• Chapitre 4

    Chapitre 4

    Dimanche 22 janvier 2017 - 14h00

    Je me réveille brusquement, et, mon premier réflexe est de chercher Yves à côté de moi. Ma main ne rencontre rien, et je me demande où il peut être ! Je m'assieds sur le lit, ce qui me rappelle que je suis à poil et je me lève pour enfiler quelque chose, quand j'entends la chasse d'eau, et des pas feutrés glisser vers la chambre, je sais donc où est Yves !

    Je referme la porte jusqu'à l’entrebâiller, et je m'agenouille derrière et quand il pousse la porte, je lui saute dessus, et en constatant qu'il est aussi à poil, je m'empare de sa bite, ramollie et pas bien égouttée !

    Je l'agresse en riant de bon cœur : « Eh ! C'est quoi ça ? ». Et, sans lui laisser le temps de réagir, je lui ferme la bouche de ma langue et de ma bouche, tout en essayant de le branler, compte tenu de sa rigidité proche d'un chewing-gum, mais dès que ma langue et ma main l'ont fait réagir, je me penche et le prends en bouche, son petit goût de pipi ne me gêne pas, je commence à y être habituée !

    Très vite, il durcit. Je me libère la bouche pour lui lancer un : « Je vois qu'une bonne soirée sexe et un gros dodo t'ont donné des idées coquines ! ». « Hum oui, j’avoue que cette petite fête m’a fait bander dur ! Mais je ne me rappelle pas de tout ! ». « On verra plus tard, je vais vite te calmer ! ».

    Je le suce et le branle, sa queue est de plus en plus dure et je le sens sur le point de gicler dans ma gorge, mais, juste avant, je le retire de ma bouche. Il grogne, mécontent que je le laisse en plan ! « Oh, ne sois pas sotte : j’allais jouir ! ». « Je suis sincèrement désolée ! Mais on va arranger : tu réponds à une question et j'avale tout, sinon tu vas te finir à la main aux wcs ! ». « Ok ! mais accouche de ta question, je n'en peux plus ! ».

    « Tu aurais été encore plus excité, si Marc m'avait sautée, devant Annie, toi, et pourquoi pas Vincent ? ». Il ne réfléchit pas pour répondre : « Hum oui, ça m‘aurait plu et j'aurais bien aimé baiser Annie, qui est canon et vicieuse ! ».

    En cet instant, qui précède sa jouissance, il ne me ment jamais, sans lui répondre, j'avale le plus loin possible sa bite, pour le pomper, comme une morte de faim, et le laisser se vider en moi.

    Je me régale de ses grognements, j’avale tout ce qu'il me donne et lui promet, un peu sibylline : « On en reparlera plus tard ! ».

    Dimanche 22 janvier 2017 - 15h00

    Je lui conseille de faire une petite sieste, pendant que je vais prendre un bain chaud et après, je préparerai un plateau dîner-goûter avec des restes d'hier car, son père doit nous ramener Jean aux alentours de 18h, et il aura sûrement faim, surtout pour des tapas ! Je lui dis de dormir sans s'occuper de rien, je le réveillerai moi même.

    Dimanche 22 janvier 2017 - 18h00

    Je finis de préparer une collation, valable de 18 à 23h ! Un coup d’œil dans la chambre, mon amant favori dort comme un bébé. Dans la cuisine je récupère une tasse de café et je retourne au salon pour boire et fumer ma première cigarette de la journée, habillée, comme hier pour recevoir Vincent : tee-shirt, parure correcte et espadrilles trouées, que je n'arrive pas à jeter !

    Comme je me sens bien, je rêvasse sans allumer la télé ! Une clef ouvre la porte d'entrée, ce qui m'annonce que Jean est là avec son Papy ! Je vais à leur rencontre, très heureuse de retrouver mon Jean ! Une bise à Jules, mon beau-papa avec un grand merci ! Mon fils me fait un gros câlin, hum, que c'est bon un peu d'amour pur et sans-arrière pensée !

    Je propose à Jean de me dire ce qu'il veut boire, et de se débarrasser de ses affaires dans sa chambre, avant de nous rejoindre au salon. Je propose, une Heineken à Jules qui ne boit que cette marque et s'assied dans un fauteuil.

    Je reviens avec la bière, un Coca, mon jus d'orange et deux assiettes de tapas que j'avais préparées en prévision.

    Bonne idée ! Jean se jette sur ces bouchées qui lui rappellent l'Espagne et Jules apprécie aussi ! Il nous quitte pour ne pas faire attendre sa femme, il serre très fort Jean et me bise les joues.

    Je me retrouve avec mon fiston qui me raconte le Scrabble, la balade avec papy et mamy, la télé, la console de jeu, la grasse matinée avec un petit déjeuner super-génial, le bon déjeuner, comme d'hab ! Et même le goûter !

    « Eh, bien avec ce que tu viens d'avaler, je pensais que tu n'avais rien mangé pendant ces deux jours ! ». « C'est de ta faute, maman, tu me proposes des tapas, comment veux-tu, qu'avec ton sang espagnol, je les refuse ! ».

    Je ris de sa franchise et de son franc-parler ! Je pense savoir de qui il tient !

    Dimanche 22 janvier 2017 - 18h30

    Le téléphone sonne, je sais que c'est Annie et je dis à Jean de décrocher pendant que je vais lui chercher un autre Coca.

    « Maman, c'est Annie, notre voisine, tu viens ? ». « J'arrive ! ». Je lui donne son Coca et prends le combiné : « Bonsoir, Annie, tu es en forme ? ». « Hum, oui, mais c'est à toi qu'il faut poser la question ! Pas trop mal à la tête ou au clitoris ce matin ? ». « Non, ils sont un peu douloureux, mais je gère ! ». « Et Yves ? ». « Ah, lui, c'est le grand sommeil ! Il s'est réveillé, une heure, le temps de se faire câliner, et s'est rendormi. Il dort toujours ! Mais je vais le réveiller, car, demain il a son Clermont-Paris à 7h30 ».

    « Et, après, il va où ? ». « Moscou. Il rentre vendredi à 22h30, et a décidé de se garer au parking d'Aulnat ! Ça m'évite de me lever demain à 5h ! ».

    « Et comment es-tu allée te coucher ce matin ? ». « J'ai appelé Yves et il m'a trouvée là où tu m'avais laissée ».

    « Donc, il t'a vu à poil, bondée sur ta chaise et offerte au premier venu ? Et il t'a demandé des explications ? ».

    « Non, nous avions sommeil tous les deux, et à son réveil, il ne se rappelait pas de tout ! Pardon, deux secondes, Annie », « Oui, chéri, tu peux aller dans ta chambre, regarder la télé, entendu, j'embrasse Annie de ta part ! ».

    Dimanche 22 janvier 2017 - 18h45

    « Annie tu as entendu ! Il t'embrasse ! Tu viens de séduire un autre Dufour ! ». « Telle mère, tel fils ! ». « Ne me fais pas rougir, je suis dans le rôle de maman aimante ! ». « Je plaisantais, comment, vas-tu lui résumer mon appel ? ».

    « Je lui dirai que cette semaine, il ira du vendredi soir au dimanche soir chez ses grands-parents, car nous sommes invités chez vous samedi soir ! ». « Ah ! Et tu l'as annoncé officiellement à Yves ? ». « Non, hier soir il était ivre-mort et quand il s'est réveillé, il avait juste envie d'un pompier et de se rendormir ! ». « Tu l'as bu avec plaisir ? Je suppose ! ». « Bien sur, j'ai été sevrée de sperme hier ! ».

    « C'est un reproche, putain ? ». « Non, Annie, désolée, mais Jean risque d'entendre, donc le, Madame, ferait tâche ! ». « Pas grave, je suis occupée demain, je ne te contacterai pas ».

    Après un silence, elle reprend : « Je suppose que tu n'as pas oublié notre rendez-vous de mardi à 13h chez toi. Si besoin, je t’appellerai le matin au bureau. Donc, à mardi, bien chaude et sevrée d'orgasmes. Avec l'intention de gagner ton duel avec Lise : tu dois mieux résister aux punitions, être plus obéissante, mieux éduquée et plus vicieuse. Plus sado si duel, moins rapide pour t'envoyer en l'air, mais plus rapide pour des séries d'orgasmes ! Apprends cette phrase par cœur, elle te servira mardi ».

    Le bip-bip-bip-bip m'indique qu'elle a coupé brutalement, comme d'hab !

    Je rejoins Jean dans sa chambre, il regarde une télé réalité comme tous les ados ! Il me demande ce que voulait Annie et si je lui ai transmis son bisou ? Je le rassure en lui affirmant que j'ai bien fait sa commission, et elle l'en remercie, elle a hâte de faire ta connaissance ! « Ils nous invitent ce samedi soir chez eux, pour nous remercier de notre invitation. Tu iras dormir chez Papy et Mamy Yves ».

    « Chic, comme ça, je pourrai regarder la télé plus tard, Papy me laisse toujours faire ! ». « Il te laisse faire, pourquoi ? ». « Parce que le vendredi et le samedi soir, je peux veiller plus tard, car le samedi et le dimanche matin, je n'ai pas classe ? ». « Bravo, tu sais, que chez eux, comme chez nous, tu es notre petit roi, la seule différence est, qu'ils n'ont rien d'autre à faire que de te gâter, et de jouer avec toi, et, qu'ici, nous avons tous les deux beaucoup d'occupations ! ».

    Je lui fais deux gros bisous et le quitte : « Je vais réveiller Yves, il part demain de bonne heure en Russie pour cinq jours, et il faut qu'il mange et qu'il dorme cette nuit ! Tu peux te doucher et te mettre en pyjama, on dînera dans une demi-heure, après, au lit, et télé maxi jusqu'à 21h30 et je ne te surveillerai pas, je sais que je peux te faire confiance fiston ! ».

    « Tu peux, je t'aime, maman ! ». « Et moi donc fiston, si tu savais ! ».

    Dimanche 22 janvier 2017 - 19h15

    Je me glisse sans bruit dans notre chambre, je me mets à poil, je rampe sur son corps, de travers, pour ne pas lui imposer un 69 au réveil ! Et je mets sa bite molle dans ma bouche, alternant léchage du gland et des couilles.

    Il se réveille mais fait semblant de dormir. Quand il trique comme un âne je me retourne et lui susurre à l'oreille : « Con ou cul ? Ne bouge pas, je suis trempée, je m'empale toute seule ! ».

    « Con, mais doucement, je dors encore ! ». « C'est moi qui vais bosser, je te niquerai à ma manière ! ». Je le chevauche, glisse ma main droite sous moi et empaume sa pine bien dure. Je glisse son gland entre mes grandes lèvres, et je m'assieds lentement sur lui, pour m'empaler avec délice sur son pieu !

    Il se laisse faire, j'essaye de prendre mon temps, mais il est tellement gros, que je sens que je ne vais pas pouvoir le contrôler longtemps. Je lui prends donc les mains et les pose sur mes seins en guidant ses doigts vers mes tétons, seule manière pour moi de jouir aussi vite que lui, et ça marche, je cache ma bouche dans son cou, pour ne pas crier trop fort, pendant qu'il ronronne de plaisir en se vidant les couilles dans ma connasse trempée !

    Nous nous glissons en silence, dans la salle de bains, pour une douche de trois minutes chrono, et en peignoirs, nous allons à la cuisine en récupérant Jean au passage ! A 21h30, les lumières de chez Yves-Loré-Jean sont éteintes !

    Lundi 23 janvier 2017 - 05h00

    Le réveil nous oblige à ouvrir les yeux pour savoir quel est ce bruit incongru à 5h du matin !

    Je lui murmure, que pour un prochain voyage, il vaudrait mieux qu'il parte le dimanche soir, pour que j'ai le temps de le câliner et de l'accompagner, sans être obligée de me lever à cette heure inhumaine ! Il me rétorque que je ne suis pas obligée de me lever et qu'il peut se débrouiller tout seul !

    Je me lève, nue, en lui riant au nez : « Et comment vas-tu te sucer la queue tout seul ? ». Et, en squeezant son droit de réponse, je lui fais son timing : « Tu vas boucler ta valise, te doucher et me retrouver à la cuisine où ton petit déjeuner t'attendra. Tu n'as qu'à penser, sous la douche, que ta petite femme va s'agenouiller sous la table, pour te faire une belle pipe, pendant que tu tartineras tes toasts bien chauds ! Ma boisson du matin sera une bonne ration de foutre de mon petit mari, et, en plus, je pense que je vais rester à poil, car, quand tu partiras à 6h, moi je me recoucherai ! ».

    Je file à la cuisine pour tout préparer en espérant que Jean n'aura pas envie de boire un verre d'eau entre 5 et 6h !

    Lundi 23 janvier 2017 - 06h00

    J'enfile tout de même un peignoir pour l'accompagner sur le pas de la porte et lui offrir un dernier baiser et mes nichons nus à caresser malgré le froid du petit matin ! Je regarde sa voiture s'éloigner, voilà, je suis seule pour cinq jours avec un emploi du temps, chargé et varié !

    Je rentre, me rince la bouche, en me demandant pourquoi mes pipes du matin me soulèvent un peu le cœur, alors que j'adore son sperme, il faudra que je lui pose la question.

    Pour oublier, je bois un verre de Tropicana orange, et je vais me recoucher en remettant le réveil à 7h30, pour pouvoir me préparer, petit-déjeuner avec Jean, le déposer à l'Institut, à 8h30 et être à mon bureau dix minutes après.

    Lundi 23 janvier 2017 - 13h00

    Je sors fumer une cigarette et j'en profite pour appeler mon beau-père. C'est lui qui décroche : « Bonjour, Loré, tu as besoin de nous ? ». « Bonjour, Jules, oui, je suis au bureau et cet après midi et demain, je vais être très occupée par l'arrivée de cinq avions d'un coup, et mon boss voudrais que je m'en occupe, j'ai peur de ne pas pouvoir déposer et récupérer Jean à l'Institut et d'arriver à la maison après ses devoirs, vous pouvez me dépanner ? ».

    « Bien sur, Loré ». « Si tu veux, je m'en occupe jusqu'au retour d'Yves, le vendredi ? ». « Merci Jules, Adrienne et vous êtes très chics, je ne sais pas encore ce que je ferai, je vais voir comment les cinq révisions évoluent, et je vous tiens au courant, je vous embrasse Jules et encore merci ! ».

    Je suis à peine assise à mon bureau que mon boss revient de déjeuner. Il est surpris de me voir au bureau : « Eh bien, Loré, que fais-tu là ? Tu es rentrée tôt ou tu n'es pas allée manger ? Qu'est-ce qui se passe ? ».

    « Oh, rien de grave, boss ! Yves est parti ce matin pour Moscou, mon amie est occupée, et, Jean essaye la cantine. Je n'ai pas eu envie de manger seule, et je suis restée, pour avancer mon travail, et ne pas avoir de retard ». « Loré, même quand tu t'absentes, tu emportes tes dossiers chez toi et tu m'envoies tes décisions par mail, je n'ai plus qu'à vérifier d'un œil distrait, les parapher et les donner à Sophie pour les traiter et les mettre en parapheur. Donc je sais très bien que tu n'as jamais aucun retard ! ».

    « Oui, vous avez raison, boss, mais cette semaine, j'ai du prendre deux jours de RTT : mardi et jeudi, pour m'occuper du ménage et du repassage. Je ne veux pas que ces problèmes domestiques viennent gêner l'aide que je suis sensée vous apporter, voilà pourquoi je mets les bouchées doubles : justement pour ne pas avoir de retard ! ».

    « Je te comprends et t'en remercie, Loré, et je suis content que tu me dises tout ça, car j'ai la solution à ton petit problème domestique ! Je vais anticiper une offre, que je voulais te faire le jour du Printemps, pour te rendre encore plus belle et rayonnante ! ». « Boss, je vais rougir ! Depuis dix ans que je vous vois plus que votre femme, vous auriez pu vous déclarer plus tôt ! ».

    « Ah ! Loré : ta franchise et ton humour ! Je t'apprécie aussi pour ça ! ». « Je le sais bien, boss, sinon, je ne me permettrais jamais de vous taquiner ! ».

    « Redevenons sérieux ! J'avais décidé de te proposer un ajustement de salaire à partir d'avril ! Je vais donc l'anticiper et te proposer 500€ de plus, en net mensuel, dès ce mois de janvier. Avec ces sous, tu pourras te payer une femme de ménage, mais, surtout pas pour faire plus d'heures ici, il est clair que c'est pour que tu profites plus de ta vie, de ton fils et de ton mari ! ».

    « Mais, boss, c'est énorme ! Vous êtes sur que c'est raisonnable et que je les mérite ? ». « Raisonnable ? Demande à Richard, notre grand argentier, si, 12.000€ de dépense annuelle de plus, gênerait notre trésorerie ? Tu me raconteras sa réaction ! Quant à savoir si c'est mérité ou non, c'est moi seul qui en décide ! ».

    « Boss, je ne sais que vous dire ! ». « Eh bien, tu n'as qu'à m'envoyer un mail avec « merci boss ! ». Donc, demain tu n'es pas là ? Je fais refaire ta fiche de paye de janvier avec ton nouveau salaire, une objection ? ». « Non, juste un caprice, boss, je peux vous faire un gros bisou ? ».

    « Ah, Loré, tu aurais du te déclarer plus tôt, hélas, je suis marié ! ». J'éclate de rire et lui smacke la joue avec un plaisir immense ! Et une fierté très intérieure !

    Lundi 23 janvier 2017 - 18h00

    Je quitte le bureau, après avoir glissé un mot sous la porte du bureau du boss : « Encore, merci, boss ! En cas de problème mon portable est toujours branché ! A mercredi, Loré ».

    Je rentre à la maison en chantonnant et je décide de consacrer mon mardi matin à chercher quelqu'un pour m'aider.

    Il me tarde d'avoir l'appel d'Yves pour lui annoncer la nouvelle ! Je m'arrête sur un parking pour téléphoner à mon beau-père. C'est lui qui me répond : « Bonsoir, Loré, tu veux que je te passe Jean ? Ne le dérangez pas s'il est occupé, il vous faut des vêtements ? ». « Non, l'armoire de sa chambre est bien pleine, ne te fais pas de souci et nous assurons ses changements de taille ou de pointure ! ».

    « Vous m'étonnerez toujours ! Comment vous remercier ? ». « Mais, Loré, simplement en nous laissant Jean de temps en temps, comme tu le fais si bien ! En quatre ans, il est devenu notre potion de jeunesse comme Yves et toi ! Je vais le chercher ! ».

    « Non, Jules ce n'est pas la peine, dites lui que j'ai appelé et que je l'embrasse très fort. Je sais qu'il est très bien avec vous et je l'aime de tout mon cœur ! ». « Rassure toi Loré, il le sait parfaitement bien ! Bon courage pour ton travail, embrasse Yves de notre part quand il t'appellera ce soir !».

    Et il raccroche, quels beaux-parents fantastiques j'ai !

    Lundi 23 janvier 2017 - 19h30

    Je redémarre, tout est réglé :

    Ce que je dois dire à Yves : l'augmentation, la future aide ménagère, mon feu vert pour la soirée chez Annie et Marc et ma promesse qu'il rappelle de suite Annie.

    Ma matinée de mardi, au lieu de repasser : trouver celle qui va le faire ! Jean a un bon foyer que sa maman a tendance à déserter, mais le tout c'est qu'il soit heureux, le midi avec ses copains et de temps en temps chez Papy et Mamy !

    Petit point non résolu : vais-je bien assumer mon rôle de compétitrice demain après midi ?

    Je grignote quelques tapas, et bois du jus d'orange quand Yves m'appelle de Moscou, je lui raconte et lui dis tout ce que j'ai à lui dire, pour lui ma journée est magnifique et va changer toute notre vie !

    Je me demande si le changement est du à mon augmentation, à la femme de ménage ou à la bite de Marc ! Mais la communication étant vraiment très mauvaise, je m'assure qu'il a tout compris, qu'il a bien le numéro d'Annie et nous raccrochons en même temps !

    Lundi 23 janvier 2017 - 20h00

    Étant en retard de sommeil, la maison de Loré-toute-seule s'éteint, exceptionnellement à 20h00 ! A noter que je dors avec un vieux pyjama d'Yves et une culotte toute propre, pour éviter toute tentation !

    Mardi 24 janvier 2017 - 08h00

    J'ouvre les yeux sans réveil, je regarde l'heure, et je réalise un peu ébahie que j'ai dormi 12h ! Un tour de cadran !

    Je saute du lit, me rappelle pourquoi je porte une cuirasse et me demande comment je vais me doucher ?

    Je vandalise mon frigo en mangeant tout ce qu'il y a dedans pendant une bonne demi-heure, je finis dans mon bureau, avec une tasse de café, toujours en pyjama, et lance des recherches sur Google pour une femme_de_ ménage_repasseuse_aide_ménagère_sud_Issoire, comme d'hab, j'ai 500.000 réponses, ce qui me semble totalement irréel ! Je n'ai pas mis Pékin pour le lieu, j'ai bien mis Sud_Issoire !

    Enfin, pas grave, qui peut le plus, peut le moins : je réponds à dix demandes de ce type d'aide à domicile, en envoyant le même mail aux dix dames qui me semblent correspondre en lieu de résidence, en âge, en expérience et parfois en photo, à ce que je cherche :

    « Je m'appelle Loréna, j'ai 32 ans, débordée par ma profession, je cherche une aide pour m'assister à domicile, principalement pour du repassage, faisable même à votre domicile, et si accord pour un peu de ménage. J'habite à nom_de_mon_village. Dans la Société qui m'emploie, je m'occupe aussi des 250 salariés, ma gestion est simple : honnêteté, vérité, confiance et si problème explication en tête à tête. Et, depuis dix ans, ça fonctionne bien ! Je peux vous recevoir, chez moi, ce samedi 28 janvier, pour une réponse sous 2h. Si un tel rendez-vous vous convient, appelez moi au 06 22 23 24 25, ce vendredi 27 janvier de 10h à 12h. Merci de respecter cet horaire. A bientôt ? Loréna Dufour »

    Pour l'informer, j'envoie une copie à Annie, ou plutôt à Madame Annie ! Elle sera contente d'apprendre que je cherche à avoir plus de temps libre !

    Mardi 24 janvier 2017 - 11h30

    Sans m'en rendre compte, entre mes recherches, mes lectures d'annonces, la sélection soignée des dix éventuelles candidates, la rédaction du mail collectif, et l'envoi, à toutes les destinataires en « cci », j'ai laissé passer toute ma matinée, mais sans aucun regret : sur dix postulantes, il y en a bien une qui me dira oui et à qui j'aurai envie de dire pareil !

    D'un autre côté, je réalise que, concentrée sur ma recherche, je n'ai pas eu le temps de penser à l'après midi qui se rapprochait à grand pas. Ce qui m'a évité des frissons, le trac et le stress d'être ou de ne pas être à la hauteur des attentes d'Annie.

    Toutefois, il me reste un peu plus d'une heure pour me préparer à recevoir mes deux gentilles dames !

    Je commence par un bain et essaye de bien me nettoyer de partout, en supposant que tous mes orifices seront sollicités. Par des langues ? Des plugs ? Des vibros ? Des doigts ? Ou des mains ? En fait par quelque chose, et ça j'en suis sûre ! J'utilise donc ma poire d'un demi-litre pour des petits lavements internes du vagin et du sphincter, injection d'eau jusqu'à ce que le rejet soit aussi pur que l'eau injectée ! Imparable !

    Ensuite deux problèmes se posent : la tenue pour laquelle je n'ai eu aucune instruction, et ce sera donc la règle générale qui jouera : un seul bijou et pas de sous-vêtements, et la coiffure, qui est vite choisie, car Annie aime trop mes couettes pour que je la contrarie, en me présentant cheveux lâchés ! Décidément, je suis dans la journée des solutions !

    Je me sèche le corps et les cheveux, je reste nue devant mon miroir pour me fignoler des nattes pas trop nunuches. Sure que c'est le moins moche que je puisse faire, je vais dans ma chambre pour préparer ma tenue : pas de fantaisie, je vais rester classique : une jupe bleu marine m'arrivant aux genoux, avec une petite fente coquine d'une dizaine de centimètres sur la cuisse gauche, des bas dim-up bleu ciel, des escarpins assortis à la jupe avec des talons d'environ sept centimètres, et un chemisier bleu clair, entre transparent et opaque, avec des manches larges, des poignets serrés et six boutons dont j'ai l'habitude de n'en boutonner que quatre, mais je jugerai devant ma psyché.

    Mardi 24 janvier 2017 - 12h15

    Il faut que je me trouve une activité pour éviter le trac de la rencontre qui est une première pour moi ! Je me sens forte dans ma tête, mais pas forcément dans mon courage, tout va dépendre de Lise ! Dont je ne connais vraiment pas grand chose, et surtout ni son physique, ni ses tabous ! Les deux éléments les plus importants dans une relation bdsm !

    Mais, il est vrai que j'ai délégué volontairement la totalité de ma volonté à Annie, la chargeant des décisions que je me contente d'exécuter !

    Je liste ce je n'ai pas fait dans la maison, à part le repassage, et je trouve finalement ! Mais c'est à l'extérieur, il me semble que ça fait un siècle que je n'ai plus ouvert ma boîte aux lettres ! Mais, il faut que je m'habille, je ne risque pas de sortir à poil !

    Je retourne dans ma chambre, j'enlève tous mes bijoux, y compris mon alliance, je prends le collier-alliance d'Annie que je pose à côté de moi, je m'assieds pour enfiler soigneusement mes bas, puis, debout devant la glace, c'est au tour de mon chemisier, qui finalement sera fermé par quatre boutons.

    Ce qui dévoile juste le haut de mes seins, et donc un bout de l'alliance, comme je peux le constater, après avoir mis la chaîne en place autour de mon cou, puis, j'enfile ma jupe, dans laquelle je glisse le bas de mon chemisier, en vérifiant que la fente est bien sur le côté de ma cuisse gauche, et, je termine par mes escarpins, que j'adore, car ils ont des semelles confort intégrées, qui me rendent le port de talons tout à fait supportables.

    Mon manteau est pendu à une patère de l'entrée, je l'enfile, prends ma clef et sors récupérer le courrier. J'ouvre et ne trouve qu'une enveloppe assez épaisse avec un destinataire : « Pour Madame Loréna », je me creuse un peu la cervelle et ne trouve qu'une personne qui m'a appelée « Madame Loréna » et c'est Vincent !

    Je pense que l'épaisseur est due à une liasse. Je me dépêche de rentrer et, sans même enlever mon manteau, je décachette l'enveloppe, il y a bien une liasse de billets de 50€. Annie et moi avons mis chacune 250€, sans même en parler à nos maris, et nous lui avons laissé l'enveloppe sur sa petite valise perso, avec un simple « merci » écrit sur l'enveloppe. Je constate donc, au passage, qu'il a changé l'enveloppe.

    N'ayant plus revu l'enveloppe, nous avons supposé qu'il l'avait prise et que prochainement nous aurions un merci de sa part.

    Je sors la liasse et trouve un mot : « Madame Loréna, après ce qui s'est passé entre nous trois, cet argent ressemble plus à un paiement pour service rendu qu'à un bonus - fort généreux - de remerciement pour la réussite de votre soirée ! Dans ces conditions, qui enfreignent tous mes principes moraux, il m'est impossible d'accepter cet argent. Merci pour le geste, à bientôt pour notre première soirée. Je garderai longtemps une partie de cette soirée en tête et pour ce souvenir, je vous dis : « Merci, Madame Loréna ».

    Quel homme ce Vincent ! Je ne sais pas comment vont se passer nos soirées coquines, mais j'espère qu'il ne m'étonnera pas, chaque fois que nous devrons nous rencontrer, je ne voudrais pas m'attacher d'avantage à lui que je ne l'ai été, ou pour être honnête que je le suis !

    Mardi 24 janvier 2017 - 12h50

    Je n’ai pas faim, je me sens de plus en plus nerveuse.

    Je fume cigarette sur cigarette et je dois même ouvrir la fenêtre pour assainir l’air du salon. Heureusement, le temps a décidé de rester au printemps alors que nous sommes au cœur de l’hiver.

    Ça fait bien dix fois que je vérifie ma tenue, ma silhouette, ma coiffure et mon décolleté, et chaque fois, je me persuade qu'Annie va aimer, et peut être même me féliciter, car ses règles, parfois drastiques, sont toutes respectées !

    Au cas où, j'ai préparé une cafetière thermos d'expresso et quatre assiettes de petits fours sucrés, des Surgelés Picard mis à décongeler hier soir. Je regarde sans arrêt la pendule du salon. Il me tarde d'être plus vieille de dix minutes !

    Mardi 24 janvier 2017 - 12h55

    Deux petits coups de politesse à la porte qui n'est pas verrouillée, Annie en a l'habitude. Finalement contente de ne plus être seule, je quitte le canapé où je ruminais et vais à sa rencontre.

    Elle est déjà à l'entrée du salon, et, sans me saluer, elle me donne un sac plastique en me disant : « Tiens, petite pute, ouvre ton sex-shop et range ça dans tes jouets cochons ».

    J'en sors un objet en cuir. Je pense au départ que c’est un gode ceinture, mais à le regarder de plus près, je constate qu'il s’agit d’un gode qui se fixe avec des courroies sur ou dans la bouche de quelqu’un. Je comprends vite ses deux fonctions. Je le range donc dans les bâillons.

    Elle fait un tour dans la cuisine, pour voir ce que j'ai préparé et en revenant, elle mâche un gâteau, et me dit, la bouche à pleine : « Hum, comme d'habitude, ton café sent bon, sers moi une tasse, ma catin préférée ! ».

    Pendant que je la sers, elle allume une cigarette et s’installe dans un fauteuil en repliant ses pieds chaussés sous elle : « J’espère que Lise sera à l’heure, je déteste les gens qui sont en retard. Pas grave, en attendant, j'ai une bonne nouvelle pour toi, mais avant, je voudrais voir ta petite culotte de salope ! ». Après un « Bien, Madame » sans aucune ironie, je me mets devant son fauteuil et je roule ma jupe qui est peu serrée sur ma taille, exhibant ma chatte imberbe, et en me tournant, mon cul nerveusement serré !

    « Je vois que tu as opté pour la couleur chair, elle te va très bien, à présent, ton soutien gorge ! ». Je lui tourne le dos, pour défaire deux boutons de plus de mon chemisier, et je me retourne, lui offrant mes seins nus aux tétons déjà bandés comme des baromètres de mon humidité intime ! Les traîtres !

    « Parure assortie, pas de faute de goût et un joli pendentif avec une alliance qui arrive juste dans la vallée de tes nichons, bijou original et très porno ! Très bien, ta Maîtresse a bon goût ! ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 13h05

    « Déjà cinq minutes de retard, cette connasse va finir par trouver la porte close, je la déteste déjà, et elle a tort de se foutre de ma gueule ! ».

    « Je peux me permettre une réflexion, Madame ? ». « Tu crois qu'elle sera intéressante ? Je n'aime pas que tu interviennes de cette manière, une prostituée doit apprendre à rester sur son bout de trottoir ! ».

    « Entendu, Madame, je me tais ». « C'est mieux pour toi, Lise m'emmerde, je n'aimerais pas me fâcher aussi contre toi ! Bon, en échange de ta coiffure totalement ridicule, mais qui me plaît beaucoup, de ton unique bijou et de ta parure de sous-vêtements couleur chair, je vais t'offrir une récompense ! ».

    Elle sort son portable de son sac, m'ordonne de me rapprocher d'elle et me dit : « Je te fais une fleur, je t'ai mis une des photos de Lise, sur mon portable : tu vas pouvoir la voir ! ». Je me penche vers l'écran, curieuse mais aussi inquiète de la découvrir, mais ce que je vois me plaît beaucoup !

    Annie commente : « Elle est très mignonne avec un joli sourire et de belles jambes, si, toutefois, ce n’est pas la photo de sa voisine ! Si c'est bien elle, elle est même trop mignonne pour toi, il faut absolument que je te trouve une vieille pute, cassée par la vie, moche et grosse pour bien t’humilier ».

    Je ne réponds rien et lui demande si elle veut un autre café, et si elle m'autorise à en boire une tasse : « Oui ma putain, sers nous ».

    Je bois mon café debout à côté d’elle. Je suis soulagée quand mon portable sonne, c’est bien Lise, je mets le haut parleur : « Bonjour Loréna, j’arrive, j'ai eu un peu de mal à trouver ton village, je me suis perdue deux fois, j'espère que, Madame, me pardonnera, et pourtant je suis partie bien avant midi mais ça ne fait que trois minutes que j’ai repéré le fléchage de ton lotissement ! ».

    « Très bien je t'attends, Madame est agacée par ton retard, elle acceptera peut être tes excuses, je ne peux pas parler pour elle, c’est la seule maison d'un étage qui a des volets marrons ». « Je t’embrasse, à tout de suite ».

    « Peut être que le plan que je lui ai envoyé était imprécis, Madame, si c'est ça, merci de me pardonner et de ne pas en vouloir à Lise ». « Tu es têtue, enculée de call-girl ! Je t'ai dit que je me foutais de ce que tu pensais, je savais bien que tu voulais la défendre, et tu as tout de même réussi à me faire chier avec ton raisonnement à l'eau de rose ! Tu vas déboutonner ton chemisier, choisir, dans ton sex-shop, deux gros écraseurs de bouts de mamelles et te les poser, sans un cri, puis tu refermeras cinq boutons de ton chemisier et tu resteras très naturelle, je ne veux pas que Lise voit que tu souffres, ça t'apprendra à me faire chier, connasse nauséabonde ! ».

    « Au moins, elle ne m'a pas posé un lapin, termine vite ton café ! Et, dis-moi : Yves n'est pas étonné par l'augmentation du nombre de vos jouets sexuels ? ». « Non, Madame, car ça fait longtemps que je ne lui ai pas demandé de me dominer, et je lui ai dit que j'avais fait les soldes d’un sex-shop en ligne, donc il ne sera pas étonné ». « C’est bien continue comme ça et, si un soir, il en a envie, arrange toi pour lui dire que tu n'as pas envie de jouer, j’ai envie de continuer à avoir l'exclusivité de jouer avec mon esclave privée ». « Rassurez-vous, Madame, mais ça n'arrivera pas, car, quand j’en ai envie, je mets un bracelet convenu entre nous, et tant qu’il ne le voit pas à mon poignet, il n'exige rien ».

    Annie rit : « Excellente idée ! Comme ça au moins tout est clair ! Montre moi ce bracelet ! ».

    En marchant doucement, pour ne pas que mes seins se balancent trop, je reviens de la chambre avec un petit bracelet de pacotille, Annie sourit en le jugeant : « Comment donner de la valeur à quelque chose qui n’en a pas ? Eh bien, je sais maintenant comment te demander de te soumettre à ton mari ! Mais aussi comment lui enlever toute envie de te demander de te soumettre ! Hum, plus j’ai de pouvoir sur toi, plus je trouve ce jeu m'excite ! ».

    Je ne réponds rien. C'est juste à ce moment qu'on frappe deux coups timides à la porte. Annie me fait signe d’aller ouvrir.

    C’est, Lise, elle est telle que sur la photo avec des cheveux un peu plus longs. Timidement nous nous saluons d'un, ravie de te connaître, en nous bisouillant les joues. Je la fait entrer et verrouille la porte derrière nous en lui disant : « Madame est au salon, suis moi ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 13h20

    Annie regarde longuement Lise, qui baisse immédiatement les yeux pour ne pas croiser son regard : « Bonjour Lise, tu es aussi mignonne que sur ta photo, je m’appelle Annie mais tu m’appelleras Madame, elle, c’est mon esclave : Putain Loré dont je termine le dressage. Es-tu bien éduquée ? ».

    « Je le crois, Madame, malgré mon jeune âge, j’ai déjà beaucoup obéi mais surtout à des partenaires de passage ». « De passage ? Tu les dragues comment ? ». « Sur le Web, Madame ». « Et tu n'arrives pas à en garder un ou une ? ». « Ils cherchent plus une fille facile qu’une soumise, et la plupart ne connaissent même pas la différence, les vrais Maîtres sont rares, Madame, et ne parlons même pas des vraies Maîtresses ! ». « Je vois, et tu as déjà obéi à des femmes ? ». « Très peu, Madame, deux fois seulement ». « Je vois : je t'ai dit, par l'intermédiaire de Putain Loré, que tu ne devais attendre aucune tendresse de ma part ! ».

    « Oui, Madame, je le sais ». « Et, tu es venue malgré ça ? Tu n‘as pas un peu peur ? ». « Je mentirai en disant que non, Madame, je suis inquiète et nerveuse, mais j’essaye de ne pas le montrer ! ».

    Annie rit : « Je vais vite savoir, si tu es une bonne soumise, mais au moins tu es franche, tu devrais bien t’entendre avec Putain Loré ! Veux-tu un expresso ? ». « Oh, oui, Madame avec plaisir, et un sucre, s’il vous plaît, je n'avais pas beaucoup de kilomètres à faire pour vous rejoindre, mais j'en ai fait au moins le double ! Je suis furieuse contre moi, car le plan de Loré était parfait ». « Sers lui une tasse, Putain Loré ».

    Je me penche sur la table et lui sers une tasse avec un sucre que je remue. Je lui tends la tasse mais Annie m’arrête : « Non Putain Loré, bois une gorgée et embrasse Lise sur la bouche, c’est comme ça qu’elle va boire toute sa tasse ».

    Je me force inutilement à ne pas rougir, il faut absolument que je perde ce réflexe, Lise semble un peu plus décontractée que moi, ses lèvres sont douces et elle avale lentement le café que je lui régurgite dans la bouche. Annie nous regarde : « Lise je vais filmer tout l’après midi, avec une caméra semi-professionnelle, veux-tu un loup pour dissimuler tes yeux ? ».

    « Non Madame, je suis célibataire et libre de mon corps, je n’ai aucune raison de me dissimuler le visage ».

    Un cinquième baiser nous permet de finir la tasse et Lise en profite pour glisser sa langue dans ma bouche. Nous mélangeons nos salives et Annie s’en rend parfaitement compte : « Tu es bisexuelle Lise ? ». « On ne peut que l’être en embrassant, Loréna, Madame ». « Tu sais, elle a presque dix ans de plus que toi, et son corps a beaucoup servi ! Elle n’est plus de toute première fraîcheur ! ».

    J'encaisse mal l’insulte mais Lise ne dit rien. Annie sourit de voir cette solidarité entre nous, je sens qu’elle s’amuse beaucoup de cette situation, elle se retrouve avec deux soumises télécommandées au lieu d’une et, ça n’a vraiment pas l’air de lui déplaire.

    Elle allume une cigarette et nous dit : « Bien, mettez vous pieds nus ». Nous sommes toutes les deux dans la même situation, il nous faut ôter nos chaussures, puis nos bas : Lise a de tout petits pieds adorables, aux ongles vernis de frais.

    « Venez, mes petites putains, nous allons visiter le jardin de Putain Loré, il est plus excitant et mieux entretenu qu'elle ! ». Nous la suivons et elle nous fait parcourir le jardin de long en large, marcher sur des allées de béton, dans du sable et même dans une petite flaque d’eau.

    Quand elle décide que c’est suffisant, nous la suivons, têtes basses, dans la maison. Avec l’envie commune d’aller dans la salle de bains, pour nous nettoyer les pieds.

    Annie se rassied et sort sa caméra de son grand sac : « Pute Lise, couche toi sur le dos sur le tapis, Putain Loré, tu vas te coucher sur elle, tête bêche, vous avez dix minutes et pas une minute de plus, pour vous nettoyer mutuellement les pieds, uniquement avec vos langues ! ».

    La poussière, l’eau, le sable et les saloperies ont formé une petite croûte sur la plante des pieds de Lise, je suis obligée de beaucoup saliver pour bien la nettoyer, et en plus elle craint les chatouilles, ce qui ne me facilite pas la tache. Alors que je sens sa propre langue sur mes pieds, je passe ma langue humide entre ses orteils, ce qui la fait se trémousser encore plus, je suis obligée tout comme elle d’avaler les cochonneries que je retire de ses pieds.

    Mais en même temps je sens mon ventre se contracter et mon sexe se tremper. Tenant son pied dans une de mes mains, je lui lèche soigneusement ses petits ongles vernis : petite gâterie, avant de retourner enlever la saleté de son autre talon. Je la sens frémir sous moi. Je me demande si, elle aussi est excitée. Ses pieds luisent de ma salive tout comme les miens doivent briller de la sienne, quand Annie nous arrête :

    « Relevez vous, appuyez vous l’une à l’autre et chacune me présente tour à tour les pieds de l’autre, je vais voir s’ils sont propres ». Je lui présente les pieds de Lise, Annie les juge propres. Puis c’est au tour des miens. L’inspection est aussi positive : « Bien mes salopes vous êtes de bonnes lécheuses de pieds, je vous recommanderai à mes amis ! Vous pouvez remettre vos bas et vos escarpins ».

    Lise et moi nous nous exécutons, et dès que nous sommes prêtes, nous reprenons nos places, debout, face à notre Maîtresse.

    Annie, n'a pas fini avec ce sujet humiliant, et décide d'aller encore plus loin : « Mais dites moi, mes petites prostituées, imaginons que ce que vous venez de faire soit une prestation tarifée : vous allez me murmurer à l'oreille, l'une après l'autre, combien d'euros vous demanderiez ? Pute Lise, combien demanderais-tu pour t'humilier comme ça, probablement devant des voyeurs ? Lise le lui murmure. Annie me dit « Et, toi, Putain Loré ? ». Je lui dis mon prix à l'oreille.

    Annie conclut : « Amusant ! Pour s'humilier publiquement, Pute Lise, veut 10€ et Putain Loré : 50€, qui a raison ? Je ne sais pas ! Mais si Putain Loré veut 50€ pour lécher des orteils, je pense qu'elle va demander 1.000€ pour se faire enculer, surtout si c'est l'extra d'un traiteur ! ».

    Je prends sa vacherie en pleine figure, mais je suppose qu'à partir de ce jour, elle va continuer à m'humilier régulièrement avec cette scène !

    Mardi 24 janvier 2017 - 14h00

    « Voyons à présent, ce que les militaires appellent les dégâts collatéraux, c'est à dire le résultat de cette séance de léchage de pieds sales sur vos moules respectives : Pute Lise, doigte bien profond le con de Putain Loré et dis moi si elle est sèche, mouillée ou trempée ? ».

    Elle s’approche de moi, me regarde, comme pour me demander pardon, et glisse sa main sous ma jupe, probablement un peu surprise de ne pas rencontrer de culotte. Elle glisse un doigt en moi et à ma grande honte, il s'enfonce très facilement.

    Elle le remue un peu avant de le retirer trempé : « Alors ? ». « Oui Madame elle est humide ».

    Annie hausse le ton : « Lise, si tu veux obéir correctement, il faut que tu écoutes mes questions, je t'ai demandé si elle était sèche, mouillée ou trempée ? Rapproche toi de moi, encore un peu, regarde, je serre mes cuisses pour que tu puisses les chevaucher, pour bien te rapprocher, très bien ne bouge plus ».

    Lise s'immobilise, j'ai très peur pour elle : le premier aller-retour sur son visage s'accompagne de : « Alors, Pute Lise : elle est sèche ? ». Elle a le réflexe malheureux de se frotter l'une des joues, et encaisse deux autres allers-retours consécutifs, accompagnés de : « Ou mouillée, Pute Lise ? ».

    Et le dernier aller-retour encore plus puissant s'accompagne de : « Ou trempée ? Tu as compris la règle, Pute Lise ? ». Lise efface un petit sniff de son petit nez : « Oui, Madame, je retiendrai la leçon : Loré est trempée ».

    Annie éclate de rire : « Le contraire m’aurait étonnée ! A ton tour, Putain Loré de prendre la température du con de ta collègue prostituée ! ». Un peu crispée je me rapproche d’elle, glisse ma main sous sa jupe, écarte sa culotte et trouve une chatte dégoulinante, j’y tourne mon doigt avant de l’essuyer sur ses poils pubiens. « Alors, Putain Loré ? Ton verdict ? ». « Elle est est trempée, Madame ».

    « Bien j'ai une belle égalité avec une Pute et une Putain trempées ! Je vais recommencer mon petit jeu de parlez moi à l'oreille ! Je vais fumer une cigarette, quand je l'écraserai, Putain Loré puis Pute Lise, vous viendrez dans cet ordre me proposer comment vous soumettriez l'autre si vous étiez la Maîtresse ? Vous avez compris, même toi Pute Lise, j'ai été claire ? ». « Oui, Madame, j'ai très bien compris ».

    Annie rajoute : « Je voudrais vous dire, surtout à toi Pute Lise, qu'il vaut mieux que vous mettiez vos sentiments de côté pour tout cet après midi, si l'une d'entre vous veut faire une fleur à l'autre, et par exemple, lui demander de sauter trente secondes sur place en ouvrant un parapluie, ce qui est une punition très raffinée, méfiez-vous : l'autre catin qui est votre concurrente, risque de ne pas vous faire le même cadeau ! ».

    Réfléchissez bien, j'allume ma cigarette !

    Mardi 24 janvier 2017 - 14h20

    Un très gros ange passe, sans même rompre le silence qui s'est abattu sur le salon. Lise et moi réfléchissons sans nous regarder, je sais qu'elle n'a pas envie de m'humilier ou de me faire souffrir, mais, la règle du jeu établie par Annie est claire et très sévère : la plus perverse va gagner ! Alors, autant ne pas perdre !

    Lise demande à Annie : « Madame, je peux vous poser une question ? S'il vous plaît ? ». « Ça dépend : ta question concerne le jeu que je vous impose ? ». « Oui, Madame ». « Vas-y Pute Lise, je t'écoute ». « Merci, Madame, je suppose que pour l'éducation de Loréna, vous disposez, ou elle dispose d'accessoires sexuels, qu'elle connaît bien. Pour établir l'égalité, pourrais-je les voir ? Merci de m'avoir écoutée, Madame ».

    « Ta question est intelligente et fondée, tu vas accéder à sa panoplie de jouets et de sex-toys, mais pas pour cette première épreuve pour laquelle, je préfère des propositions d'humiliations très cérébrales et perverses, sans aucun accessoire. Cela dit, je vais rallonger votre délai en fumant une deuxième cigarette pour que vous teniez compte, toutes les deux, de cette réponse à ta question Pute Lise ».

    Nous la remercions de concert et reprenons notre réflexion, pendant qu'Annie prépare sa deuxième cigarette.

    Quand elle l'écrase elle nous dit ! « Putain Loré, je t'écoute ». Je m'approche d'elle, me penche à son oreille : 

    « Merci de me permettre une suggestion, Madame : j'ai appris de vous que vous aimez retarder le plus possible le moment de voir vos soumises nues, je vous propose donc que Lise reste habillée, mais, que, comme nous sommes toutes les deux visiblement très excitée, vous lui donniez l'ordre de me lécher la raie du cul, l'anus et le con, en passant sous ma jupe, ou en la relevant, dans les positons que vous nous imposerez. Pendant que je me masturberai le clito, jusqu'à vous annoncer ma jouissance prochaine, que vous déciderez d'annuler ou d'accepter, je pense que Lise et moi seront encore plus excitées, et que vous pourrez passer à des épreuves plus excitantes pour vous et plus dures pour nous, merci de m'avoir écoutée, Madame ! ».

    « Merci, Putain Loré, à toi Pute Lise ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 14h40

    Lise est beaucoup plus longue que moi à expliquer son idée à l'oreille d'Annie qui sourit plusieurs fois. Je suis un peu soucieuse, je ne la connais pas du tout, peut être est-elle la plus cérébrale des trois !

    Elle revient à mes côtés et Annie allume une autre cigarette, m'ordonne de lui servir un café et fume en le dégustant, tout en réfléchissant, visiblement elle a du mal à faire son choix.

    Elle se décide finalement et annonce que c'est la suggestion de Pute Lise qui l'excite le plus. Je regarde Lise, elle sourit, visiblement très fière d'avoir été choisie pas notre Maîtresse !

    Elle m'ordonne de me mettre à côté de la table ronde du salon. Et me dit ce qui va se passer : « Putain Loré, Pute Lise ferait une bonne Maîtresse Lise, et tu vas apprécier ses talents ! Tu vas commencer par enlever tes escarpins que tu vas bien aligner sur ta table ronde. Bien, comme ça ! A présent, tu t'assieds sur la table et, délicatement, sans les filer, tu enlèves un par un tes dim-up que tu vas bien dérouler avant de les ranger à côté de tes chaussures. Voilà, doucement, ne file pas une maille, ils sont trop beaux ! »

    Elle me laisse terminer en s'adressant à Lise : « Pute Lise, mets toi debout à ma droite. Recule toi un peu, encore un peu, voilà, c'est parfait. Je te vois bien et toi, tu vois, Putain Loré m'obéir ! C'est au tour de ta jupe, Putain Loré, dézippe la doucement, comme elle est un peu ajustée, tortille bien ton cul comme sur un trottoir devant la gare et fais la glisser à tes pieds, reste comme ça pour ma caméra et pour que Pute Lise te mate bien ! Très bien, à présent, tourne toi. Tu vas nous offrir ton cul, et l'ouvrir de tes deux mains, Pute Lise ne connaît pas encore ton trou à merde, que, j'espère, tu-as soigneusement récuré ! ».

    Juste avant de me retourner, je constate que le visage de Lise a un peu rougi de me voir exécuter ce strip-tease qu'elle a elle même suggéré ! Annie prend son temps pour zoomer sur mon anus largement exhibé que Lise mate avec désir ! Elle doit penser que cette nouvelle recrue n'est pas si sainte que ça !

    « Putain Loré, reste comme tu es, dos tourné, tu vas déboutonner ton chemisier, le faire glisser sur tes épaules et bien te cambrer pour que tes nichons pointent ! ». Elle me laisse le temps et quand elle me sent prête, elle me donne l'ordre de me retourner lentement et de regarder Lise dans les yeux.

    Je me retourne, et, dévoile à ma collègue, mes nichons aux bouts lourdement et douloureusement écrasés. Un « Oh », de surprise s'échappe de ses jolies lèvres et je croise son regard triste. Elle vient de comprendre que, depuis son arrivée, je souffrais des nichons sans me plaindre.

    Annie reprend de suite le contrôle et me gifle moralement : « Tu vois, Pute Lise, je te l’avais annoncé : regarde les grosses mamelles de cette vache à lait, avec ses gros bouts qui bandent tellement que je suis obligée de les dissimuler dans des écraseurs, son petit ventre avec deux bourrelets de graisse, son cul de salope qui porte les stigmates de toutes les pines qui l'ont enculée ! Cette vieille catin t’excite toujours ? ».

    Lise ne réfléchit pas un seul instant : « Oh oui, Madame, je la trouve très belle et elle m'excite terriblement, vous êtes trop dure avec elle ».

    En souriant, Annie se lève, s’approche d'elle et la gifle méchamment de trois allers-retours puissants qui lui marquent les deux joues, sans que Lise ne fasse rien pour les éviter. En la contredisant, Lise savait ce qui l'attendait et était d'accord pour en payer le prix : « Je n’aime pas être contredite salope ».

    Elle m'ordonne d'enlever complètement mon chemisier et de le déposer comme le reste sur la table et de revenir de la salle de bains avec le baume apaisant pour que Lise s'en mette sur les joues.

    Mais, Annie est en colère et, en nous disant : « Pute Lise a pris la liberté de me contredire, je ne vois pas pourquoi je dois respecter toutes mes promesses, donc, je vais tenir la première : Putain Loré, à poil et nichons écrasés, tu vas conduire Pute Lise à ton armoire, et lui faire un inventaire de ta panoplie d'esclave-maso. Quand Lise te dira qu'elle a tout noté, et, là, je ne tiens plus ma promesse, tu vas prendre ton gros gode noir ceinture à picots que tu déposeras sur ta table, et tu reviendras à ta place ! ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 15h00

    Corps nu, seins pincés et yeux baissés, je prends Lise par la main et la conduit devant mon armoire : « Voilà ma collection, Lise ».

    Elle s'approche, n'hésite pas à en prendre quelques uns dans ses mains et sourit parfois devant des instruments bizarres ou énormes ! Elle semble tous les connaître et ne s'attarde pas. Elle me souffle qu'elle a juste retenu ceux qu'elle pourrait éventuellement utiliser ! Je pose sur la table le gode ceinture, demandé par Annie, et, nous reprenons nos places.

    « Tu vois, Pute Lise, que ta copine est bien équipée et je t'assure qu'elle sait comment fonctionnent tous ces petits jouets ! Mais, avant de commencer, tu vas allez te mettre derrière Putain Loré, te coller à son dos et à son cul et, comme tu seras bien placée, tu vas mettre tes mains sur ses nichons, et je vais te chronométrer cinq minutes pleines pour lui torturer ses bouts de nichons, en la faisant hurler de douleur, à trois, tu démarres ! ».

    Je sens qu'elle se place derrière moi, pendant qu'Annie décompte, lentement, elle pose ses mains sur mes nichons, prend les écraseurs entre deux doigts de chaque main et au top d'Annie, elle commence à les tordre, à les secouer, à les lever et les baisser brutalement et à gifler mes seins très fort pour qu'ils ballottent dans tous les sens.

    Quand Annie lui dit de stopper, mes hurlements de douleur cessent et sont remplacés par des reniflements de nez, car je pleure comme une gamine et mes jambes flageolent, ne me supportant quasiment plus !

    Annie m'autorise à ôter les deux écraseurs, mais ne parle pas de baume, elle me dit même : « Agenouille toi sur la table ronde, offre tes nichons à Pute Lise avec tes mains, en la suppliant de venir te soigner les tétons avec sa salive et ses dents ! ». Quand Lise a fini d'alterner la douceur et la torture exigées par Annie, je suis au bord de l'évanouissement.

    Annie félicite Lise et m'ordonne de l'aider à s'équiper du gode sans la déshabiller. Nous passons et nous fermons, toutes les deux la ceinture à sa taille, puis la courroie de maintien du gode entre ses cuisses, ce qui froisse sa jupe et dévoile sa chair nue au dessus des bas.

    Annie me dit : « Putain Loré, tu vas t'agenouiller sur le fauteuil, dans la même position qu'avec ton amant, le Chef du traiteur. Pute Lise va t'enculer, comme lui : sans lubrifiant et sans savoir si je la laisserai te faire jouir du cul, mais avec une différence : au lieu d'une grosse pine, ton cul de catin qui ne mérite que ça, va avaler ce monstre à picots ! ».

    Sans avoir envie de répondre ou de me rebeller, je me mets dans la position demandée, en sentant Lise cogner son gode juste à côté de mon anus, je sais que je suis à la bonne hauteur, je relâche tous mes muscles et essaye de bien ouvrir mon anus pour lui faciliter le passage.

    L'entrée du gland me fait hurler. Annie arrête Lise et lui ordonne de récupérer un gode bâillon dans l'armoire et de le serrer le plus fort possible sur ma nuque pour m'empêcher de gueuler comme une hystérique !

    Sitôt posé, elles ne m'entendent plus et je ne peux extérioriser ma douleur que par des torsions indécentes de tout mon corps.

    Quand, enfin, je suis un peu lubrifiée, j'entends Lise gémir de plaisir et accélérer ses allers-retours à présent presque agréables. Je ressens, sans entendre qu'elle prend son pied, mais malgré cette discrétion, Annie s'en est rendue compte ! « Tu m'expliques vite ce qui vient de se passer Pute Lise, avant que je ne change le gode de trou du cul ? ».

    « Oh, pardon, Madame, mais je suis tellement excitée, que cette jouissance m'a échappée, j'ai tenté de l'éviter, mais c'était trop tard, elle a fusé toute seule, je ne suis pas habituée à atteindre des excitations aussi fortes que celles que je ressens depuis mon arrivée, je vous jure que je ne mens pas, Madame, je vous en supplie, ne me punissez pas ! Je ferai tout ce que vous me demanderez sans exception ! ».

    A mon grand étonnement, Annie me demande : « Putain Loré, qu'en penses-tu ? Pute Lise dit-elle la vérité ? Est-elle fiable dans sa promesse incroyable de risque ? Et si je te disais, que j'attendais un seul orgasme de cet enculage superbe, tu me répondrais quoi ma salope ? ».

    « Avant tout, Madame, je vous remercie de me consulter. Je crois que Lise est incapable de mentir, ce n'est pas dans sa nature. Elle vous a fait une promesse et elle obéira ! Vous attendiez un seul orgasme de cet enculage, et vous venez de l'avoir, donc tout est parfait, Madame ! ».

    Lise me murmure à l'oreille : « Merci, Amour, je t'aime ! ». Annie fait semblant de ne pas avoir entendu et lui ordonne de sortir de mon cul, de prendre dans l'armoire un écarteur d'anus réglable. Je dois l'aider pour lui dire de mémoire où il est, car, il ne se reconnaît pas de suite. Yves me l'a beaucoup fait porter pendant quelques mois, mais il a arrêté car il préférait que j'ai un anus resserré pour mieux m'enculer ! ».

    Lise me le pose avec les conseils d'Annie. Pour le moment, il est plus petit que mon gode enculeur. A son sujet, quand l'écarteur est posé, Annie me demande d'aller me doucher pour me laver et me rafraîchir la figure, marquée par cette épreuve, et, en profiter pour nettoyer le gode picots et le ranger dans l'armoire.

    Mardi 24 janvier 2017 - 15h30

    Quand je reviens au salon, humide mais toujours à poil, Annie est dans son fauteuil, occupée à filmer Lise, agenouillée face au mur, dans un coin de la pièce. Toujours habillée, sa main droite glissée sous la jupe, elle se masturbe la chatte avec vigueur.

    Annie lui ordonne de de lever et de se retourner. Je peux lire son envie de jouir sur son visage crispé !

    Annie avance son bas ventre au ras du coussin du fauteuil, roule sa jupe sous laquelle elle n’a toujours pas de culotte et me dit : « Tu sais ce qu'il te reste à faire Putain Loré ? Tu es une gouine rodée, à présent ! ». Je m'approche d'elle à genoux et plaque ma bouche sur ses lèvres intimes en sortant immédiatement ma langue.

    Annie ne peut pas résister, et commente mon obéissance : « Tu vois, Pute Lise, Putain Loré, aimait les femmes avant de me connaître, mais, elle pratiquait peu ! Avec moi, elle apprend très vite à devenir une gouine satisfaisante, dans très peu de temps, elle fera la grimace devant une belle pine droite comme un « i », et n’acceptera plus que des moules de lesbiennes, et peut être même exclusivement la mienne ! Approche toi et observe bien sa technique, avant de nous quitter, tu me lécheras toi aussi, et je veux que tu sois parfaite, dans ce rôle important d'une esclave, si tu veux que je continue à baisser les yeux sur toi ! ».

    Annie est surexcitée, je n’ai jamais senti son clitoris aussi gonflé. Je dessèche ma langue, car, je sais qu'elle l'aime un peu râpeuse, et la fais courir de son petit trou à son gros bouton ! Sans rien oublier au passage et surtout d'avaler ses épaisses secrétions, secrètement fière de ses petits grognements de plaisir discrets.

    Elle demande à Lise ce qu'elle porte sur elle. « Ce que vous voyez, Madame, des escarpins, des bas avec élastiques aux cuisses, un petit gilet, un chemisier classique et une jupette au dessus des genoux et, ce que vous ne voyez pas : un soutien gorge balconnet bleu ciel et un tanga assorti, c'est tout, Madame ».

    « Très bien, Pute Lise, tu vas profiter que Putain Loré ne peut pas te voir, pour te mettre à poil, en commençant pas le haut pour terminer par tes bas, avant de remettre tes escarpins. Mets toi, là où était Putain Loré, pose tes affaires sur les siennes, et montre moi ton corps de pute ! Allez, le gilet ! Et arrête de rougir, tu te doutais tout de même, que tu n'allais pas passer l'après midi habillée ! Salope ! ».

    « Oui, bien sur, Madame, excusez moi, mais j'ai un peu honte, je me mets rarement nue devant d'aussi jolies femmes que vous ! ». « Tes compliments ne changeront rien, allez ton chemisier ! Beau soutif, en effet, fais sortir tes tétons par dessus les bonnets : Pfffffff ils sont minuscules, dis moi vite qu'ils grossissent s'ils sont chatouillés ou torturés ? ». « Oui Madame, je vous rassure, ils quadruplent facilement de volume ! ».

    « Ouf, car avec cette taille, je ne voyais pas où leur poser des pinces lestées ! Je suis rassurée, allez jette ton soutif et fais un tour sur toi même pour que je te vois bien, il est vrai que ton corps de jeunette est appétissant et me fait mouiller, mais je crois que je vais préférer tes réactions, allez, fais tomber ta jupe, j'ai hâte de voir ta cramouille et ton trou à merdes ! ».

    La langue douloureuse de lécher aussi fort le con d'Annie, j'imagine ma pauvre Lise rouge de honte, baisser sa jupe et sa petite culotte pour s'exhiber en bas et en talons devant Annie. Elle ne doit pas être très à l'aise !

    Mais, en même temps, je sens une forte pression d'Annie sur ma tête, je sais à présent que cette vue de Lise va la faire jouir, et c'est ce qui se passe, toujours dans la discrétion et le silence. Mais l'augmentation de ses jus est bien là pour attester d'un bel orgasme, qui comme d'habitude me remplit de joie pour elle et de fierté de lui servir à quelque chose !

    Elle récupère vite, et demande à Lise de terminer en ôtant ses bas et en remettant ses escarpins pour faire un peu plus pute ! Elle ment comme elle respire et lui dit : « Moi j’aurai droit à sa langue pour jouir, mais toi tu te contenteras de son pied, pour t’envoyer en l’air ! Pute Lise, agenouille toi derrière elle, prends un de ses pieds dans ta main et rentre tous ses orteils dans ta connasse de prostituée. Tu te branles et te pistonnes, pendant que Putain Loré agitera ses orteil dans tous les sens pour bien te masturber jusqu'à ce que tu nous offres une belle jouissance bien bruyante, et si possible en même temps que moi ! Car si je jouis avant toi, tu seras privée de cet orgasme ! ».

    J’ai l’impression que Lise se sert de mon gros orteil pour se branler le clito. Et je suis sure qu'elle suit le moindre rictus sur le visage d'Annie, pour que sa jouissance ne lui échappe pas ! Elle se contente de maintenir son excitation au plus haut de la courbe, mais dès qu'elle voit le visage d'Annie se contracter et se déformer légèrement, stigmates que je connais bien chez elle, elle s'envoie en l'air sous l’œil et la caméra d’Annie en poussant des petits gloussements d’animal blessé.

    Une fois de plus, je réalise et constate, que chaque femme a sa propre signature du plaisir. Annie la suit de peu, gémissant, un peu plus fort que d’habitude, en m’enserrant la tête entre ses cuisses tétanisées, me laissant sevrée d'orgasme comme d’habitude.

    Mardi 24 janvier 2017 - 16h00

    Annie donne le signal d’une trêve :

    « Putain Loré, ne lève pas la tête, Pute Lise va aller dans la salle de bains enfiler un peignoir, je ne veux pas que tu la vois nue, pour le moment ! ».

    Dès qu'elle revient, elle m'aide à me relever et nous dit : « Je vais me doucher, rangez vos jouets. A mon retour, nous allons boire une tasse de café et fumer une cigarette, ça nous fera du bien ».

    Nous sommes heureuses de cette pause, je vais préparer du café à la cuisine pendant que Lise m’apporte une cigarette allumée : « Annie est très dure, mais je suis si heureuse de cet après midi. J’ai encore envie de jouir. Dis moi Loré, je pourrais te voir seule ? ». « Chut ne dis pas ça, elle pourrait t’entendre, je ne sais pas, j'en ai aussi envie que toi, on pourrait essayer si elle s'absente, mais il ne faut pas se faire prendre ! ».

    Je porte la cafetière et Lise le reste du plateau, quand Annie revient, elle aussi en peignoir et toute fraîche : « Hum ça fait du bien, mais les putes n'ont pas droit à la douche ! ». Elle allume une cigarette et boit son café.

    « Bien vous allez vous habiller : une jupette, un petit pull col roulé, pas de sous vêtements, ni de bas, prenez un sac de sport pour emporter deux colliers de cou, huit bracelets de cuir pour les poignets et les chevilles, huit clips, deux plugs, deux vibros, le double gode-vibro que Putain Loré a choisi ! Huit pinces en fer lestées, deux masques de repos et deux ceinturons de cuir à vos tailles et attention de ne rien oublier : celle qui oubliera quelque chose devra aller le racheter, à poil dans le sex-shop d'Issoire ! Vous êtes prévenues ! ».

    Curieusement Annie semble lire une liste écrite, comme s’il s’agissait d’une commande. Je suis un peu inquiète, car visiblement nous allons quitter la maison et donc rencontrer d'autres personnes, mais qui ?

    Nous nous habillons séparément, ce qui m'empêche, encore une fois de contempler Lise nue. Avec quatre choses sur nous c’est vite fait, puis, dans l'armoire, nous prenons un à un les objets qu’Annie nous a demandés : colliers, bracelets, clips, plugs, vibros, gode-vibro double, pinces, masques et ceinturons.

    Nous rajoutons nos portables, et sortons derrière Annie.

    Mardi 24 janvier 2017 - 16h15

    Nous nous asseyons à l'arrière. En démarrant Annie nous dit : « Nous avons un quart d’heure de route, sortez vos vibros et branlez vous mutuellement, jupes relevées. Sans jouir, juste pour vous maintenir bien chaudes ! ».

    Nous nous serrons au milieu de la banquette, ouvrons le sac, sortons les vibros, et relevons nos jupes. Lise le glisse entre mes jambes en le positionnant soigneusement sur mon clito et appuie sur la télécommande pour le mettre doucement en route.

    Je fais pareil entre ses cuisses. Les ronronnements des vibros remplissent la voiture. C’est encore plus excitant que si Annie nous parlait. Elle nous regarde dans le rétroviseur et est visiblement contente de notre obéissance ! Elle rectifie notre sagesse en nous faisant augmenter leurs vitesses de deux positions ! Ce qui transforme notre douce caresse excitante en une lutte pour ne pas s'envoyer en l'air !

    Je regarde fixement Lise, je n’ai aucune idée de l’endroit où nous sommes. Annie ne quitte pas le rétro des yeux et roule prudemment. De temps à autre, des petits cris et des gémissements sourds nous échappent : « Attention, mes putes, pas d’orgasme, et interdiction de décoller vos vibros de vos clitos ! Apprenez à vous retenir salopes ! ».

    Le temps que nous passons à nous retenir sans pouvoir couper les vibrations qui nous taraudent nous paraît incroyablement long. Mais, heureusement Annie nous libère : « Nous arrivons, nettoyer bien le vibro de l’autre avec vos langues et rangez les ».

    Je suce le vibro, encore à la température du con de Lise, et découvre son odeur et son goût que j’aime de suite ! En redescendant sur terre, je constate que nous sommes dans la cour d’un motel, devant lequel je passe de temps en temps, pour aller en courses. Je le croyais fermé, mais, en fait, le parking n’est pas visible de la route, et même à cette heure, il y a quelques voitures devant les chambres.

    Annie se gare devant la chambre 18, sort une clé de sa boîte à gants et nous fait signe de descendre. Nous entrons dans la chambre. Elle semble habituée à cette pièce, car elle ferme les rideaux et allume toutes les lumières.

    La chambre est très spartiate de donc, sans grand confort : un grand lit, une table, deux chaises, un grand miroir mural, un paravent derrière lequel il y a un bidet et un lavabo. Sûrement un hôtel de routiers.

    Annie a apporté sa caméra enfermée dans une boîte de carton. Elle monte sur une chaise et pose le tout sur le caisson des stores. Elle sort son i-phone, se branche sur la web-cam et me demande de m'allonger sur un lit, puis sur l'autre. Toujours perchée sur la chaise, elle règle son objectif, et finit, en me faisant asseoir sur le bidet, toute habillée, et, descend de la chaise, contente du réglage de la web-cam !

    Je sais, à présent que nous allons avoir un ou plusieurs invités et qu'Annie ne perdra rien du spectacle porno qui se prépare dans cette chambre minable !

    « Bien sortez tous vos accessoires et rangez-les sur la table ». Nous nous exécutons : « Pute Lise, serre bien fort le collier de cuir autour du cou de Putain Loré, ainsi que ses bracelets de cuir aux chevilles et aux poignets ». Elle me fait presque mal aux poignets et aux chevilles et j’ai un peu de mal à respirer. C’est à mon tour de régler son collier et ses bracelets : j’essaye de moins serrer, mais Annie me fait de suite rectifier : rien ne lui échappe !

    « Bien à présent, mes petites putes, pluguez-vous mutuellement, jupes bien relevées et culs tournés vers la caméra ». Lise m'a tellement élargi l'anus avec le gode-picot, que même, sans l'élargisseur d'anus qui est resté à la maison, je sens que mon petit trou n'est pas encore refermé, et je suis la première à me pencher, jupe levée, pour proposer mes fesses à Lise qui, en effet, n’a guère de mal à introduire le plug jusqu’à sa protection en latex. Puis c’est son tour, je dois un peu forcer, mais avec un petit cri, son anus l’accepte en totalité.

    Annie prend deux chaises qu’elle met, dos à dos au milieu de la pièce devant le miroir, en nous ordonnant de nous asseoir. Telles que nous sommes, nous pouvons nous voir dans le grand miroir mural, juste en tournant un peu nos têtes. Annie prend les clips et relie mon poignet gauche au poignet droit de Lise, en s'arrangeant pour bloquer le tout, dans un des dossiers de chaise.

    Elle fait pareil avec les autres poignets, en nous mettant donc dans l’impossibilité de nous lever l’une sans l’autre, à moins d'emporter les chaises avec nous ! Elle relève nos jupes à mi cuisses et nous les fait écarter. Ce que nous faisons, tout en notant la position indécente que nous renvoie notre image dans le miroir.

    Pour finir de nous mettre mal à l'aise, elle se met debout devant chacune de nous, roulent nos pulls vers le haut, dénudant ainsi nos seins en dévoilant bien nos tétons. Contente de cette mise en scène, elle m’embrasse longuement sur la bouche me faisant frémir d’excitation et de plaisir et fait pareil à Lise sans que je ne puisse connaître sa réaction.

    Puis elle pose les masques sur nos yeux tout en nous disant : « Voilà vous êtes prêtes : rassurez vous personne ne vous reconnaîtra, et si la porte s’ouvre, c’est à quelqu'un à qui j’aurai donné mon accord et la clé, et, pour vous rassurer, je verrai toute la séance sur mon portable et au moindre problème je serai là. Amusez vous-bien, mes putes ! ».

    Et, elle sort de la chambre qu’elle referme à clé derrière elle.

    Mardi 24 janvier 2017 - 16h45

    Le silence de la chambre et nos masques nous oppressent.

    Lise craque la première : « Tu sais ce qui vas nous arriver Loré ? ». « Je suppose qu’Annie nous a louées à un ou des clients ». « Louées ? Tu veux dire prostituées ? ». « Oui c’est un des termes ». « Oh que j’ai honte ! J'ai lu que ça faisait partie de la soumission, mais je ne pensais pas qu'Annie irait si loin pour une première fois ».

    « Je m'en suis assez vite doutée, car elle nous a peu traitées de salope ou de catin, mais depuis ton arrivée elle utilise les termes de « prostituée, Putain Loré et Pute Lise », rassure toi, ma chérie, ce sera la troisième fois que je me prostitue pour elle, je peux te dire qu’avant chaque séance, j'ai paniqué comme toi, que pendant, je me suis peu à peu laissée faire jusqu'au plaisir et, qu’immédiatement après, j'ai eu horriblement honte, mais que depuis, je me rappelle toutes les séances en détail, et je fantasme dessus des heures entières ».

    « Mais, s’ils nous font l’amour sans préservatifs ? ». « Tu sais, je crois que, compte tenu du sens du détail d'Annie, ce seront plus des dominants que des baiseurs et Madame Annie veille sur nous ne l’oublie pas ». « Oui mais je t’avoue que je ne suis pas rassurée ! ». « Tu veux que je te dise que je suis zen ? ».

    Elle arrive à rire : « Non je m’en doute ». « Tu sais Lise : dis toi une chose : au point où nous en sommes, la marche arrière est interdite alors autant que ça se passe bien, tu ne crois pas ? ». « Oui je crois que tu as raison ! On ne peut rien faire d’autre que d’attendre, et essayer que ce qui doit nous arriver se passe au mieux ! ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 16h50

    La clé tourne dans la porte. Nous sommes toutes les deux paniquées et nous nous serrons très fort les mains. Nous sentons bien des présences dans la pièce, il me semble que ce sont des pas d’hommes, mais combien sont ils ?

    Aucun mot n’est échangé. Je sens des déplacements d’air autour de moi, mon intuition me fait penser qu’ils sont deux. Deux mains relèvent ma jupe et m’écartent les cuisses : « Celle là est rasée et la tienne ? » dit une voix d'homme. Un autre homme lui répond : « La mienne est une vraie blonde, peu poilue mais elle a un beau petit con ».

    « Je ne faisais pas trop confiance à la maquerelle, mais il faut reconnaître qu’elles sont bonnes et qu’elles valent les 600€ qu’elle nous a fait raquer ! ». « Qu’est ce que tu en penses Chérie ? ». Chérie ! Ce sont des pédés ?

    Mais une voix féminine curieusement éraillée lui répond : « Je pense que ce sont des occasionnelles, et que la femme n’est pas une maquerelle mais simplement leur Maîtresse et qu’elle fait ça pour les surexciter et les humilier. Tu peux les imaginer rangeant leur petit matos dans leur sac pour venir faire leur petite passe de bourgeoises vicieuses dans un motel borgne ? Elles doivent être mouillées comme des fontaines ! ».

    Les hommes rient : « Oui tu as raison ! ». « Et en, plus regardez la mise en scène, elle nous sont livrées dans une position bien obscène, bien attachées, cuisses super ouvertes, nichons nus, avec tout ce qu’il faut sur la table pour nous occuper d’elles, je suis sure qu’en plus, elles sont très masos ! ».

    J’ai peur que la femme ne soit la plus redoutable de nos partenaires : elle a parfaitement deviné la situation. C’est en fait elle, la dominante du groupe et sûrement la plus vicieuse. Quelques murmures, une conversation que nous ne pouvons pas entendre, visiblement ils se concertent. Une main se glisse entre nous deux et défait les attaches de nos poignets : « Levez vous, baissez vos pulls, tenez droites, et suivez la voix pour être bien face au lit ».

    Nous nous exécutons et l’un des hommes nous interroge : « Toi la blonde, âge, nom et pute depuis quand ? ». Lise me prend la main, visiblement angoissée et elle répond d’une petite voix : « 25 ans, Lise et c'est la première fois, Monsieur ». J’entends le bruit d’une énorme claque et le hurlement de Lise. « La première fois ? Sale menteuse ! Tiens, à genoux sale gouine et avale ma pine de taureau, ça t’apprendra à mentir ».

    J'entends des bruits de lutte, visiblement Lise se débat, mais elle finit par ne plus rien dire, la bouche probablement pleine de la bite de l’homme qui l’interrogeait.

    Pendant que Lise pompe, l’autre homme prend le relais : « Toi la brune, mêmes questions ! ». « 35 ans, Loréna et ça fait trois semaines que je me prostitue, mais je vous jure que Lise vous dit la vérité ». « Vérité ou pas on s’en fout, ce que je peux t’assurer, c’est que ce n’est pas sa première pipe ! Elle suce comme une pro ! ». « Fais du bruit, sale putain, pour que ta collègue entende bien ton talent de pipeuse ! ». Lise salive un peu plus et j’imagine très bien la bite coulisser dans sa bouche.

    Mardi 24 janvier 2017 - 17h00

    La femme dit : « Pour des putes débutantes, mais de vraies soumises je ne les trouve pas bien éduquées : j’aimerais bien que chaque réponse soit suivie d’un « Oui, Monsieur » ou d’un « Oui, Madame ». Qu’en pensez vous les garçons ? ». « Oui, c’est une bonne idée : tu as compris pouffiasse ? », dit-il en s'adressant à moi.

    « Oui Monsieur, j’ai compris ». « C’est parfait comme ça. Enlève ton pull, qu’on voit tes nibards de veille salope ». « Bien, Monsieur ». Je fais passer mon pull par dessus ma tête leur dévoilant mes seins nus. La femme rit : « Tu sais que tu as des mamelles pendouillantes de vieille, sale traînée ? ». « Oui Madame, je le sais, j'ai la poitrine de mon âge ».

    « Et tes passes ne te rapportent pas assez de pognon pour te faire refaire les nichons ? Pas grave, fais toi durcir les bouts en les tordant, dis moi si tu aimes te branler les bouts et quels avantages tu as par rapport à ta petite collègue ? ». « Oui Madame, j’aime me branler les bouts. Mes avantages ? Je ne sais pas Madame, c’est en m’utilisant que vous les découvrirez sûrement ».

    Je prends à mon tour une paire de gifle : « Sale garce, ce n’est pas une réponse, tu frises l’insolence : alors réponds moi vite par oui ou par non : tu es plus endurante ? » : « Oui Madame je crois ». « Plus vicieuse ? » : « Oui Madame ». « Moins de tabous ? » : « Oui Madame ». « Quels sont tes tabous sale pute ? ».

    « Les marques, le sang, les blessures, les jeux avec des mineurs ou avec du caca, Madame ». « Ce qui signifie que, si on était venu avec un chien, tu aurais aimé le pomper et qu'il te baise en levrette comme une chienne, tu aurais bu son foutre et tu l'aurais accueillie dans ton con ? ». « Oui, Madame ». « C’est bon à savoir pour la prochaine fois ! ». « Tu es sure de n’avoir oublié aucun tabou ? ». « Je ne pense pas, Madame ? »

    « Tu ne m’as pas parlé de pisse ! », « Oui Madame, avec raison ! ». Elle éclate de rire : « Eh, les garçons, qui a envie de pisser ? ».

    Un des hommes répond : « Moi ». C’est l’homme qui a sa pine dans la bouche de Lise, il sort sa queue et en me tirant par les nattes, il m'agenouille à ses pieds, me gifle violemment les joues, avec sa bite, pour faire débander et peu, et, quand il sent qu’il peut pisser, il pousse sa bite à demi-molle dans ma bouche, me pince le nez avec deux de ses doigts et me pisse dans la bouche ouverte, comme s’il était face à un urinoir.

    Heureusement son flot est intermittent et j’arrive à tout avaler au fur et à mesure : « Tu t’éclates sale traînée ! » me dit la femme, je dois faire oui de la tête, tout en avalant la pisse qui a une forte odeur de bière. Il fait tomber les dernières gouttes sur ma langue et murmure : « Sacré urinoir, je l’emmènerais bien partout avec moi ! ». Ils rient tous les trois alors que j’essaye d’éviter une nausée tout en regardant la mine déconfite de Lise

    Mardi 24 janvier 2017 - 17h10

    « Allez les salopes : debout et à poil, sans oublier votre éducation ! ».

    « Bien, Monsieur ». Je me débarrasse de ma jupe et fais mine d’ôter  mes souliers : « Non gardez vos souliers, vous serez plus bandantes ! ». Je me redresse, nue, face à eux et j’entends des froissements d’étoffe : je suppose que Lise se débarrasse de ses derniers vêtements.

    La femme, que j'imagine relativement âgée, s’adresse à moi : « Suis ma voix, quand tu penses être face à moi, agenouille-toi et cherche mon pied nu ». « Bien Madame ». Je change un peu de positon et me mets à genoux après avoir trouvé son pied, nu, chaud et odorant : « J’ai mis, pour toi, des souliers fermés sans bas : renifle les comme une chienne curieuse ». Je me penche et pose mon nez sur son pied, qui sent en effet très fort.

    « Tu dois aimer cette odeur sale traînée ? ». « Oui Madame, j’aime beaucoup votre odeur de pied, elle m'excite terriblement ! ». « Alors suce moi bien, et insiste entre les orteils : j'adore ça ! ». Sans répondre, je lèche, malgré l’odeur épouvantable qui me donne envie de vomir.

    Un des hommes, qui doit mater, annonce : « Hum ça me fait triquer de voir une pute aussi vicelarde ! Toi la blondasse, viens par-là : tu vas t’empaler sur ma pine ! J'ai envie de me vider les couilles ! ». J’entends Lise accepter d’une toute petite voix : « Bien Monsieur ».

    « Non pas comme ça tourne moi le dos ! ». Lise doit se retourner sans trop le vouloir, et l’homme la voyant pour la première fois de dos, lui demande, de suite : « Mais qu’est ce que tu as dans le cul sale catin ? ». « Nous avons toutes les deux un plug dans le cul, Monsieur, pour vous prouver notre accessibilité totale ».

    Pendant que la femme me retire son pied de sa bouche, pour sentir avec ses orteils, que, moi aussi, je suis profondément enculée, avant de rajouter : « Hum quelle bonne idée de votre Maîtresse ! En attendant, la pute empalée, rentre tout ce que tu peux de sa bite dans ta connasse, toi ma pute suceuse de pieds, finis moi l'autre ! ». Nous œuvrons toutes les deux et Lise gémit en murmurant : « Oh oui Monsieur ». Visiblement bien remplie.

    Les séances des pieds et de la pine se prolonge. Visiblement, la femme aime me voir accroupie à ses pieds, avec ma langue sortie pour lui nettoyer et même lui récurer ses pieds. Quant à l’homme, il doit se régaler de coulisser dans le vagin d'une aussi jolie fille que Lise.

    La femme m'interrompt : « Ça suffit, redresse-toi et viens découvrir mon corps avec tes mains, vas-y gouinasse ! Tu dois tout caresser ! ». Je me redresse et passe mes mains sur tout son corps, mes mains confirment ce que mon intuition me proposait : des cuisses potelées, une chatte trop poilue et dégoulinante, des grosses fesses rebondies, un ventre avec un nombre incalculable de bourrelets de graisse et des nichons en berne. C'est sur qu'elle a plus de cinquante ans !

    Moralement, je dédis cette séquence à Annie qui cherchait une vieille pute cassée par la vie pour m'humilier ! Que répondre à son pathétique « Je te plais gouinasse ? ». Sinon un : « Oh oui, Madame, vous me faites mouiller comme une folle ! ». Elle en rit, me remercie pour l'illusion que j'ai essayée de lui donner, et complète par : « Je t’ai donné mes pieds à sucer, mais c’est ta collègue qui aura le plaisir de me bouffer la chatte, sans me caresser le corps, rassure toi : toi, tu auras le plaisir de servir de récipient à foutres à mes amis ! ». « Allez la blondasse, ça suffit de te faire niquer, viens par ici ».

    Guidée par les hommes, Lise nous rejoint. La femme la fait s'agenouiller à côté de nous et demande aux hommes de lui passer quatre pinces en fer lestées. Pendant ce temps là, elle me lèche et me mordille un téton : « Dis moi que je te fais bien bander des tétons, sale gouine ! ». « Oh oui, Madame, vous me faites durcir les bouts et je préfère les femmes aux hommes, Madame ! Je suis une vraie gouine ».

    Estimant que mon téton est suffisamment dur, elle y pose la première pince en m’obligeant à la remercier à haute voix : « Oh, Madame, merci de torturer mon bout de mamelle ! ». Comme mes mains sont vides, les deux hommes viennent se placer à mes côtés, ils sont beaucoup plus grands que moi et doivent plier un peu les genoux pour faire en sorte de glisser leurs queues dans mes mains tout en me disant à l’oreille :

    « Branle nous bien, gouinnase qui n'aime que les clitos ! ». La femme sûrement, très excitée de me voir branler deux bites, me mord un peu plus cruellement l'autre bout, avant d'y poser l'autre pince tout en m’obligeant à la remercier une nouvelle fois.

    Mardi 24 janvier 2017 - 17h30

    Un filet de mouille coule de ma chatte, mes tétons me font horriblement mal mais je me concentre sur les deux sexes que je dois branler alors que j’entends des bruits de salive : sûrement la bouche de la femme sur un des tétons de Lise. Quand je l’entends crier et remercier en même temps, je sais qu’elle a un téton pincé. La femme prend tout son temps avant de poser la quatrième pince.

    Elle dit aux hommes : « Admirez ces deux belles putes, seins torturés ballottant au gré de leurs mouvements ! Nous allons jouer avec elles ! Mettez les debout, face à face ! ».

    Le lit grince, la femme doit se lever. Elle me décolle de Lise et me pose un clip sur chaque anneau de mes pinces. Puis, elle recolle Lise contre moi et se sers de mes clips pour récupérer les anneaux de Lise et relier ainsi nos tétons entre eux, sans que nous ne puissions nous séparer sans nous déchirer les tétons : « Allez les femelles en chaleur, pelotez vous mutuellement vos culs avec vos mains droites ».

    Consciente du spectacle super humiliant que nous offrons, nous nous pelotons les fesses, très excitées malgré la douleur de nos tétons. Elle continue à diriger le jeu : « Posez votre main gauche sur la chatte de l’autre, et branlez vous ».

    Lise est trempée et moi je dégouline : « Et maintenant gouinez vous la bouche, je ne veux pas un baiser mais je veux que vous vous léchiez comme des bêtes avec de la bave qui coule sur vos nichons et du bruit, et, en même temps, chacune va sortir le plug du cul de l'autre, et, juste après une petite pause, vous vous enculerez mutuellement le plus sauvagement possible !».

    « Vous voyez les amis ce ne sont pas des professionnelles : même des putains de rue n’accepteraient pas de faire ça ! Regardez les se branler la chatte, s’enculer et se lécher la bave qui coule de leur bouche en faisant attention de ne pas se mutiler les bouts de mamelles ! ».

    Le silence se fait : seuls nos bruits obscènes résonnent dans la pièce. La femme dit : « Moi je vais me toucher en les regardant. Vous, il vous reste quatre pinces lestées à leur poser : une sur chaque grande lèvre vaginale, et n'hésitez pas à pincer un gros paquet de chair, toute cette partie de ces putains est très érogène ! Et, après, vous avez des ceinturons de cuir sur la table : allez y amusez vous et visez là où ça fait mal ! Ces chiennes sont masos et aucune d’elle ne voudra céder avant l’autre ! Allez y mais sans trop les marquer comme me l'a demandé leur propriétaire ! ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 18h00

    La douleur est difficilement supportable : à chaque sifflement d'un ceinturon qui va s’abattre sur une cuisse, une épaule, un dos ou même une tête, nous ne pouvons nous empêcher de nous reculer pour essayer d’échapper aux coups, ce qui nous tend encore plus les tétons.

    A présent, nos culs sont bien lubrifiés et les plugs glissent facilement dans nos fesses, Lise va même jusqu’à ressortir entièrement le mien pour me le replonger dans les fesses d’un coup sec. Il n’y a pas de compétition entre nous.

    Le mélange de douleur, d’humiliation et de plaisir nous a mit dans le même état, et nous enchaînons les orgasmes en mêlant nos cris de plaisir à nos cris de douleur. J’ai joui deux fois et les cris de Lise me font penser qu'elle en est à trois ! De son côté, la femme s’est envoyée en l’air, toujours aussi vulgairement, en poussant des cris de truie.

    « Je pense que ces putes prennent leur pied dans la douleur tellement elles sont masos, je vais leur montrer ce qu'est la vraie douleur ! ».

    Elle s’approche de nous, détache nos seins, nous quitte les plugs et enlève nos pinces en fer.

    « Toi la brunette, agenouille toi, et toi la blondasse, immobilise lui les poignets dans le dos d'une main, et de l'autre tu lui tires les nattes vers l'arrière, pour que ses nichons pointent bien et tu comptes doucement jusqu’à vingt ! ».

    Lise n'a pas compris ce que la femme cherchait à faire, elle me bloque les poignets, me tire les cheveux de toutes ses forces, et, toujours aveuglée, quand elle dit « un », elle ne voit pas le ceinturon cingler mes seins, sans que la femme ne retienne son bras.

    Dès le « quatre », je la supplie avec des sanglots dans la voix. Lise n'ose plus compter, plus tard, elle m'avouera qu'elle est sure que ces coups m'ont marqués la chair.

    La femme me laisse un peu me calmer et m'insulte : « Voilà ce que peut endurer une vraie maso, sale conne, tu peux pleurer, tu recevras tes vingt coups et tu devras expliquer à tes clients pourquoi tu fais tes passes sans enlever ton pull ! J’ai envie de te frapper avec la boucle tellement une raclure comme toi me donne envie d'être sadique ! ».

    Sa voix est hystérique, je la sens surexcitée et je pense qu'elle ne ralentira pas ses coups : elle cherche à me marquer et à me faire mal. Un téléphone portable sonne, la femme décroche, ne dit rien, elle raccroche, et, sans aucun commentaire, elle dit aux deux hommes : « Arrangez-vous avec la brune, moi je prends la blonde ! ». 

    J'ai mal au cœur pour Lise, qui va devoir gouiner cette femme qui va sûrement se mettre à poil, pour lui offrir son corps quasiment obèse, ses bourrelets de mauvaise bouffe, sa vulgarité et sa chatte poilue au jus fétide et nauséabond par manque d'hygiène !

    J'ai presqu'envie de lui demander de laisser Lise aux hommes, tellement je crains qu'elle ne garde un mauvais souvenir de cet accouplement hors nature. Mais, un bras d'homme m'empoigne le bras, m'assied sur une partie du lit, se couche sur le dos et me dit : « Viens t’empaler sur moi, et enfonce bien ma bite dans ta connasse de pute : je vais te la remplir et mon ami va te défoncer la rondelle, tu vas adorer être remplie par deux mâles virils. Ça va sûrement te changer de tes autres clients ! ».

    Sans rien dire, je me rapproche de lui, enjambe ses cuisses et m’assieds en guidant son sexe dans le mien, je suis trempée, il s’enfonce en moi avec un bruit presque obscène.

    De son côté la femme appelle Lise : « Allez la blondasse, montre moi ce que tu sais faire avec une femme, et n’oublie pas que j’ai une chatte, mais aussi un trou du cul ! ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 18h15

    L’homme me pétrit les seins en entrant et sortant son énorme queue de mon vagin en feu. Du côté de Lise, j’entends des bruits de succion, j'espère qu'elle est trop excitée pour imaginer ce qu'elle lèche, mais je suis un peu rassurée car, elle a l'air de bien sortir, et fait même gémir la baleine sur son lit.

    Le deuxième homme ne prend même pas la précaution d’humidifier mon anus : il m’encule d’un seul coup de rein en me tenant par les hanches. Sans pause, Il ressort son sexe et se renfonce en moi, et peu à peu les deux hommes coordonnent leurs pénétrations.

    Je suis obligée de gémir, il est assez rare que je me sente aussi bien remplie, je sens dans mes entrailles les deux sexes qui se frottent contre la fine peau qui les sépare : « Hum je crois que cette salope ne va pas tarder à s’envoyer en l’air. J’ai l’impression que nos deux bites lui plaisent bien ! ».

    L’homme me serre les tétons entre ses doigts et les tord en me faisant hurler. La femme rit : « Vous savez les hommes qu’elle est en train de jouir ? Tu aimes te sentir remplie dans tes deux trous de chienne, hein ma truie en chaleur ? ». Entre deux hurlements de plaisir, j’ai du mal à lui répondre : « Oh oui, Madame : ils me remplissent les trous et je jouis comme rarement ! ».

    La femme ne s’occupe plus de moi et se concentre sur son propre plaisir demandant à Lise de la lécher plus fort et plus sauvagement. J’entends Lise couiner malgré sa bouche collée à la chatte de la femme.

    Celui qui m’encule est le premier à jouir, il se colle à mes fesses et éjacule longuement au fond de mes intestins, il débande à peine et reste enfoncé en moi attendant que son ami explose dans mon ventre. Je suis tellement excitée que je jouis une seconde fois les tétons tordus par l’homme qui n’en peut plus et lâche tout dans mon ventre : « Régale toi putain je suis sur que tu n’as jamais eu autant de foutre en toi ».

    La femme prend son pied à son tour en jouissant bruyamment.

    Les hommes me libèrent après le nettoyage de leurs bites, je me suis appliquée à les laisser bien nets.

    La femme se relève : « Habillons nous : on va y aller ! Toi, la brune, finis ta collègue à la main, je crois que c’est la seule à ne pas avoir pris son pied et il ne faut pas la dégoûter ! ». Ils finissent de se préparer, alors que je m'assieds à côté de Lise. Je lui caresse le visage qui dégouline de la cyprine de la femme.

    Elle caresse ma main que je pose entre ses cuisses pour et la masturber. Son clitoris ultra sensible est prêt à exploser et sa chatte dégouline. Elle se met à gémir dès les contacts plus intimes et plus précis de mes doigts et de ma paume.

    Les hommes et la femme retardent leur sortie, captivés par le spectacle que Lise leur offre en bouquet final. Fascinés, ils regardent son visage déformé par le plaisir et sa main qui caresse tendrement ma main qui la branle doucement. Je la fouille de trois doigts alors qu’un quatrième caresse son clito. Elle cède d’un coup et jouit bruyamment en faisant sourire les deux hommes et la femme qui conclut : « Vous êtes vraiment des machines à jouir. J’espère que nous nous reverrons mes salopes ».

    Et ils quittent la chambre. Lise m’embrasse tendrement sur la bouche. Je lui rends son baiser sans tenir compte de sa bouche et de ses lèvres gluantes du jus de la grosse femme.

    « Viens on va se laver un peu ! Je me sens très sale ». Lise rit et nous passons derrière le paravent pour nous rafraîchir en utilisant le lavabo et le bidet. Nous sommes un peu plus fraîches quand Annie rentre dans la chambre en souriant : « Et ne me dîtes pas que vous n’avez pas aimé ! Car je serais obligée de me fâcher ! ».

    Nous devons reconnaître que cette séance laissera des traces dans nos mémoires en regrettant toutefois qu’elle laisse autant de traces sur nos corps et surtout sur nos seins : « C’est de votre faute, comme je te l’ai dit ma pute, tu attires plus les coups que les câlins ! Mais un peu de mon baume vous calmera, allez rhabillez vous, on s’en va ».

    Elle monte sur une chaise et récupère sa caméra. Nous nous rhabillons, remettons nos affaires dans le sac et sortons ensemble de la chambre.

    Mardi 24 janvier 2017 - 18h50

    Nous nous asseyons derrière et Lise avant de démarrer se retourne et nous donne à chacune 300€ : « Tenez mes petites putes, vous les avez bien mérités ! ». Lise est cramoisie en mettant la liasse dans sa poche, je lui caresse la main pour la rassurer en faisant pareil avec ma part !

    L’ambiance dans la voiture est très partagée : Lise et moi ne disons pas un mot mais Annie semble d’humeur joyeuse. Sans doute est elle contente de sa moisson d’images qui va alimenter Tom. Elle rentre directement à la maison par le chemin le plus court.

    « Mes petites on a un problème d'horaire, nous avions décidé d'une séance de 13h à 19h, or il est 19h. Par un simple appel à mon mari, je peux me libérer jusqu'à 20h, et Lise ? ». « Parfait pour 20h, Madame ». « Et toi Loré ? ». « Je n'ai aucune obligation ! ». « Bien, Loré, on sera chez toi dans cinq minutes ! ».

    Mardi 24 janvier 2017 - 19h05

    Nous entrons chez moi, Annie me dit qu'elle prend la salle de bains d'amis et qu'elle nous laisse la mienne : « Allez vous laver, vous puez le sexe et la jouissance à dix mètres, séchez vous bien, passez vous mutuellement du baume et dans moins d'un quart d'heure, rejoignez moi à poil dans ton bureau ».

    Nous ne sommes pas mécontentes de nous laver soigneusement et de nous rafraîchir. Lise se montre très entreprenante sous la douche, tenant à me savonner l’entre jambe, les fesses et les pieds. Nous en rions en flirtons comme des ados, puis, nous nous séchons, et, nues, comme demandé par Annie, nous la rejoignons dans mon bureau.

    « Ah vous sentez bon : c'est mieux ! ». Je me rends compte qu’elle est en train d'envoyer le film de l’après midi à Tom, mais, comme elle ne dit rien à Lise, je ne prends aucune initiative.

    Elle est en même temps sur mon Messenger et lit les nombreux messages que j'ai reçu sur bdsmissoire@. Elle demande à Lise : « Toi qui a pris contact avec nous de cette manière, que penses-tu de ce site et de sa fiche ? ». Lise trouve sa fiche très honnête et explicite, personnellement, elle aurait mis des photos plus sages, mais celles que propose sa fiche sont très excitantes.

    Annie lui propose de lire les messages et de noter ceux qui lui semblent intéressants en fonction de leurs perversions, de leurs âges, de leurs disponibilités et de leur 06 ou non : « Ça va me servir à lui trouver des clients ! ».

    Annie pose deux chaises devant l'ordinateur, elle invite Lise à s'asseoir, et après avoir enlevé sa jupe et sa culotte, elle me dit : « Tu sais où est ta place Putain Loré ! Alors, à genoux, et bouffe moi la chatte ! Contrairement à vous je n’ai pas joui, alors applique toi ! ».

    Je m'agenouille et la lèche, elle est déjà bien mouillée. Elle commente quelques messages avec Lise en lui disant : « Sais tu ce que tu es en train de faire, Pute Lise ? ». « Non, Madame, je ne vois pas ». « Tu ne vois pas ? Tu m'aides à chercher des futurs clients pour Putain Loré ! ». Lise ne répond pas, j’entends simplement ses doigts pianoter de temps en temps sur le clavier : « Tiens il y a notre trio de cet après midi, faisant notre éloge en espérant un autre rendez vous avec nous ».

    « Non il nous faut du nouveau, on les recontactera après ! ». Lise prend des notes, peu à peu, elle obtient une liste d'une quinzaine de noms, alors qu'elle n'est pas encore à la moitié de la liste des messages. Mais qu'Annie commence à me remplir la bouche de son jus de femme excitée !

    Mardi 24 janvier 2017 - 19h30

    Elle me caresse la tête comme elle flatterait un chien, je la sens de plus en chaude : « C'est bien d'avoir une secrétaire pour relever les coordonnées de tes futurs clients, tu ne crois pas Putain Loré ? ».

    Sans attendre de réponse, elle prend au hasard un nom dans la liste, et dit à Lise de composer le numéro de téléphone. Elle prend le portable en ouvrant encore plus ses cuisses et le met en mains libres. L’homme décroche après trois sonneries, belle voix grave :

    « Allô ».

    « Bonsoir, Monsieur 48 ans, vicieux et pervers, sado sans marquer ses esclaves ! ».

    L’homme rit : « Oui c’est ça : tu es Loréna ? ».

    « Non je m’appelle Annie, Loréna est ma soumise et pour l’instant elle a mieux à faire avec sa langue entre mes cuisses ».

    Il rit : « J’ai vu qu’elle avait 34 ans, mais est-elle bien éduquée et obéissante ? Je n’ai pas envie de perdre mon temps avec une apprentie soumise ».

    « Je t'assure qu'elle te donnera entière satisfaction ! ».

    « Je dois te faire confiance, quand puis je la rencontrer ? ».

    « Es-tu libre les après-midi ? ».

    « Je peux me libérer mais pour combien de temps ? ».

    « Tout dépendra de tes moyens financiers, elle ne se déplace pas à moins de 200€ de l’heure ».

    « 200€ ! Eh bien ! C’est une pute de luxe ta soumise ! ».

    « Non peut être pas de luxe, mais tu n’ignores pas qu’en bdsm l’obéissance est une perle rare ».

    « Oui c’est vrai je le sais ! Mais ce qui m’excite le plus chez elle, c’est que ce n’est pas une pro. Alors c’est vrai que ça se paye ! Alors disons de 14h à 17h pour 600€, mais pour ce prix là, je la veux chez moi ».

    « Très bien, 3h, chez toi, ma seule exigence, est que son portable reste branché pendant toute la séance ».

    « Je ne te comprends pas ? ».

    « Loréna est ma soumise mais aussi une amie, et je ne veux pas qu’il lui arrive quoi que ce soit, donc je l’appellerai quand elle entrera chez toi et j’écouterai ce qui se passe pour sa protection. Tu as compris ? ».

    « Ah oui c’est très clair, dans ce cas, je suis d'accord, mais rassure-toi je te la rendrai entière ! ».

    « Je l’espère, je t'appelle prochainement pour la date du rendez vous, tu habites dans quel coin ? ».

    « Au nord de Vichy »

    « Ok, alors à bientôt cher Monsieur pervers ! ».

    Il rit encore : « A très bientôt Annie et une bise à Loréna de ma part ! ».

    Et il raccroche. Annie a un peu de mal à parler : les muscles de ses cuisses se contractent de plus en plus, et sa voix est rauque : « On va arrêter, Lise, cet exemple prouve que ta liste est fiable et que les conditions exigées sont facilement acceptées ! ».

    Elle a du mal à terminer sa phrase et en poussant ma tête contre son sexe avec sa main, elle jouit en inondant ma bouche et en me serrant la tête de toute la force des ses cuisses.

    Elle se lève : « Je vais me doucher : puisque vous êtes à poil toutes les deux, faites vous un bon 69, je viendrai, pour le final, peut-être, avec une cravache de cuir ! ».

    Je me couche sur le dos et Lise se met sur moi, tête posée sur mon bas-ventre, nous ne perdons pas de temps, car nous sommes encore dégoulinantes d'envie. Je lui mords presque le clito tellement j'ai envie d'elle et nous nous léchons comme deux truies pour que, sans l'avoir cherché, Annie nous trouve jouissantes en revenant !

    Elle n'a heureusement pas apporté sa cravache ! « Bravo, mes petites putes, je vois que cette journée orgasmique s'achève bien ! « Lise, tu sors avec moi ? ». « Oui, bien sur Madame ! Vous voulez que je vienne chez vous ? ». « J'aimerais te garder pour la nuit, Lise, mais mon mari n'aime pas que je baise le sexe d'un mâle ou d'une femelle ! ».

    Lise rit : « Sûrement un gros jaloux, mais qui se taperait volontiers une petite Lise, au passage, sans se faire voir ! ».

    « C'est exactement ça ! Tu as tout compris, mais avant de partir, j'ai une question, Lise : « Accepterais-tu de nous revoir ? ».

    « Oh oui, avec plaisir, Madame, j’en serais heureuse et fière ». « C’est parfait, je te note dans mes contacts permanents, je t’appellerai quand, Putain Loré aura du temps libre ».

    Annie vérifie qu'elle n'oublie rien, Lise se rhabille rapidement, j'enfile un peignoir pour les accompagner sur le pas de la porte. Annie part la première, à pied, après nous avoir baisé sur la bouche, en nous disant : « Je suis contente que tu te sois régalée, à bientôt ma Pute Lise, je ne tarderai pas à te rappeler ! Quant à toi, Putain Loré, nous avons rendez-vous, jeudi prochain, demain je ne suis pas libre, mais je t'enverrai un mail pour te donner l'heure et le lieu de notre rendez-vous ».

    Lise la double en la klaxonnant amicalement et elles disparaissent dans la nuit. Je rentre chez moi.

    Mardi 24 janvier 2017 - 20h00

    Le téléphone sonne, c'est l'appel quotidien d'Yves qui me raconte sa journée et me confirme qu'il a bien appelé Annie, après moi, hier soir, nous flirtons un petit quart d'heure en ligne et raccrochons.

    Puis j'appelle mes beaux-parents pour avoir des nouvelles de mon fiston, c'est lui qui décroche avec un jovial : « Bonsoir Maman, je t'aime, tu me manques et je vais très bien ! », un vrai résumé de bonheur en quatorze mots !

    Je vais prendre une dernière douche, et séchée et nue, j'ouvre mon ordi et envoie un dernier mail à Annie : « Madame, merci pour cette journée inoubliable, je crois que vous avez en Lise une très bonne future soumise, je vais dormir, mon fixe est débranché mais mon portable est sur ma table de nuit, bonne nuit, votre Putain Loré ».

    Mercredi 25 janvier 2017 - 23h00

    Après une journée tranquille avec Jean, avec qui j'ai mangé chez Mac Do, quelques courses pour rafraîchir le frigo et un peu de ménage en attendant d'être soulagée, je l'espère, dès le début de la semaine prochaine, je rentre dans mes mails avant d’aller me coucher.

    J'ai un message d’Annie : « Putain, tes nouveaux clips font un carton, le rendez vous de demain avec Agnès est à 14h chez elle, mais elle habite dans la banlieue de Vichy. Sois à 13h15 devant le motel de mardi ».

    Je me couche sans envie de me caresser, pour mieux penser à l'après midi de demain qui doit sûrement me réserver de grosses surprises. Même si, Annie, frôle le professionnalisme, il semblerait qu'elle me conduise chez une Maîtresse très expérimentée et plus âgée que nous.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 13h00

    J'ai passé ma matinée à faire mon ménage et un peu de repassage, ce qui m'a occupé l'esprit et m'a empêchée de penser à l'après midi. J'ai hâte d'avoir des appels demain, pour pouvoir convenir de rendez-vous pour ce lundi et passer un accord avec une femme de ménage sympathique, courageuse et avec qui je m'entende bien !

    Mais, est ce que cette perle existe dans la région ? J'ai même décidé, pour ne pas avoir à me mettre à quatre pattes pour laver le sol, et de réserver cette position à d'autres activités moins honnêtes, mais beaucoup plus jouissives !

    J'ai donc décidé, si nécessaire, de piocher dans ce que j'appelle ma cagnotte cul pour ne pas gêner notre train de vie actuel ! Après tout, c'est bien de gagner de l'argent mais autant le dépenser à bon escient !

    Yves absent et Jean à la cantine, à 13h, je bois un dernier double-expresso bien fort, fume une cigarette et, simplement vêtue d’une robe bleu marine, assez décolletée, de bas avec élastiques, d'escarpins fermés en cuir à talons hauts, sur lesquels j'enfile, quasiment à même la peau un chaud manteau épais. Je file.

    Pendant le court trajet qui me sépare du motel, mes pensées s’égarent. Qui est Agnès ? Comment est-elle ? Sans me rappeler de son âge, je sais qu'elle n'est plus toute jeune, j'espère qu’elle ne compense pas un physique ingrat par un sadisme exacerbé.

    Bref, je suis un peu plus nerveuse et soucieuse que d'habitude en me garant directement derrière le motel.

    Annie m’y attend et me fait signe de monter avec elle.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 13h15

    Je ferme ma voiture et monte devant à côté d'elle.

    Elle démarre sans me saluer me disant simplement : « Enlève tes bijoux et tes sous vêtements ! ». « Je ne porte que votre alliance et je n'ai pas mis de sous-vêtements, Madame ! ».

    « Autrement dit, sale truie vicieuse, tu as enfilé ton uniforme de travail, tu es donc prête à te louer ! ».

    Elle rit, me demande de leur allumer deux cigarettes. J'ouvre un peu ma fenêtre pour évacuer la fumée, même s'il ne fait pas chaud dehors. Nous roulons en silence, la paysage des forêts domaniales est beau mais monotone.

    Elle me signale que mes clips ont dépassé les 20.000 visites. « Comme Tom voulait t'envoyer une grosse enveloppe, je lui ai demandé de t'effectuer ton premier virement, sur ton compte bancaire du Delaware : tu as le scan dans ta bal, n'oublie pas de les détruire après avoir noté la date et le montant en codant ce que tu écris ».

    Elle me réclame une autre cigarette. « Par contre en ce qui concerne Lise, je ne pense pas que ce soit nécessaire de lui parler de Tom, elle ne saura jamais qu’elle passe en ligne sur un site porno, mais je te donnerai ses statistiques pour les derniers clips où vous êtes toutes les deux, ce sera à toi de voir si tu veux la rémunérer ou pas, mais je serais toi, je ne le ferais pas ».

    Ce propos a l’avantage d’être clair mais Annie rajoute : « En plus, je ne compte pas te faire rencontrer deux fois la même personne que je ne maîtrise pas totalement, pour éviter tout attachement de sa part, et tout risque de chantage à ta véritable identité ».

    J’acquiesce en silence et Annie m’autorise à allumer une cigarette à condition que j’ouvre encore un peu plus ma fenêtre, et continue :

    « Pour que tu comprennes bien, je vais te citer deux exemples : hier, tu t'es bien entendue avec Lise, je suis sure qu'elle t'a demandé de te revoir sans moi, elle sait où tu habites, comment tu t'appelles, elle a très bien pu faire des photos pornos de toi, sans que nous nous en rendions compte, elle a donc tout pour te faire chanter : « Annie tu laisses Loré et moi nous revoir et nous gouiner, ou j'envoie ses photos les plus hots à tout son répertoire ! ». « Brrr, je comprends, Annie ! ».

    Elle sourit, « Autre exemple : Robert, il connaît mon 06, mais j'ai une réserve de prépayés ! Il te connaît, sans savoir où tu habites, il a lui même tarifé sa relation avec toi, quel intérêt aurait-il à te faire chanter ? Aucun, donc lui est classé : sans risque, mais pas à domicile ! Voilà le type de protection que je prends pour toi ! ».

    « Je vois, comme je le savais, vous me protégez beaucoup, et c'est cette sensation que j'aime quand je suis avec vous, Madame, sans parler, bien sur de mes pulsions sexuelles envers vous, bien sur Madame ! ».

    Elle sourit de ma franchise, et me donne quelques indications sur notre hôtesse : « Hier, Agnès m’a envoyé son N° de portable. Je l’ai rappelée. Elle a une voix douce qui correspond bien à son portrait. En parlant de toi, elle m’a dit aimer ton physique de femme mure et tes yeux vicieux de petite garce. Elle a rajouté qu’elle n’était pas une adepte des mises en scène théâtrales ou de se faire appeler Maîtresse et que nous en resterions à Agnès, Loréna et Annie ».

    Je lui ai confirmé que tout cela nous convenait. En riant elle m’a aussi réaffirmé accepter sans réserve tes tabous et pour finir, elle a rajouté que tu peux venir habillée comme tu le voudras. « Tu vois ma pute que tout se présente bien pour toi ! ».

    J’approuve de la tête sans dire un mot. « Dans la soirée elle m’a rappelée en me disant qu’elle n’aimait pas les préliminaires et que dès que nous aurions sonné chez elle le jeu commencerait, te voilà prévenue vicieuse Loré ! ». Me dit-elle en éclatant de rire.

    A moins vingt, Annie me demande d’envoyer un simple message pour la rassurer : « Nous arrivons, à tout de suite : Annie ».

    Jeudi 26 janvier 2017 - 14h00

    A 14h nous nous garons devant une jolie villa de Cusset, qui est une des banlieues résidentielles de Vichy. Nous descendons et Annie sonne. Je suis très nerveuse et mon cœur bat de plus en plus vite. Une voix douce me rassure par l’interphone : « Bonjour Annie, je t'ouvre. Referme la porte du jardin, s'il te plait. Je vous attends sous la véranda ».

    Nous traversons un joli jardin et gravissons les trois marches du perron pour atteindre l'entrée, dissimulée au fond d'une belle véranda fleurie. La porte d’entrée est juste entrouverte.

    Par l’entrebâillement, Agnès nous dit : « Annie, tu peux entrer, mais, Loréna, va rester un peu dehors. Il ne fait pas chaud, mais tu vas tout enlever et me passer tes affaires l’une après l’autre, en ne gardant que tes chaussures et ton manteau. Allez, plus vite tu seras à poil, plus vite tu viendras te réchauffer avec nous ! ».

    Prévenue qu’il n’y aurait pas de préliminaires, je m’approche d’un fauteuil pour y déposer mon manteau, avant de quitter mes escarpins ce qui me permet d'ôter mes bas, je me redresse pour enlever ma robe et replonger dans mon manteau avant de remettre mes chaussures.

    Je ramasse mes bas et ma robe et les tends par l’entrebâillement de la porte, Agnès répond de l'intérieur : « Elle n'était pas vraiment très habillée, ta soumise, Annie ? ». Ce à quoi, Annie répond : « Jamais de sous-vêtements en ma présence ! ». Le rire d'Agnès lui répond, et, une belle main aux ongles manucurés vernis me tend un foulard : « Met ça sur tes yeux, petite Loré, et, assure toi qu’il ne puisse pas tomber ».

    Je m’exécute en le fixant par un double nœud sur ma nuque.

    « Allez rentre ! Je ne voudrais pas que tu attrapes mal ! ». La porte se refermer derrière moi. Il fait presque trop chaud à l’intérieur : « Reste debout sans bouger dans le hall : Annie et moi avons à parler un peu avant de nous occuper de toi ».

    Elles me laissent dans l’entrée et s’éloignent. Je n’entends pas ce qu’elles se disent. De temps en temps j’entends un éclat de rire, visiblement tout se passe bien entre elles. Je sens une présence et Agnès me dit à haute voix :

    « Annie me confirme que sans t’avoir touchée, le voyage t’a marquée, simplement par l’odeur de femme en chaleur qui régnait dans sa voiture et à la dureté de tes bouts de nichons qui tendaient ta robe légère sous ton manteau ouvert ! Mais rassure toi je suis dans le même état, comme chaque fois qu'une nouvelle soumise accepte de venir à moi ! J’avais simplement peur que vous ne veniez pas, de temps en temps, des fantasmeuses me posent des lapins, mais je vois que tu es une femme qui sait satisfaire les désirs de sa propriétaire, et qui va au bout de ses envies ! ».

    Jeudi 26 janvier 2017 - 14h10

    J’essaye de me calmer : je n'arrive à cerner Agnès et sa douceur apparente me fait peur. Bien qu'un peu rassurée de savoir qu’elle est aussi excitée et que nos natures sont en train de parler pour nous !

    « J’ai prévenu Annie que je n’aimais pas les préliminaires, alors tu vas ouvrir ton manteau, me montrer ta nudité et te masturber la chatte comme si tu étais seule sans personne pour te juger ! Ne fais pas attention à nous, fais toi plaisir. Annie m’a assurée, qu’un orgasme t’excitait au lieu de te calmer, je vais donc le constater de mes propres yeux ! ».

    Je l'entends allumer une cigarette et sens une odeur de tabac brun, tout en la devinant très proche de moi. Je déboutonne mon manteau, j’en écarte les pans et pose ma main droite sur mon sexe en écartant les jambes.

    Je commence à me caresser comme si j’étais seule au monde. Je suis, bien évidemment, trempée, mes doigts glissent tous seuls sur mes grandes lèvres pour atteindre doucement mon clitoris qui, seulement effleuré durcit très vite. Mes caresses font très vite leur effet et je dois arque-bouter un peu plus mes jambes, pour mieux les écarter, et m’enfoncer deux doigts dans le con alors que le troisième titille mon bouton.

    Perdue dans ma bulle orgasmique, j’entends Agnès allumer une deuxième cigarette, comme si elle était à des kilomètres de moi, avant de partir dans un orgasme fulgurant qui me laisse groggy, la main poisseuse et les jambes flageolantes.

    « Tu peux reculer d’un mètre pour t’appuyer au mur qui est juste derrière toi, récupère un peu et lèche ta main droite souillée de ta cyprine, tu n'es pas une femme fontaine, mais tu en as l'étoffe, je suis sure que d'ici peu tu le deviendras ! ».

    Elle s’approche de moi, je sens son haleine enfumée et pendant que je recule elle griffe légèrement mes tétons : « Hum, eux aussi participent à la fête, on dirait ! Ce qui n’est pas pour me déplaire ! ».

    Appuyée au mur je récupère tout en nettoyant ma main poisseuse. Elle pose ses lèvres sur ma bouche : « Tiens : une bouffée pour la finir et te calmer ». Le tabac est fort mais me fait du bien.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 14h20

    Elle me laisse seule. Je la sens immobile, mais je sais qu'elle m'observe. Sans rien dire, elle enlève mon manteau, me prend par la main et me conduit vers une table dont je sens le bois toucher le bas de mon ventre.

    D’une main elle me couche sur la table, en laissant mes pieds chaussés posés sur le sol. Je l’entends manipuler la table, quand elle me plaque dessus, je sens que ma tête, mes épaules et mon ventre sont sur la table, mais que mes seins tombent dans l’espace de la rallonge libéré.

    Je me retrouve couchée sur la table, pieds au sol, mais seins pendants dans le vide. « Dis moi si ça te fait mal je veux bien te dominer mais pas t’estropier ! ». Je comprends le sens de sa remarque, en l’entendant donner des petits coups secs sur les deux bords de la table, pour réduire l’espace rallonge qui se referme sur mes seins, comme un étau de bois.

    De temps en temps, elle pèse sur mes épaules, pour s’assurer que mes seins tombent bien dans le vide. Visiblement elle veut les compresser à leurs bases et nulle part ailleurs ! Je décide de supporter un maximum de pression. Mais à mon grand soulagement, c’est elle qui arrête en me disant : « Ça me semble parfait : essaye de te relever ».

    Je pose mes mains sur la table, mais mes seins sont bien emprisonnés, entre les deux bords intérieurs de la table et je les sens même gonfler tout en constatant que je ne peux pas me relever.

    « Tu es très bien comme ça décontracte toi ! ». J’entends des bruits que je n’arrive pas à identifier. Agnès revient vers moi par le côté droit, elle me soulève un peu et elle passe sous mon ventre ce que je crois deviner être un ceinturon de cuir large.

    Elle m'allonge les bras le long du corps et referme le ceinturon dans le dos en serrant assez fort pour me comprimer l’estomac et m'interdire tout mouvement de mains ou de bras :

    « J’aime bien les soumises incapables de faire un mouvement pour se défendre mais rassure toi il te restera la bouche pour communiquer ! ».

    Elle passe derrière moi, enlève mes chaussures, relève un de mes pieds et pose un nœud coulant autour de mon gros orteil, avant de replier mon pied sur ma fesse et d'attacher, le plus solidement possible, la corde au ceinturon. Elle fait pareil avec l’autre gros orteil, et s’assure que les deux cordes sont bien tendues.

    Elle semble avoir fini de m’immobiliser, je n’ose imaginer l’image obscène que je donne de moi, ainsi ligotée et impuissante, seins pendouillants, cuisses largement offertes, incapable du moindre mouvement, orifices intimes livrés en pâture à toutes ses envies.

    Agnès, très excitée, me le confirme : « Hum : quel beau spectacle tu offres, belle exhibitionniste ! ». Je sens ses cuisses nues frôler l’intérieur des miennes. J’en conclu qu’elle s’est dénudée, au moins du bas.

    Je l’entends ouvrir une boite métallique et elle m’enduit l’anus de crème, en insistant avec deux de ses doigts, pour y rentrer le plus loin possible, le plus de lubrifiant possible.

    Je suis surprise, car, il est rare qu'une Maîtresse lubrifie elle même le trou à merde de son esclave, Annie ne s'abaisserait jamais à m'offrir ça !

    Quand elle arrête, probablement satisfaite de cette préparation, je sens un objet doux et rond se poser sur mon œillet : « Ne t’inquiète pas : il est d’une taille standard, tu ne vas pas souffrir ! ». Et lentement, centimètre par centimètre, elle enfonce le gode de latex en moi, jusqu’à ce que je sente les fausses testicules heurter le haut de mon sexe.

    Elle vérifie, d’une poussée de main, qu’elle ne peut pas l’enfoncer plus et, me laisse comme ça, me recommandant de bien contracter les muscles de mes fesses, pour qu’il reste bien au fond de mon trou du cul.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 14h40

    Je sens sa présence devant moi. Elle enlève mon foulard des yeux, mais le retour brutal de la lumière m'empêche de la voir.

    Hors de mon champ de vision, elle se glisse sous la table. Ses lèvres prennent mon téton droit pour le suçoter longuement. Quand elle sent qu’il a bien réagi, elle le mordille de plus en plus fermement ce qui m’arrache quelques gémissements de douleur.

    En fait c’est ce qu’elle attendait, pour y mettre une pince plate qui me fait pousser un petit cri de douleur. Sans s’en occuper, elle s’attaque à l'autre qui subit le même sort, avec la même réaction de ma part.

    Du dessous de la table elle me dit : « Eh bien, douillette, si tu cries déjà pour de simples pinces, qu’est ce qui va se passer avec ça ! ». Et d’un même geste elle leste les pinces, me faisant hurler de douleur.

    Sa voix se fait très autoritaire : « Évite de crier comme ça, si tu ne veux pas que je te bâillonne. Tu es endurante avec Annie, je ne vois pas pourquoi tu ne serais pas aussi maso avec moi ! ». Bien qu’ayant horriblement mal, j’essaye de me retenir, en me mordant les lèvres pour ne pas crier de nouveau.

    Agnès s’est relevée, sans que je ne puisse la voir, et Annie vient poser à côté de ma bouche un gode ventouse : « Tiens si tu veux mordre au lieu de crier, amuse toi avec ce gode, il est là pour ça ! ».

    Pendant ce temps, Agnès s'est remise dans la fourche de mes jambes ouvertes et a entièrement sorti le gode de mes fesses, me glissant au passage : « C’est bien tu n’as pas sali le gode, j’aime que mes soumises soient très soigneuses de partout, je te félicite ! ».

    A des bruits furtifs : mélange de métal et de frottements de cuir, je comprends qu’elle fixe le gode à ses hanches, et, de suite après, je sens le gland du gode se positionner sur mon anus, alors qu’elle me masse vigoureusement les épaules de ses deux mains.

    « Décontracte toi, belle vicieuse et ouvre toi bien ! Je sais bien que tu es venue ici pour ça, je ne voudrais pas te décevoir ! ». Et alors que je me laisse aller, et que je me décontracte doucement sous ses caresses, elle pousse d’un seul coup de reins le gode dans mes fesses, en s’assurant qu’il ne peut aller plus loin !

    Elle reste un long moment collée à mes fesses, avant de le ressortir pour aller et venir dans mes fesses, avec toute l’amplitude du gode sans se soucier de mes cris. Outre mon anus distendu, mes seins me font horriblement mal : comprimés, gonflés comme des ballons et étirés vers le bas par les poids trop lourds pour moi. Même bloqués par la table, ils bougent au rythme de ses coups de ventre dans mes fesses.

    Heureusement, son portable sonne, et elle doit s’arracher de mes fesses pour le décrocher. Je l’entends dire : « Oui, oui, entendu ! », avant de raccrocher. J’en déduis que c’est un importun qui m’a accordé quelques secondes de répit, avant qu’elle ne reprenne sa place entre mes cuisses.

    Elle continue de se régaler de mon anus qui n’a pas eu le temps de se refermer et qui doit béer, parfaitement obscène, pour lui permettre de reprendre immédiatement ses longs allers et retours dans mes fesses de catin, largement offertes et semblant supplier d'être défoncées !

    Jeudi 26 janvier 2017 - 14h50

    Elle retire complètement le gode de mon cul et, machinalement, je relâche mes muscles pour la recevoir de nouveau en moi, mais, elle se recule, me laissant, l’anus vide et grand ouvert.

    Je l’entends s’affairer avant qu'elle ne reprenne sa place entre mes cuisses et m’encule d'un seul coup de rein avec un gode plus gros et plus long qu’elle n’a aucune difficulté à enfoncer complètement, jusqu’à ce que la base de latex le bloque : « Tu sens ce que tu as dans les fesses ma belle enculée ? Eh bien, je vais me mettre la même chose dans le vagin : c’est un gode-double, Annie m'a assurée que tu connaissais bien ça ! ».

    Je n’ose pas lui dire que j’ai découvert ce genre de gode dans la chambre de mon fils, en me faisant reluire avec sa peluche préférée ! J’entends l’autre partie rentrer dans son vagin et reprendre de suite le pilonnement de mes fesses.

    Mais, ce coup ci, c’est elle qui gémit le plus fort, car chaque coup de reins m'encule jusque dans les intestins, mais lui pistonne aussi le col de l'utérus. Je la sens de plus en plus excitée et brutalement, et visiblement sans aucune raison, elle me gifle très fort sur l’oreille droite.

    Je ne sais pas combien de temps elle a passé à m'enculer et à me gifler, mais j'avais l'impression que mon anus ne rétrécirait jamais et que mes oreilles allaient ressembler à des choux fleurs !

    Elle a enchaîné deux orgasmes bruyants sans un seul arrêt entre les deux, tout en criant : «  Oh comme j’aime le plaisir que me donnent des soumises comme toi. Tiens prends ça dans le cul et mord ton gode ou je te bâillonne ! ».

    Au deuxième, elle s’écroule sur moi, je sens son souffle court et son abondante transpiration couler sur mon dos. Elle me mordille les épaules en me murmurant à l’oreille : « Hum quel plaisir tu viens de me donner ma salope ! ». Curieusement je me sens fière de ne pas l’avoir déçue et de ne pas avoir gémi, en permanence, comme une pleureuse chatouilleuse, même si j’ai mal partout.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 15h00

    Après avoir récupéré, elle se relève derrière moi et y reste.

    Elle m’ôte le gode-double, me remet le gode-ceinture, l’enlève, me remet le premier qu’elle enlève de nouveau au profit du deuxième ! Elle me confirme qu'elle hésite : « Je vais te mettre celui-là ! Ah, non ! Plutôt cet-autre ! Voilà, je crois que j'ai trouvé : je vais te mettre ce nouveau gode ! Je suis certaine qu'il va te surprendre ! ».

    Je souris en moi même en pensant qu'Agnès est tombée amoureuse de mon cul et je me détends pour recevoir ce nouveau gode inéditJe sens des cuisses nues frôler les miennes et j’en conclu qu’il s’agit d’un nouveau gode-ceinture. Mais quand il entre en moi je sens qu’il est plus gros, plus chaud et plus réaliste qu'un gode normal.

    Dans le même temps, Annie vient devant moi et me glisse deux doigts dans la bouche : « Voilà qui va faire du bien à tes jolies petites fesses de pouffiasse ! » me glisse-t-elle à l’oreille. Tout en pompant ses doigts, j’en déduis que c’est bien Agnès qui m'encule avec ce nouveau gode qui me laisse tout de même une étrange impression.

    Annie s'amuse à essayer d'attraper ma langue, mais, ma salive la rend glissante et l'empêche de la pincer. De son autre main, elle me caresse doucement mes cheveux, pour une fois lâchés ! Alors qu'une autre bouche plante cruellement ses dents dans la partie charnue de mon épaule.

    La voix d’Agnès me dit : « Une bouche devant toi ? Une autre sur ton épaule ? Ne te-semble-t-il pas, ma grande salope, que notre petit cercle de famille se soit un peu agrandi ? ».

    Éberluée, je réalise qu’il ne fait aucun doute qu’une tierce personne va et vient dans mes fesses offertes et trempées !

    Agnès tient à me rassurer : « N'ait crainte, tu ne le connaîtras jamais : tu pourras simplement te dire, qu’un jour, un Vichyssois a payé tes deux Maîtresses pour t’enculer. Lui te connaît, et, je vais même l'autoriser à faire deux photos souvenir de toi : une de ton visage et l'autre de ton anus béant, mais toi tu ne le connaîtras pas, c’est excitant tu ne trouves pas ?. Et en plus, il va se vider les couilles dans tes intestins, sans capote, car je le connais et je sais que tu ne risques rien avec lui ».

    Elle éclate de rire en devançant ma pensée : « Non, ce n’est pas mon mari ! Ça restera un pur inconnu pour toi ! Mais n’oublions pas l’essentiel pour une putain : tiens c’est le prix de ta passe ! ». Elle me glisse un billet de banque dans la main gauche, m’obligeant à refermer ma main dessus.

    La table grince, l’inconnu, dont je connais doublement le sexe, donne de puissants coups de reins, pour me voir tortiller tout mon corps et me faire ballotter les seins sous la table. J’ai mal partout, mais je suis surexcitée par cette situation, que je n’avais absolument pas envisagée.

    Agnès reprend : « Oh j’espère que de te prostituer, ne te choque pas, ma distinguée bourgeoise d'Issoire ? Tu avais bien parlé toi même d’amours tarifés dans ton annonce ? Je me trompe ? ». Ne désirant pas parler, je fais simplement oui de la tête.

    « Ah, tu es choquée par une réponse qui sortirait de ta bouche ouverte ? C'est curieux, car tu ne sembles pas être choquée d'avoir ton trou à merde, béant et défoncé par une bite énorme ! Alors, sale petite enculée, je vais changer de ton, si, la salope que tu es en réalité, ne m'avoue pas tout de suite son goût immodéré pour son métier de prostituée occasionnelle ! ».

    En rougissant de honte, je dois lui avouer à haute voix que « Je suis une vraie putain, quasiment professionnelle et que je suis payée pour écarter mes cuisses ou mon trou à merde pour que des clients se vident les couilles en moi ». Pendant ce temps, l’homme, accroché à mes hanches, va de plus en plus vite dans mon cul et mes seins me font de plus en plus mal.

    Agnès se penche et me dit : « Eh bien, ils en font du chemin, tes bouts de mamelles laitières, ma salope ! ».

    L’homme gémit de plus en plus fort, je suis sure qu’il va jouir, et je contracte tous mes muscles pour qu'il me sente bien. Mais, il se retire brutalement de mes fesses pour enfourner son gland trempé dans mon con, dans lequel il s’enfonce en poussant un grognement de plaisir, en retrouvant un autre fourreau plus humide, plus chaud et aussi accueillant que je lui offre bien malgré moi.

    « Dis lui, ma petite chienne en chaleur, que tu as adoré sentir sa grosse pine dans tes petites fesses de catin dépravée ! Et que tu as hâte de recueillir son foutre dans ton con distendu, à force d'y recevoir des grosses pines, à longueur de journée ! ».

    L’homme a diminué sa cadence depuis qu'il me nique. J'ai du mal à réfléchir, dans la situation hyper humiliante dans laquelle je me suis mise, mais je me dois d’oublier toute fausse honte et d'obéir :

    « Oh, Monsieur, quel plaisir vous m’avez donné, en me défonçant le cul avec votre grosse pine. J’ai hâte de bien vous vider les couilles, dans mon ventre de salope, pour que vous gardiez un bon souvenir de la putain-esclave d’Agnès ! ».

    Agnès explose de rire : « Eh bien, ma bourgeoise BCBG ! Quand tu t’y mets ! Quel vocabulaire de pro ! Tu es sûre de ne pas faire le trottoir de temps en temps ? ». Je me sens plus excitée qu'insultée, tandis que mon baiseur, sans rechercher, une seule seconde, mon plaisir, me nique de plus en plus fort, en grognant et en faisant claquer ses cuisses sur les miennes.

    Agnès constate : « Eh bien, tu voulais lui vider les couilles, c’est en train de se faire ! Et le connaissant, je peux t’assurer qu’il se régale dans ton réservoir à foutre ! Il va te remplir et peut être même t’engrosser ! ».

    Sitôt après avoir joui, l’homme s’écroule sur moi, je sens des étoffes sur mon dos et mes cuisses : j’en conclu qu’il avait juste baissé son pantalon, pour profiter de moi sans même se déshabiller !

    Je le sens débander peu à peu dans mon ventre, puis se relever. Il s’essuie le sexe sur mes fesses et se recule, probablement pour se rajuster.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 15h30

    Agnès dit : « Je trouve malpoli de ne pas se présenter quand on est si intime. Qu’en penses tu Annie ? ». Annie lui répond en riant : « J'en suis certaine ma chère consœur ! ». « Nous allons arranger ça : bel étalon merci de mettre ce loup sur vos yeux ».

    Annie et Agnès s'écartent. L’homme qui vient d'éjaculer en moi, s’approche de mon visage, me regarde dans les yeux, en commentant : « Hum, joli minois ! Pour le moment, je n’avais vu de toi que ton trou du cul et ta connasse de pute, mais tes yeux de vicieuse feraient bander un troupeau d'impuissants ! Je ne suis pas prêt d’oublier ton regard. Dommage que toutes les putains ne soient pas aussi belles que toi ! ».

    Il se retire de mon champ de vision, prends le portable qu'une main doit lui tendre, et, exige un sourire épanoui de ma part avant de faire une photo de mon visage.

    Puis, il passe derrière moi, en me disant : « Est-ce que tu peux sourire du trou du cul, belle salope ? Je ne pense pas ! Alors contente toi de bien faire jouer tes muscles pour ouvrir, encore un peu plus, ton trou à merde, pour que j'en garde la trace impérissable dans mon portable ».  Et, c'est ce qu'il fait par deux fois.

    « Hum, que de compliments ma pute. Tu es douée pour ce métier : on verra si tes autres clients seront aussi de cet avis ! ».

    Je m’affole en l’entendant parler de mes autres clients. « Rassure toi, ça ira vite, car ils sont très excités. Ils vont te montrer leur bite, tu leur enfileras une capote avec ta bouche, comme toutes les putes le font. Ils te limeront et se videront dans le trou de leur choix ! ».

    Agnès me glisse un préservatif encore roulé dans la bouche. La première bite se présente devant moi : c’est un noir fortement membré qui a du mal à entrer la totalité de sa bite dans ma bouche.

    Mais le préservatif est bien posé, et l’homme passe derrière moi et sans préambule il m’encule. Il est si bien monté, que j’ai très peur d’être déchirée. Il va et vient rapidement, visiblement très excité. Il me lime quelques minutes le cul et brutalement, il sort de mon anus, s’enfonce dans ma chatte pour y jouir en grognant de plaisir.

    J’ai à peine le temps d’entrevoir les deux autres, tout se déroule vite : ils passent devant moi, yeux cachés par un loup, aussi bien pour me montrer leur sexe que pour regarder mon visage. Et je descends un préservatif roulé sur leurs bites avec ma bouche.

    Agnès les a choisi très bien membrés. Que ce soit dans le con ou dans le cul, je les sens me ramoner avec plus ou moins de délicatesse. Les hommes, visiblement sevrés de femme, sont tous, très excités et ils ne tardent pas à exploser, la plupart, dans mes fesses.

    Je suis affolée que ces quatre hommes aient vu mon visage. Pour eux, je suis une putain dont ils se souviendront. Alors que, moi, je ne connais d'eux que l'essentiel ! Leur sexe !

    Jeudi 26 janvier 2017 - 16h00

    Agnès défait les cordelettes qui attachent mes gros orteils au ceinturon et elle me l'enlève en le détachant de mon ventre. Sans que je ne puisse la voir, elle me remet le foulard sur les yeux et écarte l’espace de la rallonge de table pour libérer mes seins. Elle m’aide à me redresser et me place, debout fesses appuyées à la table.

    J'ai mal partout, mais elle ne m'accorde aucune trêve : « Accroupis toi et fais attention de ne pas trop bouger ton ventre ! ». Elle m’écarte au maximum les jambes en me conseillant : « Reste bien dans cette position, je vais glisser un récipient sous ta chatte et ton anus pour qu'ils s’égouttent du foutre dont tu es pleine ! ».

    Elle me donne une poire vaginale pleine d’eau tiède et me dit : « Rince toi l’intérieur de la chatte ». Je sens le mélange de mes sécrétions, du foutre et de l’eau tiède souillée tomber dans la petite cuvette.

    « Je suis sure que tu dois te sentir plus propre comme ça ! Tiens, celle là est pour ton cul ! ». Je me retrouve avec une autre poire dans la main. J’enfonce profondément la canule dans mon anus et je presse. Je sens de suite que le résultat de ce mini-lavement, tombe lui aussi dans le récipient.

    « Surtout ne bouge pas, si je vois une goutte à côté de la cuvette, je te supprime un de tes tabous, et méfie toi : j’ai l’air gentille comme ça, mais je sais être très cruelle avec les soumises médiocres ».

    Elle me laisse dans cette position. Quel repos pour mes reins, mes cuisses et mon anus. Mais mes seins restent déformés par les poids et me font encore plus mal.

    Je triche un peu et soulève de mes mains les lests qui me déforment la poitrine et, sans bouger, j’essaye de récupérer, tout en sentant sous moi un goutte à goutte provenant de mes deux orifices intimes, largement ouverts par les pénétrations et par ma position actuelle indécente.

    Je n’entends plus les deux femmes. Elles tardent à revenir. Je me demande ce qu’elles font. Je n’ai pas trop la notion du temps mais il me semble que je suis bien restée seule, pendant au moins dix minutes.

    J’ai des fourmis dans les jambes et un début de crampes, mais je n’ose pas bouger, de peur de salir le sol à côté de l’assiette, quand, enfin, j’entends les talons des femmes revenant dans la pièce, et la voix d’Agnès me dire :

    « Eh bien, pouffiasse, tu t’es bien reposée ? Tu as raté quelque chose : ta Maîtresse est une redoutable bouffeuse de chatte ! Nous venons de nous gouiner en pensant à toi ! Je voulais que nous fassions ça à trois, mais Annie m'a dit que tu n’étais pas digne de gouiner une de tes Maîtresses ! Et je crois qu’elle a raison ! Tu mérites plus nos pieds, nos trous du cul et nos urines, que nos chattes ou nos seins ! ».

    Elles rient toutes les deux : « Mais je vois que tu as trouvé une position confortable, sois gentille de redresser ton dos et de poser tes mains croisées sur la tête, les coudes bien parallèles au corps, tu as de la chance que je sois de bonne humeur : en règle générale, je n’aime pas les soumises fainéantes qui se laissent aller à la facilité ! ».

    Je m’exécute en grimaçant de douleur car dans cette nouvelle position très cambrée, mes seins me font mal à hurler. « Bien je vois qu’il n’y a pas de gouttes autour de l’assiette décidément tu es une soumise presque parfaite et ça rattrape un peu ta tricherie ! ». Je l’entends allumer une cigarette et retirer l’assiette du sol.

    Elle me relève et me change de lieu, en m’autorisant à refermer les cuisses, tout en m’humiliant au passage : « Tu sais que ton anus a été tellement dilaté, qu’il est encore largement ouvert. J’espère que ce soir ton mari ne voudra pas t’enculer, car tu aurais des problèmes pour lui expliquer ce qui t’est arrivé ! ». Yeux baissés, je ne dis rien.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 16h20

    Je l’entends s’asseoir, elle semble proche de moi et me dit :« Tu as les mains à la bonne hauteur, retire toi même ton foulard ». Je défais le double nœud et l’enlève. Après un moment très flou, je vois la pièce dans laquelle nous sommes : un salon cossu, Annie est dans un des fauteuils, caméra au poing et je découvre enfin Agnès : assise face à moi dans un autre fauteuil, en peignoir de bain blanc, dévoilant le haut d’une de ses cuisses très blanche, et chaussée d’une très jolie paire de mules d’intérieur à talons hauts.

    Elle ne peut guère cacher son âge, mais elle est restée très belle et très attirante : blonde aux yeux bleus avec un visage un peu ridé, mais un peau, des cheveux, des cuisses et des pieds parfaits.

    Elle sourit en me regardant : « Bonjour Loréna je suis contente que tu me découvres, je ne suis pas trop de différente de ma photo ? Remets tes mains sur la tête je te prie ».

    Je me remets en position en lui répondant : « Annie ne m’a pas autorisée à voir vos photos, et je vous trouve très belle, Agnès ». « Hum décidément Annie, est très dure avec toi, c’est une bonne Maîtresse ! Comme convenu, continue à m'appeler Agnès et à me vouvoyer. Je t'avoue que, pour le moment, tu es une des meilleures soumises que j’ai eues, et j’espère que tu vas continuer ton sans faute ! ».

    « Mais, trêve de compliments, tu peux enlever tes pinces à tétons, ça fait longtemps que tu les portes, elles doivent te faire mal à présent ». Par peur de manquer de courage pour supporter deux douleurs consécu-tives, je décide d’enlever les deux pinces d'un seul geste de mes deux mains. Mais, je manque défaillir : le sang, qui afflue en masse dans mes tétons écrasés, me fait hurler de douleur et je manque de tomber.

    Agnès se rend compte que je ne joue pas la comédie et se lève pour m'assister : « Assieds toi sur ce tabouret, je vais te chercher un remontant ». Ses talons claquent et elle revient, probablement de la cuisine avec un petit verre de vodka glacé : « Bois, ça te fera du bien ! ». Je le vide en trois gorgées et l'alcool fortement dosé et glacé me fait effectivement un effet immédiat et, très vite, je me sens mieux.

    Agnès est revenue s’asseoir dans le fauteuil près de moi : « Voilà, tes couleurs sont revenues je préfère te voir comme ça ! ».

    Elle prend un paquet noir et me le jette en me disant : « Enfile ça ». En le dépliant, je reconnais une armature de soutien-seins en cuir, comme celle que je portais devant Pierre sur les bords d’Allier.

    Je la pose sur ma poitrine : les lanières de cuir destinées à serrer la base des seins ne sont pas attachées, les bretelles d'épaules sont très fines et l’agrafage dans le dos est facile d’accès. Agnès se lève et vient vers moi, en me disant : « Annie m’a dit que tu connaissais déjà ce type de serre-nichons, je peux donc passer directement au serrage N° quatre que tu as déjà supporté ». 

    Elle prend la lanière du sein droit et la serre. L'ardillon enfoncé dans l’œillet quatre, je sens mon sein emprisonné à sa base gonfler de suite. Elle fait pareil au sein gauche. Avant de relever les bretelles sur mes épaules et d'agrafer le soutien-seins dans mon dos.

    « Tu es très drôle comme ça on dirait que tu as deux petits ballons devant toi, tu sais qu'ils vont devenir très rouges, puis tourner au rouge vinasse, mais, dès que je les libérerai, ils reprendront leur couleur normale d'une manière spectaculaire ! ». Elle se recule pour me regarder alors qu’Annie vient filmer mes seins en gros plan.

    « Annie t’appelle sa pute : tu vois qu'entre deux coups de langue, nous avons eu le temps de parler de toi dans ma chambre ! Mais, pour le surnom que je vais te donner, je voudrais quelque chose de beaucoup plus humiliant. Alors vas vers la table que ton trou du cul reconnaîtra vite ! Et, selon la méthode Annie : tu y trouveras un papier et un crayon. Tu vas me proposer par écrit quelques suggestions bien dégradantes de surnoms pour toi, mais, attention, je sais que tu peux avoir un vocabulaire très ordurier, alors, c'est le moment de t'en servir ! ».

    Nue, les seins gonflés et relevés par l’armature en cuir, je m'assieds à cette table de torture, et j'écris, sans trop avoir réfléchi : sac à foutretapin de luxe, putain de bordel, catin vicieuse, bourgeoise dépravée, salope en chaleur et videuse de couilles.

    Et je donne mes propositions à Agnès qui les lit en souriant. Elle me redonne ma feuille et m'ordonne de les numéroter de 1 à 7 dans le désordre. Pendant ces échanges, son peignoir s’est entrouvert, ce qui me permet de constater qu’elle ne porte rien dessous.

    Elle a vu mon regard mais me remet de suite à ma place : « Inutile de regarder ma chatte, si quelqu’un ici a le droit de la manger, c’est Annie. Ne fantasme donc pas sur elle ! ».

    Et, s'adressant à Annie, elle lui dit : « Je pense qu'il est normal que ce soit toi qui choisisse le surnom que je vais donner à ta pute durant tout cet après midi : alors, donne moi un chiffre entre 1 à 7 ! ».

    En riant, Annie lui propose le 7 et Agnès regarde sa liste numérotée : « Bien, ma chérie, tu es tombée sur salope en chaleur, le hasard en a décidé ainsi, Loréna, es tu contente d’être ma salope en chaleur ? ». Je m’entends dire : « Oui Agnès, je vais faire en sorte que vous soyez fière de votre salope en chaleur et Madame, de sa pute ! ».

    Elle comprend qu’après presque trois heures d'humiliations et d'obéissance, mes inhibitions ont disparu et elle sourit de ma rapidité d'exécution à ses ordres. Elle le constate encore une fois, quand, sur un seul petit signe de sa part, je m’agenouille devant elle, assise sur mes talons, cuisses largement ouvertes !

    « A partir de maintenant, je te demande de ne plus me quitter des yeux, entendu salope ? ». Je fais oui de la tête. Elle me demande de croiser les mains sur la tête et de me cambrer au maximum vers l'arrière.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 16h30

    Elle croise ses jambes. Telle que je suis assise, je vois l'intégralité de sa chatte peu poilue et luisante. Son pied gauche, chaussé de sa mule à talon, se pose sur mon sein droit.

    Elle me caresse le haut de mon sein gonflé avec sa semelle, puis, baisse son talon protégé par un bout métallique, en cherchant et trouvant très facilement mon téton encore tout boursouflé par la pince.

    Elle joue vicieusement avec lui, en le titillant et quand elle le voit se redresser, elle appuie son talon pour le rentrer, le plus loin possible, dans la chair de mon sein. Comme je ne la perds pas une seconde des yeux, elle voit ma douleur dans mon regard et souris, quand je me mords les lèvres pour ne pas gémir de douleur.

    « Tu attendais ma bouche ou ma main sur ton nichon mais, c’est ma chaussure qui te caresse et mon talon qui te torture ton bout de mamelle, ça te semble illogique compte tenu de ton statut ? ».

    Je comprends que sa question appelle une réponse et c’est d’une voix rauque que je lui assure : « Non, Agnès, une salope comme moi ne mérite que vos pieds et vos chaussures ! ».

    Elle semble satisfaite et lève son autre pied : « Soutiens moi les chevilles de tes deux mains pour que je puisse jouer en même temps avec tes bouts bandés à exploser ! ».

    Elle alterne l’enfoncement des tétons dans mes seins gonflés et les griffures avec ses talons ferrés. Je n’en peux plus, j’ai envie de hurler mais son regard doux et brillant de plaisir m’apaise, et je m’efforce de ne pas crier pour qu’elle soit fière de moi. 

    Elle retire enfin ses mules de mes seins : « Bravo tu es une bonne salope en chaleur, prends ma mule droite dans ta main et suce sa semelle et son talon, mais pas le dessus, qui a mon odeur et que tu ne mérites pas encore ! ».

    En faisant bien attention de ne jamais la quitter des yeux, je lèche tous les recoins de sa semelle avant d’enfoncer le talon dans ma bouche, pour le pomper bruyamment comme une bite, en le faisant aller et venir dans ma bouche. « Hum tu me donnes envie de te voir sucer un homme : tu dois être une experte. Salive bien, sur ce talon, salope ».

    Je suis son conseil : le talon est rapidement luisant de ma salive et coulisse de mieux en mieux dans ma bouche. « Parfait il est à point : glisse le dans ton anus et assieds toi dessus sans tricher, je vérifierai ».

    Je la regarde avec des yeux penauds, lève le cul et glisse le talon dans mon anus bien ouvert. Je me rassieds, sentant à peine sa présence, mais je grimace un peu, pour lui faire comprendre qu’il est bien en place.

    « Très bien à présent l’autre mule, je pense que tu vas m'annoncer ce que tu dois faire et te décrire à haute voix pour moi ? ». « Agnès, je vais lécher votre semelle et pomper votre talon pour le faire reluire et je le glisserai dans mon trou du cul comme la petite salope enculée en chaleur que je suis ».

    Je léche soigneusement sa semelle et pompe et nettoie son talon, avant de l’enfoncer dans mon trou à merde. Dans cette position, je sens nettement les deux talons en moi.

    Nous ne nous sommes pas quittées du regard. Ses yeux, légèrement ironiques me transpercent : forcément veule, je suis à genoux devant elle, seins rougis et gonflés, yeux grands ouverts, mains croisées sur la tête, cambrée et l'anus rempli des talons de ses mules.

    Elle récupère la petite cuvette qui était restée longtemps sous moi, après avoir été baisée et enculée par les quatre inconnus, et la pose à nos pieds. Le mélange de liquides et de sécrétions a séché.

    Dans une petite soucoupe, elle récupère, une à une les capotes pleines, utilisées par ces hommes et les remplit à mi-hauteur de vodka glacée. Elle secoue bien chaque capote, avant de reverser l’étrange mixture dans la petite cuvette, qui se remplit à moitié.

    Elle pose son pied droit, nu, dans le récipient, me saisit par les cheveux, pour m'obliger à regarder son pied bouger dans tous les sens pour bien remuer ce mélange plus que douteux, qui salit, bien évidemment, tout son pied : des orteils, au talon, en passant par la plante !

    Elle éclate de rire et me dit : « Eh bien ma petite salope enculée en chaleur, comme tu te définis toi même ! Tu vas pouvoir te rendre utile en nettoyant avec ta langue ce pied que tu rêvais d'avoir en bouche ! ».

    Elle croise ses jambes, pour rehausser son pied sale qu'elle me tend ! Je le prends dans une main par la cheville, et commence mon léchage par la plante et le dessous des orteils. Le goût est nauséeux, je ne sais pas ce qui domine le plus : la vodka, mes sécrétions ou le goût très fort des foutres mélangés des quatre hommes. Je m’efforce, yeux ouverts, de lui faire plaisir en lui léchant tous les recoins de son pied souillé !

    Elle se révèle chatouilleuse et je la fais frémir : « Oh, vicieuse, tu me chatouilles avec ta langue de pute ! ». Mais, elle remue, visiblement avec plaisir, ses orteils dans ma bouche, en enfonçant son pied aussi loin qu’elle le peut, me faisant même mal aux commissures des lèvres.

    « Oh quelle bonne salope tu fais ! Annie, quelle soumise de choix tu nous a formée ! Elle donne vraiment envie qu’on lui fasse mal et qu’on la mette plus bas que terre ! Vas y, enlève ta main de mon pied, pompe le sans le toucher en le faisant aller et venir dans ta bouche de pipeuse de nœuds ! Et, passe tes deux mains derrière toi, pour te branler le trou du cul avec mes talons, je veux que tu jouisses du cul devant nous dans cette position que refuserait une prostituée professionnelle ! ».

    Elle est si excitée qu'elle est obligée de faire une pause avant de reprendre ses insultes qui me galvanisent : « Mais toi tu n'as pas honte, et tu vas même être fière de t'envoyer en l'air par le cul devant tes deux Maîtresses, espèce de pouffiasse veule et vicieuse ! Tu aimes le cul, par vice et pas pour le pognon, j'ai rarement vue une salope aussi vicieuse, sans aucune pudeur, ni aucune inhibition ! Tu peux essayer de hurler ton plaisir, si tu veux, mais avec mon pied dans ta gueule de truie, attendant ta saillie quotidienne, on n’entendra pas grand chose espèce de bourgeoise dégénérée ! ».

    Jeudi 26 janvier 2017 - 17h00

    Je me relève un peu pour donner plus d’espace à mes mouvements et je me défonce durement l'anus avec les deux talons. Je regarde toujours Agnès dans les yeux. Ils sont de plus en plus brillants et peinent à rester ouverts. Je suis fière de constater qu’elle est de plus en plus excitée. Elle ouvre franchement son peignoir et pose sa main gauche sur son sexe. C’est la première fois que je la vois presque toute nue, et qu’elle s’abandonne en se caressant devant moi.

    Mais elle en veut plus, et veut rester d'une quelconque manière en contact avec moi ! Elle demande à Annie le ceinturon de cuir qui est resté sur la table, elle en fait plusieurs tours autour de sa main droite, ne gardant qu’une vingtaine de centimètres de cuir libre, et, sans arrêter de se caresser de la main gauche, elle me gifle violemment avec.

    Si la majorité de ses coups atteignent mes joues, mon visage, mon cou, mes épaules et, même le haut de mes seins, certains lui effleurent le pied que je pompe toujours : « Tu me paieras ça, connasse, je me fais mal au pied à cause de toi ! ».

    La force de ses coups est égale à son excitation : plus elle a de plaisir, plus elle devient brutale. Sans pouvoir me regarder, je suis sure que le cuir a marqué mon visage. Mais, ma position devant elle, les talons qui me taraudent, la vue de sa chatte de plus en plus trempée et les coups qui me font mal, mais qui m’excitent font monter un tsunami en moi.

    J’essaye de ne pas quitter son regard, mais mes yeux se révulsent, je fais attention de ne pas mordre son pied alors que mon corps commence à se tordre. Mais Agnès, malgré son excitation, réalise de suite ce qui m’arrive, et hurle : « Stoooooop ! Arrête toi, sors mon pied de ta bouche et débarrasse ton cul de mes talons ! ».

    Mon regard frustré doit être tellement triste et surpris, qu’elle me gifle violemment les deux joues avec le ceinturon en me disant : « Je te rappelle ma salope en chaleur que tu es là pour mon plaisir : si l'un de tes orgasmes me fait plaisir, tu jouiras, mais je ne vais pas supporter que tu jouisses avant moi, connasse ignare ! ».

    En même temps, elle avance ses fesses au bord du fauteuil, ouvre encore plus son peignoir et ses cuisses : « Mais tu vas avoir ta récompense : vas y salope fais ton travail : bouffe moi la chatte, et je te conseille de bien t’appliquer, sinon, c'est la dernière fois de ta vie que tu la verras ! ».

    Avec regret, je retire les talons de mon anus, je dois changer un peu de position pour me rapprocher d’elle et pouvoir la lécher de bas en haut. Elle est trempée. C'est la première fois que je goûte et apprécie un jus de femme excitée aussi délicat et agréable.

    Totalement séduite, je ferme les yeux pour me consacrer à ma tâche, en cherchant vraiment à lui faire plaisir et, en oubliant mon propre plaisir, que je sens encore affleurer dans toutes les parties de mon corps.

    Quelques coups, peu appuyés, de ceinturon sur mes épaules me stimulent, mais ses petits cris et ses gloussements qui vont crescendo me comblent et elle jouit très rapidement en gémissant et en grognant, d’une manière beaucoup moins démonstrative que moi.

    Je continue à la lécher jusqu’à ce qu’elle soit parfaitement propre, la laissant ronronner de plaisir, visiblement apaisée et satisfaite.

    Jeudi 26 janvier 2017 - 17h30

    Elle me repousse du pied en refermant son peignoir, me privant de la vue de son beau corps de blonde, pâle et désirable : « Vas prendre une douche, c’est la troisième porte à gauche dans le couloir et tu reviendras pour fumer une cigarette que tu as bien mérité ma belle salope. Mais attention interdiction d’enlever ton soutien-nichons et de jouir ! ».

    Je file sous la douche, que j'apprécie après tant d’épreuves, de surprises et de sueur. J’y serais bien restée plus, mais je me contente d’un quart d’heure, en faisant bien attention de ne pas me mouiller les cheveux.

    Séchée, je reviens nue au salon où Agnès et Annie m’attendent assises dans deux fauteuils. Je me rends compte à ce moment là, combien le salon est grand. « Tu as des cigarettes sur la table, sers toi mais reste debout ». Il y a ma marque de cigarettes, et, c'est avec un réel plaisir que j'avale une profonde aspiration, en restant debout face à elles.

    Agnès me dit : « Je crois que nous allons devoir nous séparer. Mais avec Annie, nous venons de nous mettre d’accord pour nous revoir très prochainement. Il te faudra probablement mentir à ta famille, car je te veux à moi : soit, l'idéal : du vendredi soir au dimanche soir, ou, à la rigueur : du samedi midi au dimanche soir : il faudra te débrouiller mais j’ai la promesse d'Annie. Compris ma petite salope ? ».

    « Oui Agnès, je vous promets que je me libérerai, j'ai très à cœur de vous satisfaire Agnès et d'honorer les promesses de Madame ! ». « Très bien, j’ai confiance en vous, je sais donc que je te reverrai, dès que vous serez parties, je mettrai au point un petit synopsis que j'enverrai à Annie pour qu'elle le rectifie en fonction de la meilleure connaissance qu'elle a de toi, comme ça, je serai sure d'avoir deux Maîtresses et une esclave totalement comblées par cette rencontre ! ».

    Mes deux dominantes m'accordent une autre cigarette en même temps qu'elles, et quand Agnès écrase la sienne, elle me dit de m'approcher ! Je reste debout, face à elle. Elle m’ôte délicatement le soutien-seins de cuir. Ma poitrine, enfin libre, s’affaisse un peu et je pousse un soupir de soulagement qui n’échappe pas à Agnès qui me sourit en me disant :

    « Annie m’a aussi confié que tu pouvais jouir seulement en te touchant les tétons, avant que vous ne partiez, j'ai très envie de te voir t'envoyer en l'air comme ça : tu veux des pinces en bois, en plastique ou en fer pour tes bouts de mamelles ? ». Je rougis : « Avec votre permission, Agnès, mes doigts devraient suffire ».

    Elle rit, s’installe dans son fauteuil. Me demande d'enfiler mes escarpins à talons hauts, pour faire plus vulgaire, de rester debout devant elles, avec les cuisses largement ouvertes, pour être sures que je ne me frotte pas les cuisses l’une contre l’autre, pour aider mon orgasme ! « Vas y, ma salope : je t'avoue que je n’ai jamais vu une femelle jouir uniquement de ses mamelles ! ».

    Je pose mes mains sur mes seins et, très excitée, mes doigts caressent mes tétons. Je regarde à tour de rôle mes Maîtresses, comme Agnès me le demande. Mes tétons durcissent très vite. Je sais par expérience qu’il me faut être surexcitée, pour jouir de cette manière, mais je me sens dans l'état idéal pour cet orgasme.

    Très vite, mes doigts pincent mes tétons, puis c'est au tour de mes ongles, me faisant gémir autant de douleur que de plaisir. Peu à peu je perds tout contrôle et je monte sur mon nuage, oubliant les femmes qui me regardent et la caméra qui me filme. Mes cris sont de plus en plus forts et de plus en plus rapprochés.

    Je sens l’orgasme monter en moi. Je sais que je ne vais pas pouvoir me retenir très longtemps. Je regarde une dernière fois Agnès, elle lit dans mes yeux que j’ai dépassé le point de non retour et que je la supplie de ne pas m'interrompre, mais elle sourit et ses lèvres miment un baiser pour m’encourager à continuer.

    Et, brutalement, je vacille sur mes genoux et je jouis en hurlant, les doigts et les ongles crispés sur mes tétons. Toute l’accumulation de mon excitation antérieure semble s’évacuer de mon corps qui tremble des pieds à la tête, faisant rire les femmes. Ma tension met une éternité à diminuer, je transpire comme une marathonienne, totalement exténuée.

    Agnès sourit : « Tu es vraiment une salope peu ordinaire : j’avoue que j’ai hâte de jouer avec toi un week-end entier ! Je vais te pousser dans tes derniers retranchements et te faire atteindre des limites que tu ne peux même pas soupçonner toi même ! ». Annie la rassure en lui disant qu’après la promesse que j'ai faite, elle n’aura pas longtemps à attendre.

    « Bien, allez ma petite Loréna, prends tes affaires, vas te doucher et t’habiller, vous êtes déjà un peu en retard sur votre horaire prévu ! ».

    Jeudi 26 janvier 2017 - 18h00

    Quelques minutes plus tard, nous sommes sur le chemin du retour. Je ne suis pas très bavarde, mais Annie semble en pleine forme : « J’ai accepté que tu revois Agnès, car c’est une excellente dominatrice et qu’avec elle il n’y a pas de rapports d’argent, ce n’est donc pas une cliente à toi, par contre, elle est très connue dans le milieu bdsm de Vichy, elle va donc te rabattre de très nombreux clients : il faudra sûrement que vous négociez toutes les deux un % pour elle ».

    Je lui allume une cigarette et elle continue : « Mais tu ne reviens pas de cette ballade à Vichy les mains vides ! Tu as gagné 110€ ! Eh oui, seul ton premier niqueur t’a payée 50€, les autres t’ont eue pour 20€ chacun. Sois sure qu’ils étaient contents de l’aubaine ! Une pute comme toi pour 20€ c’est vraiment la liquidation avant fermeture ! ».

    Je mets les billets dans ma poche sans rien dire, ça ne sert à rien : Annie refusera toujours une part !

    Nous arrivons au motel. « J'espère que tu auras beaucoup d'appels demain pour ta future femme de ménage, nous nous revoyons samedi soir à la maison, soyez là pour 20h, ça te convient ? ». « Oui ce sera parfait Madame ».

    « Rappelle toi ma pute qu'en dehors de la soirée orientale que je vais vous préparer, la seule chose que nous devrons apprécier, c’est de voir la bite de mon mari défoncer ton petit cul ! Et compte sur moi pour mettre le bdsm sur le tapis : je ne vais pas me gêner, en sachant que tu es aussi l'esclave de ton mari de temps en temps ! Je suis sure que nous allons passer une super soirée ! ».

    Elle m’embrasse longuement sur la bouche, et nous repartons chacune de notre côté.

    Vendredi 27 janvier 2017 - 09h50

    Je suis au bureau, il va bientôt être 10h, et j'espère recevoir de nombreux appels en 2h ! Il est toujours délicat d'intégrer, ne serait-ce que partiellement, une tierce personne dans une famille, et si dans mon travail de DRH pour la Société, je fais très attention pour éviter toute erreur de jugement, je crois que je vais être encore plus attentive pour ce recrutement plus personnel !

    Il fait un temps splendide. Je sors dans la cour fumer une cigarette avec Sophie, et nous parlons, bien évidemment de ce recrutement un peu angoissant, elle tente gentiment de me rassurer.

    A mon retour, j'appelle Annie sur son portable pour lui proposer de nous rejoindre, Jean et moi chez Mario pour une petite pizza-party, elle accepte avec plaisir et, rendez-vous est pris pour 12h10 chez Mario.

    A 10h00 j'appelle Jean pendant sa récré pour lui signaler que je viendrai le chercher à midi avec une surprise, et j'attends en travaillant sur mes dossiers en cours.

    Cinq minutes après, j'ai le premier appel, une dame de 50 ans qui cherche 8h de ménage quotidien, sans repassage, je lui dis poliment de relire mon annonce et je raccroche. 10h10, et toujours un seul appel, je commence à me faire du souci !

    Mais, j'en reçois presque deux coup sur coup : une femme célibataire de 35 ans avec un garçon de 15 ans qui habite à 200 mètres de chez moi, et semble savoir tout faire. En plus, elle répond très correctement et très gentiment à toutes mes questions. Je lui propose un rendez-vous ce samedi chez moi à 10h. Elle s'appelle Eva. Je lui donne mon adresse.

    J'ai six appels en tout, mais je ne donne que trois rendez-vous pour ce samedi : Eva à 10h, Mariette à 11h et Joëlle à 12h, mais, cette dernière doit me confirmer que son mari peut l'accompagner, ce qui me semble être rédhibitoire ! Donc, seuls les deux premiers me semblent sérieux !

    Vendredi 27 janvier 2017 - 11h55

    Je quitte le bureau et file vers l'Institut. Jean m'attend devant le portail en discutant avec un copain, il est superbement habillé, mais avec des vêtements que je ne connais pas !

    Je constate en souriant que mes beaux-parents veillent, en effet, très bien sur lui ! Je me garde de faire une réflexion. Il monte, m'embrasse et je lui dis de suite : « Nous rejoignons Annie chez Mario, ma nouvelle amie et voisine avait très envie de faire ta connaissance ! « Ah c'est super, moi aussi, il me tardait de la rencontrer ! ». « Tu verras, elle t'adore déjà et vous allez devenir copains, chez elle, il y a plusieurs consoles vidéos et plein de jeux ! ».

    En cinq minutes nous sommes chez Mario ou Annie nous attend dehors en fumant : Jean lui fait un gros bisou en la gratifiant d'un : « Salut, Annie je suis très content de te connaître, c'est quoi comme consoles vidéos que tu as ? ». Ça y est la glace est rompue entre eux !

    En riant, Annie me bise la joue et me dis : « J'ai demandé à Mario si nous pouvions manger dehors, ça te va, Loré ? ». « Oui, tout à fait, je garderai mon gilet, mais en plein soleil on aura presque trop chaud ! Et, regarde le serveur : il est en train de dresser des tables dehors ! ».

    Vendredi 27 janvier 2017 - 12h15

    Mario après nous avoir salués, nous installe à une table sans parasol. Prend notre commande de trois pizzas fromages, un demi-rosé et un Coca. Dès qu'il nous laisse, j'en profite pour dire à Jean que j'ai eu une belle augmentation, et que depuis mardi, je cherche une dame pour m'aider à la maison, pour le repassage, le ménage et d'autres bricoles.

    Jean est enchanté de cette bonne nouvelle : « Chic, Maman, comme ça je te verrai plus, car quand tu n'es pas au bureau : tu repasses, tu gères tes dossiers de travail sur ton ordinateur ou tu nettoies ! ».

    Nous rions toutes les deux, mais en fait, il a raison !

    Annie me demande si j'ai des touches ?

    Je lui résume rapidement la situation : « J'ai envoyé dix messages, ce matin j'ai eu six appels et je n'ai donné que trois rendez-vous pour ce samedi matin. Seuls deux rendez-vous, me semblent sérieux, si tout va bien, samedi, nous aurons une gouvernante, à propos : ce titre te paraît bien Annie, pas trop prétentieux ? Pas déplacé de nos jours ? ».

    « Je ne le trouve ni déplacé ni abscons, mais je te suggère de l'interroger, elle, pour savoir comment elle aimerait que tu l'appelles ? ». J'admire Annie qui arrive à me dire cette phrase sans rougir ! Moi, je ne peux pas m'en empêcher ! Et, bien sur elle me pique ! « Ah oui, ce soleil est très fort, tu rougis déjà Loré ! ».

    Comme je l'ai enseigné à Jean, il me demande : « Maman, ça veut dire quoi abscons ? ». « Un mot abscons est un mot qui a disparu de notre vocabulaire et qui ne va pas tarder à être enlevé du dictionnaire, si tu veux un exemple, je peux te citer le mot : « abscons » que seules les Maîtresses utilisent encore ! ».

    Et toc ! Retour à l'envoyeur, « 15a » dit l'arbitre !

    Annie et moi éclatons de rire, entraînant Jean, à qui nous ne pouvons pas vraiment expliquer, pourquoi nous rions !

    Le repas est très agréable, nous rions beaucoup, Jean se révèle plein d'humour et de finesse de langage, Annie l'apprécie beaucoup, et quand nous avons terminé, je dis à Annie : « Nous sommes convenus que nous réglerions les additions à tour de rôle, après moi, puis toi, Annie, c'est donc au tour de Jean ! Et je lui donne ma Visa, en lui demandant s'il se rappelle de mon code ? ».

    « Bien sur Maman, c'est le 4962 ! ». Pliées de rire, nous le mettons en garde toutes les deux en même temps, en lui disant que c'est un code secret ! Et que maintenant tous les clients pourront payer avec cette carte !

    Il nous répond intelligemment : « Oui, mais pour ça, il faut qu'ils soient toi ou Yves ou Annie ou moi ! ». J'approuve et lui fait un gros bisou ! Trop intelligent ce gamin ! On en fera sûrement quelque chose !

    Nous rions et fier comme Artaban, il va régler tout seul, met le billet que je lui ai glissé dans le petit cochon des pourboires et revient avec trois sucettes et la facturette !

    Annie sourit en regardant nos deux sucettes, avant de les donner à Jean, et de me dire : « Tu crois que Mario a été allusif sur ce coup ? ». Heureusement que Jean n'a pas entendu car il m'aurait demandé ce que signifiait « allusif » !

    Les bises : « A demain soir pour Annie », « A dimanche soir pour mon Jean », « A demain par téléphone à tous les deux pour la réponse de la gouvernante ».

    Annie me propose de déposer Jean à son Institut, j'accepte, car je sens que ça fait plaisir à Jean et je file directement au bureau.

    Vendredi 27 janvier 2017 - 19h30

    Un peu étonnée par la maturité de Jean, je l'ai appelé du bureau avant de partir, pour lui demander s'il voulait que je passe le prendre chez ses grands-parents ou s'il y restait jusqu'à dimanche soir ? Il m'a répondu qu'il faisait ses devoirs de lundi et que sa mamy lui avait préparé une grosse omelette aux cèpes et du riz au lait ! Ses deux plats favoris !

    « Entendu ! Je ne peux pas lutter ! A dimanche soir, fiston adoré ! ».

    Yves m'ayant prévenu qu'il aura dîné à l'aéroport, compte tenu de l'attente entre les deux avions. De mon côté, je me suis fait un sandwich, et j'avance un peu le tableau de mes exploits, qui est, en fait un journal intime sous forme de tableau donnant la date, le lieu, la durée, les participants, les actes, et les éventuels gains de chacune de mes relations sexuelles, de ma vie secrète. Document idéal pour Yves s'il veut divorcer, mais que j'ai décidé de tenir pour ne rien oublier de cette nouvelle vie !

    Le téléphone sonne, je suis très surprise car c’est Marc : « Bonsoir Loré, j’espère que je ne te dérange pas ». « Non, pas du tout Marc, je pianotais sur mon ordi en attendant Yves qui rentre par le 22h30 de Paris ». « Tu réponds déjà à une de mes questions, car Annie n'a pas été capable de me dire à quelle heure il rentrait ! Donc, ça lui fait 23h et des brouettes à la maison, par conséquent, ce sera pour demain ! ».

    « Que veux-tu que je lui dise à son arrivée ? ». « Oh, simplement s'il peut se libérer une petite demi-heure, dans la journée, pour prendre un verre à la maison demain ? ».

    Un peu surprise de ne pas être invitée, je dis à Marc : « Pas de souci, je transmettrai, il t'appellera demain matin pour te donner ses heures de liberté, en principe il va au bureau quand il revient de l'étranger, mais il trouvera bien le temps de venir papoter avec toi ! ». « Ok, Loré, merci, Annie t'embrasse ! A demain soir, bisou ! ».

    Je souris en moi même, je sens que durant cette demi-heure, mes oreilles vont siffler ! Mais ça fait partie de la règle du jeu imposée par Madame, acceptée par la gouvernante, pour éviter de dire la bonniche !

    Toujours est-il que le schéma de mon tableau intime est terminé, quand Yves rentre, et nous sommes le :

    Vendredi 27 janvier 2017

    et, il est :

    23h30

    Donc l'heure de dormir pour vous !

    Et l'heure de se coucher dans la maison d'Yves-Loré ou la veilleuse risque de veiller très tard dans la nuit !

    Suite > Chapitre 5


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