• Madrid 07

    Loré à Madrid tome 7

    Chapitre 174

    C’est donc eux qui font une pause en se restaurant et en buvant. Ce qui me frustre un peu et signifie surtout qu’ils n’en n’ont pas fini avec moi. Et, vu ce qui s’est passé, j’ai peur que la suite ne soit très pénible.

    Après une dizaine de minutes, Ils me rejoignent, toujours à poil, sur la terrasse et Yves me dit :

    « José a l’habitude des soumises résistantes. Alors, comme je lui ai promis une esclave parfaite. Je vais lui prouver que tu fais partie de cette race de putes. Essaye de ne pas me décevoir. Pour que tu ne saches pas ce qui va t'arriver, je te laisse ton bandeau et pour que tu ne puisses pas cacher tes gémissements et tes cris de douleur, je vais t’enlèver ton bâillon écarteur, mais si tu cries trop, je t’en mettrai un autre. Voilà, José elle est à toi, amuse-toi bien avec elle, moi je vais regarder en me branlant ! »

    Je pense que ce sont donc les mains de José qui me caressent délicatement les pieds, mais cette douceur ne dure pas longtemps. Je sens une horrible piqûre sous l’ongle du gros orteil, je me mords les lèvres pour ne pas hurler alors que la douleur continue et que je réalise qu'il est train de m'enfoncer une aiguille sous l'ongle.

    En sentant une deuxième piqûre sous un autre ongle, je réalise avec effroi qu'il va m'enfoncer une aiguille sous chaque ongle des orteils, et je sanglote en silence tout en essayant de me taire et de ne surtout pas protester : « Bravo, salope, tu es très courageuse et bien endurante : voyons si je peux aller plus loin ? ».

    La douleur se déplace mais se fait moins forte car il enfonce une aiguille entre mes orteils, il n'y a donc que huit emplacements et surtout plus de chair à piquer. Il prend son temps pour faire les deux pieds, quand il a fini, j’ai dix huit aiguilles dans les pieds. Je souffre le martyre mais fait tout pour me contenir en priant le ciel qu'il ne lui vienne pas à l'idée de m'obliger à marcher.

    D’une main, il remonte un peu ma jambe droite et il met mon pied à plat devant lui. Sans y être préparée, je reçois un premier coup sur la plante des pieds, je suppose de suite qu’il utilise un paddle et qu’il sait que cette partie du pied est la plus résistante.

    Il ne se gêne pas pour cingler de toutes ses forces la plante et le talon du pied, tout en diminuant la force de ses coups quand il châtie le dessous des orteils, ce qui fait réagir et bouger les aiguilles.

    Malgré la douleur atroce que je trouve un peu gratuite, il m’arrache des gémissements mais je réussis à me contenir en évitant de crier. Il change plusieurs fois de pied jusqu’à ce que les dessous me brûlent. Il se contente de me dire : « Hum, j’adore tes pieds rouges vifs et quand je pose la main dessus j’ai peur de me brûler, tu vas avoir un peu de mal à marcher pendant quelques heures ! »

    Yves rit et lui dit : « Ne te fais pas de souci, j’ai de quoi la soigner, de temps en temps je me laisse un peu aller et j’ai tout ce qu’il faut dans la salle de bains ! »

    José ne répond pas mais je constate qu’il a arrêté les coups, ce que j’apprécie en aspirant très fort. Quand j’entends un bruit de briquet, je pense que l’un d’eux a allumé une cigarette, mais quelques secondes après, je sens la flamme d’une bougie me lécher le dessous du pied gauche des orteils à la plante, je ne peux pas me retenir et j’hurle : « Nooooon pas ça je vous en supplie, Amo Mio »

    Chapitre 175

    José arrête : « Tu m'agaces, putain ! Tu t'annonces très résistante, mais au premier effort que je te demande, tu chiales comme une ado de 14 ans ! Tant pis pour toi ! »

    Comme promis il demande à Yves d'intervenir : il me met un bâillon boule sur lequel je suis obligée de serrer mes dents. « Je ne fais que tenir ma promesse, ma petite pute, tu aurais-du te taire » Aussitôt après, la flamme vient me lécher le dessous du pied droit. Je tords inutilement mon corps dans tous les sens, pleure à chaudes larmes, bave abondamment sur mon bâillon sans pouvoir échapper à cette punition qui s’assimile bel et bien à une torture. José insiste, change plusieurs fois de pied en prenant toutefois bien soin de ne pas me brûler.

    Il y a tout de même une odeur désagréable de chair chauffée sur la terrasse. Mais je prends sur moi de moins crier et José me félicite par un : « Bravo, putain docile, tu es tout de même assez résistante, et même franchement; je ne te croyais pas aussi forte ! »

    Je sens l’odeur caractéristique d’une bougie qu’on éteint. Je me sens soulagée, d’autant plus que deux mains m’enlèvent les poids des cheveux, me libèrent les pieds et les mains et m’aident à m’asseoir sur la table de salon, sans toutefois m’enlever le bâillon boule.

    Je sens, probablement José, passer derrière-moi, car j'ai l'impression que la suite de la séance est entre ses mains et qu'Yves ne participe que peu, il m’attache les deux mains en serrant très fort la corde avant de faire pareil avec les coudes, ce qui m’oblige à me redresser et à laisser pointer mes seins. Il m’aide alors à me mettre debout devant la table.

    Chapitre 176

    Quand mes pieds pleins d’aiguilles touchent le sol, j’ai peur de m’évanouir, mais il ne s’en préoccupe pas et avec le paddle il me zèbre le cul et me dit : « Allez belle pute, déambule dans le salon pour notre plaisir et apprécie ces aiguilles à leur juste titre en alternant bien des pas pieds à plat et d’autres sur la pointe des pieds : il faut savoir souffrir pour faire bander ton Amo ! »

    Il me laisse de très longues minutes marcher de long en large dans le salon, j’essaye de marcher le plus possible sur les talons, mais de temps en temps je dois me hisser sur la pointe des pieds ce qui me fait baver de douleur comme une forcenée en écrasant de toutes mes forces la boule de mon bâillon.

    José me récupère et me guide vers une chaise de la cuisine qui me rappelle de mauvais moments, pour, me dit-il me reposer un peu ! Ce dont je me méfie au plus haut point.

    Il me guide, me fait asseoir normalement sur la chaise : fesses sur l'assise, dos contre le dossier et pieds posés par terre devant la chaise et m’aide à glisser mes poignets et mes coudes bondés, dans mon dos, de l'autre côté du dossier de la chaise. J'ai le haut du corps immobilisé mais je suis assise et je peux donc soulager mes pieds.

    Je pense qu’il s’est assis face à moi, car il me soulève les pieds à tour de rôle et retire une à une les aiguilles en me soulageant à chaque retrait : « Tu vois, Yves, il n’y a pas eu une goutte de sang comme promis » « Oui, je vois que tu es un habitué. Bravo, José je me resservirai de ta technique ! »

    Quand il m’a enfin libérée de la torture des aiguilles, il me passe une corde à la taille pour que je fasse bien corps avec le dossier et m’encorde les deux chevilles aux pieds arrière de la chaise, ce qui m'ouvre obscènement les cuisses.

    Mais il délaisse ma chatte pourtant bien offerte, pour me caresser doucement les seins en effleurant mes bouts qui réagissent immédiatement en se durcissant.

    J’entends le bruit spécifique d’un spray qu’on agite, avec son bruit de bille d'acier qu'il a en lui, et je pense reconnaître celui dont Yves parlait à propos de mes plantes de pieds surchauffées par les coups. Il s’en sert, en effet, pour calmer les douleurs quand il s’est un peu trop excité sur moi et, un jour, il m’avait expliqué que c’était apaisant et en même temps anesthésique.

    Je suis en train de regretter que José ne l’ait pas utilisé avant de me truffer les pieds d'aiguilles quand je sens un nuage frais recouvrir mes seins de la base aux tétons. Je tremble un peu en ayant peur de son imagination qui a un peu viré au sado, mais, probablement, en attendant que le spray fasse son effet, José me caresse doucement les seins en jouant avec tendresse avec mes tétons, ce que je trouve très agréable et je l'en remercie : « Hum, merci Amo Mio pour vos caresses, elles m'excitent et me font du bien »

    Chapitre 177

    J'entends la caméra très proche de mes seins, et je ne suis pas étonnée, car Yves adore les filmer quand ils sont comme ça : gonflés par le désir avec les tétons bandés, avides de torture.

    José constate : « Tu es aussi bandante avec les nichons en poire qu'en pomme petite putain. Mais si je dois vider mes couilles dessus, je les préfère en poire ! »

    Il me pince fortement un téton et se rend compte que je n’ai pas de réaction, c’est donc que le spray a fait son effet.

    Ne craignant plus mes hurlements, il me retire le bâillon et essuie ma bave avec ses doigts en me les donnant à sucer pour les nettoyer.

    Il récupère alors sa main que je sens se poser sur un sein.

    Mais, il m'affolle en me disant : « Puisque la séance avec les aiguilles dans tes pieds a paru te plaire et t'exciter, je vais faire pareil avec tes nichons de pouffiasse qui aime qu'on lui torture ses mamelles de vaches ! »

    Je panique un peu, mais pour dire la vérité, je ne sens qu’une piqûre de moustique quand il enfonce la première aiguille dans le gras de mon sein gauche. Je me décontracte et constate que je n’ai rien d’autre à faire que de subir et de compter, il dispose huit aiguilles en rond autour de mon aréole gauche avant de faire la même chose au sein droit. Je ne peux pas dire que je souffre, je suis simplement gênée car ça me pique et m’étire un peu la peau, heureusement que j’ai les yeux bandés car je ne le vois pas sortir de leur écrin quatre aiguilles un peu plus grosses.

    Je sens ses doigts se positionner de chaque côté de mon sein gauche, il me pince brutalement le téton, ce qui me fait à peine sursauter, mais, en même temps qu'il le pinçait, il le perce avec une des aiguilles. Il répète trois fois le manège et je me retrouve avec deux aiguilles croisées dans chaque bout de seins.

    « Je parie que tu n’as rien senti, petite pute ? » « Quelques picotements, Amo Mio, rien de plus » « D’habitude, je le fais sans spray, mais comme c’est notre première rencontre, je voulais te ménager. Considère ça comme un entraînement ma salope ! » « Merci, Amo Mio » « Une autre fois tu me supplieras de ne pas utiliser de spray sale petite pute maso ! »

    Il me libère de tous mes liens et me fait mettre debout, en me disant : « Caresse toi doucement les nichons belle putain ! » Je me les touche et découvre petit à petit la forêt d'aiguilles qui y sont plantées, je suis surtout horrifiée par les quatre qui transpercent mes tétons en formant une croix : « Oooooh, vous m’avez perforée de partout, Amo Mio » « Et tu le regrettes ? » « Yves ne m’en avait jamais mis autant, Monsieur » « Eh bien, avec moi, tu sais ce qui t’attend dorénavant ! »

    Il me tend un soutien-gorge que j’enfile à l’aveugle. Avec la pression des bonnets, je commence à mieux sentir les aiguilles.

    Il me prend par la main et me dit : « Allez je vais laisser ton mari te faire oublier cette humiliation, petite pelote d'aiguilles sur pattes ! ».

    Il me guide jusqu’à Yves qui me fait m'asseoir sur ses genoux, me prend la main droite et la pose sur sa bite dure et raide. Je le branle avec grand plaisir alors que lui me pelote doucement les nichons à travers le soutien-gorge en m’arrachant des petits gémissements de plaisir.

    Chapitre 178

    « Hum, doucement avec ta main, putain, je ne veux pas jouir comme un ado ! » José lui avoue aussi qu'il n'en peut plus, lui aussi, et qu'il serait temps de conclure !

    « Oui, allons-y, José, je ne veux pas gicler bêtement dans sa main ! »

    Il me relève et me pousse vers la chambre, là, José m’enlève mon bandeau. Quand je recouvre ma vue normale, je vois les deux hommes nus, avec des bites d’âne, juste devant moi !

    Après avoir posé sa caméra sur son trépied, Yves se couche sur le dos, sur le lit qui a été débarrassé de tous les jouets, et en brandissant sa pine bien droite de sa main, il me dit :

    « Ma putain, viens m’enjamber, tête vers moi. Empale toi sur ma bite et colle bien tes nichons perforés sur ma poitrine » Je m’agenouille, glisse avec un gémissement de plaisir sa bite au fond de mon vagin et m’allonge sur lui en sentant de plus en plus les piqûres des aiguilles.

    José fait du bruit en se positionnant à genoux derrière moi, Yves relève un peu les genoux pour me soulever le ventre et le cul et José positionne son gland à l’entrée de mon anus, je souris en réalisant que les deux hommes veulent s'offrir une double pénétration avec moi, et je viens de gagner le pari qu'ils me baiseraient de cette manière durant la séance !

    José me le confirme « Tu vas rapprocher ton cul de ma pine, salope, je veux que ce soit toi qui pousse ton cul sur ma pine pour t’enculer toute seule, pendant que ton mari va te défoncer la connasse en appuyant bien son torse contre tes nichons pour que tu sentes bien l'impact de chaque aiguille ! »

    Yves m’aide comme il le peut, je pousse mon cul vers l’arrière sentant la bite de José forcer mon anus et glisser en moi, il rit : « Dans le hot dog tu es quoi putain ? » Je souris en lui répondant : « La saucisse ! »

    Nous rions tous les trois. Et ils me niquent en essayant de synchroniser leurs pénétrations. J’ai souvent eu une bite et un gode dans le corps, mais, d'avoir deux pines en moi est beaucoup plus rare et j'en suis surexcitée. J’en oublie même la douleur des aiguilles et aide les deux hommes à me niquer, du mieux que je peux, en bougeant mon cul au diapason.

    Chapitre 179

    Je sens que les hommes se retiennent, mais la situation est tellement excitante que je suis sure qu’ils ne vont pas tarder à jouir, pour faire durer un peu, José me demande d’enlever mon soutien gorge, ce que je fais en me contorsionnant avec beaucoup de difficulté et il dit à Yves :

    « Yves, enlève lui une des seize petites aiguilles qu'elle a autour de ses aréoles, tu es le mieux placé pour le faire »

    Il rapproche ses mains de mes seins, sans arrêter de me baiser, et enlève une aiguille du gras de mon sein gauche. Le spray ayant terminé ses effets, ça me fait très mal, mais je suis tellement bien baisée et enculée que j’en oublie la douleur.

    « Il te reste quinze petites aiguilles dans les nichons ma petite pute, quand ton mari enlèvera la dernière, nous nous viderons dans tes trous, et, exceptionnellement, tu auras le droit de t’envoyer en l’air ! Mais en attendant, tu vas compter à haute voix les aiguilles qu'il te restent dans les nichons, et sans compter les quatre que tu as dans les tétons »

    « Oooooh, oui, Amo Mio, il m'en reste quinze ! »

    « Bien mais n’oublie pas de bien jouer du bas ventre : tu as deux pines à régaler et pas une seule comme d'habitude ! Alors montre-nous que tu es une bonne niqueuse ! »

    Je suis de plus en plus chaude, j’égrène le nombre d’aiguilles qu’il me reste dans les seins et les coups de bites se font de plus en plus forts

    Quand j’en suis à une, je n’en peux plus et je sens que les hommes en sont au même point que moi. La pièce sent très fort la transpiration, vu que nous sommes tous les trois couverts d'une sueur dégoulinant de nos corps.

    Le triple orgasme qui suit l’enlèvement de la dernière aiguille est indescriptible. Je ne sais plus quelle bite aller chercher avec mon bas ventre, je me sens arrosée de partout alors que j’hurle sans contrainte mon plaisir qui me semble durer des heures. Yves, tendrement, ne me quitte pas des yeux pendant toute ma jouissance, il me sourit en me caressant doucement les cheveux et en me murmurant son amour alors qu’il sait parfaitement qu’un autre homme quasi inconnu se vide les couilles dans mes intestins. Quel époux fantastique !

    Chapitre 180

    José est le premier à se relever. Moi, je n'en peux plus, je m’écroule sur le côté, morte de fatigue, et Yves se relève avec difficulté. Mais José a une imagination décidément très fertile, car, à peine debout il me dit : « Petite pute maso, si je compte bien, il te reste les quatre aiguilles de tes bouts de mamelles, alors, je te propose un marché : soit tu les gardes une demi-heure, soit nous te les enlevons rapidement : une aiguille pour un nettoyage de pine et une autre pour boire notre pisse : que choisis-tu » « Hum, Amo Mio, décidément, je vais finir par adorer votre pisse ! Car sans tenir compte de mon épuisement : je vais choisir de nettoyer vos pines et de vous servir de chiottes ! »

    Yves et José rient, en disant quasiment en même temps : « J’en étais sur ! »

    Je commence par nettoyer la bite de José qui n’a pas un goût très agréable. J’hurle, car le spray ne me fait plus du tout d’effet, et les deux aiguilles qu’il m’enlève ont transpercé tout mon téton, il me laisse un peu de temps pour me remettre, et, comme il a débandé, il lui est facile de me pisser dans la bouche, suffisamment lentement pour que j'avale toute son urine en le remerciant d’un : « Hummmmmmm, merciiiiiiiiii, Amo Mio » sincère car je préfère boire sa pisse que nettoyer sa pine.

    A son tour, Yves me présente sa bite, il ne me reste que deux aiguilles dans les tétons : le lécher, le nettoyer et boire sa pisse sont pour moi un plaisir qui me fait presqu’atteindre l’orgasme, et je baise longuement son gland pour le remercier, alors que je n'ai pas pu voir l'échange de regard entre les deux hommes, Yves fait un à José ! Et c'est donc qui se charge d'enlever les deux dernières aiguilles en me faisant cruellement retomber sur terre. Au sens propre du terme car je tombe aux pieds d’Yves, au bord de l’évanouissement.

    Yves se précipite dans le salon, remplit un demi-verre de cognac, me le donne à respirer et à boire, et peu à peu je récupère mes couleurs. Il se contente de m’embrasser sur le front en disant à José : « Il nous faudra trouver un spray efficace plus longtemps si l’on veut continuer à utiliser des aiguilles » « Sois sans crainte, Yves, j’en connais un qui tient presqu’une demi-heure »

    Yves de nouveau très attentionné, me donne de suite l’autorisation d’aller prendre un bain, en me donnant rendez-vous dans une demi-heure au salon vêtue avec ce que José m’apportera dans la salle de bains.

    Chapitre 181 (4 heures du matin)

    Pendant que je me détends dans un bon bain chaud, les hommes reviennent au salon, se rhabillent, vont dans la cuisine et se font un copieux en-cas et reviennent dans le salon pour en profiter.

    « Tu sais, Yves, je trouve que ta commande au traiteur est une fabuleuse idée ! Tu te rends compte que depuis 20 heures nous n'avons pas arrêté de grignoter et de boire, et, ce, sans avoir aucune intendance ! C'est une super-idée, mais je reconnais là ton talent d'organisateur ! »

    « Tu es gentil, je trouve que quand nous sommes occupés sur un thème de soirée aussi pointu et que le moindre défaut peut altérer nous devons ne pas avoir me moindre souci, no dans l'intendance ni dans le matériel ! »

    « Bien raisonné, Yves, dis-moi, sur un sujet très différent : peux-tu me donner un défaut de Loré ? »

    Yves éclate de rire : « Un défaut ? Il va falloir que je me creuse ! Disons que son unique défaut est de ne pas m’avoir rencontré il y a quatorze ans ! » « Hahaha, bien répondu Yves ! Dis-moi, pour en revenir à la conversation la plus intellectuelle de la soirée, à propos de ses tsunamis, il va bientôt être 4 heures du matin et elle ne s’est envoyée que quatre fois en l’air. Je ne pense pas que ce soit intéressant de lui demander si ça lui convient, car nous sommes là pour imposer nos désirs et non l'inverse, mais, toi qui la connait par coeur, est-ce que tu penses que, pour le moment elle est comblée par cette forme de domination ? »

    « Oh quelle question difficile, je vais essayer d'y répondre : sur son attitude, le fait de revenir très vite à une séance dure même après une pause et son humour permanent, je peux te dire qu'elle semble ravie de sa soirée, et de toi en particulier. Quant à ses orgasmes, n'oublions pas que dans les quatre, il y a eu un premier tsunami qui valait combien d'orgasmes "normaux" ? Je ne sais pas ! Et je ne parle pas de son tsunami du cul ! Ni de notre triple orgasme simultané, disons qu'elle a eu la qualité et peut être pas la quantité. Pour la suite, je ne connais pas tes projets, mais je ne peux que te conseiller de lui appliquer par exemple deux heures de libido intense durant lesquelles tu pourrais la faire s'envoyer en l'air par exemple 10 fois, pour juger de ses qualités orgasmiques, de ses envies réelles de rejouir après un orgasme, et de la voir en situation, quasiment inverse au début de notre soirée, je ne sais pas ce que tu en penses ? »

    « Je trouve que c'est le meilleur conseil que tu pouvais me donner, toi qui la connait si bien. Je vais inverser la tendance et l'épuiser dans ces heures qui arrivent, en plus ça correspond très bien à la suite de l'aventure que j'avais prévue, c'est parfait, hum j'ai hâte de reprendre ! »

    « Je vais être franc, José ! Moi aussi j'ai hâte ! Cette soirée m'enchante totalement ! »

    « Moins que moi mon ami ! Moins que moi ! »

    Chapitre 182

    Yves reprend « J'ai envie d'un très bon café bien fort, pour faire passer tout cet alcool et éviter les petis signes d'endormissements normaux à cette heure fatale de la nuit, je vais te laisser mettre au point ton scénario et je vais faire une jarre de très bon café ! »

    José approuve et il accepte la proposition d'Yves de se doucher et de se changer pendant qu'Yves disparaissait dans la cuisine.

    Une dizaine de minutes plus tard, Yves revient dans le salon avec des tasses et une grosse cafetière de café odorant et visiblement, prêt à consommer.

    José est douché et changé, Yves lui dit qu'il a fait une toilette de chat dans la cuisine mais qu'avec notre pute nous n'étions jamais sales ! Et qu'il s'était rhabillé en vitesse.

    « Je suis passé près de la salle de bains, Loré y est toujours, je lui ai préparé une grande tasse que je vais lui porter avec une cigarette pour l'apaiser, je reviens de suite »

    « Tu as bien fait bien, elle le mérite, je nous en sers deux en t'attendant »

    Yves revient après m'avoir donné mon café et une cigarette. Et j'ai compris qu'il me restait 5 petites minutes avant de les rejoindre.

    Quant il a rejoint José il a eu ses félicitations : « Hum, ton café est délicieux ! » « Aucun mérite, c’est la machine et les cartouches qui fonctionnent bien ! Bon, j'ai donné 5 minutes à Loré pour nous rejoindre, qu’est ce que tu proposes pour la suite ? »

    Chapitre 183

    « J’ai une idée qui devrait te plaire, mais j’insiste pour que tu viennes avec nous » « Dis-moi toujours. Je te répondrai »

    « Je suis membre d’un club bdsm, quasiment de luxe et donc très bien fréquenté sur Madrid, j’y vais autant de fois que je veux avec ou sans soumise, et je peux y inviter un couple, dont l'un des deux est soumis, deux fois par mois. Loré et toi peuvent donc y entrer sans problème »

    « Ca peut être intéressant, et qu’y fait-on dans ce club ? »

    « Dans notre cas, il faut y inscrire Loré comme esclave. La confidentialité est garantie, car le club existe depuis 30 ans et parmi ses membres, il y a tous les dirigeants de la politique, de la police, de la gendarmerie et de l'armée ! »

    « Tu m'étonnes qu'elle ne risque rien ! Et il n'y a pas de concurrents ? » « Bien sur, beaucoup essaient, mais dès qu'ils prennent de l'ampleur, ils sont fermés pour proxénétisme hôtelier, même s'ils n'ont pas de chambres ! 10 ans de prison font réfléchir les autres, qui restent petits et discrets ! »

    « Voilà, un gros obstacle levé ! Et ensuite ? » « Une fois dans le club, elle sera présentée sur scène à tous les participants, et une partie de sa fiche d'inscription sera projetée sur des écrans géants et des tablettes à la disposition des clients. L'aspect gratuit du club est que tu peux échanger ta soumise avec une autre ou la prêter sans contrepartie. L’autre partie est payante : en fonction de sa présentation, elle peut avoir des demandes rémunérées pour des séances de trente minutes ou d’une heure dans des "mazmorras à thème" ("donjons à thèmes", avec spectateurs). Voilà, en le voyant, tu comprendras que c’est très chic, super protégé, totalement secret et que Loré ne risque absolument rien ! »

    « Ça a l’air bien, et tu dis que c’est donc très bien fréquenté ? » « L’adhésion annuelle coûte 10.000 euros, donc, je te laisse imaginer la qualité et l’éducation des membres et, même si un milliardaire se conduit mal, le service de sécurité intérieur le jettera dehors car la surveillance par caméras couvre 100% de l'établissement »

    Yves réfléchit un moment avant de lui répondre : « Allez banco, on y va, tu as raison, je verrai mieux sur place. De toutes les manières, si on peut y rentrer on peut aussi en ressortir si ça ne nous convient pas, je suppose ! »

    José répond en riant : « Oui bien sur, en théorie car je suis sur que ça vous plaira à tous les deux ! » « Et il faut s’habiller comment ? » « Je m’occupe de la tenue de Loré, pour nous des tenues sportswear seront parfaites » « OK, va t’occuper de Loré, et fouille dans ma garde-robe si tu as besoin de frinques, moi je vais m'habiller et préparer trois autres doubles expressos et trois coupes de champagne glacé, ça nous fera le plus grand bien ! »

    « Bonne idée. Car la soirée risque d’être longue ! »

    Chapitre 184

    José vient me voir dans la salle de bains, je finis de me sécher, il me dit : « Petite pute, nous allons sortir tous les trois et je dois t'habiller, viens avec moi dans ta chambre »

    Nous y retrouvons Yves qui s'habille après s'être douché rapidement dans l'autre salle de bains. José fouille dans mes armoires : « Et si tu lui faisais étrenner à l'extérieur la parure du Corté Inglès ? » « Oui, c'est ce que j'ai pensé, mais je cherche une robe sexy assortie »

    « José, tu peux très bien me mettre une robe noire, je n'ai pas besoin d'être déguisée en petit chaperon rouge pour être bandante ! »

    « Tu sais que ta femme a oublié d'être con, Yves ! Très bien, alors, pute maligne, propose moi des robes noires de soirées sous laquelle tu seras habillée tout en rouge ! » Je m'approche de l'armoire et lui tend un seule cintre : une robe noire longue, très décolletée avec une épaule nue cachant toute une épaule et en dévoilant une autre en même temps que quasiment tout un sein, et un bas de robe antisymétrique qui dévoile quasiment un genou et cache presque la cheville de l'autre jambe.

    José est ravi, il me dit : « Je vais me rafraîchir et m'habiller dans l'autre salle de bains puisque mes affaires y sont, quant à toi, la putain, habille toi un peu comme il y a quelques heures : parure du Corté Inglès, jambes nues, escarpins noirs orteils très visibles et ta belle robe noire, on se rejoint au salon pour prendre une tasse de café et prends ton temps, la nuit ne fait que commencer ! »

    En revenant, José trouve son café servi et dit à Yves :

    « Ah, j’ai oublié quelque chose d’important : tout ce qui se passe dans le club est enregistré en vidéo et tu repars avec le DVD de ta soumise » « Super ! Loré est prête ? »

    « Elle ne va pas tarder et va être divine ! » « Champagne ou Cognac, pour faire glisser ton café ? »

    « Hum, pas trop de mélange je vais rester au champagne Yves » Quand j'entre dans le salon, les hommes manquent de s’étouffer en me voyant !

    « Quelle beauté ! Tu m’as coupé le souffle, Loré ! » « Merci, José, mais si l’extérieur a peut être changé, l’intérieur est toujours le même, Amo Mio ! »

    Je remercie Yves pour les étoiles qu'il a dans les yeux et pour ce double expresso que je bois avec plaisir avec une coupe de champagne bien glacé.

    Chapitre 185

    José tourne autour de moi et me dit en souriant :

    « Dis moi ma petite pute, quand t'ai-je autorisée à prendre une initiative vestimentaire ? » « J'avoue que je m'en rappelle pas, Amo Mio, je pense pouvoir répondre jamais ! »

    « C'est bien ce que je pensais, et peux-tu m'expliquer salope de putain tricheuse, qu'est ce qui pend à tes oreilles de truie boueuse ? »

    « Ah, ça ? Amo Mio, c'est un cadeau que j'aime bien : deux petites paires de menottes, finement dorées, qui explicitent ma nature un peu plus vite que ma carte d'identité ? »

    « Car, en plus tu es fière de montrer à tout le monde que tu aimes l'esclavage, et puis-je savoir qui est l'auteur de cette plaisanterie exhibitionniste ? » « Hum, Amo Mio, c'est un amant très cher, mais aussi un Maître très doué, mais ça m'ennuie de vous donner son nom ! »

    Il s'approche de moi, me prend « méchamment » les pointes de seins libérées par mon soutien-gorge ouvert et fait semblant de me tordre les pointes, je joue le jeu en gémissant et en tordant mon corps, il me regarde avec des yeux faussement furieux et commence à me questionner :

    « Il te fait jouir toutes les fois qu'il te baise ? » « Oui, Amo Mio, au minimum deux fois par jour, sauf quand il veut me garder excitée ! »

    « Je suis sur que vicieux comme il est il te partage avec une Maîtresse ? » « C'est exact, Amo Mio ! »

    « Qui aimes-tu le plus des deux ? »

    « Si je perds ma Maîtresse, je ne dors pas pendant deux jours, si le perds lui, je meurs de suite ! »

    « Réponds-moi sale pute et ne me ment pas, son prénom commence par Y ! »

    « Ooooh, je suis trahie, ouiiiiii, Monsieur, c'est bien un Y ! »

    José éclate de rire : « C'est le plus beau bijou que je n'ai jamais vu de ma vie, bon, pour être un peu sérieux, j’ai commandé un taxi et il doit nous attendre en bas avec au moins 50 euros au compteur ! On y va les enfants ? »

    En passant devant José, je le gratifie d’un : « Oui, Papa » et cours vers Yves qui me protège des foudres de José et m'enveloppe d'un très beau châle de soirée, en soie noire et différents tons de gris. Je l'adore et il finit très bien de m'habiller, je lui baise la bouche comme une gamine amoureuse pour le remercier d'y avoir pensé, et c'est en riant que nous descendons pour rejoindre le taxi qui, heureusement n'est pas parti entretemps !

    Nous nous installons tous les trois derrière, José lui donne l’adresse du club en Français, mais doit la répêter en Espagnol, car le chauffeur n'a rien compris, et il démarre sans dire un mot.

    Nous rions tous les trois de la blague des boucles d'oreilles et José dit à Yves : « On peut parler tranquille en Français, il ne comprend pas. Mais Yves c'est ce que je pense : ces pendentifs sont magnifiques, je n'en avais jamais vu d'aussi réussis ! »

    Yves rit et lui rétorque « Ne bave pas dessus, j'ai du prendre un crédit, rien que pour payer les mensualités de l'assurance ! Tu sais que vivre avec une call girl, coute très cher, José ! » Nous éclatons de rire et je pose mes dernières conditions de la soirée « Mes hommes, je vous signale que si vous avez oublié votre pognon à l'appart, c'est l'un de vous deux qui paiera en nature, mais surement pas moi ! » Encore un gigantesque éclat de rire qui doit finir d'énerver le chauffeur et nous nous reposons un peu alors qu'il roule en nous annonçant que nous y serons dans 10 minutes.

    Chapitre 186

    Nous arrivons en effet, un petit quart d’heure après, dans un des quartiers les plus chics de Madrid, le taxi nous dépose devant ce qui ne ressemble pas du tout à un night-club !

    Nous descendons, le payons et nous dirigeons par une très belle allée qui descend vers une espèce de petit belvédère, qui nous dévoile en un coup d'oeil "Le Club"

    C'est en fait un très joli bâtiment en rez-de-chaussée, ultra-moderne et super-designé, entièrement construit en aluminium gris et noir, avec d'immenses baies vitrées noir fumée.

    Il est entouré d'un parc somptueux dont nous pouvons admirer les lumières, presque toutes cachées, sans pouvoir se risquer à les compter tellement il y en a.

    L'originalité de ce bâtiment est dans le fait qu'il n'y a aucun mur d'enceinte : il a été remplacé par un réseau de rayons lumineux qui doivent rendre ce faux mur tout à fait infranchissable même par une souris.

    Après un petit escalier qui permet de descendre du belvédère vers l'entrée du Club, le chemin d'accès devient plat, et s'enfonce pendant environ cinq mètres dans le parc paysagé, jusqu'à arriver à une espèce de place de village ultra moderne d'environ 20 mètres de diamètre. Le sol est en marbre blanc, la circonférence est bordée par un "banc" circulaire de 50 centimètres de hauteur en marbre noir. La place de village est sans ambiguité l'entrée du « Club Privé » avec son immense sculpture superbement éclairée représentant une très jolie femme, nue, mais qui, regard baissé, cache l'intégralité de son sexe et de ses seins, et tout à côté : sur une borne toujours en marbre, il y a (comme chez mon gynéco !) à environ 1,40 mètre du sol une plaque gravée : « Club Privé » et un terminal d'ordinateur avec un lecteur de cartes, un clavier numérique et une petite grille protégeant une sortie sonore.

    Cette architecture rarissime nous a scotché, et pas un d'entre nous n'a envie de faire une réflexion, sauf Yves qui, avec sa logique habituelle trouve que ce n'est pas très grand ! Il provoque le rire de José qui lui dit d'attendre un peu avant de juger !

    José glisse sa carte dans le lecteur, compose un simple code à quatre chiffres, une voix, avec une sensualité à vous hérisser le duvet des bras nous susurre : « Bienvenu, cher Monsieur José, vous nous avez manqué ces derniers temps, vos nouveaux amis sont adorables, nous attendions, pour le moment en vain, notre future "Miss Le Club" et nous sommes ravis de la voir enfin à notre porte, entrez »

    La porte du club s'ouvre silencieusement, José commente : « Quel programme informatique ! C'est fabuleux ! »

    Nous entrons dans un immense hall construit avec les mêmes matériaux que le bâtiment : aluminium bi-colore et verre sans tain, mais la différence est au niveau des lumières, qui branchées sur variateurs diffusent des couleurs et des intensités très variées.

    Une dame d’une cinquantaine d’années semble jaillir de l'ombre et nous accueille avec un grand sourire. Elle fait une bise à José : « Bonsoir, José, ça fait trop longtemps que je ne t’ai pas vu. Tu n’as pas de soucis au moins ? » « Aucun, Madame, mon seul problème est que j'ai beaucoup trop de travail ! » « Oh, comme je suis heureuse pour toi ! Il y a tellement de chômage en Espagne ! N'oublie pas que tu peux compter sur moi en cas de problème ! Mais je vois que tu me fais le plaisir de venir accompagné. Tu peux me présenter ? » « Bien sur, Madame : Yves un ami de travail et sa petite femme soumise très bien éduquée qui s'appelle Loréna » « Bienvenue à tous les deux, Loréna va avoir un succès fou ! Nous avons beaucoup de monde, et elle est d'ores et déjà la plus sexy de la soirée ! C’est le premier couple qui t'accompagne ce mois-ci donc ils peuvent entrer sans frais et ont le droit à une bouteille de champagne gratuite, mais tu sais que tu dois enregistrer sa charmante femme ? » « Oui, Madame, rassurez-vous, je connais bien les règles »

    L’accueil est cordial, et la réponse de José nous prouve que nous sommes en présence de la patronne, qu’apparemment il faut appeler « Madame » Je souris en moi-même, car malgré l'architecture fabuleuse, nous ne sommes que dans un bordel avec ses putes et sa maquerelle !

    Chapitre 187

    Elle nous fait signe et nous la suivons vers un des ilôts de 6 ascenseurs situés au milieu du hall.

    Un ascenseur est là nous montons dedans et Madame passe une carte magnétique et nous projette au 5ème sous sol, nous comprenons alors tous que le bâtiment est enterré ! Sacrée surprise !

    « Madame sourit de voir nos visages : je suis là depuis la construction de cet étonnant bâtiment, eh oui, il est entièrement souterrain, le rez-de-chaussée est quasiment toujours vide sauf en se transformant en salle de spectacle ou en immense salon de réception, les -1 et - 2 sont réservés au Club, les -3 et -4 aux donjons à thème. Les bureaux, les machineries et les serveurs d'informatique sont au niveau -5, et les -6, -7 et -8 sont des parkings. Le -6 ayant des doubles emplacements permettant de recevoir les voitures les plus luxueuses, type Ferrari, ou Rolls ou grosses américaines par exemple. Je souris toujours en racontant que nous avons pu caser la "beast big one" : la voiture blindée d'un président des Etats Unis, mais nous sommes persuadés que nous n'avons reçu que le vice-président ! L'ensemble ne produit pas un seul bruit, on n'y voit jamais personne, on n'y reconnaît personne, par contre, nous voyons arriver nos clients 10 minutes avant qu'ils ne valident leur carte !

    Chapitre 188

    José se fait le porte parole de tout de le monde : « Je t'avais dit Yves, que ça ne servait à rien de te décrire l'endroit, et qu'il fallait que tu le vois » « Exact et je suis très impressionné, je n'ai jamais vu ça : je te dis franchement que je préfère avoir les frais de gestion de notre bureau madrilène que ceux de ce monstre ! »

    Eclats de rire général avant d'arriver au bureau de Madame qui est aussi impressionnant que le reste : au moins 300 m², suréquipé en matériel high-tech, avec des murs entiers d'écrans de contrôle, je suis sure que 4 ou 5 personnes travaillent dans ce bureau quand Madame ne reçoit pas. Elle fait asseoir les hommes et me demande de rester debout à côté d’eux.

    Elle allume son ordinateur et ouvre une fiche d’inscription sur un gran écran de télé contrôle :

    « Bon, jeune femme, d'abord puis-je te tutoyer ? »

    « Bien sur, Madame »

    « Je vais te poser quelques questions pour créer ta fiche »

    « Bien, Madame »

    « Commençons par le physique »

    « Age ? » « 34 ans » « Taille ? » «1m65 » « Poids ? » « 54 kilos »

    « Taille de bonnets ? » « 90B » « Couleur des cheveux ? » « Bruns » « Couleur des yeux ? » « Marrons »

    « Puis des renseignements plus intimes »

    « Pseudo sous lequel tu veux être connue au club ? » « Loré » « Tes tabous sexuels ? » « Pas plus de trois hommes en même temps » « Tes tabous en bdsm ? » « Pas de sang et pas de scato » « Donc Uro et zoo acceptés ? » « Oui, Madame »

    « Et un essai de te classer dans une catégorie »

    « Dans quelles catégories penses-tu te situer : soumise cérébrale ou sexuelle ? » « Les deux Madame » « Esclave éduquée ou non ? » « Dernière phase d'éducation » « Esclave maso ou non ? » « Maso mais contre la douleur gratuite non excitante »

    « Dis-moi, José, tu as trouvé une perle ! » « Oui, je pense, Madame, sinon je ne vous l’aurais pas présentée »

    « Deux question faculatives »

    « Type et/ou origine ? » « Andalouse » « Téléphone de contact ? » José lui donne son portable.

    « Bien, pour finir, il y a deux photos obligatoires : la première : ton visage souriant en gros plan, la seconde habillée, en sous vêtements ou nue, mais debout, souriante et de profil »

    Yves lui propose sa collection de photos de moi sur son I'Pad, Madame accepte fait défiler mes photos et en sélectionne trois : 2 pour le fichier et 1 en réserve.

    « Voilà, les formalités sont terminées, ton CV, va très vite circuler sur les grands écrans du club et sur toutes les tablettes mises à disposition des membre.

    « Tu es inscrite. A ta sortie je te donnerai ta carte annuelle, ton enveloppe de gains de la soirée, et ton DVD de séances. Les soumises ne paient pas l'entrée ni la cotisation, mais elles n’ont aucun privilège. Donc, j’en suis désolée, tu ne pourras pas venir avec ton mari, sauf s’il s’inscrit ou est invité comme ce soir »

    « Je comprends, Madame » « José vous donnera toutes les règles du club, si Loréna est choisie pour des séances de mazmorra, vous verez apparaître sur votre tablette un lien pour m'appeler directement, pour que je vous donne quelques conseils avant d'accepter ou de refuser une mazmorra : je tiens à favoriser l'entrée de Loréna dans notre grande famille, et avant de vous faire accompagner, je préviens que Loréna, passera seule devant un bureau d'esthétisme qui jugera si son habillement pour sa présentation à l'agora du club est bien conforme à notre éthique. Et, en vous souhaitant une bonne soirée, je vous fais accompagner au Club »

    Chapitre 189

    Elle sonne et un employé aux épaules bien carrées apparaît : « Edouard, sois gentil d’amener nos amis au Club en passant par la commission des esthètes »

    « Bien, Madame, si vous voulez bien me suivre, Madame et Messieurs » Nous saluons Madame et suivons Edouard.

    Nous comprenons vite pourquoi nous avons besoin d’un accompagnant ! Nous allons d'abord dans l'ascenseur avec lequel nous remontons au -1. Edouard nous explique que lorsque nous reviendrons sans avoir de formalités à accomplir, notre parcours de l'entrée au Club sera fléché, mais que pour venir du Club aux bureaux, il nous faudra demander un guide !

    Dans un long couloir, José nous fait remarquer au passage que toutes les portes sont équipées d’une sécurité automatique. Yves comprend pourquoi ce club n’a jamais eu de problèmes en 30 ans !

    Nous arrivons à une dernière porte codée qui donne sur un petit hall : Edouard m'ouvre la porte de droite et me demande d'entrer seule, en me précisant que je rejoindrai mes amis au bar du Club, j'entre dans cette pière alors qu'Yves et José disparaissent, aspirés probablement par la grande agora du Club !

    Chapitre 190

    Le bureau dans lequel j'entre est très chaud, et sympathique, pas du tout dans l'esprit du bâtiment : murs aux beaux teints pastels, silhouettes de fer forgé en relief avec des éclairages internes, un très beau bureau en bois précieux, une femme et un homme souriants qui me montrent un beau fauteuil dans lequel je m'assieds. C'est la femme qui parle en premier :

    « Bonsoir Loréna et bienvenue au Club, nous sommes là pour juger de ta présentation devant nos membres dans l'agora. Notre Club a des règles qu'on pourrait résumer par l'exclusion totale de la vulgarité : tout le monde sait que les soumises qui viennent se louer ici vont satisfaire toutes sortes de vices dans les mazmorras ou dans les salons, mais, dans leur présentation initiale, nous tenons à ce qu'elle ressemble à ce qu'elles sont : des femmes aux physiques très différents mais qui sont toutes respectables et ne présentent quasiment aucun signe extérieur de leur soumission, vous m'avez compris ma chère Loréna ? »

    Je souris : « Tout à fait, et je sais d'ores et déjà que je dois enlever deux choses ! »

    Rires de mes deux juges : « Etonnant, c'est la première fois que nous obtenons une telle réponse ! »

    « Il y a toujours une première fois, chers censeurs ! Pour ma part c'est la première fois que j'entre dans un Club bdsm ! »

    « Bravo que ce dépucelage soit fait chez nous ! Mon collègue va vous donner un tiroir et vous ouvrir un casier pour que vous y laissiez les affaires qui ne vous conviennent pas ou que nous n'approuvons pas »

    L'homme glisse un tiroir qui ressemble à ceux des coffres de banque, et j'y dépose mes boucles d'oreilles, ce qui fait sourire le couple, puis, je me lève, soulève ma jupe et ôte ma culotte rouge fendue, je la leur montre en la déployant et la met dans le tiroir, puis j'enlève mon châle que je plie soigneusement et que je mets dans mon casier, je me rassied en leur disant :

    « Je pense que le reste vous conviendra ! »

    « Nous allons vite le savoir, otez votre robe, Loréna, s'il vous plait » Je m'exécute et apparait donc en escarpins noirs à très hauts talons, jambes nues, chatte et fesses nues, soutien-gorge balconnets offrant plus qu'il ne soutien mes seins.

    « C'est parfait, voulez vous une culotte ? »

    « Si ce n'est pas inconvenant, j'aime ma nudité à cet endroit »

    « Eh, bien, Loréna, merci pour cet entretien très agréable » Ils se lèvent tous les deux, pendant que j'enfile ma robe, ils referment mon casier et me guident par un petit couloir vers l'agora dans lequel nous entrons, juste derrière le bar où sont accoudés mes deux hommes !

    Chapitre 191

    Ils disparaissent, sans que j'ai eu le temps de les remercier et je vais donc rejoindre mes deux hommes, qui m'offrent de suite une coupe de champagne ! En me demandant comment ça c'était passé : « Très bien, sauf mes belles boucles d'oreille et ma belle culotte fendue que j'ai du laisser dans un casier ! »

    José me prend par le bras et me guide pour une visite panoramique de cet agora : « Voilà, ce qu'ils appelent l'agora du Club, tu sais je suppose ce qu'est un agora ? » « Non, Amo Mio, je le savais mais j'ai oublié (il faut savoir flatter son Maître de temps en temps, maic hut !) » « C'est un mot latin qui signifie : « L'endroit où se réunit le peuple, que ce soit pour faire de la politique ou pour faire la fête » « Merci, Amo Mio » « Au Club, c'est en fait un des deux immenses bars, car tu as exactement le même argora à l'étage en dessous, avec une très belle piste de danse dont le sol et le plafond sont recouverts de miroirs. Elle est entourée par une centaine de petits salons munis de rideaux automatiques opaques » « Comme tu peux le voir, il n'y a pas beaucoup de monde, le soir d'affluence est le vendredi, mais il y a tout de même une bonne trentaine de couples sur la piste, une vingtaine de clients au bar et, la moitié des salons semble occupée. Dans tous les salons, il y a un grand écran de télé qui retransmet les nouvelles : le début d'une séance dans une mazmorra, l'arrivée d'une nouvelle esclave avec sa fiche d'identité, et deux tablettes numériques pour lire les CV, faire son choix de fille pour une mazmorra ou commander à boire »

    Nous nous retournons vers le bar où je m’assieds entre mes hommes sur un tabouret très confortable.

    Le serveur s’approche et s’adresse à José : « Bonsoir Monsieur José, je suis content de vous revoir et je vous souhaite une bonne soirée à vos amis. Je vais offrir la coupe de champagne du Club, à votre charmante compagne, mais je vous rappelle que je vous dois la bouteille de champagne de bienvenue pour vos deux invités ! » Nous remercions le barman et Yves demande à José : « Dis-moi, qu’est ce qu’il faut faire ou ne pas faire dans ce club ? Je suis un peu perdu ! »

    Chapitre 192

    José sourit : « Je vais essayer de tout bien t'expliquer, car, ici, tout impair peut avoir des conséquences graves ! Par exemple, à la fin de cette danse, Loré va être présentée officiellement à tout le club : un présentateur hableur et plein d'humour salace, une petite interview plus ou moins intime, quelques tours sur elle-même pour présenter toutes ses faces et sa fiche passant en boucle sur tous les écrans du Club »

    « Après cette présentation, il peut y avoir quatre réactions de la part des membres. Soit venir à elle pour nous demander l'autorisation de l'inviter à danser : mais attention si nous ne tenons pas Loré par un endroit de son corps (bras, poignet, cou, épaule), le membre lui dira simplement de venir danser avec lui, et, elle doit le suivre et sur la piste, il pourra l'utiliser à sa manière, sans aucune limite, la mettre à poil, se faire sucer, la faire jouir etc... » « Mais c'est ignoble ça, il n'en est pas question » Et Yves m'agrippe le bras sous le regard amusé de José.

    « Deuxième réaction : nous solliciter pour lui offrir un verre, comme pour la danse, si nous ne la touchons pas, elle sera à lui devant le bar sur son tabouret, et nous ne pourrons rien dire, c'est la règle, il faut faire attention : il y a des spécialistes du "lacher de pute" qui te font lacher ta femme sans que tu y prennes garde » « Ok, je vais faire attention » « Et, il y a des moyens pour éviter ça ? » « Bien sur : du bar tu retiens un petit salon de bord de piste, et dès que nous avons le numéro, un barman nous y accompagne, ça coute 100€ l'heure de location, sans boisson et 200€ avec une bouteille de champagne, servie automatiquement toutes les heures : attention de ne pas oublier d'annuler la livraison suivante »

    « Troisième réaction, séduits par le profil de Loré, le membre la réserve pour un temps délimité dans une mazmorra privée : les locations sont très chères ! 600€ la 1/2 heure par dirigeant, 1.000€ l'heure par personne, et les mazmorras peuvent accepter 15 spectateurs à 100€ par tête, seuls toi et moi, dans les spectateurs, ne payons pas ! »

    « Dernière réaction, si nous avons loué un salon, le membre se présente seul, nous devons lui offrir une coupe et il nous fait une proposition pour utiliser Loré dans notre salon, devant nous, soit une somme d'argent (en principe pas de pipe mais 100€ le con ou le cul à poil) soit un échange : utiliser sa soumise en échange de la nôtre, dans ce cas nous allons voir le matos d'échange et nous acceptons ou nous refusons, voilà les règles ! Pas trop compliqué, tu as tout compris ? » « Oui, pas de souci, mais il faut vite louer un salon pour ne pas se faire voler Loré ! »

    « Tu as raison, je m'en occupe de suite »

    Chapitre 193

    « Les propositions pour les mazmorras à thèmes, vous nous parvenir sous forme de messages sur tablette. Je suis sur qu'en fonction de sa nouveauté et de son physique de reine, elle aura beaucoup de propositions. Il faut que toi ou moi gardions une tablette connectée sur la page de Loré »

    « La proposition sera très détaillée : thème, participants, durée et exigences. Cette proposition aura été validée par Madame, qui peut donner un feu vert ou un feu rouge sans avoir à se justifier, et nous pourrons l'appeler directement avec la tablette pour en savoir plus. Dès qu'on donne une réponse négative ou positive, l'expéditeur la reçoit, avec une copie pour Madame» « Dans notre réponse nous devons préciser si nous désirons assister gratuitement à la séance dans le salon voyeurs attenant à la mazmorra qui a une vitre sans tain et un interphone pour intervenir si quelque chose ne nous convient pas »

    « Merci, José, je me sens moins bête ! » José éclate de rire et continue pour en terminer : « Quant aux mœurs : tu peux faire ce que tu veux où tu veux, si tu veux enculer Loré au centre de la piste un cercle se formera et les spectateurs applaudiront à chacun de tes coups de reins ! C’est plus que très libéral ! » « En effet ! »

    Le serveur vient nous dire que nous devons rester au bar car ma présentation va commencer, et le présentateur sait où et qui je suis.

    En effet, la danse s’arrête et après un jingle dynamique qui fait s’ouvrir quelques rideaux de salons, une annonce résonne : « Chers membres, ce soir, nous avons la chance de découvrir une nouvelle soumise que Jean-Louis va vous présenter et, comme d’habitude, dès que la présentation scène sera terminée, vous pourrez consulter sa fiche sur vos écrans ou sur vos tablettes. Merci de faire un triomphe à : « Loré » ! »

    Je suis prise en charge par un projecteur-poursuite alors qu’un homme élégant s’approche de moi et me prend par la main pour m’amener au centre de la piste de danse désertée

    « Bonsoir, Loré, et bienvenue dans notre temple du plaisir »

    « Merci de votre accueil, Monsieur »

    « Je vois que tu es très respectueuse, bravo »

    « J’essaye de l’être dans toutes les situations, Monsieur »

    « Tu t’appelles donc Loré et tu es venue seule ? »

    « Non, Monsieur avec mon Maître et mon mari »

    « Oh ! Tu es bien encadrée et ton mari te domine aussi ? »

    « Oui, Monsieur, c’est lui qui m’a éduquée et continue à le faire » « Monsieur, je vous félicite, vous avez une épouse charmante »

    Yves lève son verre pour le remercier

    « Je ne vais pas te demander de détails intimes puisque ta fiche va être publiée. Mais as-tu l’habitude de fréquenter des clubs bdsm ? » « Non, Monsieur, c’est même la première fois »

    « Eh bien, c’est gentil d’avoir choisi d’offrir ton pucelage à notre club ! »

    Il me prend par la main et mime des passes de rock pour me faire tourner plusieurs fois sur moi-même

    « Voilà : la très belle Loré, à vous de choisir comment lui faire passer une excellente première soirée dans un club bdsm de qualité : Le Club Privé »

    Il me baise la main et me raccompagne au bar sous un tonnerre d’applaudissements.

    Mon manque d’habitude pour ce genre d’exercice se voit sur mon visage et je me jette sur ma coupe de champagne pour oublier ma crispation. José passe sa main sous ma robe et la ressort en annonçant : « Hum, je vois que ta prestation ne t’a pas laissée indifférente ! Elle est déjà trempée, Yves ! »

    « Tu sauras, José que lorsque Loré porte son ou même ses bracelets : elle est toujours mouillée ! » « Je m’en rends compte Yves, je continue à apprendre le Loréna ! »

    Chapitre 194

    Un couple élégant d’une cinquantaine d’années s’approche de nous « Bonsoir, Messieurs, votre esclave est adorable, pouvons nous vous offrir une coupe ? » « C’est gentil à vous, mais nos coupes sont quasiment pleines » « Ce sera donc pour tout à l’heure. Nous sommes tous les deux dominants, accompagnés par deux soumises. Puis-je danser avec Loré ? Vous pourriez en profiter pour faire la connaissance de nos esclaves ? »

    Malgré les appels de José, c’est Yves qui se charge de la réponse : « Je n’ai rien contre. »

    L’homme m’entraîne alors que José lui murmure à l'oreille :

    « Attention, Yves, comme tu as accepté la danse pour Loré, il peut faire n'importe quoi de ta femme sur la piste : la faire souffrir ou l'humilier comme il le veut et tu ne peux t'opposer à rien ! »

    « A, ok, j'ai répondu trop vite, désolé José, mais je suis sur que ça se passera bien, Loré sait argumenter un client ! »

    Mais la compagne de l'homme est toujours avec nous et elle a entendu José réprimander amicalement Yves et elle intervient : « Je m’excuse d'intervenir, mais je tiens à vous rassurer, car mon mari est un vrai gentleman, et votre femme ou votre esclave est entre de bonnes mains, nous devons aller faire connaissance avec nos soumises, mais, puisque je suis accoudée au bar sans une main d'homme posée sur moi, je vous propose je changer de camp, et d'enlever la jupe et ma culotte, pour que vous puissiez me niquer et m'enculer, pendant que mon mari enverra Loré au 7ème siècle ! »

    Sur la piste l'homme m'enlace : il me serre contre lui et je sens de suite qu’il bande. « Tu as une très belle fiche, esclave. Très bandante comme tu peux le constater. Baisse une main et caresse-moi le paquet » Je ne connaissais pas cette expression mais ma main descend vers sa braguette. « Tu as quoi sous ta robe, putain ? »

    « Une parure seins nus » « Hum, prête à enfiler, donc ! » Il soulève un peu ma robe et accède directement à ma chatte dans laquelle il fourre deux doigts fouineurs. « Et en plus pas besoin de te lubrifier, tu l’es déjà » « Oui, Monsieur » « Tu as beaucoup obéi ce soir ? » « Oui, Monsieur depuis 20 heures à mes deux Maîtres et à d’autres personnes » « Et tu as beaucoup joui, salope ? »

    « En qualité, oui, Monsieur, je suis même tombée dans les pommes après un orgasme gigantesque ! Mais en quantité, non, mes Maîtres m’ont beaucoup frustrée » « C’est la meilleure punition pour une pute en chaleur mais je vais t’aider à rattraper ton retard »

    Chapitre 195

    « Il me faut l’autorisation de mes Maîtres, Monsieur »

    « Je constate que tu es vraiment novice, en acceptant de te laisser danser tes Maîtres ont accepté que je fasse tout ce dont j’ai envie Je peux même te demander de te mettre à poil, ils n’ont rien à redire ! »

    « Je ne savais pas, Monsieur, merci de m’excuser »

    « Pas grave, c’est ta première fois, laisse toi aller petite salope, et regarde vers le bar, tu verras ton mari enculer ma femme, non, plutôt lui défoncer le cul ! Alors que ton Maître attend le pantalon aux chevilles pour vider ses couilles dans sa bouche ou dans sa connasse, ils s'amusent bien, je ne vois pas pourquoi, tu ne répondrais pas à leurs deux orgames en t'envoyant deux fois en l'air avec moi ! »

    Il redescend sa main sous ma robe mais, cette fois, il va chercher mon clitoris qu’il trouve facilement. Il le pince entre ses doigts et le branle fortement. Je cache ma tête dans son épaule pour gémir doucement en écartant un peu les cuisses pour l’aider. Il me mord l’oreille un peu trop durement en me glissant :

    « Tu es vraiment en chaleur, tu es faite pour niquer et pour jouir ! » Il accentue sa caresse sur mon petit bouton en sentant que je ne suis pas loin d’exploser : « Je veux que tu me regardes dans les yeux quand tu jouiras et je t’interdis le moindre cri »

    Je me contente de faire oui de la tête, ses caresses sont trop précises, je n’en peux plus. Je sors ma tête de son épaule et le regarde dans les yeux, en jouissant comme une folle et en me mordant les lèvres pour ne pas émettre un seul son.

    Il peut lire mon orgasme dans mes yeux et me sourit, ravi que je lui offre une jouissance aussi rapide que forte.

    Il regarde vers le bar et me dit : « Regarde, ma jolie pute, ton mari a rempli les intestins de ma femme, et c'est à présent ton Maître qui lime ma femme, et regarde bien sa position : il l'a assise sur son tabouret, pieds en l'air, jambes sur ses épaules et à chaque coup de pine il doit l'élargir un peu plus ! Et regarde la foule autour d'eux qui les acclame et encourage ma femme à gueuler comme une truie ! Tu as de la chance d'avoir deux bons baiseurs chez toi ! »

    Chapitre 196

    En dansant, il m'amène au centre de la piste et fait signe aux couples qui dansent à côté de se rapprocher, quand un cercle s'est fait autour de nous, il me murmure à l'oreille : « Tu as 3 minutes pour te mettre entièrement à poil, salope, chaussures incluses »

    Voyant que je n'ai pas le choix et aucun recours du côté de mes hommes, j'ôte mes chaussures, enlève par le cou ma longue robe et termine en jetant mon soutien-gorge dans le cercle de mes voyeurs, de suite, l'ambiance monte, mon danseur me prend dans ses bras, dos appuyé à lui et écarte mes cuisses de ses deux mains en disant : « Allez, profitez de notre arrivage, venez peloter une jeune connasse dégoulinante, n'hésitez pas à escalader son clito, et en remontant un peu, n'oubliez pas de tordre un peu ses bouts de mamelles, cette pute adore ça ! »

    Une bonne dizaine de mains se posent sur moi, des hommes et des femmes me doigtent le con, miment la pénétration d'une pine, une femme au poignet très fin me fiste le vagin, des doigts d'hommes me pétrissent les nichons et tordent mes bouts jusqu'à me faire hurler, mais un des membres me flingue d'une phrase très dure : « Quand on est capable de se mettre à poil dans un club, et d'être trempée à cette idée, on ne crie pas sale pute, on ne crie que lorsque tes partenaires de vice te font l'honneur de te faire jouir de ta soumission insupportable pour la fierté de ton sexe, tu mérites des coups et pas des orgames sale pouffiasse ! »

    Je jouis une première fois en mordant le poing de mon danseur pour essayer de minorer mon plaisir, il sourit et me retourne, nichons plaqués sur sa poitrine, il glisse une de ses cuisses entre les miennes, appuie sur mon bassin pour que mon sexe soit bien en ventouse sur sa cuisse, et m'ordonne de me frotter à lui comme une chienne le fait quand elle a envie de se faire saillir.

    Et il donne mon cul aux voyeurs qui se jettent sur mes fesses en les frappant le plus fort possible, alors que des doigts, deux, trois quatre entrent dans mon cul qu'ils dilatent, jusqu'à ce qu'un poing me fiste, m'arrachant un hurlement de douleur, mais mon fisteur ne tient pas compte de ma douleur et va et vient dans mon cul de toutes ses forces, m'arrachant un nouvel orgasme très bruyant et plus douloureux que réellement jouissif.

    Seul le poing m'interdit de tomber à terre, mais mon danseur veut que je termine de me frotter sur sa cuisse, à sa demande, tout le monde s'écarte de nous pour accueillir plus de voyeurs qui me regardent me frotter sur la cuisse de mon danseur, en bavant de plaisir et d'envie, et, en parcourant les voyeurs réunis autour de nous, je vois mes deux hommes qui se régalent de me voir ainsi abaissée en public, abaissée à l'état d'une chienne en manque et de les voir me donne tellement honte qu'un autre orgasme assomoir vient terminer cette série, quasiment incroyable.

    Heureusement, mon danseur me retient, il me met à genoux devant lui et m'ouvre la bouche avec sa pine et encouragé par le public qui crie à chaque pénétration : il me nique la bouche et me donne son foutre à avaler en me giflant ce qu'il appelle crûment ma gueule de putain vicieuse !

    Chapitre 197

    Mon danseur m'ordonne de ramasser mes affaires et sous les applaudissements des voyeurs, il m’entraîne vers son salon. En entrant je vois Yves et José en train de boire du champagne et, à côté d’eux, deux femmes nues, menottées par devant et tétons pincés. Elles ont l’âge du couple et vraiment aucune ne m’attire.

    L’homme les remercie pour la danse avec moi, sans parler de mes orgasmes. Mais, en bonne esclave, et même si je dois être punie, je ne tiens pas à leur mentir :

    « Monsieur est un très bon danseur, et il m’a même fait jouir quatre fois sur la piste de danse » « Bravo, Monsieur, l'absence de culotte a du vous aider ! » « Oui en effet, l’accès à son clitoris était très facile, j’ai peu de mérite, car, en plus elle était et est toujours réellement en chaleur, et les voyeurs m'ont donné un bon coup de main pour l'envoyer au 7ème ciel ! Mais je tiens à vous dire que vous avez une esclave exceptionnelle, et en particulier une pipeuse quasi professionnelle, elle pompe mieux que toutes les putes que je connais et avale comme si elle ne buvait que ça ! »

    Yves se charge de lui répondre : « Merci pour vos compliments, Monsieur, et de notre côté, nous pouvons vous assurer que votre épouse est un merveilleux trou à bites, que ce soit par son con, humide, chaud et bien serré, que par son trou à merde, très chaud, un peu trop dilaté, mais gourmand de pine à l'image de la femme qu'elle est ! »

    Blottie nue dans un coin du salon, je ne suis pas sur que le commentaire d'Yves ne soit pas une critique de quelqu'un qui n'a pas du tout apprécié de se faire voler sa pute, mais l'homme, probablement très diplomate, ne s'en offense pas.

    Chapitre 198

    Il demande si nous restons un peu, et José lui répond que « Nous avons promis à Madame que dès son retour, notre soumise lui rendrait un petit service auprès de ces dames »

    « Ah, c’est très bien »

    La femme prend la parole « Encore merci, Messieurs, nos trois esclaves sont à poil. Elle enlève les menottes des deux femmes, explique qu’elle a prêté « Une » pour se faire enculer sans protection par un membre et que « Deux » n’a pas enculé une femme depuis longtemps »

    Je comprends qu’elle appelle ses soumise par des numéros et je suis tout d’un coup ravie de m’appeler Loré !

    Elle organise la scène suivante en faisant mettre « Une » à genoux sur le sofa, le dos tourné aux membres du salon et elle lui fait écarter ses fesses de ses deux mains alors que « Deux » s’équipe d’un gros gode ceinture.

    Je n’ai pas besoin d’explication pour coller ma bouche au trou du cul de « Une », la vieille esclave, tout en cachant mon dégoût : j’aspire et lèche ce qu’elle a dans le cul. Elle a reçu une bonne dose et c’est tout frais, le gout du sperme me plait, ce qui atténue la punition.

    Pendant ce temps, l’autre : « Deux », sans se préoccuper de savoir si je suis sèche ou mouillée pose le gland de son gode sur mon anus et m’encule d’un grand coup de reins sec et ravageur. Il s’en faut de peu que je ne morde le cul de l’autre tellement elle m’a surprise. Et, en plus, dès qu’elle touche le fond de mon cul, elle se retire pour rentrer encore plus rapidement et en force.

    La scène dure longtemps, celle qui m’encule devait être bien chaude car elle jouit très rapidement, ce qui me laisse à penser qu’elle était en manque. Mais ma surprise est encore plus vive quand je sens un orgasme monter en moi : je suis encore dans la lignée des orgasmes faciles, mais une jouissance du cul est franchement inattendue, et alors que Madame estime que l’anus et le cul de « Une » sont bien propres, je lui demande d'une petite voix d'attendre un peu et devant les yeux sidérés de mes hommes, j'hurle et je me tords en jouissant du cul comme une salope que je suis, mais je ne savais pas à quel point je l'étais !

    Ravie de m'avoir vu jouir, elle m’invite à me relever et à me rhabiller en remerciant mes Maîtres.

    Nous les saluons et retournons au bar. Yves s'est calmé et a promis que la prochaine fois c'est José qui répondra pour moi !

    José commande une autre bouteille de champagne alors qu’Yves reçoit un message sur sa tablette connectée sur mon site, ce qui annonce une demande de mazmorra !

    Suite dans le tome 8


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