• Madrid 02

    Loré à Madrid tome 2

    Chapitre 23

    Les deux hommes rient alors que je remplis leurs verres et que je passe le plateau « Assieds toi dans le sofa, face à moi, petite pute et pose tes pieds sur les coussins pour que je puisse me régaler de voir ton sexe béant sous ta jupe tout en profitant de cet excellent champagne et de ces délicieuses tapas »

    Je m’assieds comme José me le demande et il m’autorise à profiter moi aussi des tapas. Alors qu’Yves continue à me filmer sous tous les angles. Je me sers en le gratifiant d’un « Merci Monsieur Amo Mio » qui fait réagir Yves.

    « Bien que je ne l'utiliserai pas avec elle, j'aime bien son idée de Amo Mio, puisque nous sommes en Espagne. Tu aurais pu aussi lui demander de t’appeler Maître, puisqu’elle est destinée à être ton esclave ! » José rit : « Tu as pu constater que c’est elle qui m’a demandé de me vouvoyer, je crois que ça ne fait pas partie du concept théâtral du Maître vêtu de cuir avec son esclave femme enchaînée. C'est uniquement un problème du profond respect de la dominée pour son dominant. Il est vrai que si nous avions été en France, le "Monsieur" aurait été obligatoire »

    « Je partage totalement ton avis et je suis persuadé que Loré avait hâte que tu arrives pour ne plus avoir à se poser la question cruciale de ta manière de la dominer ! » « Oh, oui c'est très juste, et je crois même avoir ressenti le moment exact où elle a totalement accepté mon autorité ! »

    Chapitre 24

    « Intéressant, et c'était quand, exactement ? » « Oh, je suis sur que tu l'as ressenti aussi, c'est quand j'ai commencé à lui caresser le bord des grandes lèvres avec ma chaussure : elle a frissonné des pieds à la tête, son duvet des avant-bras s'est redressé et elle a fermé les yeux pour cacher son plaisir ! » « Bravo José, ta psychologie va t'être très utile pour bien la dominer ! » « Merci, Yves, tu sais que ta femme n'est pas ma première soumise, mais je dois te dire que c'est la première fois que je rencontre une femme qui s'excite aussi vite. Je suis sur que si je la laissais se toucher elle s’enverrait en l’air en trente secondes ! »

    Yves approuve en rajoutant : « Et pourtant, la séance dans la cuisine était plutôt soft » « Oui, elle m’a réellement surpris. Mais c’est surement de se mettre à poil devant un inconnu et son chéri, et de se faire toucher la chatte par ma chaussure qui l’ont mise dans cet état. Elle pensait peut être que j'allais la niquer dans le premier quart d'heure, mais cette salope a failli avoir raison, car elle m’a fait immédiatement bander comme un âne ! »

    "Je suis sur que cette première fois avec un inconnu devant moi a du y contribuer, mais, comme je te l’avais dit, je lui ai annoncé ta venue et le scénario de ce weekend à la fin de notre dîner d'hier soir, et c'est à 2 heures du matin qu'elle m'a donné son accord. Depuis elle a eu presque une journée pour penser à tout ce qui pouvait lui arriver de ta part, et quand nous sommes revenus du restaurant elle était déjà sur-excitée et j'en ai bien profité"

    "Et tu as fait comme tu m'avais dit ? Bien la chauffer sans la laisser jouir ?" "Oui, en rentrant, elle s'est offerte dans l'entrée mais j’ai refusé de la baiser et je lui ai interdit tout orgasme jusqu'à ton arrivée en lui ordonnant de se réserver pour toi !"

    "Ah ! Tu as eu raison et je comprends mieux son excitation aussi rapide"

    "Mais tu devrais demander à Loré de te raconter ce que nous avons fait après son acceptation de cadeau, choisis toi même le langage que tu aimerais qu'elle utilise, rassure toi elle est bonne dans tous les registres !"

    Chapitre 25

    "Bonne idée, voyons putain, ce que tu as à me révéler sur votre retour du restaurant et je te veux extrêmement ordurière pour ton récit, ce qui ira très bien avec le thème de notre séance et la bourgeoise vicieuse que j'ai en face de moi !"

    "Bien Amo Mio, il est vrai que je lui ai demandé de me niquer comme une pute dès notre retour dans l'appartement, mais il m'a dit qu'il ne me sauterait pas ce soir et que je ne m'enverrai pas une seule fois en l'air avant votre arrivée"

    "Comment t'es tu offerte à lui en rentrant ?"

    "Dès qu'il a ouvert la porte, je me suis mise à quatre pattes devant lui en relevant ma jupe à la taille et en m'arrachant la culotte tout en lui criant de me saillir comme une chienne en chaleur. Il m'a envoyée me faire foutre, mais pas par lui, et m'a renvoyée dans ma chambre alors que je pleurais comme une conne"

    "Bien, continue"

    "Quand le délai pour ma réponse est arrivé, à 2 heures du matin, je suis ressorti de ma chambre et j'ai encore essayé de le faire triquer en lui tripotant la pine, mais il n'a rien voulu savoir, je l'ai insulté et lui ai posé comme question : et comment dois-je m'habiller pour faire plaisir à ce Maître quand il me découvrira ? Ce qui scellait implicitement notre accord. Il m'a sourit et ordonné d'aller prendre un bain en m'assurant qu'il viendrait me rejoindre pour répondre à ma question. J'y suis allée en espérant pouvoir suffisamment l'exciter pour qu'il me fasse jouir car je n'en pouvais plus"

    "Et il t'a rejoint dans la salle de bains ?"

    "Oui et même dans la baignoire, à poil avec sa trique raide et son gland humide, hum comme j'avais envie de me le foutre en bouche et de le pomper jusqu'à le vider de son foutre. Il s'est assis sur le rebord de la baignoire et m'a ordonné de vider la baignoire et de me coucher dans le fond en posant mes pieds sur ses cuisses, là il m'a relevé l'une des cuisses pour pouvoir accéder à ma moule gluante avec son pied, et il m'a longuement fisté le con avec son pied, avant de le retirer et de me le mettre en bouche pour que je le nettoie bien de mon jus de pute avec ma langue"

    "Dans quel état étais-tu salope ?"

    "Je n'en pouvais plus j'avais envie de m'échapper pour sortir et chercher un chien pour le pomper, et me faire saillir, ou d'aller dans les chiottes et de m'enfoncer le balai de merde dans mon trou de salope et de me branler le con en me faisant saigner et en jouissant comme une folle, mais Yves a continué et j'ai du me mettre à quatre pattes dans la baignoire tout en me tripotant la moule sans jouir sous peine d'annulation de votre venue."

    "Hum, ça tu n'aurais pas pu le supporter, c'est une excellente nouvelle, et comme on dit en argot chez vous, je te garantis que tu vas en avoir pour ton pognon et que je te ferai hurler d'arrêter de te faire grimper aux rideaux, mais que je continuerai jusqu'à ce que tes orgasmes deviennent douloureux ! Continue sale truie et avec plus de vice et de cochonneries : défoule toi totalement !"

    Chapitre 26

    "Amo Mio, puis-je me mettre à poil et continuer à vous raconter en m'asseyant sur la table de salon en écartant largement les cuisses et si vous voulez en me fistant seule le con ?"

    "Tu es encore plus pute que je ne le pensais, et en plus tu fournis des idées humiliantes que je n'osais même pas imaginer, exécution et sois très salope !"

    Je me mets à poil en quelques secondes, débarrasse la deuxième table de salon, la ronde en verre, et je m'assieds dessus, pose mes pieds très écartés sur le rebord et dirige mon poing allongé et fermé vers ma moule, je suis tellement ruisselante que mon poing entre sans pratiquement que je ne souffre.

    "Bravo, continue ton récit, mais pendant ce temps agite bien tes cinq doigts dans ton con, racle bien toutes tes parois vaginales jusqu'à sentir que tu es une vraie femme et non une truie dans ta boue, mais ne jouis pas sans mon accord !"

    "Bien Amo Mio, hum comme je suis heureuse et humiliée de me fister le con devant vous et la caméra de mon époux ! Je reprends mon récit d'hier : je me branlais donc à quatre pattes dans la baignoire, quand Yves est sorti de la salle de bains et est revenue avec une cigarette. Il s'est accroupi au niveau de ma tête, m'a donné gentiment une bouffée de cigarette et ..." "Donc, petite putain, tu es aussi une fumeuse, mais depuis que je suis là, je ne t'ai pas vu en allumer une pourquoi ?"

    "Je ne fume jamais avant une séance, pour avoir une haleine agréable pour mon dominant ou mes partenaires de cul, et je ne fumerai ce weekend que si vous m'en offrez une, Amo Mio !"

    Chapitre 27

    "Bravo, continue ton récit" "Profitant de mes yeux fermés par le plaisir de la fumée, Yves s'est saisi d'un nichon et m'a posé brutalement un écraseur de téton avec un lest quasiment insupportable, et en me laissant hurler de douleur, il a fait de même avec l'autre nichon, tout en m'ordonnant de faire ballotter mes mamelles de vache de droite à gauche, ce que j'ai fait en hurlant de douleur. Il souriait en épongeant mes larmes avec un doigt qu'il essuyait avec délectation dans la raie de mon cul en me disant : "Voilà, une bonne destination pour des larmes inutiles, là au moins tu pleures du cul et c'est nouveau pour une bourgeoise comme toi !".

    Il a continué durant ce qui m'a semblé être une éternité jusqu'à revenir dans la baignoire et s'agenouiller derrière moi. Je ne pouvais pas voir ce qu'il me préparait, mais j'ai senti sa pine chercher mon trou du cul, et comme il m'encule quasiment tous les jours de la semaine, il a plongé sa pine d'un seul coup de reins dans mon cul, jusqu'à ce que je sente ses couilles battre mon cul bouillant de désir.

    Il ne m'a pas enculée, il m'a plutôt saillie comme une femelle que son mâle voudrait engrosser en s'agrippant de ses deux mains à mes nichons, sans oublier de les faire bouger, de les broyer et de jouer avec les écraseurs. Il s'est arrêté la pine rentrée jusque dans mes intestins, son bas ventre collé à mon cul et m'a demandé de finir le travail en bougeant mon cul et en m'enculant seule tout en contractant mes muscles de l'anus, et c'est comme ça que je l'ai fait jouir au fond de mon cul, lui arrachant, à ma grande fierté, des grognements de plaisir."

    "Oui au moins sa pute servait à quelque chose contrairement à d'autres moments de ménage, de cuisine ou de repassage ! Continue salope de gare !"

    "Ensuite, il se rassied sur le bord de la baignoire et me demande de reprendre ma position avec mes pieds sur ses cuisses. Je vois sa bite mollir, il m'ordonne d'ôter mes écraseurs, ce que je fais en hurlant de douleur, d'ouvrir ma moule gluante de mes deux mains et d'ouvrir grand ma bouche en sortant ma langue le plus possible.

    Je m'exécute, sans savoir ce qu'il compte faire, mais je comprends mieux en sentant sa pisse bouillonner dans ma moule, ses jets remonter rapidement sur mon ventre, s'arrêter plus longuement sur mes mamelles pour se tarir dans ma bouche grande ouverte. Il me regarde en souriant semblant très fier de sa femme qui ne se comporte toutefois que comme une putain de chiottes de gare, un urinoir public.

    Il me dit simplement : réserve toi encore un peu : une douche et tu me feras une pipe que je veux inoubliable. Nous nous douchons ensemble rapidement, et après nous être essuyés sommairement nous nous jetons sur notre lit, et je mets sa pine en bouche, mais Yves vous dira ce qu'il en a pensé !"

    Chapitre 28

    "Bravo pouffiasse, je constate que tu sais raconter des histoires et que tu as un vocabulaire très varié, je me demande même où une bourgeoise comme toi a appris ce genre de mots, mais laissons cela dans ton jardin secret : je ne veux pas tout t'enlever le premier jour ! Alors Yves comment était cette pipe ?"

    "J'aime bien ce que tu viens de lui dire ! Toi aussi tu sais manipuler la plume ou tout au moins le clavier ! Cette pipe ? Hum, fabuleuse, surtout par l'ardeur de la pipeuse qui essayait vainement de s'envoyer en l'air en suçant ma pine comme une folle d'asile.

    Elle m'a fait durer plus d'un quart d'heure, je ne te dis pas dans quel état elle avait les muscles de la bouche, elle en pleurait de rage et de douleur, et quand j'ai jouit dans sa bouche, elle m'a fait signe qu'elle gardait les lèvres fermées et que donc, elle ne pouvait pas me donner un baiser. Elle s'est couchée sur ma poitrine, m'a pris la main et l'a posée sur sa chatte gluante et l'a refermée très fort, elle m'a jeté un dernier regard plein d'amour pendant qu'elle avalait mon foutre et s'est immédiatement endormie"

    "Bravo, c'était superbe, je me répète, mais son excitation ne me surprend plus à présent ! Elle a pensé à sa soumission depuis le dîner et a du te donner son accord sans savoir ce que j’allais exiger d'elle ! Et, comme elle est très cérébrale, elle a du se faire des tonnes de scénarii en dormant ou en se préparant ! »

    « Tu peux le lui demander, Loré est une femme très sincère » José approuve l’idée d’Yves et me demande de lui dire toute la vérité.

    « Oui Amo Mio, cela a commencé le vendredi soir, dès l'annonce du scénario de mon cadeau, puis tout le long de notre retour, et même pendant notre bouderie d'amoureux, jusqu'à mon accord donné à 2 heures, et, pour finir : durant toute la durée de la séance dans la salle de bains et jusqu'à ce que je termine ma pipe.

    Puis le lendemain : pendant la livraison du traiteur, en prenant mon bain, en me préparant et en m’habillant : je n’ai pensé qu’à vous, Amo Mio. Sans pouvoir savoir comment vous me soumettriez. Comme je vous l’ai dit dans la cuisine, vous êtes le premier inconnu à qui je dois obéir devant Yves. Mais j’avais raison de lui faire confiance. Il m’a fait rencontrer un très bel homme, sachant parfaitement jouer avec une femme aussi complexe que moi »

    « C’est gentil ce que tu viens de dire petite pute. J’aime ta sincérité. Allez sors ton poing de ton con, redresse toi mais garde les cuisses bien écartées. On commence à voir un beau filet de mouille qui coule sur le haut de tes cuisses ! » Yves s'approche pour filmer mon sexe en gros plan.

    "En route, petite salope vicieuse : file prendre une douche, récupère toutes tes affaires pour les entreposer dans ta salle de bains, ne tarde pas trop, et reviens nous en jupe, chemisier et mules.

    "Merci, Amo Mio, je reviens très vite"

    Je ramasse mes affaires éparpillées et file dans la salle de bains en faisant comme avec mon chéri : sans fermer la porte derrière moi.

    Chapitre 29

    Quand je reviens, rafraîchie par ma douche et succinctement rhabillée, José fait mine de s’asseoir sur la table de salon en verre, mais je lui demande d'attendre deux secondes. Il est étonné mais me laisse faire, je file à la cuisine et reviens avec un produit et un chiffon avec lesquels je m'apprête à nettoyer la table que j'ai moi même souillée de mes jus de femelle.

    José rit, mais m'arrête : "C'est bien pensé petite pute, mais je pense qu'il ne faut pas abuser des produits chimiques, que dirais-tu de nettoyer toi même cette table avec ta belle langue de salope ?"

    Je souris, pose mes ustensiles et m'agenouille devant la table et je repère au fur et à mesure les endroits tâchés sur lesquels je passe ma langue sans économiser ma force de léchage.

    Yves, caméra au poing, et José rient de me voir si précautionneuse et m'aident en me signalant les endroits qui restent à nettoyer. Quand j'ai fini, je m'adresse à José : "Amo Mio, je suis contente que vous m'ayez laissé réparer les dégâts que j'avais commis".

    En souriant, José s'assied sur la table basse, face à moi et me demande de rester debout tout en relevant ma jupe jusqu'à la taille. Puis de déboutonner mon chemisier sans l'ôter.

    Il me regarde m’exécuter, visiblement avec plaisir : "Dis moi, Loré, tu as de très beaux ongles, tu ne les vernis jamais ?" "Très rarement, Amo Mio, et avec du vernis transparent" "Pourquoi pas avec une couleur vive ?" "Je n'aime pas trop, je trouve que ça fait un peu vulgaire, Amo Mio"

    José a du mal à retenir un fou rire : "Vulgaire ? Je ne suis pas du tout de ton avis, je trouve qu'une femme qui a de jolis ongles doit les mettre en valeur et les montrer en en étant fière !" "Vous avez raison, Amo Mio, je n'y avais jamais pensé" "Tu as du vernis rouge dans ta salle de bains ? " "Non, Monsieur, uniquement du vernis transparent, je suis désolée".

    « Ca n'a pas d'importance, en arrivant au coin de votre avenue, je suis passé devant un magasin de produits de beauté. Je suis sur que le samedi soir, il doit fermer à 22 heures : tu vas y descendre rapidement et acheter un flacon de vernis rouge vif, d'une marque qui sèche rapidement et tu te dépêches de remonter : j'ai hâte de te voir avec tes beaux ongles vernis ! Peut-être te trouveras-tu vulgaire, mais peux tu me jurer que dans ta vie tu n’as jamais fait de choses vulgaires comme par exemple de te mettre à poil devant un inconnu ou de te faire caresser le con par une semelle sale ? Ou t'asseoir à poil cuisses grands ouvertes et de te fister la moule trempée avec ton poing, devant ton Maître et ton mari ?"

    Je rougis sans répondre, furieuse contre moi d'avoir parlé de vulgarité. Je me rajuste rapidement, prends mon sac et descends à la boutique dont je suis une bonne cliente.

    Chapitre 30

    Je demande un vernis à ongles rouge vif, ce qui surprend la vendeuse, mais ne l'empêche pas de m'en montrer plusieurs. Devant mon hésitation elle me dit : « Le magasin ne va pas tarder à fermer, si vous voulez, emportez plusieurs flacons, montrez les à votre mari et lundi vous me paierez ceux que vous avez utilisés » J'accepte cette proposition et remonte à l'appartement avec six flacons de rouges différents.

    J'explique aux hommes ce qui m'est arrivé et pose sur la table tous les flacons en leur disant que, comme ça, ils pourront choisir eux mêmes. Yves me reprend gentiment en me rappelant que c'est à José qu'il aurait fallu que je présente les flacons. Je présente mes excuses à José qui sourit en commençant à comparer les tons et les coloris et il dit sans me regarder :

    "Je crois qu'Yves a bien fait de te rappeler les règles de la soirée, petite pute. Mais je pense, que tu n'es pas dans la tenue la mieux adaptée pour te vernir les ongles devant nous. Tu vas aller te changer en chaussant des spartiates de soirée sans talons avec un lacet long en cuir s'enroulant sur les chevilles et les jambes, je suis sur que tu en as, toutes les jeunes femmes en portent cette année" "Oui Amo Mio, j'en ai deux paires en effet "

    "J'en étais sur, puis tu enfileras un short de plage très moulant, bien sur sans culotte et un petit débardeur, sans soutien-gorge qui doit permettre aux voyeurs que nous sommes de voir entièrement tes nichons quand tu te pencheras soit en avant soit sur les côtés. File, je suis sur que tu as tout ça dans tes armoires !"

    Au fur et à mesure que José me décrit ce que je dois mettre, je visualise les vêtements que j'ai dans ma garde robe, et je suis curieusement contente de savoir que je vais pouvoir lui faire plaisir en m'habillant presque exactement comme il le souhaite.

    Libérée, je vais dans ma chambre, me déshabille, sors mes vêtements que je porte dans la salle de bains pour me rafraîchir un peu et surtout me sécher la chatte avant de me rhabiller en espérant que ma tenue séduira José.

    Quand je reviens, José me dévore des yeux, il me fait tourner sur moi même pour mieux me savourer du regard. Il me fait me pencher en lui tournant le dos et dit à Yves : « Tu avais raison, Yves, ce serait un crime de garder ce si beau cul égoïstement pour toi tout seul ! »

    Il me tend le vernis choisi, c'est le rouge le plus éclatant de la collection, je le trouve vraiment très voyant, mais ne dis rien. José me fait commencer par les ongles des mains. J'ai le droit de m'asseoir devant la table ronde, avec mes deux hommes face à moi.

    J’étale le vernis d’excellente qualité en me concentrant sur mon travail. En levant de temps en temps la tête je me rends compte que José ne me quitte pas des yeux et qu’Yves filme toute la scène.

    « Tu peux répondre à des questions sans te déconcentrer, petite pute ? » Je lui réponds qu'il n'y a pas de problème. « Yves m’a dit de toi que tu avais très peu de tabous. J’aimerais savoir ce que cache ce « très peu ? » Je rougis fortement en ayant un peu de mal à diriger mon pinceau.

    « En fait, Amo Mio, j’en ai deux : je n’aime pas voir mon sang couler et la scatologie » « Bien, voir du sang ne fait pas partie de mes fantasmes, mais je suppose que ça n’exclue pas les traces un peu appuyées sur ton corps de salope qui appelle plus les coups que les câlins, même si elles mettent quelques temps à disparaître ? » « En fait Amo Mio, je suis contre la douleur inutile, j'aime la douleur excitante : le travail des nichons, des pieds ou des épaules, mais tant qu’il n’y a pas de sang et qu’Yves accepte je n’ai rien contre cette douleur, Amo Mio »

    « Bien, et quant à la scato, qu’est ce qui te gêne ? » « L'odeur et la consistance, Amo Mio, elles me donnent envie de vomir » « Je comprends et je l’accepte, mais ça ne t’empêche pas de te montrer en train de chier ? »

    Mon pinceau quitte brutalement son chemin sur un ongle et je suis obligée de m’essuyer la peau. Je deviens écarlate sans pouvoir répondre, José éclate de rire « Tu connais le dicton : "qui ne dit mot consent". Donc tu ne sentiras pas et tu ne toucheras pas ta merde mais si j'en ai envie, tu chieras devant moi et tu seras filmée par ton mari en train de chier ! Yves es-tu d’accord ? »

    Yves se contente de sourire en approuvant ce choix qu'il complète par un : « Peut être devrais-tu attendre qu’elle soit bien excitée pour lui demander ça ? » José le rassure : « Sois tranquille Yves. J'ai de lointains ancêtres Sioux qui m'ont communiqué leur habitude de regarder où j'allais poser mon prochain pied avant de le lever ! Et ça m'a souvent servi dans la vie ! »

    Chapitre 31

    J’ai enfin terminé de me vernir les ongles des mains. Je me sens aussi excitée que vulgaire mais j’espère que ces sentiments ne se voient pas. José me demande de me mettre debout devant lui :

    « Tu vas te pencher et mettre tes deux mains bien à plat sur ma braguette, comme ça Yves pourra bien filmer tes ongles magnifiques » Je m’exécute en sachant qu’en me penchant de cette manière le décolleté de mon top va lui montrer l’intégralité de mes seins libres de tout soutien-gorge. Et, bien sur, sa braguette étant gonflée à exploser, je ne peux pas poser mes mains à plat dessus.

    José rit : « Eh bien, petite pute, tu ne peux pas poser tes mains à plat ? Explique-moi quel problème tu as ? » Je rougis sans répondre, et tout en essayant de les aplatir, je le caresse, ce qui gonfle encore un peu plus sa braguette : « J’attends ta réponse, salope : qu'est-ce qui te gène ? » « Je ne peux pas mettre mes mains à plat, Amo Mio, car vous bandez trop » « Répète moi ta réponse mais avec un langage plus vulgaire, plus en adéquation avec tes ongles rouge vif ! »

    Je m'en veux encore une fois pour ma phrase malheureuse sur la vulgarité et murmure : « Je ne peux pas poser mes mains à plat car votre bite est trop dure, Amo Mio » « Je n’ai pas bien entendu, je suppose que tu voulais dire pine ? » Je me force à parler plus fort et répète : « Oui, Amo Mio, votre pine est trop dure pour que je puisse poser mes mains à plat sur votre braguette » « Et tu ne penses pas qu’elle est aussi dure à cause de ce que ton décolleté me montre ? » « Je pense que ça y contribue, Amo Mio, et en bonne pute, j'en suis très fière » « Et qu’est ce que tu me montres salope exhibitionniste ? » « Mes seins et mes tétons, Amo Mio »

    Yves est derrière José et filme la scène en plongée. Je prends une gifle brutale de la part de José : elle me vexe plus qu’elle ne me fait mal. « Connasse mal éduquée : les femmes ont des seins et des tétons, les salopes comme toi montrent d'autres choses ! »

    « Pardon, Amo Mio, je vous montrais mes nichons de putain de bordel et mes bouts de mamelles gonflés de chienne en chaleur » « Gonflés par quoi putain ? » « Par le désir, Amo Mio » « Le désir ?As-tu envie de m’ouvrir la braguette ? De sortir ma pine au grand air ? De la branler et de me faire une pipe ? Ou préfères-tu que je te la mette dans le con ou dans ton trou à merde ? » « Non, Amo Mio, je n'ai qu'un unique désir : celui de satisfaire les vôtres. Vous ferez ce que vous voudrez quand vous en aurez envie, je n’ai ni à décider, ni à vous refuser quoi que ce soit »

    « Bonne réponse. Allez va te rasseoir face à moi, pose un premier pied sur la table et, bien penchée, vernis toi les ongles des orteils et prends bien garde que tes nichons tombent bien et ballottent en permanence » Je me mets en position, enlève mes tongs et commence le vernissage de mes orteils.

    Chapitre 32

    José me regarde faire tout en se touchant la braguette. J’ai presque fini le premier pied lorsqu’il se lève, vient derrière moi, se penche, ouvre un peu plus le haut de mon top et baisse ses mains chaudes pour prendre mes seins à pleine main. J’entame l’autre pied en ayant du mal à me concentrer : il pétrit mes seins très durement en s’attardant de temps en temps sur mes tétons qu’il pince entre deux de ses doigts, m’obligeant à gémir.

    « Ils triplent de volume : Yves, je suis sur que ta femme peut jouir des tétons, je me trompe ? » « Non tu ne te trompes pas, ça prend du temps mais elle arrive aussi à se faire jouir comme ça ! » Il les pince encore plus fort et me questionne :

    « Dis moi, belle salope, qu’est-ce qu’Yves ne t’a pas fait aux nichons : des élastiques à leur base ou autour de tes tétons bien bandés et durs ? Les tétons serrés par une corde tendue pour les étirer douloureusement ? Des pinces en plastique sur le gras des nichons pour pouvoir les enlever une à une par avec une cravache en cuir ? Un bondage bien serré de tes nichons qui prennent la forme de deux ballons prêts à exploser ? De la cire fondue ou une flamme de bougie ? Des écraseurs ou des pinces dentelées aux tétons ? Des aiguilles dans les nichons ou dans tes bouts ? Une belle promenade menée par une chaîne qui tire tes deux tétons pincés en même temps ? Quelques heures attachée sans pouvoir bouger avec des pinces en acier lestées de poids ? Et bien sur des zébrures bien rouges de martinet, de cravache ou d'ajonc sur tes nichons de salope ? »

    Honteuse de ce bilan que je dois reconnaître comme vrai, je réponds en sanglotant, peu fière de moi : « Oui, Amo Mio, j'ai subi tout ça, mais pas forcément avec Yves »

    Yves sourit et dit : « Je rajouterai des glaçons frottant les tétons ou fondant sur eux, les trayeuses de seins et de tétons, des sorties dans la rue avec les tétons pincés et lestés sous un pull ample, le travail des tétons avec une batterie de voiture.

    Il manque toutefois le plus fort pour exhiber son esclavage : lui faire anneler les tétons, mais le processus est en cours.

    « Hum, je vois que tu as des nichons sans tabous. Je vais me régaler ! Dis-moi, pendant que tu finis de peindre tes ongles de pute : si je te laisse choisir trois parties de ton corps à torturer, quel serait ton choix ? »

    « A torturer ? Je ne savais pas que le sado était au programme »

    Je reçois une gifle gigantesque qui cette fois me fait très mal « Je suis un dominant et tu es une esclave sexuelle, cérébrale et maso, pourquoi veux-tu que je me gène avec toi ? J’attends ta réponse » Je gagne du temps en terminant de vernir le dernier ongle, referme le flacon et d’une petite voix je lui réponds :

    « Mes pieds, mes seins et mes épaules » "C’est noté. Je vois que tu as fini, mets toi debout sur la table du salon et écarte bien les cuisses"

    Chapitre 33

    Je m'exécute et monte sur la table, mes pieds aux ongles vernis me choquent profondément, mais José se concentre sur une autre partie de moi"

    "Dis moi, cochonne, c’est quoi cette tâche entre tes cuisses ?"

    « Je suis trempée, Amo Mio, et mon short est en tissu fin qui n’absorbe pas le liquide » « En fait tu es en chaleur. Prête à ouvrir un de tes trous à une grosse bite, c’est ça putain ? » « Oui, Amo Mio, chaude et prête à être baisée » « Tu crois qu’on baise une fille comme toi ? Tu ne penses pas qu’on se vide plutôt les couilles dans ses trous bien adaptés aux pines des mecs ? » « Oh, oui, Amo Mio, j’ai tellement honte. Oui je suis prête à être niquée et à vider les couilles de qui vous voudrez »

    Il rit, content de m’avoir entraînée à la limite des insultes supportables. « Tu es une bonne salope, rassure toi avec moi tu videras plus de couilles que tu ne pourrais imaginer ! »

    Il me fait m’accroupir sur la table basse et caresser mes pieds nus avec mes mains pour qu’Yves puise bien filmer l'ensemble de mes ongles vernis dans ce rouge trop agressif. Ce dont il ne se prive pas, car il est rare qu’il me voit avec des ongles peints.

    « Je trouve ton idée des ongles très bandante, José » « Tu ne l’avais jamais obligée à le faire ? » « Non, jamais. Mais je reconnais que comme ça elle fait encore plus pute ! » « Si tu veux la niquer, vas-y Yves, je vous filmerai » Yves rit et lui répond « Non, pas pour l’instant, ne te fais pas de souci pour moi, je te le dirai José »

    Quand Yves a fini de me filmer les ongles, José me demande de rester accroupie et de passer mon majeur sur ma chatte à travers le short et de me caresser lentement mais juste pour me maintenir bien chaude avec l’interdiction de jouir.

    J’en avais tellement envie qu’au bout de cinq minutes je ne peux pas m’empêcher de gémir doucement en fermant les yeux « Nom de Dieu, quelle salope : ta femme est un volcan Yves ! » Yves rit, il ressert les coupes et mange quelques tapas. Il a mit la caméra sur son trépied et les deux hommes se concentrent sur le spectacle d’une femme surexcitée qui se branle sans avoir le droit de jouir. Ils me laissent me caresser tellement longtemps que je suis obligée de faire des pauses de plus en plus longues pour ne pas jouir.

    Les hommes me sentent au bord de l’orgasme et s’en réjouissent en m'insultant copieusement; tout en s'éloignant tous les deux vers la cuisine, me laissant me tripoter la moule seule dans le salon.

    Chapitre 34

    En appartée tous les deux :

    « Tu vas la laisser s’envoyer en l’air José ? » « Aucune chance ! Elle est très chaude, mais je la veux bouillante ! Je veux l’amener à jouir rien qu’en lui regardant le clitoris ! » Yves rit : « Belle ambition ! Bravo si tu y arrives ! » « Ça me semble improbable. Mais on peut rêver ! Dis-moi Yves, dans les tabous de cette pute, nous n’avons pas évoqué la prostitution. Est-ce un oubli ? Tu ne l’as jamais louée pour se faire sauter ? »

    « Disons qu'avec moi, c’est un fantasme pour lequel elle est en période d'apprentissage. Elle a sucé de nombreuses fois dans des bars échangistes en échange d’un verre ou d’une bouteille de champagne, et seulement deux de fois contre de l’argent »

    "Pourquoi dis-tu avec moi ?" "Car avec sa domina française, Cathy, elle est beaucoup plus avancée, c'est elle qui gère son planning soit de passes soit de rendez-vous bdsm, et je suis au courant de ses rentrées d'argent qui sont assez colossales"

    "Sa domina est sa maquerelle ?" "Non, c'est une amie commune et elle ne prend pas un sou sur la part de Loré, et quand elle lui emprunte de l'argent pour financer rapidement ses affaires, elle donne à Loré 12% d'intérêts annuels !"

    "Ah, je vois qu'en effet, elle n'est pas intéressée ! En ce qui me concerne, ce sont ses deux fois contre de l’argent qui m’intéressent. Le reste non. Faire des pipes en bar échangiste me semble normal quand on est une pute comme elle. Et les deux fois contre rémunération, c’était avec des inconnus ? »

    « Non, une fois avec un ami qu'elle ne connaissait pas : nous étions en France, et j'ai fait semblant de rencontrer par hasard cet ami, un soir où elle portait son bracelet bdsm et je lui ai imposé de séduire ce très beau jeune homme et de le ramener à la maison pour la sauter contre 200 euros » « Et elle a réagit comment ? » « Très troublée sur le moment, une séance explosive durant laquelle elle a jouit cinq ou six fois en trois heures et en le faisant éjaculer deux fois, puis aucune envie sexuelle pendant une bonne semaine et, après l'abstinence, le déchaînement en se remémorant qu’elle avait gagné de l'argent en vendant son cul ! » « C’est son côté cérébral qui ressort bien ! Et l’autre fois ? »

    « Avec un parfait inconnu : un chauffeur de taxi ici à Madrid » « Donc il y a peu de temps ? » « Oui c’est très récent »

    "Ok, on revient dans le salon avec des bouteilles et je vais lui demander de nous raconter cette aventure comme elle sait le faire !"

    Revenus dans le salon, José nous sert à boire et me dit « Ma petite pute. Je veux tout savoir sur cette passe avec le chauffeur de taxi. Continue à t’astiquer la chatte et raconte-nous tout » Je suis liquéfiée. Nerveuse et au bord de l’orgasme, je n’ai pas envie de me remémorer cette récente aventure. Et ne réponds rien. José, comprenant que je suis réticente se lève se met derrière moi et me gifle violemment au niveau des oreilles ce qui me fait hurler de douleur « Oh, non, Amo Mio, vous avez mal interprété mon silence : je m’éclaircissais la voix, ne me frappez plus s’il vous plaît » « Eh bien, pouffiasse, ta voix est claire à présent, donc nous t’écoutons, je veux des détails et un langage ordurier, si ça ne me plaît pas je continue les gifles sur les oreilles ! »

    « Bien, Amo Mio, il y a environ trois semaines, Yves m’appelle du bureau en me disant que vers 19 heures, il passera me prendre en taxi pour aller voir une exposition dans un quartier éloigné de Madrid. Je me suis habillée à peu près comme j’étais pour vous accueillir. Un peu avant l'heure, j’étais devant la porte, sans sac, puisqu’Yves me rejoignait.

    Je suis montée dans le taxi et Yves lui a indiqué l’adresse. Nous avons bavardé tout le long du trajet. Quand nous sommes arrivés devant l’exposition, je suis descendue du taxi mais Yves après avoir fouillé toutes ses poches n’a trouvé aucun moyen de paiement, il a alors réalisé qu’il avait tout laissé dans une autre veste au bureau.

    « Loré excuse moi de te couper : je dois lui expliquer deux faits qu’elle ne sait pas : la course faisait 40 euros et en allant chercher Loré, j’avais donné 120 euros au chauffeur en lui disant que j'allais faire croire à ma femme que je n’avais pas d’argent mais qu’elle accepterait certainement de le payer en nature.

    Il a tout de suite compris et a accepté de jouer ce jeu d'adulte en souriant, et je précise aussi que j'avais choisi ce taxiteur assez bel homme dans la file, en attendant même qu'il arrive pour monter dans sa voiture ! » « Quel vicieux tu fais Yves ! Là tu me bats. Continue putain même maintenant que tu connais la vérité ! »

    Chapitre 35

    Très troublée par cet aveu, je poursuis : "Je suis donc remontée dans le taxi en demandant à Yves ce que nous pouvions faire. Le chauffeur, bel homme fort sympathique, s’est tourné vers nous et a proposé de nous ramener chez nous pour récupérer un moyen de paiement. Mais Yves a jugé ça idiot, car nous n'aurions plus le temps de revenir voir l'exposition, dont s'était en plus le dernier jour. Nous réfléchissons tous les trois dans notre coin sans trouver de solution, quand le chauffeur demande à Yves s'il peut lui parler seul à seul. Yves accepte et rejoint le chauffeur à l'extérieur du taxi. Et là, je ne sais pas ce qu'ils se sont dit"

    José intervient : "et alors, ton histoire s'arrête là ? Tu te fous de ma gueule, sale pute ?" "Non, Amo Mio, après quelques minutes de discussion, Yves remonte dans le taxi alors que le chauffeur reste dehors. Donc sans témoin, Yves me dit que j'ai tapé dans l’œil du chauffeur et que si j'accepte de le payer en nature, il serait d’accord pour oublier le prix de la course et même pour me payer une rallonge digne de ma classe et de ma beauté.

    Je trouve la situation très embarrassante, mais je ne veux pas monter sur mes grands chevaux et commencer à pleurer sur ma virginité ou sur le vice de la prostitution. Je constate simplement qu'Yves a jugé bon de me proposer ça, c'est donc pour que j'agisse en responsable. Après tout, le chauffeur est mignon, et beaucoup de mes amies en feraient bien leur quatre heures !

    Ma décision prise, j'ai volontairement prolongé le suspense en faisant signe au chauffeur de venir à ma portière, j'ai baissé ma vitre et je lui ai demandé en Espagnol ce qu’il appelait « un paiement en nature », il a sourit en me répondant très intelligemment : "que, sauf si j’étais vierge, je pouvais me douter de ce qu’un homme pouvait attendre d'une femme pour une centaine d'euros". Et il a même sorti un préservatif de sa poche pour me prouver que je ne risquais rien.

    Yves légèrement boudeur (quel farceur me sert de mari !) m’a finalement laissé le choix et j’ai réglé le problème en donnant mon accord au chauffeur. Il a débarrassé son siège passager et m’a aidé à venir m’asseoir devant.

    Chapitre 36

    J'arrête un peu pour m’éclaircir la gorge : « Le chauffeur démarre en nous expliquant qu’il était risqué de jouer à ce jeu ici mais qu’il connaissait un coin très tranquille à moins d’un kilomètre. Dès que j’ai été assise à ses côtés, il a démarré en conduisant de la main gauche, glissant la droite sous ma jupe pour écarter ma culotte et m’enfiler deux doigts dans le con tout en me demandant d’enlever mon soutien-gorge et d’ouvrir mon chemisier. Je sens que c'est un chaud lapin et que je vais en avoir pour mon argent.

    Il stoppe dans un endroit en effet très calme. Il ouvre sa braguette, baisse son pantalon et son slip et sort une bite de belle taille sur laquelle il pose ma main gauche en me demandant de le branler. Le gland de sa pine est rouge, gonflé et humide, visiblement de me doigter et de voir mes nichons l’a déjà bien excité.

    Je le branle quelques minutes alors qu'il me pelote tout le corps et qu'il glisse ses doigts dans tous mes trous, cul inclus. Puis il me penche la tête pour que je lui lèche longuement les couilles avant de me redresser un peu pour m'enfoncer sa pine entière dans la bouche. Pour le pomper, il me fait m’agenouiller sur mon siège, tournée vers lui et cuisses bien écartées pour pouvoir glisser trois doigts dans mon con et me pistonner en se régalant du bruit que ses doigts font en me ramonant la connasse »

    Je dois faire une pause pour respirer et me calmer un peu pour éviter la jouissance, mes hommes rient en me voyant lutter pour ne pas jouir.

    "Je pense qu’il est tellement excité qu’il va jouir dans ma bouche sans capote, ce qui ne me gêne pas outre mesure, mais il me relève brutalement en me tirant par les cheveux et me fait mettre en levrette, cul tourné vers lui, tête et nichons sortis de l'auto par ma vitre ouverte. Il se met à genoux derrière moi, positionne sa capote et m’enfile d’un seul coup de rein. Agrippé à mes hanches il va et vient en moi comme s’il n’avait pas niqué depuis des mois. Je ferme les yeux en me laissant faire, en fait beaucoup plus excitée par la situation que je n'aurais pu penser"

    Chapitre 37

    Mais je les rouvre en entendant un bruit étrange et je vois un homme dehors, debout devant moi, en train de sortir sa bite de son pantalon, il est très laid et quand il se rapproche de moi, je sens la mauvaise odeur d'une pine mal lavée. Mais avant d'avoir le temps de crier et de demander du secours, il me pince le nez et m’oblige à ouvrir en grand la bouche dans laquelle il enfonce sa pine dure et longue. Je suis prise de nausées alors que le chauffeur de taxi lui signale que je suis sa pute et que s’il veut se vider les couilles dans ma bouche ça lui coûtera 20 euros, comme dans tout le quartier »

    « L’homme rit sans arrêter de me baiser la bouche en me maintenant par les cheveux mais au dernier moment, il sort sa pine de ma bouche et explose sur ma figure et dans mes cheveux en me glissant un billet de 10 euros dans la bouche tout en me disant : « Je ne jouis jamais dans une putain, 10 euros ça te suffira pouffiasse »

    Et il part en se reboutonnant alors que le chauffeur de taxi jouit en grognant de plaisir au fond de ma connasse grande ouverte et trempée. Je sors de la voiture, maculée de sperme, le chauffeur me prête une boîte de kleenex et un peu d'eau pour me rafraîchir avant de me rhabiller. Il nous accompagne devant l’exposition, me donne un billet de 50 euros, et me remercie avant de partir.

    Nous avons visité l’exposition après que je sois passée aux toilettes pour effacer toute trace de foutre sur mon visage ou mes cheveux, voilà, Amo Mio, c'est tout"

    « Putain, Loré, quelle salope tu es ! En plus tu racontes divinement bien tes histoires de cul ! J’ai la bite dure comme du bois. Je crois bien que si Yves est d’accord, nous irons faire un tour dans le coin tranquille de ton chauffeur de taxi baiseur et maquereau ! Je pense que tu as besoin d’un peu de sous ! Et dis moi, putain, avec le recul que penses-tu de cet intermède de cul dans ta vie ? »

    "J’ai deux réactions, Amo Mio, à froid j’ai envie de vomir de ma conduite mais quand je suis excitée, d’y repenser m’excite encore plus" "J’espère, salope, que le temps que nous allons passer ensemble ne fera que t’exciter en y repensant. Pour l’instant, dis-moi avec ta franchise habituelle si tu aimes ma manière de te dominer ?"

    "Oh, oui, Amo Mio, vous m’excitez beaucoup et vous connaissez très bien les femmes obéissantes, mais surtout je n'ai aucune idée de ce qui va m'arriver, par exemple maintenant, car je ne vous connais pas du tout" Il rit "Pour l’instant ce ne sont que des préludes, les choses sérieuses viendront petit à petit ! Arrête de t’astiquer et enlève ton short. J'ai envie de le sentir et tu seras mieux le con et le cul à l’air ! »

    Je lui tends mon short, il le renifle et son jugement immédiat me vexe profondément : « J’aurais eu le même résultat en mettant une culotte à une vraie chienne en chaleur ! Essuie toi le haut des cuisses avec tes doigts et lèche les pour bien les nettoyer, et, si pour toi, une femme aux ongles vernis est vulgaire, une salope au con trempé et dégoulinant qui rêve de se faire mettre est pour moi l’image même de la vulgarité, du vice et de la putasse de gare. Honteuse, je baisse la tête sans rien dire tout en sachant qu’il a raison.

    Il reprend une coupe, trinque avec Yves qui a tout filmé et tout enregistré « Tu devrais couper au montage ton paiement au chauffeur de taxi ? » « Oui, surement. Ça n’apporte rien à l’histoire ! »

    Chapitre 38

    Je finis de me sécher un peu le haut des cuisses et de me lécher les doigts quand José me demande de le regarder dans les yeux « Dis moi, pouffiasse, je suis sur qu’une femelle aussi chaude et maso que toi a quelques jouets sexuels cachés ? Je me trompe ? » « Non, Monsieur, c’est exact, ils sont dans notre chambre à coucher » Il se lève, me donne une tape bruyante sur les fesses et me dit : « Allez en route, je te suis et bouge bien ton cul nu en marchant que je me régale de te voir te trémousser ! Tu viens avec nous Yves ? »

    « Non je vous laisse tous les deux, j’ai des réglages à faire sur l’ordinateur pour le connecter à la télé : amuse toi bien avec elle, régale toi et sache qu’elle a utilisé avec moi tous les jouets que tu vas découvrir donc tu peux choisir ceux que tu veux, elle les a déjà inauguré ! »

    Je me dirige vers notre chambre en sentant le regard de José rivé à mes fesses que j’essaye de remuer en cadence. José me murmure à l’oreille : « Tu sais putain que tu as un mari unique et que tu es une pute extraordinairement bandante, j’ai tellement de choses à te faire faire que je crois que deux jours ne me suffiront pas ! »

    Je suis pieds nus, chatte et cul nus, avec seulement le débardeur chargé de bien exposer mes nichons, nous arrivons dans la chambre, à l’extrême droite d'un grand dressing, il y a une armoire fermée par un cadenas à code. José sourit pendant que je le décode. Il s’assied sur le bord du lit et me dit : « Tu vas sortir tes jouets un par un en m’expliquant à quoi ils servent et tu les déposeras un par un sur le lit à côté de moi »

    Chapitre 39

    Je fouille dans l’armoire et sors les accessoires en fonction de leur catégorie.

    « Quatre paires de menottes, deux en acier : une à chaîne courte pour les poignets et une à chaîne plus longue pour les chevilles, un jeu en cuir pour attacher ensemble les poignets et les chevilles et un collier de cuir avec deux menottes en acier de chaque côté » « Et à quoi sert cette dernière ? » « Une fois le collier posé autour du cou, on peut attacher les deux poignets de chaque côté du cou, Amo Mio » « Bien, ensuite »

    « Des cordes de différents diamètres et de différentes longueurs pour m’attacher et une corde à nœuds pour que je jouisse » « Je ne comprends pas ? » « Yves la tend entre des fixations et une fois enjambée je vais et viens sur les nœuds. Ce qui me fait jouir, Amo Mio » « Bien et puis ? »

    « Trois bâillons : un avec une grosse boule sur laquelle je dois serrer les dents, un autre avec un gode qui rentre très profondément dans ma bouche et un dernier qui, avec une armature en acier m’empêche de refermer la bouche » « Tu n’as rien pour la langue et le nez ? » « Oui, Amo Mio, deux crochets en acier qui entrent dans mes narines et sont tendus par un élastique passant derrière la tête et une pince plate assez large qui pince la langue et peut être suspendue à un crochet par une chaînette » Je lui sors le jouet que je viens de lui décrire. « Très bien, j’adore ça, continue »

    « Deux pompes à air : une avec deux cloches pour vider l’air des nichons, et une autre avec des sortes de seringues vides pour les bouts de mamelles » « Tu n’en as pas pour aspirer les grandes lèvres ? » « Non, Amo Mio, mais vous devriez le dire à Yves » « Continue pouffiasse »

    « Des pinces en plastique très grandes qui prennent beaucoup de chair et des pinces en acier, plates ou dentelées avec des poids pour les lester » « Et tu supportes tous les poids ? » « Oui, Amo Mio, mais je ne peux pas rester pincée toute une soirée avec certaines pinces lestées, ça devient de la torture gratuite. Yves sait quelles sont celles que je supporte longtemps » « Bien, je lui poserai la question tout à l’heure »

    Chapitre 40

    « Un gros crochet en fer avec le bout en forme de gode » « Pour le cul ou le con ? » « Les deux, Amo Mio »

    « Des godes de différents diamètres dont un avec des picots durs en latex » « Combien et quel est le plus gros ? » « Cinq en tout, Amo Mio et le plus gros fait 30 centimètres de long » « Pas mal, je vois que tu es habituée aux grosses pines ! » « Un vibromasseur portable pour le clitoris et quatre pour mon sexe ou mon cul. Des plugs de différents diamètres pour mon anus » « Tu les gardes longtemps dans ton cul ? » « Oui, une matinée ou une soirée, Amo Mio » « Bien »

    « Un ceinturon de cuir avec des picots de latex intérieur pour ma taille, des bracelets de cuir pour compresser la base de mes nichons, d’autres pour mes chevilles et mes poignets » « Avec des anneaux ? » « Oui; Amo Mio »

    « Un paddle pour mes fesses, mes seins ou mes épaules. Une cravache, une baguette d'ajonc et une règle en bois pour y poser mes genoux » « Hum, continue tu me fais bander ! »

    « Des boules de geisha : une avec deux grosses boules et une autre avec trois boules plus petites, un œuf vibrant avec une télécommande et une variété de masques. Voilà, j’ai fini, Amo Mio » « Belle collection qui correspond bien à ton statut de pute facile et maso ! Mets-toi debout face à moi, entre mes jambes. Et écarte bien les cuisses » Je m’exécute tout en le voyant prendre les deux grosses boules de geisha. Il enfonce la première brutalement dans ma chatte gluante qui l’accepte sans difficulté tout en laissant pendre l’autre hors de mon vagin. Il tire sur la corde en me regardant dans les yeux, je ne peux cacher un sourire de plaisir en sentant la boule bouger en moi.

    Chapitre 41

    « Je vois que ça te plait, n’est ce pas petite pute ? » « Hum, oui Amo Mio, ça m’excite » « Voyons si le reste te conviendra autant ! » A ma grande surprise, il pose un masque sur mes yeux. Privée d’un seul coup de ma vue, je suis un peu désemparée, mais je sens qu’il me prend par les cheveux et me tire sur le lit où il me fait tomber parmi les accessoires éparts.

    Il me dispose en levrette et m’incline la tête pour que je la pose sur mes mains croisées. Je déduis de ma position qu’il va me pluguer le cul. D’un seul coup, j’ai l’impression d’être seule et j’entends en effet des bruits de voix en provenance du salon. Quelques instants plus tard, j’entends le bruit caractéristique de la caméra d’Yves et des bruits de crémaillère et d’étoffe, ce qui ressemble fort à un pantalon qui se baisse, et ce qui vient me frotter l'anus ne ressemble pas à du latex : José me donne l’explication du masque et de ma position.

    « Tu pensais que tu allais te régaler en voyant ma bite, en la caressant, en la léchant, en la branlant, voire même en la suçant. Mais non, pouffiasse, tu ne la verras pas encore, l’heure n’est pas venue, par contre, je vais t’exploser la rondelle sans toutefois vider mes couilles dans ton cul de pute et tes intestins de truie»

    Et joignant la parole au geste, il enfonce brutalement sa bite dans mon anus en le défonçant sans aucune pitié. J’hurle de douleur, car il est beaucoup plus gros qu'Yves, mais il n’en tient pas compte et se retire complètement de mon cul pour y pénétrer d’un seul coup en répétant plusieurs fois son manège, jusqu’à ce que mon anus s’habitue à ce monstre qui m’encule.

    « Tu voulais une pine ? Tu l’as au fond du cul salope ! Tu te sens bien remplie du cul espèce de garage à bites ? » « Oh, oui, Amo Mio, mais elle est trop grosse pour mon petit cul, Amo Mio » « Trop grosse ? Tu te fous de moi pouffiasse ! Elle est plus grosse que celle de ton mari ? » « Oh, oui, Amo Mio, bien plus grosse » « Il sort sa bite, crache sur mon anus et replonge sa pine au fond de mon cul avant d'aller et de venir de plus en plus vite et en sortant chaque fois l’intégralité de sa bite de mon cul »

    « Dis moi salope intégrale. Tu vas me prendre combien pour te défoncer le cul de cette manière ? » « Oh, non, Amo Mio, vous savez bien que tout est gratuit pour vous » « Non, tu dois toucher du pognon en échange de ton cul, pense à ton éthique de prostituée ! Il ne faut pas gâcher le métier ! Même si tu débutes » « Oh, Amo Mio, je suis à vous. Je ferai tout ce que vous demanderez. Enculez moi, défoncez mon cul, régalez vous avec votre vide couilles. Je suis là pour ça »

    Chapitre 42

    Il se retire de mon anus et s'adresse ironiquement à mon chéri : « Hum, Yves, je crois que ton expérience va au-delà de tes espérances. Si je continue, ta femme va te réclamer sans arrêt des nouveaux Maîtres ! »

    Yves rit « Oui je crois que tu as raison. Mais si elle ne peut plus se passer de toi, qu'allons nous devenir ? Tu crois qu'elle se contentera de n'avoir que deux Maîtres ! » "Rassure toi, je sais m'effacer, à ce propos, je te laisse la place ? Tu veux l’enculer, elle est déjà bien élargie ? » « Oui je n'en doute pas, je ne savais pas que tu étais monté comme un âne, ce n'en est que mieux, changer le format d'une bite fait partie des nouveautés dans le bdsm qu'elle doit apprendre ! Vas-y profite de ton jouet, continue à lui défoncer le cul, elle en a besoin pour devenir définitivement ton esclave ! »

    José se colle à mes fesses, mains agrippées à mes hanches. Il m'encule de nouveau d'un seul coup mais reste enfoncé quelques minutes au fond de moi, la pine dans mes intestins, son bas ventre collé à moi, avant de ressortir lentement en débandant légèrement. Je sais qu'il n'a pas joui, et je suis étonnée par sa résistance.

    Il profite de ma position et de l’humidité de mon trou du cul pour demander à Yves de lui passer un plug de moyenne taille de ma collection. Il fait des cercles avec sur mon anus avant de le pointer droit sur mon anus et de l’enfoncer dans mes fesses. Je me détends pour l’aider au maximum. Il tourne le plug dans mon cul en l’enfonçant jusqu’à ce que je sente contre mes fesses la plaque de latex qui lui interdit d’entrer plus avant dans mon cul. « C’est vrai que tu as un trou du cul très étroit, mais tu es un régal pour les bites et, là, ce plug n'est pas trop gros mais est très long, il est bien au fond de ton trou à merde et il est assez gros pour que tu ne puisses pas de le perdre ! »

    Chapitre 43

    J’entends du bruit, je pense qu’il se rhabille. Je constate que c'est bien ça, quand il enlève mon masque me fait me redresser avec la boule qui pend de mon con et le plug dans le cul.

    "Yves, tu veux bien la raccompagner au salon, je choisis quelques jouets et je vous rejoins "

    Une claque sur les fesses me fait retourner à petits pas au salon nue, à part mon débardeur, en suivant Yves alors que José fait son choix dans nos jouets.

    Il nous rejoint dans le salon et me laisse debout, cuisses bien serrées. Il boit une coupe avec Yves « Vous avez une très belle collection de sex-toys ! » « Nous les achetons tous les deux sur des sex-shops en ligne mais c’est elle qui choisit ! »

    « C’est plus excitant comme ça. Ta petite pute choisit ce qui va l’humilier ou la faire souffrir ! C’est une bonne idée ! Putain, mets toi au milieu du salon et tourne sur toi-même pour qu’Yves puisse bien te filmer ! » « Entre la chambre et ici, je vais avoir de belles images. Mais pourquoi ne lui as-tu pas rentré la seconde boule dans le con ? » "C’est pour que la première bouge bien  : je veux qu’elle soit plus que trempée !"

    « Dis-nous comment tu te sens putain ? » « Très excitée, Amo Mio, et très honteuse de m’exhiber comme ça devant vous deux et la caméra » « Remets toi à quatre pattes sur la table de salon en verre, que tu commences à bien connaitre ! Tête tournée vers la télé, puisqu’Yves a fini de raccorder l’ordinateur et la télé tu vas pouvoir te voir ! »

    Je fais ce que José me demande et prends la position avant de me voir sur le plasma grand écran du salon : mon débardeur froissé laisse voir une grande partie de mes seins et cette boule qui pend de mon vagin ne risque pas de me refroidir.

    José se place derrière moi, bouge les boules en tirant très fort sur le cordon et finit par entrer la deuxième qui doit faire sa place en poussant l’autre bien au fond de mon vagin.

    Puis il se met devant moi, il a du récupérer des ciseaux dans notre chambre, car il découpe soigneusement mon débardeur en prenant soin de laisser les nichons et les bouts bien dénudés. Il repose ses ciseaux, prend mon sein droit dans sa main. Il le masse et le pétrit avec force avant d’en pincer le bout entre ses doigts jusqu’à ce que le téton soit bien gonflé. Quand il constate que le bout de mamelle bande bien, il prend une des pinces de plastique et la pose juste au bout sans pincer un millimètre de chair du sein. Il semble content de me voir me mordre les lèvres pour ne pas crier et en profite pour faire la même chose à l’autre téton.

    Chapitre 44

    Il me donne une lourde tape sur les fesses : « Tu es très bien comme ça et je vois que tu endures bien la douleur. A ce propos Yves, ta femme m’a dit que tu savais quelles pinces elle supportait, avec quels poids et combien de temps, tu pourras m’éclairer ? Je veux bien la faire souffrir mais pas la torturer ! »

    « Elle supporte toute une soirée des pinces de plastique même lestées, pour toutes les autres, je ne dépasse jamais les deux heures, et dernièrement j’ai vu sur un site qu’il y avait de nouvelles pinces spécialement étudiées pour être portées longtemps sous un vêtement, ce sera un de nos prochains achats » « Merci Yves de m’apprendre à mieux la connaître, je te consulterai avant de lui pincer ses beaux bouts de mamelles de vache ! »

    Je relève la tête et vois mes seins pincés en gros plan sur l’écran. José se met derrière moi en faisant signe à Yves de se rapprocher, il prend le plug dans sa main et lui fait faire quelques allers et retours dans mon cul m’obligeant à gémir comme un petit chiot.

    Il finit par l'enlever complètement de mon cul, et quand il voit que mon anus reste béant même lorsque le plug est enlevé, il demande à Yves : « Elle a de la crème lubrifiante ? » « Oui je vais te la chercher » Yves revient quelques instants plus tard avec une boîte de crème Nivea que José dépose devant moi avec le plus gros plug de ma collection.

    « Fais ton travail de pute, et dans l’intérêt de ton trou du cul, je te conseille de super bien lubrifier ce monstre. Je suis surpris que tu l'aies déjà porté, car il me paraît disproportionné par rapport au diamètre de ton trou à merde »

    José m'ordonne de faire mon travail de lubrificatrice tout en prenant une position qui permette à Yves de bien filmer en gros plan mon anus qui après avoir été libéré du moyen plug s'apprête à recevoir le monstre sans avoir eu le temps de se contracter.

    Je suis les directives d'Yves pour bien exposer mon cul obscènement ouvert et je sais quand j'ai la bonne position en ayant une nausée en me voyant sur l'écran de la télé.

    J’ouvre la boîte, mets une grosse boule de crème sur le gland du plug, je le pose verticalement sur la table, et des deux mains, je le branle en l’enduisant de crème du gland jusqu’à la base. Yves filme en gros plan cette scène obscène que je peux voir à la télé et qui me fait honte tout en me trempant la chatte.

    José me prend le plug des mains pleines de crème et s’assied sur la table en verre juste derrière moi.

    Suite dans le tome 3


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