• Chapitre 7

    Chapitre 7

    Mercredi 1er février 2017 - 5h

    Agnès nous quitte et va dans le salon pour suivre un peu les aventures de son amie. Je suppose qu'elle a du passer par une douche rapide. De son côté, Annie a du se dire : « Et pourquoi refuser la gentille invitation d'Agnès, et comme elle n'avait pas besoin de se déshabiller, ses bruits de vagin trempé ont remplacé ceux d'Agnès et ma gentille Maîtresse s'est envoyée en l'air avec son silence et son flegme habituel ! Et j'en étais enchantée pour elle !

    Quand elle en a terminé avec son plaisir, elle s'absente cinq minutes, probablement pour aller se doucher et se rhabiller. Yasmine qui nous sait seule me dit : « Comment vas-tu ma chérie ? Et surtout comment vont des seins ? ». « Pas très bien amour, mais ne t'inquiète pas ça va passer, le baume d'Annie fait des miracles sur ce genre de blessures superficielles, demain on n'y verra plus rien ! ». « J'en suis heureuse pour toi, j'étais malheureuse de te frapper alors que tu saignais presque (…) tu sais bien que si tu ne m'avais pas torturée, Agnès m'aurait demandé de te faire souffrir, il valait mieux que tu lui obéisses ! ». « Oui, c'est vrai, que nos Maîtresses ne nous laissent pas souvent le choix. Mais, heureusement que ça semble s'être arrêté, je n'en pouvais plus ! ».

    Annie revient et nous nous taisons. Elle enlève le masque de Yasmine et l'aide à retirer son Maxtor de son vagin, quelques minuscules lambeaux de peau pendent sur des picots, mais Annie lui confirme qu'elle n'a aucune blessure : « Yasmine, si tu veux bien, aide moi à détacher Putain Loré et à la débarrasser de tous ces instruments de torture. Dès qu'elle sera dans la salle de bains, tu pourras te doucher et t'habiller, Agnès te souhaite une bonne nuit et m'a dit de te signaler qu'elle te contacterait bientôt ».

    Annie arrête tous les moteurs et descend les cordes au sol. Avec Yasmine elles s'activent pour m'ôter bâillon de bouche, défaire le ceinturon du haut de mes cuisses, sortir l'énorme vibro désormais inoffensif de mon vagin et le crochet de mon trou du cul.

    J'ai du mal à marcher, mais, appuyée sur Yasmine je me traîne dans la salle de bains en aidant à y porter des sex-toys.

    Comme Yasmine doit partir, elle se douche la première pendant que je nettoie les sex-toys dans le lavabo et qu'Annie soigne mes blessures avec un flacon de son baume qu'elle a apporté exprès pour moi !

    Mais nous entendons Yasmine gémir sous la douche, et en regardant ses seins qu'elle essaye de nettoyer avec un éponge douce, nous sommes horrifiées : ils sont marqués sur toute leur surface, remplis de boutons rouges dus aux picots ont profondément pénétré la chair de ses seins, mais aussi de ses tétons.

    Dès qu'Annie en a fini avec moi, elle s'occupe de Yasmine en lui massant délicatement les seins de ses deux mains pour atténuer sa douleur qui se calme très vite. Elle lui demande de lui trouver un flacon vide dans lequel elle met un peu de son baume qu'elle pourra se passer pendant la nuit pour être fraîche comme une rose quand elle se lèvera. Yasmine la remercie avec des larmes plein les yeux !

    Pendant que je finis de me remettre d'aplomb, Annie et Yasmine rangent la chambre des plaisirs d'Agnès, lui redonnent son aspect initial et range soigneusement tous les accessoires dans la grande armoire.

    Yasmine est prête et habillée, nous échangeons un long baiser devant la salle de bains, j’enfile un peignoir de bains sur mon corps nu pour la raccompagner mais, quand nous passons devant le salon, Agnès, nous demande de venir la voir.

    Nous obéissons en faisant attention de ne pas regarder le téléviseur : « Dis- moi Yasmine, je viens d’avoir une idée, Annie et sa putain repartiront de Vichy après-demain de bonne heure, pourrait-on venir manger chez toi vers 13h ? Mais attention, pour un apéro simple : Coca et sandwiches par exemple ? ». Yasmine répond : « C’est une excellente idée, Agnès, et l'heure est parfaite (…) Je m'occuperai des sandwichs, de ton côté fais toi livrer des boissons, entendu Yasmine ? ». « Tout à fait Agnès, alors à tout à l'heure ! ».

    Agnès me demande d'aller attendre dans sa chambre et elle se lève avec Annie pour raccompagner Yasmine à la porte. Elles restent quelques temps à discuter, je suppose qu’Agnès règle quelques détails avec Yasmine pour ce qu'elle a prévu pendant notre présence chez elle, mais je ne suis pas pressée de connaître ces détails !

    Mercredi 1er février 2017 - 5h30

    La porte se referme, j'entends les deux amies éteindre les lumières, puis passer dans la salle de bains pour se préparer, peut être pour s'habiller ou se déshabiller pour la nuit, se brosser les dents et faire un dernier pipi. Toujours est-il que lorsqu'elles entrent dans la chambre à coucher, elles enlèvent leurs peignoirs sous lesquels elles portent des nuisettes courtes, transparentes et très sexys, sans aucun sous-vêtements.

    Agnès fait choisir son côté à Annie, qui lui répond, très ironiquement : « Le contraire du tien me conviendra parfaitement ! ».

    En souriant, elle s'assied à gauche du lit et règle le radio-réveil sur 10h, ce qui nous donne moins de cinq petites heures pour nous reposer et fermer un peu les yeux. Annie me demande de me mettre à poil et se couche à gauche d'Agnès en me disant : « Putain Loré, tu vas dormir sur la carpette, au pied du lit, si l’une d’entre nous a besoin de toi, elle te réveillera ! ».

    Agnès éteint la lumière. J'entends des froissements de nuisettes qu'elles enlèvent, des frottements d'épidermes, des bruits de langues mouillées et de doigts humides indiscrets : elles sont en train de s’enlacer, de se caresser, de se gouiner et de se doigter.

    En cherchant un endroit confortable pour dormir : je le trouve en mettant une chaussure sous la carpette pour surélever un peu ma tête. Et mon corps a tellement besoin de repos et de douceur que je m’endors de suite, sans aucune jalousie pour la partouze de Maîtresses qui se déroule à un mètre de moi !

    Oh ! Sommeil ! Mon éternel amant qui sait si bien me prendre ! Comme je t'aime et je t'apprécie !

    Mercredi 1er février 2017 - 10h00

    Le radio réveil me rappelle la réalité du lever et le cauchemar de la plus mauvaise nuit de ma vie !

    C'est Annie qui commence en me donnant des coups de pieds sur le visage, et en me chuchotant : « Je n’arrive pas à dormir, Putain Loré : suce et masse moi les pieds et les orteils ». Je m'exécute longuement jusqu’à entendre sa respiration apaisée ! Elle dort enfin !

    Mais, très peu de temps après c’est Agnès qui me réveille en me donnant des coups de pieds dans les nichons : « Debout, Putain Loré ! Rapporte moi un verre d’eau glacée du frigo ! ». Je dois aller dans la cuisine pour lui rapporter un verre d’eau dont elle boit à peine une gorgée !

    Quelques courtes minutes plus tard, elle me met, de nouveau, à contribution, en me disant : « Je repense à cette journée excitante et je n'arrive pas à me rendormir : bouffe ma chatte et mon trou du cul, fais ce qu'il faut ! Mais je veux jouir ! ». Je crois qu’en fait, elle jouit entre le rêve et la réalité car à son dernier grognement de plaisir, je sens qu’elle dort paisiblement.

    Tôt dans la matinée, c'est Annie qui me réveille : « J’ai envie de pisser, mais je ne veux pas aller aux toilettes, arrange-toi, Putain Loré ». Je me couche sur une carpette du côté de son lit. Elle se lève et, s’agenouille nue sur ma bouche dans laquelle elle vide sa vessie, sans que je n'en perde une goutte, avant de se recoucher et de se rendormir de suite, alors que je me glisse dans la salle de bains pour me rincer la bouche.

    Je viens de me recoucher quand le radio-réveil sonne. Le résumé de ma nuit, me laisse un goût amer, je suis plus fatiguée qu'en me couchant et, surtout, incapable de savoir combien de temps j’ai dormi entre les caprices de mes deux Maîtresses.

    Les langues d'Annie et d'Agnès réapprennent à faire connaissance et elles se rhabillent en enfilant à même la peau leurs peignoirs et leurs chaussons assortis. Moi, j'ai pour consigne de rester à poil ! Agnès me murmure doucement à l’oreille : « Tu m’as bien fait jouir cette nuit. Sais-tu, Putain Loré, que tu es très douée pour envoyer une femme au septième ciel juste avec ta langue de bourgeoise-perverse ! ».

    Je ne trouve rien à lui répondre alors qu'elle me pousse dans la salle de bains : « Tu vas te doucher, mais avant, n’oublions pas ton petit pipi du matin ! ». Je comprends ce qu’elle veut et j’enjambe la baignoire, elle s’assied face à moi et me regarde. Debout, les bras le long du corps, j'ouvre un peu mes jambes et me laisse aller, pissant de longs jets qui retombent sur le bord de la baignoire. Quand ils s'atténuent, Agnès se lève, essuie de sa main droite ma chatte humide de mon urine et me donne ses doigts à lécher et à nettoyer. Yeux fermés je m’exécute essayant d’oublier cette odeur qui me donne la nausée.

    Elle me sourit et me tapote la joue : « Rendez-vous dans un quart d’heure dans le salon, récure toi bien, Putain Loré ! ».

    Et elle disparaît me laissant seule.

    Mercredi 1er février 2017 - 10h20

    J’entre dans le salon, nue, le corps encore un humide de ma douche, Agnès n’est pas là, mais Annie me dit en prenant sa caméra en main : « Enfile cette jupe, ces bas et ces escarpins, reste seins nus et prépare nous le petit déjeuner ! ».

    Je m’habille rapidement, la jupe est hyper courte, en laine grise. Les bas gris perle et les escarpins sont ceux d’hier soir. Je m’active dans la cuisine pour trouver tout ce qu'il me faut pour trois petits-déjeuners.

    Le café passe et les toasts brunissent quand Agnès entre dans la pièce. Elle est en peignoir, en mules plates, et porte une serviette en turban sur ses cheveux. « Je vois que tu es prête et active, c’est très bien, mais il te manque tes bijoux : tiens met-les ». Elle sort de la poche de son peignoir un plug noir court et ventru, des petites pinces en fer et des boules de geisha.

    Elle s’assied sur une chaise à côté d'Annie et de sa caméra. Elle leur allume deux cigarettes. Elles me regardent de dos relever ma jupe et, en forçant un peu, me dilater l’anus pour pouvoir y entrer la totalité du plug.

    Puis, je leur fais face, jupe relevée et coincée à la taille, et je glisse une à une les trois boules de geisha dans mon ventre chaud et humide de la douche ou pour une autre raison ? Dès qu’elles sont en moi je les sens bouger et me donner du plaisir à chacun de mes mouvements.

    Je finis en me posant une à une les pinces aux tétons. Je ne peux éviter une grimace, car les pinces posées verticalement pour ne pas être vues sous des vêtement n'écrasent pas les bouts d'une manière naturelle bien qu’étant dépourvues de poids ou de lests.

    Agnès sourit en me regardant ainsi apprêtée. Pendant que je continue à préparer le petit déjeuner, elle se lève et me pelote les seins à pleines mains sans se soucier ni de mes pinces, ni de mes gémissements de douleur, tout en me murmurant à l’oreille : « Tu as tout prévu pour le petit déjeuner, mais tu as oublié les croissants : en sortant de la maison, à environ 500 mètres sur la gauche tu as une boulangerie : vas nous en acheter six, je te prie, Annie et moi allons nous occuper du reste ».

    Elle m’aide à enfiler mon manteau, et m'indique d'un mouvement de tête des escarpins qui n'ont rien à voir avec la saison et ont des talons bien trop hauts.

    Sentant leurs regards sur mon cul et mes pieds mal chaussés, je sors en marchant à petits pas, autant à cause des talons, que des boules et du plug qui bougent ou me forcent l'anus à chaque pas.

    J’essaye d’écarter le manteau de ma peau nue pour éviter le frottement des pinces sur sa doublure, mais je n’y arrive qu’en le maintenant tiré vers l'avant, ce qui n'est pas gênant, car le quartier est désert et je ne croise personne avant la boulangerie.

    Deux dames attendent leur tour. Le boulanger qui sert, reçoit un appel téléphonique : il s'excuse et fait venir une employée, pour répondre au téléphone, mais l'appel est bref. Il revient mais demande à la fille de rester un peu. Il lève les yeux et me regarde. Quand mon tour arrive, je demande « six croissants », le boulanger tient à me servir lui même et me tend ma commande, c'est à ce moment là que je réalise que je n'ai pas pris d'argent.

    Je le lui avoue d'un air gêné : « Je suis désolée, Monsieur, je suis sortie sans argent, est-ce que Madame Agnès a un compte chez vous ? ». « Non, Mademoiselle, mais c'est elle qui m'a appelé tout à l'heure, pour me demander de lui ouvrir un compte, et me passer commande de nombreux sandwiches pour 12h45, en me précisant d'une manière ironique qu'elle m'envoyait son esclave, pour voir régler avec moi les détails de cette commande, l'ouverture du compte et revenir avec 6 croissants, vous avez cinq minutes à m'accorder Madame ? ». « Mais bien sur Monsieur ! ».

    Nous entrons dans son bureau, son portable sonne. Il décroche : « Ah, oui, re-bonjour, Madame Agnès, je suis avec votre amie ! (…) Ah ! Vous ne plaisantiez pas en me disant que c'était votre esclave ? (…) Mais, l'esclavage n'existe plus, chère Madame ! (…) Ah dans certains milieux ? Oui ! Je ne le savais pas ! (…) Entendu je vous passe (…) Euh (…) La dame en question ! Oui, je mets le main libre ! (…) Putain Loré je viens de passer une commande numérique pour les sandwiches que tu reviendras chercher à 13h, j'ai joins tous mes docs pour l'ouverture de mon compte chez Monsieur Albert, tu n'as plus qu'à enlever ton manteau et lui montrer ce qu'est une putain-esclave en 2017 et ce qu'elle sait faire ! Et quand il en aura fini avec toi, n'oublie pas nos croissants, tes Maîtresses ont faim ! Mes respects à Monsieur Albert ! (…) Je coupe ! ».

    Il a tout entendu, je n'ai vraiment rien d'autre à faire que de déboutonner lentement mon manteau et l'ôter devant lui. Il me regarde avec des yeux ronds et son visage passe par une douzaine de couleurs avant de se figer sur le rouge vif en comprenant ce qui est en train de lui arriver !

    Mercredi 1er février 2017 - 11h00

    Je reviens avec un énorme sac rempli de viennoiseries qui embaume toute la rue. Monsieur Albert a bien mémorisé que, même de nos jours, il existait des esclaves sexuelles, prêtes à obéir et à donner du plaisir n'importe où, n'importe quand et même à n'importe qui !

    Bien qu'Albert soit un quinqua débonnaire et sympathique, mais je ne jugerais pas sa bite aussi gentiment, car elle s'est révélée très active en giclant deux fois, dont une, relativement logiquement dans mes intestins, mais une deuxième fois très proche du bdsm qu'il affirme ignorer, en la faisant gicler sur le sol carrelé de son bureau, pour me photographier, couchée à poil sur le ventre en remuant le cul tout en me doigtant la moule et en léchant son foutre avec ma langue !

    Et très imaginatif, puisque le seul orgasme qu'il m'ait autorisé était un mini tsunami déclenché sans mon intervention par la torture de mes bouts de mamelles de pute ! Si Albert ne fréquente pas de sites bdsm sur le net, moi je suis la Bonne Mère de Marseille !

    Heureusement que ces petits détails incohérents me font sourire, car le chemin du retour aurait pu être un enfer, les boules m’excitent et je sais que mon vagin qui n'a pas été mis à contribution a besoin d'être vidé. Alors qu'après avoir été torturés, pour me donner un orgasme unique, mes tétons gonflés me font de plus en plus mal. Et, par malchance, Albert qui a bien su retirer le plug de mon cul, mais l'a remis en place après usage : ce qui me blesse et, surtout, m'oblige à boitiller !

    Je m'arrête trois fois avant d’arriver devant la porte d’Agnès qui m’ouvre et me fait entrer au chaud. Je suis accueillie par une bonne odeur de café et je prends un plat en inox, dans le placard que j'avais repéré ce matin, et déverse la demi-tonne de viennoiseries, que je signale comme : « Offertes à Madame Agnès pour l'ouverture de son compte ! ».

    Les deux femmes éclatent de rire, sans me regarder et sans me poser une seule question sur cette généreuse donation !

    Mercredi 1er février 2017 - 11h10

    Agnès me le demandant, j'enlève sans fausse honte, mon manteau et ma jupe, dans la cuisine. Elle se rapproche de mes seins, enlève les pinces et regarde attentivement le résultat : « C’est un cadeau d'une de mes élèves, elle avait raison en me ventant leur efficacité : les tétons sont violacés, et leur avantage est d'être invisible sous les vêtements ! ».

    Elle descend une main vers mon sexe et glisse un doigt entre mes lèvres, et, sans rien dire elle termine par l'anus en constatant de suite le problème avec le plug ! « Nous attaquons le petit-déjeuner, mais, toi putain, tu vas te doucher, vider ta moule et enlever ton plug, j'enverrai son mode d'emploi à Monsieur Albert ! Tu nous rejoins vide et à poil ! ».

    « Je vais profiter d'une douche rapide, lave mes boules et mon plug, et après m'être séchée rapidement, je reviens, pieds nus, dans la cuisine, enroulée dans une grande serviette de bain, que je pose sur ma chaise avant de m'y asseoir dessus ».

    Mon café non sucré m'attend. Il ne doit pas être très fort car il me semble bien clair et pourtant je n'avais pas préparé du jus de chaussettes ! Dommage, j'avais besoin de caféine et d'excitants ! Je prends une viennoiserie et la trempe dans mon bol.

    En la mordant, je sens de suite le goût et l'odeur de la pisse. Agnès qui a suivi mon geste me dit en souriant ! « Ce matin, c'est une fête pour toi : Annie et moi sommes tes donatrices, tu bois un super cocktail de pisses de Maîtresses ! »

    Le jus d'orange est, lui aussi coupé d'urine, mais c'est moins désagréable que le café noir ! Je me force à manger mais Annie et Agnès me donnent chacune une viennoiserie et Annie rajoute même : « Il faut que tu manges bien, car tu vas encore beaucoup te dépenser ! Trempe ces trois bonnes pâtisseries maison dans ton café et finis bien tes boissons, pleines de vitamines et de ta boisson vichyssoise préférée !

    Je m'exécuté lentement, mais l'estomac au bord des lèvres : Agnès s'en rend compte et me dit ! « Putain Loré, crois-en mon expérience : pour ton quatrième séjour avec moi tu boiras de la pisse aussi facilement que du champagne ou du coca. Le corps s'habitue à tout très rapidement, et si Annie te prépare des journées 100% pisse à Issoire, ton organisme réagira encore plus vite ! ». Annie approuve et assure Agnès que ce sera fait, dès cette semaine ! Me voilà prévenue de ce qui m'attend !

    Mercredi 1er février 2017 - 11h30

    Agnès « Si vous le voulez, nous pouvons aller au salon fumer une ou deux cigarettes au salon, Je dois appeler Yasmine pour lui dire que les sandwiches ne seront prêts qu'à 13h, et que nous sommes un peu en retard, car Loré et moi devons rassurer son mari. Même à Moscou, il doit se demander si tu vas bien, tu ne crois pas, Putain Loré ? ».

    Annie lui répond qu'ils se téléphonent tous les jours vers 18h, et elle s'assure auprès de moi qu'il l'a bien fait hier : « Oui, Madame, il m'a appelée, nous étions pressés mais je lui ai dit que tout allait bien que je l'appellerai ce matin, donc l'idée d'Agnès correspond à ma promesse ! ».

    Elle sourit et m'ordonne d'aller récupérer les boules et mon portable !

    Quand je reviens avec les deux objets, elle me désigne un fauteuil. Je constate en souriant que ma réputation m'a précédée, car le coussin est protégé par une serviette de bains !

    Agnès qui a suivi ma réaction, rit et me dit : « Putain, mieux vaut prévenir que guérir ! Je déteste laver et mes femmes de ménage ont d'autres choses à faire que ce genre de conneries, en particulier me rapporter du pognon avec leurs culs ! ». Je m’assieds, un peu surprise d'apprendre au détour d'une conversation anodine qu'Agnès a un réseau de call-girls !

    Elle place à deux mètres de moi une psyché sur roulettes dans laquelle je me vois intégralement. Elle me demande de poser mes cuisses et mes genoux sur les accoudoirs, je m’exécute et vois mon image avec les cuisses écartelées et mon sexe largement exhibé.

    Mes bas et mes talons hauts qui reposent sur les accoudoirs contribuent à mon image de pute en action. Je suis très troublée de me voir comme ça, et encore plus du vice d'Agnès, qui va probablement exiger de moi, une conversation intime avec mon mari dans cette position obscène !

    Agnès, que je sens fine psychologue, doit savoir ce que je pense et me glisse à l’oreille : « Prends les boules dans tes mains et, pour le moment, contente toi de les humidifier une à une dans ta bouche, je les veux bien lubrifiées ! ». Elle me regarde les sucer les en fermant les yeux, lui prouvant ma totale adhésion à son scénario pervers !

    Elle change le circuit des boules, qui, dorénavant doivent aller de ma bouche au fond de mon vagin, puis, après une bonne agitation vaginale, revenir dans ma bouche pour un grand nettoyage et repartir dans mon vagin, jusqu'à ce qu'Agnès m'ordonne un autre parcours !

    Elle me regarde jouer plusieurs fois à ce petit jeu, qui, visiblement m’excite et me conseille de relever un peu plus mon cul pour que les boules insérées dans ma moule soient mieux visibles.

    Le parcours vicieux des boules et surtout les images que reflète le miroir me chauffent à blanc. C'est là que je fais la différence entre une domina et une vraie Maîtresse : le miroir crée cette différence : l'une va y penser et l'autre non ! Je crois qu'Annie y aurait pensé, mais à présent j'en suis sure, car elle n'apprend certes pas autant que moi, mais beaucoup, de notre excellente professeur de bdsm vichyssoise !

    Tout mon corps devient sensible. Ce qui n’échappe pas à Agnès, qui m’ordonne : « Tu peux arrêter de sortir tes boules. Glisse ton index droit dans ta moule dégoulinante et essaye de les toucher pour les faire tourner dans ton vagin ! ». J'ai un grand plaisir à lui obéir de suite !

    Elle prend mon portable, le place au creux de ma main gauche en me disant : « Compose le N° pré-enregistré de ton mari, avec ton doigt plein de la mouille de ton con, et passe moi le portable ».

    Je suis morte de honte et terrifiée par ce qu’elle peut éventuellement dire à mon mari. Mais son autorité me paralyse et je suis incapable de m’opposer à elle, je compose avec mon doigt le chiffre de mon mari. Agnès est debout, un peu derrière moi, appuyée sur le côté gauche de mon fauteuil.

    Elle prend l'appareil et se penche vers moi pour quelques derniers conseils : « Masse-toi doucement le clitoris, mais attention, je mets le main libre, sois prudente et tiens en compte ! ».

    Yves décroche : « Bonjour, vous êtes bien Yves Dufour ? (…) Oui, à qui ai-je l'honneur ? (…) Je m’appelle Agnès et je suis une amie de Loré et d'Annie ! (…) Ah ! Je commençais à me faire du souci, j’ai téléphoné hier soir tard à la maison et son portable était coupé, comment va-t-elle ? (…) Très bien, je vais vous la passer, je vous appelle car elle vous a promis, hier, de vous rappeler ce matin, vue la rapidité de votre conversation de 18h ! (…) Il rit ! C'est tout à fait exact, vous êtes très au courant, Agnès ! (…) Quand votre femme parle, j'aime l'écouter, cher Yves, mais je tenais à faire votre connaissance, car, vous avez une femme si adorable que je ne résiste pas à l’envie de vous inviter tous les deux un dimanche à Vichy où je réside ! (…) Merci pour les compliments et pour l'invitation, ça me semble être une excellente idée ! J’aime bien connaître les amies de ma femme ! Mais que fait-elle à Vichy, ne me dîtes pas qu'elle est allée y chercher un amant russe ? Je m'apprêtais justement à en lui rapporter un tout neuf de mon voyage ! (…) Nous rions toutes les trois ! (…) Rassurez-vous, elle va vous tout vous avouer, je vous la passe, à bientôt, Yves ! ».

    Agnès me redonne le téléphone en me murmurant dans l’oreille : « Reste naturelle, n’arrête pas de te branler, regarde toi dans la glace, imagine que ton mari te voit comme ça ! Attention, au main libre ! ».

    Avec ma main droite trempée, je fouille mon con et sort de temps en temps un doigt pour me masser le clito : « Bonjour, mon chéri, excuse moi je suis un peu vaseuse ce matin, Agnès nous a gentiment accueillie chez elle avec Annie, car nous avons fait une petite fête un peu trop arrosée entre filles hier soir, une amie d’Annie qui se marie ce samedi ! (…) Et ça s’est bien passé ? (…) Oui, nous étions une douzaine de femmes, à peu près du même âge ! Nous avons eu droit à un excellent repas et ensuite nous sommes allées faire les folles dans une boîte de nuit jusqu’à l’aube (…) Eh bien, je vois que je ne te manque pas ! Il ne te reste qu'à mettre un voile noir ! (…) Où mon amour ? Sur la tête ou en string ? (…) Toujours aussi salope, ma Loré, tu as de la chance d'avoir tes amies à côté ! (…) Attends, elles me disent quelque chose ! ».

    J'occulte deux secondes mon micro ! Agnès en profite pour me mordiller l’épaule et me dire à haute voix : « Tu ne lui dis pas que tu as été baisée et enculée par un inconnu, que tu as fait trois passes dans sa belle auto ? Que tu as nettoyé la pine d'un clodo et que tu as été torturée deux heures par une asiatique que tu as fait jouir trois fois d'affilée, en lui léchant le trou du cul ? ».

    Tout mon corps frémit, en me remémorant cette soirée, mon doigt continue à tourner autour de mon clitoris, hyper sensibilisé qui entraîne des contractions de plus en plus rapprochées de mes muscles vaginaux.

    (…) Je libère mon micro (…) Me revoilà, Amour, elles sont intenables ! Elles voulaient que je te fasse croire qu'elles étaient sorties et de te proposer une baise par téléphone avec le main libre branché sur Radio France ! Qu'ai je fait pour avoir des amies aussi vicieuses ! (…) Oh ! Oui ! Tu as eu de la chance car elles auraient pu être comme toi : vicieuses et, en plus, perverses ! (…) Tu es un salaud ! Je raccroche ! Tu sais qu'elles écoutent et tu me traites de perverse ! (…) Mais non, ma chérie, tu n'as rien compris ! Dans ma bouche, perverse est un compliment, surtout quand je suis dans ta bouche ! (…) Beaucoup d'humour ton mari, Loré ! Je l'adore ! (…) Agnès adore ton humour et toi, mais je n'ai pas compris dans quel ordre ! (…) Annie veut te dire quelque chose : rassure toi, Yves, comme, c'est Eva qui s'occupe dorénavant de votre maison et que Jean engrange des oursons, j'ai décidé qu'elle ne devait pas s’ennuyer un seul instant pendant ton absence. Or, j'ai des tas d’amies, et, c'est comme ça que nous avons été invitées au dernier moment, à cette soirée entre-filles hier soir à Vichy ! (…) Annie, rassure toi, je te fais confiance ainsi qu'à tes amies ! Je sais que Loré est entre de bonnes mains affectueuses et très câlines ! (…) N'est ce pas ? (…) Gros rire d'Annie sans réponse (…) Et ton travail russe avance bien ? (…) Monosyllabes de ma part (…) Récit d'Yves (…) Avec grand peine : j’arrive à lui dire d’une voix à peu près normale (…) Mon pauvre Chéri, moins 20°, vivement que tu rentres à la maison pour que je puisse te réchauffer ! (…) Il rit : oui j’ai hâte, bon, ma chérie, on va couper, cet appel va te coûter une fortune ! (…) Mon trésor ? C'est toi ! Et il est inépuisable, je t’embrasse des cheveux aux orteils en m'arrêtant longuement là où tu sais ! (…) Je t'aime ma catin ! (…) Et il raccroche ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 11h50

    Je suis en sueur et tout mon corps tremble. Je coupe le téléphone et le laisse tomber à terre, accélérant tout se suite ma caresse sur mon clitoris gonflé de désir, mais Agnès me gifle violemment par derrière : « Arrête, salope, tu jouiras peut être mais pas maintenant ! Pour le moment reste assise dans ce fauteuil sans bouger, nous revenons de suite ».

    Agnès fait signe à Annie de la suivre. Elles reviennent en riant peu de temps après. Elles portent une brassée d'accessoires qui me font penser qu'elles reviennent de l'armoire de la chambre des plaisirs et que je ne vais pas terminer cette matinée en paix !

    Je n'ai pas changé de position dans le fauteuil. Agnès commence par ma tête : elle entoure une corde plusieurs fois autour de mon cou, tout en demandant à Annie d'en tendre une autre entre les deux pieds avant du fauteuil.

    Pendant qu'Annie s’exécute, Agnès, comme le fauteuil a des pieds assez hauts, jette la corde enroulée autour de mon cou sous lui pour qu'Annie la récupère et l'attache à celle qu'elle vient de poser.

    Elles passent ensuite à mes bras et avant-bras qu'elles saucissonnent à mes cuisses et mes jambes, posées sur les deux accoudoirs du fauteuil. Agnès s'interroge : « Dis-moi, Annie, en attachant Putain Loré par une corde bien serrée passant sous le fauteuil et reliant ses deux genoux, tu crois que ça serait suffirait pour l'immobiliser ? ».

    Annie réfléchit et lui répond : « Sauf, si tu es en manque de cordes, je te conseillerais de l'attacher bien serrée avec trois cordes passant sous le fauteuil, une les bras au niveau de ses épaules, une autre au niveau de ses coudes et la dernière à ses chevilles. Je pense que, là, elle serait totalement immobilisée ! ».

    Cette solution est immédiatement mise en pratique, et je me retrouve en effet, parfaitement immobilisée en quelques micros-minutes ! Pour me permettre de mouvoir mes fesses, Agnès glisse sous mon cul un gros oreiller bien rempli qui me sert de petit trampoline pour faire des petits bonds vicieux !

    Elle règle la psyché pour s'assurer que je me vois toujours entièrement dedans et demande à Annie d'installer sa caméra sur son trépied, juste devant le miroir en me cadrant soigneusement du haut de la tête au coussin du fauteuil, puisque mes pieds chaussés sont liés sur les accoudoirs du fauteuil et que seul mon cul repose sur l'assise du fauteuil.

    Agnès continue pendant qu'Annie prépare sa web-cam. Elle me glisse dans la bouche un bâillon-gode court mais très épais, qui remplit toute ma bouche. Elle s'assure que ma langue passe bien sous le gode, pour être sure que je ne puisse pas l'avaler. Elle l'attache très serré derrière ma nuque. Elle me signale, gentiment et au passage que je n'aurai pas les yeux bandés et que je vais garder les yeux grands ouverts tout le temps !

    Elle met des gants de chirurgie pour retirer les boules de geisha de mon con et les remplace de suite par d'autres quasiment identiques qu'elle n'a donc aucun mal à m'invaginer. Et elle demande à Annie de me soulever le bassin par devant, pour m'enculer avec le vibro-multi-fonctions que j'ai déjà testé chez eux lors de notre mémorable soirée !

    Elle se reculent toutes les deux et Agnès lui pose la question clé de la finition ! : « Qu'est ce qu'il lui manque à ton avis ma Chérie ? ». « Je te dirais bien des écraseurs de seins, mais elle a déjà beaucoup souffert des seins dans ta chambre aux plaisirs, peut être pourrais tu te contenter de cinq pinces en plastique : une sur chaque téton et quatre en étoiles pour décorer les aréoles ? ».

    Agnès approuve et deux minutes après mes tétons sont décorés avec ces dix pinces en plastique, aussi décoratives que douloureuses ! « Autre chose, ma chérie ? ». « Oui, tu pourrais lui mettre deux pinces en bois sur chaque grande lèvre du sexe et une troisième entre les deux qu'on pourrait tendre avec une petite corde, passant derrière son cul, pour bien lui ouvrir le con ? ».

    « Superbe idée, Annie ! Mais pourquoi ne pas lui en poser trois sur chaque grande lèvre et lui faire béer la moule en passant la corde derrière son cul, mais qui tendrait les six pinces ! Pour bien offrir son con et l'exposer d'une manière intime et obscène à Madame Cravache et à Monsieur Martinet ? Qui, j'en suis sure, ne sauront pas résister ! ».

    Elles éclatent de rire et se félicitent de ces idées qui trempent leurs moules perverses et qu'elles mettent de suite en application !

    Mercredi 1er février 2017 - 12h

    Méticuleuse, Agnès, vérifie tout : la corde qui me coupe un peu la respiration et qui se tend à l’extrême en passant sous le fauteuil. Le bâillon-gode qu'elle met de suite en route et qui se contente de pilonner mon palais mais de me faire de suite baver comme une bête. Les pinces de mes nichons auxquelles elle donne dix pichenettes pour vérifier qu'elles sont bien fixées !

    Le saucissonnage savant aux accoudoirs, qui me lie ensemble les membres inférieurs et supérieurs. Les trois cordes maîtresses qui passent sous le fauteuil pour m'immobiliser totalement.

    Et, enfin, les deux acteurs principaux de mes futures jouissances : les boules de geisha vibrantes, qu'elle met en route, et dont je reconnais de suite les vibrations permanentes et les bonds puissants qu'elles font en se choquant dans mon con ! Et, bien sur, le maître-artisan de ma jouissance : le vibro-multi-fonctions que je commence à bien connaître et dont je redoute, à présent, la redoutable efficacité !

    Surtout qu'Agnès, comme de coutume, sans faire de fioriture et en sautant la page préliminaires, met sur sa vitesse maximum ! En m'obligeant de suite à me tortiller comme un ver sur mon fauteuil qui manque assurément  d'intimité !

    Contentes de leur oeuvre, elles quittent la pièce en me souhaitant tout le bonheur du monde, ce qui me rappelle quelque chose, mais je ne sais plus quoi, peut être une chanson célèbre ?

    Mais je commence à connaître le fonctionnement de la web-cam d'Annie et je constate que les deux boutons rouges de liaison sont en route ! Elle diffuse donc dans deux directions et je mettrais ma main à couper que c'est le PC du bureau d'Annie et le PC portable d'Agnès ! Elles vont donc me mater, probablement en se gouinant, mais hors de ma vue !

    Je ne peux rien faire, seulement monter et descendre mon cul, et compter mes orgasmes sans pouvoir crier ni me manifester ! Mais je les apprécie tous, et j'ai une seule envie c'est qu'Yves me voit et se branle sur ce clip !

    Mercredi 1er février 2017 - 12h40

    Il y a peu de temps, Agnès, probablement de sa chambre a mis tous les moteurs sur la vitesse maximum, ce qui n'a pas amélioré ma condition de jouisseuse !

    Je ne sais plus où j'en suis, je jouis sans relâche, enchaînant des petits orgasmes et des tsunamis, je dois en être à huit jouissances. J'espère, pour elles, qu'Agnès et Annie ont suivi le même parcours ! J'en suis là  dans mes réflexions quand elles reviennent au salon, me surprenant en pleine jouissance ! Je ne leur cache aucune honte et j'affiche même, avec beaucoup de fierté, mon statut de salope orgasmique, devant elles ! 

    Elles ont totalement change de look : avec des jeans effilochés qui font très d'jeunes, des gros pulls en superposition, des blousons aviateur usés jusqu'à la corde et des superbes Nike neuves aux pieds !

    Un peu calmée par mon dernier orgasme, je ris en leur disant que j’ai du mal à les reconnaître ! Agnès me répond : « Ne m'oblige pas à te gifler, j'aurais trop peur que tu jouisses ! Sais-tu, Putain Loré, qu’il y a des jours où l'ai horreur de m’habiller ! Et chez Yasmine je suis comme chez moi ! Donc, je ne vois pas pourquoi je me gênerais ! ».

    Annie rajoute en riant : « Putain Loré ne peut être que d'accord avec toi, elle a inventé un uniforme de RTT qu'elle met ses jours de repos ! Si tu la croisais, je suis sûre qu'avec ta gentillesse, tu lui donnerais un billet de 5€ pour qu'elle aille s'acheter un bonnet de laine !

    J'approuve et nous rions toutes les trois ! Ca fait du bien ! « Nous allons te libérer : tu vas te doucher, nettoyer les sex-toys et t'habiller. Au passage, nous nous arrêterons devant chez Albert pour que tu récupères notre commande de sandwiches. Je l'ai prévenu que nous passerons aux alentours de 13h et j'ai aussi averti Yasmine que nous aurions peut être un peu de retard.

    Les deux femmes m'entourent, Agnès a coupé tous les moteurs, elle s'occupe des cordes. Pour Annie, ce sont le bâillon-gode, le vibro anal et les boules qu'elle dispose sur la serviette qui protégeait le coussin.

     

    A deux elles me libèrent très vite. Agnès me demande de ranger les sex-toys propres dans sa chambre, enroulés dans une serviette propre. Et, en me claquant durement une fesse quand je passe à sa portée, elle me signale qu'il ne me reste que cinq minutes pour tout faire, revenir ici à poil et m'habiller, sinon elles partent sans moi !

    Mercredi 1er février 2017 - 12h55

    Je reviens douchée et séchée, les sex-toys, sont rangés. Annie a sorti mon habillement qui est succinct : des bas noirs, des escarpins fermés à talons hauts et un magnifique manteau de cuir à enfiler directement sur ma peau nue. Toutes les deux estiment de concert que tout autre vêtement serait superflu !

    Deux minutes après, nous partons. Nous passons récupérer deux poches de sandwiches faits maison. Albert essaye bien me retenir, je lui promets que, demain matin, Madame Agnès m'enverra peut être acheter des croissants sur son compte ! Le pauvre va vivre ces prochaines 24h en pensant à ça !

    Je rejoins l'auto. Hors-saison, il y a peu de circulation dans Vichy et nous roulons facilement. Cinq minutes après, Agnès se gare en bas d'un immeuble impressionnant de hauteur, dans une ville moyennement haute.

    Elle appuie sur le digicode et annonce : « Ce sont les livreuses de sandwiches, Madame, vous pouvez nous ouvrir ? ». Le buzz d'ouverture retentit et nous montons dans l'ascenseur jusqu'au douzième, soit le dernier niveau : el altillo comment disent les Espagnols ! Quand on sait que « alto » veut dire « haut », on suppose vite ce que signifie « altillo » ! Et, encore une leçon gratuite d'Espagnol !

    Dans l'ascenseur, Agnès rompt le silence pour me demander de défaire les trois premiers boutons de mon manteau et de ne pas avoir peur ou honte de montrer ma belle gorge et la naissance de mes seins !

    Mercredi 1er février 2017 - 13h15

    Yasmine nous ouvre, hyper détendue et souriante. Elle nous embrasse toutes les trois longuement sur la bouche et nous invitent à la suivre : pieds-nus, elle porte un grand tee-shirt XXL qui lui arrive à mi-cuisses.

    Je la trouve ravissante et très fraîche même sans maquillage. « Je vois que tu as eu le temps de te reposer, ma douce » lui-dit Agnès en l’étreignant et en lui re-donnant sa langue à sucer.

    Elle termine son baiser en lui caressant la joue et lui conseille : « Fais visiter ton appartement à Loré, je suis sure qu’elle va l'adorer ! ».

    Avec plaisir et tout sourire, Yasmine me prend par la main pour me guider à travers une cuisine ultra moderne, super bien équipée, puis, une très belle salle de bains équipée d'une douche, d'une baignoire et d'un jacuzzi. Nous arrivons dans une chambre aux dimensions exceptionnelles avec une immense porte fenêtre qui donne sur une grande terrasse fleurie commune avec le salon.

    Elle ouvre la porte fenêtre avec une télécommande, et c'est en passant par la terrasse et en admirant la vue que nous offre ce douzième étage, que nous revenons dans le living, délicieusement décoré.

    « Tu as un très bel appartement ! Je n'avais jamais vu un F2 de plus de 200m² ! Tu vis avec quelqu'un ? ».Yasmine rit en me répondant : « Je n’ai pas de mari et je ne travaille pas, mais l’appartement est à moi et j’ai quelques petits sous de côté. J'ai simplement fait confiance à Agnès et à un grand ami ! Je sais que tu vas lui être présentée ! J’espère que tu seras aussi tentée ! Si tu m'autorises, juste un seul petit conseil : n'hésite surtout pas ! ».

    Je rougis en réalisant que Yasmine est en fait une call-girl de luxe, et, en plus, spécialisée dans le bdsm, ce qui selon Annie est très recherché !

    Agnès rit en nous proposant : « Allons sur la terrasse, admirer la vue extraordinaire qu’elle a ».Yasmine fait mine d’enfiler des mules, mais Agnès l'interrompt : « Non reste pieds nus, c'est très bien »

    Yasmine sait qu’en cette saison, et malgré le temps magnifique du jour, la terrasse est soumise aux intempéries, mais habituée à obéir, elle ouvre la porte fenêtre et sort pieds nus. Nous la suivons et admirons du balcon la vue magnifique qu’elle a, vers la droite, sur les parcs majestueux transformés en arboretums et allant jusqu'à l'Allier !

    Certains sont un peu cachés par un des plus hauts immeubles de Vichy qui domine de deux niveaux celui de Yasmine.

    Elle rajoute : « Vous voyez : dans une petite heure, tout Vichy sera en train de profiter de ces parcs ; et, ce depuis que Napoléon a ordonné lui même ces agencements magnifiques des rives de l'Allier. Je ne suis pas une femme d'argent, mais un 200m², face à l'Allier vaut le double du mien. Mais j’ai beaucoup de chance d'avoir cette qualité de vie, et je remercie chaque jour trois personnes : mes deux amis à qui j'appartiens et Allah tout puissant ! ».

    Il fait un peu frais, mais la vue est si belle que nous restons sur la terrasse admirant les fleurs, les plantations, les murs végétaux, un petit bassin fontaine adorable rempli de poissons et un superbe barbecue ultra moderne et très complet. Agnès rompt le charme :« J’ai un peu froid, rentrons, mes Chéries ». Yasmine répond : « Oui, bonne idée, Agnès, asseyez-vous dans ce fauteuil, vous y serez à la droite d'Allah, je vous l'assure ! Moi, avant de vous servir l’apéritif, je vais me laver les pieds ! En cette saison, ma terrasse n’est jamais bien propre ! ».

    Mais Agnès pose sa main sur son bras : « Non reste avec nous, allonge toi sur le canapé et pose tes pieds nus en les faisant dépasser de ce joli petit pouf tunisien. Notre Putain Loré issoirienne va te les nettoyer avec sa langue ! ». Yasmine souriante, s’allonge comme demandé. 

    Agnès me dit gentiment : « Allez, Putain-Loré, mets-toi à poil : je veux que les pieds de Yasmine soient propres et luisants de ta salive ! ». Les trois femmes me regardent ôter mon manteau, et sans quitter ni mes bas ni mes escarpins, je m‘agenouille devant ses pieds un peu poussiéreux, tout en me rappelant qu'il y a peu de temps j'en avait nettoyé d'autres beaucoup plus sales !

    Je prends le premier dans une de mes mains et léche la plante couverte de poussière, je salive abondamment pour avaler plus facilement tout ce que je recueille avant de remonter vers les orteils que je suce un à un. 

    Yasmine frémit, je ne sais pas si c'est à cause des chatouilles ou du plaisir qu'elle peut ressentir ! Je continue, en salivant sur tout son pied, que je lèche sans laisser la moindre parcelle de côté, avant de le lâcher pour me consacrer à l’autre.

    Agnès intervient : « Tu vois comme c’est une bonne putain, suceuse de pieds et pompeuse d'orteils : je lui ai offert les miens hier et elle a failli me faire jouir avec sa langue et sa bouche de putain ! ». Yasmine regarde ses pieds et dit : « Si Agnès est d'accord, je suggère d'applaudir mon amie Loré pour son travail parfait ! ». Agnès applaudit la première, et tout le monde la suit.

    Yasmine se relève et m’aide gentiment à me redresser. Je suis un peu surprise de l'avoir vue montrer son vrai caractère, mais, je me rappelle qu'Agnès m'a dit d'elle qu'elle la connait très bien, elle doit savoir quand elle peut se le permettre ! Réflexe qu'il me faudra apprendre !

    Alors que nous nous activons toutes pour préparer notre pic nic de luxe ! Agnès demande à Yasmine : « Et ton voyeur, il est toujours là ? ». « Ah Pierre ! Oui, il est fidèle au poste, mais je ne sais pas, s’il est là aujourd’hui ».

    Elle prend des jumelles sur la table de la base de son portable et regarde vers l’immeuble d’en face : « Non je vois son télescope et ses appareils photo, son matériel est prêt, mais, lui, ne semble pas être là, il est peut être allé déjeuner dehors. Je suis sur qu'il reviendra bientôt, de toutes les manières, si vous avez besoin de lui, j'ai son 06 ! ».

    « Pas grave, nous avons le temps, allons d'abord nous restaurer, mais, avant, sois gentille, ma Chérie, prête une jupe et un chemisier à Loré, j’ai peur de me lasser de son corps en la voyant constamment à poil ! Et de finir par me faire mouiller quand je sentirai qu'elle a les nichons nus sous une doudoune et un anorak ! ».

    En riant, elle m’entraîne dans sa chambre et m'ouvre sa penderie en me laissant choisir une jupe et un chemisier de mon choix. Je choisis et finis de m'habiller tout en entendant Agnès et Annie s’affairer dans la cuisine.

    Yasmine se penche sur moi et m’embrasse tendrement en cherchant ma langue, que je lui donne sans réserve, et, avant d'aller dans la cuisine, elle me glisse à l’oreille : « Hum ! Ta langue sur mes pieds ! Si tu avais continué un peu, je m’envoyais en l’air ! Jure moi qu’un jour tu me feras jouir comme ça, je t’en prie ». Souriante je le lui jure et nous rejoignons tout le monde.

    Mercredi 1er février 2017 - 13h40

    Champagne frappé, jus frais variés et boissons gazeuses à volonté, Yasmine a bien rempli sa part du contrat, mais elle a aussi rajouté des petits-fours chauds, froids et même sucrés venant du traiteur de son quartier qui est, en fait le meilleur de Vichy !

    Avant de commencer, Agnès me prend par le bras et me murmure à l'oreille : « Si je te dis, profites-en bien, que vas-tu boire ? ». Je réponds en lui souriant ! « Merci, Agnès : des jus de fruits ! ». « Bravo, tu fais des progrès Putain-Loré ! ».

    Nous mangeons de bon cœur en buvant et en riant comme des ados.

    Yasmine > « Savez-vous, Agnès que Monsieur Georges a entamé son douzième album, bientôt il aura 300 femmes de moins de 30 ans dans ses fiches, ça commence à être impressionnant ! ».

    Agnès > « Dire que tu es dans son septième ! Ca ne nous rajeunit pas. Mais il faut savoir que beaucoup d'inscrites ne répondent jamais à ses invitations, il devrait rafraîchir ses fiches ».

    Yasmine > « Oui elles agissent sur un coup d’excitation et par la suite elles ont trop honte de leurs envies et elles ne donnent pas suite ».

    J'ose me joindre à la conversation : « Ou elles ne peuvent pas donner suite, Yasmine est libre et célibataire, mais, pour prendre mon exemple, je suis mariée, avec un enfant, une maison à gérer et un travail. Ce n’est pas si simple de me libérer ! ».

    Les deux femmes approuvent mon raisonnement et Agnès conclut en me disant : « Nous verrons bien ce que tu décideras quand je te présenterai Monsieur Georges. Mais rassure toi, nous t’aimons toutes et nous ne te perdrons pas ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 14h

    J’aide Yasmine à tout ranger dans le lave vaisselle, Agnès est allée dans sa chambre. Elle revient avec ses jumelles à la cuisine : « Dis, moi, Yasmine, j'’ai l’impression qu’il est là, tu peux me le confirmer ? ». Elle la suit dans sa chambre et jette un coup d’œil à la jumelle et elle lui confirme que c'est bien Pierre.

    « Bien tu as son portable ? ». « Oui, il est préréglé Voyeur Pier sur tous mes téléphones ». Agnès prend son portable et s'isole cinq minutes dans la chambre, elle revient en souriant dans le vivoir où elle commence une mise en scène : un fauteuil non visible de l'extérieur, à droite de la porte fenêtre, un autre identiquement caché à gauche. Et un troisième face à la porte fenêtre, fermée pour le moment.

    Yasmine et moi l'avons rejointe dans le salon. Yasmine lui demande un entretien privé, qu'elle accepte de suite. Elles s'isolent dans la cuisine. Agnès revient hyper souriante et s'adresse de suite à Annie ! « Annie, j'ai peut être une bonne nouvelle à t'annoncer ! ». « Ah ! Ma chérie, c'est déjà une excellente nouvelle car je sais que tu ne te trompes jamais ! ».

    « Hum ! Vérité flatteuse, mais dans ce cas, tu as raison. Je te résume le raisonnement et sa conclusion : hier, Yasmine t'a trouvé très gentille et attentionnée quand tu lui as donné un flacon de ton baume miracle qui lui a fait un bien fou ! (…) Bien que je sois très jalouse car je n'y ai pas eu droit !(…) Mais, ma Chérie, tu n'en as pas besoin, ce sont tes soumise qui l'utilise ! (…) Exact (…) Mais je préfère signer le baume pour qu'elle m'aiment encore plus ! ( …) Comme je t'avais assez bien jugée, je n'ignore pas ton ego et j'ai deux gros flacons dans la voiture de Loré et le mail du fabricant aux USA, avec une recommandation de ma part et le tout rien que pour toi ! (…) Dossier classé, merci Annie, je continue !».

    « Donc, elle a décidé de faire plaisir à la femme Annie et non pas à Maîtresse Annie ! (…) ???? (…) Tu vas vite comprendre, elle a sélectionné dans son répertoire et non dans son fichier clients, ce qui est très différent ! (…) En effet ! (…) L'homme qu'elle considère être le plus habile et le plus fascinant de Vichy, au lit, avec un sexe à faire pleurer d'envie les femmes. Et, qui sait s'en servir ! Il s'appelle Jonas, mais n'habite pas dans une baleine ! Il est beau comme un Dieu grec avec ses 30 ans de maturité sexuelle. Et ? (…) Par malheur, il passe la semaine avec Miss Monde en Thaïlande ? (…) Quelle pessimiste ! (…) Et, il a reçu une photo pudique de toi qui vient d'une fiche Wikipédia et non de tes archives cochonnes ! Et (…) Tu as rendez-vous avec lui à la Grande Brasserie qui est à cinquante mètres en sortant de l'immeuble à droite à partir de 14h30, jusqu'à 14h32, si ça se passe mal ! Ou jusqu'à beaucoup plus si affinités ! Tu as juste un détail à respecter : pour lui, Yasmine est directrice d'une agence d’événementiel pour la France, merci ! ».

    Agnès complète : « Bien évidement, tu n'as aucune de limite de temps, entre deux orgasmes, essaye de nous tenir au courant, mais, ce Monsieur étant un gentleman, quand vous en aurez terminé, il t'accompagnera où tu le lui demandera ! Quant à ce qui va se passera ici, ce sera bien sur très chaud, mais entièrement enregistré, donc tu sais que tu ne rateras rien, et que Tom recevra les dernières aventures de Loré à Vichy en temps et en heure ! Rien de plus, sinon de te souhaiter de notre part à toutes, de bien te régaler avec le roi de la baise de Vichy ! Et crois-en ceux qui la connaissent intimement ! Yasmine a un jugement très sur ! Et, elle non plus ne se trompe jamais ! ».

    Annie ne trouve pas d'autre mot qu'un « merci » prononcé d'une voix émue et demande à Yasmine de lui indiquer la salle de bains. Pendant que nous finissons la mise en scène du salon, elle se douche et se rafraîchit ! Soucieuse du moindre détail, Agnès nous demande d'enlever le fauteuil caché de gauche qui était, en fait destiné à Annie !

    Puis elle demande quelque chose à Yasmine qui revient de la cuisine avec un gros sac de cuir noir qu’elle dépose sur la table du salon. Elle continue en lui demandant, dès le départ d'Annie, d’appeler le portable du voyeur de son fixe en main libre, et de pousser l'ampli au maximum.

    Annie revient de la salle de bains, toute fraîche, légèrement parfumée et habillée, elle aussi par la garde robe de Yasmine, mais très élégamment ! Elle m'embrasse tendrement puis passe à la bouche d'Agnès avant de s'attarder longuement dans celle de Yasmine qu'elle doit remercier au creux de l'oreille pour cet amant et pour ses vêtements !

    Nous l'accompagnons toutes les trois à la porte et la saluons jusque dans l'ascenseur et revenons dans le salon. Agnès s’assied dans le fauteuil caché de droite et demande à Yasmine de se mettre entièrement nue et de s'asseoir sur l'accoudoir gauche de son fauteuil tout en s'adressant à moi : « Pour le moment, Putain-Loré, tu t'installes dans le fauteuil du centre, habillée, les jambes pudiquement croisées et tes mains posées à plat sur tes genoux ».

    Agnès fait signe à Yasmine d'appeler Pierre.

    Mercredi 1er février 2017 - 14h20

    Une voix mâle paraissant très jeune résonne dans la pièce :

    « Bonjour, c'est Pierre, je veux parler à la femme qui est assise dans un fauteuil devant la porte fenêtre »

    « Bonjour, Monsieur ».

     « Tu t'appelles Loréna ? »

    « Oui, Monsieur ! ».

    « C'est ton pseudo de pute ? Ou ton vrai prénom ? »

    « Mon vrai prénom, Monsieur, je ne fais pas le trottoir ».

    « Continue à m’appeler Monsieur, quel est ton nom de famille ? »

    « Je n’aime pas le donner, Monsieur ».

    « Ta Maîtresse m’a dit au téléphone que tu disais toujours la vérité ! »

    « C’est vrai, Monsieur, je m’appelle Dufour ».

    « Et tu habites Vichy ? »

    « Non, Monsieur, je vis au sud de Clermont-Ferrand ».

    « Tu es mariée ? »

    « Oui, Monsieur ».

    « Et il s’appelle comment ? »

    « Yves, Monsieur ».

    « Et Yves Dufour sait que tu viens faire la pute à Vichy ? »

    « Non, Monsieur, il n’est pas au courant ».

    « Donc, tu es infidèle, mais en plus salope et menteuse ? »

    « On peut dire ça, Monsieur ».

    « Je ne sais pas si on peut le dire, mais c'est ce qu’affirme ta Maîtresse qui ajoute qu’en plus d’être pute, tu es soumise, obéissante et maso ! »

    Je me sens horriblement vexée par cette réflexion et je ne réponds pas baissant la tête.

    « Ce n’est pas la peine de baisser la tête, je te vois comme si tu étais à un mètre de moi ! Alors répond ! »

    « Oui Monsieur, j'ai la réputation d'être une pute soumise ».

    « Ca va bien ensemble, debout et rapproche-toi de la porte fenêtre »

    Je me lève et me mets à un mètre de la vitre.

    « Que portes-tu sous ta jupe et ton chemisier ? »

    « A part des bas, rien, Monsieur ».

    « Sais-tu qu’en te parlant et en te regardant, je prends cliché sur cliché de toi ? J’en suis déjà à cinquante uniquement de ton visage ! »

    « Je le sais, Monsieur, une amie m'a parlé de votre équipement photo ».

    « Tu connais tes risques en te retrouvant sur le net visage non caché ? »

    « En venant à Vichy, Monsieur, je savais que je prenais des risques ».

    « Ta propriétaire a raison : tu es docile, soumise et elle t'a bien éduquée, félicite la pour moi ! »

    « Elle entend notre conversation, Monsieur ».

    « C’est encore mieux, j’espère que Yasmine écoute aussi : comment veux-tu que je t'appelle ? »

    « Loréna ou Loré, Monsieur, mais je répondrai à tout autre nom ! ».

    « Comment t'appelle Madame Agnès ? »

    « Putain-Loré, Monsieur ».

    « Bien, pour moi tu seras sale-pute ! Tu aimes ? »

    « Oui, Monsieur, j'aime et ça me convient ! ».

    « Je te trouve très veule, tu ne te rebelles jamais ? »

    « Non, Monsieur, jamais, j'ai appris à dire oui et presque jamais non ! ».

    « Bien, sale-pute, suce toi lentement et très sensuellement deux doigts de ta main gauche »

    Je les suce, les lèche avant de les entrer et de les ressortir de ma bouche comme si je les pompais. Il semble satisfait, car il ne me dit rien, et je l’imagine le doigt crispé sur son déclencheur !

    « Déboutonne les deux boutons du haut de ton chemisier et glisse ta main droite dans ton décolleté. Fais durcir tes tétons avec tes doigts »

    Sans arrêter de me sucer les doigts de la main gauche, je déboutonne les deux premiers boutons et glisse ma main droite sur ma poitrine chaude.  Je sollicite mes tétons qui réagissent de suite en se tendant.

    « Sale-pute, suce quatre doigts de ta main gauche et quand ils seront bien mouillés, pose les sur ton chemisier et pétris-toi un de tes bouts, je veux voir des taches sur ton chemisier au niveau d'un bout de nibard que je te laisse choisir ! »

    Quand les doigts de ma main gauche sont trempés de salive, je les pose sur mon chemisier et pince mon téton droit à travers l'étoffe, alors, que sans attendre, je rentre quatre doigts de ma main droite dans ma bouche pour les humidifier de la même manière. Très vite, une auréole de salive se forme autour de mon téton droit.

    « Sale-pute, tu es gentille d'attendre mes ordres avant de les exécuter ! Continue à mouiller tes autres doigts et fais moi voir tes remontées de lait sur tes nichons de femelle pleine. Est-ce que tu commences à être très en chaleur pour perdre du jus de femelle par les nichons ? »

    Je suis assez étonnée par ces pertes de jus par les seins quand une femelle est excitée ! Je ne connais pas du tout ce processus ! Mais peut-être suis-je l'exception qui confirme la règle ! Perdue dans mes pensées, et ayant plus envie d'éclater de rire, que de répondre, je me prends un :

    « Sale-pute je t'ai posé une question, réponds ! »

    « C'est un mélange des deux, Monsieur, j'ai des remontées de lait et je suis tellement excitée que je perds du jus de femelle en chaleur par le canal lactaire ! » Le temps qu'il vérifie lactaire et lactifère, j'ai le temps d'aller boire un verre d'eau ! Je m'excuse auprès de lui et me lève juste pour murmurer à Yasmine : « Dis moi Chérie, tu perds beaucoup de jus par les seins quand tu es excitée ? ». Elle éclate de rire et me conseille de me rasseoir pour ne pas être punie ! Sur ce coup, Agnès est indulgente et rit aussi sans me punir ! Je reviens en m'excusant auprès de Pierre !

    Je tourne les yeux vers le fauteuil : Agnès a quitté son jean et ses chaussures, Yasmine est à genoux devant elle, nue, fesses offertes et lui lèche les pieds avec application.

    Agnès prend une ardoise et écrit dessus : « Sois très salope et lâche toi : il te paye 200€ ». Une gifle de sa part m’aurait fait moins mal.  Désemparée je ne sais plus quoi faire mais la voix reprend :

    « Tourne toi et relève ta jupe : je veux voir ton cul »

    Debout, je tourne le dos à la fenêtre et enroule ma jupe à ma taille, tout en lui faisant remarquer ! « Monsieur, si j'ouvrais la porte fenêtre, vous me verriez plus clairement, vous ne croyez pas? ».

    Il apprécie beaucoup ma remarque et me dit de l’ouvrir de suite !

    Ce que Yasmine fait pour moi avec sa télécommande (…) Ma Chérie, je monte en même temps le chauffage, je ne veux pas que nous nous gelions grâce à tes bonnes idées généreuses !

    « Penche toi en avant et ouvre tes fesses avec tes mains je veux voir la marchandise ! »

    Docilement, j’ouvre largement mes fesses pour lui offrir mon anus.

    « Je sais que Yasmine a beaucoup de sex-toys, trouve toi un plug et encule toi devant moi »

    Agnès me désigne le sac noir sur le lit, je l’ouvre et trouve rapidement un plug noir qui semble être d’un calibre raisonnable. Je reviens vers la fenêtre et me l’enfonce doucement dans les fesses en poussant un cri que je ne peux retenir.

    « Tu glousses quand on t’encule ! Et tu dois hurler quand on te nique ! Tu es une sacrée chaudasse toi ! Assieds toi dans le fauteuil, genoux bien écartés et ouvre ta moule avec tes deux mains »

    Ce langage ordurier me fouette les sens mais je m’assieds, genoux posés sur les accoudoirs et ouvre mon sexe de mes deux mains. Il est gluant et trempé, j’imagine les gros plans que le photographe vicieux doit être en train de faire et ça me surexcite.

    « Ouvre toi plus, tire bien sur tes lèvres, montre moi l’intérieur de ton vagin de salope »

    J’écarte encore plus les cuisses et tire mes lèvres de mes mains pour mieux m’offrir.

    « Tu es trempée, je te vois dégouliner, regarde ce filet de sécrétions qui coule sur ta cuisse. Tu n’as pas honte de te montrer ainsi ? Ton vice ne t’écœure pas ? »

    Je me tourne vers Agnès, je n’ai jamais été insultée comme ça mais elle me rassure par un grand sourire alors que je vois la tête de Yasmine s’agiter entre ses cuisses grandes ouvertes.

    « Lève toi putain et approche toi du balcon : dégage bien ton clitoris et montre le moi, expose le bien, il doit être dur, bien visible et tendu »

    Debout, je l’aide à sortir de sa cachette, il est en effet gorgé de sang, je le décapuchonne délicatement et l’expose ainsi jambes écartées.

    « Si je dois écrire un article sur une femme chaude, je mettrai cette photo de toi ! Branle toi le clitoris d’une main et de l’autre mets toi à poil »

    Main droite rivée sur ma chatte, un doigt posé sur mon clitoris, j’arrive en me contorsionnant un peu à ôter mes chaussures. Pour les bas c’est un peu plus difficile. Mon chemisier ouvert, glisse facilement à mes pieds, suivi de ma jupe. Je suis nue face au balcon, me branlant de plus en plus fort le clitoris et le haut du sexe. Je suis de plus en plus chaude et je n’arrive plus à étouffer mes petits cris de plaisir.

    « Non seulement tu n’as pas honte mais en plus tu en tires du plaisir. Je n’aurai même pas le temps de t’enfiler ma bite que tu me crèverais les tympans en t’envoyant en l’air. File dans le sac et trouve toi deux pinces en fer avec les lests les plus lourds possibles et des boules de geisha »

    Je vais vers le sac. Sans le vouloir, je me rends compte que je tortille du cul pour exciter d'avantage mon voyeur ! Excitée, je deviens réellement une grosse salope, même sans le chercher ! Je fouille le sac et reviens avec une paire d’écraseurs de seins en fer, des plombs pour les lester et des boules de geisha énormes et télécommandées.

    « Sale pute, enfile les boules une à une dans ta moule »

    Je les fais glisser une à une, je suis tellement trempée qu’elles glissent toutes seules très facilement.

    « Bien, à présent les pinces et les poids, fais bien attention de ne pincer que tes tétons de sale pute et pas la chair de tes seins »

    Je gémis de douleur en me pinçant chaque téton et encore plus fort quand les poids les déforment et les entraînent vers le bas.

    « Hum tu es vraiment vulgaire avec tes mamelles pendantes. Mais tu me fais bander car ton visage reflète une réelle douleur »

    J’ai en effet beaucoup de mal à dissimuler ma douleur, courbée vers l’avant, tétons tendus et alourdis par les poids, je grimace en gémissant comme une petite chienne.

    « Je vais te calmer un peu, ça te fera du bien ! Croise tes mains sur la tête, referme bien les cuisses, tu vas sautiller sur tes pieds, le plus haut possible sans décroiser tes mains, ni ouvrir tes jambes et tu vas compter tes sauts à haute voix : allez vas y commence ! »

    Je suis effrayée par la douleur que je vais ressentir : en sautant, les poids vont entraîner mes tétons vers le haut et en redescendant ils vont brutalement chuter vers le bas. Je plie un peu les jambes et saute une première fois en comptant à haute voix : « Un ». La descente est horrible. Même retombée sur mes pieds, mes seins continuent à tressauter me faisant hurler de douleur. Mais je dois ressauter : « Deux », « Trois », « Quatre », « Cinq ». De grosses larmes coulent de mes yeux : « Six », « Sept », « Huit ». « Oooh, je vous en supplie, laissez moi arrêter j’ai vraiment trop mal ».

    « Tu as peut être mal aux nichons mais les boules te ramonent bien le con, alors ne me prends pas pour un imbécile et continue ! »

    Malgré mes supplications et toutes mes prières, il ne me libère qu’à : « Dix ». Je n’en peux plus et je m’écroule à genoux sur le carrelage, en larmes, me tenant les lests pour soulager ma douleur.

    « La sale-pute à genoux ! Ce sera l'une de mes plus belles photos : allez relève toi, enlève les poids de tes pinces. Garde les pinces, le plug et les boules, enfile un manteau, reste nus pieds et demande à Yasmine comment venir chez moi. Dis aux filles, que si elles veulent entendre, je laisse mon téléphone branché, allez ne tarde pas sale-pute ! »

    Mercredi 1er février 2017 - 15h10

    J’ôte avec soulagement les poids des pinces. Ca atténue très peu ma douleur mais mes seins reviennent, au moins à un niveau normal. Agnès, qui ne doit plus compter ses orgasmes, relève la tête de Yasmine qui a la bouche trempée de sa mouille et, visiblement, la langue tellement douloureuse qu'elle semble paralysée.

    De ce fait, elle parle bizarrement mais arrive tout de même à me susurrer, comment aller chez lui et me glisse à l’oreille : « Fais-attention, quand il est bande très dur il adore les filles très vulgaires ».

    Mercredi 1er février 2017 - 15h15

    Je la remercie, enfile mon manteau et sors. J’ai souvent été sur-excitée dans ma vie mais je pense que cette fois je dépasse toutes les limites. Je flotte comme sur un nuage, tout en traversant, pieds nus, l’avenue qui me sépare de l’immeuble en face.

    Sans pouvoir résister au plaisir de frotter mes cuisses pour bien sentir les boules tourner dans mon ventre. J'appuie sur l'interphone au 4b. La voix est affaiblie par un appareil un peu déficient :

    Pierre > « Oui qui est là ? »

    Loré > « C’est Loréna, Monsieur ».

    Pierre > « Loréna ? Je ne connais pas, j’attends quelqu’un, mais ce ne doit pas être vous, ou alors vous vous présentez mal ma chère ».

    Loré > Je me rappelle du conseil de Yasmine. « Je suis la putain que vous avez réservée, Monsieur ».

    Pierre > « Ah tu es mon vide couilles ! Je me fous de savoir que tu t’appelles Loréna ou Josette, tu es bien à poil sous ton manteau ? »

    Loré > « Oui Monsieur je suis bien à poil sous mon manteau ».

    Pierre > L’ouvre porte résonne et j’entre : ascenseur, quatrième gauche, je frappe à la porte. Elle s’ouvre sur un homme jeune, en caleçon qui ne cache pas une forte érection, il me filme avec une caméra numérique, me signifiant que je ne dois pas entrer pour le moment. « Alors dis moi qui es tu ? »

    Loré > « Je suis la putain que vous avez réservée ».

    Pierre > « Je ne t’ai jamais vue sur le trottoir, tu es nouvelle à Vichy ? »

    Loré > « Oui je suis nouvelle mais je ne suis pas une professionnelle ».

    Pierre > « Ah tu finis tes fins de mois en vidant des couilles, je comprends. J’ai dit à ta patronne que je niquais sans préservatif alors si ça ne te va pas, casse toi de suite ! »

    Loré > « Oui Monsieur : je sais que vous niquez sans préservatif ».

    Pierre > Il me toise méprisant et filme mes pieds nus. « Tu n’avais pas de pognon pour t’acheter une paire de pompes ? »

    Loré > « Vous avez demandé une putain sans rien sous son manteau, et pieds nus pour vous prouver mon obéissance et ma volonté de vous plaire ».

    Pierre > « Ah tu me fais rire ! Tu sais ce que tu es pour moi ? »

    Loré > « Je ne sais pas Monsieur, un vide couilles ? ».

    Pierre > « C’est sur que tu me videras les couilles, mais pour moi tu es un objet sur pattes avec trois trous à ma disposition et rien de plus ! Bon, assez perdu de temps avec un paillasson. J’avais demandé trois choses à ta Maîtresse, tu les as sur toi ? »

    Loré > « Oui Monsieur, je les porte ».

    Pierre > « Bien, retourne toi, colle toi à l’ascenseur et enlève ton manteau, je vais vérifier »

    Je lui tourne le dos et j’ôte mon manteau me dévoilant nue. Il ne fait aucun commentaire, mais j’entends plusieurs fois le bruit caractéristique du zoom et j’en déduis qu’il doit faire des gros plans de tout mon corps.

    Pierre > « Reste comme ça et enlève le plug de ton cul de pouffiasse »

    Loré > Manteau relevé, je me penche en avant et je retire le plug de mon anus, il a un peu séché depuis le temps que je le porte et ça me fait grimacer.

    Pierre > « Montre le bien à la caméra (…) Voilà comme ça. A présent, remets le dans ton cul, bien au fond, en poussant bien »

    Loré > Je le remets en place mais je suis très sèche de l’anus et ça me fait mal !.

    Pierre > A peine entré, il me le fait ressortir entièrement, puis le renfoncer totalement. Il semble apprécier ce petit manège car il me le fait faire une dizaine de fois avant de me le laisser profondément enfoncé dans le cul « Tu as l’air d’aimer ça, tu as beaucoup de clients qui te payent pour t’enculer ? »

    Loré > « Je ne sais pas Monsieur, je débute ».

    Pierre > « Et ton mari il t’encule souvent ? »

    Loré > « Oui Monsieur, il aime bien m’enculer, il le fait souvent ».

    Pierre > « Ca ne m’étonne pas tu as des yeux et un cul d’enculée, allez retourne toi que je vois le reste ! »

    Loré > Je me retourne et lui fais face, il filme toujours, je vois, sur un tabouret posé à côté de lui, son téléphone fixe branché, j’en déduis qu’Agnès et Yasmine écoutent toute notre conversation ce qui m’excite encore plus.

    Pierre > « Tu as vraiment des nichons qui appelent la souffrance en permanence. Je serais ton Maître, je te poserais des anneaux gravés à mon nom sur les tétons ! Tu vas jouer un peu pour moi et pour mon film : bouche ouverte, tu vas te lécher les lèvres en regardant vicieusement la caméra avec un grand sourire et en même temps tu te peloteras les nichons de la base à la pointe en insistant bien sur les pinces et tu contracteras les muscles de ton vagin pour bien sentir les boules dans ton ventre : tu vois c’est tout simple ! »

    Loré > Je suis tellement excitée que je n’ai aucun mal à m’exécuter, langue sortie, je me lèche les lèvres tout en souriant à la caméra. Je pétris mes seins, les compressant à leur base pour terminer, en jouant avec les pinces jusqu’à me faire grimacer de douleur. La caméra s’attarde sur mon ventre qui bouge lentement sans que les contractions ne se voient, mais lui et moi savons qu’elles me caressent l’intérieur du vagin. De plus en plus chaude, je me laisse aller en poussant des petits cris qui n’ont rien à voir avec le jeu.

    Pierre > En souriant il constate ma transformation. « Te voilà chaude à point il me semble sale-pute ! »

    Loré > « Oh oui Monsieur je suis très excitée ».

    Pierre > Il rit en posant une main entre mes cuisses, il tire sur la ficelle et retire une des boules. « Regarde dans quel état est la boule, tu n’es pas excitée : tu es dégoulinante ! Je suis sur que tu serais capable de prendre ton pied rien qu’en regardant ma bite tellement tu es en chaleur »

    Loré > « Oh oui votre bite ou une caresse me suffiraient pour jouir ».

    Pierre > « Eh bien c’est parfait, j’ai un client qui me réclame depuis un mois un film sur une pute qui jouit juste en se touchant les nichons, je crois que tu es assez salope pour ça. Enlève les boules de ton ventre et retire tes pinces des seins tu utiliseras tes doigts pour t’envoyer en l’air devant la caméra » Il me fait entrer dans son appartement après avoir ramassé mon manteau. Il referme la porte et je finis d’enlever les boules de mon ventre avant d’hurler en ôtant les pinces de mes bouts. « Eh oui, plus on les garde, plus on a mal en les enlevant, c’est normal, mais ça augmente leur sensibilité ! »

    Mercredi 1er février 2017 - 15h45

    Pierre me demande de refaire une partie de mon entrée : depuis mon arrivée à la porte de l'appartement. Je sonne, le corps nu, recouvert de mon manteau en cuir. Il m'ouvre et je me présente comme : « La putain que vous avez réservée à ma propriétaire ».

    Il approuve, me fait entrer en me rappelant : « Tu es bien au courant que j'ai demandé à ta Maîtresse une pute qui jouissait des bouts de mamelles sans se toucher le reste de son corps de pute ? ». « Oui, je le sais, Monsieur, je ne vous décevrai pas ».

    Devant la caméra, il me tend deux billets de 100€ que je fais disparaître dans la poche de mon manteau.

    Caméra coupée, il me précise ce que je viens de faire : « Tu viens de faire deux passes dans un parking proche, tu travailles toujours à poil sous ton manteau et tu te fais toujours niquer ou enculer sans préservatifs, comme tu es venue directement, tu n'as eu le temps de te laver ! ». Je lui fais signe que j'ai bien compris.

    Il remet la caméra en route en me disant : « Mets toi dans le couloir et enlève ton manteau, je veux voir la marchandise ! ». Je déboutonne lentement mon manteau, que je jette au sol et il semble surpris : « Tu bosses à poil sous ton cuir ? Tu es une vraie salope toi ! ». « Oui, je suis une salope, mais il se fait que cet après-midi, je n'avais pas d’appart, alors je préfère travailler nue sous mon manteau, c'est plus simple ! ». « Et tu as fait combien de passes avant moi sale-pute ? » : « Deux ! ». 

    « Mets-toi devant cette fenêtre où tu auras un bon éclairage et commence à te branler les bouts de mamelles, en étant très pute devant la caméra, et raconte moi ce que tu as fait avec eux ? ». Je me pétris les seins tout en effleurant mes bouts encore sensibles du long écrasement subi chez Yasmine, et lui réponds : « Le début fut pareil : une bonne branlette suivi d'une longue pipe, mais des fins différentes : le premier m'a niquée les cuisses levées avant de se vider les couilles dans ma bouche et de me regarder avaler son foutre en me giflant à chaque gorgée, et le deuxième m'a niquée avant de m'enculer en levrette et de se vider dans mes intestins avant de se faire nettoyer dans ma bouche ! ».

    « Ce sont des habitués ? » (...) « Oui les deux » (...) « Et à quoi ont droit les habitués avec toi ? » (…) Mes tétons sont de plus en plus durs, je les prends entre deux doigts et les branle comme deux petites bites (…) « Ils ont mon portable, ils peuvent m’embrasser sur la bouche, me voir nue, je les bois s’ils veulent jouir dans ma bouche et ils peuvent me baiser ou m’enculer sans capote ».

    Je me prête au jeu de la parfaite putain, ce qui m’excite terriblement. J’ai l’impression que ma chatte coule, de mes cuisses à mes chevilles en flot continu et que mes bouts se nichons ont triplé de volume. Je me lèche les lèvres, pour qu'elles brillent bien, et, bouche entrouverte je regarde la caméra droit dans l'objectif en souriant vicieusement.

    Excité, il insiste : « Écarte bien les jambes pour qu’on voit que tu ne te caresses pas les cuisses, en les frottant l’une contre l’autre, et branle plus fort tes bouts de nibards, je veux t’entendre couiner comme une chienne en rut. Si je comprends bien ce que tu viens de m’expliquer, sale-pute, c’est que tu as une dose de foutre dans ton trou à merdes et une autre dans ton estomac ? ».

    Je gémis en ayant de plus en plus de mal à parler ! « Oui Monsieur, j'avais deux rendez-vous avant qu’on ne me contacte pour me signaler que vous m'attendiez, et je n'ai pas eu le temps de me laver ». Mon corps tremble, mes jambes ont du mal à me supporter, mes tétons sont de plus en plus douloureux et sensibles, j’accentue et durcit mes caresses. La caméra ne perd rien, je la vois aller de mes bouts violacés à mon visage grimaçant, en passant par mes cuisses largement ouvertes dégoulinantes de mon jus de femme tiède et visqueux.

    « Et tu crois vraiment que je vais me vider les couilles dans des trous qui ont servi à tout Vichy ? Tu me prends pour un gogo ? ».

    Je suis au bord de l’orgasme et il m'est de plus en plus difficile de construire des phrases entières : « J’ai répondu honnêtement à vos questions, Monsieur, je ne vous ai pas du tout pris pour un imbécile : je peux me doucher avant que vous ne jouissiez, ou vous pouvez vous vider dans mon con qui est propre, ou m'obliger à vous branler avec mes nichons pour que vous gicliez sur le sol pour me filmer en train de lécher votre foutre et de le récupérer par terre pour l'avaler ! Vous avez de nombreuses possibilités excitantes, mais il vous faut faire vite, car, je commence à ne plus pouvoir me retenir, Monsieur, et ce serait dommage ! Ooooh : faites vite je vous en supplie ! ».

    Il joue parfaitement la colère ! Et après un clin d’œil, il me dit : « Moi je sais ce que tu vas faire, sale-pute : tu vas t’envoyer en l’air en caressant tes mamelles de truie, je filmerai ainsi un véritable orgasme de nichons, et tu me rendras la moitié de mon pognon. Tu te casseras pour te faire niquer où et par qui te voudra ! ».

    Je suis tellement dans le rôle, que j’explose dans un tsunami qui me ravage des tétons au ventre en me faisant hurler de plaisir. Tout mon corps se contracte. Je tombe agenouillée par terre, les mains encore crispées sur mes tétons.

    Je sens que la caméra me suit, et filme tous les endroits qui auraient pu m'aider à jouir, mais, bien sur, sans en trouver un seul ! Le plaisir vient uniquement de la sensibilité et du travail effectué régulièrement sur mes tétons et de la situation extraordinairement humiliante dans laquelle Pierre a su me plonger comme, je le suppose savent le faire les vrais metteurs en scène !

    La caméra vient sur mon visage pour un gros plan de la fin de mon orgasme et Pierre me dit d'une voix qui me semble très lointaine : « Souris à la caméra, ma belle Loré, bien que cet orgasme n'ait aucune besoin d'une chute ! Ton joli sourire en fera une de plus et en regardant cette scène, je penserai encore plus à toi ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 16h20

    Toujours agenouillée, j'essaye de récupérer, le souffle court, car je n'arrive pas à récupérer un respiration normale. Et, tout mon corps est douloureux, probablement après l'accumulation d'orgasmes de ces deux jours, qui ont mis mon corps à contribution, plus que d'habitude.

    Pierre a coupé et posé sa caméra, il m’aide à me relever, et me dit, gentiment d'une voix très douce : « Eh bien, Loré, c’est la première fois que je vois un orgasme aussi violent chez une femme ! Et pourtant, je peux t'affirmer que tu n'es pas la première ! ».

    Je souris et me laisse guider par les cheveux vers sa chambre : je sais très bien qu'il n' pas joui ! Et quand il me propose de me mettre sur le lit, en levrette, la tête entre les mains et le cul bien relevé en pointe, pour qu'il voit bien mon ton trou du cul ouvert ! Je lui réponds en riant : « Après une telle jouissance, je te dois bien ça, Pierre ! ».

    Je suis à peine dans la bonne position, qu’il monte sur le lit, se met à genoux derrière moi et m’encule d’un seul coup de reins en hurlant.

    « Oooooooh, ça fait plus de deux heures que tu me fais bander, je t’assure que tu vas recevoir une sacrée dose de foutre ! ». Il va et vient bestialement dans mes fesses, ne se préoccupant absolument pas d'un quelconque plaisir pour moi, ce qui me semble très normal ! Il ressort complètement son sexe de mon anus, pour le renfoncer brutalement jusqu’aux couilles, me faisant gémir de douleur et de plaisir.

    Sexe dehors, il en profite pour me caresser la raie du cul avec, en soufflant, pour que nous récupérions tous les deux et que je me décontracte pour encore mieux l’accueillir dans mes fesses ! Mais il change brusquement de direction et je sens son gland ouvrir mes lèvres vaginales et sa bite me pénétrer le ventre jusqu’à ce que ses couilles cognent brutalement mes fesses.

    Bien collé à moi, il passe une main sous mon ventre, trouve rapidement mon clitoris et le pince fortement avec deux de ses doigts en commençant à me pilonner le ventre de tous les muscles de son corps. Il est très bien membré et me remplit le vagin, en me faisant gémir de plaisir, tout en me triturant le clitoris sans pitié.

    A ce rythme là, il se produit ce que je n'attendais vraiment pas : je jouis, corps tordu, gémissante comme une petite chienne, poussant mes fesses vers lui pour encore mieux sentir sa queue ravager ma connasse.

    Sans arrêter de me niquer le plus fort et le plus rapidement possible, il ironise sur ce nouvel orgasme en me disant : « C'est rare de tomber sur une salope à jouir comme toi ! Mais quel plaisir ! On se sent vraiment utile quand une nana, mignonne comme toi, s'envoie en l'air autant de fois ! Tu en veux un autre ? ».

    J'éclate de rire ! « Si toi tu peux jouir une fois de plus, je me vois mal te l'interdire, mais, quant à moi ! Un de plus et tu devras appeler le Samu et leur tente à oxygène ! Désolée, ce sera pour une autre fois, que je te promets ! Je me suis trop régalée avec toi, ta cérébralité et ta bite fabuleuse ! ».

    Il me sourit me remercie de cette promesse et se retire de moi. Il me couche doucement sur le dos, et m'ouvre le plus possible le compas de mes cuisses. Je me laisse faire, sereine et rassasiée de jouissances !

    Il s'installe à genoux entre mes cuisses et me caresse le sexe et l'anus en me disant : « A ton tour tu vas réaliser un de mes fantasmes ! Rassure -toi, il est très pacifique pour toi ! Tu es dans la position dans laquelle je te voulais pour me vider les couilles, mais, et c'est là qu'est mon fantasme : je ne veux aucun mouvement, aucun geste et aucun son de ta part : tu es venue ici en qualité de pute et tu vas me recevoir comme la pute qui fait juste son job ! ».

    « Tu es offerte, à poil, cuisses écartées jusqu'à l'obscène, car ta seule envie est de recevoir et de stocker mon foutre et de te casser en récupérant ton pognon ! Pour parfaire le décor, je vais, même t'allumer une cigarette que tu fumeras pendant que je te niquerai comme le paquet de viande que tu as déposé sur l'étal et que j'ai choisi ! Est-ce que tu aimes mon fantasme ma douce Loré ? ».

    « Hum, Pierre, j'ai peur qu'en te le faisant vivre, je n'arrive pas à me retenir ! Je vais te poser juste une seule question ! Est-ce que tu écris des livres pornos ? ». « Euh, oui, ma chérie, et je suis même publié ! Mais un auteur ne peut rien faire sans une muse adaptée ! ». « Je ne serai peut être pas ta muse, mais en tout cas je vais essayer de ne pas te gâcher la réalisation de ton fantasme du jour, car je suppose que tu en as, au moins un par jour sinon plus ! ».

    Il règle sa web-cam, m'allume un cigarette me donne un cendrier, ouvre encore un peu plus mes cuisses, pince un peu mes bouts de nichons pour les faire bander, et se couche enfin sur moi.

    Je sens sa peau nue pour la première fois contre la mienne. Il me pénètre avec une facilité obscène tellement je suis trempée. Je reste couchée sur le dos, en croix, cuisses ouvertes, sans bouger, ni rien dire tout en tirant de temps en temps sur ma cigarette en regardant la fumée partir vers le plafond que je regarde fixement ! Je plains sincèrement les filles qui subissent ça comme j'essaye de le jouer !

    Il va et vient très vite et très fort dans mon con gluant. Il n'a aucun coup de reins complice de ma part, ni un coup de ventre, il atteint seul son orgasme alors que je finis ma cigarette en jouissant en grognant, ventre collé au mien, bien au fond de mon vagin.

    Il s’écroule à côté de moi en sueur, avec un immense sourire ! Il récupère très vite et se redresse. Il sort son sexe de mon vagin trempé, l’essuie sans délicatesse sur mon ventre et se lève, en me disant : « Ne bouge pas je fais encore quelques photos et tu pourras te sauver ».

    Il prend un appareil numérique et fait une vingtaine de photos de moi, étendue, immobile, jambes ouvertes, insistant sur le vagin trempé d’où s’échappe un filet de sperme. Il repose l’appareil. Allume deux cigarettes, j'en accepte une que je fume avec plaisir et en toute complicité avec lui !

    Il me demande : « Donne moi ton portable ». Ma réponse est immédiate : « Si tu veux me joindre, appelle Yasmine elle sait comment me contacter, mais je ne suis pas disponible très souvent, tu sais ».

    Il se contente de cette réponse : « Tu peux filer. A une autre fois peut être, tiens c’est pour toi ». Et il me donne un autre billet de 100€ que je glisse sans honte dans ma poche. Je le remercie, enfile mon manteau et quitte l’appartement.

    Quelques minutes après je rejoins Yasmine et Agnès, souriantes, un peu en sueur et roses de plaisir. Elles me confirment de suite : « Nous n’avons rien perdu de ta prestation, je vois que tu t’es bien éclatée, et en plus tu reviens riche ! Tu as trouvé ta vocation ma salope ! ».

    Je leur montre avec un clin d’œil, ma prime de 100€. Il y a une semaine j'aurais eu honte de cet argent, aujourd'hui, j'en suis presque fière ! Et je m'entends dire : « Oui c’est à vous dégoûter de travailler 38h ! Agnès et Yasmine approuvent en riant.

    J'ai le temps de me doucher et de me rhabiller mais quand je reviens dans le salon, Agnès, souriante me dit : « Il est 16h40, nous allons devoir laisser Yasmine, qui doit se préparer, mais je vous promets que vous vous reverrez très vite, je crois que vous en avez très envie ! ».

    Yasmine approuve et pour seule réponse, elle m’embrasse longuement et tendrement sur la bouche.

    Mercredi 1er février 2017 - 16h40

    Nous laissons Yasmine, et repartons en voiture. Le trajet est très court, car Agnès rentre rapidement dans un parking qui a un accès direct avec la Grande Brasserie où Annie avait rendez-vous avec son super-amant ! Nous constatons du reste avec humour, qu'à ce moment là nous n'avons aucune nouvelle d'elle et, que donc, tout doit bien se passer !

    Agnès descend, me prend le bras et me dit ! « Ma Chérie, tu vas rencontrer quelqu'un de très important ! Annie, ou moi ou n'importe quelle Maîtresse de Vichy sommes des petites merdouilles par rapport à Monsieur Georges que personne ne tutoie et que personne n'appelle Georges. Il dirige et contrôle tout Vichy avec une seule arme : le sexe !

    Mais tu vas vite comprendre ma chérie ! Comme dans l'ascenseur elle se penche pour ouvrir mes trois premiers boutons de manteau ! Mais c'est trop tard, je l'ai fait avant elle ! On ne me répète jamais deux fois un conseil !

    Nous entrons dans la Brasserie par un escalier qui vient directement du parking. Nous traversons une première salle remplie d’hommes prenant leur apéritif qui ne font pas attention à nous sauf un ou deux qui matent nos culs et nos poitrines, bref, rien d'original !

    Une autre salle est plus calme, quand nous y entrons de nombreux regards d'hommes et de femmes s’attardent sur mon décolleté et mon manteau un peu trop court, mettant en valeur ma cambrure, et, nous terminons dans une arrière-salle, beaucoup plus calme et silencieuse : quelques jeunes, deux ou trois couples d’amoureux, heureux de revoir arriver la nuit, le tout dans un décor très cosy et apaisant.

    A peine assises, Agnès commande deux coupes de champagne au serveur en lui disant : « Vous serez gentil de remettre ma carte de visite à Monsieur Georges, le plus vite possible, je vous en remercie ».

    Elle lui glisse un billet de 10€ plié et il s'éloigne.

    Un autre serveur nous porte nos deux coupes avec une petite assiette de tapas, et nous dit que la carte est entre les mains de Monsieur Georges. Nous avons à peine le temps de t'chiner qu'un ouragan entre dans la pièce en hurlant presque : « Agnnnnèèèèès que fais-tu là ? Ca fait cent fois que je te demande de venir directement dans mon bureau ! Oooooh ma douce, pardon de t'avoir négligée, et de t'avoir fait attendre, surtout avec une amie aussi belle ! Et il nous baise les mains ! ».

    Agnès le calme en lui disant, que nous n'avons même pas eu le temps de tremper nos lèvres dans nos coupes et qu'elle ne le dérangera jamais dans son bureau, car il serait capable d'en expulser Le Maréchal pour me recevoir ! ». Nous éclatons de rire, Monsieur Georges (que j'appellerai MG par facilité) donne des consignes et nous le suivons dans le salon de son immense bureau ! ».

    Il nous installe pendant que des serveurs apportent une bouteille de champagne, que je suppose millésimé, quelques assiettes de toasts qui semblent succulents et une coupe en argent contenant du caviar avec une cuillère de service, elle aussi en argent ! Je suis sidérée par cet accueil, je ne pense très sincèrement pas que Madame Agnès soit une merdouille de Vichy comme elle se plaît à se définir modestement !

    Elle lui sourit presque tendrement et le gronde : « MG, vous faites toujours excessivement bien les choses ! Quand apprendrez-vous à faire comme tout le monde ? ». « Mais Agnès, aimerais-tu vraiment, que je devienne comme tout le monde ? Tu ne trouves pas que ce serait d'un ennui mortel ? Mais, si, en attendant tu me présentais ce ravissant minois que tu introduis dans mon bureau sans une once de présentation ? Sort-elle de prison ? Du bagne de Cayenne que je croyais fermé ? Est-elle marquée au fer-rouge ? As-tu si honte d'elle que tu la caches ? ».

    Nous éclatons de rire ! Et Mg lève son verre à la beauté des femmes, à l'amitié et au printemps, qui ne va plus tarder, donc à une nouvelle saison pour la station de Vichy (…) Agnès m'expliquera, en sortant, que la saison signifie pour lui quelques millions d'euros de plus dans ses caisses, car il est l'unique propriétaire de cette immense Grande Brasserie, des deux plus grands traiteurs de luxe de Vichy, d'un restaurant étoilé panoramique sur le port et du seul ***** étoiles de Vichy qui soit encore un hôtel de luxe et non un immeuble d'appartements !

    Mercredi 1er février 2017 - 16h50

    « Je ne comptais pas te la cacher, et si je suis venue avec elle, c'est bien au contraire pour te la présenter et même te la recommander ! ». « Ah, alors, Agnès Chérie, tu as toute ma double attention ! ».

    « Loréna est une amie récente qui m'a été présentée par une autre amie de fraîche date, Annie, qui est sa voisine dans un charmant petit village du sud d'Issoire. Par le plus grand des hasards, Annie, était vice-présidente, de la section parisienne de, elles dirigent le monde, club que vous connaissez très bien, MG ! Quant à vous (…) Il lui coupe la parole : laisse moi continuer ma belle enfant ! ».

    « Quant à moi, je suis le propriétaire de cet endroit et de quelques affaires dans Vichy. Je connais Agnès depuis son enfance ! Elle est mon amie, ma confidente, ma conseillère particulière, mon égérie. Et, je l'ai toujours consultée avant de m'engager dans une action importante ».

    « Quand je me sens en sécurité et avec des personnes de confiance, j'aime donner un exemple de l'aide que m'a apportée Agnès, et qui a changé ma vie : 25 ans après la guerre, elle était toute jeunette, mais m'a conseillé de racheter les ruines du grand hôtel, abandonné car marqué du sigle maudit du pétainisme, alors que tout le monde voulait le voir disparaître pour devenir parking. J'ai suivi son conseil, et à la signature de l'acte je lui ai proposé 40% d'actions gratuites, qu'elle a refusé. En 2018, elle serait multimillionnaire, car c'est le seul hôtel de luxe qui atteint 95% de remplissage depuis sa rénovation complète ! ».

    Il appuie sur deux touches de son petit ordinateur, nous demande quel jour nous sommes : Agnès lui répond : « Le mercredi 1er février 2017 ». Il nous lit sans état d'âmes : « Confidentiel, stats MGH > 45 suites, 45 doubles et 30 singles, aucune gratuité, full hôtel ».

    « Et, pourtant le 1er février est un jour lambda, mais nos 120 chambres sont occupées. J'ai aussi le chiffre d'affaire, la marge brute et la marge nette, mais je ne suis pas exhibitionniste ! ».

    « Voilà, un exemple parmi tant d'autres de ce que je dois à votre nouvelle amie, ma petite Loréna ! Qui la touche me touche ! Sauf si c'est pour la faire jouir bien sur ! ».

    Nous éclatons de rire : quelle aura, quelle verve, quel humour, ce Monsieur Georges, est un personnage fascinant !

    Je me contente d'applaudir discrètement en lui affirmant : « Je pense que je n'ai jamais rencontré un homme aussi passionnant que vous, je comprends à présent pourquoi Madame Agnès me parle si élogieusement de vous ! ». « Ne crois pas ça ma petite Loré ! Agnès se meurt d'amour pour moi ! Mais le jour de son mariage elle s'est trompé d'église ! ».

    Encore un feu d'artifice de rires et MG dit « Allez, on va trinquer qui veut porte un toast ? ». Agnès lève son verre et lui répond : « Au succès de ta nouvelle recrue ! ». MG arrête de rire et la regarde ! « Tu es en train de me dire que tu es venue avec Loréna pour que je l'inscrive dans un de mes albums ? ». « Mais oui, MG, qu'est ce qui te cause du souci ? Je sais qu'elle correspond parfaitement au profil demandé, tu sais qu'étant ma protégée elle sera tranquille et en même temps plus attentive qu'une autre, et j'ai eu l'occasion de la tester, je peux te garantir que ce sera une recrue de tout premier ordre, car en plus d'être très vive, et d'avoir beaucoup de caractère, elle a un QI qui doit, à mon humble avis dépasser celui de notre pauvre Einstein ! Et un Q que tu peux constater par toi même ! ».

    Georges rit beaucoup et approuve le discours d'Agnès en choquant nos verres : « Eh bien à la santé de la nouvelle recrue d’un club très fermé ! ».

    Je suis un peu dépassée, il y a tant de complicité et de sous-entendus entre eux que je me sens exclue de temps en temps.

    Mais, Agnès s’en aperçoit et m’explique la situation en quelques phrases simples : « MG est l'unique détenteur d’un secret qui pourrait ravager Vichy, mais, qui bien au contraire, comme les bombes atomiques, en fait une ville sereine et très calme ! Il a dans son bureau une douzaine d’albums photos contenant les plus beaux clichés des plus belles femmes de Vichy et des alentours, qui acceptent, de temps en temps, de jouer avec des Messieurs fortunés dans des soirées extrêmement privées. Disons de suite qu’aucune n’est ni professionnelle, ni forcée de venir à une soirée. Intelligente comme tu l'es tu as déjà du comprendre quel est le but de ce club très privé, ma chérie ? ».

    « Oui Agnès, c'est assez évident, mais je retiens surtout que d’y figurer n’oblige pas à participer, et que tout reste confidentiel, n’est ce pas ? ». C'est MG qui me répond : « C’est tout à fait ça Loréna, c’est mon Père qui a commencé ce fichier il y a plus de 50 ans, un jour je demanderai à Agnès de te montrer les photos d'époque ! C'est parfois à mourir de rire ! Et, moi, je n’ai fait que le continuer et l’étoffer ».

    « En 2018, nous allons fêter très discrètement ses 90 ans, sans un seul ennui, ni avec la justice, ni avec les participants, ni avec les participantes, ni avec les maris, ni avec les épouses ! Je suis très fier de cette performance et d'une autre très simple : ce club n'a jamais été cité par un seul journal, ni par une seule phrase à la télé ou à la radio ! C'est simple ! Il n'existe pas, il n'a pas de membres, il n'a pas de participantes, il ne sert à rien, sinon à permettre, à des millions d'euros de changer chaque année de mains, en échange de plaisirs charnels, entre adultes consentants et conscients, que la discrétion est la meilleure carapace de ce club tentaculaire ! ».

    Il se lève, ouvre un coffre fort mural et prend délicatement un album qu’il me tend : « Tiens regarde, et assure toi par toi même que tu ne serais pas en mauvaise compagnie ! ».

    Je prends l’album et je commence à feuilleter, chaque double page porte un numéro, je regarde au hasard le numéro 267, une superbe blonde déclinée en huit photos de la plus soft à la plus hard. Puis le 268, une femme d’un certain âge, attirante, sans être un canon de beauté. Je comprends vite que chaque album décline le physique de 25 femmes en une fiche descriptive et huit photos de la plus sage à la plus osée.

    En moi même, je me demande, avec curiosité quel numéro je pourrais porter ! « Yasmine est dans un de ces albums ? ». Agnès sourit : « Oui ma douce Loré, toutes mes meilleures soumises sont dans ces albums, je n’ai jamais voulu imposer à MG des femmes qui n’avaient aucune chance d’être demandées une deuxième fois ou des soumises insuffisamment éduquées : c’est un honneur de figurer dans un de ses albums et MG sait que si je préconise quelqu'un c'est qu'elle le mérite ! ».

    Je continue à feuilleter l’album, passant d’une brune à une blonde, d’un véritable top model, à une femme d’intérieur me ressemblant. Je me sens rassurée : aucune d’entre elles ne ressemble à une pute, elles me semblent plus être des femmes assumant leurs envies sexuelles que des femmes d’argent. Je dois reconnaître que d’envisager de figurer dans les meilleures garces libérées de la région est loin de me laisser de glace.

    Agnès me dit : « Alors Loré, qu’en penses tu ? ». MG rajoute : « Je te rassure, tu n'as aucune décision immédiate à prendre, tu peux y réfléchir, le temps que tu voudras, en parler à ton mari, si tu le juges nécessaire, poser toutes les questions que tu souhaites à Yasmine qui est une des vedettes de notre club, rien n'est pressé chez nous, si demain j'ai une demande et que l'ordi du secrétariat envoie 269 ou 271 noms n'a aucune importance ! ».

    Je me racle un peu la gorge, et je demande si je peux parler seule à seule avec Agnès ? MG se lève et me répond « Aucun problème, je vais faire un tour pour voir si tout se passe bien dans l'établissement. Je reviens dans 5 minutes, ça te suffira ? ». « Oh, oui, bien sur, Monsieur Georges, merci beaucoup, et excusez moi de vous avoir demandé ça ! ». « Aucun souci, Loré, tes désirs resteront toujours des ordres pour moi ! ».

    Et il sort du bureau.

    « Quel personnage fantastique ce MG ! ». « J'étais sur qu'il te plairait ! ». « Si j'annonce que j'ai pris ma décision et que je veux m'inscrire de suite, tu trouves ça bien, Agnès ? Ou trop précipité ? ». « Pas du tout, ça ne choquera personne et surtout pas MG, tu es exactement le style de femme qui fait la renommée de son club : belles, intelligentes, avec du caractère, des spécialités excitantes comme le bdsm, de la répartie, de l'éducation, et qui savent être putes sans jamais en avoir exercé le métier et, ça c'est primordial, il faut que tu saches que si par malheur, tu es encarté un jour par la police des mœurs pour prostitution, quel que soit le lieu dans le monde, tu serais radiée du club à vie le jour même : pour entrer et rester dans le club il faut être sans tache, même si, la Loré du club, se lâche comme une vraie pute, chez nous, le samedi soir ! ».

    « Merci pour ta réponse, Annie, tu peux donc dire à MG que je suis d'accord ! ». « Non : Tu lui diras toi même ! ». « Ok si tu veux, ça m'est égal ! ». Quand MG revient, je lui annonce de suite la nouvelle en souriant ! Il me félicite, me prend dans ses bras me bise très fort les deux joues et me souhaite un excellent parcours dans ce club :

    « Qu'il est fier de représenter pour proposer des filles aussi belles, affranchies, libres dans leurs têtes et dans leurs corps, et, surtout, intelligentes et très sympathiques comme moi ! ».

    « Loré, c'est toi qui a le dernier album, je sais qu'il reste de la place, dis-moi où nous en sommes, s'il te plaît ? » Je tourne les pages : « le 287 est occupé, le 288 aussi, le 289 itou, ah il n'y a rien au numéro 290 et au 291, donc visiblement la dernière femme enregistrée est la 289 ! » « Rappelle moi son prénom s'il te plaît ? ». « Oui : Florence ! ». « Ah oui, je m'en souviens, ça date du début de l'année, elle est venue avec son frère, charmante enfant très jeune, mais elle ne cherche que des rencontres sexuelles, je pense qu'elle cherche à se marier : c'est aussi, mieux qu'un site de rencontre, au moins l'invité paye en étant sur d'avoir du sexe ! Ce qui n'est pas toujours le cas ! ».

    « J'en déduis que mon goût pour le bdsm sera clairement annoncé ? ». « Mais, oui, Loré, tu ne dois pas en avoir honte, mais tes tabous bdsm seront aussi clairement mentionnés, donc tu n'as aucun souci à te faire ! ». Je ne m'en faisais pas, Monsieur Georges, je me renseignais simplement, et voilà qui est fait ! ».

    « Bien ça te convient de porter le numéro 290 ? Il est facile à retenir ! ». Je prends ma respiration, regarde mes souliers puis Agnès dans les yeux. Elle me sourit, rassurante. Pourquoi ne pas leur faire confiance ?

    Je souris : « Allons y pour le numéro 290, on verra bien si je fais une bêtise, mais ces derniers temps, bien entourée, j’en fais très peu ! Alors continuons la bonne série ! ». Agnès et MG éclatent de rire : « Rassure toi, avec nous tu ne peux pas faire de bêtise en sachant que le Préfet et le Commissaire de Police sont mes meilleurs amis et aiment rencontrer des amies membres du club ! Tu ne risques vraiment pas grand chose sinon de coucher avec eux ! ».

    Il sort de son coffre fort un ordinateur portable et me dit : « On va remplir ta fiche, comme ça elle sera faite, et si une question ne te convient pas tu ne réponds pas, c’est tout simple ! ».

    « Numéro de fiche ? » : « 290 ».

    « Prénom ? » : « Loréna ».

    « Surnom ? » :  « Loréna ».

    « Nom ? » : « Joker ».

    « Age ? » : « 34 ans ».

    « Taille ? » : « 1m65 ».

    « Poids ? » : « 53 kilos ».

    « Tour de poitrine ? » : « 95b ».

    « Bisexuelle ? » : « Oui ».

    « Partenaires préférés ? » : « Homme, femme ou couple ».

    « Particularités Sexuelles ? » : « Soumise, obéissante et éduquée ».

    « Tabous sexuels ? » : « Aucun ».

    « Autres tabous ? » : « Bdsm > contact avec des excréments, traces de coups ou de blessures, traces de sang et jeux avec des mineurs ».

    « Contact ? » : « mesange@hotmail.fr 06 68 32 64 90 ».

    « Disponibilité ? » : « Selon vie de famille ».

    « Conditions financières ? » : « A débattre ».

    MG code le tout et enregistre avant de dire à Agnès : « Veux tu t’occuper de la séance de photos ? Tu mets Loré en scène et moi je déclencherai l'appareil ». Agnès semble contente d’obtenir ce rôle de metteur en scène : « Si tu es d’accord Loré ? Tu as vu que sur chaque fiche il y avait huit photos, il faut donc les faire ». Je souris : « Bien allons-y ! ».

    « Nous commençons par une photo où tu es debout, dans ton manteau de cuir, une main posée sur le haut du canapé pour qu’on te voit en entier et souriante ».

    « Ensuite, tu gardes la même pose mais tu déboutonnes les quatre boutons du haut de ton manteau pour qu’on voit bien que tu es nue dessous, en ne montrant que la naissance de tes seins, sans montrer l’essentiel ».

    « Puis, tu nous tournes le dos, tu baisses ton manteau à la taille pour qu’on voit ton dos et tes épaules nues bien offertes sans bretelles de soutien-gorge ».

    « Tu restes dos tourné, tu enlèves ton manteau, tu te plies en deux vers l'avant en écartant légèrement tes cuisses, tu montres tes bas, tes escarpins, et ton cul bien rond et bien nu ! »

    « Puis, tu remets ton manteau, sans le boutonner, tu t’approches du bureau de MG, tu écartes les pans de ton cuir pour montrer tes seins nus, ton ventre et ta chatte rasée, toute souriante ! ».

    « Une des plus chaudes : debout près du canapé, manteau retenu ouvert par tes deux poings sur les hanches, tu poses un pied chaussé sur le sofa, pour te montrer à poil, cuisses et chatte bien ouvertes ».

    « Allez plus que deux : tu enlèves ton manteau. Assise dans le fauteuil, tu poses tes cuisses sur les accoudoirs et en mettant tes deux mains sous tes seins, tu les offres comme si tu en faisais cadeau ».

    « Enfin, pour la dernière : tu gardes la même pose, en écartant un peu plus les cuisses, tu glisses deux doigts dans ta bouche et tu les suces, tout en te masturbant la chatte avec deux autres doigts en écartant bien tes grandes lèvres avec tes autres doigts, pour exhiber largement ton intimité sans fausse honte ! ».

    Bien que le dernier cliché soit pris, Agnès et MG me regardent faire : je continue à me masturber, yeux fermés, visiblement perdue dans la recherche d'un orgasme ! Je gémis de plus en plus fort écoutant sans vraiment entendre Agnès dire à MG : « Tu vois, je ne t’ai pas trompée sur la qualité de la marchandise : tu as beaucoup de salopes dans son genre dans tes albums ? ».

    MG lui répond : « Oh non, pas beaucoup, j’ai beaucoup de libertines, mais des salopes dans son genre, très peu ! ». Sentant mon orgasme monter,  Agnès m’interrompt : « Dis donc, salope ! Tu ne prétends tout de même pas jouir devant Monsieur Georges et dans son bureau ? Aucune salope n'a eu cette autorisation ! Alors : tu vas passer sous son bureau et lui demander pardon en le pompant, je suis sure qu’il a très envie de savoir si tu es une bonne pipeuse ! ».

    J'attendais et j'avais envie de cet ordre ! Je me lève et passe sous le bureau alors qu’il est en train d’ouvrir sa braguette et de baisser son caleçon. J’ai à peine le temps de trouver une position à peu près confortable, qu’il a entré, sans préambule, tout son sexe dans ma bouche et le fait aller et venir en me tenant par les cheveux.

    J'ai du mal à le sucer et je peux juste serrer mes lèvres pour qu'elles enveloppent bien son sexe et, j'arrive, de temps en temps, à faire tourner ma langue autour de son gland. Il semble très excité et grossit de plus en plus dans ma bouche, ses grognements annoncent qu’il va jouir et je me prépare moralement à le recevoir et à le boire.

    Mais encore une fois, Agnès en décide autrement, elle lui affirme très sèchement : « Monsieur Georges, vous méritez mieux que la bouche de cette pute champêtre pour vous vider les couilles ! ».

    Cette remarque me cingle plus fort qu'un coup de fouet et me remet brutalement à ma place de pute sans aucune valeur ! Agnès m’ordonne de me relever, la bouche humide du sexe de MG. Je remarque avec surprise qu’elle s’est déshabillée, en ne gardant que son pull.

    Elle me tend un préservatif, en m'ordonnant sèchement : « Mets le sur sa bite, si tu en es capable ! ». Et pendant que je lui encapuchonne le sexe à genoux devant lui, elle se couche sur le bureau, jambes ouvertes, me disant simplement : « Toi, Putain-Loré, tu te mets dans un coin du bureau, face au mur et restes debout sans te toucher et tu regarde le mur ».

    MG sourit et, pendant que je vais au coin comme une écolière punie ! Il enfile d’un rapide coup de reins sa bite dans le vagin d’Agnès avec un grognement de plaisir non retenu.

    C'est la seule chose que je vois, j'entends le reste, horriblement frustrée, les seins gonflés et le vagin trempé, debout à côté d’eux sans avoir le droit de les regarder s'envoyer en l'air !

    J'entends qu'il la baise presque brutalement, entrant et sortant son sexe de plus en plus rapidement de son vagin de plus en plus bruyant ! Il était à deux doigts d’exploser dans ma bouche et je comprends qu’il ait très envie de jouir, mais elle le tempère et le calme : « Hum doucement, je veux aussi prendre mon plaisir, soyez un peu plus patient ! ».

    A ces mots il ralentit ses coups de reins mais quand elle commence à gémir sourdement, il comprend qu’elle est à point et il jouit en elle, ventre probablement collé au sien en se régalant de voir son corps se contracter sous le sien. Agnès me dit de me retourner : « Pendant que je me prépare, Putain-Loré, colle tes photos sur tes deux pages, on gagnera du temps ».

    MG se retire d’elle, se débarrasse de la capote pleine, alors qu’Agnès s’essuie le sexe avec un kleenex avant de commencer à se rhabiller. MG s'est reboutonné et vient derrière moi, pendant, qu'encore à poil, je pose sur les pages autocollantes mes photos par ordre de prise de vue.

    Quand j’ai terminé, MG y jette un dernier coup d’œil et le tend à Agnès qui l’approuve et l’album repart dans le coffre fort. J'ai le droit de me rhabiller devant eux. Quand j'ai terminé Agnès me dit simplement de remettre mon manteau et salue MG : « Merci pour tout MG, nous allons vous laisser, probablement à bientôt, allez, Loré, nous partons ! ».

    Gentiment, il nous raccompagne sur la terrasse et il lui répond : « Tout le plaisir a été pour moi, Agnès et je suis enchanté par notre nouvelle recrue. Ne sois pas trop dure avec Loré, tu sais très bien, que le plaisir fait parfois commettre des maladresses, qui ne sont en fait que des broutilles, à bientôt, ma Chérie ! ». Il se penche vers Agnès pour l'embrasser et fait pareil avec moi, ce qui me remet du baume au coeur ! 

    Après un petit signe amical, nous regagnons la voiture.

    Mercredi 1er février 2017 - 18h

    Elle met le moteur en route et me dit : « J'ai envie de te raconter une belle histoire vécue, car je suis sure qu'elle te plaira beaucoup, mais j'aimerais avoir des nouvelles d'Annie, ça va faire 6h qu'elle est avec son super-amant ! J'aimerais savoir si tout va bien et si elle compte le quitter ! ».

    « Ce serait dommage de revenir de Vichy avec un mariage fracassé, en effet, voulez-vous que je l'appelle, Agnès ? ». « Je crois c'est le mieux que nous puissions faire ! ». Je prends mon portable, compose le N° préréglé d'Annie que me répond après deux sonneries. « Bonjour, ma Chérie, je suis en main libre avec Agnès, tout va bien ? ». « Bien ? Tu n'as pas un autre mot à me proposer ? ». « Je ne sais pas : très-bien, super-bien et inimaginablement-bien ? ». « Martiennement-bien ça existe ? ». « Agnès me fait signe que non, mais qu'elle fera le nécessaire pour le proposer à Larousse ! ».

    « Pfffffffff quelle après-midi, je suis dans une suite d'un grand hôtel ! (…) Agnès te demande son nom ! (...) Je crois que c'est le Vichy Spa Hotel ou quelque chose comme ça ! (…) Oui, elle connait : c'est le Vichy Célestins Spa Hôtel (…) C'est le seul cinq étoiles de Vichy, les autres palaces ont été découpés en appartements de luxe et le Célestins comme on l'appelle à Vichy est l'hôtel dont t'a parlé MG dans son bureau ! (…) Agnès te conseille de rester tout le temps que tu pourras, si c'est payé d'avance, car tu es dans l'hôtel le plus luxueux de la ville ! (…) Il n'en est pas question, je veux rentrer à la maison pour me reposer. Je suis prête et j'ai commandé un taxi, et la réception m'a prévenue que la note du Uber serait marquée sur le compte du Monsieur ! (…) Parfait, tu te rappelles mon adresse ? Annie ? (…) Oui, mais je rentre comment ? (…) Tu connais la cachette hyper secrète des clefs sous le gros pot de géranium dans la véranda ? (…) Annie éclate de rire, entendu ! On se voit quand vous aurez fini les filles ! Si je dors réveillez-moi ! Je coupe ! ».

    Nous sommes rassurées, et nous quittons le parking en insérant à la sortie une carte spéciale que MG a donné à Agnès ! Je ne sais pas si je ne dois pas m'habituer à ce luxe, qui n'est pas mon quotidien, ou qu'avec des enveloppes telles que celles que j'ai cachées dans ma cave, il faut au contraire que je m'y accoutume !

    Je décide que je verrai ça avec Yves, car si nous thésaurisons cet argent pour le futur, nous ne devons pas changer de mode de vie, qui, il faut le reconnaître est déjà plus que confortable !

    Agnès nous conduit sur le bord de l'Allier, dans un alignement de guinguettes qui doivent surement faire salles combles, en été et les fins de semaines ! Pour le moment, la moitié semble fermée, mais la préférée d'Agnès est en activité. Il fait beau et nous nous installons en terrasse.

    Mercredi 1er février 2017 - 18h15

    Il fait encore beau en cette fin d'après midi et nous nous installons en terrasse. Agnès commande deux vodkas orange sans me demander mon avis en me disant : « Ca te boostera et te nettoiera la gorge ! ». La fille nous sert et Agnès allume deux cigarettes et m'en donne une.

    « Je vais te raconter une histoire vécue, car, comme toi, je n’aime pas les mensonges ! Je dois remonter à trois ans en arrière : j’avais une soumise régulière qui venait me voir de Montluçon deux fois par mois, et nos jeux étaient de plus intenses. Elle n’était pas aussi mignonne que toi, mais très efficace et apprenait très vite ! ».

    « Pour un de nos rendez-vous, je cherchais à lui faire une surprise. Tu n’ignores peut être pas, ou tu vas l’apprendre, que depuis que le gouvernement de la France non occupée s’était installé à Vichy, il s’étaient ouverts de nombreux bars à filles, pour distraire tous ces Messieurs, qui, en fait n’avaient pas grand chose à faire, sinon signer des décrets qui ne servaient à rien. Ces bars-bordels sur lesquels la Préfecture a préféré fermer les yeux en prétextant qu'ils étaient bons pour les curistes ! La ville a donc ajouté à sa réputation de cures thermales, celle de débauche, de libertinage et de prostitution ! Tu me suis ? ».

    « Je suis suspendue à vos lèvres, vous racontez si bien vos histoires, que j'adore vous écouter, Agnès ! ». « C’est gentil, mais ne sois pas trop flatteuse, je suis loin de mériter toutes tes louanges, j'ai aussi de très gros défauts ! ».

    Elle continue : « Un soir, tout à fait par hasard dans une soirée mondaine, je me suis faite une amie, Nathalie, qui m’a attirée de suite et quand je me suis rendue compte que c’était réciproque, nous avons eu une aventure lesbienne toutes les deux. Au fil du temps, nous nous sommes fait des confidences et elle m’a avoué sans aucune gêne qu’elle travaillait dans ce genre de bar ».

    « Etant très belle, je ne doutais pas qu’elle avait de nombreux amis, mais mes rapports avec elle n’ont pas changé, et nous avons continué à coucher très fréquemment ensemble. Un soir où nous avions un peu trop fait la fête, je lui ai parlé de mon amie soumise de Montluçon et de son goût pour les surprises osées et débridées ».

    Son téléphone sonne (…) « Excuse moi ma chérie, commande nous deux autres verres, je reviens de suite (…) Elle s’éloigne, pour répondre à son appel (…) En revenant, elle me sourit (…) « C’était un appel te concernant, mais je t’en parlerai tout à l’heure ! ». (…) La serveuse nous porte nos verres et Agnès reprend :

    « Passés quelques instants, Nath me propose : « Pourquoi ne pas la faire travailler dans mon bar, pour m’assister ? ». Je trouve de suite l’idée originale et la surprise parfaite ! Mais je rétorque qu'elle n’est pas préparée à travailler pour de l’argent : je n'en suis pas à ce stade dans mon éducation ! ».

    Nath éclate de rire en m’affirmant que c’est encore mieux :

    « Elle peut m’aider quelques samedis-soir dans mon travail, en faisant ce que je peux faire semblant de ne pas accepter : la sodomie ou l'uro, par exemple, et agir comme une débutante mal rémunérée, sans même avoir à descendre au bar, en attendant dans la chambre que je monte avec un nouveau client, à qui j’aurai pu annoncer, la bonne nouvelle : que ce soir, il aurait deux filles quasiment pour le prix d’une ! Avec juste un tout petit supplément dont je ne lui parle même pas tellement il est faible ! ».

    « Mais, en fait je m'arrangerai pour augmenter un peu mes prix, quémander discrètement un pourboire pour elle, pour qu'elle gagner à chaque passe, à peu près comme moi. Je te donnerai son enveloppe chaque semaine et quand toi, la prof, tu arriveras au chapitre : « prostitution », tu pourras lui montrer ses propres travaux pratiques ! Ce devrait-être une grande surprise pour elle ! ».

    Cette double idée m’emballe de suite et comme mon amie doit venir le prochain samedi, je l'appellerai vers 21h, chez elle, pour une rencontre à 22h dans un bar proche du club de Nath. Et, si nous avons son accord, et qu'elle s'entend bien avec Nath : elles passeraient cette première nuit à travailler ensemble. Nath m’assure qu’elle obtiendra facilement l’autorisation de sa patronne et que ma jeune amie se rappellera toute sa vie de cette ou de ces nuits car avec une promotion de deux filles pour le prix d’une, elles n’allaient pas chômer ces soirs-là ! ».

    Agnès finit son verre avant de continuer : « Quand, elle est arrivée, en train, le samedi en début d'après-midi, je me suis occupée d’elle tout l'après-midi sans la laisser jouir une seule fois pour la maintenir surexcitée, et la pousser à transgresser ses limites, un peu comme je l’ai fait avec toi aujourd’hui ! ».

    « Et j’ai senti, vers 21h, qu’elle était trop excitée pour me refuser quoi que ce soit : j’ai appelé Nath pour lui confirmer le rendez-vous de 22h ». Nous avons pris une coupe de champagne. Et, dans une excellente ambiance, elles ont fait connaissance et le feeling est très vite passé entre elles.

    Nath lui a rapidement expliqué ce qu’elle attendait d’elle, en évitant de trop rentrer dans les détails. Mais comme je l’avais sevrée et chauffée à blanc ! Mon amie a dit oui à tout et je les ai laissées partir toutes les deux en leur souhaitant, une excellente soirée !

    Elle est rentrée chez moi en taxi, à 9h du matin, complètement épuisée, les yeux cernés, ivre de fatigue, de champagne et de sexe. Je l’ai laissée dormir tout le dimanche et quand elle a du repartir pour Montluçon et sa famille, j’ai eu droit à un baiser, que je n’oublierai jamais, avec des remerciements qui visiblement venaient du fond du cœur.

    Et, une seule confession de sa part : « Comme la vie va être dure à partir de cette nuit ! ». Elle n’a pas voulu que je la raccompagne à la gare et a pris un taxi.

    Agnès s’interrompt pour finir son verre, mais je lui avoue mon impatience de connaître cette histoire sensationnelle.

    Elle sourit et continue : « Mon amie a passé deux nouveaux samedis-soir en un mois à aider Nath, et selon leurs commentaires tout s'est très bien passé entre elles et les amis de Nath ! ».

    « Trois semaines plus tard, j’ai reçu un énorme bouquet de mon amie, me remerciant pour tout ce que j'avais fait pour elle, et me demandant l'autorisation de rejoindre Nath deux ou trois samedis par mois, pour travailler en tandem avec elle ou seule pour son propre compte ! ».

    « Sans le vouloir, j’avais suscité une vocation. Bien sur, il aurait mieux valu qu'elle devienne bonne-soeur ! Mais, à défaut, j'avais aidé une femme libre, pleinement consciente de ses actes, à assumer sa sexualité et à gagner sa vie très confortablement, sans dépendre des habituels requins de la prostitution et sous la surveillance de deux amies ! ».

    « Je lui ai de suite envoyé un mail lui assurant que je n'avais aucune autorisation à lui donner. Son choix de vie me remplissait de fierté pour elle ! Et je terminais en l'embrassant très fort et en lui rappelant que Nath et moi, étions là pour veiller sur elle et qu'elle pouvait dormir sur ses deux oreilles, même avec un sexe d'homme en bouche ! ».

    « En retour, j'ai reçu une réponse qui commençait, par un smiley hilare et contenait un petit texte : « Agnès : quand, comment et avec qui vous le voulez ! Je resterai à vie votre petite putain obéissante ! »».

    « Depuis, je n'ai jamais fait appel à elle. Nath me donne régulièrement d'excellentes nouvelles d'elles et m'invite à aller boire une coupe avec elles dans leur bordel, ce que je ferai surement un jour ! Tiens pourquoi pas avec toi ? Je serai heureuse de te les présenter ! Fin ! Ma Chérie ! ».

    « Quelle belle histoire ! Agnès ! J'ai une question et un vœu à formuler ! Je peux ? ». « Bien sur, je t'écoute ! ».

    « Pourquoi parlez-vous de votre amie de Montluçon, sans me donner son prénom ? ». « Ma chérie, si un jour je dois parler de toi, tu seras mon amie d'Issoire, il faut que tu saches qu'avec un simple prénom, quelques détails anodins et un bon PC : tu peux remonter une piste très loin ! Et ton vœu ? ». « J’espère simplement que mon avenir n’est pas de travailler dans un bordel ! ».

    Elle me caresse la main en me répondant énigmatiquement : « Tu sais ma Chérie, nul ne connaît ton avenir, mais, je ne te vois pas cloîtrée dans un bordel, tu es un très bel oiseau qui a besoin de son nid familial douillet et de sa liberté totale de mouvements ! ».

    Elle se lève, paye et nous repartons.

    Mercredi 1er février 2017 - 18h45

    Agnès se gare devant chez elle. Dès que nous ouvrons le portail du jardin, les lumières extérieures s'allument, et la porte d'entrée s'ouvre dans la véranda. Visiblement, Annie a entendu la voiture et est sortie pour nous accueillir.

    Elle est en peignoir, radieuse et souriante ! Agnès la félicite pour sa bonne mine et l'embrasse longuement sur la bouche. Je reste quelques pas derrière elles sans me manifester.

    Nous entrons, et Agnès referme la porte. Elle nous invite à nous installer au salon, me demande de préparer une cafetière de café bien fort et, pendant que je m'active, je les entends allumer des cigarettes et papoter.

    Je suppose qu'Annie commente son incroyable après midi avec ce super- amant. Annie glousse, pendant qu'Agnès éclate de rire, semblant très contente des exploits sexuels de sa nouvelle amie !

    Quand je reviens avec un plateau complet pour servir trois cafés, Agnès me dit : « J'étais en train d'informer Annie des dernières nouveautés te concernant : tu as quelque chose à lui dire, Putain-Loré ? ».

    « Oui, Agnès, depuis qu'elle m'a quittée chez Yasmine, je lui dois quelques résumés de mes activités, avant qu'elle ne reçoive les clips ».

    Annie intervient en me disant : « Si tu veux me décrire ta domination par téléphone et photos interposés, dans l'appartement de Yasmine, depuis celui de Pierre, tu peux t'en dispenser, je sais tout ce qui s'est passé et les 200€ que tu as empochés, pour tes bons services pornos ! ».

    « Si tu comptes enchaîner sur la passe que tu as faite chez lui, à poil sous ton manteau. En jouant, à la pute qui revenait de faire deux passes dans un parking et, qui avait été convoquée chez lui, au tout dernier moment, sans avoir le temps de se laver, pour tourner un clip intitulé : la salope qui jouit en se faisant les bouts de mamelles sans se toucher le corps, pour 100€ de plus, je suis, aussi, au courant ! ».

    « Et, au risque de te surprendre, je sais aussi, que Pierre t'a gratifié d'un pourboire en nature, en t'enculant, tout en t'astiquant le clito pour t'offrir un double tsunami qui a inondé ton trou à merdes et fait trembler l'immeuble, tellement tu as gueulé ton plaisir comme la salope que tu es ! ».

    « Quant à ton inscription au club de Monsieur Georges, décidée en vingt secondes et la moindre idée de me demander mon autorisation ! Je te demande si le N°290 a bien digéré ses prises de vue de salope exhib ? Son questionnaire humiliant ? Son tarif demandé avec pudeur comme à débattre ! Et pourquoi, tu n'as pas rajouté pour te victimiser un peu plus à débattre avec ma propriétaire ? ».

    « Et, tu ne comptais peut être pas m'apprendre ta plus belle humiliation de l'après midi : tu as magnifiquement bien pompé Monsieur Georges, mais en faisant ton travail de putain, tu ignorais que tu lui remplissais les couilles pour qu'il les vident dans le vagin d'Agnès, alors que tu tenais une chandelle grosse comme une pine d'âne ! Je crois que c'est cette anecdote que je retiendrai de cet après-midi mémorable ! ».

    « Tu t'attendais à quoi, Putain-Loré ? A ce que Monsieur Georges t'ensemence dans son bureau, le jour de votre rencontre ? Tu te prends pour qui ? Tu es avec les deux personnes les plus importantes de Vichy et tu crois que ton con pèse quelque chose ? Si tu as pris la grosse tête ! Il va falloir que je pense à sérieusement te la dégonfler et de te la remettre à la bonne dimension ! ».

    « Je suppose que tu avais hâte de me revoir pour me demander de rectifier ton placard publicitaire sur le site que vous avez ouvert hier avec Agnès : tu y as promis des passes en voiture à des clients qui ne te verront pas ! Ce n'est pas bien professionnel, Putain-Loré ! Mais comme tu as une bonne petite secrétaire, j'ai rajouté un : « Suite à une intoxication, je vous donne rendez-vous très prochainement, et je vous présente toutes mes excuses : Putain-Loré ».

    « Maintenant, Agnès et toi, pouvez me raconter la suite, car MG a appelé ici pour proposer une passe avec le couple pervers, mais, comme vous n'étiez pas rentrées, je lui ai conseillé de t'appeler directement, Agnès, pour avoir de suite la réponse. J'en ai profité, pour lui demander s'il connaissait un restaurant de Vichy, qu'Agnès ne connaissait pas encore pour une petite fête après la passe avec le couple. En riant, il m'a conseillé de le rappeler vers 21h pour avoir une réponse ! ».

    « Je te vois un peu surprise, Putain-Loré, mais tu n'as pas à en vouloir à Agnès ! Tu es ma chose, donc, et, c'est la règle dans le bdsm, elle doit me raconter tes expériences quand je ne suis pas avec vous, car, c’est moi qui suis responsable de toi ! ». Agnès complète : « J'approuve Annie : ne pas la mettre au courant aurait été une faute grave de ma part ! ».

    « Et, en ce qui concerne le couple pervers, il est très connu, et MG les aime bien. Tu peux donc avoir toute confiance en eux. Lui est très voyeur et elle a des tendances humiliantes et sado, mais, c'est avant tout une arriviste joueuse, qui a épousé le bon pigeon ! MG te propose donc deux heures de soumission, c'est ta première occasion de lui faire plaisir, de lui prouver que le N°290 n'agit pas que sur des coups de tête, de bien terminer ces deux jours à Vichy et de glisser 2.000€ dans le petit cochon de ton skieur de Jean, à toi la réponse ! ».

    « Mais, ma Chérie, ce n’est pas tout : l'heure de ton rendez-vous approche, et bien que ce soit à côté, il faut te décider ». Je baisse les yeux et dis d’une petite voix : « Bien, Agnès, vous m'avez convaincue, je vais honorer ce rendez-vous ! ».

    Elle fait signe à Annie : « Parfait, suivez-moi ». Nous allons dans sa chambre, elle ouvre un coffret contenant des chaînes ras et des médailles de différentes grosseurs. Elle en choisit une qu’elle me tend : « Lis la avant de la mettre autour de ton cou ».

    Je lis au recto : « Je suis une putain de MG » et au verso : « Soumise sans tabou ». Agnès me précise que les gravures varient, mais qu'elle contiennent toutes un minuscule micro qui permet de tout entendre dans deux endroits décidés au départ. « Il te faut donc tout faire pour le garder, compris Putain-Loré ? ».

    J’hoche la tête et elle me donne une tenue qui était déjà présélectionnée ! Un top ultra collant qui me moule la poitrine et les bouts de seins, une jupe ras la motte et des escarpins nus-pieds à talons hauts. « Avec ton manteau, ça ira très bien, tu es très présentable et bien dans ton rôle ! ».

    Agnès discute avec Annie, et me dit : « Annie va te conduire. Avec le GPS, elle n'aura aucun souci, moi je vais rester ici pour me reposer un peu ! Nous avons réglé les transmissions de ta séance sur le WIFI de ta BMW, et vers mon PC. On ne sait jamais, même en te présentant comme une putain de l'écurie de MG, je ne connais pas l’étendue de leur vice ! Allez bonne chance ma Chérie, nous veillons sur toi ! ».

    Malgré sa dureté, je la sens inquiète pour moi, mais surement sans raison. Nous l'embrassons et nous nous mettons en route.

    Mercredi 1er février 2017 - 19h00

    Annie prend de suite la parole : « Je ne veux surtout pas que tu sois gênée par les relations que j'ai établies avec Agnès, mais, tu vas revenir de Vichy, avec deux amies, dont une nouvelle qui veilleront sur toi et un super-ami, Monsieur Georges, qui est respecté dans toute l'Auvergne ! Et j'en suis très heureuse, car, si pour toi ce métier-annexe reste un jeu sexuel attrayant, et tu dois continuer à le pratiquer de cette manière ! Avec tes envies et ta fraîcheur ! Pour d'autres, ça peut devenir un métier dangereux même pour des occasionnelles, qui, par exemple, peuvent gêner les pros en leur piquant des clients ! ».

    « Tu peux aussi te dire, en souriant, car je ne pense pas que ça t'arrive ! Que, même si ton mari se lasse de toi, tu pourras toujours te rattraper en continuant ton métier d'ingénieur et jouer à la Yasmine, presque à plein temps ! Et il y a des femmes plus malheureuses que Yasmine ! Tu ne trouves pas ? ».

    Je souris en acquiesçant ! « Encore quelques petites minutes et nous serons arrivées : mettons au point ta présentation : tu t’appelles Loréna, tu es envoyée par Monsieur Gorges, tu es mariée et non professionnelle, tu fais ça pour le vice et l’argent et tu es soumise obéissante à tendance maso, ça te convient ? ». « Est-ce nécessaire de rappeler, de suite, que j’ai des tendances maso ? ».

    Annie réfléchit : « Tu as raison, je recommence : tu t’appelles Loréna, tu es envoyée par Monsieur Georges, tu es non professionnelle, tu fais ça pour le vice et l’argent et tu es soumise et obéissante, avec comme tabous le sang, les blessures, les jeux avec du caca ou des mineurs ? ».

    Je réfléchis, décontractée, je lui demande l’autorisation de fumer. J'en allume deux, je me répète cette présentation, avant de l'accepter.

    Nous arrivons, Annie me dépose devant une grande propriété entourée par des murs d’enceinte et protégée par une immense porte électrique contrôlée par deux caméras.

    Elle m’embrasse tendrement en me précisant qu’elle restera dans les parages et qu’en entendant la fin de ma séance, elle attendra cinq minutes avant de sonner à la grille pour me réclamer.

    Je l'embrasse, descends, et sonne à la porte.

    Mercredi 1er février 2017 - 19h18

    Une voix répond par l’interphone : « Qui est là ? (…) Je m’appelle Loréna (…) Après un moment de silence la voix me répond (…) Nous n’attendons personne de ce nom là (…) Je re-sonne, je sais que la personne écoute (…) Je viens de la part de Monsieur Georges (…) Ah tu es la putain que nous avons louée, vas y entre (…) Merci Monsieur ».

    La porte s’ouvre et sur une grande allée. Une cinquantaine de mètres plus loin, je stoppe devant une maison cossue avec un parc et une grande verrière qui abrite une piscine chauffée. Le tout est un archétype d’une maison bourgeoise.

    Un homme, d’une cinquantaine d’années apparaît sur le perron. Un peu dégarni et grassouillet avec un visage rond mais des petits yeux presque fermés. Il me regarde et me fait signe de me diriger vers la piscine. Il ouvre une porte latérale et me pousse à l'intérieur ! La chaleur ressentie est énorme, vu l'écart des températures.

    Une femme se lève d'un transat. Elle est blonde, plus jeune que lui, bien faite et porte un petit bikini minuscule, qui met son corps en valeur.

    « Chérie, la pute vient d’arriver (…) Je vois mais tu aurais pu en choisir une plus jeune, elle ne me plaît pas (…) Mais je suppose que tu as déjà payé et que nous ne pouvons plus l'échanger ? (…) En effet, ma Chérie, je suis désolée qu’elle ne te convienne pas, veux-tu que je la renvoie ? (…) Elle prend son verre, en boit une gorgée et le repose avant de lui répondre (…) Puisqu’elle est là, autant jouer avec elle, elle aurait été plus bandante, je me serais faite gouiner, mais je me contenterais de l'humilier et la mater en me branlant (…) Voyons tout de même commet elle est à poil ? (…) L’homme me gifle violemment, plus pour me faire mal que pour me rappeler à l'ordre ! (…) Tu as entendu salope ? A poil ! ».

    Je reste debout devant elle, me penche et enlève mes escarpins, ma mini jupe et mon top. Elle m’observe en faisant la moue : (…) Tu as vu comme ses nichons pendent, et son ventre ! (…) Je suis sure qu’elle a mis bas plusieurs fois cette pouff (…) Viens me montrer ta médaille, tas de merde (…) Honteuse de tant d’insultes (…) Je m’approche d’elle pour qu’elle puisse lire au recto (…) Je suis une putain de Monsieur Georges (…) Il faudra lui dire qu’il fasse plus attention à ses recrutements (…) Puis au verso (…) Soumise sans tabou (…) Ah, ça, par contre, ça me va ! Mais, cette pétasse prend de gros risques avec moi ! ».

    Elle se rapproche un peu de moi et dit à son mari : « Tu vas nous chercher ton Polaroid, mon Chéri ? Ca nous fera de la matière pour notre blog et nos amis seront contents ». En bon toutou tranquille, il s’éloigne vers la maison. Elle se lève et me pousse sur un transat dont elle relève le dossier avant de se diriger vers le bar de plein air et d'ouvrir un des placards supérieurs.

    Je ne vois pas ce qu'il y a dedans, mais, elle revient avec une poignée de cordes de chanvre de différentes longueurs qu'elle jette sur le transat voisin. Habilement et rapidement, elle me saucissonne au transat, en me laissant les bras levés au dessus de moi, et les cuisses largement ouvertes.

    Mais, elle n'en a pas terminé : elle prend une grande corde à nœuds espacés d'environ vingt centimètres, avec laquelle elle m'attache les poignets au dessus de la tête, en serrant très fort son nœud. Puis, elle me soulève un peu sur le côté pour passer cette corde sous moi, et faire retomber mon corps sur la corde. Elle la tend le plus fort possible, la passe entre mes cuisses en l'enfonçant bien entre mes grandes lèvres vaginales et termine sa boucle en m'attachant le bout de la corde autour du cou en la serrant à la limite de l'étouffement !

    Quand son mari revient, elle prend l'appareil photo et fait une demi-douzaine de clichés pour qu'on voit bien ma situation : saucissonnée sur le transat, sans pouvoir bouger mon tronc, ma poitrine, mon ventre ou mon bassin. Mes jambes sont encore libres, mais juste pour ouvrir ou refermer les cuisses.

    Quant à mes poignets ils sont dépendants de la corde à nœuds qui passe sous moi, prête à scier mes lèvres vaginales avec son chanvre et à heurter mon clitoris avec ses nœuds. Pour se terminer autour de mon cou, comme une pendue assise. Voilà donc le sadisme de notre mariée nouvelle riche !

    Mais cette femme n'a pas fini de jouer avec moi ! Avec des gestes précis, elle me pose dans la bouche un bâillon boule que je suis obligée de mordre. Je réalise que la boule de latex est percée en son milieu, et laisse passer un tuyau de plastique d’environ deux centimètres de diamètre, court à l'intérieur de ma bouche mais plus long vers l'extérieur.

    Obligée de planter mes dents dans la boule, je ne peux ni crier, ni gémir, ni, bien sur parler, par contre, je bave comme une chienne enragée, ce qui fait ricaner sottement la femme, qui ramasse ma salive de ses doigts, qu'elle essuie avec un dégoût profond sur mes seins nus.

    Elle me prend une poignée de cheveux et baisse ma tête pour que je vois bien tout ce qu'elle me fait ! Elle s'approche de mon entre-cuisses, glisse dans le bas de mon vagin, pour ne pas nuire aux frottements de la corde vers le haut, une canule assez longue, se terminant par un embout, ressemblant à un raccord de tuyau d’arrosage.

    Je ne peux qu'essayer de refermer mes cuisses, ce qui ne sert strictement à rien, sinon à me fatiguer les muscles, et, impuissante, je me vois ainsi appareillée et très craintive de ce que cette femme peut encore inventer pour m'humilier ou satisfaire son sadisme évident !

    Elle me regarde avec des yeux qui me mettent horriblement mal à l'aise. Son mari enchaîne les pellicules de douze Polaroid et faisant des gros plans de mon vagin ouvert et préparé !

    Elle s'absente et revient vers moi en tirant le bout d'un tuyau d’arrosage fin et transparent. Agenouillée devant mon bas-ventre, elle clipse sans difficulté, le tuyau sur l'embout de la canule, enfoncée dans mon vagin.

    Son mari se dirige vers un robinet. Au top de sa femme, il l'ouvre : je sens instantanément un jet d’eau fraîche, lent et régulier, s’écouler dans mon ventre.

    Sans plus se préoccuper des tuyaux, elle vient vers mon visage : « On va te remplir comme une grosse pute, tu vas être gonflée de partout comme si tu étais en cloque et je me régalerai de boire le lait qui jaillira de tes nichons ! ». Je suis un peu interloquée, non par ses manières, mais, je ne me vois pas en train de lui donner du lait !

    Elle se redresse et me rassure : « Quant à ta bouche, rassure-toi, je vais m'en occuper de suite ! ». Elle enlève son slip de bains, prend le long tuyau externe qui sort de la boule et y visse le bout d'un entonnoir.

    Elle se positionne debout à ma droite, me tourne la tête vers son bas ventre nu et me dit : « Regarde bien, ma grosse vache, j’ai bu deux litres d’eau dans la demi-heure avant ton arrivée ! Tu vas donc avoir droit à un gros apéritif, mais excuse moi je n'ai pas prévu de petits fours ! ».

    En ricanant de nouveau, elle relâche sa vessie et pisse dans l'entonnoir, d’un jet constant qui me semble durer une éternité. Quand elle s'est vidée, l’entonnoir est à moitié rempli, car tout n'est pas passé dans ma gorge !

    Elle y trempe un doigt et me le passe sous le nez : « Tu sens ma pisse ? Tu aimes cette odeur ? ». Ne pouvant m'exprimer, je dois acquiescer de la tête, et c’est en riant qu’elle lève l’entonnoir au dessus de ma tête pour faire couler le reste de pisse dans ma bouche en un sol flot continu.

    J’ai du mal à retenir une nausée, mais j’avale au fur et à mesure le liquide nauséabond, qui coule parfois directement dans ma gorge, mais le plus souvent, bouillonne dans mon palais.

    Quand j’ai fini de tout ingurgiter, elle prend une bouteille de Vittel : « C’est juste pour nettoyer l’entonnoir et être sure que tu ne perdras pas une seule goutte de ma pisse ! ». Tout en maintenant l’entonnoir au dessus de ma tête elle y verse, lentement le contenu de la bouteille d'eau, me permettant de boire à petites gorgées et, donc, de tout avaler.

    Elle m’ordonne de regarder le résultat : affolée je vois mon ventre énorme de femme enceinte, gonflé jusque sous mes seins et je me sens très mal avec tout ce liquide qui entre dans mon corps par ma bouche et mon con.

    Elle décide que je suis suffisamment pleine : elle ordonne à son mari de fermer le robinet. « Te voilà bien remplie, pétasse ! ».

    Avec des gestes toujours aussi précis que j'admire en elle, elle me libère de mes liens, m’ôte le bâillon-boule et m’aide à me mettre debout, car j'ai beaucoup de difficulté à le faire seule.

    « Tu vas faire le tour de la piscine avec tes mains croisées sur ta tête pour que tu sentes bien le travail de la corde à nœuds et que mon mari puisse faire de beaux clichés de sa putain ! ».

    Je m’exécute plutôt lentement, accomplissant un, puis deux tours de la piscine, alors que la femme se moque de moi en m'insultant et que son mari me mitraille avec son appareil.

    Je me sens laide, énorme et monstrueuse avec en plus une envie de plus en plus forte de pisser cette eau qui bouge et fait des vagues en moi ! A la fin de mon second tour, elle m’attend accoudée au bar.

    Elle me pousse sans ménagement contre lui. D'un saut agile, elle monte sur le bar, tire sur mes poignets, liés ensemble, et les attache d'un seul geste à un crochet fixé dans le plafond bas.

    Elle redescend, s'agenouille devant moi et m’enlever mes escarpins. Relevée, elle me regarde en se caressant discrètement la chatte d'un seul doigt tout en me reposant sur le sol. Seules, les pointes de mes pieds nus, reposent sur le sol en ne m'offrant qu'un équilibre très précaire !

    Elle repasse derrière le bar et sort du placard un équipement que je ne reconnais pas, quand elle le pose sur le bar devant moi ! Mais auquel je sais que je vais être rapidement présentée !

    Le corps tendu par mes poignets attachés très haut, en équilibre sur les pointes de mes pieds nus, liée des poignets, à la tête par une corde à nœuds qui passe entre mes grandes lèvres. Je ne peux absolument pas bouger et encore moins me dérober quand elle se rapproche de moi et me pose sur les tétons, pour une fois, au repos, deux petits tubes de verre et, sur mes aréoles granuleuses, deux tubes de verre beaucoup plus gros, destinés à englober chacun de mes globes. Elle récupère quatre tuyaux provenant des tubes et les clipse sur les embouts prévus dans ce que je devine être une pompe à vide.

    Elle se recule, laisse son mari faire des photos, et branche la machine : l’air se retire des quatre tubes, y revient, en repart, y revient à nouveau et, ainsi de suite ! Puisque le principe de cette machine est de pomper et à chaque retrait d'air, de grossir et d'allonger mes tétons et mes seins.

    Elle est très attentive, et regarde fixement la réaction de mes tétons en réglant très soigneusement la puissance de la machine. Quand ils sont étirés, comme rarement je les ai vus et que leur succion m'oblige à pousser des petits cris, elle bloque cette position et passe de suite aux seins, pour lesquels elle suit avec la même attention, un réglage très prudent !

    Contente de ses réglages, elle laisse faire la machine et demande à son mari de lui rapporter les deux petits tabourets en bois qui sont de chaque côté de la cheminée ! Elle nous surprend tous les deux, car ni lui ni moi ne voyons ce qu'elle va faire avec deux tabourets !

     

    Mais il s'exécute et revient avec les deux sièges qui ne font pas plus de dix centimètres de haut. Elle lui demande de l'aider : il me lève par la taille et elle glisse les deux tabourets sous mes pointes de pieds. Et, d'un seul coup, mes pieds peuvent reposer entièrement à plat sur le bois !

    Mais mon soulagement est de courte durée, car elle prend une boîte de grandes pinces à linge en plastique dans son armoire du bar, et me la met devant les yeux en me disant :

    « Si tu es dans cette catégorie de femelles, tu vas pouvoir enchaîner tes orgasmes, putain ! Chaque fois que je te poserai une pince sur le corps, et, ce, guidée, par mes caprices pervers et sados ! Tu feras automatiquement un saut de douleur pour te débattre, totalement inutilement ! Mais ce geste que tu ne pourras pas éviter va étirer la corde qui fera son travail dans ta connasse de pute ! Une amie m'assuré que dix chocs d'un nœud de chanvre sur un clito décapuchonné doivent suffire à envoyer en l'air une soumise ! ».

    Alors qu'elle s'apprête à prendre sa première pince, elle jette un regard machinal, sur sa machine à pomper et son visage s'éclaire : « Ca y est : je te tire du lait, salope, aucun nichon de putain n'a jamais résisté à cette machine, hummmmm je vais me régaler ». Hallucinée, je sens en effet mes bouts de seins humides.

    Elle semble hésiter et dit-à son mari : « Mon Chéri, que me conseilles-tu ? J'ai très envie de lui enlever ses embouts pour téter ses nichons et lui arracher son lait à la source tout en m'envoyant en l'air, avec ce goût si excitant dans la bouche, mais d'un autre côté, j'ai très envie de la couvrir de pinces pour la faire jouir quatre ou cinq fois de suite et pour te la donner, ivre d'orgasmes, pour la niquer et jouir d'elle selon tes envies ? Que me conseilles-tu ? ».

    Son mari réfléchit et lui répond, assez justement : « Plus elle est pompée, plus elle te donne de lait ? ». « Oui, mon chéri, en effet ! ». « Donc, laisse là branchée et pose lui une cinquantaine de pinces, si ton amie ne s'est pas trompée, elle va jouir cinq fois et je suis sur que ses hormones de femelle en chaleur l'obligeront à produire beaucoup plus de lait ! ».

    « Hum, mon chéri, je t'adore, en plus d'être riche et d'avoir une belle bite, tu es intelligent et de bon conseil ! ». L'homme, visiblement gaga de sa super-starlette glousse comme un coq caressé à rebrousse-plumes ! Je suis enchantée de ne pas avoir ce genre de rapports avec Yves !

    Elle renonce donc à me téter et prend sa première pince.

    (... ) Je n'ai pas la force de vous raconter l'intégralité de cette séance, absolument éreintante pour moi, je la finis en tombant dans les pommes, réveillée par des sels et des petites gifles inquiètes de mes deux hôtes si sympathiques ! (...) La femme m'avait prévenue que les pinces seraient posées en fonction de ses caprices pervers et sados ! Elle n'a pas failli à sa promesse ! Je ne pensais pas que nous avions, sur le corps, cinquante emplacements humiliants et douloureux pouvant accueillir des pinces, mais, à présent, je serais en mesure d'en faire un inventaire détaillé ! (...) Quant à l'amie de Madame, elle connait apparemment très bien la sexualité et la libido des femmes soumises, car elle ne s'est pas beaucoup trompée sur le nombre d'orgasmes provoquables par une corde à nœuds bien placée, sinon qu'elle n'avait pas supposée que le cinquième serait un tsunami-ravageur et tombeur dans les pommes ! (...) Pour ceux ou celles qui ne seraient pas informé(es), je vous donne une vue d'ensemble de mon corps après la cinquantaine de piqûres de pinces !

    Bouts de tétons, aréoles, gras des seins, langue, lèvres, lobes d'oreilles, aisselles, nombril (…) très joli en étoile (…) mont de Vénus, grandes lèvres, clitoris, intérieur des cuisses, raie des fesses, anus (…) dure à poser (…) et une entre chaque orteil.

    Je ne sais pas si les cinquante y sont ou sont dépassées, mais quand on aime, on ne compte plus ou très mal !

    Quand je suis revenue sur terre en rassurant le couple sur la fréquence de ces malaises en cas d'orgasmes trop violents, la femme reprend des couleurs en réalisant qu'elle n'aurait pas à prévenir Monsieur Georges de mon décès ! Et, elle me demande, presque poliment si je suis en état de continuer ? N'osant pas lui dire d'aller se faire foutre ! J'hôche la tête pour lui signifier que tout va bien !

    Elle me sourit et coupe les moteurs de la machine. Elle enlève les tubes et, comme promis, elle se précipite sur mes tétons pour les sucer goulûment et les mordiller très peu tendrement.

    Dans le même temps, elle se branle seule de sa main droite en avalant ces quelques gouttes de lait probablement tièdes qui sortent lentement de mes bouts de nichons ! Et c'est en jouissant, presqu'aussi bruyamment que moi qu’elle termine de boire mon lait en avalant le tube de réception qui doit en contenir un ou deux centilitres ! Je suis sidérée d’avoir encore du lait dans mes seins 21 ans après avoir accouché !

    Pour se calmer, elle ôte son soutien-gorge et plonge dans la piscine en lui criant : « Vas y mon chéri, à toi de t’amuser avec elle ! ». Il n’attendait que ça et me regarde, vicieusement, suspendue à mon crochet, en train de me tortiller comme un ver, tellement j’ai envie de pisser. Pendant que sa femme se détend et nage, il passe derrière le bar, récupère une cravache de cuir, se place devant moi, écarte brutalement les deux tabourets et m'ordonne de remettre mes pieds dessus. Je me retrouve donc suspendue de nouveau, sur la pointe des pieds, mais avec les cuisses largement écartées !

    En me soulevant d'un seul coup, il détache mes poignets du crochet, je retombe les pieds à plat sur les tabourets. Il me libère les poignets, la chatte, le cou et jette la corde à nœuds, devenue inutile ! Il me demande de croiser mes mains sur la tête et de garder mes cuisses largement ouvertes et mes pieds à plat sur les bancs.

    Ce que je craignais tant arrive, car il cravache une à une, les pinces de mon corps. Je redoutais la répétition de cette torture, car deux fois en deux jours, me semblent trop, mais ce pauvre homme ne peut pas le savoir ! Les pinces résistent, mais moi non, et des larmes coulent sur mon visage ! Semblant me prendre en pitié, il fait un marché avec moi en me proposant : « Je vais essayer de t'enlever les six pinces qui restent encore sur tes nichons, mais, pendant ce temps, je t'autorise à vider ton ventre et ta vessie, mais cuisses super-ouvertes et exhibées par tes deux mains ».

    Je fais oui de la tête et il cravache la première pince, ce qui me fait hurler, mais en même temps mes deux mains ouvrent largement ma moule trempée et obscène et je commence à me vider, pissant avec un plaisir indescriptible ! Je me moque des éclaboussements, des coups secs sur mes nichons, je sens une pince tomber, une autre retenue par un tout petit bout de peau qui me fait hurler de douleur, mais en quelques minutes, j'ai retrouvé ma taille de jeune fille et il ne reste que les deux pinces de mes tétons, je tombe à genoux, épuisée, soulagée mais sans avoir joui ! Je suis décidément une insatisfaite invétérée !

    Sans s'occuper de la pisse qui me recouvre et de mon odeur nauséeuse, l'homme m’entraîne vers une table de salon, me couche sur le ventre et, donc, sur les pinces qui restent encore sur cette partie de mon corps, il me frappe violemment les fesses en m'ordonnant de les ouvrir avec mes deux mains et m’encule violemment en me tenant par les hanches.

    Je constate que sa femme avait raison, je ne sais pas si cet homme est vraiment riche, mais il a un sacré pieu entre les cuisses ! Il ahane dans mon dos, coulissant facilement et profondément dans mes intestins et jouit très vite et très profond en moi.

    En fait, je ne m'en rends compte que par ses grognements de plaisir, la poussée de sa bite dans mon anus et son bas-ventre collé à mon cul ! Sa femme sort de la piscine et vient le féliciter pour avoir bien rempli mon cul de putain !

    L'homme se relève et prend le tuyau d'arrosage en main. Sa femme me conduit à deux mètres des wcs et me demande de lui faire face, avant de me quitter en courant nue !

    Il tourne brutalement le robinet et vise avec son jet froid toutes les parties sales de mon corps. Il insiste vicieusement sur mes seins, ma chatte et, m'obligeant à me retourner, sur mes fesses qu’il m'ordonne à ouvrir de mes deux mains pour bien me nettoyer l’anus et le trou du cul.

    Sous cette douche, je continue à pisser, mais j’avais tellement de liquide dans le corps que je pense que tout n’est pas encore ressorti.

    En riant la femme me jette une serviette : « Sèche toi, putain, nous allons rentrer et je ne veux pas que tu mouilles tout ! ». Son mari coupe l’eau, je me sèche en les regardant se rhabiller.

    Elle me pousse devant elle en disant à son mari (…) Finalement, elle est loin d’être bandante, mais elle obéit bien ! Et son cul ? Tu l’as aimé ? (…) Oui, elle est étroite du cul, je me suis régalé de me vider les couilles comme ça, et je crois que tu as apprécié le lait de ses mamelles, je t’ai vue t’envoyer en l’air comme rarement ! (…) Oui c’est vrai, tu as raison, j’ai bien joui ! (…) Je suis sure que ce n’est pas une pro, mais, elle est bien éduquée et elle semble obéir plus par vice et par soumission que pour du pognon ! Elle est très différentes des autres putes que MG nous a envoyés ! ».

    Je les entends discuter tous les deux, mais je ne peux saisir toutes leurs paroles. Je monte les marches et entre dans le hall de la maison, toujours nue. La femme me guide vers la droite et j’entre dans un bureau.

    L’homme s’assied et téléphone : (…) Oui salut, c’est moi : oui tout va bien ! (…) Ce n’est pas un premier prix de beauté (…) Mais elle compense par son vice (…) Oui, comme promis, tu recevras des photos (…) Elles seront aussi sur notre blog, tu connais l’adresse (…) Je voulais juste te demander si c’est une pro ou non ? (…) Ah ! Ok ! je m’en doutais ! Eh bien on va lui faire une carte (…) Donne moi son nom, son prénom, sa date de naissance (…) Oui je note tout : adresse et téléphone (…) Voilà c’est parfait, une photo et elle aura une belle carte de pute, dont je déposerai un double à la préfecture, lundi matin (…) Allez je te laisse ».

    Je rougis des pieds à la tête en sentant le piège se refermer sur moi. L’homme prend un appareil photo numérique et la femme me donne une brosse : « Peigne toi un peu pour que tu sois appétissante sur ta photo d’identité ! ». Sans pouvoir protester, je me coiffe rapidement. L’homme me colle à un mur et prend deux photos de moi : « Je vais tout préparer, tu peux aller t’amuser avec elle ma Chérie ! ».

    Sa femme rit en me poussant dans le dos : « Allez avance salope et rassure toi, tu es entre de bonnes mains, il est inspecteur aux mœurs et si tu vas bien tous les deux mois à ta visite médicale avec tes consœurs, tu n’auras pas d’ennuis ! ».

    Nous nous rapprochons d’une porte en bois, elle m’arrête et l’ouvre, l’escalier est dans le noir : « Vas y, il y a dix marches et une corde sur la droite pour te guider ».

    Encore très troublée par ce qui s’est passé dans le bureau, j’attrape la corde et commence à descendre en comptant les marches une à une. A la onzième, mes pieds nus se posent sur de la terre battue que je suppose être le sol d’une cave. Elle allume une lumière indirecte : « Voilà, on est dans une cave ronde et on va la découvrir ensemble en commençant par l’armoire à ta gauche ».

    Elle ouvre les deux battants : sur la droite : des objets en cuir pendus : fouets, cravaches, martinets et ceinturons. Sur la gauche : pinces en fer avec des poids différents. Et sur des étagères, des chaînes, des cadenas, des menottes et des fers ainsi que des bâillons différents.

    En ce qui concerne les meubles : à droite de l’armoire, une table offrant un grand choix de godes, de vibros et de plugs de toutes les tailles. Encore plus à droite, une croix de Saint André. Puis une autre table avec des coffrets d’aiguilles de différentes tailles qui me font frémir. Puis une vielle baignoire vide et enfin un fauteuil de gynécologue.

    La femme semble fière de cette cave : « C’est notre donjon à nous, nous l’avons équipé peu à peu et tu ne peux même pas t’imaginer combien de salopes masos y sont passées ! Tu ne seras qu’un N° de plus ! ».

    Je ne dis rien, complètement paralysée par la peur, elle s’en rend compte et me guide vers le fauteuil de gynécologue dans lequel elle me fait asseoir. Elle noue les courroies sur mes poignets et à l’angle de mes coudes pour m’empêcher de bouger les bras et les mains, puis elle me pose les jambes sur les supports relevés et écartés du fauteuil et elle les immobilise comme les bras en deux endroits.

    Pour finir, elle me fixe une large ceinture à la taille qui me plaque contre le fauteuil en me coupant la respiration. Au dessus du fauteuil il y a deux poulies que je n’avais pas remarquées. Elle descend une chaîne de chaque poulie. Elles se terminent par des pinces en acier crantées qu’elle referme sur mes tétons. Elle tend de suite les chaînes jusqu’à ce que mes gémissements lui fassent comprendre que la tension est à la limite du supportable. Elle bloque, heureusement, les chaînes, me laissant ainsi, tétons tendus à l’extrême vers le haut, gémissant de douleur et essayant de ne faire aucun geste pour ne pas accentuer la tension sur mes seins.

    Elle me regarde en riant : « Tu es bien comme ça : nichons tendus, sans pouvoir faire un geste, on va pouvoir jouer ! ». Le vice de cette femme me fait peur, mais je ne peux rien faire. « Il ne nous reste malheureusement que peu de temps, alors on ne va pas pouvoir tout te faire essayer, mais tu vas goûter au meilleur : la célèbre bite d’Ali ! ».

    Elle va vers la table des godes et revient avec un sexe noir monstrueux qu’elle pose sur mon ventre, les fausses couilles du gode sont sur mon mont de Vénus, alors que le gland repose entre mes seins !

    Elle prend un tube de vaseline dont elle enduit le monstre et s'assieds sur un tabouret entre mes cuisses. Elle le prend à sa base et commence à l’enfoncer en moi. Le gland ne passe pas, et j’hurle, persuadée qu’il va me déchirer. Mais elle est patiente et, millimètre par millimètre, elle le fait entrer en moi, m’ouvrant comme si je devais accoucher.

    Au bout que quelques minutes elle rit : « Tu sens bien les couilles contre ton cul, salope ? Tu vois bien qu’il est entré, tu as trente centimètres de bite dans ton con de pute ! Tu as déjà été remplie comme ça ? ».

    Les yeux trempés de larmes, je dois indiquer « non » de la tête et c’est en riant qu’elle commence à me niquer vicieusement, en sortant presque entièrement le monstre de moi pour le replonger lentement dans mon vagin écartelé. Les premiers allers et retours me font hurler de douleur, mais très vite ma mouille se mélange à la vaseline et je sens que le monstre coulisse de plus en plus facilement en moi, la douleur fait place à un autre sentiment mélangé de plaisir et de honte.

    La femme se rapproche de ma tête, elle me mordille l’oreille en me murmurant : « Un jour je demanderai à ton propriétaire de t’offrir au vrai Ali, celui sur lequel nous avons moulé cette bite, il te fera jouir rien que de te poser son gland sur ton anus juste avant de t’enculer comme jamais tu ne l’as été dans toute ta vie de truie ! Aucune pute n’a pu lui résister : elles ont toutes joui comme des chiennes en chaleur ! ».

    Je m’imagine sans peine avec ce monstre dans les intestins et sans pudeur je me laisse aller, criant à présent à chaque introduction dans mon vagin trempé. L’homme nous rejoint, il sourit en me retrouvant au bord de l'orgasme, niquée par le moulage d'Ali. Il reprend de suite son appareil, alternant les gros plans de mon vagin distendu et de mon visage reflétant toutes les étapes de la montée de mon orgasme !

    Je finis par jouir comme une bête alors que la femme bloque le monstre dans mon vagin, avant d'appuyer par surprise, sur une poire annexe, pour m’arroser le fond du con de longs jets chauds et crémeux que je suppose être du lait, ou pourquoi pas ? Du foutre d'animal ! Car, comme me disait une amie : « Quitte à fantasmer, fantasmons très cher ! Car, au final, ce sera le même prix ! ».

    Elle retire le monstre très lentement de mon vagin alors que l’homme me libère les poignets et les chevilles. Quand ils me redressent, le tête me tourne et j’ai du mal à marcher, mes cuisses restent encore largement ouvertes. Sans m’accorder aucun répit, ils m’adossent à une croix de Saint André et m’y attachent solidement les chevilles, la taille et le cou tout en me laissant curieusement les mains libres.

    Ils la font basculer pour que je sois parallèle au sol. Au dessus de moi, un grand miroir fixé au plafond me renvoie mon image plus qu’obscène de femme totalement offerte. La femme sourit, m’embrasse longuement sur la bouche et se relève : « Nous allons terminer ce premier rendez-vous en beauté ! Mon mari va profiter de ton ventre accueillant et bien ouvert par ton ami Ali ! Toi, tu vas me lécher la chatte en t’appliquant, et je t’ai laissé les mains libres pour que tu te branles les tétons jusqu’à l’orgasme ! ».

    Tout s’effectue comme elle l’a prévu, c’est moi qui tarde à jouir des tétons alors que son mari est le premier à m’arroser le con et qu’elle prend son pied dans ma bouche en m’aidant à me caresser et à me torturer les tétons.

    Sans m’accorder de douche, ils me regardent me rhabiller, me précisant que c’est Monsieur Georges qui me paiera et, son mari me donne, très sérieusement, ma carte professionnelle, marquée : « Préfecture de Police de Vichy ! », barrée  avec des trois couleurs bleu, blanc et rouge ! Avec mon nom, mon adresse, ma photo, ma date et mon lieu de naissance et la date de ma prochaine visite médicale !

    Persuadée que le ciel m’est tombé sur la tête, c’est en pleurant que je m’éloigne pour rejoindre Annie qui m’attend derrière la grille.

    Mercredi 1er février 2017 - 21h15

    En me voyant arriver dans cet état, Annie, me demande ce qu'il m’arrive, je lui montre la carte et elle éclate de rire : « Ah, oui, Agnès m'a prévenue pendant, en s'excusant mille fois, de ne pas t'avoir avertie avant ! Ils se veulent rigolos, en bizutant les nouvelles à qui ils font presque à chaque fois le coup de l'encartage comme prostituée ! Rassure-toi, Monsieur Georges les a déjà sermonné et il les mettra à l'amende pour conduite indigne. Ils la paieront et le club sera un peu plus riche ! ».

    Elle déchire la carte et me donne une cigarette en me rassurant : « Je comprends que tu aies eu la peur de ta vie, mais rassure toi, avec nous tu ne risques vraiment rien ! ».

    Elle me donne un kleenex, je m’essuie les yeux et éclate d’un rire nerveux et elle rajoute : « Allez, ma Chérie ! C'est l'heure de la paye ! On va se faire payer une coupe de champagne par Monsieur Georges, il te donnera ta belle enveloppe et nous irons faire un bon dîner ! ».

    Mercredi 1er février 2017 - 21h25

    Par chance, une place se libère juste devant la Grande Brasserie, et, il est au bar. Il s’adresse gentiment à moi en me souriant après m'avoir embrassée sur les deux joues :

    « Eh bien, ma petite Loré, je vois que tu n’as pas tardé à profiter de ton inscription ! Et je n’ai eu que des éloges sur toi, ta réputation va vite se faire sur Vichy, il faut que tu trouves un moyen pour venir régulièrement, je comprends qu'entre ton job et ta vie privée, ce ne se soit pas simple, mais, tu verras, tu seras surprise par le nombre de demandes que tu auras et dont j'informerai soigneusement Agnès et Annie ! Du reste, n'hésite pas à faire attendre tes amis ! S'ils ont envie de toi, ils sauront patienter ! N'oublie pas qu'une jolie femme doit se faire désirer ! ».

    Je souris en le remerciant ! Il sort de son blouson une grosse enveloppe que je glisse dans mon sac sans l’ouvrir et il rajoute en riant : « N’en veut pas à mes amis, ils sont taquins ! Ca fait des dizaines de fois que je leur colle une amende, qu'ils paient en riant, et, vue leur générosité quand je lève des fonds pour le club, j’ai du mal à me résoudre à les exclure ! ».

    Il demande trois coupes : « Je dois vous dire, Monsieur Georges, que, sur le moment, j’ai eu très peur ! ». « Allez, oublie vite cette plaisanterie, et trinquons à tes futures belles aventures, je te jure qu’il n’y a pas d’autres plaisantins dans le Club ! Annie, votre dîner est réglé, Agnès te dire tout ».

    Je me détends, rassurée par ses paroles. Annie l’embrasse en le remerciant pour tout, et je suis surprise de voir MG se pencher vers moi pour me faire biser aussi les joues.

    Ce geste de tendresse amicale me fait chaud au cœur et me rassure sur une amitié peut être naissante ?

    Mercredi 1er février 2017 - 21h35

    Nous quittons MG et rejoignons Agnès chez elle. Elle m'embrasse longuement sur la bouche et me félicite pour mon excellente prestation en s'excusant plusieurs fois de ne pas avoir pensé à me prévenir de la plaisanterie préférée de ce couple !

    Elle m'envoie me laver et me prévient qu'elle a préparé dans sa chambre ma tenue pour le dîner de ce soir. Je la remercie et file avec grande joie dans la salle de bains. Par curiosité j'ouvre l'enveloppe de MG et j'y trouve 4.000€ avec un mot : « Je vais les condamner à 4.000€ d'amende, qu'ils me paieront demain, je la partage avec toi, pour me faire pardonner de ne pas t'avoir informée ou fait informer ! G ».

    Ravie de cette belle prime, je me fais couler un demi-bain et m'y glisse avec plaisir, pour me détendre dix minutes avant de me laver et de me préparer.

    Pendant ce temps, dans le salon, Annie et Agnès papote du dîner. Agnès lui dit : « Comme tu lui avais demandé un resto, que je ne connaissais pas encore, MG m'a rappelée en m'indiquant qu'un couple de Mexicains avait ouvert un resto tex-mex il y a quinze jours, qui était, semble-t-il excellent. Et qu'il avait, justement un excellent ami à lui, qui le tannait pour lui trouver de la compagnie pour inaugurer cet établissement avec lui. Je l'ai appelé, et il accepte de vous inviter toutes les trois ».

    « Il a réservé votre table pour 22h. Il s’appelle Maxime et c’est un des plus gros agents immobiliers de Vichy. J’ai négocié la soirée à 500€ pour Loré et l'addition à sa charge, bien sur ! ». « Ah ! Monsieur Georges ! Que ferais-je sans vous ? ». « Mais, ma Chérie, ce que tu vas faire ce soir : t'amuser sans moi ! Je te souhaite une excellente soirée ! Et je vous embrasse toutes les trois très tendrement ! ».

    Quand je sors de la salle de bains, j'ai nettoyé et rangé les sex-toys utilisés pour ma séance avec le couple, ils sont roulés dans une serviette propre que je dépose dans la chambre d'Agnès. Je trouve sur le lit : mon médaillon-alliance, une petite robe noire moulante, avec un décolleté en goutte, des bas Dim-Up, des sous-vêtements noirs classiques et des escarpins avec des talons mi-hauts.

    Un dernier coup d’œil dans le miroir, et je les rejoins dans le salon : elles ont deux très jolies robes en mousseline de couleurs et de formes différentes, des bas, des talons hauts, mais, je ne peux pas me prononcer pour d'éventuels sous-vêtements !

    Nous prenons nos sacs, enfilons nos manteaux et montons dans le taxi commandé en nous disant : « Comme ça, nous pourrons boire même un peu trop, sans avoir de problèmes de retour ! ». Nous approuvons cette bonne idée et restons silencieuses durant le court trajet, en remerciant le chauffeur, qui nous dépose devant le restaurant.

    Mercredi 1er février 2017 - 22h

    Nous annonçons au serveur que nous sommes attendues par Monsieur Maxime. Il récupère nos manteaux, et nous conduit à une table un peu isolée où un bel homme très élégant se lève immédiatement.

    Agnès le remercie de son invitation et le salue de la part de Monsieur Georges. Maxime lui répond qu'il la connait très bien et lui pose une question simple : « Mais qui ne connaît pas Madame Agnès ou Monsieur Georges sur Vichy ? ». Nous rions tous les quatre, sans bien sur apporter de réponse, à une question qui n'en a pas !

    La table est ronde, nous nous asseyons et il enchaîne en se tournant vers Agnès qui s'est assise à sa droite : « Je présume que cette très belle apparition en mousseline qui s'est assise à ma gauche est Annie ? Et que ce ravissant minois et cette très jolie robe noire, sagement décolletée, installée en face de moi, appartiennent à Loréna ? ».

    Nous approuvons en souriant et Maxime nous propose du champagne en apéritif, ce que nous acceptons. Nous déplions nos serviettes et avons la surprise de découvrir dans chacune de nos assiettes un joli cadeau très bien enveloppé avec l’étiquette d'une grande parfumerie de Vichy.

    C’est quasiment en même temps que nous disons, avec des mots différents : « Oh comme c’est gentil et élégant, Monsieur, mais il ne fallait pas, vous n’étiez pas obligé ! ». Il répond posément et avec un humour certain : « J’ai deux obligations dans ma vie : faire plaisir aux jolies femmes et réussir dans ma profession. C'est en fait la deuxième qui me permet de remplir la première ! ».

    C’est en riant que nous ouvrons nos paquets et découvrons un flacon de parfum N°5 de Chanel. Agnès apprécie en connaisseuse : « Hum, le parfum des jolies femmes ! Quel beau compliment, vous nous gâtez vraiment mon cher Monsieur Maxime, ou plutôt, « Maxime » si vous nous y autorisez ? ». « Ce n’est qu’un petit geste de bienvenue. Bien sur « Maxime ! », ou même « Max ! », si vous préférez, sera plus de circonstance et le « tu » de rigueur si tout le monde est d'accord ! ».

    Nous approuvons toutes les trois et il enchaîne : « Je crois, Loré, que tu n'as pas fini de fouiller ton paquet, je ne te crois pas assez superficielle pour t'arrêter à un parfum volatile ! ».

    Je ris de cette plaisanterie, en effet très drôle, et reprends mon emballage froissé, et j'y trouve en effet un bristol écrit à la main : Proposition indécente (…) Me référant au célèbre film, je lui signale en riant que je ne pense pas valoir un million de dollars ! (...) En souriant il me répond : sait-on jamais ? (…) Je déplie le bristol et le lis (…) Vas aux toilettes et remplace tes sous-vêtements par ce parfum (…) Rapporte les moi au vu et au su de tout le monde (…) J'attends surtout de toi une petite culotte bien odorante (…) ».

    En récupérant mes vieilles habitudes que je croyais enfouies ! Je rougis violemment, très surprise par cette mise en scène imaginative qui me rend dépendante de lui dès le début de la soirée et qui prouve aussi clairement, que je suis une invitée-rémunérée, et donc à ses ordres !

    Je tends le papier à Annie comme pour bien signifier à Max que rien ne se fera sans elle à qui j'appartiens ! Et, après un simple sourire de sa part, je me lève en disant qu’ils peuvent commander pour moi et je prends mon sac et mon flacon en annonçant que je vais aux toilettes pour me rafraîchir un peu.

    Le serveur qui nous apporte les cartes m’indique où sont les toilettes et je les laisse seuls. Je m’enferme dans un des wcs pour femmes tout en me rendant compte que je suis déjà excitée : seins tendus et chatte plus qu’humide.

    Je passe ma robe par dessus la tête et j'enlève mon soutien-gorge que je mets dans mon sac. Puis je baisse et enlève ma culotte, mais avant de la ranger, je me caresse le sexe avec en faisant en sorte de bien m'essuyer les lèvres vaginales et l'entrée de ma moule humides. Je vérifie son odeur en la reniflant et, contente du résultat, je la roule en boule pour la ranger dans mon sac.

    Je me parfume légèrement le corps avec le cadeau de Max. Je range le flacon dans mon sac et renfile ma robe. Et, après m’être un peu rafraîchi le visage devant le lavabo, je remonte.

    Je me rassieds à table en demandant ce que nous allons manger. Max me répond : « Nous allons, d'abord te dévorer des yeux, puis, si nous avons encore une petite faim, nous dégusterons des tortillas à la viande et un chili bien épicé, le tout arrosé d’un excellent vin rosé mexicain, ça te convient ma chère Loré ? ».

    « Je suis en route pour le Paradis, mon cher Max ! ». Et j'ouvre mon sac, je déplie et défroisse mes sous-vêtements et les pose à ma droite, sur la table ! En premier, je lui tends en traversant toute la table : mon soutien-gorge qu’il prend dans ses mains et porte à son visage pour sentir mon odeur et la chaleur des bonnets dans lesquels reposaient mes seins.

    En deuxième, c'est ma culotte froissée qui voyage à travers la table et atterrit dans sa main qu'il porte de suite à son visage. Il semble se régaler de la découverte de mon odeur intime, mais aussi de la preuve que je ne suis pas indifférente à son charme et à ses intentions envers moi !

    Par ces gestes simples, nous savons d'ores et déjà tous les deux qu'il me niquera dans la soirée ! Il semble enchanté et satisfait de l’odeur de ma petite culotte et d’une voix douce, il murmure à l'oreille d'Annie de me demander d'écarter mes jambes et de remonter ma robe sur mes cuisses le plus haut possible.

    Belle diplomatie de Max d'utiliser ma propriétaire pour me transmettre son ordre ! Ce diable d'homme connaît bien la mentalité féminine ! Pour les satisfaire, je suis obligée de me lever et de me rasseoir rapidement. En me rasseyant, je sens le pied chaussé de Max, remonter le long de ma jambe, gaînée de bas. Sans me quitter des yeux, il continue à sentir ma culotte, sans aucune discrétion, tout en soufflant un autre conseil, mais cette fois-ci à Agnès !

    Je souris en constatant sa double diplomatie ! Comme ça, il s'assure que toute la table joue le jeu ! Agnès, souriante, se penche sur moi pour déboutonner le bouton, du décolleté en goutte du haut de ma robe. En l'ouvrant je sais qu’elle dévoile largement le haut de mes seins en laissant voir leur naissance !

    Le serveur arrive et nous apporte les tortillas et le vin. Je remarque que ses yeux passent de ma culotte sentie par l'homme de la table, à mon décolleté, qui dévoile déjà la chaleur de mon caractère ! Mais, il arrive toutefois à servir le vin qu'approuve Max, sans en renverser !

    Nous rions tous de ce bel exploit qui, pour une fois, le fait rougir, lui ! Et pas moi ! Nous sommes servis et nos verres sont pleins, et il repart , Agnès me glisse à l’oreille : « As-tu remarqué la bosse que fait sa braguette, il doit te trouver très à son goût ! ».

    Sans répondre, je goûte le vin et lui trouve un parfum très rafraîchissant que je ne connaissais pas. En me regardant droit dans les yeux, Max fait mine de tremper un doigt dans son verre de vin, et fait semblant de se masser tes tétons tout en me regardant autoritairement.

    Attentive à chacun de ses gestes, je mets peu de temps à comprendre qu’il m’indique ce que je dois faire. Je mouille le bout d'un de mes doigts dans mon verre et passe ma main dans mon décolleté pour me masser l’un après l'autre, mes tétons qui réagissent trop vite à mon goût.

    Comprenant que je suis parfaitement son manège érotique, il me sourit en soulevant la nappe devant lui, me désignant du doigt ce qu'il y a dessous. C'est, évidemment, mon entre-jambe ! Ma main droite quitte mes seins, repasse par mon verre pour l'humidifier et disparaît sous la nappe pour se perdre dans mon bas-ventre que je caresse d'un doigt vinifié, mais, très rapidement trempé par mes sécrétions intimes.

    Il termine cette scénette, en me désignant ses lèvres et je glisse ce doigt entre mes lèvres. Le lèche, langue un peu sortie de ma bouche humide, contente de retrouver mon goût et mon odeur !

    En même temps, je sens son pied, toujours chaussé, se poser sur mon sexe offert et le masser du plat de sa semelle. J'ouvre un peu plus mes cuisses pour lui offrir encore plus de sexe et lui permettre d'y poser encore mieux et encore plus son pied.

    Sans un mot, il commence à manger ses tortillas tout en me massant le sexe de plus en plus fort. Je me laisse faire, mains agrippées à la table sans aucune envie de toucher à mon plat.

    Il me regarde en souriant et m'affirme : « J'ai vu un reportage sur les danseuses tunisiennes qui sont de vraies expertes dans la danse du ventre ». J'ai un peu de mal à parler normalement mais je dis : « Oui j'y suis allée avec Yves et c’est vrai qu’elles dansent très bien ».

    Il enchaîne : « En fait, elles remuent leur bassin avec des mouvements très amples ». Et je rajoute : « Oui, mais sans bouger leurs épaules je ne sais pas comment elles font ». Et il conclut : « Pour moi, c'est la meilleure manière pour une femme de montrer son plaisir a son Maître : onduler du bassin, sans bouger ses épaules pendant qu’il la masturbe ! ».

    Je comprends le sens de cette appartée qui me semblait, au départ, hors sujet et j'essaye de me décontracter et de remuer mon bassin sous la pression de son pied sans que mes épaules ne bougent : « Elles font ça avec des mouvements, très amples et très langoureux ». Je ferme les yeux et augmente la rotation de mon bassin, appuyant ainsi de moi même mon sexe sur sa semelle.

    Et il rajoute : « Et elle vont même de plus en plus vite ». J'essaye d'augmenter de plus en plus ma rotation, ma robe est remontée au dessus de mon ventre. Je me frotte sur ce pied, honteuse et en même temps très excitée, alors qu’il en rajoute : « Elles ondulent du cul comme des pouliches en rut ! ».

    La décence m'interdit de remuer plus ma croupe, je fais l'amour avec son pied, je me sens très chienne et surexcitée. Il enlève brusquement son pied et me tend son verre de vin. D'un seul coup le support de mon excitation tombe sans que ma tension ne redescende.

    Je tends la main vers son verre de vin mais, alors que je m’apprête à boire, il me fait signe que non et ajoute : « Certaines ondulent comme des chiennes remuant la queue pour montrer qu'elles sont contentes ! ».

    Comme hypnotisée, je recommence à onduler du ventre sans rien avoir pour me frotter le sexe. En riant, il penche son verre et me le fait boire en entier. Je le bois sans respirer, mais, ne m'attendant pas à ça, je m'étouffe un peu. De son autre main, il me caresse la main comme pour me flatter en me conseillant d’onduler du ventre pour faire passer le breuvage ! Je remue doucement mon ventre n'osant pas regarder autour de moi mais, persuadée que toute la salle a remarqué ma conduite étrange.

    Max me laisse enfin goûter les tortillas qui sont en effet délicieuses et je le dis. La réponse est immédiate : « Alors, montre moi que tu les aimes comme je t’ai appris ! ». Me traitant intérieurement d'imbécile, je recommence à onduler du ventre sur ma chaise pour manifester mon plaisir simplement récompensée par un : « C'est très bien ! ».

    Nous avons fini les entrées et le garçon débarrasse et nous porte nos chilis con carne. Max nous ressert du vin et nous commençons à apprécier ce plat très goûteux mais excessivement épicé. La conversation tourne sur des sujets anodins tandis que nous finissons nos plats.

    Max est obligé de recommander une autre bouteille tellement le chili nous a mis la gorge en feu. Max me regarde ironiquement et fait tomber la salière de mon côté. Le garçon, attentif, se précipite, et la ramasse profitant ainsi du spectacle que Max voulait que je lui offre.

    Il le remercie et me demande : « Tu as vraiment la gorge en feu, Loré ? ». Je ressemble à une tomate aussi bien à cause du piment du chili que de ce qu’a pu voir le serveur : « Oh, oui, Max, la gorge me brûle ». « Eh bien, le robinet pour te soulager t’attend sous la table ! ». Je comprends de suite ce qu’il veut : « Oooh ici dans le restaurant ? ».

    Il me répond en souriant : « Tu peux aussi attendre mais tu n’auras rien d'autre à boire ! ». Je ne sais pas si c'est la soif ou l'excitation qui me poussent mais je regarde autour de moi et je constate que personne ne nous regarde ! Je me glisse le plus discrètement possible sous la table pour m'agenouiller devant lui.

    Je le vois finir d’ouvrir sa braguette et sortir son sexe déjà bien tendu. Je lèche rapidement son gland humide avant de l'enfoncer dans ma bouche et je le suce, tout en lui branlant la base du sexe, de ma main droite. Il avance son bassin pour m’offrir toute la longueur de son sexe.

    Je l’enfonce le plus possible dans ma bouche ! J'entre et sort tout ce que j'ai pu avaler de ma bouche, lèvres serrées pour qu’il me sente bien, essayant de l'enfoncer goulûment jusqu’au fond de ma gorge. Je sens, avec satisfaction, son sexe se tendre et sa pression sanguine monter. Il grossit dans ma bouche, ses veines se gonflent : je m'applique à le pomper du mieux que je sais faire, en fait très excitée de faire ça, quasiment en public, jusqu’à ce qu’il éjacule au fond de ma gorge.

    Je ferme bien les lèvres pour que rien ne m'échappe et quand j'ai tout avalé, je nettoie son sexe de ma langue pour qu'il ne soit pas souillé de sperme ou de salive. Après m'être assurée qu'il est bien propre, je le remets dans son boxer, et referme son pantalon avant de ressortir de dessous la table, rouge de transpiration et d'excitation.

    En me rasseyant, je vois que j’ai droit à un verre de vin et à un grand verre d'eau fraîche. Malgré les boissons, j'ai du mal à faire passer ce goût de sperme dans la bouche. Il me conseille de m’essuyer le coin des lèvres avec un kleenex. Je demande à Agnès de me passer mon sac que nous avons toutes trois, rangés dans un coin de la banquette.

    Je l'ouvre et découvre sur le dessus, trois grosses boules de geisha noires, reliées par un cordon de soie. Un bristol m'indique : « Vas les mettre aux toilettes pendant que nous prenons un dernier verre tous les trois, nous viendrons te chercher aux toilettes ».

    Je prends mon sac, et obéissante, je redescends aux toilettes. Je suis en train de m’affairer, robe relevée pour glisser une à une les boules en moi quand on frappe trois petits coups à la porte. Persuadée que c'est une des femmes ou Max, j’ouvre la porte et me retrouve, très surprise, en face du serveur qui me tend un mot d’Annie : « Tu l’as excité, prouve lui que tu n’es pas une allumeuse en le finissant comme il en aura envie ! ».

    Je le fais entrer et je referme moi même la porte. Je ne sais pas comment lui demander comment il veut me baiser, mais il ne s’embarrasse pas de préliminaires, il doit avoir peu de temps. Il m’enlève la robe par le haut, me mate à poil et me penche la tête vers la cuvette, cuisses bien ouvertes et cul relevé en pointe.

    J’entends des bruits d’étoffe quand il dégage sa bite, et peu de temps après il appuie son gland sur mon anus, force l’anneau et m’encule d’un puissant coup de reins. Ce qu'il a du voir sous la table a du tellement l'exciter, qu’il ne résiste pas longtemps et jouit très vite, en grognant, ventre plaqué contre mes fesses. Il se retire de mon cul, me donne une tape sur les fesses et me remercie avant de sortir des wcs et de me laisser seule.

    Essoufflée par ce qui vient de se passer, je me rhabille, sors des wcs, me rafraîchit un peu le visage, j’essaye de me recoiffer et je remonte.

    Max et les filles m’attendent en souriant devant le vestiaire. Personne ne fait de commentaire sur ce qui s’est probablement passé dans les wcs, mais ils se doutent bien que le serveur n’a pas laissé passer un telle opportunité et ma transpiration inhabituelle ne peut que le leur confirmer !

    Agnès me prend le bras et nous suivons Max qui nous dit être garé dans le parking souterrain. Il délaisse l’ascenseur et prend l’escalier, et, se rapprochant de moi, il me met une main ferme au cul !

    Je me laisse faire, pensant en moi même qu’un homme que je viens de sucer a bien le droit de me toucher les fesses. A chaque pas je sens les boules bouger dans mon ventre. Il s’arrête sur un palier désert et m’ordonne de me mettre nue.

    Obéissante : j’ôte ma robe par l'encolure et je reste nue, le questionnant des yeux quant aux bas et aux chaussures. Sans en tenir compte, il tire sur la ficelle pour sortir d’un seul coup les trois boules de mon sexe : elles sortent de ma chatte plus que trempées. Il me les tend en me disant de les nettoyer dans ma bouche. Je les suce une à une en les nettoyant de ma langue.

    De temps en temps, Agnès ou Annie doivent rallumer la minuterie. Très rapidement, les boules sont propres et luisantes : « Bien ma petite chienne, retourne toi face au mur et remue tes fesses comme j’aime ».

    Je me mets face au mur, mains posées au dessus de ma tête à plat sur le plâtre et je commence à onduler du ventre et des fesses comme je le faisais au restaurant. Il me claque les fesses de plus en plus fort en m’ordonnant d'onduler de plus en plus vite. J'ondule aussi vite que je le peux, humiliée et excitée mais consciente que de bouger mes fesses comme ça doit l’exciter au plus haut point. Je m'applique donc à bien le faire. Il enfonce deux doigts dans mon sexe trempé et claque mes fesses pour m’obliger à onduler encore plus fort .

    Je bouge à présent tellement vite que je m'imagine chevaucher un sexe invisible en train de baiser avec lui. Il s’approche de mon oreille et me murmure : « Es-tu contente d'être la chienne de Monsieur Maxime, petite putain ? » : «Oooh, oui Monsieur Maxime, vous êtes aussi élégant dans la vie que dans la manière de dominer une pute comme moi !».

    Il rit, j’entends des bruits d’étoffe, il me plaque au mur et me demande d'une voix qui n'admet pas la contradiction : « Dans quel trou le serveur a joui ma pute ? ». D’une voix mal assurée je lui réponds : « Dans mes fesses, Monsieur Maxime ».

    Sans rien dire d’autre, il enfonce les boules dans mes fesses encore dilatées par le sexe du serveur et en prenant la bonne position, il me nique d’un seul coup de reins, allant et venant immédiatement dans mon sexe dégoulinant de mouille.

    Je gémis de plaisir alors qu’il va et vient en moi, et même lorsque j’entends des pas dans l'escalier, je me laisse faire alors que d’un dernier coup de rein il plonge au fond de mon ventre pour m’arroser de foutre.

    Une voix d’homme dit : « On rigole bien ici, mais, je ne suis pas invité ! ». Et les pas s’éloignent vers l’intérieur du parking. Voilà un homme qui va pouvoir raconter qu’il a vu une pute se faire baiser dans un couloir de parking ! Il se retire de mon vagin, m’oblige à m’agenouiller devant lui pour que je lui nettoie la bite qu’il range dans son pantalon et me dit : « Allez, rhabille toi, je te libère, Annie a ton enveloppe ! ».

    Il me tend une carte avec une adresse en me disant : « Vendredi 9 Février à 18h, pour 2h, et ne sois pas en retard ! ». Je prends la carte, regarde l'adresse qui est à Ganat et lui répond : « Bien, Monsieur Maxime, je serai à l'heure ».

    Il propose de nous reconduire, mais Agnès lui ment en lui disant qu'elle a sa voiture, Max les embrasse, me caresse une dernière fois le cul nu sous ma robe et il s’éloigne vers le parking. « Au revoir, mes adorables compagnes, et à bientôt, ma petite chienne !».

    Nous le saluons toutes les trois et remontons les marches du parking. Agnès hèle un taxi qui maraude. Nous retournons chez elle sans un mot.

    Arrivées chez elle, Agnès nous propose des grands verres de Vichy Saint Yorre que je l'aide à nous servir. Nous allumons des cigarettes, car nous n'avons pas fumé de toute la soirée !

    Agnès me demande : « Alors ma Chérie, tu t’es bien régalée ? ». « Hum, quelle élégance ce Max, il a un réel pouvoir de dominant et une éducation au dessus de la moyenne, je l’ai beaucoup apprécié ! Mais je dois aussi reconnaître que, de lui obéir devant vous deux, m'a surexcitée comme rarement ! ». « Rassure-toi, ce petit jeu, à trois dominants pour une dominée, ne m'a pas déçue non plus ! Ma chérie ! Et même et, presque surtout, quand il t’a baisée sans aucun respect dans ce couloir désert puant la pisse ! ». « Oooh, Annie, excitée comme je l’étais, il pouvait me prendre où et comme il le voulait, et tu le sais bien ! ».

    Elles rient : « Oui, nous nous en sommes rendues compte ! ». Agnès se lève, va vers son secrétaire et revient avec une boîte : « Ah, que je n’oublie pas, voilà l'argent de tes deux jours : 75 de la voiture, 200 du bateau et 500 du Tex-Mex, soit 775€  auquel il te faut rajouter la passe avec le couple, soit 2.775€ ! Ce qui n'est pas mal pour une débutante pas encore confirmée !

    Je ris et rectifie : « Non 4.775€, car MG m'a donné la moitié de l'amende, qu'il va encaisser du couple pour s'excuser de ne pas m'avoir prévenue qu'ils étaient coutumier de cette très mauvaise plaisanterie, soit 2.000€ de plus ! ». « Beau geste, pas étonnant de la part de MG ! ».

    Je leur promets que lors de la prochaine soirée, c’est moi qui inviterait tout le monde, mais Annie me répond : « Garde ton argent, ma Loré, tu en auras besoin et le temps passe vite tu sais ! ».

    Jeudi 2 février 2017 - 1h50 

    Agnès nous dit : « Je constate deux choses : il est encore tôt et nous sommes toutes les trois en pleine forme ! Je vais donc vous suggérer une dernière activité, que vous accepterez si vous en avez envie, entendu, Mesdames ? ».

    « Nous pouvons nous doucher, nous rafraîchir et nous changer, même si je dois vous prêter des affaires. Continuer à papoter et à fumer tout en nous détendant, et d'ici une demi-heure, je vous propose d'aller voir un vieil ami qui a un établissement peu commun à une quinzaine de kilomètres de Vichy, sur la route de Clermont et donc d'Issoire ! ».

     

    « Quelle que soit l'heure, il y a toujours une super bonne ambiance chez lui, nous sommes assurées d'y passer un moment à classer entre : « Très sympa ! », et « Extraordinaire ! ». Tout dépend, bien sur des amis qui seront là et qui changent, tous les jours ! Mais, je suis sure que vous ne vous y ennuierez pas, tout y est possible ! ».

    « Manger pour 5 ou 500€ ! Boire des verres d'eau, du Chivas ou du Campagne millésimé ! Jouer à tous les jeux du monde, avec ou sans argent, avec ou sans habits, avec ou sans jetons ! Lancer des fléchettes ! Faire un billard anglais ou américain ! Danser seule ou accompagnée ! Faire un karaoké ! S'exhiber devant tout le monde ou en privé ! Dominer ou l'être quasiment sans tabou car tout est prévu pour le bdsm ! Baiser ou l'être, comme vous en avez envie ou mater si vous n'avez pas envie de baiser ! Payer ou mettre ses dépenses sur une ardoise qu'il faudra payer ! Quand ? Personne ne le sait ! Mon ami dit de cet endroit que : « C'est le jardin d'Eden sans le vilain serpent ! ».

    « Et, en plus, ça fait très longtemps que je n'y suis pas allée et que je me répète, en me flagellant presque tous les jours, qu'il faut absolument que j'aille passer une soirée chez lui ! Voilà, un soir et des amies bien choisies pour remplir cette promesse ! Etes-vous partantes ? Moi, de toutes les manières, même seule ! J'y vais ! ».

    « Bouuuuuuhhhhh l'égoïste ! Elle veut aller s'amuser toute seuuuuuuuule ! Lâcheuse ! Allez les bébés ! Au lit ! Les adultes vont faire mumuse ! Ben nooooooooooooooooooooooooooon avec nous ça ne marche pas comme ça ! Nous venons toutes avec toiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! ».

    « Agnès éclate de rire ! Ok j'ai compris ! Ne prenez pas de sous, c'est moi qui régale ! Nous prenons donc deux voitures, et quand vous le voulez, vous filez sur Issoire et moi je remonte sur Vichy ! Et en plus, vous allez connaître une super bonne étape pour vous arrêter pour n'importe quoi et ce 24h/24 en venant me voir ! Je suis sure que c'est une adresse que vous n'oublierez pas ! ».

    Et même sûre que vous, lecteurs et lectrices assidu(e)s vous retiendrez toute votre vie ! Car elle est pleine de surprises excitantes !

    Car nous sommes le : 

    Jeudi 2 février 2017

    Et qu'il est :

    2h

    Donc l'heure pour moi d'aller dans cet endroit étrange adoré par Agnès,et, pour vous, de voir si vous me suivez, ou si vous lirez mon compte rendu très détaillé plus tard !

    Suite > Chapitre 8


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