sans tissu pour bien offrir mes nichons, mes tétons sont pincés par 2 pinces verticales. J'ai une ceinture à anneaux. Sous la mini jupe, depuis 9h30 j'ai une grosse aubergine dans le cul et 3 boules de geisha dans le con . Je ne porte pas de culotte. J'ai des bracelets d'esclave. Mes chaussures dévoilent mes pieds nus aux ongles non vernis, et, au cou, je vais porter avec fierté le collier d'esclave pour lequel je remercie Amo mio"

    • "C'est comme ça que je te veux, à présent, raconte à ton mari notre petit voyage aux wcs, et n'en perds pas une goutte !"

    • "J'ai conduit Amo mio aux wcs, je lui ai sorti la bite et je l'ai prise en main pour diriger ses jets. Quand il a fini, j'ai essayé d'égoutter sa bite à la main, ce qui m'a valu une punition. Je me suis donc agenouillée et j'ai léché les gouttes restantes puis mis son gland dans ma bouche pour bien le nettoyer. Comme punition, j'ai relevé ma jupe, enlevé mes boules et pissé debout en lui disant : merci, Amo mio de regarder votre salope d'esclave pisser debout devant vous, vous me flattez. Il s'est rhabillé, j'ai remis les boules en place et nous sommes revenus à cette table"

    • "Très bien raconté, à présent tu m'ennuies, mets ce collier, serre le correctement et vas te coller le ventre contre cet arbre, relève ta jupe pour nous montrer ton cul de putain ! Croise tes mains sur la tête, écarte les cuisses et fais semblant de baiser l'arbre, pousse des petits cris de temps en temps pour faire plus réel, mais interdiction de te branler"

    Le vieux chêne : mon vieil amant !

    • "Yves j'ai vu où étaient les vestiaires, avec ta permission, je vais me mettre en maillot de bains pendant que ta femme se régale !"

    • "J'allais te le proposer, mes maillots y sont, je vais faire comme toi, laissons la pour le moment baiser cet arbre, que penses-tu de ce début de séance ? !"

    • "Très content, elle est parfaite, et je sens l'influence de son école de soumise, grâce à toi, je vais passer un weekend de rêve ! Tu dois te douter que j'ai accumulé un bon nombre de scénarii depuis que j'ai eu votre accord ?"

    J'entends qu'ils se dirigent vers l'arrière de la pool-house.

    • "Je n'en doute pas, je crois que c'est pour ça que Loré t'apprécie, tu es très cérébral et elle l'est aussi !"

    • "Oui, elle est excitante et très tentante !"

    • "La piscine ou Loré ?"

    • "Bel humour, les 2 mon cher Yves !"

    Je n'entends plus rien, mais tout d'un coup : 2 ploufs simultanés. Ils piquent une tête et je les envie. J'aimerais être avec eux ! Je pense qu'ils vont parler de moi, mais je n'entendrai rien ! Je continue à faire semblant de baiser cet arbre et pousse des petits cris de femelle excitée de temps en temps !

    Après un très long moment, je les entends sortir de la piscine, des bruits d'étoffe me font penser qu'ils se sèchent, et des bruits de chaises qu'ils se rasseyent à la table.Yves propose du café, du vin ou du champagne mais Javier se contente d'un café.

    Amo mio entre en scène !

    J'entends des sandales de plage se rapprocher de moi. Mes hommes sont en maillot de bains. Ma position, au début facile, m'a engourdie de partout, j'aimerais bien que Javier me fasse bouger !

    • "Tu sais que la piscine est à bonne température, ma petite pute ? Mais bien sur il aurait fallu t'arracher à ton arbre, tes gémissements de femelle en rut nous ont amusés ! Tu vas baisser ta jupe et te détendre les bras et les jambes. Yves m'a proposé de découvrir votre sex-shop personnel, nous revenons de suite, en attendant ne bouge pas !"

    Jupe baissée, et libre de mes mouvements, je peux détendre tous mes muscles noués. Très vite je récupère toutes mes facultés. Je les suis par la pensée, Yves a du ouvrir notre armoire secrète, et Javier a du être étonné par notre assortiment ! Quelques minutes après, ils reviennent, j'entends des cliquetis de métal, Javier a du faire son choix.

    • "Vous êtes super bien équipés ! Je suppose que ça te sert pour les travaux pratiques de ton école de call-girl esclave sexuelle ! Tu peux nous dire d'où viennent tous ces accessoires tout en  enlevant ta jupe et ton tee-shirt !"

    Je m'exécute et toujours tournée vers l'arbre, j'essaie de résumer l’historique de notre collection.

    • "Amo mio, le début de cette collection vient de mon ex-mari, qui m'a initiée au bdsm avant que je ne rencontre Yves. J'ai gardé une grande curiosité pour ces accessoires et même si Yves est plus voyeur que dominant, j'ai continué à acheter en ligne en période de soldes. Il y a 2 ans, j'ai rencontré Cathy qui est devenue ma Maîtresse et m'a intégrée à son Ecole de Bdsm. Un an après, j'ai commencé les travaux pratiques ce qui a augmenté notre collection : des cadeaux de clients, des recommandations d'achats de Cathy, et Yves me gâtait beaucoup avec de très beaux cadeaux, toujours accompagnés de nouveautés de sex-shop. Voilà l'origine de notre armoire secrète, Amo mio"

    • "Tu es une super conteuse, précise et claire, j'aime beaucoup cette qualité, il est vrai que tu mérites plus le qualificatif de call-girl que celui de pute ! Mais pour ces 2 jours, tu resteras une pute-salope à un tarif plus qu'abordable ! Nous allons te changer de position et avons porté ce qu'il fallait !"

    Ils jettent tout sur la pelouse et, leur choix, large et varié me fait frissonner !

    • "Yves va m'aider, toi tu vas t'adosser à ton arbre chéri, en te collant bien à son écorce de chêne, si je ne me trompe pas !"

    • "Oui c'est en effet un très vieux chêne"

    • "Donc cette pute le connaît bien, tu t'es déjà branlée sur lui ?"

    • "Oui, Amo mio, quand je suis seule et trop excitée et que je n'ai pas envie de me caresser dans le lit, j'aime la rudesse de son écorce !"

    • "Je m'en doutais ! Tu as le dos, la nuque et le cul bien collés sur lui, serre tes cuisses et joins tes pieds. Yves, prends une des longues chaînes, nous allons commencer par le collier : tu récupères un clip à l'arrière de sa ceinture, et nous allons l'empêcher de bouger la tête. Voilà, la chaîne est bien tendue. Tends tes bras vers l'arrière de l'arbre, on va faire pareil avec tes anneaux de poignets"

    La chaîne plus courte me fait mal, car l'écorce rentre dans les chairs de mes bras. Ils se servent de 2 autres anneaux de ma ceinture pour m'enchaîner le ventre et le haut des cuisses : quelques tours autour de mes cuisses, en les plaquant bien l'une contre l'autre. Pour finir ils les attachent derrière l'arbre avec un seul clip.

    Ils font exactement pareil pour les genoux. Je ne peux plus me décoller de l'arbre dont l'écorce me rentre dans les chairs.

    • "Pour les chevilles, un seul clip suffira. Voilà elle est parfaitement bondée comme ça. Plus que deux finitions ! Tu fais de bonnes images Yves ?"

    Comme depuis leur arrivée, Yves filme tout, caméra au poing ou posée sur un support et, de temps en temps, des clichés avec un de ses appareils !

    • "Rassure-toi, depuis notre arrivée, tout est sur les cartes-mémoires des appareils et passe sur tous les écrans de la maison !"

    • "C'est parfait, ça nous fera de bons souvenirs et alimentera son site live de pute française en Amérique !"

    Décidément, Yves a tout raconté à son nouvel ami sans aucune pudeur pour moi !

    • "Donne moi le gode de bouche et les écrase-tétons, on va la finir ! Ces pinces verticales sont trop douces ! On va donc les remplacer ! Mais avant, une précaution pour que cette salope n'alerte pas tous les voisins du quartier !"

    De plus en plus inquiète, Javier m'enfonce un gros gode de bouche jusqu'au fond de la gorge et il l'attache sur ma nuque, malgré le peu d'ampleur qu'il a.

    Il peut s'assurer de suite qu'à part des grognements quasiment inaudibles et de la bave, rien d'autre ne peut sortir de ma bouche.

    Il termine en enlevant mes pinces verticales et les remplace par 2 gros écraseurs de tétons qu'il leste avec beaucoup de vice de poids trop lourds qui font tomber mes nichons vers le bas malgré l'offre-nichons. La douleur est atroce mais je ne peux que baver un peu plus.

    Yves, s'en amuse et ramasse ma salive avec un doigt et me frotte le clito avec. Mes yeux le supplie de continuer, mais il arrête en me pinçant le clito !

    Javier me dit avant de me laisser :

    • "Tu peux essayer de te frotter les cuisses, mais pas d'orgasme, la caméra sur pied sera notre témoin, et si je vois un orgasme, ta punition sera très lourde : aucun orgasme avant mon départ, entendu salope ?"

    Je ne peux même pas approuver de la tête et ils s'éloignent en riant après qu'Yves ait fait un shooting complet de tout mon corps !

    Chic je passe à la télé !

    Mes hommes rentrent dans la maison, j'ai appris par la suite qu'ils ne l'ont pas visitée, mais qu'ils ont préparé soigneusement la séquence suivante.

    Ils ont recouvert de bulgomme notre table de salle à manger qui était en petit format pour 4 personnes. Ils ont passé des chaînes sous la largeur de la table, rajouté un oreiller sur un des grands côtés et après avoir sorti quelques accessoires, il sont revenus me voir : je n'arrête pas de gigoter ce qui fait le bonheur des écraseurs de tétons et de leurs lests en augmentant, à chaque mouvement, la douleur de mes nichons.

    Ce n'est pas la peine de me doigter le con : mes secrétions vaginales coulent en abondance du haut de mes cuisses !

    • "On va se préparer un petit casse-croûte en fouillant dans ta cuisine, ne bouge surtout pas !"

    Bouger ? J'aurais bien voulu, mais saucissonnée comme je le suis, il ne risque rien. Je ne sais pas combien de temps je suis restée attachée au chêne, que je commençais à détester.

    Mes hommes ont trouvé ce qu'ils voulaient dans la cuisine, je sens l'odeur de tapas chaudes, ils se sont donc servis du four !

    Ils rajoutent à l'équipement du nid une télé portable et regardent des clips de mon site américain, surement en zappant pour trouver les plus obscènes !

    Je suis effondrée de honte de savoir qu'ils bandent devant mes images mais que je n'aie droit à rien ! J'aurais du prier pour rester bondée à l'arbre, car ce qui m'attend est bien pire, et plus excitant !

    Je dois quitter mon chêne...

    Yves joue l'émissaire :

    • "Nous allons te changer de lieu, mais je dois te bander les yeux. Rassure-toi, tu vas être libérée de cet arbre !"

    Le bandeau sur les yeux ne me gêne pas du tout, et la nouvelle de ma libération me soulage. Dès que je suis plongée dans le noir, il s'approchent tous les deux :

    • "Je suppose que tu veux savoir pourquoi nous te bandons les yeux : tes clips nous ont tellement fait bander que nous sommes tous les deux à poil avec des pines d'âne ! Comme t'a-dit Yves, ton nouveau lieu de dominée sera plus confortable, moins marquant pour ton dos et, en prime, tu vas avoir droit à ce que tu attends le plus ! Dans un tout autre domaine, bravo pour tes choix culinaires, nous nous sommes régalés, et un repas au champagne ne se refuse jamais !" 

    Serait-une promesse de jouissance ?

    Je l’espère de tout mon coeur et de tout mon corps ; je n'en peux plus.

    Malgré les souffrances que je me suis infligées ligotée à l'arbre, je n'ai pas pu contrôler en permanence mes cuisses qui ont réussi à se frotter l'une contre l'autre et je suis au bord d'un orgasme que je contrôle difficilement.

    Ils me libèrent de mes chaînes, de mes entraves, mais pas de mon bâillon. Je titube en recouvrant ma mobilité, ils m'ôtent les écraseurs, heureusement que je ne peux pas hurler, le retour du sang est atroce !

    Une main douce, que je reconnais, me passe sur les tétons une pommade à laquelle je suis habituée qui atténue rapidement ma douleur. Une autre main m'ôte mon bâillon-gode.

    • "Marche un peu, détends tous tes muscles, fais bien circuler ton sang, dans 5mn tu seras en pleine forme et prête pour la suite qui va te plaire !"

    Ouf ! Une pause...

    Ils me conduisent vers le nid et m'asseyent :

    • "Connaissant bien tes goûts, tu as devant toi une assiette composée et une coupe de champagne, régale toi Amour et prends des forces, nous continuons à regarder tes meilleurs clips sur ton site US. Javier dit de toi que tu es super salope, super bandante et probablement la meilleure pute du Monde, bon appétit !"

    Je pioche au hasard dans l'assiette, et, en effet c'est délicieux !

    Surtout arrosé de l'excellent Champagne Laurent Perrier Rosé que j'ai commandé sur les conseils d'Yves ! Ca fait du bien, bien que mon repas soit sonorisé par des dialogues obscènes et le vacarme de mes jouissances !

    Ce n'est pas ça qui va m’assécher le con !

    Je reconstitue de mémoire ce qu'ils regardent ! Yves a bon goût ! Je suis vraiment une super salope française sur ce clip à plusieurs bites et un seul con !

    Quand j'ai fini, Yves me propose :

    • "A présent que tu es rassasiée, Amour, un bon double expresso tout frais que je viens de te faire, une Royale Menthol et un demi verre de super cognac pour te requinquer ! Ca te convient ?"

    • "Je ne sais pas si je mérite tout ça, mais si Amo mio est d'accord, j'accepte !"

    Je n'ai que le rire de Javier comme réponse et Yves dépose mon café et mon alcool, me glisse une cigarette entre les lèvres et me l'allume !

    Je n'aurais pas le ventre aussi rempli que je me croirais au Paradis !

    Direction la salle à "manger"...

    C'est Javier qui me fait redescendre sur terre !

    • "Yves, je t'attends au salon, viens quand elle sera prête, offre lui une 2ème cigarette, si elle en envie, j'ai des bricoles à préparer !"

    J'accepte avec plaisir la cigarette qui me remet totalement d’aplomb.

    De ne rien voir me fait du bien, je ne suis pas inquiète de la suite, qui, de toutes les manières est écrite ! Donc, je ne peux rien y changer !

    Yves profite de ce que nous sommes seuls pour me demander :

    • "Tout va bien mon Cœur ? Il est à la hauteur ? Pas trop dur ? Tu supportes bien ?"

    • "Oui, en fonction de tout ce que lui a dit sur moi, il est un excellent Maître, il sait alterner les humiliations et la douleur, tout en me privant de jouissances ! Je suis dans un état second tellement j'ai envie de jouir, j'espère de tout coeur que ça va arriver !"

    • "Je ne peux pas te répondre, Amour, je ne sais pas en détail ce qu'a prévu Javier pour toi, mais je vais insister pour qu'il te laisse jouir en arguant que plus tu jouis, plus tu as envie de jouir !"

    • "Oh, je crois que ça il le sait depuis nos sessions !"

    • "J'en suis persuadé, mais le tout c'est de te laisser t'envoyer en l'air une fois, avec un de tes tsunamis redoutables, et ensuite, ça viendra tout seul ! Tu sais bien que le moment où tu excites le plus un homme c'est quand tu jouis comme une furie-furieuse !"

    • "Tu es trop romantique pour faire un bon Maître, mais je t'ai dans la peau et j'ai très envie de ta grosse bite et de boire ton foutre, Amour !"

    • "Patience Amour, ça viendra! Bon, si tu es prête, on le rejoint ?"

    Je me lève sans lui répondre et il me prend par la main pour me conduire au salon où je ne sais pas du tout ce qui m'attend !

    Aïe ! Une préparation minutieuse !

    • "Vous voilà, je finis à l'instant de tout préparer ! Alors petite salope, tu te sens mieux ? Tes bouts de nichons ne te font plus mal "

    • "Oui, Amo mio, je ne sens presque plus de douleur, et cette pause était bénéfique, merci de me l'avoir accordée, Amo mio !"

    • "Tu sais Loré-Putain, quand on regarde tes clips, on a plus envie de te soumettre durement que de te faire des câlins, j'ai rarement vu une femme comme toi, quand tu te soumets, tu ne fais pas semblant ! Et j'ai été très heureux de voir Loré la call-girl de luxe dans ses travaux pratiques ! Ca m'a donné des tas d'idées ! Allez, on reprend ! Yves va t'expliquer ce que tu dois faire"

    • "Nous sommes devant la table de la salle à manger, je vais t'aider à monter dessus dans le sens de la largeur. Ta tête et ton cul ne seront donc pas sur le bulgom qui est là pour que tu ne tâches pas la table et pour que tu sois allongée confortablement, tu as compris ?"

    Je fais oui de la tête et me rapproche de sa voix, il m'aide et quand je suis couchée sur la table, je dois tenir ma tête pour la redresser, mon cul n'est pas sur la table et mes talons touchent le sol.

    • "Cette salope a juste les bonnes mesures, très bien, ça va nous faciliter le travail !"

    Mes hommes se taisent et Javier se contente de dire un mot pour qu'un effet suive. Pour débuter il dit coussin et une main me relève la tête et glisse un coussin sous mes épaules. Puis c'est mains. J'entends un bruit de chaînes et ils me clipsent les poignets en tendant bien la chaîne. Puis c'est ventre et ils m'attachent bien serrée à une chaîne qui comme l'autre doit passer sous la table. Un genou droit les fait passer sur mon côté droit, ils font plusieurs tours de chaîne autour de mon genou et la clipse à une autre chaîne au sol. Le genou gauche succède au droit et ils m'attachent pareil. Une main vérifie que mes genoux ne peuvent pas être plus écartés, mais Javier constate :

    • "Ses genoux sont mal équilibrés, il faut du mou au droit et tendre plus le gauche"

    C'est fait très rapidement et je me retrouve les genoux écartés au maximum, mon intimité offerte sans aucune pudeur !

    • "Je pense qu'il vaut mieux lui enlever ses escarpins"

    Mes souliers défaits me sont ôtés et jetés au sol.

    • "C'est le moment le plus délicat : il faut lui passer chaque pied sous la cuisse correspondante et lui clipser le bracelet de cheville à la chaîne de la cuisse"

    • "Elle est souple, il suffit de trouver le bon maillon pour la clipser"

    Ils commencent par le pied gauche, l'un des deux me lève la cuisse et l'autre plie ma jambe, jusqu'à ce que la cheville touche la chaîne et j'entends le bruit du clip qui se referme.

    • "Tu avais raison Yves, il n'y a plus qu'à faire pareil avec le droit"

    Quand ils ont fini leur préparation, je me fais un résumé : épaules et bassin couchés sur la table, je ne peux pas bouger les bras ni décoller mon ventre.

    Mon cul est en l'air et je ne peux pas fermer mes cuisses, donc mon con et mon anus vont avoir droit à des gros plans obscènes !

    Je comprends que ce bondage compliqué avait besoin d'une bonne préparation.

    A part les articulations des genoux qui supportent mal les pliures, je suis, en effet mieux installée que collée à l'arbre !

    • "Ah zut, j'ai oublié de lui faire retirer son aubergine du cul ! Tu as des gants jetables ?"

    • "Oui dans notre armoire tu as une boîte neuve"

    Peu après je sens une main entrer dans mon trou du cul, se saisir du légume gluant. Mais elle doit s'y reprendre à 3 fois avant d'avoir la bonne prise et, lentement elle me sort l'aubergine du cul.

    • "Tu veux que je t'en débarrasse ?"

    • "Pourquoi ? Elle a un orifice libre qui n'attend que ça !"

    En entendant Javier dire ça, je tremble de tout mon corps, mais il ne s'en préoccupe pas, et l'instant d'après il enfonce ce qu'il peut de l'aubergine dégoûtante dans ma bouche et tapote même dessus pour qu'elle rentre bien !

    • "Quand la nettoyeuse aura fait son job, on pourra la jeter !"

    • "La nettoyeuse ou l'aubergine ?"

    Javier éclate de rire :

    • "Si tu veux jeter la nettoyeuse, fais gaffe je la ramène dans mes bagages ! Allez, on continue ! Je vais enlever ses boules, avec la ficelle qui pend de son con, ce sera facile ! Tu devrais en profiter pour mettre un gant et faire tourner l'aubergine dans sa bouche, il faut qu'elle soit bien propre, et assure toi qu'elle avale bien tout. Elle n'est pas sale, elle a du se faire des lavements du cul pour éviter la merde qu'elle déteste ! A moins de penser qu'elle ne serait pas enculée ! Ce qui m'étonnerait beaucoup !"

    Je sais donc que c'est Yves qui me fait nettoyer le légume en le tournant dans ma bouche. Mais, je l'aurais deviné, il va lentement et est très précautionneux !

    • "Yves, tu es sur qu'elle accepte ce calibre dans son con ?"

    • "Quand tu l'as vu, je t'ai dit que dans l'état où elle est, elle l'accepterait sans problème !"

    Je pense de suite à notre plus gros vibro, un des derniers cadeaux d'Yves : il est télécommandé, a un très gros gland et un corps avec des picots de latex.

    Il offre 3 fonctions avec différentes vitesses : il pistonne le con en changeant de longueur, il racle les parois du vagin en tournant et en grossissant et il vibre en tournant quand il est au fond du con. C'est un outil sans pitié, l'orgasme est inévitable quand il est en route.

    Et, sans être branché, aucune bite humaine ne m'a jamais remplie aussi bien le con, mais Yves sait que je l'accepte volontiers quand je suis très excitée !

    Ce qui semble être le cas !

    Écartée telle que je suis, Javier n'a aucun mal à le lubrifier avec ma mouille, je ne peux éviter un petit cri quand il rentre le gland, je sais qu'après ça ira tout seul et, en effet, il glisse dans ma connasse torrentielle comme une bougie de ménage !

    • "Wouah ! Quelle capacité vaginale, je lui ai tout mis sans aucun problème, cette salope est vraiment un vrai phénomène"

    Ils rient tous les deux de bon coeur, pendant que je joue avec mes muscles vaginaux pour mettre ce monstre dans la bonne position !

    • "Dis-moi, Yves, au passage tu as vu la taille de son trou du cul, l'as-tu déjà vu aussi dilaté ?"

    • "Parfois, quand Cathy l'oblige à porter des godes de différentes tailles au bureau, quand elle rentre à la maison et qu'elle l'enlève c'est un grand plaisir de coulisser dans con cul !"

    • "N'en abusez pas, il faut qu'elle reste étroite du cul, c'est ce qui fait une partie de son charme !"

    La salle à manger change de fonction !

    • "Bon, il nous reste à installer les suceurs de tétons et de clito et à les brancher, et nous pourrons passer à l'étape suivante"

    Ils prennent chacun un téton dans une main et le font bander très vite, le suceur de gauche est posé le 1er et je sens l'air se retirer, sans douleur, je sais qu'il va me maintenir le téton à cette taille, avant de brancher l'aspiration. Celui de droite le rejoint.

    Quand ils arrivent au clito, je ne sais pas qui va s'en occuper, c'est Yves qui le connait le mieux, mais il laisse faire Javier. Il est très adroit, sait ou il est et le fait grossir très rapidement en tapotant dessus et en le pinçant, il le pose sans problème, je suis tellement à point que j'ai failli jouir pendant qu'il me tripotait le clitoris !

    • "Je fais un break, il faut que j'aille aux toilettes, je vais me boire un café et m'en griller une ! Je te laisse faire tes photos, elle est prête !"

    • "Je te rejoins quand je l'aurai bien mitraillée !"

    Yves ne dit pas un mot, mais doit faire une bonne centaine de photos, à part mes orteils coincés sous mes cuisses, je crois qu'il a tout photographié !

    Il rejoint Javier vers le nid et me laisse seule avec mes angoisses, j'ai l'impression qu'il ne vont pas tout brancher d'un coup, mais c'est une simple supposition ! Mais comme je l'ai écrit plus haut, pas la peine d'imaginer mon futur, il est déjà écrit !

    Table à manger ou table à baiser ?

    Quand ils reviennent, je n'ai, bien sur pas bougé

    • "Pas la peine de lui expliquer ce qui va lui arriver, je suppose qu'elle le sait, elle est rusée ! Pour le moment, il faut lui libérer la bouche et jeter cette cochonnerie qui nous a bien servi en lui dilatant le cul !"

    • "Je m'en occupe Javier, ce sera vite fait"

    Une de ses mains gantée retire le légume de ma bouche et il fait remarquer à Javier qu'il est luisant de propreté, tout au moins dans la partie que j'ai pu nettoyer !

    • "Oui, je vois ça, mais je savais déjà que cette pute était une bonne nettoyeuse de pine, alors pourquoi pas d'aubergine !"

    • "Je vais l'emballer dans un sachet et la mettre à la poubelle, je ne tiens pas à ce que quelqu'un tombe là-dessus !"

    Quand ils sont de nouveau tous les deux avec moi, leur attitude m'interpelle :

    • "Pile toi, face moi ? Ca te va ?"

    • "Très bien !"

    C'est apparemment Javier qui lance la pièce en l'air, un claquement de main et :

    • "Ah c'est toi qui commence, Yves, de toutes les manières même avec le bandeau elle t'aurait reconnu !"

    Yves rit :

    • "Oui tu as raison ! Mais dis-moi, Javier, j'ai une idée qui pourrait tout changer : c'est dommage de laisser un trou du cul aussi dilaté, vide, tu ne pourrais pas l'enculer pendant qu'elle me pompe ?"

    • "Exact je n'y avais pas pensé ! Serais-tu devenu cérébral tout d'un coup, cher Yves ? C'est une excellente idée que nous allons mettre en pratique de suite, n'oublie pas de t'occuper du chrono ! 15mn dans chaque trou de cette putain qui nous ouvre si gentiment ses cuisses et sa bouche de pipeuse !

    • "Yves, le nouveau cérébral a même une autre idée ! Je vais aller chercher le minuteur de cuisine, comme ça nous serons surs de nous !" 

    • "Tu devrais arrêter d'avoir des idées, sinon je ne vais plus servir à rien !"

    J'entend Yves rire et revenir en remontant et en réglant ma tomate-minuteur !

    Voilà donc mon avenir pour la demi-heure qui vient ! J'en pompe un pendant que l'autre m'encule, mais aucun des deux n'a parlé de brancher les automates, je suis contente car j'avais vu juste !

    • "Désolé, Amour, mais tu vas pomper la tête à l'envers, je t'enlève le coussin"

    Ma tête tombe de suite en arrière alors qu'Yves qui bande en effet comme un âne me remplit la bouche de son chibre, il me soulage un peu la tête en me la tenant et en m'aidant à faire mes allers et retours avec ma bouche.

    Javier s'installe entre mes cuisses :

    • "C'est génial, Yves, pour le con elle aurait été trop haute, mais pour lui défoncer le cul elle est juste à la bonne hauteur !"

    Le silence se fait, rapidement rempli par mes bruits de succion de la bite d'Yves que je n'ai quasiment jamais eu dans la bouche aussi grosse et aussi dure.

    Peu à peu, le temps que je mouille un peu du cul, pour compléter la vaseline restante, la bite de Javier commence elle aussi à faire des bruits obscènes alors qu'il sort sa queue entièrement de mon trou du cul pour la replanter d'un coup sec jusque dans mes intestins.

    • "Putain pipeuse et enculée, ne jouis pas, ton tour viendra !"

    Je ne sais pas si je tiendrai 1/2h avec ces 2 grosses bites en moi, je constate que celle de Javier est un peu plus grosse que celle de mon Chéri ! Mais, pour le moment elles me régalent toutes les 2 !

    Je sens avec plaisir qu'Yves se retient de jouir en sortant sa pine de ma bouche pour se calmer ! Et, je souris intérieurement, car Javier met de plus en plus de temps à replonger dans mon fion !

    La sonnerie du minuteur me sauve !

    Ils se retirent de mon corps et, disparaissent quelques minutes, visiblement, pour se rafraîchir les queues, car ils doivent être au bord de la jouissance !

    Quant à moi, je me suis calmée et je suis prête pour la 2ème manche !

    Ils reviennent et c'est Yves qui s'enfonce dans mon cul avec un grognement de plaisir que je connais bien, alors que Javier rentre tout ce qu'il peut dans ma bouche et j'ai le plaisir de constater qu'il suit l'exemple d'Yves en me soulageant la tête et en m'aidant à le pomper !

    Je fais la garce et joue de mes muscles du sphincter et du serrage de mes lèvres pour leur compliquer la tâche, mais ils résistent avec des pauses de plus en plus longues.

    Mais, est-ce la fierté de ne pas jouir le 1er ou pour prouver qui est le plus endurant ?

    Ils arrivent à se retenir d'éjaculer et le minuteur les libère !

    • "Pffff pas facile ! J'ai eu du mal à me retenir !"

    • "A qui le dis-tu ! J'ai mal aux couilles, et en plus cette salope a joué de ses muscles intimes !"

    • "On en grille une en prenant l'air ? Ca nous calmera !"

    Yves approuve et ils vont faire un tour pour fumer et s'apaiser !

    Je suis très fière, car c'est moi qui les tiens pas les couilles, les Maîtres ne sont pas ceux auxquels on pense toujours dans le bdsm !

    La recette du tsunami auvergnat !

    Javier revient le 1er et m'annonce la bonne nouvelle :

    • "Nous allons jouir tous les 3 ensembles, et je dis bien jouir et non essayer de jouir ! Mais, Yves a une petite question très intime à te poser, je compte sur toi pour ne pas mentir !"

    • "Putain-Loré, durant tes expériences, as-tu déjà été enculée par 2 bites ?"

    • "Non, Amour, un seul essai, ça n'est pas rentré car j'étais trop étroite et la position n'était pas la bonne !"

    • "Sans parler de la position dont nous sommes surs, à cet instant : après des heures de dilatation, penses-tu être suffisamment dilatée ?"

    • "Je n'en ai aucune idée, vous avez 2 grosses bites, il faudra probablement me vaseliner avant !"

    • "Bien vaselinée, ça va entrer, crois moi ! Et tu seras enculée et ton trou à merde sera pilonné par nos 2 grosses pines. Ce que mérite une salope aussi vicieuse que toi. Mais en échange de ce plaisir que nous t'offrons, nous attendons de toi que tu jouisses très clairement du cul et c'est à ce moment là, que nous viderons nos couilles dans tes intestins !"

    • "En fait notre défi de mâles était de te niquer la bouche et le cul 30mn sans jouir, nous l'avons réussi malgré ton vice et tes muscles secrets, mais, à présent 2 défis t'attendent, tu connais le premier, quand tu auras notre foutre dans le cul, nous te révélerons le 2ème !"

    • "Je sais que ça va me valoir une punition, mais je l'accepterai de bon coeur, tout en la redoutant ! Vous avez préparé très soigneusement mes tétons, mon clito et mon con, mais vous n'avez mis en route aucun appareil, je suis peut être aussi conne que vicieuse, mais je connais déjà mon 2ème défi. Rassurez-vous, nous gagnerons le 1er haut la main, j'en ai trop envie, mais attention aux voisins !"

    • "J'avoue Yves que je n'ai pas le courage de lui infliger une punition pour ce discours ! Ta femme est vraiment très intelligente, nous verrons après, ma décision te convient ?"

    • "Elle est parfaite, mais avec les minutes qui passent sa dilatation anale va s'atténuer, on devrait commencer !"

    • "Amo mio, je n'ai jamais pensé, même dans mes fantasmes inracontables que je jouirai du cul avec vos grosses pines en moi, c'est un défi infaisable, mais je suis tellement excitée que je vais vous aider à le réussir, car, je sais, Amo mio que vous imaginez des défis impossibles, mais que vous les réussissez toujours !"

    • "Bon assez de bla-bla-bla ! Yves, peux-tu aller chercher de la vaseline s'il te plait ?"

    Il revient de la salle de bains avec un gros tube neuf.

    Mon cul étant ouvert à tout vents, il en injecte une grosse quantité dans mon sphincter et revient de l'armoire avec un martinet dont il me rentre le manche dans le cul.

    Il remue longuement pour bien enfoncer la vaseline et en badigeonner les parois, quand il a fini, il en met giclée sur mon anus et avec une main gantée, il lubrifie avec soin mon anneau.

    Javier le regarde faire sans rien dire.

    • "Voilà elle est pleine de vaseline, on peut y aller, mais par précaution, Javier mets lui un bâillon boule, pas trop serré, si elle y arrive, elle va hurler comme une démente !"

    Il revient avec le bâillon qu'il fixe sur ma nuque sans trop le serrer.

    Yves remet le coussin sous mes épaules, pour me soulager, mais aussi pour mieux voir, et avec l'accord de Javier, il m'enlève mon bandeau. Je vois mes hommes à poil bites au nombril se glisser dans le compas de mes cuisses, ils prennent leurs bites en main et s'enduisent le gland de la vaseline de mon anus.

    Ils collent leurs bites l'une contre l'autre et poussent ensembles.

    Mais, ils sont obligés de ressortir, car mon anus les refuse.

    Je dilate au maximum mes muscles pour les aider et je force comme si je voulais chier, c'est tout ce que je peux faire pour eux.

    A la 2ème tentative, le gland de Javier entre mais Yves est obligé de maltraiter sa bite pour réussir, enfin, à entrer le sien.

    J'ai eu très mal, j'espère qu'avec les glands dans mon cul, le reste va entrer tout seul !

    Mais malgré la 1/2 tonne de vaseline que j'ai dans le cul, ils doivent forcer et c'est cm après cm que leurs bites s'enfoncent en moi, je n'ai jamais eu le cul dilaté comme ça, j'ai l'impression désagréable d'accoucher de Jean par l'anus !

    Mon tsunami, mieux que Vulcania !

    C'est avec un soupir de soulagement que je sens les bites dures glisser dans mon fourreau tiède, humide et bourré de vaseline.

    Quand je sens leurs couilles battre mon cul, je soupire aussi de soulagement :

    • "Je vous en prie restez un peu au fond de moi sans bouger !"

    Ils s'exécutent, ce qui me permet d'évacuer la douleur et de reprendre mon souffle.
    J'espère qu'avec autant de vaseline 
    je n'ai pas été déchirée.

    Mais, maintenant une question grave se pose : est-ce que mes hommes vont pouvoir me limer le cul ?

    Et visiblement Javier a du se poser la même question !

    • "Je pense qu'au début, il faut que chacun fasse l'inverse de l'autre, je m'explique : tu sors la moitié de ta queue, pendant que je reste au fond, tu t'enfonces lentement et je retire la moitié de mon sexe, et ainsi de suite, petit à petit ça devrait coulisser comme il faut ! Je pense qu'elle ne pourra jouir du cul que si nous la pilonnons réellement avec nos 2 bites, comme s'il y n'a en avait qu'une seule énorme !"

    • "On fait comme ça, mais c'est une 1ère pour moi !"

    • "Et tu penses, que je fais ça tous les soirs ? Gros malin, moi aussi c'est une 1ère !"

    Nous rions tous les 3, ce qui détend un peu l'ambiance !

    Ils mettent leur plan en application, je sens une bite calée dans mes intestins et l'autre remonter doucement !

    Je suis incapable de dire qui est au fond et qui remonte !

    En se chargeant de la vaseline des parois de mon sphincter, les bites glissent mieux et coulissent plus rapidement en moi.

    Je relâche totalement mes muscles vaginaux et fessiers et d'un seul coup tout devient irréel, je sens deux bites au fond de moi qui se retirent de plus en plus et reviennent comme des têtes de bélier me faisant gémir de plaisir.

    Je sais à partir de ce moment précis que je vais jouir du cul !

    Des mains j'explique que je ne veux plus du bâillon boule. Javier est le premier à comprendre et me l'ôte sans arrêter de me limer.

    D'une voix à peine audible je murmure :

    • "Si je crie trop fort, utilisez l'oreiller !"

    Ils approuvent, eux aussi savent que c'est gagné, et le vrai enculage à deux têtes commence

    Je suis de plus en plus chaude, surexcitée et je sens même pour la 1ère fois mon anus se lubrifier et s'ajouter à la vaseline.
    Mais j'ai aussi un monstre qui se crée à l'intérieur de tout mon corps :

    • "Attention, préparez-vous je ne veux pas jouir seule !"

    C'est la dernière phrase que je peux susurrer !

    Quelques secondes plus tard, le monstre explose dans mon corps et je jouis comme un animal-fou, ils me plaquent le coussin sur ma bouche, sans arrêter de me pilonner le cul.

    Mon orgasme est tellement long qu'ils éjaculent tous les deux à la suite, et, que, pour la 1ère fois de ma vie, je sens leurs jets de foutre dans mon cul qui est tellement bouillant que le foutre tiède, me semble glacé ! Tout mon corps tremble comme si j'avais une crise d'épilepsie.

    Yves sort de mon anus et remet le coussin sous mes épaules, ma tête tombe lourdement dessus et je ne me sens pas partir, ma tête tombe sur le côté et visiblement je n'ai plus de souffle. Et semble ne plus pouvoir respirer !

    Quand j'émerge, ils sont près de moi, un avec un verre d'eau et l'autre avec un gant mouillé, je ne sais pas si je me suis réellement évanouie, mais il est sur que durant quelques secondes, je volais, je ne sais où mais plus du tout sur terre !

    • "Oh, Amour c'est la 1ère fois que je jouis comme ça"

    • "Ne dis rien, repose toi, tu t'es évanouie quelques secondes, inspire et respire profondément, fais ce que je fais !"

    Je l'imite comme un animal docile, pendant que Javier revient de la cuisine avec de l'eau plus fraîche dont il me badigeonne la figure avec tendresse !

    Peu à peu je recouvre tous mes esprits, mon coeur n'a pas du accepter une telle montée d'adrénaline ! 

    Javier s'est installé devant l'ordinateur du salon et nous dit :

    • "Ecoutez ça mes amis : Wikipédia vous répond : l'orgasme détend grâce au cocktail d'hormones produites par le cerveau : la dopamine qui contribue à avoir de nouveau envie de jouir, l'endorphine, la sérotonine, l'ocytocine, c'est un véritable shoot de bien être qui a envahi Loré et l'a fait planer ! J'ai beau avoir 8 ans d'études de pharmacien, mais personne ne m'avait expliqué ça aussi clairement !"

    Nous rions tous les 3, la fausse plaisanterie est en effet très drôle !

    • "Moi je n'ai pas eu besoin de tout ça, 2 belles bites dans mon cul me suffisent ! Mais je dois être pleine de dopamine, car je ne suis pas rassasiée ! Ou, je suis encore plus salope que nous ne le pensions tous !"

    • "Café, cigarette et on continue ?"

    • "Oh que oui, je sais ce qui m'attends, et j'ai hâte d'y être ! En plus je ne peux pas laisser un défi de mon Amo inachevé !"

    Oh qu'on est bien au Paradis !

    • "Loré, tu es vraiment exceptionnelle, je ne sais pas comment le Bon Dieu a pu créer une femme comme toi !"

    • "Amo mio, probablement le lundi après son jour de repos, il n'a eu que vous deux et moi à créer, il a eu le temps de fignoler un grand Maître, un Mari adoré et une salope comme moi !"

    Yves revient avec du café frais qu'il m'aide à boire, car, je suis toujours attachée sur ma table à jouir !

    Il m'aide à fumer et quand il est sur que je suis en pleine forme :

    • "Je pense qu'on peut reprendre !"

    • "Oui je me sens très bien et mon jus va finir par traverser le bulgom !"

    • "Tu vas t'envoyer en l'air comme jamais, ma grande salope !"

    • "Je suis prête, Amo mio, et je crève d'envie de jouir, mais réglez le minuteur sur 5mn, je veux m'envoyer en l'air et enchaîner mes orgasmes pour jouir toute la semaine qui vient sans m'arrêter !"

    • "Allez en route pour le Paradis belle salope assoiffée de jouissances ! Mais après tu nous pomperas tous les deux en même temps !"

    • "Je ferai tout ce que vous voudrez, après, Amo mio, mais amenez moi vite après !"

    Il s'approche d'un guéridon où il a rangé ses télécommandes. Il enclenche un appareil et je sens de suite mon clitoris gonfler.

    • "Oh oui, Amo mio, c'est super ! Mon clito n'en pouvait plus d'attendre !"

    On dirait qu'il suit la progression de mon plaisir sur mon visage, car il augmente la vitesse par petits crans, et à chaque fois je lui réponds avec un petit cri de plaisir. La tête rehaussée, je vois très bien mon clitoris se gonfler de sang et remplir tout le récipient de la pompe qui le suce et le branle.

    Je tortille du cul, mords mon oreiller, et quand il règle la vitesse sur son maximum, je ne peux plus me retenir, et en quelques minutes de ce régime insupportable, je jouis.

    Mais Yves a tout prévu et il me bâillonne la bouche avec sa main pour ne pas effrayer les voisins.

    Il me semble que cet orgasme est aussi long que celui du cul !

    Alors que j'entends Yves conseiller à Javier

    • "Enchaîne sur un autre, elle est en ébullition ! C'est la salope-furie que je t'avais promis !"

    Alors que Javier diminue prudemment les succions du clito, je sens mes tétons sollicités,

    Javier démarre les 2 pompes d'un coup, et vicieusement, comme il sait que je suis très sensible des bouts de mamelles, il augmente la vitesse de succion plus rapidement que celle du clito, je peux voir mes bouts de nichons doubler et tripler de volume.

    Ils me font mal, mais quand il branche les suceuses au maximum, j'oublie ma douleur et ne me consacre qu'à l'orgasme qui monte en moi. Mes bouts me font tellement mal que je jouis en hurlant, dans un mélange de douleur et de plaisir incroyable !

    Du côté des tétons, Javier calme le jeu, mais je sens le vibro se mettre en route, il est dans un con idéalement préparé, je ruisselle sur mes cuisses et sur le bulgom !

    Il commence son cycle sagement mais se déchaîne peu à peu, pour me pilonner de plus en plus vite le con jusqu'au col de l'utérus,

    Javier joue avec moi comme avec une play-station, et varie sans cesse les modes et les vitesses jusqu'à ce qu'il sente que je n'en peux plus.

    Il pousse le pilonnage à sa vitesse maximale et cette bite automatique me tamponne le con tellement fort que je jouis dans la douleur avec un plaisir extrême, tout en ayant la force de le supplier :

    • "Amo mio, je vous en supplie, ne le coupez pas, je vais jouir une deuxième fois avec cette fabuleuse bite mécanique que seule une salope comme moi peut redemander !"

    Il sourit et recommence mais en laissant une vitesse moyenne constante et en variant les modes, mon corps réagit à chaque changement et je ne mets que quelques minutes pour m'envoyer en l'air une fois de plus, mais ce coup ci je fais attention de ne pas trop crier pour éviter à Yves de me bâillonner de sa main ou avec le coussin !

    Je récupère rapidement en soufflant comme un bœuf de trait !

    • "Amo mio, puis-je vous parler ?"

    • J-"Vas-y nous t'écoutons !"

    • "Amo mio, je veux vous remercier pour ces fabuleux orgasmes, et je désirerais que vous mettiez tous les programmes sur une vitesse moyenne et que vous veniez tous les 2 vers ma tête, pour profiter de ma bouche de pute grand ouverte prête à recevoir et à avaler vos foutres que j'aime tant ! Amo mio, laissez une pute vous faire plaisir en remerciement du plaisir que vous lui avez donné !"

    Sa réponse est de tout brancher sur la vitesse moyenne et de venir vers ma tête pendante, accompagnée par Yves. Qui est le premier à me prendre par les cheveux avant que Javier ne l'imite.

    Pendant que mon corps vibre de partout, que mes bouts de nichons, mon clito et mon vagin sont triturés, pompés, branlés et ravagés, je les suce séparément puis les 2 bites à la fois en me faisant mal aux commissures des lèvres.

    Javier me prend les cheveux et use de ma bouche comme d'un vagin, Yves l'imite dès que Javier lui rend les cheveux, je me sens une chose, mais une chose utile qui donne du plaisir à ses hommes :

    • "Oooooh, si nous pouvions jouir les 3 ensembles ce serait fantastique"

    • "On peut y arriver, donne nous simplement le feu vert !"

    Et peu de temps après, je leur annonce :

    • "Je n'en peux plus !"

    Et juste, avant que je ne jouisse, les 1ers jets d'Yves frappent le fond de ma gorge et, sans que je n'ai le temps de tout avaler, Javier le suit.

    Ma bouche, trop pleine de foutre, laisse échapper un petit flot qui coule sur mon menton et sur mes nichons. Je jouis la bouche pleine de sperme, sans pouvoir crier mais en déglutissant avec un immense plaisir, comme la salope que je suis avide de son jus préféré : le foutre de mes hommes !

    Une nouvelle pause "s'impause"...

    • "Ma cochonne, tu as 30mn de repos : tu en as bien besoin après ce festival de jouissances ! Tu peux te mettre totalement à poil, boire, te restaurer, fumer, prendre un bain et faire une micro-sieste ! Retrouve nous à la piscine, toute nue, à 18h"

    • "Merci, Amo mio, je vais bien en profiter, à plus tard !"

    Mes hommes s'installent dans le nid.

    Je ne saurai que plus tard ce qu'ils ont fait et dit !

    • "Je suis tout de même étonné par Loré, Yves, c'est une femme vraiment à part ! Elle ne donne jamais l'impression de jouer un rôle, elle prend les événements au fur et à mesure et s'y adapte comme un vrai caméléon, c'est assez fabuleux, tu as beaucoup de chance !" 

    • "Je me le répète tous les jours et j'ai conscience du bonheur qu'elle m'offre, mais je suis surtout très fier qu'elle gère sans aucun problème toutes ses vies, de la maman la plus attentionnée à la plus salope des soumises avec nous ou des inconnus !"

    • "Tu fais bien de parler d'inconnus, j'ai cherché des sites de speed-dating outdoor et j'en ai trouvé un près d'Issoire où les rencontres libertines rapides sont courantes"

    • "Oui, je dois avoir le même qui me semble correspondre parfaitement à ta recherche C'est à 5mn d'ici. Dans la forêt d'Auzon et en fouillant plus, je l'ai retrouvé sur un site de sexe : Auzon la forêt chaude : forêt dense, très accessible, peu fréquentée, idéale pour des rencontres coquines, repérage par coordonnées GPS, excellente fréquentation !"

    • "On peut l'essayer, ça me semble parfait, tu es toujours d'accord pour la prêter à des inconnus ?"

    • "Oui elle est addict de ce genre de rencontres, Cathy ne lui présente que des clients inconnus qu'elle ne revoit jamais !"

    • "Robe du soir courte et très Je suis décolletée, talons hauts, pieds nus et aucun sous-vêtements, ça te semble correct?"

    • "Oui, très bien, et pour le timing ?"

    • "Pendant qu'elle se refait toute neuve, nous rédigeons son annonce de propositions et la mettons en ligne. Puisque c'est à côté, on peut y être à 18h15 et consacrer 2h à ces jeux. Donc retour ici vers 20h20. On se change et je vous invite au resto, j'ai réservé pour 21h à La Criée à Aubière, vous connaissez ?"

    • "Oui, c'est le meilleur restaurant de fruits de mer d'Auvergne. Nous y allons au moins une fois par mois et nous y sommes très connus !"

    • "Quelle incroyable coïncidence !"

    • "Pas autant que ça : nous utilisons tous le Web et, souvent les mêmes moteurs de recherche ! Tu devrais les rappeler pour mettre ta résa au nom de Loré, Yves et Javier ! Tu auras une belle table ronde et une coupe de champagne offerte par la maison ! Prends aussi une petite marge et rectifie ta résa pour 21h15. Il faut une vingtaine de minutes pour y aller ! Je vais faire du café frais, le numéro de La Criée est dans notre répertoire à l'entrée Restos La"

    Yves va dans la cuisine pendant que Javier appelle de la piscine. Il revient avec 2 doubles expressos tout frais en disant à Javier que le mien m'attend !

    Nous faisons plusieurs brouillons de notre annonce en suivant les indications du site.
    Mais 
    les durées et le nombre de prestations leur posent des problèmes, et c'est finalement, avec un calculette qu'ils finalisent l'annonce !

    Bourgeoise de 34 ans, dévergondée et non professionnelle vous propose gratuitement pour ce soir. Pour 4 d'entre vous : de vous pomper nue dans l'herbe, en avalant. Pour 2 fétichistes, de lécher et de sucer ses pieds et/ou ses chaussures et de vous branler sur eux. Pour 3 couples (hommes ou mixtes) de vous branler et de vous sucer tous les deux, nue, en avalant. Et pour seulement 2 hommes bien membrés de vous offrir son cul nu, le reste du corps dans l'auto, pour l'enculer et jouir dans son cul ou sur sa raie. Et pour 4 non sélectionnés qu'elle choisira : une branlette complète, nue, dehors, avec le droit de la peloter. Les prestations sont minutées et les coordonnées GPS seront mises en ligne en arrivant dans la Forêt d'Auzon.

    • "Ca me semble excellent, mais tu es sur que ça tient dans les 2h"

    • "En principe oui, mais nous allons vérifier, car il faudra prévenir Loré de la durée de chaque passe : pour les pipes-solo, on peut compter 8mn, donc 32, pour les pieds, 10mn, donc 20, pour les double-pipes, 10mn donc 30 et pour l'enculage, 15mn soit 30, ce qui nous donne 112mn, donc en dessous des 2h , ça colle, même avec 8mn de marge !"

    • "Oui, pour un lent à jouir ! Je prépare un mémo pour Loré, et tu mets en ligne,ok ?"

    • "Je m'envoie le texte sur mon mail et tu as du papier dans notre bureau, 3ème porte à gauche après le salon"

    Quelques minutes avant 18h, ils se retrouvent :

    • "Je lui ai rajouté : 2 klaxons à -30' et 1 à la fin du temps"

    • "Tu es bien le cerveau ici ! Je n'y avais pas pensé, je prendrai mon chrono, avant qu'elle n'arrive, je vais mettre sur la plage arrière de l'Audi, 2 Vichy fraîches dans des sacs isothermes, des Kleenex, du Sopalin, des lingettes rafraîchissantes, des lingettes intimes et une grande serviette pour le retour, sinon elle va en mettre partout sur la banquette !"

    • "Tu nous ramènes 3 coupettes de champagne, s'il te plaît ? Je t'attends ici, je vais m'en griller une ! Dans 5mn, elle sera là"

    Je les rejoins à 18h, nue comme un ver, avec un grand sourire et fraîche comme une rose du matin !

    • "Tu peux t'asseoir, nous partons dans 10mn. Yves va te porter un double expresso frais, une coupe de champagne et tu as tes Royale Menthol devant toi ! Tu es toute belle et toute reposée, c'est super Putain-Loré ! Pour la suite, tu vas enfiler une robe du soir foncée, légère, très décolletée et qui t'arrive juste au dessus des genoux, tu compléteras par des beaux escarpins de cuir, pieds nus avec, si possible des petits bracelets qui les retiennent à tes chevilles, et aucun sous-vêtements, et bien sur ton collier d'esclave. A part les sous-vêtements, tu as tout ? "

    Je souris de l'humour de mon Amo !

    • "Oui, Amo mio, j'ai une robe du soir courte, bleue marine, très sexy avec des escarpins assortis"

    Yves arrive avec un plateau : 3 coupes de champagne et mon expresso, je l'embrasse en me levant :

    • "Tu es un Amour, je reviens de suite, je veux montrer ma robe du soir marine à mon Amo pour savoir si elle lui convient, je suis là dans 2mn !"

    • "On ne part que dans 10mn, ne te presse pas !"

    Peu de temps après, je reviens vers le nid, ils se contentent de siffler comme des ados en voyant la belle bourgeoise sexy que je suis devenue !

    • "J'ai ma réponse, merci Amo mio"

    J'allume une dernière cigarette, et déguste mon café, juste bon à boire et l'arrose de champagne bien frappé !

    J'écrase ma cigarette et Yves nous dit :

    • "Je ne sais pas où c'est, et je me méfie du GPS, il vaut mieux y aller !'

    En route, mais pour où ?

    Yves m'ouvre la portière arrière et nous démarrons.

    La voix du GPS nous guide.

    Nous prenons la direction d'Auzat puis une petite départementale.

    Des flèches touristiques indiquent Forêt sectionale d'Auzon.

    Je réfléchis, moi j'aurais mis 2 "n" à sectionale !

    • "Pendant qu'Yves conduit, je vais te donner quelques indications : nous allons dans Auzon la forêt chaude. Yves m'a expliqué qu'il y a beaucoup de sites en Auvergne où les couples bourgeois viennent pimenter leur libido par de l'échangisme ou de l'exhibitionnisme. Celui d'Auzon a été mis en ligne en mai 2017, donc il est tout récent. Sa particularité est que les propositions sont mises en ligne, les tiennes le sont depuis 17h30 et elles sont confirmées par les coordonnées GPS où l'ont peut nous retrouver. Nous les mettrons en ligne quand Yves aura trouvé le meilleur endroit, et il nous suffira d'attendre le chaland !"

    • "C'est comme le bois noir à côté de Vichy où Cathy m'emmène de temps à autre, Amo mio, vous me parlez de propositions que j'ai faites, puis-je en savoir plus ?"

    Pour toute réponse, Yves me passe par dessus sa tête un mémo, en me disant :

    • "C'est Javier qui l'a rédigé, tu l'apprends par coeur Pour le timing : 30' avant la fin 2 coups de klaxon et quand le temps de ta passe sera écoulé : 1 seul"

    Je vais donc faire la pute dans une forêt libertine ! Il y a pire !

    Je m'enfonce dans le coussin moelleux de la banquette et lis le mémo.

    • "Yves et moi sélectionnons les candidats. Ton offre contient 4 propositions. La simple-pipe, nue, dehors, à genoux, mains autorisées > 8mn. Les pieds chaussés, nue, couchée dans l'auto, jambes sorties par la fenêtre, pour fétichistes > 8mn. La double-pipe, identique à la simple-pipe, mais les femmes sont acceptées > 10mn. L'enculage, nue, moitié du corps sorti par la fenêtre > 15mn. Et une consolation pour les non sélectionnés, que tu choisiras toi même : nue, dehors, debout, tu les branles et tu les fais jouir, ils sont autorisés à te peloter > 5mn. Amuse toi bien !"

    Je connais les durées, mais j'ignore combien de prestations je vais offrir, car je suppose que tout ça est gratuit ! Mais on verra bien !

    • "Un commentaire Putain-Loré ?"

    • "Aucun, Amo mio, je vais faire en sorte que vous soyez fier de moi"

    Auzon, la Forêt "Chaude" !

    Le GPS nous conduit jusqu'à l'entrée du chemin qui mène dans la Forêt sectionale d'Auzon.

    Yves s'engage sur un petit chemin forestier, et très vite nous voyons des toits de voitures dépasser des fourrés.

    Il s'enfonce au coeur de la forêt qui n'est en fait pas très grande et repère un bon emplacement, abrité par des grands arbres, relativement discret, avec un petit chemin d'accès à une mini clairière.

    Des branches frottent la carrosserie pour accéder à cet espace dégagé qu'il s'arrange pour avoir devant l'auto en se garant en marche arrière.

    • "Bon choix Yves, je pense que les chalands n'oseront pas prendre ce petit chemin d'accès, j'irai donc les chercher et je les ramènerai à pied, c'est parfait, comme ça Putain-Loré pourra bosser tranquillement !"

    • "A moins qu'ils n'aient une peinture métallisée signée Audi ! Merci Javier, je te dicte les coordonnées et tu les rentres sur le site. Si j'en crois ce que tu viens de dire, tu viens de distribuer les rôles ! Tu te charges de sélectionner les candidats et de leur demander quelle prestation ils désirent ou plus tard, quelles prestations il leur reste, et tu viens avec eux en te fiant à mes coups de klaxon ?"

    • "C'est agréable de parler avec des gens intelligents ! Je n'ai rien à rajouter, il nous reste à guetter les voitures et à aller au devant d'elles, Putain-Loré, dès que tu vois un toit de voiture, tu peux te mettre à poil, mais garde tes escarpins"

    • "Tu as sur la plage arrière 2 bouteilles de Vichy frais dans 2 sacs isothermes, 2 boîtes de Kleenex, 1 rouleau de Sopalin, 2 boîtes de lingette pour bébé,1 boîte de lingettes intimes et une grande serviette pour t'envelopper au retour. Si quelque chose cloche, crie papillon et nous interviendrons. Nous interdirons les photos et les films mais, ma caméra filmera toutes tes passes en plan large"

    Une 1ère voiture approche et se gare, à l'intersection du chemin, Javier va au devant d'elle, j'en profite pour enlever ma robe et la range soigneusement sur la plage arrière.

    On le voit discuter et revenir avec un homme d'âge mur.

    Yves m'a ouvert la fenêtre arrière droite et Javier me dit :

    • "Monsieur a envie de ton cul, vous avez 15mn, régalez vous bien !"

    Je souris en moi même, j'en étais sure !

    Je m'agenouille dos contre la portière et après quelques mouvements de gym, je sors la moitié de mon corps, et j'ouvre le plus largement possible mes cuisses.

    J'entends l'homme demander si je suis bien propre et s'il peut sucer mon anus pour m'humidifier,

    Javier lui répond oui alors qu'une 2ème voiture arrive.

    L'homme s'agenouille devant mon cul et me fait un annilingus très salivé et très honorable, quand il pense que je suis prête, il se relève et sort sa bite, il m'encule avec respect, son gland passe bien et le reste de sa pine entre en moi.

    Il me prend par les hanches et commence à me pistonner le cul, je lui réponds en avançant mon cul vers sa bite pour mieux m'enfoncer sa bite dans le cul et lui faire sentir que j'aime ce qu'il me fait !

    Il est surpris mais semble apprécier, et il augmente la vitesse de ses allers et retours et, d'un seul coup, il se bloque au fond de mon fion en grognant ! Je suppose qu'il se vide les couilles, mais je n'ai rien senti !

    Il sort de mon cul, après un peu de gym, je lui tends des kleenex, il me remercie, se rhabille et s'en va !

    Je suis en train de me laver le cul avec des lingettes quand Yves me dit :

    • "Eh bien, Loré si tous tes clients font comme lui, nous serons en avance au resto !"

    • Ah nous avons droit au resto, et où as-tu réservé ?"

    • "C'est Javier qui a réservé depuis Valencia, je te laisse deviner où, mais tu seras enchantée !"

    • "Ne me dis pas que de Valencia il a réservé à La Criée ? Tu triches tu l'as aidé !"

    • "Je te jure sur notre amour que non, je lui ai même dit de rectifier sa résa et de la mettre à nos 3 noms ! Allez, le 2ème arrive ! Bosse bien petite pute adorée !"

    Javier revient avec un autre homme :

    • "Sors de l'auto, salope, Monsieur veut voir tes pieds !"

    Je sors, nue et m'appuie à la carrosserie je lui montre mes pieds sous toutes les coutures. Il semble les apprécier !

    Il fait oui à Javier et je sais ce qu'il me reste à faire, je remonte dans l'auto, pose mes fesses à l’intérieur et sors mes jambes et mes pieds.

    L'homme se régale tout en étant très méthodique, langue sur mes semellespetites pipes à mes talons, léchage des lanières de mes escarpins, puis il m'enlève délicatement mes escarpins tout en sortant sa bite et attaque le léchage de chacun de mes orteils, de mon talon et de mes plantes de pieds.

    Il s'agenouille pour prendre dans sa bouche tous les orteils qu'il peut, il les mâchouille doucement, les suce et les couvre de sa salive.

    Il est de plus en plus excité, et finit par se relever, il joint mes 2 pieds dans sa main gauche et de la droite il se masturbe à quelques centimètres d'eux, très vite je sens ses jets sur mes pieds bien propres et tout chauds !

    Il se relève, lui aussi a droit à ses Kleenex, il me remercie, je suppose que c'est pour tout !

    Et je rentre doucement mes pieds en ayant préparé un triple Sopalin pour les nettoyer avec soin !

    Je suis en fait très contente d'avoir rendu cet homme heureux !

    Forêt, clients et moi ! Très chauds !

    • "Il y a 4 voitures qui viennent de se garer, mais Javier est très efficace, il demandent aux gens d'attendre qu'il revienne et, au fur et à mesure, il leur donne les fantasmes qui sont encore disponibles, et toi tu peux faire ton travail en toute tranquillité !"

    Javier revient avec 2 clients, ils croisent mon suceur de pieds.

    Je sais donc que je dois remettre mes escarpins qui sont aussi propres que mes pieds, car une double-pipe est en vue !

    Sans attendre l'ordre de Javier, je descends de la voiture, m'approche des 2 jeunes hommes qui matent avec envie ma nudité !

    Quand ils sont au niveau de la voiture, je m'agenouille dans l'herbe et j'ouvre leurs braguettes. Ils ont de très belles bites, pas trop grosses,

    J'imagine vicieusement que je pourrai les faire juter avec les 2 en bouche et ça me fait mouiller et bander les tétons !

    Quand je suce les couilles du 1er, je branle férocement le 2ème, et j'échange couilles-branlette pour que chacun en profite.

    Puis j'attaque une pipe tout en branlant l'autre, j'ai plus de grognements du côté du pompé et je leur propose d'une petite voix de rentrer leurs 2 pines dans ma bouche et de les sucer pour qu'ils se vident les couilles en même temps dans ma bouche de salope !

    L'un des 2 semble septique, mais je me mets à l'oeuvre.

    Les glands entrent avec difficulté puis je n'ai aucun problème pour rentrer la moitié de leurs pines dans ma bouche !

    Ca me rappelle le double enculage et la double-pipe de l'après midi et je mouille comme la Putain-Loré que je suis, puisque Javier ne m'appelle que comme ça !

    Je les suce doucement mais arrive à les faire entrer et sortir de ma bouche sans oser sortir les glands et finalement, le 1er n'en peut plus et se vide sur mon palais, et je me dépêche d'avaler pour faire de la place au 2ème.

    Bon copain, il se retire pour que son partenaire profite de toute ma bouche, et il jouit en me tenant la tête au plus profond de ma gorge jusqu'à me provoquer une nausée que je cache !

    Il se retire aussi, mais je tiens à les reprendre 1 par 1 en bouche pour bien les nettoyer, pas de Kleenex pour eux ! Il n'y a pas de petites économies !

    Ils croisent aussi Javier qui revient avec un client, et ce manège semble se poursuivre sans fin ! Un nouvel enculage, sans savoir que c'est le dernier autorisé ! 2 double-pipes mais de 2 garçons, dommage il n'y a pas eu de filles volontaires ! J'aurais bien aimé sucer un bel abricot dans cette forêt magique ! Je termine en pomper des hommes seuls qui ont tous bien grogné en se vidant les couilles dans mon estomac qui commence à s'arrondir !

    Et, le temps passant, nous arrivons à consoler les non sélectionnés, Javier me demande de l'accompagner, à poil sur mes escarpins totalement déplacés dans ce paysage !

    Comme convenu, les 10 recalés sont tous debout, bites sorties ! Je choisis les 4 plus beaux !

    Ce ne sont pas forcément les plus belles pines, mais tant qu'à me faire peloter, j'ai plus regardé leurs visages et leurs mains !

    Pendant que je branle le 3ème, il me pelote tellement les nichons et les bouts, que lorsqu'il me doigte : 2 doigts dans le con et 1 sur le clito, je presse ses doigts de ma main libre et je le supplie de ne pas arrêter. Il éjaculé dans l'herbe alors que collée à lui je dissimule un orgasme que je n'ose pas extérioriser, et je ne sais toujours pas pourquoi !

    Mais, Yves ne l'a surement pas raté !

    Toutes les voitures repartent sagement à la demande de Javier, pendant que je remonte dans la voiture enveloppée dans l'immense serviette que m'a préparée mon Tendre.

    Je m'enfonce dans les coussins épais et confortables et 1mn plus tard, je m'endors !

    A bientôt Auzon !

    Javier remonte dans la voiture et nous dit :

    • "Tu vois, salope, grâce à ton éducation et à ton professionnalisme, nous sommes en avance ! Et pourtant, tu viens de te taper 15 mecs !"

    Yves lui répond en souriant !

    • "Je t'allume une cigarette, il vaut mieux fumer, car Loré s'est endormie, et que ce soit 10 ou 15 ou 30 bites, elle s'en fout royalement !"

    Javier n'ose pas éclater de rire et prend la cigarette qu'Yves lui tend !

    10mn plus tard nous sommes à la maison, Yves me réveille en douceur. Je rentre avec ma grande serviette et je file vers la salle de bains où une bonne douche libératrice m'attend !

    Javier me rejoint :

    • "Enfile la même robe, elle te met très en valeur et toujours sans sous-vêtements, fais tout de même attention, car, quand tes tétons bandent, ça se voit comme le nez au milieu de la figure ! Prends ton temps, nous partons dans 30mn"

    Une punition méritée et fort agréable !

    Nous partons pour le resto.

    Je demande à Javier si je peux lui poser une question.

    C'est Yves qui me répond :

    • "Tu savais bien que tu allais être punie ! Mais ce coup-ci par moi, car tu ne m'as pas fait confiance. Cherche bien, tu trouveras. Tu vas donc remonter ta jupe à la taille sans la froisser. Sur la plage arrière tu trouveras une serviette que tu glisseras sous ton cul de pute, nous avons environ 20mn de route, tu as un con toujours prêt et des doigts habiles : ta punition est de jouir 2 fois avant d'arriver, et contrairement à ton 3ème peloteur que tu branlais si bien et qui te branlais si bien ! Je ne veux pas que tu essayes de dissimuler tes jouissances, allez salope ça t'apprendra à essayer de nous cacher un orgasme qui crevait les yeux. Je pense que dans l'ambiance un peu libérale dans la Forêt d'Auzon, tu as oublié ce que tu étais !"

    Un peu vexée, car je ne comprends pas moi même cette dissimulation, je m'installe sans rien dire, je relève ma robe et soulève mon cul pour glisser la serviette sur le cuir.

    Je m'enfonce dans le coussin et cuisses largement écartées, je pose ma main droite sur ma moule et je laisse faire la nature.

    La 1ère jouissance arrive très vite, mais la seconde tarde un peu.

    Nous sommes encore à 5mn du resto quand je déchire une 2ème fois les tympans de mes hommes qui éclatent de rire de concert !

    Yves me tend la boîte de lingettes intimes, et, entre elles et la serviette un peu humide, j'arrive à pouvoir me rasseoir sans risque, robe baissée sur le cuir de la banquette !

    • "Tu peux laisser ton collier dans la voiture, mais remets le de suite en revenant"

    21h10 Nous arrivons à La Criée...

    David, le chef de salle se déplace pour nous recevoir :

    • "Bonsoir Loréna, vous êtes délicieusement ravissante, bonsoir Yves et bienvenu à Monsieur Javier : vous auriez du nous prévenir que vous veniez avec notre couple préféré !"

    • "Vous pouvez supprimer le Monsieur ! Il faut remercier Google, qui, en répondant à ma recherche du meilleur restaurant de fruits de mer d'Auvergne m'a donné votre mail depuis Valencia où j'habite !"

    • "Valencia ! Il faut que nous soyons à la hauteur, car vous vivez dans une des villes où les fruits de la mer sont choyés comme des trésors !"

    • "Oui, mais les plateaux de fruits de mer ne sont pas encore arrivés à Valencia, j'ai donc décidé de prendre un avion pour les goûter et je savais mes amis très friands de ces mets. D'ailleurs je peux vous passer de suite notre commande : vous prenez le plateau le mieux garni de votre carte et vous nous en servez 3 ! Mais, comme je suppose qu'ils sont très copieux et, sans vous commander, vous nous servez dans cet ordre : le 1er comme apéritif-tapas, suivi de 3 cognacs millésimés que nous dégusterons dans votre salon fumeurs et les 2 autres pour le vrai repas, est-ce faisable ?"

    • "La cuisine sera fermée, il faudra commander vos desserts avant, mais personnellement, je n'ai rien de prévu avant de me lever demain matin à 7h !"

    Javier sort un papier de sa poche :

    • "Excusez-moi, mais pour arroser ce fabuleux dîner : nous boirons du Champagne Laurent Perrier Rosé"

    • "Je veillerai personnellement à la bonne température de ce très bon Champagne ! Mais je m'appelle David et pas Monsieur ! Je vous conduis à votre table, et comme le Champagne fait partie de notre accueil VIP, vous l'aurez dans vos flûtes apéritives, offertes par la maison"

    21h10 à La Criée !

    Une grande table ronde, un joli centre de table en fleurs fraîches et un seau sur pied rempli de glace. Nous étions en effet attendus !

    • "je ne mettrai pas trop de tapas avec vos flûtes de bienvenue, mais je ferai en sorte que vous ayez votre plateau-tapas très vite ! Je crois que vous préférez des plateaux individuels ?"

    • "Oui, comme ça, si notre ami Javier n'aime pas ou adore un coquillage ou un crustacé, il saura de suite où piocher dans les autres !"

    • "Entendu, Yves, n'hésitez pas à me demander, en attendant, Madame et Messieurs, je vous souhaite une excellente soirée !"

    Nous nous asseyons, je suis, bien sur entre mes hommes :

    • " Chaleureux accueil et la meilleure table ! Nous voyons toute la salle, mais nous sommes un peu en retrait, vous êtes des VIP ici !"

    • "5 ans, 12 fois par an, ce sera environ notre 61ème repas ici, et ce n'est pas prêt de s'arrêter ! Je peux lui raconter une anecdote intime, Amour ?"

    • "Depuis quand demandes-tu son avis à une putain ?"

    Il rit et raconte :

    • "Au retour d'un des mes voyages, Loré était en ébullition, pendant la nuit, elle m'a lancé un défi : si je jouissais 2 fois dans son cul en moins d'une heure, elle m'offrait La Criée !"

    • "Et ?"

    • "Et rien ! Le lendemain j'ai vidé ma Visa ! Et je ne pouvais poser qu'une fesse sur ma chaise !"

    Nous rions de bon coeur !

    Les coupes sont servies avec juste d'excellentes olives, nous trinquons et buvons.

    Javier regarde beaucoup la salle, il semble intéressé par la diversité des clients.

    Le premier plateau arrive et nous y faisons honneur !

    L'ambiance est là, après un bel accueil, nous sommes heureux de dîner tous les trois.

    Putain-Loré fait une pause gastronomique, oubliant presque l'absence de ses sous-vêtements, mais, non sans jeter un coup d'oeil de temps en temps, sur ses tétons.

    Javier qui ne rate rien m'affirme en souriant !

    • "Pas de souci, pour le moment ils se reposent !"

    Il me fait rougir : c'est difficile d'oublier ma condition, assise à côté d'un Amo qui vérifie de temps en temps la fluidité de mon con en mesurant la taille de mes bouts de nichons !

    Javier se régale de tout, il adore toutes les variétés d'huîtres, les bulots, les praires et quand il ne sait pas ouvrir un coquillage ou un crustacé, il demande sans fausse honte à Yves, qui le prend, l'ouvre ou le broie avec son casse-noix, et celui d'après c'est Javier qui l'ouvre !

    • "J'ai juste une remarque à faire, mais je comprends que ce ne soit pas sur une table française : ça manque d'aïoli !"

    Nous attaquons avec envie le dernier tiers du plateau quand David vient pour savoir si tout va bien et si Javier aime :

    • "Oui, il se régale de tout, surtout avec ce qu'il connaît le moins, mais il trouve que ça manque d'aïoli ! Tout en trouvant ça normal puisqu'il est en France !"

    • "Vous entrez dans un débat d'actualité avec notre Franchiseur, avec la mondialisation, nous avons de plus en plus de demandes. Mais, il hésite, car, le véritable aïoli sans œuf, est très fort. Mais, à partir de septembre, un aïoli avec œuf, qui semble mieux convenir à notre clientèle sera en accompagnement de tous nos plateaux de fruits de mer"

    • "C'est une très bonne nouvelle, cette mayonnaise à l'ail sera un ersatz très correct"

    Il s'éloigne et nous terminons le plateau en ne laissant que la glace pilée.

    Alors que nous nous apprêtons à aller dans le salon fumeur, les serveur remettent notre table à neuf et une jeune serveuse porte un plateau chargé de 3 belles coupes de glaces.

    David l'accompagne et dit pour Javier :

    • "En France, nous appelons ça un trou normand c'est une glace maison au citron arrosée d'une vodka glacée. Elle favorise la digestion et, quand vous aurez terminé, votre table au salon fumeur est dressée, vous avez en libre-service des cigares, des cigarillos et des cigarettes variées et au bar vous trouverez différents alcools qu'Yves, fin connaisseur, vous aidera à choisir"

    La surprise est totale, et, en effet cette glace fraîche et savoureuse aide notre 1er plateau à passer, et dès qu'elle est terminée, nous nous dirigeons vers le salon fumeur.

    Mais Javier dit à Yves :

    • "Installe-toi, nous te rejoignons"

    Yves entre dans le salon sans poser de question, il doit supposer que Javier a envie d'aller aux wcs, mais nous restons sur place et il me dit :

    • "Putain-Loré, tu vois, face à toi, une table de 3 jeunes hommes ?"

    • "Oui, je la vois, Amo mio"

    • " Celui du milieu super bien habillé est un vrai canon, tu ne trouves pas ?"

    • " Oui, Amo mio, c'est en effet un très beau jeune homme"

    • "Comment ferais-tu pour le draguer, petite salope ?"

    Je rougis de honte :

    • "Dans ce restaurant où nous sommes très connus, Amo mio, ça me semble impossible"

    • "Tu fais ta mijaurée-oie blanche, alors que dans l'après midi tu t'es tapée 15 inconnus ! Allez fais jouer ton vice et ton imagination !"

    Coincée, je réfléchis quelques secondes et lui réponds :

    • "Je pense à une solution simple : Amo mio, lui faire porter un petit mot de votre part par la serveuse, qui me semble novice, en lui glissant un billet pour son silence"

    • "Pas mal et qu'est ce que j'écris sur le billet ?"

    • "Il y a le choix, mais je pense qu'une proposition directe et non équivoque sera plus simple pour écourter les échanges. J'en ai une en tête, qui dit tout en 3 lignes, me permettez vous de vous la suggérer, Amo mio ?"

    • "Vas y putain, mais choisis aussi des mots sans équivoque !"

    • "Bien Amo mio : je vous suggère de lui écrire :

    • "Vous matez la femme qui est entre nous. C'est une bourgeoise-salope-partouzeuse. Si vous voulez la voir de plus près, appelez moi au 07... Je vous répondrai en Espagnol pour m'isoler et je vous dirai où et quand vous pourrez passer un très bon moment"

    • "Tu vois, quand tu veux tu sais être très vicieuse et intelligente, mais comment sais-tu que j'ai un N° de portable Français qui commence par 07 ?"

    • "En allant vous mettre en maillot, vous avez perdu un papier sur lequel vous aviez votre 07 et le nom du Champagne, je l'ai remis dans votre poche, Amo mio !"

    • "Très bien, quand il appellera nous conviendrons du lieu, de l'heure. Vas rejoindre Yves je vais rédiger le message, négocier avec la petite serveuse et visiter un peu le restaurant. Merci pour le papier ! Putain-Loré !"

    Suite dans Javier, Amo mio 2


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