• Madrid 08

    Loré à Madrid tome 8

    Chapitre 199

    D'un seul coup, la tablette résonne deux fois de plus. Yves regarde et nous dit :

    « Tu avais raison, José, Loré a déjà 3 demandes de mazmorras ! »

    José se méfie de l'abondance de demandes : « Nous devrions les lire attentivement et profiter de notre privilège de pouvoir appeler Madame pour avoir son avis, il ne faut pas que Loré soit piégée »

    « Tu as raison, nous allons les filtrer soigneusement tous les trois et nous appellerons Madame avant de confirmer nos accords » Mais José dit à Yves, « Hum, tous les trois ? Tu es sur que notre pute doit être au courant de ce qui va lui arriver ? Si nous jugeons que c'est faisable avec l'aval de Madame, ça devrait suffire, non ? » « Entièrement d'accord, José, mais dans ce cas il nous faut louer un salon pour être surs de ne pas nous faire voler Loré pendant que nous étudions les propositions ! »

    « Je m'en occupe de suite ! »

    José récupère sa tablette et après quelques contacts tactiles, un barman nous rejoint en nous disant qu'il nous accompagne au salon 86 que nous venons de réserver, il demande s'il doit porter notre bouteille de champagne avec les trois coupes et en prévoir une autre dans la demi-heure qui vient, nous acceptons, et deux minutes plus tard, nous sommes tranquillement dans notre salon, je suis toujours à poil et Yves me conseille de dormir un peu pendant que nous travaillons, ce que je fais avec joie !

    La première demande émane d'une femme de 35 ans qui est infirmière et qui propose que nous lui prêtions notre esclave pendant une demi-heure pour la mazmorra : « L'infirmerie » où elle aimerait lui faire subir tout ce qu'elle ne peut pas faire à ses patientes dans l'hôpital où elle travaille, sans sadisme, sans blessures, sans sang et en lui procurant un maximum d'orgasmes » Yves et José trouvent que la proposition est sympathique, et passent à la deuxième.

    Elle vient d'un dominant de 30 ans qui adore le bondage sur une jolie femme et, nous avoue que notre esclave a le physique pour être bondée, assise, couchée ou suspendue. Il nous assure que dans la mazmorra     « Bondage », pendant une heure, il n'utilisera quasiment aucun accessoire en dehors des cordes, de ses mains et sa pine, pour que notre esclave puisse crier de jouissances et non de douleur.

    « Eh bien, encore une belle demande, notre pute va adorer se faire bonder et s'envoyer en l'air pendant une heure décidémment, José, tu avais raison, les membres de ce Club, sont triés sur le volet, et celui qui voudra découper Loré en rondelles, n'est pas encore membre ! »

    Yves rit et rajoute : « Oui et il n'est pas prêt de passer le barrage de Madame ! »

    La troisième émane d'un dominant de 40 ans qui demande de lui prêter notre esclave pour la voir utiliser le « Pompage machinal ! » qui existe dans la mazmorra du même nom, et ce pendant une demi-heure, ce qui, précise-t-il avec humour, devrait-être suffisant pour la mâchoire de notre gentille et adorable esclave.

    « Une machine à pomper des pines ! Je ne savais même pas que ça existait, c'est incroyable ce que le vice humain peut inventer ! »

    José rit et dit, « Je pense qu'on devrait appeler Madame, pour ne pas faire attendre les prétendants de notre esclave, comme ils l'appellent ! »

    José s'assure que je dors à poings fermés et appelle. Il amplifie la conversation pour qu'Yves entende tout.

    Chapitre 200

    En résumé, Madame les rassure sur les trois candidats : l'infirmière est très connue, elle vient une fois par semaine et fait son show avec au moins deux esclaves femelles, le bondeur est adorable, il est ingénieur atomiste et a appris le « Shibari » (Art du bondage) au Japon, il est très fort et aussi très doué pour faire jouir ses esclaves, quand à l'amateur du « Pompage machinal », c'est aussi un habitué, il demande à toutes les nouvelles esclaves de passer ce test qui est impressionnant, car l'esclave ne peut que sucer et lécher sa bite alors qu'elle est assise sur un vibro externe qui lui branle la chatte et le clito, ce qui, même en une demi-heure donne des résultats ahurissants.

    En conclusion, Madame les assure que je ne risque rien, sinon de m'évanouir de plaisirs répétés ! A ce moment là, la tablette d'Yves semble entrer en transes : quatre demandes de mazmorras viennent de tomber, un peu désemparés les hommes demandent à Madame ce qu'ils doivent faire ! Elle leur répond amusée :

    « Et les enfants, vous n'avez plus 18 ans ! Si je continue je vais faire payer mes services en nature ! » Ils éclatent de rire, cette femme a de l'humour. Yves la taquine : « Pour moi, Madame c'est quand vous voulez ! »

    « Allons Yves, avec la femme que vous avez, je ne vous vois pas fantasmer sur moi, quant au nombre de demandes, c'est entièrement de votre faute : vous amenez une Miss Madrid dans un Club bdsm : eh bien il vous faut en assumer les conséquences ! »

    « Mais rassurez-vous j'ai de bons collaborateurs : dans trois minutes, vos trois prétendants seront prévenus que vous acceptez et que vous venez en spectateurs, selon un timing précis : dans 10 minutes pour l'infirmière, dans 90 minutes pour le bondeur et dans 130 minutes pour l'amateur de machine. Et je vais faire demander aux autres de réitérer leurs demandes dans 140 minutes en leur précisant leur classement d'accès, je vous envoie de suite un guide au salon, allez amusez vous bien les enfants ! »

    José constate : « Décidément cette femme est incroyable ! »

    Yves approuve mais rajoute un : « Toutefois, je préfère l'avoir comme amie que comme adversaire ! » José ne dit rien mais éclate de rire en hochant la tête.

    Un jeune guide arrive, les hommes me réveillent, et m'aident à enfiler ma robe sur mon corps et mes pieds nus. Ils demandent au guide si je vais passer chez un habilleur. Il nous répond : « Oui, Messieurs, elle va être douchée et habillée selon les envies de sa cliente : c'est la règle avant chaque mazmorra ! »

    Quoi de plus normal dans un Club de ce type !

    Nous le suivons et sortons du Club, pour prendre l'ascenseur vers le -3 : José réfléchit tout haut : « Ascenseurs au rez-de-Chaussée, -1 et -2 : les deux agoras, donc -3 est le premier niveau des mazmorras » Le jeune guide le félicite « Bravo, Monsieur, j'ai mis 3 mois à me repérer ! »

    Au -3, notre guide nous sépare, il envoie les deux hommes à la mazmorra « Infirmerie », quinzième sur la droite où un autre guide les attend et il me demande de le suivre : nous entrons dans un grand espace débutant pas des cabines de douche sans rideau, le guide m'abandonne en me souhaitant bon courage et en me disant que je suis très belle.

    Une jeune femme entièrement nue prend le relais, m'enlève ma robe qu'une camériste vient récupérer et me demande d'entrer dans une douche déjà à bonne température. Elle appuie sur un bouton et une porte transparente étanche vient refermer la cabine.

    Je suis savonnée par des jets automatiques, en souriant, je me dis que je dois ressembler à une voiture dans un car-wash, des jets multiples enlèvent mon savon alors qu'une grosse éponge, animale bien sur, tombe d'une trappe, je la ramasse et je me lave avec soin les pieds. Une dernière série jets de rinçage et la douche se transforme en un sauna à air pulsé qui me sèche en trois minutes !

    Je ressors, dépasse toutes les douches et suis accueillie par une habilleuse qui me tend un tablier bleu ciel, boutonné sur le devant et des chaussons assortis.

    Je ressors, mon premier guide m'attend avec un grand sourire, je monte à côté de lui dans une petite voiture électrique et il me conduit devant la porte de la mazmorra « Infirmerie » qu'il ouvre avec son passe magnétique, et la referme derrière moi en me souhaitant gentiment « Une bonne séance »

    Chapitre 201

    Je suis la première. La mazmorra n'est pas très grande, un véritable salon d'infirmière ! Deux fauteuils, une armoire, un wc à la turque, une douche et en plein milieu, une superbe table d'examen flambant neuve.

    Je me tourne vers l'immense vitre et, à tout hasard je fais un petit signe de la main, sidérée de recevoir en échange un : « Salut petite salope, n'oublie pas de nous rendre fière de toi ! »

    Je souris alors que la porte s'ouvre, et une jeune femme blonde très mignonne entre. Elle doit avoir un peu plus que mon âge, elle me fait un grand sourire que je lui rends avec plaisir. Ses cheveux mi-longs sont lâchés. Elle est un peu plus grande que moi, bien maquillée et porte une blouse d'infirmière avec des sabots de clinique.

    Elle me demande de me coucher, toute habillée, sur la table d'examen. J'ai un peu de mal à monter dessus, car elle est plus haute qu'un lit. Mais, une fois assise, je fais comme chez mon gynéco ! en mettant mes jambes dans les gouttières qui leurs sont destinées, genoux relevés et pieds en contre-bas dans des étriers qu'elle règle à ma hauteur avant de les refermer.

    Elle revient vers moi et passe mes bras au-dessus de ma tête en m'attachant les poignets à un anneau en inox fixé à la tubulure du lit. Elle se penche sur mon visage et me pose délicatement un bâillon écarteur de bouche en inox. Elle ne serre pas à fond les deux vis que j'ai aux commissures de mes lèvres, ce qui m'oblige à garder la bouche grande ouverte, mais en pouvant émettre clairement des gémissements ou des cris et en pouvant me faire comprendre si je dois parler, mais avec une voix très déformée.

    Elle se redresse, prend une paire de ciseaux sur la tablette des instruments et commence à découper ma blouse de patiente, pour me dénuder peu à peu totalement, en caressant avec tendresse et visiblement envie, tout ce que ses ciseaux dévoile. Son dernier geste est de jeter au loin mes chaussons.

    Elle se recule d'un pas, comme pour admirer son travail et me dit avec un grand sourire : « Bien que mon compagnon soit une compagne, elle dirait que tu est très bandante, jolie esclave ! »

    Et sans attendre, elle prend trois longues sangles en plastique transparent qui pendent de chaque côté du lit et en fixe une au dessus de mes nichons, l'autre en dessous et la dernère sur mon nombril.

    Elle attache ensuite chacun de mes membres inférieurs à la structure du lit pour bien m'immobiliser. Elle disparaît de mon regard, mais je la sens accrocher quelque chose aux sangles de mes genoux : ce sont des petites cordelettes qui vont tendre le plus possible les deux clamps en inox qu'elle vient de pincer à chacune de mes grandes lèvres, en écartelant obscènement mon sexe.

    Elle se recule pour me contempler et semble contente d'elle : « Tu te sens bien belle salope ? » « Oui Madame, pour le moment, je supporte tout et j'aime votre manière de profiter de moi »

    « Merci pour le compliment, mais on va rentrer dans le vif du sujet » Elle revient de l'armoire avec deux nouveaux objets cylindriques qu'elle pose entre mes seins. Elle gratte doucement un de mes deux tétons avec ses ongles longs, juste pour le faire bander, et quand elle le sent prêt, elle pose dessus ce qui est en fait un piston sophistiqué destiné à extraire mon téton et à le tendre le plus possible vers le haut.

    C'est la première fois que j'ai droit à ce genre de torture des tétons : elle appuie très fort sur mon sein, le téton durci est fortement comprimé et obligé d'entrer dans la chair tendre de mon sein, mais quand elle relâche brutalement le piston, le téton se retrouve enfermé d'au moins 4 à 5 centimètres dans le piston et un simple coup d’œil me permet de constater qu'il est totalement étiré et déformé, ce que je savais déjà par ma douleur !

    Elle recommence le cycle pour l'autre, et quand elle a terminé elle tire fortement sur les deux trayeurs mais ils résistent à sa tension et ne se détachent pas !

    Elle repart vers l'armoire et m'ordonne de redresser un peu la tête pour me demander quelque chose que je ne comprends pas de suite : « Dis moi, pouffiasse maso, tu es à présent prête, tu veux assister à ce que je vais te faire ou non ? »

    « Pardonnez-moi, Madame, mais je ne comprends pas ce que vous voulez me dire ? » « C'est tout simple, connasse inculte, je peux te glisser un coussin sous la tête pour que tu ne rates rien de ce que je vais te faire, où je te laisse la tête posée, ce qui t'obligera à souffrir du cou si tu veux te voir ! »

    « Ah, pardon Madame, je pense que ça serait plus excitant pour toutes les deux si je vous regardais faire sans pouvoir influer sur ce que vous allez me faire » « Tu as raison » Et elle sort de l'armoire un coussin qu'elle glisse sous ma nuque, ce qui me permet, en effet de me voir quasiment en entier, sauf le sexe et les pieds.

    Chapitre 202

    « J'ai une crainte, tes suceurs de tétons sont super bien fixés mais je pense que les mouvements de ta poitrine ne vont pas être suffisants pour qu'ils bougent et te tiraillent tes bouts de mamelles de vache »

    Elle réfléchit et a soudain une illumination, elle prend sa tablette et appelle un numéro « Bonjour, pouvez-vous me procurer un ventilateur sur pied très puissant, merci »

    Contente d'elle, elle se déshabille devant moi, elle est très sexy, avec des gros seins bien fermes que j'ai de suite envie de lécher et de téter, des cuisses et des jambes quasiment parfaites ainsi que des pieds adorables.

    « Madame, le ventilateur est devant votre porte, nous ne pouvons pas vous déranger » « Merci, je m'en occupe »

    Elle entrouvre la porte, prend le ventilateur, le pose sur mon côté droit, à cinquante centimètres de mes seins et le met en route : l'effet est immédiat, comme il fait des rotations de 90°, quand il ventile mes tétons, l'air est si puissant que ça couche presque les trayeurs sur ma peau, en étirant très fort mes tétons, mais je peux me reposer un peu quand ils disparaissent du champ de ventilation !

    « Qu'est-ce-que tu en penses putain ? » « Ooooh, cruelle idée, Madame, j'ai l'impression que l'air veut m'arracher les trayeurs ! » « C'est très bien comme ça ! »

    « Dis moi, tu mouilles de me voir à poil ? »

    « Oui Madame, vous êtes très belle et très excitante »

    « Parfait, tu regardes et tu ne touches pas ! »

    Elle repart vers l'armoire dont elle revient avec un gode en inox avec un gland à peine marqué. Il n'est pas très large, mais se rattrape en mesurant au moins 40 centimètres de long, avec une poignée du même métal de près de 20 centimètres.

    Elle se positionne entre mes cuisses relevées et largement écartées par ma position et par les clamps, et appuie le gland sur mon entrée vaginale.

    Elle n'a aucun problème à le rentrer quasiment totalement, en faisant très attention car il est trop long pour moi, donc, dès qu'il rencontre un obstacle elle ne doit pas aller plus loin, c'est une pénétration dangereuse à laquelle je ne me risquerais pas, mais elle semble sure d'elle.

    Je ne comprends pas comment elle fait, ayant pris ses marques elle commence à aller et venir dans mon con, en allant de plus en plus vite mais en s'arrêtant toujours au bon endroit. Quand je réalise que le cercle qui délimite la poignée du gode se déplace, ma peur d'être déchirée s'estompe et elle me gode tellement fort que je crie et je gémis sans arrêt.

    Elle m'encourage : « Vas-y, belle putain, je sens que tu aimes les orgasmes, alors, laisse toi aller, j'ai une manière de te défoncer qui va exciter ta vessie, tu risques de pisser, mais si tu es une femme fontaine, ce n'est pas de la pisse que tu m'enverras, c'est bien ton jus de salope, de putain trop baisée, de bourgeoise devenue pute de rue ! »

    Brutalement j'ai mon premier orgasme, mais avec un peu de déception, c'est surtout de la pisse que j'expulse.

    Mais elle ne se contente pas d'un premier orgasme, et continue de me vider la vessie en me défonçant complètement le con avec des allers et retours d'une force inouie. Je reviens très vite sur mon plateau orgasmique, et je la sens se déchaîner, jusqu'à ce que je torde mon corps en tirant sur tous les liens, membres tétanisés annonçant un orgasme fulgurant.

    Je suis heureuse de pouvoir avoir une période d'orgasmes successifs que je n'avais pas eu depuis le début de la soirée, bien sur ils n'ont pas l'intensité de mes tsunamis, mais cette femme sait dominer une esclave, j'ai beaucoup de tendresse et d'envie pour elle.

    Chapitre 203

    Elle me laisse à peine me reposer, m'enlève en deux gestes brusques les trayeurs de tétons, en me faisant hurler de douleur tandis que mes tétons reprennent leurs dimensions initiales. Pour faire passer ma douleur, elle me gifle plusieurs fois les nichons en visant mes tétons en riant et s'arrête pour enlever mon bâillon-écarteur.

    Elle revient de l'armoire en me montrant fièrement un instrument qui me fait froid dans le dos : un gode de plastique dur bleu, monté sur le mandrin d'une perceuse. « Je suis très fière de ce que m'a fabriqué un ami ingénieur : tu remarqueras que le gode n'est pas d'une taille impressionnante ! On peut même dire que c'est une bite très moyenne ! » « En effet, Madame, j'en ai connue des beaucoup plus impressionnantes »

    Elle rit et continue : « Je ne vais pas te gaver de statistiques, mais disons qu'avec ce gode, je peux niquer des femelles 10 fois plus vite qu'avec le gode en inox que j'ai utilisé tout à l'heure dans ton con, compte 30 allers-retours avec l'inox et donc 300 fois avec le gode bleu ! Il faut donc savoir le manipuler, car 300 coups à la minute c'est redoutable » « Oh, oui, c'est énorme ! Mais je fais confiance à votre expérience, Madame ! »

    « Tu peux ! Nous arrivons à la fin de cette séance, il nous reste 6 minutes, je vais te défoncer la connasse quasiment au plus vite de cet engin, tu me dois 2 orgasmes mais si tu veux être une reine, offres-en moi 3, et la prochaine fois que tu viens faire la pute ici, je te reprends »

    6 minutes après, elle me quitte en me laissant quasi inanimée sur la table, elle ne me libère pas et se contente de me donner une bise sur le front en me disant à l'oreille :

    « Bravo, tu es une Reine, à très bientôt ! »

    Et, elle sort de la pièce alors que des assistantes me libèrent, me donnent un peignoir et m'entraînent dans une petite voiture électrique vers la douche-costume à laquelle il faudra que je m'habitue le plus vite possible !

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    « Le petit + de Loré »

    Si vous désirez regarder la vidéo (5mn20sec) qui m'a inspirée cette première séance, recopiez ce lien >

    http://www.roadsexe.com/video/une-petite-bimbo-attachee-hurle-de-douleur-3793.html

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    Chapitre 204

    Je ne vois aucun de mes hommes durant ce changement de vêtements et de mazmorra, mais je sais qu'ils m'attendent pour une séance d'une heure. Je porte une sage robe bleue, courte, avec une ceinture en cuir marron et des espadrilles à talons compensés qui mettent bien en valeur mes ongles vernis : Amo Mio va être fier de moi !

    Nous arrivons à la mazmorra : « Bondage » et j'entre. Mon client est déjà là, je le salue d'un respectueux « Bonjour, Monsieur »

    Il me regarde très attentivement des pieds à la tête en me souriant et finit par me répondre : « Bonjour Madame, je n'ai pas envie de te dire salut putain, car tu n'en es pas une. Tu es en fait une hédoniste qui aime tous les plaisirs de la chair : la bonne bouffe, les bons vins, et, allons-y pour ton humour que je sens poindre derrière ton sourire, les beaux hommes ou les beaux zobs (ouaf !) »

    Je le coupe : « Désolée je l'avais sentie arriver ! » « Normal, un peu trop facile, mais rassure toi, ce que je vais te faire pendant une heure, tu ne peux pas le sentir arriver ! »

    « J'ai tendance à croire tout le monde, mais en particulier ceux qui me payent une petite fortune pour être leur chienne, leur pute, leur réservoir à foutre ou à pisse, donc je vous crois et ne demande qu'à être surprise ! »

    « Tu as même la zénitude des hédonistes, je ne me suis pas trompé ! Tu vois ce fauteuil crapaud bleu au milieu de la pièce ? »

    « Difficile à manquer ! » « Très bien, tu vas rester habillée telle que tu es et tu vas t'asseoir en suivant toutes mes consignes, compris » « Oui Monsieur »

    « On y va : assieds toi les fesses au bord de l'assise du fauteuil, la chatte dans le vide, très bien ! A présent tu vas positionner verticalement ta jambe droite et serrer ton genou avec ta main pour que tout reste bien droit. Bravo, parfait ! Pour terminer tu écartes le plus possible les cuisses et tu poses ton genou gauche sur l'accoudoir du fauteuil et tu vas agripper ce genou avec ta main. Allez force un peu, voilà, tu y es ! Superbe ! »

    « Rassure toi, pour le moment ta posture est dure à tenir, mais dans peu de temps tu vas être aidée par des cordes ! »

    « Je vais faire une Polaroid de ta pose, pas pour mon site internet ! Mais pour que tu puisses répondre, tu pourras la jeter après »

    Je le trouve étrange mais très amusant et je pense qu'il est supérieurement intelligent ! Je pense que je vais adorer cette séance !

    « Je paierais cher pour savoir ce qui vient de te traverser l'esprit à l'instant ! »

    Je rougis curieusement car je n'aime pas les médiums ! : « Je me demandais si j'avais éteint la lumière de ma cuisine avant de venir ici ! » « 1 partout, elle est nulle ! » Et en plus il a raison !

    Il me tend sa Polaroid et me dit : « Regarde la bien, et dis moi : en fonction de cette photo habillée, tout ce que tu vas m'offrir en étant dans la même position, mais nue et bondée sans que tu ne puisses bouger, sauf ce que j'ai envie de te voir bouger ! »

    Je me concentre et essaye de ne pas répondre de bêtises :

    « Toute la partie avant de mon visage ? » « Oui » « Ma poitrine et mes épaules ? » « Oui » « Mon ventre et mon bas ventre ? » « Oui » « L'intérieur de mes cuisses ? » « Oui » « Mon sexe et mon anus » « Oui » « Et je ne vois rien de plus ! »

    « Petite erreur il te manque les pieds, mais ce n'est pas grave, deuxième question : je viens de te dire : « sans que tu ne puisses bouger, sauf ce que j'ai envie de te voir bouger » Tu t'en rappelles ma chérie ? » « Bien sur Monsieur ! » « Alors, regarde bien la photo et dis moi, ce qu'à ton avis, j'ai envie que tu bouges pour moi ? »

    « Toute la partie avant de mon visage ? » « Oui » « Ma poitrine et mes épaules ? » « Oui » « Mon ventre et mon bas ventre ? » « Oui » « L'intérieur de mes cuisses ? » « Oui » « Mon sexe et mon anus » « Oui » « Et je ne vois rien de plus ! »

    Chapitre 205

    « Vous êtes un redoutable Dominant très cérébral, Monsieur ! En m'obligeant à anticiper toute seule la séance que vous m'avez préparée ! » « Tu es assez proche de la vérité, mais je pense que ça ne déplaît pas, et je n'ai pas à te doigter pour savoir que j'ai raison ! Bien à présent je veux ta réponse »

    « Les mouvements de ma tête et les expressions de mon visage : sourires, grimaces de douleur ou de peur ? » « J'accepte ! » « Le balancement de mes seins et de ma poitrine, qui, je le suppose, va être étroitement bondée ? » « Oui ! » « Mon ventre, mais surtout mon bas ventre, en modifiant l'écartement de mes cuisses, la position de mon cul ou la position de l'intérieur de mes cuisses ? »

    « Partiellement oui, car tu ne pourras pas modifier la position de tes cuisses ! » « Ma chatte et mon anus que je peux dévoiler en utilisant uniquement mes muscles intimes » « Très juste ! » « Et le ne vais pas oublier mes pieds cette fois ! » « C'est bien ! »

    « Bon, en fonction de ce que tu vas me révéler dans le futur et de ce que ta soumission va t'obliger à me dévoiler sans pudeur, réfléchis bien à la réponse que je vais te demander »

    « Je suis prête, Monsieur »

    « Es-tu impatiente de me dévoiler tout ça ? »

    « Si je réponds oui, je vous donne la preuve que je suis une garce et une salope facile, mais ce oui peut aussi vous prouver que je suis une soumise qui va au bout de ses défis, qui respecte ses dominants et veut rendre fiers son ou ses Maîtres et Maîtresses »

    « Bien raisonné ! Et donc quelle est ta réponse et ta conclusion ? » « D'autre part, si je dis, non, je suis une menteuse ! »

    Il éclate de rire ! « Quelle belle façon de me faire connaître ta réponse, tu es loin d'être bête, Loré ! »

    « Comment connaissez-vous mon prénom ? »

    « Bécassine ! Tu ne sais pas que ton CV de pute-esclave est passé sur tous les écrans de ce Club ? »

    « Ah, oui, exact, je n'ai pas l'habitude, pardonnez-moi, Monsieur ! »

    « Pas grave, même les génies font ou disent des conneries ! »

    Il va vers l'armoire et s'y affaire. J'en profite pour regarder la mazmorra : très simple, le fameux fauteuil au centre, une armoire, une petite table avec un téléphone, une chaise et c'est tout.

    Il revient avec un paquet de cordes de différentes longueurs mais, apparemment, toutes du même diamètre. « Bon, je vais te préparer, lève toi et mets toi à poil, ne garde rien »

    Je me lève, vais vers la chaise, j'y dépose ma ceinture et ma robe que je viens de faire glisser par-dessus ma tête, dégrafe et jette mon soutien-gorge, baisse ma culotte que j'enlève en même temps que mes chaussures et reste nue à deux pas du fauteuil.

    « Pour moi une pute bandante est une pute bondée, donc pour l'instant tu ne me fais aucun effet ! »

    Je me rends compte en le voyant agir que c'est vraiment un expert du bondage : il est habitué à son jeu de cordes. Il en prend une longue, la dédouble, avant de la passer derrière mon cou, de revenir devant et de créer une dérivation juste au dessus de la naissance de mes seins. Il tourne une seule fois autour de la base de mon sein droit, tout en le serrant très fort, et en maintenant son serrage, il revient vers la dérivation dans laquelle il passe sa corde pour terminer le bondage de mes seins par le sein gauche qui se retrouve aussi fortement attaché à la base que l'autre.

    Il m'installe dans le fauteuil, les fesses au bord du siège et, avec une autre corde il m'attache le genou et la jambe gauche pour les rendre solidaires. Du lien au genou, il fait partir une autre corde dédoublée vers l'arrière du fauteuil, il la fait passer derrière l'accoudoir et revenir en passant dessous pour immobiliser mon pied gauche. Il termine ce côté en passant mon bras gauche sous ma fesse pour attacher ensemble mon bras et ma cuisse.

    Puis il passe de l'autre côté, me lève la jambe droite, et la cuisse, il accroche mon genou dressé avec une corde qui passe de nouveau sous le fauteuil et qui revient vers le haut pour encorder solidement mon pied droit.

    Quant à mon bras droit, qui ne sert à rien, il le glisse sous le côté droit de mon corps, mon poids l'immobilisant totalement.

    « Je crois que tu me montres, tout ce que tu devais me montrer et que nous n'avons rien oublié, peux-tu me gratifier de mouvements de vers de terre pour que je vois comment tu essayes de t'échapper de mes cordes ? »

    Chapitre 206

    Je me contorsionne comme je peux, mais plus je bouge, plus je me sens obscène, réclameuse plus que donneuse.

    Bien sur, il arrive ce qui devait arriver : il me donne ce que je lui réclamais silencieusement en me tortillant comme une grue excitée !

    Il me chatouille la plante du pied droit, me faisant couiner et bouger, car je suis très sensible aux chatouilles, puis il semble se déchaîner en m'envoyant une pluie de baffes, sans jamais frapper deux fois au même endroit : il privilégie mes nichons, mes joues, ma chatte et mes pieds, et comme il cogne assez fort, il m'arrache un gémissement de surprise et de douleur à chaque impact de sa main droite ouverte avec laquelle il me cogne.

    Il me laisse me reposer un peu et m'ouvre la bouche avec deux de ses doigts. Il m'oblige à les lécher et à les sucer très longtemps, alternant deux, trois ou quatre doigts, à peine entrés dans ma bouche ou enfoncés méchamment jusque dans ma gorge, pour me provoquer des nausées déplaisantes. Il m'ouvre largement la bouche comme pour juger ma dentition et m'oblige à lui piper l'index en fermant les yeux et en gémissant comme si je lui pompais la bite.

    Il s'essuie les doigts sur mes seins et va vers l'armoire.

    Il revient avec un objet que je ne connais pas : « Monsieur, je ne sais pas ce que c'est, pouvez-vous me le dire, s'il vous plaît ? » « Bien sur chère esclave intellectuelle : c'est une « baguette magique » qui ressemble à un allume-gaz, en appuyant sur ce bouton, je provoque dans la pointe métallique une décharge électrique de 20 volts qui va te faire sursauter et joliment couiner ! »

    Il consacre un très long temps pour me faire réagir, jusque dans des endroits incroyables : mon périnée qu'il adore électrifier, mes tétons, tous mes pieds pour lesquels il doit avoir un peu de fétichisme, mes joues, le bout de ma langue, l'intérieur de mes cuisses, les bords de mon anus, mon cou, mes lèvres fermées, bref il se régale de parcourir mon corps en testant ma résistance à cette baguette : je suis très excitée par ce jeu épuisant et quand il arrête, je lui dis sans pudeur : « Je ne pense pas que vous ayez trouvé de l'eau avec votre baquette de sourcier, mais je peux vous assurer que vous avez trouvé du jus de femelle chaude, votre fauteuil va être tâché : je dégouline dessus ! »

    Il me regarde en souriant, considérant sans doute, lui aussi, que je suis une fille étrange mais pas si bête que ça !

    « Dommage pour toi, j'aime les filles super propres ! » Il va vers la chaise, jette mes affaires sur la petite table et reviens la poser face à moi. Il s'assied et lève son pied droit chaussé de mocassins en cuir. Il pose sa semelle sur le rebord du fauteuil et en me regardant dans les yeux, il lève un peu plus son pied et entre d'un seul coup le tiers de son mocassin dans ma moule trempée et toute baveuse : « Comme depuis tout à l'heure tu me soûles un peu avec tes couinements et tes petits cris : je ne veux pas t'entendre jouir, je veux voir ton orgasme dans tes yeux de vicieuse, qui se sent forte d'avouer une faute pour se faire punir ! » « Ce n'était pas mon intention, Monsieur »

    Il se dresse vers moi et me gifle le plus fort qu'il le peut les joues et es seins, me faisant hurler de douleur, car, en plus le mocassin est entré d'un seul coup beaucoup trop loin dans mon vagin.

    « Je me fous de tes intentions, mon intention à moi est que tu t'envoies en l'air le plus fort possible mais en fermant ta gueule, ce qui te changera ! Connasse de bavarde ! »

    Il rectifie la position de son pied, accroche mon regard qu'il ne quitte plus et envoie sa chaussure me branler le con. Je suis si chaude que j'envoie ma chatte vers sa chaussure, pas du tout dégoutée par le fait que c'est un soulier sale qui me branle. Il le ressort de temps en temps pour que le crêpe de la semelle fasse se dresser mon clito comme une petite pine, mais le jeu ne dure pas longtemps, car je ne veux pas faire durer cet orgasme en ayant peur qu'il devienne plus intense et que je ne puisse le taire, en le regardant fixement dans les yeux, je m'envoie donc en l'air, sans un bruit, bouche grande ouverte, mais sans aucun son alors que quelques gouttes de mes jus ou de ma pisse sortent de ma connasse qui ressemble plus à une piscine qu'à un sexe de femme !

    Il a semblé apprécier, et sans rien dire, il se met debout à côté de moi et commence à dé-zipper son pantalon et sort une très belle pine de son caleçon et, comme pour répondre à mes yeux suppliants, il fait semblant de me la faire sucer tout en prolongeant longuement le jeu en lui faisant frôler mes lèvres, mais en me la retirant vicieusement, il sourit de me voir la chercher avec ma langue et ma bouche. Mais, pendant ce jeu, il me doigte le con avec force et rapidité et finit par m'arracher un très bel orgasme qu'il termine en se nettoyant les doigts trempés de ma mouille sur mes nichons.

    Chapitre 207

    Il me remplit enfin la bouche avec sa pine qui est trempée, du pré-sperme dégoulinant de ma bouche, j'ai du mal à tout avaler, il a une grosse bite et insiste pour la rentrer entièrement dans ma bouche. Il remet ses mains sur ma chatte béante, se régalant de mes gémissements, de mes hontes et mes envies, je suis si chaude qu'il sait que je jouirai quand il le voudra, je sais que je suis totalement à sa merci et j'adore ça, je me complais de lui donner tout pouvoir sur moi, il le mérite et je ne suis qu'une pute qui n'a rien à réclamer !

    En souriant il prend un gode et sa baguette électrique et s'amuse à me goder tout en électrisant mes bouts de mamelles de vache avec sa baguette, jusqu'à ce que je le supplie de changer d'endroit car la souffrance est insupportable. Il sourit vicieusement, me fait savoir que j'ai raté une bonne occasion de fermer ma gueule, et dirige le bout de sa baguette vers le haut de mon sexe, il trouve le clito et appuie sa baguette sur lui.

    Il déclenche les décharges en m'obligeant à compter de 1 à 5 : chaque fois que je dis 5, mon clito explose d'une décharge. Et malgré mes cris et mes pleurs, il ne compte pas s'arrêter et je vis une expérience unique dans ma vie sexuelle pourtant riche, la douleur à l'état pur sans aucune excitation, ce qui représente très probablement ma pire expérience sexuelle.

    Il va jusqu'à l'armoire et revient avec un tube de pommade. Il s'agenouille devant moi et me pommade le clito très délicatement jusqu'à ce que ma douleur ait quasiment entièrement disparue

    Il s’essuie les doigts sur un kleenex et se penche sur moi la bite en main, écartelée comme je le suis, il n'a pas de difficulté à me pénétrer et me niquer bien à fond ! Je crois qu'il s'apprêtait à se vider les couilles dans mon vagin, quand il a senti à mes mouvements que je revenais au galop vers l'orgasme, et il s'est mit à me limer de plus en plus rapidement pour le déclencher, et je lui ai pardonné son excès de zèle sur mon clito, car il a jouit en même temps que moi, et j'ai eu, enfin, l'autorisation de crier mon plaisir alors qu'il grognait le sien !

    J'avais commencé à compter mes jouissances, mais je ne savais plus du tout où j'en étais !

    Quand il me montre ce qu'il rapporte de l'armoire, j'ai un peu peur, mais je suis rassurée, car il s'agit d'un vibro externe classique. Je crains quand il le positionne sur mon clitoris, mais cette pommade est vraiment extraordinaire, car je ne ressens absolument plus rien !

    Il le met en route et me doigte avec son autre main, mais chaque fois qu'il fait semblant de partir je le rappelle comme si ma vie en dépendait. Il remonte se faire sucer encore un peu la pine et mélange sur deux de ses doigts son jus avec ma salive et enduit ma chatte fermée de ce liquide appétissant.

    Il prolonge le plaisir en s'accroupissant derrière moi et en me prenant les nichons à pleines mains pour les broyer, les secouer dans tous les sens et se saisir de mes bouts et de les pincer en les secouant comme s'ils voulaient qu'ils tombent !

    Il revient devant moi avec le vibro, me fiste la moule avec son poignet très fin, tout en laissant le vibro faire son travail sur le haut de ma connasse, et je ne peux que m'envoyer en l'air une nouvelle fois, l'enchaînement de mes orgasmes est diabolique car jouir me donne envie de jouir !

    Il pose le vibro bien à sa place et se positionne dans un coin où je ne peux pas le voir, il me regarde probablement en souriant, me contorsionner pour que le vibro pèse le plus possible sur mon clito, mais sans y arriver. Après un long moment, il s'approche du fauteuil, enlève le vibro et m'enlève toutes les cordes, en un temps que je juge record !

    Il passe un coup de fil avec son téléphone et 2 minutes plus tard un très jeune homme qu'il me présente comme son stagiaire de bondage vient le rejoindre.

    Chapitre 208

    Les deux hommes m'entreprennent, et très rapidement, je retrouve mes seins encadrés de partout par quatre épaisseurs de cordes, un croisement en haut de ma poitrine, un en bas et un nœud coulant autour de mon cou.

    Au niveau de mes fesses, je sens qu'une corde passe sous elles en respectant mon anus et ma moule, et que chaque genou et jambe sont fortement liés ensemble.

    Je suis couchée sur le sol, sur le côté gauche, les deux hommes terminent en m'attachant les poignets au dessus de ma tête, et l'instant crucial arrive : le jeune apprenti récupère toutes les cordes que lui indique son professeur et les suspend à un gros esse de boucher.

    Les deux hommes s'aident pour lever la ferraille supportant à présent mon poids, et la passer dans un anneau qui pend d'une chaîne venant d'une poulie fixée au plafond.

    Quand ils ont terminé, je suis assise le cul nu sur le sol, l'apprenti déclenche la poulie : mon corps se lève peu à peu et je monte, jusqu'à ne plus toucher le sol, et à environ 60 centimètres de hauteur, mon Maître lui fait signe d'arrêter. L'apprenti remercie son Maître, et sans un regard vers moi, il s'en va.

    Il me regarde me balancer doucement dans le vide, en étant totalement incapable de faire quoi que ce soit, sinon, atténuer mon balancement.

    Il doit découvrir que dans cette position mes nichons sont plus accessibles que dans l'autre, car il se mobilise sur eux : il les gifle violemment, les prend à pleines mains, les pétris, pour ne pas dire les broie, pince mes tétons en les tordant, et se couche même devant moi et pose ses chaussures sur mes seins, en faisant mine de marcher dessus, de se nettoyer les semelles comme sur un tapis brosse et de profiter de la puissance de ses pieds pour projeter mes nichons l'un contre l'autre.

    Puis, il disparaît derrière moi, et avant qu'il ne pose sont gland sur mon anus, je ne savais pas ce qu'il faisait, je m'attends donc à ce qu'il m'encule, mais, bien au contraire, il choisit la moiteur de ma connasse pour s'enfoncer sans difficulté, et commencer ses allers-retours alors que je suis obligée de me balancer en épousant ses mouvements.

    Quand je commence à gémir de plaisir et à gigoter pour essayer de me détacher, il continue de plus belle à me limer, tout en venant fréquemment me gifler les nichons avec force, ce qui me fait hurler encore plus fort !

    Je le supplie de se vider les couilles dans mon ventre en me pinçant les nichons, mais il continue son rythme en me limant, ses mains posées autour de ma taille.

    Il sort de mon con, et je sens son gland trempé par ma chatte dégoulinante, s'affairer autour de mon anus, il prend son temps pour occuper tout mon cul, mais plus il s'enfonce, plus je le supplie d'appuyer sa bite, et pour donner le dernier coup de rein qui lui fera toucher mes intestins, il me tire les cheveux avec force.

    Puis il se retire, et je le sens fléchir sur ses genoux et regarder mon anus comme un enfant découvre un jouet, il m'enfonce un doigt et le fait aller et venir, en jouissant probablement de mes gémissements.

    Puis il me donne une fessée qui me réchauffe furieusement les fesses et me laisse suspendue.

    Il revient quelques minutes plus tard avec son vibro externe, il le fixe au bon endroit sur ma chatte en utilisant de l'adhésif, le met en route, revient derrière moi, s'agrippe à mes nichons et m'encule d'un seul coup de reins. Il me murmure à l'oreille : « Il ne nous reste que 10 minutes, je ne vais ni débander, ni jouir dans ton cul, c'est à toi de terminer en beauté ce feu d'artifices d'orgasmes, montre moi que tu es, non seulement très cérébrale, mais aussi la Reine des Putains du Club, et jouis, sans te retenir, en hurlant tout ton saoul : je veux que tu m'en donnes pour mon pognon ! »

    Je ferme les yeux et me lâche complètement, me concentrant sur une seule chose : rester en contact en permanence avec le vibro et murmurer à l'oreille de mon Maître : « Ta salope te demande de lui défoncer la rondelle, plus fort, je suis sur qu'en m'enculant plus fort tu vas atteindre ma merde » « Tu me sais maso, pourquoi ne me tortures-tu pas plus les nichons ? Prends mes bouts de mamelles de truie en chaleur et dévisse les de mes nichons, si tu savais comme j'aime çaaaaaaaaaaaaaaaa ! »

    Le temps passe trop vite, quand je finis de jouir je ne sais pour la combientième fois, il est parti et ce sont deux assistantes et son élève qui me regardent finir de jouir avant de me décrocher, de laisser l'assistant défaire mes cordes, de me revêtir d'un peignoir et de m'emmener en petite voiture, mais ça vous connaissez !

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    « Le petit + de Loré »

    Si vous désirez regarder la vidéo (56mn10sec) qui m'a inspirée cette deuxième séance, recopiez ce lien >

    http://www.roadsexe.com/video/une-blonde-attachee-maltraitee-et-enculee-pendant-une-heure-par-une-grosse-queue-777.html

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    Chapitre 209

    Eh bien ! Non, vous ne connaissez pas si bien le principe, car, sitôt montée dans l'auto, mon guide conducteur me passe une tablette en m'annonçant que j'ai Madame en ligne.

    Un peu surprise, je lui réponds : elle me téléphone pour me dire que ma troisième mazmorra a 20 minutes de retard à cause d'un problème technique, elle me propose donc de rejoindre notre salon où mes hommes m'attendent, de boire une coupette, de me reposer un peu et de me renvoyer la navette 15 minutes après pour la douche-costume que je dois commencer à connaître ! Je lui réponds que j'en serais très heureuse car mes hommes commencent à me manquer. Madame rit et me dit ok avant de raccrocher.

    C'est donc pour cela que quelques minutes plus tard, la navette me dépose à l'entrée de l'agora et c'est pieds nus et en peignoir que je rejoins mes hommes. Pas de suspens, ils étaient prévenus par Madame et ma coupe de champagne est prête et glacée ! Hum, quel régal de boire ce nectar après tant d'aventures ! Je suis contente, car en fait durant cette petite récréation, Yves et José sont très gentils et beaucoup plus « câlins » que « sexe ».

    Après avoir fermé le rideau externe, ils me déshabillent et pendant ce temps libre, ils me partouzent en m'embrassant tout le corps, des pieds aux cheveux, l'un s'occupant du devant et l'autre du derrière ! Bien entendu, ils me montrent qu'ils sont bien durs en me niquant et m'enculant mais en douceur et pas ensemble ! Je ronronne de plaisir, et ils sourient de me voir comblée et gâtée.

    Mais le temps passe toujours trop vite : je mets une dernière fois leurs glands en bouche et les quitte, en ré-enfilant mon peignoir et en suivant mon guide !

    Nous partons vers la douche-costume, où j'en profite pour effacer toutes les traces physiques de mes multiples orgasmes. La costumière me dit que mon client me veut nue, et elle me tend un autre peignoir en me disant de le donner à mon guide avant de rentrer dans la mazmorra.

    J'approuve et nous partons : nous devons récupérer un ascenseur qui nous mène au -4 et à la mazmorra : « Pompage machinal ».

    Je descends de l'auto, enlève mon peignoir que je donne à mon chauffeur qui ne se prive pas de me mater avec envie ! Je lui souris et lui dit : « En revenant me chercher, essaye de tomber en panne dans un endroit sans caméra, tu me verras mieux, mais tu ne verras pas ta bite car elle sera entièrement dans ma bouche ! »

    Il rougit comme un ado, et en soupirant m'assure que c'est impossible de faire ça dans le Club ! Mais je lui donne une idée : « Comment t'appelles-tu ? » « Pédro, Señora» « Eh bien Pédro, vient dans notre salon quand j'y retournerai et je préviendrai mes amis que je t'ai fait une promesse ! Ca te va » « Ooooooooh que oui, Madame, c'est un vrai rêve pour moi ! »

    Souriante, je rentre nue dans la mazmorra. Mon client m'attend et me dit : « Je suis heureux de te voir entrer avec un grand sourire ! » « Oh cher Monsieur, tout d'abord j'ai une nature joyeuse, quelles que soient les circonstances, et en plus, si ce que venais faire avec vous était une corvée : donnez-moi une seule raison d'être là ! »

    « Bravo, je te félicite pour ton raisonnement ! Je vais te faire faire le tour du propriétaire de cette mazmorra qui a la particularité d'être la plus petite du club ! »

    « Je vois en effet qu'elle est minuscule ! »

    « Mais rassure toi, elle a tout ce qu'il faut : regarde bien, je commence en bas : environ 9 m² de moquette, c'est en fait ça la mazmorra ! »

    Chapitre 210

    « Donc, tout se passe sur ce carré ?»

    « Oui, il y a 2 meubles : une table d'environ et, devant-elle, une selle de chameau. Elle a un étrier de chaque côté pour recevoir tes pieds. Il y a deux fixations pour tes poignets sur les pieds avant de la table. Sur elle il y a un simple caisson qui surélève la machine qui donne tout son intérêt à cette mazmorra. Nous avons plusieurs caissons de dimensions variées, car, la position de la nuque est primordiale pour un fonctionnement parfait...»

    Je lui coupe gentiment la parole : Je lui coupe gentiment la parole : « La machine est en fait un simple moteur à courroie qui pistonne vers l'avant un tube en inox qui est relié à un double bandeau élastique situé sur la nuque et sous la mâchoire de la soumise de façon à ce que le piston l'oblige à faire un seul geste : avancer et reculer sa tête et donc sa bouche, et ce, avec une vitesse de piston contrôlée ainsi que la vitesse des vibrations du gode externe ! C'est très ingénieux, et je vous avoue que je ne savais même pas qu'une telle machine existait ! »

    « Tu es étonnante et très intelligente, je suis jaloux de ton Maître et de ton mari ! Ils doivent se régaler avec toi ! »

    Je souris sans rien dire, il me fait enfiler des chaussures rouille à talons, et me guide vers la machine : il commence par m'asseoir sur la selle, en me faisant me frotter le sexe plusieurs fois de gauche à droite, pour bien ouvrir ma chatte sur le vibro que je sens à peine affleurer du cuir. Il se penche deux fois de chaque côté de moi pour verrouiller mes chevilles aux fixations latérales.

    Il me pousse pour me redresser le dos, et, debout à mes côtés : il attache solidement les deux courroies élastiques, sur mon front et sous ma mâchoire inférieure.

    Je ne sais pas comment-il fait, car je ne peux pas le voir, il sort le piston en le tirant à la main, ça fait un bruit de crin-crin mais je sens qu'il s'active sur ma nuque, probablement en rattachant le piston à mes courroies élastiques, pour finir mon installation !

    « Prête pour la montée au paradis, ma belle putain intello ? » Je souris sans rien dire et essaye de me décontracter. Il se recule un peu et se dénude du ventre au nombril en me dévoilant une bite plus que correcte. Il s'approche face à moi et met en route le vibro sous ma moule, ainsi que le piston à une vitesse très lente pour vérifier que tout est bien en place.

    Sans pouvoir dévier d'un centimètre, ma bouche le pompe au rythme qu'il choisit, il augmente la vitesse, m'obligeant a cracher et à refouler des nausées.

    Il pousse le vibro à fond, on entend très bien son moteur dans la mazmorra, je bave de plus en plus sur sa bite avec laquelle il continue de baiser ma bouche sans que je ne puisse échapper.

    Il passe à la vitesse maximum, se retire et me regarde avec ma tête qui va et vient dans le vide, je dois être ridicule, mais ce que je ne vois pas c'est que l'accumulation de mes sécrétions et de mes orgasmes dépose un petit tas de liquide blanc mousseux de ma chatte jusqu'à la moitié de la selle.

    Il règle le piston plus doucement et profite pleinement de ma bouche en connaisseur !

    Sans un mot, il prend la bave qui coule de ma bouche et j'étale sur mes nichons, pour bien me salir, il s'en va sans jouir mais j'hurle en lui demandant de ne pas me priver de sa pine, et il revient après avoir remis la vitesse maximum !

    Il s'écarte et se régale de me voir jouir seule, la chatte quasiment mangée par le vibro à pleine vitesse.

    Il revient et coupe le piston de ma bouche, il s'enfonce au fond de ma gorge et me dit : « Vas-y salope intello, vide moi les couilles avec ta bouche de pute, tu es probablement plus maligne qu'une putain, mais tu te conduis comme la plus salop et la plus rompue de tes consœurs ! Et, dis moi, paillasson humain, combien de fois as-tu joui avec cette machine ? » « Je ne sais pas, Monsieur, peut être 5 ou 6 fois »

    Il s'approche de moi, agrippe mes cheveux en souriant et me plie en m'obligeant à approcher ma tête de la selle : « Ouvre bien les yeux et regarde ce qui est sorti de ta connasse de merde ! Je pense que tu as joui beaucoup plus que ça, rien qu'en constatant ce que tu as déposé comme « fromage blanc » entre tes lèvres vaginales et le cuir de la selle, regarde bien tes dégâts salope immonde ! »

    Je suis très surprise, car ça m'arrive rarement, mais il est vrai que lorsque je jouis plusieurs fois et d'une manière si rapprochée, je ressens parfois ce phénomène irrationnel.

    Il pose un pied chaussé sur mon dos et fait signe par un petit finestron aux assistants de venir, pour leur dire : « Regardez-bien qui vous choyez, regardez cette bourgeoise, lécher, manger et boire ses jus de pute, si on la laissait une journée sur cette machine, elle produirait surement un bon kilo de son fromage blanc de jouissance, pfft je suis écœuré, débarrassez moi de cette merde ! »

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    « Le petit + de Loré »

    Si vous désirez regarder la vidéo (10mn13sec) qui m'a inspirée cette troisième séance, recopiez ce lien >

    http://www.roadsexe.com/video/une-machine-qui-oblige-a-sucer-3530.html

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    Chapitre 211

    Les assistants en ont vu d'autre, ils font leur boulot, et quelques instants plus tard, je suis dans l'auto avec un goût horrible dans la bouche, et après la douche-costume, mon guide qui est toujours Pédro me reconduit aux portes de l'agora, habillée de ma robe et de mes chaussures initiales.

    Je suis épuisée mais très heureuse, Yves m'offre une coupe de champagne et me dit de piquer dans les en-cas que leur a fait livrer Madame pour le retard de séance !

    Et ça tombe bien, car je suis affamée, ah, mais il ne faut pas oublier ma promesse : « Amo Mio, j'ai pris une initiative, que vous pouvez me refuser, je peux vous la dire ? » Surpris par cette demande, José me dit : « Mais bien sur pute adorée, tu peux tout me dire ! » « Merci, Amo Mio : pour mes 3 mazmorras j'ai eu le même chauffeur-guide, un tout jeune homme qui est adorable, le hasard fait qu'il a du me voir à poil, et il tirait tellement la langue, comme dans les films de Tex Avery, que je lui ai dit de passer dans notre salon, et que je verrai ce que vous m'autoriserez à lui faire pour le remercier, il s'appelle Pédro, mais peut-être n'aura-t-il pas le courage de venir ! »

    « Nous aviserons s'il vient, mais petite pute, mais ça ne me plait pas beaucoup, et en plus c'est interdit par le règlement du Club, donc c'est prendre beaucoup de risques pour pas grand chose ! Une petite pipe ? Une branlette ? Un matage de ta connasse ? » « Je le sais, et je vous demande pardon Amo Mio, mais il m'a fait un peu pitié ! »

    Yves prend la parole : « Loré, José et moi avons décidé que la soirée Club était fini, nous ne te voyons pas continuer à assumer tes mazmorras qui ont été très difficiles, et même si tous les dominants s'étaient donnés le mot pour des orgasmes enchaînés, José a envie de varier tes plaisirs, nous connaissons, grâce à lui, un super établissement dans lequel nous pouvons revenir avec lui, et où tu seras sure d'être très demandée ! Donc nous partons, nous allons prévenir Madame et promettre de revenir la voir et la remercier pour son hospitalité plus que parfaite » et José rajoute : « Sans oublier de passer dans son bureau pour récupérer la carte magnétique et le code de Loré et le CD de ses aventures »

    José l'appelle et lui dit : « Chère Madame, nous vous remercions infiniment pour cette soirée parfaite, pleine de vos prévenances, de vos gentilles attention et surtout pour l'aide que vous avez apportée à notre protégée ! » « C'est gentil, José, merci à toi et à tes amis : j'espère vous revoir très bientôt, car j'ai une demi-douzaine de demandes de mazmorra pour elle ! Comme prévu, elle a fait une très forte impression sur les membres du Club ! » « Loré vous dit merci en rougissant, Madame ! » « Je l'ai vu gentiment rougir dans d'autres situations plus... compliquées ! Mais elle est adorable dans tous les cas, à son sujet, vous avez la copie d'un mail envoyé à un de mes collaborateurs, j'aimerais qu'elle en prenne connaissance et qu'elle se méfie de ses bons sentiments ! Je vais réunir ce que je dois vous donner, le petit Pédro, viendra vous chercher au salon, où il vous donnera les documents et vous accompagnera à votre location avec chauffeur, véhicule que vous n'avez pas à payer de même que la dernière bouteille de champagne de ce soir, car une fois un compte de soirée clôturé, c'est l'enfer de le rouvrir ! »

    Chapitre 212

    « Nous en sommes tous les trois convaincus ! Encore merci pour tout et Bravo pour votre humour « So-British »»

    « Bonsoir mes amis, bon retour et à bientôt, gardez une tablette et appelez moi avant de revenir, merci ! »

    Elle coupe et Yves me donne la tablette, alors qu'un serveur vient nous porter une dernière bouteille de champagne, je rentre dans notre boîte, en effet nous avons un message que je lis : « Message à l'attention de P., copie à L. > P. Je ne peux que vous conseiller de relire le règlement du Club au chapitre « relations du personnel avec les call-girls » L. > Je vous envoie à votre adresse madrilène un exemplaire de notre règlement en Français, en vous réitérant mon conseil « De ne pas écouter votre bon coeur » A tous les deux > Ce non incident n'est pas archivé - Madame »

    Je n'ai rien à rajouter, mais j'aurais du m'en douter : dans une maison de verre tout est vraiment transparent !

    Nous finissons la bouteille et nos en-cas avec une bonne humeur totale et des tas de fous-rires, quand le petit Pédro vient nous chercher, il ne fait aucun commentaire sur le « non-incident » mais a du sentir de boulet de Madame près de ses fesses, au lieu de mater les miennes, il donne à José l'enveloppe qui lui est destinée et nous demande si nous pouvons y aller »

    Nous le suivons et sortons de l'agora, une auto électrique un peu plus grande que celles que j'ai connues nous attend, nous descendons au premier niveau du parking, le -5 qui accueille facilement les grosses voitures.

    Une Mercedes 6 portes avec chauffeur nous attend, Yves donne un gros billet à Pédro en lui souriant, le chauffeur nous ouvre les portes et nous quittons le parking dont la porte probablement blindée se ferme derrière nous.

    José ouvre l'enveloppe, il me tend ma carte de membre avec un mot manuscrit : « le code secret à 4 chiffres est sur le répondeur de votre domicile d'Issoire » Nous restons sidérés de ces précautions et de constater qu'en une journée Madame sait tout de nous, ce qui peut être à double tranchant, et José dit « Comme me disait Yves avant d'entrer dans l'agora, mieux vaut avoir Madame avec soi que contre soi ! » Yves rien et rétorque en prenant un accent que José ne peut pas connaître : « Ah ! C'est ben-vrai ça ! »

    Je ris car la Mère Denis est sûrement une ex d'Yves et il a beaucoup d'affection pour elle !

    Une enveloppe gonflée m'est adressée, encore un petit mot manuscrit :  « N'archivez rien »

    Je n'ai pas envie de réfléchir, je donne l'enveloppe à Yves qui dénoue l'énigme en une minute, beau Q mon chéri mais aussi beau QI ! Il faudra que je l'encule au gode ceinture un jour rien que pour rire ! J'éclate de rire toute seule et m'en excuse : « ce n'est rien je pensais à une bêtise, trop dure à expliquer ! »

    « En fait tout est codé d'une manière simple : « 1/m = salaire Loré sur 1ère mazmorra » « Suivi de 2/m et de 3/m » « 1/v = % de Loré sur les voyeurs de la 1ère mazmorra » « Par contre, dans les frais il n'y a rien, ni salon, ni champagne, c'est donc facturé sur le compte de José, tu aurais pu mettre ça sur le compte de Loré, chorizo ! » « Est-ce si important Yves, on s'en fout ! Dis-moi par curiosité il y a combien en billets ? »

    Yves compte les billets et annonce « 4.800€ » Et en riant, il se tourne vers moi : « Dis moi, Loré quel est ton salaire net mensuel ? » « 4.400€, j'ai été augmenté avant de prendre des congés sans solde ! »

    La voiture explose de rire, alors qu'Yves fait des minuscules confettis avec la première fiche de paye du Club !

    Le chauffeur nous annonce par micro que nous sommes arrivés, il nous ouvre les portières, refuse courtoisement un gros pourboire : « Non, Monsieur, cette pratique n'est pas dans nos habitudes, mais merci pour le geste ! »

    Suite dans le tome 9


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