• Agnès 5

    "Agnès" Tome 5

     

    Auteur : Anonyme / Adaptation-Réécriture : Agnès et Loré

     

    "Hum, Paul, je ne vais pas te surprendre en te disant que je suis morte de trouille, tu ne voudrais pas passer en auto devant le groupe ?

     

    "Pour que je puisse voir comment elles sont habillées ou déshabillées et, si possible engager un dialogue avec elles pour que tu cautionnes bien ce fantasme de prostitution sans baiser qui me paraît assez confus, surtout dans ma bouche de novice !"

    "Ok, je ne considère pas que ce soit du minaudage, et, si ça doit te rassurer, allons-y"

    Il continue de rouler et arrive au carrefour où il s'arrête devant le groupe et descend nos deux vitres.

    Les cinq jeunes femmes s'approchent de nous, en se scindant en deux : l'une d'entre elle rit et lui dit :

    "Eh jeune homme ! Pour échanger ta beauté tu te trompes de quartier, la prochaine fois vient avec une vraie pute du centre de Lyon !" Paul rit pendant que je regarde les filles : mini-jupes ou shorts cuir de rigueur, au moins trois n'ont pas de culottes, toutes sont nichons nus et les exposent sans complexe ni gêne, elles sont fraîches, rieuses et enjouées, il est vrai qu'on se croirait plus à un entre cours à la fac qu'en présence de prostituées !

    Paul me glisse à l'oreille : "Tu as vu, mon coeur, tu ne choqueras personne avec ta tenue, ces filles en montrent plus que toi et n'en sont pas honteuses"

    "Je vais essayer de leur expliquer ce que nous voulons et peut être de leur proposer de nous aider !"

    Un peu affolée, je rétorque :

    "De nous aider, mais que comptes-tu leur dire ?"

    "Ne te fais pas de souci, ces filles sont sympas, tout va bien se passer, je vais leur parler directement, je descends, reste dans l'auto et ne réagis pas s'il te plaît !" "Ok !"

    "Il faut que je vous explique pourquoi nous sommes là : je ne cherche aucun échange, ma jeune femme, qui est libérée et très curieuse est en pleine exploration des différentes formes de l'amour. Après un CD que vous connaissez peut être : "La Dérobade" avec Miou Miou, elle a découvert ce monde inconnu pour elle et m'a simplement demandé si je pouvais lui organiser un scénario de prostitution. Connaissant "La forêt", j'ai pensé que c'était ici et dans ce quartier qu'elle serait le mieux accueillie !"

    Les filles éclatent de rire : "Ah, vous êtes choux tous les deux ! Et vous vous imaginiez que vous étiez les seuls à monter ce genre de plan ? Nous venons ici depuis trois, voire quatre ans pour certaines d'entre nous, et chaque pleine lune, nous faisons des paris pour savoir combien de couples de votre espèce nous allons rencontrer ! Le seul problème est que si la nana est super canon, comme ta femme ! Elle nous pique quelques clients !"

    Paul la rassure de suite : "Rassurez vous, avec Yvelines, vous ne risquez rien"

    "Elle veut frissonner d'être considérée comme une marchandise à louer, mais je serai le seul à la baiser même devant des voyeurs qui auront le droit de mater"

    "Je suppose que vous avez un coin pour faire ça au calme ?"

    "Ah, ok ! Fantasme de prostituée, donc pelotage, caresses et doigts indiscrets, pinçons un peu douloureux et dialogue très hard avec le client potentiel et confidences intimes qui les font bander dur !"

    "Et, en plus une exhibition de couple entre ta femme et toi ! Nous avons bien sur le lieu, mais il faut aussi nous promettre que vous jouerez tous les deux le jeu : elle en jouissant sans faire semblant, attention : vous êtes ici chez des spécialistes de la simulation, n'est ce pas les filles ?"

    Elles hurlent toutes en éclatant de rire, et la contagion nous gagne tous les deux ce qui détend encore plus l’atmosphère !

    "Et je finis : pas d'orifices épargnés, et bien sur elle doit être à poil, ma chérie tu veux avoir les yeux bandés pour qu'on ne te reconnaisse pas ?"

    Très troublée, je réponds en balbutiant : "Je serai comme il le voudra" "Très bien, tu es une jeune femme très sage, il faut toujours obéir à un mari mais jamais à un mac ! Retiens bien cette leçon pour ne pas foutre ta vie en l'air, ma chérie !"

    Paul doit intervenir : "Hum, j'ai repéré une belle place pour l'auto, proche de vous, avec une vue sur toute "l'étoile", je préfère aller m'y garer et vous laisser Yvelines qui viendra me dire ce que vous avez décidé, et surtout à quelle heure je dois intervenir, ok ?"

    "Ca roule, tu viens ma chérie ? Yvelines ? C'est vraiment un prénom superbe et peu courant !"

    Je me tourne vers Paul, tout mon corps tremble, une énorme émotion étreint ma gorge. Je veux lui poser une question mais il y répond avant : "Pour la veste ? C'est non ! Tu as vu comme elles sont dénudées ?"Je n'ose pas ouvrir la portière.

    La honte me paralyse, et pourtant, il ne s'agit que de me montrer offerte à des femmes ! Que va-t-il se passer quand des hommes vont m'accoster ?

    Paul m'embrasse tendrement dans le cou, il tire la poignée de la portière qui s'entrouvre. Et m'encourage une dernière fois :

    "Tu es si belle et tellement désirable que j'ai une envie folle de te croquer. Je sais que tu rêves de t'offrir à moi comme une catin, et cette catin, je l'aime à la folie. Ne nous fait pas attendre, ces filles ont besoin de travailler et tu meurs d'envie de les rejoindre autant que moi je crève d'envie de te faire jouir devant TES spectateurs : allez descends, mon oiseau des îles !"

    Ces propos forcés et l'urgence de prendre ma décision viennent à bout de ma résistance négative. Je me retrouve une nouvelle fois dans mon dilemme permanent : je ne comprends pas pourquoi je lui cède toujours aussi facilement. Je suis vraiment folle, oui, folle de lui mais quelle douce folie si excitante.

    Je me jure en moi même que ce sera mon dernier minaudage comme Paul l'a appelé ! Dorénavant, je m'assumerai comme une vraie femme avec ses vrais fantasmes et sa vraie envie de les réaliser ! Je descends de la voiture, les jeunes femmes qui étaient de mon côté ne peuvent plus ignorer que je ne porte pas de culotte ! Et nous repartons vers le groupe de filles du carrefour où deux de plus sont arrivées entre temps, ce qui fait que nous sommes huit avec moi.

    Ma tête bourdonne un peu. Mes escarpins à talons hauts ne sont pas les chaussures de marche idéales pour la forêt ! L'air frais s'engouffre sous ma mini-jupe et caresse mes fesses frémissantes et ma chatte un peu trop humide.

    Je me retourne pour voir ce que fait Paul : il s'est garé là où il me l'avait promis et a allumé ses veilleuses et curieusement de le savoir si proche me rend plus forte.

    Deux hommes nous croisent, ils me dénudent du regard et me sifflent ! Je suis gênée par cet "hommage", mais encore plus par l'émotion secrète qui me traverse.

    Nous rejoignons les autres jeunes femmes, à part une qui est un peu grassouillette, toutes sont mignonnettes et sans être gouine ni avoir essayé de l'être, certaines m'attirent réellement, et des regards appuyés sur le bas de ma jupe ou sur mon exposition de nichons me laissent à penser que c'est parfois réciproque !

    La fille qui me présente comme Yvelines me précise qu'ici, tout le monde s'appelle "ma chérie", car ce serait trop fastidieux d'apprendre tous les prénoms des lyonnaises qui défilent aussi bien dans ce quartier que sur ce carrefour "de l'étoile" assez réputé pour la bonne ambiance et la "qualité du bétail" !

    Ce qui les fait toutes rire !

    Mais celle qui semble être la leader dit à tout le monde : "Nous avons un plan à monter : notre nouvelle chérie qui est à croquer ne va pas nous piquer de clients, car elle joue le fantasme de "la pute" avec son mari qui, par contre la baisera pour de vrai dans notre coin "avec public" habituel.

    "Il n'est pas contre un bon public de voyeurs, et sa nana à poil mérite assurément le déplacement. Comment pourrions nous augmenter nos recettes pour profiter de ce double événement ?"

    "Réaliser son fantasme, à elle, est simple : elle veut jouer la pute qui se fait aborder et humilier par des clients, vous pouvez lui envoyer des amis à vous pour "faire connaissance" avec elle, en sachant que l'une d'entre nous devra lui expliquer ce que ça signifie. Mais, prévenez bien ces amis qu'elle ne fera rien de sexuel avec eux ! Et profitez-en pour les inviter à son exhibition à se faire niquer à fond par un client exigeant ! Qu'en pensez-vous ? Avez vous d'autres idées ?"

    "Dis moi, ma chérie, nous ne sommes pas obligées de dire que son client est son mari ?" "Très vrai, bravo ! Si nous gardons bien le secret, ils la prendront pour une vraie pute qui se fait réellement baiser par un client soit pour réaliser un fantasme soit pour un pari ! Ils le verront la payer et ils la verront se mettre à poil !"

    "Ca devrait les démonter, et si on proposait des prix spéciaux de branlettes ou de pipes rapides, nous pourrions les aider à s'envoyer en l'air pour pas grand chose devant un spectacle qui serait très cher s'il était payant !"

    Une autre voix résonne : "Dites moi, si nous annoncions à tous nos clients qu'à trois heures du mat, donc dans environ une heure et demie, nous savons que cette ravissante occasionnelle a fait le pari de se faire sauter par un client exigeant et vicieux dans une longue séance où tous les voyeurs seront les bienvenus gratuitement, nous risquons d'avoir pas mal de monde."

    "Vous savez, tout comme moi, à quelle vitesse se propagent les nouvelles dans cette forêt. Et comme tu le disais, ma chérie, nous pourrions annoncer des coups rapides à petits prix ? Pendant que notre canon du jour s'exhibe et se fait défoncer tous les trous par son satyre de service. J'ai tout bien résumé ?"

    La réponse ressemble à une manifestation de contentement ! Des "Extra !" Des "Super !" Des "Quelle bonne idée !" fusent de partout. Mais aussi des : "Qu'est ce qu'on peut leur proposer comme prix attractifs ?"

    "Les mecs vont bander comme des ânes, il faut en profiter ! Moi je ferai la branlette à vingt et la pipe à trente-cinq !"

    "Nooon ce sont quasiment nos tarifs, il ne faut pas taper si cher : moi je suis plus pour dix ou quinze la branlette et vingt ou vingt-cinq la pipe, mais attention de ne pas les décevoir, il faut leur préciser que ce seront des "passes rapides"

    "Moi je suis d'accord, mais je rajouterai 5€ pour que l'on branle ou qu'on suce nichons à l'air, ça plait aux mecs et ça peut en faire bander d'autres, et ce soir la température le permet et je n'aurai pas grand chose à enlever !"

    Toutes les filles rient. "Alors on résume avant de voter ?" Toutes crient "Ouuuuuuuuuuuuuuuuuuui !" "Bon allez on va voter point par point, à propos du fantasme d'Yvelines, si vous devez prendre un petit billet à un copain pour qu'il profite d'elle, disons entre cinq et dix minutes, ne soyez pas trop exigeantes, et c'est chacune qui fera comme elle le voudra avec l'accord d'Yvelines, c'est clair ?" "Ouuuuuuuuuuuui"

    "En ce qui concerne le show, on peut le programmer à trois heures du mat et faire payer les prix suivants : dix pour une branlette rapide et vingt pour une pipe express, avec cinq de plus pour faire ça seins nus et pelotables"

    Bien résumé ? Si on enlève Yvelines nous sommes 7 à voter, allez-y votez mes chéries !" Six mains se lèvent, les prix et l'heure du rendez-vous sont donc acceptés. Celle qui a voté non, décide finalement de faire comme les autres.

    Les jeunes femmes rejoignent dans un joyeux concert de rires leur petit coin de forêt pour pouvoir négocier tranquillement avec leurs futurs clients.

    Une seule se rapproche de moi :

    "Je m'appelle Anne, tu es très jolie et tu as un prénom ravissant, je me rappelle ma première fois avec des copines, il y a déjà deux ans, j'étais paralysée par la peur, et je suppose que tu dois être dans le même état, même si ton chéri n'est pas loin. C'est bien lui qui est dans la grosse allemande qui a ses lanternes allumées ?"

    "Oui, Anne, tu as raison pour tout : je suis morte de honte, morte de trouille et c'est bien mon mari qui est dans l'auto prêt à bondir au moindre problème, tu es très gentille de venir me rassurer, mais je dois aller lui dire ce que vous venez de décider de faire et surtout l'heure à laquelle il doit venir m'aborder, à moins..."

    "... à moins que je ne vienne avec toi, mais bien sur Yvelines ! Je te suis et je resterai avec toi en attendant ton rendez-vous si excitant, tu peux arrêter de trembler entre nous deux tu ne risques rien !"

    Nous allons côté conducteur, Paul descend sa vitre et allume le plafonnier : "Paul, voici Anne, elle restera avec moi, car elle aussi a mal vécu sa première fois"

    "Merci, Anne, c'est très gentil à vous ! Vous devez savoir combien il est parfois dur de réaliser un fantasme !"

    "Oh, oui, Monsieur, mais quand il se réalise parfaitement bien, c'est si bon ! Qu'il ne faut surtout pas s'en priver !"

    Je raconte à Paul ce qu'ont décidé les filles et il éclate de rire en assurant que s'il a besoin de conseils de marketing, il saura où s'adresser ! "Merci encore Anne, mais vous devriez retourner vers les autres, chacune d'entre vous a un travail à faire !"

    "Hélas, oui, à une autre fois peut être, Monsieur"

    J'embrasse mon chéri et passe devant, je ne réalise pas qu'il l'a retenue par le bras pour lui dire quelque chose que je n'entends pas. Elle me rejoint en marchant rapidement et me dit :

    "Ton mari est beau comme un Dieu ! Oh je suis jalouse de toi, Yvelines ! En plus il a deviné que je faisais des études supérieures, car il m'a demandé discrètement où j'en étais et je lui ai répondu la vérité : dans un an j'aurai mon Diplôme d'Ingénieur de l'Ecole Centrale de Lyon"

    "Donc, dans un an, j'aurai ce prestigieux diplôme et je coucherai avec qui je voudrai, quand je le voudrai et comment je le voudrai !" "Tu me fais rire, Anne, j'adore ton caractère, mais je me demande comment tu fais pour avoir un moral aussi joyeux en étant obligée de faire l'amour avec des hommes que tu ne connais pas"

    Nous arrivons dans son coin habituel, où elle me répond :

    "Ne sois pas affligée pour moi, je considère que faire la pute est un CDI qui me permet d'avoir un super diplôme et donc un superbe avenir sans souci. Ouvrir les cuisses par obligation pendant 4 ans pour se réserver le droit de les ouvrir à qui je veux pendant 70 ans est un choix facile à faire, en plus mon statut de non professionnelle me préserve des vicieux et des pervers et m'autorise à dire non à quelqu'un qui ne me plait pas"

    "Et pour finir, je dois t'avouer que j'ai parfois du mal à encaisser le prix d'une passe de la part de certains clients qui sont devenus au fil des ans et des mois de vrais amis avec qui je peux très bien aller dîner et me coucher seule, nous sommes loin d'un roman de Zola ma douce Yvelines !"

    "Oui, tu as sans doute raison, mais l'homme que tu viens de voir est mon premier, il m'a dépucelée, et depuis plus d'un an nous vivons ensemble. Peut être imprudemment, je lui ai demandé de tout m'apprendre sur l'amour quel qu'il soit, normal donc le sexe pur, ou autre en pensant à la prostitution, au bdsm, à la pornographie ou au lesbianisme et, depuis je suis une étudiante très assidue et j'apprends, je découvre, je réalise des rêves et des fantasmes et j'ai l'impression que chaque mois je mue dans l'enveloppe charnelle d'un nouveau personnage !"

    "C'est un beau rêve que tu me racontes, dans un an, je ne te jalouserai plus et peut être pourrons-nous devenir amies"

    "Car pour le moment me présenter en disant "Je vous présente Anne, une amie très chère qui fait le tapin dans "La forêt des étangs" ! Me semblerait étrange !"

    Je la laisse car un de ses habitués vient la saluer.

    Je saurai quelques heures plus tard que Paul a en fait demandé à Anne de s'arranger pour que je sois draguée par des hommes aux mains baladeuses et à la curiosité très mal placée, et qu'elle lui avait répondu : "Ok, qu'elle se sente une marchandise, pigé, vous pouvez compter sur moi !"

    Je suis un peu surprise car elle vient vers moi avec son client et lui dit : "Voilà une nouvelle amie et c'est sa première fois. Ma chérie, je te présente un client fidèle qui ne manque jamais une pleine lune, il s'appelle Christian et il est adorable, je suis sure que si tu reviens tu sauras lui donner tous les plaisirs qu'il aime ! Mais pour que vous fassiez plus ample connaissance, je vous laisse !"

    Et elle repart dans son coin. J'ai les yeux braqués sur mes escarpins et j'ai peur d'être rouge comme un "tomatier complet" !

    Il ouvre légèrement mon boléro : "Hum, ma chérie, je ne sais pas si je préfère tes beaux nibards ou tes bouts de mamelles bien bandés ! Tu as de la chance d'avoir des tétons comme ça, ça ne te dérange pas si je les teste un peu ?"

    Et, sans attendre ma réponse, il pose ses deux mains sur mes nichons et les pétrit avant de s'intéresser uniquement aux tétons qu'il pince et étire jusqu'à m'arracher un petit gémissement.

    "Hum je vois que je viens de trouver une belle zone érogène ! Dis moi ma chérie, tu peux t'envoyer en l'air rien qu'en te faisant branler les bouts ?"

    "Oooh Monsieur, vous me gênez !"

    "Je gêne une pute ? Tu veux rire je suppose ! Est ce que tu peux oui ou non t'envoyer en l'air si on te branle tes putains de bouts de mamelles de pute ?"

    "Oooooh, pitié, Monsieur, oui, je peux jouir comme ça mais c'est assez long, en général"

    "Et en particulier, c'est quand ta connasse ruisselle et là tu jouis des nichons comme une fusée ! C'est ça salope ?"

    "Oooh oui Monsieur, vous avez raison !"

    "Dis moi la sainte nitouche ! Depuis que tu es installée sur l'espace d'Anne, comment va ta petite fontaine de jouvence ?"

    Je comprends son allusion et recule brutalement les fesses qui cognent contre une branche basse !

    Il rit et passe sa main sous ma jupette, trouvant avec surprise un accès direct à ma chatte trempée. A ma grande honte, il a passé en premier sa main sur le haut de mes cuisses et c'est là qu'il s'est mouillé la main : mon jus coule donc à flot sur le haut de mes cuisses ! L'homme sourit, mais son rictus ne me plait pas, il enfonce brutalement son pouce dans mon con et ouvre grand sa main pour pouvoir me doigter le cul de deux phalanges en se penchant sur moi pour me dire à l'oreille :

    "Ne cries pas, ne gémis pas, laisses toi faire et surtout n'appelles pas Anne ! Je reviendrai plus tard, mais ce sera pour t'enculer à poil et te remplir ton trou à merde de foutre, sans capote et avec l'obligation de me nettoyer la pine sale de tes intestins de truie !"

    "A plus tard et prépare toi bien l'anus, il va vite être défoncé, tu peux demander à Anne elle sait que je suis monté comme un âne !"

    Et il ressort sa main d'entre mes cuisses, l'essuie sur mes seins, va embrasser Anne et s'en va sans un regard vers moi.

    Anne me rejoint, mais ne me pose aucune question sur Christian. Un client drague Anne qui accepte, en passant près de moi, elle me dit : "Je ne suis pas loin et je n'en n'ai pas pour longtemps, n'ait pas peur" et ils partent tous les deux dans un coin, en effet peu éloigné de l'endroit où je me trouve. J'ai un peu peur d'être seule, mais heureusement le carrefour semble être devenu désert depuis quelques minutes.

    Une des filles, désœuvrée, vient me demander si tout va bien. "Oui, Anne m'a prise sous son aile, et je me sens bien protégée : elle est avec un ami mais elle revient de suite" "Anne est adorable, ça ne m'étonne pas qu'elle te cocoone un peu, elle a un assez mauvais souvenir de sa première fois dans cette forêt !"

    "Alors, dis-moi, jolie Yvelines, tu as eu droit à ton pervers, qui repassera plus tard, après t'avoir peloté tout le corps et doigté tout ce qu'il pouvait te doigter ?"

    "Oooooh, oui, il est passé, et j'ai eu droit à une fouille complète et en règle !" "Alors, adorable petite fantasmeuse, comment as-tu réagi en te laissant peloter obscènement par un vicieux qui t'insultait en te palpant, en te branlant les bouts de nichons et le clito qu'il n'arrivait pas à trouver ? A deux doigts de vomir ? Ou à deux doigts de t'envoyer en l'air ?"

    Je ne m'attendais vraiment pas à cette question, et je me suis sentie horriblement honteuse, mais je crois que ma rougeur de coquelicot a répondu pour moi !

    "Ne sois pas cruelle avec toi, ma chérie, et épargne moi ta réponse, je la connais ! Tu es venue réaliser un fantasme, et tu vas au bout de ton idée, si l'humiliation que tu viens de subir t'a amenée au bord de l'orgasme, c'est une très bonne nouvelle, mais tu devrais dire à ton homme que tu es mure pour la soumission ! Crois-en ma courte mais intéressante carrière de catin ! Tiens demande à Anne elle te répondra la même chose !"

    "Ah, ça bouge dans mon coin, à tout à l'heure pour ton show que toute la forêt attend !" Anne revient et me dit : "Pas de frayeur en mon absence ? Je vois qu'Annabelle est venue papoter avec toi, elle est adorable et nous nous aimons beaucoup ! Qu'est-ce qu'elle t'a donné comme bon conseil ? Si je ne suis pas indiscrète !"

    "Bien sur que non, Anne, elle m'a demandé si j'avais eu droit au pervers qui testait toutes les nouvelles en les pelotant, en mettant ses mains et ses doigts partout tout en nous insultant, et quand je lui ai répondu que oui, avec Christian, elle m'a demandé si j'avais été à deux doigts de vomir ou de jouir ?"

    "Ca ne m'étonne pas d'elle ! Elle n'a pas sa langue dans sa poche ! Alors Christian t'a fait le coup ? Quel salaud, je vais lui montrer ce que c'est que de se moquer d'une amie ! Je suis désolée, ma chérie, je voulais juste que tu apprennes un peu à parler à un client.

    "Pas grave, Anne, mais je peux te demander quelque chose ?" "Bien sur, ma chérie dis moi !"

    "Annabelle m'a dit que si l'humiliation subie de la part de ce pervers m'avait presque fait jouir, je devrais dire à mon homme que je ferai une excellente soumise. J'avoue ne pas avoir tout compris, et elle m'a même conseillé de te demander ton avis !"

    "C'est simple et compliqué, mais je vais faire bref, car tu as l'air de piger très vite ! Tu es ici pour concrétiser un de tes fantasmes : la prostitution, or ce fantasme est double !"

    "Le premier qui pourra te troubler est de louer ton corps contre de l'argent à une ou plusieurs personnes qui vont faire ce qui est convenu avec toi, c'est le classique "j'aimerais faire la putain""

    "Le deuxième aspect de ce fantasme est plus pervers : en réalisant ce rêve de pute, surtout chez les non professionnelles, tu devras te présenter comme une femme objet : donc te laisser mater, peloter, branler et parfois même dénuder partiellement, pour que l'homme juge ton corps baisable ou enculable selon son envie !"

    "Voilà pour l'aspect physique de la femme objet mais après vient l'intellect, car, si ton corps a été approuvé, tu dois convaincre ton futur client que tu n'es pas qu'un réservoir à foutre et que tu sais faire bander un mec avec des mots : donc répondre à toutes ses questions sans hésiter, livrer tes pensées intimes même si elles sont fausses uniquement pour qu'il soit excité et qu'il ait envie de te tirer !"

    "Voilà, ma chérie ce que je peux te répondre et il est vrai que dans les fantasmes de pute : louer son corps n'a rien de bdsm, à moins que ce ne soit pour une cession de soumission, mais là nous changeons de sujet"

    "Par contre, jouer la femme objet pour être l'heureuse élue à recevoir le foutre et les billets de banque du client flirte beaucoup avec la soumission, et dans notre milieu, les filles qui mouillent en se vendant, en se laissant faire ou en entendant : "Tu prends combien" sont cataloguées comme des soumises ou des futures soumises."

    "Car, contrairement à ce qu'une majorité de personnes pense, ce caractère très intime n'est pas inné, il doit être révélé par un homme ou une femme très proche de toi, et vu ce que tu m'as rapidement raconté de ta vie sexuelle, tu es pile dans ce cas de figure : tu es en train de t'éveiller au masochisme, et ton homme sera ton mari mais aussi ton Maître"

    "Et comme tu m'as dit avoir envie de concrétiser tous les fantasmes du bdsm avec lui, il te faudra simplement construire tes remparts avec ce qu'on appelle les tabous, ou les "murs infranchissables du bdsm" !"

    "Ouah ! Pourquoi n'as-tu pas fait des études de psycho ? Tu aurais été la reine incontestée des diagnostics sexuels !"

    "Je construirai des barrages en Afrique et des ports en Chine ! J'espère que l'un de mes ouvrages portera mon nom !"

    "Ah, on dirait un client, mais je ne le connais pas, séparons nous d'un mètre pour lui laisser le temps de choisir"

    Nous nous écartons discrètement.

    L'homme, jeune, à la silhouette avenante s'arrête au milieu du carrefour pour observer "l'offre humaine" qui attend sa décision et son argent.

    Il semble avoir un déclic en nous voyant et se dirige vers nous.

    Il s'adresse à moi : "Bonjour, jeune femme, vous êtes très belle et très excitante, êtes-vous nouvelle ici ?" "Oui, Monsieur, c'est mon premier jour" "Ah, dans ce cas, je suppose que votre amie s'appelle Anne ?"

    Très surprise, je lui réponds en bégayant un peu : "Je ne connais pas son prénom, Monsieur, je suis désolée" Il sourit et aborde Anne "Bonsoir, Anne, le jeune homme qui est dans la voiture garée à deux cents mètres a besoin de vous voir, je tiens compagnie à votre amie, Yvelines, rassurez-vous, et il ne vous retiendra pas longtemps"

    "Ma chérie, je dois aller à l'auto, Monsieur va rester avec toi, ne te fais pas de souci, je vais voir ce qu'il veut et reviens de suite"

    Elle prend la direction de l'auto de Paul pendant que l'homme décidément très mystérieux revient vers moi :

    "Ooooh pauvre demoiselle, c'est donc votre premier soir, et, si par pur hasard nous passions un accord, aurais-je la joie d'être votre premier client ?"

    "Oui en effet, Monsieur, bien que je sois déjà engagée dans un rendez vous un peu plus officiel"

    "Nous pourrions faire vite, ce qui serait dommage, et profiter de cette inauguration, pour vous permettre de concilier les deux engagements, qu'en pensez-vous jeune dame ?"

    "Je pense que la réponse à cette proposition va nous être donnée par ma collègue qui revient vers nous"

    "Et vous ne saviez pas qu'elle s'appelait Anne ?"

    "Non, Monsieur, ici, toutes les filles s'appellent "ma chérie" pour simplifier les contacts"

    "Ah, je vois, c'est un monde que je connais peu"

    Anne revient et s'excuse auprès de l'homme en lui disant : "Je suis désolée, je dois parler à ma collègue". Elle me prend par le bras et me conduit hors d'écoute de l'homme.

    "Puisque Paul m'a donné vos prénoms, je suis enchantée de te rencontrer ma chère Agnès ! Mais j'aimais beaucoup Yvelines, et Paul te conseille même de garder ce pseudo pour cette forêt !"

    "A part ça, il m'a demandé de te rapporter ta veste en cuir et m'a fait promettre de te faire deux gros bisous sur les joues en étant bien vues de l'auto pour qu'il puisse nous répondre avec ses clignotants : tu veux qu'on le fasse de suite ?"

    "Oui, ce n'est pas bien compliqué, mais il ne va pas en rester là !" "Allez calme toi, pour l'instant c'est mignon : deux copines qui se bisent les joues, c'est presque romantique !"

    Je ris, nous changeons de position pour être bien en face de l'auto, et elle me smacke les deux joues ! Nous regardons l'auto et Paul déclenche une seule fois son warning, ce qui donne un gauche droite ! Bien joué !

    Je suis un peu remuée par ces deux bises pourtant bien chastes, mais depuis que nous sommes arrivés dans cette forêt, il s'est passé tellement d’événements que ma moule n'a pas eu trop le temps ni de sécher ni de se refermer un peu !

    "Alors, où en étions nous ?" "Ma veste, les deux bisous, nous en sommes aux services à lui rendre"

    "Exact, mais je dois aussi te dire, puisque maintenant je connais vos prénoms, que je m'appelle Jocelyne, mais tous mes intimes m'appellent Jok ! Je te laisse deviner pourquoi ?"

    "Si tu veux : sans trop réfléchir, je dirais que c'est peut être le début de Joker ou de Joke. Mais comme je pense que tu aimes t'amuser et plaisanter, je mise sur le jeu de mot avec la joke anglaise !" "Bravo, bien raisonné, décidément tu as un beau Q mais aussi un beau QI !"

    "Bon, revenons à nos moutons, dis moi ce que Paul te voulait ? Et surtout pourquoi il t'a demandé de venir et pas à moi ?"

    "Vous êtes un couple pas très simple ! Mais vous me plaisez tous les deux ! Je vais tout te dire, ok ?" "Entendu, je t'écoute !"

    "Tu es ici car Paul t'a juré qu'aucun autre homme ne te toucherait, je ne me trompe pas ?" "Non, c'est exact"

    "Tout en respectant sa promesse, il te demande de faire quelques petites choses inhabituelles qui devraient beaucoup t'exciter :"

    "Il sera trois heures dans moins de quarante minutes, il veut qu'à son arrivée tu sois surexcitée ! Tu comprends ?"

    "Oui, très bien, il veut que je sois dans mon monde irréel quand il va venir me baiser et m'exhiber très intimement devant des tas d'inconnus. Mais il sait que pour arriver à ce degré d'excitation j'ai besoin d'émotions très fortes, inattendues et qu'en seulement quarante minutes, je n'ai aucune chance d'y arriver !"

    "Il a peut être trouvé des solutions qui semblent tenir sur quelques feuille de calepin !"

    Elle me tend le premier message et me précise que je n'aurai le deuxième qu'après l'acceptation du premier et idem pour le troisième après acceptation du deuxième.

    Je m'isole et lis ce qu'il m'écrit :

    "Dans un peu plus d'une demi-heure, je veux que tu sois surexcitée, et voilà ce que je te demande de faire : vous allez, Jok et toi être de nouveau draguées par Henri, l'inconnu qui vous connait bien, je veux que Jok accepte l'enveloppe qu'il lui donnera et qu'elle le conduise dans le coin où elle fait ses passes"

    "Sur place, éclaire ce coin avec les deux lampes puissantes qui sont dans les poches de ta veste, pour que la "scène" soit bien visible"

    "Jok et toi, mettez vous mutuellement à poil en vous pelotant et en vous léchant toutes les parties de corps que vous vous dénuderez devant Henri"

    "Demande à Jok le deuxième message"

    "Quand vous serez toutes les deux à poil, tu t'accroupiras dans l'herbe bien éclairée, et tu pisseras devant Henri pendant que Jok le branlera pour le mettre en forme, puis tu te coucheras dans l'herbe et pointeras le petit vibro, que tu trouveras dans ta veste, sur ton clito en le mettant sur sa vitesse maximum, tu t'enverras en l'air le plus vite et le plus bruyamment possible : je veux t'entendre depuis l'auto"

    "Demande à Jok le troisième message"

    "Quand tu auras joui, il devrait te rester une vingtaine de minutes, rhabille toi : bas, p.j., soutif, jupe et talons. La veste viendra après. Henri sera en train de tringler ou d'enculer ta copine à poil. Dès que tu seras rhabillée, joins toi au couple et embrasse, caresse, pelote, lèche et suce tout ce que tu peux du corps de Jok : je veux que tu goûtes à ses orteils, à son trou du cul, à son urine, à sa salive, à ses aisselles et que tu lui gouines le clito pour la faire crier"

    "Demande à Jok le quatrième message" "Quand Henri jouira en elle, tu te chargeras de lécher ce qu'Henri lui aura défoncé, aspire très fort et avale tout soigneusement, et cinq minutes avant mon arrivée, fais jurer à Jok qu'elle accepte de t'initier à obéir à une Maîtresse sado, pour "tes 20 ans intimes""

    "MAIS, uniquement si cette suggestion te semble être une bonne idée : si tu refuses, ne te fait aucun souci, Jok ne sera pas lésée et nous la remplacerons facilement"

    "Pour ne pas qu'il y ait de quiproquos entre nous trois, quand tu auras fini de lire ce dernier message, donne lui les quatre pour qu'elle sache ce que je t'ai demandé. Et qu'elle accepte ou non la dernière proposition, rejoins ton coin où je viendrai te louer !"

    "Tu peux donner tous les messages à Jok, à tout de suite ma catin adorée !"

    Je savais que Paul me préparait quelque chose de très pervers, mais c'était si excitant que j'en perdais tous mes moyens rien que d'y penser et d'imaginer leurs réalisations !

    "Et, bien sur, en homme prudent, il respectait à la lettre les limites de sa promesse : "Aucun autre homme ne me touchera ou ne me pénétrera", mais un dénommé Henri me verra accroupie à poil en train de pisser comme une salope sans pudeur et quand il baisera ou enculera mon amie Jok, il sera aux premières loges pour me voir gouiner celle qu'il est en train troncher à côté de moi !"

    "Quant à la suite, je me fais plus un plaisir qu'une punition de gouiner Jok, car j'en ai envie depuis que je l'ai vue ! Et quant à savoir si elle sera ma Maîtresse enseignante, j'ai une parade contre laquelle Paul ne pourra rien !

    Etant déjà habillée, je suis la première à revenir dans le coin de Jok. Paul a presque gagné son pari car entre le voyeurisme d'Henri, la saveur de la peau et des jus de femme de Jok, l'orgasme fabuleux que m'a procuré le petit vibro haute technologie que toute la forêt a du entendre, je suis dans un état lamentable, et, chose assez rare, je sens ma mouille couler le long de l'intérieur de mes cuisses pour disparaître dans les bas !

    Jok me rejoint, elle aussi a le visage fatigué mais un sourire radieux éclaire son beau visage, elle appuie ses lèvres sur ma bouche et me murmure :

    "Oooooh, Agnès, quels bons moments tu m'as offerts, je ne sais même pas comment m'a baisé l'autre connard, je ne me souviens que de ta bouche, de tes doigts et de ta langue partout sur mon corps ! Hummmm vite, il nous faut recommencer le plus tôt possible !"

    Je n'ai pas le temps de répondre, car des pas résonnent dans les fourrés environnants, il sera trois heures dans cinq minutes.

    Des filles de notre groupe accompagnées d'hommes inconnus sortent des buissons, le tout dans une ambiance très festive !

    Anne s'adresse à tout le monde :

    "Merci d'avoir accepté l'invitation de notre nouvelle amie ici présente, nous attendons l'homme qui va l'aider à accomplir son pari, mes amies ont du vous prévenir que pour des prix dérisoires nous pouvons vous aider, avec nos mains ou nos bouches à mieux jouir du spectacle qui vous sera offert gratuitement. Si vos avez des questions, je vous écoute !"

    D'autres groupes arrivent. Ils doivent être une trentaine pour le moment. Je suis paralysée de peur en voyant cette foule !

    Paul arrive juste à l'heure, il contourne le groupe et revient vers nous, il me sourit et dit à Anne :

    "Tu devrais conduire ces gens là où vous avez décidé de faire le show, nous vous suivrons"

    Elle reprend la parole et dit à tout le monde : "Il va bientôt être l'heure, nous allons sur la "La Clairière de l'Etoile" que vous devez connaître, si, non, suivez moi ! En route mes amis !"

    Quelques retardataires grossissent encore le groupe et Anne me dit avant de me quitter : "Il y a même des filles qui ne sont pas de notre groupe qui nous on rejoint, c'est un succès complet !"

    La procession s'ébranle et Paul me rejoint, il m'embrasse tendrement et me demande : "Alors mon coeur, es-tu en forme ? Bien décontractée et super-excitée ?"

    "Plutôt vexée de m'être fait avoir comme une gamine, sans que tu ne trahisses ta parole, j'ai tout de même du pisser à poil devant un parfait inconnu et gouiner une femme qui aurait pu être une excellente amie ! Mais, tu me voulais super-excitée, eh bien tu vas être heureux, je vais me déchaîner et me conduire comme la pire des salopes ! Si tu veux je te propose même d'organiser une tombola, et d'offrir au gagnant de m'enculer gratuitement devant tout le monde, à une condition : que tu te branles seul et que tu t'envoies en l'air quand l'autre porc se videra les couilles dans mon cul, tu me voulais salope, tu vas être obligé de me calmer !"

    Paul éclate de rire, me met la main au cul et me pousse vers les autres alors que nous arrivons dans cette clairière :

    "C'est parfait, comme ça tu vas t'exécuter sans rechigner et je pourrai te faire faire des pas de géant dans ton éducation de femelle !"

    Les voyeurs ont formé un demi-cercle dans cet espace dégagé et nous n'avons aucun mal à nous placer devant eux.

    Paul leur dit : "Je ne suis pour rien dans cette improvisation et ce spectacle gratuit, il faut que vous remerciez ma courageuse amie qui a parié qu'elle pouvait faire la pute et se faire baiser sans tabous devant tous les voyeurs de la terre !"

    "La voilà donc, prête à s'exécuter, et je la sens motivée pour aller jusqu'au bout, pour répondre à vos questions, Mademoiselle ne portera pas de masque, elle sera très vite totalement à poil et vous pouvez faire toutes les photos dont vous avez envie. Alors ! Très bon spectacle !"

    Il me prend dans ses bras par derrière, me tourne vers les spectateurs, je lui murmure à l'oreille

    "Paul, tu es fou tu vas être sur toutes les photos ?" Il éclate de rire en commençant à ouvrir ma veste de cuir et me répond : "Pas de souci, mon amour, j'ai fait envoyer un drone, tous les portables sont neutralisés pendant deux heures !"

    Je suis abasourdie et ne réalise même pas que je suis face à cette quarantaine de personnes et que Paul finit de m'enlever ma veste, sous les sifflets et les applaudissements !

    Sa main s'insinue sous ma jupe et remonte pour venir flatter mon intimité ! Il se colle contre mon dos et m'embrasse le cou et le bas d'une oreille, zone très sensible chez moi. Je frémis, ferme les yeux et me laisse aller.

    Profitant de ma passivité, il écarte les deux pans de mon boléro et caresse mes seins à pleine main au dessus du soutien-gorge.

    Il s'adresse à un jeune au premier rang :

    "Toi, mon jeune ami qui a sorti ta belle bite pour te branler en matant cette pute, tu veux venir constater et répondre à tous ceux qui se demandent si cette salope a une culotte ? Ou si elle est cul-nu ?"

    Le jeune n'en revient pas, il regarde partout mais les autres en riant lui disent que c'est bien à lui que mon baiseur s'adresse !

    La bite dressée, il se précipite vers nous et passe sa main droite un peu tremblante sous ma jupe, il fouille longuement en profitant de sa gloire éphémère et s'écrie à l'attention de tous :

    "Non seulement elle n'a pas de culotte mais en plus elle a le con dégoulinant de jus, je n'en ai jamais senti autant dans un vagin de femelle !" Paul lui conseille de me donner sa main à lécher pour la nettoyer, et il remonte ma jupe, je tente bien de résister, mais son genou puissant m'oblige à écarter mes cuisses de force.

    Il baisse sa main, et pendant que je nettoie un à un les doigts du jeune, il masse sauvagement ma moule, largement ouverte et obscènement baveuse !

    Mon intimité réagit et mon organisme produit encore plus de cyprine, le haut de mes cuisses est inondé et les lampes dirigées vers nous par l'équipe d'Anne prouvent à tout le monde que ce n'est pas de la simulation !

    Tout mon corps est parcouru de frissons de plaisir qui viennent s'ajouter à ceux occasionnés par la fraîcheur de la nuit à cette heure tardive.

    Un groupe de jeunes débarque dans la clairière, aussitôt briefés par l'équipe d'Anne, qui est vraiment très efficace, malgré mes yeux embués par l'envie et le plaisir"

    "Je suis heureuse de voir que la quasi totalité des jeunes femmes présentes a une bite en main ou dans la bouche, le plan marketing fonctionne donc merveilleusement bien !"

    Contrairement à mes habitudes, au lieu de me sentir honteuse, je me sens presque fière d'être utile à quelque chose !

    Paul dégrafe ma jupe et la fait glisser jusqu'au sol.

    Il la ramasse et dégage mes épaules du boléro qu'il jette avec la jupe sur ma veste déjà au sol.

    Les flashes crépitent, tout le monde a sorti son portable, pourvu que personne ne réalise qu'aucun ne fonctionne !

    Chatte nue encadrée par le porte-jarretelles en cuir et le haut de mes bas, perchée sur mes escarpins rouges de pute, nichons à moitié sortis de mon soutif, je fais en effet une belle image souvenir parfaite pour se branler !

    Les mains de Paul deviennent possessives et autoritaires et mon rythme cardiaque s'accélère.

    Sa main droite s'acharne presque méchamment entre mes jambes et, au moins, quatre de ses doigts fouillent mon ventre.

    Le groupe des jeunes nouvellement arrivés s'approche un peu plus de nous : il y a trois jeunes arabes dont une jolie jeune fille et un noir couleur ébène, à eux quatre, ils ne doivent pas dépasser les quatre vingts ans.

    Comme les autres, ils applaudissent le rythme de branlette effrénée de Paul. Mais ils sifflent très fort et se rapprochent de plus en plus de mon con défoncé !

    Je suis tétanisée par leurs regards mais Paul continue de les ignorer, tout en me fouillant le con et en me mordillant le lobe des oreilles, le haut des épaules et le cou !

    Les jeunes se rincent l'œil pendant qu'il malmène mon entrejambe.

    Etre exposée ainsi, sans possibilité de fuite, presque violée devant eux, est un supplice délicieux et une humiliation assez cruellement excitante pour produire en moi une drogue euphorisante qui doit stimuler ma libido.

    Comme je lui ai promis avant d'entrer dans cette clairière, je jette ma pudeur et mon éducation aux orties, et je plaque sa pine raide contre mon cul en me cambrant outrageusement et vicieusement.

    Il sent que j'ai besoin de plus de vice et s'adresse au noir qui me bouffe des yeux : "Dis-moi, mon ami quel est ton prénom ?" "Moi ? Monsieur ?" "Oui ! Toi !" Tout le monde rit !

    "Je m'appelle Omar, Monsieur !", "Et tu es né à Lyon ?" "Oui, Monsieur ! Depuis 19 ans et j'aime les tabliers de sapeur, la nuit des lumières, le Rhône et la Saône et les femmes blanches comme celle que tu es en train de défoncer !" Tout le monde éclate de rire !

    "Bravo, Omar, tu as bon goût ! Peux-tu m'aider, je n'ai pas envie de libérer ma main droite qui est bien au chaud dans sa connasse ! Tu peux lui enlever son soutien-gorge et vérifier que ses bouts de nichons bandent bien fort ?"

    "Oooooooooooooooh, avec plaisir Monsieur ! Avec un immmmmmennnnnnsssssse plaisir !"

    Tout me monde applaudit Omar qui pose délicatement ses mains dans mon dos, dégrafe le soutien-gorge sans bretelles et prend les bonnets dans ses deux mains en veillant à ce que mes seins ne tombent pas d'un seul coup, comme un garçon bien soigneux !

    Il est de nouveau sifflé et applaudit par tout le monde ! Il obéit à l'ordre de sa vie et me pelote avec délicatesse les nichons qui sont bien adaptés à ses mains avant de les abandonner pour s'occuper de faire durcir mes bouts jusqu'à ce qu'ils triplent de taille et de volume en bandant, gorgés de sang et d'envie, en m'obligeant à gémir très fort de plaisir.

    Il pince gentiment la base de mes tétons et les montrent à la foule qui en les voyant bandés comme des petites bites hurle sa joie et scande son nom : "O ! Mar ! O ! Mar ! O ! Mar ! O ! Mar ! O ! Mar !"

    Avant que la foule ne le porte en triomphe, Omar rejoint les spectateurs, je n'ose dire "rouge" de sa gloire ! Paul semble content de ses choix et de ses interventions et se penche vers mon oreille : "Tu vois, ma cochonne, tout se passe bien, mais on va arriver aux choses sérieuses !"

    Et il me dit à voix haute en baissant son pantalon et son caleçon : "Allez, salope, mets toi à genoux dans l'herbe, ça va te rafraîchir la moule !" Et il exhibe son gros pieu bandé à la vue de tout le monde !

    Les filles sifflent et applaudissent : "Et, beau gosse, nous aussi on en veut ! Ne sois pas salaud !" Je comprends ce qu'il veut. Et je me rappelle de ma promesse à moi même en m'agenouillant donc de suite et en ouvrant grand ma bouche.

    Il s'y engouffre d'un grand coup de rein. Je lèche son gland et sa belle hampe, tout en caressant ses testicules velus qui frappent mon menton à chaque mouvement de balancier.

    Je suis horriblement humiliée de devoir faire une pipe en public, mais je dois reconnaître que je suis surexcitée et que depuis plus d'une demi-heure, je flirte avec mon premier orgasme dans la clairière !

    Tout d'un coup, Paul prend dans sa main droite plus de la moitié de mes cheveux mi-longs, il sort son pieu dégoulinant de bave de ma bouche, me relève brutalement et me traîne à deux mètres de là, hurlant de douleur contre un gros chêne rugueux.

    La foule hurle, applaudit et siffle et les quatre jeunes suivent, quitte à bousculer d'autres spectateurs pour ne rien rater de la suite de ce spectacle qu'aucun théâtre ne voudrait produire !

    Anne et son équipe sont obligées de changer les lampes de place, mais, en attendant, dans cette pénombre provisoire, je vois la foule venir assister à ma déchéance ce qui, contrairement à toute logique, m'érotise, me bouleverse les sens et me pousse vers une jouissance qui tôt ou tard devra forcément éclater !

    Paul est métamorphosé, j'ai du mal à le reconnaître ! Il me plaque de ses genoux contre l'arbre alors que ses deux mains descendent vers mon sexe pour le dilater violemment : je n'ai plus aucun doute : il va me prendre comme une bête, et me violer devant tous ces inconnus.

    Je suis bouleversée ! Je me sens à la fois la victime et la provocatrice de ce viol. Privées de protection, les lèvres de mon sexe nu s'émeuvent de l'air frais générant des ondes de désirs sauvages et naturels dans cette forêt.

    Complètement prise par mes émotions plus instinctives que réfléchies, je sais que je ne peux plus arrêter l'engrenage infernal et que je dois aller là où Paul désire m'emmener, quels que soient mes sentiments ou mes idées personnelles.

    Prise d'une irrésistible envie de contacts charnels, je le serre contre mon ventre nu et mord le lobe de son oreille pour le provoquer.

    Il passe sa main droite sous ma jambe, la lève et fouille ma vulve à la recherche de l'entrée avant d'enfoncer brutalement son gland dans ma grotte humide et chaude.

    Il est très rare qu'il me nique debout : cet assaut est donc si rapide, si puissant et si inhabituel, qu'il fait trembler les barrières de ma pudeur. Je m'entends crier un long : "Ouuuuuuuuuuuuuuuuuui" de plaisir.

    Et son va et vient sauvage, dans cette position où la pine peut très facilement pénétrer totalement dans le con de la femelle, me fait perdre la tête. Je ne sais plus où je suis !

    Ma bouche s'ouvre et se ferme comme pour happer un supplément d'air. Je plane et m'abandonne au plaisir sans aucune retenue.
    Les trois jeunes arabes se sont rapprochés de nous.

    Anne a fait éclairer la nouvelle scène, je vois bien leurs sexes bandés : l'un des deux se branle et l'autre se fait branler par la fille.

    Un camaïeu de sentiments à la fois contradictoires et convergents me traversent : j'ai honte de m'être mise dans une telle situation, mais, en même temps, je me sens réellement très pute et je les regarde avec une sorte de fierté, la pénombre relative cachant mon regard qu'ils pourraient juger provocateur !

    Il soulève encore un peu plus ma jambe droite, écarte plus mes fesses pour mieux s'enfoncer dans ma connasse : plus loin, encore plus loin, plus loin, encore plus loin !

    Je ne réalise même pas que mon dos va être écorché par l'écorce de l'arbre !

    Perchée sur la pointe de mon seul escarpin qui repose au sol, je me laisse envahir peu à peu par la chaleur qui monte dans mon ventre.

    Emportée par le plaisir, j'en arrive à aimer ces voyeurs au-delà de ma peur, surtout ce petit groupe de jeunes qui n'a aucun tabou et a franchi toutes les barrières sans se poser de questions !

    Serais-je en train de devenir une chienne lubrique ou une femelle juste bonne à se faire prendre ?

    Peu importe, comme si mon corps ne m'appartenait plus, je suis terrassée par le plaisir. J'arrête de me retenir et laisse courir ma folie dans mon orgasme trop fort pour moi.

    J'aimerais que Paul ne s'arrête jamais de me pistonner le con : je me délecte de cette brutalité chaque fois qu'il entre et sort de mon ventre, comme si à chaque coup de reins, il gonflait mon orgasme pour le rendre encore plus fort !

    Je mange son visage de baisers fous pendant qu'il m'ensemence le ventre ! Oh, comme j'aime mon homme qui m'entraîne toujours plus loin dans ma recherche des plaisirs.

    Il me dépose gentiment à terre, sur mes deux escarpins, et je réalise que j'ai du beaucoup crier, car le "groupe de voyeurs" que ma conscience qualifie à présent de "groupe d'amis", applaudit à tout rompre et la jeune femme qui m'avait mise en garde contre la simulation se jette sur moi et embrasse mes joues comme du pain béni en me disant : "Yvelines, si tu as simulé, tu mérites un Oscar !"

    Tout le monde rit, mais Paul demande la parole : "Attendez, avant de vous disperser, j'ai besoin d'un renseignement qui me permettra, peut être de vous annoncer, la surprise finale de cette soirée !"

    Accompagné par des sifflets et des applaudissements, Paul va voir Anne et discute en appartée avec elle.

    Il lui fait une bise, ce qui m'étonne assez peu, puisque depuis notre séance intime je suis persuadée qu'ils se connaissaient tous les deux avant ce soir et il revient à mes côtés : "Voilà, la nouvelle étant bonne, je vais donc pouvoir laisser notre amie Anne vous annoncer le beau final de cette belle soirée !"

    Anne se place à côté de nous :

    "Mes amis, en premier point, vous avez vraiment joué le jeu ce soir. Nous avions décidé de vous faire des prix sur nos tarifs habituels pour vous aider à ne pas jouir seuls. Vous êtes venus en masse et vous avez été très nombreux à solliciter nos services : merci, et bravo pour vos pourboires !"

    "En deuxième point : sans votre venue, le pari d'Yvelines aurait eu moins de succès,"

    "Mais comme elle ne peut vous remercier un par un, elle vient de confirmer à son compagnon que, son cul n'ayant pas été utilisé ce soir, elle acceptait de le mettre aux enchères"

    "Pour cinq euros, vous aurez un ticket et donc une chance de gagner. La totalité des gains des enchères sera partagée entre les neuf filles encore présentes, et le tiré au sort aura le droit d'enculer Yvelines, dans la position qu'il voudra, à poil, devant tout le monde et pendant trente minutes, préliminaires inclus !"

    Tonnerre d'applaudissements !

    Je tombe des nues en entendant Anne et attaque Paul :

    "Noooooon Paul, tu n'as pas le droit, c'était un fantasme pas un conseil ! Nooooooon, je refuse de faire ça !"

    "Mon trésor, quand on est une adulte on fait attention à ce qu'on dit : en arrivant ici, tu m'a promis d'être tellement salope que je pourrai mettre ton cul en loterie, et je ne fais qu'accéder à ton désir : as-tu été enculée ce soir, ma chérie ?" "Non"

    "Alors en route : soit tu laisses Anne continuer, soit tu lui coupes la parole et tu déments en disant que ton cul n'est pas à louer, soit tu vas toi même proposer un autre deal à tes amis voyeurs : débrouille-toi ! Moi je n'interviendrai pas"

    Je ne trouve plus rien à répondre, encore une fois, j'ai trop parlé, encore une fois j'ai été trop faible, mais encore une fois, j'ai rêvé toute la soirée de me faire défoncer le cul en public et devant Paul et par Omar ! Pourvu qu'il gagne !

    Anne termine ses remarques : "Et dernier point, nous allons passer parmi vous pour vous proposer des tickets à cinq euros pensez qu'avec cinquante euros, vous aurez dix fois plus de chances de gagner, mais pour récompenser les perdants, nous vous offrons pendant les trente minutes du show final : une pipe nichons nus à dix euros ! Tout le monde devrait être satisfait, merci et envoyez vous en l'air, dans le cul d'Yvelines, dans une de nos bouches ou dans votre main, peu importe ! Laissez votre foutre dans la Forêt des Étangs !"

    Des "Anne Présidente !" fusent ainsi que des "On est des champions !" ou des "Qui ne lâche pas son foutre est un radin" et ainsi de suite ! Une vraie bande de gamins !

    Anne vient m'apporter mon boléro et me dit de le mettre en restant cul nu, en bas et en escarpins pour l'aider à vendre des tickets pour que les mecs puissent savourer ce qu'ils vont peut être pouvoir défoncer !

    J'en profite pour lui demander :

    "Jok, tu ne peux pas faire en sorte que ce soit Omar qui gagne ?"

    Elle me regarde avec des yeux brillants de vice : "Je ne me suis pas trompée sur toi, tu es une véritable salope ! Je crois bien que je vais accepter de m'amuser avec toi sans te faire de cadeaux ! Quant à organiser une réunion enculage entre Omar et toi, ce sera très simple, je vais lui demander son portable ! Mais je veux que ce soit filmé ! Car je veux te voir jouir avec une bite de nègre dans le cul, et même peut être deux, nous allons y réfléchir !"

     

    Laissant ma mauvaise humeur de côté, je la suis, toute contente de sa promesse et rentre dans le monde de la joie, de l'amour, du cul et de la folie collective !

    Il est vrai que quand je montre mon cul en l'ouvrant bien, les pines se redressent et les billets de cinquante euros pleuvent !

    Je n'ai pas fait une seule vente de ticket à un mec qui avait sa bite dans son pantalon ! Je peux dire que j'ai vu en peu de temps celle qui allait me faire ma fête !

    Jok me glisse à l'oreille : "Je te jure que tu auras ton "Homard noir à la lyonnaise", car je dois te dire, que, grâce à toi, nous allons faire une recette incroyable ce soir ! C'est super gentil d'avoir offert ton cul en plus ! Même si tu es une super-salope, tu sais être une fille super-généreuse, et tu peux revenir à "La Forêt" même sans penser au cul : tu n'y as que des amies !"

    Très troublée et un peu gênée, je marmonne quelque chose d'inaudible et continue la vente de mon cul en ayant hâte que cette soirée s'achève.

    Mais quelque part dans un coin de la zone "vices et perversions" de mon cerveau, j'ai aussi très hâte que mes nichons se balancent devant tous ces voyeurs au rythme des coups de bite que mon enculeur donnera dans mon cul pour bien me défoncer !

    La collecte terminée, Anne et une amie comptent rapidement la recette et annoncent à tout le monde que les 18 hommes présents ont acheté 360 tickets pour une recette totale de 1.800€ soit 200€ par fille encore présente !

    Ce très beau geste est acclamé par des cris et des applaudissements de la part de toutes les filles qui se précipitent sur leurs réguliers pour les embrasser à pleine bouche !

    Anne propose que ce soit mon client qui tire le ticket gagnant, et Paul accepte de bon coeur, je reste un peu à l'écart pendant que les joueurs forment un cercle dans la clairière, ils posent une cape de fille au sol, y jette tous les tickets, la referme par ses quatre coins et la lève, laissant à Paul un tout petit accès pour glisser sa main, prendre un ticket, l'extraire et le donner à Anne.

    Elle l'ouvre et annonce que c'est "Jean-Louis-Le-Bûcheron" qui a gagné ! Les filles ont bien fait attention de demander un surnom à chaque participant pour ne pas se retrouver avec plusieurs Jean-Louis gagnants !

    Le gagnant sort du rang et se dirige vers "la scène" que l'équipe d'Anne a éclairé avec deux autres lampes et quatre brûlots improvisés. Il s'approche de moi et me fait un baise-main très conventionnel applaudit par tout le monde !

    "Une heure plus tard, Paul roule lentement sur le chemin du retour. Le silence est total, le moteur hybride ne fait aucun bruit et comme le choc des neurones ne provoque, pour le moment, aucun décibel, le silence de notre couple est impressionnant"

    Alors que le ciel commence à s'éclaircir, bien que le soleil profite encore de quelques dizaines de minutes de grasse matinée pour flemmarder, je me demande ce qui peut bien se passer dans la tête de mon amour ? A quoi peut-il bien penser ? Quelles conclusions tire-t-il d'une soirée comme celle là ?

    Et pendant que mon cerveau gamberge, je sens que du sperme continue de sortir de mon anus. Je suis contente d'avoir protégé mon fauteuil en posant mon cul nu sur ma jupe en cuir !

    Le vent frais de la nuit filtré par la ventilation de la voiture vient souffler gentiment sur mon intimité comme pour profiter de ma nudité pour la sécher plus vite !

    De repenser à la fantastique richesse de cette soirée, de tout ce que nous avons fait, des pas de géant que m'a obligé à faire Paul dans mon éducation de "l'autre Agnès", celle dont il est déjà le Pygmalion absolu !

    Tout se bouscule dans ma tête qui ressemble à un flipper dans lequel mes idées rencontrent des "bumpers" qui illuminent ma réflexion mais aussi des pièges dans lesquelles elles tombent pour me faire régresser ou même changer d'avis !

    Mais tout ce concert de casseroles cérébrales me saoule et j'ai plaisir à laisser mes envies reprendre le dessus : très lentement, pour ne pas provoquer de geste brusque, je me couche sur le côté gauche et pose ma tête sur les cuisses de Paul.

    Je dégrafe rapidement son pantalon en me souvenant en souriant dans le noir de ma "première fois" sous le piano, et j'en extrais son sexe mou que je câline de ma main avant de le glisser dans ma bouche. Je déguste avec gourmandise et délice les parfums de son plaisir mêlé au mien : un vrai parfum de couple que pourrait nous créer une entreprise de Provence !

    Sous mes lèvres gourmandes, le petit "zizi" tout mou, revit peu à peu. Je presse le petit gland entre mes lèvres avant de les glisser sur la hampe, tout en caressant à travers le pantalon, ses couilles à présent emprisonnées dans la cage formée par mes doigts.

    Sans les lâcher, je laisse longuement errer ma langue tout le long de ce qui est devenu une grosse pine, bien fonctionnelle qui me livre son petit goût marin et iodé que j'aime tant.

    Je ne bouge pas quand Paul met son clignotant, je ne pense pas que nous soyons arrivés, et rassurée, je continue de le pomper avec envie et avec attention.

    Il me caresse les cheveux et me dit : "Je suis content de ton initiative, je suis sur que du as des tonnes de questions à me poser, mais, vue ta parfaite éducation, je sais que jamais tu n'oseras parler la bouche pleine, alors, suce moi bien, régale toi, et régale moi, je vais répondre à tes questions, sans en oublier une seule !"

    Je fais oui de la tête en pressant un peu plus ses couilles !

    "Est-ce que ce soir tu es devenue une chienne lubrique ou une femelle juste bonne à se faire baiser ou enculer ?"

    "En apparence, oui, mais quand tu te transformes en chienne seules tes hormones te contrôlent, et c'est l'autre Agnès qui se donne ou qui s'exhibe. Un exemple ? Tu es une grande joueuse de foot, mais quand la partie est finie, tu redeviens la femme incapable de donner des coups vicieux à tes adversaires et très triste d'avoir mis un but à ta copine gardienne du but adverse !"

    "Pourquoi t'avoir imposé ces exhibitions devant Henri et ces gouinages avec Jok ?"

    "Pendant que tu finissais de te préparer, j'ai téléphoné à Henri pour lui demander de venir ce soir vers la "place de l'Etoile", pour me donner un coup de main, quant à Anne-Jok, je la connais depuis deux ans, je suis son ami tout ce qu'il y a de plus pur et je surveille sa carrière car cette fille est un vrai diamant pour mon équipe de direction."

    "Je connais ses goûts sexuels intimes : les gouines et leur domination, le reste ne l'intéresse pas ! Ce soir elle m'a été très utile, pour ton éducation-plaisir, la passe-corvée avec Henri et l’organisation-plaisir de ton show, à l'arrivée à la maison je te laisserai écouter le répondeur, tu entendras sa voix"

    "Et, dernier point, si tu es d'accord, elle sera une très bonne initiatrice pour t'apprendre à obéir à une "Domina Sado", car, tu as remarqué qu'elle est TRÈS intelligente. Notes que connaissant le Directeur de son Ecole, puisque je suis sorti Major de la même !

    J'ai eu les résultats de ses deux tests de Q.I. en main : elle dépasse chaque fois les 140, qui est la limite maximum dont sont dotés les génies ! Tu vois pourquoi je tiens à cette perle !"

    Je refais oui de la tête sans cesser de le pomper, j'ai un peu mal aux mâchoires mais je suis de plus en plus excitée ! Je sors ma main droite que je lui montre en laissant mon majeur recroquevillé caresser le vide et sors mon pouce en le levant et en le baissant !

    Il éclate de rire et me répond !

    "Mais, bien sur, régale toi ma chérie, branle toi mais essayons de jouir ensemble !"

    Je remontre mon pouce levé et ma main disparaît entre mes cuisses. Je lâche sa queue une seconde pour pousser un gémissement de contentement ! Avant de reprendre goulûment ma pipe !

    "Tu veux sans doute savoir quels ont été pour moi les temps les plus excitants de cette soirée ?"

    Je refais oui de la tête, mais plusieurs fois ! Visiblement très intéressée !

    "Je m'en doutais, il y en a eu beaucoup, je vais essayer de ne pas en oublier : le premier n'était pas trop perceptible, mais j'ai senti qu'en te grondant un peu après l'épisode de la veste que tu ne voulais pas enfiler, tu avais pris la décision d'être moins "non-non" avec mes idées et plus vite "oui-oui", ce qui m'a excité et conforté dans ma stratégie d'éducation ! Est-ce que je me trompe ma chérie !"

    Je fais plusieurs fois nooooon de la tête.

    "Merci, mon trésor, hum suce doucement, attarde toi sur mon gland, il va commencer à juter des filets "d'avant-foutre", qui, il paraît, car je n'ai pas pensé à y goûter, n'a pas le goût du vrai foutre !"

    Je fais plusieurs fois ouuuuuui de la tête !

    "Le deuxième est dans la forêt, quand nous sommes arrivés au carrefour et que tu as découvert tes futures collègues, tu avais une tête surréaliste à la Picasso ! Un œil à côté de la bouche l'autre dans une oreille, en bref tu étais toute de travers !

    Et, quand j'ai retenu Anne pour lui parler, c'était pour lui demander de te faire faire le coup du pervers par son ami Christian, et si elle pouvait, de m'appeler sur mon portable et de le donner en mains libres à son ami pour que je puisse suivre, non pas les images que je suivais à la jumelle, mais au moins votre dialogue ! J'avoue que ta voix plus qu'émue m'a beaucoup fait bander !"

    Je lâche sa bite et lui mordille doucement le gland en le traitant de salaud !

    "Aie ! Tu as raison, mais quel pied ! Je ne vais pas te dire combien de fois j'ai joui ce soir, ça te rendrait jalouse !"

    "La troisième est la séquence d'argent sur le podium des meilleures. Quand Anne, Henri et toi avez disparu dans les bois, j'ai quitté l'auto et je me suis installé vers les lampes allumées par Anne, j'ai donc assisté et tout photographié, puisque j'avais demandé le brouillage pour trois heures du matin"

    "Tu verras ces photos qui te laisseront sans voix ! Votre déshabillage lesbien, lascif et super sexy, le léchage de toutes les parties de vos corps dénudées, des cheveux aux talons de pieds" "Puis ton solo de pisseuse, nichons gigotant et cuisses bien ouvertes avant qu'Henri ne nique Anne en levrette, pendant que tu t'envoies en l'air à cinq centimètres d'eux avec ton super vibro, dernier gadget d'une société de notre groupe !"

    "Puis toi qui te rhabille après avoir réveillé toute la forêt par tes cris de jouissance et qui revient vers le couple pour peloter, embrasser, lécher et sucer Anne, avec, je pense, un immense plaisir réciproque, et enfin le nettoyage de son con avec ta bouche aspirante et ta langue finisseuse, avant le départ d'Henri et ton retour avec ta veste dans le coin d'Anne qui, elle finissait de se préparer !"

    Je décontracte mes mâchoires en le lâchant et lui disant : "Tu as acheté une usine de sex-toys pour payer moins cher notre Donjon ? Tu ne manques pas d'air !"

    Il rit : "Ce n'est pas tout à fait comme ça que ça s'est passé, rappelle moi un jour de te raconter l'histoire, elle est rigolote !"

    "Et enfin, on va arriver à la médaille d'or de cette soirée, tu la connais, car, probablement sans le vouloir ou en ayant une telle pression en toi et sur toi, tu as offert un spectacle rare : ta jouissance du cul devant plus de trente personnes avec une orgasme qui, quelqu'un t'a chronométrée, a duré plus de 34 secondes ! Et a crevé une trentaine de tympans ! Sauvage !"

    "Ouahhhhhhhh, amour, je viens de revivre ton orgasme du cul, mais, attention je n'en peux plus, bloque bien ma pine au fond de la gorge et essaye de t'envoyer en l'air ! Je ne peux plus me retenir ! Oooooooooh fais vite je t'en supplie je ne veux pas rater cet instant !"

    Éperdue, je bouge comme une folle mes doigts dans mon con tout en griffant mon clito assez méchamment, focalisée par le seul objectif de jouir vite en suçant une bite dans une bagnole comme une putain-amazone qui fait ça cent fois par jour, je laisse courir les secousses animales qui déferlent dans tout mon corps par des vagues régulières d'ondes de plaisir, alors que Paul vidange enfin ses burnes de Maître dans ma bouche de catin !

    Courtois comme à son habitude, Paul m'aide à me rafraîchir, allant même dans le coffre pour récupérer une bouteille d'eau fraîche dans le réfrigérateur électrique.

    En chemin je médite tout ce qu'il vient de me dire, sans aucune honte, car très fière d'avoir été à la hauteur, que ce soit moi, la peureuse et couarde Agnès qui n'osait jamais rien faire, ou l'Agnès, fière de son vice, qui loue son anus aux enchères pour remercier un groupe de pervers dont elle pourrait surement prendre la tête !

    Il est à présent clair et limpide que ces situations chaque fois plus pornographiques et humiliantes et ces idées nouvelles qui ne sont en fait que le feuilletage du grand livre du bdsm, chapitre par chapitre, activité par activité, nous excitent tous les deux au plus au point, je le sais mais même si je ne pense plus avoir peur, ça m'inquiète un peu en m'obligeant à poser cette grave question : jusqu'où irons-nous dans cette folie ?

    Quand nous entrons dans le hall de la maison, Paul me signale le téléphone ?

    Ah ! Oui, je n'y pensais plus ! J'appuie sur les messages, il n'y en a qu'un :

    "Paul, c'est Jocelyne, je vous en veux, c'est beaucoup trop, mes "amis" de "La Forêt" ne sont pas prêts de revoir ma lune ! Un petit PS > Oui pour Agnès, mais ! Je ne VEUX pas que ce soit un acte rémunéré, c'est non négociable et je sais que vous me comprenez : vous n'êtes pas homme à payer un service rendu à quelqu'un à qui je dois tant ! Un respectueux bonsoir et un "smack de carrefour" à ma très charmante nouvelle amie !"

    Suite dans "Agnès" Tome 6 >


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