• Jeux 1

    Petits jeux entre amies 1

    Chapitre 1

    Ce samedi matin de juin, je reviens de Carrefour, les bras chargés d’emplettes.

    Sans aucune pression, en sachant que mon fils Jean passe la fin de la semaine chez un ami et que mon mari, Yves, passe la semaine en Russie pour la Société. Tout en posant les paquets pour pouvoir ouvrir ma porte, je pense à ce qui m’attend, puisque j’ai décidé de profiter de cette solitude pour faire un grand nettoyage de printemps.

    Une voix féminine résonne derrière moi : « Laissez moi vous aider Madame Dufour, je vous vois bien encombrée ! » En me retournant, je reconnais Corinne, une jolie jeune fille blonde, amie de collège de mon fils. « Tu tombes bien ma grande, je ne savais pas comment faire, bonjour Corinne ».

    Elle me prend plus de la moitié de mes paquets et nous allons jusqu’à la cuisine où gentiment elle me propose de m’aider à tout ranger.

    Quelques minutes plus tard, nous sommes assises au salon où nous dégustons un Coca bien mérité :

    « Qu’est ce que tu fais dans ce quartier, Corinne, il m’avait semblé entendre Jean me dire que tu habitais de l’autre côté de la ville ? » « C’est exact, Madame Dufour, mais je viens dans votre quartier deux fois par semaine car il y a un très bon club de sport près de chez vous » « Je le connais : Jean y fait du tennis, du ping-pong et du tir à l’arc » « Oui, je suis au courant, mais bien que nous ne pratiquions pas les mêmes sports, nous nous rencontrons souvent »

    « Jean me parle souvent de toi, mais, aujourd’hui, je suis désolée, il n’est pas là, il est chez les parents de Gilbert qui ont une grande ferme à une centaine de kilomètres » « Oui, il m’en a parlé hier après midi à la fin des cours, il adore aller dans cette ferme, et est très ami avec Gilbert »

    « Donc, tu t’es dit, en étant proche de chez lui, que tu allais saluer sa Maman ? C’est gentil à toi ! » « C’est en effet vous que je désirais rencontrer, mais je ne sais pas si vous allez considérer que c’est une gentillesse »

    Je souris en buvant. « Je ne vois pas ce que tu veux dire ! »

    Chapitre 2

    Corinne se penche vers son gros sac de sport et en sort une enveloppe de papier kraft de format A4 : « Il y a une quinzaine de jours, un professeur étant absent, Jean est rentré plus tôt que prévu chez vous. Vous ayant appelée sans réponse, il a pensé que vous n’étiez pas là et s’est mis en maillot de bains pour plonger dans votre piscine, mais vous étiez dans le jardin, particulièrement occupée avec un couple de votre âge.

    En voyant ce que vous étiez en train de faire, sans savoir pourquoi, il a sorti son téléphone et il a prit des tas de photos de vous trois sans que vous ne vous en rendiez compte de rien »

    Je deviens blême, je me souviens parfaitement de cette séance de soumission à un couple rencontré sur le net, mais j’essaye de cacher mon trouble et me tais en la laissant parler.

    « Rassurez vous, les photos prises n’ont pas circulé dans la classe, mais il se trouve que mon passe temps favori est le bdsm, j’ai plusieurs blogs sur lesquels des amies masos ou sados s’exhibent, je suis incollables sur les adresses des sites de ce genre de pratiques et je tchate régulièrement sur des chats sado maso »

    « Autrement dit ces photos sont tombées entre de mauvaises mains ? » Elle éclate de rire : « Oh, non, ça aurait pu être pire, quand Jean mes les a montrées au collège, je me suis contentée de les télécharger sur mon portable sans qu’il ne s’en rende compte, de les mettre sur un de mes sites en vous floutant les yeux pour que personne ne puisse vous reconnaître et de les imprimer en couleurs en deux exemplaires pour pouvoir venir vous en montrer un ! »

    Elle me tend l’enveloppe, il y a une trentaine de photos toutes plus osées les unes que les autres et sur chacune d’elle, je suis parfaitement reconnaissa-ble. Cette garce de Corinne a bien fait son travail ! « Je constate que malgré tes 18 ans, tu es très au fait des pratiques sexuelles, le choix de tes photos en est la preuve. Mais je te dirai que, pour moi, il s’agit d’un jeu entre adultes consentants, qui, certes peut être dangereux, mais ce qui pimente un peu plus les séances, mais ça reste malgré tout un jeu dans lequel je n’ai absolument pas l’impression de tromper mon mari qui, lui, malheureusement pour moi et mon équilibre sexuel, ne veut pas entendre parler de ce genre de sexualité. Mais, comme tu viens de me le dire, tu as deux jeux de photos, ne tournons pas autour du pot : tu veux quoi pour étouffer ce scandale ? De l’argent ? »

    Elle éclate de rire « Rassurez vous, chère Madame Dufour, je n’ai pas besoin de votre argent, mais un des jeux de photos est destiné à cette adresse » Elle me montre un papier sur lequel est écrite l’adresse du bureau de mon mari.

    « Tu ne veux pas d’argent ? Alors que veux-tu pour ne pas envoyer ces photos à mon mari ? » « Oh, c’est très simple, Madame Dufour, il se trouve que mes parents sont absents pour tout le weekend, vous allez vous habiller comme je vais vous le dire, et nous prendrons l’autobus jusque chez moi où j’aurai tout loisir de jouer avec vous jusqu’à ce que je me lasse : vous me comprenez chère Madame ? »

    « J’ai l’habitude de choisir mes dominants, mais je vois que tu as bien préparé et refermé le piège sur moi. Sale petite peste, si à 18 ans tu te lances dans le chantage, j’ai bien peur qu’un jour tu ne finisses en prison ou sur le trottoir ! » « Vos insultes ne servent à rien et ne vous occupez pas de ma vie, je sais bien la gérer, et, c’est probablement vous qui finirez sur le trottoir car vous savez très bien que c'est une étape évidente et obligatoire pour une esclave sexuelle comme vous et je rajouterai que lorsque je vous annonce que je vais jouer avec vous c’est pour vous faire obéir à toutes mes envies dans une domination qui sera sans aucun tabou, à vous d'avaler ceux que vous avez, ce faux fuyant ne fonctionne pas avec moi, et, à la moindre hésitation, je vous ficherai à la porte et j’irai poster l’enveloppe pour votre mari qui l’aura lundi au courrier ! »

    Sans rien dire, j’allume une cigarette pour me donner une contenance.

    Chapitre 3

    Elle sourit vicieusement en me prenant une cigarette « Bien, puisque nous sommes d’accord, tu vas te changer : enfile une jupe de coton très courte sans culotte, un chemisier léger sans soutien gorge et des espadrilles nus pieds avec des petits talons, tu as tout ça ? »

    J’approuve de la tête et elle me fait signe d’y aller. Quand je suis prête, je reviens au salon, où elle s’est resservi du coca et a allumé une autre cigarette 

    « C’est parfait, prends ton sac avec ton portable, tes cigarettes, tes papiers et bien sur tes clés et dépêches toi, nous y allons » Je remplis un petit sac à bandoulière, j’y rajoute un paquet de kleenex et nous partons, quand la porte est fermée, elle me demande de lui donner mes clés.

    "Je te les rendrai quand le jeu ne m’amusera plus, et si j'ai jugé que tu avais bien obéi, et avec un peu de chance, les deux jeux de photos !" L’arrêt du bus est à cinquante mètres, le petit air léger qui s’engouffre sous ma jupe et rafraîchit ma chatte nue me fait un drôle d’effet.

    Nous nous asseyons dans l’abribus. « Quel âge as-tu Madame Dufour ? » « 34 ans » "Donc, tu as Jean à 16 ans et Yves n'est pas son père ?" "Oui, c'est exact, c'est le père de Jean qui m'a fait aimer le bdsm" "Ma mère en a 36, ça va me faire drôle de penser que je vais jouer avec quelqu’un qui pourrait être elle !" Je ne réponds pas.

    « A cette heure, le bus va être bondé, mais pas question de t’asseoir, tu vas rester debout et bien te suspendre à la barre de toit, si on te fait des avances, laisse-toi faire, je ne serai pas loin pour de donner des consignes et veiller à ce que tout se passe bien ! » Le bus arrive, il est en effet quasiment complet, mais les gens se tassent un peu pour nous laisser deux places.

    J’arrive à agripper la barre et Corinne me dit à l’oreille : « Tiens-toi avec les deux mains » Ce que je fais, consciente qu’en levant mes deux mains, mes cuisses sont plus dévoilées que ce que je le désirerais. A un mètre de moi, deux jeunes d’environ 16 ans discutent entre eux, l’un d’entre eux me fait face et n’arrête pas de me déshabiller du regard des pieds à la tête, il doit parler de moi à son copain car ce dernier se retourne et me toise de la même manière.

    Après deux arrêts, j’arrive à être moins compressée par les corps des autres voyageurs, mais avant que le bus ne redémarre, la deuxième fois, les deux jeunes se rapprochent de moi en pensant que je suis seule. L’un des deux se place derrière moi et l’autre devant, en se collant tous les deux à moi.

    Je jette un regard vers Corinne qui me fait oui de la tête et je me laisse donc faire. Celui qui est derrière moi me parle à l’oreille : « Bonjour, jolie meuf, tu vas pouvoir nous départager : mon copain a parié que tu portais une culotte et moi j’ai parié que non, tu veux bien nous aider ? » Je deviens rouge comme une tomate quand sa main descend sur mes fesses, remonte sous ma jupe et caresse mes fesses nues. « J’ai gagné, elle a le con à l’air ! »

    Et il se colle encore plus à moi pour que personne ne puisse le voir pendant qu’il explore de ses doigts inquisiteurs ma raie des fesses et ma chatte humide. Son ami de devant se colle un peu plus à moi, me prend la main droite et la glisse sur sa braguette en me murmurant : « Vas-y, fais moi du bien avec ta main et ne dis pas que tu n’aimes pas ça, tes bouts de nichons bandés te contre-diraient ! » 

    Morte de honte mais sous les yeux vigilants de Corinne, je suis obligée de m’exécuter, même quand celui de derrière me demande à l’oreille de me pencher un peu en avant pour mieux me pénétrer avec ses doigts. Je regarde autour de moi mais, apparemment personne ne se rend compte de notre petit manège à trois.

    Celui dont je caresse la bite à travers le pantalon me murmure : « Nous descendrons tous les trois au prochain arrêt pour satisfaire ton envie de foutre, salope, dis le toi-même à mon copain ». D’une voix rauque et tremblante je dis à l’autre : « Votre ami veut que nous descendions au prochain arrêt tous les trois » « Excellente idée, tu vas te régaler ! ».

    Chapitre 4

    Le bus ralentit et s’arrête, nous descendons tous les quatre, mais Corinne fait semblant de nous ignorer. Les gamins qui semblent bien connaître le quartier m’entraînent chacun par un bras et me poussent vers une porte cochère totalement déserte.

    Là, ils ont tôt fait d’enlever leurs pantalons et de baisser leurs boxers, pour dévoiler des bites correspondant à leur âge. En me retournant pour vérifier que personne ne vient, je vois Corinne qui mate la scène en étant bien dissimulée. L’un des deux s’assied sur la troisième marche d’un escalier et me demande de me pencher, le cul bien levé, pour lui faire une pipe alors que l’autre soulève ma jupe et commence à humecter mon anus avec mes propres sécrétions vaginales.

    Quand il pense que je suis prête, il m’encule d’un seul coup de rein alors que son ami gémit de mes lèvres qui montent et descendent le long de sa bite raide. Mais, ils sont très jeunes et ne savent pas se contrôler et ils jouissent très rapidement me regardant avaler le foutre du premier alors que l’autre se répand dans mes intestins, couilles collées à mes fesses. Ils partent comme des voleurs, en murmurant un vague merci et en se rhabillant.

    Heureusement que j’ai mis un paquet de kleenex dans mon sac, je peux m’essuyer les fesses et me rajuster pour rejoindre Corinne qui ne me dit rien d’autre que : « J’espère que ça t’a excité encore un peu plus, allez, on remonte dans le bus »

    Nous avons de la chance, car à notre arrivée à l’arrêt, un bus stationne, celui-ci est quasiment vide et nous allons au terminus pour rejoindre la maison de Corinne qui n’a prononcé qu’une phrase durant le trajet : « Je suis contente d’avoir eu mon appareil photo dans mon sac, j’ai fait quelques belles photos dont tu seras fière ! » Ma couleur rouge tomate la fait éclater de rire. 

    Nous descendons, Corinne m’indique que sa maison est à une centaine de mètres. Nous marchons côte à côte quand elle s’arrête devant une grosse poubelle conteneur : « Enlèves tes chaussures et jettes les, tu finiras pieds nus : pour moi une esclave doit être pieds nus ou avec des chaussures que tu découvriras plus tard ! »

    J’enlève et je jette mes chaussures, tout en continuant à marcher pieds nus sur le macadam presque brûlant. Un couple nous croise et me regarde bizarrement avant de poursuivre sa route sans aucun commentaire. Nous arrivons devant un immense mur de trois mètres de haut avec une porte encastrée, Corinne compose un code, et la porte s’ouvre en silence, elle se referme quand nous sommes dans une espèce de sas carrelé entre l’extérieur et l’intérieur.

    Chapitre 5

    « Nous voilà chez moi, à partir d’ici les règles changent : tu m’appelleras Mademoiselle et bien sur tu me vouvoieras, moi je te donnerai les noms de mon choix et, dans cette maison, tu as l’interdiction de circuler autrement qu’à poil, allez, vite, j’attends ! »

    Je déboutonne mon chemisier que j’ôte et dégrafe ma jupe : « Derrière toi tu as le local des poubelles, jettes-y tes fringues » Je reviens nue, ne sachant trop que faire de mes bras. Corinne me pousse contre un des murs et me murmure à l’oreille : « Tu n'es pas trop mal conservée pour ton âge, mais depuis que je t’ai vue aussi salope sur les photos, j’ai très envie de te gouiner la bouche, et, je ne compte pas m’en priver ! »

    Elle se colle à moi, pose ses lèvres sur les miennes et sa langue fougueuse et autoritaire me fouille longuement chaque recoin de ma bouche alors qu’en même temps, elle monte sur mes orteils nus avec ses chaussures de sport, prenant un malin plaisir à les tourner pour mieux m’écraser les orteils.

    Le baiser me semble durer une éternité, elle décide de finir en me faisant sortir ma langue le plus loin possible pour la mordiller tout en me pelotant les seins « Tu as des nichons qui correspondent à ton âge, c’est plus des mamelles que des seins, je ne sais pas encore si je te montrerai les miens, là tu verrais ce que sont des vrais nichons ! Mais je dois reconnaître que j’aime bien tes bouts de mamelles, ils me semblent réactifs et sensibles et ça j’adore ! Allez en route »

    Encore très troublée par ce très long baiser et ne pouvant que constater que cette jeune fille sait réellement bien embrasser, je la suis.

    Elle m’explique « Vois-tu, la maison est divisée en trois parties, au centre, le premier est l’appartement de mes parents et au rez-de-chaussée il y a les salons et la salle à manger, sur la droite c’est l’aile de mon frère qui habite au premier et en dessous il y a trois suites pour ses amis, et dans mon aile, les trois suites sont au premier et moi j’habite au rez-de-chaussée, avec ma piscine privée où je me baigne jour et nuit à poil. Mes parents ont beaucoup d’argent, et mon frère et moi avons un budget mensuel qui nous permet de faire ce qu’il nous plaît de notre maison, et ils ne sont jamais venus dans mon aile que j’ai donc aménagée en fonction de mes goûts et de mes envies »

    Nous remontons une allée qui va vers son aile et au détour d’un bosquet, nous tombons sur un homme d’une soixantaine d’année : « Bonjour Edmond, toujours en train de bonifier le parc, à ce que je vois ! Il faut souffler un peu, mes parents ne sont pas là ! » « Bonjour Mademoiselle Corinne, vous savez je ne travaille pas pour vos parents, j’aime les fleurs et les végétaux et vous savez que dans 15 jours nous avons une journée portes ouvertes où tous les jardins privés de la ville seront visitables, je veux que le mien soit le plus beau ! » « Eh oui Edmond, comme tous les ans ! Ce sera votre cinquième médaille d’or ! Où vous arrêterez vous ? »

    Il éclate de rire : « Quand vous me retrouverez mort sous un rosier ou un saule, Mademoiselle Corinne, mais je vois que de votre côté vous avez ramené une autre esclave, je suis un peu surpris car elle est plus âgée que celles que vous ramenez ici habituellement ! » « C’est exact, elle a l’âge de ma mère, mais je suis sûre que ce sera une bonne salope, de toutes les manières, passez moi un coup de fil quand vous aurez un peu de temps, vous pourrez la sauter à votre guise comme les autres ! »

    « Vous êtes toujours aussi gentille, Mademoiselle Corinne… Je vous souhaite plein de plaisirs et moi je retourne à mes plantations ! » Sachant que j’allais devoir baiser avec ce vieil homme quand Corinne le voudrait j’en frémis à l’avance et je la suis tête basse sentant les yeux du jardinier sur mon cul et mon dos.

    Les baies vitrés du salon de Corinne sont toutes ouvertes, nous entrons dans un salon somptueux, visiblement décoré par un professionnel, je m’extasie intérieurement, n’osant pas prononcer une parole. 

    « Tu dois savoir ma chérie, que toutes les pièces de mon aile sont sous contrôle vidéo, et je ne parle pas de webcams, ce sont de véritables caméras professionnelles centralisées dans un petit bureau régie que tu n’auras le loisir de visiter, dans un premier temps tu vas aller te laver, je suis une incondition-nelle de la propreté : tu sors du salon par cette porte et la salle de bains est la deuxième porte à gauche, pendant ta douche je te donnerai quelques instructions que je te conseille vivement de suivre, n’oublie jamais que l’enveloppe est timbrée, adressée et prête à partir ! »

    Chapitre 6

    Je me dirige vers la salle de bains, luxueusement équipée et la voix de Corinne sort par des hauts parleurs invisibles : « Bien, tu vas entrer dans la baignoire, faire face à une petite commode en plastique qui la prolonge et tu vas commencer par pisser debout dans la baignoire en ouvrant largement ton con avec tes deux mains » Je me mets en position, à vrai dire, je n’ai pas tellement envie de faire pipi, mais une fois ma vessie libérée, un jet dru sort de mon urètre jusqu’à arroser les bords de la baignoire. « Belles images, à présent, lave toi les cheveux, tu as un choix de shampoings sur l’étagère en plastique »

    J’en prends un à la pomme et me lave longuement mes cheveux mi-courts, je les rince abondamment me sentant presque toute neuve et très excitée par la situation que je vis.

    « Mets toi une serviette éponge sur la tête et accroupis toi dans la baignoire, cuisses aussi écartées que possible : tu vas te savonner les nichons comme un amant le ferait pour toi »

     

    Je prends du savon et accroupie je me savonne très longuement les seins, jouant avec les globes que je fais bouger sensuellement, ce jeu me tend les tétons et je suis sure qu’elle s’en est rendue compte.

    « Laisse tes nichons pleins de savon et insiste sur tes bouts de mamelles, je veux qu’ils soient bien durs et qu’ils bandent bien »

    Les seins pleins de mousse, je m’occupe avec mes doigts de mes tétons qui durcissent instantanément, lui prouvant un peu trop vite mon excitation.

     

    « Parfait, tu vas ouvrir le deuxième tiroir de la commode en plastique et tu en sortiras un gode ventouse très long, fixe le sur le rebord de la baignoire et mets toi en position pour le faire glisser entre tes nichons bien serrés et quand le gland arrivera à ta bouche, lèche le, un peu de savon dans ta bouche de pute ne peut que te rafraîchir ! »

    Accroupie et tournée vers le rebord de la baignoire, je fais glisser le gode entre mes seins et chaque fois qu’il arrive au niveau de mes lèvres je le lèche avec obéissance, sinon avec envie.

     

    Elle a du avoir quelque chose à faire, et m'a laissée faire un bon quart d’heure avant de m’ordonner de nettoyer le gode et de le ranger dans le tiroir pour sortir de celui d’en dessous une poire à lavement d'un demi litre.

    « Tu vas remplir cette poire à lavement d’eau très chaude mélangée de vinaigre que tu trouveras dans un flacon sur ta gauche et, dos tourné vers l’armoire, pour que je te vois bien, tu te feras des lavements du cul jusqu’à ce que tu ressortes de ton cul un liquide plus propre que celui qui est entré »

    Les lavements se succèdent, je suis morte de honte de m’exécuter ainsi devant elle et surtout devant les caméras, mais à la quatrième poire, l’eau rejetée est parfaitement propre, mais Corinne exige une cinquième poire !

    « C’est bien, pour l’instant tu me donnes toute satisfaction, j’espère simplement pour toi que ça va durer, tu peux te rincer, tu as un sèche-cheveux et des chaussures un peu spéciales que je veux que tu mettes, je t’attends dans le salon, fais vite »

    Chapitre 7

    Je me frictionne avec la serviette, me sèche les cheveux que je recoiffe un peu avant d’enfiler les chaussures dont Corinne m’a parlé : ce sont en fait des tongs mais avec une semelle interne couverte de picots durs qui entrent dans ma peau à chaque pas, n’ayant pas le choix, je les enfile, elles me font immédiatement horriblement mal et je la rejoins au salon en boitant comme un canard !

     

    Elle est allongée sur un grand sofa de cuir blanc et me jette un regard ironique à mon entrée catastrophique !

    « Tu m’as donnée de belles images, qui sont en train d’être mises en ligne ! Pour tes débuts dans le cinéma porno tu as été très naturelle aussi bien quand tu pissais que lorsque tu suçais le gode et surtout quand tu te lavais le trou du cul, on voit que ce n’est pas ta première fois ! Ton mari aime t’enculer ? »

    « Oui, Mademoiselle »

    « Et il le fait tous les jours ? »

    « Je ne compte pas mais ce serait plus proche de trois ou quatre fois par semaine, Mademoiselle »

    « C’est un bon rythme, tu ne dois pas avoir l’anus défoncé comme certaines pouffiasses que je rencontre, qui se font enculer car elles n'aiment pas les capotes, ces connes ! »

     

    Je ne réponds rien je suis toujours face à elle, debout, les bras ballants le long du corps. « Bon, on va s’occuper de ton futur, suis moi »

    Obéissante je la suis, elle rit de me voir marcher avec difficulté.

    Au fond d’un couloir nous entrons dans ce qui doit être son bureau.

    Elle m’indique une chaise face à un gros ordinateur.

     

    Elle fouille dans une commode et en sort trois objets qu’elle me tend :

    « Enfile toi ce vibro dans le con et ces deux pinces en fer sont pour tes bouts de mamelles »

    Trempée comme je le suis, le vibro, bien que de bon calibre, n’a aucun mal à entrer, elle me demande de le mettre sur sa vitesse maximum et se rapproche de mes seins pour constater que je me pince juste les bouts gonflés, sans pincer de la chair d'un des nichons, ce qui me fait horriblement mal.

    « Parfait, tu seras dans de bonnes dispositions pour faire ce que tu dois : je suppose que tu sais allumer un ordi, alors fais le et entre sur le net, dans la barre de tâches, tu vas cliquer " w w w . p l a n c u l 6 3 . c o m ", comme on te le demande tu vas certifier que tu as plus de 18 ans et entrer le code que j’ai créé pour toi : « lorena » et le mot de passe « 34ans »

    Elle rit en me regardant m’exécuter : « Tu peux constater que je ne doutais pas de ta réponse, j’ai créé et payé cet accès depuis trois jours ! »

    J’entre ces données et j’accède à un menu très complet en forme de questionnaire.

    Chapitre 8

    « Ma pute, je vais te laisser entrer tes réponses en regardant par-dessus ton épaule, je vais juste t’indiquer que tu devras te libérer sur rendez-vous et que je gérerai le mobile que tu mettras en ligne. Pour le reste à chaque mauvaise réponse tu recevras un claque sur l’arrière de la tête, ce qui est fort désagréable ! »

     

    Je comprends qu’il me faut entrer une fiche complète affichant mes goûts et mes options en tenant compte de ce que Corinne attend de moi.

    Pour la première question, je coche : « rencontre BDSM »

    Pour la deuxième : « réelle avec homme(s), femme(s) ou couple(s) »

    Pour la troisième : « soumise, maso, esclave, dressée »

    Je prends une claque et rectifie à sa demande : « soumise, maso, esclave, dressage en cours »

    Pour la suivante : « yeux bandés acceptés »

    Pour une autre : « aucun tabou sexuel »

    Pour les tabous : « j’accepte tout sauf le sang et la scato »

     

    Je m’attendais à une claque mais Corinne semble me laisser ces deux tabous.

    La suivante de rédiger ma situation : « femme mariée, un enfant, pute non professionnelle »

    L’autre me demande la fourchette de mes tarifs : je ne sais vraiment pas combien je vaux, je me tourne vers Corinne qui me dit : « on va démarrer pas cher : entre 100 et 150 euros la demie heure, tout le pognon est pour toi ! ».  

    Pour la disponibilité, elle me dicte : « sur rendez vous, lieu à votre choix »

    Pour le contact, elle me donne : " s l a v e l o r e n a @ h o t m a i l . c o m et un numéro de portable"

     

    La dernière question est une demande de deux photos à laquelle je ne peux pas répondre. Corinne me guide : "Explorateur Windows >  "perso" > ouvre > trouves ton prénom de salope > clique sur yeux non floutés > choisis deux photos très hards > importe > fin de la fiche"

     

    Je m’exécute et retrouve rapidement mon prénom parmi une quarantaine, je constate que Corinne a vraiment beaucoup de relations dans le monde du bdsm. Une fois mon dossier photos ouvert, je n’ai pas trop envie de m’attarder je choisis deux photos, un peu au hasard, repère leurs numéros et reviens sur le site pour les mettre en ligne, honteuse de la signature que je vais laisser à cette fiche.

     

    Corinne approuve mon choix :

    « Bien ton travail est terminé, je vais m’occuper du reste, suis moi et fais en sorte que ton vibro ne glisse pas de ton connasse gluante »

    Chapitre 9 

    Je la suis, la main droite posée sur le moteur du vibro, qui ronronne dans mon vagin. Nous repartons dans un mini dédale de couloirs et de portes, j’ai toujours aussi mal aux pieds mais en plus mes tétons compressés par ces pinces en acier me donnent envie de hurler de douleur.

     

    Elle traverse ce qui ressemble à sa salle de bains et je la suis dans un sauna qui donne directement sur un jacuzzi. Quel luxe ! Et moi qui étais fière de notre maison ! Elle pose une de ses mains sur une dalle du carrelage mural du jacuzzi et une porte très discrète s’ouvre sans un bruit.

    Elle allume une lumière et nous descendons quelques marches.

    Avant d’ouvrir une dernière porte, elle s’arrête, sort un bandeau de sa poche, me le pose sur les yeux et c’est tenue par la main que je termine les derniers mètres.

     

    Je ne sais bien évidemment pas où je suis et avec mes chaussures à picots je ne sens même pas le sol.

    « Tu vois ma salope, tu es dans un lieu que j’ai fait construire pour pouvoir m’amuser sans limites avec des esclaves de ta race, mais je tiens à lui garder son caractère secret, sache simplement que tu vas y jouir, tu vas aussi y souffrir et aussi beaucoup m’y faire jouir, mais que tu en sortiras sans le connaître ! Rassure toi : le bandeau ne sert pas à te surprendre, au contraire, je vais bien t’expliquer ce que je te vais te faire pour que tu puisses en jouir par avance ! Pour le moment, tu peux enlever ton vibro de ton con de pute et bien le nettoyer avec ta langue pour que je puisse le ranger »

     

    Je m’exécute tout en entendant des bruits d’étoffe.

    « Tu vois, je me déshabille, mais tu n’auras pas le plaisir de me voir à poil et avant que je ne déclenche les caméras, je me mettrai un loup sur les yeux et une longue cape sur le corps : je préfère te laisser la vedette du film porno que tu es en train de tourner ! »

     

    Pour seule preuve, je sens ses seins pointus et durs se poser sous mes pinces et sa chatte apparemment sans poils frotter ma cuisse « Tu vois ma pute que je ne te mens pas : je suis bien à poil ! A présent comme je déteste les cris, je vais te mettre un bâillon gode, excuse moi si le gode est très long et qu'en frottant ta gorge, il te déclenche des nausées, je te conseille très fortement de les réprimer ! »

     

    Elle m’ouvre grand la bouche, me met la tête très en arrière en me tirant par les cheveux, elle veut me positionner comme la célèbre gorge profonde qui permet au palais et à la gorge d'être sur un même axe, et elle m’enfonce très lentement, mais d’une main ferme, le gode en latex jusqu’à ce qu'il soit totalement au fond de ma gorge. J’ai du mal à retenir un vomissement, mais en parfaite spécialiste, elle sait que dans cette position, une gorge peut avaler n’importe quoi* (*une épée) et n'importe quelle longueur de gode ou de bite.

    « Voilà une bonne chose de faite, tu ne vas pas me gonfler avec tes cris de douleur ou de plaisir ! Ah il faut que je te précise quelque chose : j’adore travailler les mamelles, surtout quand elles sont lourdes et un peu pendantes comme les tiennes, je vais commencer par fixer à leurs bases deux courroies de cuir fin et les serrer à mon goût : tes nichons de pétasse vont vite ressembler à des petits ballons bien durs et prêts pour ce que je compte en faire plus tard »

    Chapitre 10

    Elle enlève de ses deux mains les pinces de mes seins, ce qui me fait hurler de douleur sous mon bâillon.

    Puis, je sens un lacet de cuir se refermer à la base de mon sein gauche, Corinne le serre trop fort me mettant tout de suite très mal à l’aise, mais ce n’est pas ce qui l’arrête et elle fait pareil à l’autre sein.

    Je les sens de suite gonfler mais je me contente de mordre violemment le bâillon gode, aussi fortement que le hurlement de douleur que je voudrais pousser, en plus la position de ma tête est horriblement douloureuse à supporter, s'il est vrai qu'elle autorise des pénétrations spectaculaires, c'est une réelle torture pour moi.

     

    « Je viens de vérifier sur mon écran de contrôle, la caméra est superbement cadrée : on voit bien tes mamelles et ton visage, je sais que tu souffres mais que tu ne peux pas t’exprimer et ça me trempe la chatte ! A présent je te réserve une surprise, mais rassure toi, tu ne vas absolument pas souffrir ! »

    J’entends des bruits d’objets sans pouvoir les identifier, ses doigts encadrent mes tétons et de ses deux mains, elle m'enlève d'un seul coup mes deux pinces en métal. Si je ne peux pas crier, elle a du se rendre compte de ma douleur quand mon corps s'est tordu dans tous les sens.

    Mais ses doigts reviennent sur mes tétons, mais en les caressant, plus qu'en les massant : elle les enduit d’une crème très douce et agréable à l'odeur. Quelques instants plus tard je ne les sens absolument et je suis bien incapable de savoir ce qu'elle fait avec.

    Voyant que la crème a bien fait son effet, elle arrête ses caresses et je sens un nuage de spray un peu frais recouvrir mes aréoles et une partie de mes seins.

     

    Sans ressentir ni douleur, ni plaisir, je la sens s’activer sur ma poitrine.

    Au bout de quelques minutes de silence, où je l'entends juste se laver longuement les mains, mais je me rappelle de sa leçon sur "la propreté extrême qu'elle exigeait de tout le monde" elle reprend la parole :

    « Tu vois, je te l’avais promis, salope, tu n’as rien senti, et pourtant, tu as quelque chose de changé ! Je t’autorise à te toucher les mamelles en commençant par les lacets de cuir pour terminer par tes bouts ! »

    Je m’exécute : je constate que les lacets de cuir me rentrent profondément dans la peau tellement ils sont serrés, et en continuant, je sens mes seins gonflés comme des ballons d'enfants, et, à ma grande surprise en arrivant sur mes bouts je constate que j’ai deux anneaux et en tâtonnant très doucement, je sens que les anneaux passent dans mes tétons qu'elle a donc du percer alors que réellement je n’ai rien senti. 

     

    Malgré le bâillon, mon visage doit laisser voir ma réaction d’étonnement : « Tu vois que je ne suis pas une Maîtresse sado, sinon, je t’aurais percé les bouts sans t’anesthésier ! Mais pour moi, une soumise doit être annelée des nichons, et en plus, ces anneaux sont gravés : « J’appartiens à Corinne », mais pour ta vie privée, rassure toi, ils se posent et s'enlèvent comme des boucles d’oreille, il se peut même que ton mari aiment tes anneaux, mais, par contre, si nous devons nous revoir, il faudra les porter en ma présence »

    Chapitre 11

    C

    En riant encore de ma réaction, elle s’éloigne de moi et j’entends le pianote ment distinctif de ses doigts sur le clavier.

    « Eh bien ma chérie, tu as du succès, tu as des réponses à ta demande d’emploi par dizaines ! Je vais être obligée de faire un tri ! Mais, on verra ça plus tard. Pour le moment, connais-tu la croix de Saint André ? Fais oui ou non de la tête »

    J’approuve en hochant la tête.

    « Et tu l’as déjà essayée ? Et, si oui, combien de fois ? Réponds moi par autant de mouvements de tête »

    Je réponds cinq fois oui, mais chaque fois que je hoche la tête, le gode vient chatouiller ma gorge et me donne envie de vomir, et je reprends vite ma position avec la tête redressée en arrière.

     

    « Très bien, tu n’es donc pas une novice, mais je pense avoir inventé mieux que cette croix, car en l’utilisant je n’ai pas un accès franc à toute les parties du corps de mes putes, je me suis donc fait fabriquer un petit appareillage très simple, tu vas vite en juger : quand je te le dirai tu te mettras à genoux, assise sur tes talons »

    Elle s’active devant moi et à son ordre, je me mets à genoux. Elle m’attache séparément chaque genou avec des bracelets molletonnés puis elle me soulève les pieds pour enlever mes chaussures et fixer à chaque cheville ce même type d’attache avant de terminer en m’ordonnant de lever les mains pour y fixer deux autres bracelets identiques.

     

    « Tu vois, ainsi attachée par les genoux, les pieds que je peux écarter à ma guise et les mains en l’air, tu es plus accessible que sur une croix. Là je vais utiliser une poulie électrique pour lever en même temps les six bracelets jusqu’à ce que tu sois à la bonne hauteur »

    J’entends un petit moteur et les six attaches se tendent et se lèvent simulta-nément, bien sur la tension sur mes mains est la plus forte, mais les autres attaches m’aident à supporter le poids de mon corps qui ne touche plus le sol.

    Le moteur s’arrête, je ne sais pas du tout comment je suis, je sais seulement que je suis écartelée et étirée vers le haut.

    « Voilà, tu es à environ un mètre du sol, et toutes les parties de ton corps sont accessibles : je vais commencer par te mettre des petits capteurs, comme chez le cardiologue, pour vérifier ton pouls : je ne voudrais pas que tu me fasses une crise cardiaque en jouissant trop fort vieille cochonne ! »

     

    Je ne peux même pas me débattre : elle en pose quatre sur mes seins, deux juste à côté de mes tétons, deux sur mon cou, deux sous les aisselles et à ma grande surprise, deux sous chaque pied.

    « Voilà, tu as tes quatorze capteurs, c’est parfait, mais il faut aussi penser à ton plaisir ! Je vais mettre sous toi une machine à baiser à deux têtes. Je suppose que tu te doutes de ce que vont fouiller les godes que j’y fixerai ! »

    J’entends un bruit de roulettes sous moi, mais je ne sens rien pour le moment.

     

    « Pour me laisser le temps de choisir les godes qui te conviendront le mieux, je vais finir de m’occuper de tes mamelles de vache : je suppose que tu sais ce qu’est une machine à traire ? »

    Je fais oui de la tête, je n’y ai été soumise qu’une fois mais je garde un très mauvais souvenir de cette séance.

    « Comme chez moi, tout est fait sur mesure, il y a deux machines en une : les grosses suceurs sont adaptés à tous les seins, ils vont te compresser les mamelles en ôtant l’air, et les relâcher en laissant l'air revenir : ce qui fera une succion très forte, tandis que les deux petits trayeurs vont faire pareil avec l'air que les gros, mais ils vont te traire les bouts jusqu’à que tes pis donnent du lait ! Ton fils a 16 ans et toi 34, ça fait donc 18 ans que tu n’es plus pleine, mais tu verras, cette machine va te traire comme toutes les autres putes qui sont passées entre mes mains : j’en boirai un peu et le reste ira dans mon musée secret dans un flacon avec une étiquette mentionnant la date, ta véritable identité et ton âge ! »

     

    Elle me retire les anneaux avant de poser les petits trayeurs de tétons, elle se contente d’en chasser l’air pour qu’ils restent comme greffés à mes tétons.

    Avant de recommencer l’opération avec mes seins entiers, elle me dit : "Je vais te libérer la base des seins, les gros suceurs seront plus opérationnels sur des nichons allongés en poire que ronds et durcis par le manque d'air, tu vois devant toi tout le matériel qu'il me faut, mais ne t’inquiète pas, même si cette séance va durer au moins une heure, le plaisir de tes nichons, ajouté au niveau du lait qui montera dans les récipients que tu pourras voir, mais surtout le travail commun des deux godes qui vont te défoncer inlassable-ment à vitesse rapide tes trous de pute, tu vas te régaler, ma salope pleine de vice, je parie sur six orgasmes en une heure dont au moins deux uniquement du à ton cul de putain"

    « Parfait, il me faut à présent choisir tes godes, mais je pense qu’à ton âge, tu es bien ouverte, alors je vais prendre les plus gros, un avec des picots pour ton con et un autre lisse pour ton trou du cul de salope. Je pense que tu es suffisamment trempée pour t’éviter la honte de te vaseliner les orifices tu ne crois pas ? »

    Timidement je fais oui de la tête, bien que mon anus ne soit pas trempé.

    J'entends des bruits métalliques, elle doit faire des essais pour s’assurer que les godes choisis sont les bons, et, je suppose qu'elle visse les élus sur les pas de vis de la machine à baiser, en vérifiant qu'ils soient  bien en face de mes trous largement ouverts par ma position.

    Suite dans "Petits jeux entre amies 2"


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