• Javier, Amo mio 2

    Javier, Amo mio 2

    22h à La Criée !

    5 minutes après, Javier nous rejoint. Yves lui a servi un excellent cognac et fume un Cohiba.

    • "Tu devrais en fumer un, Javier, tu sais sans doute que c'est la marque préférée de cigarillos de feu Fidel Castro, Loré m'en achète de temps en temps quand elle veut que je dise oui à une demande plus ou moins vicieuse, et je te garantis que le cognac que tu as dans ton verre est un des meilleurs du marché !"

    Moi, j'ai trouvé ma marque de cigarettes et le Cognac est, en effet, délicieux !

    Je sursaute car le téléphone de Javier vibre dans sa poche, il s'excuse, en se levant et :

    • "Hola, que tal, dos segundos voy en un lugar quieto (Bonsoir, comment vas-tu, 2 secondes, je vais dans un endroit tranquille) excusez moi, c'est ma famille qui veut avoir de mes nouvelles. Je reviens de suite, je sors pour ne pas vous déranger"

    • "Pas de souci Javier, nous t'attendons ici et ils ne serviront pas tant que nous ne serons pas à table, prends ton temps !"

    Tout le dialogue a du être entendu par le jeune homme car Javier n'a pas caché le micro !

    Il va dans le jardin et nous nous retrouvons tous les Yves et moi.

    • "Contente de ta soirée, Amour ?"

    • "Enchantée mon Chéri, tout se passe très bien, je suis au Paradis !"

    • "Je suis un peu étonné que Javier n'ait pas concocté une séance vicieuse, mais peut être qu'il est gavé de cul et qu'il se repose un peu !"

    • "Sans doute, Amour, mais s'il a préparé quelque chose, tu seras le 1er informé et moi la dernière !"

    • "Oui, tu as raison, comme souvent Amour de ma vie !"

    Javier revient et s'excuse encore, Yves lui ressert un verre et lui rallume son cigarillo éteint.

    Je me lève en leur disant :

    • "Je suis navrée, mais j'ai une petite vessie, je vais aux toilettes pour me soulager !"

    • "Et tu prends cette décision toute seule ? Assieds toi salope, tu iras pisser quand je te j'ordonnerai ! Allume-toi une autre clope, une putain de trottoir fume beaucoup, remonte le bas de ta robe pour que je vois ton con et ferme ta gueule, tu aura une punition à vouloir faire la femme libérée alors que tu n'es qu'une simple esclave !"

    Je me rassieds furieuse et profondément vexée, mais je relève ma robe pour qu'ils voient tous les deux ma chatte luisante et je ne peux pas cacher mes warnings de clignoter, c'est à dire mes tétons qui bandent trop !

    22h20 à La Criée !

    • "Je constate que cette situation t'excite, Putain-Loré, tu pensais qu'ici tu étais hors de mon contrôle, mais comme tu as choisi toi même ton futur partenaire, il te faut aller au bout ! Yves, je t'explique : avant de rentrer dans le salon, j'ai demandé à cette pute quel mec elle voulait se faire ! Je la soupçonne de l'avoir déjà repéré, et c'était réciproque car il a passé son temps à la mater ! Je lui ai fais transmettre un message lui disant que s'il voulait jouer avec elle, ce n'était qu'une bourgeoise-salope et partouzeuse et je lui ai donné mon portable français. Avant de vous rejoindre, j'ai fait un tour aux toilettes pour repérer. C'est lui qui vient de m'appeler. Il est 22h20, leur rendez-vous est à 23h pour la pute et 23h05 pour le beau minet, ils vont se rencontrer dans le chiotte pour homme réservé aux handicapés ! Elle nous dira qu'une huître est mal passée, et elle l'attendra dans le wc. Je lui ai donné 20mn de carte blanche, mais elle doit remonter avec la bouche pleine de foutre, pour prouver qu'ils se sont bien régalés. J'avais prévu cette séquence mais sans connaître les lieux et comment elle pouvait draguer, se faire sauter et remonter la bouche pleine dans un resto où vous étiez très connus, j'ai du attendre d'avoir tous les éléments, tu as des questions Yves ?"

    Il sourit et tire sur son cigarillo :

    • "Aucune concernant la passe de Loré, je venais de lui dire pendant ton appel, que j'étais étonné qui tu n'ais pas prévu un séance de cul ! Mais Javier, je suis curieux de savoir où tu vas chercher des scénarii aussi compliqués tout en faisant tout pour protéger notre réputation ?"

    • "Probablement ma cérébralité qui me fait inventer des trucs pas possibles et mettre au point des défis difficiles ! Mais je crois qu'il serait raisonnable de retourner à notre table !"

    22h30 à La Criée !

    Nous nous rasseyons, visiblement contents de cette pause dans le repas.

    Un serveur vient remplir nos flûtes et rapporte, après un geste de Javier, une 4ème bouteille de champagne.

    Alors que 2 autres nous portent les plateaux avec des homards, des langoustes et des belles pinces de crabe.

    • "Une précision, Javier j'ai appelé et demandé à David, que, quelle que soit ta commande, il ne nous mette pas de crabe mais uniquement des pinces de crabe !"

    • "Bien joué Yves, en effet, on en mange beaucoup à Valencia et c'est un calvaire pour leur extirper 10 grammes de chair !"

    Yves boit un peu de champagne et dit à Javier

    • "Dis moi Javier, je crois que nous allons devoir rentrer en taxi, si la gendarmerie nous chope pour un alcootest, mon permis saute, je reviendrai lundi avec Loré pour récupérer l'Audi !"

    • "Et tu vas laisser une voiture de 100.000€ sur un parking désert, à proximité du plus gros Night Club de Clermont ? Pas de souci Yves, je conduirai, tu me guideras pour éviter les nids à gendarmerie, mais si on se fait coincer, avec mon permis espagnol, le pire c'est une amende de 700€ !".

    • "Entendu, Javier, mais à propos, puis-je te poser une question personnelle ?"

    • "Bien sur Yves, personnelle ? Oui ! Mais intime ? Non !"

    • "Si tu ne veux pas répondre, pas grave elle n'est pas essentielle, c'est une simple curiosité de Loré et moi par rapport à toi : que fais-tu réellement à Valencia ?"

    Il éclate de rire et répond spontanément !

    • "J'ai honte, j'aurais du vous dire la vérité depuis longtemps, mais je préfère être apprécié pour ce que je suis et non pour ce que je représente, et en arrivant chez vous, j'ai constaté que vous n'aviez aucun problème de fin de mois, je vais vous répondre : je suis en effet salarié dans 2 pharmacies de Valencia, mais, les 2 sont à moi !"

    • "Tu vois ma Loré, le mystère de Javier est levé ! Je n'ai pas osé m'acheter l'Armani à 3.000€ que tu portes, juste pour que Loré ne me gronde pas ! Car c'est elle qui tient nos comptes. J'espère, Javier que ma question n'était pas trop indiscrète et même si tu nous avait dit que tu vivais à crédit ! Nous t'aurions gardé comme ami et même aidé pour tes fins de mois !"

    • "C'est très gentil, Yves, disons que pour un Espagnol, je suis dans les tout à fait à l'aise. Et, si un jour j'ai l'honneur de vous recevoir dans une de mes cabanes de pêcheur de Valencia, vous constaterez qu'elle sont plus que confortables ! Mais, je pourrai aussi vous emmener pêcher, si vous aimez !"

    Nous rions tous les 3 ! Et attaquons avec envie et faim les plateaux, mais David n'a pas dit son dernier mot !

    Il s'approche tout sourire de notre table et dépose à la droite de Javier un pot impressionnant d'aïoli, tellement blanc et ferme qu'il donne envie de le manger à la cuillère !

    Javier se lève et serre David dans ses bras, ce dernier est un peu embarrassé mais Yves lève vite le doute :

    • "Cher David, vous venez de découvrir un vrai abrazo espagnol : serrer sur son coeur un ami très cher, même pour un pot d'aïoli !"

    Un serveur nous porte de larges tranches de pain de campagne et nous nous préparons de succulentes et gigantesque tartines !

    David s'éclipse et nous mangeons, décortiquons facilement nos homards, nos langoustes et nos pinces de crabe, en piochant dans le pot d'aïoli avec gourmandise !

    Et, je ne suis pas la dernière à me régaler et à me lécher les doigts !

    22h45 à La Criée !

    • "Putain-Loré, il me semble que plus l'heure tourne plus tes tétons bandent ! Tu veux bien te lever un peu et dénuder ton con, je voudrais vérifier quelque chose"

    Je rougis comme un régime de tomates, mais que puis-je faire d'autre ?

    Je lève un peu mes fesses, remonte ma robe jusqu'à la taille, le tout étant, heureusement dissimulé par une nappe tombante et j'écarte les cuisses.

    • "Yves, tu veux me dire dans quel état est sa connasse ? Ou tu préfères que je le fasse ?"

    • "Vas-y, Javier, c'est ton esclave !"

    Javier ne s'embarrasse pas, il glisse sa main gauche sous la nappe, constate l'écartement de mes cuisses et me dit sèchement :

    • "Ouvre plus tes cuisses salope"

    Je m'exécute jusqu'à ne pas pouvoir les ouvrir plus.

    Sans obstacle, il glisse 3 doigts dans ma moule et les tourne rapidement quand il est bien dedans, je ferme les yeux et pousse un petit cri.

    Il retire ses doigts, les regarde et les renifle et me dit :

    • "Si tu oses prétendre que tu n'es pas prête à te faire sauter par un inconnu dans les chiottes, tu rentres en stop à la maison, et je souhaite que tu tombes sur une voiture de 4 ou 5 mecs avinés avec des grosses bites, ma question est simple : tu es prête à jouir, uniquement en pensant à ce que tu vas devoir faire dans moins de 15mn ?"

    Je baisse les yeux, toujours honteuse, mais je dois une réponse franche à mon Amo, et je n'ai pas envie de lui mentir !

    • "Oui, Amo mio, je suis surexcitée par cette baise avec un inconnu"

    • "C'est très bien de répondre la vérité, reste comme tu es et branle toi tu n'iras rejoindre ton étalon qu'après avoir joui devant nous !"

    Je suis un peu affolée ! Si quelqu'un me voyait ou imaginait ce que j'étais en train de me faire ? Notre réputation dans ce restaurant serait détruite ! Pauvre Yves, il ne mérite pas ça !

    Je le regarde, mime un baiser avec ma bouche et ma main droite passe sous la table et trouve de suite sa position sur ma moule liquéfiée !

    La jeune serveuse vient rafraîchir notre table, enlever les coquilles vides, renouveler nos pains et servir nos verres.

    Elle constate que j'ai les yeux fermés et que je suis très pâle.

    • "Madame ne se sent pas bien ?"

    Javier lui répondant en riant :

    • "Sans doute un peu trop d'alcool, elle va aller se rafraîchir aux toilettes et ça ira mieux, rassurez-vous, rien de grave, merci de votre attention, Mademoiselle"

    Et, Il lui serre la main, mais nous supposons qu'il y a un billet dans sa main.

    Elle comprend qu'il lui faut partir et se taire.

    Je continue à me branler yeux ouverts, je vais avoir un orgasme gênant : jouir dans une situation difficile. C'est à dire pas prévue pour ça !

    Et, quand je le sens monter en moi, mes yeux regardent Javier.

    Il comprend de suite mon appel au secours, et me penche sur son épaule, me pose sa serviette sur la bouche, en faisant semblant de m'essuyer gentiment la bouche.

    Et je peux m'envoyer en l'air sans bruit mais sans pouvoir empêcher les tremblements de mon corps.

    • "Allez, Putain-Loré, c'est l'heure, ne lui refuse rien, mais n'oublie pas de remonter avec tout son foutre dans la bouche !"

    Ils se lèvent tous les deux quand je me lève.

    J'ai du mal à me mettre debout alors que les derniers tremblements de ma jouissance s'effacent. Mais mes muscles se dé-tétanisent vite et je m'éloigne en souriant pour traverser la salle où les clients sont déjà beaucoup moins nombreux, tout en devant passer devant la table des 3 garçons, mon élu ne peux pas ne pas me voir !

    Et il sait qu'il doit être 23h à quelques secondes près !

    22h58 à La Criée !

    Je me dirige vers les toilettes.

    Je dévale les escaliers, à gauche les hommes, j'espère qu'il n'y a personne, j'entre, je fais le tour des wcs, ils sont tous vides et je vais dans celui des handicapés dont je referme le verrou.

    Ne sachant que faire, je baisse la lunette et m'assieds sur la cuvette.

    Je n'ai pas de montre, alors je compte lentement les secondes, 60... il est 22h59... 180... Il doit être 23h51... 240... plus que 3mn... 300... il est temps que je déverrouille la porte.

    Je me lève de mon siège, ouvre le loquet, et comme la pièce est plus grande qu'un wc normal, je m'adosse au mur le plus éloigné de la porte et j'attends en continuant à compter.

    J'arrête en entendant des pas dans l'escalier, mais ils passent devant ma porte et j'entends de l'eau couler dans le lavabo.

    Juste un client qui voulait se rincer les doigts avec du savon, les pas repartent, mais ils s'arrêtent devant ma porte qui s'ouvre doucement et mon Apollon entre dans les chiottes.

    Il est beau comme le Dieu grec et a un sourire ravageur !

    23h05 à La Criée !

    • " Je n'ai rien compris à ton histoire, mais je n'ai pas envie de me prendre la tête ! Tu as partouzé avec 2 mecs qui pour te remercier t'ont invitée au resto, mais tu aimes trop la bite et cet après midi ne te suffit pas. Alors, puisque tu aimes le cul, je vais t'en donner salope, tu ferais bander le Pape lui-même !"

    • "Bon résumé, entièrement faux, mais ce n'est pas grave, on t'a accordé 20mn ce serait dommage de les perdre en parlottes ! Je n'ai pas de montre, tu seras gentil de surveiller l'heure ! Et je n'ai rien sous ma robe, tu veux découvrir quel côté en 1er ?"

    • "Pile, j'adore déjà ton cul !"

    Je me retourne et écarte mes bretelles, la robe tombe à mes pieds lui dévoilant mon cul, mon dos et mes épaules. J'accroche ma robe à une patère.

    Il s'approche dans mon dos, me prend par les hanches et me pousse vers le lavabo.

    • "Pose tes mains sur les robinets, lève ton cul et écarte bien tes cuisses de salope, tu aimes baiser dans des chiottes ?"

    • "Hum, c'est parfois plus excitant que dans un lit, surtout avec un inconnu que je ne reverrai jamais !"

    • "Beau fantasme, et tu le concrétises souvent ?"

    • "Non, je n'aime pas abuser des bonnes choses l"

    • "Beau principe de vie, voyons si ton petit cul est aussi accueillant que toi !"

    Il m'enfonce 3 doigts dans le cul et les fait de suite tourner jusqu'à ce que je gémisse, mais pour l'instant, c'est de douleur car mon sphincter est sec.

    Il le constate, sort sa main, la passe entre mes jambes et me plonge les 3 mêmes doigts dans le con !

    • " Dis moi putain, je n'ai pas pied dans ton con, tu es un torrent ! Tu n'es pas en chaleur ! Tu es en ébullition !"

    J'entends des bruits d'étoffe, je pense qu'il se met à poil.

    Il s'installe sur la cuvette fermée redresse sa bite et me dit de m'empaler la connasse sur sa bite en lui tournant le dos.

    Je constate en la positionnant au bon endroit avec ma main, qu'elle est très grosse et bien dure, et je m'empale comme une furie en criant un :

    • "Ooooh qu'elle est bonne ! J'étais sure que tu en avais une grosse !"

    • "Alors tu n'es pas surprise, c'est le calibre que tu cherchais parmi les clients ?'

    • "Ne me force pas à te dire que tu est le plus beau mec de la soirée !"

    • "Merci pour le compliment, toi, en tout cas, tu ne passes pas inaperçue, surtout déshabillée comme tu es venue au resto ! Allez tu poses tes mains sur tes cuisses et c'est toi qui fait le boulot, nique toi toute seule sur ma pine et ne fais pas semblant"

    Je me lève et me rassieds en me ramonant le con toute seule.

    Placée comme je le suis, il peut empaumer mes nichons mais après les avoir broyés comme s'il voulait en extraire du jus, il trouve mes tétons, ces salauds grandissent de suite sous ses caresses, mais quand il commence à les pincer de plus en plus fort, ils gonflent encore plus et j'ai aussi mal de leur durcissement que de ses doigts, il s'amuse à les faire ballotter de droite à gauche et de bas en haut alors que je continue à me tringler avec sa bite.

    Je ne résiste pas longtemps et j'ai mon premier orgasme, j'essaye de miauler plutôt que de crier et il est surpris.

    • " Je pensais qu'une pute comme toi jouissait en hurlant, tu vois j'ai encore des choses à découvrir sur la planète femme ! Allez, à présent tu te redresses devant moi, toujours de dos et tu te penches. Tu vas m'humidifier cet anus en te montrant en gros plan, mets-y tous tes doigts et finis en te mettant un poing entier, j'adore voir une salope se fister le con ou le cul!"

    Je prends tout ce que je peux de mon jus dans mon con et le transfère par des allers et retours rapides vers mon anus, quand je pense être suffisamment lubrifiée, j'essaye de me fister le cul, mais je n'y arrive pas, une poigne de fer entoure mon poignet et je me retrouve très vite avec l'avant bras coincé par mon anus !

    • "Voilà, tu vois comme c'est simple, bouge tes doigts dans ton sphincter, tu vas voir qu'en t'excitant comme ça tu vas lubrifier du cul, ce qui t'aidera à re-jouir !"

    Il prend mon coude et s'en sert pour me pilonner le cul avec mon poing et mes doigts qui caressent pour la 1ère fois cet endroit de mon corps !

    23h15 à La Criée !

    Il retire d'un seul geste mon bras de mon cul, rit de mon cri de petite chienne en chaleur et m'ordonne de me retourner vers lui et de m'empaler le cul sur sa pine en le regardant droit dans les yeux !

    Quand je sens ses couilles battre mon cul, je sais qu'il est au fond, mais, dans cette position, c'est lui qui travaille : il me lève jusqu'à sortir sa bite de mon anus et la replonge en entier d'un seul coup, il s'amuse de voir mes nichons bouger dans tous les sens :

    • "Pouffiasse, tes mains ne servent à rien, fais toi les bouts de mamelles et je veux t'entendre crier de douleur, là encore ne fais pas semblant"

    J'y vais avec envie et je pince mes bouts le plus fort possible, j'y plante même mes ongles. Mais ses coups de bite dans mon cul sont tellement forts que je ne peux pas déterminer si je jouis du cul ou des tétons, je cache ma bouche en collant mon visage sur son épaule qui sent la transpiration et le parfum.

    Je grogne comme une chiennasse en chaleur, tout en jouissant comme une dingue.

    Il est obligé de s'arrêter avec la bite collée au fond de mon cul probablement pour ne pas jouir et me relève la tête en me tirant par les cheveux, il la penche vers l'arrière et me dit de ne pas bouger, et, là, avec un sourire vicieux, il me gifle les nichons en les faisant valdinguer dans tous les sens sous la force de ses coups.

    Je le supplie de ne pas me marquer le décolleté, et il en tient compte en me giflant de plus en plus fort, mais le bas et les côtés des seins.

    Quand je commence à gémir de douleur, il me jette à terre.

    Sa bite sort brutalement de mon cul et il m'ordonne de me mettre à genoux.

    Il se lève de la cuvette, met sa bite dans ma bouche, prend dans chaque main une grosse poignée de cheveux et comme si c'était un vagin, il me baise la bouche avec sa pine qui sent le mélange de mon con et de mon cul !

    Je ne peux pas bouger, c'est lui qui se branle avec ma bouche, je n'ai pu qu'arrondir mes lèvres au format généreux de sa bite et je le laisse faire mais s'il se vide les couilles comme ça, une grande partie va tomber dans ma gorge et je n'ai aucun moyen de la faire remonter dans ma bouche.

    • "N'oublie pas la promesse que tu as faite !"

    • "Pas de souci, je ne jouis jamais dans une pute quel que soit son trou, tu auras ta dose de foutre à montrer, mais je profite de ta bouche-vagin et je me régale !"

    Je le sens grossir un peu plus et il atténue ses mouvements dans mon vagin-bouche !

    Il sort son chibre de ma bouche, m'oblige à le lécher sur toute sa longueur, se fait nettoyer le gland par ma langue et mes lèvres sans lâcher mes cheveux qu'il tire quand il n'est pas content de ce que je lui fais, et pourtant j'essaye de m'appliquer !

    Quand il semble content de ma langue et de mon léchage, il me frappe plusieurs fois les joues avec sa bite en donnant des coups secs qui me font cligner des yeux, mais, finalement, il colle son gland sur mes lèvres entrouvertes, m'oblige à ouvrir grand les yeux et se branle en gémissant de plaisir, il finit par jouir longuement dans ma bouche suffisamment entrouverte pour ne perdre aucun goutte de son foutre super abondant.

    Assurément, il s'est bien vidé les couilles !

    J'essaye de ne rien avaler, mais il y en a tellement que j'ai du mal.

    Heureusement il sort son gland et je peux fermer ma bouche en gardant quasiment la totalité de son éjaculation.

    Il va se laver la bite dans le lavabo, se rhabille et après une dernière gifle colossale sur le bas de mes nichons, il ouvre la porte.

    • "Tu es un super coup, mais juste dans des chiottes, jamais je ne te niquerai dans un lit, tu ne le mérites pas, je penses que tu es une vraie putain et que si nous nous revoyons, tu tapineras sur un bout de trottoir, nichons à l'air, salut salope en chaleur, et dis à je ne sais qui, qu'en effet, j'ai passé un très bon moment ! Il est 23h25, tu as peu de temps pour remonter !"

    23h25 à La Criée !

    Tout a été si rapide et si violent que j'ai besoin de récupérer, mes seins me font mal et comme je ne peux ni déglutir ni ouvrir la bouche, je suis vraiment très mal à l'aise.

    J'arrive à enfiler ma robe et je vais devant le lavabo et son miroir.

    J'essaye de remettre de l'ordre dans mes cheveux, et constate avec plaisir que mon décolleté ne laisse voir aucune trace de coups.

    Je me longuement la moule et me rince le visage avec du papier-toilettes !

    J'essuie mes lèvres serrées, il n'y a pas de traces de sperme, et je décide de remonter comme ça.

    23h28 à La Criée !

    Je retraverse la salle qui est quasiment déserte, il reste la table des 3 garçons qui vont payer leur addition et une dizaine de clients répartis dans toute la salle.

    Mes hommes se lèvent à mon arrivée, et je fais mine de m'asseoir :

    • "Tu as une serviette propre sur ta chaise, pose ton cul nu dessus, tu ne risques pas de tâcher la chaise"

    Je relève discrètement ma robe et m'assieds.

    Je sens mon intimité se poser sur la serviette, bonne idée, car je suis encore trempée !

    • "Nous avons bien travaillé pendant que tu t'amusais, pour le dessert, nous avons commandé les 3 mêmes trous normands mais avec un sorbet à la mangue à la place du citron et un peu plus de vodka pour nous achever ! Nous avons fini les plateaux, mais préservé le tien ! En te gâtant : tout est décortiqué et prêt à manger, même les huîtres et les praires sont décollées de leurs coquilles ! Tu vas commencer par les 6 huîtres et les 6 praires qui sont au bord du plateau, mais dans chacune, tu craches un peu du foutre que tu as dans la bouche, ces 12 coquillages devraient libérer ta bouche de pipeuse-de chiottes, sais-tu que ce petit-métier existe réellement ?"

    Je fais non de la tête.

    • "Eh oui, dans les chiottes des grandes villes, tu as la dame-pipi et à côté des putespour 10€ elles entrent avec le client dans le chiotte et elles le boivent ! Je te conseille de remplir ton assiette avec les 12 coquillages et de les garnir de foutre pour arriver à la recette de Putain-Loré : coquillages au foutre frais ! Mais avant, en bougeant les morceaux de crustacés prêts à déguster, tu vas répondre à quelques questions que nous voulons te poser : 1 morceau égal 1, 2 morceaux égal 2, etc !"

    23h35 à La Criée !

    • "Question, combien de fois as-tu joui ?"

    J'aurais voulu tricher en en déplaçant 8, mais je joue le jeu et je n'en déplace que 2.

    • "Du cul ?"

    Je n'en déplace aucun.

    • "Du con ?"

    J'en déplace 1

    • "Des tétons"

    J'en déplace 1

    • "2 en 20mn, pas mal ! Combien de tes trous de pute t'a t'il remplit ?"

    Je reprends les 2 premiers et j'en rajoute 1.

    • "Et la dernière question combien de fois veux-tu renouveler cette expérience ?"

    Je souris et fais une pile avec tous les morceaux !

    Mes hommes rient de bon coeur !

    • "Nous te décernons le titre de meilleure salope d'Auvergne. A la maison nous te ferons un beau diplôme qu'Yves te fera encadrer et il te dira où le suspendre chez vous ! Allez, mange tes coquillages !"

    23h40 à La Criée !

    Je mets les coquillages dans mon assiette et en jetant un coup d'oeil pour m'assurer que personne ne me regarde, je déglutis dans chacun d'eux une dose de foutre, les huîtres deviennent laiteuses, et les praires blanchissent !

    Je m'essuie la bouche et arrive à prononcer ma 1ère phrase :

    • "Voilà, Amo mio, ma bouche est vide !"

    Yves me sert un peu de champagne en me conseillant de me nettoyer la bouche avec !

    C'est ce que je fais et ce que je renouvelle tous les 3 coquillages pour aider mes déglutitions. Ils sont très bons et chacun d'eux me rappelle le bon foutre de mon Apollon !

    J'ai fini mon assiette et c'est Javier qui m'explique la suite :

    • "Pour les morceaux, tu vas les tremper dans ton con et les manger en les savourant, sauf la grosse pince de crabe que tu mettras en dernier dans ton con et que tu mangeras à la maison !"

    Les crustacés à la sauce Loré, sont très bons, pas besoin d'aïoli, ils ont un goût que je connais bien !

    Et je finis en glissant la pince de crabe dans mon con qui l'avale avec gourmandise et facilité !

    23h50 à La Criée !

    Alors que notre serveur nous porte nos 3 sorbets mangue-vodka !

    Nous nous régalons, et il contribue à me rendre une bouche de jeune fille ! J'en suis ravie !

    Avec l'autorisation de Javier, je baisse ma robe alors que Daniel nous rejoint, il est heureux de savoir que nous nous sommes régalés, il nous propose de nous offrir une dernière et 6ème bouteille de champagne que nous refusons poliment, Javier lui répondant :

    • "Je crois que nous avons plus d'alcool dans le sang que de sang dans l'alcool, c'est gentil, mais ce serait suicidaire pour faire les 40km qui nous séparent de la maison en évitant, si possible, les contrôles de gendarmerie si courants le vendredi soir !"

    David lui répond :

    • "C'est en effet plus prudent ! Elle attendra donc la prochaine visite de Loré et d'Yves, en espérant que Javier sera aussi avec vous !"

    • "Il y a peu de chance, mais je reviendrai, soyez en sur ! Et encore merci pour votre succulent aïoli, dîtes à votre Chef qu'il est presqu'aussi bon qu'à Valencia ! Non, allez, dîtes lui qu'il est meilleur ! Ca lui fera plaisir !"

    Nous nous levons, Javier nous dit de l'attendre dans la voiture et rappelle à Yves que c'est lui qui conduit !

    Nous saluons David, je lui fais un smack retentissant sur la joue, il rougit comme un ado, ce qui me fait sourire intérieurement !

    Et nous rejoignons l'Audi.

    Quelques minutes plus tard, Javier se met au volant et démarre.

    Je dors déjà, allongée de tout mon log sur la banquette arrière !

    Sur le chemin de la maison...

    Yves le fait passer par des petites routes sans danger et en partant, il a réglé le limiteur de vitesse à 80km/h. Et, moi je me suis endormie !

    Sur les portions de l'A75, ceux qui nous doublent doivent être très fiers de se taper une Audi A8 !

    Cette petite sieste m'a fait du bien, mais je suis surtout contente que l'orgie de fruits de mers, de crustacés, d'aïoli, d'alcool et de sperme ne m'ait pas affecté l'estomac.

    Après m'être étirée comme une chatte heureuse de vivre, j'ai de suite remis mon collier pour ne pas me faire grogner par Javier !

    • "Amo mio, je suis de retour, puis-je fumer une cigarette ?"

    C'est Yves qui me répond :

    • "Tu sais bien, Amour, que je n'aime pas qu'on fume dans cette voiture, qui, en plus, n'a aucun cendrier, mais si Javier a envie de s'arrêter, nous pourrons en griller une !"

    • "C'est une bonne idée ! J'en ai peu assez d'être doublé ! Et une pause pipi s'impose, il faut bien que tout cet alcool ressorte !"

    Dès qu'il trouve un parking accueillant, il gare la voiture, laisse les codes allumés et nous descendons pour alimenter nos futurs cancers des poumons ! Cigarette à la main je lui demande si je peux, moi aussi aller faire un petit pipi ?

    • "Bien sur Putain-Loré, mais tu vas faire ça dans la lumière des codes, en relevant ta robe jusqu'aux nichons, et bien sur, debout devant nous !"

    J'aurais du me taire ! Voilà un arrêt que Javier le cérébral va utiliser pour m'humilier !

    Je confie ma cigarette à Yves, me mets devant l'auto, remonte le plus possible ma robe et écarte les cuisses, mais comme mon con est toujours aussi trempé, la pince de crabe, que j'avais oubliée, tombe sur le sol, et je ne sais plus quoi en faire ! Javier est bien sur là pour m'apporter la solution à mon problème !

    • "Pas grave, ma pute, laisse là où elle est, pisse dessus, penche toi pour la reprendre en main, utilise tes derniers jets pour la nettoyer soigneusement et mange la, elle aura un bon goût de crabe à la sauce pisse, tu vas te régaler ! Ne me remercie pas !"

    Honteuse, je fais ce qu'il m'ordonne et mange la pince de crabe, son goût est gâché par mon urine et je l'avale en refrénant une envie de vomir !

    • "Dis-moi, Yves, tu as toujours la serviette qu'elle a utilisée à la sortie de la Forêt d'Auzon ?"

    • "Oui, je l'ai rangée dans le coffre, aux cas où !"

    • "Parfait, elle va en avoir besoin ! Putain-Loré, tu vas te mettre à poil dans la voiture, escarpins compris, et tu reviens là où tu es"

    J'ai honte d'imaginer ce qui va se passer : ma nudité, la serviette sur cette route départementale déserte ! Mais je reviens à ma place totalement nue, non sans remarquer que la caméra d'Yves est posée sur le toit de l'Audi ! Ils ne vont rien rater du spectacle !

    • "Très bien, Putain-Loré, à présent tu te couches sur le sol, yeux, cuisses et bouche grand ouverts, et tu attends !"

    Yves comprend, il écrase soigneusement nos deux cigarettes, sort sa bite bien gonflée après mon exhibition de salope-pisseuse. Javier fait de même et ils se rapprochent de moi, "crucifiée" sur le sol caillouteux.

    • "Tu nous a fait bander avec ta pisse et ta pince de crabe à l'urine, totalement obscènes, il faut que nous nous vidions les couilles avant de pouvoir utiliser nos vessies !"

    Tout est dit, mon imagination ne m'a pas trahie !

    Une pluie non prévue par la météo !

    Javier se place à ma gauche à hauteur de mes nichons, et Yves, à ma droite, vers mes genoux.

    Ils prennent leurs grosses bites en mains et commencent à se masturber à leurs rythmes !

    • "Regarde sale pute exhibitionniste, et constate les dégâts que tu as fait !"

    Je quitte mes belles étoiles et mes yeux vont de l'un à l'autre. Je suis terriblement excitée de voir mes hommes se branler au dessus de moi ! Yves jouit le premier en m'arrosant du nombril à la moule, en faisant bien attention de diriger le maximum de ses jets sur ma chatte offerte. Un jet frappe mon clitoris qui se réveille ! J'ai une envie folle d'y poser mes doigts, mais je ne le fais pas !

    Javier n'attend pas qu'Yves ait fini et lui se consacre à mon visage, en visant bien ma bouche et mes nichons, sans oublier mes tétons qui ont triplé de volume !

    • "Tu baisses les bras, tu poses la main droite sur ta chatte et, avec la gauche, tu fais des allers-retours sur tes nichons en ne t'occupant que du plaisir de tes bouts de mamelles de truie en chaleur ! Nous te regardons et te filmons ! Si, par bonheur pour toi, une voiture passe et s'arrête, tu n'auras rien de sec à proposer, sinon un enculage en levrette à même le sol, et ne ferme pas les yeux durant ta branlette de Pute des Champs !"

    Sans me quitter des yeux, ils allument leurs cigarettes en regardant leur foutre s'écouler et sécher très rapidement sur mon corps, en y laissant des traces obscènes.

    Je gémis, de plus en plus surexcitée, par la situation, ma position, mon corps souillé de traces de sperme et, surtout par ce que je vais recevoir sur tout le corps, bien plus abondamment que leurs foutres !

    Ils terminent leurs cigarettes, les écrasent soigneusement sur le sol du parking et se rapprochent de moi, ils échangent leurs positions, et ils pissent tous les deux en même temps, en tenant leurs bites mi-molles à pleines mains pour bien diriger leurs jets !

    Bouche ouverte, nichons, tétons, yeux ouverts, cheveux, ventre, con largement ouvert, rien ne leur échappe !

    • "Au milieu de la miction, envoie-toi en l'air sous la douche et tu peux hurler, en espérant que ça attirera des voyeurs !

    Quand ils n'ont plus rien à me donner, Javier vient au dessus de ma tête et s'agenouille, et c'est tête à l'envers que je bois ses dernières gouttes avant de savourer son gros gland pour bien le nettoyer.

    La bite d'Yves lui succède, et ils se rhabillent tous les deux.

    Yves ouvre la serviette sur un coin d'herbe et me dit :

    • "Lève-toi et couche toi sur la serviette, je vais t'envelopper le corps et te porter sur la banquette arrière !"

    Il me roule dans la serviette, s'assure que rien ne dépasse, et comme si j'étais une enfant de dix ans, il me couche sur la banquette arrière. Et nous repartons.

    Home Sweet Home !

    Moins de cinq minutes plus tard, Javier se gare face au portail de la maison, Yves actionne la télécommande et Javier range le véhicule sous son abri de bois.

    • "Tu nous attends quelques instants, nous revenons"

    Je me demande ce que Javier a encore bien pu imaginer pour moi !

    Yves revient seul, il me sort enveloppée de la voiture, récupère la serviette, la jette dans un panier de linge sale, sans penser à ce que va imaginer Lydia, notre femme de ménage, en voyant une serviette aussi crasseuse !

    Il me prend par la main et me conduit à la piscine. Je comprends alors qu'ils vont me jeter dans la piscine pour laver mon corps dégueulasse !

    • "Je vais te laver soigneusement, mais si nous te plongeons dans la piscine, elle sera polluée pour quinze jours ! Tu vas te mettre devant ton ami le chêne, et nous offrir ce que tu veux qu'on te nettoie en premier, je vais utiliser ce Karcher que tu connais ! Pile ou face, à toi de choisir !"

    Je sais que nous en avons deux : un gros pour la façade et les grands nettoyages, principalement de la piscine et un autre moins puissant pour la plage de la piscine, les allées et parfois arroser ! J'espère que j'aurai droit au plus petit ! Le gros serait capable de m'arracher la peau !

    Tout est branché et Javier s'avance avec le tuyau du plus petit, ouf !

    Je présente mon dos en premier et Javier déclenche le jet, puissant mais raisonnable, dommage qu'il soit branché sur un robinet : l'eau est très fraîche mais me stimule et me fouette le sang.

    Il arrose mon dos, ma nuque, mes cheveux que je coiffe vers l'arrière pour mieux les rincer, puis descend sur mes pieds que je lève pour laver mes plantes de pieds, et il s'attarde sur mes fesses :

    • "Ouvre ton cul avec tes mains salope, que je puisse bien nettoyer ton trou à merde"

    Je m'exécute et me penche même pour l'aider, il augmente un peu la pression et je me régale d'un tel nettoyage inédit du cul, mais qui va donner des idées à mon Tendre ! Décidément, il apprend beaucoup sur la domination avec Javier !

    • "Bon, je crois que tu es bien propre ! Tu peux te retourner !

    Je me mets face à eux, il commence par mon visage et mes cheveux avec une pression très faible, je l'aide avec mes mains pour bien me nettoyer cette partie. Puis, en augmentant un peu la pression, il passe sur mon ventre, du dessous des seins jusqu'à mon mont de Vénus. Visiblement, il laisse de côté le reste pour plus tard !

    Il descend vers mes cuisses, mes jambes et finit par mes pieds, que je nettoie soigneusement, surtout entre les orteils, en profitant d'une pression un peu plus forte.

    Je me sens revivre !

    Il revient sur mes nichons aux bouts tendus par la fraîcheur de l'eau et l'humidité de mon vagin ! Il commence par un jet doux et, sans qu'il me le demande, je les prends dans mes mains pour bien les nettoyer, il augmente brutalement la pression et dirige le jet sur chaque globe en dessinant des cercles d'eau sur eux pour se rapprocher, à chaque rotation, de mes aréoles.

    J'enlève mes mains et me laisse faire. Quand il arrive sur mes aréoles, il met la puissance au maximum et vise délibérément mes tétons en me faisant très vite gémir de plaisir et, sans pouvoir éviter que mon corps ne gigote comme un ver heureux ! Il me sent plus que chaude et va chercher mon sexe, sans baisser la puissance :

    • "Ouvre bien tes cuisses, plie tes genoux, comme si tu voulais t'agenouiller. Pose tes deux mains sur ta moule et ouvre la en grand, de toute la force de tes doigts !"

    Il se rapproche de quelques pas, ce qui rend le jet plus douloureux, et arrose ma moule largement offerte du haut vers le bas. Pendant ses allers et retours, il ne rate pas mon clitoris, mais, vicieusement, il me demande :

    • "Mets ton index sur ton clito pour m'indiquer la cible, je ne la vois pas d'où je suis !"

    Mes doigts affrontent un jet surpuissant, mais j'arrive à poser mon index sur mon clitoris, et ses allers et retours changent, il va du clito vers le haut et du clito vers le bas.

    Mon corps tremble de plus en plus et je ne le contrôle plus du tout :

    • "Oh, Amo mio, pitié, si vous continuez je vais encore jouir !"

    • "Tu penses, salope, que ce n'est pas mon objectif, mais fais gaffe aux voisins !'  

    Après cette autorisation, je me décontracte et je jouis sans hurler et sans me toucher le corps, uniquement caressée par le jet puissant !

    Javier arrête le Karcher et Yves vient me donner une serviette et dépose devant moi mes sandales de piscine.

    Je quitte le cloaque dans lequel mes pieds pataugent et vient jusqu'au nid où je m'assieds dans un fauteuil de plage où je me sèche soigneusement le corps et les pieds.

    Fin de soirée (presque) romantique !

    • "Je t'ai préparé la table roulante dans la cuisine, si tu es sèche et en forme, pousse la jusqu'ici"

    Toute nue et en sandales, je la ramène, je souris en voyant qu'il n'y a que du café et de la Vichy Saint Yorre à boire ! Deux assiettes de petits fours frais trônent sur le plateau, au cas où quelqu'un aurait encore une petite faim !

    Je sers mes hommes et les imite : un grand verre d'eau et un petit four ! Et, bien sur une cigarette ! Je n'ai pas bien profité de celle du parking !

    • "Bien que ce ne soit plus l'heure, nous allons prendre un bon bain de minuit, à poil, et nous irons nous coucher !"

    Occupée à chercher le bon gâteau et à boire mon verre, je vois "mes hommes" se lever, mais je ne pige pas assez vite leurs intentions !

    Dans la minute qui suit, ils me prennent pas les pieds et les épaules, et me balancent dans l'eau, avec mes sandales, mon petit four et mon verre à la main !

    Ils éclatent de rire comme des ados !

    J'émerge un peu plus loin en les grondant :

    • "Finies les baises avec moi, en sortant je vais mettre ma ceinture de chasteté et jeter la clé ! Il ne vous restera que ma bouche, petits voyous !"

    Ils plongent me rejoindre dans la piscine et dès que leurs têtes réapparaissent, ils se mettent à crier : "la ceinture ! On veut la ceinture ! La ceinture ! La ceinture, on veut la ceinture !"

    J'abdique et après avoir reposé sur la plage, mon verre, ce qui reste de mon gâteau et mes sandales :

    • "Comme ça a l'air de vous plaire, et que je déteste cette ceinture, pour vous punir, je vais rester à poil, na !"

    Nous rions tous. Yves sort de la piscine et improvise un buffet sur le bord. J'y récupère mon gâteau gâché et un verre d'eau fraîche.

    Nous faisons les gamins dans la piscine en essayant de ne pas réveiller les voisins, je m'amuse à plonger et à ressortir en ayant pincé une des bites à ma portée, et eux font pareil avec mes tétons !

    Mais, le temps passant, je pense qu'il vaut mieux que j'arrête, car, pour leur toucher la queue, il me faut à présent toute ma main !

    Yves et moi plaisantons appuyés au bord de la piscine, et je ne sens pas arriver Javier derrière moi ! Trop tard, Yves m'immobilise et l'instant d'après, Javier rentre sa bite dans mon cul !

    Il me prend dans ses bras pour limiter mes mouvements.

    Yves s'approche par devant et m'enfile avec une grande facilité : son pieu est dur et mon con, bien lubrifié, est, en plus, plein de flotte !

    Ils m'amènent vers un endroit où nous avons pied et se régalent dans mes deux trous, jusqu'à se vider une nouvelle fois, quasiment en même temps, je ne sens que le foutre d'Yves, mais cette prise sandwiche dans laquelle je joue la saucisse de Strasbourg me fait gémir et jouir !

    Épuisée, je sors de la piscine et m'enveloppe dans la serviette en les prévenant :  

    • "Si vous avez des envies cette nuit, allez-y, mais vous n'arriverez pas à me réveiller, je suis une zombie épuisée !"

    En riant, Javier demande à Yves :

    • "Tu as déjà baisé une belle zombie, Yves ?"

    • "Non, mais je crois que cette nuit ce sera ma première fois !"

    Nous chargeons la table roulante, Javier tient à la pousser jusqu'à la cuisine et à m'aider à tout ranger, mettre au lave-vaisselle, fermer les conteneurs qui sont garantis pour 3 jours de frais et caser le reste dans nos 2 frigos ! Quand nous avons fini, je l'embrasse sur la bouche !

    • "Merci, Amo mio, j'apprécie votre aide !"

    • "Oui mais tu vas encore être punie, jejeje ! Dis moi, Loré, vous craignez une guerre ? Vous avez au moins trois mois de réserves dans vos frigos et vos congélateurs ?"

    • "Si je peux vous confier un secret, Amo mio, je suis tellement maso avec vous que chaque punition me fait jouir ! Et, quant à nos réserves, nous n'aimons pas faire les courses, et nous avons beaucoup d'amis qui savent que, même à l'improviste, ils sont les bienvenus chez nous !"

    • "C'est pareil pour moi, probablement à cause de ma petite réussite, j'ai des tas de pique-assiettes que j'adore recevoir !"

    • "Eh oui, c'est ce qu'on appelle en France : le revers de la médaille ! Au premier vous avez deux douches, Yves a déjà du se doucher et il doit dormir ! Et rassurez-vous, Amo mio, j'ai préparé un lit pour trois têtes ! Je vais me doucher en bas, je vous rejoins rapidement, laissez moi la place du centre, j'aurai accès à vos belles bites en cas de cauchemar. Un détail, avant de vous coucher, Amo mio, demandez à Yves de mettre un réveil si vous voulez vous lever à une heure précise !"

    3h>8h, la Maisonnée se repose !

    Le réveil, très mal élevé et péremptoire, sonne sur une commode où Yves l'a planqué pour obliger l'un de nous à se lever ! C'est lui qui s'en charge. Il l'arrête, ouvre les rideaux et nous réveille gentiment en nous murmurant :

    • "Il est temps de vous lever ! Je descends préparer le petit déjeuner, rejoignez moi dans le nid !"

    Et il nous laisse. Je m'étire comme une chatte, j'aurais bien voulu dormir dix heures de plus, mais il semble que ce soit impossible.

    A moins de ne pas avoir réalisé ce qui se passait, je suis très surprise, car mes hommes n'ont pas profité de moi cette nuit, il faut dire que gavés d'alcool et de sexe, nous nous somme endormis comme de vieilles souches dès que nous nous sommes couchés.

    Je me rappelle deux de leurs bras l'enlaçant, une main posée sur un de mes nichons et deux cuisses posées sur les miennes !

    A ma gauche la place encore chaude d'Yves et à ma droite Javier qui se réveille lentement, couché sur le ventre.

    Il se tourne vers moi et je sens contre ma cuisse quelque chose de dur me frôler. Tout en l'embrassant longuement sur la bouche en lui disant :

    • "Bonjour Amo mio, je vous souhaite un bon samedi !"

    Je m'assieds, lève un bout de drap et reste ébahie : il bande comme un cerf, pour lui l'érection du matin n'est pas une légende !

    Je n'ai pas l'intention de laisser passer une telle chance !

    Comme il est sur le dos, je monte sur lui et lui murmure à l'oreille :

    • "Vous pouvez vous rendormir un peu, Yves prépare le petit déjeuner"

    Je tourne sur moi même en laissant ma chatte à portée de ses yeux et j'escalade sa longue pine dont je commence à léchouiller le gland, lentement, en essayant de ne pas le chatouiller.

    Mais, très vite, la gourmande que je suis avale tout son gland que je cajole dans ma bouche humide de salive et de bonnes intentions.

    • "Putain-Loré, si tu ne t'arrêtes pas de suite, tu vas être sévèrement punie !

    • "Oui, je le sais, Amo mio, mais je vous en prie laissez moi profiter de cette si belle queue et vous vider les couilles dans mon ventre, vous me punirez après !"

    Et, je reprends ma pipe en l'enfonçant un peu plus dans ma bouche !

    • "Je t'aurai prévenue salope insatiable !"

    Et, pendant que je le suce avec gourmandise, il approche sa main de mon con et y glisse trois doigts.

    Sa bite s'échappe une seconde de ma bouche, le temps de pousser un petit cri, mais je la reprends alors qu'il farfouille dans mon con !

    Et la punition promise arrive alors que je ne m'y attends pas du tout !

    Il n'attend pas plus de jus de ma part, et me fiste le con en me faisant atrocement mal !

    Je suis obligée de lâcher son sexe et de me coucher sur le dos tellement j'ai mal, son poing est énorme, et, en plus dès qu'il me l'a enfoncé, jusqu'à ce que la moitié de son avant-bras disparaisse en moi, il bouge ses doigts dans tous les sens en me caressant les chairs intimes du vagin.

    • "Amooo mio, votre poing est trop gros pour moi, je vous en supplie, enlevez le doucement, j'ai trop mal !"

    • "Il fallait y penser avant Putain-Loré, c'est trop tard !"

    Il me pistonne le con avec son poing, sans toutefois le ressortir entièrement, ce qui me défoncerait une nouvelle fois l'entrée du vagin !

    • 'Tu voulais profiter de ma bite, entendu ! Mais il va falloir faire un peu de gymnastique : tu vas t'asseoir en mettant tes mains derrière toi, puis, te lever lentement, rassure-toi, je suivrai tous tes mouvements. Et tu finiras debout à cheval sur ma tête, et là, tu vas sentir ce que c'est que d'être fistée par un poing de mec et non par ceux des gouinasses qui doivent se régaler avec toi !"

    Je pleure de douleur et couine comme une gamine avant d'être exactement au-dessus de sa tête pour lui permettre de me défoncer le con de toutes ses forces avec son bras tendu et ses doigts fouineurs.

    • "Rassure-toi, tes glandes fonctionnent très bien, j'ai l'avant bras de plus en plus trempé et mon poing nage dans ton jus, dans cinq minutes, tu réclameras le même dans ton trou à merde ! Maintenant, tu t'agenouilles de chaque côté de mon torse et tu poses tes mains devant toi : tu constateras que tu es juste à la bonne place pour prendre ma pine en bouche !"

    J'essaye de ne plus sangloter comme une gamine, et en effet, quand je suis en levrette sur lui, sa grosse bite est juste à hauteur de ma bouche.

    • "Mais comme c'est une vraie punition, tu te tiendras sur ta seule main gauche, avec la droite tu iras chercher ton clitoris dont tu t'occuperas ! Et, bien sur tu me pomperas uniquement avec ta bouche et sans que ta tête ne repose nulle part. Tu vas vite constater que c'est une posture de punie pour une esclave comme toi et non une position de baise pour une amante !"

    Il ne se trompe pas, il continue à me ramoner le con et à caresser l'intérieur de mon vagin, alors que je martyrise mon clitoris, et quand je jouis, sans pouvoir crier à cause de ma bouche pleine de lui,  j'ai horriblement mal à la nuque et je n'arrive presque plus à le pomper !

    • "Arrête toi et couche toi sur le dos, suis bien mes mouvements et une fois que ma pine sera au dessus de ta bouche, tu me videras les couilles sans rien avaler, allez dépêche-toi Yves nous attend !"

    Cette journée commence très mal !

    Quand nous descendons l'escalier, il rit de ma démarche de canard !

    Quand il a sorti son poing gluant de mon con, j'ai cru qu'il me déchirait ! Mais la bouche pleine de son foutre, je n'ai même pas pu grogner. Il a vu, par mes larmes, que je souffrais terriblement, d'où ma démarche !

    Il a enfilé son maillot de bains, mais m'a laissée nue.

    Devant la porte de la cuisine, il m'ordonne de m'arrêter et de l'attendre. Yves n'est pas dans la cuisine, il fait un saut jusqu'au nid et, quand il revient, il me pousse juste devant notre armoire.

    • "Comme tu t'es comportée comme une esclave, certes très vicieuse, mais qui pense pouvoir diriger le monde et son Amo, je vais t'équiper comme tu le mérites pour ce début de matinée !"

    Il commence par clipser un écarteur de chevilles qui m'interdit de serrer les cuisses. Puis, ce sont deux bracelets de cuir aux coudes auxquels il relie un écarteur qui passe dans mon dos, m'obligeant à rester bien droite avec les deux mains, inutiles, qui pendouillent dans le vide.

    Il me remet, juste sous le nombril, ma ceinture de cuir. Mais il rajoute une nouveauté en me posant sur la tête, une cagoule de cuir qui laisse mes yeux et ma bouche apparents, mais condamne mon nez.

    Et, il arrive au pire : il serres de toutes ses forces deux lacets de cuir que des mécanismes l'aident à refermer autour de chaque base de mes seins. Deux minutes plus tard, ils se tranforment en ballons !

    Il me pose aux tétons des pinces crantées, auxquelles il accroche des clochettes. Il les essaye : elles teintent bien au moindre mouvement !

    Il m'enfonce le manche d'un martinet dans le cul et laisse les lanières pendre, comme si j'avais une queue, et pour finir de me remplir le corps, il glisse facilement dans mon con trois boules de geisha que je connais.

    Moins grosses que celles de la veille mais elles sont télécommandées, et chaque fois qu'une boule en cogne une autre, elle file à toute vitesse et frappe n'importe quoi : un coin du vagin, ou une autre boule !

    Puis il clipse à mon collier une longue chaîne qu'il fait descendre dans la raie de mes fesses, il en profite pour lui faire faire un tour autour du manche du martinet, remonte par l'avant en séparant mon sexe en deux et la fixe en la tendant bien à un des anneaux de ma ceinture.

    Il termine pas des spartiates qui laissent mes orteils très découverts, et me les enfilent. Pour une fois Amo mio est à mes genoux ! Mais il a préparé huit petites pinces en plastique et les glisse une à une entre mes orteils, en prenant soin de les glisser le plus loin possible entre les orteils, pour pincer le plus de chair possible, avant de lacer les spartiates jusqu'au dessus de mes genoux !

    Il se relève, me fait tourner sur moi même et semble satisfait :

    • "Tu es grotesque avec tes mains qui pendouillent dans le vide, et ta queue de cheval ! Tu ne pourras pas faire un pas sans que les clochettes nous préviennent ! Mais, chaque pas va te coûter cher, car les pinces entre tes orteils sont très douloureuses ! Tes nibards vont vite virer au violet ! Mais, tu es la véritable esclave-sexuelle-maso-musicale, que je voulais ! Rejoignons vite Yves !"

    Il met en route les boules et nous marchons jusqu'au nid où nous attend Yves, qui est très surpris de me voir arriver, accessoirisée comme ça !

    • "Bonjour, Yves, je te présente notre nouvelle pute-maso, elle a mal démarré la journée en voulant n'en faire qu'à sa tête, mais, avant qu'elle ne te raconte tout en détail ! Sers lui une grande tasse de café, elle a le lait dans la bouche pour se faire un super-expresso- au-foutre-tiède !"

    Yves comprend que j'ai pompé Javier sans avaler son sperme ! Il me sert une tasse de café tout frais. Debout devant la table, je ne peux pas m'asseoir.

    Javier me pousse la tête jusqu'à ce que mes lèvres touchent la tasse et sans attendre son ordre : je vide ma bouche dans le café, pendant qu'ils se moquent crûement de moi !

    Yves remue ma mixture, et, Javier me met la tasse dans la main droite et m'aide à la porter à mes lèvres en me conseillant :

    • "Bois à petites gorgées, le foutre matinal de ton Amo !"

    Je mets un temps fou à tout avaler. Malgré mon envie de vomir, j'essaye d'être le plus souriante possible ! Après tout, je voulais son foutre et je suis en train de le boire, donc mon objectif pervers est atteint !

    • "Elle a eu ce qu'elle voulait ! Dis-moi, Yves, j'ai besoin d'un cubi de cinq litres vide, tu as ça ?"

    • "Oui, dans le garage, tu veux que j'aille t'en chercher un ?"

    • "Pas de souci, j'y vais, je préfère le choisir moi-même et j'ai besoin d'autres accessoires !"

    Et il nous quitte pour aller dans le garage, qu'Yves veille à toujours tenir bien ordonné !

    • "Eh bien, Amour, quelle punition ! Humiliée avec tes mains de pantin, ta queue de cheval jaillissant de ton cul et tes clochettes détectrices de mouvements ! Javier t'a gâtée ! Tes pinces dentelées doivent te cisailler les tétons, tes nichons trop serrés vont changer de couleur et te faire de plus en plus mal. La chaîne qui te cisaille la moule doit être aussi gênante que les pinces encastrées entre tes orteils ! Quelle grosse bêtise as-tu faite pour que ton Amo te punisse aussi durement ?"

    Je suis très mal à l'aise en lui répondant :

    • "Quand tu nous as réveillés et que tu es descendu à la cuisine, il s'est retourné sur le dos avec une érection phénoménale, j'ai tenté de lui léchouiller et de lui sucer le gland, autant pour lui faire plaisir que d'envie de m'empaler dessus pour profiter de l'occasion l Mais je n'ai pas pu et pas su attendre ses ordres ! Il était très colère, et m'a fisté le con, m'a obligée à me mouvoir avec son avant bras dans mon ventre, jusqu'à ce que je sois debout sur lui. Il m'a longuement pilonné le con en me faisant crier de douleur. Sans m'enlever son poing, j'ai du me mettre en levrette, en lui montrant mon cul, m'appuyer sur une seule main et profiter de l'autre pour me tripoter le clito jusqu'à ce que je jouisse dans la douleur. Quand j'ai pu récupérer ma main, je l'ai sucé et branlé jusqu'à ce qu'il se vide les couilles dans ma bouche, sans avoir le droit d'avaler son foutre !"

    Humiliations + douleur = honte + cauchemar !

    Yves me donne gentiment une viennoiserie à manger et me sert un grand verre d'eau fraîche qui me permet d'oublier ce que je viens d'avaler. Il m'allume une cigarette que j'arrive à fumer malgré mon bras ballottant ridiculement.

    Javier revient avec un tas de matériel, visiblement, il a trouvé tout ce qu'il cherchait !

    Et, il nous en fait un inventaire détaillé :

    • "Ton garage est une véritable Caverne d'Ali Baba, Yves, et comme tout est minutieusement rangé ou étiqueté dans des cartons, j'ai tout trouvé : un cubi de 5 litres vide, du vinaigre blanc, un long tuyau, une canule avec son robinet, et une raquette de ping-pong, avec de beaux picots extérieurs en latex !"

    • "Je ne vois pas immédiatement à quoi va te servir tout ça, particulièrement le vinaigre blanc, mais je fais confiance à ton expérience !"

    • "Rassure-toi, ta salope de femme le sait déjà, demande-lui de nous prédire son futur immédiat !"

    • "Alors, Loré, que me réponds-tu ?"

    Je baisse les yeux et regarde mes orteils écartelés pas les pinces.

    • "Amo mio va remplir le cubi d'eau tout en y incorporant un peu de vinaigre nettoyant. Il le posera probablement sur le bar, le reliera au tuyau auquel il fixera une canule qu'il m'enfoncera le plus loin possible dans mon cul. Puis, il ouvrira plus ou moins le robinet pour me faire un lavement rapide ou lent, selon son envie. Quand mon cul et mes intestins seront pleins, il m'emmènera dans un endroit tranquille et utilisera la raquette de ping-pong comme paddle pour me rougir le cul. Il me laissera seule, pendant le temps qu'il voudra, jusqu'à ce que je n'en puisse plus et que je le supplie de m'autoriser à expulser le contenu de mon cul, n'importe où, mais surement devant vous et la caméra !"

    • "Vous avez tous les deux autant d'imagination ! Tout est exact, Javier ?

    • "Je n'aurais pas pu ni voulu répondre aussi clairement, mais je suppose que pour Putain-Loré, cette humiliation n'est pas une première ! Yves, si tu veux te choisir un autre paddle, tu peux aller t'en chercher un dans votre armoire. A deux paddles son petit cul va vite devenir bouillant et rouge vif, bien que je sache parfaitement qu'elle déteste les fessées !"

    Yves rit et file vers l'armoire, pendant que Javier prépare son matériel.

    Il pose le cubi sur le bar et ouvre le frigo. Il en sort quatre bouteilles de Contrexeville, d'un litre et demi chacune. Il fouille dans les placards et trouve l'entonnoir qu'il voulait !

    Il transvase rapidement trois des bouteilles. Il sort un verre et le remplit de vinaigre blanc qui, à son tour rejoint l'eau du cubi, qu'il complète avec ce qu'il faut avec la quatrième bouteille pour qu'il soit rempli.

    Il range la bouteille entamée dans le frigo et me demande :

    • "Dis moi, Putain-Loré où puis je trouver un tabouret ?"

    • "Dans la cuisine ou dans la salle de bains, Amo mio"

    En allant le chercher, il croise Yves qui revient avec son paddle, j'entends Javier le féliciter pour son choix et Yves lui dire :

    • "Vas terminer tes préparatifs, je vais te chercher un tabouret"

    Javier revient avec le paddle choisi par Yves :

    • 'Ton Tendre a fait un bon choix : cuir souple et manche pratique !"

    Il fixe une extrémité du tuyau au cubi et prépare la canule à l'autre bout. Quand Yves revient, il prend le tabouret, le pose sur le bar et met le cubi dessus. La hauteur lui convient et le tuyau a la bonne longueur !

    Il me demande de me pencher sur la table.

    Il s'approche de mon cul et entre sans aucune difficulté, le bout de plastique fin dans mes fesses, le robinet reste accessible à l'extérieur.

    • "Redresse toi et mets-toi comme ça !"

    Il m'indique la pause en la prenant lui même : de trois-quart, dos tourné au bar et face à eux.

    Cette position ne cache pas le tuyau qui sort de mon cul, ni mon visage un peu grimaçant de honte  !

    • "Je ne connais pas le débit de ce robinet, mais si me fie à ceux que j'utilise, en rapide, il faut dix minutes, à mi-débit, vingt et à débit lent, environ trente minutes, on choisit quoi Yves ?"

    • "Personnellement, j'essaierai de la remplir en quinze minutes maxi, le temps de prendre tranquillement notre petit déjeuner ! Mais tu ne lui enlèves pas le martinet ?"

    • "Oui, quinze minutes c'est bien, suivront quinze autres de fessée, et on essaiera de la faire patienter trente autres minutes avant de la laisser se vider. Ca me semble être un bon timing ! Quant au manche de martinet, je ne l'ai même pas senti en l'enculant avec la canule, on le retirera pour la fesser ! C'est un bon timing car nous ne pouvons pas exagérer la durée de ce qui la blesse ou lui fait mal, ça fera environ mois de deux heures à rester accessoirisée, ça devrait aller, elle est résistante !"

    Un long calvaire dure combien de temps ?

    Javier ouvre et règle le robinet, et je sens de suite l'eau glacée s'écouler dans mon cul. Ils me laissent à mon remplissage et s'asseyent. Yves va chercher des compléments pour le petit déjeuner, sans quasiment s'occuper de moi sauf à la mi-temps d'un :

    • "Ca va, Putain-Loré, tu sens ton cul et tes intestins se glacer, grossir en toi et te faire du bien, toi qui aime tant être enculée ?"

    Je ne trouve rien à répondre, ils rient et continuent leur petit déjeuner, mais le cubi se vide plus tôt que prévu, alors qu'ils n'ont pas fini !

    • "Pas de souci, Yves, je vais rajouter ce qu'il me reste de la quatrième bouteille et nous pourrons finir tranquillement, cinq ou six litres ça ne change rien !"

    Aidé par Yves, c'est en effet très rapide, mais le reste de la bouteille qui vient directement du frigo me congèle presque les intestins !

    Ils ont le temps de finir leur petit-déjeuner et allument leurs cigarettes, alors que le cubi vide ses dernières gouttes ! Javier se lève, m'ôte la canule et me dit en me souriant vicieusement !

    • "Putain, tu va chercher toi-même, en restant dans cette partie du jardin, l'endroit où tu veux que tes fesses deviennent cramoisies, car, après tu y resteras au moins trente minutes en te convulsant pour ne pas perdre ton précieux liquide, et nous voulons te voir et te filmer d'ici !"

    Je regarde partout, et un emplacement me saute aux yeux : face à une dizaine de Rosiers qu'Yves m'a offerts et plantés, car ces Roses sont une variété créée par un ami horticulteur de Riom : Les Roses Loré !

    • "Devant le parterre des Roses Loré, Amo mio ! Yves sait très bien où il est !"

    Yves sourit et raconte en quelques mots l'histoire de ces Roses uniques au monde !

    • "Superbe cadeau, très romantique, au moins ta femme aura un beau paysage devant elle pendant que deux sadiques la feront souffrir, nous sommes vraiment à la frontière entre le sado-masochisme et le romantisme !"

    Parfois seulement quarante-cinq minutes !

    Nous nous dirigeons vers le parterre de Roses, qui sont, en effet magnifiques, Javier me positionne à sa manière, un peu penchée vers l'avant, et m'ôte délicatement le manche du martinet du cul.

    Je sens mon ventre ballonner comme si j'avais bu une pleine citerne de flotte ! Je sais que j'en ai pour quinze minutes à souffrir, il faut donc que je compte jusqu'à 900 ! Mais je serre déjà les dents.

    Ils auront mes cris de douleur, mais pas tout de suite, et, en plus je déteste la fessée qui est la seule chose à m'assécher le con, tellement je la hais ! Mais si mon Amo ne me faisait que ce que j'aime ? Serait-ce encore mon Amo?

    Je reconnais bien les coups du paddle lisse d'Yves et celui qui enfonce ses picots dans mes chairs de Javier, je continue à compter les coups sans quitter mes Roses du regard !

    Je suis en larmes, mais je suis à peine à 820 quand les coups cessent ! J'ai du me tromper quelque part, mais tant mieux !

    Gentiment, Yves m'a apporte une serviette et de l'eau fraîche, il m'enlève ma cagoule, me mouille tout le visage tendrement et avec soin, il enlève au passage toutes les traces de mes larmes.

    Un bisou sur la bouche et il remet ma cagoule en place. Sans que je ne change ni de position ni d'endroit.

    C'est dur de ne pas pouvoir se soulager !

    Ils retournent s'asseoir, je suis trop éloignée pour les entendre.

    Je l'apprendrai plus tard par Yves !

    Il s'asseyent, sans me quitter des yeux, et Javier demande à Yves :

    • "Tu te rappelles que je t'ai parlé d'une femme : Anita ?"

    • "Oui, bien sur, très bien. Tu devais faire le nécessaire pour qu'elle nous rejoigne le deuxième jour, mais je n'en sais pas plus !"

    • "J'attendais sa réponse avant de t'en dire plus, ça me semble inutile d'annoncer des rencontres qui ne peuvent pas se faire ! Tu vas en savoir beaucoup plus, et, en premier, avec son accord, je vais te la montrer sur deux photos récentes !"

    • "Wouah ! Elle est superbe !"

    Javier, Amo mio 2 1 Javier, Amo mio 2 2

    • "Oui, en effet ! C'est un canon ! Pour te la présenter rapidement : nous étions tous les deux étudiants, et nous avons sympathisé. Mais sans devenir intimes, car elle m'a vite déclaré qu'elle n'aimait que les femmes, et encore certaines femmes, en bref, c'était une Domina, fière de l'être. Elle faisait comme Loré pour payer ses études avec des passes de call-girl-Domina. Elle a eu la chance de ne jamais se fait prendre par la police des mœurs"

    • "C'est ce que je souhaite pour Loré, ce serait une catastrophe, mais avec les relations de Cathy, elle est intouchable !"

    • "C'est à cette période que j'ai découvert mes pulsions sado-maso. Je lui en ai parlé, comme à une bonne copine. Mais quelques jours plus tard elle m'a proposé de faire nos passes en binôme, quand nous tombions, elle ou moi, sur un couple de femmes soumises ou sur une femme soumise avec un mari passif et voyeur. Même en partageant les gains, ça nous ferait un revenu pour payer nos études, et ma présence la rassurerait. Elle a même rajouté, un peu vicieusement, que je pourrai baiser ses soumises qui prendraient cette épreuve comme une punition ! Ce qui me consolerait de ne pas pouvoir la baiser, elle !"

    • "Belle offre ! Et ça a fonctionné ? Je vois que Loré bouge de plus dans tous les sens, elle doit avoir très envie de se soulager !"

    • "Oui, j'ai vu, laissons là jusqu'à ce qu'elle nous supplie de se vider, si elle le demande, il faudra vite lui donner la permission !"

    • "Ok, j'ai compris ton fonctionnement, mais si elle nous crie "papillon" il faudra agir de suite ! Je te laisse continuer !"

    • "Ah ! Papillon est votre "safeword", c'est bon à savoir ! Je remonte dans le temps, Anita est intervenue dans ma vie à mes vingt-deux ans, et nous avons fonctionné en binôme pendant cinq ans. En partie grâce à elle, j'ai pu auto-financer mes études ! Je dois te dire que nos rendez-vous étaient autour de Valencia mais jamais en ville. A la fin de nos études, elle est allée faire un stage en France, à Nevers que tu dois connaître"

    • "Oui c'est à environ 160 km au nord de Clermont-Ferrand"

    • "Elle a rencontré la Patronne d'un gros laboratoire de pharmacie, de son âge, de sa beauté et avec les mêmes penchants sexuels. J'ai continué seul en utilisant largement son carnet de soumises, et nous sommes restés annuellement en contact ! Et, ces dernières années, elle m'a annoncé qu'elle s'était mariée avec sa compagne qui s'appelle Océane et qu'elles avaient adopté deux petites asiatiques. Elle a à présent, 38 ans et continue pour le fun à rencontrer des lesbiennes soumises"

    • "Belle carrière, et tu lui as donc fait part de ta présence à Clermont et de la raison réelle pour laquelle tu étais venu ?"

    • "Oui, dès que j'ai eu votre réponse, j'ai pensé à elle ! C'était une moyen de me faire plaisir en la revoyant. Vous connaissant tous les deux, et sachant ce qu'aimait Loré, j'étais sur que nous pourrions passer quelques heures excitantes tous les quatre. J'ai longuement dialogué avec elle depuis mon bureau, car, elle est en congé en Août alors qu'Océane est clouée à son Entreprise. Mais tout comme vous, elles n'ont aucun secret entre elles. Océane facilement accepté ce rendez-vous, car Anita lui avait longuement parlé de moi, et elle a même dit qu'elle regrettait de ne pas pouvoir se joindre à nous !"

    • "C'est curieux, mais, elle n'a rien d'une Domina sur ses photos !"

    • "Très juste, mais ça cache bien son secret ! En fait, elle adore soumettre des femmes plutôt que des jeunes filles ! Loré entre tout à fait dans la catégorie de ce qu'elle cherche pour s'éclater, car, elle aussi est multi-orgasmique, à une grosse différence près : c'est une femme-fontaine qui a donc des orgasmes féminins qui sont parfois des torrents de sperme ! Mais tu dois connaître ça ?"

    • "Pas trop, j'en ai rencontré deux dans toute ma vie sexuelle, et la première fois, j'ai été dégoûté car je pensais qu'elle me pissait dessus, mais, avec l'autre, je me suis régalé, car entre temps je m'étais renseigné sur ce fameux sperme sans spermatozoïdes qu'éjaculent certaines femmes-fontaines !"

    Javier éclate de rire, et répond :

    • "C'est vrai, la première fois c'est étrange quand tu n'es pas prévenu. Pour moi et sans me vanter, j'ai fait jouir la première, une soumise, en lui refusant l'orgasme tellement de temps, qu'elle a joui en m'inondant d'au moins un demi litre ! J'ai du lui expliquer ce qui venait de lui arriver ! Nous sommes devenus très copains et elle m'appelle de temps en temps pour me demander si je veux que la fontaine coule ! Je ne le lui refuse jamais !"

    • "Oups, à propos de fontaine, il faudrait s'occuper de Loré, je crois qu'elle n'en peut plus !"

    • "Oui, elle a dépassé vaillamment les trente minutes, et, sans nous supplier ! Il faut-y aller, prépare ta caméra !"

    • "Une question de Candide : ce qui va sortir de ses fesses sera sale ou propre ?"

    • "Ta femme a toujours le cul très propre, et nous lui avons injecté de l'eau avec un léger nettoyant, ce qui va sortir de son cul sera de l'eau de source, connaissant son dégoût pour la merde, jamais je ne lui aurais imposé ça s'il y en avait eu !"

    • "Ca te dérangerait qu'on lui enlève tous ses accessoires avant de la laisser se vider. Tu pourrais même exiger d'elle qu'elle se branle et jouisse en faisant cette chose obscène, elle ne peut pas le faire accessoirisée comme elle l'est et ça rajouterait de la honte si elle prend du plaisir en se montrant totalement vicieuse et indécente ?"

    • "Tu as raison, nous allons la libérer, la laisserons se vider le cul, debout en se branlant d'une main et en se touchant l'anus de l'autre ! Mais où comptes-tu la filmer ?"

    • "Puisque ce sera propre, elle arrosera ses Roses Loré !"

    • "Wouah, super idée, ce ne sera pas très romantique mais super hot ! Allez, on y va !"

    Pauvres Roses je leur donne ce que je peux !

    Je dois être livide de douleur à force de me tortiller et de me retenir pour ne pas libérer mon sphincter.

    Mais, têtue comme une mule, je n'ai pas voulu crier ou supplier pour que Javier me donne son autorisation.

    Mais quand je vois mes hommes venir vers moi, je sais que j'ai gagné et que j'ai résisté à la honte, à la douleur, à une envie si naturelle, quotidienne et logique, surtout dans mon cas !

    En fait, je me sens moralement plus forte qu'avant le début de cette épreuve ! Mais que ce chemin de croix a été long !

    Ils arrivent avec un grand sac, Yves s'agenouille à mes pieds, et une par une, en frottant très fort l'endroit libéré avec la pommade, il m'enlève les pinces que j'ai entre les orteils et les jette dans la corbeille.

    Javier m'enlève la cagoule qui me colle au visage.

    Il déclipse ma longue chaîne, défait le tour de chaîne du manche de martinet, fait très attention en les sortant tous les deux de la raie de mon cul, et, encore plus en la détachant de mon con asséché par la fessée, il la déclipse de la ceinture et elle rejoint le reste.

    En même temps, ils me libèrent des écarteurs de coudes et de chevilles. Je peux, enfin bouger mes bras et mes jambes !

    Javier défait facilement les lacets de mes seins qui tombent et se dégonflent d'un seul coup, je baisse les yeux, ils sont violets !

    Il s'apprête à ôter les pinces crantées et leurs clochettes, mais appelle Yves à son secours pour qu'il vienne de suite me passer la pommade pour essayer de me calmer, mais je ne peux m'empêcher de hurler tout en atténuant mes cris en me mordant les lèvres !

    Puis, tous les deux me libèrent de mes bracelets de cuir. Yves se charge des boules de geisha qui n'ont pas réussi à me faire jouir, simplement parce que Javier les a maintenues à leur plus petite vitesse.

    Il me reste mon collier d'esclave, mais Javier me dit :

    • "Celui là tu le gardes, Putain-Loré !"

    Yves m'ôte mes spartiates, et je me retrouve entièrement nue et libérée.

    Mais mon ventre gronde comme un volcan préparant une éruption !

    Ils l'entendent tous les deux, et Yves me dit :

    • "Quand tu le voudras, tu pourras te vider sur tes amies les Roses, elles vont être heureuses, et ce qui va sortir de ton cul, leur fera du bien et ne leur causera aucun préjudice !"

    Je crois mon Tendre sur parole, et je demande timidement :

    • "Amo mio, quelle position dois-je adopter ?"

    Sa réponse est très franche :

    • "Celle que tu voudras ma petite salope, tu as gagné par ta volonté le droit de vider ton cul comme tu l'entends, reste, si possible debout, penchée en avant, et si tu t'en sens le courage, branle toi le con de ta main droite et caresse ton trou du cul de la gauche, ce sera très excitant pour tes futurs spectateurs, mais tu fais ce que tu peux, je ne t'en voudrais pas si tout n'est pas réussi !"

    De telles paroles dans la bouche de mon Amo me surprennent, et m'obligent positivement à me fixer l'objectif de tout faire, malgré la sécheresse de mon vagin et la répulsion de mouiller ma main avec ce qui va sortir de mon cul !

    Ouf ! Le calme après la tempête !

    Quand je reviens au nid, je bois deux grands verres d'eau d'affilée.

    Et Javier m'annonce une bonne nouvelle !

    • "Tu vas pouvoir te reposer trente minutes, belle salope, profites-en comme tu le veux ! Mais reviens nous nue et en pleine forme !"

    Dès que je m'éloigne, Yves me dira plus tard qu'il a calé sa caméra sur la dernière partie des Rosiers : et qu'en prenant un café et en fumant une cigarette, ils m'ont longuement regardée me vider le cul.

    Ma position était parfaite : mon corps, penché en avant, faisait se balancer mes nichons au rythme de mes mouvements. Et, j'avais de suite posé ma main droite entre mes cuisses, pour faire en sorte de lubrifier très vite, et pouvoir me branler jusqu'à l'orgasme, ma main droite avait les doigts posés sur mon anus !

    Mais, curieusement, le flot n'est pas venu de suite, mon expulsion a commencé par des petits jets qui ont eu de la peine à atteindre mes Rosiers, mais ce n'était que l'avant garde, car très vite, sans même que j'aide en poussant ! Des jets puissants, en effet très propres, ont jailli tout de suite après, par saccades, de mon anus.

    Mes doigts sentent la tiédeur du liquide qui n'a aucune odeur, et ça dure longtemps ! Yves me dira qu'en tout ça avait duré cinq minutes, un litre à la minute ! Un débit de fontaine !

    Yves a eu du travail, il passait de mon vidage du cul à mon visage qui changeait d'aspect au fur et à mesure de la montée de mon excitation ; de ma branlette mais aussi de la situation et de la scène tout à fait obscène que je leur offrais, à eux et à la caméra !

    Mais heureusement que l'eau était bien propre, je n'aurais jamais pu supporter de m'exhiber à mes fans en train de me vider de ma merde !

    • "Super clip ! Mais, c'est amusant : il faut titiller ta femme pour qu'elle fasse tout ce que tu veux, en lui disant qu'elle a le droit de ne pas tout faire ! Que c'est compliqué une femme !"

    • "A qui le dis-tu, cher Javier ! Avec Loré il faut tenir compte principalement de son caractère frondeur et de son amour des défis impossibles, c'est une battante dans la vie et elle le reste un dans la soumission en essayant de tout faire parfaitement !"

    • "Super matinée, Yves ! On s'est régalés de mater ta femme, de la fesser et de la voir se vider en jouissant ! Mais aussi, nous avons eu le temps de parler tous les deux, et c'était important !"

    • "Ah ce sujet, à quelle heure arrive Anita ? Et que lui as-tu dit exactement sur Loré ?"

    • "Elle devrait être là vers 13h, elle m’appellera quand son GPS lui dira qu'il reste dix minutes avant d'arriver à destination. Pour le reste, ne te fais pas de souci, elle m'a envoyé un long mail auquel j'ai répondu, elle connaît les tabous de Loré, ses envies les plus fortes, son attachement pour l'humiliation, le respect de la douleur si elle est excitante et des tas d'autres choses très intimes. Rappelle toi qu'elle domine des femmes depuis maintenant plus d'une décennie. Ce n'est pas Cathy, mais elles me semblent toutes les deux aussi intelligentes et surtout très psychologues. Ce n'est pas une Ama qui débarque sans avoir plusieurs scénarii en tête !"

    • "C'est parfait ! Je vais chercher champagne et tapas, nous allons prendre un petit apéro, c'est l'heure, tout au moins en France. Deux petits points, quand tu lui parleras, demande lui comment Loré doit l'accueillir, lieu, tenue et pause ? Et, il me semble très important que Loré apprenne le plus tard possible que c'est une femme ! Mais que, comme avec toi, la session démarre de suite !"

    • "Ok, Yves, ce sera fait et elle aura dix minutes pour se mettre en tenue et en place, et nous, nous  avons le temps de préparer et de boire notre apéro, mais je vais avec toi pour t'aider !"

    Ils se dirigent vers la cuisine, en passant devant la salle de bains, ils m'entendent chantonner ! Ils sourient et sont rassurés sur mon moral !

    Wouah ! Un apéro au champagne !

    Quand j'arrive dans le nid, nue et rajeunie d'au moins un mois ! Yves me sert une flûte de champagne et il avance vers moi les tapas froides et tièdes qu'ils sont en train de déguster. Je m’allume de suite une cigarette ! Ils sont toujours en maillots de bains, et semblent avoir une super forme !

    Javier m'informe :

    • "Putain-Loré, il est juste midi. J'attends un appel qui va décider de ce tu vas avoir à faire pendant quelques heures, il est donc important ! Je vous quitterai quelques minutes pour répondre, mais, en attendant, tu devrais récupérer le panier et ranger les accessoires en vérifiant qu'ils sont bien propres, tu peux t'interrompre pour venir manger, boire ou fumer une cigarette !"

    • "Bien, Amo mio, je vais tout ranger soigneusement !"

    Je remarque en prenant le panier, alourdi par les chaînes, qu'ils ont fait disparaître le cubi et ses accessoires et je vais dans le salon.

    J'extrais ce qui est un peu sale, comme les boules, le martinet et la cagoule et vais dans la cuisine pour les nettoyer et les sécher.

    Tout me posant des questions sur ce coup de fil ! Un rendez vous à l'extérieur ou quelqu'un qui nous rejoint ?

    Je reviens boire une gorgée, un bisou à Yves et je repars pour terminer, il me faut défaire les nœuds faits pas les chaînes et plier les écarteurs, mais quand je reviens, le panier est vide !

    Le téléphone de Javier vibre, et il décroche :

    • "Bonjour cher Monsieur, excusez-moi, mais je suis pas seul, Yves et son épouse Loré sont avec moi, je vais les laisser, je vous reprends de suite"

    Que de mystère ! Ils ont invité un autre homme qui connait nos prénoms ? J'en aurai donc trois sur les reins ou dans les reins ?

    Mais je ne dis rien et avale quelques tapas pendant que Javier s'isole.

    • "Nous n'avons pas le temps de te montrer les images de tes fesses rougies et ton vidage, pardon, tu les verras une autre fois."

    • "Pas grave Amour, nous les visionnerons dans le canapé, en te faisant une belle pipe sans quitter la télé des yeux, ce sera bien pus excitant !"

    • "Exact ! Tu as toujours d'excellentes idées coquines !"

    • "Bah, il faut bien que je me serve de ma petite cervelle, mon Chéri, tu sais avec qui Javier est en train de parler ?"

    • "Oui, mais c'est top-secret !"

    Je ne réponds rien et lui demande une autre flûte de champagne !

    Javier revient avec son téléphone coupé :

    • "Me revoilà, pardonnez-moi ces cachotteries, mais j'avais quelques points à régler, comme le dit, si diplomatiquement, Loré au téléphone !"

    Cette allusion à mon appel du jeudi me fait sourire !

    • "Et maintenant tu as toutes tes réponses ?"

    • "Oui, toutes et bien détaillées, comme tu l'as compris, Putain-Loré, nous allons recevoir une quatrième personne ! Son arrivée est prévue pour 12h30. Comme quand je t'ai découverte en chair et en os, tu as des instructions détaillées, mais, pour le moment, Yves, il faut que nous sortions la voiture de Loré du garage, et nous avons quelques préparatifs à y faire. Putain-Loré, tu peux faire ce qui te plaît, mais ne viens pas au garage merci !"

    • "J'ai donc le temps de fumer, de boire et de manger ?"

    • "Un bon quart d'heure ! Nous filons au garage ! A tout de suite !"

    Je les laisse faire leurs petites affaires, m'allume une cigarette, choisis soigneusement mes prochaines tapas et profite à fond de mes quinze dernières minutes de tranquillité !

    J'entends la porte électrique du garage s'ouvrir, ma voiture démarrer et quelques secondes après, la porte se referme.

    Voilà donc un quatrième qui aime les garages ! Quelle idée, on est si bien dans un lit, sur une table ou devant un beau parterre de Roses ! Bah, tous les goûts sont dans la nature !

    Je n'entends plus rien et vais finir ma cigarette en me mouillant un pied dans la piscine. Pffff quel délice ! Je vérifie le thermomètre immergé : elle est à 30° ! Une vraie baignoire ! Je reviens pour écraser ma cigarette, engloutir deux tapas et boire une gorgée de champagne.

    Quand ils reviennent, je suis allongée à poil sur un transat bain de soleil Je suis toute humide, visiblement je viens de me baigner !

    Avec un grand sourire, je leur communique la température de l'eau !

    • "Tu as bien fait d'en profiter, Chérie, mais rassure toi, Chérie, nous aurons surement le temps de tous nous y baigner. Il est vrai que 30°, c'est presqu'un record pour notre région !"

    • "Bien, il est temps de te dire comment ce quatrième veut faire ta connaissance : pour ta tenue, elle est simple : à poil, des escarpins de soirée à talons très hauts, ton collier d'esclave et les yeux bandés, c'est clair ?"

    • "A part mettre mes escarpins et un bandeau sur les yeux, le reste est prêt !"

    • " Et pour l'attendre : debout dans un coin du garage, tête tournée vers le mur, cuisses un peu ouvertes et mains croisées sur la tête en faisant attention que tes bras soient bien parallèles à tes épaules, rien de bien difficile ?"

    • "En effet, position d'une soumise s'offerte, je la connais !"

    • "Vas choisir tes chaussures dans ta chambre, nous te rejoignons avec un bandeau et nous t'amenons au garage !"

    Suite dans Javier, Amo mio 3


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :