• Fab 3

    Fabienne 03

    Fantasme à 4 mains de Robert et Loré

    (Suite début janvier 2018)

    # 18 – Deux semaines après !

    Une quinzaine de jours après cette soirée chez Lydia, j'essaye de soulager ma gentille aide ménagère en rangeant et nettoyant un peu la maison, et, ce, dans une tenue que certains puritains qualifieraient d'obscène : short ras-du-cul, visiblement sans culotte, et top XXL baillant de partout et surtout autour de mes seins qui n'arrivent pas à cacher l'absence de soutien gorge et qui ne peuvent pas se planquer derrière le manque de tissu !

    C'est presque ça ! >

    Fabienne 03

    Je chantonne, pieds nus en bossant, la journée est belle !

    Je viens d'accompagner Louis à l'aéroport pour un départ vers Pékin où il va passer plus de 10 jours, ce que je comprends facilement vu le prix de son billet d'avion !

    Il y a 15 jours, à son retour de Berlin, 2 jours après la soirée chez Lydia, nous avons, comme d'habitude, renoué avec une nuit de noces de 2 semaines, durant laquelle je lui ai raconté ce que j'avais fait chez notre nouvelle voisine, sans omettre aucun détail.

    Il a accueilli ces infos avec le sourire, et sa bite s'est plusieurs fois redressée durant mes récits et, bien que vidangée régulièrement de son bon foutre, je ne suis pas arrivée à la calmer pour de bon !

    Bref, tout s'est bien passé pour ma conscience, bien que j'ai un peu dissimulé l'aspect bdsm, que je savais ne pas lui plaire, en insistant sur l'aspect partouze sur lequel il ne trouvait rien à redire, mais aussi pour l'aspect sexuel puisque mes récits détaillés nous ont valu moult orgasmes réciproques et des nuits très agitées.

    Je suis donc malheureuse de son départ, mais satisfaite de pouvoir me reposer et profiter de mes enfants, de ma maison et de la piscine en ce beau mois estival.

    Je pense à mon emploi du temps pour ces 10 jours, deux ou trois cinés et quelques restaurants avec mes enfants,et, surtout, après demain la deuxième session téléphone avec mon ami Hubert.

    Et rien d'autre en vue, sinon des jouissances quotidiennes et ce que voudra bien me confier le hasard !

    Le téléphone sonne, je suis juste à côté : "Bonjour, je suis Fabienne un répondeur à deux pattes, vous pouvez parler quand vous le voulez !"

    Un éclat de rire me répond et je reconnais de suite le cristal de la voix de Lydia !

    "Ah bonjour ma chérie, je languissais d'avoir de tes nouvelles !"

    "Bonjour, Fab ! Oui, moi aussi, mais je ne veux pas te déranger quand Louis est là et je te laissais digérer cette belle soirée !"

    "Merci pour cette double attention, il faut que tu saches que j'ai tout raconté à mon tendre, mais avec un angle d'approche plus partouze que bdsm, car il est farouchement opposé à cette dernière pratique"

    "Je dois te féliciter, Fab, peu de femmes aurait eu ce courage, je reconnais bien là l’honnêteté que tu m'as déjà démontrée !"

    "Bah, je ne sais pas vivre dans le mensonge, comme toi, je trafique un peu la vérité quand ça en vaut la peine !"

    "Bonne philosophie que j'approuve ma chérie, dis moi, je t'appelle pour te demander si je peux venir chez toi : j'ai envie de papoter avec ma chère nouvelle voisine et je dois aussi te rendre le thermos à champagne, tu ne fais rien de spécial ?"

    "Non, pas grand chose d'époustouflant ! Je fais mon ménage ! Alors je serai heureuse de te recevoir : j'échange un grand plaisir contre une grande corvée ! Mais laisse moi 10 minutes pour que je m'habille décemment !"

    "Pourquoi ? Tu fais le ménage à poil ? Si, oui, je regrette de t'avoir appelée ! J'aurais du venir directement chez toi !"

    J'éclate de rire : "Non ! Pire que ça : je suis en mini short et en top ouvert de partout, mais sans aucun sous-vêtements, si je t'ouvre comme ça je suis sure que tu voudras me violer dans le hall !"

    "Et ça te fait si peur ? Reste comme tu es, j'arrive !" Et elle raccroche ! 

    Je repose le combiné en riant et sûre de ne pas avoir à les reprendre, je range mes instruments de torture : seau, aspirateur, balai et autre plumeau à poussière et je décide de ne pas me changer !

    Je file à la cuisine pour faire une cafetière de bon café expresso et, je reviens dans le salon pour m'allumer une cigarette non sans avoir entrebâillé la porte d'entrée.

    # 19 – Papotage entre amies !

    Quelques minutes plus tard, Lydia pousse ma porte en me criant : "Je peux ?" Je lui réponds que c'était fait pour !

    Elle me retrouve dans le salon : après un bisou furtif sur les lèvres, je me lève en lui disant : "Assieds toi, j'ai préparé du café expresso tout frais et des petits fours décongelés que j'adore :  nous allons nous régaler, je reviens de suite !"

    Elle me donne le thermos en me disant d'en profiter pour le remettre en place dans la cuisine.

    Deux minutes plus tard je reviens avec un plateau rempli de café, de tasses, de sucre, de lait et de petits fours sucrés décongelés à la dernière minute au micro onde et que j'aime beaucoup.

    Un peu comme ça ! >

    Fabienne 03

    "Alors, comment s'est passé le séjour de Louis, cette fois il est resté 15 jours à Lyon, vous avez du en profiter !"

    "Oh, oui, 15 jours de folies sexuelles, de restaurants et de bons moments en tête à tête ou en famille. Il a particulièrement apprécié que je lui raconte en détail ce que j'avais fait en son absence : ça l'a beaucoup excité et il a bien compris que quelle que soit ma libido, je reviendrai toujours m'empaler sur sa bite !"

    "C'est beau de ne pas être jaloux, Aurélien l'est un peu trop : tu devrais lui donner quelques leçons et le sermonner !"

    Je souris en buvant mon café après avoir avalé un petit four.

    "Mais dis moi, tu n'avais que la fête chez moi à lui raconter à ta manière ? Ou tu avais plus de vérités à lui annoncer ?"

    "Oui, en effet, il y avait d'autres aveux à lui faire : il y a près de 3 mois, j'ai eu un long entretien avec mon amie et confidente Isabelle, avec laquelle j'ai eu une aventure lesbienne de 2 ans, avant qu'elle ne me fasse rencontrer Louis. Nous avons déjeuné ensemble chez notre Chinois habituel et je lui ai posé une seule question : "Comment occuper mon temps et ma libido durant les absences de Louis, sans le tromper et pour me changer un peu de mes 20 branlettes quotidiennes ?"

    "20 orgasmes jour ? Mais tu es un monstre d'endurance ma chérie ? Comment arrives-tu à ça ? Mon record quotidien doit être de 6 ou 7 !"

    "Oh, j'ai beaucoup de chance, je suis bien sur multi-orgasmique, mais toujours en demande et si je commence une séance d'excitation, il faut qu'elle se termine par un orgasme, mais attention, je parle de simples orgasmes, pas de tsunamis comme tu m'as offert dans ta cuisine et avec tes amis. Il n'est pas question que j'ai 20 tsunamis par jour, ma santé ne suivrait pas ! En fait, 2 tsunamis peuvent remplacer une bonne dizaine de jouissances plus classiques !" 

    "Eh bien, ma chérie, je n'ai jamais rencontré une femme comme toi, tu es sûre que tu ne prends pas de viagra féminin ?"

    Je rougis devant ce que je pense être un compliment et j'éclate de rire en lui assurant que je n'en ai absolument pas besoin !

    "Je te découvre sous un nouveau jour, que j'imaginais, mais sans en être sure, et donc, sauf si tu ne veux pas te confier ! Qu'as tu annoncé à ton tendre ?"

    "Eh bien seulement les résultats de mon repas chinois avec Isa qui m'a proposé 4 solutions pour prendre mon pied et calmer ma libido sans lui être infidèle. En fait, elle m'a suggéré 4 hypothèses, mais je n'en ai retenues que 3 à annoncer à Louis, encore une entorse à mon amour de la vérité vraie !"

    "Tu devrais de suite te débarrasser de cette 4ème non dite à ton mari !"

    "Tu as raison : cette idée va te rappeler quelque chose : c'est de faire glisser peu à peu ma sexualité vers le bdsm, sans en devenir addictive et sans le dire à Louis qui est fermement opposé à ces pratiques qui, pour lui, n'ont rien à voir avec l'amour !"

    "Il a raison, le bdsm reste un jeu de rôle, 100% cul, l'amour est en effet un tout autre concept"

    "Bien sur mais il est aussi évident que, si nous reprenons l'exemple de ta cuisine, ma demande d'avoir les yeux bandés a fait virer la séance au bdsm, alors, de dire à Louis que nous nous sommes gouinées ou que je me suis soumise à toi est pratiquement le même aveu, dans tous les cas, je me sens parfaitement en paix avec ma conscience, je lui ai avoué une relation de cul avec notre nouvelle voisine, que j'apprécie, mais c'est Lui que j'Aime !"

    "Et tu as raison, car c'est vrai, la notion d'obéissance rentre déjà dans l'intimité de la séance, et tu peux parler des 2 godes sans dire que tu ne les avaient pas demandés et moi je peux citer ta jouissance sans révéler que tu avais demandé à avoir les yeux bandés !"

    "Tout à fait, Lydia, tu es toi aussi une excellente psy comme Isa !"

    "Merci, à présent, il te reste 3 hypothèses à m'annoncer !"

    "Oui je lui en ai donc donné 3 en citant même Isa comme source : il la connaît très bien, en me présentant à lui elle savait que ce serait pour la vie ! Bon, je vais te dire ce que tu attends, car je te sens bouillante d'impatience !"

    "Bouillante n'est pas peu dire ma chérie !"

    "La 1ère est simple : il s'agit de reprendre mes relations lesbiennes avec elle, en sachant que depuis que nous avons rompu, elle s'est tournée vers le bdsm et fait partie de ce monde Lyonnais où elle connait beaucoup de gens et où elle semble très appréciée. Mais elle attend de moi ce que je choisirai : une relation lesbienne classique ou bdsm !"

    "Sans être prétentieuse, Isa serait une concurrente pour moi ! Mais je trouve sa proposition très généreuse, si elle reprend des rapports de gouines avec toi, alors qu'elle s'est habituée à des soumises, c'est qu'elle a encore un profond amour pour toi, et tu as pris une décision ?"

    "Aucune Lydia, c'est surtout comme mon guide vers le bdsm que vous êtes concurrentes, mais je n'oublie pas que tu as été la première à me tenir la main et quelle que soit ma décision, ni toi ni elle ne serez lésées !"

    "Tu es toujours aussi gentille ! Fab ! Je te laisse continuer !"

    # 20 – Cherche job de caméra-woman !

    "Les 2ème et 3ème sont quasiment identiques, je vais donc te les détailler ensemble !"

    "Je me ressers du café tu en veux ?" J'accepte avec plaisir.

    J'attends qu'elle me serve, je bois une gorgée, il est encore bien chaud et très fort, et je reprends :

    "La différence entre les deux est simple : pour chacune des idées je dois trouver un ou une ou plusieurs partenaires, mais il y a 2 formes de sessions : la téléphonique et la web-cam ! Je suppose que tu vois déjà de quoi je vais te parler ?"

    "Oui, Fab, l'ancien minitel rose amélioré par les smart-phones et les cessions vidéo d'ordi à ordi ! 2 excellentes idées en fait ! Et je t'avoue que je n'en voyais pas d'autres en 2018 !"

    "Donc Isa a bien travaillé ! Je le lui dirai de ta part ! Et, en fait nous avons mis presque 3 mois à mettre ces 2 idées au point. Ca peut te paraître long, mais il faut prendre en compte que nous arrêtions quand Louis était là et qu'elle travaille. Elle m'a aidé à sélectionner les meilleurs sites, à m'y inscrire, à rédiger mes fiches de présentation, mes fiche de tabous, à sélectionner mes photos et à créer mes adresses mails et une semaine avant que tu n'arrives dans ma vie, nous avons lancé la session téléphone et le jour où tu es venue te présenter à moi, je terminais ma 1ère session avec un très gentil partenaire qui s'appelle Hubert. Celui qui m'a fait jouir, tout en jouissant et en te faisant jouir !" 

    "Oups ! Quel jeu de dominos tombant ! Je n'avais pas imaginé ça !"

    "Oui, tu vois, c'est le hasard de la vie qui a créé notre rencontre dans des circonstances aussi particulières ! J'ai rendez-vous ce samedi avec Hubert pour notre 2ème séance, et j'avoue avoir hâte d'y être !"

    "Je te comprends, combien de fois as-tu joui pendant la 1ère ?"

    "Moi ? Un nombre indécent de fois ! Mais ce dont je suis très fière c'est que lui a joui 3 fois en moins de 3 heures, ce qui, pour un homme..."

    "... est un véritable exploit ! Bravo, tu as du bien le chauffer !"

    "Oui c'est ce que j'ai pensé, et en plus il a été adorable et m'a donné des conseils et aucun ordre, ce qui doit contribuer à faciliter mon entrée dans le monde de l'obéissance"

    "Il est vrai qu'il faut aborder le bdsm en toute sécurité et ensuite, comme tu le fais : doucement. C'est très bien, Isa t'a bien conseillée !"

    "Je sais que je peux compter sur elle, tout comme toi sur tes amis !"

    "Et les sessions vidéo tu les lances quand ?" "Je pense le faire après la séance téléphone de ce samedi, pour en essayer une avant le retour de Louis, si toutefois je trouve quelqu'un !"

    "Tu veux rire je suppose ? Mignonne comme tu l'es tu vas avoir des centaines de demandes à trier ! Et, uniquement l'embarras du choix, car je suis sure qu'Isa t'a mise sur le meilleur site existant sur le web !"

    "C'est aussi ce qu'elle m'a prédit, nous verrons si c'est exact !"

    "Si tu veux, donne moi tes sites, je te ferai de la pub dans mes relations, et si quelqu'un se recommande de moi, fais lui confiance, tu n'auras pas de problème avec elle ou lui !"

    "Ah, oui, je veux bien, Isa va faire pareil et elle aussi va me recommander des gens fiables, si tu veux les noter de suite sur ton i-phone, pour le téléphone c'est > telxxxfree.com et pour la vidéo > visiocamfree.com "

    Elle sort son téléphone et y enregistre mes 2 sites. 

    "C'est curieux comme vos réactions sont identiques toutes les deux !" "C'est normal, nous connaissons bien le web et ses obstacles ainsi que les sites de contact, donc, nous ne pouvons réagir que de la même manière !"

    "Tu as surement raison, je suis très novice dans ces domaines !"

    "Dis-moi, ma chérie, en parlant avec toi, je viens d'avoir une idée, qui pourrait te convenir, je peux te la proposer ?"

    "Lydia, pourquoi demander mon accord avant de me parler ? C'est le monde à l'envers, tu ne crois pas ? !"

    "Oui, en effet, mais je n'ai pas fait attention, donc, je te livre mon idée ! Tu dois être bien équipée en web-cam ?"

    "Oui, en prévision des sessions vidéo j'en ai acheté une, très simple à manier, mais très perfectionnée, j'espère qu'elle vaut le prix qu'elle m'a coûtée, mais à ce jour, je ne l'ai pas encore essayée !"

    "Bien, il est primordial que les images que tu donnes de toi soient techniquement les plus belles possibles, mais mon idée est la suivante : pourquoi ne pourrais-je pas t'aider durant une session vidéo, en te filmant : comme ça tu pourras te consacrer uniquement à ta session.

    Et, je rajoute, en plus, que je filme assez bien et je sais utiliser un zoom, un grand angle et couper un scène sans brutalité, qu'en penses-tu ?"

    Je réfléchis en silence, en réalisant que Lydia va donc me voir me soumettre en vidéo, mais que ça ne fera que répéter une session qu'elle a, elle même, dirigée, et, en plus le clip sera forcément meilleur qu'avec une simple caméra posée sur un support, car je ne me vois pas faire des zooms quand la session deviendra très chaude ! 

    Lydia reprend une tasse de café et me mime le remplissage de la mienne, je lui fais signe que non, elle boit sans interrompre ma réflexion.

    "Je crois, Lydia, que c'est une excellente idée, il faudra simplement veiller à ce que tu n'apparaisses pas sur le film, mais il est sur que tu vas savoir créer des images que je serais incapable de donner à mes voyeurs ! Et, en réfléchissant à ta proposition, j'ai même une autre idée : pourquoi ne pas essayer la caméra ce samedi : tu pourrais me suivre partout en me filmant lors de ma séance téléphonique, et nous pourrions faire 3 copies : 1 pour toi, 1 pour Isa et 1 pour Louis, s'il n'y a pas trop de bdsm !" 

    "Ho ! Bravo, cette idée me séduit tout à fait : je suis d'accord pour samedi, je vais faire en sorte d'être libre, mais, pour tester ta caméra, j'avais une autre suggestion plus rapide. Mais, avant, je dois te demander si elle est synchronisée avec ton téléviseur de salon ?"

    "Oui, Louis s'en est occupé et m'a expliqué le mode d'emploi : je sais que la connexion se fait en wifi se fait automatiquement en appuyant sur le canal dédié à la caméra que j'ai noté. Mais, pardonne-moi, je t'ai coupée la parole : quelle était ton idée un essai plus rapide ?" 

    "De préparer ta caméra, de la connecter sur ton téléviseur, de fumer 1 ou 2 cigarettes en attendant que je revienne de chez moi avec quelques jouets pour ton plaisir et d'essayer de t'amener à un mini tsunami !"

    Je souris et lui dis en la regardant droit dans les yeux : "Et tu penses que je vais accepter ?"

    "Deux passages de notre discussion me font penser que oui : tu m'as dit que tu étais toujours en demande, et que lorsque tu commençais une séance, tu devais atteindre l'orgasme, certes, nous ne sommes pas en séance mais depuis plus d'1 heure que nous parlons cul, je suis trempée et je peux m'imaginer dans quel état tu es ! Voilà mes raisons ma chérie !"

    J'allume une cigarette et me lève en faisant semblant de réfléchir intensément. Je tourne un peu dans le salon : Lydia me regarde avec une grande curiosité, elle m'a connue plus spontanée !

    Je me dirige vers elle, lui prend la main droite et l'invite à se lever.

    Son oreille étant à portée de ma bouche, je lui murmure de ma voix rauque qu'elle commence à connaître, et lui dis : "Et qu'attendais-tu pour me faire cette proposition ? J'en crevais d'envie ! Je t'attendrai en fumant 1 paquet de Royale s'il le faut ! Et en revenant dans mon salon, tu me verras à poil dans mon canapé à la télé, les cuisses ouvertes, les yeux baissés en signe de soumission et, te disant, si j'en ai le courage : "Madame, j'espère que vous avez pensé à mes bouts de mamelles de truie, dans votre cuisine je pensais que vous vous en occuperiez, mais vous n'avez pas du oser, tout comme me défoncer con et cul avec les godes adéquats ! Allez, faites vite Madame, si vous tardez trop, je risque de m'envoyer en l'air en regardant juste la trace de vos belles fesses dans mon canapé !"

    J'éclate de rire, saute dans l'entrée pour lui ouvrir la porte et cours dans le bureau de Louis pour prendre la caméra !

    J'entends sa voix me dire en s'éloignant : "Prépare toi bien ma salope adorée, tu vas savoir ce qu'une vraie Maîtresse exige de toi"

    # 21 – Les essais de la caméra ! 

    Je mets une chaise à 3 mètres de mon canapé et j'y cale la caméra que je mets en route. Après avoir lu mon mémo, je vais jusqu'au téléviseur pour appuyer sur le canal 32, et je reviens m'asseoir dans le canapé pour vérifier que l'image est droite et que je suis bien cadrée.

    Je souris à la caméra et dis à haute voix ; "Je suppose que vous avez envie de me découvrir à poil et bien offerte, Madame !" Je joins le geste à la parole : je dézippe mon short , et en me tortillant un peu je le fais glisser jusqu'à mes escarpins d'été, que j'ai enfilé pour ne plus être pieds nus, il est jeté à 2 mètres de moi et je passe une main amoureuse sur ma chatte dénudée et, bien sûr, déjà trempée !

    Puis c'est le tour de mon top que j'enlève par la tête et qui rejoint mon short par terre, pour leur bienvenue, je me titille les tétons et constate avec grand plaisir qu'ils en avaient envie et bandent de suite ! 

    Assise sur le rebord de mon canapé, j'ouvre très largement mes cuisses et allume une 2ème cigarette.

    A, environ, 6 mètres de moi, j'ai mon image totalement obscène sur l'écran de notre téléviseur et je souris intérieurement en me trouvant tout de même assez photogénique, pas du tout ravagée par les années et, en plus, très bandante. Je comprends mieux les réactions des hommes et des femmes qui veulent m'utiliser !

    Mais, bien sûr, cette opinion n'engage que moi !

    J'entends un bruit de talons hauts sur l'allée empierrée du jardin. Ca ne peut-être que ceux de Lydia qui est de retour !

    Un flot d'excitation me trempe la chatte, qui heureusement n'est pas posée sur le coussin du canapé, et mes bouts de seins se gonflent de sang !

    En arrivant dans le salon, elle pose un sac de sport sur une chaise et vient vers moi. Elle reste debout et me regarde dans les yeux.

    En me souriant elle me dit : "Ma salope est prête ?"

    "Oh, oui Madame, je suis toute à vous !"

    "Tu m'as réclamé plus de douleur, est-ce exact ?"

    "Oui, Madame, j'ai demandé plus de dureté de votre part !"

    "Et, cette fermeté concernait quelles parties de ton corps ? Et sois pute en me répondant !"

    "Bien Maîtresse chérie : j'aimerais que vous me fassiez hurler de douleur en vous occupant de mes bouts de mamelles de truie en chaleur, en me godant avec des défonceurs de mes orifices de pute de rue : ma connasse et mon trou à merde, merci d'avant Maîtresse adorée !"

    "Très bien, je vais essayer de te satisfaire : conduis moi à ton bureau, j'ai besoin d'un ordinateur. Prends le sac et ton téléphone, moi je m'occupe de la caméra"

    Je me lève, prends mon smart-phone, le sac de sport et passe devant.

    Elle prend la caméra et m'emboîte le pas.

    Nous entrons dans mon bureau qui est assez vaste.

    Avec ses stores à moitié ouverts et une lumière du jour encore vive, il semble que son éclairage soit tamisé et intimiste.

    Lydia me demande d'allumer mon ordinateur.

    Je m'exécute et ouvre ma session, car Louis y a aussi la sienne, et je me lève du fauteuil tournant pour lui laisser la place.

    Elle s'assied, entre sur le net, ouvre Google et tape une adresse que je ne connais pas.

    Debout derrière elle, je vois que c'est un sex-shop en ligne. 

    D'un ton sec elle me demande de noter sur une feuille de papier les données de ma carte Visa.

    "Vous m'autorisez à aller au salon, Madame ? Ma Visa est dans mon sac"

    "Tu as 1 minute pour faire l'aller-retour"

    Je cours et, malgré mes escarpins, je reviens dans les temps avec la carte dont je note les identifiants sur une feuille de papier que je lui donne. 

    Après une rotation du fauteuil vers moi, elle m'ordonne de rester debout à sa gauche, de poser le sac sur le bureau devant moi, de l'ouvrir et d'attendre.

    Je m'exécute et reste debout à ses côtés, le sac ouvert à portée.

    Elle me demande très poliment de croiser mes mains sur ma tête et en se reculant un peu, elle me gifle violemment les seins, par des allers et retours dans lesquels elle ne retient pas sa force. 

    Je me mords les lèvres pour ne pas gémir de douleur.

    Elle me voit et me cingle par un :

    "Il vaut mieux que tu te fasses mal aux lèvres connasse, car un gémissement te coûterait plus cher ! Et il faudrait payer ma putain !"

    Quand elle arrête, j'ose jeter un coup d’œil et je vois ses traces de coups sur mes nichons, j'ai brutalement envie de pleurer mais je me retiens.

    Elle me demande de me retourner et de lui présenter mes fesses, bien ouvertes par mes deux mains.

    Je m'exécute sans hésiter.

    Elle les tapote gentiment et me dit doucement :

    "Ma grande voisine si salope, je pense qu'après notre papotage 100% cul, ta préparation à la séance et ton attente, tu dois avoir envie de t'envoyer en l'air, et, en plus comme tu m'as avoué que plus tu jouissais, plus tu avais envie de jouir ! Mais contredis moi si j'ai tort !"

    "Non, Madame, tout ce que vous dites est vrai !"

    "Comme je te veux très demandeuse comme tu l'avoues toi même, tu vas t'avancer jusqu'à l'angle du bureau, poser ta chatte ouverte dessus et te masturber lentement en jouissant quand tu le voudras ! Mois je vais te filmer : le corps entier, un gros plan sur ta chatte élargie par le bois et, surtout, le balancement obscène de tes nichons pendant ta branlette de chienne en chaleur, je suis sure que tu aimes te frotter pour atteindre l'orgasme !"

    Un peu comme ça > 

     

    Fabienne 03

     

    Mais la chatte nue !

    Un peu comme ça >

    Vidéo de 5 minutes : frottement en gros plan d'une chatte nue sur un angle de table lien >

    https://sexe.hormonemale.com/video/2016-masturbation-sur-le-coin-de-la-table

    Ou comme ça >

     

    Vidéo d'1 minute : jeune femme nue se faisant jouir en frottant sa chatte sur le rebord de son lavabo > lien

    https://www.sexe-amateur.com/jeune-frotte-sa-chatte-sur-le-lavabo/

    Pas comme ça ! Mais comment vous cacher ce clip superbe ! >

    Vidéo de 13 minutes : jeune française se faisant jouir avec un enthousiasme extraordinaire de vérité, sur le coin de son canapé >

    https://www.sexe-amateur.com/son-amant-prefere-c-est-le-rebord-du-canape/

    "Et, comme j'ai aussi envie de t'humilier le plus possible, tu vas te glisser l'index de la main droite dans l'anus et te doigter jusqu'à ta jouissance, ton doigt s'agitant dans ton trou à merde fera aussi partie de mes gros plans !"

    Curieusement, quand je suis en place, chatte ouverte par le coin du bureau, nichons pendouillants et doigt dans le cul, je rougis de honte, sans savoir pourquoi !

    Lydia ne pouvait pas rater cette incohérence !

    "Bon, ma jolie salope, au lieu de rougir comme une vierge que tu n'es vraiment plus, je te conseille de te frotter au bureau, les spectateurs de ce clip te jugeront sur ta capacité à prendre une position comme celle là pour te faire jouir !"

    Lydia qui me filmait pour le moment en caméra posée, la prend et me filme en pied en passant de l'autre côté du bureau, qui n'est pas contre un mur. 

    Elle fixe en gros plan mon con cognant de plus en plus fort l'angle du bureau, et commençant à émettre des bruits inconvenants du fait de mon humidité plus que torrentielle.

    Elle s'attarde sur mon doigt qui s'active frénétiquement dans mon anus et se régale véritablement de cadrer mes nichons ballottants dans tous les sens en me demandant, de les faire bouger encore plus pour mieux l'exciter et m'exciter, ce en quoi elle a entièrement raison !

    Entre la caméra qui grave toutes les étapes de ma branlette honteuse, mon doigt dans le cul, mes seins douloureux de ballotter dans tous les sens, mes tétons bandés jusqu'à être douloureux et bien sur le frottement de mon clito gonflé comme un ballon sur le bois du bureau, tout est réuni pour...

    ... que mon corps se torde dans tous les sens, frissonne des pieds à la tête, et m'oblige à hurler mon plaisir qui semble durer de longues minutes, alors qu'en réalité, il faudrait le mesurer en secondes ! Et, c'est épuisée que je tombe à genoux avec la chatte en feu et mon doigt enculeur tendu bêtement vers le haut comme s'il était contaminé !

    Lydia me sourit et me dit :

    "Tourne toi vers moi, j'aime t'avoir à mes genoux, bien soumise et bien trempée ! A présent, le jeu est très simple : j'ai rapporté de chez moi des jouets que j'utilise souvent avec mes soumises, car tu sais bien, putain, que tu n'as pas l'exclusivité de mes seins ! Et pour m'éviter des allers et retours de chez moi à chez toi, je veux que tu aies la même panoplie chez toi. Tu vas sortir ces jouets, 1 par 1 du sac, les identifier et me dire où ils peuvent aller sur ou dans toi. Chaque faute te vaudra une punition ou une humiliation qui peut se dérouler où et quand je le voudrai, redresse toi, penche toi sur le sac et sors le 1er objet que ta main droite a touché"

    Je me redresse et me mets en position en acquiesçant, et je plonge ma main pour attraper le 1er objet : je le pose sur le bureau, entre le sac et le clavier et j'affirme à Lydia que :

    "C'est un rouleau de scotch large qui est destiné à faire tenir un vibromasseur externe sur le haut d'une de mes cuisses pour que sa tête fasse vibrer le haut de mon sexe, l'urètre et le clitoris, Madame"

    J'ai un peu de chance car j'ai vu quelques photos de cette manière de fixer un vibro pour faire jouir en continu une soumise il y a peu de temps !

    Lydia approuve et m'ordonne de sortir un 2ème objet.

    Ma main remonte : "C'est un collier de chien, Madame, il devrait ceinturer mon cou, pour signaler à tous ceux qui me voient que je suis une soumise, il lui manque un médaillon qui pendrait à un de ses anneaux pour annoncer qui est ma propriétaire, Madame"

    "Très bien, je constate que tu n'es pas trop conne en bdsm, et que ton amie Isa a fait du bon travail avec toi, voilà le médaillon de cuir à garnir et à accrocher à ton collier d'esclave : à toi de le préparer au mieux !" 

    Je me mets à sa droite, ouvre 2 tiroirs d'un petit meuble externe dans lequel je range tout mon matériel à dessins. Je prends un morceau de bristol brillant et épais, de couleur jaune-clair et des stylos à encre de chine. Je mesure la dimension du médaillon et je le dessine sur mon carton. Puis j'utilise un crayon à papier pour écrire Esclave de Lydia.

    Je m'y reprends à deux fois car je n'avais pas vu que Esclave et de Lydia prenaient à peu près la même surface. Je repasse mes 3 mots à l'encre de chine avec un stylo assez épais, j'attends un peu, je sèche avec un bout de buvard, j'introduis le cartouche dans le médaillon de cuir et je le clipse sur l'anneau qui sera devant mon collier.

    Lydia semble contente, elle a tout soigneusement filmé et s'est attardée en zoomant sur le médaillon et son message non équivoque !

    Ma main sort 2 petites pinces métalliques attachées ensemble.

    Chacune est prolongée par 1 chaînette lestée de 2 clochettes.

    Je les détache et annonce à Lydia : "Ce sont des pinces à tétons qui vont tinter à chacun de mes mouvements pour que vous sachiez en permanence où je suis et ce que je fais, Madame"

    "C'est exact, mais je veux que tu te fasses bien bander les tétons avant de te les poser, ce ne sera que plus douloureux et excitant pour toi et moi !"

    Ma main sort un objet lourd du sac.

    "C'est un vibromasseur externe sans fil, Madame, je pense que c'est lui qui doit être fixé sur une de mes cuisses pour que sa tête soit en contact avec le haut de mon sexe et, plus particulièrement mon clitoris, Madame"

    Cette énumération me fatique, me gonfle, comme diraient mes enfants, et je ne suis plus très attentive pour les derniers objets.

    Je sais simplement que je fais un sans faute sur leurs destinations.

    Après le vibromasseur dernière génération, je sors une autre nouveauté : un gode électrique qui défonce le vagin, en rapetissant et en grandissant pour défoncer le con de la soumise, à une vitesse d'aller et retour décidée par une télécommande ! Très bel engin, valable pour le con et le cul.

    Puis je pose sur le bureau des semelles intérieures de chaussures avec des picots durs qui permettent de torturer les plantes de pieds et les talons d'une soumise. Je souris en moi-même pour avoir pensé à enfiler des escarpins avec des talons de 8 centimètres.

    C'est ensuite au 2ème défonceur de sortir, je dis la même chose à Lydia et suggère qu'il sera bien dans mon trou à merde, ce qu'elle approuve totalement !

    Je les redoutais mais elles sont bien sur la liste de Lydia.

    Je frissonne de malaise en décrivant : "2 pinces larges en métal à accrocher à chaque grande lèvre, lestée chacune par un plomb, accroché à une chaînette" Ce qui est beaucoup trop dur pour moi.

    Et pour finir, je me retrouve avec les deux poignets menottés devant.

    J'avais devant ou derrière, comme réponse, j'ai choisi devant, je ne sais pas pourquoi et Lydia n'a rien dit, alors que derrière m'aurait valu une punition, peut être suis-je dans un jour de chance !

    # 22 – Je teste les produits !

    "Très bien, mon paillasson humain ! Tu connais à présent les jouets que j'aime le plus, et dans l'ordre où tu les a tirés, tu vas me montrer comment ils te vont"

    Elle se retourne avec le fauteuil, tourne le dos à l'ordinateur et me commande d'aller me mettre 2 mètres devant elle.

    Comme j'ai à ma gauche un petit canapé d'appoint elle me conseille de ranger mes jouets par ordre d'apparition, et me dicte : le scotch, le collier, les pinces à tétons, le vibro, le 1er gode, les semelles, le 2ème gode, les pinces à sexe et les menottes.

    "Passe de suite au collier, nous attendrons le vibro pour le scotch !"

    Je mets le collier autour de mon cou et serre aussi fort que je peux sans m'étrangler, je fais attention que le médaillon soit bien devant au centre et comme Lydia me fait signe, je m'approche d'elle pour qu'elle approuve la tension du collier : je ne pouvais pas faire plus !

    Puis c'est au tour des pinces à tétons.

    Je me rappelle de sa recommandation : je saisis donc chaque téton entre pouces et index et en les pinçant, en les griffant de mes ongles courts et en les tordant dans tous les sens, je les fait bander à exploser : je les montre à Lydia et lui dis : "Madame, je peux mettre mes pinces maintenant ?"

    Elle me répond de continuer à me tripoter en comptant jusqu'à 60, et environ 1 minute après, je prends une pince à clochettes dans une main et mon téton dans l'autre et je la pose !

    La douleur est si forte que j'ai du mal à me retenir de crier, des larmes me montent aux yeux alors que je me courbe en avant, mais je me redresse très vite pour ne pas être punie et en profite pour terminer de pincer l'autre téton, ce qui provoque la même réaction, des larmes coulent sur mes joues, mais je n'ai émis aucun son qu'elle puisse me reprocher !

    Ces pinces sont vraiment des diablesses : si petites et si cruelles !

    Je ne m'y attendais pas du tout !

    En plus les clochettes dédoublées sont très sensibles et à chaque petit mouvement de corps, elles tintent d'un beau son cristallin !

    Quand je prends le vibro externe, Lydia m'ordonne de la rejoindre avec le scotch et le vibro : c'est elle qui va me le fixer. Les clochettes tintinnabulent et l'une de mes jambes cogne sont genou.

    Je sens des étincelles entre nous : électricité statique vous dirait mon fils !

    Elle rajoute : "Je veux être assurée qu'il va bien te tarauder le clito et je t'interdis de changer de vitesse sans mon accord tu me comprends espèce de chienne bâtarde en chaleur ?"

    "Oui Madame, j'ai bien compris"

    Elle m'ordonne d'écarter mes cuisses.

    Quand je suis prête, elle se penche, coupe 50 bons centimètres de scotch qu'elle colle sur le bureau en le laissant pendre au sol. Elle prend le vibro, le positionne sur le haut de ma cuisse gauche et m'ordonne d'appuyer de mes deux mains sur le moteur et sur la tête pour bien le coller sur ma peau sans qu'il ne bouge.

    Elle s'assure que je n'ai pas bougé, et, ceinture ma cuisse et le vibro avec sa bande de 50 centimètres qu'elle use très rapidement.

    Puis elle consolide la fixation par une bande beaucoup plus longue qu'elle répartit sur tout le corps du vibro pour ne pas qu'il bouge.

    Quand elle a terminé, elle me repousse, m'oblige à la regarder droit dans les yeux et appuie sur la télécommande pour le mettre sur sa plus grande vitesse, et, là, je ne peux éviter un gémissement de douleur, car la tête vibrante est juste sur mon clitoris.

    Heureusement, Lydia ne m'en veut pas de cette faiblesse qui lui annonce en fait une excellente nouvelle pour elle : le vibro est très bien placé ! 

    Cette caresse est diabolique.

    Je sais que je ne peux pas échapper à l'orgasme, mon clitoris est la zone la plus érogène de mon corps. Je peux m'envoyer en l'air uniquement en le regardant, alors, quand il vibre au rythme d'un vibro à pleine vitesse !

    Je suis obligée de jouir et certainement d'enchaîner les jouissances.

    Lydia ne doit pas le savoir, mais elle va vite l'apprendre. 

    Elle a abandonné le scotch restant et caméra au point elle me filme sous tous les angles s'attardant sur mon visage qui prouve bien l'effet que ce vibro a sur mon désir.

    Comme j'avais pris le risque d'annoncer que le 1er défonceur était pour mon vagin, je me recule un peu alors que le bruit du vibro emplit la pièce, et, bien droite, je me penche un peu et d'un seul coup de main, je le glisse intégralement dans mon con, jusqu'au col de l'utérus.

    Je serre les cuisses pour ne pas le perdre, mais Lydia me devance en enclenchant la vitesse maximum sur une autre télécommande et il me pilonne le con comme un homme ne sait pas et ne peut pas faire !

    Ce plaisir se rajoute au vibro et me mène droit vers un orgasme que je ne peux absolument pas reporter, je fléchis sur mes jambes tant la jouissance est forte et mon corps frissonnant se retrouve à genoux, j'hurle mon plaisir de dingue en me maintenant le défonceur en moi de ma main gauche et en faisant en sorte que mes clochettes ne bougent pas trop de ma main droite, mais c'est un peu peine perdue !.

    Lydia, grande princesse me laisse respirer 2 minutes entières ! Avant de m'ordonner de m'asseoir par terre cuisses largement ouverte, de récupérer les semelles internes et d'enlever mes escarpins, ce que je fais de suite.

    Elle m'ordonne de nettoyer et de lécher entièrement mes deux chaussures en m'attardant sur le cuir, les brides en cuir et, bien sur, les semelles avec lesquelles j'ai un peu marché dehors.

    Et, quand elle le voudra, je devrai glisser les semelles dans les chaussures, les remettre et marcher dans la pièce et dans le couloir jusqu'à ce qu'elle se lasse !

    Je suis écœurée par le mauvais goût que j'ai dans la bouche et j'ai très mal aux pieds après avoir marché presque 15 minutes dans le bureau et dans le couloir, poursuivie par Lydia qui filmait toutes mes défaillances et le balancement obscène de mes nichons de vache laitière !

    Nous revenons à nos places dans le bureau, mais elle me fait l'honneur de se lever, pèse fortement sur ma tête pour me mettre en levrette debout, elle écarte mes pieds de ses chaussures et se saisit du 2ème défonceur, qu'elle enfonce directement dans mon cul sans une trace de vaseline et d'un seul coup sec et puissant !

    Je ne sais pas comment je me suis retenue pour ne pas crier, mais j'étais vraiment au bord d'un hurlement de bête ! 

    Pistonnée par les 2 défonceurs dans mes orifices très sensibles et le clito taraudé par la tête du vibro, je ne sais plus vraiment où j'habite.

    Lydia s'en rend vite compte et me dit :

    "Repose toi un peu ma belle vicieuse, couche toi sur le canapé et décontracte-toi, je vais réduire toutes les vitesses de tes engins !" Je suis surprise, mais je suis à peine couchée qu'elle utilise les 3 télécommandes pour ralentir le vibro et les 2 godes.

    Je me sens de suite beaucoup mieux.

    "Je t'ai un peu soulagée, mais avant de te reposer, tu devrais finir l'essayage de mes jouets, il ne t'en reste que 2"

    Je l'approuve, ce serait bête d'échouer si près du but.

    Je me relève et vais récupérer les 2 pinces à grandes lèvres.

    Je me mets face à elle, écarte un peu les jambes, penche ma tête vers mon sexe et je prends ma grande lèvre droite dans ma main gauche et de ma main droite, je pose la pince en prenant beaucoup de peau, ça me fait très mal, mais je me retiens de crier comme je l'ai fait jusqu'à présent.

    Je fais pareil de l'autre côté, et Lydia semble heureuse de me voir ainsi appareillée. Elle me demande de marcher dans le bureau et dans le couloir et me suit comme une paparazzi de Gala !

    Peu à peu et malgré la douleur des 4 pinces, je remouille abondamment et redécolle vers le plaisir. Lydia me demande de finir en me menottant les mains sur le ventre, je le fais de suite, en sachant que c'est une punition qui n'est pas douloureuse !

    Puis elle me laisse me reposer couchée sur le canapé quelques longues minutes sans bouger. Hum ! Que ça fait du bien !

    Je l'entends pianoter sur le clavier, je ne sais pas ce qu'elle mijote et je m'en fous un peu, yeux fermés, quasiment prête pour une micro sieste !

    Elle se lève, vient me chercher sur mon canapé, me baise gentiment la bouche. En me tirant doucement par les menottes, elle me ramène au bureau et me dit de m'asseoir dans le fauteuil, je m'assieds, j'ai un peu de mal à mettre mon cul à plat, mais j'arrive à me caler.

    Elle me conseille d'ouvrir la page du site du sex-shop. Je ne vois qu'une icone réduite sur ma barre de tâches et je l'ouvre.

    Lydia est de l'autre côté du bureau et me filme en plan large, quand la fenêtre s'ouvre, je me retrouve avec un couple inconnu d'une quarantaine d'années et dans un coin en bas à droite, mon image : souriante, à poil, avec les pinces à clochettes pendant de mes tétons.

    Voilà ce qu'elle a donc fait pendant mon repos ! Quelle fine mouche !

    Le voix de l'homme résonne dans les hauts parleurs pour nous dire "Hum, sacrée salope, tu nous avais prévenus, mais c'est un beau gâteau que nous allons déguster ma femme et moi ! Salut pouffiasse, tu es bandante et il paraît, qu'en plus, tu obéis ?"

    Lydia me fait signe de dire oui et je réponds un peu connement : "Oui, Monsieur, je suis très obéissante !"

    "Parfait dis à ta copine de faire un gros plan de ton médaillon, pour savoir à qui tu appartiens !" Lydia fait un gros plan et l'homme demande : "Qui est cette Lydia ?" "C'est la femme qui me filme, ma Maîtresse, Monsieur"

    "Ok, on rentre dans ton sex-shop, on va voir tout ce que tu as sur toi ou dans toi, donne moi l'adresse !" Lydia me dit à l'oreille : "Regarde dans icônes cachées, tu as le site du sex shop, tu vas en profiter pour faire tes achats : tu es inscrite sur le site, ton pseudo est Nina, et j'ai rentré ton mode de paiement, en même temps que je recrutais ce couple vicieux qui t'ira très bien. Tu auras tes premiers accessoires de soumise dans 48 heures, il te restera à trouver une planque que Louis ne connait pas !"

    Elle filme le mur pour me faire rentrer dans le site et mettre mon Dell en écrans séparés.

    "Excuse toi pour ce blanc et dis lui de se connecter en écrans séparés"

    # 23 – Et je les achète, devant Lydia !

    Quelques minutes plus tard, j'ai 3 écrans : 1 moitié de mon moniteur pour le couple de voyeurs, l'autre moitié pour le site du sex shop et 1 petite fenêtre où je peux voir l'image filmée que Lydia donne de moi.

    Lydia me murmure d'annoncer le produit qu'ils doivent trouver en photo de catalogue, elle le montrera par la caméra si je l'ai sur moi ou dans moi, et, en plus je dois le commander !

    J'annonce au micro : "Bien, si vous êtes tous les deux prêts, nous cherchons en premier un rouleau de scotch large très adhésif, ma Maîtresse vous le filme et je le cherche sur le site" Je vois sur ma fenêtre de contrôle le rouleau entamé en gros plan.

    Je me sers de la fenêtre recherche et j'ai un choix de 4 produits, je clique de suite sur celui que je reconnais et sur ajouter à mon panier il me confirme que ça coûte 2€ !

    Je prends la décision de leur dire : "Vous verrez le scotch sur moi avec un accessoire, car il sert à le tenir fixé sur mon corps"

    Je donne sa référence et ils me confirment qu'ils l'ont.

    "Bien maintenant je passe au collier de chien que vous pouvez voir sur moi, il est en cuir, avec 2 anneaux, dont un pour le médaillon qui vous a permis de savoir que j'étais l'esclave de Lydia,

    un peu comme ça > 

    Fabienne 03

     

    servez vous du moteur de recherche en haut à gauche pour accéder directement à la famille voulue"

    Je leur donne sa référence et ajoute l'article à mon panier pour 45€.

    "Maintenant nous devons chercher les pinces à tétons avec clochettes, cherchez plutôt dans pinces à seins, les voici sur moi en gros plan"

    un peu comme ça > 

    Fabienne 03

    Lydia me filme en très gros plan et me demande de bouger mes seins pour les faire tinter.

    Mais l'homme demande fermement : "Vous ne pouvez pas aller dans un couloir toutes les deux ? Et toi, la pouff, bouge bien ton corps et fait voltiger tes clochettes : ma femme a sa main sur ma pine !"

    Sans répondre nous nous levons et passons 10 bonnes minutes à circuler dans la maison, Lydia ne filmant que ma poitrine mais en revenant, nous sommes contentes du plaisir du couple ! La femme a joui et lui a une énorme pine qu'il est fier de nous montrer !

    Je les mets dans mon panier pour 25€.

    "Nous passons au vibro externe de dernière génération, 2 fois plus léger que ceux que vous voyez dans des films de cul, sans fil avec 3 vitesses télécommandées, je le porte scotché sur ma cuisse gauche : le voilà !"

    un peu comme ça >

    Fabienne 03

    Lydia fait une série de très gros plans et approche son micro incorporé pour qu'ils entendent bien le bruit de taraudage du vibro.

    "Il est directement posé sur mon clitoris et m'a déjà fait jouir une fois"

    Ils demandent à le revoir en me filmant tout le ventre et en le positionnant bien sur moi, pendant que je valide l'achat pour 80€.

    "Nous avons l'article suivant en deux exemplaires : il s'agit d'un gode défonceur destiné au cul et au con, quand il est introduit, il fait environ 30 centimètre, pour un diamètre raisonnable, puis quand on déclenche son cycle, il diminue de 25 centimètres sans bouger de diamètre, et quand il reprend vie : il remonte à 30 centimètres, c'est pour cela qu'on l'appelle le défonceur ! La durée des repos, la vitesse du réveil et de la diminution et la fréquence du cycle sont entièrement régis par un smart-phone"

    un peu comme ça >

    Fabienne 03

    "Quel engin extraordinaire, nous allons de suite en commander un ! Pouvez-vous nous en montrer un en service en dehors des trous de cette pute ?"

    "Accepte, lève toi, je vais te filmer en train d'enlever celui de ton con et tu lui feras faire plusieurs cycles pour qu'ils voient bien le fonctionnement avant de te niquer de nouveau avec devant la caméra en gros plan, allez fonce !"

    Comme le veut Lydia, je me lève en les prévenant : "Je vais enlever celui que j'ai dans le con, car j'en ai un autre dans le cul, vous verrez comment il se présente, surtout que je vais le retirer quand il sera au maximum de sa dimension, puis je le laisserai effectuer plusieurs cycles à des vitesses différentes et vous verrez comment il fonctionne"

    Lydia s'assied par terre, je monte sur le canapé et attend que le défonceur soit au top de sa taille pour le prendre par la poignée et le retirer lentement de ma connasse, filmée en très gros plan par Lydia qui me dit qu'elle voit même les traces de mon jus de femelle sur le gode.

    Un peu rouge de honte, je descends du canapé et m'assieds pour présenter le gode bien droit devant moi alors que Lydia prend son i-phone et s'occupe des réglages, pour qu'ils varient au maximum en une dizaine de minutes !

    L'homme commente l'image par des : "Oooooh quel engin ! Ma femme le voit la tête de travers car elle est en train de me pomper la pine et elle se régale. Moi je la défonce avec un élargisseur de con ! Elle rugit de plaisir comme une lionne en train de bouffer les couilles de son dompteur ! Je crois que je ne tiendrai pas longtemps, je vais me vider dans sa gorge, elle adore ça comme toutes les putes !"

    "Régalez-vous mes chéris, c'est ma 1ère session vidéo, je suis contente de vous voir jouir comme ça !"

    "Nous sommes contents d'être invités à ton inauguration ! Mais nous ne voulons pas être les seuls à nous envoyer en l'air, il faut que tu nous aides la pouff !"

    "Et que dois-je faire ?"

    "Tout simple ! Tu nous a dit que tu avais 2 défonceurs en toi, tu viens d'en sortir 1 que tu nous montres, et c'est gentil, mais je veux que tu gardes l'autre dans le cul et que ta Maîtresse t'aide à t'enculer avec les deux et qu'elle mette une vitesse assez lente pour qu'ils te pistonnent sans te faire mal et te faire jouir en un feu d'artifice fabuleux ! Si tu es très salope et très vicieuse, tu sais que tu vas jouir à t'exploser la tête contre les murs !"

    "Bonjour, c'est Lydia sa Maîtresse : votre idée est excellente, on la met en pratique dès que vous le dites ! Je vous rassure c'est la plus salope et la plus vicieuse de la ville !"

    "Ah ! Ah ! Ah ! Bravo ! Je termine de remplir la gorge de ma salope de femme et on s'encule ton esclave jusqu'aux intestins !"

    # 24 – 1 gode ça va ! 2 ? Attention les dégâts !

    "La pute ? Continue à montrer ton défonceur en action, c'est inouï comme il me fait bander ! Vous nous voyez bien sur l'écran, vous voyez comme ma femme me pipe comme une professionnelle ?"

    "Oui, sans problème, elle est super excitante avec ta grosse pine dans sa bouche, tu devrais la mettre à poil, elle nous ferait mouiller encore plus nos connasses de pouff !"

    "Hummmm bonne idée, je vais la déshabiller de suite ! Mais de ton côté, Lydia met la moule de ta pute sous un projecteur et fais moi un très gros plan que je vois son jus de salope gicler de son con gorgé de liquide et de sucs de femelle en chaleur !"

    Lydia approuve l'idée, elle me demande de me coucher sur le canapé, d'ouvrir grand mes cuisses, pendant ce temps elle tourne un halogène qu'elle bascule à 40 centimètres de mon con et en m'ordonnant de tremper deux doigts dans ma moule et de me toucher le clito en même temps que le vibro le fait vibrer, elle exige que je fasse du bruit avec mes doigts dans le torrent qu'est devenue ma connasse !

    Très vite mes doigts font des flocs, flocs, flocs dans mon con, et l'image que je ne peux plus voir doit être très explicite, si j'en crois la réaction du voyeur : "Ouuuuuuuuuuuaaaaaaaaaahhhhhhhh !!!!!!!! Elle est trop bonne ta pute, quels bruits, pffffffffffffffffffffffffffffffffffffff je gicle comme un gamin !!!!!!!!

    Ma femme ne peut même pas tout avaler tellement je lui en donne !!!!!!!!!!!!!!!! Allez bois salope ! Avale tout ! N'en perds pas une goutte !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"

     

    "Eh bien ! Tu avais des réserves ! Quelle jouissance !!!! J'espère que ma vache laitière va s'exploser comme ça avec les 2 godes dans le cul !"

    "Tu peux y aller, essaye de faire ça devant la cam je ne voudrais rien rater !!!"

    Lydia bloque la caméra sur une chaise, ajuste l'image et me fait prendre une position : de profil, bras croisés et menottés sur le sol, tête posée sur les bras, là genoux, le cul très levé et les cuisses largement ouvertes, elle demande à notre voyeur si la position est bonne !"

    "Oui ça me parait super, mais en fait dès qu'elle aura les 2 godes dans son trou à merde, tu passeras sur les télécommandes et tu récupéreras ta liberté, tu pourras la filmer comme tu veux ! Je ne veux pas rater son orgasme du cul ! Ma femme en a de temps en temps quand elle n'en peut plus, et c'est toujours un grand moment !"

    "Oui c'est rare qu'une femme jouisse du cul, mais ma pute jouit de partout, même des bouts de nichons ! Allez je la mets en position et je prépare l'autre défonceur !"

    Je me mets comme décrit au voyeur, un peu apeurée, car je crains que les 2 godes ne rentrent pas facilement, bien que leurs diamètres soient très raisonnables !

    Elle me demande si j'ai de la vaseline.

    "Oui, Madame, dans l'armoire de pharmacie au dessus du lavabo de ma salle de bains : en sortant du bureau, 2ème porte à droite"

    "Tu me prends pour qui ? Ton coursier ? Quand je le voudrai, pour le temps que je voudrai et où je le voudrai : tu me dois une punition ! Tu te lèves et tu vas chercher ta vaseline de merde et tu reviens. Je veux entendre tes clochettes tinter tout le temps, tu as compris imbécile mongolienne ?"

    "Je vous demande pardon, Madame, j'y vais !"

    Je fais attention de faire tinter mes clochettes sans temps mort et reviens en lui donnant un tube de vaseline tout neuf.

    "Tu es si souvent mouillée que ton homme n'a pas besoin de vaseline ?"

    "Oui, Madame c'est un peu ça !"

    Elle me remet en position, vérifie une fois de plus l'image captée par la caméra, et s'agenouille derrière mon cul.

    J'entends un frôlement de kleenex, je suppose qu'elle a pris ma boîte sur le bureau pour ne pas se salir les mains.

    Sans vérifier la longueur du gode, elle prend la poignée dans sa main droite protégée et le sort lentement de mon cul.

    Je suis soulagée, mais je me demande pourquoi elle m'en a libéré.

    En fait, je vais très vite comprendre !

    "Je vais te commenter ce que je fais au fur et à mesure, je veux bien faire plaisir à un pervers, mais je n'ai pas du tout envie de te blesser, je pense donc qu'en enfonçant côte à côte les 2 godes bien vaselinés en les limitant à 15 centimètres de longueur, ils vont facilement entrer en toi, ensuite, il faudra injecter beaucoup de vaseline dans ton trou à merde et les faire croître centimètre par centimètre. A la moindre douleur interne, tu dois crier un énorme stop pour que j'arrête tout : mais joue le jeu, si tu n'as pas mal laisse toi enculer comme ça, je suis sure que tu vas me sortir un superbe tsunami qui restera toute ta vie dans ta mémoire, et dans la mienne ! Compris ma chérie si vicieuse !"

    "Oui, Madame, comptez sur moi, je ne profiterai pas de la situation, je suis suffisamment chaudasse pour espérer un tsunami qui me fasse m'évanouir !

    Il faut savoir souffrir pour bien jouir est ma nouvelle devise !"

    Elle rit, prévient nos voyeurs qu'elle commence.

    Elle récupère le 2ème gode et les règle tous les 2 sur 15 centimètres, le premier augmente légèrement et le 2ème diminue de moitié.

    Elle les prend un par un par leur poignée et les badigeonne de vaseline du gland à la base, je peux voir ses gestes en tournant un peu la tête, elle ne les enduit pas entièrement mais je comprends parfaitement pourquoi !

    Quand elle est contente de leur lubrification, elle me demande de bien lui offrir mon cul et d'écarter mes fesses de mes 2 mains pour l'aider.

    Elle met les godes gland contre gland et les rapprochent de mon anus, bien élargi par le gode qui m'a enculée un bon moment et par mes mains, la vaseline est presque fraîche quand les glands touchent mon anus, elle le frotte en tournant pour bien le lubrifier, mais je sens qu'en même temps elle force un peu pour les faire pénétrer de quelques centimètres, il y a tellement de lubrifiant que je suis sincère en lui disant :

    "Madame, pour vous dire la vérité, je ne sais pas combien de doubles centimètres vous avez entré, mais je ne sens rien tellement la vaseline est abondante et puissante !"

    "Bravo et merci ma chérie, allez décontracte toi bien, et écarte encore plus tes fesses avec tes mains, il vaut mieux que tu aies mal aux mains qu'aux intestins !"

    "L'homme dit : je les vois très bien entrer petit à petit, c'est une bonne idée de l'enculer avec des godes raccourcis, bien que le diamètre soit important, mais ça a l'air de marcher ! Ma femme est à poil et je lui branle la chatte, elle gémit comme un chaton en réclamant ma pince dans son cul ! Ah les femmes !"

    Nous rions toutes les 2, l’ambiance est décontractée et pour le moment je n'ai absolument pas mal.

    "J'ai une bonne nouvelle à t'annoncer mon paillasson humain ! Tu veux l'entendre ?"

    "C'est vous qui décidez, Madame !"

    "Bien, tu n'as pas oublié qu'avant d'être une enculée tu es une esclave : eh bien je dois te dire que dans quelques secondes, tu auras 2 fois 15 centimètres de défonceurs dans ton trou à merde !"

    "Oups, c'est réussi ! Je n'y croyais pas ! Merci, Madame d'autant me respecter !"

    "Ne pas te blesser, c'est préserver notre avenir : je ne veux casser ni mon jouet, ni notre amitié chère pute de gare ! Voilà, je vais t'abandonner, je t'ai mis dans le cul les deux défonceurs au maximum de ce que je pouvais manuellement, maintenant c'est mon téléphone qui va jouer avec leur longueur et avec ton futur tsunami !"

    # 25 – La préparation d'un feu d'artifice !

    Elle se relève et me filme sous de nouveaux angles qui enchantent nos voyeurs. Elle me dit que notre voyeuse est agréable à voir et qu'elle a de très beaux nichons auxquels il ne manque que des pinces à clochettes !

    Son mari rigole ! "J'en ai commandé une paire ! C'est trop bandant !"

    "Oui j'adore entendre ce bruit quand je suis avec une esclave ! Pour le moment ma pute digère bien les 2 godes, je vais les programmer sur un allongement de 1 centimètre par minute, elle en a 15 dans le cul, il lui manque donc 15 minutes pour une double sodomie super profonde, et après 5 minutes de repos, je mettrai les 2 godes en route on va démarrer à 1 aller retour toutes les 2 minutes pendant 10 minutes, puis on passera à 1 aller retour toutes les minutes pendant 10 minutes, et on le finira avec 2 allers retours par minute jusqu'à ce qu'elle jouisse du cul "

    "Quand tu dis aller retour c'est quoi ?"

    "Un aller retour équivaut à une minimisation et un allongement"

    "Ah ok, merci, Lydia"

    Elle vient parler avec moi : "Tu as entendu ma chérie, ça te va ?"

    "Oui, Madame, je suis d'accord et je pense qu'avec toutes ces précautions je ne vais risque aucune blessure, et aucun obstacle ne me sépare d'un tsunami inoubliable que je vous devrais à 100% chère Maîtresse adorée et bientôt adulée !"

    "Ne me parle pas comme ça pute de forêt ! J'ai toujours l'impression que derrière ces mots ronflants tu me balances de l'ironie !"

    "Oups, désolée de vouloir vous respecter, Madame !"

    Nous rions toutes les 2 en tombant d'accord sur le fait que ce n'est pas le moment de nous mordre le nez, et Lydia m'abandonne pour régler les paramètres de mon final d'enculée !

    "Dis moi ma pute, je viens de régler la pénétration en deux fois 30 centimètres sur 1 centimètre par minute, nous avons donc 15 minutes d'attente, peux tu te lever pour finir nos achats et nos démonstrations avec nos amis connectés ?"

    "Pas de problème, Madame, je peux très bien me lever, mais je ne peux pas m'asseoir, mais en me penchant, je peux accéder au clavier sans problème !"

    Je me lève, rejoins le bureau en marchant un peu comme un canard et regarde où j'en suis.

    Lydia m'aide : "Il te reste les semelles à picots, le 2ème défonceur est fait, ensuite tu as les 2 derniers, les pinces à grandes lèvres et les menottes"

    "Bien, je reprends notre liste chers amis, c'est vrai que Madame à poil est excitante, j'ai très envie de lui bouffer la chatte et de lui sucer les tétons jusqu'à ce qu'elle ait très mal !"

    "Donc, nous allons chercher un article peu connu : une paire de semelles intérieures à picots de latex durs, comme vous allez le voir sur l'image de la caméra, le temps que j’ôte un escarpin, cette semelle recouvre l'intérieur de la semelle de la chaussure de la soumise et comme vous le montre ma Maîtresse, les picots sont très durs et s'enfoncent dans la chair de la plante des pieds et essayent de percer la peau des talons sans pouvoir y parvenir. Garder ces chaussures une journée est une torture, il faut vous assurer que votre soumise est réellement masochiste avant de lui imposer ces semelles"

    Ils trouvent la référence et demandent à Lydia de leur montrer le résultat du travail des picots sur le dessous d'un de mes pieds : en gros plan et bien éclairé, ce n'est pas très joli, mais je sais que ces marques disparaissent en une journée. Je valide mon achat pour 30€

    Je m'assure que j'ai bien commandé un 2ème défonceur, et j'ai bien fait, car il n'est pas dans mon panier. Je valide donc un 2ème pour 150€, le site me répond que pour un 2ème article identique, j'ai 20€ de remise, je vais donc payer le 2ème 130€, c'est une bonne nouvelle !

    "Voilà notre avant dernier article, je vous le montre de suite"

    Je me tourne vers la caméra et Lydia filme les pinces qui descendent de mes grandes lèvres, elle me demande de me pencher et de les agiter pour bien monter l'étirement de mes grandes lèvres, elle me filme surtout de dos, entre mes cuisses, car de face, il y a le vibro qui cache un peu les pinces.

    un peu comme ça > 

    Fabienne 03

     

    Ils ont trouvé les pinces, je valide mon achat pour 28€.

    "Et le tout dernier : les classiques menottes de police, tapez directement ces 3 mots, vous tomberez dessus, Lydia les a voulues aux poignets et devant, c'est ce qu'elle vous montre avec sa caméra"

    un peu comme ça > 

    Fabienne 03

    Je valide mon achat pour 30€.

     "Moi j'ai fini mes achats, je vais valider ma carte Visa excusez mon silence !"

    "Dis moi putain, tu sens quelque chose dans ton cul ?"

    "Oui, Monsieur, je sens que les godes grandissent mais c'est très lent et Lydia m'a tellement vaseliné le cul que je ne sens pas grand chose, j'aurai plus de sensation quand les godes vont rapetisser et grandir de moins vite à très vite ! Je dois vous avouer que j'ai un peu peur de cette phase !"

    "Mais non tout se passera bien, dis moi salope pour combien en as-tu ?"

    "Ma Visa fait 520€, Monsieur"

    "Ok, merci"

    Je fais les formalités pour tout régler, Lydia a bien écrit mon nom, mon adresse, mon téléphone, mon e-mail, et les références de ma Visa ! Elle sait tout de moi ! L'autorisation de paiement tombe, j'ai la confirmation d'une livraison par colis anonyme en 48 heures et d'un débit carte au nom d'une SA très banale et non sexuée ! Voilà donc une bonne chose de faite et le début de ma panoplie de soumise !

    Il me reste donc à trouver une cachette, ce qui me gêne car je n'aime pas trop mentir à Louis, mais pour cette commande, je n'avais guère le choix !

    # 26 – Je ne risque pas de l'oublier !

    Lydia me glisse à l'oreille que le cycle petit-grand des godes commence.

    Elle me conseille, mais Lydia sait-elle donner un conseil ? de me mettre en levrette sur la petite table de salon qu'il y a devant le canapé.

    Curieusement, elle tient à justifier son choix en me disant qu'elle est juste à la bonne taille, et qu'ainsi exposée, elle pourra tourner autour de moi pour me filmer sous tous les angles.

    Et ne pas rater : mon visage qui reflétera mon plaisir grandissant, les mouvements obscènes et musicaux de mes nichons, mes coups de ventre vicieux dans le vide pour chercher à me frotter le con sur quelque chose qui n'existe pas et mes cuisses largement ouvertes comme une pute de bordel qui n'a même pas le temps de les refermer entre deux clients !

    Je m'installe donc comme elle le désire, alors que le premier va et vient me fait frissonner le corps.

    Il est vrai que ma position offerte, ouverte et hyper vicieuse va lui donner de belles images, mais j'attends trop longtemps le 2ème va et vient, ce qui me crispe et me refroidit même un peu.

    Je le dis à Lydia : "Madame, pourriez-vous diminuer le temps d'attente entre deux allers-retours, s'il vous plait ?"

    "Tu veux être pistonnée, défoncée, enculée à fond ? Je reconnais bien là ton caractère de prostituée quasi professionnelle, eh bien, je vais te satisfaire en augmentant par paliers la vitesse du cycle, en sachant qu'au dernier palier tu seras au maximum de la puissance du défonceur !"

    "Oooooooh, ooooouuuuiiiiii, Madame, je vous en remercie !"

    Lydia pense avoir mal entendu et me regarde avec un étrange regard !

    Elle programme les 3 prochains réglages sur son téléphone, et je sens la différence de suite : sans changer de tailles ni de diamètres, les deux défonceurs ma sodomisent avec une puissance incroyable, passant de la petite à la grande taille en un instant avec une puissance et une présence qui me défonce réellement le fion, là ils portent bien leurs noms !

    Ils prennent possession de tout mon trou à merde et plongent dedans avec une force mécanique inégalable par une ou deux pines !

    A partir de ce moment, je perds toute notion d'espace et de temps, je suis simplement un objet qui attend le moment où les godes viendront lui défoncer les intestins et se retirer pour le laisser respirer un peu avant de revenir brutalement l'enculer jusqu'à lui donner le coup de grâce en le cassant !

    Quand il arrive, j'écarte encore un peu plus mes cuisses, au croisement desquelles Lydia peut filmer un flot continu de mon jus de femme chaudasse, je dois être à la limite de la femme fontaine que j'aurais tant aimé être, mais je mouille tellement que les images doivent donner l'illusion de ce phénomène totalement indécent !

    Mon visage se déforme comme si j'étais à un concours de mauvaises grimaces, et je dois être tellement laide que Lydia libère une de ses mains pour me gifler à tour de bras en me criant : "Tu n'es qu'une immonde salope, tu es veule et tu es une affamée de sexe et de vice, tu n'es qu'un paillasson humain sur lequel je frotte mes semelles sales, tu es une sous merde à classer entre la moquette et le sol tellement tu es au bas de l'échelle !"

    "Ooooooooooh, oooooooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiii, Maîtresse, je suis votre paillasson, votre sous merde, votre chienne en chaleur : défoncez moi le fion, faites ce que vous voulez de moi, ooooooooooooh ooooooooouuuuiiiiiiiiiiiiiiiii oooooooooooooooooooh Maîtresse accélérez encoooooooooooooooore plus oooooooooooooh oooooouuuuuuuiiiiiiii, Madame, je jooooooooooouuuuuiiis du cul !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Ooooooooooooh mon Dieu que c'est booooooooooooooooooooooooooooooooon, merci Maîtresse, je suis à vous, je suis votre esclave pour la viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie" 

    Je mets 5 bonnes minutes pour retrouver mes esprits, Lydia en souriant me dit qu'elle a du me donner quelques petites gifles pour me réveiller car ce tsunami dévastateur m'a envoyé dans les vapes.

    Je lui souris béatement, comme une petite fille, et comprenant mon désarroi et mon désir, elle me relève de la table basse où mon corps est tombé et me fait un câlin en posant ma tête sur son épaule et en me caressant doucement les cheveux.

    Pour arrêter mes souffrances, elle détache le vibro de ma cuisse et enlève délicatement les pinces de mes tétons, mais le décollement de l'adhésif et le brusque retour de mon sang dans les tétons est si douloureux qu'elle essuie avec tendresse les larmes de douleur qui coulent sur mon visage dévasté par cet orgasme !

    C'est sur cette image et sous les applaudissements du couple de voyeurs qu'ils coupent la connexion.
    Lydia se penche sur moi et lèche mes larmes alors que je m’apaise, pleine de confiance en elle dans ses bras.

    Ainsi va la vie, forte de moments très différents mais toujours excitants !

    Suite dans FABIENNE 04 >


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