• Madrid 10

    Loré à Madrid tome 10

    Chapitre 222 (11h)

    Yves, quelques temps après continue à me raconter ce qui s'était passé quand je dormais ou que j'étais avec José : "En définitive, j'ai dormi comme une masse sur le canapé. Je ne t'ai même pas entendue crier de plaisir. Vers 11 heures, je suis allé pousser doucement la porte de notre chambre, et je t'ai vue, privée de ton attirail de soumise, dormir à poings fermés dans les bras de José ! Touchante image, mais j'en ai conclu qu'il ne fallait tout de même pas que José tombe amoureux de toi !"

    "Je vous ai laissés en paix et suis allé préparer un gros petit déjeuner avec des tonnes de café bien fort, des jus de différents fruits et des tas de choses à manger qui venaient du traiteur ! Quand tout a été prêt, j'ai frappé à la porte de votre chambre en criant : "Allez, il est temps de se réveiller, le petit déjeuner est servi !" et suis allé m'asseoir à la table de la salle à manger ou tout était prêt !"

    "José est arrivé 5 minutes après, il avait eu le temps de passer à la salle de bains pour se rafraîchir un peu, et enfiler un de mes peignoirs, il est arrivé un peu, sous le mode zombie, et nous avons éclaté de rire en nous voyant !:

    "Tu sais que tu as tort d'aller dans la chambre, José ! Moi j'ai divinement dormi dans le canapé !"

    Mais il rigole et me répond : "Ah, oui tu ne te doutes pas de la nuit que j'ai passé avec ta femme ! Eh, bien, je suis arrivé à poil, après ma douche, je me suis écroulé sur le lit, mais avant de m'endormir, je l'ai libérée de tous ses jouets et de ses cordes, et je l'ai prise dans mes bras, en lui souhaitant une bonne nuit trop rapide, qu'elle n'a même pas du entendre ! J'ai cru entendre tes pas vers 11 heu-res, mais j'ai pensé que je rêvais encore, et ce, jusqu'à ce que tu tapes à la porte ! Tu aurais pu entrer dans ta chambre tout de même !" Je lui réponds en riant que "Je n'ai pas osé vous déranger !"

    C'est à ce moment là que tu es arrivée en peignoir et en traînant tes savates de bain sur le sol ! Tu as les yeux tirés et tu ressembles plus à une somnambule qu'à une esclave soumise ! Tu viens m'embrasser longuement sur la bouche et me fais un gros câlin en m'assurant que tu as bien dormi dans mes bras ! Je ne te détrompe pas et fais un clin d’œil à José pour qu'il ne te dise rien !"

    "Et voilà, ce que tu as raté".

    Nous attaquons notre petit déjeuner, et peu à peu, nous avons l'impression de renaître ! Quand nous avons fini, je range tout dans le lave vaisselle, que je mets en marche pour éviter d'être à court de couverts et d'assiettes propres. Alors que je vous entends profiter des deux salles de bains pour vous doucher. Je te rejoins quand j'en ai fini avec la cuisine, et, très tendrement, c'est toi qui me savonne et promène le pommeau de douche sur mon corps.

    Il est midi, quand nous sommes tous douchés et prêts à nous habiller. Quelques pas sur le balcon nous assurent que nous avons un temps superbe mais très chaud.

    José et toi, vous me conseillez, compte tenu de la chaleur, de choisir une robe légère de couleur vive, avec des spartiates à petits talons mais sans aucun sous-vêtements.

    José rajoute : "Si tu en as une qui se boutonne sur le devant, ce serait parfait". J'en ai en effet une bleue nuit que j'aime beaucoup, et c'est donc elle que je choisis.

    Quant à vous, vous choisissez des pantalons de lin et des chemises en coton, avec les manches légèrement retroussées sur les avant-bras, puisque la chemisette est totalement démodée, et je me demande encore bien pourquoi !

    Quand nous sommes prêts, José me dit "Tu vas découvrir un endroit très sympa, pour te remettre dans ton rôle du weekend !"

    Je souris et les suis. Nous montons dans la voiture de José qui conduit assez vite, dans des rues dominicales quasi désertes à cette heure-ci ! S'il y a des embouteillages monstrueux à toutes les entrées de Madrid, ce n'est sûrement pas le dimanche à midi !

    Chapitre 223

    Nous allons dans un quartier que ne connais pas, mais ce n'est pas le seul où je n'ai jamais mis les pieds, car Madrid est vraiment une capitale de près de 7 millions d'habitants construite en plein désert !

    José se gare devant un petit restaurant qui ne paye pas de mine : tout à fait le style gargote où l'on mange très bien pour pas cher, je suis un peu surprise, car ça ne lui ressemble pas.

    Nous descendons, il me prend par la main et ouvre la porte à Yves que nous suivons. Le serveur ou le patron nous accueille avec un grand sourire en nous disant simplement : "A midi, je ne suis pas encore prêt à servir, si vous voulez attendre au bar ou revenir plus tard, c'est comme vous voulez !"

    José lui sourit et se penche sur moi pour me murmurer à l'oreille, "sois gentille, petite salope, lève le devant de ta robe et écarte bien tes jambes !". Je ne dis rien, car je n'ai pas grand chose à dire, mais je m'exécute. L'homme semble apprécier le spectacle de ma chatte épilée, nue et toujours un peu trop ouverte.

    Il sourit et dit à José : "Il me semblait bien te reconnaître, mon ami, mais n'en étant pas sur, je vous ai traités comme des touristes ! Excuse moi !". "Pas de problème, Antonio, ça fait longtemps que je n'étais pas venu, et tu as un peu raison, car ce couple d'amis est Français ! Mais ce n'est pas ce restaurant qui nous intéresse !"

    Antonio, qui semble bien être le patron, sourit en te répondant : "Je m'en doutais un peu, mais je n'ai pas l'habitude de voir une soumise aussi mignonne que la femme de ton ami !"

    José approuve : "Oui, j'ai eu beaucoup de chance de les rencontrer et de devenir leur ami, et comme son mari voulait lui faire connaître une autre domination que la sienne, elle m'obéit depuis ce samedi ! Une question, Antonio : est-ce qu'il y a du monde dans l'autre partie de ton restaurant ?"

    "Oui, comme tous les dimanches, les amateurs réguliers arrivent vers les 11 heures et commandent des bières, des apéritifs ou du champagne avec des tapas délicieuses et très variées. Ils font la fête et ne passent à table que vers 15 heures. Mais, ce que tu vas découvrir, c'est que cette activité a son propre restaurant, avec un très bon chef franco-espagnol sur lequel je n'ai que des compliments !"

    "Je suis content que tout aille bien pour toi, Antonio, tu le mérites et tu as toujours eu de bonnes idées, nous ne pourrons pas rester pour déjeuner, probablement qu'un jour prochain, nous te réserverons une table pour goûter cette bonne cuisine !"

    "C'est entendu, et, ce jour là vous serez mes invités ! Et je suis sur que je ne te ferai plus l'affront de ne pas te reconnaître, José, j'ai un peu honte de ne pas avoir été suffisamment physionomiste ! Bon, si vous le voulez, je vous conduis dans la "partie cachée de l'iceberg" comme je l'appelle !"

    Chapitre 224 (12h30)

    Il ferme à clef la porte de son restaurant et nous conseille de le suivre. Juste après le bar, il soulève un lourd rideau qui cache une porte en bois massif, à priori décorative, car très bien travaillée, mais sans poignée ni serrure.

    Il met sa main droite dans sa poche et, on entend à peine un petit "bip". La porte s'ouvre lentement et presque majestueusement ! Yves ne résiste pas au plaisir d'une blague, en me murmurant à l'oreille : "Sésame, ouvre toi !" Je souris, tout de même inquiète de ce que nous allons découvrir !

    Un couloir, en pente descendante douce, nous conduit vers une porte identique qu'Antonio ouvre de la même manière.

    Cet obstacle est un redoutable "coupe-sons", car dès qu'il s'ouvre, nous entendons de la musique, des rires et des cris.

    Antonio tient à nous préciser que nous sommes quasiment un étage en dessous du restaurant, et que cette cave entièrement creusée par les ouvriers, fait un peu plus de 800 m², bar-tapas et restaurant gastronomique inclus.

    Il nous conduit directement dans la partie "bar" qui est remplie de personnes de tous les âges, disséminées sur un grand espace. Elles sont debout et discutent en groupe, ou assises autour de plusieurs dizaines de petites tables rondes, ou, au bar, assises sur des tabourets hauts, tout au long du très long comptoir.

    Un collaborateur s'approche, salue respectueusement Antonio et enregistre ses ordres : "Ce sont des très bons amis, le couple est Français, la dame superbe est une soumise parfaitement éduquée et mon ami de longue date, José, est son maître pour le weekend. Tu dois t'occuper d'eux, veille à ce qu'ils aient toujours une bouteille de champagne rosé prête à remplir des flûtes et apporte-leur très vite la grande carte des tapas, dont 2 en Français. Tu m'as bien compris, Pablito ? Ton job est en jeu ! Alors applique-toi, je veux qu'ils aient un souvenir mémorable de ces quelques heures passées dans mon établissement"

    "Vous me connaissez, chef, je ferai tout pour les satisfaire, mais vous savez très bien que ce n'est pas la peine de me menacer de me pendre ou de me virer : j'aime ce métier et si vous m'avez appelé, c'est parce que vous avez confiance en moi !"

    "Dis-moi, serveur d'élite, et comment dois-je affirmer mon autorité devant des amis ?"

    "Ca, vous savez parfaitement le faire ! Parole de Pablito !"

    Tout le monde éclate de rire ! Et Antonio s'excuse de nous laisser entre des mains aussi impertinentes !

    Pendant qu'il s'éloigne en serrant bon nombre de mains et en embrassant quelques jolies femmes, Pablito nous demande de le suivre jusqu'à une des tables qu'il garde jalousement pour des amis de son boss, en nous précisant : "Vous savez que vous n'êtes pas les premiers Français à venir prendre du plaisir ici ?"

    Yves rebondit rapidement : "Ne te fais pas de souci, nous aimons le monde du "d.s.", comme vous l'appelez, et si tout est aussi plaisant que la superbe ambiance que nous constatons, le serveur et le patron ! Nous ne manquerons pas de vous faire de la pub, Madrid est adorée par les Français, mais nos compatriotes la connaissent très mal ! Il est temps de bien les renseigner, et si quelqu'un vient "de la part d'Yves et de Loré", souviens-toi bien de nous !"

    En nous désignant notre table, bien placée, sur une petite estrade, avec une dizaine d'autres, pour la plupart occupées. Nous sommes au centre de la salle que nous dominons de quelques centimètres. Au bord de la petite piste de danse, tout à côté du bar, avec une vue panoramique sur toute la salle.

    Pablito s'excuse et nous dit revenir très vite avec un cadeau pour "Madame de Paris" !

    Une fois assis, avec José à ma droite et Yves à ma gauche, nous regardons le spectacle.

    Il est en fait très Espagnol : bruyant, plein de rires, de cris et de scènes originales que nous n'avions pas eu le temps de voir dans notre traversée de la salle, mais que nous pouvons détailler, maintenant que nous sommes installés comme devant un gigantes-que théâtre improvisé !

    Des couples, apparemment habillés, dansent des slows qu'un d.j. enchaîne. Mais en y regardant de plus près, les femmes sont nues sous leur vêtement principal et les mains des hommes ne se gênent pas pour les peloter ou les branler.

    De temps en temps, l'une d'elle atteint l'objectif de l'homme et hurle sa jouissance, applaudie par toute la salle. En plein milieu de la piste, une brunette pompe avec envie et plaisir son danseur qui a une queue splendide !

    Mais le spectacle n'est pas que sur la piste de danse : des talons féminins dépassent du dessous de certaines tables, j'imagine facilement ce qu'elles sont en train de faire !

    Trois des côtés de cette salle sont composés de canapés position-nés en forme de U : celui contre le mur a une assise très large, et il a six places.

    A chacune de ses extrémités, il y a une petite étagère qui propose sur deux niveaux en hauteur, des jouets sexuels variés, que les pratiquants n'hésitent pas à utiliser !

    Les deux retours du U sont perpendiculaires au grand canapé et viennent buter sur ces doubles étagères. Ce sont des canapés traditionnels de trois places.

    Le sol du U est un tapis épais sur le centre duquel est posée une table basse en verre qui, à peu près partout accueille, des verres et des assiettes de tapas, mais dans quelques U, il y a aussi des femmes à poil, couchées sur ces tables, cuisses levées en train de se faire limer par des hommes à demi-nus qui usent sur elles de martinets, de pinces, de bougies allumées ou d'autres accessoires de plaisir sado-maso, ce qui fait crier de plaisir ou de douleur, les femmes niquées et dominées devant tout le monde !

    Chapitre 225

    Pablito revient et dépose devant José une grande boîte.

    Curieux, il l'ouvre, et nous découvrons en même temps que lui : six colliers de chiens, identiques dans leur conception mais de différentes couleurs.

    Pablito nous explique que, comme nous avons pu le remarquer, toutes les soumises portent un de ces colliers pour indiquer leur condition à toute l'assemblée qu'elles sou-mises. La couleur du collier indique leur degré de soumission, que Pablito nous cite :

    "Je commence par le bleu qui indique que c'est la première séance de la soumise !"

    "Le vert signifie que la soumise est débutante et en cours d'éducation !"

    "Le marron identifie une soumise qui a au moins deux ans d'éducation mais n'accepte que l'humiliation et aucune douleur ! Vous me suivez ?"

    Nous rions et José lui répond "Vas-y continue, nous n'avons pas encore la couleur qui ira bien à notre esclave !"

    "J'arrive aux trois dernières couleurs qui ont, bien évidemment le plus de succès : le violet indique une soumise sans aucun tabou sexuel et résistante à la douleur, sans arriver au sang !"

    "Le jaune est réservé aux soumises parfaitement éduquées, acceptant tout dans le sexe, plus cérébrales que sexuelles et acceptant les douleurs excitantes, donc refusant le douleur gratuite !"

    "La dernière couleur est le noir. Elle est assez peu demandée, car, elle est portée par des soumises acceptant tout sexuellement, tout en soumission et humiliation et tout acte sadique. Depuis cinq ans que je suis là, je n'ai vu que trois femmes porter ce collier, cette belle jeune femme française sera-t-elle la quatrième ?"

    C'est Yves qui lui répond : "Désolé, Pablito, mais ma femme se contentera d'un collier jaune, le noir est suicidaire : "acceptant tout acte sadique" est une clause que je n'approuve pas. C'est étrange qu'Antonio la propose dans son catalogue !"

    "Vous avez raison, Monsieur Yves, du reste, il a lancé une enquête auprès des salariés, des cadres et des bons clients, pour modifier les six couleurs et probablement supprimer le noir !"

    José prend le collier jaune, me le pose autour du cou en le serrant assez fort sans toutefois m'étouffer.

    Yves demande à Pablito : "Dis-moi, que nous conseilles-tu de faire à présent que nous avons la catégorie de notre esclave ?"

    "Le mieux, est de dévoiler son corps ou ses sous-vêtements, et d'aller prendre un verre au bar pour que tout le monde la voit, et que certains, ou certaines, car nous avons beaucoup de gouines dominantes, viennent l'aborder ou vous aborder pour lui proposer une séance que vous pouvez accepter ou refuser"

    José le questionne à son tour : "Dis-moi, quand je venais, il y a quelques années, il y avait deux sortes de séances : celles en public qui se déroulaient gratuitement devant tout le monde ou celles dans des petits salons, payantes, avec des voyeurs. Dis-moi quel est le fonctionnement de nos jours ?"

    "Oui, j'en ai entendu parler, mais c'était, avant mon embauche. De nos jours, un employé va vous apporter une boîte en bois précieux avec le numéro de votre table gravé. Laissez la sur votre table, et quand votre soumise aura des demandes acceptées, ses "clients", si j'ose m'exprimer ainsi, lui demanderont le numéro de sa table et viendront la rémunérer anonymement, soit avant, soit après la séance. Rassurez-vous, tout le monde connaît les tarifs pratiqués et elle n'avalera pas de sperme pour une pièce d'1€ !"

    "Bah, pour nous, c'est surtout son humiliation d'être rabaissée au rang de pute soumise que nous aimons !"

    "Ah, je vois ! Je vous porte de suite du champagne et la carte des tapas, je vous conseille de la préparer, d'aller au bar en couple, en laissant l'un de vous deux, pour accueillir la "boîte aux plaisirs" comme nous l'appelons, le champagne et commander les tapas !"

    "Tu as raison, merci pour tes conseils, elle ira avec José et je resterai ici pour veiller à l'intendance !"

    Pendant que Pablito s'esquive, José me demande de me lever et de lui faire face. Il ouvre le haut de ma robe, en défaisant 3 des boutons. Il me regarde attentivement et décide d'en ouvrir un de plus : je me penche et vois parfaitement bien la quasi totalité de mes seins, tétons inclus !

    Quant au bas de ma robe, qui a 4 boutonnières, il en défait 3 et me demande d'avancer la jambe droite. Ce geste dénude ma jambe gauche du genou à la chatte, je ne peux guère cacher que je suis à poil sous ma robe !

    Yves me trouve très bandante et m'assure que je vais faire un excellent chiffre d'affaire ! Je rougis comme une tomate.

    José me prend par la main, et je le suis jusqu'au bar ou deux tabourets viennent de se libérer. En m'asseyant, je suis consciente que mon décolleté plonge largement vers mon nombril et que le bas de ma robe, remonté par le tabouret dévoile ma chatte nue et déjà bien trempée, il est bien évident que tous ces préparatifs ne m'ont pas refroidie, bien au contraire !

    José passe un doigt sur mes grandes lèvres et me le donne à sucer en me murmurant : "Toujours aussi salope malgré ta fatigue ! Ta connasse de pute ressemble déjà à un torrent, j'ai presque honte de toi, et je compte bien accepter pour toi, les scénarios les plus pervers et présentés, si possible par des hommes et des femmes vulgaires qui te traiteront comme une putain de chiottes de gare et non comme une bourgeoise française ou une épouse idéale !"

    Chapitre 225

    Je baisse les yeux sans rien dire, alors qu'il commande une coupe de champagne pour lui et un triple cognac pour moi !

    Nous sommes rapidement servis et quand José fait mine de sortir un billet, le serveur lui dit que Monsieur Antonio leur a interdit de prendre notre argent.

    José rit, pose un billet de 20€ sur la table en disant : "Mais, il n'a pas interdit les pourboires ? N'est ce pas ?"

    Le barman est gêné, mais finit par faire disparaître le billet !

    Un bel hidalgo s'approche de nous et nous propose de nous offrir un verre, José le remercie et refuse gentiment son invitation : "Nous venons de commander, mais si vous voulez quelque chose, je vous l'offre avec plaisir. Je m'appelle José !" "Avec plaisir José, moi c'est Javier, et comment s'appelle ta superbe compagne ?"

    "Elle n'a pas vraiment de nom : Objet ? Pute ? Salope ? Truie ? Chacun peut lui donner un surnom, elle les aime tous !" "Hum, intéressant, je peux te proposer de réaliser avec elle une petite envie un peu perverse ?" "Seulement "un peu perverse" ? Dommage, j'aurais préféré "très perverse" !"

    "Pas de problème, je peux commencer par "un peu" et finir par "très" ! Mais avant, puis-je te demander de la faire se lever, de me donner son tabouret et d'ouvrir complètement sa robe pour moi ?"

    "Pas de souci, tu as entendu connasse ! Alors fais plaisir à ton Maître ! Mais tu peux directement t'adresser à elle, je te la prête avec grand plaisir, amuse-toi bien et jouis bien d'elle, cette pouf-fiasse est là pour ça !"

    Je libère mon tabouret, sur lequel Javier s'assied en sirotant la coupe de champagne que José lui offre. Je défais les quelques boutons qui cachent encore un peu ma nudité et ouvre grand ma robe pour que mon futur Maître se rince l’œil.

    "Quel âge as-tu chienne en chaleur ?" "34 ans depuis hier, Maître" "Tu as eu des cadeaux ?" "Oui Maître, mon mari m'a offert un Maître inconnu qui me domine depuis hier soir, à sa manière, qui très différente de la sienne, et mon cadeau est devant vous !"

    Un peu sidéré par cette réponse, Javier constate : "Hum, bel exemple de réalisation d'un fantasme, et qui, dans ton couple, a eu envie de le concrétiser ?" "Moi, Maître"

    "Je comprends pourquoi tu aimes qu'on t'appelle salope, mais bien que tu sois divinement proportionnée pour une femme de ton âge, je t’appellerai "grosse salope vicieuse" et à présent, tu vas choisir entre deux propositions, forcément perverses !"

    "La 1ère se passe au bar : tu m'enlèves mes chaussures et mon pantalon, je reste sur mon tabouret, tu viens te mettre à califourchon sur une de mes cuisses nue et les mains dans le dos, tu te frottes le con sur ma cuisse comme le ferait un chien en rut ou une chienne en chaleur et je veux que tu t'envoies en l'air en criant comme si tu étais seule : je veux entendre un tonnerre d'applaudis-sements pour ton orgasme !"

    "La 2ème se passe sur la piste de danse, où nous faisons semblant de danser, mais en fait, comme une danseuse de tango ou comme une grosse salope vicieuse, tu frottes ta connasse sur ma cuisse nue, jusqu'à ta jouissance et les applaudissements !"

    "Quel que soit ton choix, je te réserve une surprise qui te fera fantasmer très longtemps durant tes branlettes de cochonne qui doivent être permanentes chez toi !"

    Je ne réponds rien et m'agenouille. Il me regarde en me disant : "Que fais-tu sans mon autorisation ? Salope !" Sans même le regarder, et en soulevant une de ses chaussures, je lui réponds : "Quel que soit mon choix, Maître, il faut que vous débarrasse de vos chaussures et de votre pantalon, donc je commence la séance tout en réfléchissant à quelle solution je vais choisir, en fonction des goûts de mon "Maître-cadeau" que j'ai pu constater !"

    Il rit, en me regardant de toute sa hauteur, et quand il est en chaussettes, il se met debout pour me permettre, juste en me redressant un peu, de dégrafer sa ceinture, de lui déboutonner la braguette et de descendre son pantalon jusqu'aux pieds, qu'il lève l'un après l'autre pour que je puisse l'en débarrasser !

    Je le donne à José qui le tend à un des barmen, visiblement habitués à ranger des vêtements ! Javier me relève, écarte soigneusement ma robe pour que je ne cache rien de mon corps. Quelques personnes se sont déjà rapprochées de notre petit grou-pe. "Alors grosse salope vicieuse, où allons-nous ?".

    "Je pense, Maître, que le bar est un bon endroit. Vous avez du remarquer que nous sommes juste sous une caméra et qu'une bonne dizaine de voyeurs se sont rapprochés pour assister à cette séance, ce serait dommage de priver les caméramen et ces aimables clients, qui sont venus pour ça, de ce spectacle !"

    Il rit en disant assez fort, pour que tout le monde l'entende : "Eh, bien dis moi, les soumises françaises ne savent pas qu'écarter les cuisses ! En plus d'un clito exigeant, elles ont aussi une cervelle qui remplit bien leur tête fort bien faite !"

    Je me rapproche de lui : "Merci pour ce beau compliment, Maître, sur quelle cuisse voulez vous que votre chienne se frotte ?"

    Il réfléchit rapidement et glisse un peu de son tabouret et pose ses pieds par terre. Il pose le gauche sur la barre "repose-pieds" et il avance sa cuisse gauche. Sans hésitation, je me mets à la bonne hauteur, j'écarte totalement ma robe, monte sur sa cuisse, comme si j'enjambais un poney et pose mon sexe bien ouvert sur sa cuisse poilue mais confortable !

    "Vous me vouliez les mains croisées dans mon dos, Maître, mais je serai sûrement plus efficace, si je pouvais m’agripper au tabouret, pour mieux aller et venir sur votre cuisse"

    "Ok, mets ta main gauche sous mes couilles et la droite sous mon cul, ces deux prises devraient t'aider !"

    Dès que mes mains sont en place, je resserre un peu les cuisses et commence à faire des allers et retours sur sa cuisse. Je mouille tellement qu'elle est très vitre trempée, et que, pour la grande joie des voyeurs, mes lèvres font un bruit obscène du style : "flop-flop-flop", qu'ils reprennent en chœur en éclatant d'un rire général.

    Je m'associe à leur joie en leur adressant un sourire un peu crispé, car je suis tellement excitée que je ne vais pas tarder à jouir. Ce sera un "presque tsunami" car, il ne faut pas confondre les préparatifs excitants, et les préliminaires excitants !

    Ma main posée sous ses couilles est presqu'en contact direct avec sa bite. Je sais donc que mon attitude de bête en chaleur plaît à mon Maître ! Il bande comme une âne, et j'espère qu'il aura la bonne idée de s'en servir sur ou dans moi !

    Chapitre 226

    Je vois Yves, qui après avoir terminé ses tâches d'intendant, vient nous rejoindre. Il arrive à fendre la foule des voyeurs et je lui fais un grand sourire qu'il me rend en levant son pouce pour me féliciter ! C'est la paire d'yeux qu'il me manquait pour me laisser aller !

    Je gémis si fort qu'on n'entend plus mes bruits de con trempé, et les voyeurs se rapprochent un peu plus de notre couple. Javier, sans m'interrompre, fait tomber ma robe de mes épaules à mes pieds, et les voyeurs sifflent et applaudissent en me voyant à poil et en action, me branlant de plus en plus vite sur sa cuisse !

    Mes gémissements se transforment en gloussements, puis en petits cris, puis en grognements, avant de s'épanouir en cris de plus en plus forts qui empruntent toutes les tessitures des chanteurs d'opéra et non celle de Madame Sarkozy !

    Les voyeurs, qui ne sont pas des débutants, sentent que l'orgasme va exploser et ils commencent à taper dans leurs mains pour accompagner en rythme mes cris de future jouisseuse alors que d'un seul coup, j'hurle :

    "Oooooooh noooooon c'est troooooop bon, oooooooh ouuuuuuuiiiiiii écrase mon con sur ta cuisse, oooooh je t'en suplliiiiiiiiiie demande à un homme de me pincer et de me tordre les bouts de mes mamelles de puuuuuuuuute. Je veuuuuuuuuuuux jouir plus loooooongtemps comme la salope que je suis. Ouuuuiiiiiii faîtes moi mal à mes bouts de mamelles, je me sens animale, femelle, puuuuuuuutain de bas étage, mais je jouis comme une dingue devant vos yeux !"

    La salle s'enflamme et de l'homme qui vient de gicler sur mon cul, jusqu'au fond de la salle, tout le monde est debout et applaudit à ce qu'ils doivent considérer comme une performance !

    José et Javier semblent très fiers de moi alors que Pablito se fraie un chemin pour dire à Yves : "Monsieur Yves, n'oubliez pas de saluer Monsieur Antonio en partant, il aura une copie de la très belle scène dans laquelle Madame est la vedette ! Vous devez être très heureux d'avoir une épouse aussi libérée et chaude, ah, si je pouvais en rencontrer une comme elle !"

    Yves me regarde, mais ne lui répond rien. Il doit penser qu'une 2ème comme moi existe surement dans le monde ! Mais où ?

    José dit à Javier : "Dis moi Javier, il est vrai que d'une séance "perverse" tu en as fait une séance "très perverse", et je te félicite, mais je suis curieux de vois comment tu vas transformer la "très perverse" en "monstrueusement perverse" !"

    Javier éclate de rire : "Tu sais José c'est l’ambiance collective et ton esclave qui ont fait dévier la séance, je n'y suis pas pour grand chose, mais aidé par les voyeurs, je vais essayer de t'étonner !"

    Chapitre 226

    Peu à peu les voyeurs vont vers d'autres spectacles, mais une petite dizaine reste avec nous. Javier leur demande, gentiment, de me laisser respirer. Il me prend par les cheveux et me fait tourner sur moi même, devant lui, bien sur toujours à poil.

    "J'ai rarement vu un spectacle aussi bandant ! Tu es réellement une salope, et tu aimes tellement baiser, t'offrir à des dominants, exécuter leurs ordres, t'exhiber devant des inconnus et jouir en surjouant ton plaisir que tu termines cette séance à l'état d'épave ! Le haut de tes cuisses dégouline de ton jus de pouffiasse, quasiment jusqu'aux genoux, j'imagine dans quel état doit être ta chatte, mais il me faudrait une pute de ta classe pour lui ordonner de te lécher et de nettoyer en profondeur ton con torrentiel ! Quant à ton cul, une demi-douzaine de clients se sont branlés sur lui et ont vidé leurs couilles pleines sur tes rondeurs, dans ta raie et dans ton trou à merde ! Personne ne te voudrait dans cet état, mais je vais faire exception !"

    Il se lève du tabouret, baisse lentement son caleçon, exhibe devant tout le monde une bite superbe, longue et suffisamment grosse pour remplir n'importe lequel de mes orifices ! Le gland est rouge vif et humide à souhait. Je constate que mon orgasme "surjoué" l'a tout de même beaucoup excité !

    Il écarte un peu le tabouret du bar pour permettre aux voyeurs de faire un cercle autour de nous et m'ordonne d'une voix virile : "Ma salope, tu vas te coucher sur ce tabouret en posant ton ventre sur le siège. Tu vas mettre tes pieds déchaussés au sol et les écarter le plus possible. Si tu sais faire le grand écart, c'est le moment !"

    "Ta tête et ta poitrine seront dans le vide de l'autre côté du tabouret. Pour t'aider un peu, tu as le droit de te tenir des deux mains à la barre repose-pieds. Mais avant : tu vas glisser deux de tes doigts dans ta con trempé, et nous allons tous nous écarter pour bien t'admirer t'humidifier soigneusement l'anus avec tes jus de grosse cochonne. Tu as intérêt à bien le faire, sinon, tu risques de hurler de douleur quand ma pine va exploser ton trou à merde ! Et ne compte surtout pas que je prenne des gants avec toi ma salope !"

    Je m'agenouille pour ôter mes spartiates et me couche comme il me l'a demandé. Il a raison, car d'un côté, mes pieds sont posés par terre, tout au moins sur leur pointe tant ils sont écartés pour bien ouvrir mon bas-ventre, et de l'autre, ma tête et mes seins pendent dans le vide. J'ai très vite mal au cou en essayant de maintenir ma tête à l'horizontal.

    Pendant que j'humidifie mon anus avec mes doigts qui viennent de ma chatte, je le vois dire quelques mots à son voisin qui hoche la tête et fend la foule pour sortir du cercle des voyeurs.

    Javier m'encourage de la voix :

    "Allez, ma grosse salope vicieuse, mouille toi bien le trou à merde, plus il sera trempé, plus vite je serai dans tes intestins, et tu te sentiras un objet très utile, dans lequel les hommes viennent se vider les couilles, en continuant à fumer et à tchatcher avec leurs amis ! Tu seras l'exact contraire d'une femme respectée et fière de son rang ! Si tu as un enfant, pense très fort à lui quand tu sentiras ton oignon défoncé et crie très fort pour qu'il t'entende, il réalisera quel niveau de bassesse a atteint sa mère, sa putain de mère !"

    Ces injures me vont droit au coeur, mais je n'en n'arrête pas le va et vient de mes doigts : mon anus se met à dégouliner, lui aussi.

    L'autre homme revient se mettre à côté de Javier et il lui montre ce qu'il a trouvé, je suppose dans les étagères des salons en U. Mon Maître semble satisfait et il lui demande de s'occuper de moi.

    Il se rapproche de ma tête, s'agenouille, joue un peu avec mes seins, en leur donnant des tapes du plat de sa main pour mieux les voir se balancer. Puis, il me pince durement les tétons pour les faire bander et, quand ils jugent qu'ils sont assez durs et longs, il prend un de mes seins à pleine main, le malaxe et le presse aussi fort qu'il le peut, et, avec son main, il me pose un écraseur de téton en acier, en faisant bien attention de ne pincer que le téton sans toucher le gras du globe.

    Je suis incapable de me retenir, tellement la douleur est brutale et intense, et j'hurle de douleur. Il fait pareil à l'autre, avec la même réaction de ma part.

    Visiblement content du résultat, il finit ma "préparation" en accro-chant un gros lest de plomb à chaque écraseur, ce qui a le double effet de faire brutalement chuter mes nichons vers le sol et de m'obliger à hurler de plus belle, à la grande joie des voyeurs qui apprécient visiblement en applaudissant et en criant !

    Sans se préoccuper ni de mes cris, ni de mes supplications, il se relève, passe derrière moi, me tire un peu les fesses pour que mon sexe soit légèrement dans le vide. En fin connaisseur, il trouve rapidement mon clitoris qu'il caresse et titille sans aucun ménagement, et, quand il le sent dur et bien gorgé de sang, il y met une pince en métal, plus douce qu'un écraseur, mais, elle aussi lestée d'un poids plus léger, qui m'étire tout de même le clito vers le bas; en m'obligeant à hurler et à pleurer de douleur devant la foule déchaînée qui m'insulte !

    Chapitre 227

    Javier éclate de rire et dit à la ronde : "J'ai besoin de volontaires pour m'aider à soumettre cette grosse salope française : pour un billet de 20€, chacun, j'offre à 5 d'entre vous les épaules, le dos et le cul, de cette pouffiasse, telle qu'elle est là : couchée sur le ventre, à poil, avec ses tétons et son clito pincés. Allez vite choisir ce que vous préférez pour la frapper et lui rougir la peau et revenez avec votre billet, il sera déposé dans sa "boîte aux plaisirs" Mais, attention, je ne prendrai que les 5 premiers !"

    Tout se passe très vite : le temps que je pense à ce qui va m'arriver, j'entends déjà Javier compter :

    "La 1ère sera cette belle dame nue avec sa cravache, puis ce bel hidalgo, bite à l'air, avec, lui aussi sa cravache prête à frapper. Ensuite, ce sera le tour de ce beau jeune homme avec un martinet, puis une jolie jeune femme avec une badine et pour finir : une magnifique couguar avec, elle aussi,une cravache !"

    "Bravo, donnez moi vos billets, et dans l'ordre de présentation, allez-y faites moi rougir ce corps de putain, vous avez 5 minutes chacun et n'hésitez surtout pas à vous faire mal au poignet !"

    Ce qui suit est un véritable cauchemar. Chaque coup oblige mon corps à tressaillir des pieds à la tête et, bien évidemment à bouger les 3 pinces qui me donnent l'impression d'être transpercée de lames de couteaux dans mes chairs.

    Hommes et femmes tapent très fort, et certains coups pourraient m’enlever des bouts de peau, si Javier, à la demande de José, ne retenait pas certains poignets qui confondent "jeu" et "sadisme".

    Mon dos, mes épaules et mon cul doivent se strier de marques que je suppose brunâtres et je sens la température de ma peau monter de plus en plus.

    Quand l'avant dernier passe, je sais qu'il ne me reste que 5 minutes à souffrir, mais je n'en peux plus et je laisse la couguar jouer seule, en plongeant dans un évanouissement non désiré, mais libérateur !

    José m'a raconté, à notre sortie de chez Antonio, qu'immédiate-ment, un infirmier est intervenu, il m'a réveillée et soigné longue-ment le dos avec un onguent très efficace, et quand il a été certain que j'étais en bonne forme et pleinement consciente, il m'a fait boire un double cognac et m'a confiée de nouveau à Javier qui m'a dit tout simplement :

    "Hum ! Quel beau spectacle tu vas m'offrir quand tu seras allongée sous moi avec ton trou du cul bien dilaté et luisant d'humidité, qui n'attend qu'une seule chose, que ma pine le défonce ! Que ton corps va être bandant avec tes épaules et ton dos striés de marbrures brunes, et ton cul, si ferme et si rond, rouge vif que je sens aussi bouillant qu'impatient de s'ouvrir pour moi !"

    Il se place derrière moi, appuie son gland sur mon petit trou humide, lui fait faire des cercles autour de mon anus, avant de s'enfoncer avec une extrême lenteur en moi.

    Je sens qu'il pousse sans arrêt, mais en contrôlant totalement sa pénétration. J'ai rarement été enculée avec tant de raffinement, je ne sais pas combien de temps il a mit pour que sa pine vienne heurter l'entrée des mes intestins et que ses couilles frappent ma raie des fesses.

    Mais, arrivé au terme de sa sodomie, il reste collé à moi, sans bouger d'un seul centimètre, et, il attend sans rien me dire !

    Son vice est extrême, car, c'est moi qui, n'en pouvant plus, bouge mon cul la première : je recule un peu pour faire ressortir sa bite et avance de suite pour me la renfoncer toute seule au fond de mon sphincter : je lui fais sentir, sans aune parole, mon envie d'être son enculée. En grognant, il m'assure qu'il a bien comprit le message ! Et il commence à me défoncer en allant et venant dans mon cul humide et tiède en me faisant hurler de douleur quand il rentre et de plaisir quand il ressort sa bite de plus en plus loin, jusqu'à la sortir totalement de mon trou à merde !

    Je ne sais pas combien de temps il m'a limé le cul, accroché à mes hanches, alors que j'essayais de me retenir de mes mains posées sur le repose-pieds, mais la foule nous entourant continuait à applaudir et à hurler.

    Quand, tout d'un coup elle sent qu'il va se passer quelque chose, et cesse brutalement ses applaudissements et ses cris !

    Javier s'arrête de me pistonner et se colle à mon cul, et, sans pratiquement bouger, il se vide dans mes intestins en me traitant de pute, de salope et de truie.

    Il rugit de plaisir et propose, en hurlant, à 5 hommes de profiter de l'élargissement de mon trou à merde pour venir se vidanger les burnes dans mon cul de salope française vicieuse qui adore que des pines inconnues l'enculent à la chaîne sans préservatifs !

    Même pour 100€ il aurait pu en avoir 50, mais il s'est contenté de 5 enculeurs à 50€ et quand ils en ont fini avec moi, je me sens comme une loque humaine, pleine de foutre, avachie sur un tabouret au milieu d'une foule qui, peu à peu se désintéresse de moi et va chercher une autre salope, plus vicieuse que moi à mater et à insulter !

    Chapitre 228

    José se penche vers moi : il me libère des écraseurs et de la pince. Et ramasse ma robe et mes spartiates. Pablito nous récupère, il me recouvre le corps d'un drap léger qu'il a apporté et dit à José :

    "Ne te fais pas de souci, Monsieur José, je l'accompagne à l'infirmerie, ils vont bien la soigner, la nettoyer et faire en sorte qu'elle ressorte "toute neuve" de chez Monsieur Ernesto. L'équipe de soins qu'il a embauché est la meilleure du monde, et on dit même qu'ils savent faire des miracles, ne soit pas inquiet, elle vous retrouvera dans une dizaine de minutes à votre table !"

    José lui fait confiance et raconte tout à Yves. Je les vois s'éloigner de nous pour rejoindre leur table.

    Un quart d'heure plus tard, je m'assieds avec eux, souriante, fraîche et maquillée, la robe repassée et merveilleusement coiffée ! Les hommes n'en reviennent pas et je leur dit !

    "Il fallait vraiment croire Pablito : "L'équipe de soins qu'a embauché Antonio est la meilleure du monde et ils savent faire des miracles et elle va ressortir "toute neuve" de cet endroit !" Mais après avoir grignoté quelques tapas et bu deux ou trois coupes de champagne avec mes deux vrais Maîtres !"

    Nous éclatons de rire, José est ravi que j'aille si bien, Yves pense, en lui même, qu'une bonne dose de drogue euphorisante a du me faire ce bien fou ! Je sais ce qu'il pense, car nous avons souvent le même cerveau ! Mais je m'en fous, je suis en pleine forme et attaque très vite ma 3ème coupe de champagne !

    Antonio nous fait l'honneur de venir à notre table. Il accepte avec plaisir une coupe de "son" champagne et m'embrasse sur les deux joues en m'assurant : "que je suis la soumise la plus excitante que son établissement ait reçu depuis son ouverture !"

    Je rougis de ce beau compliment, il me remet un DVD de mes exploits sexuels tout en m'expliquant que : "ses cameramen n'ont eu aucun mal à me suivre, tellement tout mon corps était photogénique et bandant, et ils m'ont même filmée quand j'étais aux soins et à la toilette, c'est la première fois qu'ils me font cette surprise"

    Je rougis un peu, car, mes Maîtres découvriront une scène assez torride dans la douche, mais ça fait partie du jeu.

    Nous nous levons tous pour nous séparer, mais Antonio nous rappelle que nous n'avons pas soulevé le couvercle de notre "boîte aux plaisirs" ! Yves et José se concertent, et finalement c'est José qui ouvre la boîte, qui est vide !

    "Ah, ton spectacle a plu, Loré, mais tu n'as pas fait recette !"

    "Bah, pas grave vous avez tous bien bandé et c'est çà qui compte !"

    Antonio rit et explique la petite blague :

    "Oh, non, bien au contraire : Javier qui a dirigé toute la longue séance est mon meilleur client, à qui j'avais recommandé de te prendre en main, chère Loré, et il faut reconnaître qu'il l'a fait d'une très belle manière "

    "Quand Yves et José sont revenus à votre table et que Loré est allée aux soins, il a demandé à me voir et m'a remis les récompenses de Loré : soit 160€ pour les coups, car 2 clients ont donné 50€ au lieu de 20, 400€ pour les sodomies, car 3 clients ont donné 100€ à la place des 50€ demandés"

    "Javier, quant à lui, très heureux d'avoir eu le privilège de jouer avec toi t'a laissé un billet de 500€, quant à mon modeste établissement, il te verse 2.000€ qui représentent le plaisir que tu lui a apporté durant 1h30, mais aussi..."

    "Le 5ème de ce qu'il est prêt à te donner, si tu viens quand tu le veux, pour 4 ou 5 heures chez nous, soit 10.000€, avec toutefois, une clause importante : de me prévenir au moins 2 jours à l'avance pour que j'ai le temps de "mailler" à tous mes bons clients que nous allons avoir une Guest-star française exceptionnelle !"

    La liasse est conséquente et enroulée par un élastique, très "mafiosi" ! Il me la tend, mais je lui dit de la donner à Yves ! Et, en le regardant droit dans les yeux je lui dit : "Pour te remercier, Antonio, j'aimerais et j'insisterais auprès de mon Maître, pour qu'il m'ordonne d'être ta pute pendant une heure dans un endroit où ne serions que tous les deux et sans caméra. Pour pouvoir garder ce souvenir, bien au chaud, dans nos deux mémoires !"

    Il me sourit en m'assurant qu'il en frémit d'impatience !

    Nous éclatons tous de rire.
    Il nous guide vers la sortie.

    Javier, qui nous guettait, vient me remercier et me donne un énorme baiser sur la bouche en me murmurant "Hasta luego querida putita de mi corazon" (A très bientôt, chère petite pute de mon coeur).

    Je vois Yves glisser un gros billet dans la main de Pablito qui n'est pas prêt de nous oublier, et après avoir "le boss", nous quittons cet établissement si accueillant où nous avons dorénavant notre place, et, surtout moi : pour gagner en 5 heures presque 3 fois de plus qu'en un mois de travail !

    Et, nous allons continuer notre weekend de plaisirS !

    Suite dans le tome 11

     




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