• Madrid 05

    Loré à Madrid tome 5

    Chapitre 104

    « Enlève tes boules de geisha, putain et montre nous bien comment tu fais » Je dois tirer assez fort sur le fil qui pend de mon anus pour que la première sorte en faisant un bruit obscène de succion. Les deux autres suivent facilement.

    « Montre à Anita ton anus dilaté : tu vois un vrai trou à merde de putain ! » Je sens en effet mon anus béant, et j’ai encore plus honte quand José s’approche pour en faire un gros plan. Anita m’oblige à bien me pencher en avant et à ouvrir mes fesses de mes deux mains avant de me dire : « Putain, tu vas aller à la cuisine, qui est par là, et revenir avec un tabouret spécial que tu reconnaîtras facilement ! »

    Pendant ce temps elle sert deux verres de vin et en offre un à José. Dans la cuisine, je cherche un tabouret spécial sans le connaître, sous la table, j’en trouve un en bois, surmonté d’un énorme gode sculpté dans le même bois et vissé sur l’assise. Je n’ai jamais vu un gode aussi gros, avec un gland aussi impressionnant. Le tabouret à la main, je reviens rouge comme une tomate au salon où ils m’accueillent en souriant « Regarde au dessus de toi, putain, tu vas y découvrir deux anneaux fixés dans la poutre du plafond, positionne le tabouret juste en dessous d’eux » Je repère les anneaux et pose le tabouret comme elle me l'a demandé.

    « C’est astucieux de ta part, Anita, de mélanger ta décoration et tes installations bdsm ! » « Oui, on dirait un appartement normal, mais il y a plein de choses qui me servent avec mes esclaves ! Et je te parlerai seule à seule d’une maison de campagne que je finis d’équiper »

    Chapitre 105

    « Tu sais que tu commences à beaucoup me plaire, Anita, à te voir dans ton petit uniforme de vendeuse, je ne m’attendais pas à découvrir une dominante si expérimentée : j’ai hâte de te voir jouer avec ton esclave ! » Elle rit et le remercie. « Je peux t’assurer que, malgré mon âge, ta pute n’est pas la première à me passer entre les mains ! Et sûrement pas la dernière ! Il est même possible que j’en fasse mon métier. Quant à ta putain, je la sens bien prête à obéir à toutes mes envies ! » « Son mari l’a parfaitement bien éduquée, je ne sers qu'à lui apprendre à obéir à une personne différente ! » Ils rient tous les deux.

    « A présent, putain, tu vas ôter ton œuf vibrant » Je dois entrer profondément mes doigts dans mon vagin pour le sortir, glissant et gluant de mes sécrétions de femme en chaleur. Anita me tend gentiment un kleenex pour le poser dessus sans tout tâcher.

    Chapitre 106

    « Bien, mets toi à cheval sur le tabouret et tu vas plier doucement les genoux pour faire en sorte que le gode entier entre dans ton con gluant ! »

    Un peu affolée par la taille du monstre, je positionne la tête du gland à l’entrée de mon vagin et je remue un peu mon ventre pour bien l’humidifier avant de plier lentement mes genoux pour le laisser entrer avec précaution en moi. « Très bien, petite pute, je ne suis pas surprise de voir comme il entre bien en toi, on voit que tu es habituée à recevoir des gros calibres ! » En grimaçant devant eux et la caméra, je le fais entrer peu à peu en souffrant terriblement d’être obligée de m'ouvrir autant, et c’est trempée de sueur que je sens, enfin, mes fesses toucher l’assise de bois du tabouret.

    « Cette pute va pouvoir se reposer, maintenant qu’elle est assise ! » « Oh, non, José, je ne compte pas lui accorder de répit : petite salope tu vas prendre appui avec tes mains sur le bord du tabouret te lever et te rasseoir de plus en plus rapidement sur cette bite qui doit devenir pour toi un piston magique. Tu vas voir que, très vite elle va te donner du plaisir ! »

    Chapitre 107

    Alors que je m’exécute, José lui dit : « Anita, ta manière de l’utiliser me fait réellement bander ! » « Merci pour ton compliment, José, en échange, ne te fais pas de souci, je ne suis pas égoïste, tu auras un beau cadeau de ma part, et j'espère qu’il te plaira ! » Elle me laisse faire une vingtaine d’allers et retours sur le gode jusqu’à ce qu’il sorte entièrement de mon vagin en me levant et que je le renfonce d’un seul coup au fond de moi en me rasseyant, ce qui m'oblige à des gémissements, mélange de plaisir et de douleur.

    En constatant qu’il coulisse à présent parfaitement dans mon con trempé, Anita me dit : « Maintenant, José va comprendre pourquoi je t’ai fait enlever tes boules de geisha, lève-toi. Le gode étant dégoulinant de ta mouille de femelle en rut, tu vas faire la même chose que dans ta connasse, mais cette fois dans ton petit cul, en te défonçant ce que José appelle si justement ton trou à merde ! Et tu vas nous raconter comme c’est jouissif d’être enculée par cette pine monstrueuse ! »

    Chapitre 108

    Je me relève, très anxieuse, je doute que cet objet monstrueux puisse entrer dans mon cul si étroit. Et José intervient : « Tu es sure Anita qu’il va entrer sans dommages ? »

    « Elle va bien sur souffrir un peu, c’est pour ça qu’il fallait que le gode soit trempé et glissant, mais je t'assure qu'à voir son anus béant, que tu as du veiller à garder bien dilaté tout au long de la soirée, qu’elle va l’avaler entièrement, même s'il lui faut du temps pour sentir le bois contre ses fesses adorables ! Tu ne te doutes pas de l’élasticité du trou du cul d’une femme et encore moins de celui d'une pute salope ! »

    José sourit et continue à filmer en silence. Je pose le gland sur mon anus dilaté et je commence à m’asseoir avec beaucoup de précaution. Mais, il est tellement trempé par mes jus intimes que le gland entre d’un seul coup, suivi d’un bon quart du gode. « Tu vois, José, comme il entre bien, le gland est déjà dans son cul, et le reste va coulisser sans problème »

    « Oui, tu avais raison Anita, c’est à peine croyable » Il vient me filmer en gros plan alors que peu à peu le monstre disparaît dans mes entrailles, je crois qu’elle va l’avaler entièrement, tu avais raison Anita ! »

    Elle est à présent sure qu’il va entrer totalement et se lève pour prendre deux longues chaînettes en acier dans un tiroir. Elle les fixe dans les anneaux du plafond en montant sur une chaise et les règle pour que les quatre extrémités tombent au sol.

    Chapitre 109

    Descendue de la chaise, elle prend deux pinces plates en acier qu'elle me montre au passage : elles sont très dures et n’ont rien à voir avec celles que je porte. Pour noter qu'elle va mieux me faire jouir, elle m'enlève les BB auxquelles je commençais à bien m'habituer, en disant à José : « Nous allons nous occuper de ses bouts de mamelles ! » Il rit : « C’est très bien car en plus cette pute adore qu’on s'occupe de ses nichons ! »

    Sans attendre que le gode soit entièrement en moi. Elle me pose les pinces-écraseurs, en faisant en sorte de bien écraser mes bouts de seins sur toute leur longueur ainsi qu’un peu de mes aréoles. Ce qui est horriblement douloureux. Avec des gestes précis, elle clipse chaque pince à un des bouts de chacune des chaînettes, et en passant derrière moi, elle tire sur les deux chaînettes qui coulissent avec bruit dans les anneaux jusqu’à ce que mes tétons soient tendus à l’extrême vers le haut. « Si tu veux jouer avec les chaînes, José, ne te gêne pas : tu les relâches et les retends pour qu’elle sente bien les pinces et tu peux même la suspendre par les nichons si tu veux la torturer ! Ça l’obligera à ouvrir la bouche, comme pour te supplier de la lui remplir de ta bite ! »

    Mes fesses reposent enfin sur le bois du tabouret, je suis assise avec le gland du gode qui fouille mes intestins. La douleur occasionnée par le monstre s’est déplacée vers mes bouts de nichons qui me font horriblement mal. « C’est ton jouet, Anita, tu veux que je lui défonce la bouche ? » Elle rit : « Oui j’aimerais que tu te serves de sa bouche de pute-bourgeoise, non pas pour te faire pomper, mais comme d’un con sans qu'elle te suce, sans qu'elle te lèche et sans jouir en elle. Une petite pute aussi vulgaire ne mérite pas ton foutre ! » « Rassure toi, je ne lui donnerai rien à boire, ça lui ferait trop plaisir ! » José se lève, pose la caméra sur un meuble pour pouvoir continuer à filmer toute la scène et se déshabille de la taille aux pieds.

    Chapitre 110

    Je remarque qu’Anita semble apprécier sa grosse bite, car c’est la première fois qu’elle la voit. « Je me chargerai des chaines, et avec ta bite dans sa bouche, nous n’entendrons pas ses cris de salope ! » Elle me tend tellement les tétons que je dois lever un peu mes fesses du tabouret. Ce qui fait bouger le monstre dans mes intestins. José se met debout entre mes cuisses qu’il écarte bien et approche sa bite de moi tout en me tirant par les cheveux.

    Il me gifle longuement avec son gland, puis plie un peu les genoux en me visant les seins et les tétons pincés avant de rapprocher sa pine de ma bouche grande ouverte par la douleur et de l’enfoncer dans ma bouche dans toute sa longueur, tout en m’obligeant à le regarder droit dans les yeux.

    Il doit y lire de la honte, du plaisir et beaucoup de douleur et se rappeler de la remarque d’Yves sur mon regard vicieux de soumise totale. Anita change de position pour mieux le voir faire : « Profites-en, José. Elle est à nos ordres avec ses nichons pincés et enculée par ce gigantesque pieu en bois bien dur ! » Il s’enfonce jusqu’à ce que je sente ses couilles contre mes lèvres : « Hum, Anita, je touche sa gorge avec mon gland ! » Il est entré tellement loin en moi qu’en la ressortant un flot de bave s’échappe de ma bouche. « Cette pute en bave de joie ! Continue à bien lui baiser la bouche, José, moi je vais m’occuper de la chauffer encore plus ! »

    Chapitre 111

    Elle attache les chaînettes à deux crochets fixés dans le mur de telle sorte que mes tétons soient étirés, mais sans que ce ne soit une torture et elle vient derrière moi sans que je ne puisse connaître ses intentions. Elle me pose les mains sur le rebord en bois du tabouret, me prend sous les bras et malgré mon poids, elle m’aide à me lever et à m’asseoir sur le gode en m’enculant brutalement à chaque va et vient. José rit en comprenant son manège et me remet sa bite dans la bouche. J’essaye de bien serrer mes lèvres en m’adaptant au diamètre de sa queue et malgré ce qu'a dit Anita, je lèche ce que je peux en le faisant grogner d'un plaisir non dissimulé.

    Je réalise avec honte que je ne suis qu’un simple objet sexuel : je ne peux pratiquement rien faire, même pas pomper mon Maître, Anita qui contrairement à sa silhouette doit être bien musclée, car elle continue sans faiblir à me faire aller et venir sur le gode en vérifiant qu’il ressorte bien de mon anus à chaque fois. « José, dis-moi quand tu n’arriveras plus à te retenir, n'oublie pas que j’ai un cadeau à te faire ! » « Rassure-toi, je t’ai dit que je ne jouirai pas dans sa bouche. Je me contente de lui niquer la bouche, et j’ai la chance de pouvoir me retenir assez longtemps! »

    Chapitre 112

    Anita rassurée sourit et lui dit : « Très bien, je te laisse quelques secondes, je reviens de suite »

    Une fois seuls, José me gifle violemment les nichons en riant de ma grimace et me dit : « Je vois que tu n'as pas besoin de créer ton personnage, je me demande si ce n'est pas le vrai, et que c'est en jouant à la bourgeoise épouse et mère parfaite que tu joues ton faux rôle ! Tu es une salope née, je pourrais te baiser la gueule pendant des heures jusqu'à la paralysie des muscles de ta bouche, tout en te regardant te défoncer seule la rondelle, contente de t'élargir pour que je puisse mieux t'enculer ! Oh quelle salope, je te répète que tu donnes plus envie de te torturer que de te câliner ! »

    Anita revient, vêtue uniquement d’une petite chemisette transparente qui laisse voir sa jeune poitrine et une fine musculature de sportive. Elle n'a pas de culotte et les pieds nus. José sourit en la voyant aussi jeune, fraîche et bandante, sans arrêter de me baiser la bouche en alternant des mouvements lents et plus rapides.

    Chapitre 113

    Anita éclate de rire : « Je vais voir si tu préfères te vider les couilles dans une merde humaine, ou lui montrer comment tu offres ta semence à une Dame ! » « Tu es très belle Anita et très sensuelle, bien sur que je préfère la Dame. Elle, c’est juste un objet, une chose télécommandée qui lève un bras quand on le lui ordonne, allume une cigarette quand on l'y autorise. Et j'aime ton idée qu’elle voit comment je te donne mon sperme sans qu’elle y ait droit ! » « Moi aussi, mais, la pauvre : elle s’attend à ce que tu te vides les couilles en elle, elle va être frustrée et je ne veux pas avoir de problèmes avec elle ! ». José éclate d'un rire moqueur et très humiliant et m'achève et me lançant : « C’est une pute qui n’a aucune exigence. N’est ce pas la vérité, Madame Dufour ? »

    Je suis tellement horrifiée de ce qu'il vient de dire à cette totale inconnue, et surprise qu’il m’appelle par mon nom, que je tarde à répondre d’une voix rauque : « Je ne suis qu’une esclave-putain, Amo Mio. Mes désirs ou mes envies ne comptent pas »

    Anita constate d’une voix amusée et sarcastique : « Ouf, nous avons son autorisation, je me sens soulagée ! Dis-moi, José, tu devrais lui remettre l’œuf dans le con, le brancher sur sa plus grande vitesse et bien sur, lui interdire de jouir ? » « Excellente idée, je m’en charge » Sans sortir l’œuf du kleenex et même, en s'en servant pour ne pas se salir les mains, il pousse le vibromasseur tout au fond de mon vagin en m'obligeant à décoller mon cul du tabouret et en m’écartant les cuisses à la limite de mes possibilités.

    Chapitre 114

    « A présent, il y a deux femmes dans cette pièce : une qui va s’envoyer en l’air comme une reine et l’autre qui va me jalouser mais devra se contenter de mater en retenant son plaisir sous peine d'une punition sévère que je serai heureuse de lui infliger moi même ! » « Hum, et à quelle punition as-tu pensé ? »

    « L'emmener dans un coin à putes pas chères et de la prostituer deux ou trois heures à 10€ la passe ! » « Waouh, ça s'appelle de l'abattage, je pense que ça devrait calmer ses envies de s'envoyer en l'air ! » « Oui, je le pense aussi ! »

    Anita se rapproche de moi et me regarde dans les yeux. « Tu vas continuer à t’enculer seule, mains posées sur le tabouret, comme je t’ai aidée à le faire. Et fais attention que le gland ressorte complètement de tes fesses avant de te rasseoir brutalement pour bien t’enculer devant nous. Et, tu nous diras comme tu aimes t’enculer seule devant nous et comme ça te fait du bien d'avoir les intestins fouillés par ce monstre, tu m’as comprise, pute de bougnoules ? Petite merde obéissante ? Rebut de l'humanité ? Moins que rien ? » « Oui, Mon Ama Querida, j’ai bien compris » « Alors, exécution : nous te regardons avec dégoût ! »

    Chapitre 115

    José s’assied avec sa caméra dans un fauteuil, face à moi. Anita s’assied sur ses genoux en lui caressant doucement le sexe, alors qu'ils me regardent lever mon cul avant de me rasseoir d'un seul coup sur le tabouret.

    Ils m'observent d'un regard méprisant, en riant de mes grimaces : il lui pelote les seins sans me quitter des yeux, tout en m'encourageant vicieusement : « Lève ton cul plus haut pouffiasse, sors complètement le gode de ton sphincter, et laisse toi retomber dessus de tout ton poids ! » C'est probablement à regret qu'il laisse Anita s'asseoir dans son fauteuil et vient filmer en gros plan les allers et retours du gode-monstre en moi.

    J'ai un moment ironique durant lequel je me dis qu'il a du se rappeler d'Yves et qu'il devait faire de belles images pour son ami voyeur ! Anita nous rejoint et, nue devant moi, elle me gifle violemment le visage : « Tu es en train de mouiller mon tabouret, tu es une cochonne ! Dis nous qui tu es et qu'est-ce-que tu es en train de faire, salope en rut ! »

    Chapitre 116

    José est derrière moi et continue à tout filmer : « Ooooh, Mon Ama Querida, je suis une pute docile, une esclave éduquée, un objet télécommandé, une salope qui ne dit jamais non, et je m’encule seule avec un gode monstrueux pour mon petit cul »

    « Ton petit cul ? Et tu n’aimes pas ça ? Tu préférerais avoir un cul dilaté comme celui d'une pute de trottoir ? » « Ooooh, nooon Mon Ama Querida,  j’aime m'exploser la rondelle de mon petit cul, c’est si bon et humiliant de m’enculer devant vous ! »

    « Tu peux arrêter de te défoncer, putain, assieds toi sur le tabouret, godée jusque dans les intestins et repose toi un peu ! »

    En souriant, fière de sa nudité totale, elle se couche sur le dos sur le tapis, un coussin sous la tête, juste en face de moi en me disant : « Comme ça, tu verras bien le spectacle salope de bourgeoise ! » Avant de se déshabiller, José connecte l’œuf sur sa plus grande vitesse alors qu'Anita le réclame comme une amoureuse en rut :

    « Viens vite, José, cette enculée m’a excitée. J’ai très envie de jouir avec ta grosse bite en moi » « Regarde putain comment Ton Ama Querida est excitée, et c’est de ta faute, sale conne ! »

    En souriant, José s'agenouille entre ses cuisses, il lève ses pieds et ses jambes avant de poser ses genoux sur ses épaules. Sa position obscène montre sa chatte bien ouverte, et je peux voir de gros filets de mouille s'en échapper.

    Chapitre 117

    Anita sait que je suis en train de contempler ce spectacle aussi bien que dans la cabine d'essayage du Corté Inglès, mais sans avoir le droit d'y coller ma bouche et d'y engloutir ma langue !

    Entre les vibrations de l’œuf, le monstre dans mon cul, les seins meurtris et le spectacle que je suis obligée de regarder sans qu'un détail ne puisse m'échapper, je dois me mordre les lèvres pour ne pas jouir.

    Je vois José caresser l’entrée du vagin d’Anita avec son gland gonflé : « Ne perds aucun détail, putain, regarde bien ce que tu manques ! » Elle gémit, très excitée en avançant son ventre vers sa bite. Mais il se recule et il lui caresse le périnée tout en glissant son pouce dans son vagin. Elle remue son bas ventre, silencieuse et lascive, il ressort ses doigts qu’il lui donne à lécher.

    Gourmande elle le nettoie de sa bouche et de sa langue, alors qu’il approche de nouveau sa bite de sa chatte. Mais, ce coup ci, il la lui enfonce lentement et quand il se sent bien au fond d’elle, il ne bouge plus pour que son vagin ait le temps de s’habituer à son calibre. « Hum, quelle bite a ton Maître, ignoble salope ! C'est malheureux qu'il soit obligé de l’utiliser dans ta connasse de putain ! »

    José sourit et lui répond : « Oui, je suis content que ma pine ait enfin trouvé un con digne d'elle, Anita, tu as un vagin, délicieux, bien chaud, humide et qui m'enserre juste comme il le faut ma bite, je me régale en te baisant et regarde et écoute, sale putain de rue comment une grande Dame, une vraie Maîtresse prend son pied avec une bite qui est faite pour elle ! » Il va et vient lentement en la faisant gémir sans interruption de plaisir.

    Chapitre 118

    « Tu as bien fait ton travail d'allumeuse, sale truie en rut : ton Amo a les œufs bien pleins, mais c'est moi qui vait en profiter » « Hum, oui, elle m’a bien rempli les couilles, depuis que nous avons quitté son mari, il s’est passé tellement de choses excitantes ! » « Oui je suis sure que cette salope a bien joué son rôle, mais c'est moi qui vais profiter de ton excitation, je jouirai et elle n’aura droit à rien ! »

    Anita bouge son ventre pour mieux le sentir. Il continue à bien la remplir et à aller et venir en elle. « Je vais te donner mon sperme : tu es une Maîtresse expérimentée et une femme passionnée, je vois que tu sais comment t’occuper d’un homme ! »

    « Putain, écoute-moi bien : tu sais José ce que tu devrais laisser rentrer uniquement dans la connasse de ta pute ? » « Hum, non, dis-moi, Anita. Toi qui connais bien les femelles comme elle ! »

    « Toi, tu te réserves son cul, pour pouvoir te vider les couilles en elle si tu n’as pas mieux sous la main. Quand à son con, tu ne laisses y rentrer que de la pisse et du foutre d’inconnus qui ont payé pour ça ! » « Prostituée totale ? Quelle vicieuse tu es ! J’en parlerai à son mari, cette idée m’excite en effet terriblement »

    « Vicieuse, moi ? Non ! Je connais simplement très bien les esclaves, et je sais que c’est ce dont elles ont envie. Ooooh, José je jouis. Ooooh que c’est bon ! »

    Fier de lui, il se tourne vers moi : « Je suis sur que tu aurais aimé jouir comme ça, pas vrai salope ? » Il continue en lui caressant doucement le clito de sa main droite, sans arrêter de la niquer. « Tu devais avoir très envie Anita ? » « Hum, oui, depuis que ta pute m’a bouffé la chatte et envoyée en l'air au Corté Inglès ! »

    Chapitre 119

    « Je lui ferai te nettoyer la chatte avec sa langue ! Cette salope, aussi a très envie, mais elle n'aura rien ! Tu as très envie putain ? »

    « Oh, Amo Mio, je vous en supplie, arrêtez au moins l’œuf. C’est une torture » Pour toute réponse il me fait constater de visu qu'il est à la vitesse maximum : « Comme ça tu arrêteras de dire des conneries, imbécile, tu m'as habituée à plus d'intelligence » Je me tais et gémis de douleur pour éviter de jouir.

    Les caresses qu'il fait à Anita ont l’air de produire leurs effets : « Je crois que je vais jouir en toi, Anita » Elle lui murmure quelque chose à l’oreille. Il rit et accepte apparemment avec grand plaisir.

    Je ne sais pas ce qui se trame, je le vois se lever alors qu’elle se met en levrette à quatre pattes, et lui offre son cul. « Super idée Anita, j'adore cette position, hum qu'est ce que tu es bandante, ma pute ne t'arrive pas à la cheville ! »

    Il s’agenouille derrière elle : « Tu as un lubrifiant Anita ? » « Ce n’est pas nécessaire, vas-y José »

    Elle ouvre ses fesses de ses deux mains et il entre facilement dans son cul la remplissant rapidement en la faisant gémir de suite de plaisir.

    Il s'accroche à ses hanches alors qu’elle recule son cul vers lui. « Tu vois salope lubrique, comme ton Maître me respecte en me sodomisant lentement. Je suis sure qu’avec toi, il rentre sa bite d’un seul coup, en faisant exprès de te faire mal, parce ce que c'est ça que tu aimes : de la douleur pour avoir du plaisir, tu n'es qu'une esclave masochiste, la catégorie la plus basse de l'humanité, juste avant les cafards ! » José rit : « Il est sur que je sais sodomiser une Dame, enculer une chienne soumise mais pas un cafard ! »

    Chapitre 120

    Elle souriant, elle passe une de ses mains entre ses cuisses pour se caresser le clito. Je vois la bite de José disparaître et réapparaître de son anus, son doigt qui s’agite sur son clitoris alors que ses seins bougent en cadence, ce qui n’est pas fait pour me calmer.

    « Tu vois la différence entre toi et moi, esclave : j’ai un cul et toi tu as un trou à merde pour vider les couilles des hommes et stocker les restes de ta bouffe de truie ! » « C’est vrai pour tous ses orifices, et je me suis déjà souvent vidé en elle ! »

    Ils rient tous les deux de ma gêne d'être autant rabaissée par et devant eux, j'ai eu rarement droit à des humiliations cérébrales aussi fortes, ajoutées à des douleurs excitantes mais difficiles à supporter.

    « Hum, José donne moi ton sperme je t’en prie ! » Je le vois augmenter la rapidité de ses mouvements en elle. En fermant les yeux je peux imaginer mon cul se refermer sur sa gosse pine. Ses couilles buttent de plus en plus fort contre ses grandes lèvres avec un bruit totalement obscène de secrétions remuée. Elle l’aide, tête posée sur sa joue sur le tapis.

    « Oh, maintenant, José, je suis prête, j’aimerais tellement jouir en même temps que toi ! » Il respire de plus en plus fort, en sortant de plus en plus rapidement sa bite de son petit trou : « Oooooooooh, ouiiiiiiiiiiiii, jouissooooons ensemble ! » Je vois le corps d'Anita se tordre dans tous les sens, raidir ses membres, bouger sa tête comme une folle, je pense que la jouissance d'une femme est très belle et tout à fait admirable.

    Je vois José, le ventre collé à ses fesses, en train de lui inonder les intestins, et horriblement frustrée, je l'imagine lui offrant ses longs jets poisseux et tièdes que j’aurais du recevoir dans ma bouche ou dans mon con ou dans mon cul.

    Mais de les voir jouir ensemble m’excite au paroxysme. José semble tétanisé : il reste collé aux fesses d’Anita, probablement, le temps de débander et de profiter un peu plus longtemps de son fourreau bouillant. Il se décolle d’elle, la faisant s’effondrer, totalement épuisée, sur le tapis.

    Chapitre 121

    Quand ils ont un peu récupéré, il demande à Anita : « Comment veux-tu qu’elle te nettoie, ma chérie ? » « Oh, comme tu voudras, José, comme ça t’excitera le plus. Je suis morte d’avoir autant joui » Il s’approche de moi, la bite un peu en berne, m’enlève les pinces et me prend par les cheveux : « Avant de me nettoyer la bite avec ta bouche, rappelle-toi bien d'où elle vient ! Et dis moi ce que tu vas récupérer dans ta bouche de truie ! »

    « En vous nettoyant la pine de ma langue, Amo Mio, je vais retrouver votre foutre, des jus de votre excitation, ceux de Mon Ama Querida, ses jus de femme jouissante, et si elle est allée aux wcs cet après midi, des résidus de sa merde »

    « Oui, c'est bien ça, alors lèche moi, nettoie-la bien mais n’avale rien » Toujours empalée sur mon pieu de bois, et sous le regard d'Anita, je le nettoie soigneusement de ma langue sans rien avaler, quand je semble avoir fini, il me tend un kleenex :

    « Crache tout ce que tu as récupéré, tu resteras avec l’envie de boire mon foutre, salope ! » En appréciant qu'il n'y ait pas eu un seul gramme de la merde d'Anita, je crache tout ce que je viens de recueillir sur le kleenex ouvert devant moi.

    « Lève toi et viens te mettre derrière Anita : tu vas lui lécher le cul et la chatte pour bien la nettoyer, mais, comme pour ma bite, tu recracheras tout dans ces kleenex »

    Je me lève avec difficulté pour que le monstre sorte lentement de mon cul et me dirige vers Anita, entre temps, José a discrètement ramassé les trois boules de geisha et quand je passe devant lui, il en profite pour les engloutir dans mon cul qui est tellement béant, que je ne les sens quasiment pas rentrer.

    Je m’agenouille derrière elle, elle m’aide un peu en levant son cul, et, langue en pointe je lui lèche le cul et la chatte. José m’oblige à coller ma bouche à ses deux orifices pour aspirer de toutes mes forces les jus qu’elle a en elle. Avec résignation, je recrache régulièrement dans un kleenex tout le liquide que je récupère tout en sentant au passage le gout de son jus de femme et du foutre tiède de Mon Amo Mio.

    Chapitre 122

    Je me relève quand je suis sure qu’elle est bien propre. Il se penche vers moi, vérifie avec ses doigts que ma chatte dégouline et, il arrête, enfin, l’œuf vibrant en m’ordonnant de l’enlever. Il est tellement gluant que j’ai du mal à le faire glisser de moi et il me faut deux kleenex de plus pour ce faire.

    Comme il me le demande, j’aide Anita à se relever. Elle sourit, très contente de cette séance. Je dois me mettre à quatre pattes pour qu’Anita, nue, puisse m'utiliser comme un guéridon en s’asseyant confortablement sur mes épaules. Je peux sentir sa chatte humide sur ma peau nue.

    « Hum, José, je dois t'avouer que j’ai beaucoup aimé, j’espère de tout cœur que nous pourrons recommencer bientôt » « J’en parlerai à Yves et nous restons en contact avec nos mobiles »

    « Pardon, mais je dois aller aux toilettes » « Amo Mio, si je peux, j’aimerais bien y aller aussi » « Toi, la pute tu restes ici, tu vas te rhabiller, Anita fait ce qu’elle veut, elle est chez elle ! »

    « Bien, Amo Mio » Anita s’en va et nous laisse seuls. Je remets ma jupe et mon top. J’ai toujours les boules en moi mais José ne me fait pas remettre les pinces en me disant : « Je veux récupérer tes tétons pour moi »

    Et il passe délicatement ses mains dessus pour constater qu'ils sont en très mauvais état, pour essayer de les calmer mais surtout pour en reprendre possession.

    « Tu as été très bien, petite pute ! » « Merci, Amo Mio » « Si tu continues comme ça, ce soir, je te promets une récompense »

    Anita revient en peignoir fin avec un visage frais et reposé. José lui demande un sachet plastique pour envelopper l’œuf gluant. Mais Anita lui conseille de me le faire nettoyer dans la salle de bains. Je reviens quelques minutes plus tard avec l’œuf parfaitement propre et sec. Par précaution, José l’enveloppe et le met dans le sac du Corté Inglès avec ma parure rouge et les pinces inutiles pour le moment.

    Chapitre 123

    Anita voit que nous sommes prêts à partir. Elle se rapproche de José pour lui murmurer quelque chose à l’oreille. Il rit et lui dit :

    « Tu as raison, j’avais oublié ça ! Nous pouvons y aller tous les trois ? » « Oui, bien sur, mais c’est plus excitant de l’y envoyer seule et de la faire revenir avec la preuve que ça s’est bien passé, tu ne trouves pas ? » José réfléchit et finit par dire. « Oui tu as raison et, comme ça, nous pourrons continuer à faire des projets pour elle »

    Sans rien dire de plus, elle sort en peignoir. En son absence, José me dit : « Une dernière formalité et nous-y allons » Elle revient moins de deux minutes plus tard. Elle me dit en souriant :

    « Tu peux descendre au troisième, mon ami Alejandro t’attend. Je t’avertis qu’il est super bien monté, qu’il est prévenu que tu n'es pas autorisée à jouir et que tu détestes les capotes ! »

    Rouge comme une tomate, comme chaque fois que je dois faire quelque chose qui me déplaît, mais qui m'excite, je regarde José pour avoir une confirmation de son accord, il se contente de m'ouvrir la porte et de me dire : « Amuse toi bien et reviens vite, nous devons rentrer, Yves va se demander ce que nous faisons »

    Je n’ai pas d’autre choix que de sortir, descendre les marches qui me séparent du troisième et frapper à la porte d’Alejandro. Il m’attend, car il ouvre de suite la porte complètement à poil. « Fous-toi à poil, et couche-toi, épaules sur le tapis et cuisses écartées » Je me déshabille devant lui, sans dire un mot et me couche sur un tapis épais.

    Il m’enjambe la poitrine, s’assied sur mes seins et me gifle fortement les joues en me disant : « Fais-moi bander entre tes nichons de pouffiasse » Il glisse sa bite entre mes seins. Je les tiens serrés de ma main gauche tout en le caressant et en le branlant comme je le peux de la main droite. Il grossit très vite et son gland ne tarde pas à arriver à frotter me lèvres. « Sors ta langue salope, rends toi utile et fais ton job ».

    Je lèche son gland qui décalotte rapidement, d’une gifle sèche sur ma main, il libère sa bite, monte un peu sur mes seins et enfonce sa bite dans ma bouche pour me la baiser en me tenant les cheveux. Il va et vient quelques minutes dans ma bouche, passe une main par derrière pour s’assurer que je suis bien mouillée. Et il se lève, s’agenouille entre mes cuisses me lève les jambes, les pose sur ses épaules et m’enfile d’un seul coup jusqu’aux couilles. Il me lime en me pétrissant très durement les seins tout en me disant : « Pas un mouvement, pas un gémissement, tu subis, je me vide les couilles sans capote dans ta connasse et tu te casses, je déteste les prostituées »

    Chapitre 124

    Il me baise très rapidement en faisant des allers et retours de plus en plus rapides et sans que je ne m’y attende, il jouit, couilles collées à mes grandes lèvres, au plus profond de mon vagin. Il se relève et me dit : « Je vais me laver en revenant, je veux que tu sois partie sans t’essuyer le con » Il sort de la pièce, je me rhabille, honteuse de moi avec son sperme qui coule du haut de mes cuisses.

    Je remonte au quatrième, Anita et Yves m'attendent sut le palier, porte ouverte, sans un mot elle passe une main sous ma jupe et entre deux doigts dans ma moule, elle renifle les doigts avant de me les donner à nettoyer.

    « Ça c’est bien passé José, elle a eu sa dose de foutre, et je suis sure qu'Alejandro ne l'a pas laissée jouir ! » « Parfait, alors nous pouvons partir »

    Chapitre 125

    « José, je te répète que ton esclave m’a enchantée. Je t’appellerai pour une nouvelle éventuelle rencontre et une visite de ma maison de campagne, je suis sure qu’elle vous plaira à Yves et à toi » « Appelle-moi pour me raconter un peu le projet de la soirée, ça me permettra de mieux en parler à son mari »

    « Entendu, les travaux sont presque finis, nous pourrions faire ça une fin de semaine : je sors le vendredi à 22h30 et je ne travaille pas le weekend » « Entendu comme ça, je pense que puisque tu travailles dans le centre de Madrid, pas loin de nos bureaux, nous pourrions boire un café tous les trois un de ses jours ? Je te tiens au courant, Anita, en te remerciant encore de nous avoir reçus, et bien sur, du bel orgasme que tu m'a offert ! »

    « Tu veux rire ! Merci à toi et à ta pute bien éduquée ! » Elle lui suce longuement la bouche et le regarde avec des yeux d'amoureuse.

    José tourne les yeux vers moi, attendant probablement que je dise quelque chose à Anita : je m’approche d’elle pour la remercier de cette séance et espérer que je lui ai donné tout ce qu’elle attendait de moi.

    Chapitre 126

    Elle rit en me pinçant les tétons de ses ongles à travers mon top en me disant : « Non seulement tu as fait ce que j’attendais de toi, mais sans rechigner. Tu es très bien éduquée et j’espère que je pourrai jouer encore souvent avec toi. Tu es vraiment un objet très utile, et en se rapprochant de mon oreille, surtout ne répète ça à personne, sinon je te découpe les nichons, une femme très jolie et très attachante ! »

    Anita lâche mes tétons et ouvre la porte d'entrée, José s'efface pour me laisser passer et nous descendons les escaliers alors que Mon Amo mio me demande si Alejandro m’a baisée avec une capote ?» « Non, Amo Mio, sans protection » « Tu devrais te bourrer le con de kleenex sinon tu vas en mettre partout » Je sors mon paquet de kleenex de mon sac, me tamponne le sexe et le haut des cuisses avec deux d’entre eux et fait une boule de trois autres que je glisse dans mon vagin. « Voilà, Amo Mio, merci de votre conseil »

    « De rien putain, et qu'est ce que t'a dit Anita à l'oreille ? » « Elle m'a dit qu'elle avait entré son portable sur le mien à l'entrée "Corté", mais je ne comptais pas vous le cacher : ni à Yves, ni à vous, Amo Mio »

    « Bien, malgré la courte distance, nous allons rejoindre Yves qui doit être anxieux en taxi ! »

    Il en hèle un, parlemente un peu et pour un billet de 20 euros le chauffeur accepte de ne pas mettre son compteur et de nous déposer moins de deux kilomètres plus loin.

    Chapitre 127

    Il frappe à la porte et Yves vient nous ouvrir. Je constate qu’il s’est mis en tenue décontractée : bermuda, tee-shirt et sandales. « Bonsoir, les amoureux ! Je ne vous demande pas si votre petite sortie s’est bien passée, j’en ai reçu la preuve sur mon PC ! »

    Nous entrons dans le salon, il me caresse la joue et m’embrasse sur la bouche : « Tu t’es déchaînée ma chérie ! Tu m’as étonnée, et j’ai surtout appris que plus tu étais sevrée d’orgasmes plus tu te lâchais et plus ton vice ressortait par tous les pores de ta peau ! »

    Je rougis en baissant la tête, mais, en moi-même je dois reconnaître qu’il a totalement raison, mais que nous devrions avoir une conversation sérieuse tous les deux, sur mes "tsunamis", il faut que je le mette au courant, sinon, il va opter en permanence pour des interdictions de jouir et des orgasmes monstrueux, il faut qu'il fasse bien la différence, ce qui devrait être facile avec un homme au gros QI et une femme au Q facile !

    Chapitre 128

    Yves me dit : « Vas vite nous chercher de quoi manger, un peu consistant et de quoi boire : je suis rivé devant mon écran depuis votre départ, je n’ai même pas eu le temps de monter les séquences de l’appartement ou de me restaurer un peu ! Je n'ai fait que visionner vos clips et me branler ! »

    Je lui demande quelque chose : « Oh, Yves, je t'en prie, laisse moi me doucher en 5 minutes, je me sens sale de partout ! »

    « Ma chérie, je sais bien que tu es ma femme, mais je te rappelle que ton propriétaire de ce soir s'appelle José, alors change d'interlocuteur, je te prie ! »

    Je suis furieuse de cette erreur et vais m'adresser à José qui me devance en me disant très gentiment :

    « Pas de souci, Loré, file vite à la salle de bains et prends ton temps, je vais m'occuper de nos estomacs, je ne déteste pas faire la cuisine de temps en temps, surtout quand c'est si facile et si bonne ! Reviens nous en pleine forme, avec ta parure sexy rouge, as-tu des porte-jarretelles rouges ? »

    « Oui, Amo Mio, et même des bas résille rouge, et si vous le voulez des escarpins à très hauts talons rouges, mais le rouge sera moins vif que sur mes ongles ! »

    « Oui, comme ça tu te sentiras moins vulgaire ? » « Oooooooooh, Amo Mio, quand allez vous oublier ma grosse faute de la soirée ? » Il sourit sans répondre et m'indique la salle de bains et le feu vert pour mon habillement de retour !

    Chapitre 129

    Les deux hommes regardent un bon moment les images accélérées des clips du début de la nuit, José est inquiet car il n'est pas habitué à filmer avec une caméra aussi sensible et légère.

    « Tu as été content des images, Yves, je ne bouge pas trop ? » « Elles sont parfaites, José, et tu as le sens de la mise en scène, je pense que je n’ai rien raté et j’ai du bon matériel pour faire un excellent film ! »

    « Il y a quelques séquences qui n’ont pas été filmées. Il faudra demander à Loré de te les raconter » « Entendu, nous profiterons du repas pour ça. Tu veux aller te doucher et te changer ? Je peux te prêter une tenue plus décontractée si tu veux, par exemple la mienne si elle te convient, je dois avoir des doubles de tout et à priori nous faisons la même taille ? »

    José accepte de bon cœur, Yves montre la porte de la deuxième salle de bains de l'appartement et Yves lui porte une tenue quasiment identique à la sienne.

    Chapitre 130

    José est déjà dans la douche et Yves le regarde en lui disant : « Mon salaud, c'est vrai que tu as une bite monstrueuse, j'aurais du te demander de me la montrer avant de te proposer ce deal ! »

    « Voilà qui n'est pas conforme à ton désir de gâter ton épouse, et qu'aurais-tu fait si j'avais eu un petit ver de terre, pense à sa déception ! »

    Yves éclate de rire et file à la cuisine pour commencer à préparer un en-cas solide pour nous trois. Je le rejoins peu de temps après, Yves m'explique ce qui se passe, la douche et le changement de José, me dit que je suis très très bandante tout en rouge, et d'une humeur très joyeuse, nous nous mettons au travail.

    Notre invité nous rejoint au salon, en remerciant Yves : « Ah, je me sens mieux comme ça ! » Nous sommes en train de mettre ce que nous avons préparé sur la grande table basse en bois du salon.

    Chapitre 131

    Loré rit en le voyant « Vous êtes mignons comme ça tous les deux ! Vous voulez que je monte une tente de camping sur la terrasse ? Je vous trouve une guitare et nous faisons un feu de bois avec les deux louveteaux et la monitrice vicieuse ! »

    José gronde et me poursuit, je file en courant dans les couloirs pour lui échapper et rejoindre la cuisine, où, avant de me faire gronder je lui jette une bouteille de champagne et j'en prends une autre de vin rosé bien frais, en indiquant le salon, où nous arrivons essoufflés ! « Voilà, comme ça vous aurez le choix de la boisson »

    José approuve en disant qu’un bon vin frais sera le bienvenu. Mais ajoute : « Dites-moi, Madame Dufour, il me semble que vous vous êtes fichue de notre gueule tout à l’heure ? » « Oh, juste un peu, Monsieur José le dominant, l'Amo Mio de pacotille ! »

    « Hum, Yves, tu ne penses pas que cette impertinence mérite une punition sévère ? » « Je suis tout à fait d’accord avec toi. Que penserais-tu de lui brûler les pieds au chalumeau ou de lui découper les seins en tranches pour les poêler et les déguster à sa santé ? »

    J’éclate de rire : « Chiche ? Et quand vous aurez cassé votre beau jouet et massacré cette belle marchandise, vous jouerez avec quoi, Messieurs ? Vous vous branlerez mutuellement ? Vous vous enculerez ? Et vous vous marierez ? Il est vrai q'en Espagne, vous en avez le droit depuis plus longtemps que les pauvres Maricones franceses ! Alors, si vous voulez bien arrêter vos bêtises, nous pourrions manger, personnellement, je crève de faim ! »

    Les deux hommes éclatent de rire et nous nous jetons sur les plats réchauffés et les blocs de foie gras pour lesquels Yves débouche un super Sauternes d'une grande année, puis il débouche le vin rosé tout en me versant le blanc qu'il sait être ma boisson favorite, mais rare, vu son prix !

    Les hommes passent au vin rosé, et José, très en forme, nous propose un toast qui me fait rougir : « Hum, je vais porter un toast très spécial pour Loré : je bois à la santé de ton prochain orgasme que tu obtiendras uniquement avec ton cul sans te toucher aucune partie du corps !  » Sans nier la difficulté de de ce toast, je le lui accorde, tout en revenant d'un seul coup dans le thème de la soirée.

    Chapitre 132

    J’essaye de ne pas trop boire, car, le blanc sucré me donne très vite un gros mal de crâne et je sais que la soirée est loin d’être finie, mais je mange avec appétit ce qui me requinque un peu.

    Le silence n’est rompu que par des compliments sur la nourriture et des « tchin-tchin » à chaque fois que nous remplissons nos verres.

    Je rétablis la vérité en disant : « Il faut féliciter le traiteur, moi je n’y suis pour rien, je n’ai fais que réchauffer ses préparations » José me lance une pique : « En fait à part t’exhiber et faire jouir les autres, tu ne sais rien faire, petite pute ? »

    C’est Yves qui lui répond en riant : « Tu as en partie raison, José, mais Loré est un véritable cordon bleu, nous t’inviterons un jour pour un vrai repas, et tu verras ce qu’elle sait faire, par contre je ne sais pas si ça serait bien de lui faire faire la cuisine et le service nue avec seulement un petit tablier ou habillée normalement, mais bien sur, après le repas. Nous lui rappellerons son statut d’esclave rassure toi ! »

    « Hum, quel beau programme, j’en salive d’avance »

    Fière de la réaction d’Yves, je pars avec le plateau vide et reviens avec un autre rempli de desserts et de douceurs. En annonçant : « Pfft, je suis pleine, moi je ne mangerai pas de dessert. Si vous m’en donnez l’autorisation, j’aimerais quitter la table pour fumer une cigarette, boire un double expresso avec un bon verre de cognac !»

    Yves réagit de suite « Eh bien, Loré, tu sais ce que tu veux ! Vas-y, vautre toi dans un fauteuil et ne bouge plus, je vais t'apporter tes cigerettes, un briquet, un verre à digestif et un cognac XO de ma réserve privée que tu ne connais même pas, acheté en cachette à Dubaï car intouchable en France sauf avec un crédit Sofinco ! Et en plus je m'occupe de ton double expresso qui t'entrera un ressort dans les fesses tellement il sera puissant ! »

    « Hum, comme j'aimerais que ce soit toi mon amour qui mette de temps en temps un de mes bracelets ! Ce que tu vas faire pour moi est fantastique, et c'est bien vu, car après ces heures passées avec lui, j'allais te quitter pour José ! »

    « Ah Loré ! Que ferais-je sans ton humour et ta bonne humeur, des soirées comme ça sont vraiment de vraies auberges espagnoles, chacun y amène ce qu'il a de meilleur : le rire, le sexe, le vice, les bons vins, les blagues, les instants de souffrance, mais aussi les hurlements orgasmiques ! Ah pourquoi le monde n'est pas comme nous trois ? »

    José applaudit nos tirades respectives en rajoutant : « Les enfants, il faudrait arrêter un peu, car je suis en train de tomber amoureux de vous deux ! Alors, de Loré je veux bien, mais d'Yves, ce n'était pas du tout prévu ! »

    Chapitre 133

    Nous attrapons un fou rire qui dure une éternité, je vais embrasser José sur la bouche comme si nous allions nous marier, et je vais serrer la main d'Yves en le remerciant d'être venu ! José court dans tout l'appartement derrière Yves qu'il veut à tout prix embrasser sur la bouche. Bref nous décompressons comme des ados débiles (pléonasme ?), ce qui nous fait un grand bien.

    Et, en l'absence d'Yves qui est allé commencer à tenir ses promesses, José apporte une conclusion réaliste : « Je crois, chère Loré, que tu n'as pas besoin d'un moment de solitude, tu te sens surtout salie dans ta tête, tu ne crois pas ? » « Oui, José, tu as raison, mais ça, ça ne se lave pas dans la salle de bains, c’est surtout la bonne ambiance entre nous trois qui va me faire mettre dix minutes de côté mon attitude parfois dure à vivre ainsi que mes envies vicieuses et incontrôlées, et me faire me relever en super forme pour affronter, avec encore plus d'envie et de gourmandise parfois incompréhensible, tous vos désirs, vos caprices et vos ordres ! »

    Yves arrive à ce moment là et me dit : « Tu sais ma chérie que José est loin d’être sur le départ. Et, je ne veux pas que tu te refroidisses, alors, je vais réaliser ton caprice "F4C" (Fauteuil, Confort, Cigarette, Café, Cognac !), puis tu approcheras une chaise que tu mettras face à nos deux fauteuils, tu t’assiéras et tu seras accessoirisée et vêtue comme José le voudra : tu as encore quelques anecdotes à nous raconter, car toute la soirée n’a pas pu être enregistrée »

    Je souris, approuve et fermant les yeux je savoure une deuxième cigarette, un café fabuleux et un Napoléon XO hors d'âge dont j'ignorais l'existence !

    Chapitre 134

    Quand j'écrase ma cigarette, verres et tasses sont vides, car finalement Yves a offert le même menu à tout le monde.

    Je me lève et pendant que les hommes débarrassent, je ramène une chaise paillée de la cuisine et la pose face aux deux fauteuils que je colle bien ensemble.

    Et je m'assieds sur la chaise, cuisses et pieds bien joints, mains posées à plat sur mes cuisses, attendant visiblement des ordres.

    José me demande de dire à Yves ce que j’ai dans mes orifices : « Rien dans le con et les trois boules de geisha dans le sphincter, Amo Mio » « Les boules de geisha sont où ? Je n'ai pas bien compris ! » « Pardon, Amo Mio, les trois boules de geisha sont dans mon trou à merde, juste le temps de me remettre dans mon rôle, Amo Mio, pardon ! »

    « Ok, tu es pardonnée pour cette fois, mais plus une seule erreur dans la soirée pouffiasse ! » « Oui, Amo Mio, je vous demande encore pardon »

    « Lève toi, va chercher un panier dans la cuisine, nous allons ramener quelques accessoires qui t'hérissent le duvet de tes bras de plaisir et Yves va filmer tout ça calmement »

    Nous nous retrouvons dans la chambre et José commence sa liste de course comme si c'était une liste de supermarché !

    « Prends un de tes gros vibros : en te défonçant le con tu t'occuperas les mains tout en répondant à nos questions, prends aussi une paire de menottes pour t'attacher les mains sur le ventre. Tu prends aussi tes deux lacets de cuir pour bloquer la base de tes nichons, deux écraseurs de tétons, deux lests de 200 grammes et deux clochettes qui tintent facilement avec leurs accroches. Tu vas rajouter ton collier de cuir avec les picots tournés vers le cou, et pour ton nez les deux crochets qui entrent dans tes narines avec un élastique accroché au collier du cou, pour une bonne tension. Tu vas aussi mettre 24 grandes pinces à linge en plastique. Et tu finiras par 2 paires de menottes pour tes chevilles. Voilà, n'oublie rien et quand tu auras tout réuni, rejoins-nous dans le salon »

    Chapitre 135

    Il me faut peu de temps pour tout finir de réunir et je les suis de peu au salon, à la demande de José, je sors tous les accessoires du panier et les mets un à un, bien rangés, sur la table en verre.

    « Bien, c'est parfait, voyons maintenant les séances que nous n'avons pas pu enregistrer pour que tu puisses t'en rappeler pour nous les raconter devant la caméra, à toi petite pute »

    « Oui, je vais essayer de ne rien oublier dans mon résumé : le départ d'ici en tenue très sexy, le trajet à pied jusqu'au Corté Inglès, tous les hommes m'ont prises pour une pute, Amo Mio m'a fait accepter une invitation par un certain Juan à qui Amo Mio m'a ordonné de lui promettre que je viendrai le voir plus tard dans la nuit »

    José me cingle d'un : « Continue de te mettre à poil moralement sale pute, qu'on te confonde avec une pute t'avait trempé la connasse, je te suivais à l'odeur sur ce trottoir ! »

    « Oooooh, oui, Amo Mio, vous avez raison, au Corté Ingles, dans les escalators, Amo Mio m'a exhibée pour deux jeunes hommes »

    « Et ? Ca t'a fait mouiller bien sur ? » « Oui Yves, surtout que Amo Mio m'a murmuré que ça rendrait service à ces deux jeunes gens de se branler en pensant à la salope du Corté Inglès »

    «Au rayon lingerie, nous rencontrons Anita, qui comprend de suite ce que désire Amo Mio : culotte fendue et soutien-gorge seins nus, Yves, tu as eu le film des mes essayages et de ma séance avec l'inconnu qui a joui sur mes nichons dans la cabine » « Oui, très belle séquence, tu étais très pute ! » « Merci, Yves, je faisais ça en pensant à vous satisfaire tous les deux » « C'était réussi, ensuite ? » « Puis je suis allée aux toilettes, et en revenant, il était en pleine conversation avec Anita, mais à part lui montrer mon clip de la cabine, je ne sais pas ce qu’ils se disaient »

    Chapitre 136

    José prend le relais : « Anita m’a apprit qu’elle avait de suite vu que nous étions un couple bdsm et que, malgré ses 25 ans elle dominait des femmes et parfois même des couples depuis l’âge de 18 ans. Elle m’a demandé pourquoi Loré ne portait pas de pinces à seins et m’a donnée une adresse et un modèle de pinces à acheter. Elle m’a aussi avoué que Loré la faisait mouiller et qu’elle aimerait bien passer un moment avec elle dans une cabine d’essayage et que nous pourrions nous voir tous les trois, à la fermeture du magasin, pour une partouze bdsm où elle baiserait avec moi.

    Elle m’a aussi dit qu’elle terminait une petite ferme avec donjon consacrée à la domination et que Loré lui semblait la soumise idéale pour l’étrenner. Sa franchise et tous ses désirs m'ont fait sourire. Je la sentais très enthousiaste, et pas du tout habituée à rencontrer des femmes du calibre de ta pute d'épouse ! » « Entendu, José, ensuite il y a eu cette fameuse séance de gouinage entre les deux femmes, j’avoue que ça m’a fait bander comme un âne ! » « Et, moi donc, qui étais à quelques mètres d'elles en train de filmer ! Puis nous sommes allés acheter ces pinces »

    José les sort de la poche et les montre à Yves qui les apprécie beaucoup : « Avec moi, tu ne sortiras plus sans ces pinces ma Loré ! » « Allez, salope en chaleur : continue ton résumé »

    « Après la brasserie, dont tu as eu le clip, Anita nous a rejoint et conduits chez elle. Depuis notre arrivée dans le hall, jusqu’à notre départ, tu as les images, ce qui te manque, c’est qu’en montant, Anita m'a présentée à son voisin du troisième et qu'après notre partouze à trois chez elle, elle m'a envoyée me faire baiser par lui, et nous sommes rentrés à la maison. Pour continuer la fête !

    José prend la parole : « Bien, ma salope, tu vas commencer en te résumant un peu à nous et en nous disant des choses intimes que tu ne nous a pas encore dites, tu t'assieds sur cette chaise adossée au dossier, nous t'écoutons »

    « Mes deux Maîtres vénérés, bonsoir. Je suis soumise depuis mes 26 ans un peu par hasard, j'en ai 34 mais depuis 4 ans, c'est une Maîtresse dominante française, Cathy, qui gère mon calepin de rendez-vous, et mon mari à qui je demande de me dominer certains soirs : disons que j'aime m'offrir, surtout par vice et que si parfois je suis dégoûtée par un ordre que je viens de réaliser, au bout d'une semaine ça devient un souvenir qui me fait rétrospectivement mouiller comme une salope. Les amateurs de bdsm que vous êtes pourront en conclure que je suis soumise par goût et forcément par une absence de caractère, que j'ai probablement un poste de dirigeante et que de confier mes décisions à d'autres me repose de temps à autre, et que je fonctionne comme une pute, ou comme une call girl de luxe car les profits de mon Q dépassent largement les profits de mon QI ! »

    Chapitre 137

    Amo Mio juge ma confession : « Belle présentation, tu continues à ne pas manquer d'humour, mais comme tout ce qui te touche s'estompe en une semaine, nous n'allons pas te ménager : avant de commencer ton récit, tu vas ôter ton très bel escarpin gauche, le lécher entièrement en gros plan télé, bien évidemment sans oublier la semelle et le sourire épanoui d'une artisane qui aime bien faire son travail ! »

    « José, comme elle ne peut pas commencer son récit en suçant sa chaussure, n'aimerais-tu pas qu'elle nous commente son gage ? » « Super idée, Yves, vas-y connasse dis nous ce que tu penses ! » « J'ai un peu de mal à me voir en gros plan sur cette immense écran plasma en train d'enlever mon escarpin gauche, de le porter à ma bouche pour longuement en lécher le cuir, de mettre le talon et la pointe dans la bouche et de les piper comme des pines, pour finir par salir ma langue sur la semelle qui forcément n'est pas toute nette, en espérant qu'il n'y ait pas de merde de chiens, hum que j'aime faire ça devant vous et la caméra ! »

    Ayant terminé mon gage, je commence mon récit : « Donc ce soir vers 22 heures 30, Amo Mio décide de m'emmener aux nocturnes du Corté Inglès. Pour cette sortie, il m'habille d'une jupe de coton très courte, de spartiates à longs lacets, d'un débardeur très ample avec une vue totale sur mes nichons de face ou de côté, et le collier de trois boules de geisha dans le trou à merde, bref une tenue "pousse-au-viol" car sans aucun sous-vêtements.

    Yves lui confie sa caméra hyper professionnelle, reliée directement à son PC, condition convenue pour que je puisse aller balancer mon cul dans la rue sans lui. Nous avions environ 500 mètres à faire à pied, et comme Amo Mio marche derrière moi, tous les hommes pensent que je suis une pute faisant son job et leurs propositions sont claires et chiffrées »

    « Combien te propose-t-on et pourquoi faire ? » « Ca va de 20 euros la pipe à 200 euros la nuit » « Et tu ressens quoi en étant traitée comme une pute ? » « Amusement, presqu'un jeu, sachant que je ne pense pas que Amo Mio m'obligera à faire une passe »

    « Mais s'il t'avait demandée de piper tu te serais exécutée ? » « Bien sur, quand j'ai décidé de me soumettre, je me soumets complètement dans la limite de mes tabous » « Ok continue, mais avant, enlève ton bas gauche, et pour se faire lève toi, pose ton pied sur la chaise, défais ton bas du porte-jarretelles, roule le lentement et offre nous un très gros plan de ton pied nu et de tes ongles bien peints en rouge vif comme toutes les salopes de cette terre ! » Je souris en regardant Amo Mio qui me fait un clin d’œil très complice !

    Chapitre 138

    « Je m'exécute et je continue mon récit : nous passons devant un bar d'où jaillit un jeune homme très beau et bien habillé, qui m'aborde directement en me disant qu'il se doit « d'offrir un verre à tout mirage passant devant ses yeux ébahis ».

    J'ai un appel d'Amo Mio qui a tout suivi et qui m'ordonne d'accepter ce verre et de lui promettre un rendez-vous pour cette nuit. L'entretien dure peu de temps, il est là jusqu'à l'aube avec ses copains, s'appelle Juan et il bande déjà de me revoir. Un autre appel d'Amo Mio m'oblige à lui mentir : « Je suis désolée mon rendez-vous est arrivé, à tout à l'heure tard dans la nuit, une bise sur sa joue et je pars presqu'en courant »

    Bas enlevé, je me rassieds sur la chaise. « Donc puisque José te l'ordonne tu iras te faire sauter ? » « Oui, sans aucun motif de refuser » « Par amour de la baise ou de l'obéissance ? » « Surement de l'obéissance, je déteste promettre sans tenir »

    « Nous arrivons au Corté Ingles, qui ferme en effet à minuit, en montant le grand escalier extérieur, ma tenue déclenche l'intérêt de deux ados qui nous emboîtent le pas, nous prenons l'escalator, Amo Mio a bien sur vu que nous avions de jeunes voyeurs, il me dit de ne pas monter de marches et de laisser faire l'escalator. Il est à gauche sur la même marche que moi et sans hésitation il m'ordonne de relever ma jupe en dévoilant la quasi totalité de mes fesses. Dès que je l'ai fait, il me pétrit d'une main ferme le cul, me caresse de haut en bas la raie humide et chaude et finit en glissant 2 doigts dans mon cul, m'obligeant à un petit gémissement que les ados n'ont pas pu rater. En quittant l'escalator, il baisse ma jupe, me donne ses deux doigts à nettoyer et me dit à l'oreille : « En voilà deux qui auront une belle image pour se branler, ce soir en pensant à la salope qu'ils ont vu se faire enculer au Corte Ingles ! »

    « Très excitant continue salope ! Mais avant tu vas enlever ta culotte de pouffiasse de bordel, renifle la, humidifie la dans ta bouche et pour finir rentre la dans ton con qui doit être trempé comme d'habitude »

    Je m'exécute en prenant plaisir à les exciter par des gestes très obscènes et lascifs, avec un sourire qui leur prouve combien je suis heureuse de leur obéir.

    Et la chatte remplie de la culotte, je continue :

    « Nous arrivons au rayon lingerie, où nous rencontrons une jeune vendeuse, Anita, qui, a bien compris ce que désirait Amo Mio pour moi » « Ah, oui, la parure, culotte fendue et soutien-gorge seins nus que tu portes ce soir : très bon choix.José ! » « Tu as eu le film des mes essayages et ma séance avec un inconnu appelé Javier ? » « Oui, très belle séquence, très excitante, tu étais quasiment une putain professionnelle ! » « Merci, Yves, je faisais ça en pensant à vous deux, et je voulais vous satisfaire »

    Chapitre 139

    « C’est réussi, ensuite ? » « Après la jouissance de Javier, je suis allée me rafraîchir dans les toilettes, en en ressortant, Amo Mio était en pleine conversation avec Anita, mais à part lui montrer le clip qu'il venait de réaliser avec Javier, je ne sais pas ce qu’ils se disaient »

    C'est José qui continue : je vais raconter la suite, car il est exact que ta pute n'a rien entendu, mais, pendant ce temps et pour ne pas perdre ton temps : tu vas faire quelques gages : comme de rester assise pour t'enlever la chaussure droite et de te lever pour profiter que ton con est quasiment vide pour le pistonner une bonne trentaine de fois avec le bout de ta chaussure. Après avoir nettoyé ta chaussure de ta langue, tu quitteras ton bas droit comme tu l'as fait pour le gauche, et en enlevant ta jupe, tu nous prouveras que tu es bien nue de la taille aux pieds en exceptant ton porte-jarretelles inutile, allez vas-y et ne te trompe surtout pas »

    Ayant bien mémorisé ce que je dois faire, je m'exécute lentement toujours avec des attitudes et des sourires vicieux en écoutant attentivement Amo Mio :

    « Oui, Anita avait du s’absenter et est revenue au moment où Loré partait. Elle m’a avoué qu’elle avait de suite vu quel type de couple nous étions, et, que, malgré ses 25 ans elle dominait des femmes et des couples depuis ses 18 ans. Elle m’a demandé pourquoi Loré ne portait pas de pinces à seins et devant ma réponse, elle m’a donnée une adresse et un modèle de pinces à acheter. Un peu troublée, elle m’a aussi avoué que Loré la faisait mouiller et qu’elle aimerait bien passer un moment avec elle dans une cabine d’essayage et que si j'en avais envie, nous pourrions, à la fermeture du magasin, la partouzer tous les deux pour que je la vois dominer une femme et qu'elle me voit baiser avec moi.

    Elle m’a aussi dit qu’elle terminait de préparer une ferme entièrement consacrée à la domination et qu'elle allait probablement quitter son travail au Corté pour se consacrer totalement à cette activité, et elle pensait que ma pute était la soumise idéale pour l’étrenner. Sa franchise et tous ses désirs m'ont fait sourire. Je la sentais très enthousiaste, et pas du tout habituée à rencontrer des femmes du calibre de ta pute d'épouse ! Je te reparlerai de ce projet de ferme plus tard, Yves »

    « Entendu, José, bon je vois que ma bourgeoise d'épouse a terminé ses petites corvées exhibitionnistes, je te laisse lui infliger d'autres punitions, car, après cette conversation très intéressante, il y a eu cette séance de gouinage bdsm entre mon esclave de femme et Anita : j’avoue que ça m’a fait bander comme un âne ! »

    Chapitre 140

    « Je ne te parle pas de mon état, moi qui était à un mètre d’elles ! Très bien ma pute salope, tu ne t'es pas trompée, à présent, tu vas te mettre debout et ôter tout ce qui te reste, en gros plan devant la caméra : ton porte-jarretelles, ton débardeur et tes boules de geisha, et quand tu auras fini, tu te rassiéras à poil mais en retournant la chaise pour être face à nous avec tes nichons appuyés au dossier de la chaise. Allez, au travail, et c'est toi qui reprend le récit ! »

    Je me suis levée pour finir de me mettre à poil et changer ma chaise de position, tout en continuant de raconter nos aventures.

    « En sortant du Corté Inglès, nous sommes allés acheter ces pinces » José les sort de la poche et les lui montre. Yves les apprécie beaucoup : « Avec moi, tu ne sortiras plus sans ces pinces ma Loré ! » « Ensuite, nous sommes allés en terrasse d’une grande brasserie. Amo Mio m'a expliqué ce qu'il attendait de moi et tu as reçu le résultat directement sur ton PC, et j'ai même remercié Amo Mio de t'avoir envoyé en live ma séance avec Ernesto, alors que lui n'avait que le son » « Oui, c'est en effet très gentil de ta part José, mais toi ma pute, tu t'es déchaînée. Je me suis branlé comme un ado en matant tes poses et tes obscénités. J’avais parfois du mal à te reconnaître ! »

    José rajoute : « Elle m’avait promis de tout faire pour nous deux, je reconnais qu’elle a tenu parole »

    « Allez, Loré, continue »

    « Après la brasserie, Anita nous a rejoint et nous sommes allés chez elle. Depuis notre arrivée dans le hall où elle m'a fait monter les quatre étages à poil, jusqu’à notre départ, tu as les images, ce qui te manque, c’est qu’en montant, Anita m'a présentée à poil à son voisin du troisième et qu'après avoir fini, elle m'a envoyée me faire baiser par lui, sans caméra. Vous n'avez rien manqué, mes Maîtres, imaginez un beau surfeur bien monté, qui m'ouvre à poil, me fait mettre dans le même état, s'assied sur mes nichons, se fait une branlette espagnole avec une pine tellement longue que je peux en pomper le bout. Il s'arrête, écarte mes cuisses et me pénètre d'un coup, il me lime trois ou quatre minutes et jouit dans mon con sans capote. Pour me remercier, il annonce qu'à son retour de la douche, je dois avoir bougé mon cul de son appart, et qu'il hait les putes.

    « Et, tu n’as pas aimé te faire tringler comme un morceau de viande froide ? » « Tu sais bien, Yves que je suis aussi vicieuse que sentimentale : mon corps a aimé mais ma tête pas du tout ! »

    José rit : « Pas grave, pouffiasse, tout s’apprend dans la vie et tu es loin d’avoir fini ton éducation ! »

    Chapitre 141

    « Oui, Amo Mio je suis sure que vous avez raison, et pour terminer nos aventures, Amo Mio m'a offert un taxi pour revenir plus rapidement car nous avions peur que tu ne te fasses du souci »

    « Merci à tous les deux, j'ai eu à domicile des infos, des récits très hards et des photos encore plus hots de ma pute, de quoi monter un super récit de début de soirée qui va profiter à pas mal de monde, je pense surtout à tes amis de New York ma pute ! Mais José a aussi quelques idées dont nous essaierons de parler durant ce weekend-end ! »

    « Il n'y a rien d'urgent mon cher Yves, pour le moment, nous allons accessoiriser ta charmante femme-pute-esclave-à croquer ! 

    « Allons-y, je ne connais pas tes envies, je te suis et dis moi comment je peux t'aider ! »

    « Je vais te dire une bêtise, mais tu peux constater que Miss Vice est face à nous, totalement à poil, torse appuyé sur le dossier de la chaise, assise a califourchon ses deux pieds de chaque côté de l'assise de la chaise : nous avons la même vision d'elle ? »

    « Yves rit de bon coeur : oui José tu ne rêves pas elle est assise exactement comme ça ! »

    Je suis soucieuse car je me méfie des séances qui commencent sur un ton badin, je sais pas expérience elles peuvent se terminer très mal.

    « Yves, tu vas prendre huit pinces à linge et les deux menottes de chevilles, tu vas te placer derrière elle, tu lui feras soulever ses pieds nus vers toi et tu placeras une pince entre chaque orteil, en les enfonçant le plus possible entre les doigts. Elle va forcément couiner quand tu arriveras aux petits doigts, laisse la couiner, elle n'est pas ici pour être dorlotée. Quand tu auras fini avec les pinces, tu lui attacheras chaque cheville avec les menottes spéciales : de telle sorte que les hauts de ses chevilles soient reliés à deux pieds de la chaise, mais en lui tendant un maximum les pieds vers l'arrière pour l'empêcher de bouger trop amplement son ventre, mais pas son cul : attention c'est très important »

    « Ok, j'ai bien compris, je m'en occupe José ! »

    Yves passe derrière moi alors que José s'excuse et disparaît vers la chambre, il en revient très vite, je suppose qu'il avait oublié quelque accessoire pour mieux jouer avec moi !

    « De mon côté, je vais m'occuper de cette jolie tête de salope vicieuse ! Voilà, un collier de cuir, bien à ta taille, avec des super picots tournés vers la chair de ton cou, je ne le serre pas de trop, mais juste ce qu'il faut pour que tu te sentes bien chienne ! Maintenant, regarde, tu dois connaître : c'est un "tire-nez" : un crochet se fixe dans un des anneaux à l'arrière du collier, un élastique passe sur ta tête et se termine par deux crochets plastifiés qui vont rentrer dans tes deux narines : tu vas être obligée de pencher un peu la tête en arrière et tu auras un peu de mal à respirer avec ton nez, mais tu nous offriras de belles images ! Et pour terminer la décoration de ton visage, tu vas recevoir deux beaux pendentifs d'oreilles qui ne sont que de simples écraseurs de tétons agrémentés d'un lest de deux cents grammes ! »

    Et joignant la parole au geste il me pose ses deux écraseurs qui me font de suite un mal de chien, surtout quand il les leste.

    Chapitre 142

    Dans le même temps, Yves a terminé sa tâche, il a vicieusement pris soin de faire en sorte que mes orteils soient immobilisés contre le sol, comme si j'étais sur la pointe des pieds, ce qui me fait sentir encore plus fort le pincement et la pression des huit pinces.

    Les deux hommes se félicitent, José vient constater que je peux tout de même bouger mon cul vers l'avant. Il semble que ça lui convient pour le moment et Yves vient s'amuser à bouger mes boucles d'oreilles d'esclave : je ne savais pas que les lobes d'oreilles étaient si fragiles, là j'ai le temps de m'en rendre compte.

    « Bien, nous allons continuer : tu vas t'occuper de son nichon gauche et moi du droit, ok »

    « Pas de souci, je te suis »

    « Alors, prends comme moi : un des colliers de cuir de serrage de la base de son sein, huit pinces en plastique, un écrase-téton en fer, un lest de deux cents grammes, une petite clochette avec fixation et tu la finiras différemment de moi : donc tu prends le gros vibro prévu, mais nous allons supprimer les menottes simples et tu vas aller chercher un écarteur de poignets en métal avec une attache-collier en son milieu, ce sera plus fun pour elle, et moi je prends des bricoles pour finir le travail »

    « Voilà j'ai tout, je suis bien placé pour m'occuper de sa gauche »

    « Ok, en avant : tu vas commencer par lui mettre les huit pinces en rond autour de son aréole, attention, prends beaucoup de chair, sinon elles risquent de se décrocher »

    Ils me pincent soigneusement le gras des seins, Yves refait même son cercle qui n'était pas parfait, puis Amo Mio ordonne :

    « Maintenant, petite pute tu vas un peu te reculer sur ta chaise et faire en sorte que tes nichons pendouillent comme si tu avais 50 ans ! Voilà, bien, fais les bouger, là ils pendent bien, Yves nous allons en profiter pour glisser nos colliers de serrage à la base de ses nichons bien détendus »

    Ce qu'ils font tous les deux en évitant gentiment de cogner ou de toucher les pinces : « Ne serre pas ton collier pour le moment, il faut lui passer chacun des nichons entre les deux barreaux les plus écartés, et quand tu seras sur que le collier est bien contre le bois, tu serreras en position cinq sur six, tu vas voir que son nichon va gonfler immédiatement »

    Je peux assister moi même au gonflement immédiat de mes seins qui au bout de quelques secondes ne peuvent plus repasser dans l'espace des deux barreaux : ma poitrine est emprisonnée de l'autre côté de la chaise, ce qui, cumulé au blocage de mes pieds et chevilles m'interdit quasiment tout mouvement exception faite de mon bassin.

    « Pour terminer ses nichons, nous allons lui poser un écrase-téton, avec son lest et sa clochette, pour l'ambiance musicale ! »

    Quand je cesse mes hurlements, mes seins sont finis ! Je ne peux pas respirer sans que les lests ne bougent et à chaque mouvement un peu plus fort la fée Clochette indique qu'elle est contente de moi et qu'elle apprécie mes nibards de pute dégueulasse !

    Suite dans le tome 6




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