• Ma vie explose 6/6 (fin)

    Ma vie explose 6/6

    @ Fin des travaux pratiques

    # 33 - Quatre dominas vicieuses en 1h, j'ai du mal à suivre ! (2/2) 

    • "Voilà tu es libre, reste à poil et en sortant de notre chambre, tu vas vers la gauche et tu frappes à la troisième porte. Tu vas avoir une bonne surprise avec des copines qui sont très sympas, sauf peut être avec une aussi bonne soumise que toi !"

    J'enfile mon manteau, et sors de la chambre.

    Je frappe deux coups à la porte indiquée, et une voix de fille me crie d'entrer !

    Me revoilà replongée dans un univers féminin, mais la différence est que j'entre dans un salon qui doit être équipé d'une cabine de voyeurs ! Une immense glace, probablement sans tain, recouvre tout le côté droit de la pièce et je connais bien ce type de glace qui renvoie le reflet de tout ce qui se passe dans la chambre-salon et qui permet à des anonymes de mater et de se branler, combien sont-ils ? Je n'en ai bien sur aucune idée !

    Je leur demande si je peux avoir quelque chose à boire.

    Elles acquiescent et je me jette goulûment sur une Vichy St Yorre non entamée et fraîche. Un vrai plaisir : j'ai tellement soif qu'en trois longues gorgées, j'en avale la moitié !

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    Les filles, une brune et une blonde, démarrent aussi sans préliminaires : gode boule et bondage corporel bien soigné !

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    Puis c'est un léchage d'orteils dépassant d'un soulier fermé et des tirages violents de mes cheveux pour bien me voir me tortiller sur le sol avec mon bondage très contraignant.

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    Avant de me relever et de me poser avec un plaisir évident, en voyant ma grimace, deux pinces bien dures aux tétons reliées par une chaînette.

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    Elles me mettent à genoux devant un canapé pour lécher la chatte de la brune qui est trempée alors que la blonde me frappe le cul avec un paddle, jusqu'à ce qu'il me brûle. Chacun de ses coups, trop forts, me fait très mal et, surtout, m'oblige à remuer tout le corps, y compris mes seins lestés qui pendouillent sous moi !

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    La blonde remplace la brune, mais elle se met en levrette et m'offre son anus à sucer et à lécher, ce que je fais avec plaisir et goût, car elle a un cul très appétissant !

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    Nous passons dans la partie chambre de ce salon, et elles me posent un écarteur de pieds, en y attachant mes pieds et mes chevilles ensemble aux deux extrémités.

    Je ne peux être plus ouverte et offert ! Elles se sont équipées toutes les deux de godes- ceintures et la blonde rentre le sien en entier dans ma bouche et me pilonne de suite, alors que la brune a choisi de m'enculer au plus profond de moi.

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    Mais les deux femmes se rapprochent et malgré leur position peu commode, elles arrivent à glisser chacune un gode dans mon con et dans mon cul. Elle prennent visiblement un grand plaisir à cette double pénétration qui me rapproche de plus en plus d'un orgasme que je sens monter en moi !

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    Et il arrive quand la brune sort de mon cul et me met en levrette pour que la blonde puisse me niquer sans gêne en donnant des coups de reins très rapides et très puissants.

    Mon orgasme les fait sourire et ne m'attire aucun punition !

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    Elles terminent en me rentrant les deux godes dans la bouche et en m'obligeant à leur faire une pipe, à les lécher et à les sucer comme s'il s'agissait de pines !

    Sans enlever son gode de ma bouche, la blonde me demande :

    • "Chez Madame Cathy, tu as la réputation d'être une soumise très intelligente et très cérébrale, est-ce exact, réponds en remuant ta tête"

    Je fais oui de la tête.

    • "Alors ce qui va suivre va te plaire !"

    Elle prend son portable et appelle :

    • "Nous sommes avec l'esclave de Cathy, vous pouvez déverrouiller la porte s'il vous plaît ? Ok, Merci, beaucoup !"

    Son amie blonde lui dit que dès qu'elle sera attachée, elle s'en occupera.

    Je ne comprends pas très bien ce qui se passe, mais je le verrai bien !

    Elles me conduisent entièrement nue contre un mur équipé de fixations murales. En 2 mn, je suis bondée en croix, les mains en hauteur et les pieds largement écartés.

    La blonde s’éclipse et revient une minute plus tard avec 5 hommes et 4 femmes, je suppose que ce sont les voyeurs que étaient derrière derrière la vitre sans tain.

    • "Mesdames et Messieurs, est-ce que le spectacle vous a plu ?"

    La réponse semble positive car tout le monde répond oui en même temps !

    • "Juste pour le fun et vous pouvez simplement lever la main : combien d'entre-vous ont eu un orgasme pendant la prestation de notre belle salope obéissante ?"

    Les 5 hommes lèvent le doigt et à ma grande surprise 2 femmes aussi !

    • "C'est bien, mon amie et moi sommes très contentes, pour la séquence qui suit, vous pouvez prendre des photos ou filmer, mais attention, elle ne durera pas 10 mn !"

    La blonde sort un seau d'une armoire et vient le poser sur le sol entre mes cuisses alors que je vois tout le monde sortir de quoi filmer ou photographier.

    Je comprends avec une honte extrême ce que je vais devoir faire.

    • "La brune s'approche de moi et me dit à l'oreille, tu dois être un peu voyante, car ta soif en arrivant nous a évité de te forcer à boire ! Maintenant, tu as forcément envie de pisser, mais fais le lentement, offre à tes admirateurs le spectacle qu'ils méritent !"

    Elle demande à tout le monde de former un demi-cercle autour de moi et me dit :

    • "Belle salope bourgeoise et vicieuse, as-tu déjà pissé debout, tes cuisses de pute bien écartées devant autant de personnes ?"

    Incapable de répondre de vive voix, je fais non de la tête !

    • "Eh bien, nous sommes contentes de t'offrir ce scoop, que tu retrouveras surement sur le net dans les jours à venir ! Je rajouterai, Mesdames et Messieurs que cette jeune personne, dans sa vie normale, est cadre supérieur dans une très grosse Société !"
    • "Et comme chaque jour elle donne des ordres, je vais lui ordonner de pisser devant vous en vous regardant toutes et tous et en vous disant qui elle est en cet instant !"

    Je ne peux absolument pas me dérober, je pense à la réaction qu'aurait Cathy.

    Je détends ma vessie et commence à pisser devant tous les gens que je regarde un par un en leur avouant que je suis une salope, une esclave sexuelle qui aime être humiliée et que pisser devant eux est la plus grande humiliation que je n'ai jamais subie dans ma vie !

    Ils prennent des tonnes de photos ou de films, se rapprochent pour faire des gros plans et continuent alors que plus rien de tombe dans le seau.

    La brune vient vers moi, glisse deux doigts dans ma chatte, essuie les quelques gouttes restantes et me donne son doigt à nettoyer.

    Je connais l'odeur et le goût de ma pisse, et... c'est bien la mienne ! Mais je lui lèche soigneusement les deux doigts ! 

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    5 mn plus tard, je sors de la maison et entre de suite dans la voiture, sans dire un mot à Max, je sors mes lingettes, mon eau et mes serviettes, et j'essaye de lui cacher mes larmes.

    Il comprend que je ne suis pas bien et démarre de suite sans me poser une seule question ! Merci, Max.

    # 34 - Un sado me note 18/20 pour mon endurance !

    Quand il s'arrête devant une maison très mal éclairée dans une rue sombre, je n'ai pas trop confiance. Max descend avec moi, il attend que je dise mon Sésame, la porte du jardin s'ouvre automatiquement et quelques lampes illuminent l'allée qui mène au perron.

    Un homme d'une cinquantaine d'années m'attend sur le perron et me salue en me disant :

    • "Je comprends pourquoi mon amie Cathy, t'a envoyée, tu n'es plus une jeunette, mais je préfère les esclaves aguerries, car elles sont, en principe, maso et endurante. Je te préviens de suite que je suis très dur, exigeant et je suis sado avec les femmes consentantes. Je suis au courant de tes tabous et je les respecterai, mais si ça ne te convient pas, tu peux partir, tu as l'autorisation de Cathy et je l'appellerai devant toi pour la prévenir que je ne t'en veux pas du tout"

    Ma réponse est très claire :

    • "Je vous remercie de me prévenir, Monsieur, il est vrai que je préfère la soumission cérébrale à la soumission physique, mais vous connaissez mes tabous, et vous promettez de les respecter. D'autre part, Madame Cathy m'a envoyée chez vous, car elle sait que je serai à la hauteur de vos envies, et si elle était sure que je sortirai estropiée ou amputée d'une visite chez vous, il est certain que je ne serai pas là !"
    • "Hum, en plus d'être bandante, tu m'as l'air très intelligente, alors suis moi, nous descendons dans ma cave, je suis sur que tu vas passer un très bon moment !'

    Sitôt arrivés dans sa cave super bien équipée, visiblement par l'excellent bricoleur que doit être ce Monsieur, je suis priée de me mettre à poil. Il ne me quitte pas des yeux et confirme que j'ai les nichons adéquats à ses désirs et que je suis plus que bandante !Ma vie explose (5)

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    Je me retrouve avec le haut couvert d'une blouse mauve, épaules nues, les yeux bandés et un bâillon écarteur de bouche en cuir qui me fait de suite baver.

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    En ce qui concerne le bas, une double corde va de mon dos à mon ventre en rentrant profondément et cruellement entre mes lèvres vaginales et dans la raie de mon cul.

    Elle est retenue par un double passage autour de ma taille et retombe devant moi.

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    La blouse tombe vite et il finit de me bonder les seins, les coudes et les poignets, ce qui m'interdit tout mouvement. Il teste mes réactions en me piquant avec une pointe de bois l'aréole de mon sein gauche, pour constater que je ne peux que gigoter et me débattre dans mes cordages mais sans pouvoir esquisser le moindre mouvement de défense.

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    Il me mate longuement comme ça en me testant de temps à autre avec sa pique en bois, et finalement, lassé par la position de sa poupée télécommandée, il me détache partiellement pour me bonder assise sur le sol, la tête redressée par une planche oblique. Il tire sur deux cordes attachées au plafond, qui se terminent par des pinces en acier qu'il pose sur mes tétons, en lâchant les cordes, mes tétons sont brusquement étirés vers le haut et j'hurle de douleur en faisant une affreuse grimace ! 

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    A son avis, la tension des pinces est la bonne, et il ne s'occupe plus de mes seins, mais se penche sur mon bas ventre bien ouvert par mes cuisses suspendues et largement écartées, ce qui lui offre l'entrée de mon con et de mon cul, béants.

    Il commence son introspection en me doigtant le con et en constatant sans surprise que je suis déjà trempée, et va chercher deux accessoires posés sur une table voisine : un pieu de bonne taille qu'il me plante dans le cul jusqu'à ce que je lui hurle d'arrêter, car j'ai peur qu'il me perfore les intestins.

    Il stoppe mon enculage et prend l'autre instrument qui est en fait un pieu de bois de la même taille que celui de mon cul, avec un vibro extérieur scotché au dessus.

    Il enfonce le pieu dans mon vagin et le vibro se trouve juste à la bonne hauteur pour accéder à mon clitoris !

    Il actionne les deux pieux de ses deux mains pendant que le vibro branché sur une vitesse élevée fait son travail tout seul sur mon vibro.

    Il éclate de rire quand je jouis une première fois, mais active encore plus vite les pieux et met le vibro à sa vitesse maximum. Ce qui déclenche un long spasme qui parcourt tout mon corps qui gigote en essayant, en vain, d'échapper à cette torture !

    Mais plus je bouge dans mes liens et plus je me fais mal, et finalement, j'abandonne et gémis comme une petite chienne jusqu'à ce que mon deuxième orgasme m'achève et que je tombe dans les pommes.

    Probablement inquiet, il arrête tout et me libère partiellement.

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    Quand je reviens sur terre, je constate que ma gorge est mouillée, il a du me donner à boire, et je sens qu'il a rafraîchi mon visage. Je suis attachée, debout contre un poteau de bois, toujours bondée comme un saucisson.

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    Je ne me suis pas en forme, mais il n'a pas l'air préoccupé et il me pose aux seins des écraseurs de tétons qui ne pincent que les chairs des tétons et me font hurler de douleur.

    Immobilisée dans cette position, il passe le reste de son temps à explorer tout mon corps de ses deux mains : il me pelote, me bat, me gifle, me presse tout ce qui lui tombe sous la main. Avec une prédilection pour mon visage qu'il prend plaisir à déformer, avant de l'abandonner pour reprendre ses gifles phénoménales sur le côté de mes seins pour faire danser les pinces dans tous les sens !

    Je suis sauvée par les trois coups de téléphone, et sagement, il me détache, enlève toutes mes contraintes, me redonne à boire, m'aide à me chausser et à remettre mon manteau.

    Nous remontons vers la sortie, et juste avant d'ouvrir la porte, il me glisse un billet dans la poche en me disant :

    • "Ca reste entre nous, mais tu le mérites bien, j'ai rarement eu une esclave aussi résistante que toi !"
    • "Merci, Monsieur, vous êtes très gentil, vous aimez faire souffrir, je ne vous en veux absolument pas, j'ai personnellement beaucoup d'autres défauts bien plus graves ! Mais j'avais une question à vous poser, puis-je ?"
    • "Mais bien sur Loréna, je t'écoute !"
    • "J'ai l'intention de créer une mazmorra dans une cave inutilisée, pourrais-je vous contacter pour m'aider et peut être construire des éléments sur mesure que j'ai dans la tête mais que je sais pas comment faire fabriquer, en toute discrétion ?"
    • "Una mazmorra ? C'est un donjon en Espagnol, Lorena tu parles Espagnol?"
    • "Oui je suis Andalouse d'origine et l'Espagnol est ma langue natale que je n'ai jamais oubliée ! Vous aussi ?"
    • "Non, mais j'ai vécu 10 ans à Aranjuez que tu dois connaître ?"
    • "Oui, bien sur, au sud de Madrid, mais son Concerto l'a rendue très célèbre !"
    • "En effet, donc tu veux de l'aide pour mettre au point une mazmorra efficace ? Bien sur que je peux et que je veux t'aider ! Quand tu veux !"
    • "Merci, Monsieur, j'en parlerai à Madame, et elle prendra contact avec vous, car nous devrions être associées dans ce projet !"
    • "Cathy, Loréna et moi, c'est un rêve, vous allez avoir le plus beau donjon du monde !"
    • "Entendu, Cathy vous donnera sa décision ! A bientôt surement !"

    Il m'embrasse, ouvre la porte et me laisse filer !

    Max m'attendait prêt à frapper à la porte, ayant peur d'un pépin !

    • "Non, rien de tout ça, on a papoté un peu tous les deux en copains !"

    Je monte à côté de lui et il démarre.

    • "Je vais un peu transgresser mes consignes, Loré, mais je te conduis à ton antépénultième client, je te dévoile cette vérité malgré mes ordres, pour que tu saches qu'il ne te reste qu'une trente de défis et tu auras fini !"
    • "Merci Max, je suis très contente et je vais me donner à fond malgré ma fatigue car ma libido est à son maximum, et je ne veux pas qu'elle retombe avant notre séance finale !"

    Nous rions tous les deux, et pendant qu'il roule, en faisant quelques acrobaties j'arrive à nous servir deux coupes de champagne et nous trinquons en nous envoyant des piques et en riant. Notre séance de fin de soirée s'annonce belle et super excitante. 

    # 35 - Séance de photos chez un voyeur amateur d'esclave !

    Mon rendez-vous suivant nous entraîne dans un quartier proche de l'Allier.

    Je suis bien accueillie par un homme d'une quarantaine sympa sans être mignon, bardé d'appareils photos en bandoulière. D'entrée de jeu il m'annonce la couleur :

    • "Bonsoir Loréna, j'étais impatient que tu arrives, mais tu es juste à l'heure et je t'en remercie, je veux simplement te dire que je suis un collectionneur de photos de soumises et que je revends mes photos à des périodiques ou à des sites web, ce qui me permet de bien rémunérer mes modèles. Mes clients sont au Canada, et, donc en posant visage découvert, tu as très peu de risque que les Issoiriens te reconnaissent ! Mais tu mettras une perruque, je ne veux pas prendre de risque, on y va ?"
    • "Merci de m'avoir prévenue, Monsieur, je vous suis !"

    Nous descendons dans sa cave équipée comme un donjon. Je me mets nue sans qu'il ne me le demande et après m'avoir vêtue et préparée pour la première photo, il commence son shooting qui promet d'être long, car pour chaque pose, il prend une dizaine de clichés en changeant au moins trois fois d'appareils.

    • "Rassure toi, c'est simplement pour m'assurer que j'aurai la meilleure image de toi, dès qu'une photo est vendue, je la garde et détruis les autres !"

    J'apprends donc, au passage, comment travaille un photographe professionnel de porno hard, et c'est bien instructif pour ma culture bdsm !

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    Cliché 1 > allongée habillée et souriante sur un tapis avec une belle perruque blonde...

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    Cliché 2 > debout, nue, en talons hauts, visage caché par ce qui reste de ma robe, nichons bondés très serrés et mains derrière la tête...

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    Cliché 3 > allongée sur le ventre, cuisses, jambes et pieds bondés avec soin et gros plan de ma chatte et de mon cul meurtris par une double corde très contraignante...

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    Cliché 4  > gros plan de mes nichons bondés comme des ballons...

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    Cliché 5 > même pose, mais de plus loin, il me demande de mimer la peur et la douleur, il me mitraille jusqu'à ce que je lui offre ma plus belle grimace de soumise torturée...

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    Cliché 6 > nécessite beaucoup de mise en scène, la position n'est pas facile ni à réaliser, ni, pour moi, à supporter, il fait tout pour aller vite...

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    Cliché 7 > il met ses appareils sur pieds avec des prises de vue automatiques, car il a besoin de sa main droite, pour, dit-il me remercier d'être un si bon modèle, et le vibro qu'il tient et avec lequel il me branle n'a d'autre fonction que de m'envoyer en l'air, et je jouis comme j'en ai l'habitude, ce qui le ravit et lui permet, avec un autre appareil de figer pour l'éternité mon visage en plein orgasme...

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    Cliché 8 > gros plan d'une figure compliquée, elle aussi assez longue à mettre en scène, bâillon de bouche, corde dure me tirant la tête vers le haut, avec les pieds bondés, quasiment à hauteur du visage...

    Il propose une pose, que j'accepte, m'offre une de ses cigarettes, des Gitanes filtres,  pas trop mon style, mais je prends pour profiter de ce temps d'arrêt... 

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    Cliché 9  > encore une pose très inventive : bondée couchée, mains attachées à deux poteaux latéraux, cul largement ouvert avec mes pieds bondés très haut...

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    Cliché 10 > le sens du détail ! Gros plan d'une main bondée serrée...

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    Cliché 11 > encore un gros plan : juste de mes pieds et de mes chevilles bondées, debout sur un billot de bois, avec juste mes orteils posés sur le bois...

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    Cliché 12 > de dos, plan allant de ma tête au ras de mes fesses, avec un bondage très sophistiqué : mains posées sur le haut des fesses, coudes reliés à une corde tendue par un crochet de plafond et bondage de mes nichons qui débordent à droite et à gauche...

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    Cliché 12 > torture d'une narine avec une baguette de bois. Il me précise qu'il na la vendra pas, mais qu'il la gardera en souvenir pour bien se rappeler de moi !

    Il me libère de mes liens, récupère sa perruque et m'aide à remettre mon manteau.

    Nous remontons, et au salon, il y a une bouteille de champagne dans un seau rempli de glaçons, qui ont eu le temps de fondre en une demi-heure, mais qui est à bonne température : bien frappé ! Nous trinquons et nous nous accordons une petite pose avant que le téléphone ne sonne trois fois !

    Il m'accompagne dans l'entrée, me fait une grosse bise sur la joue et m'assure que je pourrai rapidement voir sa sélection de mes meilleurs clichés qu'il enverra de suite à Cathy.

    Je rejoins Max à l'avant. Je lui fais un gros bisou sur la joue et il démarre.

    • "Nous étions à 13, à combien passe ton compteur ma jouisseuse préférée ?"
    • "Oups, je ne me rappelle plus où ce 13 me ramenait !"
    • "Il me semble que tu as dit, après le cheval nous sommes à 13 ?"
    • "Ah oui, je me rappelle, donc pour les deux fois deux dominas il faut en rajouter 3+1, pour le sado : 2 et pour le gentil photographe : 1 seul mais superbe !'
    • "Donc, si je compte bien, ça nous en fait 20 ! Waouh, quelle santé ! Beaucoup de professionnelles auraient rendu leur tablier bien avant !"
    • "C'est l'avantage d'être une non pro !"

    Il sourit et conduit le plus rapidement possible alors que le jour pointe sa lueur à l'horizon.

    • "Ton avant dernier client est un cliente. C'est une sud-coréenne très jeune et splendide, mais elle ne parle que l'Anglais. Ton Sésame est donc "Hello, I am the slave chosen by Mistress Cathy for you". C'est une héritière très riche mais adorée par toute la communauté asiatique d'Issoire qu'elle aide facilement. Bien que personne ne connaisse ses goûts de domina de bourgeoises-vicieuses. Un peu comme toi ! Le décor va te changer des caves et des donjons ! Tu vas basculer dans le raffinement et le luxe, ce qui t'est plus familier !"
    • "Tu sais, Max, s'il est vrai que je suis une bourgeoise vicieuse et salope qui aime se donner à qui me veut ou à ceux que Madame choisit pour moi, je vis très simplement et ce que j'aime le plus c'est le nombre de très bons amis que j'ai"
    • "Particulièrement Cathy, et les fêtes que nous faisons, que ce soit avec du caviar et un traiteur pour nous servir, qu'autour d'une table chez Mario pour manger ses pizzas avec les doigts et des tongs aux pieds ! Je ne suis pas une femme compliquée et je gère sans problème mes 3 ou 4 vies différentes !"
    • "Je n'en doute pas tu es suffisamment intelligente pour ça, ton mari a beaucoup de chance !"
    • "Oh, oui, il le sait, mais c'est moi qui ai la chance de l'avoir, il est au courant de toute ma vie secrète et ça booste sa libido ! Et il me le prouve régulièrement ! Il sait que je l'ai dans la peau et que jamais je ne le quitterai !'
    • "Mais si toutefois ça t'arrivait, mets moi en tête sur ta liste d'attente, je crois que tu es la femme idéale de tout homme normalement constitué !"
    • "Il te faudra patienter, peut être à 80 ans pour finir ma vie avec ta tendresse et ta galanterie !"

    Il rit sans répondre et se gare devant un très bel immeuble que je connais, car j'avais voulu y acheter un F2 pour mon travail de pute, mais les prix étaient, alors, inaccessibles pour moi ! Il faudra peut être que je revois ce dossier !

    # 36 - Hello, I'am the slave chosen by Mistress Cathy for you !

    Il m'accompagne au digicode extérieur et appuie sur un bouton correspondant à "Miss Corée". Une voix douce me dit "Yes ?" Je donne mon Sésame et elle répond :

    • "Welcome Loréna, I’ll open the post, take the elevator, 10th floor the door will be open"
    • (Bienvenue Loréna, je t'ouvre la poste, prends l'ascenseur, 10ème étage la porte sera ouverte)

    Max me laisse et j'appuie sur le 10ème dans l'ascenseur.

    La porte est ouverte, elle est en effet magnifique : des cheveux très longs, un visage de poupée avec ses jolis yeux bridés, elle m'attendait car elle a les seins nus avec des aréoles bien rondes et foncées, elle porte un cache sexe en dentelle super sexy duquel dépasse un porte-jarretelles qui maintient deux bas noirs de toute beauté finissant sur des escarpins de grande marque. Un vrai bonbon comme on dit en Espagne !

    Elle me sourit et me tend une très belle voilette de dentelle noire finement travaillée.

    Je n'ai pas besoin d'explications pour la poser sur ma tête et couvrir symboliquement mes yeux : c'est plus une décoration très raffinée qu'un bandeau aveuglant !

    Elle s'efface pour me laisser entrer et me guide gentiment vers son salon, visiblement désigné, blanc, gris avec quelques touches d'orange : il est magnifique. Elle s'assied sur une table en verre et me fait signe de m'agenouiller et d'approcher ma bouche de sa chatte bien ouverte.

    Mais que dire sur cette séance ?

    Un photographe professionnel est là pour prendre des photos.

    Je suis sure qu'elles se passent de commentaires, je vous les livre donc, brutes, sorties de son appareil de pro !

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    Quel plaisir d'être dominée de cette manière ! Si vous voulez jouer au jeu des 4 vérités (et non des 4 erreurs !), je vous laisse deviner les numéros des photos qui prouvent mes orgasmes puissants mais discrets, comme ceux de ma domina, pratiquement secrets et insoupçonnables, mais qu'une pute aussi rompue que moi n'a pas ratés ! 

    Quand le téléphone sonne, elle me libère de mes liens et me dit :

    • "You’re an extraordinary fucking, thank you for the pleasure you’ve given me, and I hope you’ve enjoyed it, you fully"
    • (Tu es une putain extraordinaire, merci pour le plaisir que tu m'as donné, et j'espère que tu as bien joui, tu le mérites pleinement)

    En fouillant mes souvenirs d'Anglais, je ne trouve qu'une réflexion, qu'après coup, je trouve très banale !

    • "Thank you, Mistress and I hope to see you again soon"
    • (Je vous remercie, Maîtresse et j'espère avoir la joie de vous revoir bientôt)

     Elle me sourit, me caresse la joue et me donne mon manteau.

    Quelques minutes plus tard je m'assieds à l'arrière de la voiture et dis à Max :

    • "Tu sais, de temps en temps je suis très heureuse de mon job de pute, tu peux rajouter 4 à ta comptabilité. Je vais me reposer un peu et rêver de ce que je viens de vivre, avant de me consacrer à ma dernière passe obligatoire"
    • "La suivante ne sera que pour le plaisir, les remerciements et une baise attendue et désirée par les deux partenaires !"
    • "Un petit problème, ma chère Loré, tu ne connais pas mes tendances sexuelles !"
    • "Oh, oui, je le sais bien : tu es maso ? Je t'arracherai la peau du dos et te ferai jouir avec mes talons ! Tu es sado ? J'abandonnerai tous mes tabous et tu feras ce que tu veux de moi ! Tu es cérébral ? Je serai la plus obéissante esclave de la terre et répondrai oui à toutes tes envies ! Tu n'aimes que baiser ? J'ai trois trous de pute qui sont ouverts et béants pour t'accueillir ! Tu es voyeur ? Appelle tes copains et convoque les, ils joueront avec moi et toi tu te régaleras de me mater et de me photographier !"

    Il sourit et démarre pour me conduire à mon dernier client.

    Je m’affale dans mon fauteuil de cuir et ferme les yeux pour revivre cette séance extraordinaire avec cette si belle Coréenne !

    # 37 - Yves et Cathy ne pouvait pas oublier ma cérébralité !

    Nous ne roulons pas longtemps et Max s'arrête devant une petite maisonnette, mignonne et très fleurie. Je donne mon Sésame en Français et un homme d'une quarantaine d'années m'ouvre : il porte des lunettes, a les cheveux un peu dégarnis, son sourire me paraît être un peu de circonstance, il porte une chemise vert pastel, un pantalon noir et des chaussures noires, bref un homme banal comme en voit des milliers.

    Mais ce qu'il me dit dans le hall n'a rien de banal !

    • "Sais-tu pourquoi ta Maîtresse m'a choisi ?"
    • "Je n'en ai aucune idée, Monsieur, mais Madame Cathy n'improvise jamais !"
    • "Tu as raison, en fait je ne domine que des esclaves cérébrales, j'aime humilier par mes mots, mes actes et mes ordres. Si je te fais mal, c'est parce que ça doit t'humilier et augmenter ton envie de jouir. Chez-moi, tout passe par le cerveau, et forcément arrive en son temps à ma pine ! Tu ne sauras jamais combien de putes j'ai mises à la porte, en perdant de l'argent, car elles voulaient être bondées et baisées ! Si tu veux t'en aller, et en accord avec ta propriétaire, tu peux partir, personne ne t'en voudra !"

    Je souris avant de lui répondre :

    • "Je crois que Madame me connaît par coeur, et bien mieux que mon mari ou que moi-même ! Si elle a choisi cette séance, c'est qu'elle sait que je peux l'assumer, et que je vous donnerai du plaisir, car mon plaisir égoïste et personnel ne compte pas !"
    • "Bien répondu, Loréna, laisse ton manteau et tes souliers dans le salon, et suis moi, nous montons dans mon grenier, seule pièce de la maison où je me sens le Maître !"

    Il me fait passer devant pour, probablement, mieux me mater, et nous arrivons dans sa pièce de prédilection. Il n'y a pas grand chose à part un immense écran de télévision devant lequel il doit se branler en regardant des films d'humiliations de femmes, un fauteuil, probablement le sien, une cage minuscule dans laquelle j'aurais du mal à entrer, un lampadaire et une armoire qui doit renfermer tout ce qu'il faut pour humilier.

    Il l'ouvre et en revient avec une robe verte chamarrée, des bas dim up noirs, des escarpins très élégants avec deux boucles de fermeture sur les chevilles, et je ne vois aucun sous vêtements.

    Il me demande de m'habiller devant lui, je commence par les bas, en m'asseyant par terre et en faisant attention de les enfiler sans les filer ! Puis je me relève et mets les escarpins que j'attache à mes chevilles, et enfin, j'enfile la robe verte que je n'aime pas du tout.

    Au passage je remarque quatre caméras disposées en hauteur aux quatre coins du grenier.

    Il allume sa télé et je nous vois sur l'écran, en deux mots il m'explique :

    • "J'ai un ami dans l'appartement qui gère les caméras, tu ne perdras aucun de tes gestes ni de tes gros plans qu'il jugera excitants !"

    Il s'assied dans son fauteuil et me demande de m'agenouiller devant lui mains posées sur mes genoux.

    • "Puisque tu es cérébrale, à partir de cet instant, tu es une chienne mais rien qu'une chienne vicieuse en chaleur. Je fais ce que je veux de toi, je n'exige pas de "Merci Maître" car je préfère lire tes réactions sur ton visage, plutôt qu'entendre des paroles de bdsm de pacotille. Je me suis clairement exprimé Putain-Loré ?"
    • "Oui, Monsieur j'ai parfaitement compris !"

     Ma vie explose (5) en cours 276

    Il me demande de m'asseoir sur sa droite et baisse ma robe pour dévoiler entièrement mes nichons nus. Il fait un aller retour vers son armoire et revient avec des pinces métalliques reliées par une chaînette. Il me les pose aux tétons sans mordre sur la chair de mes seins.

    Je grimace de douleur et il constate :

    • "Tu vois c'est inutile de parler, je sais que tu as mal et que tu es humiliée par tes beaux nibards en souffrance que tu pourrais facilement enlever car je ne t'ai pas attaché les mains dans le dos, c'est toi même qui a croisé tes mains derrière toi comme une bonne salope obéissante !'

     Ma vie explose (5) en cours 277

    Je sais qu'il a raison, j'ai croisé moi même mes bras et mes mains dans le dos, probablement pour m'interdire toute envie de les enlever pour me soulager !

    Cet homme est un vrai cérébral, et malgré le peu de désir qu'il m'inspire, je ne peux pas m'empêcher de mouiller et d'être impatiente de savoir ce qui va m'arriver !

    Il relie la chaînette à son fauteuil, et ma seule réaction est de baisser les yeux sans bouger ! 

     Ma vie explose (5) en cours 278 

    De retour de son armoire, il se rassied dans son fauteuil et me tend une cuillère pleine d'une bouillie qui ne m'inspire pas vraiment confiance, mais il me rassure :

    • "Mange, putain, je ne vais pas t'empoisonner, tu me donnes trop de plaisir !"

    Je finis par prendre dans ma bouche ce qu'il me donne, et après avoir avalé, je ne sais toujours pas ce que je viens d'ingurgiter ! Mais ça a un sale goût ! 

     Ma vie explose (5) en cours 279 

    Il m'enlève les pinces, passe derrière moi et se décide à m'attacher les poignets dans le dos, avec un bout de bois et beaucoup de corde, beaucoup trop serrée, et me demande de l'attendre, debout et cuisses légèrement écartées.

    Ce que je m'applique à bien faire pour lui donner son plaisir d'être obéi à la lettre par sa pute cérébrale télécommandée, car chez moi aussi, c'est le cerveau qui dirige tout !

     Ma vie explose (5) en cours 280

    Il revient avec une assiette pleine de nourriture que je n'arrive même pas à reconnaître et la pose devant moi en me disant d'une manière naturelle :

    • "J"ai un peu raté ma recette, tu serais gentille de t'accroupir et de pisser dans cette assiette, ce sera meilleur et mieux assaisonné !"

     Ma vie explose (5) en cours 281

    Je suis sure d'être rouge tomate quand je me redresse après avoir pissé le moins possible dans l'assiette. Il me fait m'agenouiller et pousse le plat sur ma gauche, je le regarde ce coup-ci avec un profond dégoût, bien visible sur mon visage !

     Ma vie explose (5) en cours 282

    Mais l'homme se moque totalement de mes mimiques de douleur ou de dégoût. Il s'agenouille à mon côté, plonge sa main dans la salade mixte qui est dans l'assiette,

    Il prend même la peine de remuer tout le contenu avec sa main droite pour harmoniser le goût et l'assaisonnement, ce dont je me serais bien passé !

    De sa main gauche, il pèse sur ma tête et quand mon menton touche la nourriture, que je ne vois pas, car j'ai fermé les yeux ! Il commence à me faire manger dans sa main.

    Il prend son temps, son objectif est simple ; je dois finir l'assiette !

    Il y parvient, malgré ma mauvaise grâce et ma honte immense et il vérifie que j'avale bien tout ce qu'il m'a imposé dans la bouche.

    Je suis au bord de la nausée, mais je me retiens de vomir !

     Ma vie explose (5) en cours 283

    • "Tu sais ce que font les chiennes après manger ?"
    • "Non, Monsieur, je suis désolée, je ne le sais pas !"
    • "Elles se mettent à quatre pattes et agitent leur cul de contentement en aboyant !"
    • "Oooooooh, Monsieur pas ça je vous en supplie !"
    • "Entendu, tu préfères que je te sorte pour que tu lèves la patte et pisse comme la vraie chienne rassasiée et en chaleur que tu es ?"

    Il passe derrière moi, me libère les mains. Vaincue, je me mets à quatre pattes devant lui, bouge frénétiquement mes fesses dans tous les sens et aboie à chaque mouvement du cul, ce qui semble le satisfaire, sa main me caresse les cheveux comme il le ferait à une bonne chienne-chienne qui a bien travaillé !

     Ma vie explose (5) en cours 284

    Il remarque qu'il y a quelques restes dans l'assiette et m'ordonne de les ramasser avec ma main droite et de m'en badigeonner le haut des bas, les seins et le bas ventre, sans oublier ma moule qui n'a certainement pas besoin de ce magma pour être trempée et gluante !

    J'ai vraiment peur de vomir, mais j'obéis, estimant qu'il ne faut pas que je me rebelle maintenant, car le temps joue pour moi !

    Il profite que ma main badigeonne mon bas ventre et mon sexe pour me dire :

    • "Laisse ta main droite, là où elle est, elle est très bien, branle toi lentement pendant que décore tes beaux nichons !"

     Ma vie explose (5)  285

    Il prépare à l'ancienne, deux ventouses :

     Ma vie explose (5) en cours 286

    Dans lesquelles il insère, devant moi, un morceau de papier imbibé d'alcool à brûler qu'il enflamme avant de me les poser sur les tétons, une par une.

    Heureusement la flamme s'éteint quand tout l'air est consommé, ce qui procure immédiatement une succion atroce de mes tétons !

    Il me laisse tranquille un instant pendant que je souffre terriblement des bouts de mamelles !

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    Je gémis doucement de douleur comme une vraie petite chienne qui souffre ! Ce qui le fait éclater de rire et commenter :

    • "Oh, pauvre petite chienne, elle a mal à ses bouts de mamelles ! Rassure toi salope immonde, tes tétons ne vont pas brûler ! Mais ils vont s'étirer de 4 ou 5 fois leur taille réelle et là, tu pourras hurler de douleur si tu le veux et je comprendrai pourquoi !"

    Et il me demande de m'asseoir dans son fauteuil en écartant largement les cuisses pour ne rien lui cacher du beau spectacle que je vais lui offrir comme final !

    En m'asseyant dans le fauteuil du Maître je ne retiens de son discours que le mot final et je soupire, en sachant que ces humiliations extrêmes et ces tortures, certes excitantes, mais pas prévues dans son introduction allaient enfin cesser !

    Je lui montre mon con sans aucune gêne en ouvrant largement le compas de mes cuisses 

     Ma vie explose (5) en cours 288

    Mais j'hurle de douleur quand il prépare rapidement et me pose une troisième ventouse sur mon petit clitoris si sensible.

    • "Arrête de te lamenter, sale petite chienne vicieuse, c'est le moment de te donner une belle récompense pour le plaisir que tu m'as offert !"

    Et, d'une main sure et habile, il pose la tête de son mini vibro, dont j'ai déjà éprouvé les effets dans la soirée.

    Je sais parfaitement qu'il peut me faire jouir le nombre de fois qu'il veut, avec ce vibro pointé sur mon petit bouton, mes tétons allongés outrancièrement par les deux ventouses et les lèvres vaginales déformées par ce foutu pot de yaourt d'avant guerre !

    • "Dis moi, ma pute-bourgeoise qui aurait du rester dans son monde et n'ouvrir son cul qu'à son mari ! Tu veux jouir combien de fois : une, deux, trois, quatre fois ou plus ? Moi j'ai tout mon temps ! On peut aussi attendre la sonnerie du téléphone comme ça et te laisser enchaîner toi-même tes jouissances ! Je suis sur que tu adores plus que tout quand tu t'envoies en l'air et que tu ne peux rien faire pour échapper à tes orgasmes. N'est-ce pas très humiliant de se voir obligée de jouir sous les yeux d'un homme, même si tu n'en as pas envie, tu ne trouves pas ?"

    Décidément cet homme connait par coeur les esclaves cérébrales, et je décide de faire confiance à Max, et d'enchaîner les orgasmes en me décontractant et en restant zen, en subissant le premier et en attendant le ou les autres !

    Il me voit me détendre et sait quel choix j'ai fait !

    Il ne bouge pas sa main droite d'un millimètre, j'ai peur qu'il me fasse saigner le clitoris, et , impassible, il se contente de compter en attendant que le téléphone sonne !

    • "Un... Deux... Trois... Bravo continue pétasse, je plains ton prochain client à qui tu vas refuser ton corps, il ne pourra que se vider les couilles dans ton cul ou dans ta bouche !"

     Ma vie explose (5) en cours 289

    Il compte 4 quand le téléphone sonne.

    Il me dit, en fait, très admiratif :

    • "Sais-tu belle putain que tu es la première à atteindre les 4 orgasmes, aucune pute n'y est jamais arrivée depuis que je pratique cette humiliation suprême de contrôler moi-même leurs jouissances en les privant de leur choix ! Mais il faut vite te détacher, je dois te passer un onguent sur le clito et les tétons, sinon tu vas souffrir 48 heures !"

    Il me détache, m'enlève les ventouses, revient avec un onguent probablement de grand'mère de son armoire et me le passe soigneusement sur tous mes endroits meurtris.

    Et il est exact qu'au fur et à mesure je souffre moins !

    Mais nous sommes très en retard et on fait toc-toc à la porte.

    • "Je dis à l'homme : c'est Max, dites lui que je suis aux wcs et que j'arrive dans 5 minutes, il sera rassuré, faites vite !"

    Je l'entends dire à Max :

    • "Elle arrive de suite, une envie pressante, elle vient de rentrer aux wcs, elle arrive de suite, rassurez-vous tout s'est très bien passé !"
    • "Je vous fais confiance, Monsieur, mais si elle n'est pas là dans 5 minutes, je dois appeler sa Maîtresse ! J'attends dehors"

    Et la porte se referme, l'homme court pour revenir vers moi, il termine très professionnellement ses soins, me passe un liquide pour diluer l'onguent, et me rassure :

    • "C'est bon, j'ai eu le temps de te soigner, dans 10 minutes tu ne sentiras plus rien, heureusement pour toi et pour moi ! Cathy serait capable de m’émasculer !"

    J'enfile mon manteau et mes chaussures et en descendant de son grenier je lui réponds :

    • "Non, Cathy a une confiance totale en moi et j'aurais pris ce retard sur mes épaules ! J'adore quand elle me punit de ses mains !"
    • 'Tu es une sacrée salope, Loréna, je n'ai jamais vu ça, merci et peut être à un autre jour, ce qui m'étonnerait beaucoup connaissant Cathy !"

    Une petite bise et je rejoins Max qui m'ouvre la portière arrière !

    • "Pardon Max, mais je n'en pouvais plus, toute la nuit sans évacuer, j'ai cru que j'allais devoir faire sur moi et comme je déteste la scato, je n'en avais pas du tout envie !"

    Il rit et m'avoue que nous sommes deux à détester ça !

    Il démarre, il fait jour, je lui demande l'heure et il me répond qu'il est un peu moins de 8h.

    # 38 - Loré et Max en tête à tête !

    •  "Mon cher Max, avant que tu me conduises dans un endroit que je ne connais pas, mais où je suis d'accord pour t'accompagner, ai-je droit à un caprice ?"
    • "Mais oui, Loré, tu as le droit à tous les caprices que tu veux, ils sont tous acceptés d'avance !"
    •  "Hum, je peux donc être très capricieuse ! Je commence tout de suite avec mon premier ! Si, sur le trajet, tu pouvais t'arrêter 5mn pour que je puisse m'acheter une petite robe pour être un peu plus décente ? J'en serais très heureuse !"
    • "Demande, hélas refusée ! Mais tu as, à ta droite, un petit coffre de cuir, ouvre-le et tu y trouveras trois robes à ta taille, tu n'as plus qu'à choisir, en remerciant Madame Cathy pour cette gentille attention !"

    J'ouvre le coffre, regarde mes trois robes, superbes, et j'en choisis une un peu au hasard, j'enlève mon manteau et je l'enfile avec un gloussement de plaisir de ne plus être habillée en putain !

    •  "Oh, que c'est bon de changer de peau, je me sens toute neuve et toute vierge ! Mon deuxième souhait est que, si ton trajet te fais passer devant un café sympa, avec une bonne machine à triple-expressos, une terrase pour pouvoir fumer et un bon croissant au beurre, croustillant et tiède, j'aimerais m'y arrêter pour terminer de renaître !"
    • "Pas de problème, j'en ai un en vue, nous y serons dans trois minutes !"
    •  "Je suis au paradis, mes troisième et quatrième vœux sont que tu ne sois ni maso, ni sado ?"
    • "Ca tombe bien, je ne suis ni l'un ni l'autre !"
    •  "J'en suis ravie ! Mon cinquième désir, est un peu plus compliqué : compte tenu que tu es canon, je suppose que tu n'es pas en peine pour trouver des filles à baiser, mais j'aimerais ne pas être pour toi un coup en passant, est-ce possible ?"
    • "C'est sur, quand on la chance de tomber sur une femme comme toi, je n'ai pas l'intention de te traiter comme un bon coup que je suis sur que tu es ! Tu mérites beaucoup mieux que ça ! Rassure-toi ! Mais tu continueras à table car nous sommes arrivés !"

    Devant les regards étonnés de quelques clients attablés en terrasse, il gare la limousine, descend, m'ouvre la portière et je descends en me sentant déshabillée du regard par tous les hommes, et peut être enviée par les femmes présentes.

    Il me dit de choisir ma table et entre dans le bar, certainement pour passer commande, quand il revient, il s'assied face à moi en me disant que cette robe me va très bien !

    •  "Tu sais bien que Madame Cathy ne se trompe jamais, et, en plus elle sait ce que j'aime ! Je suis toute de même très étonnée qu'elle ait pensé à ce genre de détail !"
    • "Tu ne savais pas que Cathy était voyante ? Et, que, durant son temps libre, elle prédit l'avenir de ses clients !"

    Nous rions de bon coeur de cette fake-news originale ! Pendant que le serveur nous porte sa commande.

     Ma vie explose (5) en cours 290

    J'ai droit à un super triple-expresso dans une grande tasse à moitié remplie, une assiette avec deux croissants et deux chocolatines (ou deux petits pains au chocolat pour ne pas contredire 50% des Français) et il m'offre une Royale Menthol tout en allumant sa Gitane Internationale !

    Je mange de bon coeur, mais me contente d'un croissant chaud et croustillant à souhait. Il me propose de commander autre chose et je souris en lui demandant :

    •  "Je boirais bien un petit cognac, ça me fera du bien et ça me boostera !"
    • "Excellente idée, je vais t'accompagner !"

    Une deuxième cigarette et un peu de repos en dégustant ce délicieux moment !

    • "A présent que tu es celle que j'ai rencontrée il y a quelques heures, tu peux passer à la suite de tes caprices, je t'écoute !"
    •  "Exact, sauf erreur, j'en étais arrivée au sixième : si tu es un voyeur, probablement bien équipé en appareils photos ou en caméra, je n'ai rien contre le fait de jouer avec tes amis, pendant que tu me materas en accumulant des souvenirs pornos, mais les gang-bangs que j'ai subie cette nuit m'ont un peu lassée. Et si j'accepte cette hypothèse comme un plan B, j'aurais préféré une séance un peu plus intimiste, si c'est possible ?"
    • "Je ne vois pas pourquoi t'avoir attendue toute la nuit, à part pour mon travail pour Cathy,  je te prêterai à d'autres, alors que je peux profiter de toi et de tes envies ! Je suppose que tu te rappelles de ta dernière supposition dans ton listing de mes préférences sexuelles ?"

    Je lui souris en gagnant du temps en allumant une troisième cigarette, et je lui mens comme une sale gamine capricieuse :

    • "Oups, Max, je n'y ai pas fais attention et je ne m'en rappelle plus !"

    Il éclate de rire et me répond ironiquement :

    • "Pas grave, Loré, ça te reviendra ! Bon je vais régler et nous partons !"

    Je m'assieds à ses côtés. Et il me donne de suite des informations très personnelles :

    • "Tu vas découvrir mon antre secrète que personne ne connaît : il y a 5 ans j'ai hérité d'un oncle qui n'était pas bien riche, mais qui m'a légué son petit chalet à 5mn d'Issoire"
    • "Je comptais le vendre, mais en visitant ce qui était pour lui, un abri pour la pêche et la chasse qu'il adorait, j'ai préféré le garder"
    • "Et peu à peu je l'ai aménagé et équipé en maison secondaire, et je m'y réfugie souvent.
    • "Je dois te prévenir qu'il n'y pas d'accès voiture et qu'il faut marcher 500m pour y accéder, mais ça permet une solitude totale avec uniquement les bruits de la forêt !"
    • "Donc je pourrai crier sans gêner personne ?"
    • "Pourquoi devrais-tu crier, Loré ?"
    • "Oh, je ne sais pas, juste une intuition féminine, sans doute !"

    # 39 - Max conduit une esclave comme une limousine !

    Il conduit toujours aussi prudemment, et, très vite s'engage sur un petit chemin forestier, toutefois fois assez confortable pour la largeur de la voiture, et quelques centaines de mètres plus loin, il se gare sur un emplacement visiblement artificiel qu'il a du créer lui même.

    • "Nous sommes arrivés, tu te sens capable de terminer à pied ?"
    • "Plus que capable, je connaîtrais le coin je te défierai à la course !"

    Le sentier est agréable et parfaitement entretenu, au détour d'un petit talus je vois apparaître le petit chalet qui est mignon comme tout ! 

    • "Quel bel endroit, Max, tu as de la chance de l'avoir !"
    • "Je n'ai jamais regretté de ne pas l'avoir vendu !"
    • "Dis-moi, Loré, es-tu ici de ton plein gré ? Aimes-tu obéir et te donner à un homme ? Peux-tu  me confirmer que tout ceci est exact ? Si tu préfères, avant de commencer quoi que ce soit, je te fais un bon café et je te reconduis chez toi ?"
    • "Max, je suis contente d'être ici, c'est ce que j'espérais, tu sais que je suis une esclave sexuelle à qui tu peux tout demander, et je n'ai aucune envie ni d'un café ni d'être raccompagnée chez moi !"

    Il me prend dans ses bras et m'embrasse longuement sur la bouche, je réponds fougueusement à son baiser et il décide de commencer la séance en me conduisant devant un appentis de bois fermé par un cadenas, il ouvre la porte en regardant sa montre.

    "Pour commencer, il nous faut des tenues plus adaptées à l'endroit : pour toi des chaussures de marche, un short en jean et un débardeur blanc, je pense que tu n'as pas besoin de sous-vêtements ! Et, pour moi un jean et une chemise de bûcheron !"

    Nous nous habillons chacun de notre côté, et nous sommes vite prêts, il pose un grand sac noir près de nous.

    Il me contemple, debout, très peu vêtue et sort de son sac un bâillon ouvre-bouche en métal qu'il me pose sur la bouche en me demandant de bien le regarder dans les yeux. Puis, il descend le haut de mon débardeur pour mettre mes seins à l'air. Il ne peut que constater que je bande déjà des tétons. Il croise mes mains devant moi et les attachent avec un lacet de cuir très fin. Il me met à genoux et me contemple très longuement, en me disant :

    "C'est bien la position idéale pour une femme qui s'offre à son domino ?"

    Ne pouvant pas parler, je fais oui de la tête en essayant de lui sourire !

     Ma vie explose (5) en cours 291

    Il m’enlève l'écarteur de bouche qui me faisait très mal, et m'aide à me remettre debout.

    "Tu te doutes, Loré, que moi aussi, j'ai des fantasmes, dont un que je vais avoir plaisir à satisfaire sur une esclave aussi douée que toi : te bander les yeux, non pas pour cacher ton regard qui est splendide, mais pour que ne saches pas ce qui va t'arriver ! Aimes-tu ?"

    "Je n'aime pas ! J'adore ! Ca m'excite terriblement de ne pas savoir ce que tu vas me faire !"

    Il me détache et me rattache les mains dans le dos et me fixe un bandeau large sur les yeux, avant de fixer sur ma bouche un gode boule qui me fait se suite baver comme une cochonne, et il termine en me posant aux tétons des pinces en fer reliées par une chaînette très longue.

    Bien que je sois habituée, je pousse un petit cri plus de surprise que de douleur !

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    Et, en me tirant par la chaîne, il me propose une promenade autour de son chalet, non sans me signaler un obstacle, une marche ou un trou à éviter !

     Ma vie explose (5) en cours 294

    Après une longue balade, il me semble que nous remontons vers la maison, car un de mes tétons se frotte à une pierre, je suppose que c'est un mur ou un muret.

    Là, il me prouve qu'il connaît bien les femmes soumises, car il m'enlève les pinces quelques secondes et les remet exactement au même endroit, ce qui lui vaut mon premier hurlement de la séance !

    "Tu avais raison pour les cris, mais rassure toi, ça ne dérange personne et surtout pas moi !"

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    Il m'appuie complètement sur le mur de pierres, pose délicatement mon pied gauche en hauteur, pour que je sois bien ouverte et équilibrée, m'enlève le short tout en me laissant ce qu'il reste de mon débardeur autour de ma taille. Et, après une petite pause, je fais un bon qui choque mes pinces contre les pierres : il vient de me battre le cul très fort avec un paddle de bois vraiment très dur !

      "Si c'est trop fort dis le moi, Loré ?"

    Je me contente de faire non de la tête et il continue en changeant d'endroit à chaque fois, jusqu'à ce que mes fesses me brûlent !

     Ma vie explose (5) en cours 296

    Quand mes gémissements deviennent des cris, il me donne encore cinq coups et arrête. Toujours collée au mur dans la même position, mais avec le cul brûlant, j'entends des bruits d'étoffe, j'en conclue qu'il se déshabille partiellement ou totalement, et j'avoue dans ma tête avoir très hâte de sentir sa pine en moi, quel que soit le trou choisi !

    Quand je le sens fouiller ma chatte avec son gland bien dur et humide, j'en suis enchantée !

    Il me lime magnifiquement en sortant toute sa bite de moi et en la rentrant d'un seul coup dans mon con chaud et trempé ! Ma position lui permet de me pénétrer totalement, et il le sait bien, et il en profite pour me niquer par de grands coups de reins !

    Je passe une main derrière moi et je la pose sur sa bite gluante, et lui fais signe de continuer à me bourrer. Il se doute pourquoi, et, peu de temps après, il constate plus qu'il n'entend que je viens de jouir !

     Ma vie explose (5) en cours 297

    Il se retire, caresse mes cheveux et mes seins et me dit à l'oreille :

    "Je suis très fier de ce premier orgasme, j'espère que tu en auras beaucoup d'autres !"

    J'approuve de la tête, et il me change de position. Avec son aide je me retrouve couchée sur un table basse rectangulaire, il me demande de lever mes pieds et d'ouvrir le compas de mes cuisses et de mettre mes mains qu'ils menottent au dessus de ma tête !

    Je ne peux pas être plus offerte et ouverte, et il entre sa pine en moi, je sens ses couilles choquer mes fesses et il recommence à me tringler en y mettant encore plus d'ardeur et de coups de reins !

    Il remplit tellement bien mon con que je sens un autre plaisir monter en moi, alors que je viens à peine de m'envoyer en l'air en levrette !

     Ma vie explose (5) en cours 298

    Mais il abandonne mon vagin, dans lequel il était si bien, et rapproche sa pine de ma bouche, il me baisse le bâillon-gode et investit toute ma bouche avec son pieu qui a le goût de son avant-sperme et de mes sécrétions de femme en chaleur !

    Et alors que je ne m'y attendais pas du tout, il se vide les couilles dans ma bouche : de longs jets qui giclent sur mon palais et que je m'empresse d'emprisonner dans ma bouche en serrant le plus possible mes lèvres !

    Il est encore enfoncé dans ma bouche mais il me demande :

    "Tu aimes mon gout de foutre ma petite pute adorée ? Tu vas tout avaler ?"

    Incapable de répondre, je fais plusieurs fois oui de ma tête !

     Ma vie explose (5) en cours 299 

    Il me laisse nue sur la table et je sens une odeur de cigarettes, une brune et une blonde qu'il me glisse dans la bouche en me disant :

    "Tu peux baisser tes mains menottées, on fait une petite pose !"

    Il s'assied sur le rebord de la table et me demande en caressant doucement mes seins :

    • "Tout va bien Loré ? Tu es contente de ton nouveau Maître ?"

    Tout en tirant sur ma cigarette je lui réponds :

    • "Tu es exceptionnel, Max, j'ai rarement connu des dominants qui connaissent aussi bien les femmes soumises, si tous mes clients étaient comme toi, j'arrêterai de suite de travailler pour faire la pute 24h/24 ! Et, à la limite rien que pour le plaisir !"

    Il rit, et me répond :

    • "J'en suis très content, Loré, mais je savais que tu étais une soumise hors norme et j'avais la trouille de ne pas être à ta hauteur !"
    • "Tu devrais être plus sur de toi, tu es un excellent dominant ! Pour le moment !"
    • "Rassure-toi la suite arrive !"
    • "Hummmmm j'ai hâte !"

    Il se penche vers mon ventre, et me pose avec précaution deux pinces vaginales lestées de poids. Malgré mon cri de douleur, il me relève, me soulève comme si je ne pesais rien et entre sa bite dans mon cul et m'encule très rapidement et avec une grande amplitude qui font que mes pinces et mes poids de devant s'entrechoquent et font un bruit obscène !

     Ma vie explose (5) en cours 300

    Il s'arrête un instant, sort son engin de mon anus et me suspend par les menottes à une corde qui doit descendre du plafond. Dès que c'est fait et que je ne peux plus bouger que mon corps comme un ver, à chaque coup de reins, il retourne dans mon petit trou chaud et accueillant !

     Ma vie explose (5) en cours 301

    Il ressort de mon cul, me remets des pinces aux tétons, attachées à une double chaîne et il me caresse longuement en prenant soin de ne pas éviter ni le métal ni mes tétons et tire sur mes chaîne dans tous les sens en me faisant gémir de plaisir, pour terminer par des cris de douleur-plaisir qui le font s'arrêter !

    Je sens sa bite sur ma cuisse gauche et je fais tout pour m'y frotter !

     Ma vie explose (5) en cours 302 

    Il enlève mes pinces, se met derrière moi, me lève la cuisse gauche et me pénètre comme ça : debout tous les deux. Il me tringle en fausse levrette et me fait gémir de plaisir !

     Ma vie explose (5) en cours 303

    Mais, visiblement, il n'en peut plus. Il me détache du plafond, s'appuie sur le mur de pierre et m'aide à monter sur lui pour m'empaler sur son pieu que je sens encore plus dur et droit que la dernière fois ! Dans cette position, je peux l'aider et je donne des coups de ventre furieux en me baisant comme il me baise.

    Tout mon corps transpire, mais je sais que je vais jouir, et il le sent, il s'enfonce très loin dans mon ventre et me laisse me finir, en souriant de mes hurlements de femme comblée !

    Je le supplie de jouir en même temps que moi, mais, apparemment, il a prévu autre chose !

     Ma vie explose (5) en cours 304

    Et, en effet, quelques minutes plus tard, je suis à genoux devant lui et, il se branle à 5 centimètres de ma bouche.

    Il jouit en grognant : de longs jets qu'il dirige vers ma bouche grande ouverte, mais certains giclent sur mon visage et mes lèvres. De ma langue, je lèche tout ce foutre, avec un grand sourire et une satisfaction visible de lécher tout ce bon foutre en l'avalant lentement !

     Ma vie explose (5) en cours 305

    Max est le premier à émerger, il est rhabillé et prêt.

    • "Tu devrais aller te doucher et te préparer, malheureusement, toutes les belles choses ont une fin, et j'ai peur que nous ayons pris beaucoup de retard, ça va être dur à expliquer à Cathy !"
    • "Ne te fais pas de souci, je t'ai dit que c'était mon problème, mais tu as raison, je vais vite me doucher et nous y allons"

    Je me presse et 10 minutes plus tard, nous arrivons à la voiture.

    Max m'ouvre la portière et je l'en remercie.
    J'échange ma belle robe contre mon manteau de débauchée, je m'assieds à côté de lui et nous partons.

    J'allume deux cigarettes et lui tend la sienne, il mime une bise de sa bouche !

    # 40 - Adieu Max, bonjour Cathy et Yves !

    Curieusement, tout au long du trajet, nous n'avons pas grand chose à nous dire, car nous connaissons tous les deux les règles de Cathy et nous savons que nous ne nous reverrons jamais, sauf si je lui demande les services de Max pour une raison bien justifiée, mais je ne lui dis rien, pour ne pas lui donner un faux espoir !

    Nous sommes arrivés devant chez moi, Max m'ouvre une dernière fois la porte.

    Nous nous disons au-revoir sans nous toucher, Cathy peut très bien être à la fenêtre !

    Je regarde la voiture s'éloigner et me dirige vers le perron.

    Je n'ai pas les clés de la maison, mais je sais que la porte est ouverte, je la pousse lentement, et je passe devant notre chambre où je jette un coup d’œil curieux :

    Cathy et Yves dorment comme deux anges et je referme la porte en silence pour ne pas les réveiller.

     Ma vie explose (5) en cours 306

    A noter que je n'ai pas envie de représenter des êtres que j'aime, à poil dans un lit défait. Je n'ai aucune raison de les imaginer comme 2 gros paquets de viande sur un étal ! D'où, ma photo bizarrement romantique !

    Je vais jusque dans la chambre d'amis où je compte finir la nuit.

    Je vois de suite une feuille imprimée sur l'oreiller, je m'assieds et la lit, elle est de Cathy, mais signée Yves et Cathy.

    "Bonjour, Putain-Loré, tu dois finir ta nuit dans le salon, et prendre la pose exacte de la photo imprimée ci-dessous :

     Ma vie explose (5) en cours 307

    Je sais que tu devras faire un peu de gym et chauffer tes neurones pour t'auto-bonder comme ça, mais je suis sure que tu y arriveras, tu trouveras le matériel nécessaire sur le canapé, nous viendrons te réveiller quand ce sera l'heure - Yves et Cathy"

    Je ne sais trop que penser, mais je n'ai, encore une fois, pas le choix.

    Je vais dans le salon et je trouve en effet le bâillon gode et des cordes sur le canapé.

    Comme prédit par Cathy, j'ai beaucoup de mal à me bonder seule de cette manière mais au quatrième essai, j'y arrive, à base de nœuds coulants accrochés à mes chevilles attachées. J'essaye de trouver la position la moins incommode possible et je ferme les yeux, je crois que je me suis endormie immédiatement.

    # 41 - Un réveil improbable et mouvementé !

    Je suis réveillée par l'impression qu'une personne est au dessus de moi, et, en effet, Cathy est en train de me poser des pinces à seins reliées par une chaîne depuis le haut du canapé.

    Alors qu'Yves est à hauteur de mon anus, et sans se préoccuper de savoir si je suis lubrifiée ou non, il m'encule d'un grand coup de reins !

     Ma vie explose (5) en cours 308

    Cathy contourne le canapé et se rapproche de nous. Elle a un vibro externe en main et le pose sur mon sexe, alors qu'Yves continue de me démonter le cul !

     Ma vie explose (5) en cours 309

    Mais, elle s'interpose entre lui et moi et lui tend son cul. Il ne se fait pas inviter deux fois et change de cul pour mettre sa pine dans celui de Cathy, qui gémit de plaisir, alors que je sens battre ses nichons sur mes fesses !

     Ma vie explose (5) en cours 310

    Il se vide les couilles dans son cul et se retire. Cathy, m'enlève le bâillon boule, et les pinces à tétons et se met à genoux devant le canapé pour prendre gentiment ma chatte dans sa bouche et me faire une minette inoubliable qui me fait hurler de plaisir et quand je reviens à moi lui dire :

    "Oh, Madame, c'est le meilleur orgasme de toute ma soirée,du fond du coeur, merci, j'an avais tellement envie !"

     Ma vie explose (5) en cours 311

    Yves nous crie de la cuisine :

    • "Allez les filles, à la douche, le petit déjeuner est servi !"

    Et, la vie reprend... Mais mes aventures sont loin d'êtres finies ! 

    FIN

    Loré ce 17 juillet 2019   21h29


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